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durée : 00:35:35 - Balade dans la Vallée Glaciaire de Brezons (15) en compagnie de Perrine Crossmary - Retour aux sources pour Perrine Crosmary
* Nos chiens et chats ont un pouvoir insoupçonné sur notre santé mentale et physique ! Chez les enfants, ils favorisent l'éveil émotionnel, la responsabilité, et jouent un rôle clé auprès des enfants autistes. Comment le lien homme-animal peut-il devenir une thérapie à part entière ? C'est notre dossier de la semaine ! * Riche en fibres, en vitamines et en antioxydants, l'asperge est un légume de printemps aux mille vertus ! C'est notre aliment de la semaine ! * Zoom sur le « Skinny Tok », phénomène viral qui glorifie la maigreur sur les réseaux sociaux et qui met en danger la santé physique et mentale des ados ! C'est le coup de gueule de la semaine ! Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Jimmy Mohamed et Flavie Flament du 17 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, Anne-Sarah Charbonneau et Florence Nadeau reçoivent l'autrice-compositrice-interprète et comédienne Claudia Bouvette! On jase de la queerness de Mixmania (évidemment!) de grandir dans l'oeil du public et de l'impact de l'esthétique sur son style musical. Bonne écoute! Cet épisode est présenté par Eros et Compagnie! Utilisez le code promo QUEER15 pour 15% de rabais: https://www.erosetcompagnie.com/?code=queer15 ! RÉSEAUX SOCIAUX ! ➔ Instagram Anne-Sarah: https://www.instagram.com/annesarahch... ➔ Instagram Florence: https://www.instagram.com/florencenad... ➔ Instagram Claudia Bouvette: https://www.instagram.com/claudiabouvette/?hl=en
Si vous souhaitez écouter mes autres épisodes:1/ Pourquoi Asterix et Obélix s'appellent-ils ainsi ?Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pourquoi-ast%C3%A9rix-et-ob%C3%A9lix-sappellent-ils-ainsi/id1048372492?i=1000707334142Spotify:https://open.spotify.com/episode/5s7QVslB8HBXpHDfcZSwsz?si=ca388850b2c1465f2/ Pourquoi dit-on que nous sommes entrés dans l'ère de la post-vérité ?Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pourquoi-dit-on-que-nous-sommes-dans-l%C3%A8re-de-la-post-v%C3%A9rit%C3%A9/id1048372492?i=1000706920818Spotify:https://open.spotify.com/episode/1877PbDOMl7D5x2Yl0Erqw?si=de16fd765c364fe53/ Pourquoi les Américains utilisent-ils "xoxo" pour dire "bisous" ?Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pourquoi-les-am%C3%A9ricains-utilisent-ils-xoxo-pour-dire/id1048372492?i=1000706794990Spotify:https://open.spotify.com/episode/05Ns6S1cI7gYUew7tgfnrU?si=4c572130bd0440f64/ Pourquoi les Vikings préféraient-ils la hache à l'épée ?Apple Podcast:https://podcasts.apple.com/fr/podcast/pourquoi-les-vikings-pr%C3%A9f%C3%A9raient-ils-la-hache-%C3%A0-l%C3%A9p%C3%A9e/id1048372492?i=1000706755846Spotify:https://open.spotify.com/episode/7nRO3puLnnZhGqVutQ8hZQ?si=6caa84778c7b46f0--------------------------------------Les animaux de compagnie occupent une place centrale dans la vie de millions de foyers français. Selon une enquête menée par FACCO/Kantar en 2023, près de 52 % des foyers français possèdent au moins un animal domestique. Le chat arrive en tête du classement : plus de 15 millions de chats vivent aujourd'hui dans les foyers de l'Hexagone, contre environ 7,5 millions de chiens. Cette popularité féline a un revers inattendu : selon une étude publiée dans la revue Scientific Reports, le chat est l'animal qui perturbe le plus le sommeil de ses propriétaires.Réalisée en Suède, l'étude a analysé les habitudes de sommeil de plus de 5 500 adultes. Les chercheurs ont constaté une association significative entre la possession d'un chat et le fait de ne pas atteindre les 7 heures de sommeil par nuit recommandées pour les adultes. L'odds ratio ajusté (mesure du risque relatif) s'élevait à 1,18 (IC 95 % : 1,02–1,37), ce qui signifie que les propriétaires de chats avaient environ 18 % de risques en plus de manquer de sommeil par rapport aux non-propriétaires... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:37:17 - Oiseaux et agriculture avec la LPO Auvergne en compagnie de Julien Curassier - Des oiseaux et des agriculteurs
La cité portuaire bretonne porte en elle l'histoire de cette grande aventure du commerce du lointain, vers l'Asie, au XVIIe et XVIIIe siècle. Une aventure commerciale, maritime, politique, coloniale et esclavagiste. En 1664, quand l'intendant de Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert décide de la création de la Compagnie des Indes orientales, la France arrive en retard dans la compétition commerciale à laquelle se livrent déjà les grandes puissances européennes du XVIIe siècle. Les Portugais qui ont franchi le Cap de Bonne Espérance en 1488 ont ouvert la voie des Indes par la mer et, dix ans plus tard, Vasco de Gama rejoint Calicut en 1498. Dans leur sillage, arrivent ensuite les vaisseaux britanniques ou néerlandais qui fonderont ensuite, au début du XVIIe siècle, de puissantes compagnies de commerce. Car eux aussi, cherchaient à s'affranchir des voies terrestres sur les routes de la soie, afin d'établir des comptoirs et développer ce négoce, le « plus riche commerce du monde », disait-on. L'Orient, l'Asie, les Indes sont alors des terres qui fascinent, perçues comme des contrées lointaines d'abondance, de pierreries, d'étoffes ou d'épices.En France, la première Compagnie des Indes (il y en aura trois successives) sera donc royale et bénéficie de multiples privilèges : monopole du commerce avec l'Orient, droit de propriété des terres occupées, droit de justice souveraine, d'armer des bateaux de guerre ou droit d'esclavage, etc… Son siège sera établi à Lorient, en Bretagne, une ville qui va naître et se développer avec la Compagnie jusqu'à devenir la porte vers l'Orient, auquel elle doit d'ailleurs son nom. Aujourd'hui, face à la mer, sur le site magnifique de la Citadelle de Port-Louis, le musée de la Compagnie des Indes, ouvert en 1984, retrace cette histoire complexe, mais fondatrice. Dans ce musée truffé d'étoffes, de cartes anciennes, de maquettes de bateaux ou de porcelaines, on raconte donc les épopées maritimes à bord des gros navires de la Compagnie des Indes, les marchandises convoitées et l'économie Monde déjà très concurrentielle au XVIIe siècle.Mais derrière ces longs voyages aux parfums d'aventure et d'exotisme, se dessinent des logiques de compétition et de prédation telles que l'homme deviendra une marchandise comme les autres. Le système esclavagiste et plantationnaire, notamment dans les Mascareignes soit l'île de La Réunion, Rodrigues et Maurice, faisait, en effet, partie intégrante du fonctionnement de la Compagnie fondée par Colbert, par ailleurs à l'origine du Code noir. Lorient sera donc un port négrier, le premier de France même, pendant une courte période de monopole… Déployées sur tous les continents, les compagnies européennes de commerce vont semer les graines de la mondialisation, ouvrant la voie à une société de consommation où les produits sont fabriqués aux quatre coins du monde, à commencer par la Chine, aujourd'hui justement en guerre commerciale avec les États-Unis…► Un reportage de Céline Develay-Mazurelle avec Laure Allary.En savoir plus Sur la destination Lorient Bretagne Sud et préparer votre voyage Sur le musée de la Compagnie des Indes de Lorient Sur l'ouvrage de référence Les compagnies des Indes de Gérard Le Bouëdec et Philippe Haudrère, réédition augmentée, Rennes, Editions Ouest-France-Edilarge, mai 2024 Sur Lorient, la compagnie des Indes et l'esclavage, un article de Jacques Chérel, 2018 Sur la Compagnie des Indes et l'île Bourbon- La Réunion, un article de Philippe Haudrère Sur les indiennes de traite, un article de Krystel Galdé, 2018 Sur Le café, plaisir au goût d'amertume, une exposition au musée de la Compagnie des Indes, 2022
La cité portuaire bretonne porte en elle l'histoire de cette grande aventure du commerce du lointain, vers l'Asie, au XVIIe et XVIIIe siècle. Une aventure commerciale, maritime, politique, coloniale et esclavagiste. En 1664, quand l'intendant de Louis XIV, Jean-Baptiste Colbert décide de la création de la Compagnie des Indes orientales, la France arrive en retard dans la compétition commerciale à laquelle se livrent déjà les grandes puissances européennes du XVIIe siècle. Les Portugais qui ont franchi le Cap de Bonne Espérance en 1488 ont ouvert la voie des Indes par la mer et, dix ans plus tard, Vasco de Gama rejoint Calicut en 1498. Dans leur sillage, arrivent ensuite les vaisseaux britanniques ou néerlandais qui fonderont ensuite, au début du XVIIe siècle, de puissantes compagnies de commerce. Car eux aussi, cherchaient à s'affranchir des voies terrestres sur les routes de la soie, afin d'établir des comptoirs et développer ce négoce, le « plus riche commerce du monde », disait-on. L'Orient, l'Asie, les Indes sont alors des terres qui fascinent, perçues comme des contrées lointaines d'abondance, de pierreries, d'étoffes ou d'épices.En France, la première Compagnie des Indes (il y en aura trois successives) sera donc royale et bénéficie de multiples privilèges : monopole du commerce avec l'Orient, droit de propriété des terres occupées, droit de justice souveraine, d'armer des bateaux de guerre ou droit d'esclavage, etc… Son siège sera établi à Lorient, en Bretagne, une ville qui va naître et se développer avec la Compagnie jusqu'à devenir la porte vers l'Orient, auquel elle doit d'ailleurs son nom. Aujourd'hui, face à la mer, sur le site magnifique de la Citadelle de Port-Louis, le musée de la Compagnie des Indes, ouvert en 1984, retrace cette histoire complexe, mais fondatrice. Dans ce musée truffé d'étoffes, de cartes anciennes, de maquettes de bateaux ou de porcelaines, on raconte donc les épopées maritimes à bord des gros navires de la Compagnie des Indes, les marchandises convoitées et l'économie Monde déjà très concurrentielle au XVIIe siècle.Mais derrière ces longs voyages aux parfums d'aventure et d'exotisme, se dessinent des logiques de compétition et de prédation telles que l'homme deviendra une marchandise comme les autres. Le système esclavagiste et plantationnaire, notamment dans les Mascareignes soit l'île de La Réunion, Rodrigues et Maurice, faisait, en effet, partie intégrante du fonctionnement de la Compagnie fondée par Colbert, par ailleurs à l'origine du Code noir. Lorient sera donc un port négrier, le premier de France même, pendant une courte période de monopole… Déployées sur tous les continents, les compagnies européennes de commerce vont semer les graines de la mondialisation, ouvrant la voie à une société de consommation où les produits sont fabriqués aux quatre coins du monde, à commencer par la Chine, aujourd'hui justement en guerre commerciale avec les États-Unis…► Un reportage de Céline Develay-Mazurelle avec Laure Allary.En savoir plus Sur la destination Lorient Bretagne Sud et préparer votre voyage Sur le musée de la Compagnie des Indes de Lorient Sur l'ouvrage de référence Les compagnies des Indes de Gérard Le Bouëdec et Philippe Haudrère, réédition augmentée, Rennes, Editions Ouest-France-Edilarge, mai 2024 Sur Lorient, la compagnie des Indes et l'esclavage, un article de Jacques Chérel, 2018 Sur la Compagnie des Indes et l'île Bourbon- La Réunion, un article de Philippe Haudrère Sur les indiennes de traite, un article de Krystel Galdé, 2018 Sur Le café, plaisir au goût d'amertume, une exposition au musée de la Compagnie des Indes, 2022
durée : 00:14:55 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour dans les Yvelines : un spectacle de magie pour rendre le tri des déchets et le recyclage ludiques et amusants, et une librairie qui organise un festival de la biodiversité à Limay.
Cette semaine, Anne-Sarah Charbonneau et Florence Nadeau reçoivent Maxence Garneau! Ensemble, on parle de ses passages aux télé-réalités Les Traîtres et Si on s'aimait, on jase féminité et surtout comment utiliser Grindr pour se trouver de la main-d'oeuvre! Bonne écoute! Cet épisode est présenté par Eros et Compagnie! Utilisez le code promo QUEER15 pour 15% de rabais: https://www.erosetcompagnie.com/?code=queer15 Cet épisode est aussi présenté par le vin Rouge Clair! Un vin facile à boire, léger, frais qui a un goût de petits fruits. MIAM! Il est disponible dans toutes les SAQ! Merci Rouge Clair! ! RÉSEAUX SOCIAUX ! ➔ Instagram Anne-Sarah: https://www.instagram.com/annesarahch... ➔ Instagram Florence: https://www.instagram.com/florencenad... ➔ Instagram Maxence Garneau: https://www.instagram.com/maxencegarneau/?hl=en
durée : 00:03:36 - Une résidence séniors à Louverné accueille les animaux de compagnie pour le bien-être des personnes âgées - La résidence seniors Domitys à Louverné, près de Laval, accueille les animaux de compagnie pour le bien-être des personnes âgées. Cet établissement n'a aucune obligation de le faire, contrairement aux Ehpad. Cette option permet de sortir certains résidents de l'isolement.
Aujourd'hui à l'émission, Julibou vient à la rescousse pour remplacer Marie-Claude. On a eu les Grands Débats Énergie avec la voix mystère ! On vous a posé la question : Quel talent a votre animal de compagnie? On a joué pour la première fois au Valent-Quiz !
Avec les beaux jours, on profite de son jardin et notre animal aime aussi y passer du temps. Attention cependant, certains risques s'y cachent, il faut les connaître. En revanche, on peut aussi en faire un lieu agréable et enrichissant pour son animal.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:24 - L'ami.e du vendredi - par : Guillemette Odicino - Deux couettes, un rire d'enfant, et tout bascule : "Monstres et Compagnie" renverse nos peurs d'enfance pour célébrer l'innocence, l'empathie et la puissance désarmante du rire face aux préjugés. Bouh, trois ans, dynamite un monde entier.
Cette semaine, Anne-Sarah Charbonneau et Florence Nadeau reçoivent la comédienne Léane Labrèche-Dor! Ensemble, on parle des expériences cégepiennes de Léane, de passer sa vingtaine dans le village gay et d'élever un enfant en lui laissant la place pour explorer son identité. Bonne écoute! Cet épisode est présenté par Eros et Compagnie! Utilisez le code promo QUEER15 pour 15% de rabais: https://www.erosetcompagnie.com/?code=queer15 Cet épisode est aussi présenté par le vin Rouge Clair! Un vin facile à boire, léger, frais qui a un goût de petits fruits. MIAM! Il est disponible dans toutes les SAQ! Merci Rouge Clair! ! RÉSEAUX SOCIAUX ! ➔ Instagram Anne-Sarah: https://www.instagram.com/annesarahch... ➔ Instagram Florence: https://www.instagram.com/florencenad... ➔ Instagram Léane Labrèche-Dor: https://www.instagram.com/leanelabrechedor/?hl=en
durée : 00:28:53 - A votre service avec Nelly Sorbier et ses experts - De l'alopécie chez le chien aux solutions contre les tiques et moustiques, découvrez les bons réflexes à adopter pour vos compagnons à quatre pattes avec notre vétérinaire Jean-Charles Vanier
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L'illustratrice, peintre, et autrice de littérature jeunesse belge Anne Herbauts est notre invitée pour sa BD jeunesse "On a perdu Sacoche" (Casterman). "Sacoche la chèvre habite chez nous. Elle vivait dans le jardin du voisin, mais elle s'est installée dans notre cuisine où elle aime se percher sur un tabouret. Alors nous sommes devenus amis. Sacoche sait beaucoup de choses que les grandes personnes ne savent pas encore. Mais Sacoche n'y comprend rien en jeux et consoles. Mon jeu, il s'appelle POPMatchWatch. Dernière version 3.1. Une merveille. Pour tout expliquer à Sacoche, je recommence l'aventure au niveau 1. Mais soudain, Sacoche se perd dans le jeu… Vite, je dois la retrouver !" Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Sucre et Compagnie, Sandra Major partage ses astuces pour aider les entrepreneurs sucrés à surmonter le blocage créatif et maintenir une présence constante sur les réseaux sociaux. Découvrez des stratégies concrètes, des idées de contenu, et des conseils pour réutiliser et recycler efficacement vos publications. Rejoignez-nous et apprenez comment faire rayonner votre entreprise de pâtisserie au-delà de votre cuisine. Le groupe Sucre&Cie : https://www.facebook.com/groups/sucreetcie Pour me suivre sur nos autres réseaux: Sandra École en ligne : https://lesucreaufour.com Facebook: https://www.facebook.com/lesucreaufour/ Instagram: https://www.instagram.com/lesucreaufour/ TikTok : https://www.tiktok.com/@lesucreaufour
Anthony Morel vous fait découvrir toutes les nouveautés technos.
Anthony Morel vous fait découvrir toutes les nouveautés technos.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Cette semaine, retour à la formule classique, diffusée en léger différé depuis la boutique, mais avec Thomas, car Simon est toujours en vacances ! Cette semaine, on parle de maths et de jeux pour enfants.______________________________________
Cette semaine, Anne-Sarah Charbonneau et Florence Nadeau reçoivent la dragqueen Rainbow pour un épisode aux tendances CHAOTIQUES! Ensemble, on parle de s'entourer de sa famille pour réussir sa carrière de drag, d'être une OG des réseaux sociaux et de son amour pour le kitsch et la nostalgie! Bonne écoute! Cet épisode est présenté par Eros et Compagnie! Utilisez le code promo QUEER15 pour 15% de rabais: https://www.erosetcompagnie.com/?code=queer15 Cet épisode est aussi présenté par le vin Rouge Clair! Un vin facile à boire, léger, frais qui a un goût de petits fruits. MIAM! Il est disponible dans toutes les SAQ! Merci Rouge Clair! ! RÉSEAUX SOCIAUX ! ➔ Instagram Anne-Sarah: https://www.instagram.com/annesarahch... ➔ Instagram Florence: https://www.instagram.com/florencenad... ➔ Instagram Rainbow: https://www.instagram.com/rainbow.drag/
Lors d'une séparation, les questions de garde des enfants ou du partage des biens sont souvent au cœur des préoccupations. Mais qu'en est-il de l'animal de compagnie ? Est-il considéré comme un bien comme un autre, ou bénéficie-t-il d'un statut particulier ? Qui peut en revendiquer la garde, et selon quels critères ? Décryptage dans ce podcast, avec Me Blanche De Granvilliers. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:29 - Le son des voiles, un projet de bateau spectacle ligérien de la compagnie Systemic - C'est un projet ligérien qui se concrétise, la compagnie systemic va inaugurer son bateau spectacle que vous aurez l'occasion de voir dans différents ports ligériens du Loiret et du Loir-et-Cher cet été.
Dans ce 19e épisode de Farouches, édition spéciale LA SARRE BABY, on reçoit à nouveau Manal Drissi !Enregistré le 11 avril 2025 à l'hôtel-motel Villa Mon Repos dans la ville de La Sarre en Abitibi Ouest - en territoire anashinaabé - on passe en revue les nouvelles depuis le dernier épisode : tarifs de Trump, SP 500 et wtf-économique, les Conservateurs écartent des candidats et c'est le festival des euphémismes pour parler de brutalité policière, des horreurs à Gaza et de la crise climatique.Avec Manal (notre première invitée reçue 2 fois!) , on jase de Handmaid's Tale, des femmes de droite en politique, de la la réalité d'être une femme racisée en région et des meilleurs trucs de neurodivergente non-diagnostiquée.Le segment Ça a mal vieilli revient sur une chanson d'un Abitibien bien connu et SURPRISE SURPRISE, c'est Manal qui fait l'édito en roastant les deux animatrices de Farouches-pas-de-cadran et des choix sur Tinder de l'Abitibi-Témiscamingue.Merci à la merveilleuse gang du centre des femmes l'Érige d'avoir rendu cet épisode possible !Bonne écoute les Farouches xx****Patreon - https://www.patreon.com/FarouchesBlue Sky - https://bsky.app/profile/farouches.bsky.socialInstagram - https://www.instagram.com/farouches_podcast/TikTok - https://www.tiktok.com/@farouches.podcastFacebook - https://www.facebook.com/groups/1379923395975267/Youtube - https://www.youtube.com/@Farouchespodcast***Animatrices: Coralie LaPerrière ( https://www.instagram.com/anar_coco/ ) etEmna Achour (https://www.instagram.com/emnaachour/ )Invitée : Manal Drissi (https://www.instagram.com/_manaldrissi/)Arrangement musical : Véronique Bilodeau (https://www.instagram.com/veroniquebilodeau/*** Merci à nos commanditaires : Éros et Compagnie ( https://www.erosetcompagnie.com/ - code promo : FAROUCHES15) et Belle et Rebelle ( https://belleetrebelle.ca - code promo : FAROUCHES15 )
Storia degli eserciti di mercenari che nel Medioevo venivano impiegati da Re e Imperatori nelle loro guerre. Caratteristiche e significato delle compagnie di ventura.
Interview spécial "Homomicro, Le Podcast qui se prend aux mots" En 2009, Brahim Naït Balk racontait son histoire dans un livre "un homo dans la cité" paru aux éditions Calmann Levy. En 2019, le livre "un homo dans la cité" devient une pièce de théâtre "La HCHOUMA" mise en scène par la Compagnie le Chat Foin dirigée par Yann Dacosta. A l'occasion de la programmation de la pièce au théâtre de la Reine Blanche à Paris jusqu'au 19 avril 2025, retrouvez Annabelle Guiraud pour un interview inédit de : - Brahim Naït Balk, auteur du livre "un homo dans la cité" - Ahmed Kadri - comédien "La Hchouma" - Majid Chikh-Miloud - comédien "La Hchouma" - Thomas Germaine - assistant mise en scène "La Hchouma" Toutes les infos de La Hchouma à retrouver sur : https://lechatfoin.com La Hchouma, une pièce subventionnée par Amnesty International Réalisation : Rodriguo Montage : Annabelle Guiraud Soutenez-nous sur PayPal !
Un édito aiguisé d'Arthur Chevallier, chaque matin à 7h10. Un parti-pris assumé sur une question d'actualité. D'accord ou pas, vous ne resterez pas indifférent. La chronique qui permet de réfléchir et aide à forger son opinion chaque matin du lundi au vendredi sur RMC et RMC Story.
durée : 00:58:25 - Georges Delerue, un centenaire en grande forme (2/4) : Truffaut et compagnie - par : Thierry Jousse - Pour cette deuxième exploration du vaste répertoire de Georges Delerue, François Truffaut est notre tête d'affiche. Mais les débuts internationaux du compositeur seront également évoqués…
Nous sommes le 13 janvier 1806. Ce jour-là, Francis Beaufort, officier de la Royal Navy, consigne dans son journal de bord, son projet d'échelle du vent. Son invention consiste à mesurer la force du vent grâce à l'observation des changements de vagues et des effets des différents vents sur les voiles des navires britanniques. C'est l'échelle de Beaufort que les météorologistes utilisent encore de nos jours. Souvenons-nous : à 0, la mer est comme un miroir, lisse et sans vague. A 1, on note quelques rides ressemblant à des écailles de poisson, mais sans aucune écume. A 6, le vent est frais, on aperçoit des crêtes d'écume blanches, avec lames, embruns et vagues de 3 à 4 m. 12 : conditions exceptionnelles dues aux vents qui soufflent à plus de 120 km/h : l'air est plein d'embruns. La mer est entièrement blanche du fait des bancs d'écume dérivants. Visibilité fortement réduite. Vagues supérieures à 14 mètres. L'échelle de Beaufort : une avancée scientifique majeure qui a contribué à augmenter la sécurité des voyages en mer. Mais qui est Francis Beaufort ? Irlandais d'origine française, très jeune aspirant à la Compagnie des Indes orientales qui va gravir les échelons de la marine commerciale, d'abord, puis celle de guerre. Soldat lors des conquêtes napoléoniennes, cartographe de sa Majesté George III, Inspecteur du service d'hydrographie, inspirateur de l'expédition du Beagle autour du monde, à laquelle prit part Charles Darwin. Passionné par la météorologie, cette nouvelle science qu'il eut à cœur de mettre au centre d'un faisceau de disciplines, Francis Beaufort est un acteur incontournable des progrès de la navigation à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe : de l'âge d'or de la marine à voile aux débuts des navires à vapeur et de l'exploration polaire. Remontons aux origines de l'échelle de Beaufort … Avec les Lumières de : Raymond Reding, chirurgien, consultant à Hôpital universitaire des Enfants reine Fabiola. Membre de l'Académie royale de Médecine de Belgique, professeur ordinaire à l'Université catholique de Louvain. Sujets traités : Francis Beaufort, Royal Navy, mer, vent, lames, embruns , vagues, voyage, Charles Darwin, exploration, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins juste après le journal de 6h30, Géraldine de Mori vous donne ses bons plans pour consommer pas cher.
durée : 01:02:26 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Par Jean-Louis Barrault - Interprétation Compagnie Renaud Barrault - Interview des membres de la Compagnie - réalisation : Virginie Mourthé
La question de cet épisode est posée par un auditeur passionné de faune et de flore, qui se trouve avoir un serpent comme animal de compagnie. Préoccupé par un reproche perturbant qui lui a été fait, il se demande s'il est problématique, d'un point de vue biblique, de posséder un tel animal.
Beim Tanzfestival des Staatstheaters Mainz trifft die bekannte Choreografin Sasha Waltz mit ihrer Compagnie auf das Ensemble „tanzmainz“. Zusammen studieren die Tänzerinnen und Tänzer das Erfolgsstück „In C“ von Sasha Waltz ein – eine meisterhafte Mischung aus Improvisation und perfekt ausgeklügelter tranceartiger Choreografie, die Hoffnung ausstrahlt.
For a limited time, upgrade to ‘The Storm's' paid tier for $5 per month or $55 per year. You'll also receive a free year of Slopes Premium, a $29.99 value - valid for annual subscriptions only. Monthly subscriptions do not qualify for free Slopes promotion. Valid for new subscriptions only.WhoIain Martin, Host of The Ski PodcastRecorded onJanuary 30, 2025About The Ski PodcastFrom the show's website:Want to [know] more about the world of skiing? The Ski Podcast is a UK-based podcast hosted by Iain Martin.With different guests every episode, we cover all aspects of skiing and snowboarding from resorts to racing, Ski Sunday to slush.In 2021, we were voted ‘Best Wintersports Podcast‘ in the Sports Podcast Awards. In 2023, we were shortlisted as ‘Best Broadcast Programme' in the Travel Media Awards.Why I interviewed himWe did a swap. Iain hosted me on his show in January (I also hosted Iain in January, but since The Storm sometimes moves at the pace of mammal gestation, here we are at the end of March; Martin published our episode the day after we recorded it).But that's OK (according to me), because our conversation is evergreen. Martin is embedded in EuroSki the same way that I cycle around U.S. AmeriSki. That we wander from similarly improbable non-ski outposts – Brighton, England and NYC – is a funny coincidence. But what interested me most about a potential podcast conversation is the Encyclopedia EuroSkiTannica stored in Martin's brain.I don't understand skiing in Europe. It is too big, too rambling, too interconnected, too above-treeline, too transit-oriented, too affordable, too absent the Brobot ‘tude that poisons so much of the American ski experience. The fact that some French idiot is facing potential jail time for launching a snowball into a random grandfather's skull (filming the act and posting it on TikTok, of course) only underscores my point: in America, we would cancel the grandfather for not respecting the struggle so obvious in the boy's act of disobedience. In a weird twist for a ski writer, I am much more familiar with summer Europe than winter Europe. I've skied the continent a couple of times, but warm-weather cross-continental EuroTreks by train and by car have occupied months of my life. When I try to understand EuroSki, my brain short-circuits. I tease the Euros because each European ski area seems to contain between two and 27 distinct ski areas, because the trail markings are the wrong color, because they speak in the strange code of the “km” and “cm” - but I'm really making fun of myself for Not Getting It. Martin gets it. And he good-naturedly walks me through a series of questions that follow this same basic pattern: “In America, we charge $109 for a hamburger that tastes like it's been pulled out of a shipping container that went overboard in 1944. But I hear you have good and cheap food in Europe – true?” I don't mind sounding like a d*****s if the result is good information for all of us, and thankfully I achieved both of those things on this podcast.What we talked aboutThe European winter so far; how a UK-based skier moves back and forth to the Alps; easy car-free travel from the U.S. directly to Alps ski areas; is ski traffic a thing in Europe?; EuroSki 101; what does “ski area” mean in Europe; Euro snow pockets; climate change realities versus media narratives in Europe; what to make of ski areas closing around the Alps; snowmaking in Europe; comparing the Euro stereotype of the leisurely skier to reality; an aging skier population; Euro liftline queuing etiquette and how it mirrors a nation's driving culture; “the idea that you wouldn't bring the bar down is completely alien to me; I mean everybody brings the bar down on the chairlift”; why an Epic or Ikon Pass may not be your best option to ski in Europe; why lift ticket prices are so much cheaper in Europe than in the U.S.; Most consumers “are not even aware” that Vail has started purchasing Swiss resorts; ownership structure at Euro resorts; Vail to buy Verbier?; multimountain pass options in Europe; are Euros buying Epic and Ikon to ski locally or to travel to North America?; must-ski European ski areas; Euro ski-guide culture; and quirky ski areas.What I got wrongWe discussed Epic Pass' lodging requirement for Verbier, which is in effect for this winter, but which Vail removed for the 2025-26 ski season.Why now was a good time for this interviewI present to you, again, the EuroSki Chart – a list of all 26 European ski areas that have aligned themselves with a U.S.-based multi-mountain pass:The large majority of these have joined Ski NATO (a joke, not a political take Brah), in the past five years. And while purchasing a U.S. megapass is not necessary to access EuroHills in the same way it is to ski the Rockies – doing so may, in fact, be counterproductive – just the notion of having access to these Connecticut-sized ski areas via a pass that you're buying anyway is enough to get people considering a flight east for their turns.And you know what? They should. At this point, a mass abandonment of the Mountain West by the tourists that sustain it is the only thing that may drive the region to seriously reconsider the robbery-by-you-showed-up-here-all-stupid lift ticket prices, car-centric transit infrastructure, and sclerotic building policies that are making American mountain towns impossibly expensive and inconvenient to live in or to visit. In many cases, a EuroSkiTrip costs far less than an AmeriSki trip - especially if you're not the sort to buy a ski pass in March 2025 so that you can ski in February 2026. And though the flights will generally cost more, the logistics of airport-to-ski-resort-and-back generally make more sense. In Europe they have trains. In Europe those trains stop in villages where you can walk to your hotel and then walk to the lifts the next morning. In Europe you can walk up to the ticket window and trade a block of cheese for a lift ticket. In Europe they put the bar down. In Europe a sandwich, brownie, and a Coke doesn't cost $152. And while you can spend $152 on a EuroLunch, it probably means that you drank seven liters of wine and will need a sled evac to the village.“Oh so why don't you just go live there then if it's so perfect?”Shut up, Reductive Argument Bro. Everyplace is great and also sucks in its own special way. I'm just throwing around contrasts.There are plenty of things I don't like about EuroSki: the emphasis on pistes, the emphasis on trams, the often curt and indifferent employees, the “injury insurance” that would require a special session of the European Union to pay out a claim. And the lack of trees. Especially the lack of trees. But more families are opting for a week in Europe over the $25,000 Experience of a Lifetime in the American West, and I totally understand why.A quote often attributed to Winston Churchill reads, “You can always trust the Americans to do the right thing, after they have exhausted all the alternatives.” Unfortunately, it appears to be apocryphal. But I wish it wasn't. Because it's true. And I do think we'll eventually figure out that there is a continent-wide case study in how to retrofit our mountain towns for a more cost- and transit-accessible version of lift-served skiing. But it's gonna take a while.Podcast NotesOn U.S. ski areas opening this winter that haven't done so “in a long time”A strong snow year has allowed at least 11 U.S. ski areas to open after missing one or several winters, including:* Cloudmont, Alabama (yes I'm serious)* Pinnacle, Maine* Covington and Sault Seal, ropetows outfit in Michigan's Upper Peninsula* Norway Mountain, Michigan – resurrected by new owner after multi-year closure* Tower Mountain, a ropetow bump in Michigan's Lower Peninsula* Bear Paw, Montana* Hatley Pointe, North Carolina opened under new ownership, who took last year off to gut-renovate the hill* Warner Canyon, Oregon, an all-natural-snow, volunteer-run outfit, opened in December after a poor 2023-24 snow year.* Bellows Falls ski tow, a molehill run by the Rockingham Recreation in Vermont, opened for the first time in five years after a series of snowy weeks across New England* Lyndon Outing Club, another volunteer-run ropetow operation in Vermont, sat out last winter with low snow but opened this yearOn the “subway map” of transit-accessible Euro skiingI mean this is just incredible:The map lives on Martin's Ski Flight Free site, which encourages skiers to reduce their carbon footprints. I am not good at doing this, largely because such a notion is a fantasy in America as presently constructed.But just imagine a similar system in America. The nation is huge, of course, and we're not building a functional transcontinental passenger railroad overnight (or maybe ever). But there are several areas of regional density where such networks could, at a minimum, connect airports or city centers with destination ski areas, including:* Reno Airport (from the east), and the San Francisco Bay area (to the west) to the ring of more than a dozen Tahoe resorts (or at least stops at lake- or interstate-adjacent Sugar Bowl, Palisades, Homewood, Northstar, Mt. Rose, Diamond Peak, and Heavenly)* Denver Union Station and Denver airport to Loveland, Keystone, Breck, Copper, Vail, Beaver Creek, and - a stretch - Aspen and Steamboat, with bus connections to A-Basin, Ski Cooper, and Sunlight* SLC airport east to Snowbird, Alta, Solitude, Brighton, Park City, and Deer Valley, and north to Snowbasin and Powder Mountain* Penn Station in Manhattan up along Vermont's Green Mountain Spine: Mount Snow, Stratton, Bromley, Killington, Pico, Sugarbush, Mad River Glen, Bolton Valley, Stowe, Smugglers' Notch, Jay Peak, with bus connections to Magic and Middlebury Snowbowl* Boston up the I-93 corridor: Tenney, Waterville Valley, Loon, Cannon, and Bretton Woods, with a spur to Conway and Cranmore, Attitash, Wildcat, and Sunday River; bus connections to Black New Hampshire, Sunapee, Gunstock, Ragged, and Mount AbramYes, there's the train from Denver to Winter Park (and ambitions to extend the line to Steamboat), which is terrific, but placing that itsy-bitsy spur next to the EuroSystem and saying “look at our neato train” is like a toddler flexing his toy jet to the pilots as he boards a 757. And they smile and say, “Whoa there, Shooter! Now have a seat while we burn off 4,000 gallons of jet fuel accelerating this f****r to 500 miles per hour.”On the number of ski areas in EuropeI've detailed how difficult it is to itemize the 500-ish active ski areas in America, but the task is nearly incomprehensible in Europe, which has as many as eight times the number of ski areas. Here are a few estimates:* Skiresort.info counts 3,949 ski areas (as of today; the number changes daily) in Europe: list | map* Wikipedia doesn't provide a number, but it does have a very long list* Statista counts a bit more than 2,200, but their list excludes most of Eastern EuropeOn Euro non-ski media and climate change catastropheOf these countless European ski areas, a few shutter or threaten to each year. The resulting media cycle is predictable and dumb. In The Snow concisely summarizes how this pattern unfolds by analyzing coverage of the recent near loss of L'Alpe du Grand Serre, France (emphasis mine):A ski resort that few people outside its local vicinity had ever heard of was the latest to make headlines around the world a month ago as it announced it was going to cease ski operations.‘French ski resort in Alps shuts due to shortage of snow' reported The Independent, ‘Another European ski resort is closing due to lack of snow' said Time Out, The Mirror went for ”Devastation” as another European ski resort closes due to vanishing snow‘ whilst The Guardian did a deeper dive with, ‘Fears for future of ski tourism as resorts adapt to thawing snow season.' The story also appeared in dozens more publications around the world.The only problem is that the ski area in question, L'Alpe du Grand Serre, has decided it isn't closing its ski area after all, at least not this winter.Instead, after the news of the closure threat was publicised, the French government announced financial support, as did the local municipality of La Morte, and a number of major players in the ski industry. In addition, a public crowdfunding campaign raised almost €200,000, prompting the officials who made the original closure decision to reconsider. Things will now be reassessed in a year's time.There has not been the same global media coverage of the news that L'Alpe du Grand Serre isn't closing after all.It's not the first resort where money has been found to keep slopes open after widespread publicity of a closure threat. La Chapelle d'Abondance was apparently on the rocks in 2020 but will be fully open this winter and similarly Austria's Heiligenblut which was said to be at risk of permanently closure in the summer will be open as normal.Of course, ski areas do permanently close, just like any business, and climate change is making the multiple challenges that smaller, lower ski areas face, even more difficult. But in the near-term bigger problems are often things like justifying spends on essential equipment upgrades, rapidly increasing power costs and changing consumer habits that are the bigger problems right now. The latter apparently exacerbated by media stories implying that ski holidays are under severe threat by climate change.These increasingly frequent stories always have the same structure of focusing on one small ski area that's in trouble, taken from the many thousands in the Alps that few regular skiers have heard of. The stories imply (by ensuring that no context is provided), that this is a major resort and typical of many others. Last year some reports implied, again by avoiding giving any context, that a ski area in trouble that is actually close to Rome, was in the Alps.This is, of course, not to pretend that climate change does not pose an existential threat to ski holidays, but just to say that ski resorts have been closing for many decades for multiple reasons and that most of these reports do not give all the facts or paint the full picture.On no cars in ZermattIf the Little Cottonwood activists really cared about the environment in their precious canyon, they wouldn't be advocating for alternate rubber-wheeled transit up to Alta and Snowbird – they'd be demanding that the road be closed and replaced by a train or gondola or both, and that the ski resorts become a pedestrian-only enclave dotted with only as many electric vehicles as it took to manage the essential business of the towns and the ski resorts.If this sounds improbable, just look to Zermatt, which has banned gas cars for decades. Skiers arrive by train. Nearly 6,000 people live there year-round. It is amazing what humans can build when the car is considered as an accessory to life, rather than its central organizing principle.On driving in EuropeDriving in Europe is… something else. I've driven in, let's see: Iceland, Portugal, Spain, France, Switzerland, Italy, Slovenia, Croatia, and Montenegro. That last one is the scariest but they're all a little scary. Drivers' speeds seem to be limited by nothing other than physics, passing on blind curves is common even on mountain switchbacks, roads outside of major arterials often collapse into one lane, and Euros for some reason don't believe in placing signs at intersections to indicate street names. Thank God for GPS. I'll admit that it's all a little thrilling once the disorientation wears off, and there are things to love about driving in Europe: roundabouts are used in place of traffic lights wherever possible, the density of cars tends to be less (likely due to the high cost of gas and plentiful mass transit options), sprawl tends to be more contained, the limited-access highways are extremely well-kept, and the drivers on those limited-access highways actually understand what the lanes are for (slow, right; fast, left).It may seem contradictory that I am at once a transit advocate and an enthusiastic road-tripper. But I've lived in New York City, home of the United States' best mass-transit system, for 23 years, and have owned a car for 19 of them. There is a logic here: in general, I use the subway or my bicycle to move around the city, and the car to get out of it (this is the only way to get to most ski areas in the region, at least midweek). I appreciate the options, and I wish more parts of America offered a better mix.On chairs without barsIt's a strange anachronism that the United States is still home to hundreds of chairlifts that lack safety bars. ANSI standards now require them on new lift builds (as far as I can tell), but many chairlifts built without bars from the 1990s and earlier appear to have been grandfathered into our contemporary system. This is not the case in the Eastern U.S. where, as far as I'm aware, every chairlift with the exception of a handful in Pennsylvania have safety bars – New York and many New England states require them by law (and require riders to use them). Things get dicey in the Midwest, which has, as a region, been far slower to upgrade its lift fleets than bigger mountains in the East and West. Many ski areas, however, have retrofit their old lifts with bars – I was surprised to find them on the lifts at Sundown, Iowa; Chestnut, Illinois; and Mont du Lac, Wisconsin, for example. Vail and Alterra appear to retrofit all chairlifts with safety bars once they purchase a ski area. But many ski areas across the Mountain West still spin old chairs, including, surprisingly, dozens of mountains in California, Oregon, and Washington, states that tends to have more East Coast-ish outlooks on safety and regulation.On Compagnie des AlpesAccording to Martin, the closest thing Europe has to a Vail- or Alterra-style conglomerate is Compagnie des Alpes, which operates (but does not appear to own) 10 ski areas in the French Alps, and holds ownership stakes in five more. It's kind of an amazing list:Here's the company's acquisition timeline, which includes the ski areas, along with a bunch of amusement parks and hotels:Clearly the path of least resistance to a EuroVail conflagration would be to shovel this pile of coal into the furnace. Martin referenced Tignes' forthcoming exit from the group, to join forces with ski resort Sainte-Foy on June 1, 2026 – teasing a smaller potential EuroVail acquisition. Tignes, however, would not be the first resort to exit CdA's umbrella – Les 2 Alpes left in 2020.On EuroSkiPassesThe EuroMegaPass market is, like EuroSkiing itself, unintelligible to Americans (at least to this American). There are, however, options. Martin offers the Swiss-centric Magic Pass as perhaps the most prominent. It offers access to 92 ski areas (map). You are probably expecting me to make a chart. I will not be making a chart.S**t I need to publish this article before I cave to my irrepressible urge to make a chart.OK this podcast is already 51 days old do not make a chart you moron.I think we're good here.I hope.I will also not be making a chart to track the 12 ski resorts accessible on Austria's Ski Plus City Pass Stubai Innsbruck Unlimited Freedom Pass.The Storm explores the world of lift-served skiing year-round. Join us. Get full access to The Storm Skiing Journal and Podcast at www.stormskiing.com/subscribe
Avec Pierre-Joseph Rubino, auteur de: - "Jacques Sevin pour la plus grande gloire de la croix" (éditions Compagnie de la Sainte Croix) - "Du scoutisme à l'école" (éditions Artège) ecolehameau.org/
Cet épisode est une présentation de Eros et CompagnieCode promo RAIS15 pour 15% de rabaishttps://www.erosetcompagnie.com/?code=rais15Cet épisode est également une présentation de PolysleepCode promo RAIS30 pour 30% de rabaishttps://polysleep.caCet épisode est aussi une présentation de NordVPNhttps://nordvpn.com/rais pour obtenir 4 mois gratuitsEssayez-le sans aucun risque grâce à la garantie « satisfait ou remboursé » de 30 jours///Pour suivre notre invité Olivier Guindon :https://www.instagram.com/ladyguidounehttps://www.linktr.ee/ladyguidounehttps://www.instagram.com/olivierguindon/Pour son podcast Full Plumé qu'il anime avec Charlie Morin :https://www.youtube.com/@plumesdanslq///BIENVENUE AU SPÉCIAL GAY DE DES SI ET DES RAIS!!!Toujours à la recherche de la pire intro possible, c'est Maxime Gervais qui anime cet épisode et il déclare dès les premières secondes qu'il s'agit d'un Spécial Gay puisque l'on reçoit l'ami Olivier Guindon, AKA Lady Guidoune. Le quatuor est complété par Murphy Cooper et Mathieu Niquette.En début d'épisode, on jase de faire de l'impro, de désodorisant, de parfum, de brûlements d'estomac, de l'Instagram d'Oli, celui de Lady Guidoune. On écoute un message vocal (et grivois) de Charlie Morin et ça nous mène à des anecdotes complètement CRAZY! Puis Oli joue une petite game de Top, bottom, verse avec les trois animateurs. Maxime pose ensuite une question malaisante sur l'agenda gay. Évidemment, on aborde le sujet très controversé des Looney Tunes. On se permet aussi un peu de sérieux quand on aborde le succès du show de Mona de Grenoble sur lequel Olivier est auteur. Puis Max termine l'entrevue avec des questions en rafale à propos de l'univers gay et de System of a Down.Dans sa chronique, Murphy part d'une série de vidéos de prank d'un gars qui crie dans des commerces et ça lui rappelle l'époque de son adolescence durant laquelle il enregistrait des coups au téléphone il y a 25 ans. On devient rapidement nostalgiques de la belle époque des pranks et on s'en remémore quelques uns et ça nous fait bien rigoler.Toujours dans le but avoué de pousser l'agenda gay, notre invité nous propose ensuite une variation de jeu Loups-Garous, mais qui se passe dans le village gay de Montréal, tout ça dans le but de faire le pont entre les communautés gaies et straight. Évidemment, à travers tout ça, on parle de 2-3 affaires plus sérieuses, comme l'échelle de Kinsey, de l'identité sexuelle en rapport avec l'âge et des gangs straights qui vont dans le Village comme si c'était un zoo. Mine de rien, on apprend des choses malgré nous!On vous offre ensuite un segment Eros et Compagnie des plus sensoriels, alors que Maxime teste pour vous La Plume, qui est un genre d'hommage au podcast de notre invité! TW: ce segment pourrait beauoup vous exciter!On termine l'épisode de manière chaotique alors que Niquette fait une chronique sur Cannonball Richards et qu'il entreprend de devenir LA nouvelle référence en matière de gars qui reçoit violemment des objets dans le ventre! Tout ça est pas mal moins impressionnant que prévu!Des si et des rais: Comme on dit sur l'album Schtroumpfs Party 2: « Gay gay super gay, nous on est gays toute la journée! »Invité : Olivier GuindonAvec : Murphy Cooper, Maxime Gervais et Mathieu NiquetteCaptation / Montage / Réalisation : Jonathan BarbeDate d'enregistrement: 27 février 2025Date de diffusion: 20 mars 2025///Shoutout à Saily
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode est une présentation de Saily
Au Pakistan, avoir un lion ou un tigre domestique à l'instar d'un chat ou d'un chien est de plus en plus tendance. Riches hommes d'affaires, industriels, propriétaires terriens ou trafiquants, ont leur zoo personnel. Sur les réseaux sociaux, pour des influenceurs, s'exhiber avec un félin sauvage est un symbole de puissance chic et choc. Les gros félins domestiqués seraient des centaines au Pakistan. Les organisations de défense de la cause animale dénoncent les mauvais traitements, les autorités laissent faire, la loi est permissive. « Lions et tigres de compagnie, une obsession pakistanaise », un Grand reportage de Shahzaib Wahlah, Sonia Ghezali, avec la collaboration de Talha Saeed.
durée : 00:58:37 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Et si nous nous mettions dans la peau des animaux de compagnie ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Éric Baratay Professeur d'Histoire contemporaine à l'Université Lyon 3; Dominique Autier-Derian Vétérinaire comportementaliste et éthologue, directrice de "Animal Welfare Consulting", un bureau d'étude dédié au bien-être et au comportement des animaux,
Il y a 15 jours, la Cour des comptes sénégalaise rendait son verdict après dix mois d'audit : l'encours de la dette du pays représentait 99,67 % du PIB fin 2023 et le déficit budgétaire 12,3 % du PIB. Des chiffres bien plus élevés que ceux présentés par les anciennes autorités, sous la présidence de Macky Sall, au pouvoir jusqu'en avril 2024.Alors, relève Le Soleil à Dakar, « si ces chiffres peuvent sembler éloignés du vécu des Sénégalais, ils traduisent pourtant des réalités tangibles : des hôpitaux qui manquent de médicaments, des écoles sans matériel de base et des infrastructures inachevées qui freinent le développement local. Le lien entre une gestion budgétaire insuffisante et la qualité de vie des populations est indéniable, et ce rapport de la Cour des Comptes vient rappeler que chaque erreur ou irrégularité dans l'utilisation des fonds publics se répercute directement sur les services sociaux et les conditions de vie des citoyens. »La note souveraine dégradée…Conséquence de ce rapport : lundi, l'agence de notation Moody's a dégradé la note souveraine du Sénégal pour la deuxième fois en quelques mois, l'abaissant à B3. Le quotidien 24 Heures, toujours à Dakar, s'emporte contre ces agences internationales de notation… « Qui donne le droit à une agence occidentale biaisée de juger la solvabilité de pays dont elle ne contrôle ni les richesses ni l'avenir ? Les pays riches en or, en gaz, en pétrole, en fer, en uranium et en lithium tous classés à risque. Des pays riches en ressources considérés comme pauvres, tandis que ceux qui vivent de leurs richesses notés AAA. Quelle supercherie ! »En tout cas, concrètement, précise le site d'information Seneplus, « cette dégradation de la note de crédit aura des répercussions majeures sur l'économie sénégalaise. L'accès au financement deviendra plus difficile, car le Sénégal devra faire face à des coûts d'emprunt plus élevés sur les marchés internationaux, ce qui pourrait limiter sa capacité à financer des projets d'infrastructure et des programmes sociaux essentiels. Les investissements étrangers risquent également de diminuer, une note plus basse pouvant dissuader les investisseurs, craignant une instabilité économique accrue et un risque de défaut de paiement. À court terme, relève encore Seneplus, le gouvernement devra probablement adopter des mesures d'austérité pour tenter de stabiliser les finances publiques. À moyen et long terme, des réformes structurelles seront nécessaires pour restaurer la confiance des investisseurs et remettre l'économie sur une trajectoire de croissance durable. »Le gouvernement maintient la baisse des prixEn attendant, malgré sa faible marge de manœuvre, le gouvernement sénégalais a annoncé vendredi dernier une deuxième vague de baisse des prix des denrées de première nécessité.Attention, prévient Walf Quotidien, « cocktail explosif pour l'industrie locale » : « si l'Etat n'accorde pas des subventions, il lui serait difficile d'obtenir de la part des entreprises une seconde baisse consécutive en sept mois. Ce qui pourrait être pour ces entreprises de l'agroalimentaire la dernière piqûre mortelle. (…) Vouloir demander à nouveau un effort à ces entreprises équivaudrait à tuer la vache et à ne plus avoir à la traire le lendemain pour se faire son petit lait. (…) Tout le monde se rappelle, pointe encore WalfQuotidien, du désarroi des meuniers, boulangers, huiliers, de la Compagnie sucrière sénégalaise, usines et autres producteurs agricoles, après les baisses de juillet qui avaient été mal digérées, au point que certains d'entre eux avaient carrément décidé d'arrêter leurs productions. Seront-ils encore les agneaux du sacrifice pour satisfaire l'amélioration du pouvoir d'achat des Sénégalais ? Mystère et boule de gomme. »L'atout pétrolierPour en revenir à la situation économique globale du pays, elle « est compliquée, mais rien ne sert d'être alarmiste. » Des propos tenus dans les colonnes du Monde Afrique par Mamadou Lamine Ba, économiste spécialisé dans l'investissement. En effet, pointe le journal, « la Banque mondiale table sur une croissance de 9,7 % en 2025 au Sénégal. La puissance publique peut aussi se reposer sur une nouvelle manne financière : la compagnie pétrolière australienne Woodside a annoncé le 17 février la vente de 12,9 millions de barils de pétrole issus du champ de Sangomar entré en exploitation en juin dernier, pour des revenus estimés à 950 millions de dollars. L'État devrait en retirer entre 15 et 40 %. »
Le 10 mars 1906, notre pays connaît ce qui reste comme la pire catastrophe industrielle de son histoire : la tragédie des mines de Courrières, dans le bassin houiller du Pas-de-Calais. Cette catastrophe minière, qui a coûté la vie à 1 099 mineurs, est encore aujourd'hui considérée comme la plus meurtrière d'Europe et la deuxième au monde après celle de Benxihu en Chine. Le contexte de la catastrophe Les mines de Courrières, situées près de Lens, étaient à l'époque l'un des plus importants sites d'extraction de charbon en France. Exploitées par la Compagnie des mines de Courrières, ces mines étaient un pilier économique de la région, employant des milliers d'ouvriers, souvent issus de familles ouvrières depuis plusieurs générations. Le matin du 10 mars 1906, vers 6h34, une gigantesque explosion secoue les galeries souterraines. L'origine de la déflagration est encore aujourd'hui débattue, mais plusieurs hypothèses sont avancées : un coup de grisou (gaz inflammable présent dans les mines de charbon), l'accumulation de poussières de charbon hautement inflammables, ou encore un tir de mine mal contrôlé. Le bilan humain et les tentatives de sauvetage L'explosion entraîne un incendie violent, ravageant près de 110 kilomètres de galeries et piégeant des milliers de mineurs sous terre. Les secours, rapidement dépêchés sur place, peinent à maîtriser les incendies et à retrouver les survivants dans un environnement suffocant de fumée et de débris. Les opérations de sauvetage se poursuivent dans des conditions extrêmement difficiles, mais très vite, les espoirs de retrouver des survivants s'amenuisent. Un miracle survient cependant : vingt jours après la catastrophe, treize mineurs parviennent à remonter à la surface après avoir erré dans les galeries en survivant grâce à des provisions de fortune et de l'eau stagnante. Leur récit bouleverse la France entière, mais suscite aussi des interrogations sur la gestion des secours et l'organisation de la mine. Les conséquences sociales et politiques La catastrophe de Courrières soulève une vague d'indignation nationale et internationale. Les conditions de travail des mineurs, souvent dénoncées comme précaires et dangereuses, deviennent un sujet de débat public. L'événement provoque d'importantes grèves dans le bassin minier du Nord, avec des revendications pour une amélioration des conditions de sécurité et de meilleurs salaires. En réponse, des réformes sont mises en œuvre, imposant des normes de sécurité plus strictes dans les mines. Néanmoins, la tragédie de Courrières demeure un symbole de la dureté de la condition ouvrière au début du XXe siècle et du prix humain du développement industriel. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les animaux domestiques – 5 minutes de français Dans cet épisode de 5 Minutes de français, Judith et Émilie explorent l'univers des animaux domestiques […] L'article Les Français aiment-ils les animaux de compagnie ? – 5 minutes de français est apparu en premier sur Français avec Pierre.