87th Prime Minister of France
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durée : 00:05:58 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La criminalité environnementale, 4e source de revenus criminels après la drogue, est au cœur des préoccupations. Une proposition de loi vise à renforcer les sanctions et harmoniser les contrôles au niveau européen. - invités : Laurent Neyret Juriste, spécialisé en droit de l'environnement, droit privé et sciences criminelles. Enseignant à Sciences Po, ancien professeur à l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, ex directeur de cabinet du président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius.
Thomas Fabius, fils de l'ancien président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius, fait de nouveau parler de lui en avril 2025 à la faveur d'une opération immobilière retentissante. Il est en effet au cœur de l'acquisition de l'« îlot Chirac », un ensemble prestigieux situé dans le très chic 7ᵉ arrondissement de Paris. Estimé à 165 millions d'euros, cet îlot, composé de quatre immeubles datant de 1911 avec vue sur la Tour Eiffel, représente l'une des plus grandes transactions immobilières parisiennes récentes. Cette opération a été menée avec le soutien d'investisseurs suisses et luxembourgeois, ainsi que du groupe Pierre Rénovation Tradition (PRT).Cette nouvelle orientation vers l'immobilier de prestige constitue un véritable tournant dans la trajectoire de Thomas Fabius, souvent qualifiée de sulfureuse. Longtemps connu non pas pour ses réussites professionnelles, mais pour ses démêlés avec la justice, il a souvent fait la une des médias pour ses activités controversées. En 2012, il avait notamment fait l'objet d'un mandat d'arrêt aux États-Unis, émis par l'État du Nevada, pour une série de chèques sans provision émis dans plusieurs casinos de Las Vegas. Le montant total de ces dettes s'élevait alors à 3,5 millions de dollars. L'affaire avait éclaboussé son nom sur la scène internationale, soulignant des pratiques jugées irresponsables et relevant d'un train de vie excessif.D'autres affaires en France ont également mis en cause son train de vie et ses investissements immobiliers jugés disproportionnés par rapport à ses revenus déclarés. En 2013, une enquête avait été ouverte concernant l'achat d'un appartement à Paris pour plus de 7 millions d'euros, alimentant des soupçons de blanchiment.Dans ce contexte, l'acquisition de l'îlot Chirac peut être perçue comme une tentative de réhabilitation. Travaillant sur ce projet depuis trois ans, Thomas Fabius semble vouloir redorer son image et s'imposer comme un acteur sérieux dans le secteur de l'immobilier haut de gamme. Là où les tables de jeux laissaient place à la démesure, il semble désormais miser sur la rigueur financière et les projets structurés.Toutefois, si ce repositionnement marque un nouveau chapitre, il reste sous surveillance. Le passé de Thomas Fabius continue de nourrir la méfiance dans certains cercles économiques et politiques. Reste à voir si cette reconversion marquera un réel renouveau ou une nouvelle zone d'ombre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Gabriel Attal, Laurent Wauquiez ou encore Laurent Fabius... Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Premier tour des Législatives : le parti socialiste, dirigé par Laurent Fabius, est balayé par la droite. A deux ans de la fin du mandat de François Mitterrand, la gauche affronte l'un des pires moments de son histoire. Ecoutez Les pépites RTL avec Jérôme Florin du 21 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:02:08 - Le brief politique - La patronne des députés RN est sous la menace d'une peine d'inéligibilité qui l'empêcherait de se présenter à la prochaine présidentielle. Son avenir reste donc suspendu au Conseil constitutionnel qui confirme que Laurent Fabius ne sera plus aux commandes lors de l'examen de l'affaire.
Richard Ferrand succède à Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Cette élection a fait l'objet d'un réel suspense. Jugé trop proche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de l'Assemblée nationale a été élu, à une voix près. Pourquoi un score aussi faible ? Est-ce que cela va impacter le mandat de Richard Ferrand en tant que président du Conseil constitutionnel ? Et quel a été le rôle du Rassemblement national dans cet épisode politique ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Benjamin Morel, politologue constitutionnaliste, maître de conférences en droit à l'université de Paris Panthéon-Assas et auteur du livre "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", aux éditions Passés Composés. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Richard Ferrand succède à Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Cette élection a fait l'objet d'un réel suspense. Jugé trop proche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de l'Assemblée nationale a été élu, à une voix près. Pourquoi un score aussi faible ? Est-ce que cela va impacter le mandat de Richard Ferrand en tant que président du Conseil constitutionnel ? Et quel a été le rôle du Rassemblement national dans cet épisode politique ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Benjamin Morel, politologue constitutionnaliste, maître de conférences en droit à l'université de Paris Panthéon-Assas et auteur du livre "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", aux éditions Passés Composés. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Richard Ferrand succède à Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Cette élection a fait l'objet d'un réel suspense. Jugé trop proche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de l'Assemblée nationale a été élu, à une voix près. Pourquoi un score aussi faible ? Est-ce que cela va impacter le mandat de Richard Ferrand en tant que président du Conseil constitutionnel ? Et quel a été le rôle du Rassemblement national dans cet épisode politique ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Benjamin Morel, politologue constitutionnaliste, maître de conférences en droit à l'université de Paris Panthéon-Assas et auteur du livre "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", aux éditions Passés Composés. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Richard Ferrand succède à Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Cette élection a fait l'objet d'un réel suspense. Jugé trop proche d'Emmanuel Macron, l'ancien président de l'Assemblée nationale a été élu, à une voix près. Pourquoi un score aussi faible ? Est-ce que cela va impacter le mandat de Richard Ferrand en tant que président du Conseil constitutionnel ? Et quel a été le rôle du Rassemblement national dans cet épisode politique ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Benjamin Morel, politologue constitutionnaliste, maître de conférences en droit à l'université de Paris Panthéon-Assas et auteur du livre "Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme", aux éditions Passés Composés. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Au sommaire de l'émission :Elisabeth Borne annonce la mise en place de fouilles inopinées des sacs des élèves dans les établissements scolaires dès le printemps prochain pour lutter contre l'augmentation des violences en milieu scolaire.Richard Ferrand est nommé à la présidence du Conseil constitutionnel, succédant à Laurent Fabius.Le 61e salon de l'agriculture ouvre ses portes demain avec un dispositif de sécurité renforcé pour encadrer les visites de personnalités politiques.La loi d'orientation agricole a été définitivement adoptée au Parlement, suscitant des critiques de la gauche et des écologistes.Le ministre de l'Économie Éric Lombard estime que la France n'a pas les moyens d'abroger la réforme des retraites de 2023.François Bayrou et Elisabeth Borne s'expriment sur l'affaire des soupçons de violences et d'agressions sexuelles au sein de l'école catholique de Bétharame.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Il est ancien directeur de cabinet de Pierre Moscovici, nommé par Laurent Fabius secrétaire général adjoint du ministère des Affaires étrangères, coordinateur de l'agenda finance pour la présidence française de la COP21 jusqu'à la négociation finale de l'Accord de Paris sur le climat Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Richard Ferrand a été choisi par Emmanuel Macron pour succéder à Laurent Fabius. Le choix du chef de l'État dérange l'opposition pour plusieurs raisons.
Encore un nouvel épisode de La République des copains. Le Macroniste Richard Ferrand a été proposé par l'Elysée pour prendre la suite de Laurent Fabius à la tête du Conseil Constitutionnel. L'ancien président de l'assemblée nationale, par ailleurs toujours à la tête du bureau exécutif de Renaissance, peut-il vraiment présider une institution comme le Conseil Constitutionnel, en toute indépendance ? Quelle légitimité pour quelqu'un n'a aucune compétence juridique et qui va se recase à un poste prestigieuse après avoir lamentablement échoué à se faire élire député en 2022 ? L'intéressé a de surcroît un passé sulfureux et une affaire dont il n'a pu se sortir que parce qu'il y avait prescription. En 2022, La cour suprême de l'ordre judiciaire confirme la prescription des faits, qui, dans l'affaire dite des Mutuelles de Bretagne, qui valaient à l'ancien président de l'Assemblée nationale une mise en examen pour prise illégale d'intérêts. On en parle dans "La Chronik de Beligh", votre programme hebdomadaire avec Beligh Nabli, professeur des universités en droit public et co-fondateur de Chronik, un collectif engagé dans le débat public. Également auteur de multiples ouvrages dont “l'Etat, droit et politique” aux éditions Armand Colin et “Relations Internationales” aux éditions Pedone. Beligh Nabli nous livre donc son expertise une fois par semaine, sur la politique nationale et internationale dans cette émission qui analyse sans détour deux faits majeurs de l'actualité.▶ Soutenez Le Média :
L'émission 28 minutes du 12/02/2025 Richard Ferrand en piste pour présider le Conseil constitutionnel : le fait du prince ?C'est l'un des postes les plus prestigieux de la Ve République, Laurent Fabius rendra son poste de président du Conseil constitutionnel le 7 mars, après un mandat de 9 ans. Qui lui succédera ? Emmanuel Macron a choisi de nommer Richard Ferrand, ancien président de l'Assemblée nationale mais surtout macroniste de la première heure. Son profil divise notamment parce qu'il n'a pas de compétences juridiques spécifiques. Certains considèrent aussi qu'il n'aurait pas le poids politique suffisant en cas d'arrivée du Rassemblement national au pouvoir en 2027. Marine Le Pen est en effet très critique à l'égard du Conseil constitutionnel et de son rôle dans la vie politique. Les parlementaires des commissions des lois peuvent invalider cette nomination si 3/5e des suffrages exprimés sont contre. Pour en parler nous recevons le constitutionnaliste Benjamin Morel qui publie le 19 février “Le nouveau régime ou l'impossible parlementarisme”. Trump, Netanyahu ou le Hamas : qui met en péril le cessez-le-feu à Gaza ?Le 19 janvier, l'accord de trêve entre Israël et le Hamas entrait en vigueur, 15 mois après le début de la guerre dans la bande de Gaza. Il prévoyait l'arrêt des hostilités en échange de la libération progressive des otages israéliens détenus par le Hamas et de prisonniers palestiniens par Israël. Depuis son entrée en vigueur, 16 otages ont été libérés en échange de 765 prisonniers palestiniens. Le prochain échange doit avoir lieu ce week-end mais le Hamas a laissé planer le doute sur la libération des prochains otages et accusé Israël d'avoir violé à plusieurs reprises le cessez-le-feu. Les relations se sont tendues ces derniers jours. Samedi dernier, la mise en scène de la libération des trois otages israéliens a crispé les autorités israéliennes et l'opinion. Les trois hommes, physiquement très affaiblis, ont été exhibés par le Hamas avant d'être remis. Dans le même temps, les déclarations de Donald Trump ces dernières semaines ont choqué. Après avoir évoqué la création d'une “Côte d'Azur” dans la bande de Gaza, il a récidivé lundi 10 février en déclarant que les Palestiniens relogés dans un autre pays ne seraient pas autorisés à revenir dans l'enclave. Ces différentes déclarations ne rassurent pas quant au bon déroulement de la trêve, d'autant que les négociations de la deuxième phase (sur les trois prévues) n'ont pas encore débuté. Enfin, Marjorie Adelson s'intéresse à la télévision nord-coréenne qui, entre des messages de propagande, diffuse les événements sportifs internationaux… plus d'un mois après et dans le désordre ! Marie Bonnisseau nous explique pourquoi le titre “Tonton du bled” du groupe 113 sort seulement vendredi sur Spotify, 25 ans après sa sortie. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 février 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
C'est aujourd'hui qu'Emmanuel Macron doit nommer le nouveau président du Conseil Constitutionnel, en remplacement de Laurent Fabius. L'occasion pour Florian Gazan de vous expliquer pourquoi les membres du Conseil Constitutionnel sont surnommés "les Sages". Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.
Emmanuel Macron doit dévoiler le nom du successeur de Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Richard Ferrand, proche du Président de la République, semble être le favori du chef de l'Etat. Pourquoi la nomination du nouveau président des Sages est si importante dans le contexte politique actuel ? Écoutez Jean-Philippe Derosier, constitutionnaliste. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 10 février 2025.
Emmanuel Macron doit dévoiler le nom du successeur de Laurent Fabius à la tête du Conseil constitutionnel. Richard Ferrand, proche du Président de la République, semble être le favori du chef de l'Etat. Pourquoi la nomination du nouveau président des Sages est si importante dans le contexte politique actuel ? Écoutez Jean-Philippe Derosier, constitutionnaliste. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 10 février 2025.
Emmanuel Macron doit nommer ce lundi 10 février le successeur de Laurent Fabius à la tête du Conseil Constitutionnel. L'institution qui se charge de veiller que les lois respectent bien la Constitution, joue également un rôle politique.
durée : 00:02:29 - Le brief politique - Pour prendre la suite de Laurent Fabius, le chef de l'État pense à l'ancien président de l'Assemblée nationale dont il est très proche. Un choix qui risque d'affaiblir l'institution d'après des constitutionnalistes.
durée : 00:02:35 - La politique avec - Il reste un peu moins de quinze jours à Emmanuel Macron pour décider quelle personnalité succèdera à Laurent Fabius à la présidence du Conseil constitutionnel. Un choix toujours délicat.
Cette semaine, Laurent Neumann reçoit Denys de Béchillon, Professeur à l'Université de Pau et membre du Club des juristes, pour analyser les enjeux liés aux prochaines nominations au Conseil Constitutionnel, dans un contexte politique marqué par une grande instabilité. Quels sont les critères qui président à ces nominations ? Quels profils seront retenus pour ces fonctions cruciales ? Et quels enjeux, tant politiques qu'institutionnels, se dessinent derrière ces décisions ? Toutes les réponses dans Quid Juris ! Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Laurent Fabius partira le 7 mars après 9 ans à la tête du Conseil Constitutionnel. Le Président réfléchit déjà à un successeur. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les anciens Premiers ministres français bénéficient, après leur mandat, de divers avantages financés par l'État, tels que la mise à disposition de véhicules avec chauffeurs et de collaborateurs. Ces privilèges, bien que réglementés, engendrent des coûts significatifs pour les contribuables. En 2023, les dépenses associées à ces avantages ont atteint 1,42 million d'euros, marquant une augmentation de 11 % par rapport à l'année précédente. Classement des anciens Premiers ministres selon les coûts engendrés en 2023 : 1. Bernard Cazeneuve : Avec des dépenses totalisant 218 658 euros, Bernard Cazeneuve, qui a occupé le poste de Premier ministre de décembre 2016 à mai 2017, est l'ancien chef de gouvernement le plus coûteux pour l'État en 2023. 2. Dominique de Villepin : Ses dépenses s'élèvent à 197 539 euros, le plaçant en deuxième position. 3. Jean-Pierre Raffarin : Avec 167 467 euros de dépenses, il occupe la troisième place. 4. Lionel Jospin : Ses dépenses atteignent 162 012 euros, le positionnant en quatrième place. 5. François Fillon : Les dépenses associées à ses avantages s'élèvent à 140 039 euros. À l'opposé, certains anciens Premiers ministres ont généré des coûts moindres. Par exemple, Jean Castex n'a dépensé que 3 607 euros en frais automobiles en 2023. De plus, Édouard Philippe et Laurent Fabius ne bénéficient pas de ces avantages en raison de leurs fonctions actuelles respectives de maire du Havre et de président du Conseil constitutionnel. Il est important de noter que depuis un décret de 2019, les avantages en nature pour les anciens Premiers ministres sont limités à une durée de dix ans et cessent lorsqu'ils atteignent 67 ans. Cependant, cette réglementation ne s'applique qu'aux Premiers ministres ayant quitté leurs fonctions après la promulgation du décret, laissant les précédents bénéficiaires sans ces restrictions. Face à l'augmentation des dépenses liées aux anciens Premiers ministres, des voix s'élèvent pour appeler à une réduction de ces avantages. La députée Marie-Christine Dalloz a notamment souligné la nécessité d'une plus grande exemplarité, surtout dans un contexte de contraintes budgétaires accrues. En conclusion, bien que les avantages accordés aux anciens Premiers ministres visent à reconnaître leurs services rendus, ils engendrent des coûts notables pour l'État. La mise en place de réglementations plus strictes et une prise de conscience accrue de la part des bénéficiaires pourraient contribuer à une gestion plus équilibrée de ces dépenses publiques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:54:21 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Le 27 décembre 1985, Jacques Perrot, médiatique avocat parisien, meilleur ami du Premier ministre Laurent Fabius et mari de la célèbre jockey Darie Boutboul, est assassiné dans la cage d'escalier de son immeuble du XVIᵉ arrondissement de Paris. - invités : Isabelle Horlans - Isabelle Horlans : Ecrivain et journaliste - réalisé par : Helene Bizieau
Philippe Caverivière profite de la présence de Laurent Fabius pour évoquer avec nostalgie la politique française.
Liban, gouvernement Michel Barnier : écoutez l'interview de Laurent Fabius, Président du Conseil Constitutionnel. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 25 septembre 2024.
Philippe Caverivière profite de la présence de Laurent Fabius pour évoquer avec nostalgie la politique française.
Liban, gouvernement Michel Barnier, Ve République... Écoutez l'interview de Laurent Fabius, Président du Conseil Constitutionnel. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 25 septembre 2024.
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 20 septembre 2014, Laurent Gerra imitait Laurent Fabius, Jean-Yves Le Drian ou encore Jean-Luc Mélenchon...
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 3 septembre 2014, Laurent Gerra imitait notamment Alain Juppé, Jean d'Ormesson ou encore Laurent Fabius...
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 25 juin 2014, Laurent Gerra imitait notamment Raymond Domenech, Laurent Fabius, Marine Le Pen et Jean-Marie Le Pen.
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 4 juin 2014, Laurent Gerra imitait notamment François Bayrou, Laurent Fabius et François Hollande.
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 3 mai 2014, Laurent Gerra imitait notamment Laurent Fabius, Charles Aznavour et Alain Souchon.
Un couple à la dérive entre le monde des courses hippiques et le barreau de Paris. Des mensonges à n'en plus finir, de l'argent et un meurtre : celui de Jacques Perrot, l'époux de Darie Boutboul, célèbre femme jockey, star du tiercé dans les années 80. Dans cette nouvelle saison de Home(icides), Caroline Nogueras va vous raconter l'un des faits divers qui a le plus marqué les années 80 et 90. Une histoire digne d'un polar avec comme personnage principal une femme mystérieuse et mythomane : Marie-Elisabeth Cons-Boutboul. Des mensonges en cascade Qui a tué Jacques Perrot, l'époux de Darie Boutboul, femme jockey et star du tiercé ? Cet avocat d'affaires brillant, ami du Premier ministre de l'époque Laurent Fabius, a été exécuté le 27 décembre 1985. Très vite, les enquêteurs se tournent vers la belle-mère de la victime. Le soir du meurtre, Marie-Elisabeth Cons-Boutboul avait donné rendez-vous à son gendre avant de le décommander. Elle niera. Premier mensonge d'une très longue série. Et si dans la vie d'Elisabeth Cons Boutboul, rien n'était vrai ? Découvrez la saison précédente en intégralité : Jean-Yves Labrousse, l'histoire d'un miraculé Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Célia Brondeau En partenariat avec upday. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 4 avril 2014, Laurent Gerra imitait notamment Eva Joly, José Bové et Laurent Fabius.
Lors d'un dîner en janvier 2012, Roger Hanin se chargeait de l'animation, pour le plus grand bonheur de François Mitterrand et de Laurent Fabius. Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.
durée : 00:12:09 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Ali Baddou, Marion L'hour - À 7h50 nous recevons Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel. Un poste qu'a aussi occupé son ami Robert Badinter, mort ce vendredi à 95 ans.
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 8 février 2014, Laurent Gerra imitait notamment Gérard Depardieu, Gérard Holtz, Dominique Strauss-Kahn, François Hollande et Laurent Fabius.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnement Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 26 janvier 2024. Avec cette semaine : Michel Eltchaninoff, rédacteur en chef du mensuel Philosophie Magazine. Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique. Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors. Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova. LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL ET LA LOI IMMIGRATION Le projet de loi sur l'immigration adopté dans un climat de tension par le Parlement le 19 décembre, restreignait le regroupement familial, l'accès des non-Européens à certaines prestations sociales et mettait fin à l'automaticité du droit du sol … Fin décembre, la loi a fait l'objet de quatre saisines du Conseil constitutionnel : celle du président de la République, celle de la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet et deux saisines de députés et sénateurs de gauche. De l'aveu même du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, qui a porté ce texte, plusieurs dispositions étaient « manifestement et clairement contraires à la Constitution » et certains au sein de l'exécutif espéraient une censure partielle. Le 8 janvier, Emmanuel Macron, lors de la présentation de ses vœux au Conseil constitutionnel, s'était fait sermonner par Laurent Fabius, qui déclarait que la juridiction qu'il préside n'est « ni une chambre d'écho des tendances de l'opinion, ni une chambre d'appel des choix du Parlement », qui soulignait « une certaine confusion chez certains entre le droit et la politique » avant de rappeler au chef de l'Etat les bases d'un « Etat de droit », et notamment cette règle : on ne peut pas voter une loi dont on sait que certaines dispositions sont contraires à la loi fondamentale. L'occasion de citer son prédécesseur Robert Badinter : « Une loi inconstitutionnelle est nécessairement mauvaise, mais une loi mauvaise n'est pas nécessairement inconstitutionnelle ». Dans sa décision rendue jeudi, le Conseil constitutionnel a censuré plus du tiers du texte, dont le durcissement de l'accès aux prestations sociales. Des 86 articles de la loi, 32 ont été censurés en tant que cavalier législatif, en raison de l'absence de lien entre leur objet et celui de la loi. C'est le cas des articles liés au regroupement familial, la mise en place d'une caution pour les étudiants étrangers, la délivrance d'un titre de séjour pour motif de santé ou encore la restriction des prestations sociales (allocations familiales, aide personnalisée au logement…).. Toutes ces mesures avaient été portées par Les Républicains (LR) dans le cadre de l'accord passé avec la majorité pour faire voter la loi. Après la censure du Conseil Constitutionnel, Gérald Darmanin se félicite de la validation de « l'intégralité du texte du gouvernement », LR réclame un « projet de loi immigration 2 » pour y inclure les mesures rejetées, le RN demande un référendum. LES RÉVOLTES PAYSANNES EN EUROPE L'Europe est depuis plusieurs semaines agitée par les révoltes des agriculteurs contre de multiples politiques, bruxelloises et nationales, climatiques ou économiques. Une vague de colère se répand chez les agriculteurs allemands, roumains, espagnols, français ou néerlandais, pour des raisons propres à chaque pays, mais qui se rejoignent dans leur dénonciation unanime de mesures trop contraignantes et trop chères. Souvent revient la question des enjeux climatiques, faisant resurgir un conflit redondant entre le monde agricole et environnemental. La première mèche a été allumée aux Pays-Bas. Les agriculteurs néerlandais se sont engagés dans une révolte nationale contre un plan du gouvernement qui visait à réduire le nombre de vaches de 30 % d'ici 2030, afin de faire baisser les émissions d'azote du pays. Cette colère a résonné en Irlande, où les producteurs laitiers ont manifesté leur mécontentement eux aussi contre des restrictions imposées à l'azote. Même causes, mêmes effets en Belgique. En Allemagne, en revanche, les agriculteurs se mobilisent contre une réforme de la fiscalité qui prévoit en 2026 de supprimer une exonération sur le diesel agricole. Partout, les inquiétudes des agriculteurs se cristallisent autour des répercussions financières de mesures qui mêlent économies budgétaires et décisions écologiques. Mais les politiques climatiques ne sont pas les seules à déstabiliser le monde agricole. En Roumanie et en Pologne, la guerre en Ukraine remet en question les modèles économiques des exploitants locaux. L'ouverture à l'importation des céréales ukrainiennes pour soutenir l'économie de leur voisin en guerre a mis en difficulté leurs producteurs nationaux. Résultat : des centaines de tracteurs et camions de marchandises ont paralysé les routes polonaises et roumaines, et même des voies de passage avec l'Ukraine. Les agriculteurs européens dénoncent tous le Pacte vert européen ou Green Deal qui prône la transition écologique des Etats membres de l'UE, fixe des objectifs de réduction d'usage des pesticides, de développement de l'agriculture biologique et de protection de la biodiversité, mais qui intervient dans un contexte déjà tendu pour les agriculteurs, bousculés par des événements climatiques extrêmes, la flambée de leurs coûts de production et les conséquences commerciales de la guerre en Ukraine. En France, selon un sondage Elabe/BFM 70% des Français pensent que la mobilisation va déclencher « un mouvement social de grande ampleur dans les prochaines semaines ». 89% soutiennent le mouvement (plus que pour les Gilets Jaunes) et 70% approuvent le blocage des routes et refusent toute intervention des forces de l'ordre. Le malaise paysan pourrait vite trouver une traduction dans les urnes : selon le dernier sondage Elabe, 51 % des agriculteurs placent la question du pouvoir d'achat et de la lutte contre l'inflation en tête des enjeux des élections européennes, et 29 % se disent prêts à voter pour la liste Bardella. A quelques semaines du lancement du Salon international de l'agriculture, qui se tiendra du 24 février au 3 mars à Paris, l'exécutif tente une modération.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
durée : 00:25:21 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - Le couperet est tombé. Sur les 86 articles de la loi immigration, 35 ont été retoqués totalement ou partiellement par le Conseil constitutionnel. La plupart de ces mesures avaient été adoptées en décembre sous la pression de la droite et avec l'appui de l'extrême droite. - invités : Laurent Fabius - Laurent Fabius : Président du Conseil Constitutionnel
Alors que plusieurs dizaines de milliers de personnes ont défilé dimanche dernier en France pour demander le retrait de la loi « immigration », les membres du Conseil constitutionnel doivent décider ce jeudi s'ils censurent, partiellement ou totalement, le texte.Une telle censure serait loin d'être une surprise, puisque le gouvernement lui-même a admis que plusieurs dispositions adoptées par le Parlement ne seraient pas constitutionnelles.Lundi 8 janvier dernier, à l'occasion de ses vœux au président de la République, le président du Conseil constitutionnel, Laurent Fabius, a rappelé que l'institution qu'il préside « n'était ni une chambre d'écho des tendances de l'opinion, ni une chambre d'appel des choix du Parlement ». Une allusion à peine voilée à la loi « immigration ».Quel est le rôle exact du Conseil constitutionnel ? Le gouvernement fait-il un calcul politique en pariant sur une censure partielle du texte ? Et dans ce cas, le Conseil constitutionnel peut-il être à son tour accusé de faire de la politique ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Jean-Philippe Derosier, constitutionnaliste et professeur de droit public à Lille, répond à ces questions.Un épisode de Jean-Guillaume Santi, avec Cyrielle Bedu et Garance Muñoz. Réalisation et musiques : Amandine Robillard.
Ecoutez Le surf de l'info du 10 janvier 2024 avec Cyprien Cini.
La fabrique : la COP 28 pour le climat Sources diplomatiques est le podcast réalisé par les équipes du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères : une plongée au cœur de la diplomatie française, une invitation à découvrir les rapports d'influence, les négociations, les questions stratégiques et la mécanique des grands enjeux politiques internationaux. Avec cette nouvelle série la fabrique nous entrons dans les coulisses des grandes négociations, au plus près du travail de terrain. Anne-Claire, diplomate au porte-parolat du ministère, vous emmène à la COP 28 à Dubaï. Dans ce cinquième et dernier épisode, Anne-Claire vous fait vivre les dernières heures de la COP 28 avec notamment Stéphane Crouzat, Ambassadeur pour les négociations climatiques, Philippe Cherabier, négociateur pour le bilan mondial de l'Accord de Paris, et Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel et président de la COP 21. Impatients ? Sans doute. Fatigués ? Un peu... Après deux semaines de COP, les négociateurs français pour le climat voient, avec le texte du bilan de l'Accord de Paris soumis à l'adoption des Parties, de longs mois de travail se concrétiser. C'est ce texte qui sera la "décision de couverture" pour employer le terme consacré de la COP 28. Et si l'espoir était de mise, notamment sur la question des énergies fossiles, le chemin est loin d'être tranquille, et plus encore aux dernières heures de la négociation. Suivez-nous, on vous raconte ! Retrouvez toutes les séries et les épisodes de Sources diplomatiques sur votre plateforme d'écoute.
Du lundi au vendredi, retrouvez en podcast la chronique de Laurent Gerra sur l'antenne de RTL, il y a 10 ans. Le 4 décembre 2013, Laurent Gerra imitait notamment Raymond Domenech, François Hollande, John Rambo et Laurent Fabius.
La COP 28 s'ouvre jeudi 30 novembre, à Dubaï, où les représentants de près de 200 pays vont négocier pendant deux semaines. Cette conférence de l'ONU sur le climat est la plus importante depuis l'accord de Paris, adopté en 2015 lors de la COP 21.Laurent Fabius, chef de la diplomatie française en 2015 et aujourd'hui président du Conseil constitutionnel, était à l'époque le président de la COP 21. Il raconte aux journaliste Benjamin Legendre, Madeleine Pradel et Ivan Couronne les coulisses de ce "grand succès".L'objectif de l'accord de Paris de 2015 consiste à limiter le réchauffement de la planète "bien en deçà" de 2 degrés Celsius depuis l'époque préindustrielle (1850-1900), et de 1,5 degré si possible.Réalisation : Antoine BoyerSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Nous cherchons à nous améliorer tous les jours et avons préparé un sondage pour vous. Prenez trois minutes pour le remplir iciEt bien sûr, écrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
je vous partage cette semaine un épisode magnifique, avec un invité hors du commun, un homme qui a traversé la politique et l'entrepreneuriat social des 35 dernières années. Cet épisode, c'est un monument d'histoire, une anthologie de l'activisme. Mon invité de la semaine, c'est JEAN-MARC BORELLO, le fondateur et président du GROUPE SOS.
"RTL Sans Filtre", c'est le nouveau rendez-vous d'humour cette saison sur RTL. Désormais le week-end, les Grosses Têtes vous proposent de découvrir en podcast les chroniques de Sébastien Thoen, que vous connaissez tous, mais également celles de Mathieu Madénian, Bertrand Chameroy, Elodie Poux ou encore Sandrine Sarroche. Sandrine Sarroche fait de Laurent Fabius, le président du Conseil constitutionnel, son champion de la semaine. Du lundi au vendredi, à 7h20 sur RTL, découvrez le nouveau rendez-vous humour de la matinale, avec Bertrand Chameroy, Mathieu Madénian, Élodie Poux, Sébastien Thoen et Sandrine Sarroche. Chaque jour, un humoriste délivre son billet d'humeur, mais surtout son regard décalé sur l'actualité.