POPULARITY
Categories
Nous sommes en 1803. Voici un jeune chirurgien qui essaye de comprendre et de soigner les soldats atteints de … nostalgie. il a même consacré une thèse à ce sujet. On peut en trouver un exemplaire édité par l'imprimerie De Valade, rue Coquillière, à Paris. L'intitulé est précis « Essai sur la nostalgie, appelée vulgairement maladie du pays. Présenté et soutenu, à l'Ecole de Médecine, par Denis Guerbois, ex-chirurgien de première classe de l'armée d'Italie, Officier de santé de l'hospice de Liancourt, département de L'Oise. » En épigraphe, le jeune homme a noté ces simples mots : « Ils laissaient, en partant, une mère chérie ». Il a aussi inclus, à son travail, une préface autobiographique dans laquelle il écrit : « La première fois que je quittais ma mère : ses yeux baignés de larmes, sa main qui s'attachait à la mienne, ses regards qui me rappelaient sans cesse, imprimèrent dans mon cœur, un souvenir que je conservais partout. » Nous sommes donc au début du XIXe siècle, et l'on peut souffrir de nostalgie, et l'on peut même en mourir à l'instar de celles et ceux touché.e.s par le typhus ou la petite vérole. La nostalgie frappe surtout les soldats, les travailleurs migrants, les colons, les expatriés. A cette époque, le monde s'élargit, les guerres font rage, l'expansion coloniale est en marche. La nostalgie tue, parfois plus que la violence des combats. Comment en est -on arrivé à pathologiser la nostalgie ? Quand et pourquoi a-t-on cessé de le faire ? De quelle manière est-on passé du regret, du manque d'un espace familier à la recherche d'un temps perdu ? Ce n'est pas simple, mais allons-y quand même … Invité : Thomas Dodman, maître de conférences à l'université de Columbia Sujets traités : nostalgie, maladie, Denis Guerbois, soldats, travailleurs, migrants, colons, expatriés, temps Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bouchra Khalili est à l'honneur du festival d'Automne avec des œuvres vidéos installées dans trois théâtres pour retrouver la mémoire du Mouvement des travailleurs arabes. Avec ses trois projets Astérismes (Fig. 1 à 3), l'artiste Bouchra Khalili refait surgir la mémoire des histoires effacées, des traces fragiles de mémoires. Trois installations qui correspondent à trois périodes de travail puisque la première date de 2017 et la dernière de 2025 et qui sont réunies sous ce titre de «Astérisme» qui est un terme d'astronomie pour designer une figure dessinée par les étoiles : une constellation... C'est donc un ensemble. On découvre notamment, dans l'une de ces expositions, le Mouvement des Travailleurs arabes qui avait constitué deux troupes de théâtre avec un slogan, «de la rue à la scène et de la scène à la rue». «Ce qui m'a interpellée, c'est que des ouvriers qui travaillaient dans des usines aient pensé au théâtre». Une histoire très peu connue. Elle a retrouvé pour faire ce travail certains acteurs de l'époque qu'elle a filmés. «Ces expositions opèrent comme une forme de résurrection», nous raconte l'artiste Bouchra Khalili. «Ce qui m'intéresse, c'est ce qui n'a pas été archivé, des mémoires dont il ne reste uniquement que quelques fragments». Et quand il n'y a pas d'archives, elle imagine des fictions pour dire ce qui a eu lieu comme dans l'exposition Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public avec, par exemple, avec Mririda n'Aït Attik, poétesse amazighe, active dans la première moitié du XXè siècle dans le Haut-Atlas qui «maitrisait la poésie sans l'écrit» et dont on a que des traductions. L'artiste réactive également un élément de la culture marocaine : le conte avec un jeune conteur de Marrakech qui salue l'histoire de Djelali Kamal, immigré et gréviste de la faim et candidat à la présidence de la République en 1974. Invitée : Bouchra Khalili est une artiste visuelle franco-marocaine née en 1975 à Casablanca. Elle est diplômée en Études cinématographiques et médiatiques de la Sorbonne Nouvelle et en arts visuels de l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy. Multidisciplinaire, elle utilise le textile, la photographie, la sérigraphie et la vidéo pour concevoir ses œuvres. À voir dans le cadre du Festival d'automne : - Astérismes (Fig. 1) : The Tempest Society - T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique -Astérismes (Fig. 2) : The Circle and The Public Storyteller - Odéon Théâtre de l'Europe – Berthier Paris 17 2 – 26 octobre - Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt 22 – 29 octobre. Programmation musicale : Les Artistes Amadou et Mariam avec le titre L'amour à la folie.
Bouchra Khalili est à l'honneur du festival d'Automne avec des œuvres vidéos installées dans trois théâtres pour retrouver la mémoire du Mouvement des travailleurs arabes. Avec ses trois projets Astérismes (Fig. 1 à 3), l'artiste Bouchra Khalili refait surgir la mémoire des histoires effacées, des traces fragiles de mémoires. Trois installations qui correspondent à trois périodes de travail puisque la première date de 2017 et la dernière de 2025 et qui sont réunies sous ce titre de «Astérisme» qui est un terme d'astronomie pour designer une figure dessinée par les étoiles : une constellation... C'est donc un ensemble. On découvre notamment, dans l'une de ces expositions, le Mouvement des Travailleurs arabes qui avait constitué deux troupes de théâtre avec un slogan, «de la rue à la scène et de la scène à la rue». «Ce qui m'a interpellée, c'est que des ouvriers qui travaillaient dans des usines aient pensé au théâtre». Une histoire très peu connue. Elle a retrouvé pour faire ce travail certains acteurs de l'époque qu'elle a filmés. «Ces expositions opèrent comme une forme de résurrection», nous raconte l'artiste Bouchra Khalili. «Ce qui m'intéresse, c'est ce qui n'a pas été archivé, des mémoires dont il ne reste uniquement que quelques fragments». Et quand il n'y a pas d'archives, elle imagine des fictions pour dire ce qui a eu lieu comme dans l'exposition Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public avec, par exemple, avec Mririda n'Aït Attik, poétesse amazighe, active dans la première moitié du XXè siècle dans le Haut-Atlas qui «maitrisait la poésie sans l'écrit» et dont on a que des traductions. L'artiste réactive également un élément de la culture marocaine : le conte avec un jeune conteur de Marrakech qui salue l'histoire de Djelali Kamal, immigré et gréviste de la faim et candidat à la présidence de la République en 1974. Invitée : Bouchra Khalili est une artiste visuelle franco-marocaine née en 1975 à Casablanca. Elle est diplômée en Études cinématographiques et médiatiques de la Sorbonne Nouvelle et en arts visuels de l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy. Multidisciplinaire, elle utilise le textile, la photographie, la sérigraphie et la vidéo pour concevoir ses œuvres. À voir dans le cadre du Festival d'automne : - Astérismes (Fig. 1) : The Tempest Society - T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique -Astérismes (Fig. 2) : The Circle and The Public Storyteller - Odéon Théâtre de l'Europe – Berthier Paris 17 2 – 26 octobre - Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt 22 – 29 octobre. Programmation musicale : Les Artistes Amadou et Mariam avec le titre L'amour à la folie.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
150 travailleurs étrangers quittent les dortoirs de l'usine Star Knitwear by TOPFM MAURITIUS
Débatteurs du soir : -Georges Fenech, ancien magistrat -Antonin André, chef du service politique du JDD Invité : -Bertrand Martinot, économiste et expert associé à l'Institut Montaigne Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toute l’équipe du président du conseil régional FTQ Montréal métropolitain était à la marche du 4 octobre pour «soutenir Gaza». Ils se font critiquer par le CIJA de prendre part à une marche conjointe avec des groupes qui scandent des slogans de haine et d'appel à la mort depuis 2 ans. Pourquoi la FTQ a pris position dans ce conflit ? On va lui demander. Entrevue avec Marc-Édouard Joubert, président du conseil régional FTQ, Montréal métropolitain. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Espagne, pour pallier la pénurie de main-d'œuvre dans certains secteurs, le gouvernement autorise les entreprises à embaucher des étrangers dans leur pays d'origine pour travailler quelques mois avant de repartir. À Lleida, en Catalogne, l'arrivée de ces travailleurs temporaires contentent les agriculteurs, tandis que les travailleurs immigrés saisonniers résidant en Espagne se plaignent de voir leurs emplois menacés. Une mise en concurrence qui passe mal. Le reportage de notre correspondante à Barcelone est à retrouver dans son intégralité sur le site de RFI dans le podcast Accent d'Europe. À lire aussiEspagne: vers une régularisation de près de 500 000 personnes en situation irrégulière
En Espagne, pour pallier la pénurie de main-d'œuvre dans certains secteurs, le gouvernement autorise les entreprises à embaucher des étrangers dans leur pays d'origine pour travailler quelques mois avant de repartir. À Lleida, en Catalogne, l'arrivée de ces travailleurs temporaires contentent les agriculteurs, tandis que les travailleurs immigrés saisonniers résidant en Espagne se plaignent de voir leurs emplois menacés. Une mise en concurrence qui passe mal. Le reportage de notre correspondante à Barcelone est à retrouver dans son intégralité sur le site de RFI dans le podcast Accent d'Europe. À lire aussiEspagne: vers une régularisation de près de 500 000 personnes en situation irrégulière
durée : 00:28:14 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Comment parler d'une histoire effacée ? Dans le cadre du Festival d'Automne, l'artiste Bouchra Khalili convie les fantômes du MTA, Mouvement de Travailleurs Arabes contre le racisme et pour l'égalité des droits, et les fait dialoguer avec les luttes du présent. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Bouchra Khalili
Main-d'œuvre en crise, révision des lois du travail, droits des travailleurs et compétitivité : les Assises du Travail s'ouvrent ce mardi 23 septembre sous haute tension sociale, entre espoirs de réformes et craintes d'un recul des acquis by TOPFM MAURITIUS
Invité : Jean-Claude Huot. Pendant dix ans, Jean-Claude Huot a été aumônier du travail au sein de la pastorale œcuménique du Canton de Vaud. Dans un livre-témoignage, il veut rendre hommage aux travailleuses et travailleurs précaires quʹil a accompagnés. Pour lui, ces "invisibles" sont les victimes dʹune violence structurelle. Il en parle au micro de Jessica Da Silva. Réf. bibliographique : Écouter les invisibles, Jean-Claude Huot, Éditions Saint-Augustin, 2025, 128p.
Le vendredi 19 septembre 2025, à Montreuil, se tenait le premier vendredi marxiste de la rentrée 2025, organisé par la section française de la IVᵉ Internationale, la Tendance communiste internationaliste (composante organisée du Parti des travailleurs). L'article La crise du régime peut-elle déboucher sur une issue positive pour les travailleurs et les jeunes ? est apparu en premier sur LA TRIBUNE DES TRAVAILLEURS.
Les municipalités et entreprises s’allient pour maintenir les travailleurs étrangers temporaires. L’inflation demeure faible malgré quelques mauvaises nouvelles… Discussion économique avec Francis Gosselin, économiste. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cet épisode, on va parler de la génération Z et de son impact sur le management d'aujourd'hui.Avec Sabine Picquet, spécialiste du management intergénérationnel, on va explorer leurs forces, leurs attentes et les clés pour créer une collaboration intergénérationnelle plus fluide.Dans cet épisode, tu vas découvrir :Les croyances les plus répandues (et fausses) sur la Gen ZLes vraies forces et atouts de cette génération au travailLeurs attentes vis-à-vis de leurs managers : sens, autonomie, feedbackLes erreurs à éviter pour ne pas les démotiverDes conseils pratiques pour créer une meilleure collaboration intergénérationnelleUn échange riche et inspirant qui va t'aider à mieux comprendre la génération Z et à transformer ces différences en opportunités pour ton management.Pour plus de conseils, retrouve Sabine sur Linkedin et sur sa Newsletter.Tu as aimé cet épisode de podcast ? Tu vas adorer ma newsletter
Alors que la chasse à l'homme se poursuit, aux États-Unis, pour retrouver celui qui a tué l'influenceur et militant d'extrême droite, deux photos s'affichent en Une de la presse américaine. Celle du suspect, portant jean et t-shirt noir, casquette et lunettes de soleil, et celle de Charlie Kirk, en t-shirt blanc, un micro à la main, devant les étudiants de l'université de l'Utah Valley, quelques minutes avant d'être abattu. Le Washington Post a recueilli la réaction de quelques témoins, encore traumatisés, comme Ryder Overton, 17 ans « qui se trouvait à trois mètres de Charlie Kirk lorsque le coup de feu mortel a retenti et que la balle a traversé son cou ». Ryder « s'est jeté au sol, avec son père ». Père, qui toutefois, ne s'avoue pas vaincu. « Ça ne nous affaiblira pas » dit-il, « Ça nous rend plus fort ». « De nombreux admirateurs de Kirk, à travers le pays ont exprimé le même sentiment », explique le Washington Post. Le Wall Street Journal, est lui aussi retourné sur le campus de l'Université de l'Utah. Le quotidien américain a rencontré Quincy Hale, un étudiant de 25 ans, qui se dit « vraiment nerveux », et envisage « de porter une arme sur le campus ». Un proche de Donald Trump Le New York Times, de son côté, s'intéresse à la réaction de Donald Trump. Le président américain a parlé de son « chagrin et de sa colère », « depuis le bureau ovale, quelques heures seulement après l'assassinat de Charlie Kirk », explique le quotidien américain qui précise : « Charlie Kirk était particulièrement proche de Donald Trump », « un ami proche, dont le charisme et les compétences en affaires et en matière de collecte de fonds », avaient impressionné le président ». « Une proximité qui s'est accrue après la défaite de Donald Trump en 2020 », poursuit le quotidien américain, « Charlie Kirk est devenu l'une des voix affirmant, sans fondement, que la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle lui avait été volée ». En France, le Parisien constate : « La mort de cette figure de la société américaine, très populaire parmi les jeunes générations en raison de sa forte présence sur les réseaux sociaux et de ses tournées à succès sur les campus, a ravivé les plaies d'un pays qui n'en finit pas de pleurer ses morts par armes à feu ». Le quotidien français cite aussi Ezra Klein « un éditorialiste progressiste américain » qui assure : « La violence politique est contagieuse, cela devrait tous nous terrifier ». Bolsonaro condamné Autre grand titre de l'actualité, la condamnation de Jair Bolsonaro au Brésil. C'est l'information qui retient l'attention de la presse européenne ce matin. « Bolsonaro condamné à 27 ans de prison pour avoir fomenté un coup d'État militaire au Brésil », titre le Guardian. L'ancien président d'extrême droite était accusé « d'avoir cherché à anéantir la démocratie dans le pays ». Pour die Welt, c'est « un verdict qui consolide le pouvoir de Lula ». « On connaît donc depuis hier, poursuit le quotidien allemand, la peine imposée à « l'ennemi juré de Lula, et, si l'on en croit les sondages, au candidat le plus prometteur des prochaines élections présidentielles ». En effet, explique die Welt, « cette peine de 27 ans de prison affaiblit l'opposition de droite avant les élections de l'année prochaine, écarte Bolsonaro du scrutin et assure le Parti des Travailleurs de Lula de rester au pouvoir dans les années à venir ». À Bruxelles, le Soir ajoute que « la défense de Bolsonaro va déposer des recours, « y compris au niveau international. Elle considère que la peine prononcée est incroyablement excessive et disproportionnée. » Le Monde, de son côté, parle d'un « jugement historique ». Une décision « qui réjouit le Brésil progressiste » alors que, remarque le quotidien français, « certains partisans de l'ex-chef d'État d'extrême droite n'hésitent pas à en appeler aux États-Unis de Donald Trump ». « En ligne, précise le quotidien français, l'extrême droite crie à la suprême persécution. Elle mise sur de nouvelle sanctions américaines, commerciales, et pourquoi pas militaires ».
Dure journée au bureau… Une croisière se termine mal. Des touristes inconscients du danger! As-tu vu ça? avec Alexandre Dubé. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'essentiel des nouvelles le 8 septembre 2025---Rémunération globale et équité salariale -> https://gorh.co/remuneration-globale/ ---En Ukraine, le siège du gouvernement a été incendié à la suite d'une attaque russe Mark Carney a annoncé vendredi une série de mesures visant à protéger et transformer les industries du pays malmenées par les tarifs douaniers américains. Le gouvernement Carney suspend la prochaine exigence sur les voitures électriquesAu Québec, François Legault a expulsé un député du caucus de la Caq Tripler le budget de Télé-Québec?Dans la saga Northvolt: Le gouvernement Legault a recouvré, en puisant dans les comptes bancaires de l'entreprise, presque 200 millions $ sur les 240 millions $ qu'il avait prêtés à Northvolt.Les agents de bord d'Air Canada ont rejeté l'entente de principe Le taux chômage au Canada a atteint un sommet en 9 ansOpenAI veut se lancer dans les secteurs de l'emploi et de l'éducatioComme chaque lundi, InfoBref vous fait découvrir une jeune entreprise québécoise innovante.Aujourd'hui, on vous parle de Qalam Solutions Santé. une jeune pousse montréalaise améliore les perspectives de guérison du cancer des os.Les personnes atteintes d'un cancer des os perdent en qualité de vie lorsqu'elles doivent se faire amputer une section osseuse.Alors Qalam conçoit un appareil qui permettra aux chirurgiens de détecter avec précision les cellules cancéreuses afin qu'ils puissent enlever seulement la section osseuse affectée sans toucher aux os encore sains.Pour en savoir plus, lisez le portrait de Qala à https://infobref.com/jeqi-centech-qalam-2025-09 ou cliquez sur le lien dans la description de cet épisode.--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:55:16 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En juin 2011, le foyer des travailleurs maliens de la rue de La Fontaine-au-Roi, situé dans le 11e arrondissement de Paris, ferme en vue de sa rénovation. Juste avant le début des travaux, Stéphane Bonnefoi et Viviane Noël racontent pour "Sur les docks" la vie quotidienne des lieux. - réalisation : Virginie Mourthé
À l'occasion des rencontres de la Maison des professionnels au festival d'Avignon, la CGT Spectacle organisait le 12 juillet 2025 une table-ronde intitulée « Antiraciste, vraiment ? Quelle voix et quelle visibilité des travailleurs et travailleuses racisés au théâtre ? ». Avec la participation de Eva Doumbia, David Bobée, Marine Bachelot Nguyen, Kheireddine Lardjam, Olga Mouak et Bérénice Hamidi. Crédits: Production: ISTS & ARTCENA
A 10h, ce mardi 26 août 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : "Les travailleurs étrangers, une chance pour notre économie ?"
Au menu de la deuxième heure des GG du mardi 26 août 2025 : "Un jeune homme de 24 ans meurt malgré deux appels au 15, Samu responsable ? ", "Faire de la France un État fédéral, une solution ou une fausse bonne idée? " et "Travailleurs étrangers, une chance pour notre économie ? , avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Jérôme Marty, médecin généraliste.
Une trentaine de travailleurs bangladais se sont réunis ce matin devant le siege du ministère du Travail. Ces anciens employés de l'usine Star Knitwear réclament le règlement de leurs salaires impayés, ainsi que leur rapatriement, à la suite de la fermeture de l'usine. Depuis plusieurs mois, ils enchaînent les démarches auprès des autorités, sans résultat concret, déplore Mohamed, l'un des Bangladais concerné. Contacté, l'un des officiers du ministère du Travail a déclaré que des membres dudit ministère ont rencontré les ouvriers bangladais ce matin et qu'ils continuent de suivre les dossiers de ces derniers.
L'essentiel des nouvelles le 22 août 2025---Les meilleurs rabais de la semaine sont à: https://infobref.com/produits-en-promotion---Le gouvernement Legault a dévoilé sa première stratégie de prévention en santéHydro-Québec et le gouvernement investissent ensemble pour former des travailleurs de la constructionAir Canada a bonifié hier sa politique de remboursement, alors que ses vols reprennent graduellementLes revenus provenant des contre-tarifs canadiens devraient-ils être versés aux PME?La SAQ pourrait devoir détruire pour 300 000 $ en alcools américains lorsqu'ils atteindront cet automne leur date limite de consommation, selon Radio-Canada. Le gouvernement américain suspend la délivrance de visas aux chauffeurs routiers étrangers. La girafe n'est finalement pas une espèce unique: il y en a quatre!--- Version écrite de ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com Pour s'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref (notamment pour recevoir ce bulletin audio par écrit chaque matin): https://infobref.com/infolettres Où trouver le balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur les options de publicité-commandite dans ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Précédés de mois de tensions, les cinq jours de conflits armés entre la Thaïlande et le Cambodge fin juillet 2025 ont déplacé des centaines de milliers de personnes dans les provinces frontalières où se sont concentrés les affrontements. Selon les autorités cambodgiennes, au moins 700 000 travailleurs émigrés en Thaïlande seraient revenus au Cambodge depuis le début de la crise. Alors que les relations entre les deux pays sont au plus bas malgré le cessez-le-feu, les perspectives d'emplois semblent très incertaines pour ces travailleurs peu qualifiés, précaires et revenus à la hâte. De notre correspondante à Phnom Penh, Sur un chantier de la capitale Phnom Penh, Lors et Sanan s'estiment chanceux d'avoir pu retrouver un emploi. Fin juillet, ce couple d'ouvriers du bâtiment travaillait encore à Bangkok. Quand le conflit armé éclate entre la Thaïlande et le Cambodge, ils se sentent menacés. « D'autres travailleurs migrants nous ont prévenu qu'une bande d'une dizaine de Thaïlandais avaient cherché à les intimider. Et puis, ils sont venus nous trouver et ont demandé : " Eh toi ! Tu viens d'où ? "J'ai eu peur de me faire frapper si je leur disais que j'étais Cambodgien. Alors, j'ai répondu que je venais d'une province thaïlandaise et ça s'est arrêté là. » Au même moment, le couple est prévenu que leur famille restée au Cambodge doit évacuer le village en raison des affrontements : « Nous avions déjà peur ici. Et ma mère nous appelait tous les jours avec les enfants. Nous avons redouté que ce gang (thaïlandais) nous retrouve et nous cherche plus d'histoires. Alors, nous avons demandé notre salaire et nous sommes rentrés fin juillet. » Comme Lors et Sanan, au moins 700 000 travailleurs émigrés sont rentrés au Cambodge en raison du conflit. Jusqu'à présent, ils étaient près de 1,2 million Cambodgiens à travailler en Thaïlande, dont seulement une moitié en situation régulière. À lire aussiThaïlande-Cambodge: aux origines d'un vieux conflit frontalier « Choisir entre leur sécurité et leurs revenus » « On n'a jamais vu ça. Regardez ! » Khun Tharo est responsable de programme à Central, une ONG cambodgienne de défense des droits des travailleurs. Sur son ordinateur défilent les vidéos envoyées par leurs équipes déployées sur un poste frontalier : « Regardez ce qu'ils transportent : des matelas, des couvertures, leurs bébés sur leurs épaules, etc. On comprend qu'ils ne vont pas revenir avant un long moment. » La panique a poussé ces travailleurs à quitter leur emploi, quitte à se priver de tous revenus une fois au Cambodge : « Ils ont dû choisir entre leur sécurité et leurs revenus, explique Khun Tharo. S'ils n'avaient pas été confrontés à cette situation, ils seraient restés en Thaïlande où ils avaient un salaire régulier. Quand ils reviennent ici, ils ne savent pas s'ils pourront retrouver un travail ou combien de temps cela prendra. Ils s'inquiètent de savoir comment ils pourront subvenir aux besoins de leur famille ou rembourser leur emprunt. Le problème, c'est que je doute qu'il y ait assez d'emplois disponibles pour la masse de travailleurs qui sont revenus. » Malgré un cessez-le-feu le 29 juillet, ils sont encore nombreux à dire ne pas vouloir retourner en Thaïlande. Mais, même si les autorités cambodgiennes se mobilisent, le marché du travail risque de ne pas pouvoir absorber ces quelque 700 000 travailleurs supplémentaires issus de milieux précaires. Or, côté thaïlandais, les secteurs de la construction, du service, de la pêche, de l'agriculture ou encore de l'industrie alimentaire, des secteurs qui employaient cette main d'œuvre cambodgienne peu qualifiée, se confrontent à l'urgence de la remplacer. À lire aussiThaïlande-Cambodge: après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
durée : 04:42:45 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1991, Marion Thiba faisait entendre des paroles d'ouvriers qui font la parole ouvrière. Travailleurs de l'hexagone, ou bien souvent émigrés d'hier ou d'avant-hier, ils témoignaient de la dignité d'une vie de travail rude, brutale, d'un savoir faire aussi, de temps de lutte et de solidarité. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Marcel Donati Militant et poète ouvrier; Michel Verret Philosophe et sociologue
L'émission 28 minutes du 24/07/2025 Des millénaires après, les pyramides égyptiennes continuent de passionner les historiens et de générer toutes sortes de théories. Franck Monnier, ingénieur, y voue une passion depuis l'adolescence. Ce spécialiste de l'architecture et des constructions de l'Égypte ancienne publie "La science face aux dossiers mystérieux de l'Égypte antique" (éditions Actes Sud), un ouvrage qui vient démystifier les pyramides et les théories qui les entourent. En passant au peigne fin ces bâtiments hors normes et les thèses fantastiques, il donne "un avis d'expert pour trier le vrai du faux"."Il faut que toute la nation travaille plus", a tancé le Premier ministre François Bayrou le 15 juillet dernier. Une série d'annonces est venue concrétiser cette déclaration : suppression de deux jours fériés, monétisation de la cinquième semaine de congés payés et réforme de l'assurance chômage. À gauche, les réactions ne se sont pas faites attendre : le député François Ruffin appelle à la "censure populaire", et une pétition de l'intersyndicale exige "l'abandon immédiat de ces mesures". La question du travail en France reste complexe : si 10% des salariés effectuent des semaines de 49 heures, le taux d'absentéisme au travail atteint 5,8%, un record. La France a-t-elle un problème avec ses travailleurs ?On en débat avec Bertrand Martinot, économiste, Flora Baumlin, directrice d'expertise sur les sujets de travail à l'Ifop et Agathe Le Berder, secrétaire générale adjointe de l'Ugict-CGT.Puis, Victor Dekyvère s'interroge : faut-il être malhonnête et violent pour devenir un grand collectionneur ? Enfin, alors que les Tuvaluans sont forcés de migrer face à la montée des eaux dans le Pacifique, Théophile Cossa nous explique comment fonctionne le visa climatique. Marjorie Adelson nous raconte l'histoire de huit nouveau-nés qui sont les premiers à posséder l'ADN de trois personnes différentes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 24 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Thierry Vignal, fondateur d'Atom, partage sa vision du marché des "chambres de bonne" à Paris et comment il compte transformer ces m2 insalubres en écrins de luxe pour travailleurs nomades.Un modèle économique à découvrir en détails dans l'épisode complet.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d´informations. La Slovaquie va t-elle avoir une pénurie de travailleurs dans les futures années? Si le gouvernement n´y prend pas garde, il semblerait que oui. L´or rouge, nouvel eldorado d´un business aux moeurs controversées puisqu´il s´agit du sang. Ce commerce touche la sphere politique et traverse meme les frontieres slovaques. Rediffusion
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'histoire du logement des travailleurs migrants isolés en France s'écrit depuis les années 50, quand les entreprises françaises, encouragées par l'Etat, ont fait venir en nombre des hommes seuls pour travailler à la reconstruction du pays après la guerre. Venus d'Afrique du Nord puis d'Afrique de l'Ouest, ces travailleurs séparés de leur famille ont été logés dans ce que l'on a appelé des foyers. À la fin des années 70, quelque 700 bâtiments logent 120 000 personnes, essentiellement en région parisienne. Pensés comme temporaires, ces logements sont finalement devenus pérennes : les travailleurs restés en France y ont passé leur vie. Mais en 1997, un plan national est adopté pour les restructurer en un nouveau type d'habitat : les résidences sociales. Près de 30 ans après, 86% des anciens foyers ont été transformés, et c'est tout un mode de vie qui est chamboulé. Quels rôles jouaient ces foyers ? Comment la conception du logement des travailleurs immigrés venus d'Afrique de l'Ouest a-t-elle évolué avec le temps ? Quelles en sont les conséquences sur la vie des personnes concernées ? Un grand reportage de Raphaëlle Pluskwa, avec les témoignages de Yelly Dioumassy, président du Comité des résidents du foyer Rochebrune de Montreuil, Bakary Doucouré, ancien résident du foyer Bara de Montreuil, Emmanuel Brasseur, directeur des métiers chez Coallia, Benjamin Masure, co-fondateur de l'association Taf et Maffé, Laura Guérin, sociologue, Djibril Sylla, soutien aux résidents du foyer Edouard Branly de Montreuil et Danielle Simonnet, députée du groupe Écologiste et Social. Merci à Michael Hoare, président du COPAF ainsi qu'à Véronique et tous les membres du comité de soutien du foyer Branly. Programmation musicale : ► Donne un peu – Vaudou Game ► Mamadou m'a dit – François Béranger (Une recommandation musicale de Bintou Simporé).
L'histoire du logement des travailleurs migrants isolés en France s'écrit depuis les années 50, quand les entreprises françaises, encouragées par l'Etat, ont fait venir en nombre des hommes seuls pour travailler à la reconstruction du pays après la guerre. Venus d'Afrique du Nord puis d'Afrique de l'Ouest, ces travailleurs séparés de leur famille ont été logés dans ce que l'on a appelé des foyers. À la fin des années 70, quelque 700 bâtiments logent 120 000 personnes, essentiellement en région parisienne. Pensés comme temporaires, ces logements sont finalement devenus pérennes : les travailleurs restés en France y ont passé leur vie. Mais en 1997, un plan national est adopté pour les restructurer en un nouveau type d'habitat : les résidences sociales. Près de 30 ans après, 86% des anciens foyers ont été transformés, et c'est tout un mode de vie qui est chamboulé. Quels rôles jouaient ces foyers ? Comment la conception du logement des travailleurs immigrés venus d'Afrique de l'Ouest a-t-elle évolué avec le temps ? Quelles en sont les conséquences sur la vie des personnes concernées ? Un grand reportage de Raphaëlle Pluskwa, avec les témoignages de Yelly Dioumassy, président du Comité des résidents du foyer Rochebrune de Montreuil, Bakary Doucouré, ancien résident du foyer Bara de Montreuil, Emmanuel Brasseur, directeur des métiers chez Coallia, Benjamin Masure, co-fondateur de l'association Taf et Maffé, Laura Guérin, sociologue, Djibril Sylla, soutien aux résidents du foyer Edouard Branly de Montreuil et Danielle Simonnet, députée du groupe Écologiste et Social. Merci à Michael Hoare, président du COPAF ainsi qu'à Véronique et tous les membres du comité de soutien du foyer Branly. Programmation musicale : ► Donne un peu – Vaudou Game ► Mamadou m'a dit – François Béranger (Une recommandation musicale de Bintou Simporé).
Pour Jean-Luc Dupriez, les luttes syndicales sont essentielles dans le combat contre le capitalisme et les organisations doivent toujours privilégier l'union, autrement dit renoncer à l'hégémonie, en acceptant donc le pluralisme▶ Le Média lance le plan "Riposte"
durée : 00:04:16 - Le Reportage de la rédaction - À l'accueil, à la billetterie, au bar... Être saisonnier en festival permet aussi à des étudiants d'étoffer leur CV, dans un secteur culturel compétitif. Illustration aux Nuits de Fourvière, à Lyon.
durée : 00:04:16 - Le Reportage de la rédaction - À l'accueil, à la billetterie, au bar... Être saisonnier en festival permet aussi à des étudiants d'étoffer leur CV, dans un secteur culturel compétitif. Illustration aux Nuits de Fourvière, à Lyon.
Ce mercredi 2 juillet, la décision de Giorgia Meloni d'ouvrir les portes de l'Italie à de nouveaux travailleurs étrangers pour le bien de l'économie a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:59 - Le grand format - Alors qu'une grande partie de la France suffoque à cause d'un épisode caniculaire intense, un nouveau décret entre en vigueur ce mardi pour renforcer les obligations des employeurs, afin de mieux protéger les travailleurs exposés à la chaleur. Reportage à la Ciotat, dans les Bouches-du-Rhône. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les campagnes d'arrestation visant les migrants en Californie ont entraîné des manifestations monstres à Los Angeles et dans d'autres villes. Dans cet État démocrate, un grand nombre de travailleurs du secteur agricole sont sans papiers, et les descentes de la police de l'immigration qui ont touché la petite ville agricole d'Oxnard, au nord de Los Angeles, ont frappé les esprits. Nombreux sont les travailleurs qui restent terrés chez eux, par peur d'aller travailler. De nos envoyés spéciaux de retour d'Oxnard, Sous un soleil de plomb, des paysans cueillent paisiblement des fraises. Il y a dix jours pourtant, non loin de là, une opération de police visait plusieurs migrants sans papiers comme eux. Pas de quoi s'inquiéter pour ce responsable d'une ferme, qui refuse de céder à ce qu'il nomme de la « paranaoïa ». « Si nous étions inquiets, nous aurions mis des gardiens à la porte. Il n'y a pas de quoi s'en faire. Il faut vivre normalement. Je déteste vivre dans la peur », témoigne-t-il. Le climat a bel et bien changé pourtant à Oxnard, bourgade agricole au nord de Los Angeles. Dans le restaurant familial mexicain des Pérez, Raquel, la fille, accueille beaucoup moins de clients depuis l'intervention de policiers d'ICE, la controversée agence fédérale chargée de l'immigration aux États-Unis. « En 18 ans de présence ici, c'était la première fois que je voyais "ICE" dans ce secteur, dans la zone industrielle de la ville. Il y avait deux camionnettes : l'une blanche avec une ligne verte et une inscription "patrouille de protection de la frontière", et un autre véhicule avec aucune indication, mais une plaque d'un autre État. J'ai raconté à ma mère. Quand j'étais devant, là, et que je les ai vus... La façon dont ils m'ont regardé, c'était très intimidant. On voyait la haine dans leurs yeux. J'en ai eu la chair de poule. Et moi, je n'ai rien à craindre. Je suis née et j'ai vécu toute ma vie ici », explique-t-elle. Les incidents d'Oxnard ont instillé la peur. Désormais, beaucoup de travailleurs sans papiers n'osent plus revenir au champ, ni même sortir de chez eux. Angélica, elle, explique qu'elle n'a pas le choix. RFI l'a jointe à distance après sa journée de travail. « On va travailler parce que la peur est toujours moins forte que la nécessité. On travaille dans la chaleur, le froid, sous la pluie, agenouillés souvent. On y va dans la peur et dans l'anxiété. Tout ça pour que la nation puisse avoir de quoi manger sur sa table. Sans nous, les paysans, il n'y aurait rien de tout ça », rappelle-t-elle. Le secteur agricole du comté de Ventura, qui abrite Oxnard, a tiré la sonnette d'alarme. Entre 25 et 45% des travailleurs agricoles auraient cessé de se présenter au travail. À lire aussiÉtats-Unis: l'ICE, une police anti-immigration aux méthodes justifiées par la politique du chiffre
durée : 00:59:04 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Le secteur de l'humanitaire, qui s'est structuré dans les années 1980, subit aujourd'hui les coupes de divers bailleurs et privilégie la “localisation” de l'aide, compromettant l'insertion professionnelle de celles et ceux qui souhaitent allier carrière et quête de sens. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Vincent Pradier Docteur en sciences de gestion à l'IAE (Institut d'Administration des Entreprises) de l'Université Paris-Sorbonne; Ludovic Joxe Coordinateur de projet pour Médecins Sans Frontières, sociologue et chercheur associé au CEPED (Centre Population et Développement)
durée : 00:37:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que les lycéens reçoivent leurs résultats sur Parcoursup et qu'Elisabeth Borne vient de présenter son plan consacré à l'orientation, nous nous demanderons si le sens des études universitaires a changé. - réalisation : François Richer - invités : Monique Canto-Sperber Philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, ancienne directrice de l'ENS et ancienne présidente de PSL, présidente du Conseil d'Administration d'Atouts+ University; Bruno Andreotti Physicien, professeur à l'Université Paris Cité et chercheur au Laboratoire de Physique de l'Ecole Normale Supérieure
Une « chute libre » des droits des travailleurs, voire un « effondrement ». C'est ce qui ressort de l'enquête annuelle menée par la Confédération syndicale internationale dans 151 pays. Comment se manifestent ces reculs des droits des travailleurs ? Comment expliquer de telles situations ? Comment enrayer cette mauvaise dynamique ? Pour en débattre :- Emmanuelle Lavignac, secrétaire nationale de l'Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (UGICT-CGT)- Caroline Diard, professeure associée au département Droit des affaires et Management DRH à TBS Toulouse Business Scholl éducation- Martin Denis, conseiller politique au TUAC, commission syndicale consultative auprès de l'OCDE, Organisation de coopération et de développement économiques.
Une « chute libre » des droits des travailleurs, voire un « effondrement ». C'est ce qui ressort de l'enquête annuelle menée par la Confédération syndicale internationale dans 151 pays. Comment se manifestent ces reculs des droits des travailleurs ? Comment expliquer de telles situations ? Comment enrayer cette mauvaise dynamique ? Pour en débattre :- Emmanuelle Lavignac, secrétaire nationale de l'Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (UGICT-CGT)- Caroline Diard, professeure associée au département Droit des affaires et Management DRH à TBS Toulouse Business Scholl éducation- Martin Denis, conseiller politique au TUAC, commission syndicale consultative auprès de l'OCDE, Organisation de coopération et de développement économiques.
Retour sur le texte: “La pauvreté, à qui la faute ?” Entrevue avec Audrey Renaud, directrice générale du Regroupement Partage. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:39 - Un monde connecté - par : Thomas Baumgartner - #Entretien d'embauche. #Télétravail. #Corée du Nord. #Détournement. #Millions. Voilà les mots-clés de l'histoire qui suit, sur une méthode de piratage de plus en plus difficile à contourner pour certaines grandes entreprises, notamment issue de la tech.
durée : 00:05:54 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Près de 2 000 Tunisiens ont manifesté jeudi à Tunis, à l'occasion de la fête des Travailleurs, contre la politique du président Kaïs Saïed et pour demander la libération de personnalités politiques emprisonnées.
C'est tout d'abord la Presse en Tunisie, qui nous rappelle « qu'en 1904, des travailleurs tunisiens, maltais, italiens et français réunis, descendirent dans la rue et marchèrent sur Tunis, revendiquant, pour la première fois, leur droit syndical. Leurs revendications étaient d'ordre professionnel et matériel, mais concernaient aussi l'accès à la santé et les heures de travail », explique la Presse. Des slogans qui restent d'actualité, « aux quatre coins du globe », nous dit le journal tunisien, « ceux qui voudraient gagner leur pain à la sueur de leur front, n'ont jamais eu gain de cause ». « Leurs efforts, durement consentis, ne sont pas justement récompensés », ajoute la Presse, qui évoque notamment « le fléau du chômage endémique, dans lequel s'enlisent de nombreux postulants, avec ou sans diplôme ». RegretsAu Burkina Faso, on a également célébré hier le 1er mai. « L'Unité d'Action Syndicale remet sa plateforme revendicative au ministre en charge de la Fonction publique », titre LeFaso.net qui met en avant les regrets exprimés par l'Unité d'action syndicale… elle s'est vue refuser le droit d'organiser une marche, pour la remise de sa plateforme, en raison « du contexte sécuritaire ». L'UAS n'en réitère pas moins ses principales revendications qui portent notamment sur « la libération des personnes arrêtées, l'augmentation des pensions de retraite [...] ou encore la révision de la nouvelle grille salariale des travailleurs des sociétés d'état ». PatriotismeEn République Démocratique du Congo, une fête du Travail célébrée sur fond de guerre dans l'est du pays. « Pour la journée internationale du travail », nous dit Actualité.cd, « la célébration met en avant les FARDC (les forces armées congolaises) pour leur rôle dans la situation sécuritaire dans l'Est [...] une façon de rendre hommage à ceux qui combattent notamment les rebelles de l'AFC/M23, et ceux qui sont déjà tombés sur le champ de bataille pour la cause nationale. » Actualité.cd, qui cite les propos du ministère de l'emploi, selon lequel ce premier mai « donne une occasion de sensibiliser, de mobiliser et d'aiguiser le patriotisme de la masse laborieuse sur l'impérieuse nécessité de défendre notre patrimoine commun, contre les velléités des ennemis de tout bord ». Liberté de la presseAu Sénégal, c'est sur fond de protestation des médias que s'est déroulée la fête du Travail. « Lors de la remise des cahiers de doléances, au Palais de la République, Moustapha Cissé, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a vivement interpellé le chef de l'État Bassirou Diomaye Faye » indique Sénégo, qui rappelle que « 381 organes de presse ont reçu l'ordre du gouvernement de cesser toute diffusion ou parution. « Nous vous demandons solennellement de sursoir à cette décision qui plonge toute une corporation dans le désarroi », a déclaré Moustapha Cissé, qui ajoute : « la création d'emploi commence par la préservation de l'existant » ». Selon DakarActu, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a également déclaré : « une presse libre ne peut exister si elle est soumise à des pressions économiques ou politiques ». LicenciementsToujours au Sénégal, le Quotidien a décidé de son côté de donner la parole « à des personnes licenciées dans le secteur public-parapublic », tel Boubacar, dont le contrat a été rompu le 31 décembre dernier. « J'ai tout perdu », dit-il. « Selon le Rassemblement des Travailleurs du Sénégal », « plus de trente mille personnes sont concernées « par les licenciements décidés par les nouvelles autorités, dans les structures publiques et parapubliques ». Babacar, lui, se désespère. « Si j'ai la possibilité de partir », dit-il, « je quitterai le pays, peu importe la manière. Diomaye-Sonko m'a tout retiré : mon emploi et ma dignité ».
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce lundi 14 avril 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Fatima Aït Bounoua, professeur de français, débattent du sujet du jour : Retraités, travailleurs... prêts à vous serrer la ceinture ?
Nous sommes le 27 juillet 1867, à l'issue du procès des grévistes et des émeutiers du Moulin de Marchienne. Le procès s'est tenu à la cour d'assises du Hainaut. Un procès pour l'exemple : il faut éviter que de tels événements ne se reproduisent. Le « meneur » écope d'une peine de cinq ans de prison et d'une très grosse amende. D'autres peines de huit à vingt-quatre mois d'incarcération sont encore prononcées. Il y a dix acquittements. La plupart des accusés ne savent pas signer leur nom. Le lendemain, le journal bruxellois « La liberté » écrit : « Cette grève est le fait de gens qui ont indiscutablement faim. Voilà le procès de Jean Valjean ! On ne vole pas un peu de farine dans son tablier ou dans un sac quand on n'a pas faim ! » Ces émeutes de 1867 constituent un épisode fondateur de l'histoire sociale de Charleroi. Une région, comme d'autres, fragilisée par les pénuries alimentaires et le prix exorbitant des denrées. Comment les pouvoirs publics ont-ils réagi à ces mouvements de mécontentement, à ces révoltes ? En quoi ces émeutes et ces grèves ont-elles été utiles dans l'organisation d'une solidarité des travailleurs ? Quel est le rôle des femmes ? Invitée : Francine Bolle, historienne et membre du comité de pilotage du projet « Création » qui rassemble des partenaires issus des mondes de la recherche, des archives et de l'éducation permanente, et entend mobiliser l'histoire comme outil pour éclairer les évolutions contemporaines du travail, de l'insertion et de la reconversion professionnelle et territoriale. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.