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[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment être là, vraiment, pour soi et pour les autres ? Comment retrouver une vraie qualité de présence ? Ilios Kotsou nous invite à explorer cette qualité précieuse : être là, vraiment. À travers une méditation et un exercice concret, il nous guide pour cultiver une attention sincère, envers les autres comme envers soi.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Être là, c'est résister à l'impulsion de tout comprendre, tout contrôler. C'est faire confiance à ce qui se tisse dans l'espace partagé."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:06Méditation guidée pour être là, pleinement07:08Exercice pour être présent dans la relationÀ réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Remportez une nuit magique dans une cabane (2 à 6 personnes) avec Coucoo CabanesDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
REDIFF - Alice est mariée avec un homme qui a deux enfants adolescents. Chacun souffre d'un trouble. D'habitude, ils viennent leur rendre visite durant les vacances. Mais ça n'a pas été le cas cet été. Alice est très attachée à ces enfants et se pose la question de leur distance. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Brrrrr... C'est Halloween ! Une fête excitante pour les grands et les petits. Chacun va de porte en porte, dans le noir, pour frissonner et parfois recevoir une friandise. Et les citrouilles ? Uitgegeven door Moon Tunes B.V. Spreker: Loulou en Lou
durée : 00:41:40 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2010, Edouard Glissant publiait "10 Mai, mémoire de la traite négrière, de l'esclavage et de leurs abolitions" et une anthologie de la poésie du Tout-monde. Il était invité dans l'émission "Du jour au lendemain". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Édouard Glissant Écrivain, poète et philosophe
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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« Il faut aller à la palabre africaine », disent les évêques de Côte d'Ivoire, après l'exclusion de plusieurs personnalités de l'opposition de la présidentielle du 25 octobre prochain. Dans une lettre pastorale publiée il y a une semaine, la Conférence des évêques de Côte d'Ivoire appelle à une élection « juste et inclusive », à laquelle, outre le président sortant Alassane Ouattara, qui a déclaré sa candidature ce 29 juillet, ses principaux opposants pourraient, eux aussi, se présenter. Mgr Jacques Ahiwa répond aux questions de Christophe Boisbouvier depuis son archevêché de Bouaké. RFI : À trois mois de l'élection présidentielle, vous venez de publier une lettre pastorale dans laquelle vous ne cachez pas votre inquiétude. Pourquoi ? Mgr Jacques Ahiwa : Parce que nous sommes des pasteurs. Nous avons les quinze diocèses de Côte d'Ivoire. Nous sommes au contact des populations. Et ce sont un peu les craintes de ces populations que nous avons essayé d'analyser, de prendre en compte non seulement dans nos prières, mais aussi dans nos analyses pour apporter quelques éléments de réponse et surtout de propositions pour apaiser, aider à apaiser ces craintes-là. Et quelles sont ces craintes ? Les craintes, c'est la peur d'une élection émaillée de violence. Nous savons depuis un certain temps que chaque fois que, les élections sont annoncées, les populations ont la peur au ventre. Et donc ça nous remonte. Tout le monde nous dit "priez, priez pour nous, faites quelque chose". Et ce que nous pouvons faire, effectivement, en tant que pasteur, c'est de prier et puis d'apporter notre contribution à la construction, à la préservation de la paix. Monseigneur Jacques Ahiwa, dans votre lettre pastorale, il y a une semaine, vous appelez à une élection « juste et inclusive », est-ce à dire que pour l'instant ces deux conditions ne vous paraissent pas réunies ? De ce qui revient des différents états-majors, je parle des groupements politiques de la société ivoirienne, nous constatons que, jusqu'à présent, il y a des dinosaures, comme on dit, de la politique ivoirienne qui ne figurent pas sur la liste électorale. Et cela crée beaucoup de tensions. Chacun fait valoir ses arguments et cela crée beaucoup de crispations dans la population. Donc en termes d'inclusion, pour l'instant, je pense que nous n'y sommes pas encore arrivés. Il y a encore du travail à faire pour que cette élection soit la plus large possible. Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Charles Blé Goudé… Plusieurs dinosaures, comme vous dites, n'ont pas le droit de se présenter, car les autorités affirment qu'elles ne sont pas éligibles au regard de la loi ivoirienne. Quelle est la position de la conférence épiscopale à ce sujet ? La position de la conférence, elle porte sur la loi, sur la loi fondamentale. Nous avons fait notre analyse sur la base de la loi, mais aussi de l'environnement. Ceux qui estiment qu'ils ne sont pas éligibles ont les éléments pour argumenter. Mais nous, en tant qu'acteur aussi de la vie sociale, en regardant ce qui se passe, en analysant les crispations, parce que chacun fait valoir ses arguments, on aurait souhaité que les discussions se poursuivent pour voir dans quelle mesure cette exclusion ou bien ce manque qui pourrait permettre à ces candidats de compétir puisse trouver des solutions. Concernant l'éligibilité de ces opposants, et c'est toujours dans votre lettre épiscopale, vous appelez à concilier le respect du droit et le bon sens politique. Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Nous voulons dire que, quand les lois ne permettent pas de préserver la cohésion, il faut peut-être aller à la palabre africaine. La palabre africaine, c'est quand il y a un problème presque insoluble, on active des leviers, des mécanismes pour entendre tout le monde et résoudre la question. D'autant plus que, depuis un certain temps, depuis 2010, la Côte d'Ivoire a quelques fois eu recours à ce genre de procédé. Et nous le disons très bien dans notre lettre que ce n'est pas nouveau que les acteurs de la vie politique puissent s'asseoir autour de la même table au niveau de l'élection présidentielle pour trouver des solutions. On parle même d'arrangements politiques. C'est ce que nous appelons le bon sens politique au regard des crispations, au regard de toutes les plaintes et de tout ce qui est susceptible de créer des désordres jusqu'à mort d'homme. Vous le savez très bien, les dernières élections étaient émaillées de pas mal de violence. Pour éviter tout cela, nous en appelons au bon sens politique qui consiste à s'asseoir autour de la même table et à trouver les solutions pour résoudre définitivement cette question de l'éligibilité. Est-ce que vous faites référence à l'accord politique conclu sous l'égide du président sud-africain, Thabo Mbeki, afin que Monsieur Alassane Ouattara puisse être candidat en 2010 ? Oui, nous l'avons dit dans la lettre aussi, c'est très clairement signifié. Nous parlons des accords issus des négociations de la crise de 2002, qui ont permis à tous les candidats de se présenter, au point qu'en 2010, les élections ont connu quand même un engouement assez fort. Quand il y a contradiction entre le respect du droit et le bon sens politique, qu'est-ce qui doit primer à vos yeux ? C'est la sagesse africaine, la préservation de la paix. Il n'y a pas de sacrifice de trop pour préserver la paix. Si vraiment il faut mettre entre parenthèses, dans un premier temps, le droit pour sauver les vies humaines, je pense que le choix est clair. Il faut sauver d'abord les vies humaines et après trouver vraiment les meilleurs mécanismes pour écrire des lois consensuelles qui pourront être acceptées par tous. Alors ce que disent les autorités ivoiriennes, c'est que, si elles n'appliquent pas le droit de façon stricte et rigoureuse, elles risqueront ensuite d'être accusées d'autoriser les passe-droits. Oui, ça, c'est vrai. C'est ce qu'on a toujours dit. Mais vous le savez très bien, depuis toujours, la loi, elle a été la loi et c'est face à la rigueur de la loi qu'on a toujours sollicité des médiations hors loi pour régler des crises. Il se trouve que nous sommes pratiquement dans les mêmes situations de crise qu'auparavant. Alors, je pense qu'il vaut mieux, pour sauver des vies. Nous, notre objectif, c'est cela : comment préserver la paix ? Comment faire en sorte que chaque ivoirien, chaque habitant de ce pays puisse aller et venir sans crainte en temps d'élection comme en temps de non élection. Que chacun puisse vaquer normalement à ses occupations et que les élections ne soient pas sources de crainte, de peur et surtout de violence en Côte d'Ivoire. La vie de l'homme est plus que tout. La vie est sacrée et nous, évêques de Côte d'Ivoire, nous sommes au service de la vie. Et nous sommes les veilleurs pour que tout soit mis en œuvre, même s'il faut mettre entre parenthèses pour un moment la loi pour que la vie soit sauvée, il faut le faire. Ce ne sera pas la première fois et ce ne sera pas le premier cas de figure dans le monde entier. Et puis, dans votre lettre pastorale, Mgr Jacques Ahiwa, vous dénoncez, je cite, l'amateurisme de l'administration électorale. Faut-il à vos yeux remplacer la CEI, la Commission électorale indépendante, par autre chose ? La CEI dans sa configuration actuelle est assez critiquée par les différents acteurs de la vie politique et sociale en Côte d'Ivoire. Il y a donc un travail à faire pour avoir une CEI, d'autant plus qu'elle est permanente, une CEI qui puisse être acceptée par tous pour que les règles qu'elle dicte soient reçues et bien mises en œuvre. Je pense qu'on va y arriver, mais pour l'instant, telles que les choses se présentent, la CEI, quand on la regarde, elle est un peu déséquilibrée. Et donc, il y a ce travail d'équilibrage pour qu'elle soit la plus consensuelle possible.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
Le plus vieil arbre au monde, et l'un des plus grands êtres vivants de la planète, pousse aux États-Unis. Un peuplier faux-tremble qui se développe depuis 80 000 ans par reproduction végétative. (1ʳᵉ diffusion le 1/12/2024) Un grondement, des craquements… C'est un son qu'on n'avait jamais entendu : les vibrations des racines et des millions de feuilles d'un arbre, enregistrées par l'artiste américain Jeff Rice, grâce à un micro posé dans la terre, sur une racine. Et ce n'est pas n'importe quel arbre : Pando, le nom qu'on a donné à un peuplier faux-tremble qui pousse dans l'Utah, aux États-Unis. Un arbre qui est aussi une forêt. Une colonie de clones Plus de 40 000 troncs émergent sur 43 hectares, tous issus d'un seul arbre, grâce à la reproduction végétative, quand l'arbre produit ses propres clones par drageonnage. « La plante peut émettre, à partir des racines, des prolongations qui émergent du sol et font une nouvelle plante, tout à fait similaire aux précédentes, puisque c'est le même patrimoine génétique, explique André-Jean Guérin, le coauteur d'un livre dont Pando est le narrateur, Des forêts, des arbres et des hommes (éditions EDP sciences). C'est comme cela qu'un individu comme Pando peut arriver à démultiplier le nombre de ses représentants, en quelque sorte. Chacun des arbres, en réalité, ne vit pas forcément très longtemps, 100 ou 150 ans maximum. Mais au total, cette colonie dure, paraît-il, depuis 80 000 ans. » À lire aussiCOP16: ce que la biodiversité (r)apporte à l'humanité Menacé par les cervidés Pando est ainsi le plus vieil arbre au monde. Mais pas forcément immortel, menacé par l'affluence des touristes, qui piétinent le sol et empêchent l'émergence de nouveaux drageons. Menacé surtout par des prédateurs. « Les grands mammifères herbivores sauvages boulottent les jeunes troncs de Pando, parce que les grands prédateurs carnivores ont été écartés de sa proximité. Lorsque Pando était plus jeune, il y avait encore des tigres à dents de sabre, un redoutable prédateur carnivore qui faisait fuir les cerfs, les rennes et les autres animaux qui pouvaient s'en prendre aux jeunes pousses de Pando, raconte André-Jean Guérin. Aujourd'hui, ils n'y sont plus, donc les avis autorisés qui ont étudié Pando considèrent qu'il est plutôt sous la menace et plutôt dans une phase de fin de vie. Mais ça peut durer encore des milliers d'années, bien plus que nous ! » Contrairement, à nous, humains, Pando n'a besoin de personne pour se reproduire.
[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment faire une pause, comment ralentir dans le tourbillon de nos vies ? Ilios Kotsou nous guide à la rencontre de notre refuge intérieur, cet espace intime, réel ou symbolique, où se recentrer et se ressourcer. À travers une visualisation guidée et un exercice simple à pratiquer au quotidien, cette méditation invite à créer une bulle de calme et de présence, accessible à tout moment.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Le refuge, ce n'est pas fuir. C'est se retrouver. Se déposer. Se régénérer, pour mieux revenir au monde."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:20Visualisation guidée : ton lieu ressource08:30Exercice : trouver refuge dans l'instantAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseJeu concours : remportez une nuit magique dans une cabane avec Coucoo Cabanes !Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
durée : 00:02:09 - Le grand format - La plateforme du ministère de l'Intérieur Ma sécurité.fr cartonne. Chacun peut y signaler des rodéos urbains, de la maltraitance animale ou encore des points de deals. Elle a enregistré quatre millions de connexions depuis le début de l'année, contre six millions sur toute l'année dernière. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Rencontre impromptue avec Pablo Servigne. Il nous parle de notre peur de nos peurs. Dans son livre Le Pouvoir du Suricate (mai 2024), il nous explique que nous n'avons toujours pas compris à quoi servait la peur.Peur de l'avenir, peur de l'échec ou du conflit, stress, éco-anxiété, angoisse existentielle… la peur est partout dans nos vies. Chacun de nous l'ignore, la fuit, la combat... ou la noie dans les médocs, l'alcool, ou les conneries.Lourde erreur selon Pablo ! Car la peur est d'abord énergie. Elle protège, stimule et mobilise. Elle existe pour sinon nous sauver, au moins nous aider ! C'est une alliée.Pour nous l'expliquer, pablo et son co-auteur ont recours à la métaphore du Suricate – le Timon de Roi Lion. Apprivoiser nos peurs, c'est retrouver le chemin de la joie, du sens et des liens.Donc de la liberté et de la sérénité.___Pablo Servigne est biologiste. il a sensibilisé sur la collapsologie à travers deux best-sellers : Comment tout peut s'effondrer (Seuil, 2015), et Une autre fin du monde est possible (Seuil, 2018). Il a fait flipper tout le monde ! Heureusement il a aussi écrit L'Entraide, l'autre loi de la jungle (LLL, 2017).___
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Le 21 juillet 2025, plusieurs chefs d'États de gauche se sont réunis à Santiago au Chili au nom de la démocratie, face à une montée croissante de l'extrême droite partout dans le monde. Un reportage de Naïla Derroisné. Les chefs d'États du Chili, de la Colombie, de l'Uruguay, du Brésil et d'Espagne étaient présents à Santiago pour défendre la démocratie, renforcer le multilatéralisme, combattre la désinformation et pour plus de justice sociale. Chacun leur tour, ils ont fait une déclaration sur les ambitions de leurs pays et de ce groupe de travail pour sauver la démocratie. « Le chemin vers la conquête de la démocratie et de la liberté a été long », a rappelé le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva. Plusieurs solutions pour renforcer les institutions démocratiques ont été discutées. L'Église haïtienne hausse le ton face à la violence des gangs Frantz Duval, le rédacteur en chef du journal haïtien Le Nouvelliste était en direct sur RFI. Il est revenu sur la Une du jour. Le journal a choisi de parler de la prise de position de la conférence des évêques haïtiens qui dénoncent la barbarie des gangs et l'inaction de l'État. « L'Église catholique sort de son silence pour exprimer les préoccupations partagées par les Haïtiens », note le rédacteur en chef. Les affrontements armés sont très fréquents dans le pays, le 24 juillet trois policiers ont été tués par des gangs dans le pays, un schéma « qui se répète trop souvent », note Frantz Duval. Au Canada, des groupes de militants fascistes s'entraînent au combat Dans un article publié par le média anglophone CBC News, on découvre que dans des parcs publics, des gymnases ou des centres d'arts martiaux au Canada, des suprémacistes blancs se préparent à la violence, en toute discrétion. Le travail de la rédaction est précis et colossal. Pendant deux mois, les journalistes ont identifié les lieux dans lesquels les « groupes actifs », ces groupes secrets de combat, bien connus dans la communauté nationaliste, se réunissent et recrutent d'autres membres. CBC a épluché des centaines de comptes Instagram, Facebook, analysé des milliers de captures d'écran. Le but : trouver des indices à partir de publications anonymes de ces hommes. Recouper des informations pour identifier des lieux, des visages... Parmi eux, il y a par exemple celui qui se fait appeler Primo, qui s'entraîne dans une salle de jiujitsu, et qui publie des messages comme : « Rendre le Canada blanc à nouveau » sur son Twitter, le soir en rentrant chez lui. L'enquête a permis d'identifier Primo et d'autres suprémacistes blancs. Désormais, on sait où ils s'entraînent, où ils se réunissent. Mais le journal CBCNews précise que c'est un phénomène qui va au-delà des frontières du Canada : il y aurait aujourd'hui 187 clubs actifs dans 27 pays. Aux États-Unis, un accord financier de 221 millions de dollars a été signé entre Donald Trump et l'Université Columbia Cet accord, c'est un « deal historique », titre le quotidien très conservateur et pro-Trump, le New York Post. Sur la Une du journal, il y a une image de plusieurs étudiants cagoulés, et puis cette phrase : « une amende de 200 millions de dollars pour discrimination et non-protection des étudiants juifs ». 200 millions de dollars, c'est bien cette somme astronomique que l'établissement a accepté de verser, hier, à l'État fédéral américain. En échange, il promet un retour des subventions et la fin des pressions menées par l'administration Trump. Elles se sont multipliées depuis le début des manifestations contre les massacres à Gaza, sur le campus, que Donald Trump a taxé d'antisémites. Dans le pays, ce compromis à été vivement critiqué. Le journal étudiant de l'université, le Spectator, évoque les frustrations face à la capitulation de la directrice de l'établissement, Claire Shipman, et lui donne la parole. « Cet accord est conforme à nos valeurs et ne franchit pas les lignes rouges que nous avons définies », assure-t-elle. Dans un autre quotidien, le New York Times, Suresh Naidu, un professeur d'économie à Columbia, n'y croit pas. « Pensons-nous vraiment que cet arrangement destructeur empêchera l'administration Trump d'arrêter à nouveau de financer la recherche ? » questionne-t-il. L'enseignant évoque les fausses promesses de Donald Trump lors de son dernier mandat et son imprévisibilité. En Colombie, une condamnation historique Le service investigation du média colombien El Tiempo a suivi de très près ce procès contre d'anciens dirigeants de la multinationale Chiquita. Une grosse entreprise américaine spécialisée dans la production de bananes. Hier, sept anciens patrons ont été condamnés à onze ans de prison pour avoir financé, via l'entreprise, un groupe paramilitaire d'extrême droite, responsable de plusieurs crimes contre les guérillas de gauche en Colombie dans les années 90. L'une des périodes de la guerre civile dans le pays, qui a fait des millions de morts. La radio colombienne Caracol salue « une décision clé ». Et une vraie étape de franchie dans l'une des affaires les plus emblématiques de financement des groupes paramilitaires en Colombie. Journal de la 1re Des bandes de plus en plus épaisses de sargasses s'échouent sur les côtes de la Guadeloupe. Ce sont des algues brunes toxiques et dangereuses pour la santé. La population est contrainte de s'éloigner du littoral.
Les aventures des Chevaliers de la Table Ronde gravitent rapidement autour de la quête du Graal. Chacun trouve sa signification au fil de son parcours initiatique, mais ce qui est certain, c'est que cette quête est un moteur efficace pour l'histoire, avec ses créatures extraordinaires, ses troubles métaphysiques et sa magie. Emanuele Arioli s'est lancé dans une longue quête des manuscrits de la Table Ronde, de l'Angleterre à l'Italie en passant par Paris. Avec : Emanuele Arioli (acteur, auteur et médiéviste), Alain Corbellari (professeur associé de littérature française médiévale).
durée : 00:23:35 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Claude Bringuier - Avec Jean Lafforgue (paysan) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:25:07 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Claude Bringuier - Avec Jean Lafforgue (paysan) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:23:40 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Claude Bringuier - Avec Jean Lafforgue (paysan) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Dieu choisit souvent les candidats les plus improbables pour une tâche. En agissant ainsi, il montre que sa grâce et sa puissance sont capables de transformer un être. Chacun de nous a une destinée, et nous n'avons absolument aucune excuse pour ne pas l'accomplir. Nous ne pouvons pas prendre prétexte de notre faiblesse, car Dieu dit que c'est dans la faiblesse que sa puissance donne toute sa mesure (voir 2 Corinthiens 12:9). Notre passé n'est pas non plus une excuse, car Dieu nous dit que ce qui est ancien a disparu et que toutes choses sont devenues nouvelles (voir 2 Corinthiens 5:17). Le problème, ce n'est pas comment Dieu nous voit ; c'est souvent l'image que nous avons de nous-mêmes qui nous empêche de réussir. Si vous apprenez à vous voir comme Dieu vous voit, en étant reconnaissant pour sa puissance transformatrice, rien ne pourra vous empêcher de réaliser ses projets pour vous. Dieu vous a recréé à son image et vous a fait naître à une vie entièrement nouvelle. Votre destinée vous attend– il suffit de vous en emparer ! Merci, Père, parce que tu as choisi les choses faibles du monde pour confondre les sages. Merci parce que je n'ai aucune excuse pour ne pas accomplir ma destinée en toi. Ma vie t'appartient ; agis en moi et par moi comme tu le désires. — Êtes-vous prêt à aller plus loin ?
Inondations, érosions, glissements de terrains, rétractation et gonflement des sols argileux, les conséquences directes du dérèglement climatique sur notre habitat sont nombreuses et parfois irréversibles. Pour autant, des solutions techniques existent pour prévenir ou réparer. Chacun peut aujourd'hui diagnostiquer son exposition aux risques naturels pour adopter les bons comportements et activer les dispositifs de prévention parfois très simples et d'autres très innovants. Dans ce 6ème épisode, Mamad explore ces solutions avec ses deux invités : Simon Blaquière, directeur du Generali Climate Lab et Didier Richert, directeur général de Solinjection. Bon vol ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce n'est pas une retraite de méditationC'est une dégringolade lucide dans la réalité.J'ai voyagé vers Calais comme on part en quête de quelque chose qu'on ne saura jamais nommer.Pas pour sauver. Pas pour comprendre.Mais pour être là, vraiment là, au milieu du vent, de la pluie, des regards fatigués et des silences qui disent tout
Des dizaines de personnes sont toujours portées disparues au Texas. Les importantes inondations qui ont touché cet État du sud des États-Unis ont déjà fait au moins 82 morts, dont 28 enfants. Face à des pluies abondantes, le fleuve Guadalupe s'est transformé en torrent meurtrier en moins d'une heure. Une colonie de vacances a notamment été inondée. Dix jeunes filles et une monitrice figurent parmi les personnes encore recherchées. Le journal local Houston Chronicle publie d'ores et déjà les photos de personnes décédées et de celles recherchées. Notamment deux sœurs mortes agrippées l'une à l'autre. Face à la violence du drame, les médias se posent aussi des questions sur les responsables. Pourquoi n'y a-t-il pas eu d'évacuation alors que les autorités locales ont reçu des alertes 24 à 48h avant le drame ? CBS News Texas a notamment tenté de poser la question hier (6 juillet 2025) lors d'une conférence de presse locale de Kerr : « C'est une bonne question mais nous nous concentrons pour l'instant sur les recherches pour sauver 11 jeunes filles toujours disparues », répond le sheriff. Le journaliste de CBS News décrit une conférence de presse brusquement écourtée. C'est à cette question que le Houston Chronicle consacre son éditorial. « Il est bien sûr impossible de prévoir des inondations plusieurs jours en avance. Mais jeudi à une heure de l'après-midi, le service de météorologie nationale avait suffisamment d'informations pour lancer une veille sur les inondations. Ils ont finalement diffusé une alerte 12h plus tard à 1h du matin le vendredi. Des alertes au niveau local auraient dû être déclenchées automatiquement. Ces alertes n'ont été diffusées que 4h avant la catastrophe qui a surpris les habitants vers 7h du matin vendredi. « Les autorités du Texas ont-elles fait suffisamment pour éviter les dégâts causés par les inondations ? », questionne la Une du Dallas Morning News aujourd'hui. Plus précisément : les suppressions d'emplois fédéraux menées par l'administration Trump ont-ils entravé le service de météorologie publique. Les autorités locales et nationales ont pointé du doigt le manque d'alerte des météorologistes. Mais, ces derniers affirment que les autorités avaient reçu suffisamment d'alerte pour réagir et lancer une évacuation. Le journal ajoute que les équipes de météorologie nationale ont perdu 25% de son personnel. Ainsi l'agence locale de New Braunfels n'a plus de coordinateur météorologiste. C'est lui qui travaille normalement avec les agents locaux chargés des inondations et d'autres désastres. Face à l'ampleur de la catastrophe, la presse nationale s'interroge également La région du Texas Hill Country n'est pas étrangère à ce type d'inondations, rappelle le Washington Post. Pourquoi ont-ils été pris au dépourvu ? Alors que les météorologistes annonçaient de fortes pluies dès jeudi, certaines autorités locales ne se préparaient qu'aux célébrations de la fête nationale vendredi, raconte le journal. Au-delà de la place vacante du coordinateur de météorologie locale due à la réduction d'effectifs ordonnée par l'administration Trump, le journal soulève également le manque de système d'alerte efficient dans la zone. Les autorités locales avaient voulu en mettre un en place, mais il avait été jugé trop extravagant et trop coûteux. Il y a huit ans, les responsables du comté de Kerr avaient en effet demandé de faire davantage pour construire un système d'alerte autour des rives de la rivière Guadalupe, rappelle le New York Times. Mais comme aucune mesure n'a été prise, il n'y avait ni sirène ni dispositif de surveillance précoce, ces derniers jours. Les alertes par SMS sont arrivées tardivement dans une zone où la couverture téléphonique n'est pas stable. Une partie du Texas est toujours sous une pluie abondante. L'alerte aux inondations a été prolongée au moins jusqu'à ce soir (7 juillet 2025) 20h, heure locale. Haïti : « La mission de maintien de la paix doit avoir un mandat adapté » Une fois de plus, Human Rights Watch s'alarme de la situation en Haïti et interpelle la communauté internationale. Il faut plus de moyens pour la Mission multinationale qui ne parvient pas, pour l'instant, à lutter contre les gangs et à limiter leur emprise, plus de moyens aussi pour aider les déplacés qui sont aujourd'hui 1 300 000 dans le pays. Les équipes de Human Rights Watch se rendent régulièrement en Haïti. Cette fois, il était trop dangereux de se rendre à Port-au-Prince. C'est donc à Cap Haïtien, à 200 km au nord de la capitale que s'est déroulée la dernière mission. Nathalye Cotrino, chercheuse senior auprès de la division Amériques de Human Rights Watch et ses collègues ont mené toute une série d'entretiens avec des travailleurs humanitaires, des représentants de la société civile et des agences des Nations unies. Les gangs ont mis au point de nouvelles stratégies pour vider certains quartiers de Port-au-Prince de leurs habitants : messages sur les réseaux sociaux pour prévenir d'une attaque imminente ou incendies des habitations en bordure des zones visées. L'expansion territoriale des gangs affecte progressivement des couches plus aisées de la société. Cap Haïtien, lieu de refuge, n'a pas les moyens de faire face. Il n'y a pas de centres pour les accueillir. Chacun doit se débrouiller pour se loger chez un proche ou en louant une chambre. « La plupart d'entre eux dorment à 7, 10 ou même 15 personnes dans la même pièce », explique Nathalye Cotrino de HRW. Ils dorment à même le sol, sur un morceau de carton ou de plastique. Tous nous ont raconté qu'ils ne mangent pas tous les jours. Certains n'avaient rien avalé depuis 2 jours. Cap Haïtien est dans une situation économique difficile, notamment à cause de la violence à Port-au-Prince. Mais cette situation s'explique aussi par la concentration de l'aide humanitaire dans la capitale et dans le sud du pays. À Cap-Haïtien, il n'y a aucune aide humanitaire. Le gel des financements américains a considérablement réduit les capacités d'action des agences onusiennes. Elles ne peuvent tout simplement pas aider tout le monde. » Les déplacés interrogés par Human Rights Watch disent ne pas recevoir d'aide non plus de la part du gouvernement ou de la ville. Cap Haïtien n'a même pas de registre qui permettrait de savoir combien ils sont. Human Rights Watch demande à la communauté internationale d'agir de toute urgence. La Mission multinationale d'appui à la sécurité est sous-équipée. Elle n'est composée que de 991 hommes sur les 2.500 annoncés et n'a pu ouvrir que 3 des 12 bases promises. Elle n'a plus l'argent pour fonctionner jusqu'en septembre. Pour Human Rights Watch, il faut la transformer en mission des Nations unies, mais avec un mandat spécifique. « Nous avons affaire à du crime organisé avec des ramifications internationales, justifie Nathalye Cotrino. Ça ne peut donc pas être une mission de maintien de la paix classique. Il lui faut un mandat adapté, mais aussi des objectifs plus larges comme la stabilisation politique, la restauration du système judiciaire et de l'état de droit. Ça ne sert à rien de capturer les chefs des gangs si on n'a pas de programmes de réinsertion pour les jeunes car on sait que les effectifs des groupes criminels sont composés de 30 à 50% de mineurs. » Mais pour obtenir la création d'une mission des Nations unies, il faut qu'un pays se saisisse du dossier. Pour l'instant, personne ne semble prêt à assumer ce rôle. Haïti : « Les citoyens haïtiens n'ont presque plus aucun droit » Cette situation catastrophique a évidemment des conséquences très lourdes sur les droits des Haïtiens bafoués. Des milliers de familles n'ont pas de quoi répondre aux besoins de base à Port-au-Prince ou dans certaines zones du pays, dans un État en faillite dans l'impasse politique. Les citoyens haïtiens n'ont presque plus aucun droit selon l'Office de la protection du citoyen. Le protecteur du citoyen Wilner Morin appelle l'État à prendre ses responsabilités. Son interview réalisée par notre correspondant Peterson Luxama est à retrouver dans cette tranche. Tour de France : où sont les cyclistes péruviens ? Le Tour de France a commencé ce week-end, la 3ème étape se déroule aujourd'hui entre Valenciennes et Dunkerque, dans le nord du pays. En plus des grands favoris, on devrait voir briller des Colombiens et des Équatoriens sur les routes du Tour. En revanche, pas de coureur péruvien. Pays vastes, aux paysages variés et frontalier de la Colombie et de l'Équateur, qu'est-ce qui manque encore au Pérou pour avoir des coureurs renommés ? Notre correspondant sur place Martin Chabal est allé à la rencontre des cyclistes au Pérou. Reportage. La 1ère : Jennifer Geerlings-Simons, première femme élue présidente du Suriname Hier (6 juillet 2025), Jennifer Geerlings-Simons a officiellement été nommée présidente du Suriname. Cette ancienne colonie néerlandaise, aujourd'hui pays indépendant et membre de la Communauté Caribéenne, la CARICOM.Le 16 juillet 2025 aura lieu, l'investiture de Jennifer Geerlings-Simons. Les précisions de Pierre Tréfoux.
Nous nous sommes tous demandé un jour : est-ce que cette personne me ment ? Pour essayer de le savoir, on se repose souvent sur des "on dits"', des recettes un peu hasardeuses. Mais existe-t-il de vraies manières de se rendre compte que quelqu'un ment ? Je reçois Philippe Turchet, fondateur de la discipline scientifique consacrée à la lecture de l'esprit humain à travers de l'expression du corps. Le livre de Philippe : https://www.lisez.com/livres/le-grand-livre-de-la-synergologie-decoder-le-langage-corporel-pour-mieux-comprendre-lautre Mon site : https://www.fabricemidal.comFacebook Fabrice Midal : https://www.facebook.com/FabriceMidalFacebook du podcast Dialogues : https://www.facebook.com/dialogues.fmInstagram Fabrice Midal : https://www.instagram.com/fabricemidalInstagram du podcast Dialogues : https://www.instagram.com/fabricemidal_dialogues/Tiktok : https://www.tiktok.com/@fabricemidal Mes trois chaînes YouTube :Mes vidéos : https://www.youtube.com/@fabricemidal1Les Dialogues : https://www.youtube.com/@dialoguesfmLes méditations guidées : https://www.youtube.com/@mediteravecfabricemidal Reso, mon école de méditation :https://www.reso.cohttps://www.facebook.com/reso.meditationhttps://www.instagram.com/reso_meditation Mots clé : Comprendre son interlocuteur grâce à ses gestes. Chacun de nos gestes a un sens qu'il est possible de déchiffrer.Maîtriser cette communication non verbale vous aidera à vous exprimer avec plus d'aisance, à mieux appréhender vos émotions, mais aussi à mieux comprendre vos interlocuteurs. Vous saurez décrypter ce qu'ils pensent vraiment sans toujours le dire. " Philippe Turchet passe en revue toutes nos attitudes, mimiques, tics, gestes, mouvements et... silences. En décryptant leur sens profond et caché, il vise un but : nous apprendre une communication fondée sur la transparence et la sincérité. "Le Vif / L'Express (Belgique)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:02:07 - Les Masterclasses - par : Zoé Sfez - Comment habiter le monde ? Avec le fleuve Saint-Laurent et les forêts du Québec comme repères de son paysage poétique, Hélène Dorion construit une œuvre traversée de questions philosophiques. Récompensée de nombreux prix, elle est la 1ʳᵉ autrice vivante à figurer au programme du bac de français. - réalisation : Peire Legras - invités : Hélène Dorion Poétesse, autrice
À quoi sert le mépris de classe ? Faut-il quitter ostensiblement le dance floor quand le DJ met du Sardou ? Que cherchons-nous à dire aux autres quand nous exhibons nos vinyles de David Bowie ? Pourquoi faut-il attendre la reprise de Juliette Armanet pour pouvoir danser sur “Partir un jour” des 2be3 sans avoir peur de passer pour un gros beauf ? Est-ce vraiment si cool de porter un T-shirt Johnny Hallyday au “second degré” ? En quoi aimer Dalida serait-il un plaisir coupable ? Pour l'autrice Rose Lamy toutes ces questions de goûts musicaux sont aussi des questions politiques. Dans son livre, Ascendant beauf, elle évoque son enfance en zone pavillonnaire à Bourges, où elle a grandi avec les tubes du Top 50 et les soirées en salle des fêtes. Tiraillée entre son goût pour les chansons populaires et la culture scolaire, elle réfléchit aux rouages de la distinction sociale et s'attaque au mythe du beauf. Car, pour Rose Lamy, le mépris culturel qui s'exerce envers les « beaufs » ou ses avatars contemporains comme le téléspectateur de Cyril Hanouna n'a rien d'anodin. Il s'inscrit dans un continuum de violences de classe, que chacun.e entretient ou subit tour à tour, sans toujours en mesurer les implications. Les effets que ça peut avoir sur nos trajectoires sociales, les relations avec notre milieu d'origine, mais aussi, de loin en loin, sur notre bulletin de vote. Dans cet épisode, Delphine Saltel mêle le récit de Rose Lamy et le travail du sociologue Félicien Faury qui a mené une grande enquête de terrain auprès des électeurs du RN en région PACA. Une réflexion musicale et politique pour remettre en question nos petits snobismes et la manière dont ils alimentent les clivages électoraux et la montée des extrêmes.Bibliographie : Pierre Bourdieu, "La distinction"Archives ou extraits : - Le goût des autres, Agnèes Jaoui et Jean-Pierre Bacri - Gérard Mauger sur France Culture dans 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? émission de Géraldine Mosna Savoye, "Sans oser le demander" Vendredi 2 juin 2023 - Extrait de Aymeric Lompret sur Radio NovaPour aller plus loin : - Félicien Faury, Vote FN et implantation partisane dans le Sud-Est de la France : racisme, rapports de classe et politisation, thèse de doctorat en science politique, sous la direction d'Éric Agrikoliansky, Université Paris Sciences et Lettres, École doctorale SDOSE, Paris, 2021.- Gérard Mauger, « De “l'homme de marbre” au “beauf” Les sociologues et “la cause des classes populaires” », Savoir/Agir, 2013. - Gérard Mauger, « Sociogenèse et usages de la figure du “beauf” », Sens-Dessous, 2019.- Philippe Coulangeon, Julien Duval (dir.), Trente ans après La Distinction, de Pierre Bourdieu, Ed. La Découverte, 2013.- Xavier de La Porte, « Pourquoi mépriser les électeurs RN est un vilain défaut », Le Nouvel Obs, 2024. - Benoît Coquard, Ceux qui restent, Ed. La Découverte, 2019.- France Culture : D'où vient la figure du beauf ?- France Culture : 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? Enregistrements mai - juin 2025 Entretiens, prise de son et montage Delphine Saltel Musiques préexistantes Larusso tu m'oublieras / Juliette Armanet Joe Dassin, De ton côté du lit Vivaldi Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Accompagnement éditorial Mina Souchon Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Comme tous les jeudis, nous échangeons avec le rédacteur en chef du grand quotidien Le Nouvelliste, Franz Duval. Il revient dans son éditorial sur les violences des gangs. La situation se dégrade de plus en plus, et les perspectives sont très sombres : les Nations unies estiment désormais bien réel le risque de voir l'État haïtien s'effondrer complètement. Le manque de solutions politiques provoque la colère des citoyens. États-Unis : la loi budgétaire de Donald Trump, un objectif plus politique qu'économique Aux États-Unis, les grands quotidiens suivent en direct les débats en cours à la Chambre des représentants de la grande loi budgétaire de Donald Trump. Ce texte qui prévoit des baisses d'impôts massives, booste considérablement le budget de la défense, renforce la surveillance aux frontières et taille dans les dépenses sociales. «C'est une monstruosité répugnante qui fera souffrir les Américains ordinaires», selon les démocrates. Du côté des républicains, les conservateurs s'inquiétaient surtout de l'augmentation de la dette américaine qu'implique cette loi - une augmentation de la dette de plus de 3 000 milliards de dollars d'ici 2034, selon le Bureau budgétaire du Congrès. Mais alors à quoi pensent les républicains en soutenant un projet de loi aussi irresponsable? Dans un éditorial pour le New York Times, Noah Millman propose une réponse. Selon lui, les Républicains se concentrent surtout sur un objectif politique plus que budgétaire. Chacun des présidents passés, républicains comme démocrates, a participé au marasme budgétaire américain. Il faudrait donc que les deux partis s'unissent pour sortir le pays de cette situation économique. Si le projet de loi n'est pas bon pour l'économie, il impose cependant de nouvelles bases de départ à toutes négociations. « Républicains et Démocrates se livrent à un jeu de dupes budgétaire », estime Noah Millman. Chacun tente de forcer la main de l'autre sans compromis. Avec ce projet de loi, les Républicains ont appuyé sur l'accélérateur. C'est le genre de manœuvre qui pourrait persuader l'autre de changer d'avis en premier. Mais cela risque aussi de tuer les deux conducteurs et, par conséquent, l'économie américaine, conclut l'éditorialiste. Interview avec John Bolton – « Il n'est pas dans l'intérêt des États-Unis d'abandonner l'Ukraine » Si la « Grande et Belle loi » de Donald Trump prévoit une hausse des dépenses de défense, il se désengage parallèlement de plus en plus du soutien en Ukraine. Le président américain a, par exemple, décidé cette semaine de suspendre la livraison de certaines armes, pour parler de cette question et d'autres RFI a reçu John Bolton, ancien conseiller à la sécurité de Donald Trump pendant son 1er mandat. À la GayPride de New York, l'inquiétude de la communauté LGBT+ Les politiques du président américain inquiètent entre autres la communauté LGBTQ+. La GayPride, il y a quelques jours, a été l'occasion de mesurer l'ampleur des craintes. Beaucoup s'alarment des décrets sur les droits des personnes transgenres adoptés dès le début du mandat et, plus généralement, des positions ultra-conservatrices du président américain. Reportage de Loubna Anaki. Argentine : une vague de froid polaire met le pays en état d'urgence Alors que l'Europe vit un début d'été sous canicule en Argentine, la vague froid polaire a mis plusieurs villes en état d'urgence. Il fait -2 à Buenos Aires, - 7 a El Palomar en périphérie de la capitale, rapporte Clarin. La vague de froid se propage dans tout le pays, c'est l'hiver le plus froid depuis 34 ans. La première urgence est l'approvisionnement des foyers en gaz naturel. Face à l'augmentation de la consommation de gaz et d'électricité, la pression dans les gazoducs a baissé, explique dans un autre article le journal Clarin. Le service a été automatiquement interrompu. Le Comité exécutif d'urgence mené par les autorités gouvernementales a choisi hier de couper l'approvisionnement des stations-service vendant du gaz naturel, des industries et de suspendre les exportations vers le Chili pour au moins 24h. L'urgence est de permettre aux familles de se chauffer. Mais ce n'est pas aussi facile que de rétablir l'électricité, explique La Nacion. Certaines canalisations ont pu éclater. Les fournisseurs doivent maintenant s'atteler à passer maison par maison. Au-delà du phénomène météorologique, les autorités doivent faire face à des problèmes techniques pour faire face au manque de gaz et d'électricité. La centrale nucléaire d'Atucha II a notamment été mise hors service, ce qui a impacté la stabilité du système énergétique dans son ensemble. Des problèmes structurels imputés au précédent gouvernement par le Secrétariat à l'énergie qui affirme que le manque d'investissements soutenus et le système de tarifs gelés a entravé le développement des infrastructures nécessaires.
On les trouve dans presque tous les foyers modernes : accrochés au plafond, discrets mais cruciaux. Les détecteurs de fumée sauvent des vies. Mais comment fonctionnent-ils exactement ? En réalité, il existe deux types principaux de détecteurs de fumée : les détecteurs ioniques et les détecteurs optiques (ou photoélectriques). Chacun repose sur une technologie différente.Le détecteur ionique utilise une petite quantité d'un élément radioactif, généralement l'américium-241. Ce matériau émet des particules alpha qui ionisent l'air dans une petite chambre. Cela signifie qu'elles arrachent des électrons aux molécules d'air, créant ainsi un courant électrique stable entre deux électrodes. Lorsque de la fumée pénètre dans cette chambre, elle perturbe le flux des particules ionisées. Le courant diminue alors brusquement — ce changement est détecté par l'appareil, qui déclenche l'alarme.Ce type de détecteur est particulièrement sensible aux feux rapides, ceux qui produisent peu de fumée visible mais beaucoup de particules très fines, comme les feux de graisse ou de papier.Le détecteur optique, lui, fonctionne sur un principe totalement différent. À l'intérieur, un faisceau lumineux (souvent infrarouge ou laser) traverse une chambre de détection. En l'absence de fumée, la lumière ne touche pas le capteur. Mais si des particules de fumée entrent dans la chambre, elles diffusent la lumière : celle-ci est alors déviée et atteint un capteur photoélectrique, qui déclenche à son tour l'alarme. Ce système est excellent pour détecter les feux couvants, comme ceux causés par une cigarette mal éteinte sur un canapé.Les modèles les plus performants combinent ces deux technologies, pour une couverture plus complète.Mais comment éviter les fausses alertes ? Les détecteurs sont conçus pour ignorer la poussière ou la vapeur d'eau en petite quantité. Cependant, placer un détecteur trop près d'une salle de bain ou d'une cuisine sans hotte peut entraîner des déclenchements inutiles. Mieux vaut les installer dans les couloirs ou les zones de passage.Enfin, un détecteur n'est utile que s'il fonctionne ! Il est donc essentiel de tester son alarme une fois par mois et de changer les piles chaque année — sauf pour les modèles avec batterie scellée de 10 ans. Et au bout de 10 ans, il faut le remplacer : les capteurs perdent en efficacité avec le temps.Un objet simple en apparence, mais basé sur des principes physiques pointus. Et surtout : un outil qui peut faire la différence entre la vie et la mort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
PODCAST - On a tous entendu dire un jour qu'il vaut mieux réserver ses billets à 3 heures du matin, effacer ses cookies Internet ou encore mettre un VPN pour payer comme si on vivait dans un pays où les tarifs sont plus avantageux. Chacun y va de sa méthode miracle pour trouver ses billets d'avion au meilleur prix. Mais toutes les astuces ne sont pas aussi efficaces. Dans ce nouvel épisode de "La Règle d'Or Numérique", Benjamin Hue, journaliste RTL, vous explique quelles techniques sont vraiment efficaces et lesquelles relèvent plus de la légende urbaine numérique. Retrouvez chaque semaine (l'inimitable) "Règle d'or" en podcast... et désormais son pendant Numérique consacré aux problèmes du quotidien en ligne.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans l'équipe, chacun a son super-pouvoir : Johanna Boubekeur maîtrise l'art de savoir à quelle heure les gens se lèvent, tandis que Bernard Sabbah est le maestro de la langue portugaise ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Mourad Boudjellal et Fatima Aït Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Comment gérer les défaites et les déceptions ? Jusqu'où doit-on persévérer ? Matthias Dandois est dix fois champion du monde de BMX Flat, une discipline de freestyle qui mêle créativité et exigence sportive. Dans cet épisode, Matthias revient sur les grandes évolutions de sa carrière, de son premier titre en 2008, à son 10ème en décembre 2024, à l'issue duquel il décide de prendre sa carrière sportive. Il nous raconte : comment le BMX l'a aidé à construire son identité à l'adolescence comment il est passé d'un entraînement guidé uniquement par la passion, à une approche de sportif de haut-niveau les exercices qu'il a mis en place avec un psychologue, pour gérer la pression ou les frustrations comment il a préparé la fin de sa carrière sportive Ses bonnes pratiques en matière de santé mentale : Chacun a un plafond de verre d'acharnement. Quand on est conscient du sien, on sait plus facilement prendre du recul, faire un pas de côté sans culpabiliser. Occuper son cerveau avec une tâche facile (comme refaire ses lacets) juste avant un moment à fort enjeu. Cela permet de laisser son cerveau au repos, de ne pas l'épuiser par le stress. Pour gérer une déception, Matthias nous partage un exercice simple : écrire sur une feuille, dans trois colonne, 1) ce que l'on a bien fait qui s'est bien passé, 2) ce que l'on a mal fait et qui est de sa faute, 3) ce qui s'est mal passé et qui n'est pas de sa faute. Puis jeter cette feuille pour faire son deuil de ce qui vient d'arriver. Bonne écoute !À propos du podcast :On parle volontiers de “mental” dans le sport de haut niveau : mental de champion, victoire au mental, mental d'acier. Mais quelle place y a-t-il pour la santé mentale ?Dans Les Secrets du Mental, nous partons à la rencontre d'athlètes de haut niveau qui partagent avec nous les vives émotions de leur carrière : les moments heureux, mais aussi les mauvaises passes, les blessures, les passages à vide… ces moments dont on parle peu.Vous allez aussi découvrir comment ils prennent soin de leur mental au quotidien.
durée : 00:03:35 - 100% PSG - Le billet - Certainement le match le plus compliqué à suivre de la saison. Le PSG affronte Botafogo la nuit prochaine à 3h du matin pour son 2e match de Coupe du Monde des clubs. Le match sera commenté sur ici Paris Ile de France et reste important pour la qualification en 8e de finale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cet épisode est une rediffusion de Petit Poisson deviendra Podcast. Avec Combats et Nomen, PPDP est l'un des 4 petits frères de Baleine sous Gravillon. Nous diffusons cette série Céphalopodes du petit frangin chez le grand à l'occasion de la journée mondiale de l'océan, le 8 juin de chaque année._______On connaît tous la Pieuvre, mais qu'en est-il du Nautile ou de l'Argonaute ? La classification des Céphalopodes est pleine de surprises et de tentacules.“Céphalopode” désigne une classe de mollusques marins regroupant les différentes espèces de Poulpes, Seiches, Calmars, Nautiles… Elles sont caractérisées par des bras attachés à la tête, selon l'espèce elles peuvent avoir de 8 à plus de… 90 bras !Saviez-vous que les noms “Pieuvre” et “Poulpe” désignent les mêmes animaux ? C'est Victor Hugo qui a popularisé le terme Pieuvre, en l'utilisant dans son livre Les Travailleurs de la mer paru en 1866. Ce nom était utilisé par des pêcheurs de Guernesey.La classe des Céphalopodes comprend 3 sous classes, les Ammonites (éteintes depuis 66 millions d'années), les Nautiloïdes (les Nautiles) et les Coléoïformes (l'immense majorité). Ces derniers n'ont pas de coquille externe mais certains ont une structure interne rigide. Les Seiches ont un sépion et les Calmars une plume. Enfin les Poulpes n'ont rien de rigide, à part leur bec.Les espèces de ce taxon vivent dans tous les océans du monde et même dans des conditions extrêmes. La Pieuvre dumbo se déplace dans les abysses alors que Vulcanoctopus hydrothermalis vit près des volcans sous-marins.Les Poulpes ont 9 cerveaux ! Chacun de leurs 8 bras contient un système nerveux périphérique.Du Kraken, au sous-marin Nautilus du Capitaine Némo, en passant par la gastronomie, les Céphalopodes nourrissent l'imaginaire et la culture.______
«Le Conseil présidentiel est-il dysfonctionnel ?», s'interroge Le Nouvelliste. Le CPT n'a tenu que que «deux conseils des ministres en trois mois». Ses membres semblent avoir du mal à travailler ensemble. Dans les colonnes du quotidien haïtien, l'un d'entre eux, Smith Augustin, met en cause le leader du Conseil présidentiel de transition, Fritz Alphonse Jean. «Il n'est pas très aimé de ses collègues. Il n'y a pas de collaboration», explique Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, qui ajoute que les relations au sein du Conseil ont toujours été compliquées. «Depuis le début, il y a des blocs au sein du Conseil et des tiraillements et des dissensions entre eux.» Les membres du CPT ne tiennent pas de conseils des ministres, mais ils voyagent beaucoup ces derniers temps, relève Le Nouvelliste. Des voyages auxquels n'est pourtant pas associé le ministère des Affaires étrangères. «Chacun voyage avec son cabinet et ses conseillers, mais personne du ministère», s'étonne Frantz Duval qui estime que «la diplomatie haïtienne navigue à vue». Le président du Conseil présidentiel de transition est ainsi au Brésil. Il prendra part demain à un sommet de la Caricom consacré à la situation en Haïti, organisé à l'initiative du président Lula. Les Haïtiens «espèrent beaucoup mais attendent peu», commente Frantz Duval pour qui aucune décision forte ne sera prise à Brasilia. «La communauté internationale hésite depuis des années et n'est pas prête à s'impliquer réellement» pour résoudre la crise qui secoue le pays. Donald Trump «politise» l'armée Aux États-Unis, après Los Angeles, Donald Trump pourrait envoyer l'armée dans d'autres villes du pays en cas de manifestations contre sa politique migratoire. «La Maison Blanche de Trump ouvre la porte à un déploiement militaire historique sur le sol américain», titre du Washington Post qui souligne que Donald Trump a durci le ton envers tous les manifestants, même ceux qui protestent pacifiquement. Un langage comparable à celui «utilisé par les autocrates dans des pays étrangers», écrit le quotidien. Intervenir lors de manifestations, mais aussi protéger la frontière avec le Mexique, ce n'est pas vraiment le rôle de l'armée. En demandant à des «militaires entraînés pour se battre à l'étranger de jouer le rôle traditionnellement dévolu à la police locale et à la police aux frontières», Donald Trump teste «les limites légales et politiques», analyse le New York Times. Dans les colonnes du New York Times, des analystes et des militaires à la retraite estiment que le but de Donald Trump, c'est en réalité que les Américains s'habituent à voir des soldats dans les rues, ce qui lui permettrait ensuite d'utiliser «ses pouvoirs de commandant en chef de manière plus agressive pour réprimer tout trouble et toute dissidence». Les détracteurs du président américain s'inquiètent de cette dérive «vers la politisation des forces armées et un autoritarisme rampant». Cette décision d'envoyer l'armée à Los Angeles divise en tout cas les Américains qu'Edward Maille a rencontrés en Géorgie. À écouter aussiÉtats-Unis: les démocrates accusent Donald Trump de «provoquer le chaos» en déployant la Garde nationale Le président du Costa Rica invité de RFI Le sommet des Nations unies sur l'océan, organisé par la France et le Costa Rica, se tient en ce moment à Nice. À cette occasion, le président du pays latino-américain, Rodrigo Chaves Robles a accordé une interview à Raphaël Moran du service Environnement de RFI. Dans cet entretien à retrouver en intégralité sur le site de la radio, il appelle les pays du monde à se mettre d'accord sur un moratoire concernant l'exploitation des eaux profondes que Donald Trump vient d'autoriser, le temps que des études scientifiques soient faites. Rodrigo Chaves Robles ne s'oppose pas, en revanche, à l'exploration d'hydrocarbures dans son pays. À lire aussiCo-président de la Conférence sur l'océan, Rodrigo Chaves Robles ne veut pas «fermer la porte» à l'exploration pétrolière Brian Wilson, cofondateur des Beach Boys est mort Le Los Angeles Times salue un «musicien savant qui a aidé à définir la Californie du Sud». Le New York Times parle d'un visionnaire et revient sur sa carrière en photos. Brian Wilson à la basse, au piano, ou bien encore en train de donner des indications lors de l'enregistrement de Pet Sounds. Le bassiste, chanteur, producteur et compositeur a toujours l'air extrêmement concentré, sérieux. On le voit plus souriant sur les photos choisies par le magazine Rolling Stone pour rendre hommage à «l'architecte de la pop». Brian Wilson, qui avait fondé les Beach Boys, avec ses deux frères, s'était éloigné de la musique dans les années 70. Il souffrait de troubles mentaux et d'addiction à la drogue. Il avait ensuite retrouvé ses instruments, son studio et la scène. À lire aussiBrian Wilson, cofondateur des Beach Boys, est mort Le journal de la 1ère Les premières Assises contre la vie chère s'ouvrent aujourd'hui en Martinique. À écouter aussiFrance: mobilisation à Paris de la diaspora des territoires d'Outre-mer contre la vie chère
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Qu'il parait loin le temps où l'on parlait de cessez-le-feu : hier, la Russie a mené son plus intense bombardement de drones et de missiles sur l'Ukraine, tandis que Kiev annonçait avoir mené une opération de commando à l'intérieur de la Russie. Chacun veut faire "payer" l'autre.
durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Qu'il parait loin le temps où l'on parlait de cessez-le-feu : hier, la Russie a mené son plus intense bombardement de drones et de missiles sur l'Ukraine, tandis que Kiev annonçait avoir mené une opération de commando à l'intérieur de la Russie. Chacun veut faire "payer" l'autre.
Au Sénégal, derniers jours pour l'achat du mouton avant la fête de la Tabaski qui sera célébrée samedi 7 juin par la majorité des musulmans du pays. Les vendeurs sont positionnés en bord de route et sur les ronds-points de la capitale en espérant écouler leur cheptel. Les vendeurs optent eux pour différentes stratégies, entre ceux qui s'y sont pris bien à l'avance et ceux qui attendent la dernière minute. De notre correspondante à Dakar,En passant devant les moutons, Abdoulaye Diatta jette un regard rapide. Lui a déjà acheté sa bête, il y a longtemps. « Je l'ai acheté plus d'un mois déjà. Il faut s'y prendre bien avant. C'est ça l'astuce. Parce que c'est moins cher et on a le temps de bien regarder ce que l'on fait », explique-t-il.Si certains de ses compatriotes cherchent le plus gros mouton ou des races prestigieuses comme le ladoum, Abdoulaye a des critères plus simples. « Ce n'est pas l'envergure qui compte, mais ce sont les principes de l'islam. C'est-à-dire qu'il doit correspondre à ce qu'il faut comme mouton pour la Tabaski. Qu'il soit en bonne santé, qu'il ne soit pas trop âgé, qu'il ait les cornes et tout. En fait, que ce soit le mouton parfait », détaille-t-il.Installés depuis plusieurs semaines déjà en bord de route, les vendeurs comme Abdouleye Diène prennent leur mal en patience. Il a une cinquantaine de moutons. « Je les ai élevés chez moi à Yoff. Il y en a d'autres que j'ai achetés pendant le ramadan et que j'ai entretenus durant trois mois pour les revendre pour la fête. Il y a aussi des moutons que j'ai achetés à l'intérieur du pays pour les revendre ici », énumère-t-il.Dans l'enclos d'à côté, Malick n'a pour l'instant vendu aucun de ses 17 moutons. « Les gens n'ont plus d'argent », estime-t-il. Beaucoup d'acheteurs attendent aussi la dernière minute pour acheter leur bête. Ousseynou fait du lèche-vitrine avec son frère, allant de vendeur en vendeur, avec une stratégie déjà bien rodée. « Je suis venu pour observer un petit peu, voir la tendance au niveau des prix. Après, c'est un premier prix. Cela ne veut absolument rien dire. Cela peut baisser parce que le marchandage, c'est dans nos gènes, c'est dans notre culture », raconte-t-il.Ousseynou regarde les moutons avec une fourchette de prix en tête, entre 200 et 225 000 francs CFA, mais il n'est pas pressé. « Je vais attendre la veille. Car je n'ai pas beaucoup d'espace à la maison. Et il me faudrait deux moutons. Cela ne sert à rien de se précipiter », se ravise-t-il. La nuit, la police assure des patrouilles et les vendeurs dormiront auprès de leurs bêtes jusqu'à samedi pour éviter les vols. Au Sénégal, chaque année, plus de 800 000 moutons sont nécessaires pour la Tabaski.À lire aussiEn Afrique, d'où viennent les moutons sacrifiés de la Tabaski?
Le journaliste, écrivain et réalisateur Philippe Labro est mort à 88 ans, a annoncé mercredi son ancienne radio RTL, dont il fut un pilier pendant 15 ans. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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En Roumanie, le second tour de la présidentielle dimanche 18 mai opposera le candidat de centre-droit Nicusor Dan au nationaliste George Simion. Cette poussée de l'extrême droite dans les urnes s'est accompagnée d'une augmentation des menaces envers la minorité rom et la communauté juive. De notre correspondant à Bucarest, Marine LeducDans un quartier périphérique de Bucarest, Alin Banu entre avec précaution au siège de l'association Roma for Democracy, une association de droit des Roms dont il est le directeur. « Nous avons des caméras vidéo, un accès avec une carte magnétique à l'entrée comme à la sortie, et nous avons un bouton d'urgence. Si on l'active, la police peut arriver en cinq à huit minutes. On a mis ça en place quand les menaces ont commencé pour notre sécurité », explique-t-il.Preuve à l'appui. Sur son téléphone, Alin Banu fait défiler les messages que lui et ses collègues ont reçus ces dernières semaines : « Je vais m'assurer que je vais avoir vos têtes et les mettre sur des pales comme Vlad l'empaleur faisait avec les Turcs et on va vous torturer un par un » ; « Vous avez mis Cosmin en prison et moi je vais vous mettre dans un cercueil » ; « Que les Juifs et les Tsiganes soient éliminés, et toutes les races impures. » « Bien sûr qu'on est inquiets », admet Alin Banu.Ces intimidations qui touchent aussi bien les Roms, les Juifs que les communautés LGBTQ+ sont proférées par des factions néo-nazies, mais aussi néo-légionnaires, mouvement inspiré des légionnaires, groupuscules fascistes roumains de l'entre-deux-guerres. Ce mouvement est à l'origine de la Shoah en Roumanie.À lire aussiPrésidentielle en Roumanie : pourquoi la diaspora a voté massivement pour l'extrême droiteUn pays au passé difficile à assumerDans le centre-ville, une répétition en yiddish a lieu au Théâtre national juif de Bucarest. En février, des commentaires antisémites ont été diffusés sur TikTok avec des menaces de mettre le feu au théâtre ou d'y poser une bombe. La police a dû protéger la bâtisse pendant quelques jours. Le directeur Andrei Munteanu préfère garder son calme et rappelle l'importance de la diversité culturelle en Roumanie : « L'État roumain s'est préoccupé, et pas seulement maintenant, du développement des minorités nationales, du développement de la culture nationale, parce que la principale richesse de la Roumanie est sa diversité. Mais il faut aider cette diversité, la conserver, la soutenir. Chacun fait partie du patrimoine humain de ce pays. »Les liens entre les groupes néo-légionnaires et les candidats d'extrême droite ne sont pas dissimulés. George Simion a certes lissé son discours, mais plusieurs membres de son parti Aur (Alliance pour l'unité des Roumains) font la glorification des dirigeants de la Garde de fer, autre nom du mouvement des légionnaires. La Roumanie a été durant les années 1940 un pays allié de l'Allemagne nazie et a encore des difficultés à regarder son passé. Le pays n'a reconnu son rôle actif dans la Shoah qu'en 2003, alors qu'environ 300 000 Juifs et 12 000 Roms y ont péri.Aujourd'hui, la Roumanie compte près de 570 000 Roms, selon le recensement de 2021, mais ils seraient au moins deux fois plus nombreux. Les Juifs, eux, ne sont plus que quelques milliersÀ lire aussiPrésidentielle en Roumanie : George Simion, le candidat d'extrême droite, en tête du premier tour
durée : 00:48:10 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles : Luc Tangorre, chacun cherche son Dreyfus, ou l'histoire d'un déni collectif à travers une vraie fausse erreur judiciaire.
durée : 00:58:59 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - La question du partage de l'espace révèle des inégalités d'accès et de visibilité des minorités. C'est pourquoi celles-ci peuvent parfois s'organiser en un espace public "oppositionnel", qui remet en cause l'hégémonie de l'espace public dans sa forme bourgeoise et réinvestit ainsi l'espace commun. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Mai Lequan Professeure de philosophie allemande moderne à l'université Lyon III-Jean Moulin, spécialiste de Kant ; Clotilde Nouët Assistant Professor en philosophie sociale et politique à l'Université Mohammed VI Polytechnique à Rabat au Maroc, et chercheuse associée à l'IRPhiL à l'Université Lyon 3; Alexander Neumann Professeur à l'Université Paris 8 qualifié en sociologie, et membre du comité scientifique du Collège international de philosophie