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durée : 00:31:15 - Les Pieds sur terre - par : Sophie Simonot - C'est le premier anniversaire de Grégoire sans Grégoire. L'occasion de parler de sa naissance et de son enfance, de cet enfant timide et un peu mystérieux, que je ne connaissais pas vraiment. Pour en savoir plus, je pars à Marseille rencontrer ses grands-parents, puis son grand frère, Benoît. - réalisation : Sylvain Richard
Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, est sur le point de décréter «l'état de commotion extérieure», c'est-à-dire l'état d'urgence. Le décret entrera en vigueur si le pays «est agressé militairement par l'empire américain», a-t-il expliqué ce lundi, à la télévision publique. Les États-Unis ont déployé des navires de guerre dans les Caraïbes et ont bombardé plusieurs bateaux qui transportaient de la drogue, selon eux. Si l'état d'urgence est instauré, Nicolas Maduro aurait des pouvoirs spéciaux, ce qui suscite des inquiétudes au Venezuela. El Nacional se fait l'écho des craintes de juristes et de membres de l'opposition pour qui ce décret «pourrait servir à restreindre les libertés publiques, augmenter la censure des médias et justifier un rôle plus important de l'armée dans la vie politique et sociale.» L'état d'urgence d'une durée de 90 jours renouvelables, permet de concentrer le pouvoir entre les mains de l'exécutif et «de limiter les contre-pouvoirs institutionnels au nom de la protection de la nation», explique le journal. Au-delà des conséquences concrètes dans la vie des Vénézuéliens, ce décret aura des implications géopolitiques, analyse El Nacional. Il pourrait «augmenter les tensions avec Washington et aboutir à de nouvelles sanctions» tandis qu'il «renforcerait l'alliance entre Caracas et (...) la Russie, la Chine et l'Iran.» Les États-Unis veulent faire tomber Nicolas Maduro C'est qu'affirme le New York Times qui cite des responsables américains. Une «stratégie plus agressive», une «vaste campagne qui intensifierait la pression militaire pour tenter de le forcer à partir» est en préparation, affirment ces sources anonymes. «L'armée américaine a planifié des opérations militaires potentielles ciblant des suspects de trafic de drogue au Venezuela même, comme prochaine phase, bien que la Maison Blanche n'ait pas encore approuvé une telle mesure», détaille le New York Times. Le journal fait également état de discussions entre l'administration Trump et «deux figures majeures de l'opposition» qui préparent l'après-Maduro. Aux manettes de cette offensive, il y a Marco Rubio, soutenu notamment par le directeur de la CIA. Marco Rubio, fils d'immigrés cubains, «estime que le départ de Nicolas Maduro affaiblirait le gouvernement communiste de Cuba, l'un des proches alliés du Venezuela». L'ancien sénateur de Floride lorgne aussi sur les électeurs d'origine cubaine et vénézuélienne dans cet État. Un mort dans des manifestations en Équateur En Équateur aussi, l'état d'urgence a été décrété dans 8 provinces alors que les manifestations contre la hausse du prix du diesel se poursuivent. Des manifestations qui se déroulent dans la violence. Un artisan de 46 ans, père de deux enfants, est mort dimanche (28 septembre 2025). Il a été tué par balles par l'armée à Cotacachi, à 100 km au nord de Quito, selon l'Alliance pour les droits de l'homme en Équateur. Les négociations avec le gouvernement sont au point mort. Chacun campe sur ses positions, relève La Hora. «Comment peut-on dialoguer après un assassinat ?», interroge le leader de la Confédération des nationalités indigènes d'Équateur qui voit dans le mort de cet homme de 46 ans un «crime d'État» et menace de mener un mouvement aussi dur qu'en 2019 et 2022. À l'époque, les gouvernements avaient dû faire marche arrière. Pas question, répète Daniel Noboa. «Je préfère mourir plutôt que de céder», a affirmé le président équatorien, souligne le journal. Hier, alors que le véhicule dans lequel il se rendait à Imbabura a été bloqué par des manifestants, il a redit qu'il ne lâcherait pas. Comment sortir de la crise ? Pour La Hora, la seule solution, c'est l'intervention d'une tierce partie neutre. Dans les colonnes du journal, l'avocate Mildred Molineros, spécialiste de la gestion des conflits, estime que cela pourrait être un organisme international ou l'Église catholique. Et que cette tierce personne doit offrir ses services et ne pas attendre d'être sollicitée par le gouvernement ou les représentants des populations indigènes. À partir du moment où il y a déjà eu un mort, il y a urgence, insiste l'avocate. Un avis partagé par Ruth Hidalgo, responsable de l'ONG Corporation et Participation citoyenne qui explique à La Hora que le risque désormais, c'est «une escalade dans le conflit avec une radicalisation des [manifestants], un ralentissement de l'économie, une pénurie d'aliments et l'augmentation progressive du recours à la force» de la part des policiers et des militaires. Haïti : un nouvelle force anti-gangs ? Le Conseil de sécurité de l'ONU doit se prononcer ce mardi soir (30 septembre 2025) sur la transformation de la mission multinationale de soutien à la police haïtienne en une force anti-gangs plus robuste pour tenter de brider la violence qui ravage le pays. En Haïti, cela suscite du scepticisme dans certains secteurs de la population, explique Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. «Certains pensent qu'il faut surtout renforcer les forces de l'ordre en leur donnant davantage d'effectifs et d'équipements. C'est la seule manière que le résultat soit durable», détaille le journaliste. Des inondations dans la moitié du pays «Depuis jeudi, de fortes pluies provoquent des inondations dans 30 communes d'Haïti», raconte Gotson Pierre. «Plus de la moitié du pays est touchée». À certains endroits, la situation est catastrophique. Une personne est morte. Les habitants appellent au secours le gouvernement, mais «l'acheminement de l'aide va être compliqué car de nombreuses routes sont coupées par les gangs», explique le directeur d'Alterpresse. Rencontre avec Atxu Marimã, membre du peuple Hi-Merimã Atxu Marima appartient au peuple amérindien Hi-Marimã et lui qui enfant, vivait isolé dans la forêt amazonienne, raconte son histoire dans un livre : comment il a dû s'adapter à la civilisation et comment depuis, il lutte pour la protection des peuples autochtones du Brésil qui continuent de vivre volontairement loin de tout et de tous, sans aucun contact avec le monde extérieur. Achim Lippold l'a rencontré lors de son passage à Paris. Le journal de la 1ère L'avenir de la compagnie aérienne de Saint Martin, Air Antilles, en suspens. Sa licence d'exploitation s'arrête ce lundi et il lui manque 10 millions d'euros.
Voilà bientôt 40 ans que Daniel Balavoine nous a quitté dans un accident d'avion lors du Paris-Dakar. Le spectacle "Balavoine, ma bataille" lui rend hommage, conviant sur scène ses proches (son frère, ses anciens musiciens) et 7 chanteurs de la nouvelle génération, issus de télécrochets. Daniel Balavoine leur manque énormément. Chacun se souvient de l'artiste hors pair, qui a écrit "Le chanteur" en une heure, travaillait sans arrêt, misait tout sur la précision - c'est le mot qui revient le plus - et de l'homme engagé, intelligent et drôle. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Marie Gicquel du 30 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Deauville, dans le nord-ouest de la France, a accueilli en ce début de semaine, les 29 et 30 septembre, la traditionnelle rencontre de l'Association française cotonnière (Afcot). Un rendez-vous qui a rassemblé près de 300 participants issus d'une quarantaine de pays. Cette rencontre s'est déroulée dans un contexte particulier, celui d'un marché « totalement à l'arrêt », pour reprendre les mots d'un participant. Chacun avec leurs mots, les participants ont tous confirmé et déploré à Deauville l'immobilité du marché et l'absence de lumière au bout du tunnel. « Depuis des mois, on assiste à une lente dérive à la baisse, avec une volatilité minimale des prix », résume Antonia Prescott, directrice de la rédaction du site d'information et d'analyse Cotton Outlook. Les négociants, dont le métier est de choisir le moment opportun pour acheter et vendre en dégageant la meilleure marge, sont comme paralysés par cette quasi-stabilité. « On patauge tous, confie l'un deux, comme pris dans un marécage. » Il y a néanmoins du coton qui est exporté, mais surtout du coton du Brésil et des États-Unis. Les deux origines représentent 65% des ventes mondiales. À écouter aussiLes cours du coton dévissent sur fond de bonnes récoltes mondiales Le coton africain pénalisé La situation est beaucoup plus difficile pour le coton africain, dont le coût de production est beaucoup plus élevé que celui du coton brésilien ou américain. Lors des appels d'offre, explique un négociant, le coton de la zone franc se retrouve en haut de la liste des prix, et donc souvent écarté, malgré sa belle qualité qui fait sa réputation. Quand les sociétés cotonnières africaines finissent par céder des volumes, elles le font généralement à perte. Le seul maillon de la chaîne qui est à peu près épargné, c'est le producteur ouest-africain, dont le coton est garanti par un prix fixé en début de campagne dans chaque État concerné. À écouter aussiLes cotonniers africains sur le qui-vive refusent d'être déclassés Des perspectives 2026 très incertaines Dans un tel paysage, l'humilité s'impose, a rappelé le président de l'Association française cotonnière à Deauville, dans son discours de clôture. Le schéma actuel est celui d'une surproduction mondiale par rapport à une demande qui ne suit pas. Il faudrait qu'un des paramètres ou les deux bougent dans le bon sens pour que la filière africaine retrouve des couleurs. Rien ne dit que la production va ralentir, car les subventions accordées au coton brésilien, indien, chinois et américain pourraient inciter les agriculteurs de ces pays à produire plus, relève un participant. « Les tensions géopolitiques, l'affaiblissement du dollar et la pression sur les matières premières agricoles plaident davantage pour une stabilisation des cours que pour une remontée significative à moyen terme », selon Thierry Devilder, le président de l'Afcot.
Le nouveau format vous a plu, c'est génial mais ça ne veut pas dire pour autant qu'on perd les bonnes habitude, l'équipe au complet est de retour pour vous parler du marsupial le plus déjanté sur paysage vidéo ludique, il a même éclipsé Polygone-Man (oui c'était la véritable « mascotte » de Sony). Chacun s'est concentré sur quelques jeux de la licence qui a connu des hauts et aussi des bas, et nous, on en fait un débat ! Retrouvez @Mugen_Pascal sur YouTubeRetrouvez @BradRetrouvez @BoyOldies sur son siteRetrouvez @AceBunnyRetrouvez @HKRUne question ? Une suggestion ! – écrivez nous à NewGame+@rvlp.net ou sur notre compte X Intervenants : Mugen_Pascal, Brad, HKR, Ace_Bunny, PedroMixage et montage : Ace_BunnyTechnique, diffusion et hébergement : Mugen_Pascal
« Le président-candidat Paul Biya est en pleine forme de ses moyens et il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meetings avant la présidentielle », affirme le ministre camerounais du Travail Grégoire Owona, qui est aussi le secrétaire-général adjoint du parti au pouvoir RDPC. En vue de la présidentielle du 12 octobre, le candidat Paul Biya ne risque-t-il pas de perdre des voix après la démission de deux de ses ministres ? Et fera-t-il des réformes s'il est réélu ? En ligne de Yaoundé, l'un des hommes forts de sa majorité répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Grégoire Owona, quelles seront les deux premières priorités du président Paul Biya s'il est réélu ? Grégoire Owona : Mais le président Paul Biya, certainement, va mieux préciser ses priorités dans sa profession de foi qui va bientôt sortir. Mais je crois que si on devait parler des deux premières priorités en tant que RDPC qui soutient sa candidature, je prendrais la consolidation de la paix, de l'unité nationale et la sécurité en premier, et ensuite la promotion des jeunes et le renforcement du rôle de la femme. La grande inquiétude de l'opposition, c'est la fraude électorale. Même Bello Bouba Maigari affirme que les élections sont truquées au Cameroun et que c'est encore arrivé à la présidentielle de 2018. Qu'est-ce que vous lui répondez ? Je crois que tous ceux qui disent ça font un peu de la diversion. On ne peut pas appeler par exemple au boycott d'une élection locale, sachant qu'on déclare en plus pertinemment quelles sont les conséquences, à savoir l'exclusion à l'élection présidentielle, pour dire après que le système électoral n'est pas bon ou qu'il est mauvais. Donc, je crois qu'il faut faire très attention. Le dépouillement est public. Chacun des candidats ou des représentants des candidats rentrant avec un procès-verbal signé par tous. Quelle autre transparence peut-on vouloir dans un système électoral ? Et si le candidat Paul Biya est battu, est-ce qu'il reconnaîtra sa défaite ? Nous allons à une compétition dans un esprit démocratique. Nous sommes bien préparés, nous espérons gagner. Et si cela arrivait, on se comporterait comme des républicains. C'est-à-dire que le RDPC reconnaîtrait à ce moment-là, la défaite de son champion ? Mais absolument. Mais sur la base des résultats des urnes, pas sur la base des procès d'intention, des interprétations malsaines des lois. Ce 12 octobre, le président Paul Biya va être candidat pour un huitième mandat. Mais beaucoup estiment qu'à 92 ans, c'est une charge trop lourde pour lui. Qu'est-ce que vous en pensez ? J'ai entendu sur votre radio que quand on parle d'âge, c'est qu'on a plus d'arguments. J'ai entendu quelqu'un dire ça. C'est en effet ce qu'a dit Issa Tchiroma. Nous, on a des arguments. Notre candidat est en pleine forme de ses moyens, il conduit le pays, il est à même de poursuivre ce qu'il a commencé. Donc, je ne vois pas le problème que vous êtes en train de soulever sur cet aspect. Actuellement, le chef de l'Etat séjourne en Europe. Est-ce que vous savez quand est-ce qu'il va rentrer ? Mais c'est un court séjour privé. Quand il devra rentrer, on sera bien informé. Et quand il va rentrer, est ce qu'il va tenir un ou plusieurs meetings ? Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Je vous ai dit au début qu'il rendra publique sa profession de foi. Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Et je peux même vous dire que s'il faut faire des réformes, il se permettra de faire des réformes. Le départ du gouvernement de deux poids lourds du nord du pays Bello Bouba et Issa Tchiroma. Est-ce que cela ne va pas vous faire perdre des voix ? Les démissions de Bouba Bello et d'Issa Tchiroma, je peux vous dire qu'elles ne vont pas spécialement nous faire perdre des voix. Pourquoi ? Pour deux choses. Parce que d'abord, ces deux candidats se sont discrédités par leur façon de faire et par leur façon d'être. La deuxième raison, c'est que dans les zones où ils ont leur base, il y a de nouveaux alliés qui nous ont rejoints, que ce soit en termes de partis politiques ou en termes d'associations. Mais est-ce que nécessairement, et notamment à cause de ces deux ministres démissionnaires, vous n'allez pas faire un score inférieur à celui de 2018 ? Wait and see. Moi, je n'en suis pas du tout convaincu, parce que plusieurs candidats se sont discrédités par leur façon d'être, par leur façon de faire. Ils ont dit des choses et leur contraire en même temps. Ils ont eu des agissements qui font qu'on ne croit plus en eux. Et nous, nous sommes restés dans la même ligne politique et nous sommes crédibles. Notre candidat est crédible. Voulez-vous dire que Bello Bouba et Tchiroma ne sont pas crédibles parce qu'ils étaient encore avec vous il y a quatre mois et que ce ne sont pas de vrais opposants ? Ce n'est pas ça que j'ai dit, mais ils ont fait pire que démissionner. Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ce n'est ni le lieu ni le moment de vouloir parler négativement des autres candidats. Nous, on est fair-play. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: le parti au pouvoir présente «l'armée» de Paul Biya pour la campagne À lire aussiÉlections au Cameroun: pour battre Paul Biya, «il faudra un raz-de-marée» de l'opposition, martèle Issa Tchiroma Bakary
Claire Chazal accueille pour ce nouveau numéro de « Au bonheur des livres », deux romanciers formidables et bien connus, Régis Jauffret et Justine Lévy, qui ont en commun, comme beaucoup d'écrivains de cette rentrée littéraire, de consacrer leur nouveau livre aux liens familiaux, et plus particulièrement à leur mère défunte.Ce qui rapproche « Maman » (Ed. Récamier) et « Une drôle de peine » (Ed. Stock), les deux ouvrages des invités, outre leur thème principal, c'est peut-être une forme d'humour un peu paradoxal : le refus en tout cas d'écrire simplement un tombeau littéraire traditionnel, avec sa part de pathétique, pour faire sentir les contradictions du personnage maternel, comme l'ambivalence des sentiments pour elle… Chacun des deux auteurs a une manière propre de désamorcer les lourdeurs, de se mettre en scène soi-même avec un peu de dérision et beaucoup de charme.Il y a une grande différence entre l'enfance de Régis Jauffret, qu'il dit lui-même heureuse, et celle de Justine Lévy, dont les conditions ont été beaucoup plus chaotiques : c'est aussi une affaire de générations, intéressante à interroger, puisque les deux femmes ne sont pas de la même époque. Dans les deux cas demeure cependant quelque chose d'un mystère : une maman marseillaise qui fut peut-être une grande manipulatrice, une jeune mère absente et très belle qui brûla sa vie... pourquoi ? Leur fils et fille tenteront ainsi d'expliquer à Claire Chazal ce qui les a poussé à retrouver par l'écriture leur génitrice disparue, en un geste où entre aussi, assurément, de l'amour. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hier soir, les élus LR étaient aux abonnés absents. Pas grand nombre ne voulait commenter cette actualité inédite. Un ancien président qui va passer par la case prison. Chacun a préféré en rester à des messages sous forme de communiqué. Avantage : chaque mot est pesé et sous pesé.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:51 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Les avancées scientifiques en santé environnementale permettent aujourd'hui d'affiner notre compréhension de l'impact des expositions individuelles sur le risque de développer un trouble psychique. Où en est plus précisément la recherche ? Quels sont les mécanismes d'action en cause ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air l'invité du 20 septembre 2025 avec Gérald Bronner, professeur de sociologie à la Sorbonne, membre de l'Académie des technologies et de l'Académie nationale de médecine. Il publie "À l'assaut du réel", aux éditions PUF.Dans son nouveau livre, le sociologue Gérald Bronner, spécialiste des croyances collectives, décrypte comment l'humain est de plus en plus convaincu qu'il peut façonner la réalité selon ses désirs. Il pointe le risque que « chacun s'enferme dans un espace polarisé, un petit monde subjectif et communautaire, sans dialogue possible ». Ce qui « empêche toute action collective ».Il prend en exemple Donald Trump - qui lui offre l'exemple d'une personnalité tordant la réalité pour la plier à ses désirs. Il cite aussi nombre d'autres cas, y compris en France, pour s'interroger sur « les fractures qui cassent notre monde commun ».Gérald Bronner, professeur de sociologie à la Sorbonne, et auteur de "À l'assaut du réel", aux éditions PUF, est notre invité. Il nous donnera son analyse du rapport à la vérité dans nos sociétés, à travers des faits d'actualité récents. Que révèlent, par exemple, la bataille narrative autour de l'identité de Tyler Robinson, le tueur présumé de l'activiste américain Charlie Kirk ? Et si chacun ne souhaite croire qu'en sa propre vérité, comment faire société ?
durée : 00:02:36 - Jean Bernard est bénévole à la scierie de Gruffy - Chaque mardi, une équipe d'une quinzaine de retraités de Gruffy redonne vie à l'ancienne scierie du village. Chacun apporte ses compétences pour entretenir, rénover et préservera ce patrimoine de la commune. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Située au sud-est du pays, la réserve naturelle de Chinko est en phase de restauration depuis 2014, après plusieurs décennies de crises sécuritaires qui l'ont presque décimée. Aujourd'hui, les écogardes, encore appelés rangers, sont en première ligne pour protéger la faune et la flore issues de cette aire de conservation d'une surface estimée de plus de 30 000 km2. Le travail de ces hommes et femmes, recrutés pour la plupart dans les villages périphériques, est très important dans la chaîne de préservation des écosystèmes, la régénération de la faune et le développement socio-économique des communautés locales. De notre correspondant de retour de Kocho, 6h30, les écogardes sont déjà en colonne par deux dans leur zone de rassemblement pour définir le plan de la journée. Chacun porte un sac lourd, rempli de fournitures de premiers soins, de matériel de sauvetage, de nourriture et d'eau, une tente et des appareils de communication. Mathurin Davis Ndallot est responsable de la lutte anti-braconnage : « Notre quotidien ici, c'est la surveillance 24 heures sur 24, sept jours sur sept à travers nos équipes de terrain que nous utilisons. Au sein de la communauté, nous avons des hommes de confiance qui nous fournissent des informations en temps réel pour nous permettre de prendre de l'avance sur les braconniers et les éventualités. » À lire aussiCentrafrique : Chinko, la renaissance de la réserve naturelle [1/3] Chaque unité est ensuite dirigée vers les zones de contrôle par des véhicules tout terrain. L'endroit est isolé et logistiquement très difficile d'accès. Ce matin, une unité de lutte anti-braconnage (LAB) est en patrouille au cœur de l'aire de conservation. En tenue de camouflage, les écogardes marchent lentement au milieu d'une végétation très dense. Le chef d'équipe balaye le sol du regard, à la recherche des traces de braconniers : « En tant que rangers, nous faisons des patrouilles régulières pour protéger nos forêts, nos rivières et la faune. Nous faisons aussi le comptage des traces des animaux, la maintenance des salines et nous veillons également au respect du code de gestion des aires protégées de Chinko. » Bientôt, la saison des pluies va laisser la place à une période compliquée pour l'équipe de contrôle, selon Mathurin Davis Ndallot : « En début de saison sèche, les pasteurs du nord du Sud-Soudan descendent en Centrafrique. Leur arrivée crée beaucoup de stress dans nos activités. C'est pourquoi nous avons mis en place une équipe de sensibilisation des acteurs de transhumance appelée Tango, et Échos que nous utilisons pour aller sensibiliser les communautés et les éleveurs afin de leur montrer leur limite et l'importance de la conservation. » « Nous sommes là pour changer les mentalités » À l'approche de la rivière de Kocho, Mathurin Davis Ndallot ordonne à son équipe de se taire et d'avancer discrètement. Sous un soleil accablant, il vérifie avec ses jumelles militaires s'il n'y a pas de pêcheurs dans le coin : « On utilise également des caméras Traps, qui est un dispositif que nous plaçons dans la forêt et qui permet de faire des photographies de la faune et flore sans intervention humaine. Ces caméras sont placées à des endroits stratégiques et sur les salines afin de contrôler le mouvement des espèces que nous protégeons, pour faire également le contrôle général et l'infiltration des braconniers. » Au milieu des fauves, de mille et un dangers, les écogardes se déploient plusieurs jours, à pied, en pirogue motorisée et parfois en avion de surveillance, selon le chef d'équipe : « Le but de nos patrouilles n'est pas forcément de faire la guerre. Nous sommes là pour changer les mentalités et appeler à la préservation de cette réserve naturelle. » En cas de récidive ou de résistance, les braconniers et les exploitants illégaux de la forêt sont arrêtés et traduits en justice. À écouter aussiCentrafrique : Chinko, impliquer les communautés riveraines [3/3]
Après 5 ans de légalisation en France, il est temps pour l'équipe Mandale de se mouiller et de classer les 20 plus gros noms du MMA français. De Ciryl Gane à Paul Dena en passant par BSD, Imavov, Cédric Doumbè ou Baki. Chacun donnera ses arguments et ses choix pour ranger les 20 combattants sur 5 catégories différentes.
Est-ce un dictionnaire ou bien un voyage au cœur du Japon ? Sous ses airs objectifs et factuels, se cachent une tendresse, une connaissance fine et affective des coutumes, des produits, des petites habitudes et les quelques (rares ?) défauts de l'archipel. Chihiro Masui file de mots en mots, et en recettes- jubilatoire- le Japon, son pays natal, avec l'attention de celle qui l'a quittée, et le raconte avec justesse, humour, intelligence, et goût. Chacun y trouvera son compte : une anecdote, une découverte, que l'on soit passionné de Japon, Japonais à Paris, ou curieux d'autres cultures. Dans ce dictionnaire-là, vous y piocherez un autre regard sur un pays qui fascine et intrigue, celui de l'intérieur, et une multitude de détails surprenants, cocasses, et secrets. Il se lit comme on glane et dans la plus grande liberté ! Voyage en terre umami - ce qui littéralement signifie « le goût de ce qui est bon » – avec Chihiro Masui, journaliste, cook writer / autrice culinaire, son dernier livre «Dictionnaire gourmand du Japon», aux éditions Flammarion. Elle est aussi l'autrice de plusieurs livres de cuisines de chefs, «Kei III» chez Flammarion ou encore «L'Astrance» aux éditions du Chêne. Pour suivre Chihiro sur les réseaux et sur son site. Merci à Irrashaï, et au restaurant gastronomique Biwan de nous avoir accueillis et offert une alcôve, le temps d'enregistrer l'émission. Irrashaï est une épicerie, une bulle de Japon située au cœur de Paris, 40 rue du Louvre. Pour aller plus loin : - Poissons, un art du Japon, de Chihiro Masui - Glenat - La cuisine japonaise maison, de Maori Murota - Marabout - Paris Tokyo, mon amour, de Dorothée Perkins - Flammarion - Japon, le livre de cuisine, de Nancy Singleton Hachsu - Éditions Phaïdon - Japon, le livre de cuisine végétarienne, de Nancy Singleton - Éditions Phaïdon - Pour des ustensiles : à Paris chez Irrashaï et chez Kama Asa. Programmation musicale : Moriarty – Small town Boy. En images
Est-ce un dictionnaire ou bien un voyage au cœur du Japon ? Sous ses airs objectifs et factuels, se cachent une tendresse, une connaissance fine et affective des coutumes, des produits, des petites habitudes et les quelques (rares ?) défauts de l'archipel. Chihiro Masui file de mots en mots, et en recettes- jubilatoire- le Japon, son pays natal, avec l'attention de celle qui l'a quittée, et le raconte avec justesse, humour, intelligence, et goût. Chacun y trouvera son compte : une anecdote, une découverte, que l'on soit passionné de Japon, Japonais à Paris, ou curieux d'autres cultures. Dans ce dictionnaire-là, vous y piocherez un autre regard sur un pays qui fascine et intrigue, celui de l'intérieur, et une multitude de détails surprenants, cocasses, et secrets. Il se lit comme on glane et dans la plus grande liberté ! Voyage en terre umami - ce qui littéralement signifie « le goût de ce qui est bon » – avec Chihiro Masui, journaliste, cook writer / autrice culinaire, son dernier livre «Dictionnaire gourmand du Japon», aux éditions Flammarion. Elle est aussi l'autrice de plusieurs livres de cuisines de chefs, «Kei III» chez Flammarion ou encore «L'Astrance» aux éditions du Chêne. Pour suivre Chihiro sur les réseaux et sur son site. Merci à Irrashaï, et au restaurant gastronomique Biwan de nous avoir accueillis et offert une alcôve, le temps d'enregistrer l'émission. Irrashaï est une épicerie, une bulle de Japon située au cœur de Paris, 40 rue du Louvre. Pour aller plus loin : - Poissons, un art du Japon, de Chihiro Masui - Glenat - La cuisine japonaise maison, de Maori Murota - Marabout - Paris Tokyo, mon amour, de Dorothée Perkins - Flammarion - Japon, le livre de cuisine, de Nancy Singleton Hachsu - Éditions Phaïdon - Japon, le livre de cuisine végétarienne, de Nancy Singleton - Éditions Phaïdon - Pour des ustensiles : à Paris chez Irrashaï et chez Kama Asa. Programmation musicale : Moriarty – Small town Boy. En images
Chacun son point de vue (Baal Shem Tov) by Rav David Touitou
Alors que la France s'apprête à reconnaître l'État de Palestine, une énième opération de désinformation cible actuellement le pays. Une vidéo mensongère prétend montrer des militants pro-palestiniens menaçant de transformer l'Hexagone en État Islamique. Cette mise en scène coche toutes les cases d'une campagne de désinformation russe baptisée Storm-1516. La vidéo dure précisément 23 secondes. On y voit trois hommes, le visage masqué par un keffieh, filmés devant un mur en béton décoré d'un drapeau palestinien. Un couteau à la main, l'individu au centre s'exprime en arabe. Il menace de « transformer la France en État islamique », avant de déchirer un drapeau français. Pour vérifier l'authenticité et la crédibilité de cette vidéo, la cellule Info Vérif de RFI s'est penchée sur le mode opératoire. Ce qui frappe dans un premier temps, c'est la ressemblance de cet extrait avec deux autres vidéos mensongères diffusées ces dernières années. L'une, apparue en juillet 2024, prétendait montrer un membre du Hamas menaçant de conduire des attentats durant les Jeux olympiques de Paris. L'autre, plus récente, était censée illustrer des djihadistes menaçant d'incendier la cathédrale Notre-Dame de Paris. La présence d'hommes encagoulés, le mur en béton, le jeu d'acteur, les valeurs de plan ainsi que le narratif trahissent une mise en scène répétitive et millimétrée. En plus de ces similitudes visuelles, le déroulé des trois vidéos est identique. Un seul homme arabophone profère des menaces avant de dégrader un symbole de la France : Notre-Dame de Paris, le personnage de Marianne ou le drapeau tricolore. Des acteurs russes à la manœuvre D'après les différents travaux menés en sources ouvertes, ces vidéos s'inscrivent dans une vaste opération de désinformation russe baptisée Storm-1516. Cette campagne comporte différents objectifs : décrédibiliser l'Ukraine, dénigrer les politiques occidentales, mais aussi troubler le débat public en désinformant sur des sujets brûlants ou anxiogènes comme l'immigration et le terrorisme. Cette nouvelle mise en scène s'inscrit donc dans ce troisième angle d'attaque. L'implication d'un réseau de bots Au-delà du mode opératoire informationnel, l'analyse du schéma de diffusion, c'est-à-dire d'où provient cette mise en scène et comment elle s'est propagée en ligne, confirme l'origine de cette infox. La vidéo est d'abord apparue sur X (ex-Twitter), le 14 septembre 2025 à 17h06, sur un compte arabophone créé en septembre 2012. Ce sont jusqu'ici les seules images qu'il a publiées. Nous nous sommes aussi intéressés à ses quelque 140 abonnés. Cela nous a permis d'identifier un réseau de comptes créés en août 2025. Chacun de ses profils comporte entre 345 et 347 abonnés et arbore une photo de profil issu de l'univers manga. De plus, ils ont chacun publié un tweet, plus exactement un proverbe, le jeudi 11 août, précisément entre 21h06 et 23h16. Tous ces éléments montrent l'implication directe d'un réseau de bots, des faux comptes automatisés. Un schéma de diffusion bien connu Une fois publiée sur X, par ce que l'on appelle un compte jetable, dédié uniquement à cette opération de désinformation, la vidéo a ensuite été relayée par d'obscures médias égyptiens. Les deux articles que nous avons repérés utilisent la même photo d'illustration et diffusent exactement la même capture d'écran. Ce schéma de diffusion correspond parfaitement au mode opératoire informationnel russe Storm-1516. Dans un premier temps, des acteurs sont recrutés pour produire une mise en scène. Un compte jetable, crédibilisé par un réseau de bots, sert ensuite de premier canal de diffusion sur les réseaux. Dans un second temps, des médias étrangers sont alors rémunérés pour diffuser la vidéo et la blanchir. L'étape finale consiste à amplifier cette fausse information à l'aide d'un écosystème de comptes pro-russes déjà installé dans le pays ciblé. Une menace pour le débat public Cette stratégie de propagation, déjà largement documentée, permet aujourd'hui à cette infox de cumuler plus de 3 millions de vues sur les réseaux sociaux. Dans son rapport sur ce mode opératoire informationnel russe, le service technique et opérationnel français chargé de la vigilance et de la protection contre les ingérences numériques étrangères (Viginum), considère que les activités de Storm-1516 « représentent une menace importante pour le débat public numérique, à la fois en France et dans l'ensemble des pays européens ».
Chère maman,Et si, pour cette rentrée, tu ressortais ton blouson de cuir et tes bottines de cowgirl spirituelle ? Dans cet épisode, Claire de Féligonde t'invite à (re)découvrir une manière de prier qui fait mouche : la prière de Lucky Luke. Non, pas une prière à toute vitesse… mais une prière précise, ciblée, inspirée, comme un tir bien ajusté pour chacun de ceux que tu aimes.
En France, comme partout ailleurs, le trafic et la consommation de stupéfiants – notamment de cocaïne – est en hausse constante. Longtemps cantonnés aux mégapoles et aux banlieues urbaines, les réseaux de trafic de stupéfiants ont gagné les villes plus petites et la campagne française. La demande en cocaïne n'a jamais été aussi forte, en particulier chez les jeunes adultes. RFI a recueilli les témoignages de consommateurs. Chacun à leur manière, ils racontent leur addiction. (Rediffusion du 23 juin 2025) Certains matins, Olivier, Parisien de 45 ans, prend un rail de cocaïne avant d'aller travailler dans la restauration. Il dit gérer sa consommation et revient sur les effets de la cocaïne. « Vous avez une montée et en cinq minutes, vous avez la descente. Après, le cerveau réclame. Ce n'est pas physique, c'est psychologique. À long terme, si on en prend beaucoup, on peut être dépressif. Moi, personnellement, non, parce que je sais m'arrêter », estime-t-il. Comme 40% des consommateurs de poudre blanche, Olivier se fait livrer à domicile grâce aux réseaux sociaux. Ce n'est pas le cas de Pierre. Il vit de petits boulots et s'approvisionne auprès d'un dealer à l'ancienne, comme il dit. Cet habitant de Châteauroux, ville moyenne située dans le centre de la France, raconte son parcours de toxicomane : « C'est mon père qui m'a mis dedans. Mon père était déjà dans la rue. Ma première bière, c'est lui qui me l'a payée. J'étais petit, j'avais 7-8 ans, un truc comme cela. Puis, le premier joint que j'ai fumé, c'était avec lui aussi. J'ai commencé à 14 ans la fumette. Avec le temps, j'ai consommé d'autres drogues, d'autres trucs. » Âgé de 36 ans, Pierre est polytoxicomane, c'est-à-dire qu'il consomme plusieurs drogues en même temps. Il regrette que les usagers de stupéfiants soient stigmatisés. « Tout le monde consomme de la drogue par rapport à un trauma qu'il a subi. Le problème, ce n'est pas la consommation, mais c'est ce qui vient avant. C'est ce qui vient déclencher ce besoin de consommation pour combler quelque chose. Ce n'est pas forcément des gens qui sont bêtes, c'est juste d'être faible à un moment de sa vie. On pense que c'est une béquille, et en fait, on tombe dans un piège », explique-t-il. « L'héroïne, c'est ce qui te met vraiment au plus bas » Axel, lui, est un rescapé de l'héroïne. Le jeune homme, paralysé de toute la partie gauche du corps, allume une cigarette et revient sur l'effet de l'héroïne, le fameux flash. « Au moment où l'on s'injecte le produit, on sent que c'est fort. On sent le produit à l'intérieur du corps », se remémore-t-il. Aujourd'hui, Axel ne consomme plus que du cannabis et se souvient de l'enfer de l'héroïne qui l'a amené à des comportements extrêmes, jusqu'à voler ses proches : « L'héroïne, c'est ce qui te met vraiment au plus bas. Le problème, c'est que ça te pousse à demander de l'argent ou des choses comme cela. C'est plus fort que toi. Le problème, c'est que tu es tellement à terre que tu es limite à tout casser. Je pense que c'est l'une des pires drogues. » Même constat chez Dylan, 29 ans, rencontré dans un centre d'aide aux toxicomanes. « Notre vie ne tient plus qu'à un gramme d'héroïne. On se met à contrôler toutes nos prises, à regarder l'heure, se dire : "Je sais qu'il faut que je prenne tant par jour parce que sinon je n'aurai pas le lendemain". Et si on n'en a pas, c'est un vrai manque, un sevrage. On a l'impression d'avoir la grippe, mais vachement plus fort », se rappelle-t-il. D'après l'Observatoire français des drogues, les consommateurs de substances illicites n'appartiennent pas à un groupe clairement identifié. Ils peuvent être des usagers socialement insérés, tout comme des usagers précarisés ou marginalisés. À lire aussiGrand reportage: à Châteauroux, approcher pour mieux soigner les usages de la drogue
Maxime de Lisle est président de l'ONG Seastemik et coordinateur de l'International Panel for Ocean Sustainability.Nommé au Prix du Livre Environnement 2025 pour son livre On a mangé la mer publié par Futuropolis et illustré par Olivier Martin, Maxime mène une enquête au cœur de la crise de la pêche en France.Cet épisode parle de notre appétit insatiable, de l'importance de la vie sous-marine et de comment inverser le cours des choses.Enregistrement : le 30 juillet 2025. Entretien et mise en ondes : Julien Vidal / Sound design : JFF / Illustration : Belen Fernandez – OlelalaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après Nuits de noces, publié en 2023, Violaine Bérot publie Du côté des vivants, aux éditions Buchet-Chastel. Pour ce douzième roman, l'autrice Violaine Bérot transforme une chambre d'hôpital en un lieu de vie. Dans cette chambre 308, deux patients côte à côte : Greg a failli mourir, il est même revenu d'entre les morts et il y a Alphonse : un vieux paysan au cœur usé, en fin de vie. Tous les deux ont décidé de mourir. Dans cet hôpital, ils croiseront des femmes de ménage, des soignants, des patients. Chacun a sa vie, son existence. Dans ce roman, l'autrice Violaine Bérot a voulu exorciser la mort en se plaçant «du côté de la vie». Elle part du constat qu'il ne faut pas avoir peur de la mort, que celle-ci arrive au bout de la vie. Éleveuse pendant une dizaine d'années, elle a souvent été confrontée à la mort de ses bêtes, elle a beaucoup réfléchi à la question et a une relation apaisée par rapport à la mort quand celle-ci est invisibilisée dans nos sociétés occidentales. On vit dans une société dans laquelle il ne faut pas montrer la mort. Il faut retarder la mort au maximum. On pense allonger notre durée de vie alors qu'on allonge notre durée de maladie. Dans la nature tout vit et meurt. Invitée : L'autrice Violaine Bérot. Son roman «Du côté des vivants» est publié chez Buchet-Chastel. Violaine Bérot est née en 1967 dans les Hautes Pyrénées. Après des études de philosophie à l'Université de Toulouse, elle devient ingénieure en informatique. Vers l'âge de 30 ans, elle prend un virage à 180° et devient éleveuse en Ariège. Dans ses livres, elle explore des thèmes intimes et forts : les liens familiaux, la violence, l'inceste, le rapport au corps, le silence, la vie rurale. Son style est épuré. «J'écris en effaçant pour chaque livre qui fera 120 pages, j'écris des milliers de pages et je jette. Je nettoie, j'efface. Je veux que ce soit simple et facilement abordable. J'écris à l'oreille». Programmation musicale : L'artiste Stephan Eicher avec le titre Poussière d'or.
Après Nuits de noces, publié en 2023, Violaine Bérot publie Du côté des vivants, aux éditions Buchet-Chastel. Pour ce douzième roman, l'autrice Violaine Bérot transforme une chambre d'hôpital en un lieu de vie. Dans cette chambre 308, deux patients côte à côte : Greg a failli mourir, il est même revenu d'entre les morts et il y a Alphonse : un vieux paysan au cœur usé, en fin de vie. Tous les deux ont décidé de mourir. Dans cet hôpital, ils croiseront des femmes de ménage, des soignants, des patients. Chacun a sa vie, son existence. Dans ce roman, l'autrice Violaine Bérot a voulu exorciser la mort en se plaçant «du côté de la vie». Elle part du constat qu'il ne faut pas avoir peur de la mort, que celle-ci arrive au bout de la vie. Éleveuse pendant une dizaine d'années, elle a souvent été confrontée à la mort de ses bêtes, elle a beaucoup réfléchi à la question et a une relation apaisée par rapport à la mort quand celle-ci est invisibilisée dans nos sociétés occidentales. On vit dans une société dans laquelle il ne faut pas montrer la mort. Il faut retarder la mort au maximum. On pense allonger notre durée de vie alors qu'on allonge notre durée de maladie. Dans la nature tout vit et meurt. Invitée : L'autrice Violaine Bérot. Son roman «Du côté des vivants» est publié chez Buchet-Chastel. Violaine Bérot est née en 1967 dans les Hautes Pyrénées. Après des études de philosophie à l'Université de Toulouse, elle devient ingénieure en informatique. Vers l'âge de 30 ans, elle prend un virage à 180° et devient éleveuse en Ariège. Dans ses livres, elle explore des thèmes intimes et forts : les liens familiaux, la violence, l'inceste, le rapport au corps, le silence, la vie rurale. Son style est épuré. «J'écris en effaçant pour chaque livre qui fera 120 pages, j'écris des milliers de pages et je jette. Je nettoie, j'efface. Je veux que ce soit simple et facilement abordable. J'écris à l'oreille». Programmation musicale : L'artiste Stephan Eicher avec le titre Poussière d'or.
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Frédéric Hermel, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Daniel Riolo, journaliste RMC. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Élise Goldfarb, entrepreneure. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Septembre arrive avec ses promesses de renouveau et ses résolutions de rentrée. Comme moi, vous avez peut-être passé l'été à vous poser des questions métaphysiques et en particulier, parce que pendant l'été on remet les choses en perspectives : c'est quoi une bonne vie ?J'espère que vous avez passé un bel été rempli de soleil, de repos, de rire et de discussions.En ce qui me concerne, j'ai passé la plupart de mon été à travailler…plutôt comique pour une personne qui prône le ralentissement (quoi ? comment ? « contradiction »…oh si peu…).J'ai ralenti certes mais je ne me suis pas arrêté.Vous comprenez que pour moi particulièrement la question reste : c'est quoi, au fond, une bonne vie ?Car voici LE paradoxe de notre époque : nous n'avons jamais eu autant d'outils pour réfléchir au bonheur, autant de livres de développement personnel, autant de podcasts sur l'épanouissement... et pourtant, nous n'avons jamais semblé aussi perdus sur ce qui constitue réellement une vie bien vécue.Commençons par regarder en face ce que notre société considère comme une vie réussie.La recette est simple et universellement acceptée : accumule de l'argent, du pouvoir et de la notoriété.Marie-toi. Fait des enfants. Coche les cases dans le bon ordre. Poste les photos au bon moment sur Instagram. Souris sur LinkedIn quand tu annonces ta promotion et ne parle pas des renoncements liés. Optimise ta vie comme on optimise un algorithme.Bien sûr chacun d'entre vous se dira dans son for intérieur : « non mais je sais que ce n'est pas ça hein…, je ne suis pas stupide » mais essayez d'être sincère avec vous-même 2 minutes quand même et vous verrez que quand vous pensez à Brad Pitt ou Steve Jobs, vous pensez « succès ».Peu importe que le 1er ait été un grand alcoolique et l'autre un monstre humain.Pour écrire cette newsletter, je me suis beaucoup appuyé sur Arthur Brooks, un professeur à Harvard et spécialiste du bonheur.Il identifie deux grandes catégories de chercheurs de bonheur contemporains qu'il appelle - par commodité mais de façon trompeuse (on va y revenir) - les "Épicuriens" et les "Stoïciens" modernes.Les premiers recherchent instinctivement le bonheur dans le plaisir immédiat et la jouissance - quand ça va mal, ils augmentent leur niveau de plaisir (shopping thérapie, vacances de luxe, expériences toujours plus intenses…)C'est ce que l'on fait quand on favorise son « bien vivre » à son « bien être » par exemple en vivant une vie à 4 000 km heure sans même avoir le temps de voir sa vie défiler sous ses yeux.Les seconds se concentrent sur le sens et le but - face à l'adversité, ils cherchent la signification et la raison d'être. Développement personnel, quête spirituelle, engagement militant.Chacun pense être libre mais la réalité pour la majorité d'entre-nous, c'est que nous sommes fortement conditionnés par nos peurs, notre éducation, notre contexte religieux, nos traumas transgénérationnels….je vous renvoie vers la newsletter sur le désir.Ce que Brooks a découvert dans ses recherches, c'est qu'une vie épanouie nécessite un mélange judicieux des deux approches : le plaisir ET le sens. Mais ce mélange, les vrais philosophes antiques l'avaient déjà théorisé il y a plus de 2 000 ans - et de façon bien plus sophistiquée que nos tentatives modernes.Je crois que dans cette période tumultueuse, c'est quand même pas mal de revenir à la philosophie. Suggestion d'autres épisodes à écouter : [SOLO] Le piège du désir prêt à consommer (https://audmns.com/GzeJqRP) [SOLO] Atrophie sociale : anatomie d'une manipulation de masse (https://audmns.com/UouEwvn) [SOLO] L'amitié : le hack ultime de nos vies (https://audmns.com/IJUeEHp)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En Sierra Leone, le conseil municipal de Freetown est à l'initiative d'un important projet de reforestation urbaine. Baptisé « Freetown the Treetown » – « Freetown la ville des arbres » en français –, il vise la plantation de cinq millions d'arbres dans la capitale sierra-léonaise d'ici 2030, avec l'aide de ses habitants. La grande innovation de ce projet est le suivi numérique de chaque plante enregistrée dans une base de données, avec l'objectif de faciliter, à l'avenir, leur monétisation sur le marché international des crédits carbone. De notre envoyée spéciale à Freetown, Une dizaine de « trackers » courbés au-dessus de la vase prennent en photos les pieds de mangrove qui poussent face à la communauté pauvre de Congo Town. Depuis ce quartier informel bâti sur des remblais de terre et d'ordures, Saibatu Nabie Sandy surveille leur travail de loin : « Nous avons planté cette mangrove en 2022, explique-t-il. D'abord, nous avons planté 40 000 arbustes, puis de nouveau 40 000, donc presque 80 000 arbres ! Les huîtres ou les poissons aiment les mangroves, mais tout avait disparu. Maintenant, comme la mangrove a grandi, on commence juste à les voir revenir ». Porté par le conseil municipal de la capitale sierra-léonaise, le projet de reforestation urbaine de Freetown met l'accent sur le suivi de chaque arbre. Car planter ne suffit pas : il faut savoir combien de plantes survivent.« D'abord, on doit télécharger l'application Treetracker. Chaque arbre a un numéro spécifique pour l'envoi des informations à nos analystes, ce qui permet au conseil municipal de suivre l'évolution des mangroves », poursuit Saibatu Nabie Sandy. 1,2 million d'arbres ont été plantés jusqu'à présent à Freetown : des arbres fruitiers et forestiers, des plantes médicinales et des mangroves. Chacun est géolocalisé et suivi sur plusieurs années par les « trackers », grâce à la collecte de données numériques. À lire aussiComment convaincre les jeunes Africains de se lancer dans l'agriculture ? « Chaque arbre est représenté » Dans les locaux du conseil municipal, Bineta Binia fait partie de l'équipe chargée de vérifier et de valider les données qui remontent du terrain : « On utilise la plateforme Greenstand pour tout enregistrer. Les données sont transférées directement dès qu'un arbre a été tracké dans l'application mobile. Moi, je vérifie les arbres un par un. Il faut que la photo soit nette, qu'on voit les racines dans le sol. Et si ce sont de jeunes pousses, on doit voir leur numéro d'identification. On doit aussi avoir des infos sur le type d'arbre dont il s'agit ». Cette base de données rend le processus transparent et traçable et donc plus attractif pour de potentiels investisseurs sur le marché international des crédits carbone. « Déjà, ces informations servent à instruire les citoyens sur ce projet, expose Ibrahim Kamara, analyste pour « Freetown the Treetown ». Ensuite, cela nous renseigne sur le taux de survie des arbres : c'est important pour pouvoir monétiser tout ça sur le marché des crédits carbone. Les investisseurs auront besoin de connaître la densité de cette forêt urbaine. Sur cette carte interactive, chaque arbre est représenté. » L'objectif de « Freetown the Treetown » est de séquestrer 100 000 tonnes de carbone d'ici à 2030 en restaurant 5 000 hectares, soit environ cinq millions d'arbres plantés. À lire aussiSierra Leone : « Freetown the Treetown », reboiser contre les catastrophes climatiques [1/2]
Slavoma, Florida, L'onde. Was ist das? Diese Frage vermögen heutzutage vermutlich nur mehr Tanzhistorikerinnen und -historiker zu beantworten. Vor einhundert Jahren, am 3. September 1925, versuchte sich daran auch die Schiffbeker Zeitung. So richtig überzeugt scheint die anonyme Autorenstimme von der mit den entsprechenden Namen zu identifizierenden Welle nach Deutschland drängender Modetänze zwar nicht; zwischenzeitlich klingt der Text doch sehr nach Kohlrouladen und Kartoffelsuppe. Am Ende steht aber doch ein freundliches Chacun respektive Cacune à son goût. Und wonach Slavoma, Florida und L'onde klangen – weniger, wie man sich dazu bewegte –, erfahren wir ungefähr auch – von Rosa Leu.
Cours vidéo de 46 minutes donné par Rav Shimon GOBERT.
L'été touche à sa fin, mais qui dit mois de septembre, dit : rentrée littéraire ! Parmi tous les livres que nous avons reçus cette année nous en avons sélectionné quelques uns dont nous voulions vous parler, entre coups de coeur, déception et bonnes surprises, la rentrée littéraire est riche en émotions ! PS : Un grand merci aux maisons d'édition qui ont nourri notre soif de découverte littéraire grâce à tous les livres que nous avons reçu cette année. Liste des livres de l'épisode : La bonne mère, de Mathilda Di Matteo (Editions L'Iconoclaste) Trois enterrements, de Anders Lustgarten (Editions Actes Sud) Mettre au monde, de Cloé Korman (Editions Flammarion) Nous sommes la voix de celles qui n'en ont plus, de Paola Guzzo et Cécile Rousset (Editions Actes Sud) Et aussi : Le podcast Vivons heureux avant la fin du monde - "Chacun son beauf : à quoi sert le mépris de classe" (Arte radio) La Place, Annie Ernaux L'Odyssée d'Hakim, Fabien Toulmé La série Years and Years, de Russell T. Davies Swept Away, de Beth O'Leary Carrie Soto is back, de Taylor Jenkins Reid Fun Girl, de Elizabeth Pich Watership Down, de James Sturm et Joe Sutphin d'après le roman de Richard Adams L'Assassin Royal, tome 2, de Robin Hobb Ils appellent ça l'amour, de Chloé Delaume Atmosphère, de Taylor Jenkins Reid Quand j'ai froid, de Valentine Choquet
Jonas Schneiter est entouré pour cette émission d'Anna Lietti, François-Henry Bennahmias, Yves Rossier et de l'humoriste Priscilla Formaz. En deuxième partie d'émission, les beaux parleurs accueillent Ivan Knie.
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment aborder la vie avec sérénité ? Sans perdre d'énergie à vouloir changer ce qui ne dépend pas de nous ? Ilios Kotsou nous propose de consentir au réel avec joie et sans résignation. À travers une méditation guidée et un exercice à vivre au quotidien, il nous invite à dire oui à ce qui est.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Ne pas attendre que les choses soient parfaites pour les aimer."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:10Méditation guidée pour apprendre à dire oui à ce qui est07:08Exercice pour commencer à vivre maintenant, sans attendre.À réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Méditation pour nourrir ce que tu veux voir grandirMéditation pour s'ouvrir à l'inconnu, retrouver l'esprit d'enfanceAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Quand j'écrivais ma série, je me disais : si ça se trouve un jour Julien Neel le verra ». À Libération on a réuni à la même table, Emilie Tronche, la réalisatrice de la série « Samuel » et Julien Neel, l'auteur de la BD « Lou ». Chacun nous dévoile leurs inspirations et leur rapport à l'enfance qu'ils savent si bien retranscrire en images. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment réapprendre à voir sans tout prévoir, à accueillir sans tout comprendre ? Comment renouer avec l'émerveillement de l'enfance ? Ilios Kotsou nous guide dans l'exploration de l'esprit d'enfance, cette manière de percevoir le monde avec curiosité, ouverture et fraîcheur. À travers une méditation guidée et un exercice à vivre au quotidien, nous apprenons à desserrer nos certitudes et à laisser une place à l'inconnu.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Quand on croit tout savoir, tout devient cliché. Quand on regarde avec des yeux neufs, la vie redevient aventure."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:10Méditation guidée pour ouvrir notre perception à ce qui est là, maintenant.07:08Exercice pour pratiquer cet esprit d'enfance dans la vie quotidienne.À réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Méditation pour nourrir ce que tu veux voir grandirAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Jeu concours : remportez une nuit magique dans une cabane avec Coucoo Cabanes > jusqu'au l'épisode du 25 aoûtDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment nourrir ce qui compte vraiment pour nous ? Ilios Kotsou nous invite à explorer ce que nous cultivons en nous chaque jour : peur ou confiance, colère ou paix, rancune ou tendresse. À travers une méditation guidée inspirée de la sagesse amérindienne du « loup que tu nourris », il nous propose de revenir à ce choix intérieur : celui de nourrir ce qui compte vraiment pour nous.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Ce que tu nourris en toi… nourrit aussi le monde autour de toi."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:03Méditation guidée pour nourrir ce qui compte vraiment pour soi06:50Exercice pour le faire au quotidienÀ réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Remportez une nuit magique dans une cabane (2 à 6 personnes) avec Coucoo CabanesDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es », c'est notre série d'été sur RFI, à la découverte ou la redécouverte de ces jeux populaires qui sont au cœur de nos cultures et de nos identités. Aujourd'hui, direction l'Argentine, pour une plongée dans un jeu de cartes, le truco qui n'a rien à envier au football dans le panthéon des passions nationales. Le truco peut se jouer seul ou en équipe. Le principe est simple : remporter le plus de plis en maniant ruse et stratégie… Le truco, une passion argentine. De notre correspondant à Buenos Aires, « Ça va ? Je suis Gabriel, je viens du nord de Buenos Aires, j'ai 48 ans et je suis là pour participer au tournoi de Truco avec mes amis ! ». Un dimanche soir à Buenos Aires… Véritable institution ouverte en 1912, le café San Bernardo résonne du brouhaha habituel occasionné par les amateurs de ping-pong et de billard… Dans un recoin, huit tables, six joueurs par table, des jeunes, des moins jeunes, surtout des hommes. Et sur les tables, la bière, les verres, un petit carnet, et les cartes… « On a perdu de quatre points ! Ça ne s'est pas bien passé, on a manqué d'un tout petit peu de chance… Mais bon, le "truco" (prononcé Trouko) c'est l'amitié, l'argentinité, et passer un bon moment… c'est comme ça que je le vois ». Authentique passion argentine, le truco se joue pourtant avec des cartes dites espagnoles numérotées de une à douze, et sur lesquelles figurent le bâton, le denier, la coupe et l'épée… « Ce sont les Espagnols qui l'ont apporté, mais les vieux Gauchos ont adapté les règles pour se l'approprier et en faire un jeu plus autochtone, plus national, plus à nous ! Dans chaque maison, toutes les familles ont un jeu de cartes pour jouer au Truco… ». Impossible pour Gabriel de se souvenir du moment où il a appris à jouer : « Mon père m'emmenait aux réunions avec ses amis, ils se retrouvaient pour jouer. Et toute la nuit, c'étaient les rires, les embrassades, les blagues. Alors moi, tout petit, je me suis dit : je veux apprendre ça. Du coup, c'est comme continuer une tradition — une tradition familiale, mais aussi nationale ». Les règles du truco dans une main, un stylo dans l'autre pour noter les scores, Romina se glisse parmi les joueurs. Passionnée par les jeux, c'est elle qui organise le tournoi : « Quand on est petit, on joue, et puis on grandit, et tout à coup, on est censé être sérieux ». Maintenant, tu es adulte et tu n'as plus le droit de jouer, mais pourquoi ? Pourquoi tu ne pourrais plus jouer parce que tu es grand ? Alors ce bar, un peu, c'est ça. L'idée, c'est de jouer. C'est l'essence même ». Ce que Romina aime par-dessus tout, ce sont les rencontres improbables suscitées par le truco : « Dans certains tournois, il arrive souvent qu'il y ait un vendeur d'avocats qui joue peut-être avec le propriétaire d'une marque de vêtements. Et dans le jeu, ils sont tous égaux, tu vois ? Ce sont des choses qui n'arrivent peut-être que dans ce genre de situations… Et puis, avec tout ce qu'on vit aujourd'hui, surtout sur le plan politique, jouer un peu, ça te déconnecte de la réalité ». Dans l'arrière-salle d'un gymnase qu'il administre dans cette banlieue de Buenos Aires, José a fondé en 2015 rien de moins que l'association argentine de truco pour répondre à un problème majeur : « Le pays est très grand, et le truco n'avait pas de règlement unifié. Chacun jouait avec ses propres règles, et ça posait souvent des problèmes : "Non, non, moi, je joue comme ça. Moi, je ne joue pas comme ça". On a fait un règlement et on s'est dit : "Bon, et maintenant, qu'est-ce qu'on fait ?" ». Sur les murs, des affiches à la gloire de Diego Maradona et Léo Messi… En Argentine, football et truco vont de pair, au point que le premier pourrait même redorer l'image du second : « L'équipe nationale a gagné la Coupe du monde. Et eux, ils jouaient au Truco tous les jours pendant le mondial. Ce sont des super-héros pour n'importe quel Argentin. Alors c'est comme s'il y avait eu un renouveau, un regain du truco. Oui, oui. Maintenant, je vois que les jeunes y jouent, tout le monde y joue. Le truco a fait son grand retour, tu vois ? On était en train de l'oublier, et d'un coup, c'est la fureur totale ». Et demain le truco pourrait même s'exporter. La série argentine à succès El Eternauta diffusée au printemps s'ouvre sur une scène de truco, tant et si bien que José a été contacté par des fans au Japon qui souhaiteraient en apprendre les règles. À lire aussi«Dis-moi à quel jeu tu joues» en Chine: le xiangqi, «Ça fait partie de notre culture traditionnelle»
[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment être là, vraiment, pour soi et pour les autres ? Comment retrouver une vraie qualité de présence ? Ilios Kotsou nous invite à explorer cette qualité précieuse : être là, vraiment. À travers une méditation et un exercice concret, il nous guide pour cultiver une attention sincère, envers les autres comme envers soi.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Être là, c'est résister à l'impulsion de tout comprendre, tout contrôler. C'est faire confiance à ce qui se tisse dans l'espace partagé."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:06Méditation guidée pour être là, pleinement07:08Exercice pour être présent dans la relationÀ réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Remportez une nuit magique dans une cabane (2 à 6 personnes) avec Coucoo CabanesDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez la collection Feu de Camp "Jeux dangereux" : une sélection d'épisodes du podcast qui rassemble les meilleures histoires de jouets possédés et de rituels démoniaques ! En automne, il y a deux catégories de personnes : celle qui opte pour une place au coin du feu, enveloppée dans un plaid épais, munie d'un bon livre et d'une tisane fumante. Et celle qui préfère pimenter son quotidien pluvieux en provoquant les esprits malins. Chacun son rituel mais nous savons pertinemment dans quelle catégorie vous êtes... Taous a donc choisi, de vous concocter un nouvel épisode de Jeux Dangereux. Trois aventures sonores frissonnantes dont vous êtes le héros ! Feu de Camp est un podcast NRJ, écrit et incarné par Taous Merakchi. Une production disponible sur l'application et le site NRJ rubrique podcast, et sur toutes les plateformes d'écoute. Production : Anne-Cécile Kirry Réalisation : Cédric le Doré Graphisme : Marlène Boulère et Guillaume Mermet Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à nous laisser des étoiles ou des commentaires. Et pour être au courant de la sortie des nouveaux épisodes, abonnez-vous au flux sur votre plateforme préférée !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Alice est mariée avec un homme qui a deux enfants adolescents. Chacun souffre d'un trouble. D'habitude, ils viennent leur rendre visite durant les vacances. Mais ça n'a pas été le cas cet été. Alice est très attachée à ces enfants et se pose la question de leur distance. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:41:40 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2010, Edouard Glissant publiait "10 Mai, mémoire de la traite négrière, de l'esclavage et de leurs abolitions" et une anthologie de la poésie du Tout-monde. Il était invité dans l'émission "Du jour au lendemain". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Édouard Glissant Écrivain, poète et philosophe
« Il faut aller à la palabre africaine », disent les évêques de Côte d'Ivoire, après l'exclusion de plusieurs personnalités de l'opposition de la présidentielle du 25 octobre prochain. Dans une lettre pastorale publiée il y a une semaine, la Conférence des évêques de Côte d'Ivoire appelle à une élection « juste et inclusive », à laquelle, outre le président sortant Alassane Ouattara, qui a déclaré sa candidature ce 29 juillet, ses principaux opposants pourraient, eux aussi, se présenter. Mgr Jacques Ahiwa répond aux questions de Christophe Boisbouvier depuis son archevêché de Bouaké. RFI : À trois mois de l'élection présidentielle, vous venez de publier une lettre pastorale dans laquelle vous ne cachez pas votre inquiétude. Pourquoi ? Mgr Jacques Ahiwa : Parce que nous sommes des pasteurs. Nous avons les quinze diocèses de Côte d'Ivoire. Nous sommes au contact des populations. Et ce sont un peu les craintes de ces populations que nous avons essayé d'analyser, de prendre en compte non seulement dans nos prières, mais aussi dans nos analyses pour apporter quelques éléments de réponse et surtout de propositions pour apaiser, aider à apaiser ces craintes-là. Et quelles sont ces craintes ? Les craintes, c'est la peur d'une élection émaillée de violence. Nous savons depuis un certain temps que chaque fois que, les élections sont annoncées, les populations ont la peur au ventre. Et donc ça nous remonte. Tout le monde nous dit "priez, priez pour nous, faites quelque chose". Et ce que nous pouvons faire, effectivement, en tant que pasteur, c'est de prier et puis d'apporter notre contribution à la construction, à la préservation de la paix. Monseigneur Jacques Ahiwa, dans votre lettre pastorale, il y a une semaine, vous appelez à une élection « juste et inclusive », est-ce à dire que pour l'instant ces deux conditions ne vous paraissent pas réunies ? De ce qui revient des différents états-majors, je parle des groupements politiques de la société ivoirienne, nous constatons que, jusqu'à présent, il y a des dinosaures, comme on dit, de la politique ivoirienne qui ne figurent pas sur la liste électorale. Et cela crée beaucoup de tensions. Chacun fait valoir ses arguments et cela crée beaucoup de crispations dans la population. Donc en termes d'inclusion, pour l'instant, je pense que nous n'y sommes pas encore arrivés. Il y a encore du travail à faire pour que cette élection soit la plus large possible. Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Charles Blé Goudé… Plusieurs dinosaures, comme vous dites, n'ont pas le droit de se présenter, car les autorités affirment qu'elles ne sont pas éligibles au regard de la loi ivoirienne. Quelle est la position de la conférence épiscopale à ce sujet ? La position de la conférence, elle porte sur la loi, sur la loi fondamentale. Nous avons fait notre analyse sur la base de la loi, mais aussi de l'environnement. Ceux qui estiment qu'ils ne sont pas éligibles ont les éléments pour argumenter. Mais nous, en tant qu'acteur aussi de la vie sociale, en regardant ce qui se passe, en analysant les crispations, parce que chacun fait valoir ses arguments, on aurait souhaité que les discussions se poursuivent pour voir dans quelle mesure cette exclusion ou bien ce manque qui pourrait permettre à ces candidats de compétir puisse trouver des solutions. Concernant l'éligibilité de ces opposants, et c'est toujours dans votre lettre épiscopale, vous appelez à concilier le respect du droit et le bon sens politique. Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Nous voulons dire que, quand les lois ne permettent pas de préserver la cohésion, il faut peut-être aller à la palabre africaine. La palabre africaine, c'est quand il y a un problème presque insoluble, on active des leviers, des mécanismes pour entendre tout le monde et résoudre la question. D'autant plus que, depuis un certain temps, depuis 2010, la Côte d'Ivoire a quelques fois eu recours à ce genre de procédé. Et nous le disons très bien dans notre lettre que ce n'est pas nouveau que les acteurs de la vie politique puissent s'asseoir autour de la même table au niveau de l'élection présidentielle pour trouver des solutions. On parle même d'arrangements politiques. C'est ce que nous appelons le bon sens politique au regard des crispations, au regard de toutes les plaintes et de tout ce qui est susceptible de créer des désordres jusqu'à mort d'homme. Vous le savez très bien, les dernières élections étaient émaillées de pas mal de violence. Pour éviter tout cela, nous en appelons au bon sens politique qui consiste à s'asseoir autour de la même table et à trouver les solutions pour résoudre définitivement cette question de l'éligibilité. Est-ce que vous faites référence à l'accord politique conclu sous l'égide du président sud-africain, Thabo Mbeki, afin que Monsieur Alassane Ouattara puisse être candidat en 2010 ? Oui, nous l'avons dit dans la lettre aussi, c'est très clairement signifié. Nous parlons des accords issus des négociations de la crise de 2002, qui ont permis à tous les candidats de se présenter, au point qu'en 2010, les élections ont connu quand même un engouement assez fort. Quand il y a contradiction entre le respect du droit et le bon sens politique, qu'est-ce qui doit primer à vos yeux ? C'est la sagesse africaine, la préservation de la paix. Il n'y a pas de sacrifice de trop pour préserver la paix. Si vraiment il faut mettre entre parenthèses, dans un premier temps, le droit pour sauver les vies humaines, je pense que le choix est clair. Il faut sauver d'abord les vies humaines et après trouver vraiment les meilleurs mécanismes pour écrire des lois consensuelles qui pourront être acceptées par tous. Alors ce que disent les autorités ivoiriennes, c'est que, si elles n'appliquent pas le droit de façon stricte et rigoureuse, elles risqueront ensuite d'être accusées d'autoriser les passe-droits. Oui, ça, c'est vrai. C'est ce qu'on a toujours dit. Mais vous le savez très bien, depuis toujours, la loi, elle a été la loi et c'est face à la rigueur de la loi qu'on a toujours sollicité des médiations hors loi pour régler des crises. Il se trouve que nous sommes pratiquement dans les mêmes situations de crise qu'auparavant. Alors, je pense qu'il vaut mieux, pour sauver des vies. Nous, notre objectif, c'est cela : comment préserver la paix ? Comment faire en sorte que chaque ivoirien, chaque habitant de ce pays puisse aller et venir sans crainte en temps d'élection comme en temps de non élection. Que chacun puisse vaquer normalement à ses occupations et que les élections ne soient pas sources de crainte, de peur et surtout de violence en Côte d'Ivoire. La vie de l'homme est plus que tout. La vie est sacrée et nous, évêques de Côte d'Ivoire, nous sommes au service de la vie. Et nous sommes les veilleurs pour que tout soit mis en œuvre, même s'il faut mettre entre parenthèses pour un moment la loi pour que la vie soit sauvée, il faut le faire. Ce ne sera pas la première fois et ce ne sera pas le premier cas de figure dans le monde entier. Et puis, dans votre lettre pastorale, Mgr Jacques Ahiwa, vous dénoncez, je cite, l'amateurisme de l'administration électorale. Faut-il à vos yeux remplacer la CEI, la Commission électorale indépendante, par autre chose ? La CEI dans sa configuration actuelle est assez critiquée par les différents acteurs de la vie politique et sociale en Côte d'Ivoire. Il y a donc un travail à faire pour avoir une CEI, d'autant plus qu'elle est permanente, une CEI qui puisse être acceptée par tous pour que les règles qu'elle dicte soient reçues et bien mises en œuvre. Je pense qu'on va y arriver, mais pour l'instant, telles que les choses se présentent, la CEI, quand on la regarde, elle est un peu déséquilibrée. Et donc, il y a ce travail d'équilibrage pour qu'elle soit la plus consensuelle possible.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment faire une pause, comment ralentir dans le tourbillon de nos vies ? Ilios Kotsou nous guide à la rencontre de notre refuge intérieur, cet espace intime, réel ou symbolique, où se recentrer et se ressourcer. À travers une visualisation guidée et un exercice simple à pratiquer au quotidien, cette méditation invite à créer une bulle de calme et de présence, accessible à tout moment.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Le refuge, ce n'est pas fuir. C'est se retrouver. Se déposer. Se régénérer, pour mieux revenir au monde."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:20Visualisation guidée : ton lieu ressource08:30Exercice : trouver refuge dans l'instantAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseJeu concours : remportez une nuit magique dans une cabane avec Coucoo Cabanes !Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
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Les aventures des Chevaliers de la Table Ronde gravitent rapidement autour de la quête du Graal. Chacun trouve sa signification au fil de son parcours initiatique, mais ce qui est certain, c'est que cette quête est un moteur efficace pour l'histoire, avec ses créatures extraordinaires, ses troubles métaphysiques et sa magie. Emanuele Arioli s'est lancé dans une longue quête des manuscrits de la Table Ronde, de l'Angleterre à l'Italie en passant par Paris. Avec : Emanuele Arioli (acteur, auteur et médiéviste), Alain Corbellari (professeur associé de littérature française médiévale).