POPULARITY
Categories
Le 3 décembre, des travailleurs de la société minière KCC ont marché dans les rues de Kolwezi, dans la province du Lualaba, dans le sud de la RD Congo. Ils réclamaient des mesures de sécurité pour faire face aux mineurs artisanaux, qu'ils accusent de les agresser sur les sites miniers. En toile de fond : le manque d'espace pour ces mineurs artisanaux qui est la source de leur mécontentement.
Cherchant des soutiens pour l'épauler face au patronat, Lapin fait connaissance avec le Front des Travailleurs en Colère.La Chute de LapinvilleLapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d'école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu'une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l'enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l'espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie. Création 2023 Scénario et dialogues Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci Direction artistique Benjamin Abitan Conseillère littéraire Noémie Landreau Réalisation Clémence Bucher Assistante réalisation Alexandra Garcia-Vilà Musique originale Samuel Hirsch Narrateur Aurélien Gabrielli (Lapin) Comédiens Léopoldine Hummel (Lili) Michael Zindel (Nikos) Merveille Nsombi (Isidore) Comédiens silhouettes Martin Meric (Doc) Anne-Gaëlle Jourdain (RH) Maya Guéritte (Employée) Jeanne Mousel (Employée) Cliente (Daphné Lanne) Clémence Bucher (Couple 1) Sahar Pirouz (Couple 2) Voix générique Aurélien Gabrielli Bernard Gabay Production ARTE Radio ARTE Studio Virginie Lacoste Sahar Pirouz Jacques Falgous Illustration Roxane Lumeret
Le retour au bureau pour les travailleurs des gouvernements fédéral et provincial. La rencontre Mulroney-Boilard avec Ben Mulroney, animateur du Ben Mulroney show. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
La rencontre Mulroney-Dutrizac avec Ben Mulroney, animateur du Ben Mulroney show. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Abonnez-vous à QUB télé via https://www.tvaplus.ca/qub ou écoutez ce segment en balado via https://www.qub.ca/radio/balado/benoit-dutrizacPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Le ministre des Finances du Québec, Eric Girard, n'a pas fait de distribution de chèques dans sa plus récente mise à jour économique, mais il a tout de même mis en place des mesures qui allègent le fardeau des contribuables et des entreprises. Écoutez la chroniqueuse économie Marie-Eve Fournier expliquer ces mesures, qui sont effectives dès le 1er janvier, et qui visent à augmenter le revenu net des travailleurs sans coûter cher à l'État. Les deux principales mesures concernent la diminution des cotisations au Régime de rentes du Québec (RRQ) et au Régime québécois d'assurance parentale (RQAP). Marie-Eve Fournier souligne que «les deux principales mesures qui nous touchent n'ont pas coûté un sou, mais elles vont quand même nous permettre d'augmenter notre revenu net». Pour un travailleur, cela représente environ 80 $ en moyenne de plus dans ses poches, et jusqu'à 157 $ pour les plus hauts salariés. L'État, qui emploie près de 500 000 personnes, s'offre lui-même un «cadeau» en agissant comme employeur et en décrétant cette baisse de cotisations.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Environ 150 travailleurs étrangers toujours en fugue suite à la fermeture de l'usine Star Knitwear by TOPFM MAURITIUS
Journée mondiale des pêcheurs artisans et des travailleurs de la mer: « c'est enn moment fort pou reflechilorlavenir la peche» souligne Patrick Fortuno by TOPFM MAURITIUS
La CTSP réclame Rs 855 de compensation salariale pour protéger le pouvoir d'achat des travailleurs by TOPFM MAURITIUS
Le sujet :En France, 4 millions de travailleurs indépendants cotisent toute leur carrière pour ne percevoir qu'environ 20 % de leurs revenus une fois à la retraite. Découvrez comment les TNS peuvent optimiser leur protection sociale et réduire leur fiscalité.L'invité du jour :Jérôme Vialla est le cofondateur de Patrimovie, une société de conseil en gestion de patrimoine spécialisée pour les professions libérales. Au micro de Matthieu Stefani, Jérôme nous dit tout sur la protection sociale et l'épargne retraite des travailleurs non salariés.Au programme :Travailleurs non salariés : qui est concerné ?Comment choisir sa mutuelle ?Prévoyance : est-ce indispensable ?Retraite et PER : comment s'organiser ?Quels sont les avantages fiscaux à connaître ?Avantages :Bonne nouvelle ! Nous avons négocié un audit offert et 0% de frais d'entrée en indiquant le code MARTINGALE sur le lien : https://www.patrimovie.com/contact.Ils citent les références suivantes :Le PEROPC, anciennement OPCVM, Organisme de placement collectif (en valeurs mobilières)Ratio de Sharpe (ratio de rentabilité du risque)SELARL, ou SEL, société d'exercice libérale à responsabilité limitéeOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Enky de soutenir le podcast.Bénéficiez de 100€ à 300€ crédités selon le montant investi en cliquant sur ce lien.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:52 - L'emploi pour les personnes handicapées : à l'Esat "Les Pins" à Bois-de-la-Pierre près de Carbonne. - À l'Esat Les Pins à Bois-de-la-Pierre, près de Carbonne (Haute-Garonne), l'atelier maraîchage offre à des travailleurs en situation de handicap un chemin vers l'autonomie. Un lieu où chaque travailleur cultive son épanouissement, entre production de légumes bio et confiance retrouvée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:12:27 - Journal de 18h - Plusieurs centaines de travailleurs sans-papiers ont défilé samedi dans les rues de la capitale pour protester contre le durcissement des conditions de régularisation et leur invisibilisation.
durée : 00:12:27 - Journal de 18h - Plusieurs centaines de travailleurs sans-papiers ont défilé samedi dans les rues de la capitale pour protester contre le durcissement des conditions de régularisation et leur invisibilisation.
durée : 00:13:46 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour dans les Hautes-Pyrénées : un marché de produits locaux pour soutenir la vente directe, et une atelier qui entend transmettre au grand public le travail artisanal de la laine rustique, "de laine et de bois". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Emploi : Maurice s'engage à garantir l'égalité des droits pour les travailleurs indiens, assurance du ministre du Travail lors du sommet des compétences en Inde by TOPFM MAURITIUS
C'est un fléau sanitaire et environnemental auquel les habitants d'Antananarivo sont habitués : chaque année, peu avant la saison des pluies, l'air de la capitale malgache se charge de particules fines. Une épaisse fumée envahit le ciel en fin de journée. La faute aux feux de brousse environnants qui, en octobre et novembre, viennent s'ajouter au trafic automobile notamment. En plus des enfants et des personnes âgées, les travailleurs informels qui exercent leur activité en extérieur toute la journée sont parmi les plus exposés. À lire aussiMadagascar: Antananarivo sous un brouillard de pollution à cause des feux de brousse
L'engagisme : Maurice commémore le 191ᵉ anniversaire de l'arrivée des travailleurs engagés indiens by TOPFM MAURITIUS
Prix immobiliers à Paris, chèque énergie… Rattrapez l'actualité économique du jour avec notre podcast 120 secondes. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Nous sommes en 1803. Voici un jeune chirurgien qui essaye de comprendre et de soigner les soldats atteints de … nostalgie. il a même consacré une thèse à ce sujet. On peut en trouver un exemplaire édité par l'imprimerie De Valade, rue Coquillière, à Paris. L'intitulé est précis « Essai sur la nostalgie, appelée vulgairement maladie du pays. Présenté et soutenu, à l'Ecole de Médecine, par Denis Guerbois, ex-chirurgien de première classe de l'armée d'Italie, Officier de santé de l'hospice de Liancourt, département de L'Oise. » En épigraphe, le jeune homme a noté ces simples mots : « Ils laissaient, en partant, une mère chérie ». Il a aussi inclus, à son travail, une préface autobiographique dans laquelle il écrit : « La première fois que je quittais ma mère : ses yeux baignés de larmes, sa main qui s'attachait à la mienne, ses regards qui me rappelaient sans cesse, imprimèrent dans mon cœur, un souvenir que je conservais partout. » Nous sommes donc au début du XIXe siècle, et l'on peut souffrir de nostalgie, et l'on peut même en mourir à l'instar de celles et ceux touché.e.s par le typhus ou la petite vérole. La nostalgie frappe surtout les soldats, les travailleurs migrants, les colons, les expatriés. A cette époque, le monde s'élargit, les guerres font rage, l'expansion coloniale est en marche. La nostalgie tue, parfois plus que la violence des combats. Comment en est -on arrivé à pathologiser la nostalgie ? Quand et pourquoi a-t-on cessé de le faire ? De quelle manière est-on passé du regret, du manque d'un espace familier à la recherche d'un temps perdu ? Ce n'est pas simple, mais allons-y quand même … Invité : Thomas Dodman, maître de conférences à l'université de Columbia Sujets traités : nostalgie, maladie, Denis Guerbois, soldats, travailleurs, migrants, colons, expatriés, temps Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bouchra Khalili est à l'honneur du festival d'Automne avec des œuvres vidéos installées dans trois théâtres pour retrouver la mémoire du Mouvement des travailleurs arabes. Avec ses trois projets Astérismes (Fig. 1 à 3), l'artiste Bouchra Khalili refait surgir la mémoire des histoires effacées, des traces fragiles de mémoires. Trois installations qui correspondent à trois périodes de travail puisque la première date de 2017 et la dernière de 2025 et qui sont réunies sous ce titre de «Astérisme» qui est un terme d'astronomie pour designer une figure dessinée par les étoiles : une constellation... C'est donc un ensemble. On découvre notamment, dans l'une de ces expositions, le Mouvement des Travailleurs arabes qui avait constitué deux troupes de théâtre avec un slogan, «de la rue à la scène et de la scène à la rue». «Ce qui m'a interpellée, c'est que des ouvriers qui travaillaient dans des usines aient pensé au théâtre». Une histoire très peu connue. Elle a retrouvé pour faire ce travail certains acteurs de l'époque qu'elle a filmés. «Ces expositions opèrent comme une forme de résurrection», nous raconte l'artiste Bouchra Khalili. «Ce qui m'intéresse, c'est ce qui n'a pas été archivé, des mémoires dont il ne reste uniquement que quelques fragments». Et quand il n'y a pas d'archives, elle imagine des fictions pour dire ce qui a eu lieu comme dans l'exposition Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public avec, par exemple, avec Mririda n'Aït Attik, poétesse amazighe, active dans la première moitié du XXè siècle dans le Haut-Atlas qui «maitrisait la poésie sans l'écrit» et dont on a que des traductions. L'artiste réactive également un élément de la culture marocaine : le conte avec un jeune conteur de Marrakech qui salue l'histoire de Djelali Kamal, immigré et gréviste de la faim et candidat à la présidence de la République en 1974. Invitée : Bouchra Khalili est une artiste visuelle franco-marocaine née en 1975 à Casablanca. Elle est diplômée en Études cinématographiques et médiatiques de la Sorbonne Nouvelle et en arts visuels de l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy. Multidisciplinaire, elle utilise le textile, la photographie, la sérigraphie et la vidéo pour concevoir ses œuvres. À voir dans le cadre du Festival d'automne : - Astérismes (Fig. 1) : The Tempest Society - T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique -Astérismes (Fig. 2) : The Circle and The Public Storyteller - Odéon Théâtre de l'Europe – Berthier Paris 17 2 – 26 octobre - Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt 22 – 29 octobre. Programmation musicale : Les Artistes Amadou et Mariam avec le titre L'amour à la folie.
Bouchra Khalili est à l'honneur du festival d'Automne avec des œuvres vidéos installées dans trois théâtres pour retrouver la mémoire du Mouvement des travailleurs arabes. Avec ses trois projets Astérismes (Fig. 1 à 3), l'artiste Bouchra Khalili refait surgir la mémoire des histoires effacées, des traces fragiles de mémoires. Trois installations qui correspondent à trois périodes de travail puisque la première date de 2017 et la dernière de 2025 et qui sont réunies sous ce titre de «Astérisme» qui est un terme d'astronomie pour designer une figure dessinée par les étoiles : une constellation... C'est donc un ensemble. On découvre notamment, dans l'une de ces expositions, le Mouvement des Travailleurs arabes qui avait constitué deux troupes de théâtre avec un slogan, «de la rue à la scène et de la scène à la rue». «Ce qui m'a interpellée, c'est que des ouvriers qui travaillaient dans des usines aient pensé au théâtre». Une histoire très peu connue. Elle a retrouvé pour faire ce travail certains acteurs de l'époque qu'elle a filmés. «Ces expositions opèrent comme une forme de résurrection», nous raconte l'artiste Bouchra Khalili. «Ce qui m'intéresse, c'est ce qui n'a pas été archivé, des mémoires dont il ne reste uniquement que quelques fragments». Et quand il n'y a pas d'archives, elle imagine des fictions pour dire ce qui a eu lieu comme dans l'exposition Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public avec, par exemple, avec Mririda n'Aït Attik, poétesse amazighe, active dans la première moitié du XXè siècle dans le Haut-Atlas qui «maitrisait la poésie sans l'écrit» et dont on a que des traductions. L'artiste réactive également un élément de la culture marocaine : le conte avec un jeune conteur de Marrakech qui salue l'histoire de Djelali Kamal, immigré et gréviste de la faim et candidat à la présidence de la République en 1974. Invitée : Bouchra Khalili est une artiste visuelle franco-marocaine née en 1975 à Casablanca. Elle est diplômée en Études cinématographiques et médiatiques de la Sorbonne Nouvelle et en arts visuels de l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy. Multidisciplinaire, elle utilise le textile, la photographie, la sérigraphie et la vidéo pour concevoir ses œuvres. À voir dans le cadre du Festival d'automne : - Astérismes (Fig. 1) : The Tempest Society - T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique -Astérismes (Fig. 2) : The Circle and The Public Storyteller - Odéon Théâtre de l'Europe – Berthier Paris 17 2 – 26 octobre - Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt 22 – 29 octobre. Programmation musicale : Les Artistes Amadou et Mariam avec le titre L'amour à la folie.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Écoutez la chroniqueuse économique Michèle Boisvert commenter cette nouvelle avec Philippe Cantin, à l'émission Le Québec maintenant.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
150 travailleurs étrangers quittent les dortoirs de l'usine Star Knitwear by TOPFM MAURITIUS
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque lundi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Philippe Val livre son regard sur l'actualité.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Débatteurs du soir : -Georges Fenech, ancien magistrat -Antonin André, chef du service politique du JDD Invité : -Bertrand Martinot, économiste et expert associé à l'Institut Montaigne Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Toute l’équipe du président du conseil régional FTQ Montréal métropolitain était à la marche du 4 octobre pour «soutenir Gaza». Ils se font critiquer par le CIJA de prendre part à une marche conjointe avec des groupes qui scandent des slogans de haine et d'appel à la mort depuis 2 ans. Pourquoi la FTQ a pris position dans ce conflit ? On va lui demander. Entrevue avec Marc-Édouard Joubert, président du conseil régional FTQ, Montréal métropolitain. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En Espagne, pour pallier la pénurie de main-d'œuvre dans certains secteurs, le gouvernement autorise les entreprises à embaucher des étrangers dans leur pays d'origine pour travailler quelques mois avant de repartir. À Lleida, en Catalogne, l'arrivée de ces travailleurs temporaires contentent les agriculteurs, tandis que les travailleurs immigrés saisonniers résidant en Espagne se plaignent de voir leurs emplois menacés. Une mise en concurrence qui passe mal. Le reportage de notre correspondante à Barcelone est à retrouver dans son intégralité sur le site de RFI dans le podcast Accent d'Europe. À lire aussiEspagne: vers une régularisation de près de 500 000 personnes en situation irrégulière
En Espagne, pour pallier la pénurie de main-d'œuvre dans certains secteurs, le gouvernement autorise les entreprises à embaucher des étrangers dans leur pays d'origine pour travailler quelques mois avant de repartir. À Lleida, en Catalogne, l'arrivée de ces travailleurs temporaires contentent les agriculteurs, tandis que les travailleurs immigrés saisonniers résidant en Espagne se plaignent de voir leurs emplois menacés. Une mise en concurrence qui passe mal. Le reportage de notre correspondante à Barcelone est à retrouver dans son intégralité sur le site de RFI dans le podcast Accent d'Europe. À lire aussiEspagne: vers une régularisation de près de 500 000 personnes en situation irrégulière
durée : 00:28:14 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Comment parler d'une histoire effacée ? Dans le cadre du Festival d'Automne, l'artiste Bouchra Khalili convie les fantômes du MTA, Mouvement de Travailleurs Arabes contre le racisme et pour l'égalité des droits, et les fait dialoguer avec les luttes du présent. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Bouchra Khalili
Dans cet épisode, on va parler de la génération Z et de son impact sur le management d'aujourd'hui.Avec Sabine Picquet, spécialiste du management intergénérationnel, on va explorer leurs forces, leurs attentes et les clés pour créer une collaboration intergénérationnelle plus fluide.Dans cet épisode, tu vas découvrir :Les croyances les plus répandues (et fausses) sur la Gen ZLes vraies forces et atouts de cette génération au travailLeurs attentes vis-à-vis de leurs managers : sens, autonomie, feedbackLes erreurs à éviter pour ne pas les démotiverDes conseils pratiques pour créer une meilleure collaboration intergénérationnelleUn échange riche et inspirant qui va t'aider à mieux comprendre la génération Z et à transformer ces différences en opportunités pour ton management.Pour plus de conseils, retrouve Sabine sur Linkedin et sur sa Newsletter.Tu as aimé cet épisode de podcast ? Tu vas adorer ma newsletter
durée : 00:55:16 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En juin 2011, le foyer des travailleurs maliens de la rue de La Fontaine-au-Roi, situé dans le 11e arrondissement de Paris, ferme en vue de sa rénovation. Juste avant le début des travaux, Stéphane Bonnefoi et Viviane Noël racontent pour "Sur les docks" la vie quotidienne des lieux. - réalisation : Virginie Mourthé
A 10h, ce mardi 26 août 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent du sujet du jour : "Les travailleurs étrangers, une chance pour notre économie ?"
Au menu de la deuxième heure des GG du mardi 26 août 2025 : "Un jeune homme de 24 ans meurt malgré deux appels au 15, Samu responsable ? ", "Faire de la France un État fédéral, une solution ou une fausse bonne idée? " et "Travailleurs étrangers, une chance pour notre économie ? , avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, et Jérôme Marty, médecin généraliste.
Précédés de mois de tensions, les cinq jours de conflits armés entre la Thaïlande et le Cambodge fin juillet 2025 ont déplacé des centaines de milliers de personnes dans les provinces frontalières où se sont concentrés les affrontements. Selon les autorités cambodgiennes, au moins 700 000 travailleurs émigrés en Thaïlande seraient revenus au Cambodge depuis le début de la crise. Alors que les relations entre les deux pays sont au plus bas malgré le cessez-le-feu, les perspectives d'emplois semblent très incertaines pour ces travailleurs peu qualifiés, précaires et revenus à la hâte. De notre correspondante à Phnom Penh, Sur un chantier de la capitale Phnom Penh, Lors et Sanan s'estiment chanceux d'avoir pu retrouver un emploi. Fin juillet, ce couple d'ouvriers du bâtiment travaillait encore à Bangkok. Quand le conflit armé éclate entre la Thaïlande et le Cambodge, ils se sentent menacés. « D'autres travailleurs migrants nous ont prévenu qu'une bande d'une dizaine de Thaïlandais avaient cherché à les intimider. Et puis, ils sont venus nous trouver et ont demandé : " Eh toi ! Tu viens d'où ? "J'ai eu peur de me faire frapper si je leur disais que j'étais Cambodgien. Alors, j'ai répondu que je venais d'une province thaïlandaise et ça s'est arrêté là. » Au même moment, le couple est prévenu que leur famille restée au Cambodge doit évacuer le village en raison des affrontements : « Nous avions déjà peur ici. Et ma mère nous appelait tous les jours avec les enfants. Nous avons redouté que ce gang (thaïlandais) nous retrouve et nous cherche plus d'histoires. Alors, nous avons demandé notre salaire et nous sommes rentrés fin juillet. » Comme Lors et Sanan, au moins 700 000 travailleurs émigrés sont rentrés au Cambodge en raison du conflit. Jusqu'à présent, ils étaient près de 1,2 million Cambodgiens à travailler en Thaïlande, dont seulement une moitié en situation régulière. À lire aussiThaïlande-Cambodge: aux origines d'un vieux conflit frontalier « Choisir entre leur sécurité et leurs revenus » « On n'a jamais vu ça. Regardez ! » Khun Tharo est responsable de programme à Central, une ONG cambodgienne de défense des droits des travailleurs. Sur son ordinateur défilent les vidéos envoyées par leurs équipes déployées sur un poste frontalier : « Regardez ce qu'ils transportent : des matelas, des couvertures, leurs bébés sur leurs épaules, etc. On comprend qu'ils ne vont pas revenir avant un long moment. » La panique a poussé ces travailleurs à quitter leur emploi, quitte à se priver de tous revenus une fois au Cambodge : « Ils ont dû choisir entre leur sécurité et leurs revenus, explique Khun Tharo. S'ils n'avaient pas été confrontés à cette situation, ils seraient restés en Thaïlande où ils avaient un salaire régulier. Quand ils reviennent ici, ils ne savent pas s'ils pourront retrouver un travail ou combien de temps cela prendra. Ils s'inquiètent de savoir comment ils pourront subvenir aux besoins de leur famille ou rembourser leur emprunt. Le problème, c'est que je doute qu'il y ait assez d'emplois disponibles pour la masse de travailleurs qui sont revenus. » Malgré un cessez-le-feu le 29 juillet, ils sont encore nombreux à dire ne pas vouloir retourner en Thaïlande. Mais, même si les autorités cambodgiennes se mobilisent, le marché du travail risque de ne pas pouvoir absorber ces quelque 700 000 travailleurs supplémentaires issus de milieux précaires. Or, côté thaïlandais, les secteurs de la construction, du service, de la pêche, de l'agriculture ou encore de l'industrie alimentaire, des secteurs qui employaient cette main d'œuvre cambodgienne peu qualifiée, se confrontent à l'urgence de la remplacer. À lire aussiThaïlande-Cambodge: après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
durée : 04:42:45 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1991, Marion Thiba faisait entendre des paroles d'ouvriers qui font la parole ouvrière. Travailleurs de l'hexagone, ou bien souvent émigrés d'hier ou d'avant-hier, ils témoignaient de la dignité d'une vie de travail rude, brutale, d'un savoir faire aussi, de temps de lutte et de solidarité. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Marcel Donati Militant et poète ouvrier; Michel Verret Philosophe et sociologue
Thierry Vignal, fondateur d'Atom, partage sa vision du marché des "chambres de bonne" à Paris et comment il compte transformer ces m2 insalubres en écrins de luxe pour travailleurs nomades.Un modèle économique à découvrir en détails dans l'épisode complet.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d´informations. La Slovaquie va t-elle avoir une pénurie de travailleurs dans les futures années? Si le gouvernement n´y prend pas garde, il semblerait que oui. L´or rouge, nouvel eldorado d´un business aux moeurs controversées puisqu´il s´agit du sang. Ce commerce touche la sphere politique et traverse meme les frontieres slovaques. Rediffusion
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'histoire du logement des travailleurs migrants isolés en France s'écrit depuis les années 50, quand les entreprises françaises, encouragées par l'Etat, ont fait venir en nombre des hommes seuls pour travailler à la reconstruction du pays après la guerre. Venus d'Afrique du Nord puis d'Afrique de l'Ouest, ces travailleurs séparés de leur famille ont été logés dans ce que l'on a appelé des foyers. À la fin des années 70, quelque 700 bâtiments logent 120 000 personnes, essentiellement en région parisienne. Pensés comme temporaires, ces logements sont finalement devenus pérennes : les travailleurs restés en France y ont passé leur vie. Mais en 1997, un plan national est adopté pour les restructurer en un nouveau type d'habitat : les résidences sociales. Près de 30 ans après, 86% des anciens foyers ont été transformés, et c'est tout un mode de vie qui est chamboulé. Quels rôles jouaient ces foyers ? Comment la conception du logement des travailleurs immigrés venus d'Afrique de l'Ouest a-t-elle évolué avec le temps ? Quelles en sont les conséquences sur la vie des personnes concernées ? Un grand reportage de Raphaëlle Pluskwa, avec les témoignages de Yelly Dioumassy, président du Comité des résidents du foyer Rochebrune de Montreuil, Bakary Doucouré, ancien résident du foyer Bara de Montreuil, Emmanuel Brasseur, directeur des métiers chez Coallia, Benjamin Masure, co-fondateur de l'association Taf et Maffé, Laura Guérin, sociologue, Djibril Sylla, soutien aux résidents du foyer Edouard Branly de Montreuil et Danielle Simonnet, députée du groupe Écologiste et Social. Merci à Michael Hoare, président du COPAF ainsi qu'à Véronique et tous les membres du comité de soutien du foyer Branly. Programmation musicale : ► Donne un peu – Vaudou Game ► Mamadou m'a dit – François Béranger (Une recommandation musicale de Bintou Simporé).
durée : 00:04:16 - Le Reportage de la rédaction - À l'accueil, à la billetterie, au bar... Être saisonnier en festival permet aussi à des étudiants d'étoffer leur CV, dans un secteur culturel compétitif. Illustration aux Nuits de Fourvière, à Lyon.
Ce mercredi 2 juillet, la décision de Giorgia Meloni d'ouvrir les portes de l'Italie à de nouveaux travailleurs étrangers pour le bien de l'économie a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les campagnes d'arrestation visant les migrants en Californie ont entraîné des manifestations monstres à Los Angeles et dans d'autres villes. Dans cet État démocrate, un grand nombre de travailleurs du secteur agricole sont sans papiers, et les descentes de la police de l'immigration qui ont touché la petite ville agricole d'Oxnard, au nord de Los Angeles, ont frappé les esprits. Nombreux sont les travailleurs qui restent terrés chez eux, par peur d'aller travailler. De nos envoyés spéciaux de retour d'Oxnard, Sous un soleil de plomb, des paysans cueillent paisiblement des fraises. Il y a dix jours pourtant, non loin de là, une opération de police visait plusieurs migrants sans papiers comme eux. Pas de quoi s'inquiéter pour ce responsable d'une ferme, qui refuse de céder à ce qu'il nomme de la « paranaoïa ». « Si nous étions inquiets, nous aurions mis des gardiens à la porte. Il n'y a pas de quoi s'en faire. Il faut vivre normalement. Je déteste vivre dans la peur », témoigne-t-il. Le climat a bel et bien changé pourtant à Oxnard, bourgade agricole au nord de Los Angeles. Dans le restaurant familial mexicain des Pérez, Raquel, la fille, accueille beaucoup moins de clients depuis l'intervention de policiers d'ICE, la controversée agence fédérale chargée de l'immigration aux États-Unis. « En 18 ans de présence ici, c'était la première fois que je voyais "ICE" dans ce secteur, dans la zone industrielle de la ville. Il y avait deux camionnettes : l'une blanche avec une ligne verte et une inscription "patrouille de protection de la frontière", et un autre véhicule avec aucune indication, mais une plaque d'un autre État. J'ai raconté à ma mère. Quand j'étais devant, là, et que je les ai vus... La façon dont ils m'ont regardé, c'était très intimidant. On voyait la haine dans leurs yeux. J'en ai eu la chair de poule. Et moi, je n'ai rien à craindre. Je suis née et j'ai vécu toute ma vie ici », explique-t-elle. Les incidents d'Oxnard ont instillé la peur. Désormais, beaucoup de travailleurs sans papiers n'osent plus revenir au champ, ni même sortir de chez eux. Angélica, elle, explique qu'elle n'a pas le choix. RFI l'a jointe à distance après sa journée de travail. « On va travailler parce que la peur est toujours moins forte que la nécessité. On travaille dans la chaleur, le froid, sous la pluie, agenouillés souvent. On y va dans la peur et dans l'anxiété. Tout ça pour que la nation puisse avoir de quoi manger sur sa table. Sans nous, les paysans, il n'y aurait rien de tout ça », rappelle-t-elle. Le secteur agricole du comté de Ventura, qui abrite Oxnard, a tiré la sonnette d'alarme. Entre 25 et 45% des travailleurs agricoles auraient cessé de se présenter au travail. À lire aussiÉtats-Unis: l'ICE, une police anti-immigration aux méthodes justifiées par la politique du chiffre
durée : 00:59:04 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Le secteur de l'humanitaire, qui s'est structuré dans les années 1980, subit aujourd'hui les coupes de divers bailleurs et privilégie la “localisation” de l'aide, compromettant l'insertion professionnelle de celles et ceux qui souhaitent allier carrière et quête de sens. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Vincent Pradier Docteur en sciences de gestion à l'IAE (Institut d'Administration des Entreprises) de l'Université Paris-Sorbonne; Ludovic Joxe Coordinateur de projet pour Médecins Sans Frontières, sociologue et chercheur associé au CEPED (Centre Population et Développement)
durée : 00:37:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que les lycéens reçoivent leurs résultats sur Parcoursup et qu'Elisabeth Borne vient de présenter son plan consacré à l'orientation, nous nous demanderons si le sens des études universitaires a changé. - réalisation : François Richer - invités : Monique Canto-Sperber Philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, ancienne directrice de l'ENS et ancienne présidente de PSL, présidente du Conseil d'Administration d'Atouts+ University; Bruno Andreotti Physicien, professeur à l'Université Paris Cité et chercheur au Laboratoire de Physique de l'Ecole Normale Supérieure
Une « chute libre » des droits des travailleurs, voire un « effondrement ». C'est ce qui ressort de l'enquête annuelle menée par la Confédération syndicale internationale dans 151 pays. Comment se manifestent ces reculs des droits des travailleurs ? Comment expliquer de telles situations ? Comment enrayer cette mauvaise dynamique ? Pour en débattre :- Emmanuelle Lavignac, secrétaire nationale de l'Union générale des ingénieurs, cadres et techniciens (UGICT-CGT)- Caroline Diard, professeure associée au département Droit des affaires et Management DRH à TBS Toulouse Business Scholl éducation- Martin Denis, conseiller politique au TUAC, commission syndicale consultative auprès de l'OCDE, Organisation de coopération et de développement économiques.
durée : 00:03:39 - Un monde connecté - par : Thomas Baumgartner - #Entretien d'embauche. #Télétravail. #Corée du Nord. #Détournement. #Millions. Voilà les mots-clés de l'histoire qui suit, sur une méthode de piratage de plus en plus difficile à contourner pour certaines grandes entreprises, notamment issue de la tech.
durée : 00:05:54 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Près de 2 000 Tunisiens ont manifesté jeudi à Tunis, à l'occasion de la fête des Travailleurs, contre la politique du président Kaïs Saïed et pour demander la libération de personnalités politiques emprisonnées.