Podcasts about autre

  • 2,154PODCASTS
  • 6,721EPISODES
  • 25mAVG DURATION
  • 1DAILY NEW EPISODE
  • Jun 19, 2025LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024

Categories



Best podcasts about autre

Show all podcasts related to autre

Latest podcast episodes about autre

Théâtre
"Tu, mio" de Erri de Luca 4/5 : Un autre visage

Théâtre

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 19:17


durée : 00:19:17 - Lectures du soir - "Là, j'étais dans les nuits communes des innombrables étés de la terre, j'étais du même âge que la planète, un de son espèce insomnieuse. "

Invité Afrique
Espaces aériens en Afrique: «les relations sont telles que les voyages vont être complètement réduits»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 8:45


C'est un nouveau phénomène. En Afrique, de plus en plus de pays se livrent à une « guerre » de leurs espaces aériens. Dernier exemple en date : en avril dernier, le Mali et l'Algérie, réciproquement, se sont fermés leurs espaces aériens. Le Niger a fait de même contre la France. Et la République démocratique du Congo a pris la même mesure contre le Rwanda. Quelles conséquences pour les compagnies aériennes et pour les passagers ? Ibra Wane est le directeur, pour l'Afrique, du courtier aérien français Avico, qui est spécialisé dans la location d'avions et de moteurs d'avion. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Depuis la dernière crise entre le Mali et l'Algérie en avril dernier, les deux pays se sont mutuellement fermé leurs espaces aériens. Et concrètement, les avions Paris-Abidjan, par exemple, ne peuvent plus survoler le Mali s'ils sont passés au-dessus de l'Algérie : ils doivent donc faire un grand détour par le Maroc et le Sénégal à l'ouest. Quelles conséquences pour les passagers ? Ibra Wane : La première conséquence, c'est d'abord pour les compagnies aériennes elles-mêmes, parce que ça allonge beaucoup le temps de vol. Ça peut aller jusqu'à même 50 minutes de temps de vol supplémentaire, ce qui renchérit donc le coût du carburant, le coût d'exploitation global de la compagnie. Et comme vous le savez, le poste de carburant est le premier poste de coûts directs pour une compagnie aérienne. Imaginez donc un allongement du temps de vol de 50 minutes, ce que ça peut être comme coûts supplémentaires. Est-ce que, du coup, les passagers de Corsair, de SN Brussels, de British Airways ou d'Air France payent plus cher leur billet depuis le mois d'avril ? Non, je ne pourrais pas dire que ces passagers payent plus cher les billets, parce que les compagnies aériennes ont chacune une politique commerciale différente. Je ne suis pas certain que toutes les compagnies aient répercuté le surcoût sur les billets des passagers. Mais il est clair qu'un surenchérissement des coûts qui perdure, cela mènera forcément à une augmentation des tarifs à long terme. Et ces 50 minutes de vol supplémentaires représentent quelle surconsommation de kérosène ? Cela représente à peu près jusqu'à un sixième ou un septième de surconsommation de kérosène pour tout le vol. Si vous avez un vol Paris-Abidjan par exemple, qui fait six heures et que vous augmentez 50 minutes de vol, c'est presque une heure de vol de plus. Vous voyez, vous avez augmenté à peu près un sixième de vos coûts de carburant et c'est énorme. Alors, on dit beaucoup qu'Air France est la compagnie internationale la plus impactée par tous ces événements. Mais est-ce que la compagnie Air Algérie n'est pas aussi touchée ? Elle l'est forcément, notamment en ce qui concerne le Mali. Je m'explique. Un avion qui survole l'Algérie n'a pas le droit de survoler le Mali et vice versa. Bien entendu, si les vols d'Air Algérie vers l'Afrique passaient par le Mali, tous ces vols-là sont complètement impactés. Absolument. Autre événement politique qui impacte le transport aérien, le putsch de juillet 2023 au Niger. Depuis cette date, les avions français n'ont plus le droit de survoler ce pays qui représente un cinquième de la superficie totale de l'Afrique de l'Ouest et qui est au carrefour de plusieurs couloirs aériens. Quelles conséquences pour Air France ? Vous savez, selon la convention de Chicago, chaque État a la souveraineté complète et exclusive sur l'espace aérien au-dessus de son territoire. C'est ce qui s'est passé avec le Niger. C'est une affaire bilatérale entre le Niger et la France. La conséquence immédiate, c'est qu'aucun avion français ne peut survoler le territoire nigérien. Il faut donc passer par l'est ou par l'ouest pour pouvoir rallier des territoires au sud du Niger, sur le continent africain. Et quand on regarde une carte de l'Afrique, on voit que, pour aller par exemple de Paris à Douala ou de Paris à Kinshasa, il faut survoler le Niger, sinon il faut faire un énorme détour ? Il faut faire un énorme détour, en effet. Absolument. Autre évènement politique : la conquête de Goma par les rebelles du M23 et l'armée rwandaise. Depuis ce mois de février, la République démocratique du Congo interdit le survol de son territoire aux avions rwandais. Est-ce que la compagnie RwandAir est impactée par cette mesure ? Ah oui, elle est forcément impactée. De toute façon, le territoire de la RDC, comme vous le savez, est tellement vaste par rapport au Rwanda que la plupart des vols vers l'ouest du Rwanda devaient passer par ce territoire-là. C'est vrai que cette compagnie est totalement impactée, en effet. L'un des faits majeurs de ces deux dernières années, c'est donc la fermeture de l'espace aérien du Niger à tous les avions français. Est-ce que cette mesure très restrictive profite à d'autres compagnies ? Je ne crois pas. Quand il y a une restriction, cela ne profite à personne, ni au pays qui a restreint, ni aux compagnies. Donc, nous espérons, nous, dans notre profession, que cette affaire connaîtra un épilogue favorable dans les meilleurs délais, aussi bien en ce qui concerne le Mali et l'Algérie que le Niger, parce que cela ne profite pas du tout à l'activité. C'est une crise. Ça renchérit les coûts aussi bien pour les compagnies aériennes que pour les populations et que pour les passagers. Donc cela n'a aucun bénéfice pour personne. Mais maintenant qu'Air France et Corsair ne peuvent plus atterrir à Niamey, à Agadez ou à Zinder, il y a nécessairement d'autres compagnies qui en profitent ? Je ne crois pas. D'abord, Corsair n'y allait pas, de toute façon. C'est Air France qui allait à Niamey, tout simplement. Et de toute façon, il ne faut pas oublier que cette affaire du Niger avec la France s'accompagne aussi d'une restriction des voyages eux-mêmes, parce que les problèmes de visas se posent aussi. Je crois que les relations sont telles que les voyages vont être complètement réduits. Oui, le flux des passagers a diminué sur les vols à destination du Sahel, c'est ça ? C'est ça. Absolument.

Les Grandes Gueules
L'incompréhension du jour - Joëlle Dago-Serry : "C'est devenu assez simple maintenant d'aller taper sur un autre pays. Où sont les organisations internationales mises en place pour pacifier le monde ? Je suis sur la position du pré

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 1:11


Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Invité Afrique
«Les années Biya»: l'écrivain camerounais Haman Mana décrypte le parcours présidentiel de Paul Biya

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 7:57


Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.  RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle

Les chroniques de Pierre-Yves McSween
La défense remplace désormais la filière batterie dans les priorités de Legault

Les chroniques de Pierre-Yves McSween

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 8:55


Lors du Salon aéronautique du Bourget à Paris, François Legault a annoncé que la défense remplace désormais la filière batterie dans son top 3 des priorités. Airbus a d'ailleurs vendu 40 avions A220 qui seront construits à Mirabel. Ce contrat est d'une valeur de près 4 milliards de dollars. C'est un transporteur polonais qui a acheté les avions d'Airbus. Autre sujet abordé Deux marques américaines emblématiques qui ont perdu des plumes ces dernières années tentent de remonter la pente: GAP et Starbucks. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Radio foot internationale
La Coupe du monde des clubs est lancée

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 48:30


Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Il est question ce lundi de Coupe du monde des clubs : - Groupe B : les vainqueurs de la C1 sur leur lancée ; - Groupe A, le Bayern a déroulé face aux amateurs néo-zélandais d'Auckland à Cincinnati. ; - Groupe C : duel attendu entre Boca Juniors et Benfica à Miami. ; - Groupe D : belle affiche en perspective entre Flamengo et l'Éspérance Tunis. Groupe B : les vainqueurs de la C1 sur leur lancée. 2 semaines après Munich, la détermination et la forme du PSG semblent intactes. 7 mois après la défaite face à l'Atlético en Ligue des Champions, les Rouge et Bleu ont pris leur revanche sur les Colchoneros au Rose Bowl de Pasadena. 2 buts inscrits à la mi-temps, Luis Enrique a pu ensuite faire souffler ses cadres. L'exclusion de Clément Lenglet à 12 minutes de la fin n'a pas aidé l'Atlético, qui a cru revenir à 2-1 avant que le but de Julian Alvarez ne soit annulé par la VAR. Senny Mayulu et Kang In Lee ont enfoncé le clou, score final 4-0. Luis Enrique affiche-t-il ses ambitions ? On attendait mieux des Rojiblancos qui ont déçu. - Une poule où les Brésiliens de Botafogo ont dominé les Sounders dans leur stade de Seattle (2-1). Les Vert et Bleu seront opposés aux Madrilènes tandis que les Cariocas affronteront les Parisiens au prochain tour.   Groupe A : le Bayern a déroulé face aux amateurs néo-zélandais d'Auckland à Cincinnati. (10-0) Trois doublés et un triplé de Jamal Musiala, de retour après un pépin musculaire. Différence de niveau abyssal, les limites de cette nouvelle compétition ? Groupe A : Palmeiras affrontait Porto dans la banlieue de New York. Paulistes et Dragons n'ont pu se départager (0-0).   Groupe C : duel attendu entre Boca Juniors et Benfica à Miami. Match qui promet entre un des clubs mythiques d'Amérique du Sud et des Aigles qui comptent se rabattre sur cette Coupe du monde, après une saison décevante au Portugal.   Groupe D : belle affiche en perspective entre Flamengo et l'Éspérance Tunis. Les vainqueurs de la Copa Libertadores 2022 face aux finalistes de la C1 de la CAF l'an passé. Autre formation africaine en compétition, Al Ahly disputait le match d'ouverture du tournoi face à l'Inter Miami qui évoluait dans son stade. La formation de Lionel Messi et celle du portier vétéran El-Shenawi ont fait match nul 0-0.   Avec Hugo Moissonnier : Patrick Juillard, Éric Rabesandratana et David Lortholary. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.

Radio Foot Internationale
La Coupe du monde des clubs est lancée

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 48:30


Radio Foot 16h10-21h10 T.U. Il est question ce lundi de Coupe du monde des clubs : - Groupe B : les vainqueurs de la C1 sur leur lancée ; - Groupe A, le Bayern a déroulé face aux amateurs néo-zélandais d'Auckland à Cincinnati. ; - Groupe C : duel attendu entre Boca Juniors et Benfica à Miami. ; - Groupe D : belle affiche en perspective entre Flamengo et l'Éspérance Tunis. Groupe B : les vainqueurs de la C1 sur leur lancée. 2 semaines après Munich, la détermination et la forme du PSG semblent intactes. 7 mois après la défaite face à l'Atlético en Ligue des Champions, les Rouge et Bleu ont pris leur revanche sur les Colchoneros au Rose Bowl de Pasadena. 2 buts inscrits à la mi-temps, Luis Enrique a pu ensuite faire souffler ses cadres. L'exclusion de Clément Lenglet à 12 minutes de la fin n'a pas aidé l'Atlético, qui a cru revenir à 2-1 avant que le but de Julian Alvarez ne soit annulé par la VAR. Senny Mayulu et Kang In Lee ont enfoncé le clou, score final 4-0. Luis Enrique affiche-t-il ses ambitions ? On attendait mieux des Rojiblancos qui ont déçu. - Une poule où les Brésiliens de Botafogo ont dominé les Sounders dans leur stade de Seattle (2-1). Les Vert et Bleu seront opposés aux Madrilènes tandis que les Cariocas affronteront les Parisiens au prochain tour.   Groupe A : le Bayern a déroulé face aux amateurs néo-zélandais d'Auckland à Cincinnati. (10-0) Trois doublés et un triplé de Jamal Musiala, de retour après un pépin musculaire. Différence de niveau abyssal, les limites de cette nouvelle compétition ? Groupe A : Palmeiras affrontait Porto dans la banlieue de New York. Paulistes et Dragons n'ont pu se départager (0-0).   Groupe C : duel attendu entre Boca Juniors et Benfica à Miami. Match qui promet entre un des clubs mythiques d'Amérique du Sud et des Aigles qui comptent se rabattre sur cette Coupe du monde, après une saison décevante au Portugal.   Groupe D : belle affiche en perspective entre Flamengo et l'Éspérance Tunis. Les vainqueurs de la Copa Libertadores 2022 face aux finalistes de la C1 de la CAF l'an passé. Autre formation africaine en compétition, Al Ahly disputait le match d'ouverture du tournoi face à l'Inter Miami qui évoluait dans son stade. La formation de Lionel Messi et celle du portier vétéran El-Shenawi ont fait match nul 0-0.   Avec Hugo Moissonnier : Patrick Juillard, Éric Rabesandratana et David Lortholary. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.

Parlons-Nous
Amour : Mariée, Lise a eu un coup de foudre pour un autre homme

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 27:54


REDIFF - Mariée depuis de nombreuses années et ayant une vie paisible, Lise ne s'imaginait pas tomber amoureuse d'un autre homme. Le sachant fraîchement célibataire, elle s'imagine vivre une histoire avec lui. Mais elle ne s'imagine pas non plus quitter son mari. Sexualité, infidélités, coups de foudre, difficultés dans le couple... Au micro de Caroline Dublanche, les auditeurs confient leur vie amoureuse. RTL vous propose désormais de redécouvrir, tous les matins, un cas marquant ! Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Potentiel : le podcast n°1 pour les atypiques
10 points pour bien choisir ses amis

Potentiel : le podcast n°1 pour les atypiques

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 35:04


L'amitié : un trésor ou un piège ? 10 points pour bien choisir ses amisPourquoi restons-nous parfois dans des amitiés qui nous font plus de mal que de bien ? Est-ce la peur de la solitude qui nous pousse à choisir les mauvaises personnes ? Et si s'aimer soi-même était la clé pour attirer des relations qui nous élèvent ? Dans cet épisode, on explore le cercle vicieux de la solitude et de la dépendance affective, avec des données scientifiques et 10 clés concrètes pour choisir des amis qui vous font rayonner. Parce que, oui, mieux vaut être seul·e que mal accompagné·e – même si c'est plus facile à dire qu'à faire ! Ref scientifiques :Elaine N. Aron "Sensory Processing Sensitivity" (2002, The Highly Sensitive Child) sous-tend les profils hypersensibles mentionnés dans l'épisode.Julianne Holt-Lunstad Méta-analyse de 2010 montrant que l'isolement social est un facteur de risque aussi grave que le tabagisme pour la santé mentale et physique.Holt-Lunstad, J., et al. (2010). Social Relationships and Mortality Risk: A Meta-analytic Review. PLoS Medicine.DeWall, C. N., et al. (2022). The Social Pain of Toxic Relationships. Journal of Social and Personal Relationships(note : attribution simplifiée, car la revue peut inclure plusieurs auteurs).Dunbar, R. I. M. (2023). The Anatomy of Friendship. Trends in Cognitive Sciences.Leary, M. R., et al. (2024). Self-Esteem and Social Connection. Personality and Social Psychology Bulletin______________________________________

Le journal France Bleu Maine
Le Secours Populaire sarthois veut montrer "un autre visage" du bénévolat

Le journal France Bleu Maine

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 5:59


durée : 00:05:59 - Portes ouvertes, virée en voitures anciennes : pour son 80e anniversaire, le Secours populaire propose des animations partout en Sarthe - Pour fêter ses 80 ans, le Secours populaire organise de nombreuses animations en Sarthe à partir de mercredi. Des braderies, des après-midi jeux, des randonnées vont avoir lieu. "Il faut donner une autre image du bénévolat" explique le directeur général, invité de ICI Maine ce lundi.

Laissez-vous Tenter
L'ÉMISSION - Rencontres avec Baptiste Lecaplain et Sylvain Tesson

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 32:46


L'humoriste et acteur Baptiste Lecaplain porte la comédie très réussie "Avignon", qui sort mercredi en salles. Il est notre invité en tête-à-tête au micro de Stéphane Boudsocq. Autre rencontre signée Antoine Leiris avec le dernier écrivain voyageur, Sylvain Tesson, pour son roman "Les piliers de la mer". Alain Souchon et ses fils nous régalent sur scène dans une tournée sans fin. Marie Gicquel les a réunis. L'édito télé de Isabelle Morini-Bosc : coup de chapeau aux cascadeurs. Dans la playlist, hommage à Brian Wilson et aux Beach Boys. Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 15 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Sous-sol et dragons
Donjons et dragons - ÉPISODE 99 - Échos d'un autre passé

Sous-sol et dragons

Play Episode Listen Later Jun 15, 2025 93:54


La campagne de Sous-sol et dragons propose des aventures improvisées en format actual play jdr. Dans un univers narratif utilisant le système donjons et dragons , les acteurs et actrices plongent dans un monde original créé de toutes pièces par leur MJ. Sous-sol et dragons est un balado québécois produit en français et destiné à un public averti. RÉSUMÉ: Les Affranchis d'Alcar traverse un nouveau portail.ENCOURAGEZ-NOUS SUR PATREON: https://www.patreon.com/soussoletdragons

NBA Extra
L'arbitrage des Finals est-il irréprochable ?

NBA Extra

Play Episode Listen Later Jun 14, 2025 2:49


L'arbitrage des Finals commence-t-il à peser sur l'issue des matchs ? Depuis le début de la série, les décisions arbitrales sont scrutées à la loupe, mais le Game 4 a fait monter la tension d'un cran. Beaucoup s'interrogent sur les fautes offensives possiblement non sifflées à l'encontre de Shai Gilgeous-Alexander, notamment sur l'usage de son bras dans ses drives. Fautes logiques ou traitement particulier réservé au MVP ? Autre point de crispation : la première faute antisportive de la série enfin sifflée… alors qu'une action similaire sur Alex Caruso dans le Game 3 avait été ignorée. Entre ralentis, challenge et appels controversés, l'arbitrage semble prendre une place de plus en plus centrale dans ces Finals.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Radio foot internationale
Le Café des Sports

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 48:30


Au sommaire du Café des Sports – Vendredi 13 juin 2025 - Direct à 18h10 TU (rediffusion à 21h10 TU). Sur RFI, France 24, Facebook Live, YouTube : - Mondial des clubs : Ça démarre fort ! ; - Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples. ; - Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? Mondial des clubs : Ça démarre fort ! - Focus sur le lancement historique de cette première édition XXL aux États‑Unis ! - Analyse du premier choc : Inter Miami (Messi) vs Al‑Ahly Le Caire samedi soir à Miami - Débat : la compétition sera-t-elle inégale entre superpuissances européennes et outsiders à moins que... ? - Autre enjeu : quel impact sur le Ballon d'or à venir ?   Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples - Retour sur ce transfert surprise de l'été : De Bruyne quitte Manchester City pour Naples à 33 ans. - Débat : coup gagnant pour Naples ?   Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? - Votre sélection des moments forts en vidéo cette semaine. - Cartons : rouges pour les frasques, jaunes pour les avertissements, verts pour les gestes remarquables. - Échanges avec auditeurs et consultants sur les images marquantes de l'actu foot ! Autour d'Annie Gasnier et Frédéric Suteau : Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara -- Chef d'édition : David Fintzel -- TCR : Laurent Salerno -- Réalisation vidéo : Souheil Khedir, Yann Bourdelas -- Réalisation audio : Alice Mesnard.

Radio Foot Internationale
Le Café des Sports

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 48:30


Au sommaire du Café des Sports – Vendredi 13 juin 2025 - Direct à 18h10 TU (rediffusion à 21h10 TU). Sur RFI, France 24, Facebook Live, YouTube : - Mondial des clubs : Ça démarre fort ! ; - Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples. ; - Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? Mondial des clubs : Ça démarre fort ! - Focus sur le lancement historique de cette première édition XXL aux États‑Unis ! - Analyse du premier choc : Inter Miami (Messi) vs Al‑Ahly Le Caire samedi soir à Miami - Débat : la compétition sera-t-elle inégale entre superpuissances européennes et outsiders à moins que... ? - Autre enjeu : quel impact sur le Ballon d'or à venir ?   Kevin De Bruyne en partance : cap sur Naples - Retour sur ce transfert surprise de l'été : De Bruyne quitte Manchester City pour Naples à 33 ans. - Débat : coup gagnant pour Naples ?   Cartons Vidéo : applaudissements ou avertissements ? - Votre sélection des moments forts en vidéo cette semaine. - Cartons : rouges pour les frasques, jaunes pour les avertissements, verts pour les gestes remarquables. - Échanges avec auditeurs et consultants sur les images marquantes de l'actu foot ! Autour d'Annie Gasnier et Frédéric Suteau : Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara -- Chef d'édition : David Fintzel -- TCR : Laurent Salerno -- Réalisation vidéo : Souheil Khedir, Yann Bourdelas -- Réalisation audio : Alice Mesnard.

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Pourquoi le marché du livre d'occcasion est-il en plein boom ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 1:57


Le marché du livre d'occasion en France est en pleine transformation. Longtemps réservé aux bouquinistes et aux étals des brocantes, il connaît aujourd'hui un véritable essor, porté par l'évolution des pratiques de consommation et le développement du numérique.En quelques années, les chiffres ont parlé : près de 20 % des livres vendus en France le sont désormais en occasion. Cela représente environ 80 millions d'exemplaires par an. Une dynamique impressionnante, puisque le nombre d'acheteurs de livres d'occasion a bondi de 43 % en dix ans. Et cette tendance s'accélère encore. Sur les cinq dernières années, le volume de ventes a progressé de 38 %.Pourquoi cet engouement ? Pour l'immense majorité des lecteurs, c'est d'abord une question de prix. Un livre d'occasion coûte en moyenne autour de 4 euros, soit plus de 60 % de moins que son équivalent neuf. À l'heure où le pouvoir d'achat reste une préoccupation majeure, cette alternative séduit. Mais le prix n'est pas le seul moteur. Environ un tiers des acheteurs mentionnent aussi des motivations écologiques. Offrir une seconde vie aux livres s'inscrit dans une logique d'économie circulaire qui séduit un public de plus en plus sensible à ces questions.Autre évolution majeure : la manière de se procurer ces ouvrages. Si les bouquinistes et libraires spécialisés continuent de jouer un rôle, plus de la moitié des ventes se font désormais en ligne. Plateformes comme Rakuten, Amazon, Momox, Le Bon Coin ou encore Recyclivre permettent aux lecteurs de trouver des milliers de références en quelques clics, y compris des titres épuisés ou rares.Le phénomène ne se limite pas à un genre ou un type de lecteur. Tous les segments du livre sont concernés : un roman contemporain sur quatre et un roman policier sur deux seraient aujourd'hui achetés en occasion. De nombreux lecteurs combinent d'ailleurs les deux marchés, alternant achats neufs et d'occasion selon leurs besoins.Cependant, cet essor suscite aussi des interrogations. Certains éditeurs et auteurs s'inquiètent de la "cannibalisation" possible du marché du neuf, dont dépend directement leur rémunération. Une proposition de taxe sur la revente de livres d'occasion a même été évoquée, avant d'être écartée face aux critiques.Quoi qu'il en soit, le livre d'occasion s'impose désormais comme un acteur incontournable du paysage culturel français. Plus accessible, plus écologique, il répond aux nouvelles attentes des lecteurs. Reste à trouver un équilibre pour qu'il profite à toute la chaîne du livre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Revue de presse internationale
À la Une: les frappes israéliennes contre l'Iran

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 3:53


L'attaque israélienne fait la Une d'une grande partie de la presse internationale, à commencer par la presse israélienne. « Après des années de préparation », titre le Times of Israel, « l'État hébreu lance une offensive majeure contre l'Iran et son programme nucléaire ». « Des dizaines d'avions israéliens ont frappé des cibles à travers l'Iran, dans la nuit de jeudi à vendredi, y compris des sites nucléaires », explique de son côté Haaretz, selon lequel « des sirènes ont retenti partout en Israël » par crainte de représailles. Représailles qui ont d'ores et déjà commencé car, selon le Times of Israel, l'Iran a lancé « plus de cent drones vers Israël au cours de ces dernières heures ». L'Agence de presse iranienne IRNA, fait d'ailleurs savoir, ce matin, « qu'un plan est en cours d'élaboration pour une réponse ferme aux récentes attaques du régime sioniste ». IRNA cite également le guide suprême, l'ayatollah Khamenei, selon lequel Israël doit s'attendre à « une punition sévère ». L'ayatollah Khamenei reconnaît par ailleurs que « des commandants et des scientifiques ont été tués dans l'attaque israélienne ». À lire aussi[EN DIRECT] Frappes israéliennes contre l'Iran: Téhéran réplique par une attaque de drones 200 avions de combat Et la presse américaine donne des précisions sur l'identité des responsables iraniens tués dans cette attaque. Le New York Times estime ainsi « qu'Israël a anéanti la chaîne de commandement militaire iranienne ». Le Washington Post annonce que « le chef des Gardiens de la Révolution, le général Hossein Salami, a été tué ». Le Wall Street Journal publie de son côté une vidéo de Téhéran, dans la nuit, qu'illuminent des explosions et cite un porte-parole israélien selon lequel « Israël a envoyé plus de 200 avions de combat en Iran et a largué plus de 330 types de munitions ». Le ​​​​​​​Wall Street Journal rappelle également le contexte de cette attaque, « qui intervient quelques jours avant que l'envoyé spécial américain Steve Witkoff ne rencontre ses homologues iraniens pour un sixième cycle de négociations sur le nucléaire ». Les États-Unis qui ont tenu à faire savoir, via le secrétaire d'État Marco Rubio, « qu'ils n'étaient pas impliqués dans les frappes iraniennes, mettant en garde l'Iran contre une attaque des forces américaines ». Affirmation qui n'aura pas convaincu l'Iran. Selon l'agence de presse ​​​​​​​IRNA, le ministère iranien des Affaires étrangères, a déclaré que les attaques israéliennes n'auraient « pu avoir lieu sans la coordination et l'autorisation des États-Unis ». « La promesse de Donald Trump, de "faire la paix" est fortement mise à mal par les frappes israéliennes ​​​​​​​contre l'Iran », constate de son côté le Japan Times, qui parle même d'un « affront » et cite un ancien conseiller de Barack Obama selon lequel « la diplomatie trumpienne est l'une des premières victimes de ces attaques ».  À écouter aussiFrappes israéliennes contre l'Iran: «Israël impose son tempo à la région» Nouvel embrasement En Europe, l'heure est également aux premières constatations. En Espagne, ​​​​​​​El Païs publie la photo d'un pompier, casque blanc sur la tête, au pied d'un immeuble dont certains étages sont éventrés. Autre photo, publiée cette fois par ​​​​​​​Die Welt, celle d'un petit groupe d'habitants constatant les dégâts près d'un immeuble effondré. Selon le quotidien allemand, Israël aurait informé les États-Unis « qu'il considérait ces attaques comme indispensables à sa légitime défense ». En Belgique, ​​​​​​​Le Soir rappelle que « l'amer contentieux entre Israël et l'Iran ne date pas d'hier ». Après plusieurs périodes de calme, voire d'entente, les Israéliens ont estimé que « la menace n'était pas qu'un leurre, depuis que l'Iran a annoncé, en 1998, avoir testé pour la première fois […] ​​​​​​​un missile capable d'atteindre Israël. » Enfin, en France, ​​​​​​​Le Parisien rappelle que l'opération israélienne n'est pas terminée et « qu'elle durera aussi longtemps que nécessaire », selon les propos tenus par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu. ​​​​​​​Libération, de son côté, estime que « cette attaque massive et inédite rapproche un peu plus le Moyen-Orient d'un nouvel embrasement ». 

L'essentiel de Paul Arcand
Frappes israéliennes en Iran: «Nous avons le potentiel d'une autre guerre régionale»

L'essentiel de Paul Arcand

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 20:06


À l'occasion de sa revue de presse, vendredi, Paul Arcand fait le point sur l'attaque d'Israël contre l’Iran visant à neutraliser son potentiel nucléaire. «Israël affirme que la menace d'une attaque était imminente, c'est pour ça qu'on a lancé cette opération. L'Iran a répondu, quelques heures plus tard, en envoyant une centaine de drones qui ont été, pour la plupart, neutralisés. Nous avons donc le potentiel d'une autre guerre régionale. [...] Les images qu'on a pu voir notamment sur les réseaux sociaux montrent des immeubles touchés. On voit les flammes, on entend les explosions, il y a des morts et des blessés...» Autres sujets abordés SAAQclic: on a caché au ministre l’ampleur des dépassements de coûts; Opération antimafia: le clan Rizzuto est ébranlé; Et c’est le week-end du Grand Prix. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Européen de la semaine
Groenland: Jens-Frederik Nielsen, un jeune Premier ministre face aux appétits de Donald Trump

Européen de la semaine

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 4:24


Emmanuel Macron se rend en visite officielle au Groenland ce dimanche. Ce territoire autonome du Danemark est convoité par Donald Trump qui a répété qu'il voulait s'en emparer. Le président français annonce s'y rendre pour éviter toute « prédation » et toute « menace » et pour « être en solidarité avec le Premier ministre groenlandais », Jens-Frederik Nielsen. Celui-ci, arrivé au pouvoir en mars, doit veiller à maintenir l'unité de l'île face aux pressions extérieures. Avant de conduire son parti Demokraatit à la victoire, en mars, Jens-Frederik Nielsen était déjà, à maintes reprises, monté sur la première marche du podium, mais dans une tout autre catégorie. Avant de devenir chef de gouvernement, il était surtout connu des Groenlandais pour ses performances au badminton. Membre de l'équipe nationale, il a remporté le championnat à plusieurs reprises. « C'est un très bon joueur. Il est très talentueux en sport. Il est très bon au handball, très bon au foot », raconte son ami d'enfance Hans Brummerstedt, qui a, lui aussi, pratiqué le badminton dans le même club. Pour le jeune homme, qui vit depuis six ans au Danemark et qui s'excuse par avance pour son impartialité, « Jens-Frederik Nielsen est la meilleure personne pour diriger le Groenland aujourd'hui », louant ses qualités de « concentration » et de « persévérance ». Le jeune dirigeant aux yeux rieurs pratique aussi la chasse aux rennes et aime se promener dans la nature en famille. Il élève trois enfants avec sa compagne à Nuuk, la capitale. Il joue aussi du soft rock sur sa guitare lors d'événements de son parti. « Il est très charmant, affable. Il est peut-être jeune, mais il a eu l'expérience d'un rôle ministériel important dans un passé récent », affirme Dwayne Ryan Menezes, directeur du groupe de réflexion britannique Polar Research and Policy Initiative. Le Groenland n'est pas à vendre  Avant d'accéder au poste de chef du gouvernement, Jens-Frederik Nielsen a été ministre du Travail et des Ressources minérales à 28 ans. Un an plus tard, il prenait les rênes du parti social libéral Demokraatit. Son ascension politique a été rapide. Étudiant en sciences sociales, il est repéré par la cheffe du parti de l'époque, Nivi Olsen, séduite par ses écrits sur les réseaux sociaux, comme elle l'a raconté sur le site de KNR, la radio publique nationale du Groenland. Lorsqu'elle est nommée ministre, elle en fait son secrétaire. Il n'a alors que 22 ans. À moins de 30 ans, il accède à la tête du parti social libéral, arrivé premier des élections législatives en mars. À seulement 33 ans, il est le plus jeune Premier ministre du monde, avec de nombreux dossiers à traiter, dont le plus sensible : le statut de l'île, territoire danois autonome de quelque 57 000 habitants, convoité par Donald Trump. « We need Greenland » (« Nous avons besoin du Groenland »), répète à l'envi le président américain. Face à ces velléités, Jens-Frederik Nielsen affiche la fermeté : « le Groenland ne fera jamais partie des États-Unis, nous ne serons jamais à vendre et nous ne serons jamais Américains. Nous ne voulons pas non plus être Danois à l'avenir, nous voulons être indépendants, mais pour l'instant, nous faisons partie du Royaume du Danemark et c'est ainsi ».  Si l'indépendance du Groenland est l'objectif final pour tous les partis politiques du territoire, les moyens d'y parvenir et le calendrier différent. Personne n'envisage sérieusement un rattachement aux États-Unis. Le parti Demokraatit est favorable à une indépendance, à terme, du Groenland, qui possède un statut d'autonomie renforcée au sein du Royaume du Danemark. « Jens-Frederik Nielsen a opéré un changement en pivotant vers le Danemark et l'Europe », souligne le Dr Dwayne Ryan Menezes. « Le gouvernement précédent ne ressentait pas tellement le besoin de discuter des relations entre le Groenland et le Danemark. En l'absence de l'éléphant américain dans la pièce, les problèmes essentiels étaient les griefs du Groenland à l'égard du Danemark. Et soyons honnêtes, ils étaient légitimes. Mais avec le gouvernement Nielsen, il y a eu un renforcement des liens avec le Danemark. Parce que, sur fond de menace Trump, il prend conscience que le statu quo n'est peut-être pas si terrible que cela », complète le spécialiste. C'est d'ailleurs aux côtés de la Première ministre danois Mette Frederiksen que Jens-Frederik Nielsen accueillera Emmanuel Macron dimanche. Large gouvernement de coalition Face aux provocations américaines, le Premier ministre groenlandais a formé un large gouvernement de coalition, sans précédent dans l'ile arctique, composé de quatre des cinq partis élus, en plus de Demokratit, Siumut, IA et Atassut. Seuls les ultranationalistes de Naleraq n'en sont pas. Dans l'accord signé le 28 mars 2025, plusieurs priorités ont été définies, parmi lesquelles, la nécessité de stimuler le secteur privé et d'assainir les finances publiques pour aboutir à une réduction de la dépendance aux subventions danoises. Autre objectif : développer une coopération pragmatique et plus équitable avec le Danemark, tout en se préparant à une gouvernance future indépendante. Enfin, les membres de la coalition ont promis de maintenir une position collective pour répondre à la pression américaine et d'afficher un front uni pour protéger la souveraineté groenlandaise. « La menace extérieure posée par Donald Trump a permis aux quatre partis qui étaient traditionnellement opposés l'un à l'autre et occasionnellement en coalition l'un avec l'autre, de s'unir dans une coalition unique », analyse Dwayne Ryan Menezes, tout en prévenant : « c'est une chose de parvenir à former une coalition, mais la maintenir, c'en est une autre ». À lire aussiAu Groenland, le débat sur l'indépendance relancé par l'offensive de Donald Trump

D'un autre angle
D'un autre angle

D'un autre angle

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025


Épisode du 2025-06-13

RTL Matin
BÉTHARRAM - Le directeur de l'établissement muté dans un autre établissement contre l'avis des parents-d'élèves

RTL Matin

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 1:30


Ecoutez RTL Matin avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 12 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Choses à Savoir SANTE
Ejaculer souvent permet-il de prévenir le cancer de la prostate ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 1:49


Depuis plusieurs années, une question intrigue les chercheurs comme le grand public : le fait d'éjaculer fréquemment aurait-il un effet protecteur contre le cancer de la prostate, l'un des cancers les plus fréquents chez l'homme ? Une vaste étude américaine semble répondre par l'affirmative, mais une méta-analyse chinoise récente invite à la prudence.La plus vaste étude prospective sur le sujet a été menée par la Harvard School of Public Health, aux États-Unis. Publiée en 2016 dans la revue European Urology, cette étude a suivi plus de 31 000 hommes pendant 18 ans. Ses résultats ont marqué les esprits : les hommes qui déclaraient avoir au moins 21 éjaculations par mois présentaient un risque de cancer de la prostate réduit de 20 % par rapport à ceux qui éjaculaient 4 à 7 fois par mois. Cette association a été observée tant chez les hommes jeunes (dans la trentaine) que chez les plus âgés (dans la cinquantaine). L'hypothèse avancée est que l'éjaculation régulière permettrait d'évacuer des substances potentiellement cancérigènes accumulées dans la prostate.Mais ces résultats ne font pas l'unanimité. Une méta-analyse chinoise publiée en 2022, regroupant 22 études et plus de 55 000 participants, a réexaminé l'ensemble des données disponibles. Ses conclusions sont plus nuancées : si certaines études individuelles montrent un lien entre fréquence éjaculatoire et réduction du risque, l'ensemble des données ne permet pas de confirmer de façon catégorique une relation de cause à effet. Selon cette méta-analyse, l'effet protecteur supposé pourrait être influencé par des biais liés au mode de vie : les hommes ayant une vie sexuelle active sont souvent en meilleure santé globale, plus actifs physiquement et adoptent parfois de meilleures habitudes alimentaires.Autre limite : la plupart des études reposent sur des déclarations subjectives concernant la fréquence des éjaculations, ce qui peut introduire un biais de mémoire ou de désirabilité sociale.En conclusion, éjaculer fréquemment pourrait jouer un rôle bénéfique, mais ce n'est pas une garantie de protection contre le cancer de la prostate. Les données de Harvard sont encourageantes, mais elles doivent être interprétées avec prudence à la lumière de la méta-analyse chinoise. Pour réellement réduire le risque, il est essentiel d'adopter une hygiène de vie globale saine : alimentation équilibrée, activité physique régulière, limitation de l'alcool et du tabac, et suivi médical adapté après 50 ans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Estelle Midi
La colère du jour – Juliette Briens, chroniqueuse : "Vous à part taxer tout, augmenter le prix, vous n'avez aucune autre solution" - 11/06

Estelle Midi

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 2:52


Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Daniel Riolo, journaliste RMC. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.

Monde Numérique - Jérôme Colombain

Pour la deuxième fois de son histoire, Apple change le design des interfaces de ses produits. Lors de la WWDC 2025, la marque à la pomme a dévoilé un tout nouveau design baptisé Liquid Glass, qui s'imposera dès l'automne prochain sur tous les appareils de l'écosystème : iPhone, iPad, Mac, Apple Watch et même Vision Pro. Une refonte esthétique majeure qui marque la fin d'une époque.Bye-bye le flat design, que l'on connaît depuis 2013. Hello Liquid design ! A la rentrée prochaine, les appareils Apple auront un nouveau style quand on les allumera, avec des icones minimalistes semblant être posées sur une plaque de verre. Plus élégant, plus sobre, plus pratique ? Le design a toujours été important chez Apple. Liquid design uniformisera aussi encore plus tous les appareils de la marque. Autre nouveauté notable : Apple abandonne la numérotation confuse de ses systèmes d'exploitation. Place à des versions millésimées (ex. iOS 26, macOS 26 Tahoe) pour plus de lisibilité.Mais derrière ce vernis translucide, Apple peine à cacher un certain essoufflement. Peu d'annonces véritablement marquantes, si ce n'est quelques nouvelles fonctionnalités liées à Apple Intelligence, comme le tri intelligent des appels téléphonique, la traduction en temps réel dans les apps de communication ou encore l'intégration d'un framework IA pour les développeurs, etc.Enfin, quelques fonctionnalités pratiques ont été présentées, notamment :Un nouveau multitâche plus souple sur iPadUne recherche Spotlight améliorée sur MacDes options de jeu vidéo enrichies sur toutes les plateformesDes outils collaboratifs dans l'app Messages-----------

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Pourquoi le gouvernement envisage-t-il une “année blanche” ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Jun 9, 2025 2:21


Face à la pression des déficits, le gouvernement envisage l'option radicale d'une « année blanche » en 2026. L'idée consiste à geler partiellement ou totalement les dépenses publiques, sans suivre l'évolution de l'inflation. Sur le papier, c'est simple : les dépenses de l'année précédente sont reconduites, mais leur pouvoir d'achat réel diminue.Concrètement, cela toucherait trois grands axes :Les prestations sociales (retraites, allocations familiales, aides au logement...) : elles ne seraient pas revalorisées en fonction de l'inflation, ce qui représenterait une économie de plusieurs milliards d'euros – soit environ 3 milliards sur les retraites et 1,5 milliard pour les autres prestations.Les dotations de l'État aux collectivités locales, mais aussi les budgets des ministères : si tout est gelé, la masse totale reste la même, mais les prix ayant augmenté, les collectivités et ministères disposeraient d'un pouvoir de dépense réduit.Les recettes fiscales : en gelant les barèmes de l'impôt, de la CSG ou de la TVA contrairement à l'inflation, le gouvernement récupérerait mécaniquement plus d'argent. Par exemple, la stagnation du barème de l'impôt sur le revenu pourrait rapporter près de 2,8 milliards d'euros.Sur le plan strictement budgétaire, le calcul est simple : quelques dizaines de milliards d'économies potentielles, ce qui permettrait de s'approcher d'un déficit de 4,6 % du PIB en 2026, contre 5,1 % attendus. D'autres études évoquent jusqu'à 15–25 milliards d'économies.Pour autant, ce dispositif suscite de nombreuses réserves :Impact social : geler les prestations revient à les dévaluer, ce qui pèse davantage sur les ménages modestes. La moindre revalorisation a un impact réel pour les retraités ou allocataires.Effets récessifs : en réduisant le pouvoir d'achat, surtout dans les classes moyennes et populaires, le gouvernement risquerait de freiner la consommation et donc la croissance.Injustice fiscale : l'"année blanche fiscale" fait basculer des contribuables vers une tranche supérieure, sans augmentation de valeur réelle de revenu — une forme de hausse d'impôt déguisée.Critiques institutionnelles : le président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, y voit un palliatif ponctuel qu'il préférerait substituer à des réformes structurelles et durables.Autre limite : le gel budgétaire ne s'appliquera probablement pas uniformément. Certains secteurs prioritaires (ex : Défense, Recherche) ont déjà des budgets programmés pluriannuellement, difficiles à figer.En résumé : l'année blanche, c'est l'option rapide et radicale, utile pour gagner du temps et alléger le déficit à court terme. Mais elle demeure symboliquement lourde : elle compresse le pouvoir d'achat, amplifie les inégalités, ralentit l'activité et retarde des réformes nécessaires. Le gouvernement doit annoncer un plan d'ensemble cohérent avec ces enjeux avant la mi-juillet. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le fil sciences
Un étrange "phénomène de mode" conduit des singes à kidnapper les bébés d'une autre espèce

Le fil sciences

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 4:26


durée : 00:04:26 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire de "la planète des sciences" cette semaine : des capucins kidnappeurs, une empreinte digitale de plus de 43 000 ans qui interroge sur les capacités d'abstraction des Néandertaliens et le chacal doré qui étend son territoire en France...

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
Ai-je le droit de procéder au licenciement de mon assistante maternelle comme tout autre salarié ?

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 3:42


Dans cet épisode, Roland Pérez décrypte un cas réel et complexe pour comprendre ce que dit la loi sur le licenciement d'une assistante maternelle en arrêt maladie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Jean-Emmanuel Bibault - Cancers: plus de cas...et plus de guérisons

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 10:17


C dans l'air l'invité du 5 juin 2025 avec Jean-Emmanuel Bibault, professeur en oncologie radiothérapie à Paris Cité, praticien à l'hôpital Georges-Pompidou, et auteur de " Cancer Confidential", publié aux éditions Equateurs. Le congrès mondial de cancérologie de Chicago a présenté ses résultats. À l'occasion de cette réunion annuelle, 40 000 spécialistes du monde entier ont fait le point sur les avancées scientifiques, en matière de diagnostic, de traitement, et de prévention. Pour rappel, le cancer tue en France, chaque année, 160 000 personnes. Et cette année, la grande star du congrès est l'immunothérapie, qui se base sur des médicaments qui ne combattent pas directement la tumeur. Ils vont aider le système de défense naturelle du malade à combattre le cancer. Autre avancée majeure : surveiller l'évolution de la tumeur cancéreuse à l'aide d'une simple prise de sang.Jean-Emmanuel Bibault, professeur en oncologie radiothérapie à Paris Cité, praticien à l'hôpital Georges-Pompidou, et auteur de "Cancer Confidential", aux éditions Equateurs, nous parlera aussi de l'explosion de certains cancers chez les patients jeunes. Quelles en sont les causes, et comment les prévenir ? Enfin, la promesse de 80 % des cancers guérissables à l'horizon 2040 est-elle tenable ?

Le Super Daily
Oui, on peut (encore) poster autre chose que des Reels sur Instagram

Le Super Daily

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 19:36


Épisode 1327 : Instagram = Reels ? Pas forcément.Depuis 2021, Meta pousse très fort sur la vidéo courte. Mais l'algorithme ne fait pas tout. Et surtout, il y a encore de la place pour d'autres formats. Beaucoup d'utilisateurs veulent du contenu plus varié. Et certaines marques performent très bien… sans Reels.—Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le Disque classique du jour
Piano virtuose, de la Corée à la France

Le Disque classique du jour

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 89:27


durée : 01:29:27 - En pistes ! du mercredi 04 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Il a remporté le concours Van Cliburn à seulement 18 ans; le pianiste coréen Yunchan Lim séduisait le jury avec le 3e concerto de Rachmaninov, une prestation qui parait au disque. Autre jeune pianiste, le français Arthur Hinnewinkel fait paraître un premier disque, entièrement consacré à Schumann.

En pistes ! L'actualité du disque classique
Piano virtuose, de la Corée à la France

En pistes ! L'actualité du disque classique

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 89:27


durée : 01:29:27 - En pistes ! du mercredi 04 juin 2025 - par : Emilie Munera, Rodolphe Bruneau Boulmier - Il a remporté le concours Van Cliburn à seulement 18 ans; le pianiste coréen Yunchan Lim séduisait le jury avec le 3e concerto de Rachmaninov, une prestation qui parait au disque. Autre jeune pianiste, le français Arthur Hinnewinkel fait paraître un premier disque, entièrement consacré à Schumann.

Les matins
Une galaxie transperce une autre avec son quasar

Les matins

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 4:49


durée : 00:04:49 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Les quasars sont les objets les plus lumineux de l'Univers, formés par un trou noir supermassif qui englouti beaucoup de matière. Pour la première fois, une étude a observé un quasar perturber une galaxie voisine, empêchant la formation d'étoiles grâce à son intense rayonnement.

Parlons-Nous
Rupture : Jimmy a découvert que sa conjointe discutait avec un autre homme

Parlons-Nous

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 15:44


REDIFF - Après 11 ans de relation, Jimmy a découvert que sa compagne échangeait avec un autre homme. Sous le coup de la colère il lui a demandé de quitter la maison. Mais depuis, elle ne répond plus à ses appels. Sexualité, infidélités, coups de foudre, difficultés dans le couple... Au micro de Caroline Dublanche, les auditeurs confient leur vie amoureuse. RTL vous propose désormais de redécouvrir, tous les matins, un cas marquant ! Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
A la Une: le Mali toujours sous la menace terroriste

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jun 3, 2025 3:53


L'offensive terroriste s'est intensifiée ces dernières semaines au Mali. Le 23 mai : attaque du camp militaire de Dioura. Bilan 41 soldats tués. Il y a deux jours à Boulkessi, dans le centre du pays, un autre camp militaire a été la cible d'une attaque terroriste. Selon un communiqué de l'état-major des armées, cité par le site Bamada, « les FAMa, les Forces armées maliennes ont vigoureusement réagi à cette attaque avant de se replier ».Et puis hier matin à Tombouctou, poursuit Bamada, « les forces armées maliennes ont déjoué une tentative d'infiltration des combattants terroristes. L'État-major précise que les terroristes ont été vite mis en déroute par la promptitude des soldats maliens. Le bilan provisoire est de treize assaillants neutralisés, de l'armement, mais aussi des moyens roulants et effets divers récupérés. La situation est sous contrôle et le ratissage est en cours dans toute la ville, rassure la hiérarchie militaire ».Un État « en pleine reconstruction »Alors, « Dioura, Boulkessi, Tombouctou : l'armée malienne sur tous les fronts », s'exclame Sahel Tribune, autre site d'information. « La récente offensive terroriste, loin d'annoncer la défaite, révèle au contraire la dure réalité d'un État en pleine reconstruction, claironne Sahel Tribune. Les FAMa, attaquées sur plusieurs fronts, opposent désormais une riposte mieux structurée, avec l'appui de partenaires stratégiques non-alignés. Dans ce contexte de tumulte, la Transition conduite par le président Assimi Goïta n'entend céder ni un pouce de souveraineté ni un millimètre de terrain. (…) Certes, reconnait Sahel Tribune, des lacunes persistent : retards de renforts, faiblesses de communication tactique, dépendance aux appuis aériens. Mais ces défis sont désormais intégrés dans un programme de réforme militaire globale. (…) Oui, des violations ont été signalées, reconnait encore le site malien. Oui, des bavures sont à documenter. Mais ne nous y trompons pas : le Mali ne mène pas une guerre sale, il mène une guerre juste dans un environnement tordu. Là où les FAMa interviennent, c'est souvent pour libérer des localités entières d'un joug terroriste qui pille, viole, tue et impose sa loi moyenâgeuse ».Le site Mali Actu le reconnait également,« malgré les succès des FAMa, la situation sécuritaire est préoccupante. Un grand nombre d'attaques ciblent les forces armées dans le nord et le centre du Mali. La mobilisation des troupes et le soutien de la population locale sont essentiels pour maintenir la sécurité. (…) La persistance de ces efforts sera essentielle pour instaurer la paix et la stabilité à long terme au Mali ».Insécurité croissante…Voilà pour les médias maliens qui s'appuient sur les communiqués de l'armée et sur la parole officielle. Autre point de vue, celui du site Afrik.com qui décrit une situation beaucoup plus sombre : « au Mali, le groupe djihadiste JNIM, affilié à Al-Qaïda, a intensifié ses attaques contre l'armée et les civils. À Boulkessi et Dioura, des casernes ont été prises, causant des dizaines de morts. Le groupe impose aussi des blocus meurtriers à Diafarabé et Nouh Bozo, provoquant famine et détresse humanitaire. L'armée malienne, jugée lente et désorganisée, peine à réagir, affirme encore Afrik.com. La population, abandonnée, subit de plein fouet l'insécurité croissante et la violence des groupes armés ».Un sommet extraordinaire ?Ledjely en Guinée, fait remarquer que le Niger et le Burkina Faso ont aussi subi récemment des attaques terroristes meurtrières. Et pour ce qui est du Mali : « que les autorités militaires aient réussi ou non à déjouer les assauts contre le camp militaire et l'aéroport de Tombouctou n'est pas l'essentiel. Le véritable problème, c'est que des assaillants aient eu l'audace de lancer de telles offensives. C'est le symptôme d'une menace qui demeure ».Au Mali, mais aussi au Niger et au Burkina, donc,« les pertes humaines, civiles et militaires, se comptent par dizaines chaque semaine. Et après chaque drame, on assiste à un jeu puéril de communiqués entre autorités et groupes armés, chaque camp s'acharnant à revendiquer la victoire ».Et Ledjely d'appeler à la tenue d'un sommet extraordinaire afin de mieux lutter contre le djihadisme dans la bande sahélienne. « Pendant que le Mali, le Burkina Faso et le Niger se démènent comme ils peuvent, le reste du continent semble se croiser les bras, voire détourner le regard. Pourtant, ce danger-là est à la porte de chacun de nous ».

C dans l'air
Opération "Toile d'araignée": Kiev humilie Moscou - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 63:53


C dans l'air du 2 juin 2025 - Opération "Toile d'araignée": Kiev humilie Moscou - L'intégrale -Une attaque spectaculaire, digne d'un film d'espionnage. Dimanche 1er juin, l'Ukraine a lancé une série de frappes contre des bases aériennes russes, situées parfois à plusieurs milliers de kilomètres du front. Des drones kamikazes, préalablement infiltrés sur le sol russe, ont visé des cibles aussi éloignées que la Sibérie orientale. Bilan provisoire : 41 avions détruits, dont plusieurs radars aéroportés A-50, selon les autorités ukrainiennes.Baptisée "Toile d'araignée", l'opération aurait été préparée en secret pendant plus d'un an et demi, sous la supervision directe du président Volodymyr Zelensky. D'après les services de renseignement ukrainiens, l'attaque aurait neutralisé 34 % des bombardiers stratégiques russes et causé jusqu'à 7 milliards de dollars de pertes à l'aviation russe.Côté russe, Moscou a reconnu des incendies sur plusieurs appareils. Sur Telegram, des sources proches du Kremlin rapportent une série d'explosions dans au moins six régions : Voronej, Koursk, Lipetsk, Riazan, Ivanovo et Volgograd. Des vidéos largement relayées sur les réseaux sociaux montrent des avions en feu, de puissantes détonations, et d'immenses colonnes de fumée noire s'élevant dans le ciel. "Ils parlent déjà d'un Pearl Harbor russe. C'est absolument inédit", a commenté le journaliste Cyrille Amoursky sur X.Cette attaque d'envergure survient à un moment clé. Elle a eu lieu à la veille de la reprise des pourparlers entre la Russie et l'Ukraine, ce lundi, en Turquie. Mais le climat géopolitique est loin de l'apaisement : des mouvements massifs de troupes russes sont observés depuis plusieurs semaines en Biélorussie, mais aussi à la frontière finlandaise. Deux ans après son adhésion à l'OTAN, la Finlande se trouve en état d'alerte. Les autorités d'Helsinki disent suivre « très attentivement » les déploiements militaires russes.Le New York Times révèle, images satellites à l'appui, une expansion des infrastructures militaires russes près de la frontière : tentes de campagne, véhicules blindés, abris rénovés pour avions de chasse, base d'hélicoptères remise en état… Le tout à seulement quelques kilomètres du territoire finlandais.Faut-il s'inquiéter ? Interrogé sur le sujet, Donald Trump a tenté de minimiser les risques. " Je ne suis pas du tout inquiet. La Finlande et la Norvège seront très en sécurité", a-t-il déclaré mardi à la presse. Pour autant, les autorités nordiques prennent la menace au sérieux : Helsinki prévoit de relever à 65 ans l'âge limite pour les réservistes et a lancé un site dédié à la préparation en cas de guerre. En Suède comme en Norvège, les gouvernements appellent également la population à se préparer à d'éventuels scénarios de crise.Autre facteur d'instabilité : la situation en Pologne, en première ligne sur le flanc Est de l'Otan.Le pays vient de vivre une élection présidentielle décisive, remportée par Karol Nawrocki, un candidat nationaliste qui prône une ligne dure face à Bruxelles… et à Kiev.Son élection pourrait rebattre les cartes diplomatiques en Europe centrale et compliquer la coordination militaire dans la région.Alors, que sait-on de l'opération "Toile d'araignée" ? Que se passe-t-il à la frontière entre la Finlande et la Russie ? Enfin, qui est Karol Nawrocki, le candidat nationaliste vainqueur de l'élection présidentielle ? Qu'est-ce que cela va changer pour l'Europe ?LES EXPERTS :- GÉNÉRAL JEAN-PAUL PERRUCHE - consultant en stratégie de sécurité et de défense et ancien directeur général de l'État-major de l'U.E.- BRUNO TERTRAIS - Directeur adjoint de la FRS et conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro - MARIE JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie - Le Monde PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

L'info en intégrale - Europe 1
EXTRAIT - Fusillade dans le Var, un homme de nationalité tunisienne a été tué, un autre de nationalité Turc a été blessé. Le parquet antiterroriste s'est saisi de l'affaire.

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 1:29


Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
Les turbulences du secteur aérien à l'heure de la présidence de Donald Trump

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 3:20


Réunis en Inde pour leur sommet annuel, les acteurs du transport aérien revoient leurs prévisions pour 2025. Entre tensions commerciales, pressions écologiques et hausse des coûts, les compagnies doivent composer avec un contexte économique nettement moins favorable, malgré une demande toujours soutenue. Décryptage. C'est dans un climat d'incertitudes que les compagnies aériennes mondiales participent, cette semaine à New Delhi, au sommet annuel de l'Association internationale du transport aérien (IATA). Première annonce majeure: les prévisions pour 2025 ont été revues à la baisse, en raison de ce que l'on qualifie de « vents contraires » pour l'économie mondiale. En première ligne, la guerre commerciale relancée par Donald Trump. Depuis avril, les États-Unis imposent une taxe de 10% sur les avions et composants aéronautiques produits hors de leurs frontières. Résultat, Airbus, le géant européen, fait face à des surcoûts lorsqu'il vend à des compagnies américaines. Et son concurrent Boeing n'est pas épargné non plus, en subissant des mesures de rétorsion similaires en Chine et en Europe. Ces tensions impactent directement les compagnies aériennes, qui absorbent ces hausses de coûts, parfois accompagnées de retards de livraison. Cela se traduit par une réduction des vols internationaux et une rentabilité mise à mal.Virage écologique contrariéAutre difficulté, la transition énergétique du secteur, essentielle pour atteindre la neutralité carbone d'ici 2050, se trouve elle aussi freinée. Les compagnies misaient sur des subventions américaines pour les carburants d'aviation durables, un levier important pour investir dans une flotte plus écologique. Or, cette aide a été supprimée par Donald Trump. Une décision qui prive les transporteurs américains d'un avantage concurrentiel précieux, estimé à plusieurs milliards de dollars. À cela s'ajoute une forte baisse des déplacements en classe affaires, conséquence d'un climat économique peu propice aux échanges internationaux. Moins de voyages professionnels, c'est aussi moins de revenus pour les compagnies, qui voient leur modèle économique traditionnel remis en question.Une demande en croissance mais des marges sous pressionParadoxalement, la demande pour le transport aérien reste bien orientée. L'Inde, hôte du sommet, a doublé en dix ans son nombre de passagers et d'aéroports. En Afrique et au Moyen-Orient, la croissance du trafic dépasse les 14 %, là où l'Amérique du Nord plafonne à +1,6 %, malgré le fait qu'elle représente un quart du marché mondial. Même le fret aérien se porte bien, dopé par les anticipations liées aux hausses de droits de douane. Mais derrière cette dynamique, les compagnies doivent faire face à une pression accrue sur leurs revenus par siège. Résultat: des ajustements économiques nécessaires pour absorber les surcoûts. Si le chiffre d'affaires mondial du secteur devrait atteindre un nouveau record en 2025 — plus de 1000 milliards de dollars —, les marges restent stables. Illustration d'un changement d'époque pour une industrie autrefois focalisée sur la croissance des profits, désormais contrainte de maîtriser ses dépenses.À lire aussiInde: boom dans le secteur du transport aérien

Revue de presse française
A la Une, le Paris Saint-Germain en rêvait, il l'a fait !

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 6:15


On connaissait le fameux « À jamais les premiers » de l'Olympique de Marseille… Le Parisien Dimanche rétorque ce matin d'un « À jamais les meilleurs » après la victoire sans conteste et sans pitié du Paris Saint-Germain hier en finale de la Ligue des Champions. 5-0 face à l'Inter Milan, véritable « démonstration » de force qui, écrit La Tribune Dimanche, « se hisse parmi les moments majeurs de l'histoire du sport tricolore ». Face à une équipe aussi jeune que talentueuse, les Milanais « faisaient leur âge (30 ans de moyenne sur le terrain) » plutôt que de « faire étalage de leur expérience » écrit l'hebdo un brin cruellement. Un club quasi-invisible pendant tout le match, qui a légitimé une bonne fois pour toutes « le nouveau projet » du PSG, sans Messi, sans Neymar, sans Mbappé, bref « plus jeune » et « plus français ». Un joueur a brillé Un joueur particulièrement Doué, vous me passerez le jeu de mots de piètre qualité… Désiré Doué donc, que Le Parisien Dimanche porte aux nues. Le titre, fasciné par ce « phénomène de 19 ans », auteur hier d'un doublé et d'une passe décisive. « Bien avant le coup de sifflet final, se délecte l'hebdo, il ne faisait de doute pour personne au cœur du peuple parisien que Désiré Doué n'a jamais mieux porté, mieux honoré » son patronyme. « À trois jours de son anniversaire, le vingtième, poursuit Le Parisien Dimanche, l'attaquant s'est offert le cadeau dont rêvent tous les footballeurs de la planète (…) : celui de (…) devenir l'idole de tout un club pour l'éternité ». Un exploit qui relègue le reste au second plan Notamment la présidentielle. Il faut dire que pour les votants, c'est encore dans deux ans… alors que pour les politiques, ce n'est que dans deux ans ! Candidats assumés ou présidentiables imaginés, une partie des revues s'y penche cette semaine… Parmi eux, Le Point, dont la une est consacrée à l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. À l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage, Le Prix de nos mensonges, celui qui fourbit ses armes depuis 2020 développe ses idées. À commencer par ce « déni français » dont souffrirait la population dans son ensemble. « Notre exceptionnelle aptitude à nous raconter des histoires m'agace » maugrée-t-il dans les colonnes du Point, jugeant que « si nous voulons avancer, nous devons arrêter de nous mentir ». Autre thème sur lequel il rejette toute discussion : « le culte de la transparence » à bannir selon lui, et « la verticalité » qu'il appelle de ses vœux car « dans une démocratie, on a besoin de gens qui sont élus, et on a besoin de chefs qui prennent des décisions ». Sur le reste, l'art de la nuance Il faut dire, comme l'analyse un politologue dans les colonnes du Point toujours, que « pour redevenir majoritaire, la droite devra faire le grand écart » c'est-à-dire à la fois « reconquérir les électeurs du Rassemblement national et convaincre les ralliés au macronisme ». Une forme de « en même temps » 2.0 dont Edouard Philippe refuse d'être l'héritier : « mon objectif n'est pas de me positionner par rapport à une étiquette, (...) à un parti, (...) à un créneau » assène-t-il. Malgré tout, Edouard Philippe prend soin de nuancer, notamment sur les questions identitaires et migratoires. « Je ne crois pas, dit-il, que la fermeté se démontre par des postures et des surenchères permanentes sur les chaînes d'info »; « il serait dangereux, affirme-t-il enfin, de créer un droit spécifique - il faut ici comprendre "droit" au sens de "loi" - pour une religion, et je ne crois pas que la laïcité impose la négation totale de la liberté religieuse dans l'espace public ». Une rupture avec les autres cadors de la droite française Et particulièrement avec Bruno Retailleau, le très droitier ministre de l'Intérieur. À son sujet, Edouard Philippe s'accorde une pique : il n'est « pas sûr » ironise-t-il, que Bruno Retailleau y verrait  « une critique » si on le rangeait dans la « droite Trocadéro », une droite embourgeoisée, catholique, et vieille-France.Droite Trocadéro on ne sait pas, droite à gogo c'est certain pour Marianne, qui n'hésite pas à qualifier le ministre de « moine-soldat de la droite » qui a « souvent croisé la route d'élus de l'extrême-droite, sans leur tourner le dos ». Va-t-il pour autant « réaliser l'union en 2027 ? » … Marianne s'interroge. Le titre pointe que « Retailleau bénéficie des faveurs de la presse de droite et d'extrême-droite » à la télé ou sur papier, où il « déroule ses saillies anti-immigration, multiplie les annonces chocs (…), et affiche une grande fermeté à l'encontre de l'Algérie ».   Le ministre de l'Intérieur le dit d'ailleurs lui-même : interrogé sur sa proximité, ou ses différences, avec le Rassemblement national, il le concède : ce qui le « distingue » de Marine le Pen ou Jordan Bardella, c'est « le programme économique » … pas un mot en revanche sur d'éventuelles divergences idéologiques. Un mot aussi de la situation internationale Que ce soit dans L'Express ou dans Le Point, une préoccupation : les liens entre l'Europe et Donald Trump. Dans le second, on parle plutôt défense et armement; dans le premier, c'est surtout de politique qu'il est question. L'Express fait ainsi le constat d'un trumpisme devenu une « franchise » voire un « label » qui « galvanise les politiques » propulsant les Giorgia Meloni et Viktor Orban de ce monde au sommet grâce à une « boîte à outils » dans laquelle « ils peuvent piocher à l'envi des "punchlines" » comme autant de coups gagnants.Le phénomène n'est en réalité pas nouveau, analyse L'Express, le trumpisme n'a fait que donner un coup d'accélérateur à une idéologie « enracin[é]e dans une colère profonde ». Car il ne faut pas sous-estimer le poids des émotions dans le contexte actuel, souligne de son côté L'Obs. Interrogée par le magazine, la sociologue franco-israélienne Eva Illouz estime ainsi que « le désenchantement et la peur sont devenus le spectre permanent de la démocratie » et que l'extrême droite « capte et organise cette émotionnalité excédentaire ». Auparavant, l'espoir était selon elle l'émotion principale, mais voilà : « la modernité tardive (…) [a] écrasé cette espérance dans le futur ». Faut-il pour autant se lamenter de toute cette colère ? Pas forcément nuance L'Obs… « les émotions fortes permettent d'évaluer ce qui est important pour soi » mais elles sont aussi une « brèche » pour peut-être, enfin, sortir de « la sur-socialisation, le fait de s'identifier totalement à un rôle ». De là à rêver au retour de l'espoir, il n'y a qu'un pas. 

C dans l'air
Pierre Rondeau - PSG: la victoire du foot...et de l'argent?

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 31, 2025 10:22


C dans l'air l'invitée du 31 mai 2025 avec Pierre Rondeau, économiste du sportÀ quelques heures du coup d'envoi de la finale de la Ligue des champions de l'UEFA, qui opposera le PSG à l'Inter Milan à Munich, notre invité reviendra sur la trajectoire de l'équipe emmenée par Luis Enrique, rachetée en 2011 par le Qatar et dont la renommée s'est construite ces dernières années autour de joueurs stars tels Kylian Mbappé, Lionel Messi, Zlatan Ibrahimovic, ou encore Neymar. L'enjeu est d'offrir à une équipe française une deuxième victoire à ce championnat, la première remontant à 1993, remportée par l'OM. Un trophée tant souhaité par les supporters parisiens que redouté des Marseillais, « à jamais les premiers ».Si les jeunes joueurs du PSG parviennent à vaincre l'équipe expérimentée de l'Inter Milan, le club pourrait empocher le jackpot, avec 138 millions de la part de l'UEFA et 4 millions de prime de participation à la Supercoupe. Autre enjeu, sécuritaire cette fois-ci : 5 400 policiers et gendarmes seront déployés ce samedi à Paris et dans son agglomération. En cas de victoire, cette mobilisation sera maintenue le lendemain pour la parade des joueurs sur les Champs-Elysées. Quel que soit le résultat, force est de constater l'intérêt suscité par ce match, qui sera diffusé en clair, ce qui n'est pas le cas avec la Ligue 1 puisque DAZN a obtenu les droits exclusifs de sa diffusion, suscitant dès lors un fort attrait pour le piratage.Pierre Rondeau, économiste du sport et co-auteur du livre "Les Français et le sport – Bâtir une nation sportive, le défi français" aux éditions du Cherche-Midi, analysera l'évolution du PSG ces dernières années, quelques heures avant un match décisif pour le club.

C dans l'air
ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 29, 2025 63:53


C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium

C dans l'air
ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ? - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 29, 2025 7:19


C dans l'air du 29 mai 2025 : ZFE, A69, pesticides : l'écologie, c'est fini ?Les députés ont voté mercredi soir la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), ces périmètres mis en place pour interdire l'accès aux véhicules les plus polluants dans les centres-villes. Cet amendement, porté par les groupes Les Républicains (LR) et le Rassemblement national (RN), a été soutenu par les insoumis et certains députés macronistes.En ligne de mire : l'impact social des ZFE, accusées de pénaliser les ménages modestes, qui n'ont pas les moyens d'acheter un véhicule moins polluant. Malgré les alertes des défenseurs de la santé publique, le texte a été adopté, au grand dam des partisans du dispositif, qui dénoncent un vote " grave" aux "lourdes conséquences sanitaires" à quelques mois des élections municipales. Ils regrettent également l'absence d'un accompagnement du dispositif pour permettre la transition (aide aux plus modestes, dérogations).Présentes dans une quarantaine d'agglomérations, les ZFE ont été lancées en 2019 pour limiter les émissions de particules fines, responsables de maladies respiratoires et de 40 000 décès par an selon Santé publique France. Mais leur mise en œuvre a varié d'un territoire à l'autre, créant confusion et tensions. Ces derniers mois, les contestations locales s'étaient multipliées.Ce vote ne signifie toutefois pas la fin immédiate des ZFE. Le projet de loi de "simplification", auquel est rattaché cet amendement, doit encore être adopté dans son ensemble. Il passera ensuite en commission mixte paritaire. Le Conseil constitutionnel pourrait également censurer cette mesure, jugée trop éloignée de l'objet initial du texte.Autre dossier brûlant : l'autoroute A69, entre Toulouse et Castres. Mercredi, la cour administrative de Toulouse a autorisé la reprise du chantier, stoppé depuis février. Elle a répondu favorablement à un recours en urgence déposé par l'État, malgré l'absence de "raison impérative d'intérêt public majeur" invoquée par la justice pour suspendre les travaux en février dernier.Le fond du dossier sera examiné lors d'un procès en appel prévu dans plusieurs mois. Mais les opposants craignent que les travaux soient terminés avant. Ils dénoncent un passage en force et prévoient de nouvelles mobilisations, alors qu'un texte controversé, reconnaissant un "intérêt public majeur" au projet, doit être examiné la semaine prochaine à l'Assemblée nationale, après son adoption par le Sénat.La suppression des ZFE et la relance de l'A69 s'inscrivent dans un contexte plus large de remises en cause des politiques environnementales. Ces derniers jours, les parlementaires ont aussi voté des mesures détricotant le principe de "zéro artificialisation nette", qui vise à lutter contre la bétonisation des sols, ou encore décidé de réintroduire un pesticide jusqu'alors interdit.Face à cette dynamique, de nombreuses voix s'élèvent. François Gemenne, professeur à HEC, membre du GIEC et spécialiste des migrations climatiques, alerte depuis plusieurs mois sur la montée d'un "populisme anti-écolo" en France et en Europe. Il déplore une tendance à faire de l'écologie un bouc émissaire et appelle à un changement de ton chez les écologistes eux-mêmes. Selon lui, leur discours moralisateur aurait contribué à braquer une partie de l'opinion publique.LES EXPERTS :- Soazig QUÉMÉNER, rédactrice en chef - La Tribune Dimanche - Nathalie SAINT-CRICQ, éditorialiste politique - France Télévisions - Frédéric DENHEZ, journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Caroline BRUNEAU, journaliste Industrie - Aerospatium

Les Grandes Gueules
Le cafouillage du jour - Fatima Aït Bounoua : "Le problème, c'est qu'on passe d'une décision à une autre. On commence et on s'arrête en plein milieu" - 29/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 29, 2025 0:47


Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Aujourd'hui l'économie
Pologne: le second tour de l'élection présidentielle aux forts enjeux économiques

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later May 29, 2025 3:07


Dimanche, les Polonais élisent leur président au second tour d'un scrutin crucial. Au-delà de l'affrontement politique entre le pro-européen Rafał Trzaskowski et le conservateur Karol Nawrocki, c'est l'avenir économique de la Pologne qui se joue. Entre modernisation, compétitivité et transition énergétique, les orientations des deux candidats pourraient transformer en profondeur le cap du pays. Décryptage. Depuis son entrée dans l'Union européenne en 2004, la Pologne connaît un développement économique fulgurant. Le produit intérieur brut par habitant a plus que doublé, signe d'un enrichissement rapide. Avec une croissance estimée à 2,9%, le pays se place parmi les leaders économiques d'Europe centrale. Le chômage, quant à lui, atteint un niveau historiquement bas à 5,2 %, classant la Pologne au deuxième rang européen sur ce critère. Pour le prochain président, il s'agira donc de préserver cette dynamique. Mais derrière cette croissance se cachent des fragilités structurelles qui nécessiteront des réponses stratégiques.Fragilité commerciale et pression internationaleL'un des signaux d'alerte concerne le commerce extérieur. En un an, l'excédent commercial polonais a fondu, passant de 10 milliards à moins d'un milliard d'euros. Cette chute s'explique en grande partie par le recul des exportations, notamment vers l'Allemagne, principal partenaire économique du pays.Autre défi de taille, la montée en puissance de la concurrence internationale, notamment chinoise, qui met sous pression les secteurs industriels historiquement porteurs de la croissance polonaise. L'appréciation du zloty, la monnaie nationale, accentue cette difficulté en réduisant l'attractivité prix des produits polonais à l'export.Charbon, transition énergétique et choix politiques opposésAu cœur des préoccupations économiques figure aussi la question énergétique. La Pologne reste le pays européen le plus dépendant au charbon. Cette position complique sa transition vers une économie bas-carbone. Le dilemme est clair: poursuivre l'exploitation du charbon pour maintenir l'indépendance énergétique ou miser sur les énergies renouvelables au risque de fragiliser certaines régions minières.Sur ce point, les deux candidats présentent des visions opposées. Rafał Trzaskowski souhaite accélérer la transition écologique avec un investissement public massif, soutenu notamment par les 60 milliards d'euros du plan de relance européen. Karol Nawrocki, lui, prône une approche plus prudente, soucieux de ne pas déstabiliser l'équilibre industriel régional. En somme, cette présidentielle polonaise dépasse le simple enjeu électorale. Elle engage le pays sur des choix économiques majeurs, qui résonnent jusqu'à l'échelle européenne. Avec une base industrielle solide, une main-d'œuvre qualifiée et une position géographique stratégique, la Pologne pourrait jouer un rôle clé dans la relance industrielle du continent.

Reportage Afrique
Bénin: à Porto-Novo, l'ouverture du Musée International du Vodun attendue pour la fin de l'année

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later May 29, 2025 2:32


Le Bénin a pour ambition de développer une importante offre muséale. Plusieurs sites sont actuellement en construction comme le Musée de l'épopée des Amazones et des rois du Danhomè à Abomey ou celui de la mémoire et de l'esclavage à Ouidah. Autre lieu très attendu à Porto-Novo cette fois : le Musée International du Vodun. Cet écrin qui entend notamment déconstruire les stéréotypes négatifs propagés sur la culture vodun, doit sortir de terre d'ici à la fin de l'année. Notre reporter, Pierre Firtion, a pu récemment visiter le chantier en compagnie d'Alain Godonou, chargé de mission aux Patrimoines et aux Musées auprès du président Talon. De notre envoyé spécial à Porto-NovoÀ l'entrée de Porto-Novo, juste après le pont, d'étranges bâtiments en forme d'alvéole se dressent au milieu des grues. Petit à petit, les contours du musée international du Vodun commencent à se dessiner. Ce lieu avec ses formes originales a été imaginé par le cabinet d'architecte ivoirien Koffi & Diabaté. « Ça rappelle beaucoup de choses, ça rappelle cet indice de calebasses, un élément important en culture Vodun de façon large. On met aussi en avant l'architecture Batammariba, que l'on appelle vulgairement "tata somba" », explique Alain Godonou, le chargé de mission aux Patrimoines et aux Musées du président béninois. Ce dernier fait référence à ces habitats traditionnels du nord-ouest du Bénin. Ces bâtiments et au-delà, ce lieu unique abriteront notamment plusieurs salles d'expositions où seront présentés non seulement des pièces de la collection nationale béninoise, mais également des objets venus d'ailleurs.« Ici et là, nous sommes en discussion avec des partenaires. Parfois, les discussions sont conclues pour avoir des objets significatifs de la culture Vodun, notamment de la culture Vodun venant hors du continent », raconte-t-il. Des pièces venant notamment du Brésil, de Cuba, des États-Unis seront ainsi exposées ici avec pour objectif de montrer le Vodun dans toutes ses composantes. Pour Alain Godonou, « l'objectif étant d'arriver à dépouiller le Vodun des idées négatives qui lui sont prêtées. Et que le public découvre que le Vodun est tout à fait respectable ». En ce mois de mai, le chantier bat son plein. Ce jour-là, des ouvriers posent de grandes plaques de terre ocre sur l'un des bâtiments, d'autres travaillent sur les fondations de la future déambulation entre les différentes espaces.« Il y a une circulation qui va se faire. Ce sera protégé, on construira une canopée. Là, les ouvriers sont en train de faire les soubassements des éléments de la canopée, pour que la promenade à l'intérieur du musée soit protégée », décrit Alain Godonou.Outre la construction de cette canopée, il reste encore beaucoup à faire pour emménager les 16 000 m² du site. Le calendrier pourra-t-il être tenu ? Alain Godonou se veut confiant, puisque, comme il dit, « les gros travaux sont finis. Les travaux de finition ont commencé. La muséologie, la muséographie avancent très bien. On n'est jamais à l'abri d'une surprise, mais je crois fermement que d'ici à la fin de l'année 2025, il pourra ouvrir ». Le musée doit être inauguré en même temps que la statue du roi Toffa 1er, qui trône sur la place située devant l'entrée du musée. Une statue, qui est elle déjà terminée. 

Radio foot internationale
Serie A : un nouveau titre pour Naples au bout du suspense

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later May 27, 2025 48:28


Au programme de Radio Foot ce mardi 16h10-21h10 TU : - La fête au stade de l'Abbé-Deschamps. ; - Le Napoli à la folie ! ; - Xabi de retour à la Casa (blanca). - La fête au stade de l'Abbé-Deschamps. L'ancien international d'Auxerre, Liverpool et l'OM, Djibril Cissé, fête ce soir son jubilé en Bourgogne. Une pléiade de célébrités s'est donné rendez-vous. Les All Stars seront opposées aux légendes de l'AJA. Parmi les champions annoncés : Didier Drogba, Thierry Henry. Autre légende sur le banc, Arsène Wenger.- Le Napoli à la folie ! La victoire de l'Inter à Côme n'a pas suffi, les Partenopei ont battu Cagliari, remportent leur 4è Scudetto sur le gong, à l'issue de l'ultime journée, le 2è en 3 saisons. Un titre fêté avec des dizaines de milliers de supporteurs vêtus de maillots bleus. Conte devient le 1er coach titré avec trois clubs différents en Serie A. MacTominay et Lukaku buteurs. Une revanche pour l'ex de l'Inter ? Le résultat de la méthode Conte ? Première saison gagnante, l'ancien coach de Tottenham sera-t-il napolitain la saison prochaine ?- Xabi de retour à la Casa (blanca). Xabi Alonso a été présenté à la presse hier (26 mai 2025). L'ancien milieu des Blancos a signé pour 3 ans. Le Basque a rendu hommage à son prédécesseur qui fut aussi son entraîneur. « El Señor » a promis de tirer le meilleur des joueurs, et de donner du plaisir aux supporteurs. Premier défi, le Mondial des clubs. Peut-il incarner le renouveau merengue ? - L'ancien technicien de Leverkusen pourra compter sur Mbappé. Le « Kyks » a décroché son 1er Soulier d'Or. 31 buts en 34 matches de Liga, 4 de plus que le Blaugrana Lewandowski, double buteur à Bilbao.Avec Annie Gasnier : Ludovic Duchesne, Marc Libbra, Frank Simon. Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Radio Foot Internationale
Serie A : un nouveau titre pour Naples au bout du suspense

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later May 27, 2025 48:28


Au programme de Radio Foot ce mardi 16h10-21h10 TU : - La fête au stade de l'Abbé-Deschamps. ; - Le Napoli à la folie ! ; - Xabi de retour à la Casa (blanca). - La fête au stade de l'Abbé-Deschamps. L'ancien international d'Auxerre, Liverpool et l'OM, Djibril Cissé, fête ce soir son jubilé en Bourgogne. Une pléiade de célébrités s'est donné rendez-vous. Les All Stars seront opposées aux légendes de l'AJA. Parmi les champions annoncés : Didier Drogba, Thierry Henry. Autre légende sur le banc, Arsène Wenger.- Le Napoli à la folie ! La victoire de l'Inter à Côme n'a pas suffi, les Partenopei ont battu Cagliari, remportent leur 4è Scudetto sur le gong, à l'issue de l'ultime journée, le 2è en 3 saisons. Un titre fêté avec des dizaines de milliers de supporteurs vêtus de maillots bleus. Conte devient le 1er coach titré avec trois clubs différents en Serie A. MacTominay et Lukaku buteurs. Une revanche pour l'ex de l'Inter ? Le résultat de la méthode Conte ? Première saison gagnante, l'ancien coach de Tottenham sera-t-il napolitain la saison prochaine ?- Xabi de retour à la Casa (blanca). Xabi Alonso a été présenté à la presse hier (26 mai 2025). L'ancien milieu des Blancos a signé pour 3 ans. Le Basque a rendu hommage à son prédécesseur qui fut aussi son entraîneur. « El Señor » a promis de tirer le meilleur des joueurs, et de donner du plaisir aux supporteurs. Premier défi, le Mondial des clubs. Peut-il incarner le renouveau merengue ? - L'ancien technicien de Leverkusen pourra compter sur Mbappé. Le « Kyks » a décroché son 1er Soulier d'Or. 31 buts en 34 matches de Liga, 4 de plus que le Blaugrana Lewandowski, double buteur à Bilbao.Avec Annie Gasnier : Ludovic Duchesne, Marc Libbra, Frank Simon. Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Choses à Savoir SCIENCES
Pourquoi voit-on les couleurs de l'arc en ciel sur les bulles de savon ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later May 26, 2025 2:18


Les bulles de savon fascinent autant les enfants que les scientifiques. Leur surface irisée, qui reflète des couleurs changeantes comme un arc-en-ciel, est un phénomène purement optique dû à l'interaction de la lumière avec une fine couche de liquide. Ce phénomène s'explique principalement par l'interférence de la lumière.Une bulle de savon est constituée d'une fine pellicule d'eau enfermée entre deux couches de savon. Cette pellicule, extrêmement fine (de quelques centaines de nanomètres à quelques microns), agit comme un film transparent sur lequel la lumière blanche (comme celle du soleil) se réfléchit. Or, cette lumière blanche est composée de toutes les longueurs d'onde du spectre visible — du violet (longueur d'onde courte) au rouge (longueur d'onde longue).Lorsque la lumière frappe la surface d'une bulle, une partie est réfléchie sur la face extérieure du film, et une autre partie pénètre dans le film et est réfléchie sur la face intérieure. Ces deux rayons lumineux ressortent ensuite de la bulle et interfèrent entre eux : ils peuvent s'ajouter ou s'annuler selon leur décalage de phase, c'est-à-dire selon la différence de chemin parcouru dans le film.Ce décalage dépend de l'épaisseur locale du film et de la longueur d'onde de la lumière. Certaines couleurs seront renforcées (interférence constructive) tandis que d'autres seront atténuées (interférence destructive). Résultat : on observe des couleurs qui varient selon l'épaisseur de la bulle et l'angle de vue. C'est ce qu'on appelle des franges d'interférence.Si la bulle était d'épaisseur parfaitement uniforme, on verrait des couleurs régulières. Mais en réalité, la gravité fait que le film est plus épais en bas et plus mince en haut. Cela crée un dégradé de couleurs changeantes, souvent disposées en bandes horizontales. Et comme la bulle est en mouvement, les épaisseurs varient sans cesse, ce qui donne l'effet de couleurs qui ondulent et dansent.Autre facteur important : l'indice de réfraction du film, qui change selon la composition du liquide (savon, eau, glycérine...). Cela influence la vitesse de la lumière dans le film et donc les conditions d'interférence.Enfin, lorsque le film devient trop mince — de l'ordre de 10 à 20 nanomètres — presque toutes les longueurs d'onde s'annulent par interférence destructrice. La bulle apparaît alors noire ou transparente juste avant d'éclater.En résumé, les couleurs arc-en-ciel des bulles de savon sont le fruit d'un subtil jeu entre lumière, épaisseur du film, et interférences optiques. Une leçon de physique dans un souffle de savon. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Les défis intérieurs

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later May 25, 2025 72:23


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'Union des Entreprises de Proximité le 25 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Les défis liés aux Frères musulmans, au narcotrafic, à l'immigration et à l'insécurité peuvent-ils être sérieusement relevés ou sont-ils condamnés à former la base de slogans électoraux ?Narcotrafic, insécurité, immigration, Frères musulmans, les défis ne manquent pas d'alimenter le débat public en France. Quasi-consensuelle, la proposition de loi visant à lutter contre le trafic de drogues a été définitivement adoptée par le Parlement, le 29 avril. Un succès pour le gouvernement, dont le projet a obtenu un large soutien des députés. Seuls quelques élus de gauche ont voté contre cette loi qui prévoit notamment un régime de détention strict pour les narcotrafiquants, l'anonymisation des agents pénitentiaires et la création en janvier 2026 d'un parquet national anti criminalité organisée, compétent sur les dossiers les plus graves et complexes sur le modèle du parquet national antiterroriste.Suscitant au contraire la controverse, l'ancien ministre de l'Intérieur adressé un tableau très noir de l'insécurité en France. Selon lui, « il n'y a plus de lieux safe » dans le pays : quartiers, centres-villes, périphéries urbaines, villages, lieux de culte, écoles, transports en commun, terrains de sport, une violence exacerbée et décomplexée touche l'ensemble de notre pays, en dépit des multiples lois votées sur la sécurité depuis vingt ans.Sur le défi de l'immigration, devenu une des questions centrales du débat national, l'essayiste Hakim El Karoui vient de réaliser un rapport pour Terra Nova intitulé « Les travailleurs immigrés. Avec ou sans eux ? » soulignant que « dans un contexte de vieillissement démographique » et avec les enjeux de renouvellement de la population active qui lui sont associés, « le recours à la main-d'œuvre étrangère sera décisif dans les années et qui viennent ». Réfutant la note de Terra Nova, le directeur de l'Observatoire de l'immigration et de la démographie assure dans le Figaro que la France n'a pas besoin de plus d'immigration.Autre défi, « Les Frères musulmans et l'islamisme politique en France », ont fait l'objet un rapport présenté mercredi lors d'un Conseil de défense à l'Élysée. Réalisé au premier semestre 2024 par un diplomate et un préfet, il décrit « un important réseau d'implantations », listant « 139 lieux de cultes affiliés aux Musulmans de France » et 55 proches de cette fédération, soit « 7% des 2.800 lieux de culte musulmans répertoriés sur le sol national », accueillant « en moyenne 91.000 fidèles le vendredi ». Pour les auteurs, « le danger d'un islamisme municipal, composite au plan idéologique mais très militant, avec des effets croissants dans l'espace public et le jeu politique local, apparaît bien réel ». Depuis sa publication, le document alimente un vif débat. Si l'anthropologue Florence Bergeaud-Blacker, chargée de recherche au CNRS, se félicite d'une « prise de conscience » salutaire, d'autres spécialistes dénoncent un usage politique du rapport et décrivent un mouvement en déclin, aussi bien à l'extérieur de nos frontières qu'à l'intérieur.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Choses à Savoir SCIENCES
Comment la glace "superionique" peut-elle être à la fois solide et liquide ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later May 25, 2025 2:40


La glace superionique n'a rien à voir avec la glace que nous connaissons. Pour exister, elle nécessite des conditions physiques extrêmes : des températures de plusieurs milliers de degrés et des pressions de l'ordre de plusieurs centaines de gigapascals, soit un million de fois la pression atmosphérique terrestre. Ces conditions ne sont réunies naturellement que dans les profondeurs de certaines planètes, comme Uranus et Neptune.Sa particularité tient à sa structure atomique étrange. Composée, comme toute glace, de molécules d'eau (H₂O), elle adopte dans cet état un comportement radicalement nouveau. Les atomes d'oxygène forment un réseau cristallin rigide, immobile, qui donne à la matière une apparence solide. Mais à l'intérieur de ce squelette figé, les atomes d'hydrogène deviennent mobiles : ils se déplacent rapidement entre les atomes d'oxygène, un peu comme les électrons dans un métal. C'est cette mobilité partielle qui rend la glace superionique à la fois solide et fluide.Cette propriété inhabituelle lui confère un autre trait remarquable : elle conduit l'électricité. Les ions hydrogène, chargés positivement, circulent librement, ce qui permet à des courants électriques de se former, exactement comme dans un électrolyte liquide. Cette conductivité la distingue radicalement des autres formes de glace, généralement isolantes. C'est aussi ce qui rend la glace superionique potentiellement active dans la génération de champs magnétiques planétaires, comme ceux, particulièrement chaotiques, observés sur Uranus ou Neptune.Autre curiosité : la glace superionique est noire et opaque. Contrairement à la glace claire et translucide que nous connaissons, celle-ci absorbe la lumière. Ce comportement optique est dû à la structure électronique désordonnée introduite par les ions mobiles et la température élevée. En laboratoire, des scientifiques sont parvenus à créer ce type de glace en utilisant des lasers à impulsion très courte pour chauffer et comprimer de la glace d'eau entre deux pointes de diamant. La transition vers l'état superionique a été détectée grâce à des changements dans l'opacité du matériau et dans sa réponse électrique.La glace superionique pourrait représenter l'un des états de la matière les plus répandus dans l'univers, bien qu'inexistant à la surface de la Terre. Dans les couches profondes des planètes géantes, où pression et température atteignent les niveaux requis, elle pourrait occuper des volumes colossaux. En étudiant ce matériau, les scientifiques espèrent mieux comprendre la composition interne de nombreuses planètes, mais aussi les mécanismes dynamiques qui régissent leur évolution. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage International
États-Unis: pourquoi des libertariens sont vent debout contre les mesures de Donald Trump

Reportage International

Play Episode Listen Later May 24, 2025 2:20


Le Parti républicain regroupe actuellement différents courants de pensées conservateurs aux États-Unis avec une partie qui se reconnait comme libertarienne. Une idéologie souvent assimilée aux conservateurs, pourtant, elle s'y oppose sur de nombreux points. Rencontre avec des libertariens de la ville de Mount Washington, dans le Kentucky, pour voir ce qu'ils pensent de la politique du président Donald Trump. De notre envoyé spécial à Mount Washington,Trois personnes terminent la réunion mensuelle du parti libertarien local, dans une salle de cette bibliothèque publique. Un des points de désaccord avec les républicains est la place qu'occupe la religion dans la politique, comme l'explique Steve, le président du parti libertarien local : « Je me considère comme un chrétien anarchiste. Ce qui veut dire que chacun devrait vivre la vie que Dieu a prévue pour lui et le gouvernement ne devrait pas nous dire comment faire cela. Le gouvernement ne doit avoir aucun rôle dans la vie des personnes, ce que les gens font ne nous regarde pas. »De nombreux États conservateurs, comme ici dans le Kentucky, ont interdit ou réduit l'accès à l'avortement, citant notamment des raisons religieuses. Un argument auquel Steve s'oppose : « Je ne suis pas en faveur de l'avortement, je n'aime pas ça. Mais s'il existe une clinique d'avortement et une personne estime qu'elle a besoin d'y aller, je peux détourner le regard, car la dernière chose qu'on veut, c'est la création d'un marché noir. »Diminuer le rôle du gouvernement Autre point de désaccord : la politique anti-immigration des républicains contraire aux valeurs de Mitch : « Je suis pour l'ouverture des frontières. Je n'ai aucun problème à ce que les gens entrent dans ce pays. C'est ce que tout le monde a fait quand ce pays a été créé. Et je pense que c'est formidable d'avoir un groupe varié de personnes avec des idées et des cultures différentes. C'est une chose géniale. Essayer de renvoyer la moitié de la population ou je ne sais combien, on s'en fiche. »Une des revendications principales des libertariens est de diminuer le rôle du gouvernement, ce que fait Donald Trump avec ses coupes budgétaires drastiques et ses licenciements de fonctionnaires. Mais la façon dont le président procède n'est pas la bonne pour Rhonda : « Je pense qu'on doit examiner chaque partie de l'administration pour voir où l'on peut faire ces changements. Mais arriver avec un bulldozer en renvoyant tout le monde et retirant des ressources du peuple américain n'est pas la bonne façon de le faire. »Les trois personnes s'opposent également au système politique américain dominé par les deux partis - -républicain et démocrate - et regrettent le manque d'alternatives politiques.