POPULARITY
Categories
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Frédéric Hermel, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Daniel Riolo, journaliste RMC. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Élise Goldfarb, entrepreneure. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Septembre arrive avec ses promesses de renouveau et ses résolutions de rentrée. Comme moi, vous avez peut-être passé l'été à vous poser des questions métaphysiques et en particulier, parce que pendant l'été on remet les choses en perspectives : c'est quoi une bonne vie ?J'espère que vous avez passé un bel été rempli de soleil, de repos, de rire et de discussions.En ce qui me concerne, j'ai passé la plupart de mon été à travailler…plutôt comique pour une personne qui prône le ralentissement (quoi ? comment ? « contradiction »…oh si peu…).J'ai ralenti certes mais je ne me suis pas arrêté.Vous comprenez que pour moi particulièrement la question reste : c'est quoi, au fond, une bonne vie ?Car voici LE paradoxe de notre époque : nous n'avons jamais eu autant d'outils pour réfléchir au bonheur, autant de livres de développement personnel, autant de podcasts sur l'épanouissement... et pourtant, nous n'avons jamais semblé aussi perdus sur ce qui constitue réellement une vie bien vécue.Commençons par regarder en face ce que notre société considère comme une vie réussie.La recette est simple et universellement acceptée : accumule de l'argent, du pouvoir et de la notoriété.Marie-toi. Fait des enfants. Coche les cases dans le bon ordre. Poste les photos au bon moment sur Instagram. Souris sur LinkedIn quand tu annonces ta promotion et ne parle pas des renoncements liés. Optimise ta vie comme on optimise un algorithme.Bien sûr chacun d'entre vous se dira dans son for intérieur : « non mais je sais que ce n'est pas ça hein…, je ne suis pas stupide » mais essayez d'être sincère avec vous-même 2 minutes quand même et vous verrez que quand vous pensez à Brad Pitt ou Steve Jobs, vous pensez « succès ».Peu importe que le 1er ait été un grand alcoolique et l'autre un monstre humain.Pour écrire cette newsletter, je me suis beaucoup appuyé sur Arthur Brooks, un professeur à Harvard et spécialiste du bonheur.Il identifie deux grandes catégories de chercheurs de bonheur contemporains qu'il appelle - par commodité mais de façon trompeuse (on va y revenir) - les "Épicuriens" et les "Stoïciens" modernes.Les premiers recherchent instinctivement le bonheur dans le plaisir immédiat et la jouissance - quand ça va mal, ils augmentent leur niveau de plaisir (shopping thérapie, vacances de luxe, expériences toujours plus intenses…)C'est ce que l'on fait quand on favorise son « bien vivre » à son « bien être » par exemple en vivant une vie à 4 000 km heure sans même avoir le temps de voir sa vie défiler sous ses yeux.Les seconds se concentrent sur le sens et le but - face à l'adversité, ils cherchent la signification et la raison d'être. Développement personnel, quête spirituelle, engagement militant.Chacun pense être libre mais la réalité pour la majorité d'entre-nous, c'est que nous sommes fortement conditionnés par nos peurs, notre éducation, notre contexte religieux, nos traumas transgénérationnels….je vous renvoie vers la newsletter sur le désir.Ce que Brooks a découvert dans ses recherches, c'est qu'une vie épanouie nécessite un mélange judicieux des deux approches : le plaisir ET le sens. Mais ce mélange, les vrais philosophes antiques l'avaient déjà théorisé il y a plus de 2 000 ans - et de façon bien plus sophistiquée que nos tentatives modernes.Je crois que dans cette période tumultueuse, c'est quand même pas mal de revenir à la philosophie. Suggestion d'autres épisodes à écouter : [SOLO] Le piège du désir prêt à consommer (https://audmns.com/GzeJqRP) [SOLO] Atrophie sociale : anatomie d'une manipulation de masse (https://audmns.com/UouEwvn) [SOLO] L'amitié : le hack ultime de nos vies (https://audmns.com/IJUeEHp)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un yoga inclusif qui s'adapte aux besoins de chacunHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En Sierra Leone, le conseil municipal de Freetown est à l'initiative d'un important projet de reforestation urbaine. Baptisé « Freetown the Treetown » – « Freetown la ville des arbres » en français –, il vise la plantation de cinq millions d'arbres dans la capitale sierra-léonaise d'ici 2030, avec l'aide de ses habitants. La grande innovation de ce projet est le suivi numérique de chaque plante enregistrée dans une base de données, avec l'objectif de faciliter, à l'avenir, leur monétisation sur le marché international des crédits carbone. De notre envoyée spéciale à Freetown, Une dizaine de « trackers » courbés au-dessus de la vase prennent en photos les pieds de mangrove qui poussent face à la communauté pauvre de Congo Town. Depuis ce quartier informel bâti sur des remblais de terre et d'ordures, Saibatu Nabie Sandy surveille leur travail de loin : « Nous avons planté cette mangrove en 2022, explique-t-il. D'abord, nous avons planté 40 000 arbustes, puis de nouveau 40 000, donc presque 80 000 arbres ! Les huîtres ou les poissons aiment les mangroves, mais tout avait disparu. Maintenant, comme la mangrove a grandi, on commence juste à les voir revenir ». Porté par le conseil municipal de la capitale sierra-léonaise, le projet de reforestation urbaine de Freetown met l'accent sur le suivi de chaque arbre. Car planter ne suffit pas : il faut savoir combien de plantes survivent.« D'abord, on doit télécharger l'application Treetracker. Chaque arbre a un numéro spécifique pour l'envoi des informations à nos analystes, ce qui permet au conseil municipal de suivre l'évolution des mangroves », poursuit Saibatu Nabie Sandy. 1,2 million d'arbres ont été plantés jusqu'à présent à Freetown : des arbres fruitiers et forestiers, des plantes médicinales et des mangroves. Chacun est géolocalisé et suivi sur plusieurs années par les « trackers », grâce à la collecte de données numériques. À lire aussiComment convaincre les jeunes Africains de se lancer dans l'agriculture ? « Chaque arbre est représenté » Dans les locaux du conseil municipal, Bineta Binia fait partie de l'équipe chargée de vérifier et de valider les données qui remontent du terrain : « On utilise la plateforme Greenstand pour tout enregistrer. Les données sont transférées directement dès qu'un arbre a été tracké dans l'application mobile. Moi, je vérifie les arbres un par un. Il faut que la photo soit nette, qu'on voit les racines dans le sol. Et si ce sont de jeunes pousses, on doit voir leur numéro d'identification. On doit aussi avoir des infos sur le type d'arbre dont il s'agit ». Cette base de données rend le processus transparent et traçable et donc plus attractif pour de potentiels investisseurs sur le marché international des crédits carbone. « Déjà, ces informations servent à instruire les citoyens sur ce projet, expose Ibrahim Kamara, analyste pour « Freetown the Treetown ». Ensuite, cela nous renseigne sur le taux de survie des arbres : c'est important pour pouvoir monétiser tout ça sur le marché des crédits carbone. Les investisseurs auront besoin de connaître la densité de cette forêt urbaine. Sur cette carte interactive, chaque arbre est représenté. » L'objectif de « Freetown the Treetown » est de séquestrer 100 000 tonnes de carbone d'ici à 2030 en restaurant 5 000 hectares, soit environ cinq millions d'arbres plantés. À lire aussiSierra Leone : « Freetown the Treetown », reboiser contre les catastrophes climatiques [1/2]
Slavoma, Florida, L'onde. Was ist das? Diese Frage vermögen heutzutage vermutlich nur mehr Tanzhistorikerinnen und -historiker zu beantworten. Vor einhundert Jahren, am 3. September 1925, versuchte sich daran auch die Schiffbeker Zeitung. So richtig überzeugt scheint die anonyme Autorenstimme von der mit den entsprechenden Namen zu identifizierenden Welle nach Deutschland drängender Modetänze zwar nicht; zwischenzeitlich klingt der Text doch sehr nach Kohlrouladen und Kartoffelsuppe. Am Ende steht aber doch ein freundliches Chacun respektive Cacune à son goût. Und wonach Slavoma, Florida und L'onde klangen – weniger, wie man sich dazu bewegte –, erfahren wir ungefähr auch – von Rosa Leu.
Aujourd'hui dans Havre de Paix, on parle de ce que signifie être mandaté par Dieu. Chacun de nous a une mission unique à accomplir, des talents et des dons confiés pour impacter le monde.
Cours vidéo de 46 minutes donné par Rav Shimon GOBERT.
L'été touche à sa fin, mais qui dit mois de septembre, dit : rentrée littéraire ! Parmi tous les livres que nous avons reçus cette année nous en avons sélectionné quelques uns dont nous voulions vous parler, entre coups de coeur, déception et bonnes surprises, la rentrée littéraire est riche en émotions ! PS : Un grand merci aux maisons d'édition qui ont nourri notre soif de découverte littéraire grâce à tous les livres que nous avons reçu cette année. Liste des livres de l'épisode : La bonne mère, de Mathilda Di Matteo (Editions L'Iconoclaste) Trois enterrements, de Anders Lustgarten (Editions Actes Sud) Mettre au monde, de Cloé Korman (Editions Flammarion) Nous sommes la voix de celles qui n'en ont plus, de Paola Guzzo et Cécile Rousset (Editions Actes Sud) Et aussi : Le podcast Vivons heureux avant la fin du monde - "Chacun son beauf : à quoi sert le mépris de classe" (Arte radio) La Place, Annie Ernaux L'Odyssée d'Hakim, Fabien Toulmé La série Years and Years, de Russell T. Davies Swept Away, de Beth O'Leary Carrie Soto is back, de Taylor Jenkins Reid Fun Girl, de Elizabeth Pich Watership Down, de James Sturm et Joe Sutphin d'après le roman de Richard Adams L'Assassin Royal, tome 2, de Robin Hobb Ils appellent ça l'amour, de Chloé Delaume Atmosphère, de Taylor Jenkins Reid Quand j'ai froid, de Valentine Choquet
Jonas Schneiter est entouré pour cette émission d'Anna Lietti, François-Henry Bennahmias, Yves Rossier et de l'humoriste Priscilla Formaz. En deuxième partie d'émission, les beaux parleurs accueillent Ivan Knie.
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment aborder la vie avec sérénité ? Sans perdre d'énergie à vouloir changer ce qui ne dépend pas de nous ? Ilios Kotsou nous propose de consentir au réel avec joie et sans résignation. À travers une méditation guidée et un exercice à vivre au quotidien, il nous invite à dire oui à ce qui est.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Ne pas attendre que les choses soient parfaites pour les aimer."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:10Méditation guidée pour apprendre à dire oui à ce qui est07:08Exercice pour commencer à vivre maintenant, sans attendre.À réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Méditation pour nourrir ce que tu veux voir grandirMéditation pour s'ouvrir à l'inconnu, retrouver l'esprit d'enfanceAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:45 - L'invité de "ici Maine" - François Bayrou, incapable de réunir une majorité pour voter le budget 2026 va soumettre le 8 septembre son gouvernement à un vote de confiance à l'Assemblée nationale. "Une crise politique indéniable" alors que "la vague de la dette" va nous submerger, réagit le député sarthois Jean-Carles Grelier. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Quand j'écrivais ma série, je me disais : si ça se trouve un jour Julien Neel le verra ». À Libération on a réuni à la même table, Emilie Tronche, la réalisatrice de la série « Samuel » et Julien Neel, l'auteur de la BD « Lou ». Chacun nous dévoile leurs inspirations et leur rapport à l'enfance qu'ils savent si bien retranscrire en images. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Commentaire de L'Évangile du jour Matthieu 23, 23-26 En ce temps-là, Jésus disait : « Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous payez la dîme sur la menthe, le fenouil et le cumin, mais vous avez négligé ce qui est le plus important dans la Loi : la justice, la miséricorde et la fidélité. Voilà ce qu'il fallait pratiquer sans négliger le reste. Guides aveugles ! Vous filtrez le moucheron, et vous avalez le chameau ! Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous purifiez l'extérieur de la coupe et de l'assiette, mais l'intérieur est rempli de cupidité et d'intempérance ! Pharisien aveugle, purifie d'abord l'intérieur de la coupe, afin que l'extérieur aussi devienne pur. » L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
La Sécurité sociale alimentaire est une initiative qui gagne du terrain en France. Elle fonctionne sur le modèle de la Sécurité sociale : chacun y contribue selon ses moyens et en bénéficie selon ses besoins. Face au réchauffement climatique et aux inégalités d'accès à une alimentation saine et durable, la Sécurité sociale alimentaire convainc de plus en plus. Reportage dans le XXᵉ arrondissement de Paris, un des quartiers de la capitale où subsiste une mixité sociale importante. Sac en papier kraft à la main, Pierre fait ses courses dans un supermarché bio du XXᵉ arrondissement de Paris. Ce jour-là, il n'a pris que des fruits et légumes frais. À la caisse, il paye via une application sur laquelle son compte est crédité chaque mois de 175 euros pour faire ses courses dans des magasins conventionnés. « J'ai 61 ans. [Actuellement] j'ai des petits boulots, mais [avant] j'ai travaillé pendant 30 ans dans le dessin animé », raconte-t-il. Depuis quelques mois, lui et sa compagne participent à une expérimentation dans leur arrondissement : la caisse alimentaire solidaire, qui suit les principes de la Sécurité sociale de l'alimentation. Ce n'est pas de l'aide alimentaire d'urgence, c'est un projet plus ambitieux et de long terme. Chacun cotise en fonction de ses revenus et reçoit en fonction de ses besoins, selon une grille progressive que nous montre Pierre : « Voilà, les grilles sont là. On fait le calcul selon le revenu net mensuel des deux personnes et on a une cotisation qui correspond à ce revenu. Je paye moins cher mes légumes pour l'instant grâce à cette cotisation. » Chaque cas est différent. Certains cotisent plus qu'ils ne reçoivent. D'autres reçoivent autant qu'ils cotisent. Pierre et sa compagne, eux, cotisent 60 euros. Et ils reçoivent donc 175 euros à dépenser dans des magasins bio sélectionnés à l'avance, collectivement, par un comité citoyen dont Pierre fait partie depuis un an : « J'étais intéressé par la démarche démocratique d'abord. Et tout ce qui en découle : le mieux vivre, le mieux manger, participer à cette expérimentation... » À lire aussiFace au changement climatique, les prix de l'alimentation s'envolent dans le monde Aujourd'hui, 100 foyers de cet arrondissement participent et cotisent. Depuis le Covid-19, l'idée d'une Sécurité sociale de l'alimentation a germé en France et s'est concrétisée dans une trentaine de villes comme Montpellier, Bordeaux ou encore Toulouse. Dans le XXᵉ arrondissement de Paris, l'expérimentation est soutenue par la mairie et par l'État, qui ont apporté 200 000 euros en tout cette année. Et le projet est porté par l'association Vivres, créée pour l'occasion par le comité citoyen et les adhérents. « C'est un projet qui va au-delà de donner l'accès à l'alimentation de qualité : cela vise aussi à transformer la production agricole. Oui, on parait être de doux rêveurs un peu cinglés... Évidemment que le projet, avant d'être abouti, semble très difficile et hors d'atteinte. Mais le projet de Sécurité sociale alimentaire vise à être étendu en France, partout, et à être aussi universel que la Sécurité sociale de la santé », explique Catherine Thomas, sa co-présidente. L'expérimentation doit s'ouvrir à de nouveaux cotisants l'an prochain. Une proposition de loi pour instaurer une Sécurité sociale de l'alimentation à l'échelle nationale a été présentée par les écologistes en début d'année, mais n'a pas pu être examinée. En pleine période de crise budgétaire, le ministre de la Santé, Yannick Neudera, a estimé que l'initiative était difficilement soutenable financièrement. À lire aussiComment rendre l'alimentation saine et durable ?
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment réapprendre à voir sans tout prévoir, à accueillir sans tout comprendre ? Comment renouer avec l'émerveillement de l'enfance ? Ilios Kotsou nous guide dans l'exploration de l'esprit d'enfance, cette manière de percevoir le monde avec curiosité, ouverture et fraîcheur. À travers une méditation guidée et un exercice à vivre au quotidien, nous apprenons à desserrer nos certitudes et à laisser une place à l'inconnu.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Quand on croit tout savoir, tout devient cliché. Quand on regarde avec des yeux neufs, la vie redevient aventure."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:10Méditation guidée pour ouvrir notre perception à ce qui est là, maintenant.07:08Exercice pour pratiquer cet esprit d'enfance dans la vie quotidienne.À réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Méditation pour nourrir ce que tu veux voir grandirAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Jeu concours : remportez une nuit magique dans une cabane avec Coucoo Cabanes > jusqu'au l'épisode du 25 aoûtDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
[SÉRIE] Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment nourrir ce qui compte vraiment pour nous ? Ilios Kotsou nous invite à explorer ce que nous cultivons en nous chaque jour : peur ou confiance, colère ou paix, rancune ou tendresse. À travers une méditation guidée inspirée de la sagesse amérindienne du « loup que tu nourris », il nous propose de revenir à ce choix intérieur : celui de nourrir ce qui compte vraiment pour nous.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son ouvrage La Sagesse des Petits Riens, publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Ce que tu nourris en toi… nourrit aussi le monde autour de toi."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:03Méditation guidée pour nourrir ce qui compte vraiment pour soi06:50Exercice pour le faire au quotidienÀ réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurMéditation pour être en pleine présence Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Remportez une nuit magique dans une cabane (2 à 6 personnes) avec Coucoo CabanesDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es », c'est notre série d'été sur RFI, à la découverte ou la redécouverte de ces jeux populaires qui sont au cœur de nos cultures et de nos identités. Aujourd'hui, direction l'Argentine, pour une plongée dans un jeu de cartes, le truco qui n'a rien à envier au football dans le panthéon des passions nationales. Le truco peut se jouer seul ou en équipe. Le principe est simple : remporter le plus de plis en maniant ruse et stratégie… Le truco, une passion argentine. De notre correspondant à Buenos Aires, « Ça va ? Je suis Gabriel, je viens du nord de Buenos Aires, j'ai 48 ans et je suis là pour participer au tournoi de Truco avec mes amis ! ». Un dimanche soir à Buenos Aires… Véritable institution ouverte en 1912, le café San Bernardo résonne du brouhaha habituel occasionné par les amateurs de ping-pong et de billard… Dans un recoin, huit tables, six joueurs par table, des jeunes, des moins jeunes, surtout des hommes. Et sur les tables, la bière, les verres, un petit carnet, et les cartes… « On a perdu de quatre points ! Ça ne s'est pas bien passé, on a manqué d'un tout petit peu de chance… Mais bon, le "truco" (prononcé Trouko) c'est l'amitié, l'argentinité, et passer un bon moment… c'est comme ça que je le vois ». Authentique passion argentine, le truco se joue pourtant avec des cartes dites espagnoles numérotées de une à douze, et sur lesquelles figurent le bâton, le denier, la coupe et l'épée… « Ce sont les Espagnols qui l'ont apporté, mais les vieux Gauchos ont adapté les règles pour se l'approprier et en faire un jeu plus autochtone, plus national, plus à nous ! Dans chaque maison, toutes les familles ont un jeu de cartes pour jouer au Truco… ». Impossible pour Gabriel de se souvenir du moment où il a appris à jouer : « Mon père m'emmenait aux réunions avec ses amis, ils se retrouvaient pour jouer. Et toute la nuit, c'étaient les rires, les embrassades, les blagues. Alors moi, tout petit, je me suis dit : je veux apprendre ça. Du coup, c'est comme continuer une tradition — une tradition familiale, mais aussi nationale ». Les règles du truco dans une main, un stylo dans l'autre pour noter les scores, Romina se glisse parmi les joueurs. Passionnée par les jeux, c'est elle qui organise le tournoi : « Quand on est petit, on joue, et puis on grandit, et tout à coup, on est censé être sérieux ». Maintenant, tu es adulte et tu n'as plus le droit de jouer, mais pourquoi ? Pourquoi tu ne pourrais plus jouer parce que tu es grand ? Alors ce bar, un peu, c'est ça. L'idée, c'est de jouer. C'est l'essence même ». Ce que Romina aime par-dessus tout, ce sont les rencontres improbables suscitées par le truco : « Dans certains tournois, il arrive souvent qu'il y ait un vendeur d'avocats qui joue peut-être avec le propriétaire d'une marque de vêtements. Et dans le jeu, ils sont tous égaux, tu vois ? Ce sont des choses qui n'arrivent peut-être que dans ce genre de situations… Et puis, avec tout ce qu'on vit aujourd'hui, surtout sur le plan politique, jouer un peu, ça te déconnecte de la réalité ». Dans l'arrière-salle d'un gymnase qu'il administre dans cette banlieue de Buenos Aires, José a fondé en 2015 rien de moins que l'association argentine de truco pour répondre à un problème majeur : « Le pays est très grand, et le truco n'avait pas de règlement unifié. Chacun jouait avec ses propres règles, et ça posait souvent des problèmes : "Non, non, moi, je joue comme ça. Moi, je ne joue pas comme ça". On a fait un règlement et on s'est dit : "Bon, et maintenant, qu'est-ce qu'on fait ?" ». Sur les murs, des affiches à la gloire de Diego Maradona et Léo Messi… En Argentine, football et truco vont de pair, au point que le premier pourrait même redorer l'image du second : « L'équipe nationale a gagné la Coupe du monde. Et eux, ils jouaient au Truco tous les jours pendant le mondial. Ce sont des super-héros pour n'importe quel Argentin. Alors c'est comme s'il y avait eu un renouveau, un regain du truco. Oui, oui. Maintenant, je vois que les jeunes y jouent, tout le monde y joue. Le truco a fait son grand retour, tu vois ? On était en train de l'oublier, et d'un coup, c'est la fureur totale ». Et demain le truco pourrait même s'exporter. La série argentine à succès El Eternauta diffusée au printemps s'ouvre sur une scène de truco, tant et si bien que José a été contacté par des fans au Japon qui souhaiteraient en apprendre les règles. À lire aussi«Dis-moi à quel jeu tu joues» en Chine: le xiangqi, «Ça fait partie de notre culture traditionnelle»
Si certains Français sont en vacances, le budget, lui, suit de moins en moins. Parmi les dépenses sacrifiées, les restaurants. Selon les professionnels du secteur, la fréquentation est en chute libre, entre 15 et 20% de clients en moins. Les touristes sont à l'euro près. Romaric Cayet l'a constaté à Bray-Dunes, sur la Côte d'Opale. Chacun a sa méthode pour réduire les coûts, à commencer par le pique-nique.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 11/08/2025 Duplomb, A69, crise climat : le droit de l'environnement a-t-il tous les droits ?"Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé", légifère l'article premier de la Charte de l'environnement, adopté il y a vingt ans et qui a une valeur constitutionnelle. C'est au titre de ce texte de loi que le Conseil constitutionnel a censuré certaines dispositions de la très controversée loi Duplomb, notamment la réintroduction de l'acétamipride, un insecticide décrié pour sa dangerosité. Une victoire juridique qui sonne un contretemps dans une série de reculs écologiques. Le droit de l'environnement est-il devenu le dernier rempart pour ses défenseurs, ou est-il un obstacle à la croissance ?On en débat avec Arnaud Gossement, avocat et Professeur associé à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Gaspard Gantzer, président du cabinet de conseil Gantzer Agency, et Anna Creti, professeure d'Économie à l'Université Paris-Dauphine.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 11 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 11/08/2025 Un guide pratique pour traquer le racisme, y compris là où on ne s'y attend pasEstelle Depris est activiste pour les droits humain et conférencière spécialisée sur les questions de discrimination raciale. Elle publie "Mécanique du privilège blanc : comment l'identifier et le déjouer ?" (Binge Audio Éditions), un ouvrage qui entend faire "sortir du déni" ses lecteurs sur la dimension systémique du racisme. Certes, on "vous répète depuis l'enfance que les races n'existent pas. Mais si vous étiez racisé.e, vous sauriez que la race existe", explique l'autrice dans l'introduction. Au fil des pages, elle décortique le privilège blanc dans les sociétés occidentales, les mécanismes sur lesquels il s'appuie et le racisme systémique qu'il implique. Duplomb, A69, crise climat : le droit de l'environnement a-t-il tous les droits ?"Chacun a le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé", légifère l'article premier de la Charte de l'environnement, adopté il y a vingt ans et qui a une valeur constitutionnelle. C'est au titre de ce texte de loi que le Conseil constitutionnel a censuré certaines dispositions de la très controversée loi Duplomb, notamment la réintroduction de l'acétamipride, un insecticide décrié pour sa dangerosité. Une victoire juridique qui sonne un contretemps dans une série de reculs écologiques. Le droit de l'environnement est-il devenu le dernier rempart pour ses défenseurs, ou est-il un obstacle à la croissance ?Enfin, Quentin Darmon dresse le portrait de Suleiman al-Obeid, légende du football palestinien, qui a été tué par l'armée israélienne lors d'une distribution d'aide alimentaire. Alors que l'Italie a pour projet de créer le plus grand pont suspendu du monde, Théophile Cossa nous raconte comment fonctionnent ces édifices. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 11 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment être là, vraiment, pour soi et pour les autres ? Comment retrouver une vraie qualité de présence ? Ilios Kotsou nous invite à explorer cette qualité précieuse : être là, vraiment. À travers une méditation et un exercice concret, il nous guide pour cultiver une attention sincère, envers les autres comme envers soi.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Être là, c'est résister à l'impulsion de tout comprendre, tout contrôler. C'est faire confiance à ce qui se tisse dans l'espace partagé."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:06Méditation guidée pour être là, pleinement07:08Exercice pour être présent dans la relationÀ réécouter :Méditation pour apaiser le tumulte intérieurAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Remportez une nuit magique dans une cabane (2 à 6 personnes) avec Coucoo CabanesDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez la collection Feu de Camp "Jeux dangereux" : une sélection d'épisodes du podcast qui rassemble les meilleures histoires de jouets possédés et de rituels démoniaques ! En automne, il y a deux catégories de personnes : celle qui opte pour une place au coin du feu, enveloppée dans un plaid épais, munie d'un bon livre et d'une tisane fumante. Et celle qui préfère pimenter son quotidien pluvieux en provoquant les esprits malins. Chacun son rituel mais nous savons pertinemment dans quelle catégorie vous êtes... Taous a donc choisi, de vous concocter un nouvel épisode de Jeux Dangereux. Trois aventures sonores frissonnantes dont vous êtes le héros ! Feu de Camp est un podcast NRJ, écrit et incarné par Taous Merakchi. Une production disponible sur l'application et le site NRJ rubrique podcast, et sur toutes les plateformes d'écoute. Production : Anne-Cécile Kirry Réalisation : Cédric le Doré Graphisme : Marlène Boulère et Guillaume Mermet Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à nous laisser des étoiles ou des commentaires. Et pour être au courant de la sortie des nouveaux épisodes, abonnez-vous au flux sur votre plateforme préférée !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Alice est mariée avec un homme qui a deux enfants adolescents. Chacun souffre d'un trouble. D'habitude, ils viennent leur rendre visite durant les vacances. Mais ça n'a pas été le cas cet été. Alice est très attachée à ces enfants et se pose la question de leur distance. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Brrrrr... C'est Halloween ! Une fête excitante pour les grands et les petits. Chacun va de porte en porte, dans le noir, pour frissonner et parfois recevoir une friandise. Et les citrouilles ? Uitgegeven door Moon Tunes B.V. Spreker: Loulou en Lou
durée : 00:41:40 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2010, Edouard Glissant publiait "10 Mai, mémoire de la traite négrière, de l'esclavage et de leurs abolitions" et une anthologie de la poésie du Tout-monde. Il était invité dans l'émission "Du jour au lendemain". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Édouard Glissant Écrivain, poète et philosophe
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Jean-Luc Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Emmanuel Macron, toute la classe politique doit gérer la question de la succession. Chacun son style..Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Il faut aller à la palabre africaine », disent les évêques de Côte d'Ivoire, après l'exclusion de plusieurs personnalités de l'opposition de la présidentielle du 25 octobre prochain. Dans une lettre pastorale publiée il y a une semaine, la Conférence des évêques de Côte d'Ivoire appelle à une élection « juste et inclusive », à laquelle, outre le président sortant Alassane Ouattara, qui a déclaré sa candidature ce 29 juillet, ses principaux opposants pourraient, eux aussi, se présenter. Mgr Jacques Ahiwa répond aux questions de Christophe Boisbouvier depuis son archevêché de Bouaké. RFI : À trois mois de l'élection présidentielle, vous venez de publier une lettre pastorale dans laquelle vous ne cachez pas votre inquiétude. Pourquoi ? Mgr Jacques Ahiwa : Parce que nous sommes des pasteurs. Nous avons les quinze diocèses de Côte d'Ivoire. Nous sommes au contact des populations. Et ce sont un peu les craintes de ces populations que nous avons essayé d'analyser, de prendre en compte non seulement dans nos prières, mais aussi dans nos analyses pour apporter quelques éléments de réponse et surtout de propositions pour apaiser, aider à apaiser ces craintes-là. Et quelles sont ces craintes ? Les craintes, c'est la peur d'une élection émaillée de violence. Nous savons depuis un certain temps que chaque fois que, les élections sont annoncées, les populations ont la peur au ventre. Et donc ça nous remonte. Tout le monde nous dit "priez, priez pour nous, faites quelque chose". Et ce que nous pouvons faire, effectivement, en tant que pasteur, c'est de prier et puis d'apporter notre contribution à la construction, à la préservation de la paix. Monseigneur Jacques Ahiwa, dans votre lettre pastorale, il y a une semaine, vous appelez à une élection « juste et inclusive », est-ce à dire que pour l'instant ces deux conditions ne vous paraissent pas réunies ? De ce qui revient des différents états-majors, je parle des groupements politiques de la société ivoirienne, nous constatons que, jusqu'à présent, il y a des dinosaures, comme on dit, de la politique ivoirienne qui ne figurent pas sur la liste électorale. Et cela crée beaucoup de tensions. Chacun fait valoir ses arguments et cela crée beaucoup de crispations dans la population. Donc en termes d'inclusion, pour l'instant, je pense que nous n'y sommes pas encore arrivés. Il y a encore du travail à faire pour que cette élection soit la plus large possible. Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam, Charles Blé Goudé… Plusieurs dinosaures, comme vous dites, n'ont pas le droit de se présenter, car les autorités affirment qu'elles ne sont pas éligibles au regard de la loi ivoirienne. Quelle est la position de la conférence épiscopale à ce sujet ? La position de la conférence, elle porte sur la loi, sur la loi fondamentale. Nous avons fait notre analyse sur la base de la loi, mais aussi de l'environnement. Ceux qui estiment qu'ils ne sont pas éligibles ont les éléments pour argumenter. Mais nous, en tant qu'acteur aussi de la vie sociale, en regardant ce qui se passe, en analysant les crispations, parce que chacun fait valoir ses arguments, on aurait souhaité que les discussions se poursuivent pour voir dans quelle mesure cette exclusion ou bien ce manque qui pourrait permettre à ces candidats de compétir puisse trouver des solutions. Concernant l'éligibilité de ces opposants, et c'est toujours dans votre lettre épiscopale, vous appelez à concilier le respect du droit et le bon sens politique. Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Nous voulons dire que, quand les lois ne permettent pas de préserver la cohésion, il faut peut-être aller à la palabre africaine. La palabre africaine, c'est quand il y a un problème presque insoluble, on active des leviers, des mécanismes pour entendre tout le monde et résoudre la question. D'autant plus que, depuis un certain temps, depuis 2010, la Côte d'Ivoire a quelques fois eu recours à ce genre de procédé. Et nous le disons très bien dans notre lettre que ce n'est pas nouveau que les acteurs de la vie politique puissent s'asseoir autour de la même table au niveau de l'élection présidentielle pour trouver des solutions. On parle même d'arrangements politiques. C'est ce que nous appelons le bon sens politique au regard des crispations, au regard de toutes les plaintes et de tout ce qui est susceptible de créer des désordres jusqu'à mort d'homme. Vous le savez très bien, les dernières élections étaient émaillées de pas mal de violence. Pour éviter tout cela, nous en appelons au bon sens politique qui consiste à s'asseoir autour de la même table et à trouver les solutions pour résoudre définitivement cette question de l'éligibilité. Est-ce que vous faites référence à l'accord politique conclu sous l'égide du président sud-africain, Thabo Mbeki, afin que Monsieur Alassane Ouattara puisse être candidat en 2010 ? Oui, nous l'avons dit dans la lettre aussi, c'est très clairement signifié. Nous parlons des accords issus des négociations de la crise de 2002, qui ont permis à tous les candidats de se présenter, au point qu'en 2010, les élections ont connu quand même un engouement assez fort. Quand il y a contradiction entre le respect du droit et le bon sens politique, qu'est-ce qui doit primer à vos yeux ? C'est la sagesse africaine, la préservation de la paix. Il n'y a pas de sacrifice de trop pour préserver la paix. Si vraiment il faut mettre entre parenthèses, dans un premier temps, le droit pour sauver les vies humaines, je pense que le choix est clair. Il faut sauver d'abord les vies humaines et après trouver vraiment les meilleurs mécanismes pour écrire des lois consensuelles qui pourront être acceptées par tous. Alors ce que disent les autorités ivoiriennes, c'est que, si elles n'appliquent pas le droit de façon stricte et rigoureuse, elles risqueront ensuite d'être accusées d'autoriser les passe-droits. Oui, ça, c'est vrai. C'est ce qu'on a toujours dit. Mais vous le savez très bien, depuis toujours, la loi, elle a été la loi et c'est face à la rigueur de la loi qu'on a toujours sollicité des médiations hors loi pour régler des crises. Il se trouve que nous sommes pratiquement dans les mêmes situations de crise qu'auparavant. Alors, je pense qu'il vaut mieux, pour sauver des vies. Nous, notre objectif, c'est cela : comment préserver la paix ? Comment faire en sorte que chaque ivoirien, chaque habitant de ce pays puisse aller et venir sans crainte en temps d'élection comme en temps de non élection. Que chacun puisse vaquer normalement à ses occupations et que les élections ne soient pas sources de crainte, de peur et surtout de violence en Côte d'Ivoire. La vie de l'homme est plus que tout. La vie est sacrée et nous, évêques de Côte d'Ivoire, nous sommes au service de la vie. Et nous sommes les veilleurs pour que tout soit mis en œuvre, même s'il faut mettre entre parenthèses pour un moment la loi pour que la vie soit sauvée, il faut le faire. Ce ne sera pas la première fois et ce ne sera pas le premier cas de figure dans le monde entier. Et puis, dans votre lettre pastorale, Mgr Jacques Ahiwa, vous dénoncez, je cite, l'amateurisme de l'administration électorale. Faut-il à vos yeux remplacer la CEI, la Commission électorale indépendante, par autre chose ? La CEI dans sa configuration actuelle est assez critiquée par les différents acteurs de la vie politique et sociale en Côte d'Ivoire. Il y a donc un travail à faire pour avoir une CEI, d'autant plus qu'elle est permanente, une CEI qui puisse être acceptée par tous pour que les règles qu'elle dicte soient reçues et bien mises en œuvre. Je pense qu'on va y arriver, mais pour l'instant, telles que les choses se présentent, la CEI, quand on la regarde, elle est un peu déséquilibrée. Et donc, il y a ce travail d'équilibrage pour qu'elle soit la plus consensuelle possible.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
[SÉRIE] Série Méditation pour s'éveiller à l'essentiel avec Ilios Kotsou, docteur en psychologie. Comment faire une pause, comment ralentir dans le tourbillon de nos vies ? Ilios Kotsou nous guide à la rencontre de notre refuge intérieur, cet espace intime, réel ou symbolique, où se recentrer et se ressourcer. À travers une visualisation guidée et un exercice simple à pratiquer au quotidien, cette méditation invite à créer une bulle de calme et de présence, accessible à tout moment.Pendant 5 semaines, Ilios Kotsou nous invite à habiter plus pleinement notre vie grâce à plusieurs exercices et méditations guidées autour de thèmes essentiels. Chacun de ces cinq épisodes s'inspirent de son magnifique nouvel ouvrage : La Sagesse des Petits Riens publié aux éditions Robert Laffont.Une citation avec Ilios Kotsou : "Le refuge, ce n'est pas fuir. C'est se retrouver. Se déposer. Se régénérer, pour mieux revenir au monde."Thèmes abordés lors du podcast avec Ilios Kotsou : 00:00Introduction04:20Visualisation guidée : ton lieu ressource08:30Exercice : trouver refuge dans l'instantAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseJeu concours : remportez une nuit magique dans une cabane avec Coucoo Cabanes !Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
durée : 00:02:09 - Le grand format - La plateforme du ministère de l'Intérieur Ma sécurité.fr cartonne. Chacun peut y signaler des rodéos urbains, de la maltraitance animale ou encore des points de deals. Elle a enregistré quatre millions de connexions depuis le début de l'année, contre six millions sur toute l'année dernière. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
Rencontre impromptue avec Pablo Servigne. Il nous parle de notre peur de nos peurs. Dans son livre Le Pouvoir du Suricate (mai 2024), il nous explique que nous n'avons toujours pas compris à quoi servait la peur.Peur de l'avenir, peur de l'échec ou du conflit, stress, éco-anxiété, angoisse existentielle… la peur est partout dans nos vies. Chacun de nous l'ignore, la fuit, la combat... ou la noie dans les médocs, l'alcool, ou les conneries.Lourde erreur selon Pablo ! Car la peur est d'abord énergie. Elle protège, stimule et mobilise. Elle existe pour sinon nous sauver, au moins nous aider ! C'est une alliée.Pour nous l'expliquer, pablo et son co-auteur ont recours à la métaphore du Suricate – le Timon de Roi Lion. Apprivoiser nos peurs, c'est retrouver le chemin de la joie, du sens et des liens.Donc de la liberté et de la sérénité.___Pablo Servigne est biologiste. il a sensibilisé sur la collapsologie à travers deux best-sellers : Comment tout peut s'effondrer (Seuil, 2015), et Une autre fin du monde est possible (Seuil, 2018). Il a fait flipper tout le monde ! Heureusement il a aussi écrit L'Entraide, l'autre loi de la jungle (LLL, 2017).___
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
Tu sens que tu plafonnes avec ton activité freelance ? Tu vends encore ton temps contre de l'argent sans savoir comment passer à l'étape suivante ? Et si tu n'étais pas seul dans ce cas ?Dans cette mini-série, je donne la parole à 5 alumni de l'Incubateur Solopreneur : Indya Pereira, Laetitia Pham, Bérangère Gonzalez, Laëtitia Debreuve et Cyril Lefèvre.Chacun partage son parcours, ses galères et les déclics qui ont changé leur business.
Le 21 juillet 2025, plusieurs chefs d'États de gauche se sont réunis à Santiago au Chili au nom de la démocratie, face à une montée croissante de l'extrême droite partout dans le monde. Un reportage de Naïla Derroisné. Les chefs d'États du Chili, de la Colombie, de l'Uruguay, du Brésil et d'Espagne étaient présents à Santiago pour défendre la démocratie, renforcer le multilatéralisme, combattre la désinformation et pour plus de justice sociale. Chacun leur tour, ils ont fait une déclaration sur les ambitions de leurs pays et de ce groupe de travail pour sauver la démocratie. « Le chemin vers la conquête de la démocratie et de la liberté a été long », a rappelé le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva. Plusieurs solutions pour renforcer les institutions démocratiques ont été discutées. L'Église haïtienne hausse le ton face à la violence des gangs Frantz Duval, le rédacteur en chef du journal haïtien Le Nouvelliste était en direct sur RFI. Il est revenu sur la Une du jour. Le journal a choisi de parler de la prise de position de la conférence des évêques haïtiens qui dénoncent la barbarie des gangs et l'inaction de l'État. « L'Église catholique sort de son silence pour exprimer les préoccupations partagées par les Haïtiens », note le rédacteur en chef. Les affrontements armés sont très fréquents dans le pays, le 24 juillet trois policiers ont été tués par des gangs dans le pays, un schéma « qui se répète trop souvent », note Frantz Duval. Au Canada, des groupes de militants fascistes s'entraînent au combat Dans un article publié par le média anglophone CBC News, on découvre que dans des parcs publics, des gymnases ou des centres d'arts martiaux au Canada, des suprémacistes blancs se préparent à la violence, en toute discrétion. Le travail de la rédaction est précis et colossal. Pendant deux mois, les journalistes ont identifié les lieux dans lesquels les « groupes actifs », ces groupes secrets de combat, bien connus dans la communauté nationaliste, se réunissent et recrutent d'autres membres. CBC a épluché des centaines de comptes Instagram, Facebook, analysé des milliers de captures d'écran. Le but : trouver des indices à partir de publications anonymes de ces hommes. Recouper des informations pour identifier des lieux, des visages... Parmi eux, il y a par exemple celui qui se fait appeler Primo, qui s'entraîne dans une salle de jiujitsu, et qui publie des messages comme : « Rendre le Canada blanc à nouveau » sur son Twitter, le soir en rentrant chez lui. L'enquête a permis d'identifier Primo et d'autres suprémacistes blancs. Désormais, on sait où ils s'entraînent, où ils se réunissent. Mais le journal CBCNews précise que c'est un phénomène qui va au-delà des frontières du Canada : il y aurait aujourd'hui 187 clubs actifs dans 27 pays. Aux États-Unis, un accord financier de 221 millions de dollars a été signé entre Donald Trump et l'Université Columbia Cet accord, c'est un « deal historique », titre le quotidien très conservateur et pro-Trump, le New York Post. Sur la Une du journal, il y a une image de plusieurs étudiants cagoulés, et puis cette phrase : « une amende de 200 millions de dollars pour discrimination et non-protection des étudiants juifs ». 200 millions de dollars, c'est bien cette somme astronomique que l'établissement a accepté de verser, hier, à l'État fédéral américain. En échange, il promet un retour des subventions et la fin des pressions menées par l'administration Trump. Elles se sont multipliées depuis le début des manifestations contre les massacres à Gaza, sur le campus, que Donald Trump a taxé d'antisémites. Dans le pays, ce compromis à été vivement critiqué. Le journal étudiant de l'université, le Spectator, évoque les frustrations face à la capitulation de la directrice de l'établissement, Claire Shipman, et lui donne la parole. « Cet accord est conforme à nos valeurs et ne franchit pas les lignes rouges que nous avons définies », assure-t-elle. Dans un autre quotidien, le New York Times, Suresh Naidu, un professeur d'économie à Columbia, n'y croit pas. « Pensons-nous vraiment que cet arrangement destructeur empêchera l'administration Trump d'arrêter à nouveau de financer la recherche ? » questionne-t-il. L'enseignant évoque les fausses promesses de Donald Trump lors de son dernier mandat et son imprévisibilité. En Colombie, une condamnation historique Le service investigation du média colombien El Tiempo a suivi de très près ce procès contre d'anciens dirigeants de la multinationale Chiquita. Une grosse entreprise américaine spécialisée dans la production de bananes. Hier, sept anciens patrons ont été condamnés à onze ans de prison pour avoir financé, via l'entreprise, un groupe paramilitaire d'extrême droite, responsable de plusieurs crimes contre les guérillas de gauche en Colombie dans les années 90. L'une des périodes de la guerre civile dans le pays, qui a fait des millions de morts. La radio colombienne Caracol salue « une décision clé ». Et une vraie étape de franchie dans l'une des affaires les plus emblématiques de financement des groupes paramilitaires en Colombie. Journal de la 1re Des bandes de plus en plus épaisses de sargasses s'échouent sur les côtes de la Guadeloupe. Ce sont des algues brunes toxiques et dangereuses pour la santé. La population est contrainte de s'éloigner du littoral.
Les aventures des Chevaliers de la Table Ronde gravitent rapidement autour de la quête du Graal. Chacun trouve sa signification au fil de son parcours initiatique, mais ce qui est certain, c'est que cette quête est un moteur efficace pour l'histoire, avec ses créatures extraordinaires, ses troubles métaphysiques et sa magie. Emanuele Arioli s'est lancé dans une longue quête des manuscrits de la Table Ronde, de l'Angleterre à l'Italie en passant par Paris. Avec : Emanuele Arioli (acteur, auteur et médiéviste), Alain Corbellari (professeur associé de littérature française médiévale).
durée : 00:23:35 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Claude Bringuier - Avec Jean Lafforgue (paysan) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:25:07 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Claude Bringuier - Avec Jean Lafforgue (paysan) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
durée : 00:23:40 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Jean-Claude Bringuier - Avec Jean Lafforgue (paysan) - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar
Inondations, érosions, glissements de terrains, rétractation et gonflement des sols argileux, les conséquences directes du dérèglement climatique sur notre habitat sont nombreuses et parfois irréversibles. Pour autant, des solutions techniques existent pour prévenir ou réparer. Chacun peut aujourd'hui diagnostiquer son exposition aux risques naturels pour adopter les bons comportements et activer les dispositifs de prévention parfois très simples et d'autres très innovants. Dans ce 6ème épisode, Mamad explore ces solutions avec ses deux invités : Simon Blaquière, directeur du Generali Climate Lab et Didier Richert, directeur général de Solinjection. Bon vol ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À quoi sert le mépris de classe ? Faut-il quitter ostensiblement le dance floor quand le DJ met du Sardou ? Que cherchons-nous à dire aux autres quand nous exhibons nos vinyles de David Bowie ? Pourquoi faut-il attendre la reprise de Juliette Armanet pour pouvoir danser sur “Partir un jour” des 2be3 sans avoir peur de passer pour un gros beauf ? Est-ce vraiment si cool de porter un T-shirt Johnny Hallyday au “second degré” ? En quoi aimer Dalida serait-il un plaisir coupable ? Pour l'autrice Rose Lamy toutes ces questions de goûts musicaux sont aussi des questions politiques. Dans son livre, Ascendant beauf, elle évoque son enfance en zone pavillonnaire à Bourges, où elle a grandi avec les tubes du Top 50 et les soirées en salle des fêtes. Tiraillée entre son goût pour les chansons populaires et la culture scolaire, elle réfléchit aux rouages de la distinction sociale et s'attaque au mythe du beauf. Car, pour Rose Lamy, le mépris culturel qui s'exerce envers les « beaufs » ou ses avatars contemporains comme le téléspectateur de Cyril Hanouna n'a rien d'anodin. Il s'inscrit dans un continuum de violences de classe, que chacun.e entretient ou subit tour à tour, sans toujours en mesurer les implications. Les effets que ça peut avoir sur nos trajectoires sociales, les relations avec notre milieu d'origine, mais aussi, de loin en loin, sur notre bulletin de vote. Dans cet épisode, Delphine Saltel mêle le récit de Rose Lamy et le travail du sociologue Félicien Faury qui a mené une grande enquête de terrain auprès des électeurs du RN en région PACA. Une réflexion musicale et politique pour remettre en question nos petits snobismes et la manière dont ils alimentent les clivages électoraux et la montée des extrêmes.Bibliographie : Pierre Bourdieu, "La distinction"Archives ou extraits : - Le goût des autres, Agnèes Jaoui et Jean-Pierre Bacri - Gérard Mauger sur France Culture dans 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? émission de Géraldine Mosna Savoye, "Sans oser le demander" Vendredi 2 juin 2023 - Extrait de Aymeric Lompret sur Radio NovaPour aller plus loin : - Félicien Faury, Vote FN et implantation partisane dans le Sud-Est de la France : racisme, rapports de classe et politisation, thèse de doctorat en science politique, sous la direction d'Éric Agrikoliansky, Université Paris Sciences et Lettres, École doctorale SDOSE, Paris, 2021.- Gérard Mauger, « De “l'homme de marbre” au “beauf” Les sociologues et “la cause des classes populaires” », Savoir/Agir, 2013. - Gérard Mauger, « Sociogenèse et usages de la figure du “beauf” », Sens-Dessous, 2019.- Philippe Coulangeon, Julien Duval (dir.), Trente ans après La Distinction, de Pierre Bourdieu, Ed. La Découverte, 2013.- Xavier de La Porte, « Pourquoi mépriser les électeurs RN est un vilain défaut », Le Nouvel Obs, 2024. - Benoît Coquard, Ceux qui restent, Ed. La Découverte, 2019.- France Culture : D'où vient la figure du beauf ?- France Culture : 50 ans après Cabu : où sont passés ses beaufs ? Enregistrements mai - juin 2025 Entretiens, prise de son et montage Delphine Saltel Musiques préexistantes Larusso tu m'oublieras / Juliette Armanet Joe Dassin, De ton côté du lit Vivaldi Réalisation Arnaud Forest Mixage Arnaud Forest Accompagnement éditorial Mina Souchon Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
On les trouve dans presque tous les foyers modernes : accrochés au plafond, discrets mais cruciaux. Les détecteurs de fumée sauvent des vies. Mais comment fonctionnent-ils exactement ? En réalité, il existe deux types principaux de détecteurs de fumée : les détecteurs ioniques et les détecteurs optiques (ou photoélectriques). Chacun repose sur une technologie différente.Le détecteur ionique utilise une petite quantité d'un élément radioactif, généralement l'américium-241. Ce matériau émet des particules alpha qui ionisent l'air dans une petite chambre. Cela signifie qu'elles arrachent des électrons aux molécules d'air, créant ainsi un courant électrique stable entre deux électrodes. Lorsque de la fumée pénètre dans cette chambre, elle perturbe le flux des particules ionisées. Le courant diminue alors brusquement — ce changement est détecté par l'appareil, qui déclenche l'alarme.Ce type de détecteur est particulièrement sensible aux feux rapides, ceux qui produisent peu de fumée visible mais beaucoup de particules très fines, comme les feux de graisse ou de papier.Le détecteur optique, lui, fonctionne sur un principe totalement différent. À l'intérieur, un faisceau lumineux (souvent infrarouge ou laser) traverse une chambre de détection. En l'absence de fumée, la lumière ne touche pas le capteur. Mais si des particules de fumée entrent dans la chambre, elles diffusent la lumière : celle-ci est alors déviée et atteint un capteur photoélectrique, qui déclenche à son tour l'alarme. Ce système est excellent pour détecter les feux couvants, comme ceux causés par une cigarette mal éteinte sur un canapé.Les modèles les plus performants combinent ces deux technologies, pour une couverture plus complète.Mais comment éviter les fausses alertes ? Les détecteurs sont conçus pour ignorer la poussière ou la vapeur d'eau en petite quantité. Cependant, placer un détecteur trop près d'une salle de bain ou d'une cuisine sans hotte peut entraîner des déclenchements inutiles. Mieux vaut les installer dans les couloirs ou les zones de passage.Enfin, un détecteur n'est utile que s'il fonctionne ! Il est donc essentiel de tester son alarme une fois par mois et de changer les piles chaque année — sauf pour les modèles avec batterie scellée de 10 ans. Et au bout de 10 ans, il faut le remplacer : les capteurs perdent en efficacité avec le temps.Un objet simple en apparence, mais basé sur des principes physiques pointus. Et surtout : un outil qui peut faire la différence entre la vie et la mort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.