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« Sitôt unis, sitôt frappés, s'exclame Le Monde Afrique. Dimanche dernier, huit figures de la communauté touareg, dont cinq cadres du Front de libération de l'Azawad (le FLA), nouveau groupe rebelle du nord du Mali créé la veille, ont été tués par des frappes de drones près de Tin Zaouatine, à quelques kilomètres de la frontière avec l'Algérie. » Les drones utilisés sont de « fabrication turque, précise le journal. Ils avaient été réceptionnés par la junte du général Assimi Goïta quelques jours plus tôt à Bamako. »Il s'agit donc d'un succès pour les FAMa, les Forces armées maliennes. « Le 27 juillet, rappelle Le Monde Afrique, dans cette même localité de Tin Zaouatine, qui s'étend de part et d'autre de la frontière entre le Mali et l'Algérie, les groupes rebelles avaient infligé une lourde défaite à l'armée malienne et à ses supplétifs du groupe paramilitaire russe Wagner. Selon les rebelles, 47 soldats maliens et 84 mercenaires russes avaient été tués. La contre-offensive préparée par Bamako en septembre pour laver cet affront fut finalement annulée à la dernière minute en raison de craintes opérationnelles et logistiques. Quatre mois plus tard, (donc), pointe Le Monde Afrique, la junte du général Goïta tient sa revanche. Avant-hier, le chef d'état-major des armées a confirmé dans un communiqué “la neutralisation de plusieurs cadres de haut rang“ de ces groupes, qualifiés de “terroristes“. » Kidal et maintenant Tin Zaouatine…Commentaire du journal : « les frappes de dimanche sur leur nouvelle structure de commandement sont un nouveau coup dur infligé aux rebelles un an après la perte de leur fief de Kidal. Mi-novembre 2023, l'armée malienne et les paramilitaires russes de Wagner leur avaient repris, sans combat, cette ville d'où sont parties la plupart des révoltes touareg ayant agité le Mali depuis son indépendance, en 1960. »« La veille de l'attaque, précise Jeune Afrique, les groupes armés du Nord avaient (donc) annoncé la fusion de leurs mouvements respectifs au sein d'une nouvelle alliance : le Front de libération de l'Azawad. “Une entité politico-militaire portant les aspirations du peuple de l'Azawad à l'autodétermination“, annonçaient-ils à l'issue de plusieurs jours de concertation. Ses membres avaient justifié cette initiative par les massacres des civils par l'armée malienne et ses alliés russes, et par le non-respect des accords signés par le passé avec Bamako. (…) Pour le FLA, le décès de ses hauts dignitaires est (donc) un coup dur, pointe également Jeune Afrique. Dans un communiqué, la coalition a rendu hommage à ses morts et lancé cet avertissement. “Le FLA est décidé plus que jamais à faire aboutir par tous les moyens légaux et légitimes le bien-fondé de la cause. Au lieu de nous affaiblir, cela nous donnera plus de courage dans notre lutte et nous nous battrons pour les venger“. »Montée en puissance des FAMaDe son côté, la presse malienne se félicite de ce coup porté à la rébellion…« Conscientes de l'urgence de neutraliser cette menace à la source, les FAMa ont mobilisé leurs meilleures unités et exploité des renseignements précis pour organiser une opération d'envergure, s'exclame le site malien Bamada. Le succès de cette initiative confirme la montée en puissance de l'armée malienne, renforcée par des équipements de dernière génération et une stratégie coordonnée. (…) Cette opération marque une étape importante dans la lutte contre le terrorisme au Mali. Jamais dans son histoire l'armée malienne n'avait affiché un tel niveau de compétence et de moral. »Une recrudescence des affrontements ?Le Journal du Mali, autre média en ligne de Bamako, est plus mesuré…Certes, affirme-t-il, « la mort de ces figures de proue représente un revers majeur pour le FLA, à peine créé. Cependant, l'élimination de ces leaders risque de générer des tensions supplémentaires dans une région déjà marquée par une forte instabilité. Les observateurs redoutent une recrudescence des affrontements entre les groupes armés et les forces armées maliennes. Les FAMa ont réaffirmé leur engagement à lutter contre le terrorisme et le narcotrafic dans le nord du Mali. Ce succès militaire renforce leur position, mais les enjeux restent complexes, relève encore Le Journal du Mali. La question qui se pose est de savoir comment concilier les efforts militaires et les initiatives de dialogue pour une paix durable. Cette opération, bien qu'acclamée par le gouvernement malien comme une avancée stratégique, dévoile les défis persistants dans la quête de stabilité et de sécurité au Mali. »
« Sitôt unis, sitôt frappés, s'exclame Le Monde Afrique. Dimanche dernier, huit figures de la communauté touareg, dont cinq cadres du Front de libération de l'Azawad (le FLA), nouveau groupe rebelle du nord du Mali créé la veille, ont été tués par des frappes de drones près de Tin Zaouatine, à quelques kilomètres de la frontière avec l'Algérie. » Les drones utilisés sont de « fabrication turque, précise le journal. Ils avaient été réceptionnés par la junte du général Assimi Goïta quelques jours plus tôt à Bamako. »Il s'agit donc d'un succès pour les FAMa, les Forces armées maliennes. « Le 27 juillet, rappelle Le Monde Afrique, dans cette même localité de Tin Zaouatine, qui s'étend de part et d'autre de la frontière entre le Mali et l'Algérie, les groupes rebelles avaient infligé une lourde défaite à l'armée malienne et à ses supplétifs du groupe paramilitaire russe Wagner. Selon les rebelles, 47 soldats maliens et 84 mercenaires russes avaient été tués. La contre-offensive préparée par Bamako en septembre pour laver cet affront fut finalement annulée à la dernière minute en raison de craintes opérationnelles et logistiques. Quatre mois plus tard, (donc), pointe Le Monde Afrique, la junte du général Goïta tient sa revanche. Avant-hier, le chef d'état-major des armées a confirmé dans un communiqué “la neutralisation de plusieurs cadres de haut rang“ de ces groupes, qualifiés de “terroristes“. » Kidal et maintenant Tin Zaouatine…Commentaire du journal : « les frappes de dimanche sur leur nouvelle structure de commandement sont un nouveau coup dur infligé aux rebelles un an après la perte de leur fief de Kidal. Mi-novembre 2023, l'armée malienne et les paramilitaires russes de Wagner leur avaient repris, sans combat, cette ville d'où sont parties la plupart des révoltes touareg ayant agité le Mali depuis son indépendance, en 1960. »« La veille de l'attaque, précise Jeune Afrique, les groupes armés du Nord avaient (donc) annoncé la fusion de leurs mouvements respectifs au sein d'une nouvelle alliance : le Front de libération de l'Azawad. “Une entité politico-militaire portant les aspirations du peuple de l'Azawad à l'autodétermination“, annonçaient-ils à l'issue de plusieurs jours de concertation. Ses membres avaient justifié cette initiative par les massacres des civils par l'armée malienne et ses alliés russes, et par le non-respect des accords signés par le passé avec Bamako. (…) Pour le FLA, le décès de ses hauts dignitaires est (donc) un coup dur, pointe également Jeune Afrique. Dans un communiqué, la coalition a rendu hommage à ses morts et lancé cet avertissement. “Le FLA est décidé plus que jamais à faire aboutir par tous les moyens légaux et légitimes le bien-fondé de la cause. Au lieu de nous affaiblir, cela nous donnera plus de courage dans notre lutte et nous nous battrons pour les venger“. »Montée en puissance des FAMaDe son côté, la presse malienne se félicite de ce coup porté à la rébellion…« Conscientes de l'urgence de neutraliser cette menace à la source, les FAMa ont mobilisé leurs meilleures unités et exploité des renseignements précis pour organiser une opération d'envergure, s'exclame le site malien Bamada. Le succès de cette initiative confirme la montée en puissance de l'armée malienne, renforcée par des équipements de dernière génération et une stratégie coordonnée. (…) Cette opération marque une étape importante dans la lutte contre le terrorisme au Mali. Jamais dans son histoire l'armée malienne n'avait affiché un tel niveau de compétence et de moral. »Une recrudescence des affrontements ?Le Journal du Mali, autre média en ligne de Bamako, est plus mesuré…Certes, affirme-t-il, « la mort de ces figures de proue représente un revers majeur pour le FLA, à peine créé. Cependant, l'élimination de ces leaders risque de générer des tensions supplémentaires dans une région déjà marquée par une forte instabilité. Les observateurs redoutent une recrudescence des affrontements entre les groupes armés et les forces armées maliennes. Les FAMa ont réaffirmé leur engagement à lutter contre le terrorisme et le narcotrafic dans le nord du Mali. Ce succès militaire renforce leur position, mais les enjeux restent complexes, relève encore Le Journal du Mali. La question qui se pose est de savoir comment concilier les efforts militaires et les initiatives de dialogue pour une paix durable. Cette opération, bien qu'acclamée par le gouvernement malien comme une avancée stratégique, dévoile les défis persistants dans la quête de stabilité et de sécurité au Mali. »
Le manque d'efficacité du PSG en attaque et en défense "est inexplicable", s'est agacé l'entraîneur Luis Enrique samedi après le match nul concédé sur sa pelouse contre Nantes (1-1), lors de la 13e journée de Ligue 1. Les nombreuses occasions non converties et le but encaissé avec peu de situations pour l'adversaire, "ça me frustre, ça frustre les joueurs, mais il n'y a qu'une solution, insister, insister, insister", a estimé le technicien espagnol en conférence de presse. Certes confortable leader en championnat, le club de la capitale est mal embarqué en Ligue des champions. L'ancien sélectionneur de l'Espagne est-il en train de perdre une partie de son vestiaire ? Philippe Sanfourche en débat avec Nicolas Georgereau et Eric Silvestro.
La music story du jour c'est celle des héros de la house music…Il n'y a apparemment pas de Mont Rushmore des DJs américains, vous savez comme ces 4 présidents américains dont le visage est gravé dans la roche, au Dakota du sud. Certes ça prend son temps de sculpter une tête de 18m de haut et pourtant, c'est pas ce qui manque les DJs iconiques, surtout ceux de la house music. Si on s'y mettait tous, trônerait très certainement David Morales, légende new yorkaise, pionnier, défricheur, un DJ a la carrière longue de 40 ans, plus de 500 titres sortis, notamment ce vieux mais toujours très marquant « In The Ghetto »…
Extrait : « … J'aime pas beaucoup être pris en flagrant délit d'inculture musicale, surtout quand on parle d'un gros tube british publié à une époque où il était difficile de les louper, compte-tenu du peu de médias qui diffusaient de la musique. Certes je n'avais qu'un an, et j'avais probablement d'autres priorités, réclamer le sein maternel en braillant par exemple - le chablis viendra plus tard -, mais quand même, je trouve sidérant de découvrir 60 ans après une chanson qui s'est vendue à des millions d'exemplaires … »Pour commenter les épisodes, tu peux le faire sur ton appli de podcasts habituelle, c'est toujours bon pour l'audience. Mais également sur le site web dédié, il y a une section Le Bar, ouverte 24/24, pour causer du podcast ou de musique en général, je t'y attends avec impatience. Enfin, si tu souhaites me soumettre une chanson, c'est aussi sur le site web que ça se passe. Pour soutenir Good Morning Music et Gros Naze :1. Abonne-toi2. Laisse-moi un avis et 5 étoiles sur Apple Podcasts, ou Spotify et Podcast Addict3. Partage ton épisode préféré à 3 personnes autour de toi. Ou 3.000 si tu connais plein de monde. Good Morning Music Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Prier vite pour aller travailler, certes mais comment by Rav David Touitou
Entre la Russie de Vladimir Poutine, l'Ukraine et ses alliés occidentaux, les tensions montent. Doit-on craindre un embrasement en Ukraine dans les semaines à venir ? Deux facteurs rendent la situation actuelle particulièrement volatile. D'abord, on est presque à trois ans de guerre et il y a une forme de fatigue de part et d'autre. Côté russe, même si la dynamique est favorable depuis le printemps, elle n'est pas non plus décisive. Certes, les avancées se font plus franches sur le front Est — mais rien de déterminant. Car, à bien y réfléchir, obtenir des gains de 15 km2 chaque jour, ce n'est pas suffisant pour effectuer une percée significative vers une occupation à grande échelle de l'Ukraine. En ce sens, rapporté aux objectifs initiaux fixés par Vladimir Poutine en 2022, on est très loin du compte et très proche d'une forme d'échec. Côté ukrainien, malgré la prise d'une enclave en territoire russe, on reste dans une position fragile sur le front Est. Kiev, outre un vrai problème de renouvellement des effectifs, reste par ailleurs trop dépendante des armes occidentales et de leur utilisation la plus efficace contre l'ennemi. Le changement de locataire à la Maison Blanche, un autre facteur d'incertitudeL'élection de Donald Trump aux États-Unis explique la sensation de crispation de part et d'autre ces derniers jours. Chacun cherche à consolider, voire à améliorer, ses positions pour être dans la meilleure ou la moins mauvaise situation quand Donald Trump reviendra au pouvoir. D'où la décision de l'administration Biden d'autoriser les tirs à longue portée en territoire russe avec les missiles ATACMS et la fourniture controversée de mines antipersonnel à l'Ukraine. En réponse, Moscou met une pression maximale sur l'Ukraine avec des bombardements sur les villes et le tir du missile Orechnik, un missile balistique à portée intermédiaire, pouvant transporter des ogives nucléaires. Le message est à destination des Ukrainiens, mais aussi des Occidentaux. Ce missile, d'une portée de 3 000 à 5 500 km, pourrait en effet atteindre le territoire de la côte ouest des États-Unis et la quasi-totalité de l'Europe.À lire aussiMissiles ATACMS: quels bénéfices attendus pour l'Ukraine après le feu vert américain?Donald Trump laisse planer le flou sur ses intentionsIl s'agit sans doute d'une stratégie délibérée. Durant sa campagne, il avait expliqué qu'il réglerait le conflit en Ukraine en 24 heures et, si possible, avant son investiture fin janvier. Et depuis, c'est le silence radio sur cette question. En plein brouillard trumpien, Russes et Ukrainiens font monter la pression. Chacun cherche à contrôler le niveau d'escalade néanmoins. Il n'en reste pas moins que la période qui nous mène au 20 janvier s'annonce périlleuse.
En résumé, on va tous crever prématurément parce qu'on se lève trop tôt, sauf François qui carbure au sang de vierge et Didier Mélon, qui dort si bien qu'il est soit immortel, soit une marionnette géante. Benjamin Di Lauro, lui, est déjà un vieux sage à 34 ans, usé par les années matinales (ça fait 70 ans en temps coq). Pendant ce temps, Didier Mélon mène une vie tranquille : réveil à 14h, monocycle jusqu'à Reyers, et il boucle sa journée en interviewant des musiciens qui sentent la galère autant que leur guitare. Pour 2025, idée lumineuse : hiberner trois mois d'affilée, histoire de prouver qu'on peut rattraper des années de privation de sommeil. Certes, on risque de perdre son conjoint et de se réveiller dans le Namurois, mais bon, au moins, on aura dormi. Et en attendant, on propose le Self-défense 3e âge : tomber par terre en hurlant des phrases vintage pour effrayer les agresseurs. Bref, Didier, tu veux pas prendre la matinale à 5h ? On est déjà foutus, autant rigoler un peu ! Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
« Mille jours de guerre et la situation de l'Ukraine semble plus tragique, voire désespérée, que jamais », soupire Le Soir à Bruxelles. « Mille jours d'une vie sans vie pour celles et ceux qui sont restés, sous les bombes, dans la peur, les pénuries, les combats, engagés dans une lutte à mort pour récupérer leur intégrité, préserver leur identité ou "simplement" survivre. Mille jours et mille nuits, poursuit le quotidien belge, à repousser l'envahisseur mètre par mètre, minute après minute. Les images en direct du champ de bataille nous ont ébranlés et pétrifiés, avec des gros plans sur des routes jonchées de cadavres de civils, des usines et des quartiers dévastés, des fosses communes. Mais cela, c'était au début. Depuis nous nous sommes habitués, pointe encore Le Soir, nous avons réappris à vivre aux côtés de ces voisins dont, soyons justes, nous ignorions beaucoup jusque-là ».Triste tableau pour le Guardian à Londres : « mille jours après l'invasion russe, les troupes sont éclatées sur plusieurs fronts, Kiev est sous la menace constante des drones et des missiles, et les responsables ukrainiens se préparent au retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier. Des milliers de citoyens ukrainiens sont morts, plus de six millions se sont réfugiés à l'étranger et la population a diminué d'un quart depuis que Vladimir Poutine a ordonné l'invasion qui a déclenché le plus grand conflit en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale ».« Trop tard, trop peu… »Aujourd'hui mardi, « millième jour de l'invasion russe, en violation du droit international », rappelle Die Welt à Berlin : « mille jours de terreur face auxquels l'Occident a réagi souvent trop tard et avec trop d'hésitation ».Dernier exemple en date : l'autorisation donnée finalement par Joe Biden à Kiev d'utiliser des missiles à longue portée pouvant toucher le territoire russe. « Trop peu, trop tard ? », s'interroge Le Temps à Genève. « La réalité est que ces armes permettront simplement de freiner la campagne de terreur russe en cours : à l'entrée de l'hiver, Moscou pilonne en effet les capacités énergétiques pour geler les Ukrainiens. Plutôt qu'un avantage décisif, ces missiles signifient d'abord un rééquilibrage des forces, relève le quotidien suisse. Après l'élection de Donald Trump, qui envisage une capitulation ukrainienne au nom de la paix, la décision de Joe Biden est de nature à remonter quelque peu le moral des Ukrainiens alors que ceux-ci commémorent le millième jour de leur agression. Ils en ont le plus grand besoin, les forces russes – et désormais nord-coréennes – étant à l'offensive sur tout le front. Mais, s'interroge Le Temps, combien de temps agira ce soutien ? Et avec quel effet sur l'issue de la guerre ? ».Bonne conscience…Le Figaro à Paris enchaine : « la décision de Joe Biden d'autoriser les Ukrainiens à utiliser des missiles américains contre des cibles militaires en Russie risque de s'inscrire dans le "trop peu trop tard" et permet surtout aux Occidentaux de se donner bonne conscience ».Certes, relève le Süddeutsche Zeitung à Munich, « l'Occident a mis à la disposition de l'Ukraine des systèmes d'armement techniquement excellents. Mais pour obtenir des avantages vraiment décisifs, ils étaient trop peu nombreux. Dans une guerre d'usure, c'est la masse qui est déterminante. Cela pourrait à nouveau se vérifier aujourd'hui : la question décisive reste : combien de missiles l'Ukraine a-t-elle encore ? Jusqu'à présent, les États-Unis se sont montrés réticents à livrer de grandes quantités. Et la France et le Royaume-Uni sont sur le point d'épuiser leurs stocks de missiles Storm-Shadow et Scalp ».Inconnues…Enfin on revient au Soir à Bruxelles pour qui « la suite s'annonce terrible avec les inconnues liées à l'arrivée d'un Trump tout puissant, et une Europe très faible, trop lente et qui se disloque entre les coups de fil en solo d'un chancelier allemand aux abois, la perte de poids d'un président français démonétisé et les dissidences de ses Orbán revigorés. Le président polonais, Donald Tusk, qui se veut l'homme fort de l'Europe, tançait ce week-end Olaf Scholz : "Personne n'arrête Poutine avec des appels téléphoniques". Oui, mais avec quoi alors ?, s'interroge Le Soir. Cela fait mille jours que personne n'a trouvé la réponse ».
« C'est sans doute le conflit le plus dévastateur du moment, mais il passe largement sous les radars de la diplomatie, des médias et des protestations populaires », relève Le Monde Afrique. Il s'agit de la guerre civile au Soudan. Une guerre qui a « probablement causé la mort de plus de 150 000 civils du fait des bombardements et des massacres, de la famine et des épidémies qui s'ensuivent. Elle a obligé 13 millions de personnes, soit près d'un habitant sur quatre, à fuir de chez elles. (…) Depuis dix-huit mois, les FSA, les forces armées du Soudan, dirigées par le général Abdel Fattah Al-Bourhane, et les FSR, les milices paramilitaires des Forces de soutien rapide, menées par le général Mohammed Hamdan Daglo, dit "Hemetti", ont entraîné le pays de 49 millions d'habitants dans une spirale de violence dont personne n'entrevoit le dénouement. »« Cela doit cesser ! »Et Le Monde Afrique de hausser le ton : ce « long cauchemar des Soudanais, ponctué de bombardements aériens, de massacres, de viols, d'épidémies, de deuils, sur fond de crise humanitaire, doit cesser. Cela suppose de bloquer le flux continu d'armes qui alimente les protagonistes et de reprendre le chemin de la médiation, abandonné en octobre. Mais les pressions internationales qui, seules, peuvent ramener le Soudan sur la voie de la paix exigent elles-mêmes que les opinions publiques cessent d'accepter que ce pays soit abandonné à son sort. Il est courant de citer l'Ukraine et le Proche-Orient comme les deux guerres en cours les plus préoccupantes. La moindre des choses serait de ne pas oublier celle qui ravage le Soudan. »L'ONU impuissante ?Justement, pour la première fois depuis le début de la guerre au Soudan il y a plus d'un an et demi, un groupe d'experts du Conseil de sécurité des Nations unies est à Port-Soudan. Une visite de trois jours qui « vise à examiner la situation sur le terrain. » Ça n'est pas trop tôt !, s'exclame Le Pays au Burkina Faso. « Plus de dix-huit mois ! C'est le temps qu'il aura fallu aux Nations unies pour envoyer une délégation d'experts au Soudan où la guerre fait rage (…). » Qui plus est, pointe le quotidien ouagalais, « rien ne garantit que cette visite des experts onusiens (…) permettra de faire bouger les lignes dans le sens de la désescalade tant espérée. Autant dire que c'est une mission pour se donner bonne conscience. Car, en trois jours, on ne voit pas ce que ces experts peuvent poser comme actes concrets sur le terrain pour changer la donne. On est d'autant plus poussé au pessimisme, soupire encore Le Pays, que l'objectif de cette mission est de rencontrer les instances nationales chargées de l'application d'une vieille décision de l'ONU, en l'occurrence la décision 1591 de 2005 portant embargo sur les armes à l'encontre de personnes ou d'entités non-étatiques au Darfour, comme les Janjawid. Une situation qui en dit long sur le fonctionnement de l'organisation mondiale qui fonde pourtant les espoirs des plus faibles. C'est pourquoi, conclut le quotidien burkinabé, au-delà de cette mission, on attend de voir comment l'ONU pourra se sortir du bourbier soudanais. »Un consensus ?Certes, constate le site Afrik.com, « la délégation onusienne entend examiner de près les défis actuels à l'application de cette résolution. »Mais« non sans dialoguer avec les responsables de la sécurité soudanaise et les organisations locales. En incitant les acteurs locaux à trouver un consensus, l'ONU espère promouvoir une désescalade des tensions et la mise en place de mesures de stabilisation. Le Conseil de sécurité envisage de présenter un rapport détaillé à l'issue de cette mission de terrain, qui servira de base pour de futures décisions. Selon plusieurs sources diplomatiques, relève encore Afrik.com, ce rapport pourrait recommander des ajustements à la résolution 1591, notamment en matière de sanctions ciblées et d'embargos sur les armes, pour mieux répondre aux nouvelles réalités du conflit. »« La résolution doit venir des Africains ! »Enfin, on revient au Monde Afrique qui publie, outre son éditorial, toute une série de reportages consacrés à cette guerre civile dévastatrice. Et cet entretien avec Mo Ibrahim. Le milliardaire anglo-soudanais estime que le Conseil de sécurité de l'ONU devrait s'impliquer davantage dans la guerre civile au Soudan. « L'Afrique, dit-il, doit demander aux Nations unies l'envoi d'une force internationale pour protéger les Soudanais. Le Conseil de sécurité doit adopter une résolution très claire, qui doit permettre d'assécher les sources d'approvisionnement en armes et en financement des deux camps, à travers par exemple un nouvel embargo sur les armes. Une résolution qui permette aussi d'établir des zones protégées. (…) Le Conseil de sécurité est polarisé entre l'Occident et la Russie, et parfois la Chine, constate Mo Ibrahim. La solution doit donc venir des membres africains du Conseil. Si l'idée d'une résolution vient du continent, ni les États-Unis, ni la Chine, ni la Russie n'opposeront leur veto. »
Vous aimez les fromages suisses ? Ils sont quand même très forts, ces Helvètes, surtout niveau fromage et pas que pour la raclette. Certes ils n'ont pas le fromage de Herve mais ils maîtrisent le Gruyère. Comme nous le savons tous, la Suisse n'est pas dans l'UE. Elle ne peut donc bénéficier pour ses produits du label AOP européen, mais les AOP suisses sont reconnues en UE et vice-versa. Appenzeller, un franc-tireur : ils sont forts les gens de la coopérative Apenzeller. Au lieu de s'embêter à faire une AOP, ils ont créé une marque déposée. ---Fanny Gillard et Carlo de Pascale voyagent dans l'univers culinaire de notre style de vie rock n' roll. Et si cela vous met l'eau à la bouche, alors vous retrouverez également toutes les recettes de Carlo sur notre site Classic21.be dans la rubrique Cook As You Are. Merci pour votre écoute Plus de contenus de Classic 21 sur www.rtbf.be/classic21 Ecoutez-nous en live ici: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer BelgiqueRetrouvez l'ensemble des contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez les autres podcasts de Classic 21 : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxEt retrouvez également Carlo De Pascale dans cet autre podcast de la RTBF: Bientôt à Table : https://audmns.com/mVwVCer
« C'est sans doute le conflit le plus dévastateur du moment, mais il passe largement sous les radars de la diplomatie, des médias et des protestations populaires », relève Le Monde Afrique. Il s'agit de la guerre civile au Soudan. Une guerre qui a « probablement causé la mort de plus de 150 000 civils du fait des bombardements et des massacres, de la famine et des épidémies qui s'ensuivent. Elle a obligé 13 millions de personnes, soit près d'un habitant sur quatre, à fuir de chez elles. (…) Depuis dix-huit mois, les FSA, les forces armées du Soudan, dirigées par le général Abdel Fattah Al-Bourhane, et les FSR, les milices paramilitaires des Forces de soutien rapide, menées par le général Mohammed Hamdan Daglo, dit "Hemetti", ont entraîné le pays de 49 millions d'habitants dans une spirale de violence dont personne n'entrevoit le dénouement. »« Cela doit cesser ! »Et Le Monde Afrique de hausser le ton : ce « long cauchemar des Soudanais, ponctué de bombardements aériens, de massacres, de viols, d'épidémies, de deuils, sur fond de crise humanitaire, doit cesser. Cela suppose de bloquer le flux continu d'armes qui alimente les protagonistes et de reprendre le chemin de la médiation, abandonné en octobre. Mais les pressions internationales qui, seules, peuvent ramener le Soudan sur la voie de la paix exigent elles-mêmes que les opinions publiques cessent d'accepter que ce pays soit abandonné à son sort. Il est courant de citer l'Ukraine et le Proche-Orient comme les deux guerres en cours les plus préoccupantes. La moindre des choses serait de ne pas oublier celle qui ravage le Soudan. »L'ONU impuissante ?Justement, pour la première fois depuis le début de la guerre au Soudan il y a plus d'un an et demi, un groupe d'experts du Conseil de sécurité des Nations unies est à Port-Soudan. Une visite de trois jours qui « vise à examiner la situation sur le terrain. » Ça n'est pas trop tôt !, s'exclame Le Pays au Burkina Faso. « Plus de dix-huit mois ! C'est le temps qu'il aura fallu aux Nations unies pour envoyer une délégation d'experts au Soudan où la guerre fait rage (…). » Qui plus est, pointe le quotidien ouagalais, « rien ne garantit que cette visite des experts onusiens (…) permettra de faire bouger les lignes dans le sens de la désescalade tant espérée. Autant dire que c'est une mission pour se donner bonne conscience. Car, en trois jours, on ne voit pas ce que ces experts peuvent poser comme actes concrets sur le terrain pour changer la donne. On est d'autant plus poussé au pessimisme, soupire encore Le Pays, que l'objectif de cette mission est de rencontrer les instances nationales chargées de l'application d'une vieille décision de l'ONU, en l'occurrence la décision 1591 de 2005 portant embargo sur les armes à l'encontre de personnes ou d'entités non-étatiques au Darfour, comme les Janjawid. Une situation qui en dit long sur le fonctionnement de l'organisation mondiale qui fonde pourtant les espoirs des plus faibles. C'est pourquoi, conclut le quotidien burkinabé, au-delà de cette mission, on attend de voir comment l'ONU pourra se sortir du bourbier soudanais. »Un consensus ?Certes, constate le site Afrik.com, « la délégation onusienne entend examiner de près les défis actuels à l'application de cette résolution. »Mais« non sans dialoguer avec les responsables de la sécurité soudanaise et les organisations locales. En incitant les acteurs locaux à trouver un consensus, l'ONU espère promouvoir une désescalade des tensions et la mise en place de mesures de stabilisation. Le Conseil de sécurité envisage de présenter un rapport détaillé à l'issue de cette mission de terrain, qui servira de base pour de futures décisions. Selon plusieurs sources diplomatiques, relève encore Afrik.com, ce rapport pourrait recommander des ajustements à la résolution 1591, notamment en matière de sanctions ciblées et d'embargos sur les armes, pour mieux répondre aux nouvelles réalités du conflit. »« La résolution doit venir des Africains ! »Enfin, on revient au Monde Afrique qui publie, outre son éditorial, toute une série de reportages consacrés à cette guerre civile dévastatrice. Et cet entretien avec Mo Ibrahim. Le milliardaire anglo-soudanais estime que le Conseil de sécurité de l'ONU devrait s'impliquer davantage dans la guerre civile au Soudan. « L'Afrique, dit-il, doit demander aux Nations unies l'envoi d'une force internationale pour protéger les Soudanais. Le Conseil de sécurité doit adopter une résolution très claire, qui doit permettre d'assécher les sources d'approvisionnement en armes et en financement des deux camps, à travers par exemple un nouvel embargo sur les armes. Une résolution qui permette aussi d'établir des zones protégées. (…) Le Conseil de sécurité est polarisé entre l'Occident et la Russie, et parfois la Chine, constate Mo Ibrahim. La solution doit donc venir des membres africains du Conseil. Si l'idée d'une résolution vient du continent, ni les États-Unis, ni la Chine, ni la Russie n'opposeront leur veto. »
À quelques jours des législatives de dimanche, les incidents se sont multipliés en début de semaine, entre militants du Pastef, le parti du Premier ministre Ousmane Sonko, et ceux de l'opposition, notamment du parti Samm Sa Kaddu de Barthélemy Dias.Lundi, relève le site d'information Senego, « une manifestation politique à Saint-Louis a dégénéré en violences, entraînant des blessés parmi les participants. »« Plusieurs arrestations ont été effectuées, par la suite, précise Walf Quotidien, dans les rangs des militants de l'inter-coalition Samm Sa Kaddu/Takku-Wallu et ceux du parti Pastef. » Des armes ont été saisies.Et du côté du pouvoir, le ton est monté… avant de redescendre…« Après des déclarations virulentes appelant à la "vengeance proportionnelle" contre les agressions subies par son parti Pastef, le chef du gouvernement Ousmane Sonko a finalement exhorté hier, ses militants à la retenue, relève le site Seneplus. "N'attaquez personne, ne frappez personne, ne provoquez personne. Désactivez tout mais qu'on reste vigilant", a déclaré le Premier ministre dans la soirée. Des propos qui contrastent avec sa dernière sortie où il affirmait que "Barthélémy Dias et sa coalition ne devaient plus battre campagne dans ce pays". »Œil pour œil, dent pour dent…Reste que la sortie plutôt musclée du Premier ministre sénégalais a frappé les esprits dans la presse sénégalaise et dans la presse de la sous-région…« Force est de reconnaître que nos "héros" semblent marcher sur la tête, s'indigne le quotidien 24 heures à Dakar. (…) On a déterré la hache de guerre et ressuscité la loi du talion comme dans la jungle. On se rend coup sur coup. Œil pour œil, dent pour dent. Le thermomètre n'en finit plus de grimper dangereusement. Et ça craint très sérieusement pour la paix sociale et la cohésion nationale (…). La question qui brûle les lèvres aujourd'hui, poursuit 24 Heures, c'est de savoir de quoi demain sera fait. C'est aussi et surtout de savoir si le scrutin pourra survivre à un tel déchaînement de violences et de haine morbide et à de tels dérapages verbaux gratuits. »« Un Premier ministre ne devrait pas dire ça… », renchérit L'Observateur Paalga au Burkina Faso. « On a, en effet, le sentiment que Sonko n'habite pas encore tout à fait la fonction de Premier ministre. Certes, il est le patron d'un parti en compétition, mais il devrait faire l'effort d'être au-dessus de la mêlée et ne pas encourager la violence. Or avec cette sortie, il contribue à exacerber des tensions qui sont déjà suffisamment palpables. »Le quotidien Aujourd'hui insiste : « Quelle mouche du coche a donc piqué Ousmane Sonko, le Premier ministre du Sénégal pour qu'il en arrive à cette dérive langagière ? »« Il est au pouvoir, mais Ousmane Sonko doit s'imaginer encore dans l'opposition, renchérit Ledjely en Guinée. C'est la seule explication possible à l'appel à la vengeance qu'il a lancé en direction de ses partisans du Pastef. »Une « accalmie de façade » ?Ousmane Sonko est donc, par la suite, revenu sur ses propos…« Le dégel », titre WalfQuotidien. « Sonko appelle à l'apaisement. Le leader de Pastef a mis de l'eau dans son bissap. Il a modéré son discours et demandé à ses militants de poursuivre la caravane sans répondre par la violence. »Désormais, « la classe politique est face à ses responsabilités », relève Sud Quotidien.« Après l'escalade, une accalmie de façade ? », s'interroge Vox Populi.Enfin, on revient au quotidien 24 Heures, pour qui il faut vite tourner la page : « Au moment où certains (sinistrés par les inondations) pataugent encore dans les eaux et n'ont que leurs yeux pour pleurer devant l'immensité des dégâts. Au moment où des millions de paysans ont perdu la voix face à des récoltes qui ne sont pas à la hauteur des espoirs caressés en début d'hivernage. Au moment où enfin, tout le monde constate avec désolation l'escalade qui frappe les prix des denrées de première nécessité. C'est dire s'il y a du lourd, du très lourd même dans l'agenda gouvernemental. N'ajoutons donc pas une seconde escalade à celle-là, une angoisse supplémentaire à l'angoisse déjà présente, s'exclame 24 Heures. Tournons vite la page des joutes verbales et des confrontations violentes et laissons le bulletin de vote faire le reste. »
Certes la fête de Souccot est passée, mais quels sont les messages qu'elle véhicule et qui vont nous accompagner toute l'année ? La Sim'ha (joie) dont Souccot est synonyme prend-elle fin à la fin de la fête, ou la Soucca du Léviathan recèle-t-elle de précieux enseignements ? Dans la 'Amida, sur l'espace de 3 mots, Hachem ouvre grand les Portes du Ciel et les mondes célestes pour accueillir notre prière, quels sont-ils ? Au travers d'un dialogue entre Iyov et Hachem, et une histoire avec le Kabbaliste Rav Yéhouda Pétaya, chaque Juif peut trouver des réponses à ses questionnements, notamment pourquoi le Tsadik souffre-t-il et pas le Racha'. On comprend aussi ce que le Léviathan et le Chor Habar représentent en termes de Yétser Hara' (mauvais penchants), et comment les canaliser voire les vaincre. Et enfin, que la plus grande bataille dans la vie est celle que l'on mène contre soi-même pour se dépasser...
Voici la lecture du jeudi 14 novembre 2024 : « Reprends-le non plus comme un esclave, mais comme un frère bien-aimé » (Phm 7-20) Bien-aimé, ta charité m'a déjà apporté beaucoup de joie et de réconfort, car grâce à toi, frère, les cœurs des fidèles ont trouvé du repos. Certes, j'ai dans le Christ toute liberté de parole pour te prescrire ce qu'il faut faire, mais je préfère t'adresser une demande au nom de la charité : moi, Paul, tel que je suis, un vieil homme et, qui plus est, prisonnier maintenant à cause du Christ Jésus, j'ai quelque chose à te demander pour Onésime, mon enfant à qui, en prison, j'ai donné la vie dans le Christ. Cet Onésime (dont le nom signifie « avantageux ») a été, pour toi, inutile à un certain moment, mais il est maintenant bien utile pour toi comme pour moi. Je te le renvoie, lui qui est comme mon cœur. Je l'aurais volontiers gardé auprès de moi, pour qu'il me rende des services en ton nom, à moi qui suis en prison à cause de l'Évangile. Mais je n'ai rien voulu faire sans ton accord, pour que tu accomplisses ce qui est bien, non par contrainte mais volontiers. S'il a été éloigné de toi pendant quelque temps, c'est peut-être pour que tu le retrouves définitivement, non plus comme un esclave, mais, mieux qu'un esclave, comme un frère bien-aimé : il l'est vraiment pour moi, combien plus le sera-t-il pour toi, aussi bien humainement que dans le Seigneur. Si donc tu estimes que je suis en communion avec toi, accueille-le comme si c'était moi. S'il t'a fait du tort ou s'il te doit quelque chose, mets cela sur mon compte. Moi, Paul, j'écris ces mots de ma propre main : c'est moi qui te rembourserai. Je n'ajouterai pas que toi aussi, tu as une dette envers moi, et cette dette, c'est toi-même. Oui, frère, donne-moi cette satisfaction dans le Seigneur, fais que mon cœur trouve du repos dans le Christ. – Parole du Seigneur. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
À quelques jours des législatives de dimanche, les incidents se sont multipliés en début de semaine, entre militants du Pastef, le parti du Premier ministre Ousmane Sonko, et ceux de l'opposition, notamment du parti Samm Sa Kaddu de Barthélemy Dias.Lundi, relève le site d'information Senego, « une manifestation politique à Saint-Louis a dégénéré en violences, entraînant des blessés parmi les participants. »« Plusieurs arrestations ont été effectuées, par la suite, précise Walf Quotidien, dans les rangs des militants de l'inter-coalition Samm Sa Kaddu/Takku-Wallu et ceux du parti Pastef. » Des armes ont été saisies.Et du côté du pouvoir, le ton est monté… avant de redescendre…« Après des déclarations virulentes appelant à la "vengeance proportionnelle" contre les agressions subies par son parti Pastef, le chef du gouvernement Ousmane Sonko a finalement exhorté hier, ses militants à la retenue, relève le site Seneplus. "N'attaquez personne, ne frappez personne, ne provoquez personne. Désactivez tout mais qu'on reste vigilant", a déclaré le Premier ministre dans la soirée. Des propos qui contrastent avec sa dernière sortie où il affirmait que "Barthélémy Dias et sa coalition ne devaient plus battre campagne dans ce pays". »Œil pour œil, dent pour dent…Reste que la sortie plutôt musclée du Premier ministre sénégalais a frappé les esprits dans la presse sénégalaise et dans la presse de la sous-région…« Force est de reconnaître que nos "héros" semblent marcher sur la tête, s'indigne le quotidien 24 heures à Dakar. (…) On a déterré la hache de guerre et ressuscité la loi du talion comme dans la jungle. On se rend coup sur coup. Œil pour œil, dent pour dent. Le thermomètre n'en finit plus de grimper dangereusement. Et ça craint très sérieusement pour la paix sociale et la cohésion nationale (…). La question qui brûle les lèvres aujourd'hui, poursuit 24 Heures, c'est de savoir de quoi demain sera fait. C'est aussi et surtout de savoir si le scrutin pourra survivre à un tel déchaînement de violences et de haine morbide et à de tels dérapages verbaux gratuits. »« Un Premier ministre ne devrait pas dire ça… », renchérit L'Observateur Paalga au Burkina Faso. « On a, en effet, le sentiment que Sonko n'habite pas encore tout à fait la fonction de Premier ministre. Certes, il est le patron d'un parti en compétition, mais il devrait faire l'effort d'être au-dessus de la mêlée et ne pas encourager la violence. Or avec cette sortie, il contribue à exacerber des tensions qui sont déjà suffisamment palpables. »Le quotidien Aujourd'hui insiste : « Quelle mouche du coche a donc piqué Ousmane Sonko, le Premier ministre du Sénégal pour qu'il en arrive à cette dérive langagière ? »« Il est au pouvoir, mais Ousmane Sonko doit s'imaginer encore dans l'opposition, renchérit Ledjely en Guinée. C'est la seule explication possible à l'appel à la vengeance qu'il a lancé en direction de ses partisans du Pastef. »Une « accalmie de façade » ?Ousmane Sonko est donc, par la suite, revenu sur ses propos…« Le dégel », titre WalfQuotidien. « Sonko appelle à l'apaisement. Le leader de Pastef a mis de l'eau dans son bissap. Il a modéré son discours et demandé à ses militants de poursuivre la caravane sans répondre par la violence. »Désormais, « la classe politique est face à ses responsabilités », relève Sud Quotidien.« Après l'escalade, une accalmie de façade ? », s'interroge Vox Populi.Enfin, on revient au quotidien 24 Heures, pour qui il faut vite tourner la page : « Au moment où certains (sinistrés par les inondations) pataugent encore dans les eaux et n'ont que leurs yeux pour pleurer devant l'immensité des dégâts. Au moment où des millions de paysans ont perdu la voix face à des récoltes qui ne sont pas à la hauteur des espoirs caressés en début d'hivernage. Au moment où enfin, tout le monde constate avec désolation l'escalade qui frappe les prix des denrées de première nécessité. C'est dire s'il y a du lourd, du très lourd même dans l'agenda gouvernemental. N'ajoutons donc pas une seconde escalade à celle-là, une angoisse supplémentaire à l'angoisse déjà présente, s'exclame 24 Heures. Tournons vite la page des joutes verbales et des confrontations violentes et laissons le bulletin de vote faire le reste. »
durée : 00:05:29 - Le Bach du matin du mardi 12 novembre 2024 - Notre Bach du matin est un Bach opératique. Certes, le compositeur n'a pas écrit d'opéra, mais il signe en 1725 une cantate proche de ce que l'on appelait le Dramma per musica, une cantate profane inspiré de la mythologie grecque : la cantate BWV 205.
durée : 00:05:29 - Le Bach du matin du mardi 12 novembre 2024 - Notre Bach du matin est un Bach opératique. Certes, le compositeur n'a pas écrit d'opéra, mais il signe en 1725 une cantate proche de ce que l'on appelait le Dramma per musica, une cantate profane inspiré de la mythologie grecque : la cantate BWV 205.
Aujourd'hui abordons un sujet brûlant désormais pour les entreprises et les professionnels de l'informatique. Il s'agit de la question de la stratégie de sortie de VMware. En effet, depuis que VMware a été racheté par Broadcom, les prix des services et de licences ont explosé. Et cela inquiète sérieusement les entreprises qui s'appuient sur ces technologies de virtualisation pour leurs infrastructures informatiques.Alors comment fuir sans y laisser des plumes ? Voyons ensemble trois points essentiels.Ne partez pas comme un voleurPremièrement, ne partez pas comme un voleur. Il vous faut absolument une stratégie de sortie.Certes, de nombreuses entreprises se demandent s'il ne serait pas plus avantageux de quitter rapidement VMware pour des solutions alternatives. Mais une stratégie de sortie ne doit pas être une simple réaction face aux hausses de prix. Cela permet de planifier en amont les étapes de migration vers une autre plateforme en évitant les risques majeurs.Parmi les points clés, il est essentiel de prendre en compte la complexité de la transition, le temps nécessaire et l'adaptation aux nouvelles technologies.Quelles sont les alternatives ?Deuxièmement, comment préparer concrètement une telle stratégie ?Pour sortir proprement de VMware, il est important de réaliser un audit complet des infrastructures actuelles. Il faut identifier les faiblesses, les forces, surtout prendre en compte les besoins futurs de l'entreprise.Ensuite, je vous conseille évidemment de rechercher des alternatives adaptées. Cela peut inclure des plateformes comme celles de Microsoft Azure, AWS, ou Google Cloud, qui proposent des solutions robustes de virtualisation et de sécurité.Envisager le chantier de migration des données en amontEnfin, un élément crucial de la sortie de VMware est la migration des données.Des solutions proposent des services de migration dans le cloud avec un temps d'arrêt minimal. Avec des technologies comme la réplication en ligne au niveau des blocs par exemple, cela permet d'assurer la continuité de la production informatique, sans interruption majeure.Cela est particulièrement utile pour les configurations hybrides où certaines données sont stockées sur site et d'autres dans le cloud.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de la visite d'Emmanuel Macron au Maroc, une image vous a frappé et fait très plaisir à Ruth Elkrief. C'est celle de la fille de Mohammed VI, la princesse Lalla Khadija, qui est installée avec les trois soeurs du roi auprès de Brigitte Macron en tenue occidentale comme en tenue traditionnelle marocaine pendant la soirée officielle, sans voile. Ruth Elkrief estime qu'il faut savoir regarder parfois là-bas pour se faire une idée des positions à prendre sur le voile en France. Elle s'est aussi adressée aux TikTokeuses, influenceuses qui expliquent quelle est la bonne façon de s'habiller pour une jeune femme musulmane. En raison des inondations d'une ampleur exceptionnelle qui ont frappé l'Espagne, la région de Valence a été engloutie par des eaux, des torrents de boue. Selon un bilan encore provisoire, plus de 150 personnes sont mortes. Et les dégâts sont considérables, se chiffrant à plusieurs centaines de millions d'euros. Pascal Perri estime que cette catastrophe a un lien avec le réchauffement climatique. Il préconise alors de cartographier de manière précise les zones de risque pour pouvoir prendre des mesures d'ordre public. En avance, des habitants de Shanghai ont fêté Halloween le samedi 26 octobre dernier. Certes, elle n'est pas officiellement interdite en Chine, mais elle n'est pas non plus autorisée. La police a alors décidé d'interdire à tous les bars d'organiser des événements en rapport avec Halloween tout en postant des cars dans les rues les plus festives de la ville. Mais malgré une présence policière massive, des jeunes ont revêtu des déguisements, certains anodins, d'autres très politiques dans des lieux inattendus. Abnousse Shalmani estime que ce geste des autorités chinoises tient au fait que Halloween reflète le soft power américain ou plus largement occidental. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
“Je trouve dommage de dénigrer les petits gestes.Certes, on peut se dire qu'ils ne servent à rien.Mais les systématiser a vraiment un effet. On l'a d'ailleurs constaté dans un projet "défi énergies" qu'on a lancé, il y a quelques années, à Bruxelles. Les personnes qui s'y étaient inscrites faisaient déjà des efforts. Et malgré cela, elles ont réussi à diminuer de 15 à 20% leur consommation, simplement en systématisant des bonnes pratiques. Et pourtant il ne s'agissait même pas d'isoler sa maison ou de changer sa chaudière.Et en plus, les effets se répercutaient à d'autres aspects comme l'alimentation ou les déplacements. Parce que, quand on fait un effort dans un certain endroit, on a envie d'être plus cohérent et on a envie de voir ce qu'on peut faire d'autre…”Découvrez le nouvel épisode du podcast En Route !
Qui a vraiment atteint le premier l'Everest ? Est-ce bien sir Edmund Hillary, arrivé sur le toit du monde le 29 mai 1953 ? Ou plutôt les alpinistes George Mallory et Sandy Irvine, partis, en 1924, à l'assaut de la fameuse montagne ? Certes, le vainqueur officiel demeure bien le Britannique Hillary. Mais, depuis un siècle, on se demande si ses devanciers, qui ont été aperçus, pour la dernière fois, le 8 juin 1924, n'auraient pas fini par atteindre leur but. Certains indices montrent en tous cas qu'ils n'en étaient pas très loin. Ainsi, en 1999, l'alpiniste américain Conrad Anker a découvert, à plus de 8 200 mètres d'altitude, le corps momifié de George Mallory. La découverte d'une chaussure appartenant à Irvine Une autre découverte fait la une de l'actualité. Elle est le fait d'une équipe du National Geographic, qui vient de trouver, sous la face nord de l'Everest, une chaussure qui a aussitôt attiré l'attention des alpinistes. En effet, une chaussette y était insérée. En l'examinant, ils ont aperçu une étiquette encore visible, sur laquelle était inscrit "A.C. Irvine". Ce qui pourrait correspondre au nom de l'équipier de George Mallory. Il se prénommait en effet Andrew, "Sandy" n'étant qu'un surnom. Par ailleurs, les restes d'un pied humain ont été retrouvés dans la chaussure. Comme des membres de la famille d'Irvine ont proposé de fournir des échantillons d'ADN, il devrait être possible d'établir que ces ossements étaient bien ceux de Sandy Irvine. Mais cela ne prouverait pas pour autant que les deux alpinistes avaient bien atteint le sommet de l'Everest. Pour cela, il faudrait retrouver l'appareil photo emporté par Irvine. S'il s'était bien hissé sur le toit du monde, il avait certainement dû immortaliser cet exploit. D'autres objets ayant appartenu aux deux alpinistes ont bien été découverts, comme un piolet ou une bouteille d'oxygène, mais l'appareil photo demeure introuvable. Quoi qu'il en soit, de nombreux alpinistes sont persuadés que Mallory et Irvine sont bien parvenus au sommet de l'Everest et qu'ils auraient trouvé la mort au retour. Un jour prochain, une autre expédition en trouvera peut-être la preuve décisive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À mon époque, on préférait s'envoyer en l'air plutôt que de regarder une série. Certes, mais personne n'avait entendu parler du clitoris. En février 2024, une étude a créé la panique dans les médias. Plus d'un quart des 18-24 ans admettent ne pas avoir eu de rapport sexuel en un an, contre 5 % en 2006. Alors, le sexe était-il vraiment mieux avant ? C'est la question posée dans cet épisode d'OrgasmiQ. L'émission OrgasmiQ (Téva) a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Juliette Tresanini et ses "sexpertes" Charline Gayault (sage-femme) et Charline Vermont (formatrice en santé sexuelle) explorent la sexualité sans tabous et répondent à toutes vos questions avec bienveillance, humour et légèreté.
Certains habitants de l'ouest de la France ont eu la surprise de croiser, sur la route, des écrevisses en promenade ! D'autres en ont vu dans leur jardin ou leur piscine. Certaines déambulent même sur les parkings ou aux abords des maisons. Serait-ce une invasion ? De fait, l'écrevisse de Louisiane, car c'est d'elle qu'il s'agit, est bien considérée comme une espèce invasive. Introduites en France dans les années 1970, ces écrevisses rouges ont profité d'un temps favorable, marqué par de fortes pluies et une certaine douceur, pour se multiplier. Désormais, elles ne se cantonnent plus aux marais et aux rivières. Elles en sortent pour envahir de nouveaux territoires. Ces écrevisses, qui peuvent pondre 600 œufs par an, deviennent si nombreuses qu'on sera bientôt obligé de les compter en tonnes par hectare ! Une menace pour la biodiversité Ces myriades de crustacés doivent se nourrir. D'après les spécialistes, ils ne sont pas difficiles quant à leur alimentation. De fait, c'est une espèce omnivore. Elle s'attaque donc aussi bien aux plantes aquatiques qu'aux œufs de poisson. Dans l'un et l'autre cas, les écrevisses de Louisiane font le vide autour d'elles. Elles menacent donc la survie de certaines espèces, en les dévorant ou en les privant elles-mêmes de nourriture. À terme, c'est tout l'équilibre de certains écosystèmes qui est mis à mal. Une menace difficile à combattre Rien n'est vraiment prévu pour contrôler la prolifération d'une espèce qui met en danger la biodiversité. Certes, l'écrevisse attire des prédateurs, comme les loutres ou certains oiseaux. Mais les loutres, espèce elle-même menacée, ne sont pas assez nombreuses pour venir à bout de ces crustacés envahissants. La seule solution, pour l'instant, c'est d'inciter les gens à les pêcher. À condition d'avoir une carte de pêche en règle, et de ne pas transporter d'écrevisses vivantes, ils peuvent venir se servir. Pas de doute, la pêche sera fructueuse ! À cette fin, des campagnes de pêche intensive ont même été organisées ici ou là. Il n'est pas sûr, cependant, que cela suffise à éradiquer une espèce aussi invasive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Washington, principal allié de l'État hébreu, lui a toujours apporté un soutien militaire sans faille, et encore plus depuis le 7 octobre et l'attaque du Hamas. Dans la course à la Maison Blanche, deux adversaires : Kamala Harris pour les démocrates, Donald Trump pour les républicains. Les Palestiniens, eux, n'attendent rien de cette élection. Avec nos correspondants à Gaza et à Jérusalem, Dans le ciel de Gaza, les drones et les avions de combat israéliens. Les bombes qui s'abattent sont « Made in USA ». La présidentielle américaine « est un enjeu pour les Américains, mais pour nous Gazaouis, cela ne fera aucune différence », tranche Abd el Kader, un déplacé.« Ils sont tous pareils, se désole Abd el Kader. Leur priorité est de soutenir les forces d'occupation israéliennes. Démocrates et républicains peuvent avoir des désaccords sur tout, sauf sur le soutien aux Israéliens. Ce soutien peut prendre différentes formes, mais c'est le même ». À lire aussi Guerre à Gaza : Kamala Harris joue les équilibristesPourtant, l'administration sortante démocrate du président Joe Biden se dit contre l'occupation israélienne des territoires palestiniens et pour une solution à deux États. « Pour nous Palestiniens, tout ça, c'est du vent, poursuit Abd el Kader. Oui, les démocrates se disent favorables à l'émergence d'un État palestinien et pour une solution à deux États. Mais ce sont juste des paroles. Pour remporter la présidentielle aux États-Unis, il faut afficher son soutien à Israël ».« C'est Israël qui domine tout le monde » Plus tôt cette année, en mai, Washington avait gelé une livraison d'armes à l'État hébreu. Une cargaison de missiles dévastateurs d'une tonne. « Des civils ont été tués à Gaza à cause de ces bombes. C'est mal. », avait alors expliqué le président Joe Biden. Mais très vite, le Premier ministre israélien a réussi à retourner la situation.Benyamin Netanyahu a violemment critiqué son allié américain et l'a accusé de mettre l'État hébreu en danger. À Gaza, pour Khaled, c'est bien la preuve que ce sont les Israéliens qui mettent les Américains sous pression, et non le contraire. « On pense à tort que les Américains dominent le monde. Mais en réalité, c'est Israël qui domine tout le monde : aussi bien les États-Unis que les pays arabes. Pour moi, Donald Trump va remporter la présidentielle américaine. Certes, les démocrates ont beaucoup fait pour Israël, mais Trump leur offrira davantage encore ». À lire aussi Gaza : « les États-Unis démontrent leur incapacité et leur manque de volonté à transformer la situation »« Le véritable objectif de cette guerre est de nous chasser d'ici, sans possibilité de revenir un jour à Gaza »À Gaza, tous ont à l'esprit « l'accord du Siècle ». Alors président des États-Unis, Donald Trump avait présenté un plan de paix très favorable à Israël et qui légitimait même la colonisation. Son potentiel retour au pouvoir inquiète Souheil, cet autre Gazaoui. « Trump va remettre son plan contre les Palestiniens à l'ordre du jour. La lutte contre le Hamas, l'élimination de Yahya Sinwar, tout ça ce ne sont que des prétextes, analyse Souheil. Le véritable objectif de cette guerre est de nous chasser d'ici, sans possibilité de revenir un jour à Gaza ». À lire aussiExactions commises à Gaza par l'armée israélienne, une nouvelle ère du droit international?
Washington, principal allié de l'État hébreu, lui a toujours apporté un soutien militaire sans faille, et encore plus depuis le 7 octobre et l'attaque du Hamas. Dans la course à la Maison Blanche, deux adversaires : Kamala Harris pour les démocrates, Donald Trump pour les républicains. Les Palestiniens, eux, n'attendent rien de cette élection. Avec nos correspondants à Gaza et à Jérusalem, Dans le ciel de Gaza, les drones et les avions de combat israéliens. Les bombes qui s'abattent sont « Made in USA ». La présidentielle américaine « est un enjeu pour les Américains, mais pour nous Gazaouis, cela ne fera aucune différence », tranche Abd el Kader, un déplacé.« Ils sont tous pareils, se désole Abd el Kader. Leur priorité est de soutenir les forces d'occupation israéliennes. Démocrates et républicains peuvent avoir des désaccords sur tout, sauf sur le soutien aux Israéliens. Ce soutien peut prendre différentes formes, mais c'est le même ». À lire aussi Guerre à Gaza : Kamala Harris joue les équilibristesPourtant, l'administration sortante démocrate du président Joe Biden se dit contre l'occupation israélienne des territoires palestiniens et pour une solution à deux États. « Pour nous Palestiniens, tout ça, c'est du vent, poursuit Abd el Kader. Oui, les démocrates se disent favorables à l'émergence d'un État palestinien et pour une solution à deux États. Mais ce sont juste des paroles. Pour remporter la présidentielle aux États-Unis, il faut afficher son soutien à Israël ».« C'est Israël qui domine tout le monde » Plus tôt cette année, en mai, Washington avait gelé une livraison d'armes à l'État hébreu. Une cargaison de missiles dévastateurs d'une tonne. « Des civils ont été tués à Gaza à cause de ces bombes. C'est mal. », avait alors expliqué le président Joe Biden. Mais très vite, le Premier ministre israélien a réussi à retourner la situation.Benyamin Netanyahu a violemment critiqué son allié américain et l'a accusé de mettre l'État hébreu en danger. À Gaza, pour Khaled, c'est bien la preuve que ce sont les Israéliens qui mettent les Américains sous pression, et non le contraire. « On pense à tort que les Américains dominent le monde. Mais en réalité, c'est Israël qui domine tout le monde : aussi bien les États-Unis que les pays arabes. Pour moi, Donald Trump va remporter la présidentielle américaine. Certes, les démocrates ont beaucoup fait pour Israël, mais Trump leur offrira davantage encore ». À lire aussi Gaza : « les États-Unis démontrent leur incapacité et leur manque de volonté à transformer la situation »« Le véritable objectif de cette guerre est de nous chasser d'ici, sans possibilité de revenir un jour à Gaza »À Gaza, tous ont à l'esprit « l'accord du Siècle ». Alors président des États-Unis, Donald Trump avait présenté un plan de paix très favorable à Israël et qui légitimait même la colonisation. Son potentiel retour au pouvoir inquiète Souheil, cet autre Gazaoui. « Trump va remettre son plan contre les Palestiniens à l'ordre du jour. La lutte contre le Hamas, l'élimination de Yahya Sinwar, tout ça ce ne sont que des prétextes, analyse Souheil. Le véritable objectif de cette guerre est de nous chasser d'ici, sans possibilité de revenir un jour à Gaza ». À lire aussiExactions commises à Gaza par l'armée israélienne, une nouvelle ère du droit international?
Comment se portent les économies africaines ? Le Fonds monétaire international referme ce samedi ses Assemblées annuelles avec la Banque mondiale à Washington. L'institution financière prévoit une croissance de 3,6 % cette année en Afrique subsaharienne dans son rapport sur les perspectives régionales. Quels sont les effets des mesures d'austérité prise dans certains pays ? Antonio David, chef adjoint au FMI en charge de l'Afrique, répond à nos questions. RFI : Concernant les perspectives régionales pour l'Afrique subsaharienne, le rapport du FMI pointe des réformes qui « portent leurs fruits ». Quels sont, selon vous, les exemples les plus éclatants ? Antonio David : Il s'agit vraiment de la réduction des déséquilibres macroéconomiques grâce à des efforts d'ajustement. Par exemple, on constate que l'inflation s'est réduite et près de la moitié des pays présentent des taux qui sont déjà conformes aux cibles. Tout cela grâce à un resserrement de la politique monétaire qui a été réalisé par plusieurs pays. À la suite de ces efforts-là, la dette s'est stabilisée autour de 58 % du PIB. Certes, c'est un niveau encore élevé, mais au moins, elle est sur une trajectoire stade.Il est vrai qu'il y a des vulnérabilités qui persistent dans la région, l'inflation reste à deux chiffres dans un tiers des pays. À lire aussiLe FMI appelle les pays africains à la vigilance sur fond d'améliorations nettesIl y a encore une inflation très forte dans certains pays. Quelle solution préconisez-vous dans des pays qui ont déjà fait des efforts aussi, je pense par exemple au Nigeria. Tout à fait. Mais en réalité, nos prévisions indiquent que l'inflation devrait poursuivre sa trajectoire descendante l'année prochaine, avec des baisses considérables, notamment en Angola, au Ghana et au Nigeria. Il faut quand même essayer et de ne pas avoir une combinaison de politiques budgétaires et monétaires qui soient trop restrictives et qui puissent exacerber les frustrations et les agitations sociales.Au Nigeria, vous préconisiez la fin des subventions au carburant. Aujourd'hui, le prix du carburant explose. Et puis il y a une grogne sociale qui n'en finit pas. Il est vrai que tous ces efforts de réformes qui sont essentiels pour assurer la stabilité macroéconomique ont certainement des coûts à court terme et les populations le sentent ça. Vous avez parlé du cas des prix des carburants à la pompe. On préconise par exemple de commencer par changer les prix des produits qui sont consommés par les couches les plus aisées, avant de passer à des produits qui sont consommés par les plus pauvres. Concernant le Niger, êtes-vous optimiste aujourd'hui, alors que la situation géopolitique est toujours tendue et et que les revenus pétroliers aujourd'hui sont conditionnés par le maintien d'un accord friable avec le Bénin ? Nous sommes en temps de préparer une mission qui va partir à Niamey à la semaine du 28 octobre. C'est vrai qu'en termes de croissance à court terme, ils sont plutôt favorables grâce à plusieurs facteurs : le démarrage des exportations pétrolières, la levée des sanctions et également une campagne agricole qui sera très favorable cette année. Certes, il y a des tensions à la frontière avec le Bénin qui pèsent sur cette perspective, mais dans la projection de base, les exportations pétrolières vont se poursuivre et vont être des facteurs porteurs de la croissance cette année. Les pays de l'AES, l'Alliance des États du Sahel, maintiennent vouloir quitter la Cédéao. Quel sera l'impact de cette décision sur leurs économies et sur leurs finances publiques ? Nous nous sommes concentrés sur trois canaux de transmission. Premièrement, le commerce transfrontalier, surtout avec les pays membres de la Cédéao que ne sont pas membres de l'Uemoa, tels que le Nigeria et le Ghana par exemple. Ils pourraient être affectés par cette décision s'il y a une augmentation des droits de douane par exemple. Le deuxième facteur serait la mobilité de la main d'œuvre. Et le troisième, qui est assez important, c'est l'incertitude économique qui aura peut-être un impact sur les primes, des risques des pays de l'AES, ainsi que des répercussions peut-être négatives sur le flux d'investissements directs étrangers.Nous trouvons que l'impact de cette décision de sortir de la Cédéao sera plutôt modéré dans les trois pays et pourrait être atténuée par d'autres accords commerciaux qui pourraient être signés. Cela notamment dans le cadre de la zone de libre échange continental africain.À lire aussiDette mondiale : la cote d'alerte est-elle dépassée ?
Sa mission : augmenter de 40% le transport de marchandises entre l'Inde et l'Europe. Son nom : l'Imec, soit Corridor économique entre l'Inde et l'Europe, en passant par le Moyen-Orient. Malgré les incertitudes dues au conflit au Proche-Orient, les États-Unis et la Commission européenne soutiennent ce projet, bien que le budget et la durée des travaux soit encore inconnue. La première étape du projet Imec va consister à faire dans les huit pays (France, Italie, Allemagne, Jordanie, Israël, Émirats arabes unis, Arabie saoudite, Inde) de ce futur corridor Inde-Moyen-Orient-Europe, l'inventaire de tout ce qui existe déjà (chemins de fer, ports maritimes équipés pour recevoir du gaz ou de l'hydrogène, câbles optiques...)Assurer les importations de l'Europe en gaz, minerais et produits agricoles Mandaté par le président Macron, le responsable français Gérard Mestrallet (ancien patron des entreprises d'énergie Engie et Suez) se rendra régulièrement en Inde pour le suivi du projet Imec. Le port français de Marseille en tête d'affiche Pour l'Imec, la France met en avant la qualité de ses terminaux gaziers. Le port de Marseille fera partie du projet. En visite en septembre dernier à Marseille, Gérard Mestrallet l'a expliqué à une délégation de patrons franco-indiens. Un soutien qu'il exprime également dans les médias.« Ce sera effectivement une liaison maritime entre l'Inde et la côte est du continent arabique, vers les ports des Émirats et de l'Arabie saoudite. Ensuite une liaison terrestre jusqu'en Jordanie et Israël (port d'Haïfa), puis à nouveau du maritime jusqu'en Europe, détaille Gérard Mestrallet. L'Imec prévoit aussi de transporter des données numériques via l'installation de câbles sous-marins ou le long des voies ferrées. Les autres types de marchandises seront transportées via des conteneurs et des gazoducs pour l'énergie. »À lire aussiMarseille, le port des data centersLe concurrent chinois dépense 1 000 milliards de dollars Concurrencer les Routes de la soie, ce projet chinois déjà bien avancé de relier de grandes villes et de grands ports à la Chine, c'est un projet que l'on peut comprendre... Mais attention, explique le chercheur Yves-Marie Rault-Chodankar de l'Université Paris 1, le problème sera de trouver l'argent : « Il n'y a pour le moment aucun budget ni évaluation du coût global du projet Imec ! Certes, c'est un projet à très long terme qui durera des dizaines d'années. Quand on pense que la Chine pour ses Routes de la soie débourse 1 000 milliards de dollars, pour l'Europe, dans le contexte de guerre en Ukraine et de restrictions d'importations du gaz de Russe, il s'agira de s'assurer d'importer du gaz et de l'hydrogène provenant du Moyen-Orient, analyse le chercheur. Pour l'Inde, il s'agira de développer ses exportations de produits agricoles, d'hydrocarbures, de métaux. Pour les pays du Golfe, il s'agira de devenir une nouvelle et importante plaque tournante d'échanges marchands, donc d'accroître leur puissance économique et politique. »Découvrez notre série de reportages sur les Nouvelles routes de la soie.Soutien des USA et de l'Europe Évidemment, l'administration américaine, en rivalité commerciale avec la Chine, approuve ce projet. Il est prévu que chaque État finance ses travaux et partage les frais avec ses voisins quand leurs nouvelles routes, nouveaux câbles optiques ou nouveaux gazoducs traversent leurs frontières. En Europe, la France, l'Italie et l'Allemagne ont reçu le soutien de la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. À lire aussiEn Europe, les ports, lieux stratégiques, porte d'entrée pour des intérêts étrangers
En France, l'Aide sociale à l'enfance du département du Nord est à nouveau pointée du doigt. À côté de Dunkerque, une soixantaine de mineurs étrangers ont été placés sans accompagnement dans un hôtel désaffecté. Sans école, sans formation, sans activités ludiques pour occuper leur journée, ces jeunes exilés sont livrés à eux-mêmes depuis plusieurs mois alors que cet hébergement devait n'être que provisoire. La Ligue des droits de l'homme a saisi la Défenseure des droits pour leur venir en aide. De l'extérieur, cet ancien hôtel Formule 1, près de Dunkerque, n'a pas beaucoup changé. Certes, l'enseigne qui surplombait la façade a été démontée et les clients n'y viennent plus. Mais les chambres de ce bâtiment en crépi jaune pâle qu'on aperçoit au bord de la route sont toujours occupées.Sur le rebord des fenêtres, des baskets et des vêtements d'adolescents sèchent au soleil. 60 à 80 jeunes mineurs non accompagnés y sont hébergés, selon l'antenne locale de la Ligue des droits de l'homme (LDH). Sabine Donnaint, sa présidente, est allée sur place au mois de mai. « Le premier contact que j'ai eu, c'est deux jeunes, un Afghan et un Malien, qui étaient là depuis quatre mois déjà, donc sans avoir réalisé les tests pour pouvoir aller à l'école, et eux, c'est ce qu'ils voulaient : aller à l'école, pouvoir avoir une formation. On leur disait que ce n'était pas possible parce qu'ils ne savaient pas s'ils allaient rester sur le dunkerquois ou être envoyés aux quatre coins de la France. »L'un des jeunes témoigne via un message WhatsApp envoyé à RFI : « Je ne vais pas à l'école, je ne fais rien... Même la nourriture, c'est un problème, les habits, on ne m'en donne pas, on n'est pas bien vêtus, même les chaussures, on ne nous en donne pas… On souffre ici. »En France, lorsqu'un jeune exilé est évalué mineur, c'est l'Aide sociale à l'enfance qui prend le relais. Elle est pilotée par les départements et se charge de trouver un logement et de l'inscrire à l'école ou en formation. Mais dans cet ancien hôtel, aucun de ces dispositifs n'a été mis en œuvre. « À chaque fois, ils nous disent qu'ils ne peuvent rien faire tant qu'on n'a pas encore été transférés, qu'on ne peut pas partir à l'école et qu'on ne peut pas s'occuper de nous, témoigne le même jeune, toujours via WhatsApp. Quand on se réveille le matin, on va prendre notre petit-déjeuner à 8 h, dès qu'on a fini de manger, on rentre dans notre chambre, on va se coucher. Nous sommes deux dans la chambre, on ne fait rien ici, on vit très mal ici. »À lire aussiFrance: l'errance des mineurs isolés étrangers cherchant à faire reconnaitre leur minoritéDes jeunes qui redoutent de recevoir une OQTF pour leur 18ᵉ anniversaireL'association Coallia, qui est conventionnée pour accompagner ces mineurs, n'a que partiellement répondu aux questions de RFI. Selon elle, il est « difficile de mobiliser les établissements scolaires » puisque les jeunes ne sont censés rester sur ces dispositifs que pour cinq jours maximum. Pourtant, ceux que nous avons contactés sont là depuis au moins quatre mois et ont loupé la rentrée scolaire. Coallia assure également que « l'équipe encadrante propose des activités aux jeunes », sans préciser lesquelles. Interrogé à ce sujet cette semaine, un autre adolescent dément : « Il y a des cours de français à la Médiathèque, ils ont commencé ça hier », mais rien d'autre. L'association reconnait que les activités sont « délicates à mettre en place, car la convention actuelle est reconduite par période de trois mois », ce qui poserait des problèmes de gestion des effectifs. Pas de réponse sur le nombre de personnels encadrants présents dans l'établissement, mais les mineurs qui y vivent disent ne pas pouvoir compter le nombre d'éducateurs qui se succèdent au quotidien, embauchés pour des contrats très court, parfois à la journée. À lire aussiComment accélérer la scolarisation des mineurs non accompagnés en France ?« Pour ces mineurs, il y a un enjeu qui est totalement déterminant, affirme Bernard Champagne, co-président de la Ligue des droits de l'homme à Dunkerque, très préoccupé par cette situation. Quand ils vont avoir 18 ans, l'obtention de leur titre de séjour est aussi tributaire du parcours scolaire éducatif dans lequel ils sont. S'ils n'y sont pas, il y a une argumentation ouverte par la préfecture en disant qu'ils ne sont pas dans un processus d'intégration et d'insertion et donc, qu'ils n'auront pas de titre de séjour. » Il ironise : « En revanche, avec délicatesse, on leur offre une OQTF. »Et c'est cette OQTF, cette obligation de quitter le territoire, que redoutent certains de ces jeunes, coincés à l'hôtel, alors que leur 18ᵉ anniversaire approche à grands pas.Dans ce département, les travailleurs sociaux estiment que 1 000 enfants sont en attente d'un placement convenable. La Défenseure des droits enquête d'ailleurs sur les dysfonctionnements de l'Aide sociale à l'enfance du Nord, depuis 2022.► Rendez-vous sur notre site Infomigrants pour suivre l'actualité et découvrir des reportages sur les questions de migrations en Europe.
C'est une sorte de croyance largement partagée en France, notamment parmi les électeurs de gauche. Certes, la fascisation des médias est préoccupante en France, notamment en raison des dérives quotidiennes des différentes dénominations de TV Bolloré. Et du mimétisme de la galaxie BFM TV, qui court après son leadership perdu. Mais, mais, mais… tout n'est pas perdu parce que le service public demeure, et continue d'abriter des émissions incarnant les valeurs du débat vrai, de l'équilibre, de la saine délibération citoyenne. Des émissions comme “C ce soir” sur France 5. A bien y regarder, cette survalorisation du service public de l'audiovisuel et de ses émissions est-elle justifiée ? Journaliste, auteur de “Rendre les coups” et de “La guerre des mots”, ancien programmateur notamment pour les émissions de Frédéric Taddéi, Selim Derkaoui répond à cette question par un grand “non”. Il s'en est expliqué dans un article publié par “Frustration Magazine” et intitulé “C Ce soir, conformisme bourgeois et illusion démocratique”. Pour Le Média, il revient sur le dispositif de cette émission-phare et plus généralement sur le vrai positionnement politique de ce qu'il appelle, non pas le service public, mais les médias d'État.
En Haïti, la situation sécuritaire s'est fortement dégradée, ces derniers jours, dans plusieurs secteurs de la zone métropolitaine. Gotson Pierre, directeur de l'agence Alter Presse, revient sur la dégradation de la situation depuis deux jours à Port-au-Prince et ses environs. Des tirs nourris ont résonné ce lundi (21 octobre 2024) dans plusieurs endroits, avec des barrages et des barricades enflammées. Un des points les plus chauds : Solino, au centre de la capitale, qui subit les attaques répétées de la coalition des gangs armés Viv Ansanm. Depuis les attaques du 17 octobre à Port-au-Prince, 4 200 personnes ont été déplacées.La situation est aussi très tendue en province, notamment dans le département de l'Artibonite, dans le nord du pays, avec notamment l'attaque d'une école – un parent d'élève a été tué et plusieurs élèves blessés.Face à cela, le gouvernement a décidé de redéployer des unités d'élite, là où les combats les plus rudes avec les gangs ont lieu – ces centaines de policiers et soldats sont actuellement affectés à la protection de personnalités importantes.La « désarticulation de la transition »Les deux chefs de l'exécutif ont visité le quartier général des Forces armées d'Haïti mais séparément à 24 heures d'intervalle : « Le Conseil présidentiel de transition et le Premier ministre font un grand concours de visites et de réunions pour la galerie », titre le Nouvelliste : ils « affichent au grand jour la désarticulation de la transition », juge le quotidien, alors que « parallèlement à ces visites (…) les groupes criminels continuent de sanctionner la population ». « Ce n'est pas le moment des querelles politiques », a insisté Brian A. Nichols, l'assistant-secrétaire d'État américain pour les Affaires de l'hémisphère occidental. D'autant que, souligne Frantz Duval dans son éditorial, « si, en février, le Premier ministre Ariel Henry était en vadrouille quand les gangs ont déferlé sur Port-au-Prince, cette fois les chefs sont au pays, il s'entredéchirent et font enfler leurs albums photos ». États-Unis : journal de campagneComme chaque mardi, l'envoyé spécial permanent de RFI, à Washington, Guillaume Naudin fait le point sur la campagne. Il revient sur la loterie organisée par Elon Musk. Le milliardaire a créé un comité d'action politique pour soutenir Donald Trump, et ce comité a lancé une pétition en faveur, officiellement, de la défense de la Constitution et du droit à détenir et porter des armes – mais uniquement dans les sept États-clé. Chaque électeur inscrit comme électeur et qui signe la pétition reçoit 100 dollars, plus 47 dollars par autre électeur inscrit qu'il convainc de signer la pétition. Chaque jour jusqu'à l'élection, un des signataires de sa pétition recevra par tirage au sort un million de dollars. Or, explique Guillaume Naudin, cela ressemble à de l'achat de votes, ce que la loi interdit. Les experts légaux sont divisés...À noter également que, selon la commission électorale fédérale, au mois de septembre, la campagne Harris a levé trois fois plus d'argent que la campagne Trump. Sur les trois derniers mois, le total pour les démocrates s'élève à un milliard de dollars. De l'argent qui part notamment en publicité dans les États-clé. « Populisme, agression et grossièreté »Donald Trump est en tête du vote masculin, et il « insiste avec une posture de macho », titre USA Today qui, comme beaucoup d'autres quotidiens, revient sur les propos qu'a tenus le candidat ce week-end : « douze minutes de remarques décousues sur le golfeur décédé Arnold Palmer, un monologue qu'il a conclu par une réflexion sur la taille du pénis de Monsieur Palmer », raconte l'éditorialiste du New York Times. Pendant ce meeting, l'ancien président a aussi traité Kamala Harris de « vice-présidente de merde ». « Cela ne va certainement attirer les électeurs qu'il faut encore persuader », explique dans The Hill une conseillère républicaine :« Mais nous sommes aujourd'hui à un moment où les deux camps veulent surtout mobiliser leurs bases. » Le fait est que, « à de nombreuses reprises », écrit un reporter de Politico, « les électeurs nous ont dit que c'est ce qu'ils aimaient à propos de Trump : il dit ce qu'il pense (…) Ce genre de discours est largement accepté maintenant, et particulièrement pour Trump, à en croire ses électeurs ». Présidentielle américaine : environnement, climat et candidatsSimon Rozé, le chef du service environnement / climat de RFI, détaille les positions des deux candidats à la présidentielle sur les sujets environnementaux.Donald Trumpnie le changement climatique, en relativise ses conséquences, et veut détricoter les politiques et réglementations existantes. Et aujourd'hui, ses soutiens et lui apparaissent bien plus préparés que lors de sa présidence pour mener à bien ce travail de sape. Le candidat républicain appuie aussi de manière marquée le secteur des hydrocarbures. Lorsqu'il a reçu des patrons du secteur, Donald Trump leur a fait une offre : un milliard de dollars pour financer sa campagne, contre un engagement à suspendre toutes les mesures prises par l'administration Biden restreignant leurs activités.De son côté, Kamala Harris reste peu prolixe sur le sujet, très clivant aux États-Unis. Certes, lorsqu'on la questionne sur le sujet, elle est claire : le réchauffement climatique existe, il est d'origine humaine, c'est le défi de ce siècle... mais elle ne s'étend pas. Et tout en entendant poursuivre le plan de Joe Biden d'investissement massif dans la transition énergétique, elle n'est plus opposée au gaz de schiste, grâce auquel les États-Unis sont redevenus le premier pays producteur mondial de pétrole. Au Pérou, l'ancien président Alejandro Toledo condamné à vingt ans et six mois de prisonAlejandro Toledo, 78 ans, président de 2001 à 2006, a été condamné pour collusion et blanchiment d'argent, liés au pot-de-vin reçu de l'entreprise brésilienne de BTP Odebrecht, rapporte El Peruano. Un pot-de-vin de 34 millions de dollars reçu pour la construction d'une autoroute. C'est le premier président de la région, note le quotidien, à être condamné dans cette affaire. El Comercio rappelle ses premiers jours de présidence : « il était arrivé au Palais porté par l'espoir de millions de Péruviens, comme l'alternative démocratique à l'autoritarisme et la corruption de Fujimori. Mais une fois installé, il a abandonné les vraies tâches du gouvernement pour se consacrer à la corruption et à la mise en place de pots-de-vin pour se remplir les poches. » Le journal de la PremièreEn Martinique, la nuit a été plutôt calme mais le mouvement contre la vie chère se poursuit.
La Commission des finances s'est réunie durant trois jours pour examiner le budget proposé par le gouvernement. Charles de Courson, rapporteur général de la Commission de finances et député LIOT de la Marne est l'invité des 4 vérités de lundi 21 octobre, il revient sur ce « carnaval fiscal » avec le vote de 50 milliards d'impôts en plus. Ce chiffre, estimé par Bercy ne serait pas exact, notre invité l'estime plutôt autour de quelques dizaines de milliards. Parmi les nombreux amendements votés, il relève un manque de « cohérence d'ensemble ». Certes la proposition que faisait le gouvernement aurait eu un effet récessif sur l'économie mais en rajouter encore « n'est pas raisonnable ». Finalement c'est le texte initial du gouvernement qui va arriver dans l'hémicycle. Le rapporteur met en garde les députés, en effet, si la première partie du budget n'est pas votée la deuxième partie du texte ne pourra pas être abordée avant que le Sénat ne vote le texte. Il rappelle que ce sont environ 2800 amendements qui ont été déposés et alerte sur l'impossibilité d'examiner la proposition de budget dans les délais imparti avec un tel nombre de textes. Parmi les nouveaux impôts suggérés par cette commission, on retrouve un texte proposé par La France Insoumise qui souhaite la mise en place d'un impôt sur les Français expatriés. Un impôt qui n'a pas de sens pour Charles de Courson car il est « contraire à tous nos engagements communautaires » et créerait deux catégories de Français expatriés. Un tel texte serait, de ce fait, retoqué par le Conseil constitutionnel pour rupture d'égalité. Budget, 60 milliards à trouver, c'est trop ? Le budget sera donc voté par 49-3, il faudra dès lors négocier avec le gouvernement pour intégrer les amendements votés en commission ou voter une motion de censure. Quant à l'objectif de 60 milliards d'économie, Charles de Courson le juge « bien trop élevé » et affirme qu'il entraînera un « effet récessif ». Il aurait fallu se limiter à 30 ou 40 milliards en se concentrant majoritairement sur la « réduction de la dépense ». Dans la proposition gouvernementale, on est à « deux tiers de recettes supplémentaires et un tiers de réduction des dépenses ».Une question demeure, comment réduire les dépenses ? Charles de Courson pointe les exonérations de charges sociales patronales qui coûtent selon lui « 76 milliards au budget de l'Etat » et prône dès lors une réduction progressive de ces dernières.Quant à la réforme des retraites, dans 10 jours un vote à l'initiative d'une niche parlementaire se tiendra afin d'obtenir son abrogation, quelle sera la position de notre invité ? Charles de Courson insiste, l'erreur fondamentale de cette réforme a été de vouloir toucher à l'âge légal. Il souhaite encourager l'âge effectif de départ à la retraite et négocier avec les partenaires sociaux, quant au vote, il ne se prononce pas.
Hérodote est souvent considéré comme le premier historien de l'histoire en raison de son œuvre monumentale, "Les Histoires", écrite au Ve siècle avant J.-C. Il est reconnu pour avoir établi un cadre méthodologique qui a influencé la manière d'écrire et d'analyser l'histoire. Voici les raisons principales pour lesquelles Hérodote est considéré comme le "père de l'histoire" : 1. Un récit systématique et globalAvant Hérodote, la mémoire des événements était souvent transmise oralement ou sous forme de récits mythologiques, légendaires ou poétiques, comme dans les épopées d'Homère. Ce qui distingue Hérodote, c'est sa volonté de produire un récit systématique des événements historiques, notamment des guerres médiques (les guerres entre les Grecs et les Perses), en essayant de relier les causes et les conséquences des actions humaines. Il ne se contente pas de relater des faits isolés, mais cherche à offrir une vue d'ensemble du monde connu à son époque, en incluant des descriptions géographiques, ethnographiques et culturelles des différentes civilisations qu'il mentionne. 2. Une approche d'enquête méthodiqueHérodote appelle son travail "Historia", un terme grec qui signifie "enquête" ou "recherche". Plutôt que de simplement rapporter des histoires ou des récits mythologiques, il cherche à vérifier les faits en interrogeant des témoins, en voyageant dans diverses régions, et en recueillant des informations auprès de différentes sources. Cette démarche de collecte et de vérification d'informations distingue Hérodote des conteurs de son époque. Certes, son approche n'était pas toujours rigoureuse selon les standards modernes, et il mêlait parfois faits et récits légendaires, mais il a été le premier à adopter une attitude critique envers ses sources, en distinguant ce qui lui semblait crédible de ce qui ne l'était pas. 3. L'étude des causes et des motivationsL'une des grandes innovations d'Hérodote est son souci d'expliquer les causes des événements historiques. Il ne se contente pas de raconter ce qui s'est passé, mais il s'efforce de comprendre pourquoi les choses se sont déroulées de cette manière. Par exemple, dans son récit des guerres médiques, il cherche à analyser les causes profondes du conflit entre les Perses et les Grecs, qu'il attribue à des motifs politiques, économiques, et à des différences culturelles. Cette recherche des causes et des conséquences est une caractéristique essentielle de l'historiographie moderne. 4. Un intérêt pour les différentes culturesHérodote ne se contente pas d'écrire l'histoire de la Grèce. Il s'intéresse aux autres peuples et civilisations du monde antique, notamment les Perses, les Égyptiens, les Scythes et les Lydiens. Il consacre de longues sections de son œuvre à la description de leurs coutumes, croyances et systèmes politiques. Cet aspect ethnographique de son travail a permis de donner une vue plus large et plus complète du monde de son temps, ce qui contribue à son statut de pionnier en tant qu'historien. 5. Hérodote comme modèle pour les historiens ultérieursBien que certains critiques anciens, comme Thucydide, aient reproché à Hérodote d'inclure des éléments trop légendaires ou anecdotiques dans ses récits, son influence a été immense. Son œuvre a servi de modèle aux historiens ultérieurs qui ont cherché à imiter sa méthode d'enquête et son intérêt pour l'explication des faits historiques. Hérodote a marqué le début de la tradition de l'histoire écrite, qui allait se développer avec des auteurs comme Thucydide et Polybe, puis, plus tard, dans la tradition de l'historiographie moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il y a un an, les Polonais élisaient leur nouveau gouvernement après huit ans sous le règne des ultra-conservateurs et eurosceptiques du PiS. La coalition dite « du 15 octobre » emmenée par Donald Tusk promettait une révolution dans le domaine des droits humains et de rétablir l'état de droit dans le pays. Elle avait notamment fait campagne pour la dépénalisation de l'avortement, ou encore la possibilité de nouer des unions civiles pour les couples homosexuels. Mais où en est-on aujourd'hui ? Rencontre avec des activistes des droits humains qui avaient placé tous leurs espoirs dans l'élection de la coalition. De notre correspondant à Varsovie,Durant les huit ans de règne du PiS, Bart Staszewski, l'activiste LGBT+ le plus célèbre de Pologne, était devenue la cible préférée des médias publics. Alors que le PiS avait fait de la télévision un instrument de propagande, le nouveau gouvernement s'est empressé de la dépolitiser dès son arrivée au pouvoir. Une mesure encourageante pour les activistes des droits humains et pour Bart, invité sur l'antenne publique pour la première fois en huit ans. « Le présentateur de l'émission nous a présenté ses excuses en prime time en tant que représentant de la communauté qui a été attaquée, discriminée, déshumanisée de façon monstrueuse ces huit dernières années, surtout à la télévision. » « Sentiment d'êtres arnaqués » Un an après, l'activiste constate cependant que la situation n'a pas beaucoup avancé pour la communauté LGBT. « Malheureusement, rien n'a changé, car la modification du code pénal dont on parlait depuis plusieurs mois pour protéger les personnes LGBT+ des discours de haine, n'est pas entrée en vigueur. Et pour ce qui est de la promesse de l'Union civile pour tous, le Parlement ne s'est même pas encore penché dessus. » À lire aussiEn Pologne, la vie de paria des personnes LGBT+Pourtant, le nouveau gouvernement s'est doté pour la première fois d'un ministère de l'Égalité. Un simple effet d'annonce, selon Bart : « Outre les deux secrétaires, il n'y a que dix personnes qui travaillent pour la ministre. C'est l'équivalent d'une salle et ils appellent ça un ministère. Quand je parle avec des activistes pour les droits des femmes, on a tous le même sentiment, celui de s'être fait arnaquer. » Même si le ministère de la Santé a lancé un projet de pilotage, permettant à certaines pharmacies de délivrer la pilule du lendemain sans ordonnance, quatre propositions de loi sur l'accès à l'avortement dorment toujours dans les cartons du Parlement.Attendre encore Concernant la refonte du système judiciaire, que le gouvernement précédent avait mise au pas, la situation est encore au point mort. Le président issu du PiS oppose systématiquement son veto à toute tentative de démonter l'œuvre de son parti, comme l'explique un politologue : « Toutes les lois qui pouvaient aboutir à la révocation des nominations politiques dans les tribunaux sont bloquées, donc dans les faits, en attendant l'élection présidentielle et en supposant qu'un président d'un autre parti que le PiS soit élu, rien ne pourra être fait par la voie légale. » Certes, l'arrivée au pouvoir de Donald Tusk a permis à la Pologne de récupérer une partie des fonds européens dont elle était privée, mais aucune mesure législative n'a pourtant été prise pour restaurer concrètement l'État de droit. Aujourd'hui, un Polonais sur deux affirme avoir une mauvaise opinion du gouvernement. À lire aussiPologne: le parti d'opposition ultraconservateur PiS voit son financement drastiquement réduit
Quel point commun entre Stromae, Édith Piaf, Aya Nakamura, Charles Aznavour ou le groupe guadeloupéen Kassav ? Certes, ils sont tous chanteurs ou chanteuses, mais surtout, ils font partie des artistes francophones les plus connus à l'étranger. Et c'est justement ce thème qu'a choisi pour sa première exposition temporaire la toute nouvelle Cité internationale de la langue française de Villers-Cotterêts, située dans l'Aisne, au nord de Paris. L'exposition a été baptisée Une chanson qui nous ressemble, elle est à voir jusqu'au 5 janvier 2025. Pour en savoir plus sur cette exposition, cliquez ici.
Stéphanie-Rose Raoul consacre sa vie à la transmission de la spiritualité, en s'appuyant particulièrement sur deux grandes figures dont l'influence ne cesse de se confirmer aujourd'hui : Nicolas Berdiaev et Annick de Souzenelle. Après une formation en lettres, et une première partie de sa vie comme professeure de lettres, Stéphanie-Rose Raoul propose aujourd'hui des formations, des stages et des enseignements, notamment pour Arigah, l'association qui permet à l'œuvre d'Annick de Souzenelle de rayonner. La plupart des auditeurs de Zeteo connaissent Annick de Souzenelle. Nos trois rencontres avec elle sont nos épisodes les plus écoutés. Partie pour le Ciel le 11 août dernier, Annick de Souzenelle est reconnue aujourd'hui pour l'importance de sa réflexion anthropologique et théologique, s'appuyant sur une relecture fondamentale des textes sacrés. Il était temps de faire connaître Nicolas Berdiaev, et Stéphanie-Rose Raoul est probablement l'une des meilleures pour cela, même si elle explique ici pourquoi elle n'endosse pas le terme de « spécialiste » de Berdiaev. Ce qu'elle révèle notamment, c'est la grande proximité entre la pensée de Nicolas Berdiaev, et celle d'Annick de Souzenelle. Pour cet épisode pour aller à la découverte de Nicolas Berdiaev, nous avons rencontré Stéphanie-Rose Raoul, dans sa petite maison de bois perchée en haut d'une falaise bretonne, au milieu d'une forêt. Et nous avons reçu la puissance et la profondeur de la réflexion d'une jeune femme, animée par la flamme de l'esprit. Une femme qui ne cache pas sa passion pour le grand penseur russe, pour sa créativité, sa droiture d'esprit, son élégance chevaleresque, et pour l'immensité de sa vision anthropologique et mystique. Pour Stéphanie-Rose Raoul, Berdiaev est un visionnaire, un « illuminé » au sens noble, un homme qui apporte une lumière nouvelle sur les relations entre l'homme et Dieu dans une christologie parfaite, un prophète qui annonce un christianisme libérateur. Une parole essentielle pour les temps que nous vivons. Pour découvrir les activités de Stéphanie-Rose Raoul au sein de l'association Arigah, cliquer ici. -------------- POUR LA SEMAINE QUI VIENT Chaque semaine qui commence est pour nous l'occasion d'entamer avec vous une nouvelle aventure, toujours renouvelée… Avec, dans les plis des jours, des surprises, des découvertes, des émotions. Pour certains auditeurs, il y a des révélations, pour d'autres des consolations, dans les épisodes qui nous égrenont ensemble. À ce titre, la semaine dernière a marqué un temps fort, avec le témoignage bouleversant de Laurence Noëlle. Vous avez été nombreux à l'écouter, nombreux à partager avec nous l'immense gratitude pour le cadeau que Laurence nous a offert. Cette semaine, l'émotion est toujours au rendez-vous, même si elle est différente. Avec Stéphanie-Rose Raoul, nous entrons dans un univers de feu. Nous pénétrons les mystères les plus secrets et les plus précieux de la relation qui unit l'homme à Dieu. Certes, tous les voiles ne seront pas levés et nos intelligences sont trop faibles pour saisir toute la lumière. Mais grâce à Stéphanie-Rose Raoul, grâce aux guides formidables qu'elle s'est choisie pour sa vie, Nicolas Berdiaev et Annick de Souzenelle, nous pouvons déjà accueillir des lueurs merveilleuses de l'intelligence divine. Nous pouvons mieux contempler le Christ et, surtout, communier avec lui. Chaque semaine est pour Zeteo un bout d'aventure humaine. Avec des surprises aussi, des messages réjouissants, des dons surprenants, même si souvent, la surprise ne provient pas tant de l'importance du don, que de sa provenance. Le temps nous manque souvent pour répondre à ceux qui nous écrivent, et pour remercier ceux qui nous permettent, par leur générosité, de continuer l'aventure. Et si nous espérons le trouver bientôt, nous souhaitons déjà profiter de ce message pour transmettre à tous toute notre émotion et toute notre gratitude. Pour la semaine qui vient, pour celles qui vont suivre, pour les épisodes à venir, qu'il va falloir produire et diffuser, nous renouvelons ici notre appel aux dons : Vous êtes, chers amis, chers auditeurs, notre manne terrestre. Au Seigneur, s'il le souhaite, de susciter des donateurs parmi vous ! D'avance, un immense merci à ceux qui contribueront à la mission de Zeteo ! Et, toujours, un immense merci à ceux qui ont déjà donné ! 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La victoire de l'extrême droite, dans deux länders de l'est de l'Allemagne, au début du mois a laissé des traces. Certes, on parle d'Assemblée régionale avec des pouvoirs étendus, mais il s'agit aussi d'un climat politique d'une société où les migrants ne se sentent plus si bienvenus. C'est le cas de médecins étrangers, des Syriens, des Ukrainiens dont le travail est pourtant indispensable au bon fonctionnement d'un système hospitalier en crise. Certains d'entre eux veulent déménager ailleurs en Allemagne, ou dans un autre pays. Delphine Nerbollier est allée les rencontrer. La fracture Nord-Sud en Italie C'est un projet de loi en Italie qui fait beaucoup de bruit. Initié par le gouvernement d'extrême droite de Giorgia Meloni, il a pour but de donner beaucoup plus d'autonomie à une quinzaine de régions... Voilà qui paraît bien beau sur le papier, sauf que selon ses opposants, cette loi ne ferait qu'aggraver la différence de développement et de richesse entre le nord et le sud du pays. 800 000 personnes ont déjà signé une pétition pour demander la tenue d'un référendum sur ce projet... En Italie, Cécile Debarge. La saison lituanienne en France La France va vivre au rythme de la Lituanie jusqu'au 12 décembre 2024. La saison de la Lituanie, c'est pendant trois mois des artistes, des écrivains, des diplomates, des enseignants qui nous font découvrir leur pays.Pour résumer, la Lituanie, capitale Vilnius, au nord de la Pologne et de la Biélorussie. 2 800.000 habitants, ancien pays soviétique qui a obtenu son indépendance en 1991. Aujourd'hui, ce petit pays balte redoute d'être une prochaine cible de Moscou.Politique, Chant et Art, le programme est riche. Juliette Gheerbrant nous en dit plus... La chronique musique de Vincent Théval Avec un album évènement Ensoulment de The The et leur titre Some Days I Drink My Coffee by the Grave of William Blake.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport ! L'After foot, c'est LE show d'après-match et surtout la référence des fans de football depuis 19 ans ! Les rencontres se prolongent tous les soirs avec Gilbert Brisbois, Daniel Riolo et Florent Gautreau avec les réactions des joueurs et entraîneurs, les conférences de presse d'après-match et les débats animés entre supporters, experts de l'After et auditeurs RMC.
La victoire de l'extrême droite, dans deux länders de l'est de l'Allemagne, au début du mois a laissé des traces. Certes, on parle d'Assemblée régionale avec des pouvoirs étendus, mais il s'agit aussi d'un climat politique d'une société où les migrants ne se sentent plus si bienvenus. C'est le cas de médecins étrangers, des Syriens, des Ukrainiens dont le travail est pourtant indispensable au bon fonctionnement d'un système hospitalier en crise. Certains d'entre eux veulent déménager ailleurs en Allemagne, ou dans un autre pays. Delphine Nerbollier est allée les rencontrer. La fracture Nord-Sud en Italie C'est un projet de loi en Italie qui fait beaucoup de bruit. Initié par le gouvernement d'extrême droite de Giorgia Meloni, il a pour but de donner beaucoup plus d'autonomie à une quinzaine de régions... Voilà qui paraît bien beau sur le papier, sauf que selon ses opposants, cette loi ne ferait qu'aggraver la différence de développement et de richesse entre le nord et le sud du pays. 800 000 personnes ont déjà signé une pétition pour demander la tenue d'un référendum sur ce projet... En Italie, Cécile Debarge. La saison lituanienne en France La France va vivre au rythme de la Lituanie jusqu'au 12 décembre 2024. La saison de la Lituanie, c'est pendant trois mois des artistes, des écrivains, des diplomates, des enseignants qui nous font découvrir leur pays.Pour résumer, la Lituanie, capitale Vilnius, au nord de la Pologne et de la Biélorussie. 2 800.000 habitants, ancien pays soviétique qui a obtenu son indépendance en 1991. Aujourd'hui, ce petit pays balte redoute d'être une prochaine cible de Moscou.Politique, Chant et Art, le programme est riche. Juliette Gheerbrant nous en dit plus... La chronique musique de Vincent Théval Avec un album évènement Ensoulment de The The et leur titre Some Days I Drink My Coffee by the Grave of William Blake.
L'absentéisme au travail ne cesse de progresser. C'est du moins le constat auquel est parvenu une récente étude, portant sur plus de 3 000 entreprises françaises. Selon ses chiffres, cet absentéisme aurait touché 48 % des salariés en 2022, contre 36 % l'année précédente.De plus en plus lié aux troubles psychosociaux, avec une prévalence des problèmes de santé liés à la dépression ou l'anxiété, cet absentéisme touche désormais davantage certaines catégories de travailleurs.Les jeunes salariés âgés de 20 à 30 ans auraient tendance à s'absenter de plus en plus souvent, ce qui est un fait relativement bouveau. Certes, leur taux d'absentéisme global aurait baissé de 16 % entre 2022 et 2023, contre une diminution de moins de 10 % pour les autres travailleurs.Malgré tout, la part de ces jeunes travailleurs ayant obtenu au moins un arrêt de travail dans l'année, sur une période allant de 2019 à 2023, aurait augmenté de 11 %. Selon une autre source, le taux d'absentéisme de ces jeunes travailleurs aurait progressé de 32 % entre 2019 et 2022, soit la hausse la plus forte.Par ailleurs, ces salariés se feraient prescrire davantage d'arrêts, près de 2 par an, contre un peu plus de 1,5 pour les salariés âgés de 50 à 60 ans.Traditionnellement, les non-cadres s'absentent davantage que les cadres. Cela est toujours vrai, mais l'absentéisme progresse fortement chez ces derniers.Le taux d'absentéisme des cadres serait en effet passé de 25 % en 2021 à 34 % en 2022, soit une progression de près de 35 %.Enfin, les salariés travaillant dans des secteurs où ils sont confrontés au public ou ou à des responsabilités de terrain auraient également plus tendance à s'absenter.Il s'agit notamment des métiers de l'accueil, du commerce, de la restauration ou encore des professions liées à l'entretien et à la sécurité, dans lesquelles les arrêts de travail les plus longs ont été accordés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Laurence Noëlle est une femme dont la vie est l'histoire de mille vies, mille souffrances, mille violences avec, derrière chacune, la renaissance. Laurence Noëlle est habitée par une lumière qui, depuis sa toute petite enfance, la protège et la guide. Même si les épreuves ont été immenses. Et que la honte, celle qui l'a atteinte dès la naissance, a failli l'anéantir de nombreuses fois. Une honte omniprésente, guettant toutes les étapes de sa vie, toujours prête à l'anéantir dans son piège. Depuis près d'une quinzaine d'années, Laurence Noëlle a décidé de témoigner à visage découvert. Elle a découvert que pour vaincre la honte, elle pouvait la transformer en force. Avec un courage très rare, elle a osé traverser son obscurité intérieure pour y découvrir sa propre lumière. Dans son récit publié en 2013, Renaître de ses hontes, Laurence Noëlle a témoigné de la grave maltraitance enfantine, de l'inceste, de la drogue et de l'alcool, de la prostitution et des violences qu'elle a subies. Elle a raconté les étapes d'une vie jalonnées par les tombées en abîmes, puis par les relèvements souvent spectaculaires, les rechutes, jusqu'à son chemin de rédemption spirituelle et psychologique. Depuis une vingtaine d'années, Laurence Noëlle est conférencière en France et à l'étranger. Elle est devenue formatrice professionnelle d'adultes, spécialisée en relations humaines dans la prévention de toute forme de violence. Elle exerce aussi ses activités dans des services pénitentiaires. Enfin, elle est engagée dans des associations de lutte contre la prostitution. À ce titre, elle a apporté une contribution significative aux travaux législatifs qui ont permis les avancées vers l'abolition de la prostitution. Aujourd'hui, Laurence Noëlle traverse une nouvelle épreuve. Depuis plus d'un an, elle est attaquée par une grave et violente maladie. Affaiblie, elle a accepté cette rencontre pour Zeteo : L'occasion pour elle de témoigner encore, avec force et humour, de cette lumière extraordinaire qui est en elle. Cette rencontre avec Laurence Noëlle est un grand cadeau pour Zeteo et ses auditeurs. Un grand moment de partage et d'émotion avec une femme passionnée par la vie, et qui est en cours d'écriture d'un nouvel ouvrage. Une grande fête d'amour et de joie, au dessus des souffrances et des violences qui accablent ce monde, mais qui ne l'emporteront jamais. Pour lire Renaître de ses hontes, le livre de Laurence Noëlle, cliquer ici. -------------- TRANSMETTRE LA LUMIÈRE À chaque nouvel épisode que nous diffusons, nous ressentons à la fois la joie et la gratitude de pouvoir transmettre la lumière dans un monde où l'obscurité oppresse tant de cœurs, tant de corps, tant de beautés… Avec le témoignage de Laurence Noëlle, cette joie et cette gratitude sont renforcées par une grande émotion. La rencontre avec Laurence est exceptionnelle. Elle l'a été pour nous, elle va l'être certainement pour de nombreux auditeurs. Point n'est besoin ici d'ajouter les mots et les lignes. L'écoute de Laurence offre un rare moment, un accès réel au divin, et à la beauté merveilleuse et miraculeuse de la vie qu'elle nous donne tellement envie de savourer. Laurence nous donne un exemple admirable : celui, après avoir traversé tant de souffrances, d'avoir guéri son cœur d'enfant. Toutes les nuits, qui lui sont si difficiles en ce moment, Laurence les traverse en contemplant les étoiles. Certes, les ciels nocturnes sont parfois si chargés que les étoiles disparaissent. Laurence sait alors les retrouver dans son cœur, même si parfois l'obscurité et la souffrance se prolongent. Cet épisode avec Laurence, c'est un grand moment pour Zeteo. C'est une belle étape dans notre mission de tenter de transmettre la lumière, surtout auprès de ceux qui souffrent, ceux qui sont seuls, ou atteints par les maladies du corps ou de l'esprit. Si vous estimez que cette mission est nécessaire, qu'elle peut aider, qu'elle peut rejoindre ceux qui parfois ne peuvent être rejoints autrement, si vous pouvez contribuer à notre effort de diffusion entièrement gratuite de tous nos contenus, nous faisons appel à votre générosité. Chaque semaine, l'effort de Zeteo reprend. Chaque semaine, nous avons besoin de la générosité de nos auditeurs. D'avance, un immense merci à ceux qui contribueront à la mission de Zeteo ! Et, toujours, un immense merci à ceux qui ont déjà donné ! Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. 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Le salaire du mois de septembre est souvent attendu avec impatience, pour étoffer un budget quelque peu écorné par les vacances d'été. Mais vous pouvez avoir, à cet égard, une mauvaise surprise.En effet, certains salariés vont découvrir une paye moins importante que prévu. Non que les salaires aient subi une baisse inattendue. Le problème n'est pas là. En fait, cette éventuelle diminution est liée au système de prélèvement à la source.Depuis l'adoption de cette réforme, en effet, le salaire mensuel est amputé d'une partie de l'impôt sur le revenu dû par le salarié.Une question de pourcentageOr, le montant de ce prélèvement mensuel dépend du pourcentage établi par l'administration fiscale et transmis ensuite à l'employeur. Et ce pourcentage lui-même est fonction de ce que le salarié déclare au fisc.Si la somme déclarée en 2024, qui correspond aux revenus perçus en 2023, est plus importante que dans la déclaration précédente, le pourcentage de prélèvement va augmenter. Ce qui diminue d'autant le salaire que vous allez toucher.Et comme, chaque année, c'est en septembre que l'administration procède à cette révision, le salaire de ce mois peut accuser une baisse par rapport à celui du mois précédent.Vous n'êtes d'ailleurs pas obligé d'attendre votre salaire pour en vérifier le montant. Vous serez renseigné plus rapidement en consultant votre espace personnel, sur le site des impôts.Comment éviter la baisse ?Une fois sur le site, des rubriques spécifiques vous permettent cependant de demander une modification de votre taux de prélèvement. Ce n'est cependant qu'une solution provisoire.Certes, vous pouvez obtenir une baisse de ce taux, ce qui évitera d'entamer votre salaire. Mais l'administration n'ayant pas perçu la somme attendue, elle vous la réclamera l'année suivante. Vous aurez du moins des ressources inchangées pour cette année, ce qui peut vous permettre de mener à bien un projet personnel.Enfin, si vous percevez d'autres revenus en plus de votre salaire, vous pouvez ne pas communiquer votre taux de prélèvement personnalisé à votre employeur, qui appliquera alors un taux neutre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Salam Aleykoum ! Les épisodes sur la spiritualité et la religion sont officiellement de retour ❤️ Dua du repentir : Allâhumma anta Rabbi lâ ilâha illâ Anta,khalaqtani wa anâ 'abduka,Wa anâ 'alâ 'ahdika wa wa'dika mastata'tu.A3udhu bika min sharri mâ sana3t,Abwaou laka bi ni matika 3alayya, wa abwaou bi dhanbĩ, fa ghfir li fa innahu lâ yaghfiru-dh-dhunûba illâ anta.Ô Allah Tu es mon Seigneur. Il n'est de dieu que Toi. Tu m'a créé et je suis Ton serviteur, et je suis sur l'engagement que j'ai pris et j'espère le Paradis autant que je peux. Je recherche Ta préservation contre le mal que j'ai fait. Je reconnais les bienfaits que Tu m'as accordés et j'avoue me