Podcasts about souvent

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Yaniro - The Human Factor
#160 : HIRESWEET : Comment recruter efficacement en 8 étapes, du sourcing au closing ?

Yaniro - The Human Factor

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 49:50


Intéressé.e par notre formation Yaniro Leadership Program ? Prenez rendez-vous avec Yasmine ici !Voulez-vous former les managers avec la méthode do it yourself ? Obtenez toutes les ressources ici !Résumé de l'épisode

RADIO MAMA
Je pleure puis je ris trop souvent et ça m'épuise

RADIO MAMA

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 24:09


Je ris autant que ce que je pleure. Et c'est parfois une roller coaster d'émotions que j'ai du mal à gérer.Si je suis connue, autant sur les réseaux que dans la vraie vie, pour être quelqu'un de plutôt souriante, joviale et solaire, sachez que cette partie lumineuse moi et fortement contrebalancée par une capacité à pleurer assez fréquemment.Si cela m'a longtemps complexée, au point d'aller en parler à une psy durant une période de ma vie, ça va mieux aujourd'hui et j'ai réussi à apaiser ces tourbillon d'émotion ... Au point même que je me demande parfois si cela ne me rends pas '"moins vivante" d'avoir lissé un peu tout ça.Ici Mathilde, de Dance With Him, et vous écoutez Radio Mama.Instagram : @dance_with_him Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les grands entretiens
Jonas Vitaud, pianiste (5/5) : "J'avais envie de m'exprimer plus souvent en solo"

Les grands entretiens

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 25:00


durée : 00:25:00 - Jonas Vitaud, pianiste (5/5) - par : Judith Chaine - Pianiste reconnu, formé au CNSM de Paris, Jonas Vitaud excelle en récital, en musique de chambre et dans le répertoire contemporain, notamment avec Dutilleux et Kurtág. Un entretien riche sur son parcours, ses choix artistiques et sa vision de la musique au micro de Judith Chaine. - réalisé par : Adrien Roch

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Ça va Beaucoup Mieux
On est bien : Insuffisance veineuse : les bons réflexes à adopter

Ça va Beaucoup Mieux

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 3:50


En France, près de 17 millions de personnes, principalement des femmes, souffrent d'une mauvaise circulation sanguine. Souvent, cela vient d'une perte de tonicité des veines ou d'une défaillance des valvules situées sur la paroi des veines, des petits clapets qui empêchent le reflux du sang. En conséquence, le sang circulant dans les veines des membres inférieurs ne remonte pas bien et cela entraîne différents symptômes : une sensation de jambes lourdes, des fourmillements dans les jambes, un gonflement des chevilles et des mollets, l'apparition de varicosités ou de varices. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Conseil Santé
Albinisme : comment se protéger des risques liés à la maladie ?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 1:55


À l'occasion de la journée internationale de sensibilisation à l'albinisme qui se tient tous les 13 juin, nous parlons de cette maladie héréditaire caractérisée par une absence de pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. L'albinisme est une maladie présente partout à travers le monde, mais est plus fréquente en Afrique subsaharienne avec une prévalence qui varie entre 1 cas sur 5 000 à 1 cas sur 15 000 selon l'OMS. Souvent discriminées, les personnes atteintes d'albinisme peuvent avoir des handicaps, notamment visuels, et ont plus de risques de déclencher des cancers de la peau. Comment les personnes atteintes d'albinisme peuvent-elles se protéger des risques liés à la maladie ? Un suivi médical dès le plus jeune âge est-il nécessaire et pour quelles raisons ? Dr Fanny MORICE-PICARD, dermatologue au Centre de référence maladies rares de la peau du CHU de Bordeaux et au Service de Dermatologie et Dermatologie Pédiatrique de ce même CHU. Retrouvez l'émission en entier ici : Albinisme : maladie rare, non transmissible et héréditaire

Priorité santé
Albinisme : maladie rare, non transmissible et héréditaire

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 48:29


À l'occasion de la journée internationale de sensibilisation à l'albinisme qui se tient tous les 13 juin, nous parlons de cette maladie héréditaire caractérisée par une absence de pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. L'albinisme est une maladie présente partout à travers le monde, mais est plus fréquente en Afrique subsaharienne avec une prévalence qui varie entre 1 cas sur 5 000 à 1 cas sur 15 000 selon l'OMS. Souvent discriminées, les personnes atteintes d'albinisme peuvent avoir des handicaps, notamment visuels, et ont plus de risques de déclencher des cancers de la peau.  Dr Fanny Morice-Picard, dermatologue au Centre de référence maladies rares de la peau du CHU de Bordeaux et au Service de Dermatologie et Dermatologie Pédiatrique de ce même CHU Pr Mohamed Maciré Soumah, dermatologue-vénéréologue au CHU Donka de Conakry, praticien hospitalier, professeur d'université, enseignant-chercheur à la Faculté des Sciences et Techniques de la Santé de l'Université Gamal Abdel Nasser de Conakry, en Guinée Souradji Ouro-Yondou, directeur exécutif de l'Association Nationale des personnes atteintes d'albinisme au Togo (ANAT).   Programmation musicale :  ► Eu.clides - Ira para que ? ► ADB, Yujio - Wa wa wa.

Priorité santé
Albinisme : maladie rare, non transmissible et héréditaire

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 48:29


À l'occasion de la journée internationale de sensibilisation à l'albinisme qui se tient tous les 13 juin, nous parlons de cette maladie héréditaire caractérisée par une absence de pigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. L'albinisme est une maladie présente partout à travers le monde, mais est plus fréquente en Afrique subsaharienne avec une prévalence qui varie entre 1 cas sur 5 000 à 1 cas sur 15 000 selon l'OMS. Souvent discriminées, les personnes atteintes d'albinisme peuvent avoir des handicaps, notamment visuels, et ont plus de risques de déclencher des cancers de la peau.  Dr Fanny Morice-Picard, dermatologue au Centre de référence maladies rares de la peau du CHU de Bordeaux et au Service de Dermatologie et Dermatologie Pédiatrique de ce même CHU Pr Mohamed Maciré Soumah, dermatologue-vénéréologue au CHU Donka de Conakry, praticien hospitalier, professeur d'université, enseignant-chercheur à la Faculté des Sciences et Techniques de la Santé de l'Université Gamal Abdel Nasser de Conakry, en Guinée Souradji Ouro-Yondou, directeur exécutif de l'Association Nationale des personnes atteintes d'albinisme au Togo (ANAT).   Programmation musicale :  ► Eu.clides - Ira para que ? ► ADB, Yujio - Wa wa wa.

Contre-addictions par Rose
Teasing du prochaine épisode - Tout pour être heureux ? Quand l'amour des proches ne suffit plus avec Jérôme Adam

Contre-addictions par Rose

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 1:14


 L'addiction ne détruit pas seulement ceux qui la vivent. Elle ravage aussi ceux qui reste. Il porte la douleur, l'impuissance, la colère et la culpabilité. Souvent en silence. En 2008, Jérôme Adam perd son frère Cédric emporté par l'addiction. Ce drame aurait pu l'écraser. Il en fait un combat avec notamment le documentaire: Tout pour être heureux ?Rendez-vous jeudi sur toutes les plateformes de podcast, Youtube et les réseaux sociaux de Rose et de Contre-addictions.Ce podcast est soutenu par la MILDECA, Mission Interministérielle de Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives

Choses à Savoir SANTE
Ejaculer souvent permet-il de prévenir le cancer de la prostate ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 1:49


Depuis plusieurs années, une question intrigue les chercheurs comme le grand public : le fait d'éjaculer fréquemment aurait-il un effet protecteur contre le cancer de la prostate, l'un des cancers les plus fréquents chez l'homme ? Une vaste étude américaine semble répondre par l'affirmative, mais une méta-analyse chinoise récente invite à la prudence.La plus vaste étude prospective sur le sujet a été menée par la Harvard School of Public Health, aux États-Unis. Publiée en 2016 dans la revue European Urology, cette étude a suivi plus de 31 000 hommes pendant 18 ans. Ses résultats ont marqué les esprits : les hommes qui déclaraient avoir au moins 21 éjaculations par mois présentaient un risque de cancer de la prostate réduit de 20 % par rapport à ceux qui éjaculaient 4 à 7 fois par mois. Cette association a été observée tant chez les hommes jeunes (dans la trentaine) que chez les plus âgés (dans la cinquantaine). L'hypothèse avancée est que l'éjaculation régulière permettrait d'évacuer des substances potentiellement cancérigènes accumulées dans la prostate.Mais ces résultats ne font pas l'unanimité. Une méta-analyse chinoise publiée en 2022, regroupant 22 études et plus de 55 000 participants, a réexaminé l'ensemble des données disponibles. Ses conclusions sont plus nuancées : si certaines études individuelles montrent un lien entre fréquence éjaculatoire et réduction du risque, l'ensemble des données ne permet pas de confirmer de façon catégorique une relation de cause à effet. Selon cette méta-analyse, l'effet protecteur supposé pourrait être influencé par des biais liés au mode de vie : les hommes ayant une vie sexuelle active sont souvent en meilleure santé globale, plus actifs physiquement et adoptent parfois de meilleures habitudes alimentaires.Autre limite : la plupart des études reposent sur des déclarations subjectives concernant la fréquence des éjaculations, ce qui peut introduire un biais de mémoire ou de désirabilité sociale.En conclusion, éjaculer fréquemment pourrait jouer un rôle bénéfique, mais ce n'est pas une garantie de protection contre le cancer de la prostate. Les données de Harvard sont encourageantes, mais elles doivent être interprétées avec prudence à la lumière de la méta-analyse chinoise. Pour réellement réduire le risque, il est essentiel d'adopter une hygiène de vie globale saine : alimentation équilibrée, activité physique régulière, limitation de l'alcool et du tabac, et suivi médical adapté après 50 ans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Question de croire
Comment survivre au climat ambiant actuel?

Question de croire

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 27:44


Nous avons parfois l'impression que le climat actuel est anxiogène. Les crises se succèdent et nous ne savons plus comment y répondre. Dans cette épisode, Joan et Stéphane prennent le temps de réfléchisse sur l'état de notre monde et explorent différentes avenues qui nous sont offertes pour demeurer sain d'esprit.   Site internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250  Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj    Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com   Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada  Moncredo.org   * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission.  * Photo de Sander Sammy, unsplash.com. Utilisée avec permission.     Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, comment survivre dans le climat actuel?   La tentation d'offrir des trucs pour survivre aux crises actuelles   Un jour, quand mes trois enfants étaient toutes petites, la période la plus épuisante de ma vie, (et d'ailleurs je fais un clin d'œil à toutes celles et ceux qui se retrouvent dans cette situation maintenant), je m'en étais ouverte à un prof de la fac de théologie que je connaissais. Il était du côté catholique, mais on était ensemble dans plusieurs projets de réflexion théologique œcuménique. Il m'avait donné un précieux conseil. Écoute bien Stéphane, ça peut te servir. Il était allé en retraite spirituelle dans je ne sais quel monastère formidable, sûrement avec une très belle vue et puis régulièrement des offices. Il m'avait expliqué qu'il était un peu pressé par les différentes tâches académiques et les problèmes liés à sa paroisse, parce qu'il était aussi prêtre en paroisse. Et puis, tiens-toi bien, une de ces personnes consacrées dans la vie du monastère lui avait donné le truc et astuce suivant : « quand je mange, je mange, quand je marche, je marche, quand je lis, je lis ». Il lui avait donc conseillé de ne faire qu'une chose à la fois et de la faire bien et en pleine conscience. Alors, un peu épatée, j'avais regardé ce monsieur de plus de 45 ans, célibataire, prêtre, prof de fac, qui me disait ça à moi. Et j'avais dit, écoute : quand je mange, je donne à manger à quelqu'un. Quand je marche, je pousse une poussette et je tiens quelqu'un d'autre par la main. Quand je parle au téléphone, une autre personne m'interrompt tout le temps et me parle constamment. Et quand je dors, quelqu'un décide de ne pas dormir et donc je ne dors plus. C'est un petit peu la même chose maintenant; il y a un climat particulièrement difficile et des fois quand je scrolle sur Instagram ou autre et que je vois des tas d'astuces : mettre les jambes contre le mur, faire de la méditation et tout, je repense à ces bons conseils qu'on peut donner aux gens pour aller bien, alors que c'est le chaos total autour d'eux.   Les crises qui prennent trop de place dans nos vies   Oui, je trouve qu'il y a une certaine sagesse dans le conseil que tu as donné dans le sens d'essayer de ne pas trop se faire envahir et que le contexte actuel prenne toute la place dans nos vies. Mais en réalité, c'est difficile parce que le climat actuel a des répercussions partout dans tout ce qu'on fait. Au moment où on enregistre cet épisode, nous sommes au Canada dans cette crise avec les tarifs d'importation exportation avec les États-Unis. Les États-Unis sont quand même le premier partenaire commercial du Canada. On peut dire, bon, c'est une crise, les marchés fluctuent et tout et tout, mais ça a des répercussions à l'épicerie. Il y a des gens qui sont soit à la retraite ou qui planifient leur retraite. Toutes ces variations de marché, ça a un impact réel. Il y a des gens qui perdent leur emploi. Donc, c'est facile de dire ah, j'élimine ça dans ma tête, je me concentre sur moi-même et ma petite chose. Mais c'est difficile de dire ça à quelqu'un qui a peur de perdre son emploi, qui se demande comment il-elle va faire pour nourrir ses trois enfants. Ça peut être très envahissant, ça peut être très angoissant. Et on en parle un peu, mais on a très peu de choses à offrir pour aider ces personnes-là.   Que peut faire l'Église dans le climat actuel   Finalement, nous, d'un point de vue de l'Église, d'un point de vue des religions, comme tu dis, qu'est-ce qu'on a à offrir ? C'est vrai que j'étais assez surprise la première fois qu'une stagiaire avec laquelle j'ai parlé il y a quelques années, une stagiaire que j'avais dans mon staff dans une Église à Strasbourg, m'a parlé très franchement de ses problèmes de santé mentale. Et c'était un peu la première fois dans un contexte d'Église en France; elle venait un petit peu de l'extérieur puisqu'elle faisait un stage plutôt orienté, je ne me rappelle plus très bien, mais c'était un peu secrétariat ou quelque chose comme ça. Elle en parlait super librement, là où finalement c'était très, très, très rare dans mon milieu d'Église d'origine qu'on parle de santé mentale. D'ailleurs, on a consacré tout un épisode avec l'ami Olivier sur ces questions-là. D'un autre côté, ces derniers temps, je me suis rendu compte qu'il y a beaucoup de bon dans le fait de pouvoir poser des diagnostics, quelque chose qui permet aux gens de comprendre certaines de leurs réactions, certaines de leurs pseudo-inadéquations avec les situations. En même temps, je me demande si, par certains aspects, ça ne nous rajoute pas un poids supplémentaire, dans le sens où on se dit « bon, moi j'ai eu le diagnostic de ci ou ça, ou bien moi je me sens comme ceci, et donc je n'arriverai pas à faire ça, ou ce n'est pas pour les gens comme moi, ou alors si on aménage, je ne sais pas, je n'y arriverai pas ». Avant, on avait un peu cette espèce d'utopie qu'avec un peu de bonne volonté, on arrivait à tout faire. Et maintenant, on est presque parti dans l'autre sens, on se dit que tout est devenu si compliqué qu'on ne va probablement pas réussir à le faire. Et ça, c'est quelque chose qui m'inquiète aussi par bout. Du coup, en Église, je trouve que ce qui pourrait devenir de plus en plus notre force, c'est d'être accessible à tous et à toutes, d'avoir des activités qui peuvent parler à un maximum de personnes, avoir des lieux où tu peux choisir ou de parler ou de te taire, de t'asseoir sur un banc ou de t'allonger sur un banc. On pourrait finalement développer encore plus le fait qu'on peut être des lieux de refuge, qu'on peut être des sanctuaires dans lesquels peuvent se vivre un certain nombre de choses et d'interactions, peu importe finalement nos besoins, nos spécificités, nos diagnostics. J'espère que comme ça, on arrivera à contribuer à quelque chose d'un peu plus sain dans le climat actuel. Je me rappelle que finalement, Jésus avait des fois un petit comportement autistique, si on y pense un peu. Après, je ne veux pas faire un diagnostic sauvage sur Jésus, mais quand d'un seul coup il disait aux uns et aux autres « j'en peux plus, je suis sursaturé d'informations, je vais me mettre là-bas, là-bas, où on me fout la paix ». Quand il prend cette décision ultra radicale d'aller au désert, on sent vraiment qu'il est en surstimulation et qu'il a besoin qu'on lui foute la paix, qu'on lui laisse un grand espace devant lui. Dans nos sociétés, on a de plus en plus de mal à couper. Je suis la première à être sur les réseaux sociaux, je suis la première à m'intéresser à plein de choses. Récemment, j'ai vu un documentaire qui rapportait que certains jeunes passent jusqu'à 12 heures par jour sur les réseaux sociaux; 12 heures ! Peut-être que mes filles en font un peu partie, j'espère que non. Alors bien sûr, il y a aussi les gamers qui font quand même aussi des trucs d'interaction sociale. Ce n'est pas juste scroller. Il y a toutes sortes de façons d'être sur Internet ou les réseaux sociaux. Il n'y en a pas qui sont meilleures ou moins bonnes, il y a juste différentes façons d'y être. Et quelles sont nos possibilités de nous couper un peu de toute cette agitation du monde? Moi, j'ai tendance à espérer que dans les Églises, on cultive ce genre de choses. J'ai beaucoup d'admiration pour mes collègues qui partent trois, quatre, dix heures en forêt avec des enfants, avec des jeunes, avec des adultes et qui leur proposent de couper. Il me semble que c'est ce qu'on a à offrir.   Prendre soin de soi   Certaines personnes s'attendent à ce que les Églises soient ce lieu de résistance au climat actuel. Oui, peut-être. Mais en même temps, un peu comme tu l'as soulevé, il faut prendre soin de soi. L'exemple que j'utilise souvent, c'est ce qu'on appelle ici les aidants naturels; ces personnes qui prennent soin de parents âgés ou d'enfants qui ont des problèmes spécifiques, ce qu'ils font par amour, mais ça demande beaucoup de temps, ça demande beaucoup d'énergie. Et on leur dit : si vous vous épuisez, on n'aura pas seulement entre guillemets un problème, mais deux problèmes. On va avoir une personne en perte d'autonomie et une autre personne en épuisement. Donc, il faut faire attention à soi pour ne pas se brûler. Et c'est vrai qu'on est constamment confronté à des problèmes qui semblent immenses, qui semblent trop gros pour nous, ça peut être décourageant. On peut se demander, mais moi, je ne suis qu'une seule personne. Comment puis-je changer la façon dont les systèmes internationaux fonctionnent? Peut-être une façon, c'est de revenir à soi, un peu comme tu dis. J'ai arrêté d'écouter les téléjournaux parce que c'était trop difficile émotivement, et arrêté d'avoir des conversations avec des gens qui ne sont pas là pour échanger, mais pour débattre et gagner un argument, des gens, ce que j'appelle, endoctrinés. Souvent on dit, ah, il faut garder les canaux de communication ouverts avec les gens différents. Peut-être, mais est-ce qu'on est vraiment obligé d'être en contact avec des gens nocifs, des gens toxiques, des gens qui ne veulent rien savoir de nos points de vue qui sont juste là pour régurgiter la propagande, régurgiter ce qu'ils croient être parole d'évangile et qu'il ne l'est pas? Donc, il faut prendre soin de soi, il faut faire attention à soi et ce n'est pas se désengager, c'est juste de dire : il y a des moments où il faut être dans la bataille et il y a des moments où il faut se protéger.   Connaître ses limites   Il n'y a pas longtemps, l'une de mes filles a vécu un événement un peu fort dans sa vie. Elle m'appelle et me dit « Maman, je ne vais vraiment pas bien, je ne sais pas quoi faire aujourd'hui pour aller bien ». Je lui ai dit « Écoute, je te suggère de faire une liste de choses qui te font du bien, des choses qui sont réalistes, que tu peux faire là tout de suite, des choses pour lesquelles il faut que tu t'organises un petit peu.» C'est toujours pareil, le court, le moyen, le long terme. Et puis des listes de choses qu'on pourrait imaginer ensemble, où il faut un peu de budget, un peu de temps, un peu d'organisation. Alors elle a fait cette liste, et de temps en autre, je lui rappelle de se référer à cette liste. Je me fais aussi cette liste mentale. Par exemple j'ai besoin d'aller régulièrement au spa. J'adore les bains, les bulles, le hammam, le sauna, mes copines… passer du temps avec mes copines, elles me racontent leurs histoires, du temps dans le jardin avec mon mari, la louange et la prière. Clairement, ce sont des moments où j'oublie un peu tout ce qui m'habite et où je vis cet instant présent, où je me marre, où je profite, où j'admire la nature. D'un seul coup, je suis juste dans ce moment-là qui me rend heureuse et en vie. Et parfois aussi, je m'autorise à regarder en face les pressions. Voilà, les pressions, soit que j'assume, soit que je subis. Et parfois aussi, je le dis aux gens. D'ailleurs, je le dis ces derniers temps, je le dis un peu plus aux gens. Je leur dis, écoutez, je suis au maximum de mes compétences. J'ai changé de pays, j'ai changé d'Église, j'ai changé un peu de métier, parce que je ne suis plus pasteur de paroisse, je ne suis plus ministre en paroisse. Et je suis arrivée au maximum de mes possibilités de surcompensation, d'adaptation. Je déçois probablement, on estime que je devrais faire plus, et ça je l'entends, mais je n'y arrive pas. Si je vais plus loin, c'est ma santé mentale qui va devoir prendre le relais, ou en tout cas je vais devoir chercher quelque part où ce n'est pas bon d'aller chercher. Donc je regrette de décevoir, moi je ne peux pas en faire plus parce que je connais mes limites. Les gens sont souvent frappés que l'on connaisse ses limites, ça c'est quelque chose qui me saute aux yeux quand je dis aux gens, par exemple, écoutez, moi je fais toujours une sieste au milieu du jour et c'est comme ça que je m'en sors. Je fais toujours un goûter vers 4-5 heures et c'est comme ça que je peux bosser le soir. J'explique un peu que j'ai mis en place une certaine hygiène de vie pour pouvoir continuer à travailler dans l'Église, à bosser le soir, le week-end, les jours fériés. Ça m'a demandé de mettre en place une hygiène de vie particulière, adaptée à ce que ma vocation demande en termes d'emploi du temps. Et j'encourage chacun et chacune à oser dire ce genre de choses, non pas pour dire « je suis plus spéciale que toi, j'ai tel ou tel besoin », mais pour dire en fait « je sais que pour pouvoir mener à bien le moins imparfaitement possible ma mission, je mets en place un certain nombre de choses et ça m'amène des fois à dire non ou ce n'est pas possible ou à dire plus tard, et c'est comme ça que je m'en sors.   Remettre les crises dans le long terme   Une autre chose qu'on peut faire, c'est prendre un pas de recul et retourner dans notre tradition en tant que croyante, en tant que croyant. Par exemple, dans la première lettre de Jean, chapitre 2, verset 17, on dit « Et le monde passe, et sa convoitise aussi, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. » Les choses passent et Dieu demeure. On a cette chance, en tant que chrétien, d'avoir une histoire sur le long terme. Dans le Premier Testament, on a tous ces prophètes qui font face à des crises terribles et quelque part, le peuple de Dieu continue à survivre. Ce n'est pas facile, ce n'est pas plaisant, mais d'être capable de mettre ça dans du long terme, de dire que ça fait partie de l'expérience humaine, ça fait partie de l'expérience du peuple de Dieu, de faire face à de grands défis. Les gens ont su conserver une certaine forme d'espoir. Les croyants ont conservé la foi malgré toutes les épreuves. Malgré tout, on n'est pas seul dans tout ça. Ce n'est pas juste notre génération qui est attaquée. On a toute cette communion des saints, si je peux utiliser du langage théologique, toutes ces personnes-là qui sont avec nous. Tous les croyants à travers le monde sont avec nous et Dieu demeure avec nous. Ça peut aider, pendant quelques secondes, de se rappeler de tout ça et de se dire que peut-être ça va bien aller dans le fond, sur le long terme.   Se souvenir de ceux et celles qui nous ont précédés   Pour moi, c'est vraiment exactement ça, c'est totalement réconfortant de penser à la nuée des témoins. Certains vont associer la nuée des témoins à nos contemporains, d'autres vont partir dans des choses un peu plus mémorielles. Du côté réformé, on est moins à l'aise sur des questions comme ça, mémorielles. Du côté luthérien, on pratique plutôt une forme de tolérance ou de compréhension. Du côté catholique on est totalement à l'aise, décomplexé, pas de problème. Mais néanmoins, moi, c'est le souvenir de ce pour quoi une grande partie de mes ancêtres proches, les générations les plus proches ont lutté. Je me rappelle quand même cette grand-mère, grand-mère Madeleine, qui a perdu une jambe dans la Résistance, dans la Deuxième Guerre mondiale. Je l'ai toujours connue unijambiste, alors qu'en fait, c'était une gamine qui ne savait pas trop où aller et qui a vu un endroit où il y avait de la soupe si on filait un coup de main. Maintenant, on appelle ça de la grande résistance. Mais enfin, quand même, elle était résistante. Elle a résisté. Et bien sûr, penser aussi au côté espagnol, celles et ceux qui ont voulu résister à la dictature avec plus ou moins de succès. Se rappeler qu'en fait, ils ont lutté, ils ont eu des vicissitudes. Il ne faut pas comparer, chaque génération est différente. Des choses ont quand même touché leur chair. Mais ils ont lutté pour que moi, je puisse continuer à exercer une forme de liberté d'expression, d'autodétermination. Le soin des plus vulnérables, c'est quelque chose qui est très présent dans mes lignées paternelles et maternelles. Je me rappelle ma grand-mère qui me parlait de son grand-père, donc ça fait loin en arrière, et qui disait, tu sais, mon grand-père, c'était celui du village qui ne battait pas les enfants. Et ça, ça l'a guidée toute sa vie, d'avoir un grand-père qui pensait que ce n'était pas normal de battre les enfants, en tout cas qui ne battait pas les chiens, ni ses petits-enfants. Parfois, on a des ancêtres dont on peut être à la fois fière et puis aussi dont on se dit, j'ai une parole à porter et j'ai une spécificité à apporter et je peux m'appuyer là-dessus, sur cet héritage. Ensuite, il y a des héritages symboliques. Quand on n'est pas tout à fait à l'aise avec son arbre généalogique, ça peut arriver aussi, on n'en est pas responsable. On peut aussi s'inscrire dans des lignées symboliques, des courants de pensée forts qui nous structurent et qui nous permettent de trouver là des idées saines. Ça, c'est quand les idées sont saines. C'est vrai qu'il y a aussi tout plein d'idées malsaines et on ne peut pas toujours évacuer le fait qu'elles aient parfois de la popularité.   Conserver sa dignité pendant les crises   Tu parles de la Deuxième Guerre mondiale. Mon premier diplôme universitaire, c'est en histoire. Et je me souviens, j'ai lu des trucs sur la Shoah, sur l'Holocauste. Encore une fois, je ne compare pas ce qui s'est passé là avec notre climat actuel. Le lien que je fais, c'est une des grandes questions, pourquoi les Juifs n'ont pas résisté à la solution finale? Et bon, il y a eu des actes de résistance. Oh oui. Dans les forêts polonaises, il y a eu plein de petits îlots, mais pas quelque chose de généralisé, quoi. Un des arguments que je n'avais pas vu venir, c'était que peut-être une des grandes résistances, c'est la survie. C'est vrai. Et je fais toujours aussi le lien avec la bande dessinée Maus, une très grande bande dessinée où l'auteur raconte l'histoire de l'Holocauste à travers son père. Et cette scène que j'ai trouvée troublante et puissante à la fois où son père est dans les camps de la mort et il va se laver dans la rivière. Les autres disent « Mais qu'est-ce que tu fais là? » Et moi, j'ai vu ça comme un acte de dignité. « Je suis un être humain, j'ai le droit d'être propre. » Ça n'a rien changé, malheureusement, dans le grand ordre des choses. Mais cette résistance-là, dans un mouvement qui essaie de déshumaniser des êtres humains, de dire « Je suis un être humain, et rien de ce que vous pouvez faire va changer le fait que je suis un être humain tant ou si longtemps que je vais vivre. C'est d'une puissance magistrale et ça inspire.   Ne pas se couper des réalités actuelles   Avant, on parlait de rester déconnecté à certains moments, d'essayer de se protéger aussi de tout ça. Mais c'est compliqué parce qu'une partie de la vie sociale se passe maintenant sur les réseaux sociaux. Et donc, du coup, on est tous et toutes en train d'essayer de gérer notre lien aux réseaux sociaux, d'y être quand même assez pour être informé. Moi, par exemple, je travaille beaucoup avec la jeunesse, donc je ne voudrais pas me couper d'un certain nombre de choses. En même temps de ne pas y être trop, pour ne pas d'abord s'épuiser les yeux, la tête, puis pour ne pas voir trop de choses terribles. Mais par contre, ce qui nous prend par le revers, et je crois que tu as vu toi aussi les chiffres, c'est ce regain de religiosité auprès des jeunes. Des jeunes qui finalement trouvent sur les réseaux sociaux un certain nombre de choses qui les attirent concernant la religion, et qui finissent dans leur vingtaine par retourner à l'Église, tant et si bien qu'il y a plus de pratiques auprès des vingtenaires qu'auprès de leurs parents. C'est épatant, hein? Oui, j'ai vu il y a quelques jours. Vous qui écoutez, ce sera peut-être de vieilles nouvelles, mais c'est la société biblique en Grande-Bretagne qui publie un article expliquant une augmentation de la présence au culte de 50% au cours des six dernières années. Certaines gens ont dit : est-ce que ce sont des gens qui déclarent aller à l'Église ou des gens qui sont vraiment à l'Église? Parce qu'il y a toujours cette nuance-là dans les enquêtes. Lorsqu'on creuse un peu, c'est une augmentation réelle, surtout chez les jeunes hommes de moins de 35 ans. Et lorsqu'on est sur les médias sociaux, on comprend aussi ce que ça veut dire. Parfois, on peut faire des liens. Ces jeunes hommes sont souvent beaucoup plus conservateurs moralement. Ils sont souvent adeptes d'une certaine masculinité toxique, à la Andrew Tate, ce qu'on appelle ici « bro » masculinistes. Si on regarde ça statistiquement, on se dit « Ah, c'est merveilleux, on a enfin des jeunes qui viennent à l'Église, enfin de jeunes hommes qui viennent à l'Église ». Mais si on comprend ce qui se passe sur ces médias sociaux là, comment ce sont des vecteurs de radicalisation, de masculinité toxique, et que ces jeunes hommes-là viennent à l'Église pour une espèce de modèle d'homme qui domine la famille, une espèce d'image d'un patriarcat d'une autre époque, on se pose des questions. Et c'est ça que je disais plus tôt : il faut se protéger, mais il faut rester aussi informé. Moi j'ai un fils de 15 ans, je ne suis pas au-dessus de son épaule, mais plusieurs fois je lui demande ce qu'il consomme sur Internet. C'est vrai. Parce que je sais que ça existe. Je ne veux pas nier cette existence-là. Je ne veux pas dire, moi, je n'aime pas ça, ça n'existe pas. Non, il faut être au courant pour justement dire aux personnes autour de nous, il y a un problème là. Ce n'est pas banal, mais encore une fois, on s'expose à du contenu toxique et comment peut-on s'informer sans se laisser affecter? C'est toujours un jeu d'équilibre très difficile.   Prendre le temps de se poser   Comme on a dit que c'était trop facile, les petits trucs et astuces, je vais terminer avec un truc et astuce. On a dit en début d'émission que c'était vraiment la voie de la facilité, donc il y aura un peu d'autodérision. La première astuce : j'ai lu quelque part que Jean-Sébastien Bach, avant de commencer toute chose, toute partition, toute création, commençait par dire « Jésus vient-moi en aide ». Et il écrivait en haut de sa partition « Jésus sauve ». Donc se poser, se dire « Jésus viens-moi en aide », et puis « Jésus sauve ». Se rappeler qu'en fait, on a été sauvés. On a été sauvés par grâce, on vit de la grâce. C'est vrai qu'on aimerait faire de grandes œuvres. On aimerait que nos projets réussissent, on aimerait bien que les gens nous aiment bien en plus. Plein de trucs compliqués à la fois. Que notre podcast soit très populaire. Puis gagner un peu de sous de temps en temps aussi. Bon bref, pour pouvoir aller au spa justement. Bref. Et puis, à la fin, quand Bach avait terminé, il ne savait jamais trop, finalement, si ça allait plaire. On ne sait pas trop, je n'en sais rien, moi je n'ai jamais composé d'œuvres, mais il doit y avoir un énorme moment de doute, terrible. Il notait aussi Solo dei gloria, SDG. Ça, c'est une discipline que je commence à m'appliquer un peu, parce que ça me permet de me poser et de me rappeler ce pourquoi je suis là. Deuxième astuce : j'ai un collègue qui travaille dans le milieu des aumôneries, qui aussi est manager d'équipe. Il nous a expliqué en réunion de managers d'Église que trois fois par jour, il fait de la cohérence cardiaque, et que depuis qu'il fait ça, il se sent beaucoup plus relax. Avant, il sentait sa tension monter. Maintenant, trois fois par jour, il fait de la cohérence cardiaque. Je me dis : finalement, les pressions ne vont pas baisser, en tout cas pour la plupart d'entre nous. Les pressions mondiales non plus. Comme tu dis, il y a le climat politique, il y a les masculinistes, l'inflation, que sais-je encore. Mais nous, notre corps, la façon dont on traite notre corps, les respirations qu'on prend, la façon dont on regarde vers Jésus dans les moments de notre journée. On a ça pour le moment, on en a encore le contrôle. C'est un recentrage qui permet ensuite de donner au reste du monde. Alors voilà, j'ai terminé sur une note d'autodérision avec deux astuces. Et toi, est-ce que tu as des trucs et astuces ? Tout simplement, ne rien faire. Parfois, c'est un acte de résistance parce qu'il faut être productif, il faut faire plus, et tout, et tout, et tout… Parfois, ouvrir la télévision. Oui, je sais, je suis de ma génération, j'écoute encore la télévision. Et écouter un film stupide, et ne rien en tirer, mais juste être là et ne pas trop penser et accepter que je viens de perdre deux heures d'un point de vue productif, mais j'ai peut-être gagné deux heures de santé mentale quelque part. Ouais, c'est excellent. J'adore.   Conclusion   Merci, Joan. J'espère que ce podcast a été un moment où vous avez pu décrocher un peu. Merci pour la conversation, Joan. Merci, Stéphane. Et on vous rappelle que vous pouvez nous écrire si jamais vous avez le goût d'entrer en communication avec nous pour échanger, pour des sujets, pour des suggestions, parce que vous n'êtes pas d'accord, surtout si vous n'êtes pas d'accord, on veut vous entendre : questiondecroire@gmail.com Merci à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire, qui a un site Internet moncredo.org, qui explore aussi des questions de foi et de spiritualité. À très bientôt, Joan. À très bientôt.    

Le Podcast de l'Aviation
Décarboner l'aérien, une industrie en transition

Le Podcast de l'Aviation

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 28:56


Cette mini-série spéciale du Journal de l'Aviation, réalisée avec le soutien du GIFAS (Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales), explore les grands enjeux de la décarbonation du transport aérien. À travers cinq épisodes, elle donne la parole aux acteurs clés du secteur pour comprendre comment l'industrie se transforme face au défi climatique.L'aviation fait face à une transformation historique. Souvent pointé du doigt pour ses émissions de CO₂, le secteur est pourtant l'un des rares à avoir amorcé une stratégie de décarbonation globale, concrète et progressive. Ce premier épisode dresse un état des lieux honnête et ambitieux d'une industrie qui conjugue innovation technologique, responsabilité économique et régulation internationale.Michel Wachenheim, ancien représentant permanent de la France à l'OACI et membre de l'Académie de l'air et de l'espace, insiste sur la nécessité d'une coordination mondiale pour éviter les déséquilibres réglementaires. Paul Chiambaretto, directeur de la chaire Pégase, décrypte les arbitrages économiques qui s'imposent aux compagnies aériennes dans cette transition. Pascal de Izaguirre, président de la FNAM, rappelle les efforts concrets déjà engagés par les transporteurs français. Enfin, Anne Rigail, directrice générale d'Air France, partage la stratégie de sa compagnie, fondée sur le renouvellement massif de la flotte, les carburants durables et une vision de long terme.Entre impératifs de sécurité, contraintes économiques et attentes environnementales, cet épisode montre que le secteur aérien ne se dérobe pas. Il avance, structure sa transformation et pourrait bien devenir un modèle de transition pour d'autres industries.

Maintenant, vous savez
Qu'est-ce que la nuit de java ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 4:45


On dit que l'accouchement est le seul rendez-vous à l'aveugle où l'on est sûr de rencontrer l'amour de notre vie. Après 9 mois d'attente, le nouveau né s'est finalement décidé à pointer le bout de son nez. Un article des hôpitaux Saint Grégoire explique que “2h d'éveil extraordinaire suivent immédiatement la naissance.”  Il dort ensuite d'un sommeil profond, pendant 24 à 48 heures, car il à besoin de récupérer après son périple, tout comme sa mère qui profite de ce moment de calme. Souvent à ce stade les parents sont convaincus d'avoir un “bébé facile”, calme. Mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises car ils n'ont pas encore fait face à la nuit de java.   La nuit de java, c'est quoi au juste ? Comment expliquer la nuit de java ? Comment y faire face ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Peut-on vraiment savoir pourquoi un bébé pleure ? Qu'est-ce que le spasme du sanglot, qui affecte les bébés ? Qu'est-ce que le syndrome du bébé secoué ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez".Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Le podcast de So Sweet Planet
L'exposition "Paris noir" met en lumière 150 artistes afro-descendants dont les œuvres n'ont souvent jamais été montrées en France ! Au centre Pompidou jusqu'au 30 juin 2025.

Le podcast de So Sweet Planet

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 77:56


Merci de soutenir mon travail sur Patreon ou sur PaypalL'exposition "Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 2000" met en lumière 150 artistes afro-descendants, de l'Afrique aux Amériques en passant par la Caraïbe, dont les œuvres n'ont souvent jamais été montrées en France. Une exposition historique à ne pas manquer !De la création de la revue Présence africaine à celle de Revue noire, l'exposition "Paris noir" retrace la présence et l'influence des artistes noirs en France entre les années 1950 et 2000. Plongée vibrante dans un Paris cosmopolite, lieu de résistance et de création, véritable laboratoire panafricain, l'exposition dévoile l'importance l'importance de ces artistes dans la redéfinition des modernismes et post-modernismes.Visite de l'exposition "Paris noir" avec Alicia Knock et Éva Barois de CaevelDéfi historiographique et matériel de par l'invisibilisation des artistes, la dispersion, voire la disparition de leurs œuvres à travers plusieurs continents, et les lacunes éditoriales et de recherche autour de leurs pratiques, elle retrace, pour la première fois dans une institution nationale française, cinquante ans d'émancipation et d'expression artistique à Paris. Dans la préface du superbe catalogue Paris Noir, Alicia Knock écrit : "L'exposition « Paris noir» a pour ambition de proposer des outils d'exploration d'œuvres et de trajectoires marginalisées. Elle incarne une volonté de résister à la disparition d'œuvres, d'archives et de lieux de création. Elle célèbre des artistes qui ont persisté à s'engager et à créer, malgré un isolement institutionnel. Elle est une invitation à élargir les perspectives et à écrire une histoire-monde multiculturelle."Il est fortement conseillé de réserver ! Vous pouvez le faire sur le site du Centre Pompidou ici.Paris noir - Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 200019 mars - 30 juin 2025 - Centre Pompidou, ParisMarie-Siguier est co-commissaire de l'exposition "Paris noir", attachée de conservation au sein du département Créations contemporaines et prospectives.Pour voir les liens, photos, playlists et vidéos mentionnés durant l'interview, rendez-vous sur la page de ce podcast sur le site So Sweet Planet On parle de ces podcasts de So Sweet Planet dans l'interview :Le premier panorama des revues artistiques et culturelles du 20è siècle ! Rencontre avec Mica Gherghescu pour évoquer La Fabrique de l'Histoire de l'Art. (2 épisodes)La bibliothèque Chimurenga à Paris : Généalogies de l'imagination radicale noire dans le monde francophone. (3 épisodes) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)
S04E41 Le Martinet, l'oiseau qui dort... et se reproduit au 7e ciel

Baleine sous Gravillon - Nomen (l'origine des noms du Vivant)

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 10:51


Le 7 juin, c'est la journée des martinets… les oiseaux les plus rapides du monde, aux ailes interminables en forme de faucilles. Non, il ne s'agit pas du petit truc en bois avec des lanières en cuir pour fouetter les fesses des individus pas sages ou trop sages.L'association Martinets Sans Frontières est à l'origine de cette journée, lancée en 2019. Son but est de sensibiliser le grand public sur l'existence, les modes de vie, les migrations, les besoins et les menaces concernant les 96 espèces de martinets de tous les continents. En clair, pour faire connaître ces oiseaux et favoriser leur protection._______On dit du Martinet qu'il dort en vol… et pour cause : il peut rester 10 mois en l'air sans jamais se poser !Souvent confondus avec les Hirondelles, sa vitesse de pointe en piqué peut atteindre les 200 km/h.Cet Apus apus (celui qui n'a pas de pied) se reproduit idem au 7e ciel ! Il a des pates très fragiles, d'où la légende (fausse) selon laquelle, une fois au sol, il ne pourrait plus redécoller.Le reste des pépites sur cet oiseau incroyable dans l'épisode..._______

Nostalgie - Les Jeux
Le Caddie Nostalgie

Nostalgie - Les Jeux

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 2:17


Direction le supermarché ! Souvent dans les supermarchés, on retrouve des caddies plein qui trainent….Aidez- nous ce matin à retrouver qui qu'il est le caddie !

Nostalgie - L'intégrale de Philippe et Sandy

Direction le supermarché ! Souvent dans les supermarchés, on retrouve des caddies plein qui trainent….Aidez- nous ce matin à retrouver qui qu'il est le caddie !

Grand reportage
Grand Sud thaïlandais: l'insurrection oubliée

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 19:30


C'est une guérilla dont on parle peu. Dans la longue pointe sud de la Thaïlande, à la frontière de la Malaisie, loin des caméras, les provinces thaïlandaises de Yala, Pattani et Narathiwat sont en proie à un conflit entre l'État central de Bangkok et un groupe armé séparatiste musulman. Bilan : plus de 7 700 morts depuis 2004. Le massacre, cette année-là, de manifestants musulmans d'origine malaise, toujours impuni, a laissé des traces. Elle continue de hanter toute la région. En témoigne la résurgence des violences meurtrières depuis le début de cette année. De notre correspondant à Bangkok,Des dizaines d'hommes, torse nu, mains ligotées, sont jetés un à un par des militaires dans une benne d'un camion. Entassés les uns sur les autres, ils reçoivent des volées de coups à mesure que l'arrière du véhicule se remplit. Puis le silence. Le moteur démarre. Durant le trajet qui semble interminable, on entend gémir, suffoquer. Avant que les cris s'estompent peu à peu. À nouveau, le silence. En cette soirée tiède, un court métrage diffusé en plein air aux abords du Patani Artspace, un centre culturel à Pattani, dans l'extrême sud de la Thaïlande, retrace la tragédie survenue il y a 20 ans, jour pour jour, à Tak Bai. Le 25 octobre 2004, devant le commissariat de cette ville paisible, une manifestation virait au drame. Et devenait le symbole le plus brutal des violations des droits de l'homme perpétrées dans le « Sud profond » de la Thaïlande, où vivent une majorité de musulmans d'ethnie malaise (minorité musulmane au sein d'une nation thaïlandaise de 71 millions d'habitants à plus de 90% bouddhiste). Ce jour-là, pour disperser la foule, l'armée intervient : 7 manifestants musulmans malais tombent sous les balles. Et 1 300 autres sont interpellés. Ligotés. Puis jetés à l'arrière de fourgons militaires, empilés comme des bûches. Pendant le trajet qui les mène à une base militaire, 78 d'entre eux meurent asphyxiés. Deux décennies plus tard, devant le film, les visages sont fermés. Certains trahissent quelques larmes qui coulent pendant le générique, où des archives défilent sur fond d'une chanson évoquant le massacre de Tak Bai. « La douleur est encore vive aujourd'hui », confie Maliki Doloh, debout grâce à deux béquilles et vêtu du Baju Melayu, costume traditionnel. L'homme, qui avait 27 ans à l'époque, a cru voir la mort. Ce survivant repense encore à ses semblables, écrasés par le poids des corps, et dont la respiration s'est tue, lentement. « C'était le Ramadan », se souvient-il, indiquant avoir rompu le jeûne en léchant la sueur qui dégoulinait sur son visage, avant de s'évanouir. À son réveil, les médecins lui ont dit qu'il fallait l'amputer. Le massacre de Tak Bai a soufflé sur les braises d'une insurrection séparatiste née des années plus tôt et plongé la région dans un conflit entre l'État central et le BRN (Barisan Revolusi Nasional), le principal groupe armé actif.  Véhicules piégés, fusillades, assassinats ciblés : depuis le tournant de 2004, ce conflit peu médiatisé a fait plus de 7 700 morts et près de 15 000 blessés, principalement des civils, recense l'ONG Deep South Watch. La mort d'une fillette tuée par balle et celle d'un jeune moine, il y a peu, rappelle que les habitants des trois provinces de Yala, Pattani et Narathiwat, tout au sud du royaume, vivent dans la violence permanente. À Yala, une femme au foulard pastel dont la silhouette présage l'arrivée prochaine d'un second bébé décrit ses angoisses de jeune mère. « J'en ai marre ! Parfois, je perds espoir, témoigne Azura Cheaauma, 35 ans. J'ai peur que quelque chose arrive à mes enfants. J'aimerais qu'ils grandissent dans un environnement sûr, où ils pourront jouer, étudier, sans avoir à entendre résonner le bruit des armes ». Les trois provinces à la pointe sud de la Thaïlande sont ainsi soumises à une loi martiale et à l'état d'urgence, prolongé maintes fois depuis 2004, lorsque 75 000 soldats, policiers et paramilitaires ont investi la région pour endiguer les violences. Les forces de sécurité sont tombées au nombre de 50 000, indique BenarNews, mais leur omniprésence continue d'être une source de tension. Les points de contrôle militaires quadrillent les villes, bordent les routes. Ici, un véhicule blindé, là une tour de guet. Sur la ligne de train qui relie Yala à Sungai Kolok, dernier arrêt avant la Malaisie, des soldats, mitraillettes sous le bras, sont stationnés à chaque village doté d'une gare. Souvent, ils montent à bord pour fouiller, interroger. Ici, « les violations des droits de l'homme sont nombreuses », affirme la militante Anchana Heemina. Visage connu de tous, elle a fondé en 2010 Duay Jay, une ONG locale qui, depuis sa création, a recensé 168 cas de torture et 444 exécutions extrajudiciaires. L'an passé, l'un de ses bénévoles a été abattu dans d'étranges circonstances : « Voilà les risques auxquels sont confrontés les défenseurs des droits humains dans le sud ». Loin des caméras, ce conflit insurrectionnel s'enracine dans le passé. Régie des siècles durant par des Rajahs musulmans, la région fut jadis le prestigieux sultanat de Patani. Avant d'être attachée de force en 1902 au royaume de Siam, ancien nom de la Thaïlande. Mais « la véritable rupture entre l'État central et les Malais du Sud intervint toutefois plus tard, sous la férule des gouvernements ultranationalistes de Phibun Songkhram [premier ministre et dictateur militaire de la Thaïlande de 1938 à 1944, puis de 1948 à 1957, ndlr] », écrivait le spécialiste du royaume et ancien correspondant de RFI Arnaud Dubus dans l'ouvrage Thaïlande : histoire, société, culture (2011). « Avides d'imposer à l'ensemble du pays une même identité thaïe, ajoutait-il, les agents du gouvernement central interdirent aux Malais — dont la plupart ne parlaient pas thaï — d'employer leur langue dans leurs démarches administratives, les forcèrent à quitter le sarong pour la nouvelle ‘tenue nationale' et obligèrent les enfants musulmans à se prosterner devant des statues de Bouddha ». Pour Don Pathan, expert sécuritaire à The Asia Foundation, il s'agit d'un conflit « ethno-nationaliste », qui « découle de l'échec de la politique d'assimilation visant à transformer les Malais en quelque chose qu'ils ne sont pas ». Lancé en 2013 et supervisé par la Malaisie voisine, le processus de paix entre le gouvernement thaïlandais et le BRN patine. Coups d'État, destitutions, dissolutions de partis et successions de gouvernements : l'instabilité politique de la Thaïlande, liée à la prédominance de l'armée, n'aide pas. Parmi les militants du Sud, nombreux sont conscients que le combat pour la paix ne se mène pas seul : « On doit participer, plus largement, à la démocratisation de la Thaïlande ! Le pays a besoin de changements structurels », soutient Arfan Wattana, qui reçoit dans le café qu'il tient à Sungai Kolok. Avec The Patani, l'organisation pacifique qui milite pour l'auto-détermination de la région dont il fait partie, ce père de famille souhaite retenir la jeunesse tentée de rallier le groupe armé séparatiste : « L'un des défis majeurs sur lequel on travaille, ce sont les jeunes qui soutiennent l'indépendance via des modes d'action violents. On leur dit que ce chemin n'est possible qu'à travers la non-violence. »« C'est notre responsabilité de dialoguer avec les groupes armés, les gens en colère contre les injustices qu'ils subissent et de leur dire que la violence ne nous fera pas gagner », abonde Artef Sokho, président de The Patani. ONG et pacificateurs s'efforcent de discuter avec toutes les parties prenantes du conflit. « Mais c'est loin d'être facile », concède ce militant, que le spécialiste Don Pathan qualifie de « Mandela du Sud de la Thaïlande ». En cette année 2025, la résurgence d'attentats, embuscades et tueries n'augure en effet rien de bon. Les perspectives de paix semblent encore s'éloigner. 

No rain, no flower 🌧🌷
#Ep. 51 - Une étape clé de la guérison des TCA (souvent oubliée)

No rain, no flower 🌧🌷

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 14:00


Choses à Savoir SANTE
Qu'est-ce que le syndrome de la vie vide ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 2:07


Aujourd'hui, nous allons parler d'un mal discret, difficile à nommer, mais qui touche de plus en plus de personnes : le syndrome de la vie vide.Ce n'est pas une maladie officiellement reconnue. Vous ne la trouverez pas dans les manuels de psychiatrie comme le DSM-5. Et pourtant, elle est bien réelle. Le syndrome de la vie vide, c'est ce sentiment diffus de vide intérieur, d'ennui existentiel, de perte de sens. Comme si on vivait en pilote automatique, sans élan, sans envie, sans but.Et les chiffres parlent d'eux-mêmes. En France, 22 % des adultes déclarent ressentir régulièrement un manque de sens dans leur vie, selon un rapport de Santé Publique France. Et ce chiffre grimpe à 36 % chez les 18-35 ans, preuve que cette sensation de vide touche aussi – et peut-être surtout – les jeunes générations.Mais attention : ce n'est pas nécessairement de la tristesse, ni une vraie dépression. C'est plus subtil. Vous vous levez le matin, vous faites ce que vous avez à faire… mais vous n'en retirez aucune satisfaction. Vous avez l'impression que tout est creux, mécanique, que rien ne vous touche vraiment. Et surtout, vous ne savez pas toujours pourquoi.Ce syndrome peut apparaître dans des vies qui, de l'extérieur, semblent réussies. Une bonne situation, une famille, une stabilité… et pourtant, un désert intérieur. Il peut aussi émerger après une étape marquante : la retraite, une séparation, le départ des enfants… ou même l'atteinte d'un objectif longtemps poursuivi. Et une fois ce but atteint ? Le vide. Parce qu'en fait, on ne savait plus ce qu'on voulait vraiment.À l'échelle mondiale, l'Organisation mondiale de la santé estime que 5 % des adultes souffrent de dépression. Même si le syndrome de la vie vide n'est pas une dépression, il peut en être le terrain favorable, quand il persiste sans être reconnu.Souvent, ce malaise vient d'un décalage entre nos actions quotidiennes… et ce qui a vraiment du sens pour nous. Une vie remplie de tâches, mais pas de passion. De bruit, mais pas d'écoute de soi.Alors, comment faire ?Commencer par nommer ce vide. Puis, interroger son quotidien : qu'est-ce qui me touche ? me nourrit ? me fait vibrer ? Redonner du sens, non pas en faisant plus… mais en vivant mieux.Ce vide, parfois silencieux, peut être un début. Le début d'un recentrage, d'une reconstruction, d'un vrai choix de vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bloc d'actualités. De plus en plus souvent, l'intelligence artificielle est également utilisée dans l'éducation des étudiants en (3.6.2025 19:00)

La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 24:31


Bloc d'actualités. De plus en plus souvent, l'intelligence artificielle est également utilisée dans l'éducation des étudiants en médecine. Comment leur formation évolue-t-elle et que doit-on changer dans la formation des jeunes médecins chez nous ? Comment l'étude de la médecine est-elle organisée en Slovaquie ? Entretien avec la conseillere aupres du Ministere de la Santé pour l'éducation, la médecin Eliška Kubíková. Nouvel épisode de la rubrique mensuelle : Ako sa mâche? Dans son cadre, Kristina Balikova et Louis Fabre vous parleront du folklore slovaque.

LES ENTREPOTEURS
Si tu dis souvent cette phrase : t'es sûr de galérer toute ta vie - JDB#19

LES ENTREPOTEURS

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 61:18


⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs : https://www.skool.com/cercle-solopreneursHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Esprit BNB
#81 Booking en 2025 : LA stratégie dévoilée pour la France ! avec Vanessa Heydorff, DG France de Booking.com

Esprit BNB

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 60:55 Transcription Available


Un épisode exceptionnel où Sammy et Maxime accueillent Vanessa Heydorff, Directrice Générale de Booking.com France, pour explorer en profondeur le sujet de la location courte durée.Souvent perçu comme une plateforme complexe, Booking.com reste pourtant un acteur incontournable du secteur. En 2025, la plateforme évolue rapidement, s'adapte aux besoins de la location courte durée et propose de nouvelles opportunités à saisir. Dans cet échange, Vanessa Heydorff partage sa vision du tourisme et de l'hébergement en France, avec un focus particulier sur les enjeux et le potentiel du marché de la LCD. Elle dévoile en toute transparence les axes stratégiques de Booking.com pour les prochains mois :Prioriser les familles et les séjours à forte valeur ajoutéeMettre en avant les logements bien renseignés et bénéficiant de bonnes notesValoriser les hébergements qui participent aux programmes comme Genius ou MobileS'appuyer sur l'intelligence artificielle et les filtres intelligents pour optimiser l'expérience utilisateurElle répond également aux critiques souvent formulées à l'encontre de la plateforme, en apportant des réponses concrètes pour lever les blocages.

Le Réveil Chérie
Nous faisons souvent ceci chez nous... et c'est 450$ d'amende ! - Le chiffre du jour

Le Réveil Chérie

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 1:00


Chaque matin à 8h10 sur Chérie FM, Tiffany vous dévoile le chiffre qui fait l'actualité !

TopTop Mom & Cie
42/ Qu'est-ce que l'entraînement au dodo ?

TopTop Mom & Cie

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 39:13


Souvent associé à « chronomètre » ou « laisser pleurer », l'entraînement au dodo est pourtant bien plus que ça. Selon la philosophie Bedaine Urbaine, il ne s'agit pas d'une recette miracle, mais d'un outil précieux pour les parents en quête de solutions concrètes pour le sommeil des enfants. Redonnons-lui ses lettres de noblesse !

Accès privé France Bleu Paris
Les Ateliers de confection des grandes maisons, des lieux souvent tenus secrets

Accès privé France Bleu Paris

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 12:27


durée : 00:12:27 - Accès privé France Bleu Paris - Cette semaine, notre reporter Murielle Giordan nous propose de découvrir différents ateliers qui ont tous comme point commun un savoir-faire précieux.

Reportage Afrique
«La fête, c'est la fête!»: la Côte d'Ivoire se prépare à célébrer la Tabaski

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 2:12


L'Aïd el-Kébir ou Aïd el-Adha, la plus grande fête de l'islam, sera célébrée ces 6 et 7 juin dans les pays et les communautés musulmanes. Elle est appelée Tabaski en Afrique de l'Ouest. En Côte d'Ivoire, où plus de 40% de la population est musulmane, les foyers se préparent à des rassemblements familiaux, mais pas seulement. À Abidjan, une famille nous a ouvert ses portes.  De notre correspondante à Abidjan,Tous les ans, c'est le même ballet dans la maisonnée. Madame Taofik, qui tient une boutique à Cocody, sait que son petit pavillon de Blockhaus ne suffira pas à accueillir tous ses invités. Avec la famille élargie et les conjoints, la population du foyer devrait doubler. Alors il faut anticiper. « Le matin avant la prière, ma belle-fille et son mari vont venir, explique Madame Taofik. Ma fille aussi, qui n'est pas encore mariée vient aussi, tout comme le petit frère de mon mari. Ce qui est sûr, c'est qu'on sera en famille. Tout le monde va venir à la maison pour qu'on fête ensemble. Souvent on dépasse les quinze personnes ! Quand la famille vient, on loue les sièges quand il est l'heure de manger. On sait bien s'amuser ! »Plus que les retrouvailles, les enfants sont enthousiasmés par les habits de fête et le festin. En réunissant toutes les générations, la Tabaski est aussi l'occasion de transmettre les traditions aux plus jeunes. Les pères de famille mettront à mort le mouton ou le bœuf, pour ceux qui en ont les moyens.Le petit-fils de Madame Taofik, Jimoh, veut apprendre auprès de son père, qui a promis de l'initier. « La fête va bien se passer, prédit le garçon de dix ans. On va payer un joli habit pour moi, des jolies chaussures, un chapeau, et un bœuf. On va fêter en famille, on va manger et rigoler. Je suis très pressé ! Mon papa va tuer le bœuf, il va me montrer comment, je vais regarder. Comme ça, quand je serai grand, je pourrai le faire aussi. »« J'ai des amis chrétiens et des amis musulmans, je célèbre avec tout le monde »Les femmes de la maison préparent le repas la veille, mais les traditions évoluent chez une jeunesse urbaine et moderne. Pour elle, Tabaski n'est plus seulement une célébration familiale, mais aussi un moment de fête avec les amis, toutes religions confondues. « On a programmé de faire une sortie le soir, explique Rokia Taofik, 27 ans. Le matin, je suis à la maison avec les parents. Après avoir mangé, tout le monde est à l'aise, vous vous reposez. Et puis le soir, vers 19h, vous sortez, vous partez vous amuser… Moi, j'ai des amis chrétiens et des amis musulmans, donc je fête avec tout le monde. Tout le monde a droit à la fête de la Tabaski ! Il ne faut pas dire “lui est musulman, lui est chrétien, il ne peut pas aller fêter”. La fête, c'est la fête ! »Plus de douze millions de personnes devraient célébrer la Tabaski vendredi 6 juin, qui sera un jour férié pour tous les Ivoiriens. À lire aussiAïd-al-Adha, Aïd-el-Kebir ou Tabaski : une année à l'épreuve des crises

Esprits Libres
« Le masculinisme et le virilisme sont des composantes de la radicalisation d'une partie de l'opinion » selon Jean-Marie Colombani

Esprits Libres

Play Episode Listen Later May 30, 2025 12:26


Suite à une enquête du journal Le Monde, Sophie Obadia et Jean-Marie Colombani parlent du regain de virilisme en entreprise. Souvent banalisés ou dissimulés, ces comportements perpétuent des inégalités, limitent la progression des femmes et imposent des normes de masculinité toxiques. Une problématique qui dépasse la vie en entreprise. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
La déconnexion du jour - Aurore Bergé : "La classe moyenne est souvent locataire. Donc, quand on supprime la taxe d'habitation, ça bénéficie d'abord aux classes moyennes" - 27/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 27, 2025 3:40


Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

RMC Poker Show
Les erreurs que Flavien Guenan voit le plus souvent chez des joueurs amateurs – 25/05

RMC Poker Show

Play Episode Listen Later May 25, 2025 4:06


Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !

Les Grandes Gueules
Le témoignage du jour - Jonathan, au 3216 : "J'ai souvent payé ma drogue par PayPal. En libellé, je mettais : remboursement kebab. Il y en a même qui ont des TPE" - 23/05M

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 23, 2025 2:34


Aujourd'hui, Flora Ghebali, Jérôme Marty et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Trench Tech
[Extrait] L'administation française : innover sans faire de la

Trench Tech

Play Episode Listen Later May 22, 2025 6:01


Et si les expérimentations algorithmiques et IA de l'administration publique français n'étaient pas toujours utiles, voire gadgets ou franchement dangereuses ?Ce podcast explore pourquoi et comment la France utilise des algorithmes et des iA pour nous évaluer et nous scorer, sans toujours nous en informer ni nous en préciser le but et les modalités.Écoutez l'épisode complet Algorithmes publics : danger démocratique ? ou tapez directement "Trench Tech Soizic Pénicaud" dans votre plateforme de podcastEst-ce qu'en matière d'innovation, l'administration française se pose les bonnes questions ? Pas sûr, ou en tout cas pas troujours selon Soizic.

Reportage Afrique
Afrique du Sud: le pittoresque quartier de Bo-Kaap menacé par le sur-tourisme et la gentrification

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later May 18, 2025 2:15


Le tourisme et la gentrification permettent souvent de revitaliser des quartiers, mais ils sont aussi parfois une menace pour leur identité, et pour le confort de leurs habitants. En Afrique du Sud, dans la ville du Cap, le quartier de Bo-kaap en fait les frais. Ses petites maisons colorées à flanc de colline ravissent les usagers d'Instagram et autres visiteurs. Une situation de plus en plus difficile à tenir pour les habitants. Après plusieurs années de lutte, ils viennent d'obtenir que les bus touristiques ne soient plus autorisés à entrer dans le quartier. De notre envoyée spéciale au Cap,Ruelles pavées à flanc de colline, le quartier de Bo-Kaap, « au-dessus du Cap » en afrikaans, a des allures de village, en plein cœur de la métropole d'Afrique du Sud. Un village aux mille couleurs, avec ses petites maisons roses, vertes, bleues qui font la joie des touristes comme Nadira. « Qui ne voudrait pas venir ici ? C'est vraiment joli pour faire des photos. C'est une attraction touristique, donc il fallait vraiment qu'on passe par ici », s'enthousiasme-t-elle.Chaque jour, une foule de visiteurs envahit les ruelles étroites du petit quartier. Un succès difficile à gérer pour les habitants. « C'est très beau ici et on comprend tout à fait que les gens veulent venir et prendre des photos. Le problème, c'est le manque de respect qui vient avec. Certains touristes pensent qu'en venant ici, ils peuvent faire tout ce qu'ils veulent. Qu'il s'agisse d'ouvrir le portail de quelqu'un et de monter le perron pour prendre une photo. Ou de demander à un habitant : "est-ce que vous pouvez rentrer dedans parce que je veux une photo de votre maison ?" », s'indigne Jacky Poking, résidente et activiste.Les résidents viennent d'obtenir l'interdiction pour les bus touristiques de circuler dans les ruelles, après des années à le réclamer. Descendante des esclaves malais, cette communauté à majorité musulmane est installée ici depuis des générations et y a fondé la première mosquée du pays. Elle a développé de nombreuses traditions, menacées aujourd'hui par la gentrification. « Nos tarifs, comme l'eau et l'électricité, augmentent d'année en année. Il devient donc très difficile pour les habitants de rester dans le quartier, même s'ils le souhaitent. Surtout les personnes âgées. Souvent, ceux qui ont vendu ces dernières années l'ont fait parce qu'ils n'arrivaient plus à payer », se désole Jacky Poking.De plus en plus de maisons sont rachetées par des investisseurs, constate Zaki Harris, habitant et guide touristique. « Dans ces rues principales, une maison sur deux est habitée par un Sud-Africain. Entre les deux, on trouve des Airbnb et d'autres locations à court terme. Des maisons qui restent vides la moitié de l'année », regrette-t-il. Zaki milite pour un tourisme plus soucieux des traditions, et qui profite davantage à la communauté, qui pour l'instant en perçoit peu les retombées. « Si nous ne promouvons pas un meilleur tourisme, il sera beaucoup plus difficile pour nos enfants de pouvoir garder le lien avec leur patrimoine culturel », estime-t-il. Difficile pour la petite communauté de résister aux assauts de la ville. Elle n'a pas réussi à empêcher la construction d'un immeuble de six étages en bordure du quartier.À lire aussiAfrique du Sud: le télévangéliste Timothy Omotoso à nouveau arrêté dans une affaire d'immigration

Les Grandes Gueules
L'incompréhension du jour - Christian Morin : "La télé, si souvent critiquée, est une grande bibliothèque d'images. Tout le monde critique, mais on n'oblige personne à rester devant tous les soirs" - 15/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 15, 2025 1:03


Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Choses à Savoir
Pourquoi les papillons ont-ils des motifs sur leurs ailes ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later May 12, 2025 2:35


Les papillons fascinent par leurs ailes colorées et ornées de motifs parfois complexes, mais ces dessins ne sont pas là pour faire joli : ils remplissent plusieurs fonctions essentielles à leur survie. L'évolution a façonné ces motifs pour répondre à des besoins variés, allant de la protection contre les prédateurs à la régulation thermique, en passant par la séduction.L'une des principales fonctions des motifs sur les ailes des papillons est la dissuasion des prédateurs. Certains arborent des couleurs vives et contrastées, comme le rouge, le jaune ou le noir, qui signalent un danger : un goût amer ou une toxicité. C'est le cas du célèbre papillon Monarque, qui se nourrit de plantes toxiques à l'état de chenille, ce qui rend sa chair désagréable pour les oiseaux. Cette stratégie s'appelle l'aposématisme : le papillon "annonce" sa dangerosité par son apparence. D'autres espèces, non toxiques, imitent ces motifs pour profiter de la même protection : on parle alors de mimétisme batésien.Une autre stratégie visuelle repose sur les ocelles, ces motifs circulaires qui ressemblent à des yeux. On les retrouve par exemple chez le papillon Paon du jour. Lorsqu'il se sent menacé, il ouvre brusquement ses ailes pour exposer ces "faux yeux", ce qui peut effrayer un oiseau ou détourner son attaque vers une zone non vitale de l'aile.Certains motifs permettent aussi aux papillons de se camoufler. C'est le cas du Papillon-feuille, dont les ailes imitent parfaitement l'apparence d'une feuille morte. Ce camouflage lui permet de se fondre dans son environnement et d'échapper à la détection. Cette forme de mimétisme, dite cryptique, est une arme efficace dans la lutte pour la survie.Les motifs jouent également un rôle important dans la reproduction. Chez certaines espèces, les mâles et les femelles présentent des motifs distincts, permettant de reconnaître un partenaire sexuel. Les couleurs vibrantes ou les motifs spécifiques peuvent signaler la bonne santé d'un individu, influençant ainsi le choix du partenaire.Enfin, les pigments et les écailles qui composent les motifs peuvent aussi avoir une fonction thermorégulatrice. Des ailes plus sombres absorbent mieux la chaleur, ce qui est utile dans les environnements frais. Inversement, des motifs clairs reflètent la lumière, évitant la surchauffe.En somme, les motifs sur les ailes des papillons sont le résultat d'une longue coévolution avec leur environnement. Derrière leur beauté fragile se cache une sophistication biologique étonnante, où chaque tâche ou ligne peut faire la différence entre la vie et la mort. Souvent admirés pour leur esthétique, ces dessins sont avant tout des armes discrètes de la nature. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Maintenant, vous savez
Prendre des vitamines est-il vraiment utile ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later May 12, 2025 4:58


Vous avez certainement déjà pris des suppléments de vitamines ou de minéraux. En petites gélules, comprimées à croquer, solubles dans un verre d'eau ou bien encore des gummies, le choix ne manque pas. Souvent, les industriels vous promettent des bienfaits pour chaque produit : vitamine C contre la fatigue, magnésium pour mieux dormir, B9 pour la mémoire… Mais derrière ces promesses marketing, la réalité scientifique est tout autre : plusieurs études démontrent en effet que les suppléments en vitamines sont en fait inutiles… Dans quels cas les vitamines sont-elles utiles ? Y a-t-il un danger à prendre des suppléments de vitamines ? Dois-je me supplémenter ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Vitamine D : comment faire le plein ? Dans quel ordre faut-il manger ses aliments ? Quels sont les effets des colorants alimentaires sur la santé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez".Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Podcast Torah-Box.com
Rabbi Chim'on bar Yo'haï : sa Torah & sa grandeur

Podcast Torah-Box.com

Play Episode Listen Later May 12, 2025 32:41


Le jour de la Hiloula de Rabbi Chim'on bar Yohaï, la Chékhina ainsi que le Tsadik lui-même descendent dans ce monde-ci. Les enfants qui sont "les garants de la Torah", participent aux festivités en l'honneur de Chim'on bar Yohaï, chantent et racontent des histoires à son sujet. Souvent, sur le site de Méron même, on organise la 'Halaké - la coupe de cheveux des garçons à l'âge de 3 ans. Rabbi Chim'on bar Yo'haï était un Tsadik d'une sainteté exceptionnelle - d'où l'engouement pour péleriner sur sa tombe - et chaque Juif a le devoir de se sanctifier à son niveau comme les Cohanim et le Cohen Gadol le sont à leur niveau. En étudiant la Torah, en s'éloignant de l'impureté, en n'abusant pas de ce qui est permis car l'excès en toute chose (y compris dans la nourriture) entrave la sainteté. Illustration avec des passages de la Paracha Emor et celle de Kédochim.

Choses à Savoir
Pourquoi Fidel Castro parlait-il souvent d'une vache ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later May 11, 2025 2:29


Dans l'histoire de l'agriculture mondiale, peu d'animaux ont connu la notoriété d'Ubre Blanca, une vache cubaine devenue un symbole national dans les années 1980. Son nom, qui signifie « mamelle blanche » en espagnol, est aujourd'hui encore évoqué comme un exploit biologique… et un instrument politique.Ubre Blanca était une vache croisée entre une Holstein (race laitière allemande) et une Zébu cubaine, deux races choisies pour allier forte production laitière et adaptation au climat tropical. Ce croisement a été initié par les équipes agricoles sous la direction du gouvernement de Fidel Castro, qui voyait dans l'agriculture un levier de souveraineté nationale.En 1982, Ubre Blanca bat un record mondial homologué par le Livre Guinness des records : elle produit 113,5 litres de lait en une seule journée, là où une vache classique produit entre 20 et 30 litres. Sur une période de 305 jours, elle donne 24 268,9 litres, pulvérisant les standards de l'époque. À titre de comparaison, une vache française moyenne produit aujourd'hui autour de 9 000 litres par an.Cette prouesse n'est pas qu'un exploit agricole, elle devient un symbole de la réussite du socialisme cubain. Fidel Castro lui-même évoque fréquemment Ubre Blanca dans ses discours comme preuve que l'homme nouveau et l'agriculture d'État peuvent surpasser les limites imposées par la nature. L'animal devient une véritable célébrité nationale : des articles lui sont consacrés, des poèmes sont écrits à sa gloire, et même une statue en marbre est érigée à Nueva Gerona, sur l'île de la Jeunesse, après sa mort en 1985.Mais Ubre Blanca est aussi le produit d'un encadrement scientifique et vétérinaire intense. Elle vivait sous surveillance constante, nourrie selon un régime hyper-contrôlé, dans des conditions qui n'étaient pas reproductibles à l'échelle nationale. Malgré les tentatives de clonage menées dans les années 2000, aucune autre vache n'a jamais atteint un tel niveau de production à Cuba.Sa mort marque la fin d'un rêve, mais pas celle du mythe. Aujourd'hui encore, Ubre Blanca symbolise à la fois l'orgueil agricole d'un petit pays sous embargo, les limites de l'exploitation animale, et l'instrumentalisation de la science à des fins idéologiques.Si elle ne broute plus depuis longtemps, la mémoire d'Ubre Blanca continue de ruminer dans l'imaginaire cubain, entre admiration sincère et propagande bien orchestrée. Une vache devenue, en quelque sorte, une légende d'État. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

學英語環遊世界
我最想一人前往的海滩,竟然不是天堂岛|EP. 1786

學英語環遊世界

Play Episode Listen Later May 11, 2025 16:35


你最想一个人前往的海滩是哪里?Where is your ideal solo beach destination?这一集,我和你分享来自法国的 Marion 的回答。In this episode, I'm sharing a heartfelt answer from Marion, a traveler from France.她说的不是阳光普照的天堂岛,Her answer wasn't a sunny paradise island,而是一个经常下雨、有点冷,但充满爱的地方——布列塔尼。but a rainy, chilly place full of love and childhood memories — Brittany, in France.这集特别适合英语初学者收听,This episode is perfect for English beginners,你可以一边学习听力,一边思考:and it will also get you thinking:� “What makes a place truly special to you?”� “什么样的地方,对你来说才是真正特别的?”Marion和Agusti的旅行IG:⁠@travel_ma.p⁠Don't forget to subscribe, share your thoughts, and join Fly with Lily's event to grow with us.别忘了订阅、留言,赶快到 flywiithlily.com 下载我们的离开舒适圈中英语挑战手册,和Lily一起进行华丽变身、成长、冒险!�Marion 法语回答逐字稿(中法对照 + 解说)段落 1|这个问题好难!Du coup, pour moi, cette question était assez difficile.对我来说,这个问题还挺难的。学习:assez difficile = 相当困难,适合用来表达犹豫、挣扎的感觉。C'est assez étrange de trouver une question si simple, si difficile,这么简单的问题竟然会变得这么难,感觉有点奇怪。学习:étrange = 奇怪的,si simple, si difficile 则是一种反差式修辞。段落 2|理想中的独旅海滩?Parce qu'au final, quelle est la plage où tu irais toute seule ?因为说到底,你会想一个人去的海滩是哪里呢?学习:au final = 最终,toute seule = 一个人(女性用法)。Au début, je me suis dit, on est en train de voyager en Asie avec mon copain pour plusieurs mois.我一开始想,我现在和男友正在亚洲旅行几个月。学习:en train de = 正在进行中,pour plusieurs mois = 为期好几个月。段落 3|想到了柬埔寨的 Koh RongQuelle a été la plage paradisiaque que tu as préférée, où tu devrais aller toute seule ?我就想,哪个天堂海滩是我最喜欢、也可能会想自己去的?学习:plage paradisiaque = 天堂般的海滩。J'ai pensé à Koh Rong, au Cambodge, qui était une plage de sable fin, paradisiaque, super belle.我想到的是柬埔寨的 Koh Rong,那里有细致的沙滩,是超美的天堂海滩。学习:sable fin = 细沙,super belle = 超美!Mais au bout de quelques jours, je ne voudrais plus être sur cette plage-là.但几天之后,我其实就不想继续待在那里了。学习:au bout de = 经过…之后,表达时间感受。段落 4|天堂海滩让她想起布列塔尼À chaque fois que je me retrouve sur une plage incroyable en Asie ou dans des endroits merveilleux, je repense à la Bretagne.每次我来到亚洲的美丽海滩或其他迷人地点,我都会想起布列塔尼。学习:je repense à = 我再次想起,endroits merveilleux = 奇妙地方。L'endroit où je passais tous mes étés avec ma famille, où mes grands-parents et mes cousins vivent.那是我小时候与家人一起度过夏天的地方,我的祖父母和表亲都住在那里。学习:passer mes étés = 度过我的夏天。段落 5|布列塔尼不是完美的海滩,但…En Bretagne, il ne fait pas spécialement beau. Souvent, il pleut.在布列塔尼,天气并不是特别好,常常下雨。学习:il pleut = 正在下雨,spécialement beau = 特别好(天气)。Du coup, aller à la plage, là-bas, j'avais du mal parce qu'il fait froid.所以去海滩时常常有点辛苦,因为很冷。学习:j'avais du mal = 我有困难(形容不舒服或难以做到的事)。段落 6|真正的心之海滩Mais à chaque fois que je suis sur une plage paradisiaque, je repense à la Bretagne.但每次在天堂海滩时,我还是会想起布列塔尼。学习:je suis sur une plage = 我在一个海滩上。Pour moi, le meilleur endroit pour être toute seule, ce serait sur une plage de Bretagne,对我来说,最适合独处的地方,是布列塔尼的某个海滩,et apprendre à savourer cet endroit-là, qui compte beaucoup plus pour moi学会好好品味这个地方,这对我来说比其他海滩更有意义,qu'une plage en Asie, même si elle est si belle et qu'il fait si chaud.比起亚洲那些再美再温暖的海滩都来得重要。学习:savourer = 细细品味,compte beaucoup pour moi = 对我很重要。

Littérature sans frontières
Emmanuelle Hutin, être artiste et résistante pendant la Seconde Guerre mondiale

Littérature sans frontières

Play Episode Listen Later May 9, 2025 35:17


Emmanuelle Hutin a publié un premier récit remarqué, La Grenade (Stock, 2021). En parallèle de l'écriture, elle est directrice artistique indépendante et enseigne le yoga au profit d'associations caritatives. Son nouveau livre Les francs-tireuses est une fiction qui s'inspire de l'histoire vraie de deux femmes artistes qui ont résisté pendant la guerre avec des actions inédites dans l'Histoire. « Imagine-t-on pareille témérité ? » écrira Claude Cahun après la guerre. Comment croire qu'un couple de femmes artistes, bourgeoises, cinquantenaires, d'origine juive et à la santé fragile, s'élève seul contre les Allemands pendant les quatre années d'occupation de l'île de Jersey ?Claude Cahun est l'une des figures les plus singulières de l'avant-garde artistique parisienne. Avec Suzanne Malherbe, sa compagne de toujours, elle adhère et participe activement au mouvement surréaliste et révolutionnaire antifasciste. Mais c'est sur l'île de Jersey, où elles s'installent en 1938, que va se déployer leur activité militante. Convaincues que la liberté et l'amour fraternel sont des valeurs universelles, Claude et Suzanne mènent une contre-propagande poétique ; une résistance de papiers, de bouteilles vides et de milliers de tracts signés « Le soldat sans nom » pour créer l'impression d'une fronde au sein même des rangs allemands. Elles sont les francs-tireuses, usant de leurs armes spirituelles pour inciter les soldats à cesser de se battre. Les faits leur ont donné raison : Jersey a été libérée pacifiquement. Les Francs-tireuses s'appuie sur des textes dans lesquels Claude Cahun et Suzanne Malherbe ont raconté leurs années de guerre. Fidèle à leurs actions et à leurs tempéraments, Emmanuelle Hutin s'inspire librement de ces écrits pour rendre hommage au courage de ces résistantes invisibilisées par l'Histoire. (Présentation des éditions Anne Carrière)Illustration musicale : Gnossienne (1) de Erik SatiePour aller plus loin, à découvrir également :À travers les destins croisés de cinq résistantes, Philippe Collin retrace le rôle crucial longtemps oublié des femmes dans la lutte intérieure et extérieure face au nazisme entre 1940 et 1944.Souvent réduites à une poignée de clichés romantiques, les femmes dans l'histoire de la Résistance française sont longtemps restées invisibles. Or, dans un pays vaincu, humilié et privé en partie de sa population masculine, emmenée en Allemagne en captivité dès l'été 1940, les femmes furent les premières à réagir et à initier un esprit d'insoumission. Parmi elles, deux figures illustres : Lucie Aubrac et Geneviève de Gaulle. Ainsi que trois femmes demeurées dans l'ombre : Mila Racine, Simonne Mathieu et Renée Davelly.Destins emblématiques ou méconnus, les trajectoires de ces cinq résistantes vont s'entremêler et se répondre : un récit choral et global qui redonne toute leur place aux femmes au côté des hommes.Cet ouvrage est l'adaptation illustrée d'archives inédites ou rares du podcast à succès sur France Inter suivi par plus de 2,5 millions d'auditeurs et plébiscitée par la critique. (Présentation des éditions Albin Michel)

Les p't**s bateaux
Puisque les frites sont souvent rectangulaires, qu'est-ce qu'on fait des bouts ronds ?

Les p't**s bateaux

Play Episode Listen Later May 6, 2025 3:52


durée : 00:03:52 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - "Dans les restaurants y'a que des frites rectangulaires. J'aimerais savoir ce qu'on fait des bouts ronds." se demande Lou. Pierre-Brice Lebrun a écrit "Petit traité de la pomme de terre et de la frite", aux éditions Le Sureau; il est donc calé pour donner la réponse. - réalisé par : Stéphanie TEXIER

Les Grandes Gueules
La réalité du jour - Jean-Pierre, gérant d'un salon de coiffure : "À 21h, dans le centre-ville de Grenoble, on a la boule au ventre. Des commerçants sont souvent attaqués. C'est à cause du trafic de drogue" - 06/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 6, 2025 3:22


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.

Un jour dans le monde
Pourquoi le discours pro-Trump est bien souvent un handicap dans les élections à travers le monde

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later May 5, 2025 3:42


durée : 00:03:42 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Le sujet Trump s'est invité dernièrement dans plusieurs scrutins. Avec des résultats contrastés. Mais dans l'ensemble, les candidats qui revendiquent une proximité avec le président américain ne parviennent pas à convaincre les électeurs.

No Pay No Play
Comment choisir vos emplacements sur Facebook Ads ? (Reels ou Feed ?)

No Pay No Play

Play Episode Listen Later May 5, 2025 12:29


Souvent, les débutants en Facebook Ads vont passer à côté de ce concept Facebook Ads.Ou bien, ils vont commencer à se poser la question trop tôt.Quel est l'emplacement Facebook Ads que je dois utiliser ?Aujourd'hui, Meta vous donne du Advantage+, c'est-à-dire que vous ne contrôlez rien, Meta s'occupe de tout.Mais on peut vous assurer que cela a un impact sur vos coûts et sur le temps que votre campagne met avant de sortir des résultats.En effet, il existe une couche supplémentaire d'analyse à même votre campagne, lorsqu'elle a assez dépensé.Et ça concerne évidemment les emplacements publicitaires.Dans cette vidéo de No Pay No Play, on vous partage tout ce qu'il y a à savoir sur le sujet pour que vous preniez de meilleures décisions.Envie d'aller plus loin ? Rejoignez la J7 Académie, notre écosystème dédié aux Media Buyers : https://j7academie.com/Newsletter gratuite : Chaque lundi, on vous envoie une astuce ou un test Facebook Ads à appliquer directement sur votre compte : http://j7media.com/escouadeNotre agence : https://experts.j7media.com/agence/Autrement, rendez-vous sur notre autre chaîne : https://www.youtube.com/@podcastsocialscaling

Zeteo
Charles Wright : Un voyage anglais magique et mystérieux

Zeteo

Play Episode Listen Later May 3, 2025 55:21


Charles Wright est écrivain, connu du grand public depuis la publication en 2021 du Chemin des Estives, qui lui a notamment valu le prix de la Liberté Intérieure la même année. Avant d'entamer sa vie littéraire, il avait été novice dans un monastère cistercien. Son œuvre est marquée à la fois par le goût de la liberté, de la poésie, de la recherche d'un bonheur à la portée de tous, et par l'aventure spirituelle. Charles Wright est né d'un père anglais et d'une mère française. À la suite d'un rêve qui l'a marqué, il a entrepris l'aventure d'un voyage « magique et mystérieux » en compagnie de son père et sur les traces de ses origines paternelles : Le Magical Mystery Tour, nom trouvé par ce dernier pour désigner ce roadtrip familial, et titre d'un des albums les plus prestigieux des Beatles dont les chansons vont accompagner tout le voyage. Avec Charles Wright, nous découvrons un pays vraiment pas comme les autres. Presque à vol d'oiseau de la France, mais profondément marquée par son insularité, l'Angleterre est « une autre planète ». Elle est peuplée d'habitants profondément originaux, à la fois flegmatiques et excentriques, souvent indéchiffrables derrière la double protection de l'humour et de réserve, de cet understatement britannique qui est une vraie forme d'humilité. C'est avec ce même humour teinté de réserve que Charles Wright nous permet de voyager dans les merveilleuses campagnes anglaises. Celles qui, selon lui et sur cette Terre, se rapprochent le mieux du Jardin d'Eden. Souvent, pour éclairer son pèlerinage aux racines de son histoire familiale, il a recours à la littérature anglaise, notamment celle du grand Shakespeare, dont le génie à la fois poétique, burlesque et le tragique exprime si bien l'âme anglaise. Charles Wright chemine au cœur d'une forêt généalogique où les secrets de famille ne manquent pas. S'il aurait pu s'y perdre, c'est dans la douceur et même la tendresse qu'il va apprendre à poser un regard qui embrasse aussi tous les défunts, notamment ceux qui ont été trop vite cachés et oubliés. Au delà de la découverte des jardins anglais, Charles Wright nous invite à cultiver nos jardins intérieurs parfois en friches, avec leurs zones d'ombres ou d'abandon. Il offre le témoignage apaisé, à la fois profond et léger, d'un homme qui a découvert, auprès de son père, l'autre moitié de son identité qu'il n'avait jusqu'alors pas suffisamment connue. Avec la recherche de ses racines familiales, il invite à la réconciliation avec nos ancêtres et à retrouver le respect de nos défunts. Il offre aussi un message d'amour tendre et émouvant pour celui qui est devenu « son héros », ce père si peu connu, parfois lointain, et maintenant tellement plus proche. Pour lire Le jardin anglais, le livre de Charles Wright, cliquer ici. UNE CONTINUITÉ ÉTONNANTE  Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, L'épisode que nous avons la joie de diffuser dès aujourd'hui avec Charles Wright marque une différence avec beaucoup d'émissions précédentes. Son voyage anglais nous déplace effectivement pour une fois de l'autre côté de la Manche, dans un pays profondément original. Une terre étrangère pour la plupart d'entre vous, que le regard tendre et profond de notre invité va rendre particulièrement attachante. Pour un message qui, finalement, s'adresse à tous : insulaires ou pas, anglais ou français ou d'autres nationalités, nous sommes toujours en quête de notre identité profonde. Pour cela, Charles Wright apporte de vraies lumières qui éclairent tout le monde. C'est ici que cet épisode s'inscrit dans une continuité étonnante avec d'autres émissions précédentes. Celle de la quête de nos racines, du déchiffrage de nos histoires familiales, de la mise en lumière de ce qui a été caché, détourné… De tout ce qui doit nous permettre la réconciliation avec nos ancêtres, le respect des défunts et, souvent, la libération de nos mémoires. Trop souvent, elles sont inconsciemment polluées par les mystères et les secrets du passé. Sur Zeteo, cette continuité s'est ouverte l'an dernier avec Thibault de Montaigu. Elle s'est accentuée avec la rencontre avec Sandrine Chenivesse et l'exploration spectaculaire de La Forteresse des Âmes mortes, au cœur de la Chine ancestrale… Le fil continue d'être tiré cette semaine. Et il le sera encore la semaine prochaine, comme la suivante. Cette continuité est à la fois un peu magique et mystérieuse. Elle n'a pas été voulue, et elle se déroule au fil d'une pelote qui n'a pas fini de tourner. Nous n'en avons pris conscience que récemment. À la fois grâce à certains messages reçus de certains d'entre vous. Et en voyant une étonnante cohérence dans le sujet de certains épisodes récents, actuels ou à venir. Cette continuité étonnante, elle est le fruit de la fidélité et de la générosité des auditeurs. Ici encore, nous tenons à remercier ceux qui ont accompagné notre effort en l'encourageant avec des messages parfois très forts, ou en le soutenant par un don qui permet à Zeteo d'être d'accès entièrement gratuit. Et nous remercions à l'avance ceux qui vont se joindre à l'aventure, notamment ceux qui à ce jour n'ont pas encore effectué de don, ceux qui peuvent le faire et dont le moment est venu de le vouloir, En gratitude, Fraternellement, Guillaume Devoud  Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. 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La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. Traditions liées au mois de mai. L'activité croissante des tiques. Marquage des sentiers touristiques (2.5.2025 19:00)

La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie

Play Episode Listen Later May 2, 2025 26:22


Bulletin d'actualités. En Slovaquie, ce mois est lié a beaucoup de traditions, les amoureux s'embrassent sous les arbres en fleurs, on dresse l'arbre de mai. L'activité croissante des tiques. En raison du changement climatique, les tiques se propagent en Slovaquie vers des régions plus septentrionales et a des altitudes plus élevées, ou elles n'existaient pas dans le passé. Marquage des sentiers touristiques. Les panneaux sont renouvelés par les forestiers, en tenant compte des conditions météorologiques et naturelles pendant la saison touristique d'été. Souvent, ils sont confrontés au vandalisme, a l'endommagement des panneaux, des balises, et a leur vol.

Rothen s'enflamme
Souvent dur avec Paris, Duga salue la victoire du PSG – 30/04

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 3:11


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.