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Fiscalité immobilière, encadrement des loyers, loi Climat et Résilience… Grand invité du Congrès de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM) en décembre dernier à Paris, le maire du Havre, Edouard Philippe (Horizons) et candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2027 a balayé tous les sujets et a dévoilé d'ores-et-déjà quelques éléments qui pourraient figurer dans son programme de campagne en matière de politique du logement. Sa principale mesure est sans aucun doute de « renforcer les droits des propriétaires pour rendre le marché de l'immobilier locatif plus fluide. » Avant de reconnaître que la loi portée par Guillaume Kasbarian (Ensemble pour la République) « visant à protéger les logements contre l'occupation illicite », adoptée, il y a deux ans, a déjà modifié les règles. Autre prise de position qui a satisfait nombre de propriétaires et les adhérents de la Fnaim, l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), l'Union des syndicats de l'immobilier (UNIS) et le Syndicat national des professionnels de l'immobilier (SNPI) : Edouard Philippe se dit défavorable à la pérennisation de l'encadrement des loyers, dont l'expérimentation prendra fin en novembre 2026 et son renforcement vient d'être d'adopté à dans le cadre de la « niche parlementaire » du groupe "Socialistes et apparentés ». Pour Edouard Philippe, « il vaut mieux laisser le marché immobilier faire son œuvre, mais cela veut dire que localement, il faut une politique de construction pour renforcer l'offre de logements. » Une position partagée par Nicolas Tryzna député LR du Val-de-Marne, suppléant de Vincent Jeanbrun, nommé ministre de la Ville et du Logement dans le gouvernement Lecornu 2 qui « s'attache beaucoup au lien avec les élus locaux et les concitoyens pour répondre à la crise du logement et restaurer la crédibilité de l'action publique.»
Fiscalité immobilière, encadrement des loyers, loi Climat et Résilience… Grand invité du Congrès de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM) en décembre dernier à Paris, le maire du Havre, Edouard Philippe (Horizons) et candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2027 a balayé tous les sujets et a dévoilé d'ores-et-déjà quelques éléments qui pourraient figurer dans son programme de campagne en matière de politique du logement. Sa principale mesure est sans aucun doute de « renforcer les droits des propriétaires pour rendre le marché de l'immobilier locatif plus fluide. » Avant de reconnaître que la loi portée par Guillaume Kasbarian (Ensemble pour la République) « visant à protéger les logements contre l'occupation illicite », adoptée, il y a deux ans, a déjà modifié les règles. Autre prise de position qui a satisfait nombre de propriétaires et les adhérents de la Fnaim, l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), l'Union des syndicats de l'immobilier (UNIS) et le Syndicat national des professionnels de l'immobilier (SNPI) : Edouard Philippe se dit défavorable à la pérennisation de l'encadrement des loyers, dont l'expérimentation prendra fin en novembre 2026 et son renforcement vient d'être d'adopté à dans le cadre de la « niche parlementaire » du groupe "Socialistes et apparentés ». Pour Edouard Philippe, « il vaut mieux laisser le marché immobilier faire son œuvre, mais cela veut dire que localement, il faut une politique de construction pour renforcer l'offre de logements. » Une position partagée par Nicolas Tryzna député LR du Val-de-Marne, suppléant de Vincent Jeanbrun, nommé ministre de la Ville et du Logement dans le gouvernement Lecornu 2 qui « s'attache beaucoup au lien avec les élus locaux et les concitoyens pour répondre à la crise du logement et restaurer la crédibilité de l'action publique.»
durée : 00:54:45 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - De Simon & Garfunkel à The Doors en passant par Vashti Bunyan et Sufjan Stevens, Michka Assayas nous offre pour Noël une playlist vintage pour célébrer la fin de l'année. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La presse algérienne revient largement sur cette adoption de la proposition de loi criminalisant la colonisation française. « Adoption à l'unanimité » par les membres de l'APN, l'Assemblée populaire nationale en plénière, souligne le journal algérien El Moudjahid. Le média parle d'« une démarche inédite [qui va] dans le sens de la préservation de la mémoire nationale et de l'établissement des responsabilités, d'autant plus que, jusque-là, la France coloniale se refuse à reconnaître ses crimes coloniaux en Algérie ». Le journal algérien Le Soir décrit la proposition de loi : « Structurée en cinq chapitres comprenant 27 articles, [elle] s'appuie sur "les principes du droit international consacrant le droit des peuples à l'équité juridique et à la justice historique et la fin de l'impunité". » Le quotidien algérien L'Expression analyse ce « texte mémoriel aux enjeux stratégiques ». Cette proposition est « un acte fondateur de justice historique », explique le média, qui décrit le texte en deux temps. D'abord : « Sur le plan interne, l'adoption de ce texte est présentée comme un levier de renforcement du Système législatif national en matière de protection de la mémoire. (…) ». « Mais, souligne L'Expression, au-delà de sa dimension mémorielle, cette initiative revêt [aussi] des enjeux stratégiques et géopolitiques majeurs. (…) ». Ainsi « en portant le débat sur le terrain juridique, l'Algérie cherche à internationaliser la question des crimes coloniaux et à les inscrire dans les normes relatives aux crimes contre l'humanité ». À lire aussiAlgérie: le Parlement valide la loi de criminalisation de la colonisation française « Une première en Afrique » Et, cette loi criminalisant le colonialisme est aussi présentée comme « une première en Afrique », explique le journal en ligne algérien TSA. Il revient notamment sur les propos de l'expert en politique internationale Abdelkader Soufi, sur les ondes de la Radio algérienne. Le spécialiste explique que cette loi vise « à établir un cadre juridique clair pour qualifier, reconnaître et condamner les crimes commis par la puissance coloniale ». La nouveauté dans ce texte réside dans « la classification détaillée des crimes, incluant désormais des faits longtemps marginalisés ou passés sous silence (...) » c'est-à-dire « la torture, les exécutions sommaires, les massacres de masse, les enfumades, les kidnappings et les viols » qui sont des pratiques « rarement reconnues dans les textes officiels auparavant ». Ce texte va donc au-delà de la reconnaissance symbolique, souligne la presse. Il criminalise la colonisation pour reconnaître les crimes car « la loi qualifie explicitement la colonisation française, qui s'est étendue de 1830 à 1962, de crime d'État », rappelle Afrik.com. « En cinq chapitres, elle recense les exactions commises durant cette période ». Des excuses officielles attendues de la part de la France Et, cette proposition de loi réclame notamment des « excuses officielles » de l'État français pour les crimes commis. Des excuses « présentées comme un préalable indispensable à toute "réconciliation mémorielle" entre les deux pays », souligne Afrik.com. Pour rappel, en 2021, le président français, Emmanuel Macron, avait qualifié la colonisation de l'Algérie de « crime contre l'humanité », mais sans présenter d'excuses officielles au nom de l'État français. « Une nuance que les autorités algériennes n'ont jamais cessé de souligner », commente le média. La loi prévoit également une « indemnisation complète et équitable pour les préjudices matériels et moraux causés par la colonisation. Elle appelle la France à restituer l'ensemble des archives liées à cette période ». Autre point mentionné par la proposition de loi : la décontamination des sites affectés par les essais nucléaires français. Le texte possède également des dispositions pénales qui répriment la glorification de la colonisation. « Les relations avec l'ancienne puissance coloniale demeurent fragiles » Et, les réactions de Paris sont commentées aussi. Le média Observalgerie mentionne les déclarations du Quai d'Orsay : « Paris estime que cette loi va à l'encontre de la volonté de reprise du dialogue franco-algérien et d'un travail serein sur les enjeux mémoriels ». Par ailleurs, le Quai d'Orsay a précisé que « la France n'avait pas vocation à commenter la politique intérieure algérienne. [Le Quai d'Orsay] a toutefois rappelé "l'ampleur du travail engagé par le président" Emmanuel Macron sur les questions mémorielles, notamment à travers une commission mixte d'historiens des deux pays. » Dans sa déclaration, le ministère français a également réaffirmé sa volonté de « continuer à travailler à la reprise d'un dialogue exigeant avec l'Algérie ». Ce qu'il faut retenir, souligne Afrik.com, c'est qu'« au-delà de ses effets juridiques concrets, cette loi marque un tournant : celui d'un État qui choisit de faire de la mémoire un acte législatif, et de l'histoire un enjeu pleinement politique, au moment même où les relations avec l'ancienne puissance coloniale demeurent fragiles et chargées de non-dits ». À lire aussiFrance-Algérie: le président Macron évoque une reprise du dialogue avec Alger
La presse algérienne revient largement sur cette adoption de la proposition de loi criminalisant la colonisation française. « Adoption à l'unanimité » par les membres de l'APN, l'Assemblée populaire nationale en plénière, souligne le journal algérien El Moudjahid. Le média parle d'« une démarche inédite [qui va] dans le sens de la préservation de la mémoire nationale et de l'établissement des responsabilités, d'autant plus que, jusque-là, la France coloniale se refuse à reconnaître ses crimes coloniaux en Algérie ». Le journal algérien Le Soir décrit la proposition de loi : « Structurée en cinq chapitres comprenant 27 articles, [elle] s'appuie sur "les principes du droit international consacrant le droit des peuples à l'équité juridique et à la justice historique et la fin de l'impunité". » Le quotidien algérien L'Expression analyse ce « texte mémoriel aux enjeux stratégiques ». Cette proposition est « un acte fondateur de justice historique », explique le média, qui décrit le texte en deux temps. D'abord : « Sur le plan interne, l'adoption de ce texte est présentée comme un levier de renforcement du Système législatif national en matière de protection de la mémoire. (…) ». « Mais, souligne L'Expression, au-delà de sa dimension mémorielle, cette initiative revêt [aussi] des enjeux stratégiques et géopolitiques majeurs. (…) ». Ainsi « en portant le débat sur le terrain juridique, l'Algérie cherche à internationaliser la question des crimes coloniaux et à les inscrire dans les normes relatives aux crimes contre l'humanité ». À lire aussiAlgérie: le Parlement valide la loi de criminalisation de la colonisation française « Une première en Afrique » Et, cette loi criminalisant le colonialisme est aussi présentée comme « une première en Afrique », explique le journal en ligne algérien TSA. Il revient notamment sur les propos de l'expert en politique internationale Abdelkader Soufi, sur les ondes de la Radio algérienne. Le spécialiste explique que cette loi vise « à établir un cadre juridique clair pour qualifier, reconnaître et condamner les crimes commis par la puissance coloniale ». La nouveauté dans ce texte réside dans « la classification détaillée des crimes, incluant désormais des faits longtemps marginalisés ou passés sous silence (...) » c'est-à-dire « la torture, les exécutions sommaires, les massacres de masse, les enfumades, les kidnappings et les viols » qui sont des pratiques « rarement reconnues dans les textes officiels auparavant ». Ce texte va donc au-delà de la reconnaissance symbolique, souligne la presse. Il criminalise la colonisation pour reconnaître les crimes car « la loi qualifie explicitement la colonisation française, qui s'est étendue de 1830 à 1962, de crime d'État », rappelle Afrik.com. « En cinq chapitres, elle recense les exactions commises durant cette période ». Des excuses officielles attendues de la part de la France Et, cette proposition de loi réclame notamment des « excuses officielles » de l'État français pour les crimes commis. Des excuses « présentées comme un préalable indispensable à toute "réconciliation mémorielle" entre les deux pays », souligne Afrik.com. Pour rappel, en 2021, le président français, Emmanuel Macron, avait qualifié la colonisation de l'Algérie de « crime contre l'humanité », mais sans présenter d'excuses officielles au nom de l'État français. « Une nuance que les autorités algériennes n'ont jamais cessé de souligner », commente le média. La loi prévoit également une « indemnisation complète et équitable pour les préjudices matériels et moraux causés par la colonisation. Elle appelle la France à restituer l'ensemble des archives liées à cette période ». Autre point mentionné par la proposition de loi : la décontamination des sites affectés par les essais nucléaires français. Le texte possède également des dispositions pénales qui répriment la glorification de la colonisation. « Les relations avec l'ancienne puissance coloniale demeurent fragiles » Et, les réactions de Paris sont commentées aussi. Le média Observalgerie mentionne les déclarations du Quai d'Orsay : « Paris estime que cette loi va à l'encontre de la volonté de reprise du dialogue franco-algérien et d'un travail serein sur les enjeux mémoriels ». Par ailleurs, le Quai d'Orsay a précisé que « la France n'avait pas vocation à commenter la politique intérieure algérienne. [Le Quai d'Orsay] a toutefois rappelé "l'ampleur du travail engagé par le président" Emmanuel Macron sur les questions mémorielles, notamment à travers une commission mixte d'historiens des deux pays. » Dans sa déclaration, le ministère français a également réaffirmé sa volonté de « continuer à travailler à la reprise d'un dialogue exigeant avec l'Algérie ». Ce qu'il faut retenir, souligne Afrik.com, c'est qu'« au-delà de ses effets juridiques concrets, cette loi marque un tournant : celui d'un État qui choisit de faire de la mémoire un acte législatif, et de l'histoire un enjeu pleinement politique, au moment même où les relations avec l'ancienne puissance coloniale demeurent fragiles et chargées de non-dits ». À lire aussiFrance-Algérie: le président Macron évoque une reprise du dialogue avec Alger
La course à l'intelligence artificielle est aussi une course à l'énergie. Pour alimenter des centres de données toujours plus gourmands, tous les leviers sont désormais actionnés, quitte à reléguer les considérations climatiques au second plan. Dans ce paysage déjà sous tension, un autre secteur énergivore entre en scène : l'aviation. Deux univers que tout oppose en apparence, mais qui partagent en réalité trois obsessions communes : la vitesse, la puissance et l'accès à l'énergie.C'est précisément ce croisement inattendu qu'exploite Boom Supersonic, l'avionneur américain qui rêve de faire renaître le vol supersonique civil avec son appareil Overture. Faute de financements suffisants pour mener seul ce projet coûteux, la start-up a trouvé une voie de diversification audacieuse : transformer un moteur d'avion… en générateur électrique pour l'IA. Le principe est simple : une turbine reste une turbine. Le moteur Mach 1+ Symphony, conçu pour propulser un avion supersonique, a été adapté pour produire de l'électricité au sol. Ce dérivé, baptisé Superpower, fonctionne comme un turbogénérateur alimenté au gaz naturel — ou au diesel en secours. Le cœur technologique reste très proche de la version aéronautique : près de 80 % des composants sont identiques. La principale différence réside dans l'ajout d'étages de compression et d'une turbine à vapeur libre, dont la rotation génère l'électricité. Résultat : un générateur compact, à peine plus volumineux qu'un conteneur de fret, capable de produire jusqu'à 42 mégawatts en continu, sans système de refroidissement actif, même sous 43 °C. Autre atout majeur : une mise en service en une quinzaine de jours, là où la construction d'infrastructures énergétiques classiques prend des années.Boom Supersonic affirme déjà avoir séduit des clients. L'entreprise Crusoe, spécialisée dans les infrastructures pour centres de données, a commandé plusieurs unités Superpower pour une capacité cumulée annoncée de 1,21 gigawatt. Une puissance équivalente à celle d'une centrale électrique de taille respectable. À première vue, l'alliance entre aviation et intelligence artificielle surprend. Mais aux États-Unis, la demande énergétique liée à l'IA explose à un rythme tel que d'anciennes centrales nucléaires sont parfois réactivées. Les projections évoquent un doublement de la consommation électrique des data centers dans les prochaines années. Dans ce contexte, un générateur capable de fournir une énergie massive, stable et rapidement déployable apparaît presque logique. Reste une question majeure, largement éludée pour l'instant : celle de l'empreinte carbone. Car derrière cette ingénierie brillante, l'énergie fossile demeure au cœur du système — un paradoxe de plus dans la révolution numérique en cours. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le 24 décembre 2003, Alexis rentre d'un déplacement à Londres, et il est interpellé à la descente du train, par un chauffeur qui semble le confondre avec un autre. Amusé par la situation et n'ayant aucun programme le soir de Noël, il accepte l'invitation. Arrivée chez une dame qu'il ne connait pas, il passe néanmoins un excellent réveillon.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:31 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Ce soir, le père Noël risque d'être contrôlé positif ce soir dans Very God Trip avec un voyage musical de Julian Casablancas aux Pogues. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Savoir situer fleuves, rivières, mers et océans, connaître les principales chaînes de montagnes, localiser les pays et leurs frontières, appréhender les flux migratoires, les conséquences de l'urbanisation ou du réchauffement climatique... Voici une liste non exhaustive de ce que nous enseigne la géographie. Des savoirs essentiels pour représenter l'espace, comprendre le monde qui nous entoure et la place qu'on y occupe. Et depuis, l'arrivée du GPS dans notre quotidien, il est désormais facile de se géolocaliser et de se promener virtuellement aux quatre coins de la planète. Pourtant, si la géographie cherche à nous expliquer le monde en le décrivant, elle s'appuie sur des cartes qui reflètent une certaine vision. Par exemple, début 2025, la décision de Donald Trump de rebaptiser le «Golfe du Mexique» en «Golfe d'Amérique» a été reprise sur Google Maps, le leader mondial de la cartographie numérique. Autre exemple, la projection du Mercator, créée à l'origine pour la navigation maritime, devenue la carte la plus utilisée au monde, fait l'objet de contestation. Dans cette version, la taille de l'Afrique est notamment sous-estimée. Représenter la forme des continents, la hauteur des montagnes, transcrire la surface sphérique de la terre sur du papier, nécessite des conventions et des normes. La géographie n'est donc pas une matière neutre comme on pourrait le croire. Dans ce contexte, comment enseigner la géographie ? Cette émission est une rediffusion du 12 novembre 2025 Avec : • Nicolas Lambert, ingénieur de recherche au CNRS, au Centre pour l'analyse spatiale et la géovisualisation. Enseignant en cartographie et webmapping à l'Université de Paris Cité. Co-auteur avec Françoise Bahoken de Cartographia, comment les géographes (re)dessinent le Monde (Armand Colin – 2025) • Labaly Touré, enseignant chercheur, responsable de la filière Géomatique, à l'Université du Sine Saloum El Hadj Ibrahima Niass (USSEIN) à Kaolack, au Sénégal. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction Bangkok avec notre correspondante Juliette Chaignon. En mars 2025, la Thaïlande a annoncé assouplir les règles concernant le fait de porter les cheveux longs et détachés à l'école. La loi nationale de 1972, écrite pendant la dictature militaire, a été abrogée et désormais les écoles publiques décident de leur propre règlement. Mais 6 mois après cette décision, des cas de sanctions perdurent. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Programmation musicale : ► Deux et Demi - Orelsan ► Skido – Victony / Olamide.
Savoir situer fleuves, rivières, mers et océans, connaître les principales chaînes de montagnes, localiser les pays et leurs frontières, appréhender les flux migratoires, les conséquences de l'urbanisation ou du réchauffement climatique... Voici une liste non exhaustive de ce que nous enseigne la géographie. Des savoirs essentiels pour représenter l'espace, comprendre le monde qui nous entoure et la place qu'on y occupe. Et depuis, l'arrivée du GPS dans notre quotidien, il est désormais facile de se géolocaliser et de se promener virtuellement aux quatre coins de la planète. Pourtant, si la géographie cherche à nous expliquer le monde en le décrivant, elle s'appuie sur des cartes qui reflètent une certaine vision. Par exemple, début 2025, la décision de Donald Trump de rebaptiser le «Golfe du Mexique» en «Golfe d'Amérique» a été reprise sur Google Maps, le leader mondial de la cartographie numérique. Autre exemple, la projection du Mercator, créée à l'origine pour la navigation maritime, devenue la carte la plus utilisée au monde, fait l'objet de contestation. Dans cette version, la taille de l'Afrique est notamment sous-estimée. Représenter la forme des continents, la hauteur des montagnes, transcrire la surface sphérique de la terre sur du papier, nécessite des conventions et des normes. La géographie n'est donc pas une matière neutre comme on pourrait le croire. Dans ce contexte, comment enseigner la géographie ? Cette émission est une rediffusion du 12 novembre 2025 Avec : • Nicolas Lambert, ingénieur de recherche au CNRS, au Centre pour l'analyse spatiale et la géovisualisation. Enseignant en cartographie et webmapping à l'Université de Paris Cité. Co-auteur avec Françoise Bahoken de Cartographia, comment les géographes (re)dessinent le Monde (Armand Colin – 2025) • Labaly Touré, enseignant chercheur, responsable de la filière Géomatique, à l'Université du Sine Saloum El Hadj Ibrahima Niass (USSEIN) à Kaolack, au Sénégal. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction Bangkok avec notre correspondante Juliette Chaignon. En mars 2025, la Thaïlande a annoncé assouplir les règles concernant le fait de porter les cheveux longs et détachés à l'école. La loi nationale de 1972, écrite pendant la dictature militaire, a été abrogée et désormais les écoles publiques décident de leur propre règlement. Mais 6 mois après cette décision, des cas de sanctions perdurent. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Programmation musicale : ► Deux et Demi - Orelsan ► Skido – Victony / Olamide.
L’autre Music chaque mardi soir de 20h à 21h, présenté par Stéphane Cleyrat. L’autre Music c ‘est un mélange de Rock, de blues et de chansons […]
durée : 00:25:02 - Richard Galliano, accordéoniste (5/5) - par : Judith Chaine - Dans ce dernier épisode, Richard Galliano nous parle de Bach, de l'accordéon dans le répertoire classique, de sa quête de simplicité dans l'écriture et de la joie de transmettre ce qu'il ressent sur scène. - réalisé par : Adrien Roch Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:45 - Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Les athlètes de haut niveau sont souvent fragiles, mais certains réussissent à aborder cette transition avec douceur, voire avec bonheur. C'est le cas de Nikola Karabatic, légende du handball qui a su tirer son épingle du jeu. Rencontre également avec le psychologue du sport Makis Chamalidis. - réalisation : Alison Vicrobeck
Un éditorialiste du New York Times se demande si le président américain Donald Trump serait passé de mode. « Il y a un an, on entendait partout que Donald Trump était devenu cool. Est-ce qu'une seule personne dit cela aujourd'hui ? » Réalité ou fantasme ? En tout cas cet auteur en veut pour preuve que, « alors que l'année 2025 se referme, la popularité de Donald Trump stagne autour de 40 %, voire titube du côté des 30 % ». Il est donc loin, estime encore le journal, le moment où « la culture américaine et les institutions empruntaient la voie de Trump et du trumpisme avec une force que sa victoire électorale de justesse ne suffisait pas à expliquer ». Alors, qu'est-ce qui a changé depuis le mois de janvier ? « Il y aurait beaucoup à dire », soupire cet éditorialiste, mais pour commencer, « Trump a menti à ses électeurs ». Sur le plan économique d'abord, en promettant « que les Américains ne paieraient rien mais gagneraient tout », avant de mettre en place des droits de douane qui « ont fait grimper les prix, ont troublé les entreprises et ont éloigné des alliés, sans pour autant accomplir grand-chose ». Il ne faut pas oublier « les coupes budgétaires indiscriminées dans le gouvernement fédéral, qui ont transpiré dans le reste de l'économie », souligne le South China Morning Post, d'autant plus que « le processus a été mené de manière erratique ». Trump « pousse de plus en plus les États-Unis à la guerre » Sur le plan géopolitique aussi, « faites ce que je dis, pas ce que je fais » : cette fois, c'est USA Today qui pointe. « Ne vous attendez pas à ce que Trump respecte ses propres préceptes MAGA au sujet de l'interventionnisme », ironise le journal. Notamment « sa promesse de mettre un terme aux guerres sans fin ». Quelques mois plus tard, pointe le Washington Post, les plans de paix de Donald Trump « ne cessent de s'effriter », quand ce n'est pas le président lui-même qui joue les va-t-en-guerre. Et USA Today de prendre l'exemple du Venezuela : le chef d'État « pousse de plus en plus les États-Unis à la guerre » avec ce pays d'Amérique latine, et montre « une obsession croissante pour un changement de régime » à Caracas. Autre exemple criant : celui de la guerre entre la Russie et l'Ukraine. La promesse de régler le conflit en 24 h est morte et enterrée depuis bien longtemps. Régulièrement, des pourparlers sont organisés en grande pompe… sans succès. Ces derniers jours, des négociations se sont poursuivies à Miami « sans avancée décisive », grimace Le Figaro. Le président américain peut bien « rêver d'obtenir un cessez-le-feu », il reste soumis à une Russie qui « joue habilement la montre, profitant des récriminations américaines contre l'Ukraine ». En bref, Donald Trump et son équipe sèment les graines de leur propre infortune. D'autres acteurs internationaux en tirent leur épingle C'est ce qu'essaie de faire, en France, Emmanuel Macron, écrit Le Figaro. Le quotidien rappelle que « le président français (…) a proposé vendredi à son homologue russe de reprendre une discussion directe ». Reprendre la main de cette manière permettrait à la fois à l'Europe de s'autonomiser vis-à-vis de l'administration Trump et à Emmanuel Macron de redorer son image, lui qui, tance le quotidien toujours, est « à bout de souffle politiquement en France ». À moins que le problème ne soit plus profond ? Pour le New York Times, en réalité, « la France a besoin d'une nouvelle France ». Le pays n'est pas le seul à batailler avec la montée de l'extrême droite, les menaces contre les services publics, et l'explosion de la dette. Mais sa particularité, c'est cette Constitution « imaginée pour Charles de Gaulle en 1958, en pleine guerre d'Algérie » et qui a doté le président « d'étonnantes prérogatives constitutionnelles ». Une « turboprésidence », c'est étonnant au pays de la Révolution, note le quotidien new-yorkais. « Cela semble particulièrement mal aligné avec l'humeur nationale actuelle. » Pour l'heure, une nouvelle Constitution, le pouvoir n'y tient pas. Mais, y a-t-il vraiment le choix ? Cinq Premiers ministres se sont succédé en trois ans ; ce 22 décembre, le pays n'a toujours pas de budget pour la semaine prochaine ; alors la VIe République n'est peut-être plus « une utopie », pointe le New York Times, mais bien « la seule sortie de crise possible ».
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Le portrait économique actuel au Québec est teinté d'inquiétudes, tant pour les entrepreneurs que pour les locataires. Malgré des ventes records de 20 milliards de dollars au Québec, le secteur de la restauration traverse une période historiquement sombre. Les coûts d'exploitation explosent, rognant les marges de profit jusqu'à un niveau critique de 1,2%, comparativement à 4% ou 7% autrefois. Actuellement, 41% des restaurants au Canada sont en difficulté financière, contre environ 12% durant la pandémie. Autre sujet abordé La réforme du Tribunal administratif du logement (TAL) suscite également de vives critiques. Si le gouvernement promet une simplification, Isabelle Thibault y voit plutôt une perte de transparence pour les locataires.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
L’entreprise montoise I-care rejoint le cercle très fermé des licornes wallonnes, aux côtés d’Odoo, avec une valorisation qui dépasse le milliard de dollars. La société spécialisée dans la maintenance prédictive industrielle devrait faire son entrée en bourse en 2027. Autre bonne nouvelle pour la Wallonie: un prêt de 15 millions d’euros vient d’être débloqué pour la création d’un centre de protonthérapie à Charleroi, un projet médical de pointe, dans les cartons depuis plus de dix ans, freiné jusqu'ici par des considérations politiques et financières. Pour décrypter ces annonces, Ondine Werres reçoit dans le Brief le rédacteur en chef de L’Echo, Paul Gérard. Ensemble, ils lèvent le voile sur les coulisses de la rédaction en évoquant les projets en cours et à venir, à l'approche des fêtes de fin d’année. Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Je trouve encore incroyable que le sujet de la haute sensibilité et de l'hypersensibilité soit si mal connu et mal reconnu en France, alors que vous êtes nombreux à en souffrir.Cela fait maintenant plus de cinq ans que je vis au Royaume-Uni, et je constate à quel point il existe un énorme écart entre la connaissance et la compréhension de l'hypersensibilité à l'international et la vision qu'on en a encore en France.J'espère que ce podcast pourra vous apporter matière à réflexion, vous rassurer et vous montrer que vous n'êtes pas seuls.Et il y a une belle nouvelle : nous sommes nombreux à vouloir faire évoluer les choses, et notamment à travers la création du Sommet sur l'hypersensibilité, qui aura lieu du 12 au 18 janvier, totalement gratuit ! Vous pouvez vous inscrire directement ici : https://www.elodiecrepel.com/sommet-hypersensibilite-2026 .Je vous souhaite un très joyeux Noël, en espérant que ce podcast puisse vous faire plaisir comme un petit cadeau de Noël.Avec bienveillance,Élodie______________________________________
En Côte d'Ivoire, alors que la récolte du gingembre démarre, les acteurs de cette filière planchent sur une meilleure organisation de la filière. Le pays produit environ 7 000 tonnes par an, mais il reste loin derrière le Nigeria, le Cameroun et le Mali. Près de 1 270 producteurs s'investissent dans ce domaine. Parmi eux, à peine 20 % sont regroupés en association. C'est une filière encore peu structurée… Mais les producteurs s'accrochent, car selon eux, cette filière est rentable. « Le kilogramme se vend actuellement à 1 000 francs CFA. Pour un tas de 50 kg, cela vous fait 50 000 francs CFA », affirme Kouamé Koffi, le président de la filière gingembre en Côte d'Ivoire. L'essentiel de la production locale est orienté vers les marchés internes. Transformation encore embryonnaire On trouve dans certains commerces des jus, des poudres et du gingembre séché. Mais ces marchandises sont peu développées, en raison du manque d'équipement des entreprises. « Les machines qui produisent en grande quantité se trouvent à l'étranger. Et quand on a la possibilité de les acquérir, on a un problème de maintenance », explique le Dr Opportune Kouadio, la présidente de l'association des transformateurs de gingembre. Autre difficulté : l'acquisition de la matière première, qui n'est pas toujours disponible en quantité et en qualité toute l'année. Filière impactée par les changements climatiques Les principales zones de production se concentrent autour de Koun-Fao, Bongouanou, de Tiassalé ou encore de Divo. Mais pour l'heure, la productivité est encore faible : elle est de 7 tonnes/ha, contre 28 t/ha en Indonésie. Ceci est lié aux méthodes de travail rudimentaires : « Les producteurs sèment le gingembre avec des dabas et utilisent des machettes, c'est une méthode très lente », explique le président de la filière gingembre. Par ailleurs, le changement climatique, et notamment, la variation de la pluviométrie a fortement contribué à la baisse de la production, poursuit cette source, qui estime qu'investir dans un système de goutte à goutte serait une solution à long terme. Appui de la recherche Les producteurs bénéficient de l'appui de la recherche. À l'image du Firca (Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole) qui pourrait proposer, d'ici 2027, des variétés à haut rendement qui pourront avoisiner les 20 tonnes/ha. À lire aussiEn Côte d'Ivoire, la production de la filière avicole est en hausse
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
Vanessa, on continue de découvrir nos villes sanctuaires. Ce matin, direction Chartres …La ville de la lumière : particulièrement en ce moment ! La magie de Noel opère avec des événements autour de sa cathédrale : Notre Dame de Chartres. Encore un sanctuaire marial. La vierge Marie y est présente 170 fois. Pourquoi ? En 876, le roi de France Charles II le Chauve offre à Chartres la Sancta Camisa, la Sainte chemise, qu'il détenait de son grand père Charlemagne. Marie l'aurait porté le jour de la naissance de Jésus. Lorsqu'on ouvre enfin le coffre qui la protège en 1712, on découvre que c'est en réalité un voile de soie. La relique portera désormais le nom de Voile de la Vierge, qui est à l'origine de nombreux pèlerinages. Mais la cathédrale abrite aussi un autre grand Trésor dans sa chapelle saint-Piat. 150 objets dédiés à la célébration et à l'ornement du service divin, dont certains servent encore aujourd'hui pour les grandes cérémonies comme une navette absolument incroyable : un coquillage ceint dans une monture d'orfèvrerie.Donc la visite de la cathédrale s'impose, doublement j'imagine pendant les fêtes ?Oui avec un mapping spécial fêtes dans le cadre de Chartres en lumières. Une création artistique spectaculaire pour cette cathédrale, qui a été la première à être classée, notamment pour ses vitraux. Le plus connu, Notre dame de la Belle Verrière pour son célèbre "Bleu de Chartres" très lumineux et mieux conservé que les autres couleurs. A base entre autres de Cobalt cuivre et fer. Autre découverte à faire au cœur de la Cathédrale : son labyrinthe qui a servi de modèle dans le reste du monde. Un pèlerinage intérieur pour méditer sur le passage de mort a la vie éternelle. Et puis pour aller encore plus loin dans l'histoire de la cathédrale et de Chartres, je vous recommande le spectacle immersif "Mille ans d'éclat" à l'Enclos de Loens. Vous êtes immergés au cœur de scènes vivantes, spectaculaires, tous vos sens sont mis en émois. Cerise sur le gâteau : le conteur est Stéphane Bern.Et où est-ce qu'on pose nos valises ?Au Maleyssie, à 2 pas du théâtre. Un nouveau lieu inédit : des suites d'hôtes, une brasserie et un bar feutré ! Très festif et familial.Fiche pratique Hébergement https://maleyssie-chartres.fr/fr/Le trésor de la cathédrale, Chartres en lumières : https://www.chartresenlumieres.com/fr/a-propos/chartres-en-lumieres-fete-noel Le spectacle immersif Chartres "Mille ans d'éclat" https://chartres.milleansdeclat.fr/ Office du tourisme de Chartres www.chartres-tourisme.comHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'annonce remonte à octobre 2023, mais elle mérite clairement qu'on s'y attarde à nouveau. Des chercheurs du Lawrence Berkeley National Laboratory et de l'Université de Californie à Berkeley ont présenté une technologie de refroidissement radicalement nouvelle, capable de bouleverser un secteur aujourd'hui sous pression climatique. En ligne de mire : les hydrofluorocarbures, ces gaz réfrigérants ultra-polluants encore largement utilisés dans la climatisation et la réfrigération.Le principe exploité est à la fois simple et élégant. Lorsqu'un matériau change d'état — solide, liquide ou gazeux — il absorbe ou libère de la chaleur. La glace qui fond refroidit son environnement : tout le monde l'a déjà constaté. Les chercheurs sont partis d'un autre phénomène bien connu : l'ajout d'ions peut modifier le point de fusion d'une substance sans en augmenter la température. C'est exactement ce qui se passe lorsque l'on sale les routes en hiver pour empêcher la formation de glace.L'équipe californienne a transposé ce mécanisme dans un système de refroidissement inédit, baptisé cycle ionocalorique. En appliquant un très faible courant électrique, inférieur à un volt, les chercheurs déplacent des ions à l'intérieur du dispositif. Ce mouvement modifie le point de fusion du matériau utilisé, provoquant une variation de température spectaculaire. Lors des tests, un mélange de sel iodé et sodique a permis de faire fondre du carbonate d'éthylène — un solvant courant dans les batteries lithium-ion — avec un écart thermique atteignant 25 degrés Celsius. Une performance inédite pour ce type de technologie. « Personne n'avait jusqu'ici développé une solution qui soit à la fois efficace, sûre et respectueuse de l'environnement », souligne Drew Lilley, ingénieur en mécanique au laboratoire de Berkeley. Contrairement aux systèmes classiques, basés sur la compression et l'évaporation de fluides frigorigènes très polluants, ce procédé se passe totalement d'hydrofluorocarbures. Un enjeu crucial, alors que l'amendement de Kigali impose une réduction de 80 % de leur usage d'ici 2048.Autre atout majeur : le carbonate d'éthylène utilisé peut être produit à partir de dioxyde de carbone, ouvrant la voie à un système au potentiel climatique nul, voire négatif. Pour Ravi Prasher, autre chercheur du projet, l'équation repose sur trois critères clés : impact climatique, efficacité énergétique et coût. Et, pour la première fois, les résultats préliminaires semblent satisfaisants sur les trois fronts. Les travaux, publiés dans la revue Science, montrent même que cette technologie pourrait rivaliser avec, voire dépasser, les systèmes actuels. Le défi désormais est industriel : passer du laboratoire à des applications à grande échelle. De nouvelles équipes testent déjà d'autres sels, notamment à base de nitrates recyclables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons de la santé des enfants, et en particulier, de leur nutrition, en fonction de leur âge et de leur état de santé. L'alimentation durant les premières années de la vie constitue toujours une préoccupation majeure pour les parents. Allaitement, diversification, apports en vitamines… Autant de sujets au centre des questions que les auditrices poseront à un pédiatre. L‘alimentation des enfants constitue un sujet de préoccupation essentiel pour les parents et c'est aussi un enjeu de sensibilisation majeur, dans le domaine de la santé. Une nourriture adaptée va, en effet, conditionner la qualité de la croissance et du développement, au cours des premiers mois et des premières années. L'allaitement maternel exclusif est recommandé par l'Organisation Mondiale de la Santé jusqu'à six mois. Viennent après la période de la diversification et le passage à une alimentation solide. Installer les bonnes habitudes Bien manger, c'est aussi goûter, expérimenter et apprendre ; installer de bonnes habitudes en termes de fraîcheur et de variété pour bien grandir, grâce aux nutriments nécessaires. Autre condition importante pour une alimentation saine des enfants comme de toute la famille : c'est le respect des règles d‘hygiène (lavage des mains et des ustensiles, conservation des aliments, qualité de l'eau de boisson) pour éviter les contaminations et intoxications. Éducation nutritionnelle L'éducation nutritionnelle, c'est valoriser très tôt le goût, sans trop de sel ni de sucre, en privilégiant les produits locaux, en proposant des portions adaptées et équilibrées. Cette éducation permet d'installer de bonnes habitudes et d'éviter les pratiques et les produits qui contribuent au surpoids et augmentent à terme les risques de maladies chroniques ; éviter le grignotage et les aliments ultra-transformés, même si la publicité et les emballages colorés sont conçus pour séduire les plus jeunes et les adolescents en particulier. Avec : Dr Abou Ba, pédiatre-gastroentérologue à l'Hôpital Dalal-Jamm de Dakar au Sénégal La palabre au féminin de Charlie Dupiot. Programmation musicale : ► Nesly, Fanny J – Cordialement ► Yemi Alade - Shawa Shawa.
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité Santé. Cette semaine, nous parlons de la santé des enfants, et en particulier, de leur nutrition, en fonction de leur âge et de leur état de santé. L'alimentation durant les premières années de la vie constitue toujours une préoccupation majeure pour les parents. Allaitement, diversification, apports en vitamines… Autant de sujets au centre des questions que les auditrices poseront à un pédiatre. L‘alimentation des enfants constitue un sujet de préoccupation essentiel pour les parents et c'est aussi un enjeu de sensibilisation majeur, dans le domaine de la santé. Une nourriture adaptée va, en effet, conditionner la qualité de la croissance et du développement, au cours des premiers mois et des premières années. L'allaitement maternel exclusif est recommandé par l'Organisation Mondiale de la Santé jusqu'à six mois. Viennent après la période de la diversification et le passage à une alimentation solide. Installer les bonnes habitudes Bien manger, c'est aussi goûter, expérimenter et apprendre ; installer de bonnes habitudes en termes de fraîcheur et de variété pour bien grandir, grâce aux nutriments nécessaires. Autre condition importante pour une alimentation saine des enfants comme de toute la famille : c'est le respect des règles d‘hygiène (lavage des mains et des ustensiles, conservation des aliments, qualité de l'eau de boisson) pour éviter les contaminations et intoxications. Éducation nutritionnelle L'éducation nutritionnelle, c'est valoriser très tôt le goût, sans trop de sel ni de sucre, en privilégiant les produits locaux, en proposant des portions adaptées et équilibrées. Cette éducation permet d'installer de bonnes habitudes et d'éviter les pratiques et les produits qui contribuent au surpoids et augmentent à terme les risques de maladies chroniques ; éviter le grignotage et les aliments ultra-transformés, même si la publicité et les emballages colorés sont conçus pour séduire les plus jeunes et les adolescents en particulier. Avec : Dr Abou Ba, pédiatre-gastroentérologue à l'Hôpital Dalal-Jamm de Dakar au Sénégal La palabre au féminin de Charlie Dupiot. Programmation musicale : ► Nesly, Fanny J – Cordialement ► Yemi Alade - Shawa Shawa.
À l'Antichambre, Luc Bellemare est en compagnie de Denis Gauthier, Vincent Damphousse et Stéphane Waite pour parler de la victoire des Canadiens face aux Blackhawks.
La question peut sembler légère, mais elle est en réalité très sérieuse économiquement : la beauté « made in China » est-elle en train de détrôner la célèbre K-beauty coréenne ? Depuis une quinzaine d'années, la Corée du Sud s'est imposée comme une puissance mondiale des cosmétiques, portée par l'innovation, le soft power culturel et des marques devenues incontournables. Mais depuis peu, un nouvel acteur accélère très vite : la Chine.La K-beauty a longtemps dominé le segment des cosmétiques innovants et accessibles. En 2023, l'industrie cosmétique sud-coréenne représentait environ 14 milliards de dollars d'exportations, contre moins de 2 milliards au début des années 2010. Des marques comme Innisfree, Laneige ou COSRX ont popularisé les routines en dix étapes, les masques en tissu et les soins ultra-techniques, tout en profitant de la vague K-pop et des dramas coréens. La Corée du Sud exporte aujourd'hui ses produits vers plus de 150 pays.Mais la Chine rattrape son retard à une vitesse impressionnante. Le marché chinois de la beauté est devenu le deuxième plus grand au monde, derrière les États-Unis, avec un chiffre d'affaires estimé à plus de 80 milliards de dollars en 2024. Surtout, les marques locales chinoises connaissent une croissance à deux chiffres, là où les marques étrangères stagnent. Selon plusieurs cabinets d'études, les marques chinoises représentaient moins de 30 % du marché en 2015 ; elles dépassent désormais 50 % des ventes de cosmétiques en Chine.La force de la beauté chinoise repose sur trois leviers économiques. D'abord, le prix : des produits souvent 20 à 40 % moins chers que leurs équivalents coréens ou occidentaux. Ensuite, la vitesse d'innovation : certaines marques chinoises lancent de nouveaux produits en quelques semaines, en s'appuyant sur les données issues du e-commerce et des réseaux sociaux. Enfin, la maîtrise du marketing digital : sur Douyin, Xiaohongshu ou Tmall, les marques chinoises exploitent à grande échelle le live-shopping et les influenceurs locaux.Autre élément clé : la Chine n'est plus seulement un marché intérieur. Les exportations de cosmétiques chinois ont progressé de plus de 20 % par an depuis 2020, notamment vers l'Asie du Sud-Est, le Moyen-Orient et l'Afrique. Là où la K-beauty s'est mondialisée par la culture, la C-beauty s'impose par la puissance industrielle et logistique.Faut-il pour autant enterrer la K-beauty ? Pas encore. La Corée conserve une image premium en matière de formulation et de dermatologie. Mais une chose est sûre : la beauté made in China n'est plus un outsider. Elle est devenue un concurrent crédible, capable de redessiner l'équilibre économique mondial du secteur cosmétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Alors que l'expérimentation de l'encadrement des loyers inscrit en 2018 dans la loi Elan doit s'achever le 23 novembre 2026, les députés ont ravivé de nouveaux "débats houleux" avec l'Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI), l'Union des syndicats de l'immobilier (UNIS), le Syndicat national des professionnels de l'immobilier (SNPI) en votant le 11 décembre 2025 au soir dans un hémicycle éparpillé la pérennisation et l'élargissement de l'encadrement des loyers. La proposition de loi émanant d'un collectif de députés socialistes emmenés par le député basque Iñaki Echaniz visant à « retrouver la confiance et l'équilibre dans les rapports locatifs » a été largement adoptée à l'Assemblée nationale par 105 voix contre 56 dans le cadre de la « niche parlementaire » socialiste. Ce nouveau texte va encore plus loin en régulant notamment le complément de loyer qui peut être exigé par un propriétaire, en le plafonnant à 20 % du loyer maximal. Autre point essentiel : le propriétaire-bailleur ne pourra plus donner congé à son locataire « si ce dernier a engagé une procédure dans les douze mois (bail nu) ou six mois (bail meublé) avant l'échéance de son bail ». Des dispositions adoptées là encore contre l'avis de la droite et de l'extrême droite. Les députés majoritairement socialistes et macronistes sont donc allés à l'encontre de l'avis du ministre du Logement, Vincent Jeanbrun, qui a estimé que « les débats sur le sujet sont « prématurés », au moment même où une étude d'évaluation confiée à deux économistes (Gabrielle Fack et Guillaume Chapelle) - initialement prévue pour ce mois de novembre - est toujours attendue en fin d'année ! "Cette pérennisation nous semble prématurée, car en effet aucune évaluation complète n'a été remise », estime Philippe Gosselin, député LR de La Manche.
Le Bas-Rhin est le département le plus attractif du Grand-Est. L'Insee a dévoilé hier les chiffres officiels des populations de chaque commune française. Le Grand-Est est toujours au 6ème rang des régions de France avec 5 563 378 habitants. Alors que sur la période précédente, la région avait perdu plus de 10 000 habitants, elle en a gagné plus de 4000 entre 2017 et 2023. Le nombre de naissances ne comble pas le nombre de décès, mais la région attire des habitants qui viennent s'y installer. Les zones frontalières gagnent notamment des habitants, comme dans la plaine d'Alsace ou à la frontière avec le Luxembourg. La gendarmerie lance un appel à la vigilance. Depuis plusieurs semaines, la compagnie de gendarmerie de Sélestat constate une hausse des cambriolages, notamment dans les communes et environs de Châtenois et Marckolsheim. A quelques jours de Noël et des nombreuses livraisons de colis, il est conseillé de bien fermer ses portes et fenêtres et de mettre en place un système d'éclairage programmé. Les forces de l'ordre invitent les habitants à composer le 17 s'ils repèrent un véhicule ou un individu suspect. La campagne aux élections municipales de Colmar se poursuit. Ces dernières auront lieu les 15 et 22 mars prochain. Pour le moment, sept candidats se sont déjà déclarés, dont le maire sortant Éric Straumann. En ce début de mois de décembre, Yves Hemedinger a annoncé sa candidature. On l'écoute. Son programme s'articulera autour d'un axe majeur : le développement économique. Face au vieillissement de la ville, il propose notamment un plan massif pour attirer des entreprises et faire revenir les jeunes. Ses autres priorités incluent la sécurité, l'accès aux soins et le pouvoir d'achat. Sa liste, qui sera dévoilée en janvier prochain, se veut représentative de la population. Retrouvez son interview complète ainsi que celles des autres candidats sur notre site internet, azur-fm.com. Appel aux dons à la SPA de Strasbourg. Depuis ce mercredi, l'association recherche activement des dons, notamment d'aquariums ou de litières de chanvre. La raison : l'arrivée soudaine de 12 hamsters, retrouvés abandonnés dans une poubelle d'une rue strasbourgeoise. Leur état serait alarmant : des plaies ouvertes, des morsures, des pattes amputées ou des blessures aux yeux, le résultat de bagarres alors que ces animaux sont solitaires et territoriaux. Avant toute proposition à l'adoption, qui ne pourra pas avoir lieu avant trois semaines, les hamsters vont être soignés mais la SPA manque de matériels. Une plainte contre X a été déposée. 35% des habitants du Grand-Est prévoient de faire leurs achats de Noël à la dernière minute. Selon une étude Ankorstore, un tiers explique ses achats tardifs par un budget limité ou l'attente d'une rentrée d'argent ou de promotions. Les comportements varient fortement selon l'âge. 45% des moins de 35 ans assument des achats en dernière minute contre un peu plus de 30% chez les plus de 55 ans. Autre différence marquée : les femmes s'organisent davantage que les hommes. Elles ne sont que 28% à attendre la dernière minute, contre 41% chez les hommes. Malgré tout, cette ruée de fin d'année profite aux commerçants de proximité. 58% des consommateurs retardataires se tournent vers des commerçants indépendants, un chiffre qui grimpe même à 85% pour les plus de 55 ans.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:28 - Journal de 18h - Triple perquisition cet après-midi, au domicile de Rachida Dati, au ministère de la Culture et à la mairie du 7e arrondissement de Paris dans le cadre d'une enquête pour corruption. Elle est soupçonnée d'avoir perçu 299 000 euros d'honoraires de GDF Suez quand elle était députée européenne.
durée : 00:23:28 - Journal de 18h - Triple perquisition cet après-midi, au domicile de Rachida Dati, au ministère de la Culture et à la mairie du 7e arrondissement de Paris dans le cadre d'une enquête pour corruption. Elle est soupçonnée d'avoir perçu 299 000 euros d'honoraires de GDF Suez quand elle était députée européenne.
durée : 00:16:05 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Peu d'artistes ont pensé la peinture à l'écoute de la musique comme Vassily Kandinsky. Cette exposition immersive révèle comment le langage musical a guidé son passage décisif vers l'abstraction. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
Comme de nombreux pays dans le monde, Haïti peine à traiter ses déchets. Un problème que des jeunes des Gonaïves ont décidé de prendre à bras le corps en lançant une entreprise de recyclage. En Haïti, seulement 12% des déchets sont collectés. Le reste termine dans les cours d'eau, dans les canaux d'évacuation qu'ils finissent par encombrer, ou encore brûlés au coin des rues. Pour lutter contre les déchets plastiques, qui constituent la plus grande partie de ces déchets, des jeunes des Gonaïves ont lancé une entreprise, La Providence éco nettoyage, qui les collectent pour les transformer en objets utiles. Et notamment en poubelles. Mais ces jeunes entrepreneurs ne se contentent pas de collecter et de transformer les déchets, explique notre correspondant, Ronel Paul. Ils s'investissent également dans la transmission de leurs connaissances aux plus jeunes générations. La « feuille de route consensuelle contre la corruption » dévoilée en Haïti La démarche a été initiée par la plateforme de la société civile Ensemble contre la corruption. Et elle est perçue, explique Alterpresse, comme un « jalon déterminant dans la lutte pour l'instauration de la bonne gouvernance ». Le document est structuré autour de cinq axes : la transparence publique, la reddition de comptes, la participation citoyenne dans la lutte contre la corruption, l'efficacité des dépenses publiques et la justice. Mais la principale difficulté maintenant – c'est Le Nouvelliste cette fois qui l'écrit – va être d'appliquer cette feuille de route. Car pour le quotidien, il est difficile d'imaginer les autorités actuelles valider un document qui a pour vocation de lutter contre la corruption... Tant les scandales de corruption, écrit-il, ont miné le règne du pouvoir transitoire. Autre sujet largement traité par la presse du continent : le blocus total imposé par Washington aux pétroliers sous sanctions entrant et sortant du Venezuela. Le Washington Post s'intéresse aux alliés caribéens des États-Unis dans leur campagne contre le pays de Nicolas Maduro. Le quotidien en liste cinq : la République dominicaine, Trinité-et-Tobago, La Grenade, Porto Rico et les Iles Vierges américaines. Cinq alliés, donc, qui chacun à leur manière soutiennent les États-Unis dans leurs opérations dans la région, ou envisagent de le faire. La presse américaine revient aussi sur le meurtre, dimanche à Los Angeles, du producteur et réalisateur Rob Reiner et de son épouse, la photographe Michele Singer. Et sur l'inculpation hier de leur fils Nick Reiner. Tous racontent l'addiction à l'héroïne dont il souffrait depuis l'adolescence et qui tourmentait la vie familiale. Dans le Washington Post, enfin, il est question d'une statue. Celle d'une adolescente ayant combattu la ségrégation qui va remplacer celle du général Lee au Capitole. Cette adolescente, c'est Barbara Rose Johns. Elle n'avait que 16 ans en 1951 lorsqu'elle a mené une grève pour dénoncer ses conditions dans son lycée de Farmville, en Virginie. Un lycée plein de courants d'air, là où les élèves blancs avaient la chance d'étudier dans des salles propres et chauffées. « Elle a toujours agi comme si elle n'avait peur de rien », se souvient sa sœur qui, elle, raconte avoir été morte de trouille quand la grève a été lancée. La statue de Barbara Rose Johns accueillera les visiteurs dans l'Emancipation Hall, qui porte le nom des esclaves ayant participé à la construction du Capitole. Une manifestation violemment réprimée au Honduras Cela fait 17 jours que le Honduras a voté pour choisir son nouveau président et on ne connaît toujours pas le résultat. Les deux candidats de droite sont toujours donnés très proches, et une partie de la population s'impatiente, d'autant qu'on a entendu ces dernières semaines de nombreuses accusations de fraude. Hier, (16 décembre 2025) des manifestants qui s'étaient rassemblés pour exiger la publication des résultats ont été brutalement dispersés par la police. Huit personnes ont été blessées. À lire aussi«Ils m'ont traîné et frappé»: au Honduras, les manifestants violemment réprimés après la présidentielle Le Cap Cod, cimetière des tortues marines C'est un phénomène inédit et inquiétant que l'observe actuellement sur la côte est des États-Unis. Des dizaines de jeunes tortues marines viennent s'échouer chaque jour sur les plages du Cap Cod, dans le Massachusetts. En cause : le réchauffement climatique qui entraînent celui des eaux de cette anse où ces tortues viennent chercher leur nourriture en été et se retrouvent piégées en hiver. À lire aussiPourquoi de plus en plus de tortues sont piégées par le froid sur les plages du Massachusetts Dans le journal de La 1ère En Martinique, la Fédération des conseils de parents d'élèves dénonce des « grèves à répétition » dans les transports scolaires.
Fiorenza a surpris le mari de sa meilleure amie en train de tenir la main d'une autre femme dans un restaurant, ce qui l'a profondément perturbée. Elle hésite à révéler cette information à son amie, craignant de jouer le rôle d'oiseau de mauvaise augure et de nuire à leur amitié. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Je sais pas si tu le savais mais il y a quelque chose de spécial avec cette année 2025.En numérologie, c'est l'“année 9”.Alors peut-être que tu t'y connais, ou peut-être que tu n'as aucune idée de ce que ça veut dire et tu te dis mais qu'est-ce qu'elle me raconte encore celle-la… mais ne t'inquietes pas, moi non plus, mais je l'ai vu passé partout sur Tiktok.Mon café de poche : www.simplecafeine.common jeu de cartes "À petit.e" : acheter iciJ'espère que cet épisode vous passionnera autant que moi.On se retrouve sur @simplecafeine ou mon compte perso @leajplf ?J'ai hate de te lire!Bienveillance,S&S,Léa Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
De Comédie Clubs en festivals, de soirées stand-up à l'École Nationale de l'Humour, une institution pionnière dans l'espace francophone, virée à Montréal où la blague et le rire sont au coin de la rue. Dans la cité cosmopolite et vibrante de Montréal, du quartier d'Hochelaga au Plateau-Mont-Royal en passant par le quartier de Verdun ou celui de la Petite Italie, il ne se passe pas un soir sans un spectacle d'humour, où le public vient rire et célébrer le rire ! C'est une industrie lourde de la ville et du Québec, et celui qui voyage à Montréal se doit de passer au moins un soir, par une stand-up ou un open-mic pour goûter aux blagues locales. Traditionnellement, le Québec est un «pays» de conteurs et d'oralité, que l'on doit notamment à la culture autochtone plurimillénaire et à l'histoire du peuple québécois. Et en trente ans, la plus grande ville francophone d'Amérique du Nord s'est imposée comme la plaque tournante des humoristes francophones mais aussi anglophones… Déjà, de longue date, Montréal est célèbre pour accueillir, à l'été, le plus grand festival d'humour : «Juste pour rire» qui, chaque année, rassemble des millions de spectateurs à travers ses shows et ses contenus télévisés, diffusés dans plus de 150 pays. Au départ uniquement francophone, ce festival créé en 1983 par Gilbert Bozon, qui a depuis démissionné, a connu une version anglophone «Just For Laughs», cofondé en 1985 par Andy Nulman. Ce dernier revendique d'ailleurs la contribution des communautés juives de la ville à son rang de capitale de l'humour. Un titre qu'elle n'a certainement pas volé et qui, là-bas, se vérifie et se vit, à la découverte d'une culture hybride, à la croisée de la stand-up américaine et des humours en tout genre. Autre fait important pour l'écosystème de l'humour à Montréal : en 1988, Louise Richer, directrice générale fondatrice de l'École Nationale de l'Humour, ouvre à Montréal la toute première école d'humour professionnelle et s'attache, avec ténacité, à faire reconnaître l'humour comme un art à part entière. 750 diplômés plus tard, sortis de l'école, ce laboratoire pionnier de formation en humour est connu dans tout l'espace francophone et chaque année, l'école reçoit des centaines de candidatures venus du Canada, mais aussi de France ou d'Afrique francophone. À l'initiative de Louise Richer, on trouve désormais aussi à Montréal, l'Observatoire de l'Humour, conçu comme un lieu d'échanges et de connaissances autour de l'humour francophone. Car aujourd'hui, l'humour, que l'écrivain Romain Gary désignait comme «l'arme des désarmés», sert largement la francophonie, sa diffusion, voire sa survie sur le continent américain comme dans le reste du monde. Le peuple québécois défend d'ailleurs largement cette idée d'une identité façonnée et racontée à travers l'humour et il se rend en masse aux spectacles comiques, qu'il vente ou qu'il neige. Exutoire populaire et rassembleur, l'humour à Montréal défend ainsi la langue française mais aussi une identité québécoise et montréalaise plurielle, sur une île de plus de 120 nationalités différentes. On y rit de la diversité et des différences et toute une scène queer ou féministe a vu le jour, la profession historiquement aux mains des hommes blancs s'étant largement féminisée et métissée. La culture des Premières Nations, où le rire est très important et se vit comme «un écran aux traumas coloniaux», a aussi marqué de son empreinte la société québécoise et son humour. Et chaque nouvelle communauté apporte sa pierre, son rire, à l'édifice. Un voyage sonore en deux épisodes de Laure Allary et Céline Develay-Mazurelle. Pour préparer votre voyage en mode humour : - Un article de Tourisme Montréal et un récit multimédia de Radio Canada sur l'apport de l'humour juif à Montréal - Un article de l'écrivain innu Michel Jean sur le rire au sein des Premières Nations - Le livre de référence du célèbre anthropologue Serge Bouchard «Le peuple rieur» sur les Innus - Le Festival Juste pour Rire qui se tient à la mi-juillet à Montréal - Le RDV populaire des «Lundis de l'humour» au Bar Le Jockey, animé par Lauriane Lalonde, avec Elisabeth Grondin à la chronique - Les incontournables Comédie Clubs Le Bordel ou Le Terminal qui, tous les jours, proposent des opens-mics et shows d'humour - Le circuit des bars comme Chez Roger qui, chaque lundi, propose des shows d'humour ou Chez Ernest qui, le dimanche, propose de l'impro et, le lundi, une soirée comedy club - Le «Couscous Comedy Show», l'évènement préféré de Boucar Diouf, humoriste d'origine sénégalaise et biologiste de formation qui a adopté, à sa manière, la culture québécoise. Boucar Diouf est notamment l'auteur du livre «Ce que la vie doit au rire», paru aux Éditions La Presse - Le Festival Afrikiri qui, depuis dix ans, met à l'honneur des humoristes de l'Afrique francophone - Pour ceux qui aiment «l'humour à saveur mangue-érable», allez-voir Garihanna Jean-Louis, humoriste québécoise et haïtienne, première femme noire diplômée de l'École Nationale de l'humour (ENH) - Pour en savoir plus sur le parcours de l'autrice en humour Suzanne Vallières-Nollet qui a gradué en 2024 de l'ENH - Le site de l'Observatoire de l'Humour, fondé en 2011. Un espace d'échanges et de connaissances interdisciplinaire sur l'humour francophone - Le site de l'École Nationale de l'humour, une école cofondée par Louise Richer en 1988, qui propose des formations à temps plein ou à temps partiel à tous les publics. Bientôt l'ENH va déménager dans le Quartier Latin à Montréal et aura certainement pignon sur rue…
Vanessa, on continue de découvrir — ou redécouvrir — nos villes sanctuaires. Le tourisme spirituel et culturel attire de plus en plus de visiteurs. Ce matin, direction l'Isère, à La Salette.Un sanctuaire perché en pleine montagne, à 1 800 mètres d'altitude, recouvert d'un manteau blanc en plein hiver. Magique. Mystique. Que l'on soit croyant ou non. Une chose est sûre : c'est l'un de mes préférés. Ici, on entre dans un autre monde, au-dessus du monde, suspendu en haute montagne, au cœur de la Matheysine. Et vous allez voir que cette expérience peut être spirituelle… mais aussi très sportive, là où on ne l'attend pas !Suspense ! Pour commencer, racontez-nous la genèse de Notre-Dame de La Salette.Nous sommes le 19 septembre 1846. Deux jeunes bergers, Maximin et Mélanie, se réveillent d'une sieste dans le vallon. Face à eux apparaît une « belle dame » — ce sont les mots des enfants. Elle est en larmes et leur transmet un message de réconciliation : les hommes doivent retrouver la foi, revenir à l'Église et cesser de blasphémer.Après l'authentification de l'apparition, une grande église ouvre ses portes aux fidèles en 1854, à 1 800 mètres d'altitude. Depuis, des pèlerins du monde entier viennent y chercher la paix, notamment des Indonésiens, des Polonais et des Italiens. Ils se recueillent devant les grandes fresques d'Arcabas — Le Christ et les Quatre Vivants de l'Apocalypse — des œuvres très colorées. Arcabas était un véritable peintre de l'âme.Et puis, on peut aussi randonner. Eh oui, nous y voilà ! Grimper le mont Gargas jusqu'à 2 200 mètres d'altitude, ou même assister, sous la croix de Rougny, à une messe au lever du soleil… en été.Et sans assister à une messe, nous aussi, Vanessa, on peut grimper. Vous avez d'autres suggestions à découvrir ?Alors, on reste d'abord dans les sensations fortes. Vous pouvez marcher au-dessus de gorges profondes pour vous imprégner de la puissance de la nature. Comment ? En empruntant les passerelles himalayennes de Mayres-Savel. Autre option : suivre la Route Napoléon, qu'il a empruntée lors de son retour de l'île d'Elbe pour renverser la monarchie. Plus calmement, vous pouvez profiter du panorama à bord du train électrique de La Mure, installé dans d'anciens wagons restaurés : une sortie très sympa à faire en famille.Noël au sanctuaire est chaleureux et réconfortant. Il y a de la place : le site dispose de 500 lits.Fiche pratique https://www.villes-sanctuaires.com/ Notre dame de la Salette : https://lasalette.cef.fr/Blanquette de veauCe plat magnifique qui figure parmi les plats préférés des français serait, à l'origine (au moyen-âge), une manière d'accommoder les restes du rôti de veau. Pour éviter qu'il ne soit sec, on le servait avec une sauce blanche.Plusieurs régions ou villes revendiquent sa création : la Normandie, le Poitou ou Lyon. La première recette apparaît en 1735 dans Le Cuisinier Moderne de Vincent de la Chapelle. Le plat est alors très simple : des restes de rôtis de veau servis avec une sauce au bouillon et à la crème, liée à la farine et aux jaunes d'œufs. Le tout est accompagné d'oignons grelots et de champignons de Paris. La recette va évoluer, avec une tournant important au 19e, les restes sont remplacés par de la viande crue pochée.Ingrédients pour 4 personnes- 1 kg de poitrine ou d'épaule de veau désossée- 3 carottes- 200 g de champignons de paris- 1 oignon- 1 cube de bouillon de volaille- 20 cl de crème fraîche entière- 2 jaunes d'œuf- 1 verre de vin blanc- 1 cs à maïzena- 1 citron- sel / poivreDéroulement- Faire revenir les morceaux de veau dans du beurre- Singer (saupoudrer de maïzena)- Verser le vin blanc, l'eau et le bouillon cube- Ajouter l'oignon, les carottes et les champignons lavés et taillés grossièrement- Laisser mijoter 1h30- Mélanger les jaunes d'œufs et la crème et lier- Rectifier et ajouter un jus de citron Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Le jeu français Clair Obscur: Expedition 33 a été sacré meilleur jeu vidéo de l'année lors des Game Awards à Los Angeles, raflant neuf trophées. Une victoire éclatante qui illustre la place centrale occupée par la France dans l'industrie mondiale du jeu vidéo, première industrie culturelle du pays, portée par des studios dynamiques, une formation d'excellence et un soutien public structurant. Les jeux vidéo ont eu droit cette nuit à leurs Oscars, les Game Awards, qui se déroulaient à Los Angeles. Et pour la France, la soirée s'est achevée en apothéose sur ce dénouement : « The game of the year is… Clair Obscur – Expedition 33 ! » Le jeu français Expedition 33 a ainsi été élu meilleur jeu vidéo de l'année. Il a remporté neuf trophées au total, un véritable triomphe. Une illustration éclatante du fait que la France reste un grand du jeu vidéo mondial. À lire aussiÉtats-Unis: le jeu vidéo français «Clair obscur: Expedition 33» rafle neuf prix aux Game Awards Car le secteur pèse lourd. Le jeu vidéo est la première industrie culturelle en France, devant le cinéma, la musique ou le livre, avec 5,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2022. Près de sept Français sur dix jouent, faisant du jeu vidéo le premier loisir du pays. La demande est là, l'offre aussi. Le pays compte 1 300 studios, 20 000 emplois directs, dont une grande majorité en CDI. Un élément important dans une industrie internationale souvent marquée par la précarité. Résultat, la France se situe dans le top 10 mondial et occupe la troisième place européenne. Une identité forte et des studios qui rayonnent à l'international Dès les années 80 et 90, la France a vu naître des studios devenus aujourd'hui des mastodontes. Et les jeux qui y sont conçus ont une « patte », une identité forte, un soin particulier apporté à l'esthétique et au récit, avec des valeurs souvent européennes ou spécifiquement françaises. C'est ce qui plaît. Les studios tricolores exportent leurs jeux dans le monde entier et rencontrent un franc succès. Autre force majeure : la formation. Les écoles françaises forment certains des meilleurs talents au monde. Elles alimentent un vivier permanent qui irrigue non seulement les studios nationaux, mais aussi les géants internationaux, jusqu'à Nintendo. Ces écoles sont implantées dans toute la France. De véritables pôles d'excellence se sont constitués, notamment à Montpellier – où Clair Obscur a été développé –, mais aussi à Lille ou Lyon. Les régions comprennent que le jeu vidéo représente des emplois qualifiés, capables d'attirer les talents et de dynamiser tout un écosystème. Un soutien public déterminant et un modèle social qui favorise la création Les collectivités et l'État soutiennent également fortement la création. Un crédit d'impôt rembourse jusqu'à 30% des dépenses de production, tandis que le Centre national du cinéma dispose d'un fonds d'aide dédié pour accompagner les studios indépendants. Le plan France 2030 identifie même le jeu vidéo comme une industrie stratégique. Il y a aussi un pilier totalement inattendu mais déterminant : l'assurance chômage. Concevoir et développer un jeu vidéo indépendant demande des mois, voire des années de travail sans revenu avant la sortie. Ni les banques ni les investisseurs ne financent ce type de projet. Pour beaucoup de jeunes studios, s'appuyer sur ces aides sociales est donc la solution pour vivre et travailler. C'est un avantage comparatif très français, qui encourage l'expérimentation et la prise de risque créative. C'est donc la combinaison de tous ces éléments — studios dynamiques, formation de haut niveau, soutien public, modèle social — qui permet à la France de consolider sa place et de jouer pleinement dans la cour des grands.
À la Une un document qui fait beaucoup parler ces derniers jours et qui pourrait bien redéfinir la géopolitique mondiale. Il s'agit de la nouvelle stratégie de sécurité nationale des États-Unis, elle a été publiée le 5 décembre 2025 par Washington et présente donc la vision du monde telle que vue par l'administration de Donald Trump. En quoi cette nouvelle stratégie change-t-elle la donne pour l'Ukraine ? Avec : Kseniya Zhornokley de la rédaction ukrainienne Lucia Muzell de la rédaction brésilienne Thanh Ha Tran de la rédaction vietnamienne
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
L'intelligence artificielle est déjà partout dans notre quotidien professionnel. Depuis plus d'un an, Google a intégré son IA Gemini dans la suite Google Workspace : résumés automatiques dans Gmail, rédaction de documents dans Drive, prise de notes dans Meet… Mais avec l'arrivée de l'IA dite « agentique », le géant de la tech passe à l'étape suivante.Google vient d'annoncer le lancement de Google Workspace Studio, un nouvel outil destiné aux professionnels. Promesse affichée : permettre de créer, en quelques minutes, de véritables agents IA capables d'automatiser les tâches du quotidien, sans écrire une seule ligne de code. Il suffit d'expliquer, en langage naturel, ce que l'on souhaite faire. L'agent se charge du reste, grâce à la puissance de Gemini 3. Ces agents ne se contentent pas d'exécuter des consignes figées. Ils sont conçus pour analyser des situations, s'adapter à de nouvelles informations et déclencher des actions en fonction du contexte. Concrètement, ils peuvent surveiller vos mails, détecter des mots-clés, envoyer automatiquement des alertes, préparer des briefings, ou encore organiser des tâches à partir de contenus présents dans vos documents. Ils peuvent aussi aller chercher des informations sur le web pour ajuster leur comportement.Autre point clé : l'ouverture aux outils tiers. Google Workspace Studio peut se connecter à des applications professionnelles majeures comme Jira, Salesforce, Mailchimp ou Asana. Les agents peuvent ainsi automatiser des chaînes complètes de travail, de la gestion de projet au suivi client. Ils sont aussi partageables entre collaborateurs, avec des modèles prêts à l'emploi pour accélérer la prise en main. Google voit déjà plus loin. Des évolutions sont annoncées, notamment le partage externe, l'envoi d'e-mails hors du domaine principal, ainsi qu'une prise en charge avancée des webhooks, ces mécanismes qui permettent aux applications de dialoguer entre elles en temps réel. Le déploiement a commencé cette semaine. L'accès pour les utilisateurs finaux est prévu à partir du 5 janvier 2026, pour les domaines à activation progressive. L'outil reste réservé aux abonnements payants Business, Enterprise, Education et aux offres Google AI dédiées. Les mineurs, eux, n'y auront pas accès. Derrière cette annonce, un signal clair : Google ne veut plus seulement proposer de l'assistance par IA, mais confier aux entreprises de véritables agents numériques autonomes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:25:10 - Anne-Sophie Mutter, violoniste (5/5) - par : Judith Chaine - Dans ce dernier épisode, la violoniste Anne-Sophie Mutter explore sa passion pour la musique contemporaine, sa vision de l'engagement artistique ainsi que de la transmission aux générations futures. - réalisé par : Adrien Roch Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:40 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Imaginez : un détective suit quelqu'un dans la rue, mais qui est lui-même suivi par un autre détective ! Cela ressemble à un film d'espionnage, mais c'est la question posée par Gustave. Pour y répondre, Margaux Duquesne, détective privée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:01:06 - Allons-y voir ! - par : Patrick Boucheron - De quoi la modernité est-elle le nom dans la peinture turque, beyroutine et cairote, depuis la chute de l'empire ottoman ? De Osman Hamdi Bey à Abdel Hadi El Gazzar, en passant par Omar Onsi, Mahmoud Saïd et Mariam Shahinian, faisons voyage dans une histoire décentrée de la peinture moderne. - réalisation : Anna Holveck, Laurence Millet - invités : Ilana Navaro Réalisatrice; Olivier Bouquet historien, professeur à l'université Paris-Cité, membre de l'Institut universitaire de France; Nadia Radwan Historienne de l'art, spécialiste de l'art moderne et contemporain au Moyen Orient. ; Elvan Zabunyan Historienne de l'art contemporain, professeure à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Mathieu Potte-Bonneville Philosophe et directeur du département Culture et création du Centre Pompidou
Un petit garçon adopté retourne à Gorée, son île natale, pour retrouver sa mère biologique. Pour son premier long métrage, Pierre Linhart signe un road-movie entre quête de filiation et réflexion sur la famille, et qui traverse la mémoire de l'esclavage. D'où venons-nous ? Après la série Jeux d'influence, dont il est coauteur, Pierre Linhart passe derrière la caméra et aborde cette question existentielle à travers une quête des origines aux allures de récit d'apprentissage. À la recherche de sa mère, Gabriel retourne sur l'île de Gorée, ancien marché d'esclaves et désormais site touristique emblématique du Sénégal. Sur les traces du passé de la traite négrière, ce road-movie pousse ses personnages dans un nécessaire travail de mémoire et interroge la possibilité du pardon – à l'image d'une bouleversante rencontre devant la porte du Non-Retour, au Bénin, entre Miles, amant afro-américain de Thibaut et descendant d'esclaves, et Martine, héritière d'une lignée de négriers.
Nous sommes les 9 et 10 novembre 1918. « Précédés de voitures arborant des drapeaux rouges et bourrées de soldats, 5 à 6000 soldats désarmés se dirigent vers la place Poelaert depuis la gare du Nord en passant par la Bourse et la place Saint-Jean. Cheminement joyeux où les cocardes dansent, la Marseillaise et la Brabançonne éclatent, entrecoupées de discours fraternels et pathétiques à la population bruxelloise adressée du haut des autos en autant de meetings volants. Et sur le passage, la foule exulte, arbore timidement, puis de plus en plus hardiment, les couleurs nationales et alliées. Ce fut (…) plus une atmosphère de carnaval que de révolution ». C'est ainsi que le Dr Hugo Freund rapporte ces événements, des années plus tard, à l'historien belge José Gotovitch. Le Dr Freund était une éminence grise de ce que l'on a appelé la révolution du Conseil des soldats-ouvriers allemands, à Bruxelles. Autre témoin privilégié de ces curieuses journées de novembre : l'écrivain allemand Carl Einstein. La Belgique a-t-elle réellement failli basculer dans la République ? Invité : Hubert Roland, maître de recherches au FNRS, professeur à l'UCL. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:07 - Jean Guidoni, chanteur et parolier (2/5) - par : Laurent Valero - Hier, le chanteur évoquait ses débuts à Toulon et son installation à 18 ans comme coiffeur à Marseille, où il découvre le Music-Hall. Aujourd'hui, il se souvient d'Ingrid Caven au Pigall's à Paris et de l'auteur Pierre Philippe, une rencontre décisive pour sa carrière. - réalisé par : Béatrice Trichet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.