Chroniques de l'infra-ordinaire

Vous aussi, vous l'avez remarqué ? Que les jours rallongent ? On s'intéresse aujourd'hui à ce phénomène que l'on met parfois plusieurs jours ou plusieurs semaines à réaliser. Bonne écoute !

Bonne année à toutes et à tous ! On vous retrouve pour un nouvel épisode dédié aux vieux livres. On parlera notamment de leurs odeurs si magiques. Pour ce premier épisode de l'année 2021, on accueille Julie Morvan. Bonne écoute ! Et pour aller plus loin, nous vous proposons de découvrir : Les deux parfums sont Hugo parle dans sa chronique : Whispers in the Library de Maison Martin Margiela & Bibliothèque de Byredo. À Paris, vous pourrez retrouver ces deux parfums dans leurs boutiques en propre ou chez Nose au 20 rue Bachaumont. Nous vous conseillons de découvrir également la librairie Shakespeare & Compagnie et ses fameux amoncellements de vieux livres présents un peu partout dans la boutique, rue de la Bûcherie. Si vous n'êtes pas à Paris, vous pouvez tout simplement monter dans le grenier de vos grands parents et y découvrir leurs trésors littéraires. N'oubliez pas de les humer et de vous délecter de cette odeur si magique. Nous espérons que cet épisode vous a plu. Si vous souhaitez, comme Julie, participer à ce podcast, n'hésitez pas à nous contacter via notre compte Instagram ou sur notre adresse mail : leschroniquesdelinfraordinaire@gmail.com

Aujourd'hui, on vous a préparé un épisode pas comme les autres.... et on s'intéresse aux bancs publics, ceux qui accueillent les passants, les familles, les amoureux. Même si on ne les remarque pas, ils sont beaucoup à nous apprendre. Pour aller plus loin, nous vous conseillons : Un banc un peu spécial : Le banc du Temps qui passe, ouvrage de Hubert Reeves, astrophysicien, et enseignant de cosmologie à Montréal et à Paris. Méditations cosmiques sur la réalité dans laquelle nous somme projeté pour un temps. https://www.seuil.com/ouvrage/le-banc-du-temps-qui-passe-hubert-reeves/9782021371109 Saviez-Vous qu'il existe un festival du banc public ? La 14ème édition a eu lieu le 16 Juin 2019 à Colombes dans le 92. Le but : déambuler de banc en banc à travers un parcours poétique, convivial et festif. https://www.telerama.fr/sortir/a-colombes,-un-surprenant-festival-ou-les-habitants-sinvitent-sur-les-bancs-publics,n6290465.php Et pour finir en chanson bien-sûr, on vous propose de réécouter la fameuse chanson de Brassens : les amoureux des bancs publics. Simple et toujours aussi plaisant. https://www.youtube.com/watch?v=PMtFfPbcPLM

Ce dimanche, on s'intéresse aux voix, à ce qu'elles disent de nous, ce qu'elles nous procurent ou nous permettent d'accomplir. Désormais, en troisième partie du podcast, nous vous partagerons régulièrement des références comme des livres, des films, des conférences, si vous souhaitez creuser les sujets que l'on aborde : Le Pouvoir de la Voix de Jean Abitbol , chirurgien ORL et auteur. Livre aussi poétique que scientifique qui dévoile les secrets de la voix, ce trésor inestimable, instrument de l'homme. Autre ouvrage : La voix sombre de Ryoko Sekiguchi, poétesse, traductrice et auteure franco-japonaise. Avant d'écrire son livre Nagori dont nous parlons dans l'épisode 11 de notre podcast, elle s'est intéressée au sujet de la voix de ceux qui nous quittent. Que reste-t-til de nos voix quand nos corps disparaissent ? Quel poids ont les enregistrements qui perdurent. A travers la voix, une réflexion sur l'absence et la mort. Nous vous conseillons également de découvrir Joana Revis, chercheuse en sciences du langage, et orthophoniste spécialisée en vocologie, à travers son Tedx intitulé « votre voix, c'est vous ». Elle remet en question l'appartenance de la voix à l'homme. Sommes-nous la seule espèce vivante à avoir une voix ? Les voix sont-elles uniquement vivantes ? Peuvent-elles être fabriquées de toutes pièces et utilisées par nos robots ? Questionnement sur la voix entre vivant et technologie, entre identité et émotions. Bonne écoute !

S'intéresser à ce qui habille les oeuvres d'art est assez peu banal. On se demande même si cela a un intérêt. Mais en réalité, les cadres que l'on trouve autour de nos tableaux préférés ont une histoire qui remonte aux prémices des pratiques picturales de l'humanité. Ils jouent également un rôle bien particulier et nous renvoient plus qu'on ne le pense à un débat philosophique vaste qui oppose réalité et fiction. Dans cette nouvelle saison qui démarre, on a décidé de prêter de temps en temps notre micro à des invités pour qu'ils ou elles nous partagent leurs infra-ordinaires, le temps d'une chronique. Pour ce deuxième épisode, on accueille donc une première invitée : Clémentine, alias Mikankey. Illustratrice et autrice free-lance, Clémentine traite de nombreux sujets de société sous la forme de bande dessinée, du féminisme à l'écologie en passant par la sexualité. Vous pouvez retrouver un aperçu de son travail sur Instagram @mikankey. Nous lui donnons la parole, le temps d'une chronique. Merci à elle d'avoir accepté notre invitation.

Lecture de "Nagori. La nostalgie de la saison qui vient de nous quitter" de Ryoko Sekiguchi sorti aux éditions Pol. Nous sommes heureux de vous proposer un nouveau format « Lecture » dans ce podcast. 

Retrouvez le premier épisode hors série avec un livre d'une subtilité incroyable : Nagori - La nostalgie de la saison qui vient de nous quitter de Ryoko Sekiguchi sorti aux éditions Pol. Cette lecture fait écho à l'épisode 11 du podcast « Les couleurs de l'automne ». Nous espérons que vous apprécierez cette découverte littéraire. Et surtout, n'oubliez pas de vous émerveiller du quotidien. ✨

On est très heureux de lancer la saison 2 du podcast des Chroniques de l'infraordinaire ! Au programme, de nouvelles chroniques, de nouveaux formats, des hors séries.

Pour le dernier épisode de la saison 1, on prolonge un peu plus les vacances.... en s'intéressant à ces bruits de vaisselle qui nous rappelle les repas de famille ou les grandes tablées entre amis. Des moments où le temps s'écoule lentement et où le futur se dessine au rythme des bruits de verres qui s'empilent, de couverts qui s'entrechoquent, d'assiettes déposées sur la table... La saison 1 du podcast touche à sa fin. Nous vous donnons RDV le 11 octobre 2020 pour le lancement de la 2ème saison, avec quelques surprises ! D'ici là, n'oubliez pas de vous émerveillez du quotidien ! ✨

On est en vacances, on en a profité pour parler de ces choses banales que l'on voit, que l'on vit ou que l'on ressent à la plage. Vous aussi, vous repartez toujours les sandales à la main ? Dans 2 semaines, le podcast fêtera son 10ème épisode déjà ! L'occasion de clôturer la Saison 1, de faire une pause et de préparer la suite... Bon dimanche et bonnes vacances pour ceux qui en ont !

Parler avec les mains n'a rien d'anodin. Pourtant nous ne faisons que rarement attention à nos gesticulations non-verbales qui en disent pourtant beaucoup sur nous et ce que nous pensons. Qu'il s'agisse de désigner une direction, une personne ou que l'on énumère nos différents arguments avec chacun des doigts de nos mains, elles parlent pour nous.

Fermer sa porte à clef peut être synonyme d'angoisse pour ceux ou celles qui ne savent jamais s'ils/elles ont bien fermé la porte. On connaît tous cette sensation de « ai-je bien fermé la porte en partant ? ». Mais, sans que nous n'en prenions conscience, les clefs renferment des symboliques puissantes.

Cette semaine, nous vous retrouvons pour parler de ces magazines que l'on feuillette à l'envers. Vous avez évidemment en tête ce moment où, une fois installé tranquillement sur votre chaise longue, vous feuilletez votre magazine machinalement…. à l'envers. Mais pourquoi donc ? La réponse est loin d'être évidente. Le marchand de journaux lui-même se questionne. Et pourtant, il n'y a justement peut-être pas de réponse à cette questions. Il suffit simplement d'observer ce geste banal et de l'accueillir comme il est. Et vous, de quelle manière feuilletez-vous votre magazine ?

Pour ce 5ème épisode, on s'intéresse à une odeur particulière : celle de la terre après la pluie. Elle nous évoque tous un souvenir particulier et en même temps elle nous est si commune.

Cette semaine, de nouveaux mots sont entrés dans le dictionnaire. Mais il y a quelques semaines, nous nous demandions : quels sont les mots qui à l'inverse sortent du dictionnaire ? Quels sont ces mots abandonnés, ceux qui sont sacrifiés, supprimés, oubliés. Ils avaient pourtant fait leur entrée par la grande porte, en étant médaillés et couronnés pour leur popularité. Mais ils ont fini par sortir par une si petite porte que personne ne s'en émeut, de sorte que, régulièrement, quelques mots de notre langue sombrent dans l'abîme. Ils deviennent des mots oubliés.

Pour le 3ème épisode du podcast, nous nous intéressons… aux lampadaires ! Ces objets du mobilier urbain font débat. Ils nous apportent un confort quand la nuit est là mais ils sont également le symbole d'une pollution lumineuse terriblement néfaste pour la biodiversité. Cependant, les ambiances nocturnes qu'ils produisent transforment nos nuits en de scènes uniques à la fois mystérieuses, effrayantes, festives… Et vous, le lampadaire vous évoque-t-il quelque chose en particulier ?

Pour le deuxième épisode de notre podcast, nous nous sommes intéressés à ce geste si banal qu'est la bise. Mais qu'est-ce que la bise dit de nous ? D'où vient-elle ? La bise, c'est également des émotions, des sensations, des peurs, des intentions, un petit plaisir aussi, ou au contraire, une corvée. Dans le contexte, la bise lassera-t-elle place à de nouveaux gestes, de nouveaux codes de salutation ? Et d'ailleurs : vous rappelez-vous de la dernière bise que vous avez donnée ?

Il est si petit, si insignifiant qu'on y prêterait pas attention. Pour le 1er épisode du podcast, nous nous sommes intéressés à son histoire mais aussi aux moments auxquels il nous ramène. Et vous, il vous évoque quoi ce carré de chocolat qui accompagne le café ?

George Perec introduit son livre “l'infra-ordinaire” par un texte intitulé “Approches de quoi ?”. Comme cet auteur français nous a beaucoup inspiré pour la création de ce podcast, nous voulions vous partager ce texte que nous trouvons très beau et très juste. Nous vous en proposons une lecture dans cet épisode introductif. C'est une manière pour nous de lui rendre hommage et de vous embarquer avec humilité dans cette aventure sonore.

Rendez-vous DIMANCHE 26 AVRIL pour le lancement des Chroniques de l'infra-ordinaire. Vous pouvez d'ores et déjà vous abonner au podcast sur Spotify, Apple podcasts et toutes les autres plateformes de diffusion. Suivez-nous également sur Instagram pour découvrir toutes nos actualités. Et surtout, d'ici là, n'oubliez pas de vous émerveiller du quotidien. -- Le podcast Chroniques de l'infra-ordinaire est réalisé par Claire Campi et Hugo Betelu. Musique : Robin Betelu