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durée : 00:03:59 - Une semaine dans leurs vies - Une quarantaine de graffeurs venus de partout en France peigne un long mur de plus d'une centaine de mètres. C'est une "jam graffiti". Chacun dans son style. L'un d'eux se nomme Panzer, il vient de région parisienne. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'entrevue s'est déroulée aujourd'hui en Corée du Sud : un moment qui a donné lieu à toutes les spéculations possibles. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Eden de Ron Howard, avec Jude Law, Ana De Armas, Vanessa Kirby. (exclusivité Amazon Prime) Inspiré de lʹhistoire vraie, connue sous le nom de " LʹAffaire des Galapagos ", le film suit, en 1932, des colons européens qui sʹinstallent sur lʹîle inhabitée de Floreana, dans lʹocéan Pacifique. Sur place, un médecin misanthrope, accompagné de sa femme qui cherche à guérir de sa sclérose en plaques, tente dʹécrire un manifeste pour change la société. Leur isolement va être bousculé par lʹarrivée dʹune famille allemande et dʹune riche baronne accompagnée de ses hommes à tout faire. Chacun va alors tenter de prendre le pouvoir pour contrôler l'île. https://www.youtube.com/watch?v=_piacwFDxT4 Lʹhomme qui rétrécit (1957) de Jack Arnold. (disponible en DVD, BluRay et sur certaines plateformes) Dans cette première adaptation du roman de Richard Mathieson, un homme voit son corps diminuer de taille à la suite dʹune contamination radioactive. A tel point qu'il devient la proie d'un chat puis d'une araignée. Courageusement, il part à la découverte de son nouvel univers. https://www.youtube.com/watch?v=Z2dXMX-AnkM
Tout le monde me trouvait sublime, phénoménale. Je n'en revenais pas. J'étais enfin consacrée. Mais pour compenser cette joie, aberrante, il me fallait expier. Rester un corps souffrant. Ça a commencé au niveau des pieds, ils enflaient dans les chaussures. Dans « Avale », on suit deux parcours, celui de Lame, une jeune comédienne montante qui découvre aux portes du succès qu'elle est atteinte d'une mystérieuse maladie de peau, et Tom, un jeune homme désœuvré et tourmenté, obnubilé par la jeune actrice jusqu'à développer pour elle une obsession dévorante, angoissante et malsaine. Chacun, dans l'écriture, a sa langue propre. Écrit à la façon d'un polar ou d'un thriller, par moment gore, inspiré et nourri du parcours et de l'expérience personnelle de Séphora Pondi sans être pour autant de l'auto-fiction, le roman explore les thématiques du harcèlement, de la vie d'actrice et de tout ce qu'elle implique dans sa corporéité la plus brute, ainsi que la question du désir sous toutes ses déclinaisons. Invitée : Séphora Pondi, actrice franco-camerounaise. Elle grandit en banlieue parisienne dans un environnement modeste, où elle découvre très tôt le goût de la lecture et de la scène. Après une formation théâtrale à l'École départementale de théâtre de l'Essonne, elle rejoint le programme « Premier Acte » de Stanislas Nordey au théâtre de la Colline, avant d'intégrer l'École régionale d'acteurs de Cannes et Marseille (ERACM). En septembre 2021, elle devient pensionnaire de la Comédie-Française. Artiste polyvalente, elle travaille actuellement au scénario d'un long-métrage et prépare sa première mise en scène, l'adaptation de Bestioles de Lachlan Philpott. « Avale », publié en 2025 aux éditions Grasset, est son premier roman. Programmation musicale : La colère - Dernière fois ► Séphora Pondi est à l'affiche d'Hécube, pas Hécube de Tiago Rodrigues au théâtre 13E Art dans le XIIIe Arrondissement de Paris du 21 mars au 2 mai 2026.
Tout le monde me trouvait sublime, phénoménale. Je n'en revenais pas. J'étais enfin consacrée. Mais pour compenser cette joie, aberrante, il me fallait expier. Rester un corps souffrant. Ça a commencé au niveau des pieds, ils enflaient dans les chaussures. Dans « Avale », on suit deux parcours, celui de Lame, une jeune comédienne montante qui découvre aux portes du succès qu'elle est atteinte d'une mystérieuse maladie de peau, et Tom, un jeune homme désœuvré et tourmenté, obnubilé par la jeune actrice jusqu'à développer pour elle une obsession dévorante, angoissante et malsaine. Chacun, dans l'écriture, a sa langue propre. Écrit à la façon d'un polar ou d'un thriller, par moment gore, inspiré et nourri du parcours et de l'expérience personnelle de Séphora Pondi sans être pour autant de l'auto-fiction, le roman explore les thématiques du harcèlement, de la vie d'actrice et de tout ce qu'elle implique dans sa corporéité la plus brute, ainsi que la question du désir sous toutes ses déclinaisons. Invitée : Séphora Pondi, actrice franco-camerounaise. Elle grandit en banlieue parisienne dans un environnement modeste, où elle découvre très tôt le goût de la lecture et de la scène. Après une formation théâtrale à l'École départementale de théâtre de l'Essonne, elle rejoint le programme « Premier Acte » de Stanislas Nordey au théâtre de la Colline, avant d'intégrer l'École régionale d'acteurs de Cannes et Marseille (ERACM). En septembre 2021, elle devient pensionnaire de la Comédie-Française. Artiste polyvalente, elle travaille actuellement au scénario d'un long-métrage et prépare sa première mise en scène, l'adaptation de Bestioles de Lachlan Philpott. « Avale », publié en 2025 aux éditions Grasset, est son premier roman. Programmation musicale : La colère - Dernière fois ► Séphora Pondi est à l'affiche d'Hécube, pas Hécube de Tiago Rodrigues au théâtre 13E Art dans le XIIIe Arrondissement de Paris du 21 mars au 2 mai 2026.
Chacun son style : fin, rond, épais, fragile, ou bien costaud et stable… Et vous, vous avez une préférence pour les verres ?
Jean-Michel Juste - Éphésiens 5.22-33 ➡️ RÉSUMÉ: Aujourd’hui, nous allons parler d’amour dans le mariage. Comment vivre ce sentiment fort, comment le comprendre alors que nous avons tellement de mal à le définir? Comment comprendre les bonheurs et les malheurs qu’il nous fait vivre? Est-ce que la Parole nous guide dans ce processus d’aimer l’autre. PLAN: 1. Au féminin (v.22-24) 2. Au masculin (v.25-30) 3. Le mystère (v.31-33) Lectures complémentaires: Colossiens 3.1-4.5 ; Ép 5.31-32 (Cène)
COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Lc 13, 10-17 En ce temps-là, Jésus était en train d'enseigner dans une synagogue, le jour du sabbat. Voici qu'il y avait là une femme, possédée par un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans ; elle était toute courbée et absolument incapable de se redresser. Quand Jésus la vit, il l'interpella et lui dit : « Femme, te voici délivrée de ton infirmité. » Et il lui imposa les mains. À l'instant même elle redevint droite et rendait gloire à Dieu. Alors le chef de la synagogue, indigné de voir Jésus faire une guérison le jour du sabbat, prit la parole et dit à la foule : « Il y a six jours pour travailler ; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. » Le Seigneur lui répliqua : « Hypocrites ! Chacun de vous, le jour du sabbat, ne détache-t-il pas de la mangeoire son bœuf ou son âne pour le mener boire ? Alors cette femme, une fille d'Abraham, que Satan avait liée voici dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de ce lien le jour du sabbat ? » À ces paroles de Jésus, tous ses adversaires furent remplis de honte, et toute la foule était dans la joie à cause de toutes les actions éclatantes qu'il faisait.
Voici l'Évangile du lundi 27 octobre 2025 : « Cette fille d'Abraham, ne fallait-il pas la délivrer de ce lien le jour du sabbat ? » (Lc 13, 10-17) En ce temps-là, Jésus était en train d'enseigner dans une synagogue, le jour du sabbat. Voici qu'il y avait là une femme, possédée par un esprit qui la rendait infirme depuis dix-huit ans ; elle était toute courbée et absolument incapable de se redresser. Quand Jésus la vit, il l'interpella et lui dit : « Femme, te voici délivrée de ton infirmité. » Et il lui imposa les mains. À l'instant même elle redevint droite et rendait gloire à Dieu. Alors le chef de la synagogue, indigné de voir Jésus faire une guérison le jour du sabbat, prit la parole et dit à la foule : « Il y a six jours pour travailler ; venez donc vous faire guérir ces jours-là, et non pas le jour du sabbat. » Le Seigneur lui répliqua : « Hypocrites ! Chacun de vous, le jour du sabbat, ne détache-t-il pas de la mangeoire son bœuf ou son âne pour le mener boire ? Alors cette femme, une fille d'Abraham, que Satan avait liée voici dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de ce lien le jour du sabbat ? » À ces paroles de Jésus, tous ses adversaires furent remplis de honte, et toute la foule était dans la joie à cause de toutes les actions éclatantes qu'il faisait. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Il n'avait pas sorti d'album depuis dix ans et nous est revenu cette année avec un petit bijou funky de musiques à danser. Un album-racine riche de tout ce que le Brésil recèle de musiques afros, de Rio à Salvador de Bahia. Rencontre avec un artiste qui porte haut les couleurs d'un pays complexe et incarne, avec une élégance intemporelle, une certaine idée de la résilience. Seu Jorge, «Monsieur» Jorge, est né en 1970 dans la banlieue industrielle de Rio, bien loin des clichés de plages dorées. Il a appris la vie dans la rue, la guitare lui a donné une voix. C'est avec Farofa Carioca, un groupe de samba-funk déjanté, qu'il a fait ses premières armes dans les années 90. Puis, dès le début des années 2000, sa carrière solo va être marquée par des albums qui claquent comme des classiques : Carolina, Cru ou encore Música para Churrasco. Chacun de ces disques est une déclaration d'amour à la culture brésilienne, un mélange de samba, de bossa-nova et de pop qui fait vibrer les hanches et les tripes. Mais c'est au cinéma que le grand public l'a découvert. En 2002 d'abord, dans La Cité de Dieu de Fernando Meirelles, où il incarne un voyou tragique avec une intensité rare. Puis, deux ans plus tard, dans le film de Wes Anderson, La Vie aquatique, où ses reprises acoustiques de David Bowie en portugais sont devenues cultes. Aujourd'hui, le roi de la samba pop met sa voix, tantôt suave, tantôt rugueuse, ses textes – des chroniques du quotidien – et son incroyable présence scénique, au service du seul pouvoir qui soit : celui de la musique sur les corps et les esprits ! Rencontre dans le sud-est de la France, au festival Les Suds, à Arles, avec un artiste qui porte haut les couleurs d'un pays complexe et incarne, avec une élégance intemporelle, une certaine idée de la résilience. Pour suivre Seu Jorge YouTube / Instagram / Facebook Titres diffusés Extrait de l'album Baile à la Baiana (Cafumé/ Black Service – 2025) : "Sabada a Noite" Extraits de l'album Musica par Churrasco vol.1 (Cafumé / Sony ATV – 2011) : "Amiga da Minha Mulher" ; "Quem Nao Quer Sou Eu" Extrait de l'album America Brasil (Cafumé / Sony ATV – 2007) : "America do Norte" Extraits de l'album Cru (Wrasse Records – 2004) : "Tive Razao" ; "Chatterton" ; "Fiore de la Citta" ; "Sao Gonca" ; "Don't "; Extraits de l'album Carolina (Mr Bongo Worlwide – 2001) : "Carolina" ; "Tu Queria" ; "Mangueira" ; "De Alegria Rajou o Dia" Et aussi Avec le groupe FAROFA CARIOCA : "Dudivara" ; "Moro No Brasil" ; "Menino da Central" Avec PLANET HEMP : "Hip Hop Do Rio" (Bruno e remix) Extraits de la bande originale du film The Life Aquatic with Steve Zissou (Hollywood Records - 2004) : "Shark attack theme"; "Life on mars?" ; "Rock n' roll suicide" Extrait de l'album Direct-to-disc Sessions (Night Dreamer – 2020) avec Rogê : "Pra voce amigo" Journaliste : Hortense Volle Traduction française : Margaux Borel Réalisation : Benjamin Sarralié Mixage 3D en Dolby ATMOS pour une écoute immersive au casque : Jérémie Besset Responsable d'unité de production FMM – RFI Labo : Xavier Gibert
[Rediffusion] C'est une histoire de chanson française, de passion amoureuse, mais aussi d'excès et d'alcool. Le couple Serge Gainsbourg et Jane Birkin ont marqué le monde de la musique avec leurs nombreuses collaborations. Mais derrière la belle histoire, qu'y a-t-il vraiment ? Plongez dans les plus beaux moments du duo Gainsbourg Birkin… comme dans les pires. Liés pour l'éternité Leur rupture, après douze ans de vie commune, a lieu en 1980. Chacun a retrouvé l'amour à la vitesse de l'éclair.... Pourtant n'oublions pas que lorsque Jane Birkin a quitté Serge Gainsbourg, celui-ci, désespéré, a sombré encore plus dans la boisson. Quant à Jane, elle ne l'a pas oublié non plus. La fin de leur histoire lui a longtemps laissé un goût amer. Elle ne se serait d'ailleurs "jamais remise de la rupture", d'après "Le Parisien", a qui elle avait confié : "Dès que je suis partie, je savais que j'allais le regretter". Un podcast Bababam Originals Ecriture : Anaïs Koopman Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Réalisation : Romain Redon Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations était l'invitée de RTL soir, ce jeudi 16 octobre, quelques heures après le rejet des motions de censure visant le gouvernement Lecornu II. Elle a estimé qu'un "vent de responsabilité" avait soufflé sur les députés.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:22 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Marine Le Pen, députée du Pas-de-Calais, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale. Elle appelle à voter la censure du gouvernement Lecornu II, qui devrait toutefois s'en sortir après avoir rallié le PS à sa cause en suspendant la réforme des retraites. - invités : Marine LE PEN - Marine Le Pen : Femme politique française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:22 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Marine Le Pen, députée du Pas-de-Calais, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale. Elle appelle à voter la censure du gouvernement Lecornu II, qui devrait toutefois s'en sortir après avoir rallié le PS à sa cause en suspendant la réforme des retraites. - invités : Marine LE PEN - Marine Le Pen : Femme politique française Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour notre nouvel épisode de podcast, nous recevons Nader Ghavami, un photographe pour qui l'image est bien plus qu'une simple esthétique. Au cœur de sa démarche, on trouve une approche profondément humaniste et un regard engagé. Chacun de ses portraits cherche à révéler la vérité de la personne, tandis que sa photographie de rue témoigne d'une réalité sociale, souvent sans concession. Son style est direct, puissant, et ne laisse jamais indifférent.
durée : 00:28:15 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Musicien tourmenté de retour dans sa ville natale dans le dernier film d'Arnaud Desplechin,"Deux Pianos", François Civil donne la réplique à Charlotte Rampling et Nadia Tereszkiewicz. Présent sur les écrans du cinéma français depuis plus de quinze ans, il fait ici son entrée dans le cinéma d'auteur. - réalisation : Laurence Malonda - invités : François Civil Acteur français
Vendredi 10 octobre, c'était la journée mondiale de la santé mentale. L'occasion de consacrer un nouvel épisode à ce sujet. Parce que la santé mentale, ce n'est pas un sujet à part, c'est un sujet de société. En 2025, le gouvernement Macron en a fait une grande cause nationale, avec l'idée de sensibiliser, de libérer la parole, et surtout, de faciliter l'accès aux soins. Prendre soin de sa santé mentale nous concerne tous. Chacun traverse, durant sa vie, des périodes où ça va moins bien. À côté des institutions de santé, de nombreuses personnes agissent dans l'ombre — des associations, des bénévoles, des structures d'écoute qui offrent une oreille. Parmi elles, il y a S.O.S Amitié. Cette association d'aide par l'écoute, à distance et dans l'anonymat, reçoit près de deux mille appels chaque jour. Deux mille voix, deux mille histoires, deux mille personnes qui, à un moment, ont besoin d'être entendues. Dans cet épisode nous nous demandons : En quoi l'écoute est essentielle pour les personnes en souffrance ? Que fait concrètement S.O.S. Amitiés ? Quels sont les conseils que vous donnez pour prendre soin de sa santé mentale ? Pour en parler, nous recevons Catherine Krebs qui est vice-présidente de l'association S.O.S. Amitiés. Depuis des années, elle est également écoutante au sein de la structure. L'épisode est dispo sur toutes les plateformes d'écoute en tapant "Sève Le Média" ou en suivant le lien dans notre bio ! Bonne écoute !https://www.facebook.com/federationsosamitie/https://www.linkedin.com/company/sos-amiti%C3%A9-france/https://www.youtube.com/@sosamitiefrancehttps://www.instagram.com/sosamitiefranceHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le nord du pays les femmes peinent encore à imposer leurs opinions et sont souvent reléguées au second plan, une injustice pour ces petites mains qui permettent à la société de fonctionner. En marge de cette élection présidentielle, quelques voix de femmes s'élèvent... Elles sont commerçantes, mères célibataires ou sont à la tête des associations qui militent pour l'épanouissement de la femme. Sous son hangar au marché palar Maman Didi vend les mets locaux, le lalo, folere, gubdo... Il y a quelques mois, les autorités de la ville de Maroua l'ont contraint de quitter son premier stand, pour l'installer dans ce secteur de la ville, où l'eau se fait rare. « Depuis qu'on nous a déplacé ici, au carrefour Para au marché du dimanche, nous manquons d'eau. Notamment en saison sèche où les difficultés d'accès à l'eau se multiplient, il y a qu'un seul puits ici et un particulier est en train de construire autour, si jamais il finit l'élévation, on aura plus d'eau ici, il n'y aura aucun point d'eau dans la zone. Il faut que les autorités regarde cette affaire d'eau et nous viennent en aide. Si on installe ne serait ce qu'une seule pompe, ça va nous aider », dit-elle. « Personne ne pense qu'il y a une mère célibataire quelque part qui souffre » À l'autre bout de la ville, au quartier Domayo une autre femme s'affaire à servir des clients. Longtemps au chômage, C'est grâce à une association que Nafi, à décroché ce travail de serveuse. En cette période de campagne, des militants s'arrêtent ici pour manger. La mère célibataire les écoute d'une oreille, car il n'y a pas place pour les femmes dans leur programme selon elle. « Je ne vois pas de candidat qui parle de questions de femmes. Chacun ne pense pas qu'à son intérêt personnel, surtout les hommes. Personne ne pense qu'il y a une femme quelque part qui souffre avec les enfants. Personne ne pense qu'il y a une mère célibataire quelque part qui souffre pour l'éducation des enfants, pour l'inscription des enfants à l'école, pour la nutrition des enfants. Personne ne pense à ça ». Esther, 28 ans, dirige l'association Perles du Sahel, qui aide les femmes à trouver du travail auprès des particuliers. Son combat : rendre les femmes et les jeunes filles du nord du pays autonomes. « On aimerait outiller vraiment la jeune fille, la femme. On aimerait que peut-être notre "woman weeks" où on fait la promotion de la femme, de ses œuvres, de son bien-être et de son leadership, qu'on puisse être en mesure de mobiliser encore plus qu'on ne le fait déjà » explique-t-elle. Esther en est consciente, le combat pour l'autonomisation de la jeune fille est encore long. Il faut entre autre lutter contre la sous scolarisation, les mariages précoces et plusieurs stéréotypes culturels qui limite grandement le potentiel des jeunes fille et femmes du septentrion.
durée : 00:31:15 - Les Pieds sur terre - par : Sophie Simonot - C'est le premier anniversaire de Grégoire sans Grégoire. L'occasion de parler de sa naissance et de son enfance, de cet enfant timide et un peu mystérieux, que je ne connaissais pas vraiment. Pour en savoir plus, je pars à Marseille rencontrer ses grands-parents, puis son grand frère, Benoît. - réalisation : Sylvain Richard
Les styles d'attachement influencent profondément notre manière d'aimer, de réagir aux conflits et de construire nos relations. Dans ce deuxième épisode de la mini-série consacrée aux liens d'attachement, nous découvrons les quatre grands styles décrits par la psychologie : l'attachement sécure (50-60 % de la population), l'attachement anxieux (20 %), l'attachement évitant (25 %),l'attachement désorganisé (5 %). Chacun correspond à une façon d'équilibrer notre besoin de proximité et notre besoin d'autonomie, héritée de nos premières expériences mais capable d'évoluer tout au long de la vie. Se reconnaître dans ces styles, sans se juger ni culpabiliser, est une clé précieuse pour mieux comprendre ses réactions et avancer vers plus de sécurité affective et relationnelle.**********Retrouvez le texte de l'épisode sur notre blog.En vous abonnant sur Itunes pour recevoir les notifications et en nous laissant un avis, vous nous envoyez des bulles de bonheur !En suivant notre actu sur FB @2minutesdebonheur et sur insta @2minutesdebonheur, vous profiterez gratuitement de pleins de trucs, d'astuces et de mises en pratique liés au podcast de la semaine.Inscrivez-vous à la newsletter, vous serez ainsi notifié de nos nouveaux épisodes et vous recevrez un bon de réduction de 5% sur notre site.Et surtout, partagez nos épisodes à tous ceux qui veulent prendre le temps d'être heureux !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous connaissez Michael Wilson et Barbara Broccoli ? Ce sont les producteurs de la série James Bond que leur beau-père et père, Albert Broccoli, a eu la bonne idée d'acheter à son créateur, Ian Fleming, dans les années 60. Et ben, ils sont pas sympas. C'est vrai, Pierce Brosnan, qui a succédé rapidement à Timothy Dalton dans le rôle de l'agent 007 au milieu des années 90, a plu au public dès sa première interprétation. Goldeneye, Demain ne meurt jamais, Le monde ne suffit pas, film après film, on continue à récolter plusieurs fois l'énorme mise de départ des coûts de production et de promotion. Tout va bien.Et pourtant, en 2003, un an après la sortie du quatrième film, Meurs un autre jour, alors qu'il est en train de tourner un autre film aux Bahamas, il reçoit un appel de son agent comme quoi les négociations pour le prochain Bond, prévu dans quelques mois, ont échoué. Au téléphone, il demande aux producteurs s'ils ont renoncé à leur projet de faire Casino Royale, quel n'est pas son étonnement d'entendre : “si, mais plus avec toi. Tu es trop âgé pour le rôle, on te remercie.” Clac ! C'est vrai qu'il y a de cela mais surtout, la franchise ronronne. Il faut la relancer avant qu'il ne soit trop tard, le cinéma a bien changé ces dernières années, il faut du sang neuf.Le croirez-vous ? Deux cents acteurs vont être considérés et approchés. Michael Fassbender, Rupert Friend, Sam Heughan, oui le bel Ecossais de Outlander, Henry Cavill qui va devenir Superman, Man of Steel et The Witcher, ou encore Ewan McGregor qui aura droit à plusieurs rencontres. Mais n'allez pas croire que tout le monde se met à genoux devant le Graal du Box Office. Il y a des Christian Bale, Hugh Jackman, Clive Owen et Ralph Fiennes qui disent non. Chacun a ses raisons. Par exemple, Owen ne se voit pas dans le rôle et Fiennes ne veut plus d'une franchise, il va déjà être Voldemort dans Harry Potter. Et oui, je sais, il va finalement rejoindre James Bond dans le rôle de “M”, à partir de Skyfall. Alors qui pour interpréter un James Bond de 29 ans, en début de carrière ? Le reboot idéal sur le papier ! En fait, dit alors la directrice de casting, le problème est que les acteurs dans la vingtaine n'ont pas le charisme et la stature pour incarner l'image d'homme mûr que nous avons de James Bond.Et que diriez-vous alors de Daniel Craig ?Il a quel âge ?35 ans.Ah il a la cote en Grande-Bretagne, c'est un acteur de théâtre célèbre qui a connu récemment un succès auprès du grand public avec une série et surtout, c'est une figure du cinéma britannique indépendant. Il a d'ailleurs bien regretté d'avoir accepté deux ans auparavant de jouer dans Tomb Raider aux côtés d'Angelina Jolie en Lara Croft. Et c'est d'ailleurs la raison pour laquelle, contacté, Daniel Craig va dire non au rôle de James Bond. Mais que ça reste entre nous, hein ?
«Je m'ennuie», «je ne sais pas quoi faire», quel parent n'a pas entendu ces phrases de la part de son enfant et quel enfant n'a pas regretté de les avoir prononcées après s'être vu assigner une tâche ménagère en guise d'occupation. Dans nos sociétés où performance et efficacité sont mises sur un piédestal, ne rien faire a inévitablement mauvaise presse. Chacun cherche alors à combler les temps vides et ceux de ses enfants. On fuit l'ennui par tous les moyens y compris grâce aux nouvelles technologies. Quoi de plus simple que de se réfugier derrière un écran ? Pourtant, ennui ne rime pas forcément avec inactivité. C'est aussi un moment pour développer sa créativité, favoriser la mémorisation, développer l'autonomie et la confiance en soi. Des éléments essentiels pour un enfant et un futur adulte épanoui. Quel équilibre entre ennui et activité ? Comment faire accepter à son enfant ce temps passé à ne rien faire ? Avec : • Sylvie Chokron, neuropsychologue, directrice de recherche au CNRS et autrice de Plongez dans votre cerveau. L'explorer, c'est l'apprivoiser (Les presses de la cité, 2025) • Sophie Marinopoulos, psychologue, psychanalyste, fondatrice et vice-présidente de l'association d'accueil familial Les Pâtes au beurre, autrice de Ce que les enfants nous enseignent (Les liens qui libèrent, 2024) et du livre Les trésors de l'ennui (éditions Yapaka). En première partie de l'émission, l'École autour du Monde s'intéresse à Zoa, la chaîne du quotidien des jeunes Africains, 100% numérique du groupe France Médias Monde. Nous retrouvons Kaourou Magassa, le rédacteur en chef de Zoa. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui, il répond à la question de Daman à Kaduna au centre du Nigeria dont les trois fils de 7, 10 et 12 ans sont accrocs aux jeux vidéo et à la télévision. Programmation musicale : ► Autodance - Disiz ► Fun - Rema.
«Je m'ennuie», «je ne sais pas quoi faire», quel parent n'a pas entendu ces phrases de la part de son enfant et quel enfant n'a pas regretté de les avoir prononcées après s'être vu assigner une tâche ménagère en guise d'occupation. Dans nos sociétés où performance et efficacité sont mises sur un piédestal, ne rien faire a inévitablement mauvaise presse. Chacun cherche alors à combler les temps vides et ceux de ses enfants. On fuit l'ennui par tous les moyens y compris grâce aux nouvelles technologies. Quoi de plus simple que de se réfugier derrière un écran ? Pourtant, ennui ne rime pas forcément avec inactivité. C'est aussi un moment pour développer sa créativité, favoriser la mémorisation, développer l'autonomie et la confiance en soi. Des éléments essentiels pour un enfant et un futur adulte épanoui. Quel équilibre entre ennui et activité ? Comment faire accepter à son enfant ce temps passé à ne rien faire ? Avec : • Sylvie Chokron, neuropsychologue, directrice de recherche au CNRS et autrice de Plongez dans votre cerveau. L'explorer, c'est l'apprivoiser (Les presses de la cité, 2025) • Sophie Marinopoulos, psychologue, psychanalyste, fondatrice et vice-présidente de l'association d'accueil familial Les Pâtes au beurre, autrice de Ce que les enfants nous enseignent (Les liens qui libèrent, 2024) et du livre Les trésors de l'ennui (éditions Yapaka). En première partie de l'émission, l'École autour du Monde s'intéresse à Zoa, la chaîne du quotidien des jeunes Africains, 100% numérique du groupe France Médias Monde. Nous retrouvons Kaourou Magassa, le rédacteur en chef de Zoa. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui, il répond à la question de Daman à Kaduna au centre du Nigeria dont les trois fils de 7, 10 et 12 ans sont accrocs aux jeux vidéo et à la télévision. Programmation musicale : ► Autodance - Disiz ► Fun - Rema.
C'est une femme discrète mais qui a fait bouger beaucoup de lignes dans et pour le sport féminin.
L'avocat de l'abolition de la peine de mort va entrer au Panthéon. « Le dernier "saint de la République" », titre Le Nouvel Obs. Ministre de la Justice, président du Conseil constitutionnel, sénateur : le magazine explore ce qui fait de lui une « figure morale incontestable » en rappelant, au-delà de son combat contre la peine de mort, son « rôle décisif dans la dépénalisation de l'homosexualité » et son « souci constant des détenus dont il rappelait qu'ils demeuraient avant tout des citoyens ». « Robert Badinter n'est pas un personnage fade et consensuel, sans angles ni aspérités, qui ne suscitait aucun conflit », ajoute auprès du Nouvel Obs l'ancienne Garde des Sceaux, Christiane Taubira, figure de la gauche, tout comme l'était Robert Badinter, même si ses valeurs d'universalisme et d'humanisme sont parfois appréhendées, souligne le magazine, de différentes façons au sein de son propre camp. « Chacun projette en Badinter sa propre vision de la République », résume Le Nouvel Obs, qui est donc persuadé que « cette panthéonisation, l'une des dernières de la présidence Macron, ne divisera pas ». « Très rares sont ceux qui, en 2025, contestent » l'héritage de Robert Badinter. 5 objets symboliques au Panthéon Un an et demi après sa disparition, à 95 ans, cet avocat « nourri de l'esprit des Lumières et de Condorcet », rappelle Le Nouvel Obs, va donc rejoindre le Panthéon, jeudi 9 octobre. Plus précisément, indique L'Express, ce sont 5 objets symboliques qui seront déposés dans un cénotaphe, un tombeau élevé à la mémoire d'un mort, mais qui ne contient pas son corps. Une robe d'avocat, une copie du discours de Robert Badinter devant l'Assemblée nationale, le 17 septembre 1981, au moment de l'abolition de la peine de mort, et trois livres dont un de Victor Hugo, les Choses vues, dans lequel est écrite cette résonnante phrase : « Heureux si l'on peut un jour dire de lui : En s'en allant, il emporta la peine de mort ». Cette panthéonisation est « une récompense magnifique », se réjouit sa femme, Elisabeth Badinter, dans les colonnes du Point. « Celle de la France à l'égard de ce petit Juif issu d'une famille très modeste. » Robert Badinter dont le père, Simon, a été arrêté à Lyon en 1943 par Klaus Barbie, pour être déporté puis gazé au camp de Sobibor, en Pologne. La résurgence de l'antisémitisme depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre 2023, ce fut donc « un choc » pour lui, témoigne sa femme dans Le Point, qui publie justement un extrait d'un livre de Robert Badinter qui vient de paraître, Sur l'épreuve de l'antisémitisme. Une société israélienne « traumatisée » Ces mots résonnent particulièrement à l'approche du 7 octobre, et des deux ans de guerre entre Israël et le Hamas. Dans le même magazine (imprimé avant la réponse du Hamas au plan de paix proposé par Donald Trump) : cet article d'une correspondante à Tel-Aviv qui écrit qu'une « grande partie de la société israélienne redoute qu'une nouvelle déception ne vienne à nouveau doucher ce début d'espoir ». « Une société traumatisée », rapporte Le Point, qui a rencontré plusieurs psychologues israéliens dont les cabinets ne désemplissent pas depuis l'attaque du Hamas, le 7 octobre 2023. « Plusieurs études estiment à environ 3 millions le nombre d'Israéliens souffrant de troubles plus ou moins importants. » « Le Centre israélien sur la toxicomanie et la santé mentale évoque une hausse de 25 % de la consommation de drogue. » Malaise perceptible, aussi, dans les pays étrangers, de la France aux États-Unis. Le Point cite d'abord cette Parisienne de 56 ans qui « demande à son gendre d'ôter sa kippa quand il sort », et qui ressent « une haine, une défiance s'installer » à son travail. Elle envisage de rejoindre Israël avec sa fille d'ici l'été. Plus de 2 000 Français sont partis en 2024, soit le double de l'année précédente. À New York, aussi, « la sérénité a disparu », témoigne un autre Français installé dans cette ville pourtant vue, depuis plus d'un siècle, rappelle Le Point, « comme un refuge pour la population juive persécutée ». La probable arrivée de Zohran Mamdani à la mairie de New York inquiète une partie de la communauté, braquée par certaines déclarations du candidat démocrate et musulman. Visite dans un mémorial du 7-Octobre Une société israélienne « qui se radicalise », aussi, observe Le Nouvel Obs, « et qui ne cesse de revivre l'attaque la plus meurtrière de son histoire ». En témoigne ce reportage à Réïm, à la frontière avec Gaza, sur le site de la fête techno Nova, où le Hamas a assassiné des centaines de jeunes, le 7 octobre 2023. Un mémorial a été installé, accueillant, chaque jour, « de nombreux cars » et « des groupes de visiteurs ». Ils se recueillent devant les photos des victimes, mais aussi face au « cimetière de voitures calcinées avec, à chaque véhicule, un QR code qui envoie sur le téléphone l'histoire tragique de ses occupants ». Non loin, dans le kibboutz Nahal Oz, une partie de la population revient. « Il y a des tractopelles un peu partout, décrit Le Nouvel Obs, ça construit, ça rénove. Les jardins sont luxuriants ; des familles avec des poussettes se promènent, imperturbables quand retentit le son des explosions. » « Les gens comprennent, dit une habitante, que c'est important que nous, Juifs, habitions cet endroit, près de la frontière. Pour la sécurité de notre pays. » « Évidemment, il y a d'abord eu le choc et le deuil après le 7-Octobre, se souvient la rabbin Delphine Horvilleur auprès du Nouvel Obs. Et puis, très vite, la sidération face au manque d'empathie pour les victimes israéliennes. Mais j'ai également senti ce moment où certains des miens ont aussi vrillé, où la radicalité à l'intérieur de ma communauté est allée croissant. La difficulté pour la rabbin que je suis, dit-elle, est que je dois accompagner mon peuple dans la consolation et la quête de sécurité auxquelles il a pleinement droit et, simultanément, que je dois l'accompagner dans son questionnement sur lui-même, dans sa possibilité de critiquer le gouvernement du seul Etat-refuge dont il dispose. Et par moments, je ne sais plus si je dois tendre un miroir ou tendre les bras aux miens. » Sébastien Lecornu coincé entre les socialistes et la droite À la Une, également : la fin du compte à rebours pour la composition du nouveau gouvernement français. Ce sera aujourd'hui, 5 octobre, selon La Tribune Dimanche ; dans les 48h, d'après le JDD. Le Journal du dimanche anticipe « 24 ministres grand max » et révèle déjà son casting : la présence de la droite « devrait être renforcée » autour de Bruno Retailleau, maintenu ministre de l'Intérieur, tout comme Gérald Darmanin à la Justice. Sur le flanc gauche, en revanche, « seul Manuel Valls conserverait les Outre-mer ». Il faut dire qu'avec les socialistes, le chef du gouvernement « semble toujours dans une situation très précaire », observe La Tribune Dimanche, qui se demande si le PS décidera, ou non, immédiatement de censurer Sébastien Lecornu à l'issue de sa déclaration de politique générale, mardi 7 octobre. Le Premier ministre a pourtant accédé à une revendication des socialistes en renonçant au 49.3, mais ils « insistent sur la suspension de la réforme des retraites », chose dont la droite « ne veut pas entendre parler »... Les Républicains qui, eux, avancent, d'après La Tribune Dimanche, « sans enthousiasme vers une participation gouvernementale ». Tout cela, résume le journal, permet à Sébastien Lecornu « d'appréhender un peu plus les limites du défi auquel il est confronté à une époque où seule la radicalité paie et le compromis est vu comme une faiblesse ».
durée : 00:59:57 - Chacun son île - par : Nathalie Piolé -
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, est sur le point de décréter «l'état de commotion extérieure», c'est-à-dire l'état d'urgence. Le décret entrera en vigueur si le pays «est agressé militairement par l'empire américain», a-t-il expliqué ce lundi, à la télévision publique. Les États-Unis ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes et ont bombardé plusieurs bateaux qui transportaient de la drogue, selon eux. Si l'état d'urgence est instauré, Nicolas Maduro aurait des pouvoirs spéciaux, ce qui suscite des inquiétudes au Venezuela. El Nacional se fait l'écho des craintes de juristes et de membres de l'opposition pour qui ce décret «pourrait servir à restreindre les libertés publiques, augmenter la censure des médias et justifier un rôle plus important de l'armée dans la vie politique et sociale.» L'état d'urgence d'une durée de 90 jours renouvelables, permet de concentrer le pouvoir entre les mains de l'exécutif et «de limiter les contre-pouvoirs institutionnels au nom de la protection de la nation», explique le journal. Au-delà des conséquences concrètes dans la vie des Vénézuéliens, ce décret aura des implications géopolitiques, analyse El Nacional. Il pourrait «augmenter les tensions avec Washington et aboutir à de nouvelles sanctions» tandis qu'il «renforcerait l'alliance entre Caracas et (...) la Russie, la Chine et l'Iran.» Les États-Unis veulent faire tomber Nicolas Maduro C'est qu'affirme le New York Times qui cite des responsables américains. Une «stratégie plus agressive», une «vaste campagne qui intensifierait la pression militaire pour tenter de le forcer à partir» est en préparation, affirment ces sources anonymes. «L'armée américaine a planifié des opérations militaires potentielles ciblant des suspects de trafic de drogue au Venezuela même, comme prochaine phase, bien que la Maison Blanche n'ait pas encore approuvé une telle mesure», détaille le New York Times. Le journal fait également état de discussions entre l'administration Trump et «deux figures majeures de l'opposition» qui préparent l'après-Maduro. Aux manettes de cette offensive, il y a Marco Rubio, soutenu notamment par le directeur de la CIA. Marco Rubio, fils d'immigrés cubains, «estime que le départ de Nicolas Maduro affaiblirait le gouvernement communiste de Cuba, l'un des proches alliés du Venezuela». L'ancien sénateur de Floride lorgne aussi sur les électeurs d'origine cubaine et vénézuélienne dans cet État. Un mort dans des manifestations en Équateur En Équateur aussi, l'état d'urgence a été décrété dans 8 provinces alors que les manifestations contre la hausse du prix du diesel se poursuivent. Des manifestations qui se déroulent dans la violence. Un artisan de 46 ans, père de deux enfants, est mort dimanche (28 septembre 2025). Il a été tué par balles par l'armée à Cotacachi, à 100 km au nord de Quito, selon l'Alliance pour les droits de l'homme en Équateur. Les négociations avec le gouvernement sont au point mort. Chacun campe sur ses positions, relève La Hora. «Comment peut-on dialoguer après un assassinat ?», interroge le leader de la Confédération des nationalités indigènes d'Équateur qui voit dans le mort de cet homme de 46 ans un «crime d'État» et menace de mener un mouvement aussi dur qu'en 2019 et 2022. À l'époque, les gouvernements avaient dû faire marche arrière. Pas question, répète Daniel Noboa. «Je préfère mourir plutôt que de céder», a affirmé le président équatorien, souligne le journal. Hier, alors que le véhicule dans lequel il se rendait à Imbabura a été bloqué par des manifestants, il a redit qu'il ne lâcherait pas. Comment sortir de la crise ? Pour La Hora, la seule solution, c'est l'intervention d'une tierce partie neutre. Dans les colonnes du journal, l'avocate Mildred Molineros, spécialiste de la gestion des conflits, estime que cela pourrait être un organisme international ou l'Église catholique. Et que cette tierce personne doit offrir ses services et ne pas attendre d'être sollicitée par le gouvernement ou les représentants des populations indigènes. À partir du moment où il y a déjà eu un mort, il y a urgence, insiste l'avocate. Un avis partagé par Ruth Hidalgo, responsable de l'ONG Corporation et Participation citoyenne qui explique à La Hora que le risque désormais, c'est «une escalade dans le conflit avec une radicalisation des [manifestants], un ralentissement de l'économie, une pénurie d'aliments et l'augmentation progressive du recours à la force» de la part des policiers et des militaires. Haïti : un nouvelle force anti-gangs ? Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se prononcer ce mardi soir (30 septembre 2025) sur la transformation de la mission multinationale de soutien à la police haïtienne en une force anti-gangs plus robuste pour tenter de brider la violence qui ravage le pays. En Haïti, cela suscite du scepticisme dans certains secteurs de la population, explique Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. «Certains pensent qu'il faut surtout renforcer les forces de l'ordre en leur donnant davantage d'effectifs et d'équipements. C'est la seule manière que le résultat soit durable», détaille le journaliste. Des inondations dans la moitié du pays «Depuis jeudi, de fortes pluies provoquent des inondations dans 30 communes d'Haïti», raconte Gotson Pierre. «Plus de la moitié du pays est touchée». À certains endroits, la situation est catastrophique. Une personne est morte. Les habitants appellent au secours le gouvernement, mais «l'acheminement de l'aide va être compliqué car de nombreuses routes sont coupées par les gangs», explique le directeur d'Alterpresse. Rencontre avec Atxu Marimã, membre du peuple Hi-Merimã Atxu Marima appartient au peuple amérindien Hi-Marimã et lui qui enfant, vivait isolé dans la forêt amazonienne, raconte son histoire dans un livre : comment il a dû s'adapter à la civilisation et comment depuis, il lutte pour la protection des peuples autochtones du Brésil qui continuent de vivre volontairement loin de tout et de tous, sans aucun contact avec le monde extérieur. Achim Lippold l'a rencontré lors de son passage à Paris. Le journal de la 1ère L'avenir de la compagnie aérienne de Saint Martin, Air Antilles, en suspens. Sa licence d'exploitation s'arrête ce lundi et il lui manque 10 millions d'euros.
Voilà bientôt 40 ans que Daniel Balavoine nous a quitté dans un accident d'avion lors du Paris-Dakar. Le spectacle "Balavoine, ma bataille" lui rend hommage, conviant sur scène ses proches (son frère, ses anciens musiciens) et 7 chanteurs de la nouvelle génération, issus de télécrochets. Daniel Balavoine leur manque énormément. Chacun se souvient de l'artiste hors pair, qui a écrit "Le chanteur" en une heure, travaillait sans arrêt, misait tout sur la précision - c'est le mot qui revient le plus - et de l'homme engagé, intelligent et drôle. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Marie Gicquel du 30 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Le président-candidat Paul Biya est en pleine forme de ses moyens et il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meetings avant la présidentielle », affirme le ministre camerounais du Travail Grégoire Owona, qui est aussi le secrétaire-général adjoint du parti au pouvoir RDPC. En vue de la présidentielle du 12 octobre, le candidat Paul Biya ne risque-t-il pas de perdre des voix après la démission de deux de ses ministres ? Et fera-t-il des réformes s'il est réélu ? En ligne de Yaoundé, l'un des hommes forts de sa majorité répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Grégoire Owona, quelles seront les deux premières priorités du président Paul Biya s'il est réélu ? Grégoire Owona : Mais le président Paul Biya, certainement, va mieux préciser ses priorités dans sa profession de foi qui va bientôt sortir. Mais je crois que si on devait parler des deux premières priorités en tant que RDPC qui soutient sa candidature, je prendrais la consolidation de la paix, de l'unité nationale et la sécurité en premier, et ensuite la promotion des jeunes et le renforcement du rôle de la femme. La grande inquiétude de l'opposition, c'est la fraude électorale. Même Bello Bouba Maigari affirme que les élections sont truquées au Cameroun et que c'est encore arrivé à la présidentielle de 2018. Qu'est-ce que vous lui répondez ? Je crois que tous ceux qui disent ça font un peu de la diversion. On ne peut pas appeler par exemple au boycott d'une élection locale, sachant qu'on déclare en plus pertinemment quelles sont les conséquences, à savoir l'exclusion à l'élection présidentielle, pour dire après que le système électoral n'est pas bon ou qu'il est mauvais. Donc, je crois qu'il faut faire très attention. Le dépouillement est public. Chacun des candidats ou des représentants des candidats rentrant avec un procès-verbal signé par tous. Quelle autre transparence peut-on vouloir dans un système électoral ? Et si le candidat Paul Biya est battu, est-ce qu'il reconnaîtra sa défaite ? Nous allons à une compétition dans un esprit démocratique. Nous sommes bien préparés, nous espérons gagner. Et si cela arrivait, on se comporterait comme des républicains. C'est-à-dire que le RDPC reconnaîtrait à ce moment-là, la défaite de son champion ? Mais absolument. Mais sur la base des résultats des urnes, pas sur la base des procès d'intention, des interprétations malsaines des lois. Ce 12 octobre, le président Paul Biya va être candidat pour un huitième mandat. Mais beaucoup estiment qu'à 92 ans, c'est une charge trop lourde pour lui. Qu'est-ce que vous en pensez ? J'ai entendu sur votre radio que quand on parle d'âge, c'est qu'on a plus d'arguments. J'ai entendu quelqu'un dire ça. C'est en effet ce qu'a dit Issa Tchiroma. Nous, on a des arguments. Notre candidat est en pleine forme de ses moyens, il conduit le pays, il est à même de poursuivre ce qu'il a commencé. Donc, je ne vois pas le problème que vous êtes en train de soulever sur cet aspect. Actuellement, le chef de l'Etat séjourne en Europe. Est-ce que vous savez quand est-ce qu'il va rentrer ? Mais c'est un court séjour privé. Quand il devra rentrer, on sera bien informé. Et quand il va rentrer, est ce qu'il va tenir un ou plusieurs meetings ? Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Je vous ai dit au début qu'il rendra publique sa profession de foi. Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Et je peux même vous dire que s'il faut faire des réformes, il se permettra de faire des réformes. Le départ du gouvernement de deux poids lourds du nord du pays Bello Bouba et Issa Tchiroma. Est-ce que cela ne va pas vous faire perdre des voix ? Les démissions de Bouba Bello et d'Issa Tchiroma, je peux vous dire qu'elles ne vont pas spécialement nous faire perdre des voix. Pourquoi ? Pour deux choses. Parce que d'abord, ces deux candidats se sont discrédités par leur façon de faire et par leur façon d'être. La deuxième raison, c'est que dans les zones où ils ont leur base, il y a de nouveaux alliés qui nous ont rejoints, que ce soit en termes de partis politiques ou en termes d'associations. Mais est-ce que nécessairement, et notamment à cause de ces deux ministres démissionnaires, vous n'allez pas faire un score inférieur à celui de 2018 ? Wait and see. Moi, je n'en suis pas du tout convaincu, parce que plusieurs candidats se sont discrédités par leur façon d'être, par leur façon de faire. Ils ont dit des choses et leur contraire en même temps. Ils ont eu des agissements qui font qu'on ne croit plus en eux. Et nous, nous sommes restés dans la même ligne politique et nous sommes crédibles. Notre candidat est crédible. Voulez-vous dire que Bello Bouba et Tchiroma ne sont pas crédibles parce qu'ils étaient encore avec vous il y a quatre mois et que ce ne sont pas de vrais opposants ? Ce n'est pas ça que j'ai dit, mais ils ont fait pire que démissionner. Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ce n'est ni le lieu ni le moment de vouloir parler négativement des autres candidats. Nous, on est fair-play. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: le parti au pouvoir présente «l'armée» de Paul Biya pour la campagne À lire aussiÉlections au Cameroun: pour battre Paul Biya, «il faudra un raz-de-marée» de l'opposition, martèle Issa Tchiroma Bakary
durée : 00:37:51 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Les avancées scientifiques en santé environnementale permettent aujourd'hui d'affiner notre compréhension de l'impact des expositions individuelles sur le risque de développer un trouble psychique. Où en est plus précisément la recherche ? Quels sont les mécanismes d'action en cause ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air l'invité du 20 septembre 2025 avec Gérald Bronner, professeur de sociologie à la Sorbonne, membre de l'Académie des technologies et de l'Académie nationale de médecine. Il publie "À l'assaut du réel", aux éditions PUF.Dans son nouveau livre, le sociologue Gérald Bronner, spécialiste des croyances collectives, décrypte comment l'humain est de plus en plus convaincu qu'il peut façonner la réalité selon ses désirs. Il pointe le risque que « chacun s'enferme dans un espace polarisé, un petit monde subjectif et communautaire, sans dialogue possible ». Ce qui « empêche toute action collective ».Il prend en exemple Donald Trump - qui lui offre l'exemple d'une personnalité tordant la réalité pour la plier à ses désirs. Il cite aussi nombre d'autres cas, y compris en France, pour s'interroger sur « les fractures qui cassent notre monde commun ».Gérald Bronner, professeur de sociologie à la Sorbonne, et auteur de "À l'assaut du réel", aux éditions PUF, est notre invité. Il nous donnera son analyse du rapport à la vérité dans nos sociétés, à travers des faits d'actualité récents. Que révèlent, par exemple, la bataille narrative autour de l'identité de Tyler Robinson, le tueur présumé de l'activiste américain Charlie Kirk ? Et si chacun ne souhaite croire qu'en sa propre vérité, comment faire société ?
Située au sud-est du pays, la réserve naturelle de Chinko est en phase de restauration depuis 2014, après plusieurs décennies de crises sécuritaires qui l'ont presque décimée. Aujourd'hui, les écogardes, encore appelés rangers, sont en première ligne pour protéger la faune et la flore issues de cette aire de conservation d'une surface estimée de plus de 30 000 km2. Le travail de ces hommes et femmes, recrutés pour la plupart dans les villages périphériques, est très important dans la chaîne de préservation des écosystèmes, la régénération de la faune et le développement socio-économique des communautés locales. De notre correspondant de retour de Kocho, 6h30, les écogardes sont déjà en colonne par deux dans leur zone de rassemblement pour définir le plan de la journée. Chacun porte un sac lourd, rempli de fournitures de premiers soins, de matériel de sauvetage, de nourriture et d'eau, une tente et des appareils de communication. Mathurin Davis Ndallot est responsable de la lutte anti-braconnage : « Notre quotidien ici, c'est la surveillance 24 heures sur 24, sept jours sur sept à travers nos équipes de terrain que nous utilisons. Au sein de la communauté, nous avons des hommes de confiance qui nous fournissent des informations en temps réel pour nous permettre de prendre de l'avance sur les braconniers et les éventualités. » À lire aussiCentrafrique : Chinko, la renaissance de la réserve naturelle [1/3] Chaque unité est ensuite dirigée vers les zones de contrôle par des véhicules tout terrain. L'endroit est isolé et logistiquement très difficile d'accès. Ce matin, une unité de lutte anti-braconnage (LAB) est en patrouille au cœur de l'aire de conservation. En tenue de camouflage, les écogardes marchent lentement au milieu d'une végétation très dense. Le chef d'équipe balaye le sol du regard, à la recherche des traces de braconniers : « En tant que rangers, nous faisons des patrouilles régulières pour protéger nos forêts, nos rivières et la faune. Nous faisons aussi le comptage des traces des animaux, la maintenance des salines et nous veillons également au respect du code de gestion des aires protégées de Chinko. » Bientôt, la saison des pluies va laisser la place à une période compliquée pour l'équipe de contrôle, selon Mathurin Davis Ndallot : « En début de saison sèche, les pasteurs du nord du Sud-Soudan descendent en Centrafrique. Leur arrivée crée beaucoup de stress dans nos activités. C'est pourquoi nous avons mis en place une équipe de sensibilisation des acteurs de transhumance appelée Tango, et Échos que nous utilisons pour aller sensibiliser les communautés et les éleveurs afin de leur montrer leur limite et l'importance de la conservation. » « Nous sommes là pour changer les mentalités » À l'approche de la rivière de Kocho, Mathurin Davis Ndallot ordonne à son équipe de se taire et d'avancer discrètement. Sous un soleil accablant, il vérifie avec ses jumelles militaires s'il n'y a pas de pêcheurs dans le coin : « On utilise également des caméras Traps, qui est un dispositif que nous plaçons dans la forêt et qui permet de faire des photographies de la faune et flore sans intervention humaine. Ces caméras sont placées à des endroits stratégiques et sur les salines afin de contrôler le mouvement des espèces que nous protégeons, pour faire également le contrôle général et l'infiltration des braconniers. » Au milieu des fauves, de mille et un dangers, les écogardes se déploient plusieurs jours, à pied, en pirogue motorisée et parfois en avion de surveillance, selon le chef d'équipe : « Le but de nos patrouilles n'est pas forcément de faire la guerre. Nous sommes là pour changer les mentalités et appeler à la préservation de cette réserve naturelle. » En cas de récidive ou de résistance, les braconniers et les exploitants illégaux de la forêt sont arrêtés et traduits en justice. À écouter aussiCentrafrique : Chinko, impliquer les communautés riveraines [3/3]
Est-ce un dictionnaire ou bien un voyage au cœur du Japon ? Sous ses airs objectifs et factuels, se cachent une tendresse, une connaissance fine et affective des coutumes, des produits, des petites habitudes et les quelques (rares ?) défauts de l'archipel. Chihiro Masui file de mots en mots, et en recettes- jubilatoire- le Japon, son pays natal, avec l'attention de celle qui l'a quittée, et le raconte avec justesse, humour, intelligence, et goût. Chacun y trouvera son compte : une anecdote, une découverte, que l'on soit passionné de Japon, Japonais à Paris, ou curieux d'autres cultures. Dans ce dictionnaire-là, vous y piocherez un autre regard sur un pays qui fascine et intrigue, celui de l'intérieur, et une multitude de détails surprenants, cocasses, et secrets. Il se lit comme on glane et dans la plus grande liberté ! Voyage en terre umami - ce qui littéralement signifie « le goût de ce qui est bon » – avec Chihiro Masui, journaliste, cook writer / autrice culinaire, son dernier livre «Dictionnaire gourmand du Japon», aux éditions Flammarion. Elle est aussi l'autrice de plusieurs livres de cuisines de chefs, «Kei III» chez Flammarion ou encore «L'Astrance» aux éditions du Chêne. Pour suivre Chihiro sur les réseaux et sur son site. Merci à Irrashaï, et au restaurant gastronomique Biwan de nous avoir accueillis et offert une alcôve, le temps d'enregistrer l'émission. Irrashaï est une épicerie, une bulle de Japon située au cœur de Paris, 40 rue du Louvre. Pour aller plus loin : - Poissons, un art du Japon, de Chihiro Masui - Glenat - La cuisine japonaise maison, de Maori Murota - Marabout - Paris Tokyo, mon amour, de Dorothée Perkins - Flammarion - Japon, le livre de cuisine, de Nancy Singleton Hachsu - Éditions Phaïdon - Japon, le livre de cuisine végétarienne, de Nancy Singleton - Éditions Phaïdon - Pour des ustensiles : à Paris chez Irrashaï et chez Kama Asa. Programmation musicale : Moriarty – Small town Boy. En images
Chacun son point de vue (Baal Shem Tov) by Rav David Touitou
Chère maman,Et si, pour cette rentrée, tu ressortais ton blouson de cuir et tes bottines de cowgirl spirituelle ? Dans cet épisode, Claire de Féligonde t'invite à (re)découvrir une manière de prier qui fait mouche : la prière de Lucky Luke. Non, pas une prière à toute vitesse… mais une prière précise, ciblée, inspirée, comme un tir bien ajusté pour chacun de ceux que tu aimes.
Maxime de Lisle est président de l'ONG Seastemik et coordinateur de l'International Panel for Ocean Sustainability.Nommé au Prix du Livre Environnement 2025 pour son livre On a mangé la mer publié par Futuropolis et illustré par Olivier Martin, Maxime mène une enquête au cœur de la crise de la pêche en France.Cet épisode parle de notre appétit insatiable, de l'importance de la vie sous-marine et de comment inverser le cours des choses.Enregistrement : le 30 juillet 2025. Entretien et mise en ondes : Julien Vidal / Sound design : JFF / Illustration : Belen Fernandez – OlelalaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après Nuits de noces, publié en 2023, Violaine Bérot publie Du côté des vivants, aux éditions Buchet-Chastel. Pour ce douzième roman, l'autrice Violaine Bérot transforme une chambre d'hôpital en un lieu de vie. Dans cette chambre 308, deux patients côte à côte : Greg a failli mourir, il est même revenu d'entre les morts et il y a Alphonse : un vieux paysan au cœur usé, en fin de vie. Tous les deux ont décidé de mourir. Dans cet hôpital, ils croiseront des femmes de ménage, des soignants, des patients. Chacun a sa vie, son existence. Dans ce roman, l'autrice Violaine Bérot a voulu exorciser la mort en se plaçant «du côté de la vie». Elle part du constat qu'il ne faut pas avoir peur de la mort, que celle-ci arrive au bout de la vie. Éleveuse pendant une dizaine d'années, elle a souvent été confrontée à la mort de ses bêtes, elle a beaucoup réfléchi à la question et a une relation apaisée par rapport à la mort quand celle-ci est invisibilisée dans nos sociétés occidentales. On vit dans une société dans laquelle il ne faut pas montrer la mort. Il faut retarder la mort au maximum. On pense allonger notre durée de vie alors qu'on allonge notre durée de maladie. Dans la nature tout vit et meurt. Invitée : L'autrice Violaine Bérot. Son roman «Du côté des vivants» est publié chez Buchet-Chastel. Violaine Bérot est née en 1967 dans les Hautes Pyrénées. Après des études de philosophie à l'Université de Toulouse, elle devient ingénieure en informatique. Vers l'âge de 30 ans, elle prend un virage à 180° et devient éleveuse en Ariège. Dans ses livres, elle explore des thèmes intimes et forts : les liens familiaux, la violence, l'inceste, le rapport au corps, le silence, la vie rurale. Son style est épuré. «J'écris en effaçant pour chaque livre qui fera 120 pages, j'écris des milliers de pages et je jette. Je nettoie, j'efface. Je veux que ce soit simple et facilement abordable. J'écris à l'oreille». Programmation musicale : L'artiste Stephan Eicher avec le titre Poussière d'or.
Après Nuits de noces, publié en 2023, Violaine Bérot publie Du côté des vivants, aux éditions Buchet-Chastel. Pour ce douzième roman, l'autrice Violaine Bérot transforme une chambre d'hôpital en un lieu de vie. Dans cette chambre 308, deux patients côte à côte : Greg a failli mourir, il est même revenu d'entre les morts et il y a Alphonse : un vieux paysan au cœur usé, en fin de vie. Tous les deux ont décidé de mourir. Dans cet hôpital, ils croiseront des femmes de ménage, des soignants, des patients. Chacun a sa vie, son existence. Dans ce roman, l'autrice Violaine Bérot a voulu exorciser la mort en se plaçant «du côté de la vie». Elle part du constat qu'il ne faut pas avoir peur de la mort, que celle-ci arrive au bout de la vie. Éleveuse pendant une dizaine d'années, elle a souvent été confrontée à la mort de ses bêtes, elle a beaucoup réfléchi à la question et a une relation apaisée par rapport à la mort quand celle-ci est invisibilisée dans nos sociétés occidentales. On vit dans une société dans laquelle il ne faut pas montrer la mort. Il faut retarder la mort au maximum. On pense allonger notre durée de vie alors qu'on allonge notre durée de maladie. Dans la nature tout vit et meurt. Invitée : L'autrice Violaine Bérot. Son roman «Du côté des vivants» est publié chez Buchet-Chastel. Violaine Bérot est née en 1967 dans les Hautes Pyrénées. Après des études de philosophie à l'Université de Toulouse, elle devient ingénieure en informatique. Vers l'âge de 30 ans, elle prend un virage à 180° et devient éleveuse en Ariège. Dans ses livres, elle explore des thèmes intimes et forts : les liens familiaux, la violence, l'inceste, le rapport au corps, le silence, la vie rurale. Son style est épuré. «J'écris en effaçant pour chaque livre qui fera 120 pages, j'écris des milliers de pages et je jette. Je nettoie, j'efface. Je veux que ce soit simple et facilement abordable. J'écris à l'oreille». Programmation musicale : L'artiste Stephan Eicher avec le titre Poussière d'or.
Septembre arrive avec ses promesses de renouveau et ses résolutions de rentrée. Comme moi, vous avez peut-être passé l'été à vous poser des questions métaphysiques et en particulier, parce que pendant l'été on remet les choses en perspectives : c'est quoi une bonne vie ?J'espère que vous avez passé un bel été rempli de soleil, de repos, de rire et de discussions.En ce qui me concerne, j'ai passé la plupart de mon été à travailler…plutôt comique pour une personne qui prône le ralentissement (quoi ? comment ? « contradiction »…oh si peu…).J'ai ralenti certes mais je ne me suis pas arrêté.Vous comprenez que pour moi particulièrement la question reste : c'est quoi, au fond, une bonne vie ?Car voici LE paradoxe de notre époque : nous n'avons jamais eu autant d'outils pour réfléchir au bonheur, autant de livres de développement personnel, autant de podcasts sur l'épanouissement... et pourtant, nous n'avons jamais semblé aussi perdus sur ce qui constitue réellement une vie bien vécue.Commençons par regarder en face ce que notre société considère comme une vie réussie.La recette est simple et universellement acceptée : accumule de l'argent, du pouvoir et de la notoriété.Marie-toi. Fait des enfants. Coche les cases dans le bon ordre. Poste les photos au bon moment sur Instagram. Souris sur LinkedIn quand tu annonces ta promotion et ne parle pas des renoncements liés. Optimise ta vie comme on optimise un algorithme.Bien sûr chacun d'entre vous se dira dans son for intérieur : « non mais je sais que ce n'est pas ça hein…, je ne suis pas stupide » mais essayez d'être sincère avec vous-même 2 minutes quand même et vous verrez que quand vous pensez à Brad Pitt ou Steve Jobs, vous pensez « succès ».Peu importe que le 1er ait été un grand alcoolique et l'autre un monstre humain.Pour écrire cette newsletter, je me suis beaucoup appuyé sur Arthur Brooks, un professeur à Harvard et spécialiste du bonheur.Il identifie deux grandes catégories de chercheurs de bonheur contemporains qu'il appelle - par commodité mais de façon trompeuse (on va y revenir) - les "Épicuriens" et les "Stoïciens" modernes.Les premiers recherchent instinctivement le bonheur dans le plaisir immédiat et la jouissance - quand ça va mal, ils augmentent leur niveau de plaisir (shopping thérapie, vacances de luxe, expériences toujours plus intenses…)C'est ce que l'on fait quand on favorise son « bien vivre » à son « bien être » par exemple en vivant une vie à 4 000 km heure sans même avoir le temps de voir sa vie défiler sous ses yeux.Les seconds se concentrent sur le sens et le but - face à l'adversité, ils cherchent la signification et la raison d'être. Développement personnel, quête spirituelle, engagement militant.Chacun pense être libre mais la réalité pour la majorité d'entre-nous, c'est que nous sommes fortement conditionnés par nos peurs, notre éducation, notre contexte religieux, nos traumas transgénérationnels….je vous renvoie vers la newsletter sur le désir.Ce que Brooks a découvert dans ses recherches, c'est qu'une vie épanouie nécessite un mélange judicieux des deux approches : le plaisir ET le sens. Mais ce mélange, les vrais philosophes antiques l'avaient déjà théorisé il y a plus de 2 000 ans - et de façon bien plus sophistiquée que nos tentatives modernes.Je crois que dans cette période tumultueuse, c'est quand même pas mal de revenir à la philosophie. Suggestion d'autres épisodes à écouter : [SOLO] Le piège du désir prêt à consommer (https://audmns.com/GzeJqRP) [SOLO] Atrophie sociale : anatomie d'une manipulation de masse (https://audmns.com/UouEwvn) [SOLO] L'amitié : le hack ultime de nos vies (https://audmns.com/IJUeEHp)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En Sierra Leone, le conseil municipal de Freetown est à l'initiative d'un important projet de reforestation urbaine. Baptisé « Freetown the Treetown » – « Freetown la ville des arbres » en français –, il vise la plantation de cinq millions d'arbres dans la capitale sierra-léonaise d'ici 2030, avec l'aide de ses habitants. La grande innovation de ce projet est le suivi numérique de chaque plante enregistrée dans une base de données, avec l'objectif de faciliter, à l'avenir, leur monétisation sur le marché international des crédits carbone. De notre envoyée spéciale à Freetown, Une dizaine de « trackers » courbés au-dessus de la vase prennent en photos les pieds de mangrove qui poussent face à la communauté pauvre de Congo Town. Depuis ce quartier informel bâti sur des remblais de terre et d'ordures, Saibatu Nabie Sandy surveille leur travail de loin : « Nous avons planté cette mangrove en 2022, explique-t-il. D'abord, nous avons planté 40 000 arbustes, puis de nouveau 40 000, donc presque 80 000 arbres ! Les huîtres ou les poissons aiment les mangroves, mais tout avait disparu. Maintenant, comme la mangrove a grandi, on commence juste à les voir revenir ». Porté par le conseil municipal de la capitale sierra-léonaise, le projet de reforestation urbaine de Freetown met l'accent sur le suivi de chaque arbre. Car planter ne suffit pas : il faut savoir combien de plantes survivent.« D'abord, on doit télécharger l'application Treetracker. Chaque arbre a un numéro spécifique pour l'envoi des informations à nos analystes, ce qui permet au conseil municipal de suivre l'évolution des mangroves », poursuit Saibatu Nabie Sandy. 1,2 million d'arbres ont été plantés jusqu'à présent à Freetown : des arbres fruitiers et forestiers, des plantes médicinales et des mangroves. Chacun est géolocalisé et suivi sur plusieurs années par les « trackers », grâce à la collecte de données numériques. À lire aussiComment convaincre les jeunes Africains de se lancer dans l'agriculture ? « Chaque arbre est représenté » Dans les locaux du conseil municipal, Bineta Binia fait partie de l'équipe chargée de vérifier et de valider les données qui remontent du terrain : « On utilise la plateforme Greenstand pour tout enregistrer. Les données sont transférées directement dès qu'un arbre a été tracké dans l'application mobile. Moi, je vérifie les arbres un par un. Il faut que la photo soit nette, qu'on voit les racines dans le sol. Et si ce sont de jeunes pousses, on doit voir leur numéro d'identification. On doit aussi avoir des infos sur le type d'arbre dont il s'agit ». Cette base de données rend le processus transparent et traçable et donc plus attractif pour de potentiels investisseurs sur le marché international des crédits carbone. « Déjà, ces informations servent à instruire les citoyens sur ce projet, expose Ibrahim Kamara, analyste pour « Freetown the Treetown ». Ensuite, cela nous renseigne sur le taux de survie des arbres : c'est important pour pouvoir monétiser tout ça sur le marché des crédits carbone. Les investisseurs auront besoin de connaître la densité de cette forêt urbaine. Sur cette carte interactive, chaque arbre est représenté. » L'objectif de « Freetown the Treetown » est de séquestrer 100 000 tonnes de carbone d'ici à 2030 en restaurant 5 000 hectares, soit environ cinq millions d'arbres plantés. À lire aussiSierra Leone : « Freetown the Treetown », reboiser contre les catastrophes climatiques [1/2]
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment aborder la vie avec sérénité ? Sans perdre d'énergie à vouloir changer ce qui ne dépend pas de nous ? Ilios Kotsou nous propose de consentir au réel avec joie et sans résignation. À travers une méditation guidée et un exercice à vivre au quotidien, il nous invite à dire oui à ce qui est.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Ne pas attendre que les choses soient parfaites pour les aimer."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:10Méditation guidée pour apprendre à dire oui à ce qui est07:08Exercice pour commencer à vivre maintenant, sans attendre.À réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Méditation pour nourrir ce que tu veux voir grandirMéditation pour s'ouvrir à l'inconnu, retrouver l'esprit d'enfanceAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Quand j'écrivais ma série, je me disais : si ça se trouve un jour Julien Neel le verra ». À Libération on a réuni à la même table, Emilie Tronche, la réalisatrice de la série « Samuel » et Julien Neel, l'auteur de la BD « Lou ». Chacun nous dévoile leurs inspirations et leur rapport à l'enfance qu'ils savent si bien retranscrire en images. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment réapprendre à voir sans tout prévoir, à accueillir sans tout comprendre ? Comment renouer avec l'émerveillement de l'enfance ? Ilios Kotsou nous guide dans l'exploration de l'esprit d'enfance, cette manière de percevoir le monde avec curiosité, ouverture et fraîcheur. À travers une méditation guidée et un exercice à vivre au quotidien, nous apprenons à desserrer nos certitudes et à laisser une place à l'inconnu.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Quand on croit tout savoir, tout devient cliché. Quand on regarde avec des yeux neufs, la vie redevient aventure."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:10Méditation guidée pour ouvrir notre perception à ce qui est là, maintenant.07:08Exercice pour pratiquer cet esprit d'enfance dans la vie quotidienne.À réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Méditation pour nourrir ce que tu veux voir grandirAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Jeu concours : remportez une nuit magique dans une cabane avec Coucoo Cabanes > jusqu'au l'épisode du 25 aoûtDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment nourrir ce qui compte vraiment pour nous ? Ilios Kotsou nous invite à explorer ce que nous cultivons en nous chaque jour : peur ou confiance, colère ou paix, rancune ou tendresse. À travers une méditation guidée inspirée de la sagesse amérindienne du « loup que tu nourris », il nous propose de revenir à ce choix intérieur : celui de nourrir ce qui compte vraiment pour nous.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Ce que tu nourris en toi… nourrit aussi le monde autour de toi."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:03Méditation guidée pour nourrir ce qui compte vraiment pour soi06:50Exercice pour le faire au quotidienÀ réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Remportez une nuit magique dans une cabane (2 à 6 personnes) avec Coucoo CabanesDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment être là, vraiment, pour soi et pour les autres ? Comment retrouver une vraie qualité de présence ? Ilios Kotsou nous invite à explorer cette qualité précieuse : être là, vraiment. À travers une méditation et un exercice concret, il nous guide pour cultiver une attention sincère, envers les autres comme envers soi.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Être là, c'est résister à l'impulsion de tout comprendre, tout contrôler. C'est faire confiance à ce qui se tisse dans l'espace partagé."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:06Méditation guidée pour être là, pleinement07:08Exercice pour être présent dans la relationÀ réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Remportez une nuit magique dans une cabane (2 à 6 personnes) avec Coucoo CabanesDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment faire une pause, comment ralentir dans le tourbillon de nos vies ? Ilios Kotsou nous guide à la rencontre de notre refuge intérieur, cet espace intime, réel ou symbolique, où se recentrer et se ressourcer. À travers une visualisation guidée et un exercice simple à pratiquer au quotidien, cette méditation invite à créer une bulle de calme et de présence, accessible à tout moment.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Le refuge, ce n'est pas fuir. C'est se retrouver. Se déposer. Se régénérer, pour mieux revenir au monde."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:20Visualisation guidée : ton lieu ressource08:30Exercice : trouver refuge dans l'instantAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseJeu concours : remportez une nuit magique dans une cabane avec Coucoo Cabanes !Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.