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Lindi kordonnier : la mobilisation des travailleurs manuels contre le relèvement de l'âge d'éligibilité à la pension de vieillesse by TOPFM MAURITIUS
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'histoire du logement des travailleurs migrants isolés en France s'écrit depuis les années 50, quand les entreprises françaises, encouragées par l'Etat, ont fait venir en nombre des hommes seuls pour travailler à la reconstruction du pays après la guerre. Venus d'Afrique du Nord puis d'Afrique de l'Ouest, ces travailleurs séparés de leur famille ont été logés dans ce que l'on a appelé des foyers. À la fin des années 70, quelque 700 bâtiments logent 120 000 personnes, essentiellement en région parisienne. Pensés comme temporaires, ces logements sont finalement devenus pérennes : les travailleurs restés en France y ont passé leur vie. Mais en 1997, un plan national est adopté pour les restructurer en un nouveau type d'habitat : les résidences sociales. Près de 30 ans après, 86% des anciens foyers ont été transformés, et c'est tout un mode de vie qui est chamboulé. Quels rôles jouaient ces foyers ? Comment la conception du logement des travailleurs immigrés venus d'Afrique de l'Ouest a-t-elle évolué avec le temps ? Quelles en sont les conséquences sur la vie des personnes concernées ? Un grand reportage de Raphaëlle Pluskwa, avec les témoignages de Yelly Dioumassy, président du Comité des résidents du foyer Rochebrune de Montreuil, Bakary Doucouré, ancien résident du foyer Bara de Montreuil, Emmanuel Brasseur, directeur des métiers chez Coallia, Benjamin Masure, co-fondateur de l'association Taf et Maffé, Laura Guérin, sociologue, Djibril Sylla, soutien aux résidents du foyer Edouard Branly de Montreuil et Danielle Simonnet, députée du groupe Écologiste et Social. Merci à Michael Hoare, président du COPAF ainsi qu'à Véronique et tous les membres du comité de soutien du foyer Branly. Programmation musicale : ► Donne un peu – Vaudou Game ► Mamadou m'a dit – François Béranger (Une recommandation musicale de Bintou Simporé).
L'histoire du logement des travailleurs migrants isolés en France s'écrit depuis les années 50, quand les entreprises françaises, encouragées par l'Etat, ont fait venir en nombre des hommes seuls pour travailler à la reconstruction du pays après la guerre. Venus d'Afrique du Nord puis d'Afrique de l'Ouest, ces travailleurs séparés de leur famille ont été logés dans ce que l'on a appelé des foyers. À la fin des années 70, quelque 700 bâtiments logent 120 000 personnes, essentiellement en région parisienne. Pensés comme temporaires, ces logements sont finalement devenus pérennes : les travailleurs restés en France y ont passé leur vie. Mais en 1997, un plan national est adopté pour les restructurer en un nouveau type d'habitat : les résidences sociales. Près de 30 ans après, 86% des anciens foyers ont été transformés, et c'est tout un mode de vie qui est chamboulé. Quels rôles jouaient ces foyers ? Comment la conception du logement des travailleurs immigrés venus d'Afrique de l'Ouest a-t-elle évolué avec le temps ? Quelles en sont les conséquences sur la vie des personnes concernées ? Un grand reportage de Raphaëlle Pluskwa, avec les témoignages de Yelly Dioumassy, président du Comité des résidents du foyer Rochebrune de Montreuil, Bakary Doucouré, ancien résident du foyer Bara de Montreuil, Emmanuel Brasseur, directeur des métiers chez Coallia, Benjamin Masure, co-fondateur de l'association Taf et Maffé, Laura Guérin, sociologue, Djibril Sylla, soutien aux résidents du foyer Edouard Branly de Montreuil et Danielle Simonnet, députée du groupe Écologiste et Social. Merci à Michael Hoare, président du COPAF ainsi qu'à Véronique et tous les membres du comité de soutien du foyer Branly. Programmation musicale : ► Donne un peu – Vaudou Game ► Mamadou m'a dit – François Béranger (Une recommandation musicale de Bintou Simporé).
Pour Jean-Luc Dupriez, les luttes syndicales sont essentielles dans le combat contre le capitalisme et les organisations doivent toujours privilégier l'union, autrement dit renoncer à l'hégémonie, en acceptant donc le pluralisme▶ Le Média lance le plan "Riposte"
durée : 00:04:16 - Le Reportage de la rédaction - À l'accueil, à la billetterie, au bar... Être saisonnier en festival permet aussi à des étudiants d'étoffer leur CV, dans un secteur culturel compétitif. Illustration aux Nuits de Fourvière, à Lyon.
durée : 00:04:16 - Le Reportage de la rédaction - À l'accueil, à la billetterie, au bar... Être saisonnier en festival permet aussi à des étudiants d'étoffer leur CV, dans un secteur culturel compétitif. Illustration aux Nuits de Fourvière, à Lyon.
Ce mercredi 2 juillet, la décision de Giorgia Meloni d'ouvrir les portes de l'Italie à de nouveaux travailleurs étrangers pour le bien de l'économie a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:02:59 - Le grand format - Alors qu'une grande partie de la France suffoque à cause d'un épisode caniculaire intense, un nouveau décret entre en vigueur ce mardi pour renforcer les obligations des employeurs, afin de mieux protéger les travailleurs exposés à la chaleur. Reportage à la Ciotat, dans les Bouches-du-Rhône. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez l'émission du 30 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les campagnes d'arrestation visant les migrants en Californie ont entraîné des manifestations monstres à Los Angeles et dans d'autres villes. Dans cet État démocrate, un grand nombre de travailleurs du secteur agricole sont sans papiers, et les descentes de la police de l'immigration qui ont touché la petite ville agricole d'Oxnard, au nord de Los Angeles, ont frappé les esprits. Nombreux sont les travailleurs qui restent terrés chez eux, par peur d'aller travailler. De nos envoyés spéciaux de retour d'Oxnard, Sous un soleil de plomb, des paysans cueillent paisiblement des fraises. Il y a dix jours pourtant, non loin de là, une opération de police visait plusieurs migrants sans papiers comme eux. Pas de quoi s'inquiéter pour ce responsable d'une ferme, qui refuse de céder à ce qu'il nomme de la « paranaoïa ». « Si nous étions inquiets, nous aurions mis des gardiens à la porte. Il n'y a pas de quoi s'en faire. Il faut vivre normalement. Je déteste vivre dans la peur », témoigne-t-il. Le climat a bel et bien changé pourtant à Oxnard, bourgade agricole au nord de Los Angeles. Dans le restaurant familial mexicain des Pérez, Raquel, la fille, accueille beaucoup moins de clients depuis l'intervention de policiers d'ICE, la controversée agence fédérale chargée de l'immigration aux États-Unis. « En 18 ans de présence ici, c'était la première fois que je voyais "ICE" dans ce secteur, dans la zone industrielle de la ville. Il y avait deux camionnettes : l'une blanche avec une ligne verte et une inscription "patrouille de protection de la frontière", et un autre véhicule avec aucune indication, mais une plaque d'un autre État. J'ai raconté à ma mère. Quand j'étais devant, là, et que je les ai vus... La façon dont ils m'ont regardé, c'était très intimidant. On voyait la haine dans leurs yeux. J'en ai eu la chair de poule. Et moi, je n'ai rien à craindre. Je suis née et j'ai vécu toute ma vie ici », explique-t-elle. Les incidents d'Oxnard ont instillé la peur. Désormais, beaucoup de travailleurs sans papiers n'osent plus revenir au champ, ni même sortir de chez eux. Angélica, elle, explique qu'elle n'a pas le choix. RFI l'a jointe à distance après sa journée de travail. « On va travailler parce que la peur est toujours moins forte que la nécessité. On travaille dans la chaleur, le froid, sous la pluie, agenouillés souvent. On y va dans la peur et dans l'anxiété. Tout ça pour que la nation puisse avoir de quoi manger sur sa table. Sans nous, les paysans, il n'y aurait rien de tout ça », rappelle-t-elle. Le secteur agricole du comté de Ventura, qui abrite Oxnard, a tiré la sonnette d'alarme. Entre 25 et 45% des travailleurs agricoles auraient cessé de se présenter au travail. À lire aussiÉtats-Unis: l'ICE, une police anti-immigration aux méthodes justifiées par la politique du chiffre
Les campagnes d'arrestation visant les migrants en Californie ont entraîné des manifestations monstres à Los Angeles et dans d'autres villes. Dans cet État démocrate, un grand nombre de travailleurs du secteur agricole sont sans papiers, et les descentes de la police de l'immigration qui ont touché la petite ville agricole d'Oxnard, au nord de Los Angeles, ont frappé les esprits. Nombreux sont les travailleurs qui restent terrés chez eux, par peur d'aller travailler. De nos envoyés spéciaux de retour d'Oxnard, Sous un soleil de plomb, des paysans cueillent paisiblement des fraises. Il y a dix jours pourtant, non loin de là, une opération de police visait plusieurs migrants sans papiers comme eux. Pas de quoi s'inquiéter pour ce responsable d'une ferme, qui refuse de céder à ce qu'il nomme de la « paranaoïa ». « Si nous étions inquiets, nous aurions mis des gardiens à la porte. Il n'y a pas de quoi s'en faire. Il faut vivre normalement. Je déteste vivre dans la peur », témoigne-t-il. Le climat a bel et bien changé pourtant à Oxnard, bourgade agricole au nord de Los Angeles. Dans le restaurant familial mexicain des Pérez, Raquel, la fille, accueille beaucoup moins de clients depuis l'intervention de policiers d'ICE, la controversée agence fédérale chargée de l'immigration aux États-Unis. « En 18 ans de présence ici, c'était la première fois que je voyais "ICE" dans ce secteur, dans la zone industrielle de la ville. Il y avait deux camionnettes : l'une blanche avec une ligne verte et une inscription "patrouille de protection de la frontière", et un autre véhicule avec aucune indication, mais une plaque d'un autre État. J'ai raconté à ma mère. Quand j'étais devant, là, et que je les ai vus... La façon dont ils m'ont regardé, c'était très intimidant. On voyait la haine dans leurs yeux. J'en ai eu la chair de poule. Et moi, je n'ai rien à craindre. Je suis née et j'ai vécu toute ma vie ici », explique-t-elle. Les incidents d'Oxnard ont instillé la peur. Désormais, beaucoup de travailleurs sans papiers n'osent plus revenir au champ, ni même sortir de chez eux. Angélica, elle, explique qu'elle n'a pas le choix. RFI l'a jointe à distance après sa journée de travail. « On va travailler parce que la peur est toujours moins forte que la nécessité. On travaille dans la chaleur, le froid, sous la pluie, agenouillés souvent. On y va dans la peur et dans l'anxiété. Tout ça pour que la nation puisse avoir de quoi manger sur sa table. Sans nous, les paysans, il n'y aurait rien de tout ça », rappelle-t-elle. Le secteur agricole du comté de Ventura, qui abrite Oxnard, a tiré la sonnette d'alarme. Entre 25 et 45% des travailleurs agricoles auraient cessé de se présenter au travail. À lire aussiÉtats-Unis: l'ICE, une police anti-immigration aux méthodes justifiées par la politique du chiffre
Depuis plusieurs mois le patronat et une partie des syndicats négocient dans le conclave sur les retraites. La fin des concertations approche et l'espoir d'un accord s'éloigne petit à petit. Alors François Bayrou joue son va-tout en proposant une prime pour les travailleurs seniors. En quoi cela consiste-t-il? On pose la question à Marine Cardot, journaliste à BFMBusiness.com.
durée : 00:59:04 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Le secteur de l'humanitaire, qui s'est structuré dans les années 1980, subit aujourd'hui les coupes de divers bailleurs et privilégie la “localisation” de l'aide, compromettant l'insertion professionnelle de celles et ceux qui souhaitent allier carrière et quête de sens. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Vincent Pradier Docteur en sciences de gestion à l'IAE (Institut d'Administration des Entreprises) de l'Université Paris-Sorbonne; Ludovic Joxe Coordinateur de projet pour Médecins Sans Frontières, sociologue et chercheur associé au CEPED (Centre Population et Développement)
En France, des millions de personnes travaillent sans pour autant parvenir à se nourrir correctement. Le réseau national d'épiceries solidaires Andès publie le premier baromètre sur l'alimentation des travailleurs pauvres. Une étude qui révèle l'ampleur de la précarité alimentaire dans un pays où un actif concerné sur deux déclare ne pas manger à sa faim. -----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
durée : 00:37:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que les lycéens reçoivent leurs résultats sur Parcoursup et qu'Elisabeth Borne vient de présenter son plan consacré à l'orientation, nous nous demanderons si le sens des études universitaires a changé. - réalisation : François Richer - invités : Monique Canto-Sperber Philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, ancienne directrice de l'ENS et ancienne présidente de PSL, présidente du Conseil d'Administration d'Atouts+ University; Bruno Andreotti Physicien, professeur à l'Université Paris Cité et chercheur au Laboratoire de Physique de l'Ecole Normale Supérieure
Une « chute libre » des droits des travailleurs, voire un « effondrement ». C'est ce qui ressort de l'enquête annuelle menée par la Confédération syndicale internationale dans 151 pays. Comment se manifestent ces reculs des droits des travailleurs ? Comment expliquer de telles situations ? Comment enrayer cette mauvaise dynamique ? Pour en débattre :- Emmanuelle Lavignac, secrétaire nationale de l'Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (UGICT-CGT)- Caroline Diard, professeure associée au département Droit des affaires et Management DRH à TBS Toulouse Business Scholl éducation- Martin Denis, conseiller politique au TUAC, commission syndicale consultative auprès de l'OCDE, Organisation de coopération et de développement économiques.
Une « chute libre » des droits des travailleurs, voire un « effondrement ». C'est ce qui ressort de l'enquête annuelle menée par la Confédération syndicale internationale dans 151 pays. Comment se manifestent ces reculs des droits des travailleurs ? Comment expliquer de telles situations ? Comment enrayer cette mauvaise dynamique ? Pour en débattre :- Emmanuelle Lavignac, secrétaire nationale de l'Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (UGICT-CGT)- Caroline Diard, professeure associée au département Droit des affaires et Management DRH à TBS Toulouse Business Scholl éducation- Martin Denis, conseiller politique au TUAC, commission syndicale consultative auprès de l'OCDE, Organisation de coopération et de développement économiques.
durée : 00:37:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que les lycéens reçoivent leurs résultats sur Parcoursup et qu'Elisabeth Borne vient de présenter son plan consacré à l'orientation, nous nous demanderons si le sens des études universitaires a changé. - réalisation : François Richer - invités : Monique Canto-Sperber Philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, ancienne directrice de l'ENS et ancienne présidente de PSL, présidente du Conseil d'Administration d'Atouts+ University; Bruno Andreotti Physicien, professeur à l'Université Paris Cité et chercheur au Laboratoire de Physique de l'Ecole Normale Supérieure
De nouvelles allégations de corruption secouent Québec, alors que la confiance envers les institutions publiques est de plus en plus fragilisée. Investissement Québec est une fois de plus dans la mire : favoritisme, mauvaise gestion, manque de transparence. Affaires et société avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Manifestation pacifique : la Port Louis Harbour & Docks Workers Union contre le recrutement des travailleurs étrangers by TOPFM MAURITIUS
Retour sur le texte: “La pauvreté, à qui la faute ?” Entrevue avec Audrey Renaud, directrice générale du Regroupement Partage. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Tunisie, une loi votée au Parlement pour mettre fin à la sous-traitance dans certains secteurs. Elle doit permettre de régler les situations abusives de précarité des employés de certaines sociétés de sous-traitance, particulièrement dans le nettoyage et le gardiennage. De notre correspondante à Tunis Mourad Saïdani est gardien de sécurité dans une résidence. Il a veillé jusqu'à 4h du matin le jour du vote de la loi sur la sous-traitance au Parlement. Il attend, avec impatience, un changement. « Vous n'imaginez pas mes conditions de travail, s'exclame l'homme de 42 ans, ça fait un an et demi que je travaille ici pour 160 euros par mois. Je n'ai aucun jour de congé, si je veux en prendre un, c'est prélevé de mon salaire. Je travaille douze heures par jour. J'attendais vraiment cette loi, car je n'en peux plus de cette situation ».Sécurité de l'emploiIl espère qu'avec la nouvelle loi, son contrat sera régularisé. Actuellement, il n'a pas de Sécurité sociale. Le vide juridique et la confusion entre société de prestation de service et sous-traitance ont laissé place à ce genre d'abus. « Je n'ai pas de formation ou de diplôme. Et qui va embaucher quelqu'un de mon âge ? la plupart des secteurs cherchent des jeunes et des saisonniers », explique-t-il.Avec la nouvelle loi, les CDD ou contrats précaires doivent être convertis en CDI et assurer une protection sociale. Une exception est faite pour le travail saisonnier. Mais le professeur en droit Hatem Kotrane souligne un manque de clarté. « L'une des difficultés est la durée maximale du CDD, rien n'est dit dans la loi. On tolère des cas, mais on ne dit pas qu'elle est la durée du seuil, qu'elle est la durée maximale d'un CDD. On parle de contrat de travail qui conclut la durée d'un chantier, d'une mission, cela a été supprimé et aujourd'hui cela créerait beaucoup de difficultés pour nombre d'entreprises, dans le secteur du bâtiment par exemple ».Critique sur le manque de collégialitéLe député indépendant Dhafer Sghiri est l'une des voix à avoir émis des réserves lors du débat sur la loi à l'assemblée. Il a dénoncé notamment le manque de consultation avec les partenaires sociaux et le patronat. « Avec le projet, il doit y avoir une étude d'impacts normalement. Ça doit être chiffré, par exemple le projet va impacter combien de personnes ? Ça, c'est inexistant dans le projet, c'est une grande lacune, une faiblesse ». Le secteur privé a peu réagi à l'adoption de cette nouvelle loi. Le secteur public emploie lui 20% de travailleurs dans la sous-traitance. Le texte prévoit une amende de 3 000 euros et jusqu'à six mois d'emprisonnement en cas d'infraction.
Dans ce nouvel épisode, le vent de la réforme continue de souffler. Après les allocataires sociaux, place aux travailleurs ! Le ministre de l'Emploi veut limiter la durée des préavis à 52 semaines maximum. C'est une fuite qui inquiète Bruxelles : celle des start-ups vers d'autres horizons. Pour y mettre un terme, la Commission européenne adopte une nouvelle stratégie à destination des jeunes entreprises et des scale-ups... À Manage, un pôle de mutualisation des services et ressources techniques pour les arts de la scène a été imaginé par le Théâtre National.Olivier Mouton nous parle du nouveau Trends Tendances de cette semaine intitulé : “La Belgique, terre de grève”. Côté bourse, séance sans réelle grande tendance, les marchés sont dans l'attente des chiffres de Nvidia…
Déductions fiscales étudiantes, réforme du PRB, droits des travailleurs : les priorités de la FCSOU by TOPFM MAURITIUS
Le personnel des soins de santé manifeste dans les rues de Bruxelles Le Kern a trouvé un accord sur la loi-programme : la réforme des allocations de chômage, limitées dans le temps à deux ans Le Musée juif de Washington endeuillé : deux employés tués à proximité du musée Guillaume Meurice a-t-il été censuré par le Centre Culturel d'Uccle ? Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La liste des métiers en tension a été publiée ce jeudi 22 mai au Journal officiel. Elle détermine environ 80 professions pour lesquels les employeurs, en France, ont du mal à recruter du personnel et ouvre la voie à une régularisation des travailleurs étrangers qui exerçaient déjà ces activités de manière illégale. Mais les critères varient selon les régions et transforment la constitution des dossiers de demande de titre de séjour en véritable casse-tête. Rencontre avec une jeune femme qui remplit les conditions pour bénéficier de cette procédure. Dans la permanence du syndicat CFDT de Trappes, en région parisienne, Françoise accompagne cet après-midi une jeune femme ivoirienne. On l'appellera Aya. Elle est arrivée en France en 2017. Son référent, raconte-t-elle, a envoyé les documents nécessaires à sa régularisation en 2023. « La préfecture a répondu que tout était bon, qu'ils étaient en train de traiter les dossiers déposés en 2022, et qu'il fallait donc patienter », raconte Aya.Deux ans plus tard, elle n'a toujours pas de réponse. Mais puisqu'elle exerce un métier en tension depuis au moins un an, la nouvelle procédure peut lui permettre d'être régularisée. Aya est aide ménagère à domicile depuis cinq mois et travaillait auparavant comme femme de chambre dans un hôtel.À la permanence, Françoise n'est pas sûre que le métier de femme de chambre soit un métier en tension. « Tous les métiers ne sont pas des métiers en tension, explique-t-elle à Aya. Vous voyez, la liste des métiers que l'on dit en tension vient juste de sortir et il y en a 17 pages… On pourrait regarder puisqu'il y a domestiques, ménages domestiques... »Sur le bureau, des photocopies dans tous les sens. Jack est venu aider Françoise à s'y retrouver dans cette procédure aux subtilités complexes et pas toujours logiques à ses yeux. « Les métiers en tension sont un petit peu hors sol par rapport à la problématique des personnes sans papiers. Parce que si vous regardez dans cette liste-là, "Des ingénieurs et cadres d'études recherche et développement en industrie", c'est peut-être un métier en tension, mais pas par rapport à la problématique des travailleurs sans papiers. Pour les infirmiers, il faut avoir un diplôme. Même s'ils en avaient un dans leur pays d'origine, il n'est pas valide en France. Donc le métier peut être en tension, mais ils ne rempliront jamais ce métier-là. C'est de la poudre aux yeux. »Une fois le dossier complet, la préfecture convoquera Aya sous 90 jours. Elle devra cette fois prouver qu'elle vit en France depuis au moins trois ans. Mais même si elle répond à chacun des critères, la décision reste à la discrétion du préfet.À lire aussiFrance: des travailleurs sans papiers demandent justice aux géants du secteur des déchets
Des rumeurs de vente pour Carambar&Co, des erreurs sur les calculs de retraite… Rattrapez l'actualité économique du jour avec notre podcast 120 secondes. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Discussion culture et société avec Stéphanie Villeneuve. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:32 - C'est mon boulot - Dans un débat clivant sur l'immigration, une note publiée par Terra Nova sur la main-d'œuvre étrangère n'est pas passée inaperçue. Le cercle de réflexion (classé au centre gauche) estime que la France ne pourra pas se passer des travailleurs immigrés, dans les prochaines décennies, pour maintenir son économie à flot.
durée : 00:03:39 - Un monde connecté - par : Thomas Baumgartner - #Entretien d'embauche. #Télétravail. #Corée du Nord. #Détournement. #Millions. Voilà les mots-clés de l'histoire qui suit, sur une méthode de piratage de plus en plus difficile à contourner pour certaines grandes entreprises, notamment issue de la tech.
La semaine dernière c'était le 1er mai : fête des travailleurs et des travailleuses. Une journée chômée et payée qui permet de remettre les questions du travail, et plutôt des droits des travailleurs, sur la table. Entre 150 000 et 300 000 personnes ont battu le pavé pour cette journée historique partout en France jeudi dernier. Les français ne travaillent pas assez, le coût du travail plombe les entreprises et l'activité, on prend trop de vacances, trop d'arrêts maladie… Les attaques aux droits sont nombreuses dans le pays.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
durée : 00:05:54 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Près de 2 000 Tunisiens ont manifesté jeudi à Tunis, à l'occasion de la fête des Travailleurs, contre la politique du président Kaïs Saïed et pour demander la libération de personnalités politiques emprisonnées.
C'est tout d'abord la Presse en Tunisie, qui nous rappelle « qu'en 1904, des travailleurs tunisiens, maltais, italiens et français réunis, descendirent dans la rue et marchèrent sur Tunis, revendiquant, pour la première fois, leur droit syndical. Leurs revendications étaient d'ordre professionnel et matériel, mais concernaient aussi l'accès à la santé et les heures de travail », explique la Presse. Des slogans qui restent d'actualité, « aux quatre coins du globe », nous dit le journal tunisien, « ceux qui voudraient gagner leur pain à la sueur de leur front, n'ont jamais eu gain de cause ». « Leurs efforts, durement consentis, ne sont pas justement récompensés », ajoute la Presse, qui évoque notamment « le fléau du chômage endémique, dans lequel s'enlisent de nombreux postulants, avec ou sans diplôme ». RegretsAu Burkina Faso, on a également célébré hier le 1er mai. « L'Unité d'Action Syndicale remet sa plateforme revendicative au ministre en charge de la Fonction publique », titre LeFaso.net qui met en avant les regrets exprimés par l'Unité d'action syndicale… elle s'est vue refuser le droit d'organiser une marche, pour la remise de sa plateforme, en raison « du contexte sécuritaire ». L'UAS n'en réitère pas moins ses principales revendications qui portent notamment sur « la libération des personnes arrêtées, l'augmentation des pensions de retraite [...] ou encore la révision de la nouvelle grille salariale des travailleurs des sociétés d'état ». PatriotismeEn République Démocratique du Congo, une fête du Travail célébrée sur fond de guerre dans l'est du pays. « Pour la journée internationale du travail », nous dit Actualité.cd, « la célébration met en avant les FARDC (les forces armées congolaises) pour leur rôle dans la situation sécuritaire dans l'Est [...] une façon de rendre hommage à ceux qui combattent notamment les rebelles de l'AFC/M23, et ceux qui sont déjà tombés sur le champ de bataille pour la cause nationale. » Actualité.cd, qui cite les propos du ministère de l'emploi, selon lequel ce premier mai « donne une occasion de sensibiliser, de mobiliser et d'aiguiser le patriotisme de la masse laborieuse sur l'impérieuse nécessité de défendre notre patrimoine commun, contre les velléités des ennemis de tout bord ». Liberté de la presseAu Sénégal, c'est sur fond de protestation des médias que s'est déroulée la fête du Travail. « Lors de la remise des cahiers de doléances, au Palais de la République, Moustapha Cissé, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a vivement interpellé le chef de l'État Bassirou Diomaye Faye » indique Sénégo, qui rappelle que « 381 organes de presse ont reçu l'ordre du gouvernement de cesser toute diffusion ou parution. « Nous vous demandons solennellement de sursoir à cette décision qui plonge toute une corporation dans le désarroi », a déclaré Moustapha Cissé, qui ajoute : « la création d'emploi commence par la préservation de l'existant » ». Selon DakarActu, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a également déclaré : « une presse libre ne peut exister si elle est soumise à des pressions économiques ou politiques ». LicenciementsToujours au Sénégal, le Quotidien a décidé de son côté de donner la parole « à des personnes licenciées dans le secteur public-parapublic », tel Boubacar, dont le contrat a été rompu le 31 décembre dernier. « J'ai tout perdu », dit-il. « Selon le Rassemblement des Travailleurs du Sénégal », « plus de trente mille personnes sont concernées « par les licenciements décidés par les nouvelles autorités, dans les structures publiques et parapubliques ». Babacar, lui, se désespère. « Si j'ai la possibilité de partir », dit-il, « je quitterai le pays, peu importe la manière. Diomaye-Sonko m'a tout retiré : mon emploi et ma dignité ».
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:20:18 - Journal de 12h30 - Aux Etats-Unis où la menace de révocation de leur statut fait craindre à quelques 500 000 migrants d'être expulsés du pays. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
durée : 00:20:18 - Journal de 12h30 - Aux Etats-Unis où la menace de révocation de leur statut fait craindre à quelques 500 000 migrants d'être expulsés du pays. - réalisation : Nicolas Pommé, Aloïs Guérin, Brice Garcia
Pour débuter l'émission de ce lundi 14 avril 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Fatima Aït Bounoua, professeur de français, débattent du sujet du jour : Retraités, travailleurs... prêts à vous serrer la ceinture ?
durée : 00:58:31 - Le Grand Reportage - par : Catherine Petillon - En février dernier, Abdullah Öcalan, le fondateur du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK), la guérilla kurde, lançait un appel à déposer les armes. Que pensent les Kurdes de Diyarbakir de cet appel à la paix après plus de 40 ans de guerre et des dizaines de milliers de morts ? - réalisation : Annie Brault
Nous sommes le 27 juillet 1867, à l'issue du procès des grévistes et des émeutiers du Moulin de Marchienne. Le procès s'est tenu à la cour d'assises du Hainaut. Un procès pour l'exemple : il faut éviter que de tels événements ne se reproduisent. Le « meneur » écope d'une peine de cinq ans de prison et d'une très grosse amende. D'autres peines de huit à vingt-quatre mois d'incarcération sont encore prononcées. Il y a dix acquittements. La plupart des accusés ne savent pas signer leur nom. Le lendemain, le journal bruxellois « La liberté » écrit : « Cette grève est le fait de gens qui ont indiscutablement faim. Voilà le procès de Jean Valjean ! On ne vole pas un peu de farine dans son tablier ou dans un sac quand on n'a pas faim ! » Ces émeutes de 1867 constituent un épisode fondateur de l'histoire sociale de Charleroi. Une région, comme d'autres, fragilisée par les pénuries alimentaires et le prix exorbitant des denrées. Comment les pouvoirs publics ont-ils réagi à ces mouvements de mécontentement, à ces révoltes ? En quoi ces émeutes et ces grèves ont-elles été utiles dans l'organisation d'une solidarité des travailleurs ? Quel est le rôle des femmes ? Invitée : Francine Bolle, historienne et membre du comité de pilotage du projet « Création » qui rassemble des partenaires issus des mondes de la recherche, des archives et de l'éducation permanente, et entend mobiliser l'histoire comme outil pour éclairer les évolutions contemporaines du travail, de l'insertion et de la reconversion professionnelle et territoriale. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
370 travailleurs humanitaires tués en 2024. Un chiffre sans précédent, reflet d'un environnement de plus en plus dangereux pour celles et ceux qui s'engagent sur le terrain à apporter une aide essentielle aux populations civiles dans des contextes de crise. Et face à ces violences, l'impunité reste la norme.Au micro d'Alexandre Carette, d'ONU Info Genève, Olivier Vandecasteele, ancien travailleur humanitaire détenu arbitrairement en Iran et fondateur de l'ONG Protect Humanitarians, alerte sur les multiples menaces qui pèsent sur le personnel humanitaire : insécurité croissante, criminalisation de l'aide, manque de mécanismes de protection.Il insiste aussi sur la nécessité de mieux défendre les humanitaires locaux, en première ligne sur le terrain, mais souvent oubliés dans les politiques de protection.
Impôts fédéraux : l’IEDM recommande d’abolir le deuxième palier d’imposition afin d’aider les travailleurs de la classe moyenne. Entrevue avec Renaud Brossard, vice-président communications à l’Institut économique de Montréal (IEDM). Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:12:36 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Ce 27 février, le fondateur du Parti des Travailleurs du Kurdistan, Abdallah Öcalan, a appelé l'organisation à déposer les armes et dissoudre le parti. Un appel historique lancé depuis sa prison, et vite repris par les cadres du PKK qui ont déclaré ce week-end un cessez-le-feu. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Adel Bakawan Directeur du Centre Français de Recherche sur l'Irak, chercheur associé au Programme Turquie/Moyen-Orient de l'Institut Français des Relations Internationales (IFRI), membre de l'Institut de Recherche et d'Études Méditerranée Moyen-Orient (iReMMO)
Le 17 février 1964, la Belgique et le Maroc signent une convention pour l'immigration de main-d'oeuvre marocaine en Belgique. Cet accord scelle l'arrivée de travailleurs marocains dans les charbonnages belges et d'autres secteurs industriels. C'est le début de 60 années de vie commune, une histoire jalonnée de surprises, d'apprentissages, de difficultés, d'apports réciproques dans de nombreux domaines. Une exposition itinérante et un livre collectif,” Belgica Biladi. Une Histoire Belgo Marocaine”, publié aux éditions de L'Université Libre de Bruxelles, rendent compte du chemin parcouru. Episode 2/3 : Entre la tajine et la frite Sujets traités : Immigration, Maroc, Belgique, travailleurs Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Jérôme Marty et Bruno Pomart débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A 10h, ce jeudi 6 février 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise,, débattent de : "Logements sociaux : faut-il prioriser les travailleurs ?".
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Onze travailleurs bloqués pendant deux semaines dans une mine d'or en Chine ont été ramenés sains et saufs à la surface.Traduction:Eleven workers trapped for two weeks inside a Chinese gold mine were brought safely to the surface. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.