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[REDIFFUSION] Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, partez à l'aventure avec notre saison spéciale Explorateurs de l'impossible. Six destins hors normes, prêts à défier les limites du monde… et de l'humain. L'aventurier excentrique qui a inspiré Jules Verne Dans cet épisode, Andréa Brusque vous raconte l'histoire d'un homme au destin extraordinaire. Avant de tomber dans l'oubli, il était, de son temps, l'un des américains les plus connus du monde, au point d'être la source d'inspiration principale d'un célèbre roman de Jules Verne. Extravagant, visionnaire, passionné… il a réalisé un exploit que personne d'autre avant lui n'avait imaginé possible : le tour du monde en 80 jours. Son nom : George Francis Train. Entre excentricités, progrès industriels et voyage à toute vitesse, découvrez son fabuleux destin. Un podcast Bababam Originals Ecriture : Elie Olivennes Voix : Andréa Brusque Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 01:31:09 - Les Nuits de France Culture - par : Marc Floriot - - réalisation : Dominique Briffaut
Maintenant Vous Savez, c'est aussi Maintenant Vous Savez - Santé et Maintenant Vous Savez - Culture. Jetons un coup d'œil dans le rétroviseur et retraçons la façon dont le jeu vidéo est devenu la première industrie du divertissement. Et oui, même devant Hollywood et le 7ème Art. Avant de se mêler au grand public, c'est la recherche scientifique et universitaire, favorisée par la technologie militaire développée lors de la guerre froide, qui donne les premiers germes du jeu vidéo. Mais comment invente-t-on le jeu vidéo ? Comment le jeu vidéo s'est-il commercialisé ? Quel est le statut actuel du jeu vidéo ? Écoutez la suite dans cet épisode de "Maintenant vous savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Jonathan Aupart. Première diffusion : novembre 2022 À écouter aussi : Quel est le plus vieux jeu télévisé ? D'où vient le jeu de rôle ? D'où vient le jeu pierre-feuille-ciseaux ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez - Culture". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Une actu sportive, un débat, et deux camps : c'est le Ring des GG ! Nos Grandes Gueules du Sport s'affrontent à coup d'arguments... Mais à la fin, c'est vous les auditeurs, qui choisissez l'équipe victorieuse !
Les Canadiens de Montréal tenteront de se relever de leur série de défaites en affrontant les Maple Leafs de Toronto, samedi soir au Centre Bell. Martin McGuire et Dany Dubé discutent de cette confrontation entre grands rivaux qui facilitera le travail de préparation des entraîneurs, au balado Bon match! Au menu : Ce soir les Leafs se présentent sans Austin Matthews, une bonne nouvelle pour le CH. Le Canadien a rappelé de Laval Florian Xhekaj! Martin St-Louis décide d’y aller avec son gardien recru, une décision qui fera certainement jaser! Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Épisode exceptionnel cette semaine pour Cœur Rossonero : place au Derby della Madonnina, le choc absolu du football italien ! Au programme : •
À la 30è conférence des Nations unies sur le changement climatique, organisée en ce moment à Belém au Brésil, ce vendredi 21 novembre 2025 est officiellement le dernier jour de négociations. Mais en raison de désaccords et d'un incendie, qui s'est déclaré jeudi (20 novembre 2025) dans l'enceinte de la COP, les négociations pourraient se poursuivre jusqu'à samedi (22 novembre). Une légère odeur de brûlé flotte encore dans les couloirs des immenses tentes temporaires de la COP30, explique notre envoyée spéciale à Belém, Lucile Gimberg. Hier après-midi, (20 novembre) malgré les six heures de fermeture, certains pays et blocs de pays puissants ont continué à discuter, de manière extra-officielle, toute la nuit. Il est probable que la COP s'étende jusqu'à demain samedi (22 novembre). «La COP se terminera au moment opportun pour les négociations. L'objectif n'est pas seulement de respecter le calendrier, mais d'atteindre les résultats escomptés en matière de changement climatique», a assuré Marina Silva, la ministre brésilienne de l'Environnement. La présidence de la COP a publié, à l'aube, une série de nouveaux textes dont le principal, le dénommé «mutirao» (un terme autochtone au Brésil pour dire qu'une communauté se rassemble pour réaliser une tâche commune). Dans ce texte, la présidence appelle les pays développés à redoubler d'efforts pour fournir 120 milliards de dollars aux pays en développement pour les aider à résister aux catastrophes climatiques. Mais rien d'obligatoire, alors que c'est une demande forte des pays africains notamment. De plus, elle exhorte les pays qui n'ont pas publié de nouveaux plans climat à le faire rapidement. Une formulation trop timide, estiment certains, alors que le manque d'ambition dans les politiques pour freiner le réchauffement mondial se fait sentir un peu partout sur la planète, explique Lucile Gimberg. L'Union européenne, dont la France, est donc mécontente. D'autant que le document ne mentionne plus une éventuelle «feuille de route» qui expliquerait comment les pays peuvent mettre en œuvre l'objectif, adopté à Dubaï, il y a deux ans, de sortie des énergies fossiles. Des pays - notamment pétroliers - s'y opposent. En Amazonie brésilienne, de l'açaí sans pesticides Non loin de Belém, où se tiennent les négociations de la COP30, on cultive dans l'État du Pará un fruit appelé l'açaí. Ce «superfruit antioxydant», en vogue en Europe ou encore aux États-Unis, est récolté au sommet de palmiers en Amazonie. Il est cueilli par des familles de peuples traditionnels qui habitent au bord des fleuves, dans des zones marécageuses. Une agriculture sans pesticides, qui permet de protéger la forêt tout en générant des revenus pour ces familles. Certaines travaillent ainsi en agroforesterie, comme dans la communauté de Mupi, à une demi-journée de voyage de Belém. «À l'époque, ces terres n'étaient pas entretenues. C'était du simple açaí natif. Et quand on a vu qu'il pouvait y avoir un marché de l'açaí, on a changé d'attitude et on en récolte les fruits aujourd'hui. On peut dire que l'açaí, c'est la spécialité de la maison. Ça représente la plus grande partie de nos revenus», explique Leonilson de Reis Castro, président de l'association des producteurs d'açaí de Mupi, au micro de notre correspondante Sarah Cozzolino. Au sein de la coopérative, les producteurs d'açaí ont reçu plusieurs formations pour encourager la biodiversité et la fertilité des sols, à contre-courant de la monoculture d'açaí observée dans certaines communautés. «Les entreprises jouent un rôle important. Car notre marché exige de l'açai bio, [d'autant plus que] les regards du monde entier sont tournés vers l'Amazonie, témoigne Solène Guillot, agronome chez Nossa, une entreprise française qui exporte l'açaí des producteurs de Mupi. Donc si on veut pouvoir vendre un produit qui vient d'Amazonie en Europe, il faut montrer patte blanche. [Montrer que c'est] vertueux pour le territoire, pour l'environnement, et pour les populations. » Le ministère de la Justice «enterré» en Bolivie Le nouveau président bolivien de centre-droit Rodrigo Paz a annoncé ce jeudi 20 novembre la suppression du ministère de la Justice. «Nous allons l'enterrer pour de bon. C'en est fini du ministère de la persécution, c'en est fini du ministère de l'injustice, [...] c'en est fini du ministère qui était un moyen pour les politiques de faire du chantage. Aucun homme politique n'interférera plus jamais dans le système judiciaire», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. Parmi les proches de Rodrigo Paz, au centre-droit mais aussi à droite, la suppression du ministère de la Justice est saluée, souligne le site d'information Vision 360. Le gouverneur de la province de Santa Cruz, par exemple, estime que l'ancien président Evo Morales et son parti (le MAS, le Mouvement vers le socialisme) s'en servaient pour mener une persécution politique contre l'opposition de l'époque. Mais chez les élus qui font aujourd'hui partie de l'opposition, c'est perçu comme un «mauvais signal», un signe «d'instabilité» envoyé aux Boliviens, estime un candidat déçu à la vice-présidence. Pour sa part, La Razon rapporte les craintes que cela suscite pour la protection des droits humains dans le pays. Cet épisode reflète déjà des tensions et des divisions au plus haut niveau de l'État : les désaccords entre Rodrigo Paz et son vice-président sont apparus au grand jour, explique le journal El Alteño. Le vice-président avait d'abord obtenu que soit nommé un de ses proches au ministère de la Justice. Avant que soit révélé, il y a quelques jours, que ce dernier avait un casier judiciaire, une condamnation au pénal pour des faits de corruption, lit-on dans El Deber. Ce qui a finalement poussé Rodrigo Paz à tenir sa promesse de campagne et (face à la polémique) à supprimer le ministère de la Justice... Malgré les protestations, sur les réseaux, de son propre vice-président, explique encore le journal. Dans le journal de «La 1ère» Caraïbes... Deux ans de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité ont été requis à Paris contre le président de la Collectivité de Martinique Serge Letchimy, rapporte Benoît Ferrand.
Andrew Waller, from Breaking The Tethers, fills in again!Playlist: Bobby Hutcherson - Welcome to the windReturn to Darkness - Texas BBQMarconi Union - Weightless, pt. 4Genesis - Wot gorilla?Brandon Seabrook - Emotional cleavageSoft Machine - Out-bloody-rageousLal & Mike Waterson - To make you stayTonto's Expanding Head Band - RiversongKarneef - Cyber criminalDonald Byrd - Flight timeElvis Costello - Our little angelSonata Islands Kommandoh - Aphantasia QBBPugs & Crows - Wind up flying awayPassport - MadhouseOstrofi - You're getting closerTrey Gunn - TraverseAmir ElSaffar - Autumn comes
Au Nigeria, deux opérations portées par l'armée et par l'État de Borno ont facilité la réintégration dans la société de dizaines de milliers de repentis de Boko Haram et de l'ISWAP. Pour relancer l'économie de son État essentiellement agricole, le gouverneur Babagana Zulum a organisé le retour de déplacés internes dans leur communauté d'origine. Officiellement, il n'y a plus de camps de déplacés à Maiduguri, pourtant des milliers de familles vivent dans des conditions de vie difficile dans des camps informels de la capitale de l'État de Borno. De notre correspondant de retour de Maiguduri, Souriante devant ses enfants, Yakura dissimule des blessures psychologiques profondes. Kirenowa, sa ville d'origine près du Lac Tchad, est dans une zone sous contrôle de l'ISWAP Et aujourd'hui encore, Yakura reste marquée par le son des armes automatiques lorsque Kirenowa fut attaquée en mai 2014. « Nous avons commencé à entendre des coups de feu. On a cru à une mauvaise blague. Puis la situation a dégénéré. Les gens se sont mis à courir. Quant à nous, nous sommes coincés sur place pendant 10 jours. La plupart du temps, les membres de Boko Haram revenaient dans la communauté. Le soir ou le matin. » Kingibe vit avec sa famille pas très loin de l'emplacement de Yakura Handicapé par une blessure non soignée depuis 7 ans, Kingibe a des difficultés à se déplacer. Il passe ses journées assis sur un tapis à égrener un chapelet musulman. Et avec la recrudescence des kidnappings dans la périphérie de Maiduguri, cet homme d'âge mûr ne sort quasiment plus du camp. « Si les membres de Boko Haram enlèvent une personne, ils exigent une rançon de 5 à 10 millions de nairas. J'ai à peine 500 nairas par mois. Dans ces conditions, comment payer une telle somme ? Comment aller cultiver la terre pour nous nourrir alors que la brousse n'est pas sûre et qu'à seulement 2 km de distance d'ici, ils peuvent nous capturer ? » « Une personne pauvre ne peut pas survivre sans cultiver » Durant plus de 10 ans, Kingibe a difficilement accepté de dépendre des distributions de vivres. Depuis deux ans, ces distributions ont cessé suite au décret local fermant les camps à l'intérieur de Maiduguri. Or pour Kingibe, c'est un cauchemar sans fin de voir ses enfants pleurer de faim. Car cet agriculteur ne peut plus accéder à son champ dans son village près de Marte, à plus de 130 km de Maiduguri : « De nombreuses personnes qui sont retournées à Marte ont été attaquées par les membres de Boko Haram. Puis ces familles ont été déplacées à Dikwa. Avant de revenir nouveau Maiduguri sur instruction du gouverneur Babagana Zulum avec un soutien alimentaire pas trop long. Plus tard, certaines familles sont retournées à Marte, mais d'autres vivent toujours ici. Sans pouvoir cultiver, une personne pauvre ne peut pas survivre. » Pour nourrir sa famille, Kingibe envisage de vendre la tente humanitaire qui leur sert de logement. Plusieurs de ses voisins l'ont déjà fait, laissant vide ainsi de nombreux espaces dans ce camp informel. À lire aussiNigeria: comment j'ai basculé dans Boko Haram [1/5] À lire aussiNigeria: la réintégration d'ex-membres de l'Iswap dans la société, sans passer par la case prison [2/5] À lire aussiNigeria: face à la réintégration des repentis Boko Haram, l'impossible pardon pour les victimes [3/5] À lire aussiNigeria: les sessions de déradicalisation d'ex-membres de Boko Haram [4/5]
Chaque vendredi, Nicolas Carreau vous présente le livre audio de la semaine. Ce vendredi, "Madelaine avant l'aube" de Sandrine Collette.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:07:33 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Vendredi 21 novembre 2025, Alain Souchon et ses fils, Pierre et Ours. Ils sortent un album commun, "Studio Saint-Germain". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bienvenue dans Marc My Words, le rendez-vous court et punchy du vendredi ou samedi pour préparer votre week-end fantasy ! En 10 à 15 minutes, Marc partage ses analyses et ressentis sur les joueurs à suivre, les situations brûlantes, et les décisions lineup les plus délicates avant le Warm Up du dimanche.
On poursuit notre exploration des indices loufoques. Lesquels sont sérieux? Lesquels sont 100% spéculatifs et représentent un réel danger? Comment savoir si on peut (et devrait) les transiger ou pas?Amusez-vous avec nous tout en améliorant votre culture générale des marchés.Bon trading!---------------------------------------------------------DIVULGATION DE RISQUE La négociation d'actions, Forex ou tout autre produit financier comporte un niveau de risque élevé et peut ne pas convenir à tous les investisseurs. Les performances passées ne représentent pas les résultats futurs. Le degré élevé d'effet de levier peut être profitable et aussi vous nuire. Avant de décider d'investir, vous devez examiner attentivement vos objectifs d'investissement, votre niveau d'expérience et votre appétit pour le risque. La possibilité existe que vous puissiez subir une perte de tout ou d'une partie importante de votre investissement initial et donc vous ne devriez pas investir de l'argent que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre. Vous devez être conscient de tous les risques associés aux opérations boursières et demander un avis à un conseiller financier indépendant si vous avez des doutes. Le contenu de ce podcast est à titre informatif et éducatif seulement et n'est pas et ne doit pas être interprété comme un conseil professionnel, financier, d'investissement, fiscal ou juridique. D*TRADING ne peut être retenu responsable de pertes financières dues aux décisions personnelles du client. #bourse #investissement #trading #finance #argent #investir #libertefinanciere #investisseur #trader #actions #business #stockmarket #motivation #bitcoin #independancefinanciere #stocks #forex #titre #epargne #formation #formationboursiere #marchesfinanciers #daytrading #swingtrading #tradingview #investissementlongterme #apprendre #Patrick Gaulin #François Joly-Dubois #Michel VillaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des chercheurs australiens nous apprennent que le consentement, ça commence chez les bébés. Il faut leur demander s’ils veulent qu’on leur change la couche ! Qu’est-ce que cette étude au juste ? Entrevue avec Marie-Claude Roy, présidente de l’Association des pédiatres du Québec. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
NOISE welcomes JiaJia Li & Laura Reid - the artistic directors for The Instrumental Society of Calgary! We'll discuss the 2025-2026 season, as well as the upcoming concert "American Haiku" on November 23rd. All this and the best in experimental and avant-garde music!Playlist: Jorjiana - TimeAstrocolor - NightflightCheng² Duo - Sonata No. 1 for Cello and Piano, "Shifting Baselines": I. Steady stroll—FlowingCaroline Shaw, Attacca Quartet - Limestone & FeltMichael Ponder & Ian Jones - Two Pieces for Viola & Cello: I. LullabyMichael Ponder & Ian Jones - Two Pieces for Viola & Cello: II. GrotesqueJoey Waronker & Pete Min - Greener GrassNoam Lemish - San Francisco is my CopenhagenAmir ElSaffar - For the Victims of GenocideKarneef, featuring Evan Shay - It's How You Say ItMAGELLA - ControlLucrecia Dalt - no death no dangerWho Cares - Simple Lines of Enquiry
Avant de rencontrer l'autrice, les élèves de Première en option sport ont découvert son univers à travers "Une grammaire amoureuse", son recueil de poésie dédié en partie à son conjoint. Mais, la préparation ne s'est pas limitée à la lecture. "La prof de français nous a fait écrire des poèmes de quatrains pour les présenter à Coline quand elle allait venir", raconte Nina. Par binôme, les élèves ont ainsi lu leurs propres créations devant l'autrice. Peu d'entre eux connaissaient Coline Pierré avant cette rencontre, et la plupart avouent ne pas être des lecteurs assidus. Pourtant, l'expérience semble avoir laissé des traces. "Cela nous permet de découvrir de nouveaux métiers différemment, en rencontrant vraiment des personnes concernées", explique Félicie. "Dans la matière du français, on travaille beaucoup sur des textes sortis de livres, du coup c'est aussi intéressant de savoir d'où ça vient", ajoute Nina. A l'issu de la rencontre, Félicie, Jeanne, Nina, Alban et Louis, élèves de Première option sport, reviennent sur cette expérience.Lien vers l'article complet : https://azur-fm.com/news/colmar-des-rencontres-scolaires-a-lapproche-du-festival-du-livre-2588 Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:47 - 100% Sainté, la chronique Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:29:49 - 100% Sainté Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:23 - Amiens SC : beaucoup de blessés, mais pas de recrue immédiate avant le mercato Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
“Why are we here today? Hope.” — Louis Colinet, CEO TapioJe reviens du Tapio Day à Bruxelles, l'événement de Tapio, plateforme de stratégie climat qui aide les entreprises à mesurer leur empreinte carbone et à bâtir un plan d'action de réduction, le tout dans une interface pensée pour les équipes et expert·es climat. On y a parlé basculement, responsabilité et… marketing.Dans cet épisode, je fais le pont entre la RSE “macro” et le quotidien des directions marketing : comment passer du rapport carbone aux décisions marketing de 2026 sans greenwashing.Pourquoi écouter cet épisode ?➡️ Comprendre le “tipping point” du marketing responsable et ce que ça change pour ton équipe➡️ Relier ESG et 7P (Product, Price, Place, Promotion + People, Planet, Prosperity) à un plan marketing concret➡️ Voir comment réconcilier performance et responsabilité sans sacrifier l'un pour l'autreMasterclass à ne pas manquerÉcoute l'épisode complet dès maintenant et découvre pourquoi 2026 peut être l'année où ton marketing fait du chiffre ET du sens.Inscris-toi à ma masterclass gratuite “Stratégie marketing 2026: 3 piliers pour faire du chiffre ET du sens” — jeudi 27 novembre à 12h (60 min):https://www.linkedin.com/events/lemarketingpeut-ilvraiment-trer7387108949977632768/
ARC: quel chiard! Retour sur la crise au Parti libéral. Luce Julien en entrevue à Radio-Canada. La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Rediffusion. Une affaire au cœur d'un club sportif pour évoquer les violences sexuelles dans le sport… Ces clubs sont pour certaines personnes une véritable famille de substitution, pourtant les violences y sont parfois présentes. L'histoire que Caroline Nogueras va vous raconter, c'est celle d'Isabelle Demongeot, ancienne championne de tennis, violée à plusieurs reprises par son entraîneur. Isabelle est la première victime de Régis de Camaret à avoir parlé bien avant la vague #Metoo. La fin de l'omerta ? Dans ce dernier épisode de la saison, Caroline Nogueras est accompagnée d'Isabelle Demongeot et de Greg Décamps, psychologue du sport, professeur à l'université de Bordeaux et spécialiste de la question des abus sexuels dans le sport. Avant d'arriver à la condamnation de Régis de Camaret, il aura fallu 9 années d'une longue bataille judiciaire menée en grande partie par Isabelle Demongeot. Comme elle, 25 femmes disent avoir été abusées par cet homme dans leur jeunesse. Aujourd'hui, les choses ont-elles changé ? Depuis la vague #Metoo, les victimes de viols et d'attouchements de la part d'autres sportifs ou de leur entraîneur osent-elles porter plainte ? Comment se reconstruire après des viols ? Le milieu sportif de haut niveau a-t-il évolué en la matière ? C'est à toutes ces questions que nous allons tenter de répondre. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Caroline Nogueras Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Signe de dégel », s'exclame le site d'information Seneweb. « Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a rencontré avant-hier les membres du Bureau politique de Pastef, son parti, pour aborder, entre autres, sa relation avec son Premier ministre Ousmane Sonko et les récentes nominations contestées, notamment celle d'Aminata Touré. » En effet, rappelle Le Monde Afrique, « le 11 novembre dernier, Bassirou Diomaye Faye avait précipité la crise en annonçant retirer à Aïda Mbodj, une proche du Premier ministre, la direction de la coalition “Diomaye président“. Et nommer à sa place Aminata Touré, sa conseillère spéciale, elle aussi une femme politique expérimentée, plusieurs fois ministre. » Une éviction et une nomination qui n'ont pas été, du tout, du goût du Premier ministre qui avait alors rué dans les brancards… « Dans le viseur du Premier ministre également, pointe Le Monde Afrique : le ministre de l'Environnement, Abdourahmane Diouf. Réputé proche du président Faye, à la tête d'un petit parti allié au Pastef, Abdourahmane Diouf avait récemment appelé à se montrer clément à l'égard des cadres en poste du temps de l'ancien président Macky Sall. Un propos qui va à l'encontre des positions défendues par Ousmane Sonko. » Et déjà, rappelle encore Le Monde Afrique, « dès juillet, une première divergence était apparue entre les deux dirigeants. Le Premier ministre, violemment attaqué par l'opposition, s'était publiquement demandé alors pourquoi son camarade ne se montrait pas plus ferme avec cette dernière. » Réconciliation de façade ? Avant-hier, donc, le président Diomaye Faye a joué l'apaisement… « Je ne ferai jamais de mal à Ousmane Sonko, et je sais qu'il ne me fera jamais de mal », a-t-il notamment déclaré. Des propos repris par toute la presse sénégalaise, à l'instar du site Dakar Matin qui estime qu'il s'agit là d'une « phrase lourde de sens, destinée à couper court aux rumeurs de froid, de rupture ou de prises de distance entre les deux figures majeures du parti. » Commentaire d'Afrik.com : « si les tensions persistent, le rapprochement affiché entre Diomaye et Sonko marque un moment important. En réaffirmant leur cohésion au cœur de la tempête, les deux figures fondatrices de la majorité envoient un message qui peut ainsi être décrypté : malgré les divergences, l'ossature du pouvoir reste solidaire. » Reste, tempère Seneplus que « le président a confirmé qu'il campait sur sa position de maintenir Aminata Touré à la tête de la coalition “Diomaye président“. Cette nomination apparaît désormais comme un fait accompli. » En attendant les élections… Et pour une partie de la presse sénégalaise, rien n'est réglé… « Diomaye intraitable », s'exclame WalfQuotidien en première page. « La crise est loin de s'estomper au sein de la majorité présidentielle, affirme le journal. Malgré l'implication du Bureau politique de Pastef, le Président Diomaye semble inflexible face aux exigences du chef de file du parti, le Premier ministre Ousmane Sonko. » Pour l'analyste politique, Ibrahima Bakho, interrogé par Walf, « les deux leaders sont dépassés par les violences verbales des deux camps. Il faudra du temps pour régler cela. Et ce temps, regrette l'analyste, on ne l'a pas, parce que les élections, c'est en 2027 pour les locales et en 2029 pour la présidentielle. Toutefois, souligne-t-il, cette période au Sénégal a toujours été marquée par des campagnes électorales déguisées. » Alors, résume Le Quotidien, toujours à Dakar, « si l'élection de Bassirou Diomaye Faye et Ousmane Sonko a été perçue comme un geste de décrispation majeure, le processus de réconciliation politique reste délicat. Le dialogue s'étend aux anciens adversaires, mais les défis persistent, y compris au sein de Pastef, la coalition au pouvoir, où il y a des divergences sur l'exercice de l'autorité. La mission reste d'éviter que les querelles politiciennes n'entravent le projet de transformation du pays et de maintenir le cap sur les attentes du peuple. » En effet, prévient Le Monde Afrique, « d'ici à l'élection présidentielle de 2029, la recomposition du paysage politique sénégalais pourrait se concentrer essentiellement à l'intérieur même du Pastef, au risque de voir ce parti, autrefois capable de réunir des sensibilités différentes de la gauche jusqu'aux libéraux, finir par se scinder. »
Entre le départ de l'emblématique président Daniel Levy et l'arrivée de Thomas Frank sur le banc, Tottenham connait une période de profonde mutation, qui se ressent sur le terrain. Peu de matches aboutis et un manque de créativité devant… Que valent les Spurs aujourd'hui, 5es de Premier League ? Ont-ils les moyens de déstabiliser le PSG, leur prochain adversaire en C1, le 26 novembre ? Un podcast présenté par Marie-Amélie Motte, avec Pierre-Étienne Minonzio et Nelson Thomas. Réalisation : Léa Leostic. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les dirigeants des plus grandes économies du monde se retrouvent à partir de samedi 22 novembre à Johannesburg pour un sommet du G20, le premier de l'histoire sur le continent africain. Pretoria entend peser pour obtenir des engagements sur l'allègement de la dette des pays en développement et sur la lutte contre les inégalités, à l'heure où son économie enregistre quelques succès. Les G20 arrive au meilleur des moments pour l'Afrique du Sud. Depuis le mois dernier, le pays n'est plus considéré à risque en matière de blanchiment d'argent. Le Gafi (Groupe d'action financière) l'organisme international de lutte contre ces pratiques a sorti Pretoria de sa fameuse liste « grise » au nom de ses réformes pour plus de transparence. Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, vendredi 14 novembre, c'est l'une des trois grandes agences de notation S&P qui a relevé d'un cran la note du pays. Une première en 20 ans. Concrètement la note de crédit à long terme — sorte de note de confiance" sur la qualité de la dette du pays — est passée de "BB-" à "B.B". Pour donner une idée, c'est un peu comme si l'Afrique du Sud passait de 8 à 9/20. Certes, ce n'est pas encore la moyenne, mais c'est un signal fort, un gage de confiance pour les investisseurs. Et cela devrait permettre à Pretoria des taux d'intérêts moins élevés et donc d'emprunter moins cher sur les marchés. Redresser les finances publiques La confiance des investisseurs s'explique en partie par les efforts de la coalition au pouvoir pour redresser les finances publiques. Non seulement l'Afrique du Sud collecte plus d'argent via l'impôt, mais elle le collecte aussi mieux. Le budget présenté la dernière semaine prévoit une hausse des recettes. Autre point positif : le plan de libéralisation de l'économie lancé par le président Cyril Ramaphosa qui vise encourager les partenariats publics/privés dans des secteurs clés: les trains, les ports ou encore l'énergie. L'agence de notation S&P cite une réussite. Le cas de la compagnie d'électricité publique Eskom qui a enregistré le mois dernier son premier bénéfice net en huit ans. Les coupures de courant sont moins fréquentes dans le pays, ce qui pénalise moins les entreprises et favorise la croissance. Pays le plus inégalitaire au monde Après une décennie de croissance atone, les prévisions ont été revues à la hausse. Le PIB pourrait progresser de près de 2% en moyenne sur les trois prochaines années (1,8% en moyenne sur les trois prochaines années selon les prévisions du Trésor) Et l'inflation, reste maitrisée. La banque centrale table sur une hausse des prix de 3% en moyenne, contre à 3% et 6% auparavant. Pourtant, tout n'est pas rose. Le principal défi de Pretoria reste son taux de chômage qui dépasse les 30% Et c'est encore pire chez les jeunes : un sur deux est sans travail. L'Afrique du Sud ne créé pas assez d'emplois par rapport à sa population, et les inégalités se creusent. Plus de 30 ans après la fin de l'apartheid, le pays peine à gommer les disparités raciales. D'après la Banque mondiale, l'Afrique du Sud reste le pays le plus inégalitaire au monde. À lire aussiAfrique du Sud: à Soweto, la ruée vers l'or continue de toucher les populations pauvres plus de 100 ans plus tard
L'accessibilité, il y a ceux qui la fabriquent et ceux qui en bénéficient. ActuaLitté est allé à la rencontre de Mélissa Castilloux, consultante spécialisée. Avant de se consacrer aux enjeux du livre numérique accessible, elle-même est concernée par la dyslexie et la dysorthographie. Elle témoigne, tant comme lectrice que professionnelle.
Et si la naturopathie pouvait devenir votre alliée pour mieux vivre votre parcours de PMA ?
durée : 00:03:00 - Connaître les bases avant de cueillir un champignon - par : Nathalie Mazet - Daniel Puravet, membre de la Société Mycologique de Vaucluse, nous livre ses conseils pour une cueillette de champignons en bonne et due forme. Il nous explique les bonnes pratiques à adopter, les erreurs à éviter et les indispensables pour bien identifier les champignons. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Bienvenue dans le tout dernier épisode de la saison 6 du podcast Les Aventures d'un Otaku! Avant de plonger dans nos discussions, un grand merci à À La Dérive pour le sponsoring brassicole, n'oubliez pas de lever votre verre en notre honneur !Dans cet épisode, on vous prépare une avalanche de découvertes otaku :The Apothecary Diaries avec Kinh Vinland Saga Tome 11 & 12 avec Robin Plongée dans l'univers de Tatsuki Fujimoto avec Sam Dragon et Caméléon Tome 1 avec Queen Kate Call of the Night Tome 7 avec Jay Heart Gears Tome 4 à 6 avec Frank Le Dieux GeekPréparez-vous pour un cocktail de mangas, d'animes et de discussions passionnées avant de clore cette saison en beauté !#LesAventuresdUnOtaku #PodcastManga #AnimeLovers #TheApothecaryDiaries #VinlandSaga #DragonEtCameleon #CallOfTheNight #HeartGears #TatsukiFujimoto #ALaDerive #Saison6Finale‐-------‐‐-----------------------------------------Site Web ⬇️www.gpourgeek.caBalado Quebec ⬇️https://baladoquebec.ca/g-pour-geek/les-aventures-dun-otaku-tome-42Spotify ⬇️https://open.spotify.com/show/1u1BuLjlLfSSOLq8YuAEa0Linktree ⬇️https://linktr.ee/gpourgeekYoutube ⬇️https://youtu.be/q3SoHQBIFos
Dans ce podcast inédit, Vitaa se confie au micro de RTL avant son passage dans l'émission ! L'occasion d'en apprendre un peu plus sur elle, sur ses projets et sur ses souvenirs de l'émission "Les Grosses Têtes". Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jason Avant joins the midday show for his weekly segment discussing the Eagles and all things surrounding them following the Lions game and before the upcoming Cowboys game.
Jason Avant stays with the WIP Midday Show and discusses the usage of A.J. Brown in the offense vs the Lions. As well as looking ahead more for the Eagles in their upcoming game vs the Cowboys and for the rest of the season.
In hour 3, the WIP Midday Show is joined by former Eagles Wide Receiver and legend Jason Avant to go through all things Eagles including, recapping Lions vs Eagles, previewing Cowboys vs Eagles, offensive discourse, surging defense, A.J. Brown, Jalen Hurts and more!
Revivez le deuxième débat éternel de la semaine de Rothen s'enflamme. Le foot, est-ce que c'était mieux avant ? Avec Jérôme Rothen, Jean-Michel Larqué, Jean-Pierre Papin et Benoit Boutron.
Avant d'être l'un des plus grands écrivains du siècle des Lumières, Voltaire connut la prison. Et pas n'importe laquelle : la Bastille, symbole du pouvoir absolu du roi. Ce séjour marqua profondément sa vie et sa pensée.Né François-Marie Arouet en 1694, Voltaire se fit remarquer très tôt pour son intelligence, sa verve et surtout… sa langue acérée. Dans le Paris du Régent Philippe d'Orléans, l'esprit satirique du jeune homme fit merveille dans les salons. Mais il dépassa vite les limites de la tolérance politique. En 1717, à seulement vingt-trois ans, il écrivit des vers moqueurs sur le Régent et sur sa famille, accusant notamment le duc d'entretenir une relation incestueuse avec sa fille. Ces rumeurs, pourtant courantes à l'époque, devinrent explosives quand elles furent signées de la main d'un poète connu.Le pouvoir royal ne plaisantait pas avec la satire. Voltaire fut arrêté et enfermé à la Bastille le 16 mai 1717, sans procès — une détention dite “par lettre de cachet”, c'est-à-dire sur simple ordre du roi. Il y resta près de onze mois, jusqu'en avril 1718.Loin de le briser, cet enfermement forgea le caractère de l'écrivain. Il mit ce temps à profit pour écrire sa première grande pièce de théâtre, Œdipe, qui fut jouée avec succès peu après sa libération. C'est aussi à cette époque qu'il adopta le nom de plume “Voltaire”, contraction probable de “Arouet le jeune” (Arouet l. j. → Voltaire). Ce pseudonyme marquait une renaissance : celle d'un écrivain décidé à combattre le pouvoir par les mots.Mais ce ne fut pas sa seule incarcération. Quelques années plus tard, en 1726, après une violente querelle avec le chevalier de Rohan, un aristocrate qu'il avait publiquement ridiculisé, Voltaire fut de nouveau envoyé à la Bastille. Cette fois, il ne resta que quelques jours, mais l'humiliation fut telle qu'il décida de quitter la France pour l'Angleterre. Là-bas, il découvrit la liberté d'expression, la tolérance religieuse et le parlementarisme — tout ce qui manquait à la monarchie française.Ces expériences d'enfermement et d'exil nourrirent toute son œuvre future. Voltaire en ressortit convaincu que le pouvoir arbitraire, la censure et la religion d'État étouffaient la raison. Son passage à la Bastille transforma un jeune poète insolent en l'un des plus grands défenseurs de la liberté de pensée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine, on parle de la vie : de se sentir jeune, des 10 ans entre 16 et 36, mais aussi de l'absurdité de la mort et de l'amour.Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure, abonnez-vous à Supercast comme ceci : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GLes ups et les downs :Le down de Louise : perdre son grand-pèreLe rollercoaster de Isaak : payer une ginger beer à son bourreau de lycéeLe rollercoaster d'Alix : alterner en cointreau et vino verdeLe up de Camille : combattre Tata DroguitaaaaEt retrouvez notre invité Isaak Dessaux sur instagramDans cet épisode, on parle de : Cette appli : Respi relaxCe lieu : La fête à ParisCet hypnothérapeute : Monsieur GambadeSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorenteL'équipe de prod :Au montage de cet épisode Alphonse GausslinAu mixage et à la prod Zu Aux réseaux Coline Jamaitet merci à Acast pour le studio Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Artist Album Track Label Year Time Ben Levin Group Freak Machine Freak Machine 2 Self Release 2015 7:08 Curlew Paradise Gimmie Cuneiform 1996 4:56 Racing Mount Pleasant Racing Mount Pleasant Call It Easy R&R Digital 2025 7:01 Titan to Tachyons Cactides Morphing Machineminds Nefarious Industries 2020 5:54 Revolutionary Snake Ensemble Serpentine [HD 24/48] The Skunk […]
Le PSG Revient Avec Plus De Réponses… Ou Plus De Doutes ?
Six ans après sa retraite sportive, Tony Parker, quadruple champion NBA, va effectuer son retour près des parquets en tant qu'entraîneur de la prometteuse génération 2009 de l'équipe de France, en vue de la Coupe du monde U17 cet été. Avant lui, de nombreuses gloires du basket, en NBA comme en Europe, se sont essayées au coaching après avoir rangé les baskets, avec des fortunes diverses. Quelle pourrait être la trajectoire de Parker dans ce nouveau rôle ? Débat dans Step Back. Un podcast basket présenté par Baptiste Binet, avec David Loriot et Arnaud Lecomte. Réalisation : Marie-Amélie Motte.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anne Ghesquière reçoit Nicole Prieur, philosophe et thérapeute familiale, experte des relations et des dynamiques intrafamiliales. Quelle place occupons-nous dans notre famille une fois adultes ? Restons-nous l'enfant de nos parents, comment redéfinir nos liens ? Comment dépasser les étiquettes héritées de l'enfance et poser des limites saines ? Quelles sont les trahisons necessaires ? Quelle place dans la fratrie mais aussi de la famille élargie ? Notre rôle lorsque nous devenons parents à notre tour ? Nicole Prieur explore ces enjeux avec une immense clarté et bienveillance. Son nouveau livre Familles, Explorer ce qui se joue dans nos liens pour mieux comprendre qui nous sommes, co-produit avec Métamorphose, est paru aux éditions Eyrolles. Ce livre est le prolongement direct des enseignements de Nicole Prieur au micro de Métamorphose. Épisode #636Quelques citations du podcast avec Nicole Prieur :"La qualité du lien de la relation ne dépend pratiquement pas de la structure familiale.""Depuis le départ des enfants, ce qui est essentiel, c'est vraiment de travailler sa propre intériorité.""ll faut libérer nos enfants d'être ce qu'on aurait voulu qu'ils soient."À réécouter :Découvrez la playlist qui regroupe l'intégralité des interventions de Nicole Prieur sur Métamorphose.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Nicole Prieur :00:00Introduction02:00Présentation invité05:10La famille du XXIe siècle07:36Une relation évolutive09:34Perte de la spontanéité12:59Le nid vide des grands-parents18:03Que faire des étiquettes ?21:27Les trahisons nécessaires pour se libérer29:13Gratitude et restauration31:38Abus et explosion de la famille34:32La fratrie : lieu d'expérimentation44:19La culpabilité inconsciente48:58Le petit dernier52:32Poser ses limites56:41L'aide de l'hypnose59:50La famille élargie01:02:12Bien se disputer01:05:45La mort d'un frère / d'une soeur01:08:26Fratrie & héritage01:13:13L'aventure extraordinaire01:16:14Conseils pour les fêtes !Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En mars 1910, à Nice, Auguste Charlois, un astronome très célèbre, est tué sur le pas de sa porte d'un coup de revolver. C'est la 1ère fois dans l'histoire du crime qu'un expert en balistique vient clouer le bec à un accusé menteur.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode des Fabuleux Destins nous allons vous raconter l'histoire d'un braquage qui a marqué la Suède. Il a été le premier événement criminel diffusé en direct à la télévision suédoise. Son nom : La prise d'otages de Stockholm. Du braquage au syndrome qui lui est associé, découvrez son étrange destin. Kristin est employée de banque. Comme tous les matins elle s'installe à son bureau et se prépare à travailler. Le brouhaha et les murmures des clients emplissent l'air, lorsque soudain, son regard se fige. Une vision surréaliste prend vie sous ses yeux, tandis qu'un homme étrange, au visage masqué de crème marron et coiffé d'une perruque insolite, s'avance lentement. Avant même qu'elle ait le temps de réfléchir, il dévoile une mitraillette qu'il laisse nonchalamment glisser autour de son cou. Un seul coup de feu déchire l'air, Kristin se précipite au sol, son cœur tambourine dans sa poitrine. Soudain, le regard impitoyable de l'homme se pose sur elle… Un podcast Bababam Originals Voix : Andréa Brusque Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
We're closing out our series on Ephesians with a powerful message from Mashpee Campus Pastor Mike Avant on Ephesians 6. From spirit-filled relationships to spiritual warfare, Paul shows us how to love like a servant, live like a soldier, and last like a saint. Armor up, because the battle is real.If you'd like to follow along as we read Ephesians together, text “BIBLE” to 508-500-6656. You'll get a daily text with that morning's specific verses!If you're new to Harbor or want to get connected in any way click this link to get your New Here gift, find upcoming events or get involved!https://harborchurch.com/connect
La Russie fait de plus en plus appel aux travailleurs nord-coréens. Depuis plusieurs années, et notamment depuis le début de la guerre en Ukraine, le régime nord-coréen envoie ses bras travailler de l'autre côté de sa frontière, en Russie, pour financer son programme nucléaire. Un travail dans des conditions extrêmement difficiles, comme le racontent les Nord-Coréens qui se sont échappés des chantiers russes. De notre correspondant en Corée du Sud, Ses mains abîmées par le travail trahissent ses années passées sur les chantiers moscovites. Militaire du programme nucléaire nord-coréen, Lee Eun-pyeong, a été envoyé travailler en Russie avant de faire défection vers la Corée du Sud, d'où il partage son histoire. « Le régime manquait d'argent, alors il a décidé d'envoyer des soldats à l'étranger, déguisés en travailleurs civils, pour gagner de l'argent et financer la construction nucléaire. J'ai été choisi dès 2014 pour ma loyauté et mes antécédents familiaux. J'ai ensuite été formé et je ne suis arrivé en Russie qu'en 2017 », explique Lee Eun-pyeong. Envoyé depuis la Corée du Nord en tant que militaire, puis sous couvert d'un faux visa étudiant, Lee Eun-pyeong travaillait à un rythme stakhanoviste sur des chantiers en banlieue de Moscou. « Réveil à 07h00, travail de 08h00 à minuit, parfois jusqu'à 2 ou 03h00 du matin si le quota n'était pas rempli. Impossible de dormir si les tâches n'étaient pas accomplies. Nous dormions et mangions dans des conteneurs. Pas d'eau chaude pour se laver, seulement de l'eau glacée dans le climat russe », poursuit-il. À lire aussiDes milliers de travailleurs nord-coréens envoyés en Russie, en violation des sanctions de l'ONU Si les ouvriers nord-coréens sont bien payés – 1 650 euros en moyenne, soit bien plus que les autres travailleurs étrangers en Russie –, le régime confisque la quasi-intégralité de leur salaire pour financer son programme militaire. Conditions difficiles, maigre salaire... C'est au contact d'autres travailleurs, venus du Kazakhstan ou d'Ouzbékistan, que Lee Eun-pyeong prend une décision radicale. « Avec le temps, j'ai découvert une autre réalité grâce aux téléphones portables que des étrangers nous montraient. J'ai vu des voitures sud-coréennes, des téléphones sud-coréens, et surtout, des vidéos et témoignages sur internet. Tout contredisait l'image négative de la Corée du Sud qu'on m'avait inculquée. J'ai compris que j'avais été trompé, que la liberté existait ailleurs », affirme-t-il. Une évasion des chantiers russes difficile et dangereuse. Il nous raconte son périple : « La sécurité nord-coréenne a lancé une traque : des agents du ministère de la Sécurité d'État et même la mafia russe nous cherchaient. J'ai été capturé, menacé avec un couteau, mais j'ai réussi à m'en sortir. Finalement, un pasteur sud-coréen en Russie m'a caché dans une église pendant plusieurs mois. En mars 2021, après neuf mois de fuite et de cachettes, j'ai pu entrer en Corée du Sud. » Aujourd'hui, au moins 15 000 Nord-Coréens travailleraient en Russie. Un nombre qui devrait augmenter à mesure que les deux pays se rapprochent au travers de leur alliance militaire signée en 2024.
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
Le Nigeria est de nouveau dans le viseur de l'administration Trump. Le président américain a récemment menacé le pays d'une intervention militaire pour protéger les chrétiens du Nigeria, qui seraient victimes, selon lui, de violences ciblées sous l'œil indifférent des autorités. Le Nigeria a été réintégré à la liste américaine des « pays particulièrement préoccupants en matière de liberté religieuse », dont il était sorti en 2021. Avant cela, Washington avait déjà annoncé un durcissement considérable des conditions d'obtention de visas « non immigrants » pour les citoyens nigérians désireux de se rendre aux États-Unis. Fin octobre, l'écrivain Wole Soyinka a également révélé que son visa américain avait été annulé. RFI a rencontré, à Paris, le premier prix Nobel africain de littérature, en 1986, qui a toujours été une voix critique de la politique de Donald Trump. RFI : Pensez-vous retourner un jour aux États-Unis ? Wole Soyinka : J'en doute vraiment. C'est peu probable Récemment, vous avez annoncé que votre visa américain avait été révoqué. Pour quelles raisons exactement ? C'est un problème ancien qui remonte déjà à la première élection de Donald Trump. J'enseignais aux États-Unis et j'ai vu l'émergence de cette rhétorique politique à la fois raciste, exclusioniste, mais aussi égocentrique. Et en général extrêmement méprisant vis-à-vis des immigrés et même des étrangers. Rappelez-vous, quand il est arrivé au pouvoir, il a désigné un certain nombre de pays comme « des pays de merde », pardonnez l'expression. Je l'ai compris dès la campagne et j'ai promis que si cet homme arrivait au pouvoir, je déchirerais ma carte verte. C'est exactement ce que j'ai fait. Pourtant, après cela, vous avez quand même obtenu un autre visa pour les États-Unis ? Oui, parce que, peu après avoir déchiré ma carte verte, j'ai reçu un courrier de l'administration fiscale américaine, pour m'annoncer que j'allais avoir un contrôle fiscal. Donc, je suis allé à l'ambassade au Nigeria, je leur ai expliqué que j'avais détruit mon permis de résidence aux États-Unis, mais que je ne voulais pas être considéré comme un fraudeur ou un fugitif. J'ai demandé un nouveau visa pour répondre à cette missive. C'est ce visa qui vient d'être annulé ? Oui, c'est correct. Cette fois, je n'ai même pas pris la parole. J'ai été directement ciblé, comme d'autres gens. J'ai reçu une lettre générique du consulat, une lettre qu'ils ont aussi adressée à d'autres Nigérians – et j'en suis sûr, aux citoyens d'autres pays – pour me demander de me présenter à un entretien. Parce que, je cite, « il y a eu des changements depuis l'émission de votre visa ». Ils me demandaient de me présenter au consulat, avec mon passeport. Je suis trop occupé pour cela et je savais très bien qu'ils avaient déjà pris leur décision, donc je n'y suis pas allé. Depuis que Donald Trump est revenu au pouvoir aux États-Unis, les immigrés sont ramassés dans la rue, au restaurant, et même dans les écoles. Je n'ai pas vraiment envie d'être associé à ce que cette société est devenue sous Donald Trump. Plus récemment, Donald Trump a fait de nouvelles déclarations concernant le Nigeria. Selon lui, les Chrétiens seraient les victimes d'une violence ciblée dans le pays. Qu'en pensez-vous ? D'abord, c'est arrogant, mais c'est aussi profondément irresponsable. Je ne connais aucun pays à travers le monde qui ne connait pas de frictions. Bien sûr, il n'est pas question de nier l'existence d'extrémistes religieux au Nigeria et plus spécifiquement d'islamistes intégristes. Je le dis ouvertement. D'ailleurs, j'ai même écrit une pièce sur le meurtre d'une jeune étudiante, accusée de blasphème, qui a été lynchée et déshumanisée. On sait qu'il y a un problème. Mais c'est un acte extrêmement hostile lorsqu'une personne venue de l'extérieur exacerbe et exagère ce problème. Il y a des tensions, il y a des violences, notamment entre les fermiers et les éleveurs. Des centaines de personnes ont été tuées dans ce conflit. Parfois, la religion est en cause, mais souvent, c'est plutôt une question économique. Bien sûr, les enlèvements d'enfants contre rançon sont des actes criminels. Mais choisir un aspect du problème, et affirmer que c'est la religion qui est au centre de toutes ces violences, ce n'est pas seulement mauvais, c'est aussi criminel. Rappelez-vous les mots qu'il a utilisés pour menacer le Nigeria d'une intervention militaire. Il a dit que les américains attaqueraient « armes à la main » et que ce serait « rapide, vicieux et doux ». Est-ce vraiment le genre de déclarations que l'on attend d'un leader ? Un chef d'État n'a pas le droit d'être simpliste. Et surtout n'a absolument pas le droit de creuser encore les divisions qui existent déjà. Il n'y a pas de société sans tensions, même aux États-Unis. Pour finir, au mois d'octobre, le théâtre national de Lagos a rouvert ses portes sous le nom de Centre Wole Soyinka pour la culture et les arts créatifs. Appréciez-vous cette attention pour votre 90e anniversaire ? Oui, c'est évidemment un honneur. Mais celui-ci devait-il m'être attribué ? C'est une autre question. Notamment lorsque vous avez passé, comme moi, toute votre vie à traverser toutes sortes de dictatures, où les dirigeants donnent leur nom à tout et n'importe quoi, y compris à des toilettes publiques. Je suis indifférent à ce genre de chose. J'ai vécu ma vie, j'ai fait mon travail, je suis satisfait. À lire aussiDonald Trump en croisade pour protéger les chrétiens africains?
Invités :Jean-Christophe Couvy, secrétaire national unitéGauthier le Bret, journaliste politique CNewsJoseph Macé-Scaron, essayiste et consultantLaetitia Guinand, journaliste politiqueJean-Sébastien Ferjou, journalisteLouis Gautier, ancien secrétaire général de la défense et de la sécurité nationaleLouis de Raguenel, journaliste politique Europe 1 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8OExtrait de l'épisode FREUD - Les lapsusCet épisode sera publié sur YouTube et en podcast vendredi prochain le 21 novembreIl est d'ores et déjà disponible en intégralité sur ma page Patreon : https://www.patreon.com/posts/141706318---Envie d'aller plus loin ? Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à tout mon contenu supplémentaire.
La situation des immigrés mexicains aux États-Unis est de plus en plus précaire. Entre le harcèlement des agents de l'ICE, qui pratiquent des descentes musclées dans les villes américaines, et les discours hostiles de Donald Trump à l'encontre de l'immigration, le climat est de plus en plus tendu. Deux millions de personnes auraient quitté le pays selon le Département américain de la sécurité intérieure : 400 000 expulsés et 1,6 million de départs volontaires. Même si cette dernière estimation est compliquée à vérifier, beaucoup de Mexicains rentrent effectivement au Mexique. Sauf que le retour n'est pas une chose simple. « Je n'ai pas pleuré. J'ignore pourquoi. J'ai longtemps vu ma fille uniquement au téléphone, et de la voir en vrai là... Je ne pouvais rien dire. J'étais juste capable de la regarder et de l'embrasser. Mais tous les deux, on avait envie de pleurer, d'être restés si longtemps sans se voir et d'être ensemble à nouveau », raconte José Luis. Après 26 ans passés aux États-Unis, il a retrouvé sa ville natale d'Acapulco et sa fille devenue adulte. Il a choisi de s'auto-expulser. De retour dans son pays d'origine, le Mexique, il est pris par des sentiments mélangés et « la nostalgie de ne plus voir tes proches que tu as aimés. Je suis parti et j'ai laissé ma grand-mère, mes oncles, ma mère. Tout est revenu d'un coup. C'est pour cela, je crois, que je n'ai pas pu pleurer. J'avais ce nœud dans ma gorge, je ne pouvais même plus parler », ajoute-t-il. La famille de José Luis est éclatée entre les deux pays. Il a été attrapé par les services de l'immigration américaine. Sans papiers, il n'a pas eu d'autre choix que de rentrer. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, il s'inquiète pour ses proches et raconte comment la vie est devenue infernale en Arizona : « Ça a été rapide et catastrophique. Avant, tu pouvais quand même aller au parc, au cinéma, ou manger dans la rue. Maintenant non, tu ne peux plus. Tu fais tes courses et tu rentres chez toi, à cause de la peur qu'ils t'attrapent. » À lire aussiLe Mexique se prépare à accueillir les migrants expulsés des Etats-Unis À son retour, José Luis a été accueilli par le programme consulaire Mexico te Abraza, lancé en janvier, qui lui a payé son transport jusqu'à sa ville d'origine. Pour Israel Concha, fondateur d'une association de Mexicains revenus des États-Unis, ce n'est pas à la hauteur des difficultés qu'ils rencontrent. « Nous ne sommes pas des migrants de passage. C'est très triste qu'il n'y ait pas de vrai accompagnement pour nous, qu'il n'y ait pas réellement d'aides. Pas seulement au moment de l'expulsion, mais pour nous permettre de nous réinsérer dans la société mexicaine », déplore-t-il. Il dénonce les obstacles de l'administration mexicaine pour réaliser certaines démarches au moment de l'installation. Après de longues années loin du pays, de nombreux Mexicains vivent un choc culturel et émotionnel. Parfois même, ils sont victimes de discrimination quand ils ont grandi de l'autre côté et ne maîtrisent pas, ou plus parfaitement, la langue espagnole. « Nous, ce qu'on voit, c'est un exode des Mexicains qui rentrent dans leur pays. C'est une crise humanitaire. Imagine devoir vivre dans l'ombre aux États-Unis, être persécuté. Puis se sentir rejeté par notre propre pays qui nous tourne le dos... La présidente Claudia Sheinbaum nous appelle héros et héroïnes de la nation, mais où est le soutien ? », interroge Israel Concha. Environ 11 millions de Mexicains vivent aux États-Unis. Au moins 75 000 personnes seraient rentrées ainsi depuis le début de l'ère Trump. À lire aussiAu Mexique, une loterie nationale pour aider les migrants mexicains aux États-Unis