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Priorité santé
L'incontinence urinaire

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 48:29


L'incontinence urinaire est la perte involontaire d'urine. Sa forme la plus fréquente est l'incontinence à l'effort, qui peut être encore accentuée chez les femmes, au cours de la grossesse et après l'accouchement, suite aux bouleversements hormonaux de la ménopause et au relâchement musculaire qui peut y être associé. Cette incontinence urinaire augmente avec l'âge et concernerait, en France, au moins 2,6 millions de personnes de plus de 65 ans. Cependant, des personnes plus jeunes peuvent également être touchées. Quels sont les différents types d'incontinence urinaire ? Quelles en sont les principales causes ? Quelle prise en charge est possible ? En quoi consiste la rééducation périnéale ?   Dr Margaux Felber, chirurgien urologue à la clinique Bizet et à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris  Pr Stève Ondziel-Opara, chirurgien et urologue au CHU de Brazzaville, au Congo. Programmation musicale :  ►Disiz, Theodora – Melodrama ►Fireboy DML – Jealous

Priorité santé
L'incontinence urinaire

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 48:29


L'incontinence urinaire est la perte involontaire d'urine. Sa forme la plus fréquente est l'incontinence à l'effort, qui peut être encore accentuée chez les femmes, au cours de la grossesse et après l'accouchement, suite aux bouleversements hormonaux de la ménopause et au relâchement musculaire qui peut y être associé. Cette incontinence urinaire augmente avec l'âge et concernerait, en France, au moins 2,6 millions de personnes de plus de 65 ans. Cependant, des personnes plus jeunes peuvent également être touchées. Quels sont les différents types d'incontinence urinaire ? Quelles en sont les principales causes ? Quelle prise en charge est possible ? En quoi consiste la rééducation périnéale ?   Dr Margaux Felber, chirurgien urologue à la clinique Bizet et à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris  Pr Stève Ondziel-Opara, chirurgien et urologue au CHU de Brazzaville, au Congo. Programmation musicale :  ►Disiz, Theodora – Melodrama ►Fireboy DML – Jealous

Revue de presse Afrique
À la Une: le Bénin révise sa constitution

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 4:45


« Au terme d'une longue nuit, relève Afrik.com, l'Assemblée nationale béninoise a adopté, samedi matin à l'aube, une vaste révision constitutionnelle. Le texte instaure un Sénat et allonge les mandats du président de la République, des députés et des maires de 5 à 7 ans. » Précision importante, pointe La Nation à Cotonou, « cette réforme au niveau des mandats électifs prend effet à partir des élections générales de l'année prochaine. Ce qui veut dire que la (nouvelle) loi constitutionnelle ne concerne pas le mandat actuel du président de la République, Patrice Talon qui passera le témoin en mai prochain ». Pourquoi cette révision ? D'après la mouvance présidentielle, relève le site d'information Banouto, « ce nouveau texte vise à renforcer la stabilité, la transparence et l'efficacité des institutions et la vitalité démocratique du Bénin ». L'opposition bâillonnée ? Alors, « la question pressante, estime pour sa part La Nouvelle Tribune, toujours à Cotonou, est de savoir si le Bénin, fort de ce nouveau cadre constitutionnel, peut désormais engager une trajectoire de développement plus sereine et plus rapide. Les arguments avancés en faveur de cette modification visent principalement à éliminer ce qui est perçu comme des freins structurels au progrès national, pointe le quotidien béninois. La classe dirigeante pointe souvent du doigt les cycles électoraux polarisés et les crises politiques récurrentes, les décrivant comme des sources de distraction et d'instabilité, empêchant la pleine concentration sur les politiques de développement économique et social. L'un des objectifs affichés est d'instaurer une sorte de trêve politique en apaisant le jeu électoral et institutionnel. (…) Cependant, la lecture de la classe politique et de la Société civile est loin d'être unanime, tempère La Nouvelle Tribune. Pour certains observateurs, (au contraire) l'adoption de cette loi modificative est un processus qui pourrait exacerber les fractures politiques et conduire à la non-participation d'une partie importante de l'opposition aux différents rendez-vous électoraux. » Déjà, note Aujourd'hui, le principal parti d'opposition, les Démocrates, a été écarté des élections locales et de l'élection présidentielle : « à l'évidence, affirme le site burkinabé, le président Patrice Talon, qui ne briguera (donc) pas un 3e mandat, est en train de modeler le paysage politique et institutionnel avant son départ du palais de la Marina. Il a ouvert un large boulevard pour son dauphin, Romuald Wadagni, lequel sans un challenger de poids, en l'occurrence celui des Démocrates, écarté pour cause de parrainage, est à 50 % déjà vainqueur de la présidentielle d'avril prochain. » Une « manœuvre savamment orchestrée » ? Le Pays, toujours au Burkina, revient sur cette réforme constitutionnelle : certes, elle « est présentée par ses promoteurs comme un instrument de paix, une architecture d'unité nationale et un rempart contre l'instabilité. Pourtant, derrière cet argumentaire officiel particulièrement séduisant, pourrait se dissimuler une opération politique minutieusement calibrée, affirme le quotidien ouagalais, destinée à consolider le système mis en place par l'actuel président Patrice Talon, à neutraliser une opposition déjà affaiblie et à protéger l'élite dirigeante contre d'éventuelles poursuites judiciaires. Sinon, s'interroge le journal, pourquoi ne pas avoir engagé cette réforme plus tôt, si son ambition réelle était de renforcer la démocratie béninoise ? Pourquoi intervient-elle précisément à la fin du mandat du président en exercice ? Ce timing, loin d'être anodin, nourrit l'hypothèse d'une manœuvre savamment orchestrée ». Le Pays cite notamment l'allongement des mandats électifs à sept ans, qui constitue, d'après lui, « un point majeur de crispation. Car, il réduit davantage encore l'espace du pluralisme politique. (…) Ce passage du quinquennat au septennat réduira, en effet, la fréquence des élections, verrouillera durablement le jeu politique et condamnera une opposition déjà fragmentée, à une longue traversée du désert… » Illusion démocratique ? Autre point qui pose problème, selon Ledjely en Guinée : la création d'un Sénat : « car un élément interpelle, pointe le site guinéen : aucun futur sénateur ne sera élu. Tous seront membres de droit ou désignés. Et détail ultime : parmi les membres de droit figureront… les anciens présidents. Évidemment, diront certains. Beaucoup y voient un point de chute soigneusement aménagé par le président Patrice Talon lui-même. » Globalement, relève encore Ledjely, sous la présidence Talon, « le Bénin avait semblé incarner l'un des rares îlots d'espérance. En particulier, la confirmation par Patrice Talon qu'il ne briguerait pas un troisième mandat avait séduit. Au point que, dans le sillage des lauriers qui lui étaient tressés, on avait soudain oublié le sort des détenus politiques, dont Reckya Madougou (emprisonnée depuis plus de quatre ans). Mais peut-être avons-nous célébré trop tôt le chef de l'État béninois, soupire Ledjely. Entre l'absence de fait de l'opposition à la prochaine présidentielle et les récentes modifications constitutionnelles aux objectifs suspects, la victoire démocratique que l'on croyait entrevoir paraît bien illusoire ». À lire aussiBénin: l'adoption d'une nouvelle réforme constitutionnelle suscite de vifs débats dans la classe politique

Revue de presse Afrique
À la Une: le Bénin révise sa constitution

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 4:45


« Au terme d'une longue nuit, relève Afrik.com, l'Assemblée nationale béninoise a adopté, samedi matin à l'aube, une vaste révision constitutionnelle. Le texte instaure un Sénat et allonge les mandats du président de la République, des députés et des maires de 5 à 7 ans. » Précision importante, pointe La Nation à Cotonou, « cette réforme au niveau des mandats électifs prend effet à partir des élections générales de l'année prochaine. Ce qui veut dire que la (nouvelle) loi constitutionnelle ne concerne pas le mandat actuel du président de la République, Patrice Talon qui passera le témoin en mai prochain ». Pourquoi cette révision ? D'après la mouvance présidentielle, relève le site d'information Banouto, « ce nouveau texte vise à renforcer la stabilité, la transparence et l'efficacité des institutions et la vitalité démocratique du Bénin ». L'opposition bâillonnée ? Alors, « la question pressante, estime pour sa part La Nouvelle Tribune, toujours à Cotonou, est de savoir si le Bénin, fort de ce nouveau cadre constitutionnel, peut désormais engager une trajectoire de développement plus sereine et plus rapide. Les arguments avancés en faveur de cette modification visent principalement à éliminer ce qui est perçu comme des freins structurels au progrès national, pointe le quotidien béninois. La classe dirigeante pointe souvent du doigt les cycles électoraux polarisés et les crises politiques récurrentes, les décrivant comme des sources de distraction et d'instabilité, empêchant la pleine concentration sur les politiques de développement économique et social. L'un des objectifs affichés est d'instaurer une sorte de trêve politique en apaisant le jeu électoral et institutionnel. (…) Cependant, la lecture de la classe politique et de la Société civile est loin d'être unanime, tempère La Nouvelle Tribune. Pour certains observateurs, (au contraire) l'adoption de cette loi modificative est un processus qui pourrait exacerber les fractures politiques et conduire à la non-participation d'une partie importante de l'opposition aux différents rendez-vous électoraux. » Déjà, note Aujourd'hui, le principal parti d'opposition, les Démocrates, a été écarté des élections locales et de l'élection présidentielle : « à l'évidence, affirme le site burkinabé, le président Patrice Talon, qui ne briguera (donc) pas un 3e mandat, est en train de modeler le paysage politique et institutionnel avant son départ du palais de la Marina. Il a ouvert un large boulevard pour son dauphin, Romuald Wadagni, lequel sans un challenger de poids, en l'occurrence celui des Démocrates, écarté pour cause de parrainage, est à 50 % déjà vainqueur de la présidentielle d'avril prochain. » Une « manœuvre savamment orchestrée » ? Le Pays, toujours au Burkina, revient sur cette réforme constitutionnelle : certes, elle « est présentée par ses promoteurs comme un instrument de paix, une architecture d'unité nationale et un rempart contre l'instabilité. Pourtant, derrière cet argumentaire officiel particulièrement séduisant, pourrait se dissimuler une opération politique minutieusement calibrée, affirme le quotidien ouagalais, destinée à consolider le système mis en place par l'actuel président Patrice Talon, à neutraliser une opposition déjà affaiblie et à protéger l'élite dirigeante contre d'éventuelles poursuites judiciaires. Sinon, s'interroge le journal, pourquoi ne pas avoir engagé cette réforme plus tôt, si son ambition réelle était de renforcer la démocratie béninoise ? Pourquoi intervient-elle précisément à la fin du mandat du président en exercice ? Ce timing, loin d'être anodin, nourrit l'hypothèse d'une manœuvre savamment orchestrée ». Le Pays cite notamment l'allongement des mandats électifs à sept ans, qui constitue, d'après lui, « un point majeur de crispation. Car, il réduit davantage encore l'espace du pluralisme politique. (…) Ce passage du quinquennat au septennat réduira, en effet, la fréquence des élections, verrouillera durablement le jeu politique et condamnera une opposition déjà fragmentée, à une longue traversée du désert… » Illusion démocratique ? Autre point qui pose problème, selon Ledjely en Guinée : la création d'un Sénat : « car un élément interpelle, pointe le site guinéen : aucun futur sénateur ne sera élu. Tous seront membres de droit ou désignés. Et détail ultime : parmi les membres de droit figureront… les anciens présidents. Évidemment, diront certains. Beaucoup y voient un point de chute soigneusement aménagé par le président Patrice Talon lui-même. » Globalement, relève encore Ledjely, sous la présidence Talon, « le Bénin avait semblé incarner l'un des rares îlots d'espérance. En particulier, la confirmation par Patrice Talon qu'il ne briguerait pas un troisième mandat avait séduit. Au point que, dans le sillage des lauriers qui lui étaient tressés, on avait soudain oublié le sort des détenus politiques, dont Reckya Madougou (emprisonnée depuis plus de quatre ans). Mais peut-être avons-nous célébré trop tôt le chef de l'État béninois, soupire Ledjely. Entre l'absence de fait de l'opposition à la prochaine présidentielle et les récentes modifications constitutionnelles aux objectifs suspects, la victoire démocratique que l'on croyait entrevoir paraît bien illusoire ». À lire aussiBénin: l'adoption d'une nouvelle réforme constitutionnelle suscite de vifs débats dans la classe politique

Le Nouvel Esprit Public
Consommateur ou citoyen : les contradictions françaises / COP 30

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 61:20


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 14 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CONSOMMATEUR OU CITOYEN : LES CONTRADICTIONS FRANÇAISESDominant dans le commerce en ligne, Shein, le géant chinois de la mode jetable, s'est installé le 5 novembre pour la première fois en boutique, au BHV parisien puis progressivement dans des Galeries Lafayette franchisées à Dijon, Reims, Grenoble, Angers et Limoges. Une arrivée qui provoque un tollé dans le secteur. Spécialiste de la mode éphémère – une production caractérisée par le renouvellement ultra-rapide des collections à des prix cassés dépourvus de normes sociales et environnementales –, le géant chinois a été condamnée à 40 millions d'euros d'amendes par la Direction générale de la répression des fraudes pour « pratiques commerciales trompeuses », puis à 150 millions d'euros par la Commission nationale de l'informatique et des libertés pour « non-respect du consentement des internautes » dans la collecte de leurs données. Adoptée par l'Assemblée nationale puis amendée par le Sénat en juin 2025, la proposition de loi visant à « démoder la mode éphémère grâce à un système de bonus-malus » revient au cœur des débats.Le chiffre d'affaires de Shein en France (son deuxième marché dans le monde après les États-Unis) était de plus de 1,5 milliard d'euros en 2024. Cette année-là, l'Institut français de la mode a estimé que 35 % des Français ont acheté au moins un produit sur la plateforme Shein, qui compte plus de 12 millions d'utilisateurs par mois. Ces derniers savent pertinemment ce qui est reproché à l'entreprise, ses pratiques contestées et l'impact que son essor à sur le prêt-à-porter français. N'importe. Le caractère compulsif de l'achat est plus fort. Dans un pays pourtant obsédé par la reconquête de sa « souveraineté », qui tient la mondialisation en horreur, le consommateur agit souvent à rebours des convictions du citoyen.Ainsi, si selon un sondage Ipsos BVA, les Français placent sans surprise le prix en tête des critères guidant leurs achats (62 %), devant la qualité (58 %) et la durabilité (32 %) des vêtements, toutefois, 49 % des sondés expriment une « mauvaise opinion » à l'égard de la qualité des produits. Et 52 % désapprouvent l'installation d'une boutique Shein au BHV. Une nette majorité approuverait des mesures « pour freiner le développement des géants chinois de l'habillement en France et en Europe ». En Dr Jekyll et Mr Hyde, nous exigeons du gouvernement ou de l'Union européenne qu'ils régulent les opérateurs dont les pratiques mettent à mal notre économie, nos emplois et la planète, quand nous achetons leurs produits et leurs services. Et ce n'est pas vrai que dans le secteur de la mode ou du textile… Philippe Moati, cofondateur de l'Observatoire société et consommation prévient : « En cas de désaccord entre le citoyen et le consommateur, c'est le consommateur qui gagne quand l'offre est très attractive.COP 30L'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle, figurant dans l'Accord de Paris il y a 10 ans, est « sur le point de s'effondrer », a averti fin septembre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Du 10 au 21 novembre, la COP 30 est réunie à Belém, au Brésil aux portes de l'Amazonie. Le président brésilien Lula entend faire des forêts l'un de ses sujets principaux de cette conférence. Il souhaite y formaliser un fonds d'un nouveau genre, une « Facilité de financement des forêts tropicales » visant 125 milliards de dollars de collecte, placés sur les marchés financiers. Les bénéfices rémunéreront des pays à forte couverture forestière et à faible déforestation pour leurs efforts de conservation. Cinq autres États disposant de forêts tropicales ont rejoint le projet (Colombie, Ghana, République démocratique du Congo, Indonésie et Malaisie). Par ailleurs, cinq pays développés qui pourraient investir à l'avenir travaillent à organiser l'initiative (Allemagne, Émirats arabes unis, France, Norvège et Royaume-Uni).Depuis 2015, chaque pays doit soumettre tous les cinq ans une feuille de route climatique détaillant sa stratégie de réduction des émissions de gaz à effet de serre, afin de mesurer leurs efforts pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. Mais alors que ces « contributions déterminées au niveau national » devaient être rendues avant la fin du mois de septembre, dans un contexte géopolitique tourmenté, où les guerres, les conflits commerciaux et la pression du président américain climatosceptique qui s'est retiré de l'Accord de Paris ont relégué le climat au second plan. Ainsi, la majorité des pays n'avaient pas rendu leur copie à la veille de la conférence, tandis que les États-Unis n'enverront pas de représentants de haut niveau à Belém.En 2019, la Commission européenne lançait le pacte vert pour l'Europe, avec un objectif ambitieux : faire de l'Europe le premier continent climatiquement neutre d'ici à 2050. Mais sous la pression de lobbies agricoles et depuis le virage à droite et à l'extrême droite du Parlement après les élections de 2024, la copie initiale est peu à peu revue à la baisse : abandon de la loi sur les pesticides, assouplissement de la politique agricole commune, remise en question de l'interdiction des voitures thermiques d'ici à 2035, de la finance durable et de la responsabilité des entreprises… En France, après avoir clamé « Make our planet great again (« Rendez sa grandeur à la planète »), Emmanuel Macron se montre moins écologiste au fil de ses deux mandats. Son gouvernement n'a pas tenu sa promesse de sortie du glyphosate en trois ans, a édulcoré la loi zéro artificialisation nette et délivre encore des permis d'hydrocarbures. Il entend compenser son peu d'allant dans le développement des énergies renouvelables par la relance du nucléaire. Cependant, selon un sondage Ipsos, 89% des Français disent leur inquiétude face à l'aggravation de la crise climatique.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Fr. Paul Adrien, L'Amour Vaincra !
Évangile du jour & commentaire • Ils sont quand même très forts, ces Pères de l'Eglise !

Fr. Paul Adrien, L'Amour Vaincra !

Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 2:44


COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Luc 18, 1-8 En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples une parabole sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager : « Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait pas les hommes. Dans cette même ville, il y avait une veuve qui venait lui demander : “Rends-moi justice contre mon adversaire.” Longtemps il refusa ; puis il se dit : “Même si je ne crains pas Dieu et ne respecte personne, comme cette veuve commence à m'ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu'elle ne vienne plus sans cesse m'assommer.” » Le Seigneur ajouta : « Écoutez bien ce que dit ce juge dépourvu de justice ! Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Les fait-il attendre ? Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. Cependant, le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »

Sport et nutrition naturelle — Bien manger pour mieux Bouger
Mes 5 principes et recettes pour un petit déjeuner réussi et toutes mes erreurs passées (Ep 159)

Sport et nutrition naturelle — Bien manger pour mieux Bouger

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 53:52


Qu'est-ce que je mange pour le petit déjeuner ? Et qu'est-ce que je conseille. C'est une question qui m'a souvent été posée car c'est un repas un peu galère. Et par le passé j'ai tout essayé avant de comprendre les apports dont j'avais besoin. Alors j'ai décidé de vous faire un top 5 de mes petits déjeuners préférés. Et je vous donne aussi un contre exemple pour un cas spécifique.Liens complémentairesLe programme Petit-Déjeuner Express (-10€) : https://sn.soulier.xyz/dejsn10Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolesnNouveauté : La Stratégie FlowFit pour bouger et plus et prendre du muscle (tarif de lancement spécial) : https://go.soulier.xyz/flowfitsnTous les liens complémentaires et anciens épisodes : https://sn.soulier.xyz/159Rejoindre le Hamsters Running Club : https://sn.soulier.xyz/hrcCet épisode est sponsorisé par Koro : https://go.soulier.xyz/koro. Profitez d'une réduction avec le code HAMSTERS5On peu dire que dans ma vie j'ai essayé toutes les formes de petit déjeuner : croissant, pain au chocolat, viennoiseries, chocolatine, pain blanc, pain de mie, brioche, Nutella, céréales et granola du commerce…. Et j'ai aussi essayé de vivre sans. Soit par manque de temps soit pour essayer le jeûne intermittent. Et je me suis rendu compte que dans tous ces cas, ça n'allait pas derrière. Ça m'embrumait le cerveau. Ou alors ça me provoquait des fringales, des envies de sucre et des grignotages. J'avais aussi très faim à midi ce qui avait des effets en cascade. Cela fait partie des raisons qui expliquent que je me sois retrouvé à plus de 105 kilos avant d'arriver à la quarantaine. Ma perte de poids c'est aussi le changement de mon petit déjeuner. Cependant j'ai essayé beaucoup de choses avant d'arriver aux principes et recettes que je vous présente dans cet épisode.Dans cet épisode tout ce que j'ai essayépourquoi je recommande de prendre un petit déjeunerune statistique incroyable sur l'obésité et le petit déjeunerce que j'intègre et ce que j'évite pour un petit déjeuner réussimes 5 recettes préférées et leurs variantesle principe du mix and matchpourquoi je mange totalement différemment les jours de coursecomment je fais les jours où je cours à jeunNouveau : Le protocole Perte de Gras 2025 ❤️ Me suivre Tous les liens sont ici

Revue de presse internationale
À la Une: l'affaire Epstein met en difficulté Donald Trump avec les républicains

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 4:08


« Lorsque les États-Unis se sont réveillés de la plus longue paralysie gouvernementale de leur histoire, Jeffrey Epstein était toujours là », ironise El Pais. « Pendant les 43 jours où le robinet de l'argent public est resté partiellement fermé, le souvenir des terribles crimes du millionnaire pédophile – qui, depuis sa mort en 2019, hante Donald Trump – est passé au second plan face à d'autres questions urgentes ». Mais voilà, de nouveaux rebondissements sont intervenus, cette semaine, avec la publication, par les démocrates de la commission de surveillance de la Chambre des représentants, de mails dans lesquels Jeffrey Epstein affirme que Donald Trump « était au courant pour les filles » et qu'il avait passé « des heures » avec l'une des victimes du financier. Le président dénonce des « supercheries ». Mais l'affaire ne s'arrête pas là puisque, comme l'explique El Pais, une pétition parlementaire va contraindre le Congrès à voter et à exiger de la Maison-Blanche la publication des dossiers Epstein par le ministère de la Justice. Malgré les pressions exercées sur certains, « quatre républicains se sont joints à leurs rivaux, précise le quotidien espagnol, pour rassembler les 218 signatures nécessaires pour exiger la publication de ce dossier ». Vote attendu du Congrès sur la publication de dossiers Un démocrate de Californie estime, selon The Guardian, « qu'entre 40 et 50 républicains pourraient voter en faveur de la publication des documents, s'alliant ainsi aux démocrates qui voteront pour ». « Le texte, poursuit The Guardian, devrait ensuite être examiné par le Sénat, où son adoption est peu probable. » Et dans tous les cas, conclue le quotidien britannique, « Donald Trump pourrait opposer son veto à la version finale du projet de loi, même s'il était adopté par les deux chambres ». « Cependant, note The Guardian, la simple perspective d'un vote favorable de la Chambre des représentants, contrôlée par les républicains, pourrait engendrer de sérieux problèmes politiques pour Trump, car elle pourrait alimenter les protestations de sa base politique en faveur de la levée du secret sur ces documents et saper leur soutien envers lui. » « Epstein est le seul sujet qui divise constamment Trump et sa base électorale » : c'est d'ailleurs ce que titre le Washington Post. « Les partisans du slogan "Make America Great Again" n'ont eu aucun mal à fermer les yeux sur le mépris de Donald Trump pour les normes et les principes éthiques, souligne le Washington Post, mais la gestion par son administration des informations relatives aux crimes odieux du délinquant sexuel condamné Jeffrey Epstein est différente. » « C'est tout ce que la Maison Blanche redoutait : que l'affaire Epstein lui revienne en pleine figure », confirme le journal français L'Opinion, qui rappelle qu'en juillet, cette affaire avait déjà failli faire imploser le mouvement MAGA. La procureure générale, Pam Bondi, avait affirmé qu'il n'y avait pas de raison de dévoiler le contenu de l'enquête, après avoir promis de le faire quelques mois plus tôt. La fameuse liste des clients haut placés de l'ancien financier, qui auraient participé à ses crimes, « n'existe pas », avait-elle affirmé. « Plusieurs soutiens trumpistes s'étaient alors sentis trompés par leur chef, poursuit L'Opinion, apprenant par le biais des médias de nouveaux détails sur son amitié avec Jeffrey Epstein. » Le président américain traverse « une mauvaise passe » « En quelques jours seulement, note El Pais, le parti de Trump a subi une défaite cuisante aux urnes, la Cour suprême a exprimé des doutes quant à la constitutionnalité de ses tarifs douaniers, et une guerre intestine a éclaté au sein du mouvement MAGA concernant le niveau d'extrémisme (antisémite) acceptable en son sein, suite à une interview controversée entre Tucker Carlson et le négationniste Nick Fuentes. » Le Washington Post évoque aussi des critiques après une interview de Donald Trump, en début de semaine, faisant comprendre que les États-Unis avaient besoin de travailleurs étrangers parce qu'ils ne disposent pas d'assez de « personnes talentueuses ». Des dissensions qui « ont mis en lumière, analyse le Washington Post, les limites de l'autorité de Trump sur le programme de "l'Amérique d'abord" qu'il a défendu durant sa campagne, et qui ont suscité des inquiétudes au sein du Parti républicain quant à l'enthousiasme des électeurs à l'approche des élections de mi-mandat de 2026. » « En privé, tempère Politico, les conseillers de la Maison-Blanche réfutent l'idée que la situation actuelle soit particulièrement défavorable ou qu'ils aient essuyé une série de revers ». Mais la Maison-Blanche est, titre le média américain, « sur la défensive ». À lire aussiÉtats-Unis: la Maison Blanche accuse les démocrates de fabriquer «un faux récit» sur Trump et Epstein

L'Évangile du jour
Évangile du 15 novembre : « Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? » (Lc 18, 1-8)

L'Évangile du jour

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 1:12


Voici l'Évangile du samedi 15 novembre 2025 : « Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? » (Lc 18, 1-8) En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples une parabole sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager : « Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait pas les hommes. Dans cette même ville, il y avait une veuve qui venait lui demander : “Rends-moi justice contre mon adversaire.” Longtemps il refusa ; puis il se dit : “Même si je ne crains pas Dieu et ne respecte personne, comme cette veuve commence à m'ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu'elle ne vienne plus sans cesse m'assommer.” » Le Seigneur ajouta : « Écoutez bien ce que dit ce juge dépourvu de justice ! Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Les fait-il attendre ? Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. Cependant, le Fils de l'homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »   Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu

Choses à Savoir SCIENCES
Lire ou écouter ? Comment apprend-on le mieux ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 2:35


Lire ou écouter : quelle méthode permet d'apprendre le mieux ? C'est une question ancienne, mais la science y apporte aujourd'hui des réponses précises. Plusieurs études en psychologie cognitive et neurosciences ont comparé les performances d'apprentissage selon que l'on lise un texte ou qu'on l'écoute sous forme audio.Une méta-analyse publiée en 2022, regroupant 46 études et près de 5 000 participants, montre que la différence moyenne entre lecture et écoute est faible. En termes de compréhension générale, les deux méthodes donnent des résultats similaires. Autrement dit, écouter un livre audio ou lire le même texte permet de retenir globalement la même quantité d'informations. Cependant, les chercheurs notent un léger avantage pour la lecture quand il s'agit de comprendre des détails complexes ou d'établir des liens logiques entre plusieurs idées. Lire permet en effet de contrôler son rythme, de revenir en arrière, de relire une phrase difficile : c'est un apprentissage plus actif.Les neurosciences confirment cette proximité : les zones cérébrales activées pendant la lecture et l'écoute d'un texte se recouvrent largement. Les deux sollicitent le cortex temporal et frontal, responsables du traitement du langage et de la compréhension. En revanche, la lecture implique aussi les régions visuelles, tandis que l'écoute sollicite davantage les aires auditives et émotionnelles. Autrement dit, le cerveau mobilise des chemins différents pour arriver au même but : comprendre.Mais l'efficacité dépend du contexte. Pour apprendre un contenu dense, technique ou nécessitant une mémorisation précise, la lecture reste légèrement supérieure : elle favorise la concentration et la consolidation en mémoire à long terme. En revanche, pour des contenus narratifs, motivationnels ou destinés à une écoute en mouvement (marche, transport, sport), l'audio est plus pratique et presque aussi performant.Une autre variable essentielle est l'attention. L'écoute est plus vulnérable aux distractions : un bruit extérieur, une notification ou un regard ailleurs suffit à rompre le fil. Lire, en revanche, impose un effort cognitif qui renforce la concentration — à condition d'être dans un environnement calme.Enfin, certaines études montrent qu'une combinaison des deux, lire et écouter simultanément, peut légèrement améliorer la rétention, notamment pour les apprenants visuels et auditifs.En résumé : lire et écouter activent des mécanismes très proches. La lecture garde un petit avantage pour la profondeur et la précision, tandis que l'écoute favorise la flexibilité et l'émotion. Le meilleur choix dépend donc moins du support que de l'objectif : apprendre en profondeur ou apprendre partout. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Bon Match!
Avant-match | Les Canadiens devant un autre test face aux Stars, une équipe «extrêmement bien nantie»

Bon Match!

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 3:47


Les Canadiens (10-4-2, 22 points) reçoivent les Stars de Dallas (10-4-3, 23 points) jeudi soir: une équipe qui n'a connu qu'une seule défaite à ses dix dernières parties. Le match représente un nouveau test pour le CH, qui a été «fermé» par les Kings de Los Angeles mardi soir, après un mauvais début de période. Malgré cette contre-performance, Montréal demeure en tête de la division Atlantique. Grosse pointure, bien nantie offensivement et expérimentée, les Stars ont une excellente séquence et joue du hockey très inspiré en avantage numérique avec 7 buts en 20 tentatives lors de leurs 5 derniers matchs, ce qui explique leurs récents succès. Le défenseur Miro Heiskanen revendique une fiche de 1 but et 10 passes au cours des 5 dernières rencontres de son équipe. Il est donc la pierre angulaire de cette attaque. Les trop longues présences sur la patinoire chez les Canadiens sont à proscrire face à une équipe aussi solide que les Stars. Cependant, une statistique milite en faveur du CH: sa fiche à 5 contre 5. Le match Canadien-Stars est à 19 h jeudi soir, et l'émission d'avant-match débute à 18 h 30.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Quels sont les produits exclus du Nutri-score obligatoire ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 2:10


L'Assemblée nationale a franchi une nouvelle étape dans la transparence alimentaire. Le vendredi 7 novembre 2025, les députés ont voté en faveur d'une mesure rendant obligatoire l'affichage du Nutri-Score sur la quasi-totalité des produits alimentaires. L'objectif est simple : permettre aux consommateurs de savoir ce qu'ils mangent, et de comparer plus facilement la qualité nutritionnelle des aliments qu'ils achètent.Le Nutri-Score, ce logo coloré allant de la lettre A (meilleur équilibre nutritionnel) à E (moins favorable), était jusqu'ici facultatif. Désormais, il devra apparaître sur la majorité des emballages. C'est la députée écologiste Sabrina Sebaihi qui a défendu cette mesure, estimant que “les grandes marques comme Coca-Cola ou Ferrero continuent d'échapper à la règle, alors que leurs produits sont clairement néfastes pour la santé”.Cependant, le texte ne s'appliquera pas à tous les produits. Un sous-amendement porté par le député Renaissance Jean-François Rousset prévoit d'exclure de cette obligation les aliments bénéficiant d'un signe de qualité officiel, comme les AOP (Appellation d'Origine Protégée), les AOC ou les IGP. Ces produits du terroir, considérés comme emblématiques du patrimoine gastronomique français, ne seront donc pas comparés aux aliments ultra-transformés. “On ne peut pas mettre sur le même plan un fromage fermier et une barre chocolatée industrielle”, a résumé le député.Cette exception a été largement saluée dans l'hémicycle, où plusieurs élus ont rappelé l'importance de préserver les savoir-faire locaux. Mais la mesure n'a pas fait l'unanimité. La ministre de la Santé, Stéphanie Rist, a mis en garde contre un possible conflit avec le droit européen, qui pourrait sanctionner la France pour avoir rendu le Nutri-Score obligatoire sans accord communautaire.Certains députés, notamment du camp Les Républicains, ont également souligné la difficulté technique et financière d'une telle mise en œuvre pour les entreprises, évoquant un “casse-tête logistique”.Cette décision illustre un débat plus large : comment concilier santé publique et défense du patrimoine gastronomique ? Les écologistes et les socialistes voient dans cette réforme un pas en avant vers une alimentation plus transparente. D'autres y voient une contrainte supplémentaire pour les industriels et les artisans.En rendant le Nutri-Score quasi universel, la France envoie toutefois un message fort : l'information du consommateur devient une priorité nationale, mais pas au prix d'effacer la richesse de ses terroirs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

MorningBull
Dollar US : cap sur la prochaine tendance de fond & stratégies correspondantes | Fast & Forex

MorningBull

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 25:47


Bien que le dollar américain reste de loin la devise la plus faible sur le marché Forex en 2025, il a rebondi depuis début septembre et pourrait confirmer un retournement haussier à moyen terme s'il franchit une résistance majeure. Cependant, le signal n'a pas encore été donné et les fondamentaux ne sont pas en place. Examinons quelle pourrait être la prochaine tendance sous-jacente du dollar américain d'un point de vue technique et fondamental.

PolySécure Podcast
PME - Les formulaires - Parce que... c'est l'épisode 0x661!

PolySécure Podcast

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 20:13


Parce que… c'est l'épisode 0x661! Shameless plug 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 14 au 17 avril 2026 - Botconf 2026 28 et 29 avril 2026 - Cybereco Cyberconférence 2026 9 au 17 mai 2026 - NorthSec 2026 3 au 5 juin 2025 - SSTIC 2026 Description Dans cet épisode spécial consacré aux petites et moyennes entreprises, Cyndie Feltz, Nicholas Milot et Dominique Derrier abordent l'un des sujets les plus redoutés par les entrepreneurs : les formulaires de sécurité informatique. Ces documents, souvent exigés par les grandes entreprises ou les assureurs pour établir des relations commerciales, représentent un véritable casse-tête pour les PME qui ne possèdent pas de certifications reconnues. Les invités partagent leur expérience et offrent des conseils pratiques pour naviguer dans cet univers complexe. Un cauchemar universel Dès le début de la conversation, le ton est donné avec humour mais réalisme : même pour des experts en sécurité informatique, la vue d'un de ces formulaires donne envie de changer de métier. Les participants tiennent à rassurer les entrepreneurs en leur confirmant qu'il est tout à fait normal de trouver ces documents épuisants et frustrants. La complexité de ces formulaires ne reflète pas l'incompétence de ceux qui doivent les remplir, mais plutôt un problème systémique dans la manière dont ils sont conçus. Le principal défi réside dans le fait que ces formulaires ne se ressemblent jamais et ne sont basés sur aucune référence standardisée. Chaque client ou assureur développe son propre questionnaire, ce qui oblige les PME à tout recommencer à zéro à chaque fois, sans pouvoir réutiliser le travail effectué précédemment. Deux grandes catégories de formulaires Les experts identifient deux grandes familles de questionnaires. Premièrement, il y a les formulaires orientés vers la vente, que les entreprises doivent remplir pour répondre aux exigences de sécurité de leurs clients potentiels. Dans ce contexte, la pression commerciale est forte et il devient tentant de répondre favorablement à toutes les questions pour ne pas perdre un contrat. Deuxièmement, il existe les formulaires d'assurance cyber, qui présentent des enjeux différents et encore plus critiques, car les réponses peuvent avoir des conséquences directes sur la couverture en cas d'incident. Des critères parfois absurdes L'un des aspects les plus frustrants de ces formulaires est que certains critères sont tout simplement irréalistes ou dénués de sens. Les invités partagent l'exemple mémorable d'un appel d'offres gouvernemental qui exigeait un outil de scan capable de détecter les vulnérabilités futures. Ce critère éliminatoire était techniquement impossible à satisfaire, démontrant que les personnes qui rédigent ces formulaires ne sont pas toujours des experts techniques. Un autre problème majeur est le manque d'adaptation aux différentes tailles d'entreprise. Les mêmes formulaires sont souvent envoyés à des multinationales et à des compagnies de cinq personnes, avec des questions comme “Avez-vous un centre d'opérations de sécurité ?” Une PME de cinq employés ne devrait logiquement pas avoir besoin d'un tel centre, mais si la réponse négative est éliminatoire, cela crée une situation impossible. La tentation et ses dangers Face à ces formulaires complexes et parfois irréalistes, la tentation de mentir ou d'embellir la réalité est forte, particulièrement dans un contexte de vente où refuser de répondre positivement peut signifier perdre un contrat. Les invités admettent honnêtement que personne dans l'industrie ne peut prétendre n'avoir jamais répondu “oui, mais…” à une exigence qu'ils ne remplissaient pas exactement. Cependant, les experts insistent sur une distinction cruciale entre les formulaires de vente et ceux d'assurance. Pour les formulaires de vente, il peut être acceptable de répondre positivement en s'engageant à mettre en place les mesures requises après avoir signé le contrat. En revanche, pour les formulaires d'assurance, mentir est extrêmement dangereux. L'exemple frappant d'une ville en Ontario dont l'assureur a refusé de payer suite à un incident parce que l'authentification multifacteur n'était pas déployée comme déclaré illustre les conséquences désastreuses de fausses déclarations. L'enjeu financier des incidents Les participants rappellent qu'un incident de sécurité peut coûter cent mille dollars par jour, ce qui représente une somme catastrophique pour une moyenne entreprise et peut même mener à la fermeture pour une petite structure. Dans ce contexte, avoir une assurance cyber est crucial, mais elle ne sera d'aucune utilité si l'assureur peut prouver que les déclarations étaient mensongères. Les experts comparent la situation à l'assurance habitation : personne ne fait de feu de camp dans son salon en se disant que l'assurance couvrira les dégâts. De la même manière, l'assurance cyber ne devrait pas servir d'excuse pour négliger les mesures de sécurité de base. Des réponses de bonne foi mais erronées Un autre problème soulevé est celui des personnes qui répondent aux formulaires de bonne foi mais qui donnent des informations inexactes par manque de connaissance technique. Quelqu'un peut sincèrement croire que l'authentification multifacteur est correctement déployée dans son entreprise alors que la configuration n'est pas complète ou que certains produits n'ont jamais été testés. De plus, la situation peut évoluer entre le moment où le formulaire est rempli et la survenue d'un incident, par exemple si une licence n'a pas été renouvelée. Solutions et recommandations Face à ces défis, les experts proposent plusieurs pistes de solution. La première est de poser des questions lorsque c'est possible, particulièrement quand une relation existe avec le client potentiel. En cherchant à comprendre le besoin réel derrière la question, on découvre parfois que des solutions moins coûteuses ou différentes de ce qui était initialement imaginé peuvent satisfaire l'exigence. Se faire accompagner par un expert est également fortement recommandé. Un spécialiste peut aider à vulgariser le jargon technique, comprendre l'intention derrière chaque question et identifier si l'entreprise possède déjà des mesures équivalentes sous une forme différente. Par exemple, la question pourrait porter sur des protocoles spécifiques comme DKIM et SPF, mais l'intention réelle est de savoir si l'entreprise a mis en place une protection contre l'hameçonnage, ce qui peut être accompli par d'autres moyens comme la formation des employés ou des outils anti-spam. Pour les entreprises qui font face régulièrement à ces questionnaires, obtenir une certification de sécurité peut s'avérer rentable à long terme. Bien que coûteuse, une certification permet souvent de court-circuiter les longs formulaires ou d'obtenir une version simplifiée. En calculant le temps humain nécessaire pour répondre à de multiples questionnaires détaillés sur deux ou trois ans, l'investissement dans une certification peut se justifier financièrement. Les invités encouragent également les entrepreneurs à consulter leur réseau professionnel. D'autres PME ont certainement dû affronter les mêmes formulaires et peuvent partager leur expérience, leurs stratégies et leurs apprentissages. Un appel à l'amélioration En conclusion, les experts reconnaissent que malgré tous les problèmes identifiés, ces formulaires partent d'une bonne intention. Les grandes entreprises cherchent légitimement à se protéger en s'assurant que leurs fournisseurs ne représentent pas une porte d'entrée pour des cyberattaques. Le problème réside dans l'exécution et le manque de standardisation. Les participants encouragent les PME à également challenger leurs propres fournisseurs sur la sécurité, tout en évitant de créer des formulaires interminables qui ne seront même pas analysés en profondeur. L'appel final est à la compréhension mutuelle de l'intention derrière les questions, autant pour celui qui pose les questions que pour celui qui y répond, afin d'avancer ensemble vers un écosystème numérique plus sécuritaire. Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Dominique Derrier Cyndie Feltz Nicholas Milot Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm

Question de croire
Est-ce qu'il y a une limite au pardon?

Question de croire

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 27:13


Le pardon est à la base du christianisme. Cependant, ce pardon est difficile à accorder. Est-ce qu'il y a des choses impardonnables?   Dans cet épisode, Joan et Stéphane explorent la différence entre la saine vigilance et la possibilité de changement, et abordent les limites que nous nous imposons.   Site Internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250  Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj  Réforme: https://www.reforme.net/podcast/ Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada  Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission.  * Photo de Edwin Andrade, unsplash.com. Utilisée avec permission.     Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui explore la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, est-ce qu'il y a une limite au pardon? Bonne question et bonjour Stéphane! Bonjour Joan, bonjour aux gens qui nous s'écoutent!   Le pardon et Sodome et Gomorrhe    [Joan] Cette notion du pardon... Elle traverse un peu toute la Bible, elle culmine avec Jésus qui est un grand maître.   J'aime beaucoup une histoire biblique à ce sujet concernant la ville de Sodome et Gomorrhe. C'est vrai que l'on connaît un peu Sodome et Gomorrhe via des exégèses souvent biaisées qui disent que ce sont des villes où on pratiquait l'homosexualité.   Alors tout de suite, je fais mon standing point. On y pratique beaucoup de choses, mais surtout pas le consentement ni l'hospitalité.    C'est vraiment ça le cœur du propos, finalement, et aussi le cœur de la condamnation de Dieu qui se dit « je vais exterminer cette ville ».   Et puis Abraham négocie.    C'est rigolo parce que là, on est dans une histoire biblique, on dirait presque un midrash, une histoire un peu parallèle qui explique la Bible; mais non, c'est une histoire biblique. Et Abraham négocie avec Dieu. C'est à lire, comme passage c'est un peu croustillant. À mettre en scène avec des jeunes, c'est assez rigolo.   Finalement, Dieu demande qu'il y ait au moins 50 justes, 50 personnes qui suivent les voies du Seigneur, qui probablement pratiquent l'hospitalité et font gaffe aux questions de consentement, ou en tout cas à ce qui existait à l'époque en matière de consentement.    On ne sait pas trop ce que c'est, ce n'est pas tout à fait comparable à aujourd'hui, mais c'est un respect des règles, tout simplement, quelque chose qui n'est pas tout le temps de l'ordre de la domination et du pouvoir.   Finalement, ils arrivent ensemble à un chiffre qui est 10. C'est un chiffre symbolique parce que dans la tradition juive, il faut 10 hommes pour minian, pour faire la prière, donc pour faire éclore un petit peu quelque chose du royaume de Dieu dans notre quotidien.    C'est vrai que c'est un peu aussi ma compréhension du pardon, c'est-à-dire oui, je suis prêt à pardonner à cette ville, dit Dieu, mais à condition qu'il y ait un semblant de justesse et de justice et qu'il y ait des personnes pour l'incarner. Et moi, c'est un petit peu comme ça que j'aborde les questions de pardon.   Souvent on pose des questions. Il y a quelques jours, et c'est un petit peu à elle que je pense, j'ai une amie d'enfance qui sort d'une situation dans laquelle elle ne s'est pas sentie respectée, une situation sentimentale, amoureuse; elle me dit, qu'est-ce que tu penses du pardon dans ces cas-là, quand tu te n'es pas sentie respectée dans une relation?   Alors voilà, on a commencé une discussion et je lui dédie aussi un petit peu cet épisode de podcast.    Je me dis souvent que ce qui n'est pas tellement important, c'est que moi j'ai pardonné, bien que si ça fait du bien à l'autre, je veux bien me mettre en chemin.   L'important, c'est qu'après cette demande de pardon et le fait de poser les choses à plat, il y ait une vraie possibilité d'agir avec justesse. Pour moi, demander pardon à quelqu'un et puis ensuite recommencer cinq minutes après à faire n'importe quoi, il n'y a pas de sens à ce type de pardon.   La sincérité des hommes politiques    [Stéphane] C'est très intéressant, cette notion de pardon, parce qu'on a un peu l'impression qu'il faut absolument pardonner, peut-être par les enseignements qu'on a reçus, peut-être par notre jeunesse. Moi j'ai souvent vécu ça. Plusieurs personnes à l'écoute ont vécu ça ou ont vu ça.    Deux enfants se chamaillent, puis là, l'adulte intervient. Bon, vous allez arrêter tout ça et serrez-vous la main, puis c'est terminé. Un peu comme c'est tout. Voilà, vous vous êtes serré la main, c'est pardonné, on oublie, on passe à autre chose. Il y a comme quelque chose qu'on croit magique.    Ça me fait penser aussi à l'homme politique qui se fait prendre la main dans le sac, peu importe la situation. Il arrive sur la place publique, je m'excuse, bla bla bla, je suis désolé. Et on se pose la question, mais est-ce que c'est sincère?   Je pense qu'il y a une question de crédibilité reliée au pardon. Lorsque les personnes présentent leurs excuses, bon, c'est bien, je veux bien. Mais est-ce que, parce que tu t'es fait coincer, tu te sens mal et tu veux que je te pardonne, ou vraiment il y a une réflexion de dire « ce n'est peut-être pas la meilleure chose que j'ai faite et c'est vrai que je veux changer. »   Laisser une porte ouverte en cas de conflit   [Joan] Il me semble que, sauf cas de personne manipulatrice, on le sent, on l'entend, on le sait lorsqu'il y a une vraie réflexion.    Moi j'ai une politique personnelle sur le pardon avec mes amis. Je me dis, la vie est compliquée, mais elle est aussi longue. Et c'est vrai, on en a parlé dans l'épisode précédent, des fois on finit par se retrouver pour des raisons XY, de déménagement, de situation de vie.   Alors souvent j'essaye, quand on a un désaccord, (j'ai 45 ans, il y a eu des gens avec qui j'ai eu des désaccords, des gens proches), j'essaye de refuser qu'on se quitte avec des griefs. Je me dis, parlons-en, disons-nous les choses.    Il n'y a pas si longtemps que ça, j'ai quelqu'un que j'aimais beaucoup dans ma vie, qui avait une grande place. Et voilà, on arrive à un point où notre relation n'était plus la même. Il ne s'agit pas de mon mari. Je me suis dit : il faut boucler cette boucle et le dire franchement. Et se dire aussi, peut-être qu'un jour, on arrivera à dépasser certaines choses et à vivre encore d'autres choses.   Disons que, sauf cas extrême, la porte reste toujours ouverte. C'est un petit peu comme ça que je gère mon rapport au pardon. Mais après, il y a la question du cas extrême. Et donc, on arrive à cette question de la limite.   La nomination controversée de l'archevêché de Toulouse   [Stéphane] C'est très pertinent parce que, est-ce qu'il y a des choses qu'on ne peut pas pardonner? Ce que moi, je considère qu'on ne peut pas pardonner, ce n'est pas la même ligne normalement que la tienne, Joan, ni qu'une personne qui est à notre écoute. Qu'est-ce qu'on fait dans ces cas-là?   Oui, il y a des systèmes de loi lorsqu'il y a des crimes. Bon, c'est bien. Lorsqu'on parle de choses peut-être un peu plus émotives, lorsqu'on sent une trahison.    Un exemple, et c'est un peu cette histoire-là qui m'a inspiré, moi, pour qu'on traite ce sujet, c'est le cas de l'archevêché de Toulouse. Certaines des personnes à l'écoute connaissent les faits, mais juste au cas où.    L'archevêque Mgr Guy de Kerimel a nommé une personne, je ne dirai pas son nom, mais c'est public si vous voulez aller le chercher, dans une position quand même assez importante au niveau de l'archevêché. Le truc, c'est que cette personne-là, il y a environ 30 ans, a été reconnue coupable d'agressions sexuelles sur mineurs – ce ne sont pas juste des accusations comme ça –.   Ça a créé une réaction épidermique. On le comprend après toutes ces années de scandales et surtout de mensonges et de dissimulation pendant des décennies, voire des siècles. Ce n'est pas surprenant.    La question est : une fois que la personne a payé entre guillemets sa dette à la société, est-ce qu'elle peut être réintégrée ou non? C'est très difficile et je ne prends pas parti pour l'un ou pour l'autre, je constate juste de l'extérieur que c'est très difficile de tirer une ligne.   Peut-on pardonner à un pédo-criminel   [Joan] Écoute, je salue ta neutralité canadienne qui rejoint d'ailleurs la neutralité suisse. Moi, sur les questions de pédocriminalité, je refuse l'angélisme. En fait, je me suis beaucoup renseignée.    D'abord, je viens d'une famille de travailleurs et travailleuses sociaux, donc ce sont des sujets avec lesquels j'ai grandi. J'ai aussi vu malheureusement des petites victimes qui ont été hébergées par mes parents. Sans entrer dans les détails, je me figure tout à fait les ravages que ça fait sur les enfants et les jeunes, les actes de pédocriminalité.    Pour moi, un pédocriminel récidiviste, je ne parle pas nécessairement d'un gamin de 16 ans qui découvre sa sexualité et qui fait des choses criminelles avec quelqu'un de plus jeune de sa famille. Après, on lui explique les choses, il est suivi, il comprend la portée de son acte, peut-être qu'il a reproduit quelque chose qu'il a subi. Des fois, il peut y avoir des situations où, pédagogiquement, on peut reprendre les choses, on peut les encadrer, on peut les surveiller.    Je parle vraiment de quelqu'un d'adulte et de criminel récidiviste qui est prédateur, donc qui fait des plans. Je connais cette situation de très près, puisque ma deuxième fille a malheureusement été suivie par un prédateur comme ça, donc c'est tout un état d'esprit.    J'estime que quelqu'un comme ça, qui a développé maintenant ce type d'approche de prédation, de criminalité et de sexualité, n'a pas été pardonné de ses péchés, dans le sens où il a une pathologie. C'est pathologique là maintenant, c'est quelque chose dont il ne pourra plus se séparer, dans l'état des soins actuels.    Donc, comme il va toujours finir par faire du mal à une personne plus faible ou sans défense, parce que c'est maintenant son mode opératoire pour avoir du plaisir sexuel, appelons un chat un chat, ce n'est pas de pardon dont il a besoin en premier, mais justement, comme j'ai dit, de soins, et dans le cas, majoritaire pour l'instant, où les soins ne fonctionnent pas, d'un lieu de vie sécure pour lui et les autres.   Il y a vraiment du cas par cas à faire sur les questions de pardon. Pour moi, ça ne se joue pas vraiment du côté du pardon, mais du côté de la sortie du déni.    Les quelques rares cas de personnes qui ont ces paraphilies pédocriminelles, les quelques rares cas où ils arrivent à mettre en place un système qui les empêche d'aller vers cette criminalité-là, ce sont des personnes qui sont sorties du déni. Parce que sinon, dans la très grande majorité des cas, ce sont des personnes qui vivent dans le déni.    J'avais vu comme ça toute une interview d'un prêtre qui avait fait des choses répréhensibles envers des mineurs et qui disait : je n'ai compris que plus tard que les enfants ressentaient des émotions. Donc là, on est dans un déni complet quand même.   Une fois sortis du déni - ça c'est un travail thérapeutique - moi je ne suis pas capable de mener des gens comme ça dans le travail thérapeutique. Je peux aider, je peux être une des personnes qui accompagnent, mais je ne peux pas être celle qui mettra en place le protocole de soins.   Je pourrais pardonner au prédateur d'avoir été agressivement dans le déni, ça, je pourrais le lui pardonner. Mais je ne pourrais jamais lui pardonner ces actes-là, c'est impossible. Je n'y arrive tout simplement pas et je le reconnais, je le dépose à la croix d'ailleurs.   Je ne peux pas parce que j'ai vu trop d'enfants qui sont complètement détruits et qui trouveront, certains d'entre eux, par l'amour et le temps, la force de se construire. Mais pour les autres, on sait très bien comment ça se termine.    Je trouve souvent que c'est angélique et que c'est de la pensée magique que de me dire, et ça m'est arrivé beaucoup dans ma vie, oui, mais tu es pasteur, tu dois leur pardonner. Alors ça, les amis, non, ce n'est pas comme ça que ça se construit.   Et ce n'est même pas bon, en fait, pour leur psyché. Je dirais même que l'amour que je leur porte implique que je ne leur pardonne pas comme ça, tout simplement. Cela implique que je leur pose un cadre, que j'ai des exigences et que je les renvoie justement à leur responsabilité.   Es-tu un criminel pour le reste de sa vie?    [Stéphane] Je suis d'accord avec toi pour les questions où les personnes vont agresser d'autres personnes et que c'est difficile de réformer cette personne-là.    Ce qui m'a fait réfléchir récemment, c'est un TED Talk, les conférences TED, et c'était un Américain dans l'industrie du divertissement qui a commis un hold-up à l'âge de 16 ans. Il a purgé sa peine pendant neuf ans et demi en prison.    C'est un peu ça le deal, du moins en Amérique du Nord. Une fois qu'on a payé sa dette à la société, on devrait avoir le droit de recommencer, tant aussi longtemps qu'on ne recommence pas à faire des crimes. Ce que cette personne mentionne, c'est qu'il y a une série de lois, une série de restrictions qui vont limiter ses ajustements pour le reste de sa vie, même s'il ne commet aucun autre crime.    Et là, à certains moments, je me demande où doit-on tracer la ligne? Parce que tu as commis un crime, on va prendre pour acquis que tu es toujours un criminel… ou parce que tu as blessé un ami, je vais vouloir avoir ma revanche sur toi, je veux que tu souffres.    Où tire-t-on la ligne entre une saine vigilance (oui, aucun problème avec ça). Un pédo criminel, je pense que c'est une question de vigilance que de demander qu'il ou elle ne se retrouve pas avec des personnes vulnérables, avec des mineurs. Aucun problème avec ça.    Mais est-ce qu'une personne qui fait un hold-up, un vol, un délit de fuite, doit payer pour toute sa vie? Je ne sais pas. Ça me questionne beaucoup. Et qui décide où est cette ligne, au-delà des aspects légaux?   La conversion des cœurs   [Joan] Pour moi, ça m'amène finalement à deux problématiques. Un, celle de la métanoïa, de la conversion des cœurs, et la deuxième, celle de la dissimulation.    Je vais commencer par la dissimulation parce qu'en fait, les systèmes trop répressifs ne donnent pas une vraie seconde chance aux gens qui n'ont pas une pathologie vraiment comportementale, mais qui font des erreurs, notamment de jeunesse, tous ces systèmes encouragent à la dissimulation.   Ce n'est pas tant qu'on ne fait plus de hold-up ou de magouille, mais c'est qu'on apprend, et souvent d'ailleurs on apprend ça en prison, à dissimuler les choses ou à mieux les faire ou à mandater d'autres pour les faire.    C'est un petit peu l'autre écueil de ne pas être une société capable de donner de secondes chances, notamment pour des erreurs de jeunesse, on encourage d'autres vices, donc la dissimulation.    La deuxième chose à laquelle je pense, c'est qu'en tant que chrétienne, c'est vrai que je crois très fort à la conversion des cœurs, et ça j'y crois, mais alors complètement.   C'est pour ça que parfois les gens sont choqués, ils me disent « ah, mais comment, tu veux enfermer des pédocriminels? » et je leur dis « ben en fait, je pense que ces pédocriminels peuvent convertir leur cœur, mais qu'ils ont besoin de beaucoup, beaucoup de soutien pour ne pas céder à leur paraphilie criminelle ».   Ce n'est pas parce que tu as converti ton cœur qu'après tu arriveras à aligner toutes tes actions. Ce n'est pas du tout fou, ce n'est pas simple, sinon il n'y aurait pas eu Judas. Et Judas, c'est nous. C'est toujours pareil.    On revient à l'épisode d'avant sur nos ennemis. On aimerait pouvoir dire c'est l'autre le problème et puis non, si on est honnête, ça fait partie à la fois du problème et à la fois de la solution. Du coup, moi j'aimerais tellement qu'on ait des sociétés plus axées sur la deuxième chance, sur le rebond, sur refaire sa vie, sur soutenir les gens.   J'aime beaucoup, et c'est vrai que je suis très de gauche, mais j'aime beaucoup toutes ces initiatives sur le désendettement personnel. En droit local, en Alsace, il y a cette possibilité d'être désendetté personnellement. Il y a aussi des mesures comme ça en Suisse, et je trouve que ça, ce sont des mesures vertueuses.   Parce que du coup, comme tu disais avant, on permet à la personne de repartir et puis d'être de nouveau un bienfait pour la société. Ça poserait même encore une autre question. Ce n'est pas quelles sont les limites du pardon, mais quelles sont les chances du pardon, ou bien quelque chose comme ça. Qu'est-ce que le pardon permet de vertueux? Est-ce qu'on est prêt aussi à vraiment pardonner?    Être prêt à vraiment pardonner   [Stéphane] C'est facile de pardonner les petites choses. « Bon, tu m'as pris cinq dollars, tu me n'as jamais remboursé. » Bof! Mais lorsque, comment dire, ça fait mal, lorsque ça vient nous toucher dans nos valeurs, ça peut être matériel, ça peut être plein de choses. C'est là que ça devient difficile et c'est là que c'est demandant de pardonner.    Je pense à la fin de l'évangile selon Jean, chapitre 21. La célèbre scène où Jésus demande à Pierre, « Pierre, est-ce que tu m'aimes? » Pierre était très proche de Jésus. On peut l'interpréter comme on veut, mais il était vraiment dans le cercle intime. On a l'impression que c'était vraiment copain-copain. Il l'a trahi, il l'a trahi et abandonné au moment où il allait être mis à mort. Il l'a renié : je ne le connais pas, bla bla bla.    Et dans cette épilogue, probablement ajouté plus tard à l'évangile, on a Jésus qui trois fois lui demande « Est-ce que tu m'aimes, Pierre? » Je sais que c'est Jésus, et je ne suis pas Jésus. Mais moi, si quelqu'un m'avait trahi comme ça, ça me demanderait beaucoup pour dire « ok, je te pardonne, puis on repart sur de nouvelles bases ».    C'est très difficile le pardon, et je pense que c'est ça qui vient nous chercher, cette demande d'énergie, cette demande presque d'humilité, je dirais, dans le sens où je ne suis pas en contrôle de l'autre personne. Je ne peux pas dicter ce que cette personne peut dire, ce que cette personne peut faire. Pour faire écho à l'épisode précédent, je peux l'aimer, je peux essayer de rétablir des bases, mais je n'ai pas de contrôle là-dessus.    Donc le pardon, souvent j'exprime ça, c'est comme de laisser aller toute cette colère, toute cette toxicité qui est à l'intérieur de nous, qui nous gruge nous-mêmes. Parce que lorsqu'on est fâché contre l'autre personne, parfois l'autre personne ne le sait même pas. Et la seule personne dont la vie est empoisonnée, c'est nous-mêmes. Et de dire « je laisse aller ça », ça ne veut pas dire « j'oublie ».    J'adore les anglophones quand ils font la différence entre « to forgive » et « to forget ». Pardonner et oublier, les mots en prononciation en anglais sont proches, mais c'est quand même deux concepts différents. Je ne veux pas dire j'oublie nécessairement ce que tu as fait, mais je laisse aller. J'arrête de m'empoisonner la vie avec ça et j'avance, j'ouvre la porte. Si tu veux rentrer, merveilleux. Si tu ne veux jamais rentrer, ben tant pis, moi j'ai ouvert la porte.   Se pardonner soi-même   [Joan] J'ai une pensée qui rejoint vachement ce que tu es en train de développer là. En fait, ce que je trouve le plus difficile, c'est de se pardonner à soi-même.   Je me suis levée, j'étais bien, j'étais de bonne humeur. J'étais un peu à la bourre pour une vidéo, mais j'étais de bonne humeur. Et la vidéo, elle ne s'est pas bien passée parce que je ne m'étais pas branchée sur le bon Wi-Fi. Alors, j'ai cassé les pieds à tout le monde parce qu'on ne m'entendait pas toujours, on ne me voyait pas toujours.    Je m'agaçais vachement, et je m'en suis vachement voulu, en fait, de ne pas juste avoir vérifié mes paramètres de Wi-Fi entre le Wi-Fi du haut et le Wi-Fi du bas. Je n'étais peut-être pas bien réveillée, j'étais peut-être un petit peu trop détendue, je n'en sais rien. Je me suis débattue toute la matinée avec un sentiment de culpabilité, à me dire : ah, mais tu es bête. En plus, c'étaient des collègues plus jeunes que moi. Tu t'es un peu ridiculisée avec tes histoires de Wi-Fi du haut, Wi-Fi du bas.   Franchement j'ai eu beaucoup de mal à me pardonner une petite histoire d'une petite vidéo, d'une petite Wi-Fi. Je me dis, c'est qu'on ne nous enseigne pas beaucoup la bienveillance envers soi-même, comme si justement ce n'était pas trop possible de se pardonner.    Comme on n'a pas vraiment ça dans l'éducation, on a quelque chose à travailler là-dessus. Ça m'amène à des réflexions un peu plus graves, un peu plus tristes, avec un traumavertissement pour celles et ceux qui pourraient être concernés.   Je me demande souvent comment font les personnes qui ont fait du mal sans intention de le faire, pour se pardonner. Je pense à un collègue qui malheureusement avait roulé sur son fils; le fils n'est pas décédé, mais bon, enfin, il a eu un peu mal, quoi, disons. Comment est-ce qu'on fait? Moi, j'ai eu trop de mal.    Là, ça va mieux, ça va mieux. Puis demain, ça ira très bien. Mais je me suis quand même sentie... enfin, pas obligée, mais ça m'a fait du bien d'envoyer un message pour expliquer la situation sur mon problème de Wi-Fi du matin.   Après, je me sentais un petit peu mieux, tu vois. Je me demande, mais comment font celles et ceux qui, dans leur quotidien, font un geste, oublient quelque chose et que ça a une portée catastrophique. Est-ce qu'on arrive à enseigner cette culture de s'auto-pardonner quand il n'y avait pas d'intention de faire du mal?   Le pardon à la base de l'identité chrétienne   [Stéphane] Dans le Notre-Père, on dit « Pardonnes-nous nos péchés comme nous pardonnons à ceux et celles qui nous ont offensés ». Moi, j'y vois une invitation à pardonner, parce que si on veut que Dieu nous pardonne comme on pardonne aux autres, si je veux que Dieu me pardonne, alors j'ai intérêt à le faire moi aussi, puis de commencer avec moi-même.   Avoir cette assurance-là, que Dieu pardonne si on est prêt à confesser humblement, honnêtement, notre péché, nos péchés, Dieu pardonne. J'étais dans une paroisse où on me disait : non, non, non! La reconnaissance du péché, tout ça, c'est de la vieille Église, c'est de la manipulation. Les gens se sentent mal, les pauvres personnes âgées ont bien assez de problèmes, on ne va pas leur en rajouter.    Moi, je disais : oui, ce n'est pas plaisant de reconnaître nos erreurs, mais c'est l'assurance du pardon qui vient après, qui est tellement puissante : avoir un Dieu qui nous aime tellement, qui nous dit « ok, tu as fait une connerie, tu as fait une erreur, tu as dit telle chose, tu n'as pas pris la pleine mesure de ton action, de tes paroles, ok, on peut recommencer. Ce n'est pas la fin de tout. Il y a une possibilité de continuer d'avancer ensemble. »   Je trouve ça merveilleux et inspirant, parce que, en même temps, je me dis : si Dieu est prêt à faire ça avec moi, peut-être que moi, ma petite personne avec toutes mes limites, je peux essayer de suivre un peu ce chemin-là, puis de regarder les autres, puis de dire, OK, ce n'est pas la fin de tout. Et puis on peut essayer de continuer ou recommencer ou reconstruire quelque chose.   La parabole du fils prodigue   [Joan] C'est avec la parabole du fils prodigue qu'on peut terminer. Ce fils qui réclame son héritage pour aller faire la fête à la ville et faire n'importe quoi, ou bien peut-être pas n'importe quoi, juste des trucs que les jeunes aiment faire, que moi aussi peut-être j'aimerais faire, mais ça me donne mal à la tête.   Une fois qu'il a tout dilapidé, il s'est retrouvé plus bas que terre; en plus il y a une famine dans le pays, voyez-vous ça? Terrible. Il revient vers son père et son père fait une énorme fête. Et puis son frère qui est là, qui est resté, qui se pose 2-3 questions, et il a bien le droit de se poser 2-3 questions.   C'est un peu comme ça le système de pardon, parfois on va pardonner à des gens, puis les gens autour de nous vont se poser 2-3 questions; parfois Dieu va nous pardonner et nous-mêmes on va se poser 2-3 questions sur pourquoi est-ce que Dieu me pardonne?   Les deux vont ensemble, je trouve, c'est une dynamique un peu vertueuse de dire qu'il y a peut-être toujours une possibilité de pardon, mais c'est quand même aussi bon de continuer à se poser des questions.   Conclusion   Merci, Joan, pour cette conversation. Merci à toutes les personnes qui nous écoutent, qui nous offrent quelques minutes de leur semaine, de leur journée pour nous écouter. Merci à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire qui nous permet d'être diffusées sur plein de plateformes. D'ailleurs, n'oubliez pas d'aimer, de partager, de mettre des commentaires, c'est toujours bon pour le référencement. Si vous avez des questions, si vous avez des suggestions pour nous, ne vous gênez pas. questiondecroire@gmail.com. Bonne semaine, Joan. Bonne semaine à vous. Au revoir.    

Reportage Afrique
Centrafrique: dans le parc Dzanga Sangh, l'harmonie entre l'homme, les animaux et la nature

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 2:41


Alors que la COP30 a démarré  lundi 10 novembre, cap sur le sud-ouest de la République centrafricaine. Niché dans l'immense bassin du Congo, le parc de Dzanga-Sangha incarne l'espoir et la réussite d'une conservation harmonieuse entre la nature et l'humanité. Véritable sanctuaire de biodiversité, cette réserve abrite des espèces emblématiques et menacées : éléphants de forêt, gorilles, léopards, girafes, lions et beaucoup d'autres. Grâce à un modèle de gestion partagée entre le gouvernement centrafricain, l'ONG WWF et les populations locales, le parc prouve qu'il est possible d'allier conservation, développement durable et valorisation des savoirs autochtones.  Une vingtaine d'éléphants de forêt s'avancent lentement vers la saline de Zangaba, vaste espace dégagé où la terre, gorgée de minéraux, attire chaque jour des centaines d'animaux. À quelques mètres, un jeune mâle joue avec sa trompe dans l'eau. Puis, les femelles forment un cercle protecteur autour des éléphanteaux, tout en arrachant de longues herbes humides qu'elles mâchent lentement. Yoann Galleran, le directeur de l'aire protégée de Dzanga Sangha, nous sert de guide. « Tous les jours, une centaine d'éléphants se rassemblent régulièrement dans cette saline. Les éléphants de forêt, le pangolin et les gorilles sont les espèces emblématiques de notre parc. Le bassin du Congo regorge d'espèces de poissons, d'insectes, de champignons, de végétaux, de produits forestiers non ligneux. La gestion de ces ressources est très importante et elle doit être directement opérée par les communautés locales elles-mêmes. La gestion de la chasse durable, de la cueillette durable sont des questions clés pour le futur des aires protégées de Dzanga Sangha », nous apprend Yoann Galleran.  Le parc de Dzanga-Sangha, en Centrafrique, n'est pas seulement un refuge pour les animaux. C'est aussi le berceau d'un peuple autochtone : les Ba'Aka, gardiens de la forêt. Leur connaissance intime des plantes et des pistes invisibles fait d'eux les véritables maîtres des lieux. Firmin est l'un d'eux. « Depuis toujours, nous vivons en lien étroit avec la terre, l'eau et les forêts. Pour nous, la nature n'est pas une ressource à exploiter, mais une partie de notre famille. Quand la Terre souffre, nous souffrons aussi. Les anciens nous enseignent que chaque décision doit être prise en pensant aux sept prochaines générations », explique-t-il.  Grâce à son modèle de conservation participative, où la protection de la faune et la flore rime avec le développement des communautés locales, Dzanga Sangha est en phase d'atteindre tous ses objectifs, selon Firmin : « La gestion se déroule de façon participative, avec une implication totale de notre part en tant qu'autochtones. Il existe une véritable prise de conscience collective quant aux méthodes de gestion durable des ressources naturelles. Des formations régulières nous sont dispensées sur l'importance de la préservation des ressources. Nous avons mis en place une zone de chasse communautaire que nous respectons scrupuleusement. » Plusieurs projets sont également conçus pour garantir une conservation durable, selon Yoann Galleran : « L'important, c'est de continuer à faire de Dzanga Sangha une destination d'écotourisme qui va bénéficier aux communautés locales. C'est également de promouvoir les nouvelles techniques d'agriculture responsable. C'est de maintenir un équilibre entre conservation et développement sans que l'un prenne le dessus sur l'autre, tout en s'assurant que les communautés locales puissent continuer de bénéficier d'opportunités économiques qui sont liées directement à la préservation de l'environnement. » Cependant, les responsables du parc ont identifié plusieurs menaces potentielles pour la faune et la flore, telles que l'exploitation illégale des ressources forestières, le trafic d'armes et surtout le braconnage visant les éléphants, les gorilles et les pangolins. Ces risques doivent être pris au sérieux, disent-ils, pour assurer la protection du bassin du Congo. À lire aussiCentrafrique: comment les pygmées Ba'Akas préservent et valorisent leur mode de vie traditionnel

Maintenant, vous savez
Qu'est-ce que le syndrome d'alcoolisation foetale ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 4:23


La nouvelle biographie de la princesse Margaret a fait l'effet d'une bombe l'été 2025 à cause de cette révélation : son caractère déluré s'expliquerait par le syndrome d'alcoolisation fœtale. Cependant, plusieurs tabloïds britanniques rappellent qu'il n'y a aucune preuve formelle, surtout qu'elle ne présentait pas les caractéristiques physiques de ce syndrome. Quels sont les symptômes de ce syndrome ? Et ça peut être grave pour le bébé ? Pourtant, ça fait longtemps qu'on sait que l'alcool est dangereux pour la santé du bébé pendant la grossesse ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Laura Taouchanov. À écouter aussi : ⁠Qu'est-ce que le syndrome du bébé secoué ? ⁠Qu'est-ce que la tocophobie, cette peur qui touche les femmes ? Pourquoi faisons-nous des enfants de plus en plus tard ? Retrouvez tous les épisodes de ⁠"Maintenant vous savez".⁠ Suivez Bababam sur ⁠Instagram⁠. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

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L’Heure du Monde
COP30 au Brésil : peut-on sauver l'action mondiale pour le climat ?

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 19:21


« Je suis convaincu que nous allons organiser la meilleure COP de toutes les COP jamais organisées à ce jour. » Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a fondé beaucoup d'espoir sur la 30e conférence mondiale sur le climat, qui commence, lundi 10 novembre, dans son pays, et plus précisément à Belem, choix symbolique dans la mesure où cette ville est située aux portes de l'Amazonie. Le symbole d'une biodiversité fragile, à protéger.Jusqu'au vendredi 21 novembre, les délégations de 191 pays accrédités s'y réunissent, pour tenter d'avancer ensemble sur de nombreux fronts : réduction des émissions de gaz à effet de serre, sortie des énergies fossiles ou encore financements visant à soutenir l'action climatique. En jeu également : « sauver » l'accord de Paris, adopté en 2015 en vue de limiter le réchauffement climatique à moins de 1,5 °C par rapport à l'ère préindustrielle.Cependant, en amont de cette COP, les motifs d'espoir sont peu nombreux. Ainsi, les Etats-Unis, qui se sont retirés de l'accord de Paris, ne seront pas présents au Brésil. En outre, les guerres, les tensions commerciales ou encore les enjeux budgétaires nationaux relèguent la lutte climatique au second plan. Dans ce contexte, que faut-il attendre de la COP30 ? Journaliste au service Planète du Monde, Audrey Garric nous livre son analyse dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », avant de s'envoler pour Belem.Un épisode de Garance Muñoz et de Marion Bothorel. Réalisation : Quentin Tenaud. Musiques : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Dans cet épisode : note vocale du journaliste du Monde, Matthieu Goar, extraits de prises de parole d'Antonio Guterres le 6 novembre 2025, de Luiz Inácio Lula da Silva le 4 novembre 2015 et de Donald Trump le 23 septembre 2025.Cet épisode a été publié le 10 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les histoires incroyables de Pierre Bellemare

REDIFF - Jean et Marie Ernest vivent dans une villa à Meudon. Leur relation est de plus en plus tendue, et lors d'une dispute, Marie, prise par la colère, décide de tuer son mari en lui tirant dessus. Cependant, Jean survit miraculeusement et est transporté à l'hôpital. Là, les médecins découvrent une anomalie... Contre toute attente, cette tentative de meurtre va changer le cours des événements de manière surprenante. Des meurtres qui défient la raison, des enquêtes impossibles, ou encore des assassins imprenables : abonnez-vous pour ne rater aucun nouveau récit passionnant de Pierre Bellemare, pour qui l'art de conter n'avait aucun secret. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Combien d'années faut-il pour rentabiliser un achat immobilier ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 1:39


En 2025, le rapport entre achat et location bascule à nouveau en faveur des propriétaires. Après plusieurs années où la hausse des taux d'intérêt avait freiné le marché immobilier, la tendance s'inverse. Selon les dernières analyses du courtier Meilleurtaux, un acheteur met désormais un peu plus de 12 ans à rentabiliser son investissement, contre près de 15 ans l'année précédente. Ce raccourcissement de plus de deux ans marque un véritable tournant pour les ménages, porté par la détente des taux, la stabilisation des prix et la progression continue des loyers.Pendant la période 2022-2023, le coût du crédit avait explosé, rendant l'achat beaucoup moins attractif que la location. Aujourd'hui, la combinaison d'un crédit plus abordable et d'un marché locatif sous tension redonne de l'air aux candidats à la propriété. En d'autres termes, payer des mensualités d'emprunt redevient, dans de nombreuses villes, plus intéressant que verser un loyer à fonds perdu. Cette amélioration traduit un retour à l'équilibre après les excès des dernières années : la rentabilité moyenne d'un achat, tombée à trois ans seulement en 2020, avait ensuite grimpé à plus de quinze ans à cause du durcissement des conditions de financement.Cependant, la situation n'est pas uniforme sur tout le territoire. Les écarts entre les grandes métropoles se creusent. Dans 24 villes sur 32 étudiées, acheter devient plus rapidement rentable : à Lille et Grenoble, la durée nécessaire pour amortir un achat a chuté d'environ neuf ans ; à Tours, Rouen, Caen et même à Paris, l'avantage s'est amélioré de plus de cinq ans. Cette embellie s'explique par la légère détente du crédit, qui facilite à nouveau l'accès à la propriété.Mais dans les marchés les plus chers – Paris, Aix-en-Provence, Nice ou Bordeaux – les prix élevés prolongent encore la période d'amortissement, au-delà de 18 ans. Dans ces villes où la mobilité est forte, la location reste une option cohérente, au moins à moyen terme. À l'inverse, dans des zones plus abordables, acheter demeure une stratégie patrimoniale solide, surtout dans une perspective de long terme.Certaines communes font néanmoins figure d'exception. Au Mans ou à Orléans, la rentabilité de l'achat s'est dégradée, la faute à des loyers encadrés ou à une demande moins dynamique.Globalement, les Français reviennent vers la propriété. Dans un contexte où les loyers ne cessent d'augmenter, devenir propriétaire apparaît à nouveau comme un moyen de se stabiliser, de se protéger contre l'inflation et de se projeter sereinement dans l'avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Catastrophes • Histoires Vraies

[SPONSORISÉ] Votre chien a tendance à manger de l'herbe lors des promenades ou dans votre jardin ? Pas de panique, il ne se transforme pas en poney pour autant ! Manger de l'herbe est un comportement tout à fait normal chez le chien, et peut être dû à plusieurs raisons. Cependant, il peut parfois masquer un trouble et il faut rester vigilant face à cette habitude. Décryptons ce comportement qui peut parfois laisser perplexe dans cet épisode du podcast de la SPA. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

La Traque
Luka Rocco Magnotta, le dépeceur de Montréal : meurtre et snuff movie (3/4)

La Traque

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 19:02


Première diffusion : janvier 2024 Plongez dans la traque de l'un des hommes à l'origine de l'une des affaires les plus sordides du 21e siècle, l'affaire Luka Rocco Magnotta. Persécuté depuis son enfance, Luka Magnotta rêve de devenir une star. Narcissique maladif, il plonge rapidement dans la folie. Il est prêt à tout pour gagner de la reconnaissance. Passant par la prostitution et la pornographie, il laissera bientôt ses envies les plus sombres prendre le dessus… Meurtre et snuff movie  Luka Magnotta ne supporte pas l'échec. Il truffe Internet de vidéo et photo de lui dans l'espoir de se faire repérer. Cependant, il n'arrivera jamais à trouver l'attention dont il a besoin. Luka entreprend alors de réaliser un tout autre genre de vidéos, et celles-ci ne passeront pas du tout inaperçues… Pour découvrir une autre traque, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Antonio Ferrara, le roi de la belle : gangster depuis toujours (1/4)⁠ ⁠[INÉDIT] Antonio Ferrara, le roi de la belle : Hollywood style (2/4)⁠ ⁠[INÉDIT] Antonio Ferrara, le roi de la belle : La grande évasion (3/4)⁠ ⁠[INÉDIT] Antonio Ferrara, le roi de la belle : jamais deux sans trois (4/4) Crédits : Production : Bababam  Textes : Vincent Rebouah Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Montage : Mattéo Benedetto  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

L’Heure du Monde
Extrême droite : Pierre Edouard Stérin, l'aspirant Bolloré ?

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 26:12


C'est un homme de l'ombre qui se serait bien passé d'entrer dans la lumière. En bonne place dans le top 100 des plus grandes fortunes françaises, exilé fiscal en Belgique, Pierre-Edouard Stérin tire sa fortune de Smartbox. Il a longtemps multiplié les investissements, que ce soit dans les salles de loisirs, les spectacles de reconstitution historique, les start-up, ou encore les écoles privées. Depuis 2023, il investit aussi dans un domaine d'un autre genre : la politique.Pour avancer ses pions dans le monde politique, le milliardaire a monté un projet baptisé « Périclès », censé rester discret. Cependant, en juillet 2024, le journal L'Humanité en révèle l'existence et ses financements auprès de la classe politique française n'ont plus rien de confidentiel. Depuis, des enquêtes, en particulier publiées par Le Monde, ont permis de montrer que les investissements de Pierre-Edouard Stérin étaient principalement dirigés vers l'extrême droite française.Est-il parvenu à gagner une réelle influence au sein de cette frange de l'échiquier politique ? Pour atteindre quel objectif ? Enfin, quelles sont les conséquences de ces financements sur les multiples activités de Pierre-Edouard Stérin ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Clément Guillou, journaliste au service Politique du Monde chargé de l'extrême droite, raconte l'entrée fracassante du milliardaire en politique et les ambitions qu'il nourrit.Un épisode de Marion Bothorel. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Présentation et suivi éditorial : Claire Leys. Dans cet épisode : extraits d'interventions de Pierre-Edouard Stérin dans la conférence « Agir en chrétien pour le bien commun », publiée sur YouTube le 24 juillet 2025, et au micro du podcast « Génération Do It Yourself », diffusé le 13 février 2024 ; d'un journal radio d'Ici La Rochelle, diffusé le 23 septembre 2025, et d'un reportage diffusé par France 3 Pays de la Loire, le 4 juin 2025.Cet épisode a été publié le 5 novembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

PolySécure Podcast
Teknik - La guerre Red Team vs EDR - l'aspect business et non technique du problème - Parce que... c'est l'épisode 0x657!

PolySécure Podcast

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025


Parce que… c'est l'épisode 0x657! Shameless plug 8 et 9 novembre 2025 - DEATHcon 17 au 20 novembre 2025 - European Cyber Week 25 et 26 février 2026 - SéQCure 2026 14 au 17 avril 2026 - Botconf 2026 28 et 29 avril 2026 - Cybereco Cyberconférence 2026 9 au 17 mai 2026 - NorthSec 2026 3 au 5 juin 2025 - SSTIC 2026 Description Introduction Ce podcast explore la relation complexe entre les équipes Red Team et les solutions EDR (Endpoint Detection and Response), en mettant l'accent sur les dimensions business plutôt que purement techniques. Charles F. Hamilton partage son expertise terrain sur l'évasion des EDR et démystifie la confiance aveugle que beaucoup placent dans ces solutions présentées comme magiques. La réalité des EDR : au-delà du marketing Les EDR sont souvent vendus comme des solutions universelles de protection, mais cette perception cache une réalité plus nuancée. Il existe plusieurs types de solutions (EDR, XDR, NDR) avec des capacités différentes, notamment au niveau de la télémétrie réseau et de l'enrichissement des données. L'industrie de la cybersécurité reste avant tout un business, où les décisions sont guidées par des considérations financières, de croissance et de parts de marché plutôt que uniquement par la protection des utilisateurs. Un aspect troublant est la romanticisation des groupes d'attaquants par certaines compagnies de détection, qui créent des figurines géantes et des noms accrocheurs pour ces groupes criminels lors de conférences. Cette approche marketing peut paradoxalement valoriser le crime et encourager de nouveaux acteurs malveillants. Fonctionnement technique des EDR Les EDR fonctionnent sur plusieurs niveaux de détection. D'abord, l'aspect antivirus traditionnel effectue une analyse statique avant l'exécution d'un binaire. Ensuite, la détection en temps réel utilise diverses techniques : le user mode hooking (de moins en moins populaire), les callbacks dans le kernel, et ETW (Event Tracing for Windows) qui capture de la télémétrie partout dans Windows. Les EDR modernes privilégient les callbacks kernel plutôt que le user mode, car le kernel offre une meilleure protection. Cependant, le risque est qu'une erreur dans le code kernel peut causer un écran bleu, comme l'a démontré l'incident CrowdStrike. Microsoft a également implémenté les PPL (Protected Process Light) pour empêcher même les utilisateurs avec privilèges système de tuer certains processus critiques. Un point crucial : les Red Teams sont souvent plus sophistiquées que les attaquants réels, précisément parce qu'elles doivent contourner les EDR dans leurs mandats. Techniques d'évasion : simplicité et adaptation Contrairement à ce qu'on pourrait croire, l'évasion d'EDR ne nécessite pas toujours des techniques extrêmement sophistiquées. Plusieurs approches simples fonctionnent encore remarquablement bien. Par exemple, modifier légèrement un outil comme PinkCastle en changeant les requêtes LDAP et en désactivant certaines fonctionnalités détectables (comme les tentatives de zone transfer DNS ou les requêtes SPN) peut le rendre indétectable. Un cas particulier intéressant concerne un EDR qui, suite à son acquisition par Broadcom, a cessé d'être signé par Microsoft. Cette décision business a rendu leur DLL incapable de s'injecter dans les processus utilisant le flag de chargement de DLL signées uniquement par Microsoft, rendant effectivement l'EDR sans valeur de détection. Une stratégie efficace consiste à désactiver la connectivité réseau des processus EDR avant toute manipulation, en utilisant le firewall local. Même si des alertes sont générées, elles ne peuvent pas être transmises au serveur. L'agent apparaît simplement offline temporairement. Les vieilles techniques qui fonctionnent encore De nombreuses techniques d'attaque anciennes restent efficaces car elles ne sont pas assez utilisées par les attaquants standard pour justifier leur détection. Les EDR se concentrent sur le “commodity malware” - les attaques volumétriques - plutôt que sur les techniques de niche utilisées principalement par les Red Teams. Charles cite l'exemple d'une “nouvelle backdoor” découverte en 2024 qui était en fait son propre code archivé sur GitHub depuis 8 ans. Pour les compagnies de sécurité, c'était nouveau car jamais vu dans leur environnement, illustrant le décalage entre ce qui existe et ce qui est détecté. L'importance de la simplicité Un conseil crucial : ne pas suivre les tendances en matière de malware. Les techniques à la mode comme le stack spoofing deviennent rapidement détectées. Charles utilise depuis 6-7 ans un agent simple en C# sans share code ni techniques exotiques, qui passe encore inaperçu. La simplicité et une approche différente sont souvent plus efficaces que la complexité. L'utilisation de Beacon Object Files (BOF) avec Cobalt Strike évite l'injection de processus, réduisant considérablement les artefacts détectables. Recommandations pratiques Pour les organisations, avoir un EDR est essentiel en 2025 pour bloquer les attaques triviales. Mais ce n'est qu'un début. Il faut absolument avoir au moins une personne qui examine les logs quotidiennement, idéalement trois fois par jour. De nombreux incidents de réponse montrent que toute l'information était disponible dans la console EDR, mais personne ne l'a regardée. La segmentation réseau reste sous-développée depuis 15 ans, principalement pour des raisons de complexité opérationnelle. Sysmon devrait être déployé partout avec une configuration appropriée pour augmenter exponentiellement la visibilité, malgré la courbe d'apprentissage XML. La visibilité réseau est ce qui manque le plus aux clients en 2025. Sans elle, il est impossible de valider ce que les EDR prétendent avoir bloqué. Charles donne l'exemple de Microsoft Defender Identity qui dit avoir bloqué des attaques alors que l'attaquant a bel et bien obtenu les hash recherchés. Conclusion L'évasion d'EDR est une spécialisation à part entière, au même titre que le pentesting web ou Active Directory. Le secret est de comprendre profondément Windows, les outils et les EDR eux-mêmes avant de tenter de les contourner. Les entreprises doivent garder l'intelligence à l'interne plutôt que de dépendre entièrement des produits commerciaux. Finalement, la collaboration entre Blue Teams et Red Teams reste insuffisante. Plus de synergie permettrait aux deux côtés de mieux comprendre les perspectives de l'autre et d'améliorer globalement la sécurité. La curiosité et l'apprentissage continu sont les clés du succès dans ce domaine en constante évolution. Notes Training Training Collaborateurs Nicolas-Loïc Fortin Charles F. Hamilton Crédits Montage par Intrasecure inc Locaux virtuels par Riverside.fm

Godzilla Final Podcast
2014 : Godzilla

Godzilla Final Podcast

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 155:36


Françaises, français, A l'issue du dernier épisode consacré à Evangelion, la série, nous avons choisi de vous donner la parole. Quel serait pour vous le thème du prochain épisode ? Evangelion Rebuild ou bien Godzilla 2014 ? Vous vous êtes massivement rendus aux urnes et avez plébiscité Evangelion Rebuild.Cependant, en hommage à notre président Emmanuel Macron, nous avons décidé de ne pas tenir compte du résultat des élections et de vous parler de Godzilla 2014.Voici donc un nouvel épisode, consacré au 4ème film nommé "Godzilla" qui parvient à marcher sur un fil tout du long entre blockbuster et idées créatives.Nous revenons longuement sur ce qui nous parle dans ce film et qui a parfois aussi perdu un peu l'audience : son supposé manque de Godzilla à l'écran, les évocations de catastrophes des années 2000 et 2010, et les obsessions récurrentes de Gareth Edwards.L'occasion aussi de parler de la connexion inattendue entre Hedorah et ce Godzilla qui lança le Monsterverse il ya déjà 11 ans.Très bonne écoute, et surtout merci d'avoir voté, nous avons été très heureux d'ignorer les résultats dans la plus pure tradition de 2024/2025 !

Revue de presse Afrique
À la Une: la situation en Tanzanie, «un chaos post-électoral et un silence d'État»

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 4:26


En Tanzanie, des heurts en marge des élections législatives et présidentielle, dont l'opposition a été évincée, ont débuté mercredi. Alors que la population était appelée à respecter un couvre-feu jeudi, de nouvelles manifestations ont éclaté dans plusieurs villes du pays. Une situation commentée par la presse africaine. Si la coupure du réseau internet rend l'accès aux informations compliqué, le média Afrik.com souligne « un chaos post-électoral et un silence d'État ». « Rendez-nous notre pays ! » scandent d'un côté les manifestants, de l'autre, on constate une absence de communication de la part du gouvernement, dirigé par la présidente Samia Suluhu Hassan, « tandis que les mesures de sécurité sont renforcées et que les craintes de victimes augmentent », peut-on lire. Selon Afrik.com « L'absence de communication gouvernementale est d'autant plus inquiétante que le scrutin a été précédé d'une vague de répression sévère. L'organisation Amnesty International a dénoncé une véritable "vague de terreur" marquée par des disparitions forcées, des arrestations arbitraires et des actes de torture ». Le média précise : « Le principal parti d'opposition, le Chadema, dont le chef Tundu Lissu est jugé pour trahison, a été disqualifié pour avoir refusé de signer un code électoral jugé insuffisant ». Pas d'observateurs crédibles Au Kenya, The Daily Nation scrute également de près la situation chez son voisin Tanzanien. Le journal rappelle que des militants, depuis le Kenya, ont dénoncé « une mascarade », juste « après que les autorités ont interdit à deux des principaux partis d'opposition de présenter des candidats ». Par ailleurs, le KHRC « la Commission kenyane des droits de l'homme (une ONG) a tiré la sonnette d'alarme face à l'absence de groupes d'observation électorale crédibles lors des élections. "Aucune mission d'observation crédible n'est présente en Tanzanie. La Belgique, la Suède, l'Allemagne et l'Irlande se sont retirées des élections. Les États-Unis surveillent, mais sans y déployer d'observateurs officiels" explique notamment un membre du KHRC ». Cependant, rappelle The Daily Nation « l'Union Africaine, la Communauté de développement de l'Afrique Australe, la Communauté d'Afrique de l'Est et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs ont déployé des missions d'observation, ce qui a suscité des critiques pour avoir légitimé un processus défectueux ».   Au Burkina Faso, WakatSéra commente aussi la situation en Tanzanie, dans ces colonnes édito : « Après les élections, la tension ! (...) c'est le condensé en peu de mots, de la situation volcanique que vit le pays », peut-on lire. « La présidente sortante en quête d'un deuxième mandat, (...) n'a pas résisté à la tentation d'organiser des scrutins interdits à l'opposition, la vraie ». Ainsi, les manifestants « n'ont que leurs voix pour crier leur ras-le-bol d'un régime incapable de répondre aux attentes d'un peuple trop longtemps muselé ». En Algérie, des réactions et des commentaires sur la politique française Jeudi, le parti d'extrême droite français, le Rassemblement national, a obtenu une « victoire » à l'Assemblée nationale, en faisant adopter à une voix près une résolution qui vise à « dénoncer » l'accord franco-algérien de 1968, qui crée un régime d'immigration favorable pour les Algériens. « La France vote contre elle-même », c'est le titre d'un édito dans Algerie patriotique. « Derrière les apparences d'un débat diplomatique, c'est une fracture politique, morale et historique qui s'ouvre : celle qui annonce l'arrivée de l'extrême-droite au pouvoir en 2027. (…) Le fameux accord de 68, que les nostalgiques de l'Algérie française décrivent à tort comme un privilège offert aux ressortissants algériens, n'est en réalité qu'une coquille vide ». Et pour Algérie Patriotique, « le vrai scandale n'est pas dans le vote, mais dans la complaisance du pouvoir en place », car « l'exécutif a préféré jouer la partition du populisme. En reprenant à son compte les thèmes de l'extrême droite, il espérait la contenir, mais il n'a fait que la légitimer. C'est ainsi que, sous couvert de "fermeté", la France se déshonore et prépare son propre suicide politique ». Algérie 360, rappelle que l'idée de mettre en cause l'accord de 1968 n'est pas nouvelle. « Déjà en février, un rapport du Sénat suggérait d'envisager sa dénonciation. De plus, l'ancien ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, avait exprimé à plusieurs reprises son souhait de remettre en question cet accord, notamment lors d'une période de crise diplomatique ». Par ailleurs, le média observalgérie souligne que les accords de 1968 « ne sont pas liés aux obligations de quitter le territoire français non exécutées, argument souvent évoqué par le Rassemblement national ». Ces accords encadrent uniquement les droits de résidence et d'établissement des ressortissants algériens en France. Enfin, le texte voté ne modifie en rien ces dispositions... Puisqu'une résolution parlementaire ne peut pas imposer d'action à l'exécutif. Elle exprime seulement la position de l'Assemblée nationale.

La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d'actualités. La découverte du système de grottes slovaques considérées comme des joyaux mondiaux. Un pommier sauvage o (31.10.2025 19:00)

La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 7:01


Bulletin d'actualités. La Slovaquie est considérée comme un pays riche en grottes et autres attractions géologiques. Sur son territoire relativement petit, nous enregistrons actuellement 7285 grottes et plusieurs zones de valeur géologique. La commune de Pruzina dans le district de Povazska Bystrica adossée a la majestueuse colline Strážovske possede plusieurs arbres rares par leur taille comme les tilleuls ou les érables pres de l'église. Cependant, c'est le pommier sauvage poussant au bord de la prairie qui est unique en son genre.

Arcana
Phénomènes occultes : Dogman, Spectres et Possession, avec Bragi Bellovaque

Arcana

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 153:29


De nombreuses personnes affirment avoir vécu des phénomènes paranormaux.  Cependant, un témoignage reste une expérience personnelle et subjective, ce qui limite son utilité pour une étude objective.  Il est donc crucial de mener des recherches théoriques sur ces hypothétiques phénomènes, mais aussi d'enquêter sur le terrain pour se confronter directement à ces événements occultes.  C'est précisément ce que fait Bragi Bellovaque. Dans cette émission, il nous présentera son parcours, ses méthodes d'enquête et ses modèles explicatifs.⛎ Soutenir l'émission sur Tipeee : https://www.tipeee.com/arcana-mysteres-du-monde

L’Heure du Monde
Le photographe inconnu de l'Occupation : la piste de la collaboration (4/5)

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 19:55


Des Allemands qui défilent et arpentent en uniforme les rues parisiennes, parfois au bras de Françaises… Ces photographies inédites du Paris de l'Occupation sont rassemblées dans un album à la présentation intrigante, qui invite à avoir le « courage de les examiner ». D'emblée, elles fascinent Philippe Broussard, directeur adjoint de la rédaction du Monde, qui en perçoit la portée historique. Il se lance alors dans une quête pour en retrouver l'auteur. Celle-ci va s'étirer sur plus de quatre ans.Dans ce quatrième épisode de la série documentaire du podcast « L'Heure du Monde », Philippe Broussard se heurte à une impasse : les pistes ouvertes précédemment grâce à d'autres fonds photographiques se sont refermées et l'identité du photographe inconnu semble encore plus hors de portée.Cependant, l'espoir renaît lorsqu'il regarde pour la énième fois ces photos, un détail attirant son attention. Un seul cliché a été pris en intérieur. Cela pourrait-il permettre d'identifier le fief du fameux promeneur parisien ? Cette piste va semer le trouble quant aux motivations du photographe. Et s'il n'était pas un résistant, mais bel et bien un collaborateur ?Série documentaire écrite par Marion Bothorel et adaptée de l'enquête de Philippe Broussard. Réalisation : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extraits des discours de Philippe Pétain, prononcé le 30 octobre 1940 sur Radio Vichy, d'Adolf Hitler, en 1940, du général de Gaulle, prononcés les 6 juin et 18 juin 1940 ; d'une allocution de Paul Reynaud, le 10 juin 1940, sur la RTF ; d'un reportage diffusé au journal télévisé des Actualités françaises, le 24 septembre 1943 ; de la chanson Et tout ça, ça fait d'excellents Français, de Pierre Dac ; et d'un sujet diffusé au journal télévisé de 20 heures de la RTF, le 24 septembre 1970. Photographies issues de la collection personnelle de Stéphane Jaegle et Stéphanie Colaux.Retrouvez l'enquête de Philippe Broussard et sa suite inédite, ainsi qu'une centaine de photos, dans le livre Le Photographe inconnu de l'Occupation, paru aux éditions du Seuil. Cet épisode a été diffusé le 30 octobre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir SCIENCES
Quelle fleur est plus efficace qu'un somnifère ?

Choses à Savoir SCIENCES

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 2:19


Il existe une fleur capable de rivaliser avec les somnifères : celle du bigaradier. Derrière ce nom un peu oublié se cache l'oranger amer, un petit arbre originaire d'Asie, sans doute de la région de l'Himalaya. Introduit en Méditerranée au Moyen Âge, il s'est acclimaté sous le soleil de Séville et de Grasse, où ses fleurs blanches, d'un parfum enivrant, sont devenues le cœur de la parfumerie et de la phytothérapie. On la connaît mieux sous le nom de fleur d'oranger.Mais au-delà de son odeur douce et familière, la fleur du bigaradier possède des vertus étonnantes sur le sommeil. Depuis longtemps, les infusions de fleur d'oranger apaisent les enfants agités et calment les nerfs avant la nuit. Ce que la science confirme peu à peu. En 2023, des chercheurs iraniens ont mené un essai clinique sur des femmes dont les bébés étaient hospitalisés : boire chaque soir un distillat de fleur d'oranger a significativement amélioré leur sommeil, comparé à un placebo. Les participantes s'endormaient plus vite, se réveillaient moins souvent, et déclaraient se sentir plus reposées.D'autres travaux, menés sur des modèles animaux, sont encore plus surprenants. Un extrait de fleur d'oranger, administré à des souris privées de sommeil, s'est révélé plus efficace pour réduire leur anxiété qu'un médicament bien connu : le lorazépam, un somnifère puissant. Les chercheurs attribuent cet effet à plusieurs molécules actives : le linalol, le nérolidol et divers sesquiterpènes, capables d'agir sur les récepteurs GABA du cerveau, les mêmes que ceux ciblés par les benzodiazépines. En somme, la nature imiterait la chimie, mais sans ses effets secondaires.Cependant, ces résultats doivent être interprétés avec prudence. Les études restent encore peu nombreuses, souvent limitées à de petits échantillons. Et si la fleur d'oranger favorise l'endormissement, elle ne remplace pas un traitement médical dans les cas d'insomnie sévère. Elle agit comme une aide douce, idéale pour calmer les tensions, réduire l'anxiété et rétablir un cycle de sommeil perturbé.Boire une tisane de fleur d'oranger avant le coucher, respirer son huile essentielle ou l'utiliser en diffusion pourrait donc être une manière simple de renouer avec un sommeil naturel. Le bigaradier, autrefois symbole d'innocence et de paix, redevient ainsi ce qu'il a toujours été : un messager de sérénité, plus apaisant qu'un somnifère, et infiniment plus poétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Musiques du monde
Au Levant toutes ! Avec Yasmine Hamdan et #SessionLive Christine Zayed

Musiques du monde

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 48:29


La poétique du souvenir avec Yasmine Hamdan (Liban) et Christine Zayed (Palestine). Yasmine Hamdan est notre 1ère invitée pour la sortie de son 3ème album I Remember I Forget Yasmine Hamdan a d'abord surgi sur la scène musicale avec la formation indie électronique pionnière Soapkills, formée avec Zeid Hamdan dans le Beyrouth de la fin des années 90. Le répertoire entêtant et irrévérencieux du duo ainsi que ses visuels auront rayonné créativement à travers le monde arabe et au-delà, culminant avec une anthologie en 2015. Après s'être installée à Paris en 2005, la musicienne collabore avec le producteur Mirwais (ex-Taxi Girl et producteur de Madonna) pour le projet Y.A.S., à l'origine d'un album dansant et raffiné, Arabology, paru chez Universal en 2009. Depuis, elle s'est fait un nom au-delà des frontières en tant qu'autrice-compositrice et productrice solo, entrelaçant avec élégance des univers éloignés comme la poésie, la pop et la tradition panarabe, l'electronica, la soul ou encore la guitar music. Elle a collaboré avec des cinéastes de tous horizons tels que Elia Suleiman, Jim Jarmusch (chantant notamment à l'écran dans le film de 2013 Only Lovers Left Alive), Daniele Arbid ou Ghassan Salhab, et a joué au sein de projets collectifs majeurs comme Africa Express. En solo, Yasmine Hamdan a sorti un premier disque en 2013, Ya Nass, un en 2017, Al Jamilat, et à présent son troisième album I Remember I Forget, co-produit aux côtés de son collaborateur de longue date Marc Collin (Nouvelle Vague). La mémoire est une force sans pareille. I Remember I Forget [Je me souviens que j'oublie] succède à deux disques solo salués à l'international, Ya Nass (2013) et Al Jamila (2017). L'album scelle la réputation de Yasmine Hamdan en tant que conteuse talentueuse, performeuse captivante et défricheuse indépendante. L'artiste polyglotte, née à Beyrouth et installée à Paris, a toujours mêlé dans sa musique l'intime, le poétique et la politique, souvent avec un humour vif, puisant ses influences dans les dialectes et sonorités du monde pan-arabe et d'ailleurs. C'est plus que jamais le cas sur ce nouvel album, un ensemble de chants de beauté et de fureur légitime, forgé dans le tumulte de crises mondiales, notamment l'explosion en 2020 du port de Beyrouth et l'effondrement économique du Liban (désastre financier qui aura protégé l'élite aux dépens du plus grand nombre). Dans un monde moderne de plus en plus fracturé, les prises de parole de Yasmine Hamdan semblent plus vitales que jamais. «Pour cet album, je voulais m'attacher à un lieu spécifique — et il fallait que ce soit le Liban», explique Yasmine Hamdan. «Mon lien avec le Liban et ce qui lui est arrivé a constitué le terreau à partir duquel j'ai commencé à écrire et composer l'album. Cependant, au fur et à mesure du processus créatif, cet endroit est devenu un symbole, une métaphore, une catharsis pour ce qui se passe plus largement dans le monde et à travers l'expérience collective.»  «En dépit de la douleur ressentie devant ce qui est infligé à mon lieu de naissance, s'est installé peu à peu un sentiment de tendresse, de familiarité, ce qui m'a apporté de l'espoir et de l'inspiration. Beyrouth a certainement continué à être généreuse avec moi», raconte-t-elle. Yasmine Hamdan s'est ainsi attelée à l'écriture des chansons, renouant pour l'occasion avec un collaborateur de longue date, Marc Collin (Nouvelle Vague). I Remember I Forget a été produit sous la tutelle de leurs labels respectifs, Hamdanistan et Kwaidan, et paraît chez Crammed Discs / [PIAS].   Titres joués durant l'entretien : I Remember I Forget, Shmaali, Shadia et The Beautiful Losers. ► Album I Remember I Forget (Crammed Discs / [PIAS] 2025). Site Yasmine Hamdan - Bandcamp. YouTube. Actu concert 18 mars, Paris Le Trianon.   Puis la #SessionLive reçoit Christine Zayed pour l'album Kama Kuntu. Née dans une famille mélomane de Palestine, élevée entre Jérusalem et Ramallah, Christine Zayed est une chanteuse, une compositrice et une instrumentiste, virtuose du qanûn. Elle a été initiée dès son plus jeune âge à la musique arabe classique et contemporaine, ainsi qu'à la musique traditionnelle palestinienne. Son répertoire s'appuie principalement sur la musique arabe classique, basée sur le maqam (la science et la pratique de l'improvisation modale arabe), et sur la poésie arabe, en particulier la poésie palestinienne contemporaine. Ses compositions, fortement ancrées dans la tradition, sont résolument contemporaines, recherchant les chemins de la modernité dans le croisement avec d'autres univers musicaux. Elle vit et travaille en France depuis quelques années et collabore à de multiples projets, notamment au sein de l'Ensemble Chakâm ou du groupe Atine. Elle se produit en solo ou en trio avec le flûtiste Sylvain Barou et le percussionniste Habib Meftah interprétant un répertoire que l'on retrouve dans son premier album, Kama Kuntu («Ce que j'étais»). On y croise plusieurs invités, notamment Piers Faccini. Titres interprétés au grand studio : - Avant que je photographie les oiseaux, Live RFI - Animal, Feat. Piers Faccini, extrait de l'album  - Ghalimi Live RFI. Line Up : Christine Zayed (qanûn, chant), Sylvain Barou (flûtes, duduk) et Habib Meftah (percussions) Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kama Kuntu (T-Rec 2024). Site - YouTube. Actu concerts : 11 décembre – Festival NoBorder, Brest // en trio + 12 décembre – Le Chenal, Porspoder // dans le cadre de NoBorder // en trio.

Musiques du monde
Au Levant toutes ! Avec Yasmine Hamdan et #SessionLive Christine Zayed

Musiques du monde

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 48:29


La poétique du souvenir avec Yasmine Hamdan (Liban) et Christine Zayed (Palestine). Yasmine Hamdan est notre 1ère invitée pour la sortie de son 3ème album I Remember I Forget Yasmine Hamdan a d'abord surgi sur la scène musicale avec la formation indie électronique pionnière Soapkills, formée avec Zeid Hamdan dans le Beyrouth de la fin des années 90. Le répertoire entêtant et irrévérencieux du duo ainsi que ses visuels auront rayonné créativement à travers le monde arabe et au-delà, culminant avec une anthologie en 2015. Après s'être installée à Paris en 2005, la musicienne collabore avec le producteur Mirwais (ex-Taxi Girl et producteur de Madonna) pour le projet Y.A.S., à l'origine d'un album dansant et raffiné, Arabology, paru chez Universal en 2009. Depuis, elle s'est fait un nom au-delà des frontières en tant qu'autrice-compositrice et productrice solo, entrelaçant avec élégance des univers éloignés comme la poésie, la pop et la tradition panarabe, l'electronica, la soul ou encore la guitar music. Elle a collaboré avec des cinéastes de tous horizons tels que Elia Suleiman, Jim Jarmusch (chantant notamment à l'écran dans le film de 2013 Only Lovers Left Alive), Daniele Arbid ou Ghassan Salhab, et a joué au sein de projets collectifs majeurs comme Africa Express. En solo, Yasmine Hamdan a sorti un premier disque en 2013, Ya Nass, un en 2017, Al Jamilat, et à présent son troisième album I Remember I Forget, co-produit aux côtés de son collaborateur de longue date Marc Collin (Nouvelle Vague). La mémoire est une force sans pareille. I Remember I Forget [Je me souviens que j'oublie] succède à deux disques solo salués à l'international, Ya Nass (2013) et Al Jamila (2017). L'album scelle la réputation de Yasmine Hamdan en tant que conteuse talentueuse, performeuse captivante et défricheuse indépendante. L'artiste polyglotte, née à Beyrouth et installée à Paris, a toujours mêlé dans sa musique l'intime, le poétique et la politique, souvent avec un humour vif, puisant ses influences dans les dialectes et sonorités du monde pan-arabe et d'ailleurs. C'est plus que jamais le cas sur ce nouvel album, un ensemble de chants de beauté et de fureur légitime, forgé dans le tumulte de crises mondiales, notamment l'explosion en 2020 du port de Beyrouth et l'effondrement économique du Liban (désastre financier qui aura protégé l'élite aux dépens du plus grand nombre). Dans un monde moderne de plus en plus fracturé, les prises de parole de Yasmine Hamdan semblent plus vitales que jamais. «Pour cet album, je voulais m'attacher à un lieu spécifique — et il fallait que ce soit le Liban», explique Yasmine Hamdan. «Mon lien avec le Liban et ce qui lui est arrivé a constitué le terreau à partir duquel j'ai commencé à écrire et composer l'album. Cependant, au fur et à mesure du processus créatif, cet endroit est devenu un symbole, une métaphore, une catharsis pour ce qui se passe plus largement dans le monde et à travers l'expérience collective.»  «En dépit de la douleur ressentie devant ce qui est infligé à mon lieu de naissance, s'est installé peu à peu un sentiment de tendresse, de familiarité, ce qui m'a apporté de l'espoir et de l'inspiration. Beyrouth a certainement continué à être généreuse avec moi», raconte-t-elle. Yasmine Hamdan s'est ainsi attelée à l'écriture des chansons, renouant pour l'occasion avec un collaborateur de longue date, Marc Collin (Nouvelle Vague). I Remember I Forget a été produit sous la tutelle de leurs labels respectifs, Hamdanistan et Kwaidan, et paraît chez Crammed Discs / [PIAS].   Titres joués durant l'entretien : I Remember I Forget, Shmaali, Shadia et The Beautiful Losers. ► Album I Remember I Forget (Crammed Discs / [PIAS] 2025). Site Yasmine Hamdan - Bandcamp. YouTube. Actu concert 18 mars, Paris Le Trianon.   Puis la #SessionLive reçoit Christine Zayed pour l'album Kama Kuntu. Née dans une famille mélomane de Palestine, élevée entre Jérusalem et Ramallah, Christine Zayed est une chanteuse, une compositrice et une instrumentiste, virtuose du qanûn. Elle a été initiée dès son plus jeune âge à la musique arabe classique et contemporaine, ainsi qu'à la musique traditionnelle palestinienne. Son répertoire s'appuie principalement sur la musique arabe classique, basée sur le maqam (la science et la pratique de l'improvisation modale arabe), et sur la poésie arabe, en particulier la poésie palestinienne contemporaine. Ses compositions, fortement ancrées dans la tradition, sont résolument contemporaines, recherchant les chemins de la modernité dans le croisement avec d'autres univers musicaux. Elle vit et travaille en France depuis quelques années et collabore à de multiples projets, notamment au sein de l'Ensemble Chakâm ou du groupe Atine. Elle se produit en solo ou en trio avec le flûtiste Sylvain Barou et le percussionniste Habib Meftah interprétant un répertoire que l'on retrouve dans son premier album, Kama Kuntu («Ce que j'étais»). On y croise plusieurs invités, notamment Piers Faccini. Titres interprétés au grand studio : - Avant que je photographie les oiseaux, Live RFI - Animal, Feat. Piers Faccini, extrait de l'album  - Ghalimi Live RFI. Line Up : Christine Zayed (qanûn, chant), Sylvain Barou (flûtes, duduk) et Habib Meftah (percussions) Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kama Kuntu (T-Rec 2024). Site - YouTube. Actu concerts : 11 décembre – Festival NoBorder, Brest // en trio + 12 décembre – Le Chenal, Porspoder // dans le cadre de NoBorder // en trio.

Happy Work
REPLAY-Les 10 choses que les (très) bons managers font tous les jours

Happy Work

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 8:23


Depuis des années, je conseille des managers ; pendant des années, j'ai moi-même été manager et aujourd'hui, je fais des conférences et j'écris des livres à ce sujet. Cependant, aujourd'hui, j'ai reçu le message d'un jeune manager qui était un tantinet en panique devant ses nouvelles responsabilités et qui m'a posé une question toute simple : si vous deviez me donner des conseils sur ce que je dois faire chaque jour avec mon équipe pour être un bon manager, que me diriez-vous ?Ma réponse dans cet épisode !Et découvrez tous mes contenus (vidéos, articles, tests de personnalité en vous rendant sur mon blog : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
Comprendre le rôle et l'influence des agences de notation dans la finance mondiale

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 3:07


Alors que Moody's s'apprête à rendre son verdict sur la note de la France, la question du pouvoir des agences de notation refait surface. Redoutées par les États, observées par les marchés, parfois critiquées pour leur opacité, ces institutions financières privées influencent toujours la confiance des investisseurs. Mais leur pouvoir est-il aussi grand qu'on le dit ? Imaginons un bulletin scolaire. Sauf qu'au lieu d'élèves, ce sont des entreprises, des collectivités ou des États qui y figurent. Les agences de notation, un peu comme des professeurs, attribuent une note de confiance : AAA pour les plus fiables, C pour ceux proches du défaut de paiement. Leur mission est simple, évaluer la capacité d'un emprunteur à rembourser sa dette. En clair, est-ce qu'on peut lui prêter sans prendre trop de risque ? Une bonne note, c'est un taux d'intérêt plus bas. Une mauvaise, un crédit plus cher. Pour les entreprises, c'est souvent une question de survie. Pour les États, c'est plus symbolique, mais pas toujours sans conséquence. Des notes médiatisées, mais souvent anticipées À chaque dégradation de note, comme celle que pourrait subir la France, les médias s'en emparent aussitôt. Mais dans les faits, les marchés financiers anticipent souvent ces décisions. La dernière baisse de la note française par Moody's n'a eu aucun effet visible sur les taux d'intérêt. Les investisseurs avaient déjà intégré la dégradation et relevé les taux bien avant l'annonce. Pourquoi alors tout ce bruit ? Parce que ces notes sont devenues un rituel médiatique. Faciles à comprendre – comme un bulletin d'école –, elles traduisent en une lettre la complexité d'une économie nationale. Cependant, si un pays change de catégorie de risque, les effets peuvent être beaucoup plus concrets : certains investisseurs institutionnels, contraints par leurs règles internes, cessent alors de prêter. Et c'est là que le cercle vicieux s'installe. Plus les taux montent, plus la dette coûte cher, et plus la note risque d'être encore abaissée. Un pouvoir réel, mais de plus en plus contesté Depuis la crise financière de 2008, la réputation des agences de notation a été sérieusement écornée. On leur reproche une opacité persistante, des méthodes contestées, et une tendance à amplifier les crises plutôt qu'à les prévenir, comme lors du cas grec au début des années 2010. Leur approche, souvent jugée trop marquée par des standards occidentaux, pose aussi problème. Sur le continent africain, plusieurs pays dénoncent des notations qui ne reflètent pas la réalité de leurs économies, tout en conditionnant leur accès aux marchés internationaux. Malgré ces critiques, le pouvoir des agences demeure. Elles continuent d'influencer les perceptions des investisseurs, des médias et parfois des politiques. Un pouvoir fondé moins sur la contrainte que sur la crédibilité qu'on leur accorde. Car dans la finance mondiale, la confiance reste la meilleure des notes.

Revue de presse Afrique
À la Une: la guerre des chiffres au Cameroun

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 4:22


Qui a remporté l'élection présidentielle du 12 octobre dernier au Cameroun ? Le sortant Paul Biya ou bien l'opposant Issa Tchiroma Bakary ? Les résultats définitifs devraient être connus dimanche ou peut-être même avant. En attendant, chacun donne les siens… En effet, rapporte le site Actu Cameroun, « après la publication des résultats de la Commission nationale de recensement des votes donnant Paul Biya vainqueur de l'élection présidentielle avec plus de 55% des voix, Issa Tchiroma Bakary réplique. L'opposant (…) assure, sur la base de la compilation des résultats de 18 départements représentant 80% de l'électorat, avoir gagné à plus de 54% ». Des Sages inféodés ? Qui a raison ? Qui a tort ? Tous « les yeux sont rivés vers un Conseil constitutionnel qui peine à gagner la confiance », relève Le Journal du Cameroun. Ce mercredi, en effet, la Haute cour va entrer en action. « Le sage Clément Atangana et les dix membres du conseil examineront la dizaine de requêtes introduites au lendemain de la clôture du vote, par des candidats ou des partis politiques. Lesquels requièrent entre autres l'annulation totale du scrutin en raison de multiples irrégularités qualifiées de graves ». Ce sera ensuite « l'étape de la proclamation des résultats du scrutin ». Toutefois, relève Le Journal du Cameroun, « depuis son entrée en matière en février 2018, la juridiction électorale a marqué l'opinion en prenant des décisions pour la plupart défavorables à l'opposition ». Et pour cause, les onze juges du Conseil sont issus « des sphères judiciaires, politiques ou universitaires qui ont, pour la plupart, un lien historique parfois étroit avec le RDPC », le parti au pouvoir. « Cependant, pointe encore le site camerounais, le Conseil constitutionnel reste incontournable, bien malgré tout. Depuis quelques jours, de nombreux appels vont en direction de cette instance, seule compétente, pour qu'elle dise la vérité telle que sortie des urnes ». Petits arrangements ? En attendant, des tractations ont eu lieu en coulisses… C'est ce que dévoile Jeune Afrique. Jeune Afrique qui croit savoir que « de discrètes négociations ont été entamées entre l'ancien ministre et le chef de l'État sortant, via des intermédiaires. C'est notamment par l'entremise du gouverneur de la région du Nord, Jean Abaté Edi'i, que le président Biya a approché Tchiroma Bakary avec une proposition audacieuse : un poste de Premier ministre. La rencontre a eu lieu à Garoua, au domicile de l'ancien ministre, en fin de semaine dernière. En échange de la primature et de la promotion de certains de ses proches dans le gouvernement et l'administration, l'opposant devait accepter de freiner sa contestation électorale. Les émissaires du pouvoir, affirme encore Jeune Afrique, auraient mis dans la balance, en échange d'une reconnaissance par l'opposant de la victoire de son adversaire, une réforme expresse du code électoral, laquelle interviendrait avant les prochaines législatives, prévues en 2026. La proposition a été appuyée par plusieurs diplomates étrangers, favorables à ce que Tchiroma Bakary saisisse cette main tendue et favorise une sortie de la crise électorale qui s'annonce ». Un « plan d'action » ? Toutefois, l'intéressé aurait refusé. « Selon les mots d'un de ses lieutenants, contacté par Jeune Afrique, Tchiroma Bakary considère cette proposition comme une tentative de “neutralisation politique“ de la part de Paul Biya. “Tout ce qu'Issa Tchiroma Bakary exige, c'est la reconnaissance de la vérité des urnes“, affirme encore ce lieutenant ». Bref, « sur le terrain, la tension reste palpable », pointe Jeune Afrique qui affirme que « le camp Tchiroma Bakary prépare un plan d'actions pour “défendre la victoire populaire“ dès la publication du verdict final par le Conseil constitutionnel, qui doit intervenir au plus tard dimanche. Des manifestations de grande ampleur pourraient être déclenchées, malgré l'interdiction de tout rassemblement public par les autorités locales ». Une vraie-fausse rupture ? WakatSéra au Burkina Faso résume la situation avec cette formule : « deux vainqueurs en attendant le Conseil constitutionnel ! » WakatSéra qui émet des doutes sur la véracité de l'opposant. Le site ouagalais rappelle en effet que « Tchiroma Bakary qui se présente aujourd'hui comme adversaire du président Biya, a été, pendant longtemps, son ministre des Transports, ensuite de la Communication et enfin, de l'Emploi et de la formation professionnelle. Sa route ne s'est séparée d'avec celui du pouvoir que quelques mois avant la présidentielle, en juin dernier. Toute chose conclut WakatSéra, qui n'a pas manqué de susciter bien des interrogations et des doutes autour de cette rupture inattendue ! »

Maintenant, vous savez
Comment fonctionne le dispositif “alerte enlèvement” ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 5:10


Une "alerte enlèvement" a été déclenchée ce mardi 21 octobre pour Rayan, 13 ans, enlevé lundi à 18h à Panazol (Haute-Vienne). Le garçon aurait été enlevé par un homme et une femme. Une précédente alerte avait été lancée le 6 octobre pour une fillette de 3 ans disparue dans l'Orne. Son père, principal suspect, avait été interpellé deux jours plus tard près de Vannes avec sa fille saine et sauve. Chaque année, on compte environ 50 000 signalements de disparitions de mineurs en France selon l'Office central pour la répression des violences aux personnes. Cependant, seuls certains cas déclenchent “l'alerte enlèvement”. D'où vient le dispositif "alerte enlèvement" ? Quel est son déroulé ? De quoi exactement l'enquête est-elle faite ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Samuel Lumbroso. Première diffusion : juin 2023 À écouter aussi : ⁠Qu'est-ce que le seuil d'alerte maximal ?⁠ ⁠Qui sont les enfants volés ?⁠ ⁠Qu'est-ce que l'affaire du fichage des enfants musulmans ?⁠ Retrouvez tous les épisodes de ⁠"Maintenant vous savez".⁠ Suivez Bababam sur ⁠Instagram⁠. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Le fil sciences
Bricolage du vivant : jusqu'où ira le génie génétique ?

Le fil sciences

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 39:21


durée : 00:39:21 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Les avancées en génie génétique et en biotechnologie offrent des progrès significatifs en médecine, notamment dans le traitement de maladies génétiques. Cependant, des questions éthiques surgissent concernant l'amélioration de l'humain. Que peut la modification génétique, et comment l'encadrer ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
Fourrière : un nouveau service en ligne pour récupérer votre voiture plus rapidement

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

Play Episode Listen Later Oct 18, 2025 4:03


Dans cet épisode, Roland Pérez présente un nouveau service en ligne mis en place par la délégation à la sécurité routière. Ce service permet désormais d'obtenir l'autorisation de sortie de fourrière sans avoir à passer par le commissariat ou la gendarmerie, une procédure souvent longue et fastidieuse. Roland Pérez explique comment fonctionne ce nouveau téléservice, qui permet de vérifier si votre véhicule a bien été placé en fourrière, d'en connaître le motif, la date, l'heure et le lieu exact. Il détaille également la procédure à suivre pour télécharger l'autorisation de sortie directement en ligne, en se connectant avec France Connect.Cependant, certaines limitations subsistent, notamment pour les véhicules déplacés lors d'événements spéciaux à Paris. Roland Pérez donne également des conseils pour rester calme et bien vérifier que toutes les informations ont bien été mises à jour dans le système avant de se rendre à la fourrière.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Eco d'ici Eco d'ailleurs
Rwanda-RDC : les enjeux économiques du conflit

Eco d'ici Eco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Oct 17, 2025 54:15


L'est de la République Démocratique du Congo est au cœur d'un conflit qui fait rage depuis plusieurs années. D'un côté, les forces congolaises, de l'autre, le M23 soutenu par le Rwanda voisin. De nombreux morts, des blessés et des populations appauvries, prises en étau dans une zone riche en matières premières, source de convoitises et de trafics. Alors que des négociations de paix sont en cours sous l'égide des États-Unis et du Qatar. Décryptage des enjeux économiques et géopolitiques d'un conflit qui paralyse toute une région.

Éco d'ici éco d'ailleurs
Rwanda-RDC : les enjeux économiques du conflit

Éco d'ici éco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Oct 17, 2025 54:15


L'est de la République Démocratique du Congo est au cœur d'un conflit qui fait rage depuis plusieurs années. D'un côté, les forces congolaises, de l'autre, le M23 soutenu par le Rwanda voisin. De nombreux morts, des blessés et des populations appauvries, prises en étau dans une zone riche en matières premières, source de convoitises et de trafics. Alors que des négociations de paix sont en cours sous l'égide des États-Unis et du Qatar. Décryptage des enjeux économiques et géopolitiques d'un conflit qui paralyse toute une région.

Oh My Goal - France
Comment Mbappé et le Real Madrid ont DÉTRUIT Rodrygo

Oh My Goal - France

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 29:12


Rodrygo, véritable pépite révélée par Santos FC, s'est imposé comme un joueur essentiel au Real Madrid, contribuant de manière décisive à la conquête de prestigieux trophées, notamment la Ligue des Champions. Sa rapidité, son intelligence de jeu et son sens du but ont fait de lui un élément clé dans l'effectif madrilène. Plus qu'un simple talent, Rodrygo a toujours manifesté un profond attachement pour le Real Madrid, un amour nourri depuis son enfance.Pour plus de vidéos et interviews sur tes joueurs préférés, abonne-toi à Colinterview !Cependant, l'arrivée imminente de Kylian Mbappé pourrait bouleverser l'équilibre de l'équipe. De nombreux observateurs imaginent déjà Rodrygo relégué sur le banc pour les grands matchs, au profit du champion français. Cette situation suscite des interrogations, d'autant plus que l'attaquant brésilien n'a même pas été nommé pour le Ballon d'Or 2024, un oubli injuste aux yeux de nombreux fans et experts.

Choses à Savoir SANTE
Peut-on manger les coquilles d'œufs ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 1:50


À première vue, l'idée peut sembler étrange, voire peu appétissante. Pourtant, cette fine carapace blanche qui protège le jaune et le blanc n'est pas un simple emballage jetable : elle contient des ressources nutritives insoupçonnées.La coquille d'œuf est composée à près de 95 % de carbonate de calcium. C'est exactement le même minéral qui constitue nos os et nos dents. En termes de densité de calcium, c'est même l'une des sources naturelles les plus concentrées : une coquille d'œuf moyenne en contient environ deux grammes, soit deux fois plus que l'apport quotidien recommandé pour un adulte. De quoi intriguer les chercheurs en nutrition.Mais peut-on vraiment la consommer telle quelle ? La réponse est oui, mais pas sans précautions. D'abord, la coquille crue peut contenir des bactéries comme la salmonelle. Elle ne doit donc jamais être ingérée directement sortie de l'œuf. La méthode la plus sûre consiste à la faire bouillir quelques minutes pour éliminer tout risque, puis à la laisser sécher. Ensuite, on peut la réduire en poudre très fine à l'aide d'un mortier ou d'un mixeur. Ce “complément maison” se mélange facilement à un yaourt, une soupe ou même à la pâte d'un gâteau.Les études montrent que le calcium issu de la coquille est bien absorbé par l'organisme, parfois même mieux que certaines formes synthétiques présentes dans les compléments alimentaires. On a aussi découvert que la coquille renferme des oligo-éléments intéressants comme le magnésium, le zinc ou le fluor, qui participent à la solidité des os. C'est pourquoi, dans certains pays, on recommande cette poudre de coquille pour prévenir l'ostéoporose, notamment chez les personnes âgées.Cependant, attention : manger des coquilles d'œufs n'est pas une solution miracle. Une consommation excessive peut provoquer des troubles digestifs ou des calculs rénaux à cause d'un excès de calcium. Et tout le monde n'a pas envie de transformer sa cuisine en laboratoire pour stériliser et moudre ses coquilles.En résumé, oui, on peut manger les coquilles d'œufs, mais sous forme de poudre stérilisée et en quantité raisonnable. Ce n'est pas un aliment du quotidien, mais plutôt un complément ponctuel, naturel et économique. Une belle preuve que même ce que l'on considère comme un simple déchet peut, en réalité, devenir une ressource précieuse pour la santé. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Invité Afrique
Est de la RDC: «Nous proposons d'acheminer les médicaments», dit François Moreillon, de la Croix-Rouge

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 11:26


Urgence médicaments dans l'est de la République démocratique du Congo. Dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, plus de 80% des centres de santé connaissent de graves ruptures de stocks de médicaments. Et ceux-ci sont souvent essentiels à la survie des patients. C'est le cri d'alarme que lance le CICR, le Comité International de la Croix-Rouge, dans un rapport publié hier. Explications de François Moreillon, qui est le chef de délégation du CICR en RDC et qui s'exprime aussi sur les discussions en cours entre les belligérants pour un échange de prisonniers. RFI : Vous dites que, dans près de 40 % des centres de santé, le personnel soignant a pris la fuite. Pourquoi cette débandade ? François Moreillon : Eh bien, écoutez d'abord, ces structures ont souvent été affectées, visitées, pillées, parfois ont reçu des éclats d'obus sur les structures même. Évidemment, le personnel de santé, qui se sent menacé par cette situation, la quitte. Par la suite, ce sont les manques de moyens qui affectent ces structures et qui expliquent aussi que certains du staff n'ont plus la motivation nécessaire pour rentrer, puisqu'ils n'ont plus les moyens d'agir. Donc je pense que la raison principale est le manque de respect pour le droit international humanitaire par les parties. Est-ce qu'il y a certains centres de santé où le personnel soignant est revenu ces dernières semaines ? Oui. Par exemple, le CICR soutient quatre de ces structures qui avaient vu une perte de leur personnel et, suite à notre intervention, nous avons vu un retour de certains de ces éléments. Donc, la partie n'est pas perdue. Il y a des mesures à prendre pour changer cette situation, mais à l'heure actuelle, la tendance est très négative. Alors, le sujet le plus grave dans votre rapport, c'est la rupture de stock de médicaments. Est-ce que c'est parce qu'ils ne sont plus disponibles ou parce qu'ils ne peuvent plus être acheminés jusqu'aux centres de santé ? D'abord, il y a des problèmes pour assurer le transfert fluide de ces médicaments. Ceux-ci étaient souvent transportés par avion. Les aéroports sont fermés. De plus, les lignes de front bloquent l'accès à des structures et à des stocks encore existants. Donc, c'est un concentré de plusieurs dimensions qui amène à cette situation. Et nous avons d'ailleurs offert nos services afin de faciliter le transfert de ces médicaments vers les structures de santé qui en ont le plus besoin, et ce, des deux côtés de la ligne de front. Et j'insiste sur ce point. Est-ce que vous, avec votre drapeau Croix-Rouge, vous pouvez aider les stocks de médicaments à franchir les barrages ? Oui, effectivement, nous le pouvons. Nous l'avons fait encore une fois par le passé, dans le Rutshuru, le Masisi notamment, et nous nous offrons pour acheminer ces médicaments. Quels efforts particuliers faites-vous, au niveau du CICR, pour limiter la gravité des faits depuis la bataille de Goma de janvier dernier ? Alors, nous soutenons de multiples structures de santé, des hôpitaux, avec nos équipes, notamment nos équipes de chirurgie de guerre. Nous avons mené de nombreuses interventions au bénéfice de déplacés récents, que ce soit en nourriture, en cash ou en biens essentiels de ménage, mais également au bénéfice des populations retournées, dont la nature des besoins peut être différente, en les appuyant également en semences et outils aratoires. Depuis sa création en 1864, il y a bientôt 200 ans, la Croix-Rouge s'occupe aussi des prisonniers de guerre et des détenus liés au conflit. Est-ce que, depuis la bataille de Goma de janvier dernier, vous avez pu rendre visite à certains de ces détenus ? Alors le CICR visite effectivement certains lieux de détention. Cependant, il y a beaucoup d'individus auxquels nous n'avons pas encore accès. Nous négocions ces accès. Nous espérons pouvoir visiter davantage de personnes arrêtées en lien avec le conflit, mais la situation reste encore très en deçà de nos attentes. Il y a actuellement des pourparlers à Doha, au Qatar, entre le gouvernement congolais et les rebelles du M23. Je crois d'ailleurs que vous même avez pu assister, il y a quelques jours, à l'une des séances de ces pourparlers sur place… Effectivement. Comme le disait ce mercredi sur RFI le vice-Premier ministre congolais Jacquemain Shabani, le CICR peut faciliter un éventuel échange de prisonniers. Pensez-vous qu'un tel échange peut avoir lieu bientôt ? Alors, le CICR a effectivement été mandaté dans le cadre de l'accord de principe de Doha afin de faciliter, en tant qu'intermédiaire neutre, l'échange de détenus entre les deux parties que sont l'AFC M23 et le gouvernement. Donc, dans ce cadre, nous avons effectivement participé aux discussions à Doha. Un accord sur le mécanisme a été obtenu, ce qui est une avancée importante. Le CICR, maintenant, travaille avec les parties pour mettre en œuvre ce mécanisme. C'est un processus complexe qui prend du temps, mais le CICR, encore une fois, n'a qu'un rôle de facilitateur. Ce n'est pas nous le maître des horloges, et nous sommes là pour faciliter ce à quoi les parties s'entendent. Oui, parce que dans le mécanisme, il y a des questions juridiques à régler, c'est ça ? C'est effectivement ce qui a été expliqué de ce que je comprends par le vice-Premier ministre sur votre antenne. Et donc ça prend du temps, c'est un marathon et non un sprint.

Choses à Savoir SANTE
Pourquoi les sœurs Genain sont-elles devenues un cas emblématique de la psychiatrie ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 2:35


Dans l'histoire de la psychiatrie, rares sont les cas qui ont marqué autant que celui des sœurs Genain. Nées en 1930 dans le Midwest américain, ces quadruplées monozygotes – donc génétiquement identiques – ont toutes développé une schizophrénie vers l'âge de 24 ans. Leur histoire a fasciné les chercheurs, car elle semblait offrir un « laboratoire naturel » pour comprendre l'origine de cette maladie mentale complexe.Dès les années 1950, les sœurs furent intensivement étudiées par le National Institute of Mental Health (NIMH). L'idée était simple : si quatre individus partageant le même patrimoine génétique présentent la même pathologie, cela suggère un rôle majeur de la biologie et de l'hérédité. Mais ce qui intrigua encore davantage, c'est que la sévérité de la maladie variait d'une sœur à l'autre. Deux furent gravement handicapées par leurs symptômes, tandis que les deux autres conservèrent une certaine autonomie. Cela a renforcé l'hypothèse que, si la génétique est déterminante, l'environnement module la gravité et l'expression des troubles.Les chercheurs ont longtemps présenté les sœurs Genain comme une « preuve vivante » du caractère héréditaire de la schizophrénie. Elles ont ainsi été mentionnées dans d'innombrables manuels et articles scientifiques. Cependant, à mesure que l'on en apprenait davantage sur leur histoire personnelle, un autre récit a émergé, beaucoup plus sombre et nuancé.Les Genain – un pseudonyme choisi pour préserver leur anonymat – ont grandi dans une famille profondément dysfonctionnelle. Leur père, autoritaire et abusif, les a maltraitées psychologiquement et physiquement. Des témoignages suggèrent aussi des abus sexuels. La mère, soumise et distante, n'a pas protégé ses filles. Dans ce contexte de traumatisme répété, il devient difficile de considérer la schizophrénie des quadruplées comme uniquement le produit de leurs gènes.Aujourd'hui, les spécialistes regardent ce cas avec beaucoup plus de prudence. Oui, la concordance entre les quatre sœurs souligne l'importance du facteur génétique dans la schizophrénie. Mais leur enfance marquée par la violence et la peur a sans doute été un puissant catalyseur. Le cas des Genain illustre donc parfaitement ce que l'on appelle le modèle « vulnérabilité-stress » : une prédisposition biologique peut exister, mais c'est l'interaction avec des événements traumatisants ou un environnement délétère qui détermine l'émergence et la sévérité de la maladie.Ainsi, les sœurs Genain rappellent aux chercheurs et aux cliniciens qu'aucune explication ne peut être purement génétique ou purement environnementale. Leur histoire tragique est devenue un avertissement : derrière les données scientifiques se cachent toujours des vies marquées par la souffrance et la complexité humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : une difficile rentrée scolaire à cause de l'insécurité

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 6, 2025 30:00


En raison de l'insécurité qui sévit dans le pays, l'année académique 2025-2026 a officiellement débuté seulement le 1er octobre. Cependant, cette date n'a pas pu être respectée dans certaines villes. Un dossier réalisé par Ronel Paul. Dans la ville des Gonaïves, seules quelques écoles, comme celles de la Congrégation des Clercs de Saint Viateur, ont rouvert leurs portes le 1er octobre. Au Collège de l'Immaculée de Conception, le père Éric Cothière salue une reprise encourageante malgré un climat de peur qui freine encore beaucoup de familles. Environ 60% des élèves étaient présents pour cette première journée marquée à la fois par la joie et la crainte, explique-t-il au micro de Ronel Paul. D'autres établissements, comme l'institution Justin Dévot, ont préféré reporter la rentrée au lundi suivant, par mesure de prudence. Sa directrice, Bertolette Baubrun, appelle parents et enseignants à la vigilance face à l'insécurité persistante. Dans plusieurs communes de l'Artibonite — Liancourt, Petite-Rivière ou encore l'Estère — la situation est encore plus critique : les écoles y restent fermées, sous la menace des gangs. Pour Didier Pierre, directeur adjoint de l'Éducation dans le département, il y a urgence à agir. Les conséquences sont déjà visibles : le taux de réussite au baccalauréat plafonne à 30%. «Nos enfants souffrent beaucoup de cette situation», déplore-t-il, alors que les troubles continuent de paralyser l'éducation dans la région.   Comment obtenir la nationalité américaine sous la présidence Trump Avec les règles d'immigration plus dures et les politiques d'expulsion de migrants de Donald Trump cette question est devenue de plus en plus importante pour certaines personnes aux États-Unis. Même s'ils disposent d'un titre de séjour, certains migrants sont arrêtés par la police de l'immigration. La nationalité américaine devient donc importante, c'est un sésame pour éviter les ennuis et arrestations mais l'obtenir n'est pas si simple. Il y a de nombreuses conditions à remplir et face à ces tracas administratifs, certaines organisations proposent de soutenir ceux et celles qui demandent la citoyenneté américaine. Reportage dans la banlieue d'Atlanta d'Edward Maille. Donald Trump s'en prend de nouveau à la sécurité sociale C'est une information exclusive du Washington Post. L'administration Trump prépare une réforme qui rendrait plus difficile l'accès aux allocations d'invalidité pour les Américains âgés. Le projet supprimerait tout simplement l'âge comme critère d'évaluation de la capacité à travailler. Aujourd'hui, les plus de 50 ans ont davantage de chances d'obtenir ces aides, car l'âge est reconnu comme un frein à la reconversion professionnelle. Selon Jack Smalligan, de l'Urban Institute, une réduction de 10% du nombre de bénéficiaires priverait environ 750 000 personnes de prestations sur dix ans — pour une économie estimée à 82 milliards de dollars. La réforme serait pilotée par Russell Vought, directeur du Budget à la Maison Blanche, qui avait déjà tenté d'instaurer ces changements lors du premier mandat de Donald Trump. Les partisans de la mesure affirment qu'avec la numérisation du travail, davantage de personnes handicapées peuvent désormais occuper des emplois de bureau, ce qui justifierait un durcissement des critères. Mais pour les démocrates, c'est une attaque frontale contre la sécurité sociale. Le sénateur Ron Wyden parle de «la plus grande coupe de l'histoire de l'assurance invalidité» et accuse les républicains de vouloir forcer les Américains à travailler jusqu'à un âge avancé.   Le gouvernement brésilien s'inquiète du durcissement de la politique migratoire au Portugal Une nouvelle loi qui pénalise surtout les Brésiliens, la plus importante communauté étrangère du pays. Selon la Folha de São Paulo, les autorités brésiliennes ont envoyé une délégation à Lisbonne pour tenter de négocier un «traitement différencié» pour leurs ressortissants, au nom de la réciprocité : car, rappelle le quotidien, les Portugais bénéficient au Brésil de nombreux avantages, comme la possibilité d'obtenir la nationalité après seulement un an de résidence. La nouvelle législation portugaise met fin à la possibilité d'entrer comme touriste pour ensuite demander un permis de séjour sur place. Les démarches devront désormais être faites avant le départ, dans les consulats. La loi restreint aussi la réunification familiale et réserve les visas de travail aux «profils hautement qualifiés». D'après le journal Público, ce sont justement les nouvelles règles sur le regroupement familial qui inquiètent le plus Brasilia. Pour l'instant, le gouvernement brésilien n'envisage pas de mesures de rétorsion : «il s'agit de ne pas pénaliser les Portugais au Brésil, mais la réciprocité reste sur la table», écrit la Folha de São Paulo.   Journal de la 1ère Les conséquences de la démission du Premier ministre Sébastien Lecornu aux Antilles.  

Le Coin Du Crime
Repost : La seringue du docteur Cosme : presque 30 ans après...

Le Coin Du Crime

Play Episode Listen Later Oct 5, 2025 45:03


À Nice, deux hommes influents, Dominique Cosme et Pascal Vito, se rencontrent et fondent un laboratoire d'analyses médicales. Leur succès professionnel est doublé d'une forte amitié et d'une appartenance à la franc-maçonnerie. Cependant, la mort mystérieuse de Pascal en 1996 ébranle leur cercle.Que lui est-il arrivé ? Les circonstances mystérieuses de son décès bouleversent tout son entourage. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Journal d'Haïti et des Amériques
Le nouvel album «pop» de Taylor Swift

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 30:00


C'est l'un des disques les plus attendus de l'année qui est sorti ce vendredi (3 octobre 2025). La mégastar américaine Taylor Swift a dévoilé The Life of a Showgirl. Un 12è album de 12 titres, résolument pop. Il s'annonce déjà comme un triomphe avec déjà plus de cinq millions de pré-enregistrements sur Spotify. Un record pour la plateforme suédoise. Edmond Sadaka a écouté ce disque composé essentiellement de «morceaux dansants avec des sonorités rappelant les années 80». «Taylor Swift qui a souvent exorcisé ses déceptions amoureuses en musique, célèbre cette fois son fiancé, le footballeur américain Travis Kelce, sur le morceau «Wish List»», explique le journaliste. Comme la chanteuse de 35 ans aime brouiller les frontières entre nostalgie et renouveau, elle rend hommage a George Michael disparu en 2016 en reprenant l'un de ses plus grands succès «Father Figure». Mais comme on ne change pas une formule qui gagne, les ballades ont aussi la part belle. Et la country transparaît dans quelques morceaux, dont le duo final avec la nouvelle star de la pop, Sabrina Carpenter.   Nouveau camouflet pour Javier Milei En Argentine, c'est un double revers cinglant pour Javier Milei et sa politique d'austérité. Jeudi (2 octobre 2025), le Parlement a rejeté deux vetos que le président argentin avait opposés à des textes augmentant le budget des universités et des hôpitaux pédiatriques. Un coup d'arrêt à l'austérité célébré par les communautés médicale et universitaire. Reportage de notre correspondant Théo Conscience qui était devant le Parlement au moment du vote, hier. Le président argentin est aussi éclaboussé par un nouveau scandale de corruption impliquant l'un de ses fidèles. José Luis Espert, député de la province de Buenos Aires, est accusé d'avoir reçu de l'argent d'un trafiquant de drogue, Fred Machado. «Je ne suis pas un délinquant», assure l'économiste dans une vidéo publiée hier, sur X, et repostée par le président argentin. Une vidéo «approuvée au préalable par des fonctionnaires très proches de Javier Milei», affirme le quotidien Pagina 12. Le député libertarien, mis au pied du mur par des révélations du journal La Nacion, y affirme qu'il a bien reçu 200.000 dollars d'une entreprise liée à Fred Machado. Mais il s'agit d'une rétribution pour un travail qu'il a effectué en tant qu'économiste, pas de l'argent pour financer sa campagne de 2019, assure-t-il. Une nouvelle version des faits alors que «jusqu'à présent, José Luis Espert avait livré des explications erratiques», relève Clarin. José Luis Espert accuse le camp de l'ancienne présidente Cristina Kirchner de gonfler cette affaire afin qu'il perde lors des législatives de fin octobre. Une théorie défendue également par Javier Milei qui ne lâche pas son «ami», comme l'écrit Pagina 12, «alors qu'au sein du gouvernement, on ne voit pas les choses de la même manière et on pousse Espert à donner des explications claires, ce qu'il n'a toujours pas réussi à faire», poursuit le quotidien. Selon Pagina 12, le camp de Javier Milei commence à douter du président et à s'inquiéter de sa «mauvaise gestion des différentes crises» actuelles. Noël au Venezuela Depuis mercredi (1er octobre 2025), c'est Noël au Venezuela. Cela fait plusieurs années que Nicolas Maduro lance les festivités de Noël avant l'heure «dans le but de détourner l'attention des citoyens» de la situation du pays et des problèmes qu'ils connaissent, écrit Tal Cual. L'Église catholique a déjà protesté par le passé, estimant que cette fête ne doit pas être utilisée à des «fins de propagande ou dans un intérêt politique particulier», rappelle le journal en ligne. Cette année, ce Noël très en avance a suscité de nouvelles critiques car pour marquer le coup, le pouvoir a tiré des feux d'artifices et illuminé l'Helicoide, à Caracas, un immeuble à l'architecture bien particulière de la capitale mais surtout «le principal centre de détention et de torture du Venezuela», explique le quotidien argentin Infobae. Ce spectacle pyrotechnique a, donc, provoqué de nombreuses réactions. Plusieurs ONG qui défendent les droits humains dénoncent «la cruauté» et le «sadisme» de Nicolas Maduro, indique Tal Cual. Indignation également de l'opposition qui parle d'un «acte pervers et inhumain», rapporte El Nacional.   Des soldates répondent à P. Hegseth Aux États-Unis, l'intervention de Pete Hegseth devant les généraux et les amiraux mardi continue de faire réagir. Le New York Times donne la parole à deux anciennes soldates choquées d'avoir entendu Pete Hegseth affirmer qu'elles n'avaient pas vraiment mérité leur place au sein de l'armée. Selon lui, les critères physiques ont été revus à la baisse, ces dernières années, pour permettre aux femmes de s'enrôler. Une affirmation qui ne repose sur aucune preuve, souligne le quotidien américain qui rappelle que pour rejoindre l'armée, «hommes et femmes doivent attendre des niveaux physiques différents mais pour les postes les plus hauts, les plus exigeants, les standards sont les mêmes». «Je n'ai pas reçu de traitement de faveur. J'ai passé les tests comme tout le monde», explique au New York Times, la colonel Kate Wilder, première femme diplômée de l'École des Forces spéciales. «J'ai dû travailler très très dur pour en arriver là. J'ai même travaillé plus dur que mes collègues hommes pour être prise au sérieux et obtenir les postes que je voulais», raconte également la capitaine à la retraite Bobbie Scholley. Dégoûtée, elle n'a pas réussi à suivre en entier l'intervention de Pete Hegseth, mardi soir.   La Poste haïtienne menacée Comme tous les premiers vendredis du mois, nous retrouvons la rédaction d'Ayibopost en Haïti. Lucnise Duquereste évoque la situation de l'Office des postes d'Haïti (OPH), en grande difficulté. Depuis deux-trois ans, les recettes de la poste haïtienne ont chuté de 95%, à cause essentiellement de la situation dans le pays. Le siège de l'institution vieille de 150 ans, situé à Port-au-Prince, a ainsi été attaqué par les gangs en début d'année. «De plus, depuis novembre 2024, le service postal américain (USPS), l'équivalent américain chargé de la distribution et de l'acheminement du courrier aux États-Unis et à l'international, a suspendu ses opérations avec Haïti après la décision de la Federal Aviation Administration (FAA) d'interdire tous les vols américains en raison de l'insécurité jusqu'en mars 2026», peut-on lire dans l'article d'Ayibopost. Un décret de 1987 limite également son champ d'action : la Poste «ne peut pas offrir de services financiers», explique Lucnise Duquereste. Joueur de football en Haïti Le football est le sport roi en Haïti, particulièrement dans les villes de province. Aux Gonaïves, chef-lieu du département de l'Artibonite, chaque été, les rues vibrent au rythme des championnats inter-quartiers. Le plus populaire d'entre eux, le «Mundialito», attire des centaines de spectateurs et permet à de nombreux jeunes de révéler leur talent, tout en offrant un moment de divertissement à la population. Cependant, derrière cette passion se cache une triste réalité : les infrastructures sportives de la ville tombent en ruine. Les trois principaux terrains de football sont aujourd'hui en piteux état, faute d'entretien et de budget. Reportage de Ronel Paul et Wilguens Garçon.   Le journal de la 1ère La Guadeloupe a connu un rebond économique en 2024, notamment grâce aux touristes qui étaient plus nombreux et ont dépensé davantage.

C dans l'air
Sarkozy : la prison et l'onde de choc - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 64:02


C dans l'air du 26 septembre 2025 - Sarkozy : la gauche jubile, la droite demande « grâce »« La Taule », « Le déshonneur », « L'humiliation ». La presse française comme étrangère n'y va pas de main morte pour commenter la condamnation de Nicolas Sarkozy à cinq ans de prison ferme. Le caractère inédit de la situation est mis en avant, car c'est la première fois qu'un ancien chef de l'Etat de la cinquième République passera derrière les barreaux.Les réactions politiques non plus n'ont pas manqué. Si Marine Le Pen pointe du doigt le danger de la « généralisation de l'exécution provisoire » et la « tyrannie des juges », la gauche, elle, salue le travail de la justice et ironise sur ce « quinquennat » en prison. Côté Républicains, la colère domine, de Laurent Wauquiez à Éric Ciotti. Tous rappellent qu'aucune preuve de corruption n'a été établie durant le procès. Certains demande la grâce présidentielle, comme l'ancien député Henri Guaino.L'affaire Sarkozy-Khadafi, celle qui mènera donc l'ancien président de la République en prison, a été révélée par Médiapart en 2012. Depuis l'affaire Cahuzac, le média fondé par Edwy Plenel a révélé de nombreux scandales obligeant certaines personnalités à démissionner ou faire face à la justice. Médiapart est depuis longtemps dans le viseur de nombreux politiques, mais le média tient, et reste indépendant. Cependant, le document révélé en 2012, et signé par Moussa Koussa, alors chef des services de renseignements extérieurs libyens, semble faux aux yeux de la justice. Pendant ce temps, aux États-Unis, Trump utilise lui son ministère de la Justice pour continuer sa chasse aux sorcières. James Comey, ex-directeur du FBI, vient d'être inculpé pour entrave et fausses déclarations. Il avait été limogé par Trump durant son premier mandat, alors qu'il enquêtait sur des soupçons d'ingérences étrangères. Il y a quelques jours, le président des États-Unis a publiquement exhorté la ministre de la justice, Pam Bondi, à poursuivre plusieurs de ses adversaires politiques.Alors, pourquoi la condamnation de Sarkozy génère autant d'émotions ? Quel rôle joue aujourd'hui Médiapart dans la vie politique française ? Comment Trump utilise-t-il la justice à ses fins personnelles ?LES EXPERTS :- Laurent VALDIGUIÉ - Journaliste à Marianne- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique à France Télévisions- Caroline MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service France du Nouvel Obs- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion à l'Institut de sondages IFOP, auteur de La France d'aprèsPRÉSENTATION : Caroline Roux - Aurélie casse - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM :https://www.instagram.com/cdanslair/