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Animaux, bactéries, plantes, protistes, champignons… Il n'y a pas un mais des planctons, dans toutes les branches du vivant. Ces organismes sont souvent unicellulaires ou microscopiques… même si l'animal le plus long du monde, le siphonophore, qui peut dépasser 100 m, en fait partie !Ils sont parmi les premiers êtres vivants apparus sur Terre. Après avoir régné seuls dans les océans pendant des milliards d'années, ils furent et sont toujours la matrice de la Vie. Le reste du Vivant descend d'eux. Ils représentent toujours 60 % de la biomasse animale dans l'océan.Nous devons au plancton, in fine, 100% de l'oxygène qu'on respire… si l'on tient compte du fait qu'ils ont permis l'émergence des algues puis des plantes, les autres producteurs actuels.Son importance est cruciale pour le climat, car il absorbe le CO2, pour la biodiversité, car il est au départ de toutes les chaînes alimentaires. Il purifie l'eau et recycle les nutriments vitaux pour la vie marine.Les falaises de Douvres et les craies pour les tableaux sont les reliques des planctons morts…… tout comme le pétrole ! Et on brûle chaque année un million d'années de plancton sédimenté.Malgré tout ça, le plancton est le parent pauvre des politiques internationales.Vincent Doumeizel, conseiller pour les océans à l'ONU, est l'auteur du Manifeste du plancton. Il nous explique pourquoi et comment le plancton doit devenir la clé de voûte et la priorité des politiques._______
L'Invité Afrique est la Sud-Africaine Bajabulile Swazi Tshabalala. Ancienne vice-présidente de la Banque africaine de développement en charge des finances, elle fait partie des cinq candidats à la présidence de la BAD qui seront départagés le 29 mai, pour succéder au Nigérian Akinwumi Adesina. Elle répond aux questions de Claire Fages. RFI : Vous avez passé une grande partie de votre carrière dans le secteur privé. Est-ce un avantage par rapport aux autres candidats à la présidence de la Banque africaine de développement?Bajabulile Swazi Tshabalala : J'ai passé une bonne partie de ma carrière dans le secteur privé – même si j'ai également travaillé dans des entreprises publiques en Afrique du Sud, dans une société de logistique et que j'ai passé six ans à la Banque africaine de développement. Et je pense qu'aujourd'hui c'est un avantage parce que nous devons repenser le financement du développement en Afrique et nous assurer que nous pouvons faire appel au secteur privé. Je pense que cela me donne un avantage.En tant qu'ancienne vice-présidente chargée des finances de la BAD, votre action sera-t-elle en phase avec les deux mandats d'Akinwumi Adesina ?J'ai participé à la rédaction de la dernière stratégie de la banque. Et ma vision s'appuie vraiment sur cette stratégie décennale. J'ai donc toujours affirmé que l'Afrique n'avait pas besoin de nouveaux plans mais de concrétiser ces plans. Et c'est vraiment sur cela que se concentre ma vision, que j'appelle Lift Africa.À la fin de son premier mandat, M. Adesina a été critiqué pour sa gouvernance. La banque doit-elle encore progresser sur ce point ?Toutes les organisations doivent examiner leur gouvernance pour voir où elles peuvent l'améliorer. C'est particulièrement important pour attirer le secteur privé et s'assurer qu'il soit un partenaire à long terme de la BAD pour financer le développement de l'Afrique.Dans votre programme, vous insistez sur le manque d'infrastructures du continent. Est-ce actuellement la plus grande faiblesse des économies africaines ?Les emplois ne sont pas créés par les banques de développement mais par le secteur privé. Ce dernier a besoin d'une électricité fiable. Pour accéder aux marchés, il a besoin de routes, de voies ferrées, de ports et de connexions numériques. Ce sont les défis de l'Afrique et c'est pourquoi les infrastructures sont le fondement d'une accélération de son développement.Avez-vous des projets prioritaires à l'esprit ?Oui. Je pense évidemment que l'accès à l'électricité est extrêmement important. Je ferai en sorte d'accélérer les choses. Il y a aussi de grands projets sur la table dont il faut finaliser le financement. Par exemple, le corridor minéralier de Lobito, reliant la Zambie, la RDC et l'Angola ; le corridor de Nacala en Afrique australe. Il y a aussi la route Lagos-Abidjan, qui est un projet important.L'un des défis de la BAD est sa capacité à prêter plus d'argent. Vous avez contribué à augmenter son capital en émettant de la dette assimilée à du capital. Cette opération peut-elle être répétée ou existe-t-il d'autres solutions ?Là encore, c'est un exemple de la contribution du secteur privé aux banques de développement. J'ai introduit cet instrument à la BAD pour nous permettre de lever des capitaux à long terme, ce qui est indispensable au développement. Il s'agissait de lever des capitaux à long terme auprès d'investisseurs institutionnels du monde entier, plutôt que de solliciter comme d'habitude nos actionnaires. Donc oui, je pense que nous pouvons émettre plus de capital hybride. Il existe également d'autres instruments que nous pouvons déployer, y compris utiliser le capital de la banque pour dé-risquer les investissements du secteur privé.La décision des États-Unis de ne pas contribuer au Fonds africain de développement dédié aux États les plus fragiles est-elle une source d'inquiétude pour la BAD ?Oui bien sûr, parce que ce type de subventions reste crucial. La Banque africaine de développement continuera donc à plaider en faveur de ces financements, tout en travaillant par exemple avec les fondations philanthropiques : Bill Gates a annoncé qu'il déploierait 200 milliards de dollars au cours des 20 prochaines années pour aider les Etats fragiles du continent. Nous devons aussi examiner les autres régions en mesure de contribuer davantage pour pallier ce manque, et aider en particulier les pays fragiles.
Kris and Devin tackle celebrity sightings, the Boston marathon, Kona finishers vs Boston finishers, Oceanside 70.3 flat tire pro chirping and Devons mid-life crisis event. As always bumper music credits: Spymob "National Holidays" from the album "Sitting Around Keeping Score"
Romain Desarbres reçoit Sylvain Maillard pour discuter de la question du voile en France. Il exprime son point de vue sur la nécessité d'une laïcité stricte et sur les défis liés à la place de la religion dans la société française. Il aborde également la question de la condition des femmes et de la tendance de la société à se tourner de plus en plus vers le religieux, ce qui peut mener à une forme de séparation du reste de la société.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bertrand Dumazy, PDG d'Edenred, est l'invité de Stéphane Pedrazzi Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retour sur l'état d'urgence budgétaire déclaré ce matin par François BAYROU. Le premier ministre entend ouvrir les yeux des Français sur la gravité de la situation et les préparer aux 40 milliards d'économies prévus en 2026. Mais son constat est-il le bon ? Devons-nous tous nous serrer la ceinture ou existe-t-il d'autres voies pour redresser nos finances ? On en débat ce mardi 15 avril avec nos invités : ▶︎ Anne-Sophie ALSIF, Cheffe économiste de BDO France, professeur d'économie à la Sorbonne▶︎ Mathieu SOUQUIÈRE, Essayiste▶︎ Sophie BINET, Secrétaire générale de la CGT▶︎ Lisa THOMAS-DARBOIS, Directrice des études France chez Institut Montaigne▶︎ Florence PORTELLI, Maire de Taverny, Première vice-présidente de la région Ile-de-France et vice-présidente de l'Association des Maires de France▶︎ Mathieu LEFÈVRE, Député Renaissance du Val-de-Marne
L'appel du président chinois aux Européens… Xi Jinping invite l'Europe à résister avec lui aux tarifs douaniers de Trump, pour protéger la mondialisation et le commerce international. Alors faut-il répondre à cette main tendue ou s'agit-il en réalité d'un piège ? Devons-nous, Européens, choisir notre camp entre la Chine et les États-Unis ? Bref, comment tirer notre épingle du jeu dans cette nouvelle donne économique mondiale ? On en débat ce lundi 14 avril avec nos invités : ▶︎ Alice EKMAN Analyste responsable de la Chine et de l'Asie à L'Institut d'études de sécurité de l'Union européenne (IESUE), autrice de « Dernier vol pour Pékin. La Chine face à l'Occident » aux éditions Flammarion (Septembre 2024).▶︎ Arnaud ORAIN Economiste et historien, directeur d'études à l'EHESS, auteur de « Le monde confisqué : Essai sur le capitalisme de la finitude (XVIᵉ - XXIᵉ siècle) » aux éditions Flammarion (janvier 2025)▶︎ Valérie HAYER Députée européenne, Présidente du groupe Renew Europe▶︎ Nicolas BOUZOU Economiste et essayiste, Fondateur d'asteresinfo, auteur de « La civilisation de la peur » aux éditions XO (février 2024)▶︎ Frédéric ENCEL Géopolitologue, professeur à Sciences Po Paris, auteur de « La guerre mondiale n'aura pas lieu : les raisons géopolitiques d'espérer » aux éditions Odile Jacob (Mars 2025)
Invité: Philippe Descola (en public). Pour fêter ses dix ans dʹexistence, Tribu se penche sur dix thématiques sociétales qui ont changé ces dix dernières années. Ce mardi 8 avril 2025: notre rapport au vivant. Notre époque est marquée par une biodiversité en péril, un climat déréglé. Cette dernière décennie a vu émerger une lutte pour réduire lʹimpact des humains sur la planète, pour mieux prendre les ressources disponibles. Cette lutte a été suivie dʹun sérieux retour de bâton. Où en sommes-nous aujourdʹhui? Devons-nous avoir une approche moins prédatrice du vivant, de la terre, aux plantes en passant par les animaux? Tribu reçoit Philippe Descola, professeur émérite dʹanthropologie au Collège de France, en public, à la Brasserie de Montbenon, à Lausanne.
L'émission 28 minutes du 08/03/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Arancha González, doyenne de l'École des affaires internationales de Sciences Po ; Zyad Limam, directeur et rédacteur en chef d'”Afrique Magazine” ; Gérald Olivier, chercheur franco-américain à l'Institut Prospective & Sécurité en Europe et le dessinateur de presse Eric Truant.La moitié de la planète obèse ou en surpoids : la “tragédie” du siècle ?Selon les prévisions d'une étude publiée par la revue britannique “The Lancet”, 60 % des adultes et 1 enfant sur 3 dans le monde seront en situation de surpoids ou d'obésité d'ici 2050. La France n'échappe pas à cette tendance : en presque 30 ans, le taux d'obésité de sa population a doublé. Cinquième cause de décès dans le monde, l'obésité peut s'expliquer par l'urbanisation, la sédentarisation des populations ou les changements de régime alimentaire avec une consommation riche en sucres, huiles et en produits d'origine animale. L'obésité et le surpoids peuvent entraîner une baisse significative de l'espérance de vie. Si cette épidémie n'épargne pas les pays les plus riches, c'est surtout dans certains États d'Océanie, du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord que la prévalence est la plus importante. Dans plusieurs pays pauvres, les personnes en obésité ou en surpoids augmentent également. “Dans ces pays, les produits transformés sont moins chers que les fruits et légumes, ce qui pousse à leur consommation”, expliquent les chercheurs. Devons-nous investir 800 milliards € dans notre défense en Europe ?Jeudi 6 mars, les pays européens se sont réunis en sommet à Bruxelles pour discuter de la défense européenne. L'objectif est de permettre à l'Europe de pouvoir se défendre seule et de garantir la sécurité de l'Ukraine, sans avoir à dépendre des États-Unis ou de l'Otan. Le point central était celui des investissements. La présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, a annoncé son intention de mobiliser 800 milliards d'euros pour financer la défense. Pour ce faire, de nombreux États membres ont pour objectif de consacrer 3,5 % de leur PIB à ce budget, ce qui est loin d'être le cas pour tous, à l'exception de la Pologne. À titre d'exemple, la France consacre aujourd'hui seulement 2,1 % de son PIB à ce domaine. Nous recevons Hana Al Banna-Chidiac, co-commissaire de l'exposition "Au fil de l'or, l'art de se vêtir de l'Orient au Soleil-Levant", au Quai Branly, à Paris, jusqu'au 6 juillet. Du Maghreb au Japon, elle traverse le temps et l'espace à la découverte de l'origine fascinante de l'or et de son mariage avec les arts textiles. Des premiers ornements cousus sur les vêtements des défunts aux robes flamboyantes de l'artiste contemporaine chinoise Guo Pei qui ponctuent l'ensemble du parcours, des soieries tissées d'or des mondes indien et indonésien aux kimonos scintillants de l'ère Edo, l'exposition déroule l'histoire millénaire de l'or dans les arts textiles.Valérie Brochard rend visite à nos chers voisins danois où la performance d'un artiste a fait polémique. Marco Evaristti avait inauguré la semaine dernière une installation à Copenhague qui consistait à alerter sur le traitement réservé aux porcs au Danemark. Trois porcelets étaient privés de nourriture et d'eau et devaient mourir de faim. Quelques jours plus tard, ils ont été enlevés par des militants des droits des animaux. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Doug Ford, Premier ministre de la province canadienne de l'Ontario. Ancien trumpiste, il a menacé de taxer de 25 % les livraisons d'électricité aux États du nord-est américain en réponse aux droits de douane décrétés unilatéralement par les États-Unis, mardi 4 mars. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télé américaine où les concours de baffes connaissent un franc succès. Paola Puerari s'intéresse au changement de règles pour attribuer la Légion d'honneur. Les Français pourront maintenant suggérer des noms. Mais alors, qui mérite cette distinction ? Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi certains endroits du monde ont plus de centenaires que les autres ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 08 mars 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Comment devons-nous accueillir le ramadan ? - Cheikh Ibrahima Khalil LO by XamSaDine
Nous abordons un sujet chaud, l'économie et les tarifs douaniers, avec un expert du domaine, Louis Levesque, Président du Comité Politiques publiques ASDEQ – Association des économistes québécois. Comment entrevoir les prochains mois et la prochaine année avec le nouveau président américain Donald Trump? Devons-nous craindre l'imposition des tarifs? M. Levesque nous aide à y... The post Louis Levesque, Président du Comité Politiques publiques ASDEQ – Association des économistes québécois appeared first on Truck Stop Québec.
Pendant deux jours, le président Emmanuel Macron et le premier ministre indien Narendra Modi ont co-présidé le Sommet sur l'Intelligence Artificielle à Paris. Une occasion pour le président français de solidifier ses relations avec l'Inde. Un pays d'ailleurs à l'origine de nombreuses inventions, dont on ignore souvent l'origine... Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête.
Un Français sur cinq ne change ses draps qu'une fois par mois, selon une étude Ifop réalisée pour le guide d'achat les-matelas.fr. Selon le microbiologiste Philip Tierno, chercheur à l'université de New York, il faudrait laver nos draps une fois par semaine. Bactéries, salissures, poussière, transpiration… N'attendons pas que les draps sentent mauvais pour les changer, car un environnement sain améliore la qualité du sommeil. Cela évitera aussi le nez bouché, les démangeaisons ou autres réactions cutanées désagréables. Nous dormons entre 7 et 8 heures par nuit. Or jusqu'à 1 litre de transpiration peut être éliminée par notre corps chaque nuit, comme le rapporte Aline Perraudin, directrice de la rédaction de Santé magazine et chroniqueuse sur RTL. Les acariens sont-ils un problème ? Y a-t-il une bonne méthode pour laver les draps ? Qu'en est-il de la couette et des oreillers ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Santé". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Emilie Drugeon. À écouter aussi : Quels sont les cinq meilleurs aliments brûle-graisse ? Qu'est-ce qu'un transfert entre un patient et son psy ? Comment bien se couper les ongles de pieds ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Date de première diffusion : 25 novembre 2022 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:06:58 - L'invité de 6h20 - Sarah Knafo, eurodéputée Reconquête, est l'invitée ce lundi 20 janvier : elle est actuellement à Washington, invitée par le nouveau président Donald Trump, tout comme d'autres figures de l'extrême droite européenne.
Dans cet épisode hors série, je reçois Raphaël Enthoven. Raphaël est
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:25:10 - Khatia Buniatishvili, pianiste (5/5) - par : Judith Chaine - Nous avons eu la chance de rencontrer, à l'occasion de la sortie de son album Mozart paru récemment chez Sony, la franco-géorgienne Khatia Buniatishvili. La pianiste glamour au tempérament affirmé se dévoile toute cette semaine au micro de Judith Chaine. - réalisé par : Adrien Roch
« Que devons-nous faire ? » (Lc 3, 10-18)Commentaire de l'Evangile par le Père Jean-Marie PetitclercChant Final : "Il vient(Avent)" par La Communauté du Chemin Neuf
Send us a textEn ce 3e dimanche de l'Avent, Martine Kouadio-Gokra nous invite à méditer sur cette question essentielle : “Que devons-nous faire ?” Comme dans l'Évangile de Saint Luc, où Jean-Baptiste s'adresse au peuple, cette interrogation nous guide dans notre préparation spirituelle à Noël.Martine nous exhorte à transformer nos cœurs et nos actions. Elle explore la joie véritable promise par Dieu, une joie qui vient de la bienveillance, du partage sincère et d'une vie alignée sur les préceptes divins. Dans ce “dimanche de la joie”, elle nous appelle à porter une joie profonde à ceux qui nous entourent, en vivant avec simplicité et amour authentique.Rejoignez cette réflexion pour découvrir comment incarner cette joie et vivre pleinement la grâce de l'Avent. Abonnez-vous pour plus de méditations, partagez vos réflexions en commentaires, et cheminons ensemble vers Noël avec foi et espérance.
durée : 00:28:48 - Le Feuilleton - "Nous ne sommes pas heureux, mais les mots nous tiennent chaud, ils sont l'espoir et tant qu'il y a des mots, il y a de la vie. Accueillez-les et nous existerons"