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REDIFF - Pascal a une relation extraconjugale depuis 2 ans. Lorsque sa femme l'a appris, il lui a assuré d'y mettre un terme. Pourtant, cette relation subsiste et il ne compte pas quitter sa femme. Il s'interroge sur sa sincérité. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
Merci à Morphée de soutenir La Matrescence ! Avec le code MATRESCENCE profitez de 10€ de réduction pour l'achat d'une box Mon Petit Morphée sur Morphée.co ! LA PREMIERE NEWSLETTER DU PODCAST EST PRETE : INSCRIS-TOI J'ai souvent parlé d'accouchement à la maison dans ce podcast. Une première fois en 2019, en interviewant ma sage-femme Isabelle Deputier (épisode 18) et en racontant mes propres accouchement (épisode 66 & épisode 105). Accoucher à la maison, j'en ai personnellement fait l'expérience deux fois dans ma vie avec la conviction profonde que c'était le meilleur choix pour moi et mon bébé. Nous avons toutes et tous un rapport très personnel à la sécurité, lorsqu'il s'agit de mettre au monde notre enfant. Pour moi, c'était en dehors de l'hôpital. Pour être la boss, souveraine de ce moment, dans mon cocon. Lorsque l'on accouche chez soi accompagnée d'une sage-femme qui est formée, nous accumulons du savoir, de la connaissance de notre corps, de nos capacités. Mais nous mesurons également les risques pris. Le sujet n'est pas éludé dans la préparation. Depuis 2018, Floriane Stoffer Obrecht, sage-femme libérale, compile les datas des sages-femmes qui accompagnent les femmes et les familles dans ce parcours encore très singulier en France. Depuis 5 ans donc, Floriane traite les infos remontées par ses consœurs qui sont entre 60 et 100 chaque année à pratiquer. Quels sont les résultats ? Que dit le rapport de l'APAAD (l'association de professionnelles de l'accompagnement des accouchements à domicile.) concernant les risques ou non de choisir de donner la vie à son domicile, en France, pour la mère ou pour le bébé à venir? Avant d'écouter, nous voulons toutes les deux spécifier que cet épisode sort dans un moment où le sujet est sensible et à nouveau au cœur de débat, au vu de l'actualité récente. Et c'est bien normal. En novembre, une mère et son bébé sont décédés lors d'un transfert entre le domicile et l'hôpital. Un cas extrêmement rare lors d'un accouchement à domicile. Et Floriane l'évoque. Cet épisode vient donc remettre des datas fournies et étayées concernant une pratique qui génère beaucoup de fantasmes et de débats. Rappelons, avant de démarrer, qu'un sondage de l'IFOP en 2021 révélait que 36% des femmes âgées de 18 à 45 ans pouvaient envisager l'accouchement à domicile! La demande est là… à vous de vous faire une idée! Je vous souhaite une très bonne écoute. Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter. Ressources de l'épisode : Livre de Floriane : “C'est mon accouchement” ** EXTRAIT ARTICLE DU MONDE : “Les pro-AAD peuvent aussi s'appuyer, désormais, sur la méta-analyse d'une chercheuse en obstétrique canadienne, Eileen Hutton, prenant en compte un échantillon de 500 000 naissances à domicile étudiées dans dix pays industrialisés (Pays-Bas, Etats-Unis, Royaume-Uni, Nouvelle-Zélande, Suède, Canada, Australie, Japon, Islande, Norvège) entre 1990 et 2018. Publiée en 2019 par la revue scientifique The Lancet, ****l'enquête conclut, sans ambiguïté : « Le risque de mortalité périnatale ou néonatale n'était pas différent quand l'accouchement était prévu à la maison ou à l'hôpital. » ** Association : APAAD ** ENTRETIEN IFOP : "IL Y'A UNE RÉELLE DEMANDE DE LA PART DU PUBLIC, CE QUI CONSTITUE UN MAGNIFIQUE ARGUMENT À PRÉSENTER AUX ÉLUS ET AUX INSTANCES”
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! [INTERVIEW] - L'exposition 'Gabrielle Chanel. Fashion Manifesto', qui se tient au Victoria and Albert Museum à Londres du 16 septembre 2023 jusqu'au 25 février 2024 révèle, documents à l'appui, que la grande dame de la couture aurait été 'un agent occasionnel' dans la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale. Gabrielle Chanel aurait agi au sein du réseau ERIC, proche des services secrets britanniques. En 2011, le journaliste Hal Vaughan faisait un tout autre portrait de la créatrice de mode sous l'Occupation : il l'accuse notamment d'antisémitisme, et d'avoir été une espionne au service des nazis. Pour y voir plus clair sur le rôle trouble de Coco Chanel pendant la guerre, Virginie Girod reçoit la journaliste Isabelle Fiemeyer. Lorsque la guerre éclate, Coco Chanel a 56 ans, et elle est déjà 'immensément connue' rappelle Isabelle Fiemeyer, auteure de plusieurs ouvrages sur la reine de la mode. 'Elle prend une décision complètement radicale, elle ferme purement et simplement sa maison de couture, et licencie son personnel. La mode sous l'Occupation se fait sans Coco Chanel'. À la déroute française, elle se réfugie un temps dans son château pyrénéen de Corbère-Abères, avant de revenir à Paris pour faire libérer son 'fils-neveu' André qui a été fait prisonnier. Coco Chanel reprend ses quartiers au Ritz où elle avait ses habitudes. Mais le célèbre hôtel a bien changé : une partie est réquisitionnée pour héberger les soldats de la Luftwaffe, l'armée de l'air allemande. C'est là qu'elle entame une liaison avec Hans Günther von Dincklage, 'un espion allemand. Dincklage était entourée de de femmes du monde, c'était sa méthode pour obtenir des renseignements. Coco faisait partie de ces femmes-là, elle ne s'en est pas méfiée' raconte Isabelle Fiemeyer. Mais les choses vont encore plus loin : Gabrielle Chanel est immatriculée dans les services secrets allemands, sous le nom de code Westminster. 'Coco était l'amie de Churchill. Donc elle pouvait être utile d'ailleurs tenter de l'utiliser pour avoir un rapprochement secret entre l'Allemagne et l'Angleterre' explique la journaliste, 'Mais elle n'a pas fourni de renseignements et elle n'a pas collaboré' insiste-t-elle. Par ailleurs, le nom de Gabrielle Chanel figure sur une autre liste, celle des agents du réseau ERIC. Réseau de renseignement de la résistance, il obéit aux ordres du Bureau central de renseignements et d'action, le service de renseignement d'action clandestine de la France libre. 'Le réseau Éric est en lien avec les services secrets anglais, ce n'est pas étonnant de voir Coco appartenir à ce réseau. Elle faisait partie des agents occasionnels, c'est-à-dire qu'elle était indicateur' précise Isabelle Fiemeyer. À la Libération, Gabrielle Chanel est arrêtée par des membres de la FFI, avant d'être relâchée quelques heures plus tard. Thèmes abordés : Seconde Guerre mondiale, Collaboration, Chanel, mode 'Au cœur de l'histoire' est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler et Nathan Laporte- Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix- Visuel : Sidonie Mangin
"Lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume de Dieu est proche"Méditation de l'évangile (Lc 21, 29-33) par le père Sébastien AntoniChant final: "Le royaume est proche" par la Chorale Laetare
Comment caractériser facilement un vin blanc, avec un petit schéma ------------ Voici une technique de dégustation simple et efficace. Lorsque vous dégustez un vin blanc, ayez le réflexe de tracer un schéma simple mais puissant pour "caractériser" chaque gorgée. En d'autres termes : Concentrez-vous sur le niveau d'acidité et d'alcool du vin que vous goûtez, afin d'évaluer chacun de ces 2 axes. Grâce à cette approche, vous serez capable de créer une représentation du vin, qui vous donnera des pistes pour le décrire . Voilà ce dont nous parlons dans la vidéo du jour ! https://youtu.be/LnTntKPRpwM Nous verrons également quels sont les constituants du vin qui définissent ses caractéristiques en bouche. Et puis, nous examinerons comment le climat et le cépage influencent ces caractéristiques. Si vous êtes un fidèle de mes vidéos, alors cet épisode devrait constituer une bonne révision. Si vous débutez, alors prenez des notes, car ce sont des bases essentielles pour mieux déguster ! Recevez votre kit du dégustateur : https://www.lecoam.eu/kit Rejoignez gratuitement la lettre du dégustateur, et formez-vous au vin chaque semaine : https://www.lecoam.eu/lp-newsletter/ Formez-vous au vin sur http://www.lecoam.eu Recevez la 1ère BOX pour se former au vin ici : https://www.masterclass-degustation.com Retrouvez tous mes articles et podcasts ici : https://www.le-vin-pas-a-pas.com/
Découvrez l'abonnement "Au Coeur de l'Histoire +" et accédez à des heures de programmes, des archives inédites, des épisodes en avant-première et une sélection d'épisodes sur des grandes thématiques. Profitez de cette offre sur Apple Podcasts dès aujourd'hui ! Écoutez la suite de la vie de Maria Callas, racontée par Virginie Girod qui mêle sa voix aux archives Europe 1. La chanteuse a décroché un contrat à la prestigieuse Scala de Milan, mais souffre de la concurrence d'une rivale : Renata Tebaldi. Lorsque cette dernière tombe malade, Maria Callas la remplace au pied levé. Elle tient sa chance de se distinguer, mais les critiques du lendemain sont assez mauvaises. Malgré ce début mitigé à la Scala, Maria ne se décourage pas. Elle sait qu'elle est née pour être une prima donna. Pour mieux séduire le public, Maria a une obsession : maigrir. Elle commence un régime drastique et perd 35 kg en deux ans. Avec son physique longiligne, Maria Callas devient une icône. Au sommet de son art, elle fait de nombreuses Unes à travers la planète. Elle se produit dans les plus grandes salles du monde entier et enregistre de nombreux disques permettant ainsi au public qui ne va pas à l'opéra de l'écouter malgré tout. Avec le succès, les critiques se font aussi plus acerbes. Au début de l'année 1958, elle quitte une représentation de la Norma à Rome parce qu'un coup de froid enroue ses cordes vocales. On l'accuse d'être une diva insupportable. En 1971, elle divorce et devient l'amante d'Aristote Onassis, un riche armateur. Auprès de lui, elle délaisse sa carrière et décline lentement. Maria perd ses aigus et la richesse de sa voix est dilapidée. Au début des années 1970, la plus grande diva du XXe siècle transmet son art à des élèves de la prestigieuse Julliard School de New York. En 1973, elle fait une tournée de récitals qui est en réalité une tournée d'adieux, et en 1977, Maria Callas décède peu après un malaise. Les raisons de sa mort sont assez mystérieuses, certains évoquent un suicide. Mais peut-on vraiment mourir quand on est la plus mythique des chanteuses lyriques de tous les temps ? Retrouvez Virginie Girod dans Madame Figaro en kiosques le 1er décembre avec un récit inédit. https://madame.lefigaro.fr “Au Cœur de l'Histoire” est un podcast Europe 1 Studio. Thèmes abordés : opéra, Maria Callas, New York, XXe, Pasolini 'Au cœur de l'histoire' est un podcast Europe 1 Studio- Présentation : Virginie Girod - Production : Camille Bichler- Réalisation : Pierre Cazalot- Composition de la musique originale : Julien Tharaud- Rédaction et diffusion : Nathan Laporte- Communication : Kelly Decroix - Visuel : Sidonie Mangin
Lorsque nous sommes très attentifs à quelque chose, nous pouvons presque nous mettre comme sur pause, stoppant tout mouvement dans l'attente que ce que nous attendons ou recherchons se produise ou apparaisse, ceci pour ensuite reprendre ce que nous étions en train de faire là où nous nous sommes arrêtés. Même si cela peut y faire penser, cette forme de pause serait bien différente de ce que nous pouvons expérimenter en restant figer sur place de peur ou de stupeur. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'idée pourrait prêter à sourire, et pourtant, les personnes qui en ont souffert relatent une expérience très désagréable. Le syndrome de Paris, ou plus largement syndrome du voyageur, résulte d'une inadéquation entre les attentes d'une personne lorsqu'elle décide de visiter Paris, et ce qu'elle y trouve réellement. Comment identifier un syndrome de Paris ? La gamme de symptômes qui englobe le syndrome de Paris est vaste. Régulièrement, les individus touchés développent des crises de stress ou des bouffées d'angoisses intenses. Ils peuvent se sentir dépersonnalisés, désorientés, et même connaitre des épisodes de paranoïa en suspectant leur entourage ou les instances gouvernementales. Au niveau physique, le syndrome de Paris s'exprime par des palpitations cardiaques, une sensation de vertige, un phénomène de sudation inhabituel et un sentiment d'oppression très fort. Bien qu'il ne figure pas dans le référentiel psychiatrique du DSM-5, le syndrome de Paris est généralement reconnu par les médecins après observation clinique et exclusion d'autres troubles psychiques. Certains profils sont plus à risque comme les touristes qui idéalisent beaucoup la ville de Paris, ceux qui proviennent de pays lointains ou de cultures très différentes. Les voyageurs seuls et ceux ayant des antécédents de troubles mentaux font aussi partie des personnes plus sensibles à ce syndrome. Qu'est-ce qui cause ou déclenche le syndrome de Paris ? À l'étranger, et plus précisément dans les pays asiatiques comme le Japon ou la Chine, Paris est présentée comme la ville du romantisme, de la mode et du raffinement. Les touristes s'en font une idée à travers des médias qui fantasment la capitale française. Lorsqu'ils décident de visiter Paris, ils formulent des attentes irréalistes qui devraient transcender leur quotidien. Confrontés à la réalité de la vie parisienne, sa foule, sa pollution, ses problèmes sociaux et son rythme de vie incessant, certains visiteurs subissent alors une désillusion profonde et rapide. La confrontation entre leur idéal et ce qu'ils vivent occasionne un choc psychologique traumatisant. Les facteurs qui aggravent le risque de syndrome de Paris sont le stress du voyage, le décalage horaire, la barrière de la langue, la fatigue et le sentiment de perte des repères habituels. La solitude de l'expatrié contribue aussi à favoriser la survenue de ce trouble. Résolution du syndrome de Paris La thérapie cognitivo-comportementale, dite TCC, est l'intervention psychologique la plus adaptée pour aider les patients à restructurer leurs pensées et leurs attentes. Lorsque le syndrome est sévère, un psychiatre peut prescrire des anxiolytiques ou des antipsychotiques en complément de la thérapie. Pour prévenir le syndrome de Paris, il est conseillé aux touristes de bien préparer leur séjour en utilisant des sources fiables et réalistes, et de s'imprégner au maximum de la culture, par exemple en apprenant la langue du pays avant le voyage. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C'est le retour de l'astrologie sur Radio Monaco Feel Good. Cette semaine, Olya Mel, zoome sur la Lune. Il est possible de s'aligner sur les cycles de la lune pour se nourrir de manière équilibrée ! Comment aligner son alimentation aux cycles de la lune ? Si vous souhaitez vivre en harmonie avec la nature, vous pouvez vous baser sur la Lune. Plus particulièrement sur sa phase. En effet, on sait qu'au moment de la Nouvelle Lune, nous avons généralement un peu moins d'énergie. Lorsque la Lune est croissante, on a donc besoin de pus de ressources. A l'inverse, dès qu'elle est décroissante il vaut mieux privilégier une alimentation plus légère. Pour être encore plus pointilleux, il est possible d'affiner son menu en fonction du signe de la Lune qui change tous les deux jours et demi environ. Les signes astrologiques et l'alimentation Pour rappel, les 12 signes astrologiques sont divisés en quatre groupes correspondant aux quatre éléments. C'est ce qui sera déterminant dans la constitution de votre assiette du moment. Lorsque la Lune se trouve dans un des trois signes d'eau : Cancer, Scorpion ou Poisson : vous allez remarquer une envie plus importante du sucré. Ce sont les jours où notre organisme assimile le mieux tout type d'aliments, nous permettant de lâcher un peu la prise et de succomber à nos envies, avec un minimum, voire aucune conséquence. Après ces deux jours et demi de relâchement, la Lune passe dans un des signes de feu : Lion, Sagittaire ou Bélier. Notre corps réclame et assimile le mieux les protéines, animales pour ceux qui en consomment, ou végétales, comme les légumineuses. On peut avoir davantage envie de la nourriture bien relevée, bien épicée. En revanche, à ce moment précis le sucre s'assimile très mal. Puis, la Lune passe dans un des signes de Terre, Taureau, Vierge ou Capricorne. Place au naturel pendant ces périodes. On met l'accent sur les produits frais que la nature nous offre et dans leur état le moins transformé possible. Enfin, lorsqu'elle passe dans un des signes d'Air : Gémeaux, Balance ou Verseau, privilégiez les repas très légers, les journées détox seront les plus efficaces justement à ces moments-là. Tout excès aura du mal à être assimilé par le corps.
Faites tout le bien que vous pouvez, par tous les moyens que vous pouvez, de toutes les manières que vous pouvez, dans tous les endroits que vous pouvez, à tous les moments que vous pouvez, à toutes les personnes que vous pouvez, aussi longtemps que vous le pouvez. John Wesley Pratiquez la générosité et la bonté au quotidien, avec vos équipes, familles, clients, collègues,… avec tous. Embellissez la vie des autres, partagez la joie, l'amour, l'énergie positive avec les autres, cherchez comment vous pouvez être bon envers les gens et les aider à améliorer leur vie. Levez-vous chaque jour avec l'intention d'être une bénédiction pour les autres, faites bouger les choses pour les autres, résolvez les problèmes. Lorsque vous aidez les autres à obtenir ce qu'ils veulent, ils vous aideront à obtenir ce que vous voulez, n'essayez pas de prendre avant de donner, donnez et cela vous reviendra en bonne mesure, appuyez, serrez, débordez, vous ne pouvez jamais manquer en étant une bénédiction pour les autres, vous recevrez toujours en abondance lorsque vous donnez, donnez votre temps, vos ressources, votre sourire, ... tout ce que vous donnez, chaque fois que vous donnez, vous semez une graine qui grandira et produira au centuple. Encouragez les autres, motivez les autres, dans tout ce que vous faites, aidez les autres à devenir meilleurs et à faire mieux. L'amour est le cadeau ultime, choisissez chaque jour d'aimer inconditionnellement pas seulement ceux qui font partie de votre vie mais même ceux que vous ne connaissez pas, donnez votre bonté, donnez votre pardon, donnez votre patience, donnez votre générosité, ... Aussi longtemps que vous pouvez, vivez chaque jour en étant une bénédiction pour tous avec tout ce que vous pouvez et avez. Abonnez vous à notre Newsletter GRatuitement, cliquez ici
Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part à la rencontre de Bruno. Cet ancien chef d'entreprise a frôlé la mort à cause de son obésité morbide. C'est ce combat contre cette maladie que Bruno a accepté de confier dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1 Studio. Lorsque la femme de Bruno le quitte au début des années 2000 avec leur fils, c'est un choc pour le père de famille. Pendant de nombreux mois, il ne voit plus son enfant, ne travaille plus dans son entreprise et plonge ainsi peu à peu dans une dépression. C'est à ce moment-là qu'il commence à prendre beaucoup de poids. Dans son nouvel appartement, l'escalier et l'ascenseur sont très étroits et très vite, il ne peut plus sortir de chez lui. Bruno pèse alors 200 kg. Son inactivité lui fait même atteindre 320 kg. Il ne peut plus bouger ses membres, il ne parvient plus à respirer correctement. Une prise de conscience le pousse finalement à appeler à l'aide. Lorsque les services médicaux interviennent, il n'y a qu'une seule solution possible pour sortir Bruno de son apparemment : creuser un trou dans la façade. Grâce à la mobilisation des pompiers, Bruno est pris en charge. C'est le début d'un long combat. Il doit réapprendre à se nourrir, faire une psychothérapie et suivre des séances de kiné pour réapprendre à marcher. Aujourd'hui, Bruno va mieux. Il pèse 156 kg et est déterminé à atteindre les 90 kg. Dans cet épisode du podcast "Dans les yeux d'Olivier" produit par Europe 1 Studio, Bruno raconte son combat contre l'obésité, la réappropriation de son corps et ses projets pour le futur. Dans les yeux d'Olivier est un podcast Europe 1 StudioPrésentateur : Olivier Delacroix - Réalisateur : Kevin Housty - Productrice : Fannie Rascle et Clémence Olivier - Rédaction et diffusion : Lisa Soster - Graphisme : Cosa Vostra
Tous les soirs, retrouvez la question pas si bête par l'édition du soir de Ouest-France. Crédit musique : Universalmusicproductions Photo d'illustration : Wavebreakmedia/ iStock
Les taux d'intérêt ont un impact significatif sur l'économie dans plusieurs domaines : 1. Investissement : Les taux d'intérêt jouent un rôle crucial dans la décision des entreprises d'investir dans de nouveaux projets. Lorsque les taux d'intérêt sont bas, les entreprises sont incitées à emprunter pour financer des investissements, ce qui stimule l'activité économique. À l'inverse, des taux d'intérêt élevés peuvent décourager les investissements et ralentir la croissance économique. 2. Consommation : Les taux d'intérêt influencent également la consommation des ménages. Des taux bas encouragent les emprunts et facilitent l'accès au crédit, ce qui peut stimuler la demande de biens et de services. Les taux d'intérêt élevés peuvent au contraire décourager les dépenses des ménages, car les crédits deviennent plus chers et les conditions de remboursement plus contraignantes. 3. Inflation : Les taux d'intérêt peuvent être utilisés pour lutter contre l'inflation. Lorsque l'inflation est élevée, les banques centrales peuvent augmenter les taux d'intérêt pour freiner les dépenses et réduire la demande globale, ce qui peut aider à maîtriser les pressions inflationnistes. À l'inverse, lorsque l'inflation est faible, les banques centrales peuvent abaisser les taux d'intérêt pour stimuler la demande et favoriser la croissance économique. 4. Marché immobilier : Les taux d'intérêt ont un impact direct sur le marché immobilier. Des taux bas encouragent l'achat de biens immobiliers car les prêts hypothécaires sont moins chers, ce qui peut entraîner une augmentation des prix de l'immobilier. Des taux élevés, en revanche, peuvent décourager les achats immobiliers et entraîner une baisse des prix. 5. Taux de change : Les taux d'intérêt peuvent également influencer les taux de change. Lorsque les taux d'intérêt d'un pays sont élevés, cela peut attirer des investissements étrangers et entraîner une appréciation de la devise nationale. À l'inverse, des taux bas peuvent décourager les investissements étrangers et entraîner une dépréciation de la devise nationale. En résumé, les taux d'intérêt ont un impact important sur l'économie en influençant l'investissement, la consommation, l'inflation, le marché immobilier et les taux de change. Les décisions des banques centrales en matière de taux d'intérêt sont donc cruciales pour orienter l'activité économique et maintenir la stabilité financière. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/chatgpt20/message
Les politiques monétaires ont une influence considérable sur l'économie. Elles sont mises en œuvre par les banques centrales pour contrôler la quantité de monnaie en circulation et les taux d'intérêt, afin de stabiliser l'économie et d'atteindre des objectifs économiques spécifiques. L'une des principales mesures de la politique monétaire est la fixation des taux d'intérêt. Lorsque les taux d'intérêt sont bas, cela encourage les emprunts et les investissements, ce qui stimule la demande économique et favorise la croissance. À l'inverse, lorsque les taux d'intérêt sont élevés, cela rend les emprunts plus coûteux, ce qui décourage les dépenses et ralentit l'activité économique. Les politiques monétaires peuvent également influencer la quantité de monnaie en circulation. Par le biais de l'achat ou de la vente d'obligations sur le marché ouvert, les banques centrales peuvent augmenter ou diminuer la quantité de monnaie en circulation. Une augmentation de la masse monétaire peut stimuler l'activité économique en facilitant les transactions et en encourageant les dépenses, tandis qu'une diminution de la masse monétaire peut freiner l'inflation et stabiliser l'économie. Enfin, les politiques monétaires peuvent également avoir un impact sur le taux de change d'une monnaie. En intervenant sur le marché des changes, les banques centrales peuvent influencer la valeur relative d'une monnaie par rapport à d'autres devises. Une monnaie plus faible peut stimuler les exportations en rendant les produits nationaux moins chers pour les acheteurs étrangers, tandis qu'une monnaie plus forte peut rendre les importations moins chères et favoriser la stabilité des prix. En résumé, les politiques monétaires ont une influence significative sur l'économie en modifiant les taux d'intérêt, la quantité de monnaie en circulation et le taux de change. Elles sont utilisées pour stimuler la croissance économique, contrôler l'inflation et stabiliser l'économie dans son ensemble. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/chatgpt20/message
Laissez un message vocal en réaction à ce podcast, c'est via notre répondeur Vodio.fr : un outil proposé gratuitement et généreusement aux podcasteurs par l'association BadGeek!Qui est Bruno Sbille : Bruno Sbille partage sa vie entre le monde du développement personnel et le monde de l'entreprise. Coach et thérapeute, il donne des consultations et anime des ateliers et des séminaires d'éveil personnel et spirituel. Il accompagne aussi les organisations qui souhaitent évoluer vers des structures plus porteuses de sens, que ce soit à l'aide des familles d'âmes ou de modèles tels que Agile, Scrum et Reinventing Organizations.Dans ce podcast :Explorez une expérience où travailler pour une entreprise peut changer radicalement votre vie et votre avenir. Lorsque la passion devient travail, que le sens et la cohérence s'entrelacent avec l'authenticité, un parcours inspirant se dessine. Bruno Sbille partage son voyage avec les auditeurs et auditrices d'hrmeetup.Entre mentors, ouvrages, recommandations et vagues RH motivantes, les professionnels des ressources humaines sont souvent confrontés à la réalité difficile de passer de la théorie à la pratique.Dans cet échange, nous explorons le parcours de Bruno Sbille, analysant les moments clés qui ont métamorphosé sa vie et propulsé sa carrière, faisant de lui un conseiller stratégique hors pair au sein des entreprises.Auteur de "À la Découverte des Familles d'Âmes" Bruno, coach et conférencier, révèle ses multiples facettes dans cette superbe capsule podcast.Découvrez comment une vision unique peut redéfinir votre approche des ressources humaines et inspirez-vous du récit authentique de Bruno Sbille.Liens : Son livreÀ la Découverte des Familles d'ÂmesLes familles d'âmes: c'est quoiLes formations Agile et Scrum que propose BrunoSur LinkedInGreen IT Belgium, le siteVidéos Frédéric laloux Insights for the JourneyConférence Frédéric LalouxScrum: le guideAgile: manifestoSéquençage du podcast :[00:00:19] Introduction et contexte de l'enregistrement[00:00:38] Du rêve d'adolescent à aujourd'hui[00:01:51] Le choix des études[00:02:36] La motivation[00:04:24] Rebondir et trouver l'employeur qui change tout[00:09:13] Un intérêt pour le développement personnel[00:10:10] Les différentes activités et propositions[00:11:54] Les émotions : un tabou au travail[00:13:04] Reinventing organizations : de la théorie à la pratique[00:14:59] Changer l'entreprise par ses composantes : les individus[00:16:32] Ne pas imposer, questionner[00:18:01] Faire de sa passion son métier[00:18:17] Les familles d'âmes : le livre[00:18:37] Des conférences[00:19:38] Une co-écriture[00:20:37] Date de la parution[00:21:01] L'agilité et bien plus[00:21:22] Un alignement au rêve plus tardif[00:21:44] Multilinguisme[00:22:07] À l'international[00:23:44] Intéresser les DRH[00:26:05] Le radar de l'âme[00:27:11] Première question de clôture : qu'est-ce qu'un bon RH ?[00:28:26] L'effet Waouh[00:29:42] Un message à passer à tous les DRH et tous les patrons[00:30:52] Un site internet[00:31:10] Où trouver le livre[00:31:36] Le futur, IA, Web3, faut-il en avoir peur ?[00:34:15] Clôture du podcast
Dieu a de bons projets pour vous et il veut que vous profitiez pleinement de votre vie. Il ne veut pas que vous viviez avec un esprit de désespoir, de dépression ou de découragement. La bonne nouvelle c'est que votre attitude ou la perception de votre situation peut changer lorsque vous vous tournez vers Dieu et le laissez vous relever. Le psalmiste dit : « Dieu est mon bouclier, ma gloire, Il relève ma tête ». Méditez sur cette phrase : « Il relève ma tête » Lorsque nous voyons quelqu'un marcher le dos courbé, nous en déduisons généralement qu'il est triste ou dépressif. Si vous êtes vous-même dans un état de dépression sachez que Dieu peut relever votre tête et vous redonner courage. Souvenez-vous, Dieu a un bon plan et un avenir rempli d'espoir pour chacun de nous. Parce qu'il est avec nous, nous pouvons penser et parler en accord avec sa volonté. Nous pouvons nous entrainer à garder une attitude positive dans chacune des situations qui surgit dans notre vie. Et lorsque nos circonstances apportent de nouveaux défis et difficultés, nous pouvons nous attendre à ce qu'il les transforme pour notre bien comme il nous le promet dans sa parole.
De la simple impression d'être sur un bateau qui tangue à la perte totale de la vision, le vertige peut être très inquiétant pour celui qui le vit. Certaines causes communes et sans risques expliquent le phénomène des vertiges, mais celui-ci se manifeste aussi parfois pour des raisons plus graves. Les mécanismes à l'œuvre dans les vertiges Notre équilibre est régi par le système vestibulaire, présent dans l'oreille interne. Celui-ci contient des canaux remplis de liquide, qui détectent les rotations de la tête dans chaque direction et aident l'organisme à coordonner son mouvement, sa vision et sa proprioception, c'est-à-dire la perception de la position du corps dans l'espace qui nous entoure. L'oreille interne comprend aussi des organes dits otolithes, qui réagissent aux variations de vitesse et de mouvement, ainsi qu'à la sensation de gravité. Ils transmettent des informations au cerveau pour lui permettre de situer le corps par rapport à la station verticale. Lorsque les signaux sont perturbés, le cerveau ne parvient pas à maintenir son équilibre et sa stabilité visuelle. En résultent les fameux vertiges, qui induisent une sensation de mouvement qui tourne ou de basculement. Les causes fréquentes des vertiges La cause de vertige la plus connue est sans doute la baisse de la tension artérielle. Elle se manifeste lorsqu'une personne assise ou allongée se relève, et que la pression artérielle chute soudainement. La personne ressent alors un étourdissement, voire une sensation d'évanouissement avec une forte perturbation de la vue. Ce vertige est généralement régulé dès que la personne retrouve une position allongée. La déshydratation est elle-aussi responsable de vertiges, pour la même raison puisqu'elle induit une diminution de la tension artérielle. L'hypoglycémie, qui traduit un manque de glucose dans le sang, s'accompagne souvent de vertiges lorsqu'une personne n'a pas mangé depuis longtemps, ou qu'elle présente du diabète. La sensation d'évanouissement s'accompagne alors de transpiration, de palpitation, de fatigue et de faiblesse musculaire. L'apport de sucres rapides permet généralement de résoudre cette situation. Les situations de stress induisent, chez certaines personnes, un dysfonctionnement du système nerveux autonome, qui perturbe l'équilibre et entraine l'apparition de vertiges. Les causes pathologiques des vertiges Parmi les troubles qui engendrent des vertiges, la névrite vestibulaire peut s'accompagner de nausées et de vomissements. Elle témoigne d'une inflammation du nerf vestibulaire, situé dans l'oreille interne. La maladie de Ménière affecte aussi l'oreille interne et se caractérise par des vertiges, une perte auditive aléatoire et des acouphènes. La sclérose en plaques, maladie inflammatoire chronique qui touche le système nerveux, perturbe la transmission des signaux. Elle touche fréquemment l'équilibre, occasionnant des vertiges chez la personne atteinte. La migraine peut aussi affecter l'oreille interne, notamment dans les cas de céphalée vasculaire qui induit des vertiges parfois même en l'absence de douleurs. Enfin, une ischémie, qui est une réduction de l'apport sanguin au cerveau, peut entrainer des vertiges. Ce symptôme peut alors annoncer un AVC, lorsqu'une artère est obstruée. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans cet épisode, je discute avec François Xavier COLLE des difficultés rencontrées par les établissements depuis plusieurs mois pour négocier leur contrat d'énergie. Entre inflation, modalités de contractualisation et dispositifs d'encadrement des prix à faire appliquer. De nombreux établissements deviennent déficitaires. Le coût de l'énergie y a souvent une responsabilité importante. Le Cèdre est un groupement d'achat qui regroupe 12000 adhérents dont de nombreux établissements médico-sociaux associatifs. Le Cèdre négocie des conditions et des remises commerciales pour ses adhérents. François Xavier a travaillé pour des fournisseurs d'énergie mais aussi comme directeur adjoint dans une association gestionnaire d'EHPAD pour la réhabilitation de bâtiments. Aujourd'hui, tous les établissements subissent l'augmentation des coûts et la difficulté de signer un contrat ne multipliant pas par 3 la facture. Il convient de préciser qu'aujourd'hui il n'existe pas de meilleure solution car l'achat d'énergie s'apparente à de la gestion de risque. Il faut anticiper l'achat sur les marchés et en gros avoir de la chance. Le monde de l'énergie est risqué car les prix ont été multipliés par 10 à 15 avec une répercussion très rapide sur les factures. Les augmentations sont multifactorielles : géopolitique, offre et demande, approvisionnement, ... En gros le marché est très volatil. L'énergie est vraiment un produit financier et non de la matière première. Lorsque l'on sollicite une offre auprès d'un fournisseur, le prix de l'énergie est basé sur le prix du jour. Un événement géopolitique peut avoir fait monter de 20% le coût la veille. Les établissements ayant signé pendant la covid ont eu des tarifs très bas pendant 3 ou 4 ans. Il ne s'agit que d'une question de chance ou de timing. Le risque est d'achever son contrat quand le prix est au plus haut. Malheureusement les contrats d'énergie ne peuvent pas être renégociés en cours de route. Et lorsque notre contrat s'arrête, ne pas signer un nouveau contrat coûtera encore plus cher. Il faut donc signer même si le prix est très haut. Une solution pour les établissements est de déléguer à un groupement d'achat pour acheter en volume et en répartissant les risques. Concrètement le groupement achète régulièrement pour avoir une moyenne des prix sur une période. Le groupement vise l'achat d'énergie lorsque le prix est à la baisse. L'idée est de lisser le prix sur la période. Les adhérents payent la moyenne des prix achetés pour l'année. Pour compenser les augmentations, des aides ont été mises en place : bouclier, amortisseur, aide au paiement des factures, ... Pour 2023 L'amortisseur se demande auprès du fournisseur. Les EHPAD pouvaient avoir des aides pour le gaz et l'électricité directement déduite de leur facture en 2023. Il faut avoir fourni une attestation au fournisseur d'énergie pour bénéficier des réductions. Les aides risquent de diminuer en 2024, les modalités seront connues via le projet de Loi de finance. Les établissements les plus impactés sont ceux ayant signé au quatrième trimestre 2022. Les prix ont ensuite baissé. Je remarque que les aides pour les ESMS ne sont pas du même niveau que pour les particuliers. Il y a donc une inégalité de traitement entre les citoyens...
Mon tout-petit, Ma toute-petite, J'accueille tes demandes pour les présenter au Père. Demeure en Paix. J'ai toutes ces situations bien en main, et tu seras de plus en plus témoin de Mon agir. Lorsque tes désirs Me sont présentés, J'en fais Mon agir. Parce que l'Amour nous aime, nous devenons l'amour!
Lorsque quelqu'un nous met en colère, Satan aime nous attaquer et faire en sorte que nous restions énervés. Réagir de façon positive est à l'opposé de ce que Satan aimerait nous voir faire car cela détruit tout ce qu'il avait mis en place pour que vous soyez en colère. Cela ne vient pas naturellement et ce n'est pas toujours très facile, mais lorsque nous faisons ce que nous pouvons faire, Dieu fait toujours ce que nous ne pouvons pas faire. Lorsque quelqu'un vous offense et vous met en colère, la réponse naturelle pour la plupart d'entre nous est de tenter de nous venger. Mais si vous le faites réellement, que gagnerez vous ? Ces personnes seront encore plus en colère et elles risqueront de vouloir se venger à leur tour. Cela devient un cercle sans fin. Nous sommes réellement insensés si nous souhaitons nous accrocher à notre colère ; Nous devons confier à Dieu ces personnes et la colère que nous ressentons et le laisser s'occuper de la situation. Faites confiance à Dieu et il s'occupera de vous et vous protègera. Vous ne pouvez changer ce qui s'est passé, mais lorsque vous donnez vos circonstances à Dieu, il s'en sert pour vous accorder un avenir meilleur.
durée : 00:04:22 - Le Reportage de la Rédaction - Dans les déserts médicaux, il devient de plus en plus difficile de se soigner. C'est notamment le cas en Seine-Saint-Denis, l'un des dix départements français où l'on compte moins d'un médecin pour 1 000 habitants. Reportage à Drancy, dans une association qui accompagne les patients.
durée : 00:04:22 - Le Reportage de la Rédaction - Dans les déserts médicaux, il devient de plus en plus difficile de se soigner. C'est notamment le cas en Seine-Saint-Denis, l'un des dix départements français où l'on compte moins d'un médecin pour 1 000 habitants. Reportage à Drancy, dans une association qui accompagne les patients.
Instagram est une source d'acquisition de clients pour moi comme pour beaucoup de solopreneurs et d'entrepreneurs. Mais ces derniers temps, la décision de recommencer à zéro trottait de plus de en plus dans ma tête. Tout a commencé suite au changement de la stratégie de contenu. Lorsque vous changez votre cible, votre positionnement et le style de vos contenus, attendez-vous à expérimenter une baisse d'engagement sur votre compte...parfois tellement drastique que vous avez l'impression d'avoir été "shadow banned". L'engagement sur Instagram est plus important que le nombre d'abonnés. C'est pourquoi j'ai décidé de refaire le chemin en créant une nouvelle page Instagram, sans pour autant supprimer l'actuelle. Dans cet épisode, je vous explique dans quels cas vous devez recommencer à zéro sur Instagram, dans quels cas ce n'est pas nécessaire (parce qu'il y a encore "espoir"). Bien sûr tous ces conseils sont basés sur mon expérience personnelle avec le compte @femmentrepreneurmag, qui a aujourd'hui des dizaines de milliers d'années. Ressources : - Le programme Audience Booster Académie : c'est par ici ABA - Le nouveau compte Instagram : @femmeentrepreneurmag Bonne écoute. --- Support this podcast: https://podcasters.spotify.com/pod/show/femme-entrepreneur/support
Le président-candidat en République démocratique du Congo Félix Tshisekedi accorde une interview exclusive à RFI et France 24. Il affirme que les financements pour la tenue de l'élection présidentielle du 20 décembre prochain seront assurés et que les délais seront respectés. Il se dit confiant, estimant que son bilan parle pour lui, et se refuse à commenter les discussions en cours au sein de l'opposition. Il commente l'arrestation du correspondant de Jeune Afrique, Stanis Bujakera. Pour la première fois, il admet que les tensions sécuritaires au Nord-Kivu empêcheront la tenue du scrutin dans le Rutshuru et le Masisi et accuse une nouvelle fois le président rwandais Paul Kagame d'être le véritable chef du M23. Félix Tshisekedi répond aux questions de Christophe Boisbouvier de RFI et de Marc Perelman de France 24. France 24 : Monsieur le Président, les élections sont bientôt, elles sont prévues le 20 décembre. On a entendu beaucoup de rumeurs sur un possible glissement. Est-ce que ce scrutin se tiendra bien le 20 décembre en temps et en heure ? Et deuxièmement, est-ce que le financement est là ? On a entendu le président de la Commission électorale dire qu'il manquait 300 millions de dollars. Félix Tshisekedi : Je crois que c'est plutôt à lui qu'il faut poser la question. Mais à ce stade, nous, le gouvernement, nous n'avons encore reçu aucune indication selon laquelle il n'y aurait pas d'élections. Tout porte à croire que ça va se passer le 20 [décembre], et j'en veux pour preuve encore sa dernière déclaration, lorsque tous les candidats ont répondu à l'invitation de la Céni pour signer le code de bonne conduite et faire les derniers réglages, on va dire. Pour ces élections, jusque-là, il n'y a pas de problèmes. Maintenant, ce qu'il reste à faire, évidemment les 300 millions il ne faut pas penser qu'ils viendront d'un coup, ce sera étalé jusqu'à la période électorale. Et en ce moment, ce que je sais, c'est que le gouvernement est attelé à des discussions avec la Céni pour trouver les voies et moyens d'y parvenir, mais il n'y a pas d'inquiétudes de ce côté-là, nous trouverons la solution. RFI : La campagne pour ces élections présidentielle et législatives débute ce dimanche matin et on sait qu'il y a de nombreuses interrogations, Monsieur le Président, sur la fiabilité du fichier électoral. L'opposition dit qu'il pourrait y avoir plusieurs millions d'électeurs fictifs. Est-ce que le scrutin pourra se dérouler sereinement ? On sait notamment qu'il n'y a pas eu d'audit indépendant de ce fichier… Dans quel but inventerait-on des électeurs fictifs ? Dans quel but ? Je ne comprends pas très bien quelle est la revendication de l'opposition. Pour moi, c'est un débat d'opposants, de gens qui ne sont sûrement pas prêts à aller aux élections, parce qu'à plusieurs reprises, ils ont demandé le report de ces élections, ils ont demandé un dialogue, alors qu'il n'y a pas de crise politique, que je sache, dans le pays, et je ne comprends pas très bien quelle est la revendication dans ce sens de l'opposition. Et en plus, la Céni a fait, a organisé, un audit du fichier avec des personnalités venues de tous bords, des personnalités crédibles dont la réputation n'est pas à remettre en cause, la probité n'est pas à remettre en cause. RFI : Il y a la question des électeurs de l'Est, et notamment du Nord-Kivu. Le 20 octobre, en conseil des ministres, vous avez appelé le gouvernement et la Céni à tout mettre en œuvre pour que tous les Congolais puissent voter, compte tenu de ce que vous avez appelé la « libération progressive des territoires de Masisi et du Rutshuru », au Nord-Kivu. Mais depuis, les rebelles du M23 ont repris du terrain. Est-ce que cela veut dire que le vote ne pourra pas se tenir dans ces deux territoires ? Malheureusement. Malheureusement pour Rutshuru et pour Masisi, je ne crois pas que cela pourra se faire. Mais qu'à cela ne tienne, nous allons continuer nos efforts pour libérer ces localités, ramener nos compatriotes dans leurs localités d'origine et imposer cette paix. Mais en même temps, il y a le processus électoral qu'il faut continuer à mener à son terme. France 24 : 26 candidats pour la présidentielle sur la ligne de départ – on verra combien seront à l'arrivée –, c'est une élection à un tour, est-ce que la dispersion des candidatures de l'opposition fait de vous le favori logique de ce scrutin ? Je reste serein, modeste. Ce qui se passe dans l'opposition, ce n'est pas mon problème. Nous vivons dans un pays où il y a une vitalité démocratique certaine et tant mieux, j'allais dire, pour la démocratie. Maintenant, si leur stratégie c'est de se mettre ensemble ou d'y aller dispersé, ce n'est pas mon problème, comme je le disais. Moi, je reste concentré sur ma tâche, sur ma mission que j'ai commencée il y a maintenant cinq ans et que je veux proposer à mes compatriotes pour à nouveau avoir leur confiance. Ce qu'ils font dans l'opposition, c'est leur problème, pas le mien. France 24 : Mais vous vous sentez favori ? Bien sûr, sinon je n'aurais pas demandé à rempiler. Je crois que j'ai fait du bon travail. C'est vrai que beaucoup de choses restent encore à faire, mais le Congo revient de loin, ça il faut le reconnaître. Tous ceux qui viennent aujourd'hui après cinq ans de ma présidence – presque cinq ans – me le disent très clairement, les choses ont vraiment évolué dans le bon sens et même les paramètres à l'international le prouvent. Je fais ici allusion aux agences de notation, qui nous ont maintenant attribué la note de triple B, par exemple. Donc c'est pour vous dire que les choses évoluent dans le bon sens. Elles ne demandent qu'à être consolidées. RFI : En 2018, vous n'êtes pas parvenu à faire une candidature commune de l'opposition et vous êtes bien placé pour le savoir. Cette année, pensez-vous que ce sera pareil et que chaque candidat de l'opposition aura un ego trop fort pour se désister en faveur de son voisin ? Mais pourquoi voulez-vous que je vous dise absolument que j'ai peur d'une union de l'opposition ? Non. Ils peuvent amener les scenarii qu'ils veulent – unis, désunis –, ils ne m'inquiètent pas, ils ne me font pas peur. Je vous ai dit que j'ai confiance dans mon bilan, nous avons fait des choses. Je ne sais pas si vous étiez déjà à Kinshasa il y a deux jours quand j'ai fait mon discours sur l'état de la nation, donc vous avez dû suivre ce bilan et je crois quand même que vous avez pu comprendre qu'il y a eu beaucoup de choses de faites. Le Congo revient de loin, le Congo est sur une très bonne lancée et le peuple ne demande qu'à continuer sur cette lancée. France 24 : Vous défendez votre bilan devant nous, vous l'avez fait devant le Parlement, certains de vos opposants, évidemment, ne sont pas d'accord. Moïse Katumbi… C'est le rôle de l'opposition. France 24 : Oui, mais peut-être que les critiques peuvent être fondées. Par exemple, Moïse Katumbi parle de coupures d'électricité incessantes. Martin Fayulu et Denis Mukwege dénoncent la corruption des élites du pays, est-ce que c'est de la pure opposition ou est-ce que, malgré tout, oui il y a des coupures d'électricité, oui il y a de la corruption ? Les coupures d'électricité, ce n'est pas nouveau. Ce que nous, nous faisons, c'est d'essayer de juguler justement ces coupures intempestives et nous le faisons en renforçant les capacités des barrages d'Inga et de Zongo 2. Je viens d'ailleurs d'inaugurer une centrale électrique là, maintenant, qui va desservir une dizaine de communes dans Kinshasa et ça fait des millions de consommateurs, de clients, qui vont pouvoir maintenant être raccordés au réseau électrique. Donc nous essayons de juguler cela. Lorsque, moi, je suis arrivé à la tête de ce pays, il n'y avait que 9% de ménages dans la population qui avaient accès à l'électricité. Aujourd'hui, nous tournons autour de 20% et l'objectif, c'est d'aller encore beaucoup plus loin. Donc eux, ils peuvent parler, d'accord. Moïse Katumbi, il a été gouverneur de la province du Katanga, qui à l'époque n'était pas encore divisée en quatre morceaux, mais qu'est-ce qu'il en a fait ? Je parlais d'ailleurs récemment de l'aéroport international qui est en train d'être construit, qui est déjà d'ailleurs terminé, à Kolwezi. Il a été gouverneur pendant neuf ans, il n'a même pas pensé à construire un aéroport international dans la capitale mondiale du cobalt. Aujourd'hui, des gens, des investisseurs, pourront venir de partout, sans devoir passer par Lubumbashi et chercher des petits cercueils volants pour arriver à Kolwezi. Ils vont venir directement avec leur jet privé ou leur avion régulier sur Kolwezi. J'ai des tas d'exemples comme ça qui peuvent démontrer que je n'ai aucune leçon à recevoir de Moïse Katumbi. France 24 : Il y a une affaire qui défraie la chronique, celle du correspondant de Jeune Afrique, Stanis Bujakera. Il est détenu depuis deux mois en prison. Il est accusé de diffusion de fausses informations et il risque dix ans de prison. Il est accusé d'être à l'origine d'un rapport interne de l'ANR, les services secrets, mettant en cause les renseignements militaires dans le meurtre, au mois de juillet, de Chérubin Okende, qui est un proche de Moïse Katumbi. Le journaliste et l'association Reporters sans frontières nient toute manipulation de cette nature. Monsieur le Président, pourquoi tant d'acharnement contre un simple journaliste ? Je ne suis ni à l'origine de son arrestation, ni en train de tirer les ficelles pour qu'on enfonce Stanis Bujakera. Je ne peux pas intervenir. Je n'interviendrai que peut-être plus tard, s'il est condamné, ou quoi, pour une amnistie, une grâce, ou que sais-je. Si… Mais à ce stade, je n'ai rien à dire. Je suis le premier à être peiné par ce qu'il lui arrive. Mais j'ai aussi en même temps besoin de savoir ce qu'il s'est passé. Parce que je sais qu'en ce qui concerne le malheureux Chérubin Okende, ni mon régime, ni un de mes proches, qui qu'il soit, n'y est ni de près ni de loin lié. Je n'avais aucun intérêt à donner la mort à ce compatriote, parce que d'abord, remarquez, il était le porte-parole d'Ensemble [Ensemble pour la République, la coalition pro-Katumbi], il n'a jamais pris la parole, il ne gênait en rien le régime. Et quand bien même il y en a qui gênent, plus que ça, qui profèrent des injures, des menaces, qu'est-ce qu'il leur arrive ? Et pourquoi on s'en prendrait à Chérubin, le pauvre ? Pourquoi chercherais-je à lui ôter la vie ? Ça n'a pas de sens. Donc pour moi, c'était aussi une curiosité, je voulais savoir : mais qu'est-ce que c'est ? Pourquoi est-ce qu'on a voulu faussement attribuer aux services de renseignements la responsabilité de la mort de Chérubin ? France 24 : Est-ce que ce journaliste est responsable de ça ? Non, le journaliste, on peut l'avoir manipulé en lui faisant croire que c'était une information de première main, et ensuite, on désoriente les enquêteurs, c'était peut-être ça le but. France 24 : Il y a un mois, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, et son envoyé spécial dans la région ont parlé devant le Conseil de sécurité des Nations unies et ils disent craindre une guerre directe entre le Rwanda et la RDC. Oui, mais à cause de qui ? France 24 : Je ne veux pas entrer dans la cause. Vous devez entrer dans la cause. France 24 : On y viendra. Mais d'abord, est-ce que vous partagez cette crainte ? Vous parlez de craintes, les craintes sont là, d'accord, mais à qui la faute ? Nous, nous sommes les victimes. France 24 : Est-ce qu'on est au bord d'une guerre, Monsieur le Président ? Moi, je n'exclus aucun scénario. Nous sommes les victimes. Je viens de vous parler de millions de gens qui, en ce moment, vivent dans des conditions infrahumaines. Qui ont été obligées, sinon elles allaient se faire massacrer, de quitter leurs localités pour venir vivre aux abords de Goma dans des conditions infrahumaines. Alors, quel est l'État qui peut accepter ce genre de choses ? On n'a pas à regarder dans notre direction, il faut regarder dans la direction de ceux qui sont coupables de cette agression, de cette situation. Et nous, nous disons, après avoir appelé plusieurs fois la communauté internationale à intervenir par des sanctions contre le Rwanda, si celles-là tardent à venir, nous allons nous protéger nous-mêmes, nous allons utiliser nos propres moyens pour nous défendre, défendre nos populations. France 24 : Y compris par les armes ? À votre avis, comment est-ce qu'on pourrait faire autrement que par les armes ? France 24 : Combien de soldats rwandais, d'après vos informations, sont sur le sol congolais ? Des milliers. France 24 : Des milliers ? Oui, ils sont là par milliers. France 24 : Est-ce que Paul Kagame, pour vous, est le véritable chef du M23 ? Bien sûr. D'abord, le M23, c'est une coquille vide. Ce sont les RDF [Forces rwandaises de défense, NDLR] qui se battent et nous en avons les preuves. Parce qu'aujourd'hui, avec les armes que nous avons, la technologie que nous avons, nous les voyons, nous avons des images. Je ne parle pas en l'air. Je parle sur la base de faits avérés. Les images sont là, de leurs cadavres et même lorsqu'ils s'amoncellent pour porter leurs attaques. Nous avons tout et pas que nous, l'ONU, les Nations unies, ont aussi les mêmes images. N'oubliez pas que la mission de la Monusco est encore à l'est du pays, à Goma. RFI : Début octobre, des milices patriotiques congolaises, les fameux Wazalendos, soutenus par votre armée, ont reconquis une partie du Masisi, notamment autour de Kitshanga. Mais depuis, le M23 a repris le terrain perdu, il menace à nouveau des localités, les villes de Sake et bien sûr de Goma, c'est donc un échec ? Ils ne prendront pas Goma. Retenez-le, ils ne prendront pas Goma. RFI : Pourquoi ? Parce qu'il y aura une réplique de notre part. RFI : Mais là, quand même, il y a eu un échec non ? Oui, mais des Wazalendos, c'est normal. Qui sont les Wazalendos ? Ce sont des patriotes, des civils au départ, des gens qui ont décidé de défendre corps et âme les intérêts de leur communauté, parce qu'en son temps, ils n'avaient pas confiance en l'armée, ils ne pensaient pas que l'armée était capable de les protéger, donc ils ont pris leur courage à deux mains et se sont engagés dans ce combat. C'est même héroïque. On l'a vu en Ukraine, des Ukrainiens qui étaient de la société civile ont juste évacué leur famille et ont décidé de prendre les armes, d'être formés. Pourquoi est-ce que c'est valable quand ça se passe en Ukraine et quand c'est au Congo, on qualifie les Wazalendos de forces négatives ? Ce sont des Congolais qui ont décidé de se battre contre l'agression dont ils sont victimes, d'une agression injuste et barbare. RFI : Avec le soutien des FARDC, de votre armée ? Bien sûr. Là où les FARDC peuvent les soutenir, s'ils sont dans leur giron, l'ordre est donné pour que celles-ci les soutiennent. Je ne m'en cache pas, parce que ce n'est pas un crime qu'ils commettent. Ils défendent leur patrie, avec raison et courage. Ce sont des héros, pas des criminels comme le M23 et les RDF du Rwanda. France 24 : Pour tenter de retourner la situation en votre faveur, vous avez aussi eu recours à des compagnies de sécurité occidentales, une française, Algemira, une roumaine, Congo protection. Bien sûr. C'est pour renforcer les capacités. Ce sont des experts, attention, ce sont des experts, qui ont eux-mêmes eu des carrières de forces spéciales, de commandos, etc. Et dont la mission est de renforcer les capacités des Forces de défense en situation réelle, sur le terrain. France 24 : En se battant ? Bien sûr. Ils doivent être à nos côtés. France 24 : Ils sont combien ? 900 ? Par là. Un bon millier peut-être. France 24 : Quand il y a des sociétés de sécurité étrangères, d'où que ce soit, qui viennent, qui se battent, qui sont nombreuses, on appelle ça des mercenaires. Qu'est-ce que vous appelez se battre ? Parce que, quand je vous dis qu'ils sont en situation réelle, qu'ils sont sur le terrain, ils coachent. Est-ce qu'un coach de football joue avec son équipe ? Pourtant, il est sur le terrain, il voit ses joueurs jouer, il est là. Les joueurs sont là en train de jouer et lui, il coache. Ce sont des coachs, si vous voulez une image. France 24 : Pas des mercenaires ? Non, ce ne sont pas des mercenaires. Les mercenaires, ils n'ont pas de statut social. Vous avez parlé de la société Algemira, donc c'est une société, une personne morale reconnue, dont l'adresse est connue, dont les activités sont connues, alors pourquoi parler de mercenaires ? C'est une activité qui est connue et qui est légalement acceptée dans les pays où ces sociétés sont enregistrées, sinon il y aurait déjà eu des poursuites contre eux, non ? Vous n'êtes pas d'accord avec ça ? Ce ne sont pas des mercenaires. RFI : Vous avez aussi remis en état de marche une flotte d'avions et d'hélicoptères – d'avions de chasse et d'hélicoptères armés, bien sûr –, vous attendez trois drones chinois, est-ce que vous comptez sur ces nouveaux moyens, ces renforts… Vous êtes bien renseigné, vous. RFI : … pour peut-être obtenir une victoire de prestige avant le 20 décembre ? D'abord, nous ne les attendons pas, ils sont déjà là, les drones. Ils sont là depuis quelque temps. RFI : Des drones d'attaque ? Bien sûr. Qu'est-ce qu'il y a de mal ? RFI : Est-ce que vous comptez sur ces nouveaux moyens pour avoir une victoire militaire de prestige avant le 20 décembre ? Non, je ne joue pas avec ça. Moi, je ne fais pas de politique politicienne. Pas du tout. Moi, je défends les intérêts de mon pays et de mon peuple et je les défends avant, pendant, ou après les élections. Je vous ai dit que pour Rutshuru, pour le Masisi, c'était mort pour les élections en ce moment. Je l'avale avec difficulté, mais je l'avale. Mais cela ne va pas nous pousser à baisser les bras. Donc l'urgence s'impose. Nos populations sont dans des conditions inacceptables. Il faut les ramener chez elles. Et donc, même pendant le processus électoral, des efforts pour les ramener vont continuer. Donc vous voyez que ce n'est pas lié du tout à un résultat quelconque qu'il faudrait avoir avant le 20 décembre.
Cette semaine, on va parler de la culpabilité qu'on peut ressentir lorsque l'on dit “non” à notre enfant. Lorsque ce “non” provoque chez eux de la tristesse ou de la frustration, la culpabilité est d'autant plus présente et bien souvent elle nous pousse à nous remettre en question. Alors que faire ? Accepter que notre enfant soit triste ? Trouver une autre solution ? Formuler un “oui” avec lequel on est en réalité pas très à l'aise ? On en discute avec le témoignage d'Edwige, maman de deux enfants de 5 et 8 ans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Alors que ce mardi 14 novembre marque la journée internationale du diabète, zoom sur l'Asie du Sud-Est. Avant la crise sanitaire, les chiffres étaient déjà alarmants : Les habitants d'Asie du Sud-Est représenteraient près de 20% des plus de 460 millions de personnes souffrant du diabète dans le monde. En Malaisie, le corps médical et les autorités tentent de trouver des solutions pour renverser la tendance. Entre éducation, et taxe sur le sucre... À l'occasion d'un déjeuner au restaurant, Reme, la cinquantaine, regarde attentivement la carte de l'établissement. Ce Singapourien, résidant en Malaisie depuis des années, est diabétique : « Je buvais toujours beaucoup de coca. Je me réveillais, j'en buvais, je déjeunais, je dînais, j'en buvais aussi… Ça me suivait vraiment partout et tout le temps. Et puis soudainement, un jour, je devais aller aux toilettes toutes les demi-heures ! Donc après un moment, je me suis demandé "mais pourquoi je dois aller aux toilettes aussi souvent". Et depuis, je dois régulièrement prendre ma pression artérielle, et vérifier mon taux de cholestérol et tout ce qui va avec », explique-t-il.En Malaisie, les médecins pointent surtout du doigt le diabète de type 2. Il représenterait 95% des cas de la maladie. Lorsque le corps, n'est plus sensible à l'action de l'insuline. En cause principale : la surcharge pondérale et la sédentarité. Ce qui ne surprend pas Remy. « Avant, on marchait jusqu'à l'école, c'est ce que je faisais. Mais maintenant, les parents t'emmène en voiture, on peut prendre le train, ta nourriture peut être commandée et envoyée jusqu'à ton domicile ».À lire aussiDiabète: 500 millions de personnes touchées dans le monde« L'âge des patients atteints de diabète rajeunit de plus en plus »Face à l'augmentation des cas de diabète, le gouvernement malaisien a décidé d'augmenter à nouveau la taxe sur le sucre, passant de 40 à 50 sen le litre. L'argent soutiendra la lutte contre le diabète, et notamment les centres de dialyse, selon le Premier Ministre.Mais selon plusieurs associations, cela ne suffirait pas à décourager la consommation. Dans son cabinet à Kuala Lumpur, le Dr. Tan Wan Shin a toujours l'habitude de diagnostiquer la maladie et les patients sont moins âgés qu'auparavant. « L'âge des patients atteints de diabète rajeuni de plus en plus parce qu'avec toutes les technologies qui arrivent d'un coup, les gens deviennent davantage sédentaires. Le métabolisme commence à se réduire et pourtant on mange de plus en plus d'aliments transformés. C'est pour cette raison que les patients deviennent de plus en plus jeunes. En fait, tout le monde peut souffrir de diabète donc il faut faire davantage de prévention, diagnostiquer… Mais pas vraiment au sens où on l'entend, c'est-à-dire détecter le plus tôt possible l'insuline « rapide ». On peut le vérifier dans le sang : trop haut, ça signifie que tu as une résistance à l'insuline, c'est le mécanisme principal qui mène au diabète », indique-t-elle.Le diabète peut aussi entraîner d'autres problèmes de santé comme des maladies rénales et cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, ou encore une cécité. Selon Azizan Binti Abdul Aziz, présidente de la Malaysian Medical Association, les Malaisiens doivent aussi contrôler régulièrement leur santé. « Si vous allez dans les cliniques publiques et les hôpitaux, vous allez voir qu'il y a énormément de posters, beaucoup de choses qui essayent d'éduquer les gens. Pour moi, ça ne devrait pas être une problématique de savoir si vous avez du diabète ou pas. Si les patients prenaient l'habitude de faire un contrôle médical tous les ans, ce serait super, et vous pouvez même détecter vos problèmes de santé beaucoup plus tôt, si quelque chose ne va pas. À moins que vous n'ayez pas accès à des contrôles médicaux pour les travailleurs ou autre, ça ne devrait pas être une excuse », dit-elle. En Malaisie, on estime que près d'une personne sur 5 serait atteinte de diabète, une partie ignorerait en souffrir.
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Lorsque les projecteurs des Jeux olympiques de Paris 2024 s'éteindront le 11 août prochain, la fête ne sera pas finie, loin de là : le match retour débutera le 28 août avec le lancement des Jeux paralympiques, avec quatre jours de relais de la flamme auparavant. Le parcours vient d'être dévoilé et on en parle avec Florent Manaudou, quadruple médaillé olympique (or en 2012 sur 50 m, trois fois en argent en 2016 et 2021), nommé en juin parmi les quatre parrains et capitaines du relais de la flamme olympique. Ecoutez L'invité de RTL Midi du 10 novembre 2023 avec Agnès Bonfillon et Stéphane Carpentier.
En Corée du Sud, le nombre de personnes ayant cherché à se faire soigner pour une dépression a dépassé le million pour la première fois, d'après un rapport de l'assurance maladie. Une augmentation de 32% depuis 2018. Si toutes les catégories de la population sont touchées par ce phénomène, les femmes dans la vingtaine sont les premières affectées. En cause, la pression du système scolaire sud-coréen ainsi que les difficultés à trouver un emploi stable pour les jeunes diplômés. De notre correspondant à Séoul,Comme un million d'autres Sud-coréens, Lee Mirae suit un traitement à base d'antidépresseur. À 23 ans, cela fait maintenant deux ans qu'elle a été diagnostiquée par un médecin pour sa dépression. Une pathologie qui remonte directement à son expérience du système scolaire sud-coréen.Le Suneung, l'examen national d'entrée aux universités sud-coréennes, est réputé pour son extrême difficulté et la pression qu'il impose sur ses candidats. En Corée du Sud, où l'excellence prime, il est admis que le résultat de ce test est déterminant pour la vie de chacun. Lee Mirae raconte la pression engendrée par l'examen : « Je n'ai pas été acceptée dans l'université que je voulais parce que j'ai raté l'examen. Mon anxiété est devenue si forte que j'avais peur de sortir de ma chambre. J'avais tellement peur d'être comparée aux autres pour le reste de ma vie, détaille la jeune femme. À chaque fois que je révisais, je me disais : "Pourquoi est-ce que j'essaie de faire quelque chose dans lequel je vais échouer ? Ma vie est gâchée." Lorsque j'ai réalisé que le simple fait de regarder le logo du site web du cours en ligne suffisait à me faire paniquer, j'ai décidé de consulter un psychologue. J'étais une enfant naïve qui a cru ce que la société et les parents nous disent, que cet examen déterminerait toute ma vie. »La dépression, une maladie « honteuse »Dans la société sud-coréenne, la santé mentale est un sujet encore difficile à aborder. Entre honte et tabou, les malades doivent souvent affronter seuls leur dépression. Lee Mirae témoigne des réactions de ses proches. « La dépression reste un tabou, même si on en parle beaucoup sur YouTube par exemple, dans la vraie vie cela reste difficile à aborder. Les gens restent conservateurs sur ces sujets-là. Quand j'ai consulté un psychologue pour la première fois en 2021, mes parents ont été choqués et en colère. Quand j'ai mentionné à un autre étudiant que j'avais consulté un psychologue et pris des médicaments, j'ai été traitée comme une folle. »La pression scolaire n'est pas le seul facteur de dépression, la recherche d'un emploi chez les jeunes diplômés s'avère particulièrement éprouvante, c'est le cas de Kang Minji, 26 ans : « Cela fait deux ans que je suis à la recherche d'un emploi, j'ai l'impression que c'est sans fin. C'est très stressant. J'ai perdu confiance en moi et j'ai commencé à avoir de l'anxiété, des troubles dépressifs. Cela a fini par me bloquer dans ma recherche de travail, ce qui me stresse encore plus. C'est un cercle vicieux. Je ne pouvais pas gérer ça toute seule alors, j'ai commencé récemment à consulter un médecin et je prends des anxiolytiques. Mais c'est assez dur de trouver des rendez-vous et cela coûte cher pour quelqu'un sans emploi comme moi. »Si le nombre de patients atteint de dépression augmente, la Corée du Sud est en grand manque de psychiatres. Le pays est le troisième pire élève de l'OCDE avec moins d'un psychiatre pour 10 000 habitants.À lire aussiEn Corée du Sud, les jeunes ne veulent plus se sacrifier pour leur travail
Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l'audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien. Un nom célèbre, entré dans l'imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l'homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu'à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu'ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n'est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l'ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L'analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l'histoire de cette grande figure de l'Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s'exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l'histoire militaire. C'est loin de sa patrie d'origine qu'il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s'apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d'Africains et d'Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline
durée : 00:04:18 - Le Reportage de la Rédaction - Dans les déserts médicaux, il devient de plus en plus difficile de se soigner. C'est notamment le cas en Seine-Saint-Denis, l'un des dix départements français où l'on compte moins d'un médecin pour 1 000 habitants. Reportage à Drancy, dans une association qui accompagne les patients.
Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l'audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien. Un nom célèbre, entré dans l'imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l'homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu'à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu'ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n'est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l'ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L'analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l'histoire de cette grande figure de l'Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s'exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l'histoire militaire. C'est loin de sa patrie d'origine qu'il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s'apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d'Africains et d'Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline
Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l'audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien. Un nom célèbre, entré dans l'imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l'homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu'à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu'ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n'est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l'ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L'analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l'histoire de cette grande figure de l'Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s'exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l'histoire militaire. C'est loin de sa patrie d'origine qu'il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s'apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d'Africains et d'Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline
Hannibal Barca. Un nom qui fait rêver, qui nous fait traverser les Alpes et galoper à travers les plaines italiennes. Hannibal le Carthaginois, celui qui a fait trembler le peuple romain, et qui a eu l'audace incroyable de franchir les hautes murailles alpines pour venir porter le combat sur le sol italien. Un nom célèbre, entré dans l'imaginaire populaire. Mais que savons-nous de l'homme ? Peu de choses, en réalité, du moins jusqu'à ces dix dernières années. Récemment, des archéologues et des historiens se sont penchés sur son cas, et se sont évertués à démêler le vrai du faux le concernant. Héros pour les uns, il est une véritable figure de cauchemar pour les enfants romains, agitée devant leurs yeux effrayés à chaque fois qu'ils commettent une bêtise, un peu à la façon de notre croque-mitaine. Et ce n'est pas un hasard si Thomas Harris a donné ce nom à son tueur en série, Hannibal Lecter, un criminel cruel et sans pitié devenu un agent des services de police, à la fois intelligent, cultivé et implacable. Cet Hannibal-là a, durant un temps, emprisonné dans l'ombre le vrai Hannibal. Alors, qui est-il vraiment, cet Hannibal Barca ? Un tueur en série ? Un massacreur ? Ou bien un fin stratège, un habile tacticien et un grand chef de guerre ? L'analyse attentive des sources antiques et les résultats des fouilles archéologiques permettent de réécrire l'histoire de cette grande figure de l'Histoire. Peu à peu, les vieilles certitudes et les clichés sont remis en question, pour dessiner un portrait plus réaliste du général carthaginois. Né durant la première Guerre Punique, il est très tôt contraint de s'exilé avec son père, Hamilcar, une autre illustre figure de l'histoire militaire. C'est loin de sa patrie d'origine qu'il grandit, au beau milieu des soldats de son père, et se familiarise avec la vie dure et disciplinée des hommes de guerre. Il ne rêve que de batailles, de conquêtes, de gloire et de richesses. Son père surveille étroitement son éducation militaire, et lui transmet sa haine des Romains. Lorsque ce dernier disparaît brutalement, Hannibal lui succède à la tête de son armée. Lui vient alors une idée folle, audacieuse, périlleuse, voire suicidaire : attaquer les Romains sur leur propre sol, en passant par les Alpes. Il s'apprête donc à faire franchir à une armée entière, composée d'Africains et d'Ibères, ces immenses murailles, avec des armes, des vivres et des éléphants, les animaux de guerre privilégiés des Carthaginois. Mission impossible ? Une émission écrite par Laetitia Faure pour Timeline
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Dans ce nouvel épisode, je m'attaque à un sujet épineux : “Peut-on apprendre le français sans étudier la grammaire ?”. Il existe plusieurs avis à ce sujet et je vais te partager le mien en me basant sur mon expérience en tant que professeure de français depuis 15 ans mais aussi en tant qu'étudiante de langues étrangères. Depuis le temps que je suis dans le monde des langues étrangères, j'ai eu le temps d'analyser et de collecter assez d'informations pour te faire un vrai compte-rendu à ce sujet. La grammaire est-elle vraiment indispensable ? Premièrement, il faut savoir que la grammaire française a été complexifiée volontairement par l'Académie française pour la rendre moins accessible aux femmes (il fallait s'en douter
Ce lundi 30 octobre en Russie, c'est la journée annuelle du souvenir des victimes de la répression politique. Dans un pays où on accélère le retour des statues de Staline dans l'espace public, où on réécrit les manuels d'histoire avec l'objectif affiché de montrer le dirigeant soviétique sous un jour « positif », le souvenir des victimes, des purges et des goulags est une flamme de plus en plus petite que les descendants tentent malgré tout de préserver. Reportage à Moscou et Saint-Pétersbourg. De notre correspondante à Moscou,C'est une entrée banale d'immeuble dans une rue passante du centre-ville de Saint-Pétersbourg. Il faut connaître l'histoire de ce 19 rue Pouchinskaya ou y être guidé, pour avoir l'œil attiré par trois plaques en acier de 11 sur 19 centimètres, juste au-dessus de la sonnette sur le mur. Sur chacune, un petit carré vide comme une photo manquante sur une pièce d'identité, et quelques lignes gravées, comme celles-ci : « À la mémoire d'Anatoly Gadzevich, ingénieur né en 1895. Arrêté en août 1937, fusillé en novembre de la même année, réhabilité en 1964. » Il s'agit de l'une des toutes premières plaques installée dans la ville par le mouvement citoyen « Dernière adresse ». Un collectif d'historiens et défenseurs des droits de l'homme lancé il y a 10 ans en collaboration avec Mémorial (ONG dissoute le 28 décembre 2021 par la justice russe) pour signaler les dernières adresses de ces hommes et de ces femmes broyés par la répression sous Staline.L'un de ces militants, un des rares encore présents en Russie et décidé à s'exprimer, est Boris Vichnievsky. Sous le porche de l'immeuble, ce député Labloko (parti d'opposition) de l'assemblée locale de Saint-Pétersbourg précise : « Il faut prêter attention à cette caractéristique si triste : c'est que presque toutes ces plaques ont un très petit écart entre la date à laquelle la personne a été arrêtée et celle à laquelle elle a été abattue. Ici, c'est en moyenne entre un mois et à peu près trois mois. Cela signifie qu'il n'y a pas eu d'enquête ou de procès normaux. Les gens ont simplement été fusillés, très souvent à l'issue de décisions de soi-disantes troïkas ou de réunions spéciales. Les trois plaques de cette adresse marquent un pic de répression, la fin de l'année 1937, 1938, lorsqu'un grand nombre de personnes ont été tuées sans aucune preuve de leur culpabilité. »Artistes, ingénieurs, ouvriers, célèbres ou inconnus à leur époque ou aujourd'hui… Aux descendants de ceux qui ont ensuite été réhabilités – et seulement ceux-là –, « Dernière adresse » continue de proposer ces lieux de mémoire pour les familles comme pour l'histoire du pays. Faire perdurer la mémoire pour l'honneurNicolas Zikov reçoit dans l'appartement familial à Saint-Pétersbourg. Ce conservateur de musée raconte l'histoire de sa famille, l'une des rares où malgré le couvercle de la peur, la répression n'a jamais été tue. Son arrière-grand-père et son grand-père en ont été victimes. « J'ai 46 ans maintenant », dit-il dans un français parfait. « Je suis donc deux fois plus âgé que mon grand-père qui est mort à 23 ans. » La famille Zikov s'est toujours battue pour réhabiliter la mémoire des hommes déportés au goulag.« Dans ma famille, on a toujours su que les arrestations n'étaient pas dues à quoi que ce soit que quelqu'un ait pu faire, raconte Nicolas Zikov. Que ce sont des régimes politiques qui en sont à l'origine, mais pas des faits. Ce n'était même pas une question de tout faire pour essayer d'aider mon arrière-grand-père dans le camp. Quand ma famille a réussi à trouver où il était, elle a envoyé chaque semaine un colis avec de la nourriture, du thé, des cigarettes, des vêtements. Chaque semaine, elle a envoyé, envoyé, envoyé... Nous avons désormais retrouvé une partie de ces courriers, c'est une grande boîte de centaines de cartes postales. J'ai hérité de cette boîte, et je la garde, comme un lien que personne ne peut couper. » Sa grand-mère sous l'Union soviétique s'est aussi saisie de chaque moment, chaque interstice possible, pour parler de la mémoire des hommes déportés de la famille.C'est que, tout autant que le souvenir à préserver d'un ancêtre emporté par l'immense violence de l'histoire, c'est une question d'honneur : le qualificatif de « traître » ou d' « ennemi du peuple » donné sous Staline ou attribué aujourd'hui, reste marqué du sceau de la honte et de l'opprobre social.« Deux plaques ont été faites pour mes deux ancêtres au tout début du mouvement "Dernière adresse", détaille Nicolas Zikov. « Mon arrière-grand-père était très connu, il était le mari d'Akhmatova [Anna Akhmatova est une des plus grandes poétesses russes du XXe siècle, NDLR], un très grand historien d'art et ami notamment de Malévitch [peintre russe, un des premiers de l'art abstrait], arrêté en 1949 quand il avait 60 ans. Il est mort en 1953 ; nous avons retrouvé sa tombe en 1980 dans la région de Komi, dans ce qu'on appelle le "cercle de l'enfer des goulags". Mon grand-père est lui né en 1920 et il a été arrêté en septembre 1941 pendant la guerre alors qu'il faisait son service militaire. Il est mort en 1943 dans un camp près de Koursk. Pendant toute la guerre, jamais notre famille n'a su qu'il avait été arrêté, on pensait qu'il avait disparu. Il a fallu attendre 1990 pour qu'on sache ce qui s'était passé. »C'est la mère de Nicolas Zikov qui s'est lancée dans les recherches et a fouillé les archives jusqu'en Sibérie à Irkoutsk. Son père n'a pas de tombe. Les morts aux goulags ont pu être jetés dans des fosses communes, les traces ensuite effacées, parfois au tracteur. La plaque, dit Nicolas Zikov, « c'est un petit signe pour dire qu'il a existé ».À écouter aussiSérie La Marche du monde – Les voix du goulagPlus de 1 200 plaques dans toute la Russie« Dernière adresse » compte à son actif aujourd'hui 434 plaques à Saint-Pétersbourg, 643 à Moscou et au total 1 211 dans toute la Russie. Une minuscule goutte d'eau dans l'océan des millions de victimes des répressions staliniennes et pourtant, pour certains, une goutte d'eau de trop. La nuit, des mains anonymes arrachent ces plaques. C'est ce qui est arrivé à celle dédiée à Yefim Solomonovitch dans la capitale russe en août dernier, ainsi qu'à beaucoup d'autres.C'est en effet cette nuit-là un lieu de mémoire unique qui a été visé : la « maison des spécialistes », un immeuble dans lequel des appartements avaient été attribués essentiellement à des ingénieurs pour mérites exceptionnels, mais aussi à ce qu'on appelait alors « l'intelligentsia créative ». Cent-cinquante appartements, 40 plaques. Boris Kovarsky, l'arrière petit-fils de Yefim Solomonovitch a fait les comptes : « Tous les trois appartements, il y a eu quelqu'un de réprimé. Quant à la disparition de la plaque de mon ancêtre, je l'ai vécue comme une insulte personnelle. Pour moi, c'est la même chose que si quelqu'un venait sur la tombe d'un de ses parents et la retrouvait détruite. »Cet informaticien de 31 ans qui s'est plongé dans l'histoire familiale est lui aussi issu d'une de ses rares lignées où on parlait de ce qui s'était passé. « La plupart des informations sur mon arrière-grand-père, raconte-t-il d'un ton calme et posé dans un café de la capitale russe, je les ai apprises de mon père. On ne m'a pas emmené dans un coin et chuchoté à l'oreille “ton arrière-grand-père a été fusillé”. Non, ça vient de nos conversations de famille. »Et quelles conversations... L'autre grand personnage de son histoire, c'est son grand-oncle Ilya Solomonovich. Lorsque son père Yefim Solomonovich a été arrêté, il n'était qu'un adolescent de même pas 13 ans. Il l'a vu emmené par un soldat armé d'un fusil en rentrant de l'école ; cela malgré le fait qu'il était invalide de guerre, défiguré et touché aussi à la jambe et au bras.« Même à l'époque dangereuse du stalinisme, alors qu'il était encore enfant, il essayait d'écrire des lettres à Staline pour connaître des détails sur son père », raconte Boris Kovarsky. « Puis il s'est porté volontaire pour le front alors qu'il avait encore moins de 18 ans. Il a triché sur son âge pour être pris comme volontaire. Et après son retour de la guerre gravement blessé, puisqu'il avait donné sa santé pour l'État, il était sûr qu'il avait le droit d'exiger des choses. C'était un homme étonnamment énergique et il a déployé beaucoup d'efforts pour restaurer la mémoire de son père. Il a achevé sa réhabilitation presque immédiatement après la mort de Staline et a ensuite rassemblé des documents et communiqué avec des écrivains qui, par exemple, ont écrit sur l'usine de SevKabel, dont mon arrière-grand-père était le directeur. Afin de restaurer exactement une mémoire juste de lui. »À écouter aussiSérie La Marche du monde – Nos années goulag, l'intégraleAbsence d'enquête officielleBoris Kovarsky sait que son intérêt était plus libre de s'exprimer parce qu'il est né à la chute de l'URSS, en 1991. « Dans les années 2000-2010, nous discutions librement de ces sujets, reconnaît-il. Et comme je voulais connaître de plus en plus de détails, le reste, je l'ai appris plus tard dans les archives. »Malgré tout ce travail de mémoire, la famille cherche aujourd'hui encore une partie de la famille éparpillée par l'histoire. Efim Solomonovich avaient deux frères : l'un a émigré en Belgique, l'autre personne ne sait où. Sur la plaque arrachée qui lui était dédiée figuraient ces informations : arrêté le 25 octobre 1937, fusillé le 27 novembre de la même année, réhabilité en 1957. Elle avait été installée le 19 décembre 2021. Soit très exactement 9 jours avant la dissolution de Mémorial, organisation partenaire du collectif « Ancienne adresse », composé de citoyens historiens. Devant la Cour suprême, le procureur avait notamment reproché à Mémorial d'avoir « créé une image mensongère de l'URSS comme État terroriste » et d'avoir noirci la mémoire du pays pendant la « Grande Guerre patriotique ». La décision de dissolution a elle été officiellement présentée comme la conséquence de l'omission par l'ONG de s'identifier comme « agent de l'étranger » dans certains documents.Qui arrache les plaques de « Dernière adresse » la nuit ? En l'absence d'enquête officielle, les familles sont très prudentes dans leur expression... À Saint-Pétersbourg, Boris Vichnievsky, militant politique de 67 ans au cuir tanné, lui, est plus tranchant. « Je pense que ce sont probablement des gens qui ne sont pas très instruits, mais qui sont extrêmement fidèles à l'État. Il y a une phrase célèbre qui dit “ceux qui ne se souviennent pas du passé sont condamnés à le répéter”. Je suis tout à fait sûr que la lutte contre la présence de ces plaques, à laquelle nous assistons, est déclenchée par ceux qui veulent que le passé soit oublié, afin que les gens oublient que leur État pratiquait une répression de masse. De cette façon, il est plus facile de mener à bien la répression aujourd'hui. Oui, les gens ne sont pas encore fusillés. Oui, jusqu'à présent, nous ne parlons que d'emprisonnement, mais très souvent à des peines monstrueusement longues, allant jusqu'à 25 ans. Ce sont déjà des termes tout à fait comparables, dépassant parfois même ceux de l'époque des répressions staliniennes. »Le retour des statues de Staline ou de DjerzinskiLe pouvoir aujourd'hui ne nie pas les répressions soviétiques mais les minimise, en les présentant comme une tragédie sans réel coupable. En parallèle, il glorifie chaque jour un peu plus la puissance géopolitique et militaire de l'URSS. Et depuis l'envoi de soldats russes en Ukraine, promeut particulièrement une image qu'il souhaite « plus positive » de Staline, celle notamment d'un dirigeant présenté – singulièrement dans les manuels d'histoire de cette rentrée scolaire 2023 - comme un bon chef de guerre. Ce phénomène est lui aussi tangible dans l'espace public. L'inauguration des statues de Staline a en effet connu un nouveau coup d'accélérateur depuis le 24 février 2022. Le premier avait eu lieu après l'annexion de la Crimée en 2014.Selon plusieurs organisations qui tentent de faire les comptes, au total 95 monuments à la gloire de Staline sont apparus dans 40 régions de Russie depuis l'arrivée de Vladimir Poutine au pouvoir. On en répertoriait 5 dans les années 1990.On voit même désormais réapparaître celle de Djerzinski, le fondateur de la Tcheka, la féroce police politique de l'URSS. Le 10 septembre 2023, la statue d'un des principaux artisans de la « terreur rouge », et architecte du système répressif soviétique, a été inaugurée à grands renforts d'images à la télévision d'État. Pas exactement dans l'espace public toutefois : dans la banlieue de Moscou, au siège du SVR, les services de renseignements extérieurs, sur un territoire classé « secret ». Leur patron, cité par les agences d'État, y a salué à cette occasion la mémoire d'« un étalon d'honnêteté, de dévouement et de fidélité au devoir. »
Le 29 octobre 2022, une soirée d'Halloween a tourné au cauchemar en Corée du Sud et 159 personnes sont mortes. Les images de personnes compressées les unes contre les autres dans le quartier d'Itaewon ont choqué dans le monde entier. Mais un an plus tard, les familles demandent toujours une enquête indépendante et dénoncent l'inaction des autorités. De notre correspondant à Séoul,« Elle me manque énormément ». Douze mois plus tard, Yoo Hyeong-woo, n'est pas prêt à tourner la page. « L'ambiance de l'automne nous fait penser à cette tragédie, on sent que la population est aussi traumatisée. De plus en plus de gens viennent se recueillir et pleurent devant les portraits. »Face au mémorial où trônent les jeunes visages des morts d'Itaewon, le vice-président de l'association des familles endeuillées est ému en voyant des passants déposer un message de soutien. « Pour nous, la solidarité de la population est d'autant plus primordiale que le gouvernement essaie de faire oublier ce drame ». Ce père de famille veut pouvoir dire à ses enfants ce qui a entraîné la mort de leur sœur Yoo Yeon-ju.À lire aussiCorée du Sud: drame d'Itaewon, les proches des victimes sortent du silenceUne nuit mauditeCe premier Halloween post-pandémie devait être une grande fête. Plus de 100 000 personnes s'étaient réunies à Itaewon, le quartier iconique des festivités de fin octobre. Bien trop pour les 137 policiers présents. Un chiffre d'autant plus infime comparé aux 6 500 agents déployés à quelques kilomètres pour encadrer une manifestation. « Les années précédentes, des policiers géraient la circulation, mais pas là », souffle Lee Jung-min, président de l'association qui s'est rendu dans le quartier le soir où sa fille, Lee Joo-young est morte. Alors que le trafic routier n'est pas bloqué dans l'avenue principale, la foule s'amasse dans les étroites allées adjacentes.Dès 18h34, les secours reçoivent de premiers appels alertant explicitement sur le risque d'accident grave. Dix autres suivront avant 22h20, lorsque la fête s'est transformée en tragédie. Dans la petite allée inclinée, certains commencent à perdre l'équilibre. Les gens tombent les uns sur les autres, des centaines de personnes compressées sont incapables de respirer. « Un an s'est écoulé et rien n'a été révélé ». Lee Jung-min veut qu'on lui explique l'impréparation des autorités, l'absence de réaction malgré les multiples messages d'alertes et la réponse désordonnée des secours. « Ce soir-là, j'ai vu des victimes abandonnées, sans aide, alors qu'elles étaient en train de mourir ». À lire aussiCorée du Sud: près de 150 morts à Séoul en marge de la fête d'HalloweenOù en est l'enquête ?En dépit de ces éléments, aucun haut responsable n'a été inquiété. Vingt-trois personnes ont été inculpées, majoritairement des policiers. Mais pour Yoo Hyeong-woo et l'association des familles, la chaîne de responsabilité est claire : « Le maire de l'arrondissement, les officiers de police, le commissaire de la police de Séoul, de la police nationale, le maire de Séoul, et le ministre de l'Intérieur, tous doivent prendre leurs responsabilités et se retirer pour qu'une enquête sérieuse et indépendante soit menée ». Une motion de censure a été votée au Parlement à l'encontre du ministre de l'Intérieur Lee Sang-min, mais invalidé par le Conseil constitutionnel.Principal point de défense de l'exécutif, l'absence d'organisateur désigné du festival d'Halloween, les empêchant de prévoir une telle foule. Les familles assurent que la présence policière était plus conséquente lors des précédentes éditions. L'administration du président Yoon Suk-yeol refuse de parler de « désastre » ou de « victimes », mais préfère les termes d'« accident » et de « décédés » quand elle évoque la tragédie.À lire aussiCorée du Sud: émotion, deuil national et premières questions après le drame d'Halloween à SéoulAccusés d'être des drogués, des Nord-CoréensPour Lee Ju-hyun, survivante du désastre, « le gouvernement cherche à fuir ses responsabilités en accusant les individus qui se sont rendus à Itaewon ». Le soir du drame, plus d'un tiers des effectifs de police étaient dédiés à la lutte contre les produits stupéfiants. « Dès le début, ils ont accusé les enfants d'être des drogués », assure Lee Jung-min. Pour les familles, l'enquête s'est bornée à tenter de prouver que les victimes étaient des consommateurs ou des trafiquants de stupéfiants. « Ils nous ont de nouveau traumatisés en demandant nos relevés de téléphones où de cartes de crédits », assure Lee Ju-hyun. « Six mois plus tard, je devais prouver que j'étais une victime alors que j'avais été transporté à l'hôpital depuis le lieu du drame ».Un discours culpabilisateur qui a séduit une partie de l'opinion publique. Les familles ont été harcelées et insultées par des organisations d'extrême droite. « Le gouvernement a manipulé la vérité en insinuant qu'ils étaient morts parce qu'ils allaient dans les bars », assure Yoo Hyeong-woo. « Cela donne l'image qu'ils n'avaient pas à être là. Il y a même des youtubeurs qui répandent des fake news, en disant "c'étaient des Nord-Coréens… » Kim Gi-hyeon, le chef du parti au pouvoir, a sous-entendu le mois dernier que la Corée du Nord était derrière les manifestations en soutien aux familles.Déterminés malgré le désespoirÀ ces polémiques s'ajoute l'isolement pour les familles étrangères, selon Nari Kim. « Au début, ils refusaient de me donner le certificat de décès de mon frère, car j'étais étrangère ! » Autrichienne, mais coréanophone, elle tente de faire le lien avec certaines des familles des 26 victimes étrangères. « C'est quasiment impossible d'avoir des informations pour ceux qui ne parlent pas coréen. » Elle demande également que les coupables soient jugés et dénonce l'attitude des autorités sud-coréennes à leur égard. « Lorsque nous sommes venus après le drame. Ils n'arrêtaient pas de nous demander quand on partait du pays ».Mais malgré le désespoir, les familles et les survivants restent déterminés. Vestes violettes sur les épaules, ils se relaient pour garder le mémorial qui héberge les portraits des victimes et les messages de soutien des passants. Adossée à la mairie, celle-ci le considère illégal et envoie des amendes toujours plus importantes à l'association. Mais elle refuse de quitter les lieux tant que ne débute pas une enquête indépendante.
Durant le mois de septembre, une quinzaine de personnes ont été hospitalisées après avoir contracté le botulisme, une maladie rare et grave. L'une des personnes est d'ailleurs décédée des suites de l'atteinte par la bactérie responsable, Clostridium botulinum. Il existe plusieurs façons de développer un botulisme, la plus courante étant d'oorigine alimentaire. Le botulisme alimentaire Cette forme de botulisme réside d'une contamination d'un aliment par la toxine botulinique, à la suite d'une mauvaise conservation de l'aliment. Il peut s'agir des conserves faites maison et mal préparées, comme c'était le cas pour les personnes contaminées en septembre qui ont consommé des sardines en conserve préparées par un restaurateur. D'autres aliments tels que les légumes fermentés, les viandes fumées ou les poissons salés de façon inadaptée peuvent fournir un environnement propice au développement de Clostridium botulinum. Celle-ci apprécie en effet les environnements peu acides, avec une température inférieure à 40°C et contenant de l'eau. Lorsque la bactérie se développe dans l'aliment, elle y dépose des toxines dites botuliniques qui pénètrent ensuite dans le système digestif humain. Les toxines passent à travers les muqueuses intestinales et rejoignent les terminaisons nerveuses en se déplaçant dans le sang. La libération d'acétylcholine par les toxines botuliques empêche les muscles de se contracter. La personne atteinte devient rapidement faible et ses membres se paralysent. Si les toxines gagnent les muscles respiratoires, la paralysie entraine la mort par insuffisance respiratoire grave. Le botulisme infantile Cette forme de botulisme concerne les jeunes enfants, généralement de moins de 1 an, qui disposent d'un système digestif encore immature. Si les nourrissons ingèrent des spores de bactérie présents dans la poussière du sol ou dans le miel, ils peuvent connaitre un botulisme sévère car leur organisme ne sait pas éliminer les spores. La bactérie se développe donc dans le système digestif et libère la toxine responsable de la maladie. C'est pour cette raison que les nourrissons ne doivent pas consommer de produits de la ruche avant l'âge de 1 an. Le botulisme à la suite d'une blessure Une plaie mal nettoyée peut constituer une porte d'entrée pour la bactérie Clostridium botulinum. Ce type de botulisme est surtout présent chez les individus vivants dans des milieux contaminés. Le botulisme par inhalation Il s'agit d'une forme très rare de botulisme, plutôt liée à un contexte de guerre chimique. Si la toxine botulinique est inhalée, elle peut entrainer rapidement le décès de la personne en paralysant les muscles respiratoires. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le podcast Choses à Savoir Histoire est disponible sur: Apple Podcast: https://itunes.apple.com/fr/podcast/les-dessous-de-lhistoire/id1408994486 Spotify: https://open.spotify.com/show/3fzY4N4YOJ9nQvcArB6xE8 Deezer: https://www.deezer.com/fr/show/58035 --------------------------- Elle se pratique seul, et dans le silence. La marche en pleine conscience ne nécessite aucun matériel, ni de niveau physique particulier. Pourtant, ses bienfaits sont nombreux, tant pour le corps que pour l'esprit. Stimuler la créativité Platon, Rousseau, Montaigne, mais aussi plus récemment Steve Jobs ou Arianna Huffington : nombreux sont les grands esprits qui ont adopté la marche en pleine conscience. Lorsque le corps se retrouve dans cet état de mouvement répétitif, des ondes similaires à celles produites lors d'une méditation émanent des zones cérébrales, et permettent au cerveau d'y voir plus clair. Le mouvement favorise l'élan de la pensée et évite de ruminer des problèmes qui freinent l'avancée créative. Améliorer l'état émotionnel Marcher en pleine conscience active quatre fonctions de l'organisme : l'humeur, la motivation, l'attention et l'éveil. En stimulant ces aires, le marcheur retrouve un élan de vie qui lui permet de dépasser les émotions difficiles ou trop fortes, et de retrouver une forme d'apaisement. Réduire le stress En se focalisant sur la respiration, sur les pas et sur l'environnement, le marcheur réduit significativement son niveau de stress. Quelques minutes de marche sont suffisantes pour bénéficier d'une baisse du cortisol et d'une hausse de la dopamine, qui engendre une sensation de bien-être. Lutter contre la dépression Plusieurs études attestent du lien entre la pratique de la marche et la baisse des symptômes dépressifs. La marche offre des résultats équivalents à ceux d'une activité physique plus intense, et se montre beaucoup plus accessible car elle peut être pratiquée n'importe où, par presque tout le monde. Il a également été démontré que marcher améliore l'estime de soi et réduit l'anxiété sociale, deux composantes intéressantes pour lutter contre la dépression. Booster la concentration La marche méditative est bonne pour la concentration et l'attention. Plutôt que de stimuler notre cerveau avec de la musique ou des conversations, nous avons beaucoup à tirer du silence qui accompagne les pas et permet au cerveau de mieux se focaliser sur l'essentiel. Améliorer la circulation sanguine Bien qu'elle constitue une pratique physique douce, la marche en pleine conscience stimule le système cardiovasculaire et favorise l'oxygénation des organes et des tissus en améliorant la circulation du sang. Renforcer les muscles et les articulations La marche tonifie en douceur les muscles du tronc, des membres inférieurs et supérieurs et des fessiers. Elle favorise l'équilibre et entretient la souplesse. Le fait de marcher permet aussi de mieux distribuer le liquide synovial dans les articulations, ce qui favorise leur santé et leur fonctionnement. Gérer son poids Marcher en pleine conscience constitue une activité physique de faible intensité, qui contribue tout de même à augmenter la dépense calorique quotidienne. De plus, la méditation peut aider à mieux gérer les envies de grignotages compulsives en abaissant le niveau de stress et en limitant les ruminations. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices