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Pour ce second et dernier épisode consacré à la Nuit des Étoiles du Congo et d'Afrique , L'Interview Street vous propose une émission exceptionnelle en direct, entièrement dédiée à l'échange et à la parole.Autour du micro, plusieurs figures marquantes de la scène urbaine africaine ont pris le temps de se livrer dans des interviews calmes, profondes et sincères : • White N • Donk 1er Toni Rossetto • Dio Mede aka DIOMEDE KING • Glenn • Stookie Williams (pour le débrief final) Chacun d'eux revient sur son parcours, son lien avec la culture congolaise et africaine, ses engagements, ses projets… Une conversation collective riche en émotions, en lucidité et en transmission.Un moment suspendu, au cœur de l'Afrique artistique d'aujourd'hui.
Chats : les secrets de leur comportement et les bons réflexes à adopter. Nous recevons l'éthologue Sarah JeanninTous les samedis à 20h sur France 5, Aurélie Casse et son équipe reçoivent les artistes et les personnalités qui marquent l'actualité.
Cet épisode est une rediffusion de Petit Poisson deviendra Podcast. Avec Combats et Nomen, PPDP est l'un des 4 petits frères de Baleine sous Gravillon. Nous diffusons cette série Céphalopodes du petit frangin chez le grand à l'occasion de la journée mondiale de l'océan, le 8 juin de chaque année._______On connaît tous la Pieuvre, mais qu'en est-il du Nautile ou de l'Argonaute ? La classification des Céphalopodes est pleine de surprises et de tentacules.“Céphalopode” désigne une classe de mollusques marins regroupant les différentes espèces de Poulpes, Seiches, Calmars, Nautiles… Elles sont caractérisées par des bras attachés à la tête, selon l'espèce elles peuvent avoir de 8 à plus de… 90 bras !Saviez-vous que les noms “Pieuvre” et “Poulpe” désignent les mêmes animaux ? C'est Victor Hugo qui a popularisé le terme Pieuvre, en l'utilisant dans son livre Les Travailleurs de la mer paru en 1866. Ce nom était utilisé par des pêcheurs de Guernesey.La classe des Céphalopodes comprend 3 sous classes, les Ammonites (éteintes depuis 66 millions d'années), les Nautiloïdes (les Nautiles) et les Coléoïformes (l'immense majorité). Ces derniers n'ont pas de coquille externe mais certains ont une structure interne rigide. Les Seiches ont un sépion et les Calmars une plume. Enfin les Poulpes n'ont rien de rigide, à part leur bec.Les espèces de ce taxon vivent dans tous les océans du monde et même dans des conditions extrêmes. La Pieuvre dumbo se déplace dans les abysses alors que Vulcanoctopus hydrothermalis vit près des volcans sous-marins.Les Poulpes ont 9 cerveaux ! Chacun de leurs 8 bras contient un système nerveux périphérique.Du Kraken, au sous-marin Nautilus du Capitaine Némo, en passant par la gastronomie, les Céphalopodes nourrissent l'imaginaire et la culture.______
Six mois après son arrivée à Matignon, le Premier ministre entretient une relation de colocation avec président de la République. Chacun avance de son côté, il y a parfois des bonnes ententes comme des problèmes de coordination. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
«Le Conseil présidentiel est-il dysfonctionnel ?», s'interroge Le Nouvelliste. Le CPT n'a tenu que que «deux conseils des ministres en trois mois». Ses membres semblent avoir du mal à travailler ensemble. Dans les colonnes du quotidien haïtien, l'un d'entre eux, Smith Augustin, met en cause le leader du Conseil présidentiel de transition, Fritz Alphonse Jean. «Il n'est pas très aimé de ses collègues. Il n'y a pas de collaboration», explique Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, qui ajoute que les relations au sein du Conseil ont toujours été compliquées. «Depuis le début, il y a des blocs au sein du Conseil et des tiraillements et des dissensions entre eux.» Les membres du CPT ne tiennent pas de conseils des ministres, mais ils voyagent beaucoup ces derniers temps, relève Le Nouvelliste. Des voyages auxquels n'est pourtant pas associé le ministère des Affaires étrangères. «Chacun voyage avec son cabinet et ses conseillers, mais personne du ministère», s'étonne Frantz Duval qui estime que «la diplomatie haïtienne navigue à vue». Le président du Conseil présidentiel de transition est ainsi au Brésil. Il prendra part demain à un sommet de la Caricom consacré à la situation en Haïti, organisé à l'initiative du président Lula. Les Haïtiens «espèrent beaucoup mais attendent peu», commente Frantz Duval pour qui aucune décision forte ne sera prise à Brasilia. «La communauté internationale hésite depuis des années et n'est pas prête à s'impliquer réellement» pour résoudre la crise qui secoue le pays. Donald Trump «politise» l'armée Aux États-Unis, après Los Angeles, Donald Trump pourrait envoyer l'armée dans d'autres villes du pays en cas de manifestations contre sa politique migratoire. «La Maison Blanche de Trump ouvre la porte à un déploiement militaire historique sur le sol américain», titre du Washington Post qui souligne que Donald Trump a durci le ton envers tous les manifestants, même ceux qui protestent pacifiquement. Un langage comparable à celui «utilisé par les autocrates dans des pays étrangers», écrit le quotidien. Intervenir lors de manifestations, mais aussi protéger la frontière avec le Mexique, ce n'est pas vraiment le rôle de l'armée. En demandant à des «militaires entraînés pour se battre à l'étranger de jouer le rôle traditionnellement dévolu à la police locale et à la police aux frontières», Donald Trump teste «les limites légales et politiques», analyse le New York Times. Dans les colonnes du New York Times, des analystes et des militaires à la retraite estiment que le but de Donald Trump, c'est en réalité que les Américains s'habituent à voir des soldats dans les rues, ce qui lui permettrait ensuite d'utiliser «ses pouvoirs de commandant en chef de manière plus agressive pour réprimer tout trouble et toute dissidence». Les détracteurs du président américain s'inquiètent de cette dérive «vers la politisation des forces armées et un autoritarisme rampant». Cette décision d'envoyer l'armée à Los Angeles divise en tout cas les Américains qu'Edward Maille a rencontrés en Géorgie. À écouter aussiÉtats-Unis: les démocrates accusent Donald Trump de «provoquer le chaos» en déployant la Garde nationale Le président du Costa Rica invité de RFI Le sommet des Nations unies sur l'océan, organisé par la France et le Costa Rica, se tient en ce moment à Nice. À cette occasion, le président du pays latino-américain, Rodrigo Chaves Robles a accordé une interview à Raphaël Moran du service Environnement de RFI. Dans cet entretien à retrouver en intégralité sur le site de la radio, il appelle les pays du monde à se mettre d'accord sur un moratoire concernant l'exploitation des eaux profondes que Donald Trump vient d'autoriser, le temps que des études scientifiques soient faites. Rodrigo Chaves Robles ne s'oppose pas, en revanche, à l'exploration d'hydrocarbures dans son pays. À lire aussiCo-président de la Conférence sur l'océan, Rodrigo Chaves Robles ne veut pas «fermer la porte» à l'exploration pétrolière Brian Wilson, cofondateur des Beach Boys est mort Le Los Angeles Times salue un «musicien savant qui a aidé à définir la Californie du Sud». Le New York Times parle d'un visionnaire et revient sur sa carrière en photos. Brian Wilson à la basse, au piano, ou bien encore en train de donner des indications lors de l'enregistrement de Pet Sounds. Le bassiste, chanteur, producteur et compositeur a toujours l'air extrêmement concentré, sérieux. On le voit plus souriant sur les photos choisies par le magazine Rolling Stone pour rendre hommage à «l'architecte de la pop». Brian Wilson, qui avait fondé les Beach Boys, avec ses deux frères, s'était éloigné de la musique dans les années 70. Il souffrait de troubles mentaux et d'addiction à la drogue. Il avait ensuite retrouvé ses instruments, son studio et la scène. À lire aussiBrian Wilson, cofondateur des Beach Boys, est mort Le journal de la 1ère Les premières Assises contre la vie chère s'ouvrent aujourd'hui en Martinique. À écouter aussiFrance: mobilisation à Paris de la diaspora des territoires d'Outre-mer contre la vie chère
L'Asie rassemble aujourd'hui près de 60 % de la population mondiale. Depuis les années 1980 nous entendons que l'Asie devient le nouveau centre du monde. Et depuis deux décennies, les Etats-Unis entendent se tourner davantage vers l'Asie, notamment face à la montée en puissance de la Chine. Chacun a entendu parler de la question de Taiwan, mais il y bien d'autre sujets géopolitiques sensibles dans la zone. Alors, l'Asie est-elle la plus grande zone de fracture du monde ? Pour répondre, nous avons le plaisir de recevoir Pierre-Antoine Donnet, rédacteur en chef d'Asia Magazine.Planisphère est une émission de RND et RCF. Enregistrement le 25/11/2024
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Qu'il parait loin le temps où l'on parlait de cessez-le-feu : hier, la Russie a mené son plus intense bombardement de drones et de missiles sur l'Ukraine, tandis que Kiev annonçait avoir mené une opération de commando à l'intérieur de la Russie. Chacun veut faire "payer" l'autre.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Qu'il parait loin le temps où l'on parlait de cessez-le-feu : hier, la Russie a mené son plus intense bombardement de drones et de missiles sur l'Ukraine, tandis que Kiev annonçait avoir mené une opération de commando à l'intérieur de la Russie. Chacun veut faire "payer" l'autre.
L'équipe célèbre les 13 ans du podcast en discutant de leur ''bucket list'' en dehors du Walt Disney World Resort. Aussi, suite à l'ouverture d'Epic Universe, on s'amuse à imaginer un 5e parc Disney en Floride. Chacun y va de sa proposition.
Au Sénégal, derniers jours pour l'achat du mouton avant la fête de la Tabaski qui sera célébrée samedi 7 juin par la majorité des musulmans du pays. Les vendeurs sont positionnés en bord de route et sur les ronds-points de la capitale en espérant écouler leur cheptel. Les vendeurs optent eux pour différentes stratégies, entre ceux qui s'y sont pris bien à l'avance et ceux qui attendent la dernière minute. De notre correspondante à Dakar,En passant devant les moutons, Abdoulaye Diatta jette un regard rapide. Lui a déjà acheté sa bête, il y a longtemps. « Je l'ai acheté plus d'un mois déjà. Il faut s'y prendre bien avant. C'est ça l'astuce. Parce que c'est moins cher et on a le temps de bien regarder ce que l'on fait », explique-t-il.Si certains de ses compatriotes cherchent le plus gros mouton ou des races prestigieuses comme le ladoum, Abdoulaye a des critères plus simples. « Ce n'est pas l'envergure qui compte, mais ce sont les principes de l'islam. C'est-à-dire qu'il doit correspondre à ce qu'il faut comme mouton pour la Tabaski. Qu'il soit en bonne santé, qu'il ne soit pas trop âgé, qu'il ait les cornes et tout. En fait, que ce soit le mouton parfait », détaille-t-il.Installés depuis plusieurs semaines déjà en bord de route, les vendeurs comme Abdouleye Diène prennent leur mal en patience. Il a une cinquantaine de moutons. « Je les ai élevés chez moi à Yoff. Il y en a d'autres que j'ai achetés pendant le ramadan et que j'ai entretenus durant trois mois pour les revendre pour la fête. Il y a aussi des moutons que j'ai achetés à l'intérieur du pays pour les revendre ici », énumère-t-il.Dans l'enclos d'à côté, Malick n'a pour l'instant vendu aucun de ses 17 moutons. « Les gens n'ont plus d'argent », estime-t-il. Beaucoup d'acheteurs attendent aussi la dernière minute pour acheter leur bête. Ousseynou fait du lèche-vitrine avec son frère, allant de vendeur en vendeur, avec une stratégie déjà bien rodée. « Je suis venu pour observer un petit peu, voir la tendance au niveau des prix. Après, c'est un premier prix. Cela ne veut absolument rien dire. Cela peut baisser parce que le marchandage, c'est dans nos gènes, c'est dans notre culture », raconte-t-il.Ousseynou regarde les moutons avec une fourchette de prix en tête, entre 200 et 225 000 francs CFA, mais il n'est pas pressé. « Je vais attendre la veille. Car je n'ai pas beaucoup d'espace à la maison. Et il me faudrait deux moutons. Cela ne sert à rien de se précipiter », se ravise-t-il. La nuit, la police assure des patrouilles et les vendeurs dormiront auprès de leurs bêtes jusqu'à samedi pour éviter les vols. Au Sénégal, chaque année, plus de 800 000 moutons sont nécessaires pour la Tabaski.À lire aussiEn Afrique, d'où viennent les moutons sacrifiés de la Tabaski?
Le journaliste, écrivain et réalisateur Philippe Labro est mort à 88 ans, a annoncé mercredi son ancienne radio RTL, dont il fut un pilier pendant 15 ans. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Distribution alimentaire : ce que nous apprennent les signaux faiblesLa distribution alimentaire change. Lentement, parfois à bas bruit, mais profondément.À travers douze épisodes du podcast, j'ai échangé avec des dirigeants de grands groupes, de startups, de plateformes logistiques ou d'acteurs de la transition alimentaire. Chacun d'eux a livré une part du puzzle. Et ensemble, leurs paroles dessinent une nouvelle carte du commerce alimentaire en France.Digitalisation, logistique urbaine, maîtrise de la donnée, quête de sens, réinvention de la proximité… autant de mutations qui transforment la façon dont nous produisons, distribuons et consommons l'alimentaire.Dans cet épisode solo, je vous propose une lecture transversale de ces évolutions. Une mise en perspective de ce que les signaux faibles racontent déjà du paysage de demain.Ce n'est pas une synthèse, mais une analyse. Un récit structuré autour de cinq grands axes, enrichi par les paroles de celles et ceux qui font bouger les lignes.Que l'on soit distributeur, industriel, logisticien, startup ou simplement curieux de ces transformations, cet épisode est une invitation à penser le commerce autrement. À décrypter, ensemble, ce que ces mutations impliquent. Et à questionner ce que la distribution alimentaire veut ou devra devenir.
durée : 00:11:51 - L'invité franceinfo soir - Le conseiller de Paris Horizons et candidat à la mairie estime que la ville "a été profondément souillée" après les violences qui sont survenues après le sacre du PSG en Ligue des champions.
La Paracha relate le décompte des Bné Israël dans le désert, à leur sortie d'Égypte et la spécificité de chacune des 12 Tribus. De nos jours, ces tribus n'existent plus mais les Juifs sont tous astreints aux mêmes Mitsvot. Néanmoins, chaque Juif a un rôle particulier, des aptitudes qui lui sont propres afin de mener à bien sa mission dans le monde. Chacun, en fonction de ses capacités, de ses Middot, va servir Hachem de son mieux, et d'une manière unique. Chaque Néchama est reliée au trône céleste et donc la Mitsva de chacun est attendue avec amour dans le ciel…. Nous sommes tous des « soldats d'Hachem » et devons accomplir Ses commandements, tout en faisant preuve de capacité d'adaptation car chaque situation requiert un tant soit peu de discernement pour savoir comment agir au mieux.
Dans cet épisode de podcast, on aborde le thème des ressources personnelles souvent méconnues. Chacun·e possède déjà, grâce à ses expériences professionnelles, personnelles ou ses loisirs, des compétences précieuses pour avancer, changer de voie ou surmonter le sentiment d'illégitimité. À travers leurs propres parcours – Catherine, ex-inspectrice du Trésor public, et Fabien, ancien développeur web – ils montrent comment leurs acquis passés enrichissent aujourd'hui leur pratique de la psychologie.L'épisode propose aussi un exercice concret pour aider les auditeurs à identifier les tâches et compétences mobilisées dans une activité ou un métier, afin de mieux valoriser leurs atouts. Leur message : il n'est pas nécessaire de toujours chercher à se perfectionner ou à devenir quelqu'un d'autre, il s'agit plutôt de reconnaître et d'utiliser ce que l'on possède déjà.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ils sont les acteurs méconnus et pourtant indispensables du quai de pêche de Kayar. Les porteurs de caisses de poissons transportent plusieurs fois dans la journée des dizaines de kilos pour une paie dérisoire. De notre envoyée spéciale de retour de Kayar,Dans le tumulte du quai de pêche, pas pressants, ils font des allers et retours, des caisses remplies de poissons sur la tête. « Quand les pêcheurs reviennent de la mer, nous sommes chargés de sortir le poisson des pirogues pour les emmener soit dans les usines, soit dans les camions frigorifiques ou auprès du propriétaire de la pirogue », explique Modou Poye, tout en guettant l'arrivée d'une pirogue pour offrir ses services.« On se bouscule. Près de 200 personnes effectuent ce travail ici. Donc, il faut être prudent et être respectueux pour ne pas créer des problèmes. Quand on se rue et qu'une autre personne est choisie, je ne fais pas d'histoire, j'attends mon tour. Les caisses peuvent peser 40, 50 jusqu'à 60 kilos, c'est très lourd. »À écouter aussiSénégal : sur le quai de Kayar, des candidats à l'immigration prêts à toutTous ne sont pas patients comme Modou Poye. Il arrive que des bagarres éclatent entre porteurs, surtout quand la pêche n'a pas été fructueuse. Demba Ba erre également sur le quai, sa caisse sous le bras, en attendant de la remplir. « Quand il n'y a pas de poisson, il n'y a pas de travail pour nous et rien pour les dépenses quotidiennes. Chacun veut gagner quelque chose, donc il arrive qu'on se batte entre nous jusqu'à l'intervention des gendarmes. C'est pour ça qu'il faut qu'on soit mieux organisé », estime-t-il.Les porteurs sont payés 500 FCFA la course et pour gagner plus, il faut en faire une dizaine par jour. Le visage dégoulinant de sueur, Saliou Thiaw 52 ans, père de six enfants, vient de déposer une caisse. Il a quitté une autre région pour venir travailler sur ce quai de pêche : « Je fais ce travail depuis 30 ans, c'est très fatigant. Parfois, je gagne 3 000 FCFA, 4 000 ou 5 000 FCFA, ça dépend des jours. Quand on doit nourrir une famille, c'est compliqué. Tout ce que je gagne, c'est pour les besoins quotidiens de ma famille. Chez moi, personne d'autre ne fait ça, parce que c'est très dur. Mais c'est mieux que de voler ou de vendre de la drogue. »Ils aimeraient voir une augmentation du prix de la course, mais les propriétaires des pirogues et les autres acteurs de la pêche restent alignés sur le même montant. En plus de leur paie dérisoire, les porteurs de caisses sont aussi touchés par la diminution des quantités de poissons, car s'il n'y a pas de pêche, ils ne peuvent pas travailler.
Maison Cokoon, c'est le projet de Christophe Parot et Anne Lange, désireux d'offrir des maisons de co-living à tous types de profils. Y'a de l'idée a été visité la maison d'Ixelles, qui, à l'image de celle ouverte à Uccle, offre à chaque locataire "une suite avec une kitchenette et une salle de bain privée". A côté de ça, ils partagent "un grand jardin, une cuisine commune, des repas et de la bienveillance". On y croise des jeunes actifs, des parents solo, des diplomates de passage en quête de simplicité organisationnelle ou encore des seniors en quête d'ancrage et de contacts... tout en gardant leur intimité. Le mot d'ordre : le respect. Preuve en est l'espace que les locataires peuvent privatiser pour inviter leur famille ou leurs amis sans déranger le reste de la maison. Une alternative aux colocations traditionnelles, qui donne un goût de foyer à celles et ceux qui vivent seul.e.s. Et une piste de réflexion, aussi, pour réinventer le vivre-ensemble à tout âge.D'autres projets comme Cohabs ou Ikoab explorent cette voie du logement partagé nouvelle génération. Une tendance qui n'a pas fini de faire parler d'elle…Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
Eric Legrand nous a quitté ce mercredi 22 Mai 2025. Pour tous les fans, vous êtes partis trop vite. Chacun à ses souvenirs rattachés à une œuvre auquel a participé ce grand comédien, de Lady Oscar (André Grandier), par Saint Seiya (Seiya ou Seiyar) et Dragon Ball et Dragon Ball Z ( Yamcha suivi de Végéta).Dans ce podcast, j'ai voulu rattacher un peu maladroitement je l'avoue, les 2 œuvres animé majeurs d'Éric, en mélangeant parfois sa voix et les musiques. Un mixage donc qui n'est pas parfait, mais les thèmes choisit sont ceux qui sont en relation avec ses personnages. Bonne écoute et merci MONSIEUR Legrand. Je garderai notre rencontre et nos discussions dans mon grenier à souvenirs...Yota Ps : certains passages doublés proviennent de pages YouTube dont voici les liens : DBZ Kai VF - Déclaration de Vegeta avec l'OST originale de DBZhttps://www.youtube.com/watch?v=XySjQFBXmsQ L'Audition (avec Éric Legrand)https://youtu.be/0x2yPTbS9Ns?si=hO1b9qadDb4nmRvL SAINT SEIYA - Poseidon la fin d'une bataille [AMV]https://youtu.be/xC45PR4dy_w?si=G35Ag8k9PIrf0hVq Saint Seiya | Le testament d'Aiolos ! VFhttps://youtu.be/LU206fllofc?si=GxrH4FltFqOFR9X6 SAINT SEIYA : Seyar & Pegasus Cloth VF FRENCH FRANCAIS ( Manga / Anime ) HD 1080Phttps://www.youtube.com/watch?v=GnCHa5fFXPA
En 2024, l'autrice Claire Berest suit les audiences du procès des viols de Mazan pour le magazine Paris Match. Dans « La chair des autres », elle livre un récit sur les coulisses de l'affaire et sur une femme, devenue l'emblème du combat féministe. La France découvre cette affaire sordide le 12 septembre 2020.Dominique Pelicot est surpris par le vigile d'un supermarché à filmer sous les jupes de plusieurs clientes à leur insu. L'agent de sécurité appelle la police et le suspect est arrêté. Il est placé en garde à vue, il est relâché, mais l'enquête se poursuit : du matériel informatique est saisi à son domicile. Son inspection révèle des échanges sur un site de rencontres en ligne — fermé en juin 2024 — régulièrement associé à des affaires de mœurs ou criminelles. Dans ces échanges, Dominique Pelicot invitait des inconnus à violer Gisèle Pelicot, sa femme, qu'il avait préalablement droguée à l'aide d'anxiolytiques ou de somnifères… Plus de 20.000 fichiers sont trouvés. Quatre-vingt-douze viols sont dénombrés dans la chambre du couple qui vit à Mazan, dans le sud de la France (Vaucluse) entre juillet 2011 et octobre 2020. Il y aurait 83 violeurs possibles parmi lesquels 54 sont identifiés. Ils sont décrits comme étant des hommes «normaux», âgés entre 22 et 67 ans, de toutes classes sociales.La victime, soumise chimiquement, n'a aucun souvenir de ces viols. Des photos et vidéos de sa fille en sous-vêtements sont également trouvées sur l'ordinateur.Après trois ans d'instruction, le procès s'ouvre le 2 septembre 2024. Il s'achèvera le 19 décembre 2024. Un procès exceptionnel par l'ampleur de cette affaire hors norme qui dépasse le fait divers et qui a sidéré la société française.Dès le début des audiences, la victime, Gisèle Pelicot, refuse le huis clos du procès afin que «la honte change de camp». Elle ouvre le procès au public et à la presse, elle veut en faire «une histoire pour tous». L'affaire a un retentissement international et lève le tabou des violences sexuelles et de la soumission chimique, et Gisèle Pelicot devient une icône du féminisme. Gisèle Pelicot a fait partie des 100 femmes marquantes de l'année 2024. Dans son livre, Claire Berest raconte le procès, mais aussi ce couple fusionnel que formaient Gisèle et Dominique Pelicot, et l'autrice essaye de comprendre. Il fallait que j'écrive plus. Il fallait que je comprenne au sens étymologique : "Comprendre, c'est prendre avec soi. Et c'est beaucoup prendre avec soi : tenter de prendre quelque chose de cette sidération pour en témoigner et aller au-delà." Claire BerestInvitée : Claire Berest, autrice née en 1982. Elle enseigne quelque temps puis démissionne de son poste de professeur de français pour se tourner vers l'écriture. Elle publie son premier roman, Mikado en 2011. «La chair des autres» est publié chez Albin Michel.Programmation musicale : L'artiste Chasseur avec le titre Chacun sa rive.
En 2024, l'autrice Claire Berest suit les audiences du procès des viols de Mazan pour le magazine Paris Match. Dans « La chair des autres », elle livre un récit sur les coulisses de l'affaire et sur une femme, devenue l'emblème du combat féministe. La France découvre cette affaire sordide le 12 septembre 2020.Dominique Pelicot est surpris par le vigile d'un supermarché à filmer sous les jupes de plusieurs clientes à leur insu. L'agent de sécurité appelle la police et le suspect est arrêté. Il est placé en garde à vue, il est relâché, mais l'enquête se poursuit : du matériel informatique est saisi à son domicile. Son inspection révèle des échanges sur un site de rencontres en ligne — fermé en juin 2024 — régulièrement associé à des affaires de mœurs ou criminelles. Dans ces échanges, Dominique Pelicot invitait des inconnus à violer Gisèle Pelicot, sa femme, qu'il avait préalablement droguée à l'aide d'anxiolytiques ou de somnifères… Plus de 20.000 fichiers sont trouvés. Quatre-vingt-douze viols sont dénombrés dans la chambre du couple qui vit à Mazan, dans le sud de la France (Vaucluse) entre juillet 2011 et octobre 2020. Il y aurait 83 violeurs possibles parmi lesquels 54 sont identifiés. Ils sont décrits comme étant des hommes «normaux», âgés entre 22 et 67 ans, de toutes classes sociales.La victime, soumise chimiquement, n'a aucun souvenir de ces viols. Des photos et vidéos de sa fille en sous-vêtements sont également trouvées sur l'ordinateur.Après trois ans d'instruction, le procès s'ouvre le 2 septembre 2024. Il s'achèvera le 19 décembre 2024. Un procès exceptionnel par l'ampleur de cette affaire hors norme qui dépasse le fait divers et qui a sidéré la société française.Dès le début des audiences, la victime, Gisèle Pelicot, refuse le huis clos du procès afin que «la honte change de camp». Elle ouvre le procès au public et à la presse, elle veut en faire «une histoire pour tous». L'affaire a un retentissement international et lève le tabou des violences sexuelles et de la soumission chimique, et Gisèle Pelicot devient une icône du féminisme. Gisèle Pelicot a fait partie des 100 femmes marquantes de l'année 2024. Dans son livre, Claire Berest raconte le procès, mais aussi ce couple fusionnel que formaient Gisèle et Dominique Pelicot, et l'autrice essaye de comprendre. Il fallait que j'écrive plus. Il fallait que je comprenne au sens étymologique : "Comprendre, c'est prendre avec soi. Et c'est beaucoup prendre avec soi : tenter de prendre quelque chose de cette sidération pour en témoigner et aller au-delà." Claire BerestInvitée : Claire Berest, autrice née en 1982. Elle enseigne quelque temps puis démissionne de son poste de professeur de français pour se tourner vers l'écriture. Elle publie son premier roman, Mikado en 2011. «La chair des autres» est publié chez Albin Michel.Programmation musicale : L'artiste Chasseur avec le titre Chacun sa rive.
Obsédés par la source, nous la voyons désormais partout, prétexte à toutes les recherches, à toutes les rencontres. La comédienne et metteuse en scène Cécile Viollet (2'50) nous confie ses sources d'inspiration. Nous cherchons la source des larmes, avec notamment Gus Sauzay et son recueil "Belle course" (10'27). Nous explorons la source des couleurs avec la sculptrice Emilie Frezza (16'30). Dans la basilique de Vezelay, Lorant Hecquet de la librairie L'Or des Étoiles (31'27) nous ouvre des pistes spirituelles et symboliques. Quant au dénouement aussi spectaculaire qu'incroyablement inattendu de cette histoire, il nous est offert par Jean-François, ancien propriétaire de la Tannerie (51'30)
Ce 213e épisode de Pos. Report est consacré à la CIC Normandy Channel Race, dont la 16e édition s'élance le dimanche 25 mai de Caen-Ouistreham, avec trois invités qui seront sur la ligne de départ et ont tous la particularité d'être normands : Guillaume Pirouelle, qui fera équipe avec Cédric Chateau sur Sogestran-Seafrigo, Sophie Faguet, associée à Nicolas Jossier sur Défi Solidaire avec Ellye et l'Arche, et le tenant du titre, Fabien Delahaye, qui sera accompagné sur Legallais par Pierre Leboucher.Chacun revient d'abord sur des derniers mois bien occupés, entre la direction de course du Vendée Globe pour Fabien Delahaye, qui explique que cette expérience lui a permis de voir l'envers du décor d'une telle “machine” ; la Transat Paprec avec Jules Ducelier pour Sophie Faguet, qui revient sur leur abandon à mi-course à bord de Région Normandie ; le Trophée Jules Verne à bord de Sodebo Ultim 3 pour Guillaume Pirouelle, qui raconte une tentative interrompue au bout de 16 jours.Nos trois invités détaillent ensuite comment ils ont repris leur préparation en Class40 en vue de cette saison, une préparation minimale pour Sophie Faguet, puisque sa dernière navigation, avant le convoyage du bateau à Caen, remonte à… la CIC Normandy Channel Race 2024 en septembre dernier. Ils expliquent également à quel point, en tant que Normands, cette course a une importance particulière pour eux et leurs partenaires, et en exposent les particularités, Guillaume Pirouelle la comparant à une “grande étape de Solitaire du Figaro en double en Class40”.Ils finissent par expliquer quels sont leurs objectifs respectifs sur cette CIC Normandy Channel Race, avec des ambitions de victoire pour Fabien Delahaye (qui y participe pour la septième fois, quatre podiums, dont une victoire) et Guillaume Pirouelle (4e l'an dernier), l'envie de retrouver ses repères avec Nicolas Jossier pour Sophie Faguet, en vue du grand rendez-vous de la saison pour tous, la Transat Café L'Or (départ le 26 octobre du Havre).Diffusé le 20 Mai 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après des années d'inflation galopante, les prix se stabilisent enfin. Une bonne nouvelle pour les consommateurs... mais une mauvaise pour les épargnants. Car à partir du 1er août 2025, le taux du Livret A devrait encore baisser significativement, passant probablement de 2,4 % à 1,7 %, selon les projections publiées par Capital.Deux facteurs-clés : inflation et taux interbancairesLe taux du Livret A est calculé deux fois par an, en janvier et en juillet (pour application en février et août), à partir d'une formule reposant sur deux éléments :1. L'inflation moyenne sur les six derniers mois, hors tabac.2. Le taux interbancaire à court terme, qui reflète le niveau des taux de la Banque centrale européenne (BCE).Chacun de ces deux critères compte pour moitié dans la formule officielle.Or, sur le premier semestre 2025, l'inflation moyenne est en chute libre, tombant sous la barre des 1 %. En parallèle, la BCE a déjà procédé à trois baisses consécutives de ses taux directeurs (en février, mars et avril), entraînant dans leur sillage les taux interbancaires à la baisse. Une quatrième baisse est attendue le 6 juin.Ces deux mouvements conjoints indiquent que la formule mathématique donnera un taux autour de 1,7 % au 1er août. Une rémunération divisée par deux en six moisEn février, le Livret A avait déjà vu son taux passer de 3 % à 2,4 %, après 18 mois de gel. Avec une nouvelle baisse de 0,7 point attendue, la rémunération de ce produit d'épargne préféré des Français aura été quasiment divisée par deux en six mois seulement.Ce recul est d'autant plus marquant que le Livret A reste le placement de précaution par excellence, largement utilisé par les ménages modestes pour sécuriser leur épargne.Une intervention politique possible ?Seule lueur d'espoir pour les épargnants : le gouvernement ou le gouverneur de la Banque de France peut, à titre exceptionnel, s'écarter de la formule si les circonstances le justifient. Ce fut le cas récemment pour le Livret d'épargne populaire (LEP), maintenu à 3,5 % en février malgré la baisse des taux théoriques.Rien n'indique pour l'instant que ce levier sera activé pour le Livret A. Si ce n'est pas le cas, les 56 millions de détenteurs de ce produit devront s'habituer à une rémunération bien plus modeste dès cet été. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour
Mon lapin en peluche, cette Minute Marine m'a été soufflée par un post Linkedin de ma copine Victoria. Je te le résume en 2 punchlines (mais le mieux, c'est que tu ailles le lire): “Je ne veux pas grossir” et “À chacun ses ambitions.” Je suis mille fois d'accord avec ce message. Même que je trouve que ce choix-là — celui de rester indépendant·e, de ne pas scaler, de ne pas chercher à “grossir” — demande énormément de force. Quand on entreprend en solo, il faut définir ses propres repères, son propre rythme, ses propres ambitions (en plus de devoir bosser sur nos strat: cibles, besoins, offres...). Et il faut les défendre. Parce qu'autour de nous, les attentes implicites sont encore très fortes : “Tu veux pas embaucher ? monter une vraie structure ? viser plus haut ?” Dans cette Minute Marine, je te parle de cette pression douce mais tenace. Et je te dis pourquoi je crois que l'entrepreneuriat indépendant est tout sauf de la "petite toutouille".. Et toi ? Tu sens que ton modèle est respecté, ou que tu dois encore le justifier ? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
durée : 00:48:10 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles : Luc Tangorre, chacun cherche son Dreyfus, ou l'histoire d'un déni collectif à travers une vraie fausse erreur judiciaire.
Une nouvelle ligne ferroviaire à grande vitesse doit relier d'ici 2029 les villes de Kénitra et Marrakech. Il s'agit d'étendre la liaison entre Tanger et Casablanca inaugurée en 2018. Avec 430 kilomètres de voies, une myriade d'ouvrages d'art et plusieurs gares à construire, le projet est évalué à près de 6 milliards d'euros. Le Maroc, seul pays d'Afrique à exploiter une ligne ferroviaire à grande vitesse à ce jour, compte aussi développer son réseau sur le continent. Développer la grande vitesse ferroviaire dans un pays du Sud, comme le Maroc, c'était un pari fou, une expérience unique dans le monde. « La grande vitesse était au départ un produit pour les pays développés, les pays à revenus très élevés, rappelle lors d'une intervention à la télévision marocaine Mohamed Smouni, le directeur général adjoint de l'ONCF, l'Office national des chemins de fer. Le Maroc a démontré qu'un pays à économie émergente peut prétendre avoir cette technologie de la grande vitesse. Les gens au départ imaginaient que seuls les riches pourraient y avoir accès. Avec la tarification qu'on a faite, on l'a démocratisée pour toutes les populations. Chacun trouve son prix. »Résider à Tanger, travailler à RabatLa LGV Tanger-Casablanca est un succès populaire. À moins de 30 euros le billet, le nombre de voyageurs est passé de 3 millions en 2019 à 5,5 millions l'année dernière. « Le Maroc capitalise sur l'expérience d'Al Boraq [le TGV Casablanca-Tanger, NDLR] qui a bouleversé radicalement la mobilité, observe Mohammed Jadri, économiste et directeur de l'Observatoire de l'action gouvernementale. On n'avait jamais pensé qu'à un moment donné, un jeune Marocain pourrait résider à Tanger et travailler à Rabat, Kénitra ou Casablanca et revenir le soir même à son domicile. Aujourd'hui, c'est le cas. »Répondre à la demande ferroviaire en Afrique de l'OuestL'extension de la LGV promet un trajet Tanger-Marrakech, 500 kilomètres, en 2 h 40 seulement. L'objectif est aussi de créer un écosystème ferroviaire industriel au Maroc. « L'avenir est en Afrique, prédit Mohammed Jadri. Le Maroc se prépare dès aujourd'hui à répondre à la demande de voies ferrées de pas mal de pays africains, surtout les pays de l'Afrique de l'Ouest. »L'ONCF et Alstom ont signé un contrat de 780 millions d'euros pour l'achat de 18 trains à grande vitesse de toute dernière génération. La multinationale française avait déjà fourni les rames de la LGV Tanger-Casablanca. « C'est un partenariat concret, commentait Laurent Saint-Martin, le ministre délégué chargé du Commerce extérieur français, en visite au Maroc le mois dernier. C'est une expertise française qui vient rencontrer une volonté de développement forte dans un pays qui, effectivement, a souhaité ensemble écrire une nouvelle page dans la relation bilatérale. »Les travaux de la LGV devraient être terminés d'ici à quatre ans pour une mise en service fin 2029, six mois avant la Coupe du Monde co-organisée par l'Espagne, le Portugal et le Maroc.À lire aussiAfrique : quel serait l'impact pour l'économie africaine d'un réseau ferroviaire à grande vitesse ?
durée : 00:29:02 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Judith Perrignon, journaliste et écrivaine a publié "Victor Hugo vient de mourir" en 2015, un récit dans lequel elle évoque le lien qu'elle entretient avec Victor Hugo. Entretien 2/3 avec Judith Perrignon. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Judith Perrignon Journaliste et romancière
Plus d'un siècle s'est écoulé depuis le début du mandat britannique sur la Palestine, en 1922. La Palestine est depuis au cœur d'une rivalité entre Juifs et Arabes qui nourrit un conflit sans fin, le plus long conflit contemporain. Un siècle jalonné de guerres terribles et qui est aussi celui d'une histoire palestinienne. Une histoire de dépossession, de lutte, de ségrégation et d'une souveraineté rendue impossible. La question palestinienne demeure l'un des dossiers les plus sensibles et les plus complexes de la scène internationale.Entre exil, occupation, négociations avortées, résistances et divisions internes, les Palestiniens incarnent aujourd'hui l'une des dernières grandes causes nationales sans État. Dans ce contexte de blocage, l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 a constitué un séisme majeur. Elle a révélé la nature criminelle du Hamas et entraîné des représailles massives d'Israël. Le Hamas a agi au mépris de la population gazaouie et les victimes innocentes se comptent en dizaines de milliers de morts.Gaza vit une tragédie humaine sans précédent et le massacre du 7-Octobre a nourri une haine réciproque qui représente aujourd'hui un obstacle majeur à toute résolution pacifique de la question israélo-palestinienne, tant les extrémistes des deux camps se trouvent confortés par la situation actuelle. Chacun semble désormais convaincu que la coexistence est impossible. Regard sur la place de la question palestinienne aujourd'hui dans le monde arabe et dans les équilibres géopolitiques mondiaux. Quel avenir pour les Palestiniens ? Invités : Sabine Jansen, rédactrice en chef de Questions internationales, Professeure de relations internationales au CNAM et chercheuse associée à Paris Cité Henri Laurens, historien, professeur au Collège de France où il occupe la chaire d'histoire contemporaine du monde arabe. Auteur de nombreux ouvrages dont La question de la Palestine en cinq volumes chez Fayard Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des Universités, président de l'IREMMO, Institut de recherche et d'études méditerranée Moyen-Orient.Édition en partenariat avec la revue Questions internationales « Les Palestiniens. Une nation en quête d'État ».
À l'occasion de la Journée mondiale des espèces menacées, le 11 mai, BSG rediffuse cette série consacrées aux 5 grandes extinctions de masse connues par la Terre.Il y a 10 000 ans, 97 % de la biomasse des vertébrés de la Terre était constituée par les animaux sauvages. Aujourd'hui, ils constituent 2 % du même poids total. Les animaux domestiques, dont le bétail, près de 85 %, et les humains 13 %.Bref, il est souvent question de ce constat tragique, un peu partout et toujours sur les ondes et dans nos journaux, à la télé et sur le web. Pour cette série encore, Baleine sous Gravillon propose un pas de côté, une mise en perspective, pour donner un contexte, des éléments de comparaison, de compréhension.Cette série vous présente et vous explique en détails les 5 précédentes grandes extinctions de masse. De fait il n'y en a pas que 5, il y en a eu beaucoup plus dans l'histoire de la vie. Mais il y en a 5 majeures, qui ont éradiqué en peu de temps, sur toute la planète, plus de 75% des espèces, dans les océans et ou sur la Terre ferme.Il y a un avant et un après une GEM. Les fossiles ne sont plus les mêmes avant et après. Après trois épisodes qui vous ont donné le contexte et les outils pour mieux situer chaque grande extinction de masse, nous allons enfin aborder chacun de ces épisodes catastrophiquissimes du passé. Chacun a radicalement changé la donne, rebattu les cartes de la vie…Sylvie Crasquin est paléontologue, spécialiste des microfossiles, et aussi des extinctions de masse._______
À l'occasion de la Journée mondiale des espèces menacées, le 11 mai, BSG rediffuse cette série consacrées aux 5 grandes extinctions de masse connues par la Terre.Cette nouvelle série d'épisodes raconte les 5 grandes extinctions de masse. Vous avez peut être entendu dire que nous serions actuellement dans la 6e extinction de masse, dans ce fameux anthropocène.Les 3 premiers épisodes de cette donnent un contexte, des repères temporels, pour bien comprendre chacune de ses extinctions.Chacun de ces immenses bouleversements du passé ont changé la donne, fait bifurquer la vie, rebattu les cartes. Nous sommes d'ailleurs apparus à la faveur de la dernière, il y a- 66 millions d'année. Le déclin des dinosaures a en effet laissé le champ libre à nos grands pères, les mammifères, qui ressemblaient, à de gros rats timides et bien planqués.Dans ce dernier épisode, en forme d'épilogue, nous tenions à parler des espèces dites, à tort, "espèces reliques", ou encore "fossiles vivants". En fait, il vaut mieux parler de "taxons panchroniques", de familles du Vivant qui ont traversé le temps sans grands changements apparents.Vous en connaissez certains : comme le Requin lutin ou le requin lézard, qui n'ont pratiquement pas changé en 450 millions d'années, c'est aussi le cas des Nautiles, du Coelacanthe, des Libellules, des Blattes, des Séquoia, des Fougères ou du Ginko chez les plantes.Mais connaissez-vous les Limules, les Grenouilles violettes, les Chimères, les Amblypyges, les Priapuliens, les Vampires des abysses, les Crinoïdes ou les Triops ?Pour finir en beauté ce voyage dans le temps, nous allons parler de ces espèces étranges et vénérables, qui paraissent, même si c'est une illusion, avoir traversé le temps.Sylvie Crasquin est paléontologue, spécialiste des microfossiles, et aussi des extinctions de masse. _______
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur la nomination du nouveau Pape Léon XIV, à la suprise générale. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:59 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - La question du partage de l'espace révèle des inégalités d'accès et de visibilité des minorités. C'est pourquoi celles-ci peuvent parfois s'organiser en un espace public "oppositionnel", qui remet en cause l'hégémonie de l'espace public dans sa forme bourgeoise et réinvestit ainsi l'espace commun. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Mai Lequan Professeure de philosophie allemande moderne à l'université Lyon III-Jean Moulin, spécialiste de Kant ; Clotilde Nouët Assistant Professor en philosophie sociale et politique à l'Université Mohammed VI Polytechnique à Rabat au Maroc, et chercheuse associée à l'IRPhiL à l'Université Lyon 3; Alexander Neumann Professeur à l'Université Paris 8 qualifié en sociologie, et membre du comité scientifique du Collège international de philosophie
durée : 00:04:48 - Le Billet politique - par : Stéphane Robert - Une organisation patronale propose de supprimer la CGS. Ce qui permettrait, dit-elle, d'augmenter les salaires de millions de salariés. Cette proposition questionne sur la manière dont on concilie les aspirations individuelles en faveur du pouvoir d'achat et la préservation de notre modèle social.
Au Gondwana le principe d'égalité est très souvent à géométrie variable.
Au Gondwana le principe d'égalité est très souvent à géométrie variable.
Fin mars, l'armée a annoncé avoir « libéré » Khartoum des Forces de soutien rapide, les paramilitaires qui les affrontent depuis deux ans. Les déplacés commencent à rentrer chez eux et découvrent une capitale dévastée, leurs maisons pillées par les FSR. Les paramilitaires qui s'en sont également pris aux monuments historiques de la ville. C'est le cas du musée de la Maison du Khalifa, à Omdurman, dans la banlieue ouest de Khartoum. De notre correspondante à Nairobi de retour de Khartoum,Au milieu des décombres, Jamal Mohammed Zein Alabdeen, directeur de la Maison du Khalifa, ouvre les portes du musée. À l'intérieur, des vitrines brisées et quelques instruments de musique anciens : « Dans cette vitrine, il y avait les épées des combattants d'Al Khalifa. Il y en avait trois ici… et là. Et puis dans cette vitrine-là, il y avait tous les artefacts religieux. Tout a été volé. Cette partie de la ville était aux mains des Forces de soutien rapide et ils ont tout pillé. Quand l'armée a récupéré Khartoum, je suis revenu et j'ai découvert l'ampleur du désastre, ça m'a anéanti. Une tristesse infinie. J'étais responsable de ces objets qui représentent le Soudan. C'est comme si j'avais perdu un enfant. »Abdullah Ibn Mohammed Al Khalifa a régné sur le Soudan avant la colonisation britannique. Il est le chef de l'État mahdiste, dont les frontières s'étendent jusqu'en Éthiopie. Al Khalifa meurt en 1899, dans une bataille contre les troupes anglo-égyptiennes. Sa maison est un trésor du passé. « Ce sont des antiquités, des souvenirs de notre passé et cela nous a demandé beaucoup d'efforts de les retrouver et les collecter, explique le directeur de la Maison du Khalifa. C'est important pour le pays. On ne peut pas donner une valeur financière à ces objets. Chacun d'entre eux est inestimable. Les FSR ont voulu attaquer l'identité soudanaise. Ces objets pourront sans doute se revendre, mais leur valeur, c'est surtout ce qu'ils représentaient dans le cœur des Soudanais. Maintenant, nous allons créer un comité, évaluer les dégâts et reconstruire la maison du Mahdi. »Husham Kidir Ahmed Karar est le directeur des antiquités de la ville de Chendi, au nord de Khartoum. Il prête main forte pour l'inventaire des dégâts : « Il est difficile d'évaluer combien on a perdu. Pour le moment, on collecte ce qu'il nous reste et l'on comparera avec ce que nous avions inventorié. Une fois qu'on aura identifié avec précision nos objets perdus, nous prendrons contact avec toutes les organisations à travers le monde ainsi que les pays avec qui nous entretenons des relations, pour qu'ils nous aident à récupérer nos antiquités. Personne ne pourra nous empêcher de parler de notre identité. Maintenant, on a appris de nos erreurs. La prochaine fois, on se battra. »Le musée national de Khartoum a également été pillé. Les autorités soudanaises entendent solliciter l'Unesco et Interpol pour empêcher le trafic d'antiquités.À lire aussiSoudan: l'enfer pour les habitants de l'île de Tuti [1/3]
Cela fait exactement 100 jours que Donald Trump a signé son retour à la Maison Blanche. Entre déclarations chocs, annonces fracassantes et décrets... de nombreux Centrafricains suivent avec beaucoup d'intérêt la gouvernance du 47e président américain. À Bangui, la capitale, les avis sont contradictoires. Si les uns pensent que Donald Trump représente l'espoir d'un monde nouveau, d'autres y voient des signes du bouleversement de l'ordre mondial. Reportage de notre correspondant à Bangui L'ambiance est à la fois décontractée et studieuse dans la bibliothèque de l'Alliance française de Bangui. Élèves, étudiants et fonctionnaires sont confortablement installés. Parmi eux, Maurice Guimendego. Ce professeur d'histoire géographie est concentré sur un livre intitulé Donald Trump : faiseur de paix ou apôtre du désordre mondial ? : « Donald Trump passe pour une espèce de météorite qui vient s'abattre sur un monde qui déjà marchait claudicant. Au plan intérieur, c'est une véritable désillusion. Pour être protectionniste, il n'y a peut-être pas besoin d'augmenter les taxes d'une manière vertigineuse. Jusqu'à près de 150% pour certains pays, je crois que c'est la Chine. » Au rez-de-chaussée du bâtiment, un groupe de jeunes discutent dans le hall. Chacun donne son avis, mais la centaine de décrets pris par Donald Trump a marqué l'esprit de Moustapha Bouba : « Il a fait un temps record en signant 79 décrets en 40 jours. Il a changé la vision du monde, là où on peut dire le protectionnisme exacerbé de Donald Trump. Ce qui m'a beaucoup touché, c'est par rapport à sa remise en cause de l'engagement des États-Unis envers l'Otan. Il a débuté d'une manière radicale. Espérons peut-être s'il y aura un changement, peut-être... » Le gel de l'aide américaine par Donald Trump a suscité choc et émoi dans le pays. Alors que le dernier rapport du Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies (Ocha) a révélé qu'environ 37% des Centrafricains sont extrêmement vulnérables en 2025, la suspension de cette aide a un impact direct sur la RCA selon Jefferson, un autre jeune Centrafricain : « La République centrafricaine est un pays qui n'est pas développé comme les États-Unis. Avec le blocage de ces aides, ça rend certaines organisations inefficaces. Il y a certaines personnes qui sont maintenant au chômage, et certains ménages en souffrent aussi en République centrafricaine. Les populations vulnérables bénéficient souvent de ces aides-là. » Pour l'historien Maurice Guimendego, la gouvernance actuelle de Donald Trump met du plomb dans l'aile des Occidentaux et donnera la latitude nécessaire aux Brics, un groupe de dix pays dont le Brésil, la Russie, l'Inde ou la Chine pour conquérir le monde : « Si vous prenez la population de l'ensemble des pays qui constituent les Brics, ça constitue quand même près de 60 à 65% de la population mondiale. Les Brics se sont constitués pour contrebalancer les effets trop importants, envahissant, des États-Unis et des autres. » Aujourd'hui, de nombreux Centrafricains demandent l'implication sans failles des États-Unis dans la gestion des crises sécuritaires dans le monde, notamment en République centrafricaine.
Jérôme sur le stage commando de l'OM : "Il a surtout été fait pour que chacun retrouve sa place"
durée : 00:07:20 - Info médias - L'animateur de France 2 célèbre cette semaine le 1000e numéro du jeu "Chacun son tour". Il retrouvera le prime time fin avril avec "Qui restera dans la lumière", avant de participer au retour d'"Intervilles" cet été.
Alors que depuis Vatican II, les messes en français sont la règle dans l'église catholique francophone, plusieurs paroisses continuent à pratiquer la messe tridentine en latin, comme le fait la fraternité sacerdotale Saint-Pierre à Fribourg. Aux yeux des membres de la Fraternité Saint-Pie X d'Ecône, le latin est une langue sacrée, mystérieuse, qui permet un lien direct avec le divin. Reportages de Laurence Difélix Réalisation de Matthieu Ramsauer Production de Raphaële Bouchet
Cette semaine, revivez l'effroyable crash du vol Fuerza Aérea Uruguaya 571. Autrement appelé le drame de la Cordillère des Andes, cet accident aéronautique aura marqué le milieu des années 70. Véritable tragédie humaine, cette catastrophe est aussi une incroyable histoire de survie. Joignez-vous alors à nous pour découvrir cette effroyable épopée. Seuls en enfer Cela fait maintenant 16 jours que le crash du Vol Fuerza Uruguaya 571 s'est produit. Depuis une semaine, un certain ordre semble s'être imposé dans le groupe. Chacun est assigné à des tâches vitales pour leur survie. Tous sont à bout, et le petit groupe décide d'aller dormir. Alors que Roberto, commence à entendre des ronflements, un bruit sourd l'interpelle. Le bruit se fait de plus en plus proche. Et d'un coup, une masse de neige s'engouffre par l'arrière de l'avion, et recouvre l'intérieur du fuselage. Roberto est pétrifié, il ne voit plus rien, la neige les a tous submergé… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [Les oubliées de l'histoire] Valentina Terechkova, la première femme dans l'espace [Les oubliées de l'histoire] Madame de Staël, la femme qui défia Napoléon [Les oubliées de l'histoire] Sophie Scholl, l'héroïne de la Résistance allemande [Les oubliées de l'histoire] Joséphine Baker, du ghetto américain au Panthéon Un podcast Bababam Originals Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam (montage Jean Gabriel Rassat) Voix : Florian Bayoux Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Au Gabon, le scrutin présidentiel de ce samedi 12 avril s'annonce dans le calme, au contraire des élections précédentes, marquées par des crises. En 2016 en particulier, une vague de répression avait suivi l'annonce de la réélection contestée du président déchu Ali Bongo. Aucun bilan clair n'a jamais été établi, mais elle avait fait au moins plusieurs dizaines de morts. À la chute du régime, le 30 août 2023, les familles des victimes avaient exulté et espéré la fin de l'omerta sur le sujet. Jusque-là, le dossier n'a pas été rouvert, et le collectif fondé après le coup d'État s'est mué en association en début d'année pour obtenir des avancées de la part du prochain président. De notre envoyé spécial à Libreville,Chacun a mis un peu de sa poche pour louer un modeste bureau dans le quartier Dragon de Libreville, capitale du Gabon. Sur la bâche de l'association Réconciliation, la trésorière Hortense Mengue Messa montre le corps inerte d'Axel, son petit frère, recouvert d'un drapeau gabonais. « Il a voulu voir ce qui se passait dehors. Il a reçu deux balles. C'était devant la porte. Ils ont eu le temps de retirer le corps et de le cacher dans la maison. Aujourd'hui, je peux vous dire que, pour tous les enfants décédés cette nuit-là, les parents n'ont pas retrouvé le corps », affirme-t-elle avec gravité.Le fils de César Mavioga, Freddy, a reçu deux balles alors qu'il était au portail du domicile familial. Malgré un rapport d'autopsie, la justice a refusé sa plainte. Aucune enquête n'a été menée. Il déplore une situation qui n'évolue pas. « Les militaires ont tiré délibérément sur mon fils qui était chez nous. Il est mort dans la voiture. C'était difficile de l'emmener à l'hôpital, il y avait des barrages partout, se souvient-il avec émotion. Aujourd'hui, il y a l'omerta. Ce sont les militaires qui ont tué. Celui qui détient l'armée, qui est militaire, ne nous a pas reçus. Il sait ce qui s'est passé, il est le chef, donc il a toutes les archives. »Même frustration chez Claudine Aïcha Tsoumbou, qui avait soigné des blessés et témoigné de morts au QG du candidat Jean Ping. Après des années d'exil, elle préside aujourd'hui l'association qui demande la mise en place d'une commission Vérité, justice, réparation et réconciliation. « Du moment où nous avons respecté nos autorités, en allant adresser des courriers aux instances, à la Cour constitutionnelle, au Sénat, à l'Assemblée, à la primature, à la présidence, au Conseil économique et social et même à l'archevêque, et que, jusqu'aujourd'hui, nous avons des compatriotes qui vivent difficilement. On se sent vraiment délaissés. On se sent vraiment abandonnés et c'est frustrant », regrette-t-elle.Brice Clotaire Oligui Nguema a promis que la justice s'occuperait de l'affaire une fois la transition terminée. « Ceux qui attendent la vérité sur les parents disparus doivent l'avoir. Ceux qui la détiennent doivent pouvoir la partager », assure Laurence Ndong, ministre de la Communication et porte-parole du candidat à la présidentielle Brice Clotaire Oligui Nguema. Son principal adversaire, Alain-Claude Bilie-By-Nze, a repris l'idée d'une commission, mais les victimes s'interrogent sur la sincérité de celui qui était alors le porte-parole du gouvernement.À lire aussiPrésidentielle au Gabon: Oligui Nguema clôture sa campagne dans le nord, les observateurs internationaux se préparent à Libreville
durée : 00:47:21 - La 20e heure - par : Eva Bester - Adèle Yon est chercheuse en études cinématographiques et cheffe cuisinière. Son premier ouvrage, "Mon vrai nom est Elisabeth", est paru en février. Elle y réhabilite le souvenir de son arrière-grand-mère, Elisabeth, lobotomisée et enfermée durant 17 ans en institution psychiatrique.
Les nouveaux droits de douane instaurés par Donald Trump ont généré un vent de panique à travers le monde. Chacun cherche à présent à définir la riposte la plus adaptée. En France, c'est l'inéligibilité de Marine le Pen, à effet immédiat qui fait parler. Le parti va devoir redéfinir sa stratégie pour la présidentielle. En Birmanie, une semaine après le violent séisme qui a frappé la région, le pays peine à apporter l'aide nécessaire aux populations et la situation sécuritaire est très instable.
Histoire 1 : Le dernier passageLa nuit était froide sur cette ville. Une brume légère flottait au-dessus du pavé humide, donnant aux rues désertes une allure irréelle. Les enseignes des magasins, éteintes pour la plupart, jetaient de vagues reflets tremblotants sur les vitrines. Tout était calme. Trop calme.Un adolescent de 16 ans avançait à pas feutrés, le regard rivé sur la devanture d'un commerce qu'il convoitait. Le silence amplifiait le bruit de son souffle précipité, l'adrénaline courant dans ses veines. Peut-être était-ce un défi lancé par des amis, ou simplement une envie irréfléchie de braver l'interdit.La porte du magasin semblait légèrement entrouverte, une invitation silencieuse, un passage qu'il crut pouvoir emprunter. Il s'approcha, inspecta l'ouverture. Trop étroite. Mais il était jeune, agile. Il prit une grande inspiration et s'y glissa, se contorsionnant avec précaution.D'un coup, un bruit sec. Le métal se referma contre lui comme un piège qui se referme sur sa proie. Une pression soudaine enserra son corps, lui coupant le souffle. Il se débattit, cherchant à dégager ses bras, à se libérer. Mais plus il bougeait, plus l'emprise se resserrait. Son souffle devint erratique, ses battements de cœur résonnaient dans ses tempes. Il tenta d'appeler à l'aide, mais seul un gémissement étranglé s'échappa de sa gorge.Histoire 2 : Le dernier voyageLes halls de l'aéroport bruissaient d'une agitation incessante. Valises qui roulaient, voix mêlées dans un chaos organisé, odeur de café et d'air conditionné. Chacun pressé, chacun concentré sur sa destination.Au milieu de cette effervescence, une femme attendait, les mains crispées sur la laisse de son petit chien. L'animal, un bâtard aux grands yeux sombres, frétillait doucement, insouciant du drame qui se jouait. Son regard montait parfois vers sa maîtresse, cherchant du réconfort dans cette foule oppressante.Enfin, son tour arriva. La femme tendit ses documents à l'agent d'embarquement, impatiente. Un froncement de sourcils. Un hochement de tête négatif. « Désolé, madame, vous n'avez pas les papiers requis pour voyager avec votre animal. Il ne peut pas embarquer. »Un silence tendu. Elle ouvrit la bouche pour protester, puis la referma. Son regard se durcit. Elle jeta un coup d'œil à l'horloge. L'avion allait partir.Elle tourna brusquement les talons, serrant la laisse plus fort. Elle marchait vite, déterminée, s'enfonçant dans un couloir déserté. Là, une porte s'ouvrait sur les toilettes. Elle y entra précipitamment, son cœur battant à tout rompre.Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.