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durée : 00:58:21 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - L'historienne Emma Rothschild suit le destin d'une famille "ordinaire" sur plus d'un siècle. De 1764 aux années 1900, la famille de Marie Aymard accompagne les soubresauts économiques et politiques du temps. D'Angoulême à Tahiti, la famille forme un tissu de relations sociales à travers le monde. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Emma Rothschild Professeure d'histoire, titulaire de la chaire Jeremy and Jane Knowles à Harvard aux États-Unis
Dans ce nouvel épisode des Pieds dans le Plat, Claudio Vandi reçoit Marine (Pétroline) Soichot, podcasteuse, autrice et formatrice. L'égalité entre les femmes et les hommes en entreprise ? Sur le papier, on y est à peu près, mais dans les faits… le chemin est encore long !Réunions où la parole des femmes est coupée, horaires de travail pensés sans prendre en compte la charge mentale, opportunités qui échappent aux talents féminins… Ces situations sont banalisées, mais elles ont un impact bien réel sur la carrière et le bien-être des femmes.Depuis plusieurs années, Marine Soichot s'intéresse au sujet. Créatrice du podcast Chroniques du sexisme ordinaire et autrice du Guide de déconstruction du sexisme au travail, elle nous partage son expertise et ses expériences pour identifier et combattre ces biais ancrés dans nos organisations. Au programme :
Avec Justine Parmentier d'Athéna Patrimoine BFC
Êtes-vous certain de maîtriser la langue française ? Règles de grammaire étonnantes, abus de langage, vocabulaire mal employé, origine insoupçonnée d'expressions... vous allez être surpris ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine dans l'épisode #126 :- Le Global Warfare Tour, tiré de la WWE Vault sur YouTube. Moyen moyen... Surtout le caméraman ! (ici : https://www.youtube.com/watch?v=Vq0ThV-vLww)- The Rock et Mohamed Ali !- Les débuts des Quebecers- Cornette bloquait les fenêtres de sa maisonApple Podcast : https://podcasts.apple.com/us/podcast/conflits-de-colosses/id1640741274?uo=4Spotify : https://open.spotify.com/show/06L6NjUCBoBvL70BvoLHbg
L'invitée : Emma Rothschild, professeure d'histoire à Harvard Le livre : De proche en proche. Une famille ordinaire dans l'histoire de France, Paris, seuil, 2025. Page web de l'enquête avec ses compléments (cartes, graphiques…) La discussion : Un projet d'écriture original, dérouler une histoire sur cinq générations en partant de deux documents d'archives (00:00) Une enquête narrative (et … Continue reading "369. Histoires d'une famille ordinaire, avec Emma Rothschild"
IWP Ep73 Diego Perez - Zumo I recently had a great chat with Diego Perez of Zumo wines. Diego has worked with some of the most well known natural wine shops and bars, including Oaklands own Ordinaire. Zumo started in 2018 making strictly zero/zero wines. When possible Diego farms the sites himself and we discuss his farming and wine making in his new home in Yuba County and why you should support California wines. We also touch on Corks harvested by donkeys and Verdelho from Madeira at Evina Vineyards. You can follow Diego @Zumowine on instagram Zumowine.com Follow the podcast at www.instagram.com/indiewinepodcast or email indiewinepodcast@gmail.com with questions, comments or feedback. Please rate or subscribe or if you are able consider making a donation to help me keep telling wine stories ad free and available for everyone. - www.patreon.com/IndieWinePodcast https://podcasts.apple.com/us/podcast/indie-wine-podcast/id1673557547 https://open.spotify.com/show/06FsKGiM9mYhhCHEFDOwjb.https://linktr.ee/indiewinepodcast
Aujourd'hui, je reçois Alice Davazoglou. Alice est trisomique, normale mais ordinaire. Elle est surtout danseuse, chorégraphe, dessinatrice et écrivaine. Les 17 et 18 février, au Carreau du Temple, Alice expose une sélection de dessins et présente avec 10 chorégraphes - ici interprètes pour elle - « Danser Ensemble », sa pièce qui célèbre l'inclusion par la danse. On l'écoute avec joie, Du 14 au 18 février, au Carreau du Temple, c'est le festival Everybody, le festival de tous les corps.
Deze week in Borrelpraat Extra: 'Thijs & Niels bespreken de liefde'. Gebruik code 'valentijn' voor 50% korting op de eerste 2 maanden. www.petjeaf.com/borrelpraatZie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:05:11 - Classic & Co - par : Anna Sigalevitch - Ce matin, Anna Anna Sigalevitch nous parle d'"Une journée (extra)ordinaire : 24 heures à l'Opera Garnier" de Priscilla Pizzato, un documentaire qui célèbre les 150 ans de l'inauguration de l'Opera Garnier à découvrir sur la plateforme de France Télévisons.
Par une sombre après-midi d'hiver, en 1764, dans la ville paisible d'Angoulême, 83 personnes se réunissent pour signer un contrat prénuptial pour la fille d'une certaine Marie Aymard, une veuve illettrée. Ce même nom apparaît sur une procuration concernant les biens de son défunt mari, un menuisier parti travailler sur l'île de Grenade. Deux documents conservés dans les archives : voilà tout ce qu'il reste de son existence. C'est peu au regard de l'épaisseur d'une vie, mais, pour qui sait les lire attentivement, ce point de départ est suffisant pour essayer d'écrire l'histoire de Marie et de ses descendants. Emma Rothschild se lance dans l'aventure et plonge le lecteur dans une enquête historique de grande ampleur, sur cinq générations. Les membres de l'obscure famille Aymard n'ont laissé derrière eux presque aucune lettre personnelle. Certains ont voyagé jusqu'en Syrie, au Mexique et à Tahiti, d'autres sont restés à Angoulême. Leurs fortunes sont diverses : à la dernière génération, celle que l'on suit jusqu'en 1906, on trouve une couturière impécunieuse demeurant à Paris, et le cardinal Lavigerie, archevêque d'Alger. Qu'est-ce que le destin d'une famille ordinaire peut nous dire sur les mobilités sociales et les mutations économiques d'un long XIXe siècle ? Beaucoup, c'est le pari des romanciers. C'est aussi celui que relève avec brio Emma Rothschild, en historienne. Sujets traités : Famille, histoire, Marie Aymard, génération, fortune, voyage, mutations L'invitée de Nicolas Bogaerts est Emma Rothschild , professeure d'histoire et autrice « De proche en proche , Une famille ordinaire dans l'histoire de France » paru aux éditions du Seuil Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Les références : Assemblée Générale Ordinaire de l'association CercLL samedi 18 janvier 2025 de 16h30 à 20h00, à Marseille Rencontres Hivernales du Libre 2025 du 24 au 26 janvier à St-Cergue (Suisse) Atelier Wikipédia avec les sans pagEs samedi 25 janvier 2025 de 14h00 à 18h00, à Paris Soirée radio ouverte vendredi 7 février 2025 à partir de 19 h 30, au studio de Cause Commune (Paris, 18e) Consulter l'Agenda du Libre pour les autres événements en lien avec le logiciel libre S'inscrire aux lettres d'actus de l'émission et de l'AprilVous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.
Comment réussir mon année sportive et personnelle ? Comment progresser ? Comment rester motiver ? Comment me rapprocher de la forme que je vise ? Je pense que nous nous posons tous ces questions. Par le passé j'ai fait des plans plus ou moins compliqués. Cette année j'ai fait évolué mon plan en le rendant plus souple et surtout en étant axé sur une philosophie plutôt que sur des dates précises, sur des dossards et la course aux médailles.Dans cet épisode je vais vous expliquer mes trois grands axes pour vivre cette année comme j'ai envie de la vivre et la rendre extra-ordinaire. Et peut-être que ça vous inspirer vous aussi dans vos réflexions.Tous les liens de cet épisode : https://podcasts.soulier.xyz/km42-300-philosophie-annee-2025
La situation économique précaire pousse de nombreuses personnes à quitter le Salvador. Elles rêvent de tenter leur chance aux États-Unis et sont prêtes à tout pour y arriver, jusqu'au péril de leur vie. L'auteur salvadorien Ernesto Sade, architecte de formation, a choisi de raconter l'une de ces nombreuses histoires d'émigration dans une bande dessinée intitulée Un espoir ordinaire. Ernesto Sade s'appuie sur des faits réels, car ce jeune Carlos qui émigre aux États-Unis est un proche. À travers ce personnage, l'auteur rend hommage à tous ces migrants nourris par l'espoir d'une vie meilleure. RFI : Comment cette histoire vous est venue à l'esprit ? Ernesto Sade : C'était un choix très personnel. C'est l'histoire de mon cousin qui est le protagoniste de cette bande dessinée. En 2017, lui et ma tante ont voulu rejoindre les États-Unis. Ils sont partis « mojados », comme on dit, ils se sont « mouillés » pour partir aux États-Unis. Pour moi, c'était aussi un événement très traumatisant parce que mon cousin est comme mon frère, c'est quelque chose qui a eu un grand impact sur moi, n'est-ce pas ? Mon cousin est finalement arrivé sain et sauf aux États-Unis. Quelques années plus tard, j'ai pu le revoir, lorsque je me suis rendu là-bas. Il m'a raconté son histoire, comment il a traversé, la frontière et tout. Et je trouvais ce qu'il a vécu tellement impressionnant que je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose avec cette histoire.Quel est le message que vous souhaitez transmettre à travers cette bande dessinée ? Beaucoup de gens me disent qu'il s'agit peut-être d'une tentative pour sensibiliser les gens, afin qu'ils ne partent pas parce que c'est trop dangereux. Mais très honnêtement, je ne vois pas les choses de cette manière, car la migration ne va pas s'arrêter. Le Salvador se trouve dans une situation qui ne va pas s'arranger de si tôt. Ce que je voulais faire avec ce livre, c'est défendre les histoires de chaque personne, parce qu'il y en a tellement et qu'il est si courant que les gens, après avoir traversé toute cette épreuve de la fuite, ils enterrent leurs histoires. Ils commencent une nouvelle vie, mais ils ne réalisent pas à quel point c'est important ce qu'ils ont vécu.Les gens sont-ils conscients des risques que représente le voyage ? Est-ce qu'ils savent qu'ils mettent en danger non seulement leur propre vie, mais aussi celle de leurs enfants s'ils sont du voyage ? Vous savez, ici au Salvador, personne n'a vraiment envie de partir. Mais il arrive un moment où ça devient si difficile de vivre ici que les gens préfèrent risquer leur vie, et même celle de leurs enfants pour trouver une vie meilleure. Et la perspective d'une vie aux États-Unis est généralement très, très prometteuse pour beaucoup de gens ici. Il ne faut pas oublier qu'on entend souvent ici qu'aux États-Unis, on peut gagner beaucoup d'argent et qu'on peut mener une vie formidable. Et que cela vaut la peine de prendre des risques. C'est ce que disent aussi les passeurs : ils assurent les migrants que le voyage se passera sans heurts. Les gens savent très bien que ça ne se passera pas comme ça, mais ils décident quand même de partir en se disant : « Mais non, ça va bien se passer, il ne m'arrivera peut-être rien ».Et pour votre cousin Carlos, qui est, je le rappelle, le personnage principal de votre BD, mène-t-il la vie dont il a rêvé aux États-Unis ?Actuellement, il a une situation stable, il s'est marié. Il travaille comme entrepreneur dans la construction. Il travaille dur pour gagner sa vie qui n'est pas facile, mais certainement beaucoup mieux que ce qu'il aurait ici au Salvador. Mais il me dit toujours qu'il aimerait rentrer. Je pense donc qu'il économise maintenant. Il gagne autant d'argent qu'il le peut et lorsqu'il estimera que le moment est venu, il rentrera au Salvador parce qu'il a du mal à s'habituer à la culture de ce pays. Les Salvadoriens pensent toujours à partir aux États-Unis, même si la politique d'immigration se durcit. Le rêve américain est donc toujours d'actualité ?Oui, c'est vrai, les gens veulent toujours tenter leurs chances aux États-Unis. Mais c'est normal, la plupart d'entre eux vivent dans la pauvreté. En fait, j'ai travaillé récemment dans les bidonvilles du centre de la capitale, San Salvador. Les gens sont en situation de grande pauvreté. Vous savez, des personnes comme moi, issues de la classe moyenne, nous sommes une minorité dans ce pays. Face à une telle situation de précarité, comment ne pas penser à partir ? Au moins, ils voient un avenir aux États-Unis. Même s'il est minime, il est plus grand qu'ici au Salvador. Au moins, là-bas, ils ont une chance de progresser.
La situation économique précaire pousse de nombreuses personnes à quitter le Salvador. Elles rêvent de tenter leur chance aux États-Unis et sont prêtes à tout pour y arriver, jusqu'au péril de leur vie. L'auteur salvadorien Ernesto Sade, architecte de formation, a choisi de raconter l'une de ces nombreuses histoires d'émigration dans une bande dessinée intitulée Un espoir ordinaire. Ernesto Sade s'appuie sur des faits réels, car ce jeune Carlos qui émigre aux États-Unis est un proche. À travers ce personnage, l'auteur rend hommage à tous ces migrants nourris par l'espoir d'une vie meilleure. RFI : Comment cette histoire vous est venue à l'esprit ? Ernesto Sade : C'était un choix très personnel. C'est l'histoire de mon cousin qui est le protagoniste de cette bande dessinée. En 2017, lui et ma tante ont voulu rejoindre les États-Unis. Ils sont partis « mojados », comme on dit, ils se sont « mouillés » pour partir aux États-Unis. Pour moi, c'était aussi un événement très traumatisant parce que mon cousin est comme mon frère, c'est quelque chose qui a eu un grand impact sur moi, n'est-ce pas ? Mon cousin est finalement arrivé sain et sauf aux États-Unis. Quelques années plus tard, j'ai pu le revoir, lorsque je me suis rendu là-bas. Il m'a raconté son histoire, comment il a traversé, la frontière et tout. Et je trouvais ce qu'il a vécu tellement impressionnant que je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose avec cette histoire.Quel est le message que vous souhaitez transmettre à travers cette bande dessinée ? Beaucoup de gens me disent qu'il s'agit peut-être d'une tentative pour sensibiliser les gens, afin qu'ils ne partent pas parce que c'est trop dangereux. Mais très honnêtement, je ne vois pas les choses de cette manière, car la migration ne va pas s'arrêter. Le Salvador se trouve dans une situation qui ne va pas s'arranger de si tôt. Ce que je voulais faire avec ce livre, c'est défendre les histoires de chaque personne, parce qu'il y en a tellement et qu'il est si courant que les gens, après avoir traversé toute cette épreuve de la fuite, ils enterrent leurs histoires. Ils commencent une nouvelle vie, mais ils ne réalisent pas à quel point c'est important ce qu'ils ont vécu.Les gens sont-ils conscients des risques que représente le voyage ? Est-ce qu'ils savent qu'ils mettent en danger non seulement leur propre vie, mais aussi celle de leurs enfants s'ils sont du voyage ? Vous savez, ici au Salvador, personne n'a vraiment envie de partir. Mais il arrive un moment où ça devient si difficile de vivre ici que les gens préfèrent risquer leur vie, et même celle de leurs enfants pour trouver une vie meilleure. Et la perspective d'une vie aux États-Unis est généralement très, très prometteuse pour beaucoup de gens ici. Il ne faut pas oublier qu'on entend souvent ici qu'aux États-Unis, on peut gagner beaucoup d'argent et qu'on peut mener une vie formidable. Et que cela vaut la peine de prendre des risques. C'est ce que disent aussi les passeurs : ils assurent les migrants que le voyage se passera sans heurts. Les gens savent très bien que ça ne se passera pas comme ça, mais ils décident quand même de partir en se disant : « Mais non, ça va bien se passer, il ne m'arrivera peut-être rien ».Et pour votre cousin Carlos, qui est, je le rappelle, le personnage principal de votre BD, mène-t-il la vie dont il a rêvé aux États-Unis ?Actuellement, il a une situation stable, il s'est marié. Il travaille comme entrepreneur dans la construction. Il travaille dur pour gagner sa vie qui n'est pas facile, mais certainement beaucoup mieux que ce qu'il aurait ici au Salvador. Mais il me dit toujours qu'il aimerait rentrer. Je pense donc qu'il économise maintenant. Il gagne autant d'argent qu'il le peut et lorsqu'il estimera que le moment est venu, il rentrera au Salvador parce qu'il a du mal à s'habituer à la culture de ce pays. Les Salvadoriens pensent toujours à partir aux États-Unis, même si la politique d'immigration se durcit. Le rêve américain est donc toujours d'actualité ?Oui, c'est vrai, les gens veulent toujours tenter leurs chances aux États-Unis. Mais c'est normal, la plupart d'entre eux vivent dans la pauvreté. En fait, j'ai travaillé récemment dans les bidonvilles du centre de la capitale, San Salvador. Les gens sont en situation de grande pauvreté. Vous savez, des personnes comme moi, issues de la classe moyenne, nous sommes une minorité dans ce pays. Face à une telle situation de précarité, comment ne pas penser à partir ? Au moins, ils voient un avenir aux États-Unis. Même s'il est minime, il est plus grand qu'ici au Salvador. Au moins, là-bas, ils ont une chance de progresser.
durée : 00:01:49 - Le Château de Gaujacq : un château peu ordinaire
Dans sa chronique pour Le Journal de Montréal et Le Journal de Québec, Sophie Durocher se penche sur les "mâles lambda", ces hommes ordinaires qui incarnent une partie de la beauté de la masculinité. Après la publication de son article, elle reçoit de nombreux témoignages bouleversants, surtout d'hommes, sur la violence conjugale qu'ils ont subie. Sophie discute de ces témoignages en onde avec Benoit Dutrizac, partageant une perspective touchante et rarement abordée. La rencontre Durocher-Dutrizac avec Sophie Durocher et Benoît Dutrizac. Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Il y a les regards insistants, les remarques déplacées, les mains qui frôlent les fesses... Evanaëlle, 18 ans, a débuté il y a peu sa vie professionnelle dans une entreprise d'installations frigorifiques, un milieu majoritairement masculin. Des bancs de l'école aux chantiers, cette Valaisanne raconte la difficulté d'y faire sa place en tant que femme – et comment la passion l'emporte malgré tout. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Waar RTL niet kan wachten om Arjen Lubach in te lijven, doet de VPRO er alles aan om zijn nalatenschap zo snel mogelijk uit te wissen. Alleen de tafel en stoel zijn maar net ontsnapt aan het televisiekerkhof, verder wist de omroep niet hoe snel ze het decor van zijn populaire programma moesten vernietigen. Minstens zo vernietigend zijn de reacties op de zeer matige beeldkwaliteit van misschien wel het meest besproken sportevenement van het jaar, dat live op Netflix gestreamd werd. Wat wél haarscherp was? De verschijning van Jutta Leerdam in een oogverblindende jurk. Of haar look indruk heeft gemaakt op onze podcast hosts? Dat is nog maar de vraag. Luuk en Rob kunnen ook geen genoeg krijgen van de nieuwste afleveringen van Paradise Hotel en hun favoriete deelnemers. En over een andere favoriet gesproken: kunnen we Mart Hoogkamer al voordragen als dé nieuwe Topper? Tot slot schuiven misdaadverslaggever Jermaine Ellenkamp en Astrid Holleeder aan in het gesprek. Ondanks dat haar criminele broer vastzit, leeft Astrid nog steeds onder constante bedreiging – net als haar dochter Miljuschka. Heeft ze haar nieuwe boek uitgebracht als een soort levensverzekering om zichzelf te beschermen?Zie het privacybeleid op https://art19.com/privacy en de privacyverklaring van Californië op https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Marc-Antoine Granier et Eva Lacarrière ont suivi des enfants autistes sur une durée d'un an dans le cadre des interventions pluridisciplinaires d'une équipe soignante. Nous sommes à Lyon l'hôpital Saint Jean de Dieu, mais aussi à la maison auprès de très jeunes enfants autistes et de leurs familles. Ce documentaire tente de témoigner plus intimement des efforts fournis par ces enfants pour rentrer en interaction et investir la parole, la communication à travers le jeu et les gestes du quotidien. Il faut du temps, de la patience, de la créativité, un concentré de tous ces ingrédients pour permettre de faire émerger ces voix. Une trace sonore qui se cache derrière l'oxymore d'immenses petits pas. Une création radiophonique et documentaire de Marc-Antoine Granier et d'Eva Lacarrière. Suivi d'un extrait d'un documentaire de Pascale Tison sur Les Goélands, à la rencontre des enfants et des adolescents, psychotiques et autistes, qui se répartissent dans la double unité de l'hôpital pédo-psychiatrique à Spy. Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Send us a textEn ce 32e dimanche, Martine Kouadio-Gokra nous invite à réfléchir sur le sens profond de donner avec foi et confiance. À travers les exemples de la veuve de Sarepta et de la veuve de l'Évangile, Martine nous montre l'importance de donner de tout cœur, même dans la difficulté, en s'abandonnant totalement à Dieu.Ces femmes nous rappellent que la vraie richesse se trouve dans une foi qui se traduit par des actes de générosité. En ouvrant nos mains et notre cœur, nous permettons à Dieu de travailler en nous et de répondre à nos besoins.Rejoignez cette méditation pour découvrir comment vivre une foi qui donne sans crainte. Abonnez-vous, partagez vos réflexions en commentaire, et que cette parole vous inspire à une foi généreuse.
La cantante anglo-canadiense Jill Barber ha grabado 'Encore!' un disco con canciones en francés que grabaron en su día Blossom Dearie, Charles Trenet, Georges Moustaki o Josephine Baker: 'Plus je t´embrasse', 'De temps en temps', 'La mer', 'Que reste-t-il de nos amours?', 'Ordinaire' y 'Les eaux de mars'. La cantante francesa Charlotte Planchou acaba de publicar 'Le carillon' con temas como 'Tin tin por tin tin', 'L´albatros' o 'You´ve got a friend'. De prosa e papo', de Dori Caymmi, 'Um carioca vive morrendo de amor', 'Canto sedutor' y 'A água do rio doce'. Despedida con Antonio Adolfo y 'Night and day' y 'So in love' de su disco 'Love Cole Porter'.Escuchar audio
Bienvenue chers frères et sœurs ! Dans cette réflexion du 30e Dimanche, Martine Kouadio-Gokra nous invite à méditer sur la promesse de restauration et de libération de Dieu. En se basant sur le Livre de Jérémie, elle nous rappelle comment Dieu rassemble Son peuple dans la souffrance pour le conduire vers la paix et le renouveau. Ce message d'espérance se poursuit avec l'Évangile de Saint Marc, où Barthimée, animé par sa foi et sa persévérance, appelle Jésus pour être guéri. Martine nous interpelle sur notre disposition à agir avec foi face aux épreuves de la vie. Pouvons-nous, comme Barthimée, saisir les opportunités de transformation que Dieu nous offre ? Dans cette réflexion, nous sommes encouragés à nous libérer de nos fardeaux, à persévérer, et à appeler Dieu avec un cœur sincère. Abonnez-vous pour plus de réflexions, partagez vos pensées dans les commentaires, et que cette méditation vous inspire à vivre une relation profonde avec le Christ !#RéflexionDominicale, #Dimanche, #RestaurationDeDieu, #FoiEtPersévérance, #MartineKouadioGokra, #MéditationChrétienne, #RéflexionSpirituelle, #ÉvangileDeMarc, #ParcoursDeFoi, #RéflexionDuDimanche
Si vous voulez me soutenir pour continuer à développer ces podcasts qui me prennent beaucoup de temps et d'investissement personnel : https://fr.tipeee.com/horizon-podcast merci d'amour. Bonjour à tous, je reçois aujourd'hui LUCIE CARDON pour parler de son livre “HYPERSENSIBLE, être magique dans un monde ordinaire”. Dans cet épisode, elle nous partage son parcours de vie. Elle revient sur son enfance marquée par cette sensibilité, une enfance plutôt compliquée du coup et explique comment elle a influencé son estime de soi, notamment en lien avec le perfectionnisme et le syndrome de l'imposteur. Elle aborde également son lien avec les facultés extra-sensorielles et l'importance de l'intuition qui l'a guidée à quitter son métier de sage-femme pour devenir médium et énergéticienne. Elle dévoile enfin ses stratégies pour gérer les émotions fortes et se protéger des énergies extérieures, tout en soulignant le pouvoir thérapeutique de l'écriture. Je suis sûre que beaucoup d'entre vous chers auditeurs sont hypersensibles. Ceci n'est pas une fatalité, il ne faut pas tout voir tout noir comme on l'a probablement fait auparavant car oui, l'hypersensibilité s'avère être aussi une force dans le sens où comme on perçoit la vie de manière beaucoup plus intense que la moyenne, cela veut dire qu'on vit les événements intéressants, joyeux et heureux à 100% alors comme dit Lucile, acceptons cela, aimons-nous et ouvrons nous au cadeau caché Bonne écoute //Show notes : -Instagram de Lucie : @cardon_lucie -Mon instagram : @lena_champy
[Attention, certaines scènes racontées peuvent heurter la sensibilité des personnes fragiles.] C'est une histoire tragique et complexe. Bien plus qu'un fait divers, c'est la dérive d'une mère fragile, à bout, qui tue ses cinq enfants. Cette affaire a marqué les annales de la justice belge. Comment expliquer l'inexplicable ? Geneviève était-elle folle pour s'en prendre à la chair de sa chair ? Son cas est compliqué, et s'y pencher c'est se plonger dans les abîmes de la psychologie humaine… Cinq enfants assassinés par leur mère Mercredi 28 février 2007. La fin de l'hiver approche mais dans les rues de Nivelles, une petite ville située entre Bruxelles et Mons, les manteaux sont encore de rigueur. C'est un mercredi ordinaire. Ordinaire aussi pour le centre d'appel du "100". Mais à 14h40, un appel fait trembler l'opératrice. A l'autre bout du fil, une femme à la voix fluette… : “J'ai fait quelque chose de très grave… j'ai tué mes enfants… J'ai voulu me suicider mais je n'y arrive pas… je veux mourir”. Découvrez la saison précédente en intégralité : Le meurtre de Karine Esquivillon Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Ecriture : Capucine Lebot Voix : Caroline Nogueras Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.
durée : 01:25:08 - Toute une vie - par : Arnaud Laporte - Écrivain américain du 19e siècle, qui était Edgar Allan Poe ? Quelle a été sa vie ? En quoi était-il à part, comment son œuvre a-t-elle été perçue à l'époque et quelle est son influence ? Éléments de réponse avec quatre spécialistes au micro d'Arnaud Laporte.
durée : 00:29:47 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - À l'occasion du Festival de l'Imaginaire en 2001 à Paris, Daniela Langer s'entretient avec ses organisateurs, Françoise Gründ et Chérif Khaznadar, sur le phénomène de possession, à l'origine du théâtre, qui mêle musique, danse, croyance, divinités, animisme et chamanisme. - réalisation : Thomas Jost - invités : Françoise Gründ; Cherif Khaznadar
Pendant le mois d'août, je vous propose de découvrir une sélection de podcasts que j'affectionne. Aujourd'hui, c'est le podcast Circular Metabolism qui est mis en avant.Circular Metabolism est le rendez-vous bi-mensuel qui interviewe des chercheur.euses et des expert.es pour mieux comprendre le métabolisme de nos sociétés (ou en d'autres mots leurs consommations de ressources et leurs émissions de polluants) et comment réduire leur impact environnemental d'une manière systémique, juste et contextualisée.Pour découvrir ce podcast, j'ai sélectionné un épisode sur l'extractivisme en France avec l'historien de l'environnement Nelo Magalhães.Bonne écoute !----
durée : 00:56:41 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran, François Beaune - L'enfance à Chambéry-le-Haut, entre souvenirs d'enfants de la ZUP devenus grands et témoignages de gosses d'aujourd'hui.
durée : 00:57:07 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran, François Beaune - La famille à Bacalan, ou comment est vécu le lien de famille au sens large, entre habitants du quartier, avec sa propre famille, avec sa bande, avec son clan.
durée : 00:56:58 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran, François Beaune - L'amour à Vaulx-en-Velin, ou comment vivre ses désirs, sa sexualité dans la norme contraignante de la Cité.
durée : 00:56:55 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran, François Beaune - Le travail à Saint-Claude, entre nostalgie du plein-emploi et peur des jeunes d'avoir à aller travailler à l'usine comme leurs pères.
Elle voulait « faire plaisir de manière professionnelle », partager du bonheur. Nina Métayer excelle en la matière : elle a été élue meilleure cheffe pâtissière du monde par la très sérieuse Union Internationale des boulangers et pâtissiers (UBIC), elle est aussi la première femme à obtenir ce titre, un plafond de verre en moins ! Nina Métayer a pris son envol toute jeune au Mexique, pays coup de cœur qu'elle quitte en se promettant d'y revenir un jour, avec un métier en poche, pour être sûre y rester. Elle a du talent, et du caractère ! Le pain pour sésame, mais un milieu encore très fermé quand Nina se lance, elle trouve sa piste d'élan dans la pâtisserie, et c'est en confectionnant des gâteaux, les meilleures bouchées de joie et de bonheur, qu'elle a trouvé sa place. Elle file les titres de meilleure cheffe jusqu'à décrocher le monde à l'automne 2023.Cerise sur le gâteauSon parcours inspire des générations de femmes et de petites filles qui se disent désormais qu'à force d'engagement, de détermination, tout est possible. Des points communs entre la pâtisserie et le sport ? Nina Métayer sourit, hoche la tête avec enthousiasme, et raconte les entraînements, le geste répété à l'infini, le souci du détail. C'est une gagnante qui portera la flamme olympique le 14 juillet 2024 à Paris, avec « fierté et honneur, quel bonheur ! »« Ce qui m'anime c'est de m'amuser, avec mes amis, ma famille, mes clients, ça emmène de la positivité. C'est faire en sorte que chaque minute, chaque seconde soit la meilleure possible ».Avec Nina Métayer, cheffe pâtissière (son Instagram).La Délicatesserie : une approche 2.0 de la pâtisserie, Nina Métayer a des corners dans certains magasins à Paris, mais pas de boutique physique, tout se fait en ligne.Pour aller plus loin- La délicate pâtisserie, de Nina Métayer, éd. La Martinière- La pâtisserie de référence, éd. BPI- Pâtisserie – Ferrandi, éd. FlammarionLes 3 sœurs ou « Milpa » est une méthode de culture agricole ancestrale de l'Amérique du Nord et latine, particulièrement utilisée au Mexique. Trois végétaux sont associés, 3 sœurs : le haricot, le maïs et la courge. Les 3 cultures poussent en symbiose, les unes protégeant les autres. Les plants de maïs servent de tuteurs aux haricots qui captent l'azote dans l'air, le feuillage de la courge joue le rôle de paillage vivant, en couvrant le sol et en préservant l'humidité.Musique : Baby c'est vous, de Bon Entendeur avec un remix de Sylvie Vartan. La recetteLe flan pâtissier est une des pâtisseries signature de Nina Métayer. Elle partage sur sa chaîne YouTube sa recette en vidéo et bien d'autres.
durée : 00:22:56 - En marge - Sushina Lagouje est professeure de français en lycée. Atteinte de myopathie, elle vient d'écrire un manuscrit : « Une grossesse ordinaire », récit de sa maternité. - réalisé par : Laurent PAULRé
durée : 00:54:28 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, l'histoire de Madame Pruvost dite Bambi, l'une des premières femmes trans en France - réalisé par : Stéphane COSME
Dans cette affaire qui se déroule dans un village de l'Oise au printemps 2019, tout parait simple. Un ex-beau-père qui tue son ex-gendre de deux coups de fusil. Un drame sur fond de mésentente familiale et de colère longtemps réfrénée. La victime s'appelle Cyril Fortas, 39 ans. Le meurtrier se nomme Guy Fernet, 59 ans à l'époque des faits. Les investigations, nombreuses, étoffées, vont pourtant donner un tout autre éclairage au dossier. Au point que les rôles vont peu à peu se renverser. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles. Ecoutez L'heure du Crime avec Jean-Alphonse Richard du 24 avril 2024
durée : 00:54:44 - En marge - Sushina Lagouje est professeure de français en lycée. Atteinte de myopathie, elle vient d'écrire un manuscrit : « une grossesse ordinaire », récit de sa maternité. - réalisé par : Laurent PAULRé
durée : 00:22:56 - En marge - Sushina Lagouje est professeure de français en lycée. Atteinte de myopathie, elle vient d'écrire un manuscrit : « Une grossesse ordinaire », récit de sa maternité. - réalisé par : Laurent PAULRé
Pas de temps de s'échauffer, les "Grandes Gueules du Sport" démarrent fort dès 9h30 : la UNE c'est l'actu brûlante du sport, entre infos, analyses et débats.
➡️ DESCRIPTION: Richard Ouellette oeuvre au Québec dans plusieurs domaines incluant la musique et le monde de l'édition. Aujourd'hui nous parlerons de l'influence de sa grand-mère (La Bolduc), de sa conversion à Christ, de sa vision artistique et de ses récentes créations. www.mondeordinaire.ca TABLE DES MATIÈRES 01:00 - Qui est Richard Ouellette? 02:28 - Livre recommandé: D. A. Carson, Mémoires d'un pasteur ordinaire (https://publicationschretiennes.com/products/memoires-d-un-pasteur-ordinaire) 04:19 - Petit fils de La Bolduc (Mary Travers) 12:15 - Comment es-tu venu à Christ? 15:43 - Le ministère en musique 30:38 - Les autres ministères de Richard 37:25 - Les éditions du monde ordinaire 52:54 - Hors-propos: Sortie nouvel album 57:17 - Bêtisier LÉGENDE (SoundCloud) Richard Ouellette, petit fils de La Bolduc
Dominique Rizet, en compagnie de Philippe Gaudin, revient sur de grandes affaires policières et judiciaires faisant l'actualité. Chaque dimanche, l'émission pilotée par Philippe Gaudin avec à ses côtés Dominique Rizet, consultant police/justice BFMTV, traite d'un événement majeur de la semaine, ainsi que d'autres affaires qui sont revenues sur le devant de la scène. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
Catéchèse du P. Mathieu 2024-01-09 La vie ordinaire : vraiment ? by Radio Maria France
durée : 00:54:38 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran - La maladie psychiatrique prend souvent une place prépondérante dans la vie des patients et pour leur famille. Comment la vivent-ils ? Quels sont leurs parcours et leurs souffrances ?
durée : 00:54:41 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran - La psychiatrie a bien changé. Entre les asiles d'hier où les patients étaient parqués plus que soignés, les évolutions des 19e et 20e siècles, les tâtonnements, les erreurs, les grandes avancées mais aussi le désinvestissement public depuis 20 ans, quelle est l'histoire de la psychiatrie ?
durée : 00:54:04 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran - Ils et elles sont au contact permanent des patients des hôpitaux et centres médico-psychologiques. Ils parlent, écoutent, soutiennent et doivent aussi gérer les crises parfois violentes des patients. Ils sont le rouage essentiel des hôpitaux psychiatriques.
durée : 00:55:29 - LSD, la série documentaire - par : Perrine Kervran - Un fou ne doit pas être emprisonné. Et pourtant, les personnes souffrant de troubles psychiatriques sont nombreuses en prison et les moyens pour les soigner manquent cruellement.
Fabrice, patron du salon de coiffure "Le Studio", à Vittel, était au téléphone des Grosses Têtes ce 4 janvier. Son salon est un des premiers en France à obtenir la célèbre "licence IV"... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.
Bo Burnham en a fait une chanson, «White woman's Instagram»: Instagram comme reflet d'une vie parfaite que l'on peut étaler sur les réseaux sociaux pour montrer ses succès et ses réussites dans la vie comme au travail. Exactement comme la société nous le demande. Mais si, après tout, le succès, ce n'était pas ça? Si la vraie réussite n'était qu'une succession de petits bonheurs ordinaires? Si, comme dans la chanson, tout n'était pas aussi joli qu'on veut bien le montrer?La vie d'Edith n'est «pas trop instagrammable, mais un peu quand même». Elle s'amuse, papillonne, elle a des amis et un bon job, mais elle avoue s'ennuyer un peu. Pas trop, mais un peu. Et puis, le confinement arrive et tout est chamboulé.L'histoire d'Edith a été recueillie par Miren Garaicoechea.Transfert est produit et réalisé par Slate Podcasts.Direction éditoriale: Christophe CarronDirection de la production: Sarah KoskievicDirection artistique: Benjamin Saeptem HoursProduction éditoriale: Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem HoursChargée de pré-production: Astrid VerdunPrise de son et montage et habillage musical: Victor BenhamouMusique: «A nice Getaway», de Thomas GallicaniL'introduction a été écrite par Sarah Koskievic et Benjamin Saeptem Hours. Elle est lue par Aurélie Rodrigues.Retrouvez Transfert tous les jeudis sur Slate.fr et sur votre application d'écoute. Découvrez aussi Transfert Club, l'offre premium de Transfert. Deux fois par mois, Transfert Club donne accès à du contenu exclusif, des histoires inédites et les coulisses de vos épisodes préférés. Pour vous abonner, rendez-vous sur slate.fr/transfertclub.Pour proposer une histoire, vous pouvez nous envoyer un mail à l'adresse transfert@slate.fr