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Hello hello ! J'espère que vous allez bien. Dans cet épisode, on parle de l'hypocrisie familiale. Un sujet qui fâche (car toi et moi on sait combien certains membres de notre famille PEUVENT être hypocrites). Dans une sphère sociale, qu'on n'a pas choisi et qu'on aime : comment se positionner ?C'est ce que je partage avec toi aujourd'hui. Si tu te poses cette question, l'épisode est pour toi. Retrouve le contenu exclusif de la Newsletter : Accueil | My Site 2 (wendy5211.wixsite.com)Pour soutenir le Podcast : https://paypal.me/weendygrace?country.x=FR&locale.x=fr_FR
durée : 00:02:36 - Nos plantes d'interieur peuvent-elles être locales ? - par : Nathalie Mazet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans l'océan Indien occidental, c'est une mission scientifique de près de trois mois qui s'est achevée le 2 juillet dernier. Une quinzaine de chercheurs embarqués à bord du navire le Plastic Odyssée ont parcouru les mers entre l'île Maurice, Madagascar, les Seychelles et les Comores. Parmi les études menées, l'une, particulièrement importante pour la santé humaine, porte sur l'étude des bactéries pathogènes présentes sur les plastiques. Notre envoyée spéciale Sarah Tétaud a pu rencontrer Thierry Bouvier, le chef de cette grande mission océanographique. Cette mission, financée par l'Agence française de Développement et le Fonds français pour l'Environnement mondial, et pilotée par la Commission de l'océan Indien et l'IRD/CNRS, avait notamment pour objectif d'échantillonner les plastiques flottants en haute mer et dans les lagons ainsi que ceux échoués sur les plages pour mesurer précisément leur quantité, leur répartition, leur impact sur l'écosystème marin et leur dérive dans cette partie du globe. RFI : Thierry Bouvier, vous êtes actuellement en pleine campagne océanographique à bord du Plastic Odyssée avec toute une équipe de chercheurs. Vous-même êtes chercheur en microbiologie au CNRS et l'IRD pour le laboratoire Marbec. Vous êtes présentement affecté à l'Institut halieutique et des sciences marines à Tuléar à Madagascar. Sur quoi porte votre recherche actuellement ? Nous essayons de travailler sur les risques que présentent les plastiques en mer pour la santé humaine. Alors, il existe un certain nombre de risques, comme par exemple le risque chimique, puisque le plastique est connu pour relarguer les substances qui sont nocives pour notre santé. Mais il y en a d'autres, comme par exemple le risque microbiologique.Ce risque est un petit peu moins connu. Aujourd'hui, il y a plusieurs équipes dans le monde qui commencent à travailler sur son estimation. Et ça consiste en fait à essayer de voir si les micro-organismes qui se développent sur ces plastiques représentent un danger pour notre santé. Pourquoi est-il important de regarder ce risque associé au plastique en mer ? C'est intéressant parce que contrairement par exemple à des particules de bois sur lesquelles les bactéries se développent aussi, en mer, les plastiques, eux, ils ne vont pas se dégrader. Ils vont rester très très longtemps en mer et, en plus, ils vont circuler avec les courants marins. Donc en fait, si ces plastiques sont des véhicules, des sortes de radeaux à bactéries qui seraient dangereuses pour notre santé, ils pourraient les transporter sur de longues distances. Et bien sûr, il y a le risque pour la santé qui est le cœur de la question. Pourquoi ? Parce que ces plastiques, on sait que, et notamment les petits plastiques, sont ingérés par les animaux marins et donc ces bactéries qui se retrouveraient sur ces plastiques intégreraient la chaîne alimentaire jusqu'à la consommation humaine ? Alors, concrètement, comment vous procédez ? On met en œuvre plusieurs étapes. Évidemment, la première c'est de savoir si ces bactéries potentiellement dangereuses pour notre santé sont présentes sur le plastique. En quelle quantité sont elles-là ? Qui sont-elles ? Et puis aussi est-ce qu'elles ont cette capacité de rester vivantes et donc éventuellement d'être infectieuses. Donc ça, c'est un prérequis en fait à notre estimation du risque, de caractériser ces bactéries potentiellement pathogènes. Alors, il y a déjà des études qui ont montré que les bactéries qui vivent attachées sur des supports, sur des surfaces par exemple, bénéficient d'un environnement qui est un peu plus protecteur par rapport à leur vie libre, par exemple dans l'eau. Et donc on peut faire l'hypothèse que sur les plastiques, ces bactéries qui seraient potentiellement dangereuses pour l'homme, y trouveraient un refuge pour vivre ou survivre plus longtemps dans l'environnement marin. Lorsqu'on connaîtra leur identité, qu'on saura si elles sont vivantes ou mortes, et qu'elles sont potentiellement virulentes, on cherchera aussi à savoir si ces bactéries sont résistantes à certains antibiotiques qu'on utilise pour lutter contre les infections qu'elles peuvent nous provoquer. Sous combien de temps peut-on espérer avoir des résultats de ces expérimentations, de ces observations ? Les expérimentations sont en cours. Ça nécessite un certain nombre d'analyses qui prennent parfois un peu de temps. Mais disons que dans les six prochains mois, on aura déjà une bonne idée de ce qui se passe sur ces plastiques dans la région. Une autre étape, très importante, sera de savoir si ces bactéries qu'on va trouver éventuellement sur ces plastiques sont transférées vers les animaux qui consomment ces plastiques. Thierry Bouvier, votre équipe composée de 15 chercheurs et ingénieurs de toutes les zones océan Indien, à savoir de Madagascar, de la Réunion, Maurice, les Seychelles et la France métropolitaine, avait déjà obtenu certains résultats ? Oui, on a commencé déjà à avoir certains résultats et notamment aussi à travers le travail d'étudiants qui sont en thèse, notamment à Madagascar où on s'aperçoit qu'en fait ces plastiques hébergent certaines bactéries comme par exemple Escherichia Coli qui est bien connue pour provoquer des gastro-entérites ou par exemple aussi Staphylococcus Aureus aussi appelé staphylocoque doré, qui est connu pour créer par exemple des infections de peau. Et on a trouvé qu'en fait, ces bactéries sont à peu près une dizaine de fois plus abondantes sur les plastiques marins que dans l'eau de mer. Et un autre résultat majeur, c'est qu'on s'est aperçu qu'une fois que ces plastiques sont ingérés par exemple, par des poissons ou des holothuries (les concombres de mer), les bactéries se détachent des plastiques et se retrouvent dans la lumière intestinale et sur les parois intestinales de ces animaux. Et donc l'enjeu à venir sera de savoir si ces bactéries qui sont transférées vers les animaux restent dangereuses et infectieuses pour l'homme qui consomme ces animaux. Et on peut espérer avoir ces résultats sous combien de temps ? C'est un programme de recherche qui va durer à peu près trois à quatre années avec comme je disais tout à l'heure des étudiants qui sont en thèse. Et donc leurs résultats seront connus et publiés sous deux à trois ans. À lire aussiPollution plastique: le navire «Plastic Odyssey» fait escale aux Comores
durée : 00:53:54 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Herbicide, insecticide, fongicide, l'utilisation des produits phytosanitaires est l'un des plus gros enjeux de l'agriculture française. Grand reportage dans les Hauts-de-France, territoires de grandes cultures, l'une des régions les plus consommatrices de pesticides. - réalisation : Annie Brault - invités : Sophie Thoyer Economiste, directrice de recherche à l'INRAE
durée : 00:58:54 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Herbicide, insecticide, fongicide, l'utilisation des produits phytosanitaires est l'un des plus gros enjeux de l'agriculture française. Grand reportage dans les Hauts-de-France, territoires de grandes cultures, l'une des régions les plus consommatrices de pesticides. - réalisation : Annie Brault
Rénover en 2025, comment s'y prendre & rentabiliser son investissement ?! Une étude menée par BNP Paribas Fortis auprès de 2.000 Belges s'est penchée sur la situation en Belgique : entre explosion des coûts, pression sur le PEB, aides encore floues et promesses politiques incertaines… il devient difficile de s'y retrouver. Dans ce nouvel épisode, on décrypte les aides disponibles, des différences entre un audit énergétique et un PEB, on parle rentabilité, financement, obligations à venir… et on fait le point sur le Plan climat ! Retrouvez de ce nouvel épisode : Vincent Gérin, Prof à l'ULB Solvay & CEO Anixton Atilla Tufekci, Expert en Achat-Revente Christophe De Beukelaer, Député & Président Les Engagés Bxl Marc Delforge, Expert BNP Eric Spitzer, CEO Immovlan Animé par Davy Courteaux Nos partenaires
C'est le gros débat du jour !
Une conférence sur la reconstruction de l'Ukraine se tient à Rome jeudi et vendredi. Elle intervient alors que la nuit dernière la Russie a lancé sa plus grande attaque de drones et de missiles depuis le début de l'invasion en février 2022. Tout cela dans un contexte de flou diplomatique : le Président américain Donald Trump a en effet annoncé en début de semaine la reprise de la livraison de certaines armes neuf jours après avoir décidé une pause. Que faut-il attendre de la position américaine ? Les Européens peuvent-ils soutenir l'Ukraine jusqu'à la fin de la guerre ? Pour en débattre : - Christine Dugoin-Clément, analyste en géopolitique, spécialiste de la Russie, autrice du livre Géopolitique de l'ingérence russe : la stratégie du chaos, Éditions PUF, chercheuse à la Chaire Risques de l'IAE à l'Observatoire de l'Intelligence Artificielle de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et au CREOGN. Auteure de Influence et manipulations : des conflits armés modernes aux guerres économiques, VA Éditions. - Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie, ancien directeur des départements d'Europe et d'Asie au Quai d'Orsay. Auteur du livre Fragments d'un parcours aventureux, aux éditions Temporis - Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors.
Une conférence sur la reconstruction de l'Ukraine se tient à Rome jeudi et vendredi. Elle intervient alors que la nuit dernière la Russie a lancé sa plus grande attaque de drones et de missiles depuis le début de l'invasion en février 2022. Tout cela dans un contexte de flou diplomatique : le Président américain Donald Trump a en effet annoncé en début de semaine la reprise de la livraison de certaines armes neuf jours après avoir décidé une pause. Que faut-il attendre de la position américaine ? Les Européens peuvent-ils soutenir l'Ukraine jusqu'à la fin de la guerre ? Pour en débattre : - Christine Dugoin-Clément, analyste en géopolitique, spécialiste de la Russie, autrice du livre Géopolitique de l'ingérence russe : la stratégie du chaos, Éditions PUF, chercheuse à la Chaire Risques de l'IAE à l'Observatoire de l'Intelligence Artificielle de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et au CREOGN. Auteure de Influence et manipulations : des conflits armés modernes aux guerres économiques, VA Éditions. - Claude Blanchemaison, ancien ambassadeur de France en Russie, ancien directeur des départements d'Europe et d'Asie au Quai d'Orsay. Auteur du livre Fragments d'un parcours aventureux, aux éditions Temporis - Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale à l'Institut Jacques Delors.
THINK WITH FARAH - Entrepreneuriat, développement personnel et émotionnel
On t'a toujours dit de respecter tes valeurs.De les suivre comme un GPS intérieur. De bâtir ton business autour d'elles.Mais si certaines de tes valeurs, celles que tu crois fondamentales, sont justement ce qui te retient de passer au niveau supérieur.Yuuup. I said it.
Pour Jean-Luc Dupriez, les luttes syndicales sont essentielles dans le combat contre le capitalisme et les organisations doivent toujours privilégier l'union, autrement dit renoncer à l'hégémonie, en acceptant donc le pluralisme▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Voici une question d'actualité qui agite désormais très fort le monde de l'éducation.Avec la montée en puissance de l'intelligence artificielle, cette technologie peut-elle sauver les enseignants d'une charge de travail écrasante ?D'après une étude états-unienne publiée la semaine dernière par Gallup et la Fondation Walton, il y a des raisons d'y croire. Voici trois points à retenir.L'IA bien utilisée assure un gain de temps tout à fait spectaculaireLe premier point c'est que pour les professeurs, l'IA bien utilisée assure un gain de temps tout à fait spectaculaire. Selon le sondage mené auprès de plus de 2200 enseignants des écoles publiques américaines, 30 % utilisent déjà l'IA chaque semaine.Résultat, ces 30 % de professeurs et d'instituteurs jugent économiser, tenez vous bien, près de six heures de travail par semaine. Oui, c'est l'équivalent de six semaines de travail par an !Ce gain, les auteurs de l'étude l'appellent le « dividende de l'IA ». Et idéalement, il permet aux enseignants d'investir ce temps dans un suivi plus personnalisé des élèves, mais aussi une meilleure communication avec les parents, ou encore un accompagnement pédagogique renforcé.L'adoption de l'IA dans le secteur de l'éducation est encore inégaleReste que l'adoption de l'IA par les professionnels de l'enseignement outre-Atlantique est encore inégale.Si 60 % de ces enseignants disent utiliser une forme d'IA, principalement pour préparer des supports, adapter les cours ou corriger des copies, 40 % ne l'utilisent pas toujours.Autre bémol, moins de 20 % d'entre eux déclarent que leur établissement dispose d'une politique claire sur l'usage de l'IA.Les chercheurs notent que sans formation et sans encadrement, ces outils risquent d'être sous-exploités, voire d'accentuer certaines inégalités entre enseignants.Mais que faire de la pensée critique ?Mais c'est peut être le troisième point qui soulève le plus d'inquiétude. Les chercheurs notent que l'usage de plus en plus répandu de l'IA dans les écoles pose la question de l'utilisation de la pensée critique par les enseignants.Si la plupart d'entre eux estiment que l'IA rend leur travail plus efficace, certains s'inquiètent en effet de son incidence sur les capacités d'analyse. Et voici concrètement pourquoi.Un récent rapport du Massachusetts Institute of Technology montre que l'IA réduit les « frictions » dans la recherche de réponses. Mais le prix de cette fluidité fort agréable, c'est la baisse de l'esprit critique des utilisateurs.En clair, les enseignants et les élèves qui utilisent l'IA ont tendance à accepter les réponses des chatbots sans les questionner.Certaines solutions comme l'outil Claude for Education d'Anthropic visent à contrer cette dérive. Mais le débat reste ouvert.Le ZD Tech est sur toutes les plateformes de podcast ! Abonnez-vous !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
NOUVEAU : programme audio (ultra accessible) pour anticiper les étapes clés pour concilier grossesse & entrepreneuriat sans sacrifier ni l'un, ni l'autre !✨Bienvenue sur Grossesses d'Entrepreneuses✨Cet été, je vous propose de découvrir ou redécouvrir mes meilleurs conseils pour concilier entrepreneuriat et maternité. Comment s'octroyer un vrai congé maternité, quelles aides existe-t-il, est-ce une bonne idée de créer une offre passive ou encore est-on vraiment obligé de s'arrêter : chaque mercredi de l'été 2025, je vous propose une capsule conseil - où vous pourrez aussi parfois découvrir des extraits de mes interviews les plus inspirantes. Alors bon été … et surtout bonne écoute :)Dans cet épisode, j'inaugure un nouveau format : la capsule-conseil. L'idée est de vous proposer - par intermittence avec nos habituels interviews - des épisodes où je vous partage mon expertise. Pour cette première “capsule conseil” - j'ai choisi la thématique du congé maternité. C'est souvent une des premières questions qui nous préoccupent en tant qu'entrepreneuse et qu'on envisage une grossesse ou qu'on découvre être enceinte.Je vais décortiquer les cinq idées reçues que je vois le plus fréquemment dans les interviews que je fais, les échanges que j'ai avec ma communauté sur Instagram ou LinkedIn - ou encore les clientes que j'accompagne - car ces idées reçues peuvent vous coûter cher.Mon ambition, c'est que d'ici à la fin de cet épisode vous puissiez être informé sur ses erreurs à éviter et ainsi faire des choix plus éclairés !Les ressources mentionnées dans l'épisode : La copie d'écran montrant la simulation qui compare le montant des indemnités de congé maternité "Indépendante vs. salariée"Découvrez en détail les infos au sujet de la : Masterclasse juridiqueCode promo uuuuuniquement pour les auditrice du podcast ;) (valable pour les 10 premières inscrites uniquement) : CAPSULE40Interview de l'avocate Estelle By, spécialiste des statuts juridiquesLa prévoyance (et mutuelle) que je recommande : Wemind Wemind est une néo-assurance spécialisée dans la protection des indépendants. Attention à la periode de carrence pour être couverte pour la grossesse (s'incrire 1 an à l'avance)Les épisodes mentionnés à (ré)écouter : #31 avec Insaff El Hassini#28 avec Marion Renoux#27 avec Marine Alari #25 avec Manon Verbeke#21 avec Laetitia Roy#18 avec Julie Bacconnier#15 avec Alexandra Madoï#14 avec Emma Haby#7 avec Laure Dodier#6 avec Iris Panissier #4 avec Sandra Le CoqPourquoi “Grossesses d'Entrepreneuses” ?Grossesses d'Entrepreneuses est le premier podcast consacré aux stratégies entrepreneuriales lorsqu'on devient mère. Dans ce podcast, vous allez découvrir à chaque épisode l'histoire d'une entrepreneuse qui nous partage comment sa ou ses grossesses ont impacté son entreprise. Mon intention en faisant circuler ces retours d'expériences, tous aussi différents qu'inspirants, est de vous permettre de faire des choix éclairés afin que la grossesse soit synonyme d'opportunité pour votre business !Je suis Solène Pignet, votre hôte. Je suis moi-même cheffe d'entreprise depuis 2014 et autrice du Guide de l'Entrepreneur Durable publié aux éditions Dunod … que j'ai justement écrit pendant ma première grossesse. (Pour en savoir plus sur mon histoire, et la genèse de ce podcast, et ce qui m'a poussé à créer la Préparation Business à la Grossesse, je vous invite à écouter l'épisode 0 !) Je suis convaincue que la maternité peut être une force positive dans le développement de son activité - même quand tout ne se passe pas comme prévu - et c'est ce que je vous invite à explorer au fil des épisodes. Plus d'infos : www.grossessesdentrepreneuses.frRetrouvez Solène sur Instagram : www.instagram.com/solene.pignetOu LinkedIn : www.linkedin.com/in/sol%C3%A8ne-pignet/Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:50 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - La motion de censure déposée par le Parti socialiste est examinée ce mardi après-midi à l'Assemblée nationale. Éclairage avec le constitutionnaliste Benjamin Morel, invité de France Inter. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:11 - Bientôt chez vous - Les étudiants étrangers souhaitant faire leurs études aux États-Unis doivent désormais déclarer leurs comptes sur les réseaux sociaux des cinq dernières années, sous peine de voir leur visa refusé. Cette mesure, jugée floue, soulève de vives critiques sur le respect des libertés individuelles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Seront mis en avant dans cet épisode, les différences entre dermocosmétiques et cosmétiques, de même que leurs avantages dans le traitement de l'acné. Découvrez des conseils pratiques sur la photoprotection, le maquillage et les produits lavants adaptés à l'acné ainsi que l'importance d'une approche personnalisée en matière de cosmétique pour chaque individu. Pour en parler, le Dr Ballanger, dermatologue, est au micro de cet épisode de « Parlons Peau ». Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:36 - C'est mon boulot - C'est une première en France. L'Autorité de la concurrence vient de sanctionner 4 entreprises pour des pratiques de non-débauchage de salariés. Elles s'étaient mutuellement interdit de solliciter et de recruter leurs employés respectifs. Comment le pot aux roses a-t-il été découvert ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le 14 avril 2019, Marie-Pascale Sidolle, une agente de service hospitalier de 54 ans, disparaît. Elle est vue pour la dernière fois sur les images des caméras de vidéosurveillance de l'hôpital d'Avignon qui filment sa voiture sortir du parking. Deux ans plus tard, un chasseur découvre les ossements de la disparue à une dizaine de kilomètres d'Avignon. Marie-Pascale Sidolle a-t-elle fait une mauvaise rencontre? A-t-elle été tuée par Fabrice P., son ancien conjoint dont elle s'était séparée? L'homme est jugé depuis jeudi 26 juin 2024 devant la cour d'assises du Gard pour enlèvement et séquestration suivis de meurtre. Depuis le début de l'affaire, l'homme clame son innocence. Et l'analyse des ossements ne permet pas de comprendre les circonstances de sa mort. Les ossements peuvent-ils parler dans une affaire judiciaire? Dans cet épisode d'Affaire suivante, Ronald Guintrange et Florine Silvant, journaliste à BFM Radio, reçoivent Fabrice Demeter, expert judiciaire en anthropologie médico-légale d'identification. Production et rédaction: Charlotte Lesage, journaliste police-justice de BFMTV.com.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Pour assister à deux enregistrements en public de Chaleur humaine à Paris le 27 juin, inscrivez-vous ici. Le but : porter un regard différent (et constructif !) sur les enjeux climatiques. ----------Pourquoi les outre-mer sont ils en première ligne face au changement climatique ? Les régions concernées sont elles-prêtes à faire face au réchauffement ? Comment se préparer et s'adapter de manière juste à ces nouvelles réalités ?Virginie Duvat est professeure de géographie à l'Université de La Rochelle, titulaire de la chaire innovation à l'Institu universitaire de France et spécialiste de l'impact du changement climatique sur les îles. Elle est l'une des autrices principales du chapitre "Petites îles des deux derniers rapports du Giec. Vous pouvez retrouver ici toute la série de reportages et d'enquête du Monde sur l'adaptation dans les outre-mer.« Chaleur humaine » est un podcast hebdomadaire de réflexion et de débat sur les manières de faire face au défi climatique. Ecoutez gratuitement chaque mardi un nouvel épisode, sur Lemonde.fr, Apple Podcast ou Spotify. Retrouvez ici tous les épisodes.Cet épisode a été produit par Cécile Cazenave et réalisé par Amandine Robillard. Musique originale : Amandine Robillard.Vous pouvez rejoindre le nouveau canal Instagram Chaleur humaine en cliquant ici.Chaleur humaine c'est aussi un livre qui reprend 18 épisodes du podcast en version texte, que vous pouvez retrouver dans votre librairie favorite.C'est toujours une infolettre hebdomadaire à laquelle vous pouvez vous inscrire gratuitement ici. Vous pouvez toujours m'écrire et poser vos questions à l'adresse chaleurhumaine@lemonde.frNabil Wakim Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Le clitoris c'est vraiment un super organe ! C'est le seul organe du corps humain qui est dédié exclusivement au plaisir… Pourtant comme il n'y a que les femmes qui en ont un et que la biologie a été longtemps un domaine réservé aux hommes, il a été très peu documenté par la médecine à travers l'histoire. Aujourd'hui, les mentalités évoluent et le plaisir sexuel des femmes se démocratise. Pourtant certaines idées peuvent avoir la vie dure… Certaines peuvent avoir peur de désensibiliser leur clitoris en utilisant des jouets qui vibrent. Peut-on vraiment désensibiliser le clitoris ? Qu'est-ce que l'accoutumance au vibromasseur ? Comment l'éviter ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Comme l'an dernier, Bordeaux-Bègles et Toulouse s'affronteront en finale de Top 14, samedi (21h05). Un mois après leur premier titre européen, les Bordelais rêvent du doublé. Peuvent-ils y arriver ? Les Toulousains eux ne dégagent pas la même sérénité que d'habitude, mais faut-il vraiment s'en inquiéter ? Réponses dans Crunch. Un podcast présenté par Léa Leostic, avec Aurélien Bouisset, Laurent Campistron et Romain Bergogne. Enregistrement : Baptiste Binet. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le monde de la science des matériaux, il existe un phénomène aussi fascinant que redouté : la "barbe métallique", ou "whisker" en anglais. Imaginez de minuscules filaments, semblables à des poils d'acier, qui se mettent à pousser spontanément à la surface de certains métaux ou alliages. Un phénomène discret, encore mal compris, mais qui peut provoquer des dégâts considérables dans l'industrie électronique.Ces fameuses barbes apparaissent principalement sur des métaux comme l'étain, le zinc, le cadmium, ou encore l'argent. Leur formation résulte d'un phénomène cristallographique complexe. Sous certaines conditions, le métal va littéralement faire pousser des filaments ultra-fins et longs, qui peuvent atteindre plusieurs millimètres, voire davantage.Mais comment cela se produit-il ? C'est là que le mystère commence. Les scientifiques pensent que ces barbes naissent d'un phénomène de contrainte interne dans le matériau. Lorsque le métal subit un stress mécanique, thermique ou chimique — par exemple après un dépôt de couche mince, un vieillissement ou une oxydation partielle — des déséquilibres se créent dans son réseau cristallin. Pour soulager ces contraintes, les atomes du métal migrent peu à peu vers la surface et s'assemblent en filaments, comme si le métal cherchait à "évacuer" son trop-plein d'énergie.Ce phénomène reste encore partiellement inexpliqué. On sait que l'humidité de l'air, les impuretés du métal ou les traitements de surface peuvent influencer la croissance des barbes, mais il n'existe pas encore de modèle prédictif universel. C'est un véritable casse-tête pour les ingénieurs en fiabilité des composants électroniques.Car si ces barbes métalliques peuvent paraître anecdotiques à l'œil nu, leurs conséquences sont bien réelles. Dans un circuit imprimé, par exemple, un filament d'étain peut traverser l'espace entre deux pistes conductrices et provoquer un court-circuit brutal. Des cas célèbres de défaillances de satellites, de systèmes militaires ou de télécommunications ont été attribués à ces minuscules barbes invisibles.Le problème s'est accentué depuis les restrictions sur l'utilisation du plomb dans les alliages électroniques. Autrefois, le plomb ajoutait une certaine souplesse et limitait la formation de whiskers dans les soudures à l'étain. Aujourd'hui, avec les alliages sans plomb, les ingénieurs redoublent de vigilance face à ce phénomène.En résumé, la "barbe métallique" est un exemple parfait de ces phénomènes discrets mais redoutables qui émergent dans le monde des matériaux. Une simple pousse de quelques microns… qui peut suffire à faire tomber un satellite en panne. La recherche continue pour mieux comprendre et contrôler cette étrange pilosité des métaux. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent des médicaments contre l'obésité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:08:29 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Le préfet des Alpes-Maritimes, Laurent Hottiaux, a demandé au maire de Nice, Christian Estrosi, de retirer le drapeau israélien du fronton de la mairie "au nom du principe de neutralité du service public". Comment fonctionne ce principe de neutralité et quels drapeaux y contreviennent ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marion Ogier avocate en droit public au cabinet Andotte Avocats
10 juifs peuvent changer le monde by Rav David Touitou
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
8 fils qui peuvent te sauver la vie (Chelah Lekha) by Rav David Touitou
Des chercheurs du CNRS viennent de publier la deuxième édition du Dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel. Mille pages pour comprendre les nuances de ce vocabulaire évolutif et mobile pour comprendre comment on définit le patrimoine. Les conflits tuent les civils. On en parle moins, mais ils détruisent aussi les patrimoines culturels, des monuments parfois plurimillénaires. Mais comment définir le patrimoine culturel ? Quels sont les autres termes utilisés dans les autres pays ? Quelle est la différence entre bien culturel et patrimoine culturel ? Que veut dire «restitution». C'est en 1954 avec la signature de la Convention de la Haye qu'on a commencé à parler de protection des biens culturels en cas de conflit armé. En effet, de nombreux biens ont été détruits durant la Seconde Guerre mondiale. Avec ce dictionnaire, l'idée est de montrer que chaque mot pèse, que la précision du vocabulaire est essentielle. Les conceptions sont très différentes entre les États. On va observer des variations de vocabulaire qui vont dire des choses : la façon dont on conçoit le patrimoine. Les mots disent des choses : la façon de désigner va renseigner sur la conception développée. Marie Cornu Invitée : Marie Cornu, directrice de recherche CNRS, ISP (ENS Paris-Saclay, Université Paris Nanterre). Elle a codirigé le dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel (CNRS Éditions, 2025). Et Fabrice Virgili nous parlera du site Gaza Histoire qui répertorie le patrimoine de Gaza. Depuis un peu plus d'une année, un groupe de chercheuses et chercheurs en sciences humaines fait un inventaire du patrimoine bombardé de Gaza, car c'est une terre d'une richesse méconnue dont les sites témoignent de 4 000 ans d'histoire. Renseigner chacun de ces lieux est indispensable pour empêcher leur disparition et contribuer, le moment venu, à leur reconstruction. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Niamey, au Niger, où Bachir Gentil artiste, slameur, fondateur de l'association Arts et Racines nous présentera la troisième édition du Festival International Slam Ecolo (FISE) qui aura lieu dans la capitale nigérienne du 17 au 21 juin 2025. Cet événement allie art, slam et écologie et rassemble depuis trois ans des artistes et activistes de plusieurs pays autour des enjeux environnementaux. Le festival proposera trois grands concerts, deux compétitions : Slam Vert pour les artistes professionnels et un Kid Slam for Climate pour les enfants, mais aussi des conférences, un panel, quatre jours d'ateliers en techniques de récupération artistique. Les activités auront lieu à la Galerie Tawaydo, au Centre de Conférence Mahatma Gandhi, à l'Université Abdou Moumouni, au Rônier, au CCN, et dans plusieurs quartiers de Niamey. Programmation musicale : L'artiste Krisy avec le titre Jolie Niar.
Des chercheurs du CNRS viennent de publier la deuxième édition du Dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel. Mille pages pour comprendre les nuances de ce vocabulaire évolutif et mobile pour comprendre comment on définit le patrimoine. Les conflits tuent les civils. On en parle moins, mais ils détruisent aussi les patrimoines culturels, des monuments parfois plurimillénaires. Mais comment définir le patrimoine culturel ? Quels sont les autres termes utilisés dans les autres pays ? Quelle est la différence entre bien culturel et patrimoine culturel ? Que veut dire «restitution». C'est en 1954 avec la signature de la Convention de la Haye qu'on a commencé à parler de protection des biens culturels en cas de conflit armé. En effet, de nombreux biens ont été détruits durant la Seconde Guerre mondiale. Avec ce dictionnaire, l'idée est de montrer que chaque mot pèse, que la précision du vocabulaire est essentielle. Les conceptions sont très différentes entre les États. On va observer des variations de vocabulaire qui vont dire des choses : la façon dont on conçoit le patrimoine. Les mots disent des choses : la façon de désigner va renseigner sur la conception développée. Marie Cornu Invitée : Marie Cornu, directrice de recherche CNRS, ISP (ENS Paris-Saclay, Université Paris Nanterre). Elle a codirigé le dictionnaire comparé du droit du patrimoine culturel (CNRS Éditions, 2025). Et Fabrice Virgili nous parlera du site Gaza Histoire qui répertorie le patrimoine de Gaza. Depuis un peu plus d'une année, un groupe de chercheuses et chercheurs en sciences humaines fait un inventaire du patrimoine bombardé de Gaza, car c'est une terre d'une richesse méconnue dont les sites témoignent de 4 000 ans d'histoire. Renseigner chacun de ces lieux est indispensable pour empêcher leur disparition et contribuer, le moment venu, à leur reconstruction. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Niamey, au Niger, où Bachir Gentil artiste, slameur, fondateur de l'association Arts et Racines nous présentera la troisième édition du Festival International Slam Ecolo (FISE) qui aura lieu dans la capitale nigérienne du 17 au 21 juin 2025. Cet événement allie art, slam et écologie et rassemble depuis trois ans des artistes et activistes de plusieurs pays autour des enjeux environnementaux. Le festival proposera trois grands concerts, deux compétitions : Slam Vert pour les artistes professionnels et un Kid Slam for Climate pour les enfants, mais aussi des conférences, un panel, quatre jours d'ateliers en techniques de récupération artistique. Les activités auront lieu à la Galerie Tawaydo, au Centre de Conférence Mahatma Gandhi, à l'Université Abdou Moumouni, au Rônier, au CCN, et dans plusieurs quartiers de Niamey. Programmation musicale : L'artiste Krisy avec le titre Jolie Niar.
Des représentants de plus de 180 pays sont à Nice, cette semaine, pour échanger sur les enjeux de l'océan. Les pays du Sud seront particulièrement attentifs aux discussions sur la ratification du traité mondial sur la haute mer, la problématique de l'industrie minière en haute mer, les questions de pêche durable et de gestion des zones côtières. Nous sommes à Nice à l'occasion de la troisième conférence des Nations unies sur l'océan qui réunit plus de 20 000 personnes de 180 pays. Notre studio est installé dans le palais des expositions rebaptisé pour l'occasion La Baleine. Un immense ventre de 17 000 m2 occupés cette semaine par des stands et des auditoriums bleus dans lesquels se succèdent les événements que vous entendez derrière nous. Les pays du Sud sont bien représentés car les sujets qui sont traités ici conditionnent le quotidien de ceux qui vivent là-bas. Par exemple, en Afrique de l'Ouest, plus de 7 millions de personnes dépendent directement de la pêche artisanale, mais 40% des stocks de poissons dans la région sont déjà surexploités ou épuisés, ce qui compromet non seulement la biodiversité marine, mais aussi la sécurité alimentaire de millions de personnes. Alors que peuvent attendre les pays du Sud de cette conférence ? - Ahmed Senhoury, directeur exécutif du PRCM, le Partenariat Régional pour la Conservation de la zone côtière et Marine (PRCM) est une coalition d'acteurs travaillant sur les problématiques du littoral ouest africain et couvrant sept pays : le Cap Vert, la Gambie, la Guinée Conakry, la Guinée-Bissau, la Mauritanie, le Sénégal et la Sierra Leone - Aliou Ba, responsable principal de la campagne océan pour Greenpeace Afrique - Vincent Doumeizel, fondateur de la Global Seaweed Coalition, spécialiste des algues et du plancton - Sophie Lanco, chercheuse en écologie marine à l'IRD. Elle s'intéresse à la façon dont les oiseaux, les poissons, les mammifères et les pêcheurs occupent l'espace en mer, en utilisant notamment des techniques de biologging et des modèles d'écologie du mouvement - Diaba Diop, présidente du Réseau des Femmes de la Pêche Artisanale (REFEPAS). Musiques diffusées pendant l'émission - Bembeya Jazz National - Mami Wata - Touré Kunda - Bay Pa Mar.
durée : 00:19:21 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Pauline Chanu - Que nous apprennent les mammifères marines ? Dans son essai à la fois politique, méditatif et poétique, Alexis Pauline Gumbs réfléchit aux enseignements "subversifs et transformateurs" auprès des mammifères marines. Elle est l'invitée "culture" de Nicolas Herbeaux. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Alexis Pauline Gumbs Écrivaine américaine, chercheuse indépendante et poétesse
À l'échelle mondiale, 89% des chefs d'État sont des hommes, 85% des terres sont détenues par les hommes, 94% des CEO des plus grandes entreprises sont aussi des hommes, alors que 14 des 15 milliardaires les plus riches du monde sont... encore des hommes. Les femmes sont encore exclues de nombreux domaines économiques dans le monde : sport, cinéma, gastronomie, même l'extrême majorité des chefs d'orchestre sont des hommes. À croire que le monde fonctionne sans une moitié de l'humanité. Pourtant dans de nombreuses régions d'Afrique de l'Ouest et Centrale, les femmes représentent 70% de la main-d'œuvre agricole. Plusieurs études ont également démontré qu'investir en faveur des femmes bénéficierait à toute la société. Réduire les écarts d'emploi entre hommes et femmes permettrait, par exemple, d'augmenter le PIB par habitant de 20% dans toutes les régions du monde, selon l'ONU. Alors que le monde connaît de graves crises économiques, climatiques, politiques, ne faudrait-il pas installer les femmes aux manettes ? Comment changer de logiciels pour plus de parité dans les prises de décisions ? Avec : • Sefora Kodjo, présidente de la Fondation Sephis pour l'autonomisation des femmes à Abidjan, Côte d'Ivoire• Marie Eloy, présidente de Femmes des Territoires, le réseau d'entraide pour créer son entreprise, de Bouge ta Boite, le réseau business et sororité pour entrepreneuses aguerries, et de Bouge ton Groupe, pour accélérer la mixité dans les organisations. Autrice de Les femmes sauveront-elles le monde ? (Éditions Eyrolles, 2025). En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam.• Siata Traoré, depuis la Côte d'Ivoire, interroge les tabous autour du divorce et la stigmatisation des femmes qui font ce choix• Thierry Didier Kuicheu rend hommage à son pays, le Cameroun, à travers ses paysages, sa cuisine et sa culture• Emmanuel Codjo, au Bénin, raconte le retour du Kataklè, siège royal du roi Béhanzin, symbole de mémoire et de souveraineté retrouvée. Programmation musicale :► Get Wise – Wiyaala► Kuduro - Africa Express.
À l'échelle mondiale, 89% des chefs d'État sont des hommes, 85% des terres sont détenues par les hommes, 94% des CEO des plus grandes entreprises sont aussi des hommes, alors que 14 des 15 milliardaires les plus riches du monde sont... encore des hommes. Les femmes sont encore exclues de nombreux domaines économiques dans le monde : sport, cinéma, gastronomie, même l'extrême majorité des chefs d'orchestre sont des hommes. À croire que le monde fonctionne sans une moitié de l'humanité. Pourtant dans de nombreuses régions d'Afrique de l'Ouest et Centrale, les femmes représentent 70% de la main-d'œuvre agricole. Plusieurs études ont également démontré qu'investir en faveur des femmes bénéficierait à toute la société. Réduire les écarts d'emploi entre hommes et femmes permettrait, par exemple, d'augmenter le PIB par habitant de 20% dans toutes les régions du monde, selon l'ONU. Alors que le monde connaît de graves crises économiques, climatiques, politiques, ne faudrait-il pas installer les femmes aux manettes ? Comment changer de logiciels pour plus de parité dans les prises de décisions ? Avec : • Sefora Kodjo, présidente de la Fondation Sephis pour l'autonomisation des femmes à Abidjan, Côte d'Ivoire• Marie Eloy, présidente de Femmes des Territoires, le réseau d'entraide pour créer son entreprise, de Bouge ta Boite, le réseau business et sororité pour entrepreneuses aguerries, et de Bouge ton Groupe, pour accélérer la mixité dans les organisations. Autrice de Les femmes sauveront-elles le monde ? (Éditions Eyrolles, 2025). En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam.• Siata Traoré, depuis la Côte d'Ivoire, interroge les tabous autour du divorce et la stigmatisation des femmes qui font ce choix• Thierry Didier Kuicheu rend hommage à son pays, le Cameroun, à travers ses paysages, sa cuisine et sa culture• Emmanuel Codjo, au Bénin, raconte le retour du Kataklè, siège royal du roi Béhanzin, symbole de mémoire et de souveraineté retrouvée. Programmation musicale :► Get Wise – Wiyaala► Kuduro - Africa Express.
Imaginez un navire semblant flotter dans les airs au-dessus de la mer. Ce phénomène étrange, presque surnaturel, a longtemps été source de légendes maritimes. Les marins y voyaient des vaisseaux fantômes ou des mirages d'îles invisibles. En réalité, cette illusion d'optique porte un nom poétique : la Fata Morgana, inspirée de la fée Morgane, la magicienne des légendes arthuriennes censée créer des illusions sur l'horizon.Mais loin de la magie, ce phénomène est parfaitement expliqué par la physique de la lumière. Il s'agit d'une forme extrême de mirage, causée par une réfraction atmosphérique très particulière.Tout commence par une inversion de températureDans des conditions normales, la température de l'air diminue avec l'altitude. Mais lors d'une inversion thermique, une couche d'air chaud se trouve au-dessus d'une couche d'air plus froide, souvent au-dessus d'une surface d'eau glacée ou très fraîche, comme en mer ou dans les régions polaires.Cette configuration crée une discontinuité dans la densité de l'air. Or, l'indice de réfraction de l'air — c'est-à-dire sa capacité à courber la lumière — dépend de sa densité. Résultat : les rayons lumineux émis par un objet (un bateau, une île, un rivage) se courbent en traversant ces couches superposées, et suivent parfois une trajectoire sinueuse vers l'observateur.Ce que perçoit notre œilPour l'œil humain, ces rayons lumineux réfractés donnent l'illusion que l'objet se trouve plus haut qu'il ne l'est réellement, voire qu'il est dupliqué ou inversé. C'est ainsi qu'un bateau peut sembler léviter au-dessus de l'eau, ou qu'un rivage prend la forme d'un château flottant. Dans certains cas, les objets paraissent étirés, empilés, ou retournés comme dans un kaléidoscope.Une illusion stable, mais complexeContrairement aux mirages simples (comme les flaques d'eau sur l'asphalte en été), la Fata Morgana implique plusieurs couches thermiques et des variations complexes de l'air, ce qui la rend plus instable mais aussi plus spectaculaire. Elle peut durer plusieurs minutes, voire heures, et se déplacer avec l'observateur ou le soleil.Observée même aujourd'huiLa Fata Morgana a été photographiée à de nombreuses reprises, notamment sur les côtes britanniques ou canadiennes. Elle peut affecter aussi bien des bateaux que des montagnes lointaines ou des icebergs. Ce phénomène rappelle à quel point notre perception du monde dépend des conditions physiques de l'environnement, et combien la lumière peut jouer des tours fascinants à notre cerveau.En somme, la Fata Morgana est un chef-d'œuvre de la nature : une illusion spectaculaire née des caprices de l'atmosphère, transformant un simple bateau en vaisseau volant digne d'un conte de fées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dès leurs premières années, les enfants posent des milliers de questions: pourquoi le ciel est bleu ? Comment les oiseaux volent ? Pourquoi la glace fond ? Ces interrogations sont les premiers signes d'un esprit scientifique en éveil. La curiosité pour les sciences, loin d'être réservée aux laboratoires ou aux chercheurs, est avant tout une manière de comprendre le monde, de raisonner avec logique, de douter de ce qui semble évident, et de chercher des preuves. Mais dans un monde où les fausses informations circulent plus vite que jamais, où les défis environnementaux, sanitaires et technologiques se multiplient, cette capacité à questionner, à analyser et à comprendre devient une compétence essentielle. Il ne s'agit plus seulement de savoir, mais de savoir penser. Comment éveiller cette curiosité et développer cet esprit scientifique dès l'enfance? Avec :• Auguste Gires, ingénieur en chef du Corps des Ponts, Eaux et Forêts, chercheur au Laboratoire Hydrologie Météorologie et Complexité de l'École des Ponts ParisTech et auteur avec ses deux enfants Nikita et Nathanaël de 50 nouvelles expériences scientifiques (Éditions Delachaux et Niestle jeunesse)• Kamil Fadel, physicien, responsable de projet de médiation scientifique à Universcience, regroupement du Palais de la découverte ; établissement culturel scientifique national à Paris et de la Cité des sciences et de l'industrie, établissement public de diffusion de la culture scientifique, technique et industrielle à Paris.En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Loubna Anaki, correspondante de RFI à New York : quelle politique des visas étudiants aux USA ? Peuvent-ils se passer des étudiants étrangers ? En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Joseph à Lubumbashi (RDC). Programmation musicale : ► Dâmba Kéle - Siraba► Modern Times - Jon Bellion & Jon Batiste.
Dès leurs premières années, les enfants posent des milliers de questions: pourquoi le ciel est bleu ? Comment les oiseaux volent ? Pourquoi la glace fond ? Ces interrogations sont les premiers signes d'un esprit scientifique en éveil. La curiosité pour les sciences, loin d'être réservée aux laboratoires ou aux chercheurs, est avant tout une manière de comprendre le monde, de raisonner avec logique, de douter de ce qui semble évident, et de chercher des preuves. Mais dans un monde où les fausses informations circulent plus vite que jamais, où les défis environnementaux, sanitaires et technologiques se multiplient, cette capacité à questionner, à analyser et à comprendre devient une compétence essentielle. Il ne s'agit plus seulement de savoir, mais de savoir penser. Comment éveiller cette curiosité et développer cet esprit scientifique dès l'enfance? Avec :• Auguste Gires, ingénieur en chef du Corps des Ponts, Eaux et Forêts, chercheur au Laboratoire Hydrologie Météorologie et Complexité de l'École des Ponts ParisTech et auteur avec ses deux enfants Nikita et Nathanaël de 50 nouvelles expériences scientifiques (Éditions Delachaux et Niestle jeunesse)• Kamil Fadel, physicien, responsable de projet de médiation scientifique à Universcience, regroupement du Palais de la découverte ; établissement culturel scientifique national à Paris et de la Cité des sciences et de l'industrie, établissement public de diffusion de la culture scientifique, technique et industrielle à Paris.En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Loubna Anaki, correspondante de RFI à New York : quelle politique des visas étudiants aux USA ? Peuvent-ils se passer des étudiants étrangers ? En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Joseph à Lubumbashi (RDC). Programmation musicale : ► Dâmba Kéle - Siraba► Modern Times - Jon Bellion & Jon Batiste.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 02 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 31 mai 2025 - Musk : les milliardaires peuvent-ils réussir en politique ?Un départ et des questions pour Elon Musk. Le milliardaire américain a officialisé vendredi son départ de l'administration Trump après avoir annoncé quelques semaines plus tôt qu'il allait retourner à ses affaires de chef d'entreprise. Quelques mois après sa nomination à la tête du DOGE, ministère chargé de lutter contre le "gaspillage" de la dépense publique, celui qui s'était fixé pour ambition de faire 1 000 milliards de dollars d'économie à l'administration en est bien loin. Selon le site indépendant DOGE tracker, seuls 12 milliards d'économie ont été réalisés, notamment via des coupes massives dans l'aide internationale et des milliers de licenciements de fonctionnaires. Répondant aux rumeurs qui le disent en froid avec le président américain, Elon Musk a nié, assurant vouloir rester "l'ami et le conseiller" de Donald Trump qui lui a remis une clé en or, symbole que les portes de la Maison Blanche lui resteront toujours ouvertes. Pour Elon Musk, c'est un difficile retour aux affaires qui commence, lui qui a perdu plus de 100 milliards de dollars entre décembre et mars à cause de la hausse des droits de douane américains. Au-delà de sa fortune, ses déclarations en faveur de l'extrême droite ont entaché sa réputation et les ventes de Tesla s'effondrent en Europe comme au Québec.En France, on n'a pas attendu Elon Musk pour faire entrer des hommes d'affaires au gouvernement. En 1992, l'ancien patron de l'Olympique de Marseille Bernard Tapie était nommé de la Ville par Pierre Bérégovoy, avant de démissionner cinq mois plus tard. Plus récemment, c'est à Michel-Edouard Leclerc, patron des magasins Leclerc, qu'on prête des ambitions élyséennes. Celui dont le slogan, "lutter contre la vie cher", résonne déjà à travers la France n'a jamais caché son admiration pour son père qui s'était présenté trois fois aux élections législatives et même brièvement à une élection présidentielle. D'autres patrons se tiennent plus en retrait mais n'hésitent pas à influer sur le cours des élections. Cofondateur et principal actionnaire du groupe Smartbox, Pierre-Édouard Stérin, dont la fortune est estimée à 1,4 milliard d'euros, a lancé un projet, baptisé "Périclès", qui vise à aider le RN et LR à conquérir le pouvoir. Sa vision conservatrice de la société française et ses ambitions politiques inquiètent jusqu'à l'Assemblée nationale. Les députés l'ont convoqué à deux reprises au mois de mai, lors d'une commission d'enquête portant sur l'organisation des élections en France. Le milliardaire ne s'est jamais présenté.Pour ces grandes fortunes, la gestion de la fortune est très politique. Certaines décident d'ailleurs de déshériter leurs enfants, à l'image de Bill Gates qui a légué une grosse partie de ses 107 milliards de dollars à sa fondation. "Mes enfants vont recevoir des sommes généreuses importantes, mais ce n'est qu'un pourcentage", confirmait-il en février dernier dans l'émission 7 à 8. Et il n'est pas un cas isolé. Dix ans plus tôt, le chanteur Sting a lui aussi confirmé que ses enfants ne bénéficieraient pas de sa fortune de 225 millions d'euros, assurant vouloir leur rendre service : "Je ne veux pas laisser un héritage qui soit un fardeau" avait-il déclaré dans un journal britannique. Plus récemment, c'est l'héritière du groupe d'entreprises chimiques et pharmaceutiques allemandes BASF, Marlene Engelhorn, qui a reversé 92 % de son héritage (27 millions d'euros) à des associations. "L'héritage est une injustice", estime celle qui milite activement pour la taxation des plus riches.Pourquoi Elon Musk a-t-il quitté le gouvernement de Trump ? Son parcours politique pourrait-il inspirer des grandes fortunes françaises ? Comment ces ultra-riches gèrent-ils leur héritage ?LES EXPERTS :- PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "L'horizon des possibles"- RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter au journal Le Monde, auteure de "Successions"- LOU FRITEL - Journaliste politique à Paris Match- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de "Le vacataire"
C dans l'air du 31 mai 2025 - Musk : les milliardaires peuvent-ils réussir en politique ?LES EXPERTS :- PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de "L'horizon des possibles"- RAPHAËLLE BACQUÉ - Grand reporter au journal Le Monde, auteure de "Successions"- LOU FRITEL - Journaliste politique à Paris Match- THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business, auteur de "Le vacataire"
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Face à un danger immédiat ou après une blessure, on ne sait pas forcément comment réagir. Avant l'intervention de soignants, il est utile de connaître un certain nombre de gestes ou de réflexes qui peuvent sauver des vies. Quels sont ces réflexes qui sauvent ? Comment réagir en cas d'accident de la route, de brûlures, de chutes… ? Dr Massamba Sassoum Diop, médecin urgentiste et président de SOS-médecin à Dakar au Sénégal. Médecin urgentiste au SAMU de l'Essonne en région parisienne. Programmation musicale : ► Lous and the Yakuza – Good to know ► Femi Kuti – Oga Doctor
Face à un danger immédiat ou après une blessure, on ne sait pas forcément comment réagir. Avant l'intervention de soignants, il est utile de connaître un certain nombre de gestes ou de réflexes qui peuvent sauver des vies. Quels sont ces réflexes qui sauvent ? Comment réagir en cas d'accident de la route, de brûlures, de chutes… ? Dr Massamba Sassoum Diop, médecin urgentiste et président de SOS-médecin à Dakar au Sénégal. Médecin urgentiste au SAMU de l'Essonne en région parisienne. Programmation musicale : ► Lous and the Yakuza – Good to know ► Femi Kuti – Oga Doctor
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:05:42 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La grande distribution est-elle une alliée ou un frein à une alimentation saine et durable pour tous ? Le Réseau action climat s'est penché sur les pratiques des supermarchés en la matière.