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Bercy

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C dans l'air
Budget : attention, ça va faire mal... - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 65:31


C dans l'air du 8 juillet 2025 : Budget : attention, ça va faire mal...François Bayrou s'est rendu à Chartres ce mardi pour présenter la nouvelle réforme de l'administration territoriale de l'État. L'idée est d'octroyer davantage de pouvoir aux 133 préfets de l'Hexagone, leur conférant ainsi une autorité plus importante que celle des agences de l'État et des directions générales publiques, afin de simplifier l'action des pouvoirs publics, dans l'espoir de faire des économies. "Les préfets ont pour responsabilité de faire travailler ensemble ceux qui travaillent pour l'État", a expliqué le Premier ministre. "C'est une légitimité nouvelle donnée à la décentralisation. Les élus n'auront plus qu'un seul interlocuteur. C'est un moyen de rendre la dépense publique plus efficace. Cette nouvelle organisation de l'action publique est une manière de rendre plus efficace l'utilisation de l'argent", a ajouté le chef du gouvernement, qui alerte depuis des semaines sur la nécessité de redresser les finances publiques.François Bayrou a d'ailleurs insisté sur le fait que la France "est en danger mortel. Cela va demander des efforts à tout le monde", a-t-il une nouvelle fois reconnu à huit jours de dévoiler les grandes lignes du budget 2026.Après avoir consulté pendant des semaines, Bercy a rendu sa copie. Il revient désormais au Premier ministre d'effectuer les derniers arbitrages pour dégager 40 milliards d'euros d'économies. Année blanche, instauration d'une TVA sociale, baisse des dépenses de la Sécurité sociale, création d'une "taxe Zucman", rabotage des niches fiscales et crédits d'impôt… Plusieurs pistes ont déjà été lancées.Alors, que va décider François Bayrou ? Où trouver les 40 milliards d'euros ? Certains, à droite et à l'extrême droite, appellent à prendre exemple sur les politiques mises en œuvre par Javier Milei en Argentine et Giorgia Meloni en Italie. Mais quel est le bilan de la "politique de la tronçonneuse" de Javier Milei ? Comment l'Italie a-t-elle redressé ses comptes publics ? Depuis vendredi 4 juillet, "la France emprunte à des taux plus élevés que l'Italie", a glissé le ministre de l'Économie Eric Lombard afin d'alerter les Français sur le remboursement de la dette de l'Etat.LES EXPERTS :- Dominique Seux - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- François Ecalle - Ancien magistrat à la Cour des comptes et président du site spécialisé dans la gestion des finances publiques Fipeco - Anne de Guigné - Journaliste au service économie - Le Figaro- Thomas Porcher - Économiste, professeur à la Paris School of Business

RTL Soir
RTL INSIDE - Baignade à Paris : à quoi ressemble le site de Bercy ?

RTL Soir

Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 4:38


Après 100 ans d'interdiction, il va de nouveau être possible de se baigner dans la Seine à Paris. Les premiers plongeons sont prévus samedi 5 juillet. Trois sites accueilleront le public dont celui de Bercy, que Gautier Delhon-Bugard a pu visiter en avant-première pour RTL. D'abord, à quoi ressemblent ces piscines un peu particulières ? Ecoutez RTL inside avec Gautier Delhon-Bugard du 30 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Johnny Hallyday de A à Z sur radio RIG 90.7 www.rigfm.fr
Johnny n°581 Rétrospective saison 2024-2025

Johnny Hallyday de A à Z sur radio RIG 90.7 www.rigfm.fr

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 145:33


Podcast émission radio RIG du mercredi 25 juin 2025 "Johnny de A à Z" n°581 Rétrospective saison 2024-2025Revivez les thèmes des 32 émissions de cette saison setlist :Poing coeur - Zenith 85Mon p'tit loup - Fête de l'Huma 91Ce que tu as fait de moi - HollywoodIt' S A Long Way Home - Rough TownPas Facile (Version Promo Radio)Paul & Mick - Jamais SeulElle Reviendra - La Génération PerdueIl faut rouler - Johnny 68Non ne me dis pas Adieu - Cut - Rêve et AmourAutoportrait - Le Concert Événement À La Tour Eiffel, 2011Heartbreak hotel - 5,6,7 Europe 1 1972Waterloo - Sessions Flagrant DélitMerci - Derrière l'amourLes Moulins A Vent - Ce Que Je SaisMa gueule - Stade de France - TOUR 66 - 2009Entre nous - À La Vie À La MortSeul au beau milieu d'un lac - Palais Des Sports 2 juin 2006 RTLNanette Workman - Love takerJoe, la ville et moi - Version alternative - Country Folk Rock (mixage 2025)La Musique Que J'aime - InsolitudesEssayez - Cadet Rouselle 4 novembre 1971Elle m'oublie - Les Rendez-vous du dimanche 28 janvier 1979Le survivant - Johnny Hallyday & Vixen- Duos ImpossiblesLes larmes de gloire (2 juin) - Zenith de Toulouse 2 & 3 juin 2000Oh ! Ma jolie Sarah - Bercy 23 septembre 1995L'envie - Bercy 24 septembre 1987

Laissez-vous Tenter
LA STAR DU JOUR - Le groupe Scorpions fête ses 60 ans

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 3:44


Scorpions sera ce soir sur la scène de l'Accor Arena de Bercy et le 24 juillet ils se produiront dans les arènes de Nîmes. Le chanteur Klaus Meine (77 ans) et le guitariste et fondateur Rudolph Schenker (il les aura fin août) font partie des doyens du métal. Le "gamin" du groupe, c'est leur batteur qui a 61 ans. Leur leitmotiv est toujours le même : "Tant que les Rolling Stones continuent, nous aussi on continue"...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Laissez-vous Tenter
LA STAR DU JOUR - Le groupe Scorpions fête ses 60 ans

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 3:06


Scorpions sera ce soir sur la scène de l'Accor Arena de Bercy et le 24 juillet ils se produiront dans les arènes de Nîmes. Le chanteur Klaus Meine (77 ans) et le guitariste et fondateur Rudolph Schenker (il les aura fin août) font partie des doyens du métal. Le "gamin" du groupe, c'est leur batteur qui a 61 ans. Leur leitmotiv est toujours le même : "Tant que les Rolling Stones continuent, nous aussi on continue"...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Story Nostalgie
C'est arrivé en juin à Jean-Jacques Goldman

La Story Nostalgie

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 3:41


Juin 1988, ce n'est pas seulement les années fameuses années insouciantes qui tirent à leur fin, ni l'époque des chemises à rayures et pull Lacoste, c'est surtout pour tous les élèves de secondaires qui tournent une cassette de Jean-Jacques Goldman dans leur baladeur d'être à Paris. Car depuis le mois dernier, l'artiste qui ne fait rien comme les autres, a entamé une tournée parisienne. Oui, au lieu de jouer au finish dans une salle, il en fait plusieurs, de la plus petite à la plus grande. Déjà, ça permet à ceux qui ont des préférences de choisir la taille du lieu. Bon, il fallait être rapide et surtout se pointer tôt devant le guichet pour les deux soirs au Bataclan et les trois à l'Olympia. Après c'était déjà la jauge de 4500 sièges du palais des Sports qui s'est  également rempli très vite pour deux semaines jusqu'à la fin du mois.Et donc en ce mois de juin, direction le tout récent Zénith. Une semaine remplie en un clin d'œil, puis on ouvre une seconde semaine et rebelotte, plus un strapontin de libre. Jean-Jacques aurait pu faire Bercy, tout aussi neuf, mais il choisit la proximité, la chaleur du public, l'intimité dans la foule. Alors le public vient de toute la France. Des cars entiers arrivent de Bretagne, d'Alsace, de Lyon. Des gamins avec des t-shirts marqués Minoritaire. Des couples qui se tiennent la main pendant Il changeait la vie. Et des larmes qui coulent au coin des yeux pendant Comme toi. Le show, lui, est millimétré mais sans chichis, c'est pas du Johnny. Pas de flammes, ni de cascades. Juste Goldman, ses potes musiciens, sa guitare rouge et des mots qui vont droit au cœur. En ce mois de juin, dans un Paris encore un peu noir de la désillusion du grand rêve Mitterrand, Goldman donne treize concerts avec chaque soir, un public qui chante toujours plus fort que la veille. Et c'est peut-être ça, le vrai miracle de juin 1988. Ce n'est pas la performance, ni les ventes de disques. C'est ce moment suspendu où la France chantait en chœur, sans cynisme, avec un gars qui n'a pas besoin de costume à paillettes pour briller. Comme il le dit dans une interview qu'il donne pendant la série, ce sont les spectateurs qui m'ont appris la scène, qui me l'ont fait aimer. A priori, je suis le contraire d'un homme de scène. Gauche, lent à la répartie, introverti. Mon énergie, c'est celle qu'ils me communiquent. Mon plaisir, c'est celui de passer une soirée ensemble, autour de choses qui touchent. C'est pourquoi je ne cherche pas à jouer devant des « curieux », à racoler le plus de monde possible. Oui, je sais, on a vécu la même expérience quelques mois plus tard à Bruxelles, à Forest National. Six soirées consécutives fin novembre, début décembre et trois supplémentaires en janvier suivant qui feront dire à un journaliste : si Michael Jackson met des mois à réunir 60000 Belges pour un soir, Jean-Jacques Goldman a vendu 72000 tickets à la vitesse de la lumière. Sans doute est-ce parce que le public sent que Goldman fait ça par plaisir et pour aucune autre raison. Les gens savent qu'il est allé jouer au Congo, dans les îles, là où il n'y avait pas un franc à gagner, et parce que ses musiciens étaient OK d'y aller. Jouer, être avec les autres. Le plaisir, et rien d'autre.

Les Experts
Les Experts : Les pistes de Bercy pour taxer les plus riches - 19/06

Les Experts

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 27:01


Ce jeudi 19 juin, la piste d'un retour de l'ISF en France, le chiffre dévoilé par Les Echos de la Cour des comptes sur le pacte Dutreil, qui représente un coût considérable de quatre milliards d'euros au budget de l'État, ainsi que l'approbation des députés à la relance du nucléaire, ont été abordés par Isabelle Job-Bazille, directrice des études économiques de Crédit-Agricole SA, Denis Payre, président de Nature & People First, et Christian Saint-Étienne, professeur au CNAM et membre du Cercle des Économistes, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Le fisc va-t-il raréfier ses contrôles ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 1:48


Le fisc français n'assouplit pas ses contrôles : il les renforce.En 2024, la Direction générale des finances publiques (DGFiP) a notifié 16,7 milliards d'euros de droits et pénalités, un record selon son dernier rapport d'activité – soit un milliard de plus qu'en 2023.En parallèle, l'administration a réalisé un peu plus de 1,15 million de contrôles chez les particuliers (et 120 000 sur les entreprises), soit déjà +25 % par rapport à 2022. Et l'élan va se poursuivre : Bercy s'est donné pour objectif d'augmenter encore ce volume de 25 % d'ici 2027 dans le cadre du Cadre d'objectifs et de moyens 2023-2027.Des moyens technologiques sans précédentPour atteindre cet objectif, la DGFiP s'appuie sur l'intelligence artificielle : en 2024, l'IA a servi à programmer 56 % des contrôles professionnels et près de la moitié des contrôles des particuliers, en croisant bases fiscales, registres fonciers, réseaux sociaux ou images satellites. Ce ciblage, plus précis, augmente la probabilité qu'un dossier contrôlé débouche sur un redressement.Un renfort humain et judiciaireL'administration ne se repose pas uniquement sur les algorithmes. Le plan 2025-2027 prévoit le recrutement de 1 500 agents supplémentaires dédiés au contrôle et un budget de 18 millions d'euros pour les outils de data-mining. En parallèle, le Service d'enquêtes judiciaires des finances est devenu l'Office national antifraude aux finances publiques (ONAF), preuve que la judiciarisation des dossiers graves va s'intensifier.Quelles cibles ?Les hauts patrimoines, les montages fiscaux complexes et la fraude à la TVA (hôtellerie-restauration, immobilier, e-commerce) figurent en tête de liste. Le manque à gagner sur la seule TVA est estimé entre 6 et 10 milliards d'euros en 2024, ce qui justifie un contrôle renforcé de ces secteurs. Les déclarations de crypto-actifs, les comptes bancaires à l'étranger et les résidences secondaires sont également parmi les nouvelles priorités.Le regard des économistesSelon Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste chez BDO France, la trajectoire de recouvrement pourrait encore atteindre 20 voire 25 milliards d'euros par an, mais pas davantage : l'essentiel des gains dépend désormais de la qualité du ciblage et de la coopération internationale, plus que du simple volume de contrôles.À retenirIntensification confirmée : +25 % de contrôles prévus d'ici 2027Montée en puissance de l'IA : plus d'un contrôle sur deux déjà programmé par algorithmeRenfort d'effectifs et d'outils juridiques : 1 500 agents et un ONAF doté de pouvoirs élargisCibles prioritaires : hauts revenus, TVA, immobilier, crypto-actifsEn résumé, loin de diminuer, les contrôles fiscaux deviennent plus nombreux, plus technologiques et plus sélectifs. Un signal fort envoyé à ceux qui seraient tentés par l'optimisation agressive ou la fraude. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Doze La Polémique
Doze d'économie : Il ne faut pas toucher à l'emploi à domicile - 11/06

Doze La Polémique

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 6:00


Ce mercredi 11 juin, l'idée de Bercy de tailler dans la niche fiscale pour les emplois à domicile afin de réaliser des économies a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Intégrale Placements
Doze d'économie : Il ne faut pas toucher à l'emploi à domicile - 11/06

Intégrale Placements

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 6:00


Ce mercredi 11 juin, l'idée de Bercy de tailler dans la niche fiscale pour les emplois à domicile afin de réaliser des économies a été abordée par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

L'invité de RTL
BUDGET 2026 - Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, est l'invitée de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 11:06


Bercy a demandé à chaque ministère de présenter des réductions de dépenses en vue du budget 2026. Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, va recevoir chaque ministre pour préparer le budget ce mardi. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 10 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
MaPrimeRénov, retraites: où faire des économies? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 64:46


C dans l'air du 7 juin 2025 - Budget : Une "année blanche" pour trouver 40 milliards ?« Encombrement » et « excès des fraudes ». Telles sont les raisons invoquées cette semaine au Sénat par le ministre de l'Économie, Éric Lombard, pour suspendre temporairement MaPrimeRénov'. L'enveloppe budgétaire aurait été consommée, le gouvernement veut donc remettre à plat ce levier pour encourager la rénovation énergétique des logements.De quoi mettre vent debout l'opposition de gauche. « Votre gouvernement accélère son désengagement brutal du financement de la transition écologique », a dénoncé le sénateur écologiste Ronan Dantec. « Une fois réglé, le processus pourra continuer » a voulu rassurer Lombard. En attendant, les particuliers doivent toujours patienter longtemps avant de recevoir l'aide promise. C dans l'air a rencontré un habitant de Clamart (Hauts-de-Seine) qui attend désespérément 40.000 euros suite à la rénovation de son logement.Cette suspension arrive au moment où le gouvernement cherche 40 milliards d'euros pour renflouer les caisses de l'État. C'est l'équation sur laquelle planche Bercy pour le budget 2026. Plusieurs pistes se dessinent comme celle de la TVA sociale. Mais cette mesure a ses détracteurs : les syndicats, la gauche, et le RN, qui pourrait censurer François Bayrou sur ce motif. Celui-ci évoque aussi la possibilité d'une année blanche pour geler tous les budgets, comme les allocations, le portefeuille des collectivités ou l'indexation des retraites - sujet hautement sensible. Le Premier ministre, qui a annoncé qu'il allait demander "un effort à tous les Français", a fixé le 14 juillet comme date limite pour présenter son plan d'économies. L'impossible équation budgétaire est aussi l'occasion pour plusieurs ténors de se positionner pour 2027. Dans son dernier livre, Édouard Philippe prône la rigueur budgétaire mais Xavier Bertrand l'accuse d'être en partie responsable du bilan macroniste. La popularité de Philippe est aussi rattrapée par celle de Bruno Retailleau. Beaucoup verrait bien le très droitier ministre de l'Intérieur à l'Élysée. Alors, quels sont les problèmes de MaPrimeRénov' ? François Bayrou fera-t-il passer son budget 2026 ? Qui est le mieux placé à droite pour la présidentielle ?LES EXPERTS :Nathalie SAINT-CRICQ - Editorialiste politique à France TélévisionsFrançois ECALLE - Ancien rapporteur général à la Cour des Comptes, président de FipecoThomas PORCHER – Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur du VacataireIsabelle RAYMOND - Cheffe du service économique à Franceinfo

Ecorama
Ménage, garde d'enfant, bricolage : votre crédit d'impôt bientôt réduit ?

Ecorama

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 13:18


La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin envisage de réévaluer le soutien public aux services à domicile, dans le cadre du Budget 2026. Une niche fiscale qui bénéficie à plus de 4 millions de foyers par an, et que Bercy pourrait fortement raboter pour faire des économies. Les explications de Charles Sannat, fondateur du site insolentiae. Ecorama du 2 juin 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

C dans l'air
Trump : business, diplomatie... et des succès ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 16, 2025 64:27


C dans l'air du 16 mai 2025 : Trump : business, diplomatie... et des succès ?Depuis son retour à la Maison-Blanche, le président des États-Unis ne cache rien de sa méthode. "La meilleure chose que vous puissiez faire est de négocier en position de force. L'effet de levier est votre plus grande force. En d'autres termes, vous devez convaincre l'autre partie qu'il est dans son intérêt de conclure l'affaire", écrit le président des États-Unis dans son livre consacré à la négociation, "The Art of the Deal".Une stratégie du businessman dont Donald Trump se sert également sur la scène internationale, en matière diplomatique dans le dossier de la guerre en Ukraine ou au Moyen-Orient. Le président américain, qui achève ce vendredi une tournée fastueuse du Golf, a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux, assumant sans complexe de "faire de la vente". Après avoir récolté 600 milliards de dollars en Arabie saoudite et un contrat de 200 milliards de dollars pour Boeing au Qatar, il s'est vu promettre jeudi à Abou Dhabi 1.400 milliards de dollars d'investissements sur dix ans. Au cours de cette tournée, le président des Etats-Unis a aussi fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien, assortie d'une levée des sanctions.Pour Donald Trump, tout est une question de business et de rapport de force. C'est ainsi qu'il a annoncé au début de son mandat la réactivation de surtaxes douanières importantes avant d'ouvrir des négociations et de rétropédaler. La Chine était particulièrement dans le viseur de cette guerre commerciale. Les taxes douanières des États-Unis contre les produits chinois étaient montées à 145 %. A l'issue de deux jours de discussions à Genève le week-end dernier, ces droits de douanes seront finalement réduits à 30 %, tandis que le taux imposé par la Chine aux produits américains, qui était passé à 125 %, tombera à 10 %. Un exemple révélateur de la négociation du businessman qui multiplie les mesures protectionnistes pour inverser le mouvement de délocalisation et faire revenir les emplois.Au cours de cette bataille commerciale, celui qui a pour doctrine "America First" a également renouvelé les appels aux entreprises étrangères pour qu'elles délocalisent leur production sur le sol américain, en échange d'une fiscalité plus avantageuse et d'un accès sécurisé au marché intérieur. Ce message, déjà martelé lors de son premier mandat, semble avoir été entendu par plusieurs grands groupes qui ont récemment annoncé de nouveaux investissements aux États-Unis : le constructeur automobile sud-coréen Hyundai prévoit d'investir 21 milliards de dollars sur les quatre années à venir, le géant pharmaceutique français Sanofi 20 milliards de dollars d'ici 2030, l'armateur français CMA-CGM 20 milliards de dollars en quatre ans.En France, le patron de Bercy a déploré l'investissement colossal des groupes français outre-Atlantique. "L'ampleur des investissements aux États-Unis, c'est sûr que c'est un mauvais signal à un moment où nous considérons et nous sommes convaincus que (...) l'Europe et la France, c'est l'endroit où il faut investir", a expliqué le ministre de l'Économie. Le président de la République qui avait appelé les entreprises françaises à suspendre leurs investissements aux États-Unis a fait son retour cette semaine sur la scène intérieure. Sur TF1, il a promis de "sauver" les sites ArcelorMittal mais sans nationaliser. La solution viendra avant tout de la faculté de "recréer les conditions d'une concurrence loyale". "Et pour cela nous allons durcir le déclenchement des clauses de sauvegarde entre l'Europe et les pays extra-européens", a expliqué le chef de l'État jeudi lors d'un point devant la presse régionale.Alors la méthode de négociation de Donald Trump est-elle efficace ? Est-il en train de perdre sa guerre commerciale face à la Chine ? En quoi consiste sa diplomatie du business ? Et que se passe-t-il chez ArcelorMittal ? LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance- Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine,auteure de L'art de Trumper - Béatrice MATHIEU - Grand reporter - L'Express - Philippe MABILLE - Directeur éditorial - La Tribune et La Tribune Dimanche

Laissez-vous Tenter
MUSIQUE - DJ Snake veut marquer l'histoire du Stade de France

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later May 9, 2025 3:00


Semaine chargée pour l'artiste de 38 ans : DJ Snake a inauguré sa statue de cire au musée Grévin à Paris et s'apprête à électriser à la fois le Stade de France puis Bercy dans la même soirée. C'est tout simplement du jamais vu § Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Marie Gicquel du 09 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Revue de Presse
Un ancien conseiller de Bercy publie un livre sur les ovnis

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later May 7, 2025 6:46


Sylvain Maisonneuve, expert en gestion de crise, croit dur comme fer en l'existence d'une vie extraterrestreMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Laissez-vous Tenter
LA STAR DU JOUR - DJ Snake va enchaîner Stade de France et Bercy samedi soir

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later May 6, 2025 2:48


DJ Snake, né William Grigahcine, aura 39 ans le 13 juin. Il a grandi dans le Val-d'Oise et c'est en regardant le film "La Haine" de Matthieu Kassovitz qu'il a décidé de devenir DJ. Plus jeune, il faisait beaucoup de graffitis dans les rues, et comme il échappait tout le temps à la police, ses potes l'avaient surnommé le serpent, le "snake". Voilà pourquoi il s'appelle DJ Snake. Et il s'apprête à entrer un peu plus encore dans l'histoire.. Ecoutez La star du jour avec Anthony Martin du 06 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Experts
Les Experts : Les 100 jours de poker menteur de Donald Trump - 30/04

Les Experts

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 27:44


Ce mercredi 30 avril, la possibilité de dresser un bilan des cent premiers jours de Donald Trump sur le plan économique et social depuis son arrivée au pouvoir, ainsi que les principales mesures de Bercy pour lutter contre les petits colis en provenance d'Asie, ont été abordées par Guillaume Dard, président de Montpensier Arbevel, Jérôme Dedeyan, associé de ToutSurMesFinances.com et président de Mon Partenaire Patrimoine, et André Loesekrug-Piétri, président de Jedi et fondateur d'A Capital, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Doze La Polémique
Doze d'économie : Colis chinois, le gouvernement serre la vis - 30/04

Doze La Polémique

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 5:42


Ce mercredi 30 avril, les deux principales mesures dévoilées par Bercy ce mardi, pour tenter d'enrayer l'afflux des petits colis chinois, ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Doze d'économie : Colis chinois, le gouvernement serre la vis - 30/04

Intégrale Placements

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 5:42


Ce mercredi 30 avril, les deux principales mesures dévoilées par Bercy ce mardi, pour tenter d'enrayer l'afflux des petits colis chinois, ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Doze La Polémique
Doze d'économie : Bercy s'attaque aux agences de l'État - 28/04

Doze La Polémique

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 5:41


Ce lundi 28 avril, le souhait d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, de fusionner ou de supprimer un tiers des agences et des opérateurs de l'État pour générer "deux à trois milliards d'euros d'économies" a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

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Doze d'économie : Bercy s'attaque aux agences de l'État - 28/04

Intégrale Placements

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 5:41


Ce lundi 28 avril, le souhait d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, de fusionner ou de supprimer un tiers des agences et des opérateurs de l'État pour générer "deux à trois milliards d'euros d'économies" a été abordé par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Le Nouvel Esprit Public
La France et le contrôle de ses finances publiques / Bilan de l'action diplomatique du pape

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Apr 27, 2025 64:48


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 25 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LA FRANCE ET LE CONTRÔLE DE SES FINANCES PUBLIQUES Après une séquence de dérive des comptes publics « préoccupante », la Cour des comptes dans son rapport publié mi-février, chiffrait à 110 milliards d'euros l'effort à fournir pour ramener le déficit public à 3%. Les causes de ce déficit sont connues : des recettes fiscales inférieures de 40 milliards aux prévisions de la loi de finances et des dépenses plus élevées de 13 milliards, notamment du côté des collectivités locales. Selon le rapport de la Cour, la situation est due à des choix politiques. Tout d'abord, les experts reprochent au gouvernement des « hypothèses de croissance optimistes qu'il a fallu plusieurs fois réviser à la baisse ». Par ailleurs, ce dérapage est à mettre sur le compte de la mise en place, jusqu'en 2023, de baisses d'impôts « non financées » et de « l'absence d'économies structurelles sur le cœur de la dépense publique ». Ces facteurs combinés se sont traduits, selon le gendarme des comptes, par une « perte de contrôle de la dépense publique ». Face à ce constat, le premier président de la Cour des comptes Pierre Moscovici menace : « Nous pourrions ne pas certifier les comptes 2025. »Fin mars, l'Insee a annoncé que l'écart entre les recettes et les dépenses publiques a atteint 5,8% du PIB en 2024. Il s'agit du déficit public le plus massif depuis la guerre en valeur absolue, à l'exception de celui de l'année 2020, au pic de la pandémie de Covid-19. En atteignant 3.305 milliards d'euros, l'endettement public est monté à 113% du PIB fin 2024, a annoncé l'Insee. La dette publique française avait passé le cap des 100 milliards d'euros en 1981, celui des 1.000 milliards en 2003, puis celui des 3.000 milliards en 2023.Dans son rapport sur le dérapage des finances publiques publié le 15 avril,la commission d'enquête de l'Assemblée nationale rappelle que pour 2024, la prévision initiale de déficit public du gouvernement Borne était de 4,4% du PIB, revue à 5,1% en avril dernier par le gouvernement Attal, puis à 6,1% par celui de Barnier. Au final, ce déficit public pour 2024 s'est établi à 5,8% du PIB. Les deux rapporteurs, le macroniste Mathieu Lefèvre et le président de l'Union des droites pour la République, allié du Rassemblement national, Éric Ciotti, ont des visions opposées sur ces chiffres. Le premier attribue ces erreurs aux services de Bercy, le deuxième les lie à des dissimulations politiques.Malgré les discours, et même si le déficit budgétaire s'atténue peu à peu, la dette ne va pas diminuer de sitôt. Dans le budget 2025, il est prévu qu'elle monte à 115,5% du PIB en fin d'année. Dans un scénario jugé réaliste par la Cour des comptes, le ratio d'endettement pourrait dépasser 125% du PIB en 2029 et s'approcher des 130% dès 2031. D'autres économistes évoquent des ratios de 160% voire 170%, si l'État choisit d'investir massivement, notamment dans la transition énergétique ou l'armement. « Il est plus que temps de freiner et de reprendre le contrôle de nos finances publiques. Faute de quoi, nous risquons la paralysie, puis l'accident », met en garde Pierre Moscovici.BILAN DE L'ACTION DIPLOMATIQUE DU PAPEPape « du bout du monde », contrairement à ses prédécesseurs européens, Jorge Mario Bergoglio a déplacé l'axe diplomatique du Vatican vers les pays du Sud. De la dénonciation du système économique mondial, à la défense des migrants en passant par ses plaidoyers pour l'écologie, la paix, le dialogue avec l'islam, ou la lutte contre l'arme nucléaire, le pape François a été porté par une vision, inspirée de celui dont il avait choisi le nom, François d'Assise. À l'échelle internationale, appuyé sur un solide réseau diplomatique, ce dont rêvait François, c'était, « le renforcement du multilatéralisme, expression d'une coresponsabilité mondiale renouvelée, d'une solidarité fondée sur la justice et sur la réalisation de la paix et de l'unité de la famille humaine, projet de Dieu sur le monde ». Lui-même issu d'une famille de migrants - ses parents ont quitté l'Italie pour l'Argentine - François, dès le début de son pontificat, a pointé avec vigueur les drames de la migration. Son premier déplacement a eu lieu en juillet 2013, à Lampedusa, où il s'est indigné de la « mondialisation de l'indifférence », un thème clef de ce pontificat. Ce qui lui valu de sérieuses tensions avec l'Occident et en particulier les États-Unis.Partisan de la paix à tout prix et de la politique de l'apaisement, le pape considérait que « toute guerre est une défaite ». Même les guerres de libération ou de légitime défense. Car « il n'existe pas de guerre juste ». Pas même en Ukraine où François n'a eu de cesse jusqu'en mai 2022, d'appeler à l'arrêt des combats, se refusant à reconnaître la responsabilité de Vladimir Poutine et de la Russie, avançant que la « colère » du Kremlin avait pu être « facilitée » par « les aboiements de l'OTAN à la porte de la Russie ». Au Moyen-Orient, depuis le massacre du 7 octobre 2023, les relations entre le Saint-Siège et Israël étaient devenues de plus en plus difficiles. Le pape s'est vu notamment reprocher d'avoir tardé à exprimer son horreur face au massacre perpétré par le Hamas.Dans le droit fil de la tradition jésuite, le pape François a porté une attention très particulière aux 12 millions de catholiques de la République populaire de Chine. Sous son autorité, un accord secret a été signé en 2018 avec Pékin sur la nomination des évêques. Un accord qui a fait débat. Au chapitre des avancées diplomatiques, François a œuvré au rapprochement historique entre les États-Unis et Cuba et joué un rôle dans la réconciliation en Colombie ainsi que dans la libération d'enfants ukrainiens capturés par les Russes, tandis que le dialogue interreligieux aura progressé, notamment avec l'université al-Azhar du Caire.En revanche, bousculant l'Europe, « grand-mère stérile » et égoïste à ses yeux, le pape n'a réalisé aucune visite officielle dans les grands pays européens de tradition catholique, comme la France, l'Espagne ou l'Allemagne.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Histoires pour enfants: Raconte-moi Paris
Le Musée des Arts Forains

Histoires pour enfants: Raconte-moi Paris

Play Episode Listen Later Apr 26, 2025 9:26


Dans cet épisode, partez à la découverte du Musée des Arts Forains, installé dans les anciens chais de Bercy. Chevaux de bois, manèges à pédales, salles de bal à la vénitienne et jeux d'adresse d'un autre siècle : tout dans ce musée raconte la magie populaire des fêtes d'antan. Mais derrière les décors colorés, c'est aussi une page de l'histoire de Paris qui s'écrit – celle du commerce du vin, de la vie ouvrière et de la métamorphose d'un quartier.Un épisode entre patrimoine, poésie et émerveillement.Le Musée des Arts Forains se visite sur réservation iciAccompagnements musicaux: Lighter shades © Evert Z, Sunrise © Antony Vega, Anticipating you © Antony Vega, Special Times © Antony Vega,Tender Remains©Myuu, les Deschevalets©MrKey, The Swan Saint-Saëns ©Yael Kareth, Sleep ©Scott Buckley, Make your mine©Mina, Academy © MrKey_LMK Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le café de l'e-commerce
231 - Shopify & ChatGPT, DHL & les colis bloqués, Kering & la chute de Gucci

Le café de l'e-commerce

Play Episode Listen Later Apr 26, 2025 28:32


Le Café de l'e-commerce, c'est le podcast qui vous propose de faire votre veille e-commerce, différemment, dans vos oreilles — même si vous ne savez toujours pas si l'UE taxera vos colis venus de l'autre bout du monde.Dans cet épisode, on vous parle d'IA acheteuse, de célébrités dans les rayons, d'apps chinoises au top des stores US et de cookies qui refusent de mourir.Mais aussi :

C dans l'air
Impôts : les retraités vont-ils plus payer ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 64:10


C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro

Les Experts
Les Experts : Budget 2026, Bercy en quête d'économies - 17/04

Les Experts

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 19:17


Ce jeudi 17 avril, les pistes du gouvernement pour trouver 40 milliards d'euros d'économies dans le budget 2026 ont été abordées par Pierre-Henri de Menthon, directeur de la rédaction de Challenges, Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des Economistes, et Patrick Bertrand, directeur général des opérations d'Holnest, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les Experts
Les Experts : Bercy ouvre la chasse aux niches fiscales - 17/04

Les Experts

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 27:59


Ce jeudi 17 avril, la différence entre la gestion d'un État et la gestion d'entreprise, et la question des niches fiscales auxquelles le gouvernement veut s'attaquer en vue de réaliser 40 milliards d'économies d'ici 2026, ont été abordées par Pierre-Henri de Menthon, directeur de la rédaction de Challenges, Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des Économistes, et Patrick Bertrand, directeur général des opérations d'Holnest, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - Les niches fiscales qui bénéficient à moins de 100 contribuables dans le viseur de Bercy

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 1:25


Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
EXTRAIT - Les niches fiscales qui bénéficient à moins de 100 contribuables dans le viseur de Bercy

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 1:25


Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Experts
Les Experts : Budget 2026, Bercy en quête d'économies - 14/04

Les Experts

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 20:14


Ce lundi 14 avril, la question du budget 2026 a été abordée par Nathalie Janson, professeure d'économie à Neoma Business School, Dorothée Rouzet, chef économiste de la direction générale du Trésor, et Guillaume Richard, président du groupe de services à la personnes OuiCare, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

L'invité de RTL
FINANCES PUBLIQUES - André Laignel est l'invité de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 9:25


L'association des maires de France, la principale organisation d'élus du pays, vient de décider qu'elle ne se rendrait pas ce mardi à la « conférence nationale des finances publiques » organisée par Matignon. En cause : l'inquiétude des collectivités d'être mises à contribution dans la recherche d'économies de Bercy. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 14 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
DROITS DE DOUANE - François-Xavier Bellamy est l'invité de Yves Calvi

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 9:52


Le ministre de l'Économie, Éric Lombard, a rencontré ce mercredi 9 avril les représentants du secteur économique à Bercy. Il a échangé avec eux en amont d'une nouvelle réponse de l'Union européenne aux droits de douane imposés par les États-Unis. Cette rencontre a également eu lieu dans le contexte d'une révision à la baisse des prévisions de croissance pour la France. Écoutez le sentiment de François-Xavier Bellamy, député européen Les Républicains. Ecoutez L'invité de Yves Calvi du 09 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Trump et la Chine: l'inquiétante escalade - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 63:56


C dans l'air du 8 avril 2025 - Trump et la Chine: l'inquiétante escaladeÀ moins de vingt-quatre heures de l'entrée en vigueur des taxes Trump sur les produits du monde entier, le bras de fer se durcit entre Pékin et Washington. La Chine a promis ce mardi de combattre les droits de douane américains "jusqu'au bout" malgré la menace de Donald Trump de nouvelles surtaxes. Hier, le président américain a menacé de porter à 104 % les droits de douane sur les produits chinois, en lieu des 54 % annoncés la semaine dernière (34 % qui s'additionnaient aux 20 % ajoutés depuis son retour à la Maison-Blanche) si Pékin ne renonçait pas immédiatement à ses représailles. La Chine a décidé vendredi dernier de taxer à son tour à hauteur de 34 %, dès le 10 avril, tous les produits importés des États-Unis.Depuis les places boursières mondiales plongent, les partenaires commerciaux s'inquiètent mais le président américain refuse de faire machine arrière et continue de reprocher à la Chine de ne "pas avoir pris en compte (son) avertissement […] de ne pas répliquer". S'il met à exécution sa dernière menace, cela fera doubler le prix des produits chinois à l'entrée sur le sol américain. "La Chine n'acceptera jamais cela", a déclaré un porte-parole du ministère du Commerce chinois. "Personne ne sort gagnant d'une guerre commerciale ou douanière et le protectionnisme ne mène à rien. Les Chinois ne créent pas de problèmes mais n'en ont pas peur. La pression, les menaces et le chantage ne sont pas la bonne façon de traiter avec la Chine", a indiqué également le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, ajoutant : "Si les États-Unis ignorent les intérêts des deux pays et de la communauté internationale et persistent à lancer une guerre des droits de douane ou une guerre commerciale, la Chine les combattra jusqu'au bout".Alors jusqu'où ira le bras de fer entre les deux superpuissances ? Si Donald Trump a décidé de relancer sa guerre économique en opérant un virage protectionniste radical, il délaisse en revanche le rôle, longtemps dévolu à son pays, de gendarme du monde. Et la Chine entend bien en profiter. Pékin essaie en effet de faire de cette situation une opportunité historique en nouant des partenariats avec les alliés de l'Amérique, et continue parallèlement de mettre une pression maximale sur Taïwan. Des exercices miliaires très impressionnants ont eu lieu autour de l'ile la semaine dernière. L'armée chinoise a mené des manœuvres mimant le blocage des voies d'approvisionnements maritimes et aériennes de "l'île rebelle", afin de faire monter la pression sur Taipei. Elle a même diffusé mardi dernier une vidéo montrant ses bâtiments de guerre et ses avions de chasse encerclant Taïwan, avec le titre "Ça se rapproche". Un message envoyé aussi à Washington. Car le frein que constituait l'annonce américaine de protéger Taiwan commence à s'affaiblir. Donald Trump, qui ne veut plus jouer au protecteur, pourrait-il laisser les mains libres à Xi Jinping ? Le dirigeant chinois n'a de son côté jamais caché son ambition d'unir à la Chine cette île considérée comme la 23ème province du pays.En Europe, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a appelé ce mardi, à "éviter l'escalade", après les droits de douane imposés par les États-Unis, lors d'un entretien téléphonique avec le Premier ministre chinois Li Qiang. L'UE tente de négocier avec les États-Unis mais elle a vu pour l'heure sa proposition d'abolir les droits de douane sur les produits industriels, dont les voitures, retoquée par l'administration Trump. "Ce n'est pas suffisant" a affirmé le président américain, assurant que le déficit commercial accusé par les États-Unis avec l'UE allait «disparaître rapidement» grâce à une augmentation des achats d'énergie américaine par les pays européens. Le ministre de l'Industrie et de l'Énergie de France reçoit cet après-midi à Bercy les industriels français pour élaborer une position française commune dans la riposte européenne. Celle-ci est attendue en début de semaine prochaine.Quelle forme prendra la réponse européenne ? Jusqu'où ira l'escalade des taxes ? Quelles conséquences pour les entreprises françaises ? Droits de douane, immigration… jusqu'où pourra aller Trump ? Les experts :- James ANDRÉ - Grand reporter - France 24 - Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale Université Catholique de Lille - Agatha KRATZ - Directrice associée de Rhodium Group - Olivier BABEAU - Essayiste - Président de l'Institut Sapiens

Les Experts
Les Experts : Droits de douane, sommes-nous préparés ? - 02/04

Les Experts

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 17:50


Ce mercredi 2 avril, la menace de Donald Trump à la France et à l'Union européenne d'imposer des droits de douane de 200% sur les vins et les spiritueux, ainsi que la révision à la baisse des prévisions de croissance prévue par Bercy, ont été abordées par Céline Antonin, économiste à l'OFCE, Emmanuel Combe, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business School, et Stéphane Carcillo, responsable de la division revenu/travail de l'OCDE et professeur à Sciences Po, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Chronique Economique
Trump veut interdire aux entreprises belges et européennes de pratiquer des politiques d'inclusion et d'égalité

Chronique Economique

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 3:58


Donald Trump vient encore de dégainer son arme préférée : l'intimidation. Cette fois-ci, ce sont nos entreprises européennes qui sont dans le viseur, et notamment en France. Certaines ont reçu un courrier pour le moins musclé de l'ambassade américaine. En substance, je vous lis : si vous voulez continuer à travailler avec l'Etat fédéral américain, abandonnez vos politiques de diversité, d'équité et d'inclusion, signé un mystérieux agent contractant basé à Paris. Donc cet agent donne cinq jours pour prouver que nous ne pratiquons aucune forme de discrimination positive. Et si, par malheur, l'entreprise en question a mis en place un programme de diversité, d'égalité et d'inclusion dans ses ressources humaines, ce serait contraire au décret fraîchement signé par Donald Trump, qui estime que ces politiques menacent la méritocratie, menacent la sécurité nationale et probablement aussi, si on l'écoute, les fondements même de l'univers. Evidemment, l'indignation est totale. Le Medef, le patronat français, parle de dérives. Bercy (le surnom du ministère de l'économie en France) rappelle fermement que ce ne sont pas nos valeurs. Bref, c'est la douche froide diplomatique. Car cette exigence, qui s'applique aussi aux sous-traitants de sous-traitants, va bien au-delà des frontières américaines. C'est, il faut le dire, une tentative d'exportation idéologique à coups de contrats et de menaces. Quelle serait la meilleure réponse à cette offensive ? C'est de continuer évidemment à défendre nos valeurs, de ne pas renier ce qui fait notre force sous prétexte de contrats juteux. Et surtout, garder la tête froide. L'administration Trump passera. La souveraineté, elle, ne devrait pas plier. Mots clés : Donald Trump, Maison-Blanche, intimidation, entreprises, européennes, viseur, France, courrier, musclé, ambassade américaine, travailler, Etat fédéral américain, abandon, politiques, diversité, équité, inclusion, courrier, signé, agent contractant, interdiction, interdire, Paris, forme, discrimination positive, programme, égalité, ressources humaines, contraire, décret, signé, menace, méritocratie, sécurité nationale, fondements, univers, indignation, medef, patronat, francais, bercy, dérive, ministère, économie, valeurs, sous-traitants, douche froide diplomatique, exigence, frontières, tentative, exportation, idéologique, idéologie, anti-américains, contrats, menaces, cible, Amérique, états-unis, président, ingérence, guerre, culturelle, culture, idéologie, menace, conviction, administration, belge, Belgique, europe, union européenne, contrats --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Experts
Les Experts : ZFE, un dispositif pour les riches ? - 27/03

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 27, 2025 26:58


Ce jeudi 27 mars, la suppression des zones à faible émission, que certains voient comme une mesure de discrimination pour virer les pauvres des villes afin que les riches respirent mieux, et le retrait à Bercy du monopole des exercices de planification macroéconomique et budgétaire, ont été abordés par Dany Lang, enseignant chercheur en économie à Sorbonne Paris Nord, Jérôme Dedeyan, associé de ToutSurMesFinances.com, et Philippe Trainar, professeur honoraire au Cnam, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les Experts
Les Experts : Une crise de la dette est-elle inévitable ? - 21/03

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 26:19


Ce vendredi 21 mars, le sujet de la dette française ainsi que la question des fraudes détectées par Bercy ont été abordés par François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, Philippe Mutricy, directeur des études de Bpifrance, et Roland Gillet, professeur d'économie financière à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Aujourd'hui l'économie
France: comment financer les dépenses militaires?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 3:11


Les ministres français de l'Économie et des Armées reçoivent, ce jeudi 20 mars, les investisseurs privés et les industriels de la défense. Objectif de ce rendez-vous : mobiliser des financements pour le secteur, cela alors que l'Union européenne entend se réarmer face à la menace russe. À l'ordre du jour, trouver les financements pour mener à bien ce projet. Décryptage. L'objectif est ambitieux pour la France. Aujourd'hui, les dépenses de la défense tricolore s'élèvent à un peu plus de 2% du PIB, ce qui correspond à environ 50 milliards d'euros. Le président français veut augmenter ce budget pour atteindre d'ici cinq ans les 100 milliards. La grande interrogation réside dans le financement de ce projet. Ces dernières semaines, une multitude de pistes ont été évoquées, plus ou moins prises au sérieux d'ailleurs, et c'est de cela dont il sera question tout à l'heure à Bercy.  Les banques sollicitées  Il suffit de voir qui est convié à cette réunion pour envisager quelques options qui s'offrent à l'exécutif, puisque ce sont les banques, les assurances ou encore des fonds d'investissements qui prendront part à l'événement. Les banques d'abord, via les livrets d'épargne. Le ministre de l'Économie et des Finances n'exclut pas la possibilité de mobiliser cette épargne privée mais attention, cela ne veut pas dire que l'État pourra obliger à investir dans des livrets qui vont être dirigés vers la défense et vers l'armement. Cela veut juste dire qu'il pourra simplement utiliser l'épargne existante, comme le Livret A. Évidemment le tout avec l'accord des banques. À lire aussiL'Europe peut-elle devenir un géant de l'industrie de défense?Il a aussi été question de la création d'un nouveau livret d'épargne spécifique aux dépenses militaires. Il s'agit là d'un produit bancaire permettant aux citoyens de contribuer directement au financement de l'effort de défense tout en bénéficiant d'avantages fiscaux. À ce stade, ça reste une piste parmi d'autres, mais quoi qu'il en soit, les banques restent en première ligne car ce sont elles qui prêteront de l'argent aux entreprises. La Fédération bancaire française estime que les six plus grandes banques du pays soutiennent déjà le secteur à hauteur de 37 milliards d'euros. Un choix politique Il y a aussi les assurances vie qui peuvent permettre de trouver des fonds. Et ce n'est pas négligeable. Les assureurs en France disposent via les contrats d'assurance vie, de plus de 2 000 milliards d'euros placés principalement dans des obligations d'État et d'entreprises. Si le secteur de la défense n'a pas forcément les faveurs des assureurs, plus attentifs ces dernières années aux critères environnementaux notamment, leur regard sur le militaire est en train de changer, voyant que le sujet devient de plus en plus stratégique.   À lire aussiL'Europe se réarme, le secteur de la défense se frotte les mainsEt puis on peut aussi penser à des financements 100% publics. L'Allemagne a fait ce choix et a trouvé une solution pour financer ses dépenses militaires en s'endettant. Mais s'endetter coûte cher et la France n'a plus les moyens, elle-même déjà très endettée. D'autant qu'Emmanuel Macron le promet, l'augmentation du budget militaire n'impliquera pas de hausse d'impôts. L'équilibre est donc très précaire. Faudra-t-il créer un nouvel impôt ? Faire des économies ? S'endetter ? Des enjeux financiers et économiques avec des conséquences sociales. Le financement de la défense française est plus que jamais une affaire de choix politique ! 

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 8h du 20/03/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 8:15


Dans cette édition :Annonce de la libération d'Olivier Grondeau, un Français détenu en Iran depuis 2022 et accusé d'espionnage par le régime de Téhéran.Point sur la guerre en Ukraine, avec Volodymyr Zelensky prêt à un arrêt des frappes sur les infrastructures et des négociations en cours entre la Russie et l'Ukraine.Discussions entre les dirigeants européens à Bruxelles pour tenter de peser sur les négociations de paix et maintenir l'aide militaire à l'Ukraine.Réunion à Bercy pour trouver des financements afin de réarmer l'Europe et la France, notamment en soutenant les PME de la défense.Débat au sein du gouvernement français sur l'interdiction du voile dans le sport, avec une décision finale du Premier ministre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Comment réarmer ? / Trump-Musk : quels contrepoids ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Mar 16, 2025 66:40


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 16 mars 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.COMMENT RÉARMER ?Après l'intervention télévisée du chef de l'État le 5 mars, la défense nationale est devenue la priorité du gouvernement. Fleurons de l'industrie de l'armement, PME et start-up innovantes, sous-traitants ... Tout un écosystème est mobilisé pour faire face à la menace russe amplifiée et au retrait de l'allié américain. Le ministre des Armées Sébastien Lecornu a évoqué une enveloppe de 100 milliards d'euros par an pour la défense à l'horizon 2030, contre 68 milliards inscrits dans la loi de programmation militaire, soit 1,5 point de PIB supplémentaire évoqué par le président de la République, pour passer de 2% à 3%-3,5% chaque année. Le ministre des Armées a esquissé quelques priorités : « Les munitions et la guerre électronique sont les urgences puis la dronisation et la robotisation des armées. » L'accélération des cadences est déjà visible sur certains segments comme les munitions, l'artillerie et les missiles. Il faut également rester performant dans le domaine de l'intelligence artificielle, et du spatial. Du côté des grands programmes, Sébastien Lecornu entend augmenter le nombre d'avions de combat et de frégates de premier rang.Les revues stratégiques successives qui évaluent régulièrement les menaces pesant sur le pays et prévoient les moyens d'y répondre, n'ont jamais écarté le risque d'un retour de la guerre de haute intensité. C'est pourquoi le modèle d'armée complet français a toujours été préservé au nom de la souveraineté nationale, afin de pouvoir agir sur tous les niveaux de conflictualité, même s'il a souvent été qualifié d'échantillonaire. La France s'inscrit également dans un cadre européen avec de nombreux programmes de coopération comme le système de combat aérien du futur avec l'Allemagne et l'Espagne ; l'hélicoptère du futur avec notamment l'Italie, l'Espagne, et l'Allemagne ou les missiles avec le Royaume-Uni.Interrogés par Ipsos-Ceci pour La Tribune Dimanche, les Français sont 68 % à considérer favorablement une augmentation du budget de la Défense quitte à augmenter encore les déficits pour 66 % d'entre eux et même sacrifier des budgets de l'Éducation ou de la Santé (51 %). La sécurité nationale passant ainsi devant la sécurité sociale. Avant d'en arriver là, le gouvernement veut toutefois explorer d'autres pistes de financement. Le ministre français de l'Économie, Éric Lombard, exclut d'activer la clause de sauvegarde prévue par Bruxelles pour financer les investissements dans la défense par de la dette. Parmi les outils envisagés à Bercy ou à Matignon, figurent notamment le recours au Livret A ou encore un grand emprunt. Vendredi, le président de la République, Emmanuel Macron a reçu les industriels de la défense pour leur fixer une nouvelle feuille de route visant à accélérer les cadences de livraison d'équipements. Face aux difficultés budgétaires et industrielles, Bercy doit organiser le 20 mars prochain une réunion rassemblant les banques et les assurances, mais aussi des acteurs de l'industrie de la défense.TRUMP-MUSK : QUELS CONTREPOIDS ?Les décisions et les méthodes de Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche, le 20 janvier, soulèvent des interrogations quant aux limites du pouvoir présidentiel aux États-Unis. Le système politique américain repose sur le principe des checks and balances, visant à ce que « le pouvoir arrête le pouvoir », comme l'avait théorisé Montesquieu au XVIIIème siècle. Chacune des trois branches du gouvernement – exécutif, législatif, judiciaire - dispose de moyens de contrôle sur les autres (checks) pour viser un certain équilibre (balance). Les Républicains contrôlent la présidence, la Chambre des représentants et le Sénat. Même si leur majorité à la Chambre est très étroite, la passivité des sénateurs conservateurs face aux nominations les plus controversées de Trump n'augure pas d'un rôle de frein à la présidence de la part du Congrès. Bien que les Républicains n'aient pas capturé l'ensemble du pouvoir judiciaire, ils disposent d'une nette majorité à la Cour suprême.Depuis deux mois, les recours en justice se multiplient dans les États fédérés à majorité Démocrate qui cherchent à mettre en place des contentieux stratégiques sur quasiment toutes les mesures : suspension des traitements médicaux pour les personnes transgenres, autorisations pour Elon Musk d'accéder aux informations du fisc et de la Sécurité sociale, licenciements massifs de fonctionnaires publics ou intimidations à leur encontre, suppression du droit du sol pour les personnes nées de parents irrégulièrement ou temporairement immigrés, élimination de plusieurs autorités administratives …Même les Églises se tournent vers la justice pour protéger les lieux de culte du décret y autorisant les raids de la police de l'immigration. Mais une bonne partie des dossiers risquent soit d'être enterrés, soit portés devant une Cour Suprême qui a proclamé, avant l'élection de 2024, que Donald Trump, poursuivi dans de multiples affaires, bénéficiait d'une présomption d'immunité en raison du principe de séparation des pouvoirs. Et, le vice-président, J.D. Vance, diplômé de la faculté de droit Yale, a déclaré que « les juges n'ont pas le droit de contrôler le pouvoir légitime de l'exécutif. » En outre, si l'administration Trump décidait de désobéir à une décision des juges, la Cour ne dispose pas de moyens de coercition.Face à une opposition étonnamment passive et encore sonnée, les contrepouvoirs paraissent bien faibles. Sauf un, que Montesquieu ne connaissait pas : Wall Street. Les entreprises américaines, surtout les grandes entreprises cotées en Bourse, dépendantes du marché mondial et de la chaîne de valeur globale paraissent être les seules à pouvoir refreiner les ardeurs autocratiques du clan au pouvoir à la Maison Blanche. Wall Street, qui avait soutenu l'élection de Donald Trump, semble déjà déchanter.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr

Les Experts
Les Experts : Guerre commerciale, un choc positif pour l'UE ? - 13/03

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 19:46


Ce jeudi 13 mars, les possibles conséquences et les bienfaits que pourraient provoquer la guerre commerciale lancée par Donald Trump à l'Europe, ainsi que l'alerte de Bercy concernant la nécessité de trouver cinq milliards d'euros d'économies supplémentaires pour cette année 2025, ont été abordés par Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des Économistes, Xavier Jaravel, professeur à la London School of Economics, et Roland Gillet, professeur d'économie à Paris Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les Experts
Les Experts : Bercy cherche encore à faire des économies - 13/03

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 27:13


Ce jeudi 13 mars, la situation budgétaire de la France et les mesures de redressement évoquées par Bercy pour atteindre un objectif de déficit de 5,4% du PIB fin 2025 ont été abordés par Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des Économistes, Xavier Jaravel, professeur à la London School of Economics, et Roland Gillet, professeur d'économie à Paris Sorbonne et à l'Université Libre de Bruxelles, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les Experts
La chasse est ouverte, la Doze bonus de la semaine

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 7:18


La chasse aux taxes est ouverte, la guerre commerciale entre les États-Unis et l'Union européenne, chacun annonce des droits de douane contre droits de douane et la chasse aux milliards lancée par Bercy car le ministère de l'économie cherche 35 milliards d'euros pour 2026 c'est votre Doze bonus de la semaine.

RTL Matin
Un agent de Bercy mis en examen pour espionnage au profit de l'Algérie

RTL Matin

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 1:35


Ecoutez RTL Matin avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 13 mars 2025.

RTL Matin
GUERRE EN UKRAINE - Et si l'assurance-vie finançait la défense européenne ?

RTL Matin

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 1:30


Bruxelles a adopté un plan à 800 milliards d'euros. La France est censée atteindre un budget défense de 100 milliards... Il en manque donc 50. Et pour trouver cet argent, finalement pas de livret ni d'emprunt national, Bercy viserait plutôt l'énorme cagnotte de l'assurance-vie.

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - Un fonctionnaire de Bercy mis en examen pour espionnage au profit de l'Algérie

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 1:32


Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.

Les Experts
L'intégrale des Experts du mardi 4 mars

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 48:56


Ce mardi 4 mars, Nicolas Doze a reçu Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, et Jérôme Dedeyan, associé de ToutSurMesFinances.com, dans l'émission Les Experts sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les Experts
Les Experts : Déficit, Bercy met en place un "comité" - 04/03

Les Experts

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 19:47


Ce mardi 4 mars, le "Comité d'alerte", une sorte de nouvelle méthode de prévision économique qui associera le Parlement, les représentants de la Sécurité sociale et le premier président de la Cour des comptes, afin d'éviter une dérive budgétaire en 2025, a été abordé par Jean-Marc Daniel, professeur émérite à l'ESCP, Eric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'OFCE, et Jérôme Dedeyan, associé de ToutSurMesFinances.com, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Lenglet-Co
LENGLET-CO - La TVA des auto entrepreneurs sera maintenue sous une forme ou sous une autre dit Bercy

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Mar 3, 2025 2:27


Ecoutez Lenglet-Co du 03 mars 2025.