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DELTA GREEN " LE PROGRAMME"Ce podcast produit par les Fabulistes vous permet de suivre une partie de jeu de rôle sous forme audio ! Delta Green est un jeu d'enquête, d'horreur lovecraftienne et de conspiration. Autour de la table, joueurs et comédiens prêtent leurs voix à des enquêteurs qui doivent faire face à des menaces inconcevables, tapies dans les recoins de la réalité. Seuls quelques lancers de dés les séparent de la folie. Bienvenue dans Delta Green.Suivez-nous : https://www.instagram.com/lesfabulistesjdr/Soutenez-nous : https://ko-fi.com/lesfabulistesVenez discuter : https://discord.gg/kUaJ7ez4eFGénérique par Monsieur Gentil : https://soundcloud.com/monsieur-gentil Musique d'ambiance par Carl Kasey @ White Bat Audio : https://karlcasey.bandcamp.com/ Des infos sur le jeu ici (en anglais) : https://www.delta-green.com/ Scénario disponible en pdf (en anglais, spoilers !) : https://www.drivethrurpg.com/fr/product/237654/delta-green-sweetness Published by arrangement with the Delta Green Partnership. The intellectual property known as Delta Green is a trademark and copyright owned by the Delta Green Partnership, who has licensed its use here. The contents of this document are © Les Fabulistes JDR, excepting those elements that are components of the Delta Green intellectual property. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet échange passionnant avec l'astrophysicien Jean-Pierre Bibring, animé par Christophe Pauly, nous explorons l'évolution de notre compréhension du système solaire, des comètes et de l'origine de la vie. À travers les découvertes de missions spatiales et une réflexion profonde sur le rôle du hasard dans l'organisation du cosmos, Jean-Pierre Bibring nous invite à repenser notre place dans l'univers. Chaque système planétaire est unique, et l'émergence de la vie pourrait bien être le fruit d'une série de coïncidences improbables. Un regard scientifique et philosophique fascinant sur ce que nous révèle l'exploration spatiale.
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Nouveau système de sécurité dans les aéroports européens. Depuis ce dimanche, certains aéroports dont celui de Bâle-Mulhouse bénéficient du système EES, Entry Exit System. Un nouveau dispositif qui s'adresse aux ressortissants hors Union européenne. Il contrôle automatiquement les entrées, sorties et durées de séjour des ressortissants de pays non-membres. L'objectif est de permettre aux États membres de l'espace Schengen de bénéficier d'un meilleur partage de l'information et de données exploitables par les autorités. Il remplace ainsi l'apposition manuelle d'un tampon sur les passeports et concerne les séjours de moins de trois mois. L'EuroAirport de Bâle-Mulhouse précise dans son communiqué que grâce au déploiement progressif, l'impact sur les délais d'attente devrait rester globalement limité. A Mulhbach-sur-Munster, les salariés protestent toujours. Alors que la fromagerie Martin-Sengelé a fermé ses portes, mettant un terme à 185 ans d'activité, la décision du groupe belge La Vache Bleue laisse 34 salariés sans emploi. Seuls cinq employés poursuivront l'activité administrative et commerciale pour la marque Valmartin. Hier, les représentants du personnel ont rencontré la direction pour négocier les conditions de départ. Une réunion qui se serait tenue dans un climat constructif. Parmi les pistes évoquées figurent des formations, un soutien à la reconversion ou à la création d'entreprise. Les premières propositions, limitées au minimum légal, avaient jusque-là été jugées insuffisantes. Une nouvelle rencontre est prévue demain pour finaliser les discussions. A Bindernheim, la salle multi-activités va être rénovée. Évoquée depuis de nombreux mois, les travaux de rénovation thermique et phonique ainsi que l'extension de la salle polyvalente doivent être lancés au début de l'année prochaine. Ils prévoient une réduction de la consommation d'énergie d'au moins 60% d'ici 2050 mais aussi des changements acoustiques face aux plaintes répétées du voisinage. La mise en place d'une pompe à chaleur, d'un triple vitrage et une modernisation des systèmes de ventilation sont aussi prévues. Le montant prévisionnel du projet s'élève à 2,28 millions d'euros. Une première mondiale à Mulhouse. Une panthère de l'amour, l'espèce de félin la plus menacée au monde, a subi la semaine dernière une insémination artificielle au zoo de Mulhouse. Khala, la femelle et Baruto, le mâle qui vient d'un parc animalier auvergnat, n'ont pas été choisis au hasard : leur patrimoine génétique a été jugé suffisamment varié pour renforcer la diversité de l'espèce. Pas moins de sept vétérinaires étaient associés à l'opération. Selon l'équipe, la probabilité de grossesse est d'une chance sur deux. Réponse dans quelques semaines. Ce vendredi, l'Alliance du Coeur et l'association Alsace Cardio donnent rendez-vous à tous à la Salle des Catherinettes de Colmar pour la nouvelle édition de la Journée du Coeur. Cette année, elle sera consacrée à la prévention de l'infarctus du myocarde. Le président d'Alsace Cardio, Daniel Emmendoerffer, détaille le programme. Le rendez-vous est donc donné ce vendredi, de 9h à 18h, à la salle des Catherinettes de Colmar. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Quelles recherches, quelles découvertes ont retenu l'attention de nos consœurs et confrères de la presse scientifique ce mois-ci ? Avec Vincent Nouyrigat , Epsiloon : Grandeur et décadence du paresseux géant Franck Daninos, Sciences et Avenir : Seuls ? À la recherche de la vie extraterrestre Philippe Hénarejos, Ciel & Espace : 2023 : et si un astéroïde frappait la lune ? François Lassagne, Pour la Science : Ce que notre santé doit à la vie sociale des mitochondries Elsa Couderc, The Conversation : Comment commence un cancer ? Musiques diffusées pendant l'émission - Grand Corps Malade – Ensemble - Clara Luciani - La grenade - Calvin Harris, Rag'n'bone Man – Giant - Luedji Luna, Seu Jorge – Apocalipse (Playlist RFI) - Lykke Li - Possibility.
Quelles recherches, quelles découvertes ont retenu l'attention de nos consœurs et confrères de la presse scientifique ce mois-ci ? Avec Vincent Nouyrigat , Epsiloon : Grandeur et décadence du paresseux géant Franck Daninos, Sciences et Avenir : Seuls ? À la recherche de la vie extraterrestre Philippe Hénarejos, Ciel & Espace : 2023 : et si un astéroïde frappait la lune ? François Lassagne, Pour la Science : Ce que notre santé doit à la vie sociale des mitochondries Elsa Couderc, The Conversation : Comment commence un cancer ? Musiques diffusées pendant l'émission - Grand Corps Malade – Ensemble - Clara Luciani - La grenade - Calvin Harris, Rag'n'bone Man – Giant - Luedji Luna, Seu Jorge – Apocalipse (Playlist RFI) - Lykke Li - Possibility.
Désespérant! Les chiffres des ventes de « Welcome Hebdo, le trimestriel de l’émission Welcome! » ne sont pas aussi bons que prévu… Seuls 18 des 30.000 exemplaires tirés se sont écoulés, bientôt trois semaines après le lancement officiel du journal. Candice de Traviole, Jeff de la Tourette, Taberdan de Queb’ et Jean-Hubert de Saint-Hilaire sont financièrement étranglés […] L'article Welcome! du 04 10 2025 est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
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Star du music-hall, icône parisienne, résistante, militante antiraciste : voilà Joséphine Baker. Née aux États-Unis, alors minés par la ségrégation, c'est en France qu'elle s'est épanouie, et c'est pour la France qu'elle s'est battue. En retour, la patrie reconnaissante lui a ouvert les portes de son Panthéon. A l'occasion des 100 ans de la "Revue Nègre", l'historienne Virginie Girod vous raconte son histoire dans un récit en deux épisodes enrichis des archives inédites d'Europe 1.Joséphine grandit dans un foyer très pauvre du Missouri. Adolescente, elle est embauchée dans un cabaret new-yorkais où elle s'impose sur scène. Repérée pour participer à la "Revue nègre", elle débarque à Paris en 1925, durant les Années Folles. Le directeur du théâtre exige de Joséphine qu'elle danse seins nus, ce qu'elle accepte à contrecœur. Le spectacle est néanmoins un succès et Paris tombe sous son charme. Elle devient une star internationale, notamment grâce à son conjoint et impresario, Giuseppe Abatino. Seuls les États-Unis la rejettent. Là-bas, elle est noire avant d'être artiste. Son pays d'adoption, c'est plus que jamais la France, et bientôt, elle va risquer sa vie pour lui. (rediffusion)Au cœur de l'histoire est un podcast Europe 1.- Ecriture et présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier- Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud - Edition et diffusion : Nathan Laporte et Clara Ménard- Visuel : Sidonie ManginBibliographie : Gérard Bonal, Joséphine Baker, Du Music-hall au Panthéon, Tallandier, 2021Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À compter de ce mercredi, les services fédéraux américains sont en partie à l'arrêt. Faute d'accord au Congrès pour voter le budget 2026, le pays traverse un nouveau « shutdown ». Si la cause est politique, les effets, eux, sont bel et bien économiques, et pourraient fragiliser encore davantage une économie déjà sous tension. Les administrations fédérales sont mises sur pause : des centaines de milliers de fonctionnaires se retrouvent au chômage technique. Seuls les personnels jugés « essentiels » – militaires, contrôleurs aériens, personnel hospitalier – continuent de travailler, mais sans être rémunérés. Pour les Américains, les conséquences sont visibles dans la vie de tous les jours : files d'attente rallongées dans les aéroports, démarches administratives au ralenti, parcs et musées fermés, et même des retards dans la distribution du courrier. Un coût élevé pour l'économie américaine Chaque semaine de paralysie pourrait réduire la croissance de 0,2 point de pourcentage, soit plusieurs milliards de dollars perdus, selon la compagnie d'assurance Nation Wide. En 2018-2019, le « shutdown » le plus long de l'histoire – 35 jours – avait coûté 0,4 % de croissance. Cette fois, le contexte est plus fragile : l'inflation reste élevée, le chômage ne baisse pas et les prévisions de croissance sont modérées. Un arrêt prolongé pourrait donc avoir un effet amplifié sur l'économie. Marchés financiers dans le brouillard et confiance ébranlée Autre conséquence : l'arrêt des publications économiques officielles. Le Bureau du travail et des statistiques, qui fournit des données essentielles sur le chômage, la croissance et l'inflation, ne peut plus publier ses indicateurs. Pour les investisseurs, c'est comme un pilote de ligne en pleine tempête sans instruments de bord. L'incertitude alimente la nervosité des marchés financiers et fragilise le dollar. À moyen terme, les effets pourraient se multiplier : fonctionnaires impayés contraints de réduire leur consommation, projets d'investissement suspendus, recrutements gelés… autant de signaux négatifs pour la confiance des entreprises et des partenaires étrangers. Ce nouvel épisode budgétaire donne une image d'instabilité aux États-Unis et risque d'entamer encore un peu plus la crédibilité de la première puissance économique mondiale.
C'est officiel : l'Europe a franchi un cap historique. La Commission européenne vient de confirmer que Jupiter, le supercalculateur installé à Jülich en Allemagne, a atteint la barre symbolique de l'exaflop, soit 10 puissance 18 opérations par seconde. Concrètement, c'est comme si un million de smartphones travaillaient en même temps. Seuls trois géants américains le devancent encore – El Capitan, Frontier et Aurora – mais Jupiter propulse enfin l'Europe dans le club très fermé des supercalculateurs exaflopiques, aux côtés des États-Unis et de la Chine.Un projet colossal de 500 millions d'euros, financé par l'Union européenne et l'Allemagne via EuroHPC. La machine, conçue par Eviden à Angers avant d'être déployée en Allemagne, s'appuie sur 24 000 processeurs graphiques Nvidia dans sa partition Booster. Mais Jupiter impressionne aussi par sa sobriété : alimenté uniquement par des énergies renouvelables, il dispose d'un système innovant de refroidissement à eau chaude. Résultat : il occupe la première place mondiale du classement Green500 pour son efficacité énergétique.Au-delà de la prouesse technologique, Jupiter ouvre un champ immense d'applications. En météorologie, il permettra des prévisions climatiques et météo au kilomètre près : canicules, inondations ou tempêtes violentes seront modélisées avec une précision inédite. En intelligence artificielle, il sera la colonne vertébrale de la future AI Factory européenne, offrant enfin aux start-ups, industriels et laboratoires locaux les ressources nécessaires pour développer leurs propres modèles de génération de texte, d'image ou de vidéo.La santé n'est pas en reste : neurosciences et recherche médicale vont exploiter sa puissance pour explorer le cerveau humain et progresser sur des maladies comme Alzheimer. « JUPITER renforce la souveraineté numérique de l'Europe et met à disposition des chercheurs les ressources informatiques les plus puissantes et les plus durables », a résumé la commissaire Ekaterina Zaharieva. Déjà, EuroHPC a sélectionné 13 projets d'usines d'IA à travers le continent. Au 30 juin, pas moins de 76 candidatures avaient été déposées pour bâtir des gigafactories de modèles capables de gérer des centaines de trillions de paramètres. Avec Jupiter, l'Europe entend bien ne plus être seulement spectatrice de la course mondiale à la puissance de calcul, mais actrice à part entière. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rubrique:histoire Auteur: anonyme Lecture: Daniel LuttringerDurée: 1h04min Fichier: 44 Mo Résumé du livre audio: "Le soleil du Moyen-Orient embrasait un ciel sans nuages, cuisait la terre et flétrissait les rares plantes qui avaient poussé après les maigres pluies de printemps. Un vent brûlant soufflait du désert, engendrait des tourbillons de poussière sur la plaine monotone. Deux collines s'élevaient à l'horizon : aucun arbre ou presque n'offrait de refuge contre cette incandescence. Seuls, deux fleuves paresseux, coulant vers le sud, brisaient la monotonie du paysage, pareils à deux rubans bruns dans un néant de même couleur." Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Après des années à vivre à l'étranger et à enseigner le français à des étudiants du monde entier, on a remarqué une chose : il y a des choses que seuls les Français font ! Accède à la transcription détaillée - et interactive - de cet épisode, à des épisodes bonus, & plein d'autres choses ici : https://www.patreon.com/FrenchWithPanacheBien sûr, il y a la fameuse bise… mais aussi plein d'habitudes inattendues - dans la nourriture, dans nos interactions et même dans notre manière de traverser la rue. Dans cette épisode filmé, tu vas apprendre à parler plus naturellement (prononciation + expressions idiomatiques) mais aussi découvrir des clés culturelles pour bien préparer ton prochain voyage en France.
Sommes nous vraiment seuls dans l'univers ? Dans cet espace infini ou fini qu'est l'univers, y a t-il une autre forme de vie sur une exoplanète, une planète hors du système solaire ? Existe t-il de la vie intelligente dans l'univers autre que sur la Terre ?
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nouveauté pour la rentrée : Le carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 17 € au lieu de 39 € jusqu'au 19 septembre !1️⃣ Présentation de l'invité :Entre attentes réelles et idées reçues, mon invité d'aujourd'hui est là pour démêler le vrai du faux. Fondateur de Coach Omnium, cabinet spécialisé en études marketing et économiques pour le tourisme et l'hôtellerie, Mark Watkins accompagne les acteurs du secteur depuis plus de trois décennies. Nous partageons tous deux cette passion pour le décryptage des tendances hôtelières.Pourquoi le classement hôtelier est obsolète ? Seuls 16 % des clients européens tiennent compte des étoiles aujourd'hui, contre 64 % en 2008.Comment une montée en gamme « fictive » a permis à environ 60 % des hôtels français de prendre une étoile supplémentaire sans enrichir leurs prestations ?Quel est l'impact du Yield Management agressif, illustré par des chambres économiques qui passent de 70 € à 230 € la nuit ?Quelle est la vérité derrière les statistiques nationales ? Marc Watkins dénonce les chiffres erronés de la France, première destination touristique mondiale depuis 2006, un postulat basé sur un « mensonge grossier » qui nuit au secteur.Notre conversation offre de nouvelles perspectives, mais en se concentrant encore et toujours sur l'accueil humain et les fondamentaux de l'excellence de service !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : À travers son nouveau Booking Engine, D-EDGE vous propose une expérience fluide, en 3 clics, sans jamais quitter le site web de votre hôtel.L'interface s'intègre parfaitement à l'univers de votre marque, vos clients fidélisés sont reconnus automatiquement et accèdent à vos offres exclusives.Du clic au paiement, tout est pensé pour maximiser la conversion.Vous avez bien 15 minutes à y consacrer ?Alors prenez rendez-vous avec les équipes de D-EDGE et dites-leur que vous venez de ma part !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Les études marketing et économiques pour le tourisme et l'hôtellerie00:18:00 - Le parcours professionnel de Mark Watkins00:22:00 - Coach Omnium00:30:00 - Le décryptage des tendances hôtelières00:42:00 - Les conseils aux hôteliers00:50:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aston Villa, l'AS Roma, Nottingham Forest et deux clubs français, Lille et Lyon : voilà selon les Opta les cinq premiers favoris pour la victoire finale en Ligue Europa cette saison. Selon les prévisions du statisticien, il y a donc une chance que la France inscrive enfin son drapeau au palmarès d'une compétition lancée en 1971. Seuls trois clubs battant pavillon bleu-blanc-rouge ont atteint la finale en 54 éditions : Bastia en 1978, Bordeaux en 1996 et l'OM à trois reprises (1999, 2004, 2018). L'OL et le Losc débutent la phase de poule unique sur le modèle de la nouvelle Ligue des champions jeudi 25 septembre. Les Lillois reçoivent les Norvégiens de Brann Bergen à 18h45. Les Lyonnais se déplacent chez les Hollandais du FC Utrecht à 21h. Analyse des chances des uns et des autres avec Samuel Duhamel et Raphaël Vantard autour de Philippe Sanfourche.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Addis-Abeba, capitale de l'Éthiopie, ils sont nombreux à avoir tenté un pari risqué cette année : acheter une voiture électrique. Dans un pays où les coupures de courant sont fréquentes et où les véhicules électriques restent une rareté, l'idée pouvait sembler hasardeuse. Mais pour la plupart des possesseurs de voiture électrique, quatre mois après l'achat, ils assurent ne rien regretter. Fini les interminables files d'attente aux stations-service. L'Éthiopie est devenue le premier pays au monde à interdire l'importation de véhicules thermiques. Résultat, environ 115 000 voitures électriques circulent désormais sur ses routes.Le gouvernement pousse cette transition avec des exonérations fiscales et mise sur son gigantesque barrage de la Renaissance pour fournir une énergie verte et bon marché. Mais la réalité quotidienne reste contrastée. Lema Wakgari, exportateur de café, conduit une BYD chinoise. Il apprécie son confort mais pointe le manque criant de bornes de recharge : « Même à Addis, elles restent trop rares. Hors de la capitale, il n'y a aucun véhicule électrique. » La marque BYD domine le marché, suivie de quelques modèles occidentaux. Et l'argument économique est décisif : un chauffeur de taxi explique être passé de 20 000 birrs par mois en essence à moins de 3 000 birrs en électricité. Pourtant, le réseau national peine à suivre. Seuls 20 % des ménages ont accès à l'électricité quasiment en continu, et à peine un tiers de la population est raccordée. Les coupures perturbent la vie quotidienne et l'activité des usines. Mais face aux pénuries chroniques de carburant, l'électrique reste jugé plus pratique en ville.Derrière ce virage, il y a surtout une stratégie économique. L'Éthiopie dépense chaque année près de 4,5 milliards de dollars pour importer du carburant. Le barrage de la Renaissance, inauguré après 14 ans de travaux, double presque la production nationale avec ses 5 150 mégawatts. Objectif : rendre la recharge plus fiable et réduire la facture énergétique. Le gouvernement veut aussi développer une filière locale de véhicules électriques pour créer des emplois. Les prix, eux, restent élevés : environ 2,2 millions de birrs pour une BYD, dans un pays où le salaire moyen reste très bas. L'État ambitionne 2 300 stations de recharge, mais Addis n'en compte qu'une centaine. Et pour les poids lourds reliant Djibouti à la capitale, aucune alternative électrique pour l'instant. Malgré ces défis, l'Éthiopie avance à contre-courant. Preuve que la transition électrique peut progresser, même dans un pays où l'électricité elle-même reste un luxe.--Cet épisode est sponsorisé par Freelance Informatique, la plateforme qui met en relation consultants indépendants et entreprises clientes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:36:25 - Clermont Foot 63 - ASSE (X-X), le débrief Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 septembre 2025.Avec cette semaine :Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CENSURE, RUE, GRÈVE : DANS QUELLE CRISE SOMMES-NOUS ?Lundi, le premier ministre François Bayrou n'a pas obtenu la confiance des députés n'obtenant que 194 voix contre 364. Après sa démission le président de la République a nommé Premier ministre Sébastien Lecornu. Depuis sa réélection en 2022, Emmanuel Macron a désigné cinq Premier ministres. Elisabeth Borne, Gabriel Attal,puis Michel Barnier, dont le gouvernement n'a duré que trois mois, le plus court jamais enregistré sous ce régime et le premier de la Vème République à être censuré par l'Assemblée nationale. François Bayrou, censuré à son tour par l'Assemblée, n'aura duré que neuf mois.Cette crise politique s'accompagne d'une crise économique et budgétaire profonde à laquelle s'ajoute une crise sociale, avec des appels au blocage du pays le 10 septembre et à la grève le 18. Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l'Ifop, observe que « la division des forces politiques au point qu'une majorité semble introuvable est le reflet de l'archipellisation de la France ». Des divisions sociologiques, politiques et idéologiques qui fracturent le pays bien au-delà de l'ancien clivage droite-gauche.Dans la rue, si la France ne s'est retrouvée ni bloquée ni à l'arrêt mercredi, de nombreuses actions ont eu lieu toute la journée partout dans le pays, avec des rassemblements d'ampleur dans certaines villes – entre 197.000 et 250.000 - personnes recensées – et une très forte présence des forces de l'ordre. Né en mai à l'initiative d'un site souverainiste, proche de la droite et de l'extrême droite, "Bloquons tout" a été repris et développé par des sympathisants de la gauche radicale. Le conflit des « Gilets jaunes » comme le rendez-vous de mercredi s'inscrivent dans la continuité d'une série de mobilisations citoyennes 2.0, qui se sont succédées depuis le référendum sur le traité constitutionnel européen de 2005. Les deux mouvements partagent la même forme d'auto-organisation horizontale en réseaux que celle des Gilets jaunes et une absence de leader. Toutefois, une récente enquête menée sous l'égide de la Fondation Jean Jaurès, souligne que le profil des animateurs de Bloquons tout est assez différent de celui des Gilets jaunes. Il s'agirait de citoyens plus jeunes, plus actifs, plus politisés et plus proches de la gauche radicale. Appartenant aux classes moyennes, ils sont souvent diplômés du supérieur. Seulement 27% d'entre eux prirent d'ailleurs part à la révolte des ronds-points de 2018. La plupart des organisations de salariés se sont placés à distance de l'initiative. Seuls, Solidaires et la CGT ont soutenu la démarche du 10 septembre. Le 18 septembre sera une journée d'action à l'appel de l'intersyndicale qui avait mené le combat contre la réforme des retraites et dénoncé la copie budgétaire de François Bayrou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Zone 52, émission 102 : c'est la rentrée ! Wilhem, Jérémie, Bertrand et Chelmi vous proposent : Demolition Man, de Marco Brambilla The Mission, de Johnnie To Seuls sont les indomptés, de David Miller February, d'Osgood Perkins Et la séquence que le monde entier nous envie : le Talk Shit, Get Shot !
Dans le nord de l'Afghanistan où, depuis plusieurs années, près de dix millions de personnes souffrent d'une sécheresse très sévère qui aggrave encore la crise humanitaire, le chantier du canal de Qosh Tepa suscite beaucoup d'espoir. Alimenté par la rivière Amou Daria, ce projet géant de 285 km de long conçu avant le retour au pouvoir des talibans - qui se sont empressés de le relancer - traverse trois provinces. Son ouverture est prévue pour 2028. De notre correspondante en Afghanistan, Les tractopelles s'activent vigoureusement sur le site de Sarband destiné à abriter les portes du canal de Qosh Tepa, dans le nord de l'Afghanistan. L'un des ingénieurs, Mortaza Zias, surveille la progression des fondations : « L'objectif de ce canal, c'est d'irriguer 500 hectares de terres et de zones urbaines. Il a été construit pour cela. Son autre extrémité se trouve à 285 km d'ici. Tout le tracé est en train d'être creusé, et la première phase est déjà terminée », explique-t-il. Pour les talibans, le chantier de Qosh Tepa est une priorité. « Le budget est entièrement financé par le gouvernement. Depuis quatre ans, tout vient de lui, il n'y a pas d'organisation internationale impliquée, poursuit Mortaza Zias, Seuls quelques plans ont changé. Le canal était censé être un peu moins long, mais le sol se compose de sable, de beaucoup de cailloux, donc au fur et à mesure des travaux, de nouvelles idées ont émergé. Comme celle, par exemple, de redistribuer l'eau dans la rivière Amou grâce à un barrage. » À lire aussiAfghanistan: le projet faramineux de construction du canal Qosh Tepa De l'autre côté de la province de Balkh, dans le village de Qarshi Gak, Hamidallah et ses cousins construisent une maison en terre pour deux de leurs frères : « Ils vivent en Turquie, mais ils voudraient revenir quand le canal sera terminé », explique Hamidallah. Grâce à l'argent envoyé par ses frères, Hamidallah a acheté des panneaux solaires qui lui permettent de pomper les eaux souterraines. Mais les réserves s'amenuisent. « Il n'y a pas d'eau, mais le canal nous donne de l'espoir, s'enthousiasme-t-il. Alors peut-être qu'avec le canal et de l'eau, nous aurons une vie meilleure. » Producteur de coton et de blé, Hamidallah voit ses récoltes se réduire d'année en année. À lire aussiSéisme en Afghanistan: «Les besoins de la population ne se limitent pas à des situations de crise»
Dans le nord de l'Afghanistan où, depuis plusieurs années, près de dix millions de personnes souffrent d'une sécheresse très sévère qui aggrave encore la crise humanitaire, le chantier du canal de Qosh Tepa suscite beaucoup d'espoir. Alimenté par la rivière Amou Daria, ce projet géant de 285 km de long conçu avant le retour au pouvoir des talibans - qui se sont empressés de le relancer - traverse trois provinces. Son ouverture est prévue pour 2028. De notre correspondante en Afghanistan, Les tractopelles s'activent vigoureusement sur le site de Sarband destiné à abriter les portes du canal de Qosh Tepa, dans le nord de l'Afghanistan. L'un des ingénieurs, Mortaza Zias, surveille la progression des fondations : « L'objectif de ce canal, c'est d'irriguer 500 hectares de terres et de zones urbaines. Il a été construit pour cela. Son autre extrémité se trouve à 285 km d'ici. Tout le tracé est en train d'être creusé, et la première phase est déjà terminée », explique-t-il. Pour les talibans, le chantier de Qosh Tepa est une priorité. « Le budget est entièrement financé par le gouvernement. Depuis quatre ans, tout vient de lui, il n'y a pas d'organisation internationale impliquée, poursuit Mortaza Zias, Seuls quelques plans ont changé. Le canal était censé être un peu moins long, mais le sol se compose de sable, de beaucoup de cailloux, donc au fur et à mesure des travaux, de nouvelles idées ont émergé. Comme celle, par exemple, de redistribuer l'eau dans la rivière Amou grâce à un barrage. » À lire aussiAfghanistan: le projet faramineux de construction du canal Qosh Tepa De l'autre côté de la province de Balkh, dans le village de Qarshi Gak, Hamidallah et ses cousins construisent une maison en terre pour deux de leurs frères : « Ils vivent en Turquie, mais ils voudraient revenir quand le canal sera terminé », explique Hamidallah. Grâce à l'argent envoyé par ses frères, Hamidallah a acheté des panneaux solaires qui lui permettent de pomper les eaux souterraines. Mais les réserves s'amenuisent. « Il n'y a pas d'eau, mais le canal nous donne de l'espoir, s'enthousiasme-t-il. Alors peut-être qu'avec le canal et de l'eau, nous aurons une vie meilleure. » Producteur de coton et de blé, Hamidallah voit ses récoltes se réduire d'année en année. À lire aussiSéisme en Afghanistan: «Les besoins de la population ne se limitent pas à des situations de crise»
Connaissez-vous la théorie des cacahuètes? Fabien Vehlmann l'a développée pour trouver des idées, et il l'expérimente en live dans ce deuxième épisode! On n'a pas fait que parler cacahuètes dans le jardin de Fabien: il est aussi question de ses principales séries, Seuls avec Bruno Gazzotti (et avec un scoop, Seuls adapté en sérié télé bientôt?), Spirou et SuperGroom avec Yoann, le Dernier Atlas (avec De Bonneval, Tranquerelle et Bernard) ou encore la Cuisine des Ogres. (avec JB Andreae)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le silence est pesant. Seuls quelques zéphyrs traversent les coursives métalliques et viennent interrompre la tension latente. A bord du porte-avions, chacun est à son poste, prêt à agir. Dans la pénombre du central opérations, l'assistantautodéfense, un artilleur de spécialité, vérifie une dernière fois le paramétrage du système sur l'interface de sa console. En passerelle, l'immense mer s'étale à perte de vue, calme en apparence, mais la cible est identifiée. Pourtant, chaquemanœuvre, chaque seconde, compte. Il faut viser juste. Etre certain de son objectif, évaluer les probabilités d'interception de son système d'armes contre la menace qui approche. Et surtout... il ne faut jamais douter.Soudain, l'ordre du Commandant est donné puis relayépar l'officier de « quart opérations ». L'action codée depuis laconsole du système de combat se répercute le long de la ligne de feu jusqu'à ce qu'un grondement sourd traverse le porte-avions. La porte du silo s'ouvre, un missile part et fend l'air. Il file droit vers sa cible et son impact soulève une colonne d'eau sur plusieurs dizaines de mètres de hauteur. Aujourd'hui, dans le Carré, on vous présente le métier d'artilleur, celui qui s'occupe de la mise en œuvre des systèmes d'armes au-dessus de la surface.Alors qui sont ces marins de l'ombre, formés à manier le feu pour protéger les autres ? Comment se préparent-ils à tirer, réagir et défendre leur navire ? Et que ressent-on quand on a la mer pour champ de bataille et un missile pour outil ?On en parle, aujourd'hui, avec le Lieutenant de vaisseau Pierre-Yves, artilleur et chef du secteur SAAM, « Surface Air Anti-missile », le système d'armes antiaérien principal, à bord du porte-avions Charles de Gaulle.Bonne écoute !Vous en voulez plus ? Retrouvez l'intégralité des publications du Centre d'études stratégique de la Marine sur notre site : Centre d'études stratégiques de la Marine (CESM) | Ministère des ArméesN'hésitez pas aussi à vous abonner au podcast et à nous faire part de vos retours à l'adresse mail : podcast.cesm@gmail.com
L'écoute active est un pilier fondamental de la communication efficace en entreprise. Elle permet de mieux comprendre les idées et perspectives de chacun, et de créer un environnement de travail harmonieux et motivant. Pourtant, beaucoup d'entreprises peinent encore à l'optimiser. Découvrez les résultats fascinants d'un sondage LinkedIn réalisé auprès de 2 377 professionnels et explorez des pistes concrètes pour améliorer cette compétence essentielle.
Cette semaine, Court N°1 débat autour des deux machines de guerre du tennis mondial : Jannik Sinner et Carlos Alcaraz. Pendant 30 minutes, Anthony Rech, Eric Salliot et Florent Serra évoquent la régularité et la longévité des deux monstres du moment qui sont bien seuls et manquent d'adversaires. Un écart avec les autres qui va renforcer la rivalité entre l'Italien et l'Espagnol.
Épisode 33 : Les violences sexuellesPourquoi tant de silence autour des violences sexuelles ?Seuls 10 % des enfants victimes seraient entendus, souvent traumatisés par l'incompréhension et la culpabilité. Face à ce tabou, comment reconnaître les signes ? À quel moment intervenir ? Et surtout, comment agir pour prévenir et protéger dès le plus jeune âge ?Dans cet épisode, Jean-Paul Mugnier thérapeute familial spécialisé dans la protection de l'enfance, nous éclaire sur : les signaux indicateurs (changements de comportement, détresse, troubles du sommeil ou du comportement) ; les obstacles à la parole (peur, honte, silence imposé, manque d'écoute des adultes) ; les bonnes pratiques pour aborder la question avec bienveillance et sécurité ;les ressources et dispositifs existants (numéros d'écoute, professionnels spécialisés, cadre légal…).Un échange précieux pour apprendre à voir, entendre et protéger, même quand c'est inconfortable. Parce qu'être parent, c'est aussi savoir affronter ce qu'on préférerait ignorer.Bonne écouteÉcoutez Parentalité(s) sur Deezer, Apple Podcast et Spotify.Retrouvez et suivez Parentalité(s) sur instagram Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work#management #carrièreSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse aux enfants laissés seuls sur la plage quelques minutes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deux fois par jour, la marée dévoile les rives de la Tamise, permettant à des dizaines de Londoniens de venir ratisser les plages à la recherche de vestiges archéologiques. Ces trouvailles, fortement régulées par la ville, permettent de reconstruire, collaborativement, l'histoire de la capitale britannique. Les cloches de la cathédrale Saint-Paul de Londres retentissent au loin. Les touristes font la queue devant la Tate Modern, musée situé sur la rive opposée. La marée atteindra son point le plus bas dans une demi-heure. Alors, Carolina se fraie un chemin sur la plage de galets de Cannon Street, dotée de gants en latex et de bottes imperméables. « Ici, c'est un endroit très spécial, s'enthousiasme-t-elle, on peut trouver des restes très anciens, jusqu'à l'époque romaine, mais on n'a pas le droit de creuser. » Ce matin-là, ils sont une poignée armés, comme elle, d'un petit seau en plastique, à ratisser du regard la rive de Tamise. Leur passion : le « mudlarking », un mot intraduisible qui décrit les fouilles archéologiques entreprises par ces Londoniens amateurs sur les bords de leur fleuve. En quelques minutes, Carolina a déjà ramassé quelques trésors : « Voyez, un fragment de céramique bleue ici, sûrement un vase. Ça, c'est un bout d'os, du temps où les bouchers jetaient leurs carcasses dans la Tamise... Et là, un morceau de pipe, mais je ne vais pas le prendre. » Il faut dire que ces longs tubes d'argile, parfois accompagnés d'une chambre à tabac entière, sont trop communs pour représenter un quelconque intérêt pour les mudlarkers expérimentés. Le frisson de la découverte Londonienne d'adoption depuis 20 ans, Carolina s'intéresse particulièrement aux fossiles. Sur son téléphone, elle fait défiler les photos d'oursins fossilisés trouvés près de chez elle, au sud-est de la capitale. À deux pas, une autre chercheuse, Emma, s'émerveille d'un éclat de céramique romaine... Après tout, la « City » de Londres a été construite sur les frontières de Londinium, fondée au premier siècle. Emma s'empresse de prendre une photo pour la partager sur son compte Instagram : « Je viens ici parce qu'on trouve surtout des vestiges de l'époque Tudor. J'adore trouver des pièces qui datent du règne de Henri VIII ou d'Elizabeth Ire... Je frissonne quand je pense que je suis la première personne à la toucher depuis des siècles. » Carolina connaît bien cette excitation : « On trouve de tout, c'est vraiment une manière de reconstruire l'histoire de Londres. » Et justement, parce qu'on trouve de tout et de toutes les époques, il a fallu réguler la pratique. « Il faut un permis pour mudlarker », explique Carolina, pour qui l'attente a duré plusieurs mois. Seuls 4 000 Londoniens sont accrédités en même temps, et la liste d'attente dépasse les 10 000 noms... Les agents de la Port of London Authority (PLA) contrôlent de temps en temps. « Il n'y a pas de formation, mais on doit s'engager à respecter les différentes zones, et à déclarer ce qu'on trouve si l'objet date d'il y a plus de 300 ans », poursuit Carolina. Si la trouvaille présente un intérêt archéologique, elle se retrouve sur le bureau de Stuart Wyatt, officier des trouvailles auprès du Programme d'antiquités mobile (PAS). Le chercheur l'examine, tente de reconstituer l'histoire de l'artéfact puis le restitue au mudlarker ou recommande la transmission aux institutions culturelles... Le processus prend environ cinq mois. Une exposition pour mettre en valeur ces trésors du fleuve... et leur face sombre Cette année, pour la première fois, un musée londonien a prêté ses étagères aux plus belles trouvailles. En quelques mois, plusieurs milliers de curieux ont franchi les portes de Secrets of the Thames, l'exposition du Museum of London Docklands. « Nous avons des objets qui reflètent l'histoire portuaire de Londres, comme ce cadran solaire dont les deux parties ont été trouvées à huit ans d'intervalle, détaille James Stewart, guide intarissable sur l'exposition. Beaucoup de bijoux, quelques couteaux de l'époque Tudor... La vase a permis de conserver le bois et le cuir du manche. » Dans une armoire, un œil de verre des années 1920, frappant de réalisme ; dans une autre, les médailles remportées par le tennisman Peter Fleming à Wimbledon et jetées dans la Tamise par un cambrioleur... Le guide s'arrête devant une vitrine consacrée à l'histoire coloniale de la capitale britannique, et pointe du doigt le visage d'un homme africain sculpté dans une pipe : « Dans l'Empire, on commercialisait du tabac, du sucre, dont la production dépendait de l'esclavage. Des objets comme cette pipe sont typiques des représentations du XVIIIe siècle, déshumanisantes, comme pour justifier l'esclavage. » La pipe, qui reprend les stéréotypes de l'époque, a été trouvée aux côtés de cauris, un coquillage utilisé comme monnaie en Afrique de l'Ouest, ramené en larges quantités par les marchands coloniaux. Les premiers mudlarkers, à l'aube du XIXe siècle, peignaient les rives de la Tamise à la recherche de morceaux de charbon, de cordes, de métaux : « Des choses qu'ils pouvaient revendre pour survivre dans le Londres de l'époque victorienne », bien loin de ces nouveaux mudlarkers en quête d'un frisson de découvertes... Mais la survie de la pratique a permis de compléter le tableau déjà très riche de l'histoire de la capitale, selon James Stewart : « Tellement de gens mudlarkent aujourd'hui. Les objets qu'ils trouvent et l'endroit où ils les trouvent permettent de comprendre à quoi ressemblait la vie de nos ancêtres, plus encore qu'un livre ou qu'un tableau puisqu'il s'agit d'objets du quotidien. » Même s'il ne représente qu'une goutte d'eau (3%) des découvertes archéologiques nationales, le mudlarking fournit chaque année 2 000 trésors potentiels aux institutions culturelles. À lire aussiRoyaume-Uni: la préservation du mur d'Hadrien
En Syrie, 42 premières familles ont été évacuées du camp de Al-Hol, prison à ciel ouvert où s'entassent près de 30 000 familles suspectées d'être liées à l'État islamique. À l'heure où le groupe terroriste reprend du terrain en Syrie, le rapatriement de ces familles radicalisées est un enjeu de taille pour les nouvelles autorités de Damas. Un accord a été signé fin mai avec les autorités kurdes du Nord-Est, jusqu'ici en charge de ces familles. De notre envoyée spéciale au camp d'Al-Hol, Le pas lourd, Amina traîne ses trois fils sous un préfabriqué en taule. À l'intérieur, quatre tables, une liste de noms, et une association, chargée de faire sortir les 42 premières familles du camp d'Al-Hol. Un homme de l'association : « Quel est votre nom de famille ? Quelle est votre maladie ? Je dois vérifier votre identité ». Amina, trente ans, a été emmenée ici en 2019. Arrêtés dans le réduit de Baghouz, le dernier bastion de l'État islamique, son mari était accusé d'avoir rejoint l'organisation terroriste. Six années plus tard, Amina et ses enfants sont autorisés à sortir... quitter Al-Hol, ses innombrables tentes et ses immenses grillages surmontés de barbelés. « Je suis triste, car je laisse derrière moi mes amis, ma famille. Et à la fois très heureuse parce que je pars là où je peux élever mes enfants en toute liberté », avoue-t-elle. Amina prend ses trois fils par le bras, fait un premier pas à l'extérieur, puis jette un dernier regard à ses amies. Elles sont toutes là, les mains fermement accrochées au grillage, les yeux remplis de larmes. Une femme du camp : « Personne ne veut rester dans ce camp. Regardez, même cette enfant veut partir, tout le monde veut partir. C'est de la détention, c'est pire qu'une prison ». Une autre femme du camp : « La situation est tellement grave ici. Il n'y a pas assez d'eau, de nourriture. Nous avons peur, nous sommes terrifiés, il n'y a aucune sécurité ». À lire aussiSyrie: plus de 200 Français liés à l'EI toujours dans l'attente d'une solution Arrivés dans le bus, les fils d'Amina s'entassent sur un seul siège. Le plus vieux avait un an lorsqu'ils sont arrivés dans le camp. « Ils vont enfin voir le monde extérieur, ils n'ont vu que les tentes ici… Depuis tout à l'heure, ils me demandent : "est-ce qu'il y a de l'eau à l'extérieur" ? "Les arbres, est-ce que nous devons les planter ou est-ce qu'ils poussent naturellement ?" », confie Amina. Près du bus défilent désormais les malades. Des vieillards estropiés, des corps décharnés, souvent trop maigres. Par endroits, trop gros. Déformés par une tumeur ou une blessure mal soignée. Seuls ces cas humanitaires graves ont été autorisés à sortir du camp. Leurs dossiers ont été soigneusement étudiés pour s'assurer qu'ils n'étaient plus radicalisés. Pour les autres, aucune procédure n'a encore été mise en place, explique Jihan Henan, directrice du camp. Jihan Henan : « Il est urgent de trouver une solution. Depuis toujours, le risque, c'est que ces personnes obtiennent des armes, tuent des gens. Avec les opérations de sécurité dans le camp, la situation a commencé à s'améliorer. Mais une fois, ils ont tout de même réussi à hisser un drapeau de l'État islamique sur le toit. En attendant, il existe des réseaux de passeurs qui font sortir ces familles, et cela a augmenté au cours des trois derniers mois. Certains ont pu sortir clandestinement à travers les clôtures, d'autres secrètement par des camions-citernes, d'autres encore grâce à de faux papiers ». Après 10 heures de bus, le retour dans la ville natale d'Amina se fera sans joie. Amina : « Nous sommes tristes, car il n'y a personne pour nous accueillir… » Il y avait déjà la violence psychologique, les corps défaits. Désormais, la solitude. Car revenir des camps de l'enfer, c'est aussi cela. Être affilié à jamais au califat. À lire aussiDans le Sud syrien, la crainte d'une résurgence du groupe État islamique
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo David et Salomon. Deux noms qui font rêver et qui ont fait couler beaucoup d'encre, depuis l'époque de la rédaction des récits bibliques jusqu'à nos jours. Les Livres des Rois et des Chroniques ont dressé deux tableaux fabuleux, trop merveilleux pour être vrais. David est décrit comme un homme beau, courageux et charismatique, né simple berger et devenu le roi d'Israël. Les Cananéens, les Elamite et les Philistins ont anéanti les espoirs de créer une nation indépendante qui animaient les fils d'Israël. Le premier roi israélite, Saül, vaincu, s'est donné la mort. Tout semble perdu. Mais David, à peine monté sur le trône, se lance dans une véritable campagne de conquête. Il venge l'affront qui a été fait aux Israélites, et terrasse tous les peuples autochtones, les uns après les autres. Il s'empare de toutes les principales villes de Canaan, et impose les fils d'Israël comme les seuls possesseurs de ce pays. Canaan n'existe plus, Israël vient de naître.A la mort de glorieux roi, c'est son fils Salomon qui monte sur le trône. Le récit de son histoire est rempli de passages fabuleux et panégyriques. Le fils de David apparaît plus comme le héros d'un conte des Mille et Une Nuits que comme un personnage historique. Pourtant, l'archéologie prouve que lui et son père ont bel et bien existé. Mais elle révèle une autre vision des évènements qui ont jalonné leurs règnes. Point de constructions monumentales, point de richesses qui coulent à flots, ni même d'écuries servant d'abri à d'innombrables équidés. Durant l'âge du Fer, époque à laquelle ces deux souverains pourraient avoir vécu, Israël est un pays à deux visages, partagé entre la plaine, où les habitants se réunissent en villes, élaborent une société très hiérarchisée, dominée par l'élite, et connectées au reste du monde oriental, et les régions montagneuses, où s'éparpillent quelques villages, habités par de modestes fermiers, qui entretiennent de bonnes relations avec les nombreux pasteurs nomades, qui circulent entre le désert du Sinaï et les hauteurs de Canaan. Israël n'est nullement un pays unifié sous un même sceptre, mais un territoire hétérogène, habité par des groupes d'individus qui se distinguent les uns des autres. Ils n'ont pas les moyens humains et matériels pour entreprendre une guerre de conquête comme celle décrite dans le Livre des Rois. Si David et Salomon ont vraiment existé, ils n'ont pas régné sur un nation unie et puissante, qui se serait élevée au même niveau que les grands empires proche-orientaux de l'époque.La légende de David et de Salomon, élevés au rang de héros et de modèles de rois, s'est conservée de génération en génération. Elle garde le souvenir d'un temps où la monarchie était unifiée. Cette mémoire est encore vive et largement répandue sur une bonne partie du pays de Canaan. Elle contraste avec ce que la Bible nous apprend de leurs successeurs, dépeints comme des rois violents, querelleurs, injustes et qui se détournent des commandements de Dieu, pour remettre à l'honneur les dieux des peuples ennemis. Seuls quelques individus restent fidèles à YHWH. La rupture entre les deux groupes est inévitable. Le pays d'Israël, unifié par David et organisé par Salomon, est ainsi divisé en deux parties, deux royaumes, qui vont connaître des destins différents et tragiques. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo David et Salomon. Deux noms qui font rêver et qui ont fait couler beaucoup d'encre, depuis l'époque de la rédaction des récits bibliques jusqu'à nos jours. Les Livres des Rois et des Chroniques ont dressé deux tableaux fabuleux, trop merveilleux pour être vrais. David est décrit comme un homme beau, courageux et charismatique, né simple berger et devenu le roi d'Israël. Les Cananéens, les Elamite et les Philistins ont anéanti les espoirs de créer une nation indépendante qui animaient les fils d'Israël. Le premier roi israélite, Saül, vaincu, s'est donné la mort. Tout semble perdu. Mais David, à peine monté sur le trône, se lance dans une véritable campagne de conquête. Il venge l'affront qui a été fait aux Israélites, et terrasse tous les peuples autochtones, les uns après les autres. Il s'empare de toutes les principales villes de Canaan, et impose les fils d'Israël comme les seuls possesseurs de ce pays. Canaan n'existe plus, Israël vient de naître.A la mort de glorieux roi, c'est son fils Salomon qui monte sur le trône. Le récit de son histoire est rempli de passages fabuleux et panégyriques. Le fils de David apparaît plus comme le héros d'un conte des Mille et Une Nuits que comme un personnage historique. Pourtant, l'archéologie prouve que lui et son père ont bel et bien existé. Mais elle révèle une autre vision des évènements qui ont jalonné leurs règnes. Point de constructions monumentales, point de richesses qui coulent à flots, ni même d'écuries servant d'abri à d'innombrables équidés. Durant l'âge du Fer, époque à laquelle ces deux souverains pourraient avoir vécu, Israël est un pays à deux visages, partagé entre la plaine, où les habitants se réunissent en villes, élaborent une société très hiérarchisée, dominée par l'élite, et connectées au reste du monde oriental, et les régions montagneuses, où s'éparpillent quelques villages, habités par de modestes fermiers, qui entretiennent de bonnes relations avec les nombreux pasteurs nomades, qui circulent entre le désert du Sinaï et les hauteurs de Canaan. Israël n'est nullement un pays unifié sous un même sceptre, mais un territoire hétérogène, habité par des groupes d'individus qui se distinguent les uns des autres. Ils n'ont pas les moyens humains et matériels pour entreprendre une guerre de conquête comme celle décrite dans le Livre des Rois. Si David et Salomon ont vraiment existé, ils n'ont pas régné sur un nation unie et puissante, qui se serait élevée au même niveau que les grands empires proche-orientaux de l'époque.La légende de David et de Salomon, élevés au rang de héros et de modèles de rois, s'est conservée de génération en génération. Elle garde le souvenir d'un temps où la monarchie était unifiée. Cette mémoire est encore vive et largement répandue sur une bonne partie du pays de Canaan. Elle contraste avec ce que la Bible nous apprend de leurs successeurs, dépeints comme des rois violents, querelleurs, injustes et qui se détournent des commandements de Dieu, pour remettre à l'honneur les dieux des peuples ennemis. Seuls quelques individus restent fidèles à YHWH. La rupture entre les deux groupes est inévitable. Le pays d'Israël, unifié par David et organisé par Salomon, est ainsi divisé en deux parties, deux royaumes, qui vont connaître des destins différents et tragiques. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette forêt rwandaise perchée au sommet du monde, où reposent les gorilles qu'elle a tant aimés, la primatologue Dian Fossey semble avoir trouvé la paix. Pourtant, son tombeau raconte une autre histoire. Car derrière l'hommage rendu à la « femme qui vivait seule dans la montagne » se cache l'ombre d'un crime non résolu. Le 27 décembre 1985, Fossey est retrouvée morte, sauvagement tuée dans sa cabane. Mais comment cette scientifique si engagée pour la protection des gorilles à dos argenté a-t-elle pu connaître un tel destin ?C'est un cimetière singulier, perché au-dessus du monde des vivants. Seuls les plus téméraires peuvent y accéder. Il se niche à près de 3000 mètres d'altitude, enveloppé par la brume, perdu dans la forêt tropicale qui recouvre un flanc du Visoke : l'un des huit volcans endormis du massif des Virunga, aux confins du Rwanda, de l'Ouganda et de la république démocratique du Congo. Le lieu a survécu à tout, au temps, au climat et à la guerre. Il se compose de stèles rudimentaires, faites de bois, gravées de surnoms, sous lesquelles reposent des générations entières de gorilles : Digit, Peanuts, Uncle Bert, Macho… Une seule exception confirme la règle, une tombe creusée à l'écart, dotée d'une plaque en marbre.
Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité :https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo David et Salomon. Deux noms qui font rêver et qui ont fait couler beaucoup d'encre, depuis l'époque de la rédaction des récits bibliques jusqu'à nos jours. Les Livres des Rois et des Chroniques ont dressé deux tableaux fabuleux, trop merveilleux pour être vrais. David est décrit comme un homme beau, courageux et charismatique, né simple berger et devenu le roi d'Israël. Les Cananéens, les Elamite et les Philistins ont anéanti les espoirs de créer une nation indépendante qui animaient les fils d'Israël. Le premier roi israélite, Saül, vaincu, s'est donné la mort. Tout semble perdu. Mais David, à peine monté sur le trône, se lance dans une véritable campagne de conquête. Il venge l'affront qui a été fait aux Israélites, et terrasse tous les peuples autochtones, les uns après les autres. Il s'empare de toutes les principales villes de Canaan, et impose les fils d'Israël comme les seuls possesseurs de ce pays. Canaan n'existe plus, Israël vient de naître.A la mort de glorieux roi, c'est son fils Salomon qui monte sur le trône. Le récit de son histoire est rempli de passages fabuleux et panégyriques. Le fils de David apparaît plus comme le héros d'un conte des Mille et Une Nuits que comme un personnage historique. Pourtant, l'archéologie prouve que lui et son père ont bel et bien existé. Mais elle révèle une autre vision des évènements qui ont jalonné leurs règnes. Point de constructions monumentales, point de richesses qui coulent à flots, ni même d'écuries servant d'abri à d'innombrables équidés. Durant l'âge du Fer, époque à laquelle ces deux souverains pourraient avoir vécu, Israël est un pays à deux visages, partagé entre la plaine, où les habitants se réunissent en villes, élaborent une société très hiérarchisée, dominée par l'élite, et connectées au reste du monde oriental, et les régions montagneuses, où s'éparpillent quelques villages, habités par de modestes fermiers, qui entretiennent de bonnes relations avec les nombreux pasteurs nomades, qui circulent entre le désert du Sinaï et les hauteurs de Canaan. Israël n'est nullement un pays unifié sous un même sceptre, mais un territoire hétérogène, habité par des groupes d'individus qui se distinguent les uns des autres. Ils n'ont pas les moyens humains et matériels pour entreprendre une guerre de conquête comme celle décrite dans le Livre des Rois. Si David et Salomon ont vraiment existé, ils n'ont pas régné sur un nation unie et puissante, qui se serait élevée au même niveau que les grands empires proche-orientaux de l'époque.La légende de David et de Salomon, élevés au rang de héros et de modèles de rois, s'est conservée de génération en génération. Elle garde le souvenir d'un temps où la monarchie était unifiée. Cette mémoire est encore vive et largement répandue sur une bonne partie du pays de Canaan. Elle contraste avec ce que la Bible nous apprend de leurs successeurs, dépeints comme des rois violents, querelleurs, injustes et qui se détournent des commandements de Dieu, pour remettre à l'honneur les dieux des peuples ennemis. Seuls quelques individus restent fidèles à YHWH. La rupture entre les deux groupes est inévitable. Le pays d'Israël, unifié par David et organisé par Salomon, est ainsi divisé en deux parties, deux royaumes, qui vont connaître des destins différents et tragiques. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Rejoins le SOCIAL CLUB Où est le beau ? en t'abonnant ici : https://buy.stripe.com/14k4gi5JQ6AQaMofTu auras ainsi accès :-à tous les longues interviews en preview (48h avant) et en intégralité -à tous les épisodes avec une clé = le podcast secret (environ 40 épisodes narratifs) pour découvrir comment vivre un quotidien plus aligné avec les valences hautes du beau et du bon-aux 2 newsletters mensuelles dans lesquelles j'ouvre mon jardin secret et partage mes découvertes les plus pépites (hôtels, restaurants, artistes, créatifs, producteurs etc).Tu peux aussi t'abonner uniquement à la newsletter Où est le beau : https://ouestlebeau.kessel.media/?source_referral=None&source_type=user_referralet à celle Où est le bon :https://httpshttpsouestlebeaukesselmediakesselmedia.kessel.media/?source_referral=None&source_type=user_referral&utm_medium=email&utm_source=subscribe_linkA très vite sur les ondes !HélèneDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rendez-vous le 3 Juillet à 18h30 à Paris 17 pour le GDI-Live #10: Comment faire une croissance à deux chiffres avec ses clients existants ?Inscriptions: https://live.gdiy.fr/Merci à notre partenaire Red Bull d'avoir rendu cette série d'épisodes possible, et de nous donner des ailes pour aller toujours plus loin.Dans cette série spéciale, nous mettons en lumière des personnalités phares du secteur des CHR (cafés, hôtels, restaurants) et de la fête en France.Pour cette série spéciale comme pour tous les épisodes de GDIY, notre équipe garde toujours la main sur la ligne éditoriale et le choix des invités.Nous espérons que ces épisodes vous plairont autant qu'à nous.C'est le plus gros restaurant d'altitude d'Europe, capable de servir jusqu'à 2000 couverts par jour — et probablement le seul où l'on peut danser en pleine après-midi, moon boots aux pieds, dans une ambiance de boite de nuit.La Folie Douce est unique en son genre : le meilleur de la gastronomie et de la fête dans un seul et même lieu… le tout perché à 2500 mètres d'altitude.Depuis qu'il a posé la première pierre de son empire en 1969, Luc Reversade a fait manger et danser sur ses tables les plus grandes stars. Sans jamais perdre l'ADN familial dont ses fils, Arthur et César, sont aujourd'hui les garants.En 40 ans, il a transformé un petit self-service perché au milieu des pistes de Val d'Isère en empire de l'hospitalité. La Maison Mère qui faisait 20m2 au départ en fait désormais 5000 et sert de modèle pour répliquer le concept partout.Aujourd'hui, le groupe compte :7 restaurants d'altitude, tous devenus iconiquesUn hôtel de 150 chambres à Chamonix800 salariés en pleine saisonEt réalise près de 64 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel au total.Dans cet échange haut en couleur, Luc revient sur 40 ans de construction, de terrain, d'intuition, et explique comment, bâtir des lieux cultes à 2500 mètres d'altitude, où les règles du jeu ne sont pas les mêmes.Vous êtes dans le business du hors domicile, gérant d'établissement(s) (bars, clubs, restaurants, vente à emporter) ou bien organisateur de festival ?N'hésitez pas à remplir vos coordonnées en cliquant sur le lien suivant : https://www.gdiy.fr/red-bull/Les 100 premiers inscrits pourront bénéficier d'un pack de gratuités de la part Red Bull.TIMELINE:00:00:00 : Les anecdotes les plus folles de ses 2 ans chez Paul Bocuse00:14:32 : Le secret pour racheter, faire exploser puis revendre des business00:27:19 : Cultiver l'excellence chez tout le monde, du plongeur au chef cuisinier00:32:48 : "On est les seuls à avoir un chef étoilé qui fait danser les gens sur les tables"00:45:51 : Jamais dans la tendance, toujours dans la bonne direction00:55:11 : Pourquoi prendre toutes les décisions en famille01:05:05 : 50 cuisiniers, 80 serveurs, 40 artistes : le staff hors-norme de Val d'Isère01:11:23 : Ce que le réchauffement climatique va changer pour les business de la montagne01:19:06 : 28 millions de chiffre d'affaires avec un seul hôtel01:27:30 : Les règles pour faire durer une affaire dans le temps01:38:54 : Servir jusqu'à 2000 couverts par jour01:47:14 : "Je vais chaque année à Ibiza pour voir les tendances, même à 74 ans"Les anciens épisodes de GDIY mentionnés : #374 - Laurent de Gourcuff - Paris Society - Confessions et secrets du roi de la nuit#250 - Chef Alain Ducasse - Faire de sa cuisine un apprentissage, une passion et une marque mondiale#107 - Jean-Philippe Cartier - CEO H8 collection - Du bon sens et de l'instinct pour réussir big time[Hors-Série REDBULL] - Christophe Coutal - Moorea Plage - « C'est moi le roi, pas le client » la légende de St-TropezLes précédents épisodes dans la série Red Bull : [Hors-Série Red Bull] - Christophe Coutal - Moorea Plage - « C'est moi le roi, pas le client » la légende de St-Tropez[Hors-Série Red Bull] - Yoann Le Nevé - Hellfest Festival - Créer le Disneyland du métal sans vendre son âme au diableNous avons parlé de :La Folie Douce | Restaurants d'altitude, clubbing et spectaclesLa Folie Douce - Val d'IsèreOuverture du Café de la Gare, ancienne gare de télécabine de la DailleTUTU du MondePortraits d'Arthur et César Reversade, les enfants de LucArthur Reversade - LinkedInImplantation de La Folie Douce aux USGroupe Vail ResortsGroupe AlterraLe Piaf restaurant, bar et club à ParisLes cafés Noir à ParisSergey Novikov, le chorégraphe de La Folie DouceLoi Montagne 1L'Unité Touristique Nouvelle (UTN)La station de MayrhofenHôtel La Folie Douce à ChamonixChemins, voyages à véloGuillaume MultrierLes recommandations de lecture : L'art de l'excellenceTout se joue avant 6 ansAimer sans tout permettreLe père et son enfantService That Sells!: The Art of Profitable HospitalityVous pouvez contacter les équipes de La Folie Douce sur Linkedin ou sur Instagram.Une petite surprise vous sera réservée au bar qui vous indiquez être un auditeur de Génération Do It Yourself ;)Un merci tout particulier à Luc, Camille, Betty et Perrine de nous avoir accueilli Talloires au siège mythique de la Folie Douce.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. 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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'Union des Entreprises de Proximité le 25 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Les défis liés aux Frères musulmans, au narcotrafic, à l'immigration et à l'insécurité peuvent-ils être sérieusement relevés ou sont-ils condamnés à former la base de slogans électoraux ?Narcotrafic, insécurité, immigration, Frères musulmans, les défis ne manquent pas d'alimenter le débat public en France. Quasi-consensuelle, la proposition de loi visant à lutter contre le trafic de drogues a été définitivement adoptée par le Parlement, le 29 avril. Un succès pour le gouvernement, dont le projet a obtenu un large soutien des députés. Seuls quelques élus de gauche ont voté contre cette loi qui prévoit notamment un régime de détention strict pour les narcotrafiquants, l'anonymisation des agents pénitentiaires et la création en janvier 2026 d'un parquet national anti criminalité organisée, compétent sur les dossiers les plus graves et complexes sur le modèle du parquet national antiterroriste.Suscitant au contraire la controverse, l'ancien ministre de l'Intérieur adressé un tableau très noir de l'insécurité en France. Selon lui, « il n'y a plus de lieux safe » dans le pays : quartiers, centres-villes, périphéries urbaines, villages, lieux de culte, écoles, transports en commun, terrains de sport, une violence exacerbée et décomplexée touche l'ensemble de notre pays, en dépit des multiples lois votées sur la sécurité depuis vingt ans.Sur le défi de l'immigration, devenu une des questions centrales du débat national, l'essayiste Hakim El Karoui vient de réaliser un rapport pour Terra Nova intitulé « Les travailleurs immigrés. Avec ou sans eux ? » soulignant que « dans un contexte de vieillissement démographique » et avec les enjeux de renouvellement de la population active qui lui sont associés, « le recours à la main-d'œuvre étrangère sera décisif dans les années et qui viennent ». Réfutant la note de Terra Nova, le directeur de l'Observatoire de l'immigration et de la démographie assure dans le Figaro que la France n'a pas besoin de plus d'immigration.Autre défi, « Les Frères musulmans et l'islamisme politique en France », ont fait l'objet un rapport présenté mercredi lors d'un Conseil de défense à l'Élysée. Réalisé au premier semestre 2024 par un diplomate et un préfet, il décrit « un important réseau d'implantations », listant « 139 lieux de cultes affiliés aux Musulmans de France » et 55 proches de cette fédération, soit « 7% des 2.800 lieux de culte musulmans répertoriés sur le sol national », accueillant « en moyenne 91.000 fidèles le vendredi ». Pour les auteurs, « le danger d'un islamisme municipal, composite au plan idéologique mais très militant, avec des effets croissants dans l'espace public et le jeu politique local, apparaît bien réel ». Depuis sa publication, le document alimente un vif débat. Si l'anthropologue Florence Bergeaud-Blacker, chargée de recherche au CNRS, se félicite d'une « prise de conscience » salutaire, d'autres spécialistes dénoncent un usage politique du rapport et décrivent un mouvement en déclin, aussi bien à l'extérieur de nos frontières qu'à l'intérieur.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 16 mai 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Antoine Foucher, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.MACRON : INVENTAIRE AVANT BILAN …Interrogé mardi sur TF1, le président de la République a croisé le fer avec plusieurs personnalités de la société civile sur toute une série de sujets : Ukraine, défense, politique sociale, sécurité, dépenses, santé mentale, fin de vie, salaires, Gaza ... Peu d'annonces concrètes lors de cette intervention de plus de trois heures. A deux ans de la fin de son deuxième quinquennat, Emmanuel Macron s'est surtout attaché à défendre sa présidence, et notamment sa ligne économique : travailler plus, produire plus, ne pas augmenter les impôts. Le chef de l'État refuse de nationaliser Arcelor Mittal, alors que le sidérurgiste vient d'annoncer la suppression de plus de 600 postes en France. Il a demandé au gouvernement de lancer dans les prochaines semaines une « conférence sociale » sur le financement de notre modèle social. Tout en prétendant ne pas « préempter » les termes du débat à venir, il a indiqué que l'une des principales options à explorer consisterait à réduire les cotisations pesant sur les salaires et à mettre davantage à contribution « d'autres facteurs, en particulier la consommation ». Il s'est défendu toutefois de plaider en faveur d'une « TVA sociale ». Rejetant l'idée d'une taxation nationale des grandes fortunes, il a plaidé pour une approche mondiale face à l'exil fiscal.Attendu sur une annonce de référendum, Emmanuel Macron a déclaré opter pour une « consultation multiple » dans le cadre de l'article 11 de la Constitution. C'est-à-dire viades référendums en bonne et due forme et non via un outil purement consultatif créé pour l'occasion. Ceux-ci devraient intervenir « dans les mois qui viennent » et pourraient porter sur de « grandes réformes économiques, éducatives ou sociales ». Un spectre très large, sur lequel il entend réfléchir avec le gouvernement. Il pourrait recourir à un référendum sur l'aide à mourir comme une arme de déblocage qu'il ne dégainera qu'en solution de dernier recours, en privilégiant d'abord la poursuite du débat parlementaire. Ouvert à ce que des « réformes » du premier ministre François Bayrou, sur le « plan économique et social » fassent l'objet d'une consultation, le président de la République ne « voit pas », en revanche, de référendum possible sur l'immigration, demandé par la droite, ni sur la réforme des retraites, comme le lui a suggéré la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binet.Le président de la République s'est dit favorable à l'interdiction des mariages de personne sous obligation de quitter le territoire français (OQTF), et souhaite un accroissement du pouvoir des polices municipales. Il a confirmé vouloir que soit imposée aux adolescents une vérification de leur âge pour s'inscrire sur les réseaux sociaux, estimant qu'il y a « une jeunesse qui a été percutée » par ces plateformes.Interrogé pour finir sur un troisième mandat en 2032, Emmanuel Macron n'en a pas écarté l'idée en déclarant : « Quand j'aurai fini, je réfléchirai à la suite. »LA DÉSINDUSTRIALISATION EN FRANCE ET EN EUROPEDepuis quarante ans, la France a été confrontée à un important processus de désindustrialisation. Le poids de la valeur ajoutée du secteur manufacturier est passé de 22 à 15% de 1983 à 2023. Seuls 13% des actifs français étaient, employés dans l'industrie en 2023, contre près de 40% quarante ans auparavant. La désindustrialisation française est la conséquence d'une vague de faillites qui a frappé les secteurs du textile, de la machine-outil et de l'automobile, et du choix de certains grands groupes de délocaliser. La production industrielle française a souffert de son positionnement « gamme moyenne ». Elle a été concurrencée frontalement par celle des pays émergents quand l'Allemagne et les pays d'Europe du Nord ont opté pour le haut de gamme. Le manque de capitaux, d'ingénieurs, de techniciens, la faiblesse de la recherche et une préférence donnée aux services expliquent ce mauvais positionnement de l'industrie française qui est, en outre, confrontée à des impôts de production plus élevés que ses concurrentes. Le poids de l'industrie manufacturière représente aujourd'hui 10 % du PIB en France, contre 15 % en Italie et 16 % en Allemagne.La désindustrialisation touche l'ensemble de l'Europe. En 2000, la part de l'Europe dans la production mondiale de l'industrie était de 22,5%, contre 21% pour les Etats-Unis. Vingt ans plus tard, elle est tombée à 14,5% et celle des Etats-Unis à 16%. La part de la Chine est passée de 10 à 28%. Dans la sidérurgie, ArcelorMittal vient d'annoncer 600 suppressions de postes en France et son concurrent allemand, ThyssenKrupp, en supprimera 11.000 d'ici 2030. A côté de la baisse européenne de la production d'acier, les ventes de véhicules en Europe restent inférieures de 25% à leur niveau de 2019 et tous les analystes s'accordent sur le même étiage ces prochaines années. En Allemagne Volkswagen, prévoit 35.000 suppressions d'emplois d'ici à 2030. Chez Stellantis, les effectifs en Italie sont passés de 55.000 salariés en 2021 à 38.000 en 2025 et, en France, de 53.000 en 2017 à 42.000 aujourd'hui.Face à cette crise, la Commission européenne a présenté fin mars leplan acier de l'Europe. En plus d'une réduction immédiate de 15% du quota d'importations d'acier autorisées sur le sol européen, il prévoit une nouvelle clause de sauvegarde à partir de juin 2026, dispositif qui encadre les imports d'acier sur son territoire selon son origine. La Commission européenne a également annoncé 47 projets miniers pour couvrir une partie de ses besoins en minerais stratégiques. Ainsi, l'UE ambitionne d'ici 2030 d'avoir 10% de sa consommation annuelle extraites localement et 40% de sa consommation annuelle issue du raffinage local.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/ces-sons-que-seuls-les-francais-font-oh-la-la-pff-euh