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Pour la troisième année consécutive, Bercy a surévalué les recettes de TVA. Une erreur qui devrait peser au moins 5 milliards d'euros dans les comptes publics et qui peut s'expliquer par plusieurs écueils.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plus de 150 entreprises françaises sont attendues à la Maison de la Chimie, à Paris, ce lundi 17 novembre, pour le sommet Choose France. Une édition rassemblant - cette fois - uniquement des groupes tricolores ; elle intervient alors que l'industrie française traverse une période difficile. C'est un rendez-vous devenu incontournable depuis 2018. Chaque année, Emmanuel Macron convie au château de Versailles des investisseurs étrangers qui font le choix de la France, l'occasion d'annoncer des projets qui se chiffrent à plusieurs milliards d'euros. Cette fois, seules les entreprises tricolores sont invitées pour cette « édition France » du sommet. À l'Élysée, on veut « célébrer la France qui réussit », montrer « qu'en dehors des débats politico-médiatiques, il y a des entreprises qui continuent d'investir ». Ce sommet s'inscrit d'ailleurs dans une séquence politique : il y a dix jours, le salon du Made in France se tenait à la porte de Versailles, et ce week-end, Emmanuel Macron a inauguré l'exposition du Fabriqué en France. Cette fois, d'après Bercy, l'idée est de « montrer qu'il y a une réalité qui dépasse le contexte budgétaire et l'instabilité internationale ». Une « nouvelle phase de désindustrialisation » Pourtant, pour les entreprises tricolores, la réalité est plutôt sombre. Au premier semestre 2025, il y a eu 44 ouvertures de sites industriels, contre 82 fermetures. Le solde est positif si on inclut dans les chiffres les extensions de sites, mais le constat de la Direction générale des entreprises est clair : il y a un « ralentissement de la réindustrialisation ». Pour Anaïs Voy-Gillis, chercheuse associée à l'université de Poitiers, cela va même plus loin. D'après elle, « on est dans une phase de destruction de valeur industrielle, une nouvelle phase de désindustrialisation ». Parmi les secteurs en crise, on note l'automobile. Avec, par exemple, l'annonce, il y a quelques jours, par l'équipementier allemand Mahle de la fermeture de son site de Moselle. L'agroalimentaire souffre également, à l'image de Danone qui va fermer son usine historique de Blédina, à Villefranche-sur-Saône. Discussions « à bâtons rompus » Alors qu'est-ce qui bloque ? Il y a l'instabilité politique en France, qui « retarde les investissements des entreprises », pour Anaïs Voy-Gillis. La féroce concurrence internationale est également l'un des facteurs qui explique ce ralentissement, venue notamment de Chine, qui inonde le marché européen de ses excédents de production. La semaine dernière, un collectif d'entrepreneurs français publiait, dans le Journal du dimanche, une tribune dénonçant la surtaxation et l'empilement des normes. Pour les entreprises françaises, ce sommet sera donc l'occasion d'évoquer toutes ces difficultés. À Bercy et Matignon, on promet des discussions « à bâtons rompus » avec les industriels. À lire aussiAu salon Made in France, les circuits courts s'opposent à la «fast fashion»
Depuis quelque temps, une vidéo devenue virale affirme qu'une nouvelle taxe frappera tous les paiements par carte bancaire en France à partir du 1er janvier 2026. Diffusée initialement par un compte appelé « Le Rapide », puis relayée sur Facebook, Instagram, YouTube et même dans des groupes de discussion, elle annonce l'instauration d'une « microtaxe transactionnelle » de 0,5 % sur chaque paiement électronique. Selon cette vidéo, aucun paiement n'échapperait à cette prétendue mesure : ni le sans contact, ni les paiements via smartphone, ni les achats en magasin, au restaurant ou en ligne. Plus on paierait par carte, plus on paierait de taxe, affirme la voix off.En réalité, cette annonce ne repose sur aucun fondement légal. Aucune trace d'une telle mesure n'existe sur les sites officiels comme Légifrance ou l'Assemblée nationale. Aucun amendement du projet de loi de finances pour 2026 ne mentionne l'idée de taxer chaque paiement par carte bancaire. Il s'agit donc d'une rumeur, dénuée de tout texte ou décision politique concrète.Pour autant, l'idée d'une microtaxe sur les transactions n'est pas entièrement nouvelle. Le ministère de l'Économie rappelle qu'un amendement allant dans ce sens avait été déposé l'an dernier dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025. Ce texte, porté par le sénateur Michel Canévet, proposait effectivement de taxer chaque paiement par carte. Mais il avait été rejeté par le Sénat, et aucune mesure de ce type n'a depuis été reprise ou soutenue par le gouvernement. Bercy confirme d'ailleurs qu'aucune décision n'est envisagée aujourd'hui pour créer une telle taxe.Cette idée de prélèvement sur les paiements électroniques a aussi été évoquée ailleurs, notamment en Suisse, où une initiative similaire avait été proposée en 2020. Toutefois, elle n'a jamais été appliquée non plus.Reste la question du fameux « 0,5 % » mentionné dans la vidéo. Ce pourcentage ne correspond pas à une taxe gouvernementale, mais aux frais que les commerçants paient déjà lorsqu'un client utilise une carte bancaire. Ces frais, qui peuvent varier entre 0,5 % et 1,5 % selon les cas, comprennent trois éléments : la commission d'interchange, les frais de réseau et la marge prélevée par la banque du commerçant. Ce coût est supporté par les professionnels, non par les particuliers, et il n'existe actuellement aucune mesure visant à y ajouter une taxe supplémentaire.En résumé, aucune taxe sur les paiements par carte n'entrera en vigueur en France en janvier 2026. La rumeur provient d'une confusion entre un amendement rejeté et les frais habituels payés par les commerçants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si le Bas-Rhin devenait le nouvel eldorado du lithium en France ? Entre Obernai et Erstein, trente-quatre communes sont concernées par un projet d'exploration ambitieux porté par la société Lithium de France. L'entreprise, installée à Haguenau, espère obtenir deux permis exclusifs de recherche sur un territoire de 175 kilomètres carrés : l'un pour le lithium et ses substances associées, baptisé « permis des Coteaux Minéraux », et l'autre pour la géothermie profonde, sobrement nommé « permis des Coteaux ». Deux ressources différentes, mais complémentaires — car là où la chaleur de la terre circule, les saumures géothermales peuvent aussi contenir du lithium, ce métal devenu stratégique pour la production de batteries.Les deux dossiers, déposés le 30 avril 2024 auprès du ministère de l'Économie, sont désormais soumis à consultation publique. À partir du 24 novembre, les habitants auront cinq semaines, jusqu'au 29 décembre 2025, pour donner leur avis via une plateforme en ligne. Cette consultation n'a rien d'une formalité : chaque contribution sera compilée dans un rapport transmis au ministre des Mines, aujourd'hui sous la tutelle de Bercy. Ce dernier prendra la décision finale après avis du Conseil général de l'économie. Trois issues sont possibles : accorder un permis, les deux, ou aucun.Sur le terrain, les enjeux sont multiples. Pour Lithium de France, il s'agit de sonder le sous-sol alsacien pendant cinq ans afin d'en évaluer le potentiel économique et environnemental. Pour les élus locaux et les habitants, la question est tout autre : comment concilier l'exploitation de ressources critiques avec la protection d'un territoire déjà sensible, marqué par les débats sur la géothermie profonde ? Le dossier est actuellement examiné par le Bureau de la politique des ressources minérales non énergétiques, basé à La Défense. Si les autorisations sont accordées, le Bas-Rhin pourrait bien devenir un maillon clé de la souveraineté minérale française — et pourquoi pas, un futur bastion de la batterie “made in France”. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 10 novembre 2025 « Secret ». La mention est tamponnée en haut à gauche de la missive, datée du 6 avril 2024. Sur France 5, hier soir, #Cdanslair a dévoilé en exclusivité, dans le cadre du documentaire intitulé Dette, un scandale français ?, la lettre d'alerte sur la dérive des comptes publics envoyée par Bruno Le Maire, alors ministre de l'Économie et des Finances, au président de la République, Emmanuel Macron. Et son contenu est explosif.Pointant une chute des recettes fiscales, le patron de Bercy y demandait des mesures d'économies pour limiter le déficit à 4,9 % en 2024. Ses recommandations n'avaient pas été suivies par le chef de l'État à l'époque. Le déficit public avait atteint 5,8 % du PIB cette année-là. Adressée deux mois avant les élections européennes, qui ont été suivies de la dissolution, Bruno Le Maire affirmait que, sans loi de finances rectificative, le gouvernement pourrait être accusé d'« insincérité ».« Nous risquons de nous faire accuser de cacher notre copie et des économies douloureuses pour le lendemain des élections européennes. »« Nous ouvrirons immédiatement un contentieux avec toutes les oppositions », avait-il écrit, prévenant Emmanuel Macron que « toute stratégie d'évitement est vouée à l'échec ».Questionné ce lundi sur franceinfo, l'actuel ministre de l'Économie, Roland Lescure, a déclaré qu'il n'avait jusque-là pas connaissance de cette lettre d'alerte de son prédécesseur.« Je me sens aussi responsable que lui et que tous les autres de la situation dans laquelle on est », a-t-il dit.« Il y a une omission d'État », a fustigé, le même jour, Éric Coquerel, président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, interrogé sur BFMTV.« Rétrospectivement, ça veut dire que le budget qui était présenté était insincère », a-t-il ajouté.De son côté, le Rassemblement national dénonce « un scandale d'État ».Ces révélations interviennent alors que le marathon budgétaire se poursuit à l'Assemblée nationale. Les députés examinent le projet de loi de financement de la Sécurité sociale : après avoir adopté samedi la partie recettes à une courte majorité, ils débattent désormais du volet dépenses, qui comprend l'article suspendant la réforme des retraites.Sur le terrain, la grogne monte. Après les manifestations de la semaine dernière pour défendre le pouvoir d'achat des retraités, la Fédération nationale des médecins radiologues estime qu'environ 70 à 80 % de la profession est en grève ce lundi, pour protester contre les baisses tarifaires imposées par la CPAM.Le secteur associatif tire lui aussi la sonnette d'alarme. Invité récemment de #Cdanslair, Benoît Hamon a alerté sur les coupes budgétaires massives que pourrait subir le monde associatif dans le projet de budget 2026.Nos experts : - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste La Tribune Dimanche- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de "Métamorphoses françaises"- Thierry BRETON - Ancien ministre des Finances et ancien commissaire européen
C dans l'air spécial du 9 novembre 2025 - Dette : un scandale français ?Documentaire réalisé par réalisé Alain Pirot et Gaëlle Schwaller diffusé le dimanche 9 novembre 2025 à 21H05 sur France 5.Le ministre de l'Économie resté 7 ans en place revient sur les dérapages des finances publics en 2023 et 2024. Que s'est-il passé au sein des services de Bercy ? Pourquoi l'alerte sur les comptes publics n'a-t-elle pas été révélée plus tôt ? Y a-t-il eu dysfonctionnement au sommet de l'état ? Entretien en longueur avec Caroline Roux.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actuHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rendez-vous avec le rappeur Orelsan, à l'occasion de la sortie de son nouvel album La fuite en avant et de son long métrage « Yoroi ». Retour sur ses 25 ans de carrière, de ses questionnements existentiels et doutes jusqu'à ses nombreuses victoires (12 Victoires de la musique, 4,5 milliards de streams dans le monde, plus de 840 millions de vues YouTube, 13 singles d'Or, 10 singles Platine, 12 singles Diamants, 1 album Diamant, un autre double Diamant, un triple Diamant, 1 album Platine et 18 Bercy au compteur dont 10 prévus déjà complets du 9 au 20 décembre 2026). Dans cet épisode : Ninho, Gringe, Denise & Shyn ainsi que Manu Lanzi offrent les vidéos surprises.
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C dans l'air du 7 novembre 2025 - Budget : pas de cadeaux à Noël…Aura-t-on un budget pour les fêtes de Noël ? À un mois et demi de la fin des débats sur le budget, le gouvernement s'échine à chercher des pistes pour réduire le déficit de la sécurité sociale (23 milliards d'euros). Dernière proposition polémique : diviser par deux l'enveloppe globale allouée à la prime de fin d'année pour les allocataires du Revenu de solidarité active (RSA). Pour faire simple, les 1,2 millions de bénéficiaires du RSA sans enfants ne la toucheraient plus. La mesure est loin d'être adoptée, mais le gouvernement cherche à tout prix à tailler dans les dépenses depuis l'annonce de la suspension de la réforme des retraites. Mercredi, les députés ont cette fois adopté la hausse de la Contribution sociale généralisée (CSG) de 9,2 à 10,6 %. Malgré l'échec de la taxe Zucman, rejetée par l'Assemblée, la gauche continue à négocier avec la majorité.Ancien héraut des socialistes, candidat malheureux à l'élection présidentielle de 2017, Benoît Hamon commente depuis quelques mois la crise politique qui frappe la France. PDG de l'association Singa et président de la Chambre d'économie sociale et solidaire, il dénonce les coupes budgétaires pour les associations. Selon une étude menée en septembre par le mouvement associatif, 40 % des associations ont déclaré réduire leur masse salariale, et 9 % procéder à des licenciements ou à un plan de sauvegarde. "Très concrètement, on fait une économie sur le retour à l'emploi et la possibilité de travailler de dizaines de milliers de personnes déjà vulnérables", s'indigne Benoît Hamon. L'ancien socialiste dénonce également la "faute morale" consistant à s'attaquer au budget des classes populaires (via le RSA par exemple), plutôt qu'à taxer davantage les plus riches : "C'est révoltant en termes sociaux, mais c'est révoltant aussi sur le plan moral."Si les débats s'annoncent toujours houleux à l'Assemblée nationale, une bonne nouvelle est arrivée fin octobre dans les bureaux de Bercy. La croissance française atteint 0,5 % au troisième trimestre, en hausse par rapport aux deux trimestres précédents. Le ministre de l'économie Roland Lescure s'est félicité d'une "performance remarquable" : "Malgré les soubresauts politiques et les incertitudes internationales, nos entreprises investissent, exportent et font progresser le pays." Certaines ont même décidé de renationaliser leur production, à l'image de la manufacture horlogère Yema, 15 millions d'euros de chiffre d'affaires et 50 salariés, dont une trentaine en Suisse. Depuis l'annonce des droits de douane américains de 39% sur les exportations Suisse, l'entreprise a décidé de se concentrer sur le made in France. Une équipe de C dans l'air est allée à la rencontre de son patron.Qui pourrait être touché par les nouvelles taxes votées sur l'épargne salariale des Français ? Comment expliquer le mal-être du secteur associatif en France ? Et comment expliquer le regain de croissance de l'économie française ?LES EXPERTS :- Bruno Jeudy - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Nathalie Mauret - Journaliste politique - Groupe EBRA- Benjamin Morel - Constitutionnaliste, professeur de droit public à l'Université Paris-Panthéon-Assas- Christine Kerdellant - Journaliste économique et essayiste
Dans cette édition :Un concert de l'Orchestre Philharmonique d'Israël à la Philharmonie de Paris a été perturbé par des activistes anti-israéliens qui ont interrompu la musique à plusieurs reprises, provoquant des échanges de coups avec le public.Un homme de 35 ans a percuté volontairement cinq passants avec sa voiture sur l'île d'Oléron, mais la justice n'a pas retenu le caractère terroriste de l'acte, ce qui suscite l'incompréhension des habitants.Renault a développé sa nouvelle Twingo en 21 mois seulement grâce à la collaboration d'une équipe d'ingénieurs français et chinois, une méthode plus rapide que par le passé.Un reliquaire contenant une vertèbre de Sainte-Thérèse de Lisieux a été acheminé sous bonne escorte jusqu'à l'Accor Arena de Bercy pour un grand rassemblement catholique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un concert de l'Orchestre Philharmonique d'Israël à la Philharmonie de Paris a été perturbé par des activistes anti-israéliens qui ont interrompu la musique à plusieurs reprises, provoquant des échanges de coups avec le public.Un homme de 35 ans a percuté volontairement cinq passants avec sa voiture sur l'île d'Oléron, mais la justice n'a pas retenu le caractère terroriste de l'acte, ce qui suscite l'incompréhension des habitants.Renault a développé sa nouvelle Twingo en 21 mois seulement grâce à la collaboration d'une équipe d'ingénieurs français et chinois, une méthode plus rapide que par le passé.Un reliquaire contenant une vertèbre de Sainte-Thérèse de Lisieux a été acheminé sous bonne escorte jusqu'à l'Accor Arena de Bercy pour un grand rassemblement catholique.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tommy, Billy and Ed debrief a chaotic few weeks: Billy's mystery crash and MRI, Sea to Sky tyre regret, Getzen lessons, and why he muted comments. Tommy goes deep on career rivalries — including THAT Herlings year, the Bercy promoter's choice saga, and start-straight warfare. We chat coaching, Osset trials for kids, winter sand plans, and tease a new app.Drop your “Top 3” for next week: chocolate bars, worst Celebrations, and race snacks.
Comment annoncer l'Évangile en France aujourd'hui ? Vaste question qui va animer les discussions de plusieurs dizaines de milliers de chrétiens 30 000 chrétiens réunis du 7 au 9 novembre à Paris. Trois jours pour réfléchir, prier et partager autour de l'enjeu de la mission en France. Parmi les temps forts : la messe célébrée dans la salle mythique de l'Accor Arena de Bercy samedi 9 novembre, messe présidée par le Cardinal Dieudonné Nzapalainga. À l'occasion du Congrès Mission à Paris, l'archevêque de Bangui, partage sa vision de la mission en France. Artisan du dialogue interreligieux, il invite à la rencontre avec l'autre et la construction d'un monde plus fraternel.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Indignation à Paris », s'exclame le Guardian à Londres. « La France menace d'interdire Shein pour la vente de poupées sexuelles “à l'allure enfantine“ », titre le New York Times qui constate que « cette polémique vient s'ajouter à la grogne croissante en France contre le géant chinois du commerce en ligne, qui s'apprête à ouvrir demain mercredi son premier magasin physique à Paris. » « C'est comme si un obscur monde souterrain aux implications morales, économiques et environnementales problématiques jaillissait en pleine Ville-Lumière, souffle Le Temps à Genève. Ce début de semaine est marqué en France par la conjonction de deux polémiques qui se nourrissent l'une l'autre : celle de l'ouverture à Paris du premier magasin Shein au monde, au sein du mythique BHV, le Bazar de l'Hôtel de Ville, et celle des poupées pédopornographiques en vente sur la plateforme en ligne du même Shein. » Certains consommateurs s'y retrouvent, certes, mais, relève le quotidien suisse, « face à la jungle de l'e-commerce low cost, les politiques, eux, désemparés, ne peuvent qu'agiter les bras ». Pourtant, « quelles que soient les raisons du succès de Shein, il y a des trous dans les filets législatifs qu'il faut à tout prix colmater rapidement pour empêcher l'essor d'un commerce dont les aspects contraires aux lois et aux valeurs européennes sont évidents », estime encore Le Temps. Énième provocation Libération à Paris fulmine : « Un mois de vive polémique, de grèves, de pétitions, de fuite des marques et des investisseurs… Mais rien n'a arrêté le patron du BHV, Frédéric Merlin, soupire le journal. Demain mercredi, le géant chinois de la mode ultra-éphémère Shein ouvrira son tout premier magasin physique au BHV. Une “première mondiale“ s'enthousiasme son gérant qui s'affiche avec le président exécutif de Shein en façade du bâtiment. Une énième provocation, s'indigne Libération, alors que, le même week-end, la découverte de poupées sexuelles à caractère pédopornographique sur le site d'e-commerce a fait bondir jusqu'au plus haut sommet de l'État. Le ministre de l'Économie a assuré qu'en cas de récidive, il demanderait "à ce qu'on interdise l'accès à la plateforme Shein en France". Les faits sont graves, pointe encore Libération, et pourtant insuffisants à bannir le site d'e-commerce du territoire ou même des moteurs de recherche comme Google. La France semble incapable de stopper le rouleau compresseur chinois. La finalisation de la proposition de loi visant à réduire l'impact environnemental de l'industrie textile attend toujours. Et sans l'aide de l'Europe, le bras de fer paraît perdu d'avance. » La Croix fustige également la marque chinoise : « S'il est compréhensible, dans un contexte économique très difficile, l'attrait pour cette profusion d'objets et de vêtements à bas coûts n'en est pas moins désolant. Le modèle que promeuvent ces entreprises qui poussent à une consommation sans limites au mépris de l'environnement, des normes et de la loi, est néfaste en tout point. Il faut y résister collectivement. » Interdire Shein ? Une procédure « longue et fastidieuse » Ou, mais comment ? D'après Le Figaro, « une seule solution existe aujourd'hui pour bannir Shein du territoire français : elle consisterait, une fois toutes les sanctions possibles épuisées - et si le danger persiste malgré tout -, à ce que la Commission européenne somme le gendarme du numérique de l'État où est hébergée la plateforme de demander à la justice d'ordonner le blocage d'accès à Shein. Étant donné que le siège européen de Shein se trouve à Dublin, pointe Le Figaro, cette charge reviendrait alors au régulateur irlandais. Une procédure “longue et fastidieuse“, précise Bercy, et qui n'a en outre “jamais été employée“. » En tout cas, le ton monte un peu partout en Europe contre la mode jetable… « Bientôt, il sera trop tard, prévient La Repubblica à Rome. La société high-tech est passée, en un clin d'œil, du prêt-à-porter traditionnel à la “fast fashion“, puis à “l'ultra-fast fashion“. Une tendance alimentée par des sites web venus de Chine et de Hong Kong. D'immenses plateformes en ligne qui comptent au moins 45 millions d'utilisateurs actifs mensuels au sein de l'Union européenne. » Alors, constate La Repubblica, « de l'Allemagne à l'Italie, en passant par la France, les gouvernements et les autorités de la concurrence étudient des contre-mesures. » Notamment pour lutter contre les contrefaçons. Mais pour l'instant, donc, sans grands résultats…
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la tournée asiatique de Donald Trump. Elle s'est terminée par une rencontre avec son homologue chinois. Une rencontre dans un contexte de guerre commerciale entre les deux géants de l'économie mondiale. Une guerre commerciale qui a des conséquences sur les économies de nombreux pays. Comme à son habitude, le président américain a utilisé des superlatifs en long et en large pour décrire cette rencontre, la première depuis 2019, avec son homologue chinois. Avec - Paul Myers de la rédaction en anglais à propos du Masters de Paris, après plus de 30 ans passés à Bercy, il se joue désormais au Paris La Défense Arena - Vasilié Damiane pour la rédaction roumaine au sujet de grandes manoeuvres militaires qui ont lieu en Roumanie avec la participation de soldats français - Timbi Bah de la rédaction en fulfuldé au sujet du blocus pétrolier imposé par les jihadistes du JNIM au Mali.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la tournée asiatique de Donald Trump. Elle s'est terminée par une rencontre avec son homologue chinois. Une rencontre dans un contexte de guerre commerciale entre les deux géants de l'économie mondiale. Une guerre commerciale qui a des conséquences sur les économies de nombreux pays. Comme à son habitude, le président américain a utilisé des superlatifs en long et en large pour décrire cette rencontre, la première depuis 2019, avec son homologue chinois. Avec - Paul Myers de la rédaction en anglais à propos du Masters de Paris, après plus de 30 ans passés à Bercy, il se joue désormais au Paris La Défense Arena - Vasilié Damiane pour la rédaction roumaine au sujet de grandes manoeuvres militaires qui ont lieu en Roumanie avec la participation de soldats français - Timbi Bah de la rédaction en fulfuldé au sujet du blocus pétrolier imposé par les jihadistes du JNIM au Mali.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Lucie Castets à Bercy La dispute entre Christian Estrosi et Eric Dupond-Moretti Le budget cadeaux de Noël en forte baisse
Los detalles de la disculpa de Vinicius, Pedri, lesionado. Resultados de la Copa del Rey. España, a la final de la Liga de Naciones femenina. Alcaraz, eliminado en París-Bercy.
On Monday Match Analysis, Gill Gross analyzes Joao Fonseca's biggest win yet, taking an ATP 500 crown in Basel and leaving Alejandro Davidovich Fokina disappointed in another final. We'll also cover Jannik Sinner's tight win over Alexander Zverev to repeat as champion in Vienna. Then we'll preview the new-look Rolex Paris Masters in Bercy with dark horses, upset alerts, popcorn matchups and quarterfinal predictions.0:00 Intro0:30 Channel Announcement2:20 Fonseca Development9:55 Mental Game12:50 Fonseca-ADF Analysis22:00 Sinner def. Zverev Analysis36:25 Sinner Variety44:24 Vienna Takeaways47:00 Paris-Bercy49:10 Alcaraz Quarter53:20 Fritz Quarter59:49 Zverev Quarter1:05:00 Sinner Quarter1:07:28 Final Weekend IG: https://www.instagram.com/gillgross_/TikTok: https://www.tiktok.com/@gill.gross24/7 Tennis Community on Discord: https://discord.gg/wW3WPqFTFJTwitter/X: https://twitter.com/Gill_GrossThe Draw newsletter, your one-stop-shop for the best tennis content on the internet every week: https://www.thedraw.tennis/subscribeBecome a member to support the channel: https://www.youtube.com/channel/UCvERpLl9dXH09fuNdbyiLQQ/joinEvans Brothers Coffee Roasters, the Official Coffee Of Monday Match Analysis... use code GILLGROSS25 for 25% off your first order: https://evansbrotherscoffee.com/collections/coffeeAUDIO PODCAST FEEDSSpotify: https://open.spotify.com/show/5c3VXnLDVVgLfZuGk3yxIF?si=AQy9oRlZTACoGr5XS3s_ygItunes: https://itunes.apple.com/us/podcast/monday-match-analysis/id1432259450?mt=2 Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
Encore un coup d'arrêt ? peut-être celui qui va mettre un point final à la saison d'Ugo Humbert. Hier, le tricolore a abandonné en demi-finale du tournoi de Bâle face à Alejandro Davidovich Fokina. Humbert, victime de douleurs au dos n'a pas voulu prendre le moindre risque. Mais à 48h de son entrée en lice au Masters de Paris, le Français semble mal au point, lui qui a de nombreux points à défendre après sa finale à Bercy la saison dernière. Les galères continuent pour Humbert qui a enchaîné les blessures cette saison et s'il renonce au Masters de Paris, il perdra son statut de numéro 1 français.
Dans cette édition :Les débats sur le budget 2026 s'annoncent tendus à l'Assemblée nationale après le rejet de la partie recette du texte en commission, la gauche menaçant de censure et le Rassemblement National présentant un contre-budget avec 36 milliards d'euros d'économies.Après près de 40 ans à Bercy, le Masters de Paris de tennis déménage à la Défense Arena de Nanterre, une transformation complexe mais qui permettra d'accueillir un public plus nombreux.Le film "Sacré-Cœur", évoquant des apparitions du Christ, a été censuré par la mairie de Marseille au nom du principe de laïcité, suscitant la polémique.Un monochrome de Klein a été vendu aux enchères pour 18,4 millions d'euros, un record en France pour l'artiste.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les débats sur le budget 2026 s'annoncent tendus à l'Assemblée nationale après le rejet de la partie recette du texte en commission, la gauche menaçant de censure et le Rassemblement National présentant un contre-budget avec 36 milliards d'euros d'économies.Après près de 40 ans à Bercy, le Masters de Paris de tennis déménage à la Défense Arena de Nanterre, une transformation complexe mais qui permettra d'accueillir un public plus nombreux.Le film "Sacré-Cœur", évoquant des apparitions du Christ, a été censuré par la mairie de Marseille au nom du principe de laïcité, suscitant la polémique.Un monochrome de Klein a été vendu aux enchères pour 18,4 millions d'euros, un record en France pour l'artiste.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse au maintien de la taxe sur les holdings dans le projet de budget. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce vendredi 17 octobre, le montant colossal des niches fiscales a été abordé par Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Échos, Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste du cabinet d'audit BDO France, et Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Alors que le Premier ministre Sébastien Lecornu vient d'échapper, ce jeudi 16 octobre 2025, aux deux motions de censure déposées par LFI et le RN, le plus dur commence pour lui et son nouveau gouvernement avec la « bataille » budgétaire et particulièrement dans le secteur logement. Un mot que le chef de l'Exécutif a prononcé à deux reprises dans son discours de politique générale mardi à l'Assemblée nationale. Au cours de la présentation de la loi de finances (PLF) de 2026, Bercy a déjà clairement fait savoir qu'il ne retiendra pas le futur statut du bailleur privé. De quoi provoquer beaucoup de déception chez les promoteurs immobiliers, les agences immobilières, les investisseurs ou les constructeurs. Ils sont aujourd'hui convaincus qu'il faut amortir les logements mis en location pour une longue durée et les exclure de l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Dans ces conditions, un amendement gouvernemental pourrait toutefois permettre son retour lors du débat parlementaire car tout simplement et techniquement le Gouvernement ne peut pas changer la copie du projet de loi de finances qu'il a d'ores-et-déjà déposé au Conseil d'État et au Conseil des finances publiques. Interrogé aux Quatre-Colonnes, Mickaël Cosson, député (MoDem) des Côtes d'Armor et co-rapporteur avec le sénateur (LR) du Nord Marc-Philippe Daubresse sur la création du statut du bailleur privé en est convaincu : « La partie sur le statut du bailleur privé n'est pas perdue au moment même où le Premier ministre a encore déclaré que la loi se fera ici, au Parlement, pas à Bercy ! »
Alors que le Premier ministre Sébastien Lecornu vient d'échapper, ce jeudi 16 octobre 2025, aux deux motions de censure déposées par LFI et le RN, le plus dur commence pour lui et son nouveau gouvernement avec la « bataille » budgétaire et particulièrement dans le secteur logement. Un mot que le chef de l'Exécutif a prononcé à deux reprises dans son discours de politique générale mardi à l'Assemblée nationale. Au cours de la présentation de la loi de finances (PLF) de 2026, Bercy a déjà clairement fait savoir qu'il ne retiendra pas le futur statut du bailleur privé. De quoi provoquer beaucoup de déception chez les promoteurs immobiliers, les agences immobilières, les investisseurs ou les constructeurs. Ils sont aujourd'hui convaincus qu'il faut amortir les logements mis en location pour une longue durée et les exclure de l'impôt sur la fortune immobilière (IFI). Dans ces conditions, un amendement gouvernemental pourrait toutefois permettre son retour lors du débat parlementaire car tout simplement et techniquement le Gouvernement ne peut pas changer la copie du projet de loi de finances qu'il a d'ores-et-déjà déposé au Conseil d'État et au Conseil des finances publiques. Interrogé aux Quatre-Colonnes, Mickaël Cosson, député (MoDem) des Côtes d'Armor et co-rapporteur avec le sénateur (LR) du Nord Marc-Philippe Daubresse sur la création du statut du bailleur privé en est convaincu : « La partie sur le statut du bailleur privé n'est pas perdue au moment même où le Premier ministre a encore déclaré que la loi se fera ici, au Parlement, pas à Bercy ! »
33 millions de propriétaires doivent s'acquitter de leur taxe foncière avant le 20 octobre. Comptez 1090 euros en moyenne pour une maison et 865 euros pour un appartement. Des sommes conséquentes et qui ne sont pas toujours bien calculées. Peut-on contester son avis de taxe foncière? On pose la question à Arthur Quentin, journaliste à RMC Conso.
durée : 00:10:44 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Orelsan présete son nouveau film "Yoroï", coécrit avec et réalisé par David Tomaszewski, en salles le 29 octobre. Le rappeur évoque aussi la création autour de sa dizaine de Bercy, en cours de préparation, et qui clôturera une grande tournée des Zéniths en 2026. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:10:44 - L'invité de 7h50 - par : Benjamin Duhamel - Orelsan présente son nouveau film "Yoroï", coécrit avec et réalisé par David Tomaszewski, en salles le 29 octobre. Le rappeur évoque aussi la création autour de sa dizaine de Bercy, en cours de préparation, et qui clôturera une grande tournée des Zéniths en 2026. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La fraude financière dite « CumCum » est un montage sophistiqué utilisé par certains investisseurs pour éviter de payer l'impôt sur les dividendes en France. Derrière ce nom étrange se cache une mécanique financière aussi habile que coûteuse pour l'État. Selon le ministère des Finances, elle aurait fait perdre plusieurs milliards d'euros de recettes fiscales ces dernières années.Tout part d'un principe simple : lorsqu'une entreprise française verse un dividende à ses actionnaires, les investisseurs étrangers doivent en principe s'acquitter d'un prélèvement à la source, généralement autour de 25 %. Pour contourner cet impôt, certains fonds ou banques étrangères ont recours à une manœuvre temporaire. Juste avant le versement du dividende, ils « prêtent » leurs actions à un acteur français – souvent une banque ou une filiale locale. Ce dernier devient officiellement propriétaire des titres au moment où le dividende est versé, et comme il réside fiscalement en France, il n'a pas à payer de retenue à la source.Une fois le dividende encaissé, les actions sont restituées à leur propriétaire étranger, accompagné d'une compensation équivalente au dividende, moins une commission pour la banque française qui a servi d'intermédiaire. Ce transfert-éclair, souvent réalisé en quelques jours seulement, permet donc à l'investisseur d'encaisser le dividende comme s'il était résident fiscal français, sans verser le moindre impôt au Trésor.Le terme « CumCum » vient de l'expression latine cum dividendo (« avec dividende »), car l'opération consiste précisément à transférer temporairement la propriété d'un titre juste avant le versement du dividende. Ce système est proche d'un autre montage, le « CumEx », qui, lui, repose sur des remboursements frauduleux d'impôts déjà payés et qui a éclaté en Allemagne en 2017, provoquant un scandale européen.En France, le CumCum n'est pas toujours illégal : tout dépend de l'intention et de la durée de l'opération. Mais dans de nombreux cas, l'administration fiscale estime qu'il s'agit d'une fraude caractérisée, car l'objectif est purement fiscal et ne correspond à aucune réalité économique. Le Sénat et le collectif de journalistes européens Correctiv ont révélé que ces pratiques pourraient coûter plus de 3 milliards d'euros par an au fisc français.Depuis 2018, Bercy tente de serrer la vis : contrôles accrus, redressements, et clarification des règles de détention temporaire d'actions. Mais la sophistication de ces montages, souvent appuyés par de grands cabinets d'avocats et des banques internationales, rend la lutte difficile. En somme, le CumCum illustre à quel point la finance moderne sait jouer des frontières… parfois au détriment du contribuable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Dimanche soir, 18 ministres ont été nommés pour entrer dans le gouvernement de Sébastien Lecornu, attendu depuis près d'un mois. Les deux changements majeurs ont lieu à Bercy où arrive Roland Lescure et au ministère des Armées dont Bruno Le Maire prend la tête.
durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Dimanche soir, 18 ministres ont été nommés pour entrer dans le gouvernement de Sébastien Lecornu, attendu depuis près d'un mois. Les deux changements majeurs ont lieu à Bercy où arrive Roland Lescure et aux ministères des Armées dont Bruno Le Maire prend la tête.
durée : 00:15:28 - Journal de 8 h - Dimanche soir, 18 ministres ont été nommés pour entrer dans le gouvernement de Sébastien Lecornu, attendu depuis près d'un mois. Les deux changements majeurs ont lieu à Bercy où arrive Roland Lescure et au ministère des Armées dont Bruno Le Maire prend la tête.
Ce jeudi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse aux taxes que souhaite instaurer Bercy.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mercredi 24 septembre, la mobilisation des patrons à venir dans les prochains jours, qui ont décidé de donner de la voix avec un énorme meeting, pour rappeler la contribution des entreprises à la société française, ainsi que les pistes de Bercy pour le budget 2026 concernant une taxation des holdings familiales, ont été abordées par Agnès Verdier-Molinié, directrice de la fondation IFRAP, Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, et Isabelle Bordry, fondatrice de Retency, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 24 septembre, les propositions de Bercy concernant la taxation des holdings pour le budget 2026, le grand débat sur le pouvoir d'achat des Français, et la réglementation de l'intelligence artificielle, ont été abordés par Agnès Verdier-Molinié, directrice de la fondation IFRAP, Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, et Isabelle Bordry, fondatrice de Retency, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Bienvenue dans La Leçon, le podcast sur l'art d'échouer, cette semaine, je suis ravie de recevoir le chanteur, acteur et imitateur Michaël Gregorio !Au cours de cet épisode, vous le verrez, Michaël Gregorio revient sur deux anecdotes marquantes de sa carrière :
durée : 00:04:03 - Comme personne - Paris reçoit ce weekend les Internationaux de France de gymnastique. Plus de 15 000 spectateurs sont attendus. Des supporters qui vont aussi applaudir Marine Boyer. L'ex-capitaine des Bleues est l'ambassadrice de l'évènement. C'est la première fois qu'elle revient à Bercy depuis Paris 2024.
C dans l'air l'invitée du 9 septembre 2025 avec Agnès Verdier-Molinié, directrice de la fondation Ifrap, et autrice de "Face au mur", aux éditions de l'Observatoire.L'instabilité politique en France, renforcée par la chute du gouvernement Bayrou, risque d'assombrir les perspectives économiques du pays et de peser sur ses finances publiques, sous la menace d'une dégradation de sa note par l'agence Fitch vendredi. Déjà malmenée par la hausse des droits de douane américains et la censure du précédent gouvernement, l'économie française affronte une nouvelle fois l'écueil de la vacance du pouvoir. La croissance française s'est jusqu'ici montrée plutôt résiliente, confortant le ministère de l'Economie dans sa prévision d'une hausse annuelle de 0,7% du produit intérieur brut (PIB). Mais l'équation budgétaire est difficile, dans un paysage politique morcelé, alors que la France figure parmi les cancres européens en raison de l'ampleur de son déficit public (5,8% du PIB en 2024) et de son endettement (113,9% du PIB ou 3.345,4 milliards d'euros fin mars).C'est dans ce contexte délicat que Fitch pourrait faire basculer vendredi la note souveraine de la France du groupe AA ("qualité haute ou bonne") au groupe A ("qualité moyenne supérieure"). Bercy tente d'amadouer les agences en leur dressant le portrait d'une France aux fondamentaux économiques solides, et à la croissance qui résiste.Agnès Verdier-Molinié nous livrera son analyse de la situation économique du pays. Quelles pourraient être les conséquences de l'instabilité politique ? La France pourra-t-elle voter un budget et réaliser les économies de 120 milliards d'euros sur cinq ans attendues par la Commission européenne ? En ce jour de démission de François Bayrou, la France emprunte plus cher que l'Italie à dix ans. À quelle réaction s'attendre de la part des acteurs économiques ?
Ce mardi 9 septembre, la chute du gouvernement Bayrou, ainsi que la note confidentielle de Bercy sur la réalité de l'effort sur les finances publiques, ont été abordées par Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, Olivier Redoulès, directeur des études de Rexecode, et Sylvie Mathérat, économiste, senior advisor du cabinet de conseil et d'audit Mazars, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Tipeee : https://fr.tipeee.com/tatami-connexion/Import Fight : https://import-fight.com/?srsltid=AfmBOoqPN3UydBVIMqHTFoIIQkDXhXCJOBqSmLEfqo4E82LCEKHTDB_2Code promo : TATAMI10L'UFC Paris est revenue pour la 4ème fois à l'Accor Arena de Bercy ce samedi 6 septembre. Dans cet épisode nous allons vous faire un récap XXL de toute la carte ! À UFC exceptionnel, épisode exceptionnel !Alors n'hésitez pas à venir passer un bon moment avec nous et à nous dire ce que vous avez pensez de cet UFC en commentaire !Bonne écoute !! Votre podcast préféré après les autres !
À cinq jours de la journée de blocage du 10 septembre, le journal Les Echos annonce qu'à Bercy, la direction du Trésor réfléchit à la création d'un fonds de réassurance garanti par l'État pour couvrir les dégâts des émeutes. Pour Arlette Chabot, il n'y aura peut-être plus de gouvernement lundi soir et on aura peut-être un sursis. C'est la rentrée des classes. On va parler des smartphones et de leurs effets sur nos vies. Élisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale, expliquait qu'il y avait un enjeu de santé publique, de santé mentale. D'après Dominique Seux, l'utilisation de nos téléphones génère une baisse de productivité et cela coûte dix milliards par an. Une des raisons du Brexit, c'était le refus de l'immigration. Depuis, les Anglais se sont rapprochés à nouveau des lignes européennes. Mais la lutte contre l'immigration est restée. Selon Isabelle Lasserre, l'immigration est devenue le problème numéro un au Royaume-Uni. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Send us a textMother Sauces French cuisine is built on tradition, elegance, and above all — sauce. In this episode of Fabulously Delicious: The French Food Podcast, we celebrate Saucy September by diving deep into one of the cornerstones of French gastronomy: the five French mother sauces. From Béchamel to Velouté, Espagnole to Tomato, and finally the golden Hollandaise, these sauces are the foundations on which countless classic and modern recipes are created. Whether you're a passionate home cook or a curious foodie, this episode will give you the delicious details behind each sauce's history, technique, and timeless appeal.We'll explore the story of how these sauces became “mother sauces” thanks to legendary chefs like Marie-Antoine Carême and Auguste Escoffier, who codified French cuisine into the art form it is today. Each sauce has its own character: the creamy comfort of Béchamel, the velvety depth of Velouté, the rich savoriness of Espagnole, the bright tang of Tomato, and the luxurious silkiness of Hollandaise. You'll discover not only how they're made but also how they've shaped French food culture around the world.Of course, no discussion of the mother sauces would be complete without mentioning their many daughter sauces or derivatives. Think of Mornay, Bercy, Demi-Glace, Provençale, or Béarnaise — these are the flavorful branches that stem from the mother sauces, transforming everyday dishes into something spectacular. In this episode, you'll hear practical examples of how these sauces are used in French kitchens and beyond, inspiring you to bring them into your own cooking.So grab your apron, pour yourself a glass of wine, and join host Andrew Prior as we whisk, simmer, and stir our way through the mother sauces of France. By the end of this episode, you'll not only understand their importance but also feel equipped to start experimenting with them at home. After all, learning the French mother sauces isn't just about recipes — it's about unlocking the secrets of French culinary heritage.Support the showMy book Paris: A Fabulous Food Guide to the World's Most Delicious City is your ultimate companion. You'll find hand-picked recommendations for the best boulangeries, patisseries, wine bars, cafés, and restaurants that truly capture the flavor of Paris. You can order it online at andrewpriorfabulously.com For those who want to take things further, why not come cook with me here in Montmorillon, in the heart of France's Vienne region? Combine hands-on French cooking classes with exploring charming markets, tasting regional specialties, and soaking up the slow, beautiful pace of French countryside life. Find all the details at andrewpriorfabulously.com You can help keep the show thriving by becoming a monthly supporter. Your support helps me create more episodes celebrating French food, history & culture. Here's the listener support link. Every contribution makes a huge difference. Merci beaucoup! Newsletter Youtube Instagram Facebook Website
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:04:08 - Le Zoom de France Inter - [REDIFFUSION] C'est une discipline que l'on a vu fleurir pendant les confinements : le street workout. Mêlant gymnastique et musculation, elle s'est fait une place sur les terrains de sport en extérieur. L'un des plus emblématiques se trouve devant la gare routière de Paris-Bercy. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
REDIFF - L'arrivée de Bruno Le Maire à l'école Polytechnique de Lausanne suscite des critiques... Heureusement, il peut compter sur le soutien indéfectible d'Élisabeth Borne ! Cet été, retrouvez tous les jours le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:48 - Journal de 8 h - Les représentants des filières économiques françaises se réunissent à Bercy ce mercredi pour évoquer les conséquences de l'accord entre l'Europe et les Etats-Unis ainsi que la suite des négociations.