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[REDIFFUSION] Bienvenue dans Les Fabuleux Destins ! Aujourd'hui, nous allons vous raconter l'histoire d'une bibliothécaire hors du commun. Cette Afro-américaine a risqué sa vie, au nom de l'art et de la liberté. Son nom : Belle Greene. De son enfance à son ascension, découvrez son fabuleux destin. Dans les années 1900, alors que le soleil se couche sur une petite maison aux États-Unis, une silhouette émerge dans l'embrasure de la porte. C'est une jeune femme, dans la fleur de l'âge, le regard tiraillé entre incertitude et détermination. Ses yeux sont étreints par la mélancolie, alors qu'elle contemple sa mère et ses sœurs. Le moment est venu de quitter le foyer familial, de tourner le dos à son passé. La jeune femme serre ses proches dans ses bras, cherchant à emporter leurs caresses et leurs rires dans son cœur meurtri. Mais le destin l'appelle ailleurs. Un podcast Bababam Originals Voix : Andréa Brusque Ecriture : Clémence Setti Production : Bababam Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui, je vous invite à pousser les portes d'un autre monde. Un monde de marbre et de dorures, d'ascenseurs cachés, de clients incognito, de demandes impossibles et de petits miracles du quotidien : celui des palaces parisiens. Mon invité, Mathieu Cammas, n'était pourtant pas destiné à évoluer dans ce décor-là. Il a grandi à Aubervilliers puis à La Courneuve, dans le 93, très loin, des lustres en cristal du triangle d'or. Et puis un jour, presque par hasard, il pousse la porte d'un palace pour un petit job de groom… et ne le refermera plus pendant plus de dix ans.Groom, puis chasseur, ce métier de l'ombre qui consiste à réaliser les désirs les plus fous des clients, Mathieu va apprendre à anticiper chaque envie d'une clientèle habituée à l'excellence, au secret et à l'inaccessible. Dans cet épisode, il nous raconte ses premières claques, la réalité du terrain loin des clichés, les situations totalement surréalistes, comme ce duo improvisé avec Céline Dion dans une suite hors de prix, mais aussi ce que ces années au contact du luxe lui ont appris sur le rapport à l'argent, au statut, au service et à l'humain.Je vous propose une plongée dans les coulisses d'un univers qu'on fantasme beaucoup mais qu'on connaît finalement très peu.Bonne écoute !Pour écouter l'épisode en intégralité, tapez ce titre sur votre plateforme d'écoute préférée : "70 - Mathieu Cammas : "Du 93 aux palaces, caprices de millionnaires et secrets bien gardés"
Aujourd'hui, on se plonge dans la littérature arthurienne à la découverte de Perceval et de la quête du Graal.Au pays de Galles, le printemps éclot gaiement dans les prairies et les sous-bois. C'est dans une forêt calme à la faune abondante que vivent Perceval et sa mère. La veuve chérit son fils plus que tout au monde et maintenant qu'il est en âge d'être un homme, elle n'a de cesse de l'avertir sur les dangers du monde extérieur. Perceval aime par-dessus tout sa mère qui est si bonne et lui promet à chaque fois qu'il part chasser, qu'il sera le plus sage et le plus prudent des fils…Bonne écoute !
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Le dimanche, c'est l'occasion de (re)découvrir les autres formats de Bababam. Aujourd'hui c'est le tour d'À la folie, pas du tout, le podcast pour découvrir des histoires d'amour qui ont fait rêver des générations, mais aussi l'envers du décor. Première diffusion : décembre 2023. Découvrez la face cachée du couple Napoléon Ier et Joséphine de Beauharnais. Si l'empereur est l'un des personnages les plus représentés dans la pop culture, on connaît moins son étonnante histoire d'amour avec l'impératrice Joséphine. Lui était fou amoureux, elle, ne se gênait pas de tromper son mari au su et vu de tous. Leurs caractères si opposés rendront leur union particulièrement mouvementée… L'histoire d'un amour étrangement ficelé mais tellement profond qu'il habitera l'Empereur déchu jusqu'à son dernier souffle. Production et diffusion : Bababam Originals Ecriture : Claire Loup Voix : François Marion, Lucrèce Sassella Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Vanessa, vous nous avez fait découvrir- redécouvrir nos villes sanctuaires. Ce matin, pour la dernière, on ne part pas loin : dans le sud de la Corrèze à Brive la Gaillarde.Et oui c'est une ville Sanctuaire, le secret est assez bien gardé. En général on l'associe plutôt au foie gras, aux noix, au marché Brassens aux plaisirs partagés autour d'une bonne table ! vrai ! Mais il y a aussi une communauté dans le partage, la fraternité, là-haut dans le sanctuaire des grottes de Saint Antoine : les Franciscains ! Qui eux aussi vous invitent à partager leur repas, aux marches-retraites mensuelles, aux retraites silencieuses aussi. Dans leur écrin de nature : une colline boisée de 5 hectares avec vue sur la cité de Brive. Mais un parc ouvert à tous, l'esprit franciscain, on y croise de poussettes et des joggeurs…Le sanctuaire est consacré à quel Saint ?A Saint Antoine de Padoue, le saint des objets perdus. Disciple de saint François d'Assise, originaire du Portugal. Il a évangélisé l'Espagne, le Maroc, l'Italie, l'Occitanie… et a donc fondé un couvent.Aujourd'hui, les pèlerins écrivent des prières sur des petits papiers qu'ils glissent dans les grottes, dans l'église. Ses petits papiers sont ensuite brûlés le 13 juin, à la saint Antoine. Qui est "le saint pour tous" : humain et proche de tous ! D'ailleurs y a un ex voto qui retranscrit bien ça, celui de 4 étudiants venus réviser ensemble au sanctuaire : un catholique, un musulman, un juif et un athée.Qu'est-ce que vous nous suggérez pour découvrir les alentours ?Continuer cette parenthèse nature : vous baladez le long de la Vézère, du coté de Voutezac il y a un hameau très charmant avec un pont du 16 le pont Saillant. Et une chapelle : la seule de France a être habillée entièrement de vitraux de Chagall. Et puis allez faire un tour dans les pans de Travassac… Les falaises sont bleutées, normal vous êtes au cœur d'une carrière d'ardoise, encore en exploitation, et ces ardoises recouvrent les toits de Corrèze et ceux du mont Saint Michel.Et où pose-t-on nos valises ?Et bien que vous soyez croyants ou touristes, dormez à l'hôtellerie des grottes de St Antoine. 25 chambres.Sanctuaire Brive La Gaillarde : https://www.villes-sanctuaires.com/villes-sanctuaires/brive La PavlovaDessert hyper tendance que beaucoup de chefs proposent pour les fêtes. Recette née en 1926 à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Création d'un jeune pâtissier épris de la danseuse Anna Pavlova qui se produisait en Océanie. On l'accommode au fil des saisons avec les fruits disponibles.Ingrédients pour 6 personnes :Meringue :- 120 gr de blancs d'œufs- 120 gr de sucre semoule- 120 gr de sucre glaceClémentines juste poêlées avec une touche de sucre et de Grand MarnierChantilly :- 20 cl de crème liquide- 25 gr de sucreDéroulementMonter les blancs en neige avec le sucre semoule / ajouter le sucre glace et bien mélanger / former un disque et cuire cette meringue 6 heures à 80° en laissant la porte du four entrouverte pour laisser s'échapper l'humidité / poêler les suprêmes de clémentines avec 2 c à s de sucre vanillé et ajouter un trait de Grand Marnier / monter et ajouter des zestes de clémentine.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse aux voies de recours en cas de retard de livraison à Noël.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:45 - Pascal Zenou : l'âme chantante de Toulouse - Pascal Zenou, c'est une voix, une écriture et surtout une histoire. Chanteur toulousain au parcours singulier, il a connu les promesses de la scène dans les années 1990 avant de s'effacer quelque temps dans les coulisses de la musique. Aujourd'hui, il revient au premier plan. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Conseils, tendances du marché… Samedi et dimanche, dans Europe 1 Matin Week-end, Christophe Bordet revient sur l'actualité immobilière. Aujourd'hui, la sécurité des logements de vacances.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une émission pour parler de la religion chrétienne avec Matteo Ghisalberti, le dimanche entre minuit et 1h, sur RMC.
Dès le lancement de son « opération militaire spéciale » (SVO) contre l'Ukraine, le 24 février 2022, le Kremlin, qui dispose de l'un des plus vastes arsenaux nucléaires au monde, a adopté des mesures de dissuasion agressives et une rhétorique résolument menaçante. Décryptage d'un possible emploi de l'arme nucléaire par Moscou, avec Dimitri Minic, chercheur à l'Institut français des Relations internationales (Ifri). [Rediffusion] RFI : Dès les premiers jours de la guerre, Moscou adopte une rhétorique nucléaire agressive. Quelle est sa stratégie ? Dimitri Minic : Le 24 février 2022, sa stratégie, c'est de prendre Kiev en quelques heures et au pire quelques jours, et de soumettre politiquement l'Ukraine. Quand Vladimir Poutine fait son discours sur l'opération militaire spéciale le 24 février, qui annonce son déclenchement, il fait une allusion à un emploi possible de l'arme nucléaire, face à ceux qui voudraient s'impliquer directement dans ce conflit pour aider l'Ukraine. Ce qui, au fond, a permis à la Russie d'éviter effectivement une escalade de la guerre locale en guerre régionale, impliquant d'autres pays, d'autres puissances, mais qui n'a pas suffi non seulement à dissuader effectivement l'Ukraine de résister, mais surtout qui n'a pas permis d'éviter le début d'un flux d'aide militaire à l'Ukraine. Et par ailleurs, ces menaces nucléaires russes n'ont pas permis d'empêcher l'instauration de sanctions économiques très importantes de l'Occident contre la Russie. Donc, c'est un succès relatif de la stratégie nucléaire russe, mais qui, en réalité, ne permet pas à la Russie d'isoler l'Ukraine de l'Occident, ce qui était son principal objectif. Mais il y a quand même une véritable inquiétude qui plane en Occident, puisque le nucléaire tactique fait partie de l'arsenal russe. Le nucléaire a été étendu à la guerre conventionnelle, en quelque sorte ? Oui, absolument. En fait, à la chute de l'Union soviétique, les élites militaires russes héritent d'une doctrine de non-emploi en premier. Et progressivement, elles se rendent compte que la théorie de la dissuasion et ses mécanismes étaient peu développés par rapport à ce qui existait en Occident. Dans les années 90, vous avez une grande période d'élaboration conceptuelle, de théorisation qui conduit l'armée russe, au plan théorique et doctrinal, à effectivement étendre la dissuasion nucléaire aux guerres conventionnelles de toute ampleur, locales, régionales et à grande échelle. Il y a un emploi possible de l'arme nucléaire, un emploi démonstratif, limité, censé mettre fin aux combats dans des conditions favorables à la Russie. On aurait pu se dire, puisque l'opération militaire spéciale est un échec pour la Russie, il est possible que ces concepts soient appliqués. Mais en réalité, cette doctrine exigerait des conditions qui ne sont pas du tout réunies dans la guerre en Ukraine. Pour que Moscou prenne des mesures de dissuasion nucléaire très claires, il faudrait par exemple un transfert des têtes nucléaires depuis les entrepôts centraux vers les unités, vers les bases. Un transfert démonstratif médiatisé qui montrerait que la Russie commence à penser sérieusement à employer l'arme nucléaire ou un essai nucléaire réel, ou d'autres types de mesures qui montreraient qu'elle a vraiment la volonté de le faire. Mais il faudrait qu'elle se trouve dans des conditions extrêmement graves. Il faudrait qu'elle soit en passe de perdre de manière irrémédiable face à un ennemi conventionnel, aidé par des États d'ailleurs dotés de l'arme nucléaire, qui non seulement aient envie de conquérir des territoires russes ou bien aient envie de changer le régime russe. À lire aussiRussie: Vladimir Poutine annonce une révision de la doctrine nucléaire et menace les Occidentaux On le voit au début de la guerre, les Américains vont sonder les Russes afin de savoir dans quelles conditions ils pourraient utiliser l'arme nucléaire. Absolument. Et à l'époque, Valeri Guerassimov répond qu'il y a trois conditions : l'utilisation d'armes de destruction massive contre la Russie, une volonté, une tentative de changer le régime, une déstabilisation profonde du régime provoqué par un État étranger. Et la troisième condition serait des pertes catastrophiques sur le champ de bataille. Et c'est intéressant parce que, à l'époque, à l'automne 2022, la Russie subit des pertes et surtout des revers militaires importants en Ukraine, dans le Donbass. Valeri Guerassimov, à ce moment-là, en évoquant ces trois conditions, abuse de son interlocuteur parce qu'il est évident que la Russie aurait pu compenser ses pertes assez rapidement et qu'elle a de telles réserves matérielles et humaines qu'il est très peu probable qu'elle recourt au nucléaire dans ce type de conditions loin d'être inacceptable ou en tout cas catastrophique pour elle. Vous identifiez trois failles théoriques et pratiques révélées par cette guerre en Ukraine de la doctrine nucléaire russe. Et l'une d'elles, c'est la limite de la dissuasion stratégique conventionnelle, avec les fameux missiles Kalibr, Kinjal, dont l'usage n'a pas produit l'effet escompté… Non, non, ça n'a pas fonctionné. Effectivement, la Russie débute la guerre en Ukraine avec une conception de la dissuasion qui est une conception très agressive, offensive, mais surtout inter-domaines. C'est à dire que la Russie ne conçoit pas la dissuasion comme quelque chose d'exclusivement nucléaire. La dissuasion russe concerne à la fois les domaines non militaires et subversifs, le domaine conventionnel, donc les forces conventionnelles et les armes conventionnelles et les forces nucléaires. Donc, la Russie n'a pas une vision exclusivement défensive de la dissuasion. Car, pour le dire rapidement, la Russie ne conçoit sa sécurité qu'à travers l'insécurité de ses voisins. Donc, cette situation stratégique échoue effectivement à trois niveaux. C'est d'abord l'échec du concept de contournement, pour permettre à l'État russe de gagner une guerre avant la guerre. En fait, il n'était pas question de déclencher une guerre à grande échelle, de longue durée et très meurtrière, mais plutôt de soumettre l'ennemi sans combat, ou en tout cas sans combat de grande ampleur. C'est aussi un échec des moyens et des méthodes psychologiques ou informationnelles, comme disent les Russes, puisqu'ils pensaient les Ukrainiens et les élites ukrainiennes complètement soumises, rendues apathiques par la Russie et ses manœuvres. Ça n'a pas été le cas. Ils pensaient que les Occidentaux avaient été anesthésiés par cette pratique psychologique ou informationnelle, qui vise non seulement à modifier la psyché des individus et des sociétés, mais en fait à transformer les individus et la société. Et donc surtout, ce que j'observe dans cette étude, c'est que la phase conventionnelle, a subi un échec important. Pourquoi : parce que les élites militaires russes et les élites politiques russes ont surestimé pendant 35 ans l'efficacité de ces moyens conventionnels. Parmi ces moyens conventionnels, effectivement, on a d'abord les forces générales, les exercices, les déploiements de forces aux frontières. Bon, ça n'a pas produit l'effet désiré. Ça n'a pas forcé l'Ukraine à capituler. Mais surtout, les armes modernes duales, donc, qui peuvent être à la fois équipées soit d'une tête nucléaire, soit d'une tête conventionnelle. Ces armes, le Kinjal, le Kalibr, l'Iskander, ont été utilisées sur le champ de bataille. On se rappelle le Kinjal, une arme hypersonique utilisée à un moment qui était censé être décisif pour la Russie, puisque c'était le moment des premières négociations entre l'Ukraine et la Russie en mars 2022, au moment où les Ukrainiens sont très réticents à accepter un accord très favorable à la Russie. Et la Russie emploie dans l'intervalle, au moment de ces discussions ultimes, le Kinjal sur le champ de bataille. C'était sa première utilisation opérationnelle, puis un deuxième deux jours plus tard, avant de se retirer du nord et de l'est de l'Ukraine. L'utilisation de ces missiles conventionnels confirmait en fait des vulnérabilités qui étaient identifiées par les militaires russes depuis les années 90 ! Il faut bien comprendre que la défense antimissile présente en Ukraine, d'origine occidentale notamment, a été efficace et a plutôt montré la surestimation que les élites militaires, russes et politiques russes avaient de l'efficacité de l'emploi de ces missiles contre des cibles stratégiques comme des bases aériennes, etc. Non seulement en termes d'ampleur, de nombre indispensable pour détruire une cible stratégique, mais en plus la vulnérabilité des vecteurs. On voit bien que la Russie a fait face à un ISR, c'est à dire un renseignement occidental qui a été puissant et efficace. Cette double vulnérabilité, à la fois la difficulté à détruire des cibles stratégiques avec ces missiles modernes et en même temps la difficulté à protéger leur plateforme de lancement, ça tend à remettre en question, même partiellement, cette stratégie de frappes nucléaires limitées dont je parlais tout à l'heure, avec un missile unique. Donc, on voit bien que d'un point de vue technique, c'est un affaiblissement. Et les excès rhétoriques de Dmitri Medvedev (vice-président du Conseil de Sécurité de Russie au discours violemment anti-occidental, NDLR), de Ramzan Kadyrov (président de la République de Tchétchénie, un proche de Vladimir Poutine, NDLR) également, ont abîmé la dissuasion nucléaire russe ? À force de crier au loup et à menacer d'hiver nucléaire, l'Occident, ça ne prend plus ? Absolument. Parce que la Russie, dès qu'elle entre dans le conflit, produit une rhétorique nucléaire extrêmement agressive, mais dans les faits, les mesures qu'elle prend concrètement pour accompagner cette rhétorique nucléaire sont très modérées. Donc, vous avez un décalage très fort entre ce que la Russie dit, et ce que la Russie fait vraiment. Ça n'est pas une nouveauté en Russie. Sur quoi s'appuie cette pratique, ce décalage ? Il est dû à une culture stratégique, c'est à dire que la Russie considère que l'Occident est faible, lâche et déliquescent et qu'il est sensible aux menaces, qu'il a peur du nucléaire et qu'il cédera en réalité. Ils estiment qu'une frappe nucléaire unique, démonstrative, limitée sur le théâtre, obligera, forcera finalement les Occidentaux à rentrer chez eux et à demander pardon. Ils ne sont pas vraiment revenus de ça. Effectivement, ce décalage au bout d'un moment pose un problème. Vous ne pouvez pas hurler dans tous les médias que vous avez au moins dix lignes rouges et ne rien faire. Des officiers supérieurs généraux de l'armée russe ont expliqué en 2023-2024, ils ont eu un mot que je trouve très drôle, « Les lignes rouges russes ont rougi de honte », ajoutant « Les Occidentaux nous ont devancés de 8 à 10 pas dans l'escalade et nous, on les regarde ». Dans l'armée russe, il y a une forme d'incompréhension de l'attitude de la Russie. C'est à dire qu'ils sont tous d'accord pour maintenir cette rhétorique agressive, mais ils veulent qu'elle soit accompagnée de mesures pratiques, concrètes. Donc ce décalage a affaibli la crédibilité de la dissuasion nucléaire russe et ça a conduit les Occidentaux à poursuivre leur aide à l'Ukraine et même à l'intensifier. Aujourd'hui, la dissuasion nucléaire russe commence à s'adapter en entreprenant des actions beaucoup plus concrètes. On a évidemment la décision de transférer des armes nucléaires tactiques en Biélorussie. On a beaucoup d'autres actions de ce type. Il y a aussi la publication de la nouvelle doctrine nucléaire russe en novembre 2024, qui est une mesure de dissuasion en réalité. Il faut bien le comprendre, ça aussi. RFI : Et quel est le nouveau message adressé à l'Ouest, à l'Europe et à l'OTAN ? C'est de faire des démonstrations de force sérieuses. Un général russe important propose de rejouer le scénario cubain (crise des missiles de Cuba 1962, NDLR). Donc il y a une volonté de faire une démonstration claire de la force militaire nucléaire. Et à chaque fois qu'une ligne rouge est franchie, d'avoir une réponse nucléaire ou conventionnelle. Les militaires russes pensent aussi que les réponses conventionnelles doivent être beaucoup plus violentes, beaucoup plus fortes. Et cette dissuasion conventionnelle, en fait, ils en ont fait la démonstration avec le tir de missiles balistiques à portée intermédiaire. Ce tir d'Orechnik (Le 9M729-Orechnik, littéralement « noisetier », est un missile balistique russe à portée intermédiaire, NDLR) fait suite à la publication de la nouvelle doctrine nucléaire, qui elle-même s'inscrit dans ce que la Russie perçoit en 2024 comme une logique d'escalade continue. C'est aussi une réponse au discours d'Emmanuel Macron sur de possibles troupes au sol en Ukraine. Et n'oubliez pas, le plus important, en 2024 commence la levée de toutes les interdictions de l'administration Biden sur l'utilisation par l'Ukraine d'armes de fabrication américaine, non seulement à la frontière russe, mais en fait progressivement sur tout le territoire russe. Puis une autre séquence s'ouvre puisque Donald Trump arrive au pouvoir. À lire aussiRoyaume-Uni: les bonnes intentions envers l'Ukraine lors de la «coalition des volontaires» RFI : Qu'est-ce que change l'arrivée de Donald Trump pour la dissuasion nucléaire russe ? On a l'impression d'avoir changé de monde parce qu'avec l'ancienne administration, vous aviez une escalade très maîtrisée à laquelle la Russie a eu beaucoup de mal à répondre parce que tout est venu de façon séquencée. Envisager l'utilisation de l'arme nucléaire en cas de menace à l'existence même de l'État russe, ça devenait complètement obsolète pour ses officiers supérieurs et généraux. Parce que cette doctrine nous montre aussi que la Russie a peur que ses tentatives d'agression contre ses voisins suscitent l'aide de pays dotés d'armes nucléaires. En fait, elle a peur que le scénario ukrainien se reproduise. Et donc cette nouvelle doctrine est censée couvrir ces scénarios aussi. Elle élargit les conditions d'emploi et elle abaisse le seuil déclaré d'emploi de l'arme nucléaire. RFI : L'élection de Donald Trump a-t-elle permis de faire baisser la tension ? Plus tôt. Ça très clairement, c'est à dire que Trump et son indifférence relative à l'Ukraine et à l'Europe y participe, la collusion idéologique qui existe entre la Russie et les États-Unis aujourd'hui, le peu d'intérêt qu'il a pour l'Otan et l'Europe orientale le permette. Ce qui ne veut pas dire que la rhétorique agressive de la Russie s'arrête. Au contraire, on voit bien que la rhétorique nucléaire agressive de la Russie se déclenche dès que le président américain envisage sérieusement, en tout cas rhétoriquement, de fournir des armes offensives et à longue portée à l'Ukraine. Ce qui s'éloigne, c'est la perspective d'un emploi. Il était déjà très faible depuis le début de la guerre en Ukraine. Avec l'élection de Donald Trump, il est encore plus faible. Donc autant dire, très peu probable. En revanche, les ambiguïtés de Washington, les hésitations de l'Europe à l'égard de la défense du continent, à l'égard de la défense de l'Ukraine, alimentent l'agressivité de la Russie. Et donc ça augmente la probabilité d'actions déstabilisatrices conventionnelles russes. À lire aussiLa pérennisation de l'aide à l'Ukraine au menu d'un nouveau sommet européen à Bruxelles
durée : 00:48:00 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Pendant trois ans, dans cette région montagneuse à l'ouest de l'actuelle Lozère, des dizaines de personnes, en grande majorité des enfants et des femmes, sont dévorées par quelque chose. Aujourd'hui dans Affaires Sensibles, la Bête qui mange le monde : Gévaudan 1764. - réalisé par : François AUDOIN Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:58:46 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse aux interdictions de visa par l'administration Trump contre des personnalités européennes, au travail d'Yves Gauthier, traducteur du russe au cœur de la bataille des mots dans les années 1980 en Russie, et aux chansons de Françoise Sagan. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Anna Holveck - invités : Suzanne Vergnolle Maîtresse de conférences en droit du numérique au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM); Yves Gauthier Écrivain, traducteur; Denis Westhoff Photographe, fils unique de Françoise Sagan
Aujourd'hui, c'est une invitation au voyage et au dépaysement qu'on vous propose avec Audrey qui a créé Boho and Wood Macramé. Notre rencontre s'est faite grâce à Sandra, l'organisatrice des salons de loisirs créatifs Mille et une idées et qui a coproduit également le salon Créativa Rouen. Audrey a choisi de raconter son aventure entrepreneuriale à mon micro et finance cet épisode
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse aux cadeaux de Noël.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vanessa, on continue de découvrir nos villes sanctuaires. Aujourd'hui, direction Rocamadour …Au cœur de la Vallée de la Dordogne. Cette cité médiévale est construite à la verticale, dans la falaise. Son sanctuaire de 7 chapelles est dédié à la Vierge Marie. On va gravir les 216 marches de l'Escalier des pèlerins, certains le font même à genoux pour prier la vierge noire, qu'on appelle aussi La stella Maris. C'est la protectrice des marins. Pourtant, on est loin de la mer. Mais lorsque les marins en danger invoquaient Marie - même l'équipage de Jacques Cartier terrassé par le Scorbut au Québec -, et la cloche des miracles tintait d'elle-même. Ce qui explique ses ex votos en forme de coques de bateaux, l'orgue de la Basilique Saint Sauveur en forme de bateau et des oratoires dédiées à Marie au bord de l'eau le long de la Dordogne.Un haut lieu de pèlerinage depuis 1000 ans, Vanessa …Le sanctuaire a été construit au 12eme siècle, à l'endroit même où est décédé Amadour, identifié comme Zachée, le collecteur d'impôts de Jéricho converti par le Christ. Il serait venu évangéliser la Gaule et aurait débarqué sur les rives du Medoc. Il aurait ensuite fondé le 1er sanctuaire marial de France à Soulac, puis marché vers les falaises du Quercy, pour finir par vivre en ermite dans une grotte, dans les Causses, jusqu'en 1166. Je vous en avais déjà parlé mais renotez bien : il existe un nouvel itinéraire, Le Chemin d'Amadour qui relie la Gironde à Rocamadour. 600 km en 21 étapes. Au milieu des vignobles et bastides médiévales, sur les traces d'Amadour. Une belle idée pour les randonneurs, et pas besoin d'être forcément croyant… Une autre découverte à nous suggérer ?Une belle rencontre avec un maitre verrier. Chantal Jean, installée dans l'une des plus anciennes maisons marchandes de Rocamadour, au pied du sanctuaire : la Maison de la Pommette. Elle crée des vitraux et les restaure, en particulier ceux du Sanctuaire. Son atelier-galerie se visite.Et où dort-on ?Dans le Sanctuaire, dans les remparts du château, au centre d'accueil Notre Dame-Le Relais du pèlerin qui vous accueille pour 33 euros. Incroyable pour la vue sur les sanctuaires et le canyon, et puis avoir accès aux jardins du château c'est pas mal non plus. Et puis une seconde adresse : L'hôtel Beau site. Là, c'est l'inverse : vous êtes situé en dessous du sanctuaire, vous le regardez en contre-plongée. Un bel hôtel qui a obtenu cette année une 4ème étoile : le Sanctuaire Rocamadour. https://www.villes-sanctuaires.com/villes-sanctuaires/rocamadour Atelier Vitrail : La Maison de la Pommette : https://www.vallee-dordogne.com/offres/maison-de-la-pommette-rocamadour-fr-469667 Le Relais du Pèlerin : https://www.lerelaisdupelerin.fr/ Hôtel Beau site https://www.beausite-rocamadour.com/ 3 idées avec des huîtresLE produit festif Petit rappel : tout dépendra de la taille (plus on va vers 0 plus elles sont grosses), et de l'affinage de vos huitres (claires : iodées mais peu charnues / spéciales : rondes et plus charnues / taux de chair).1) Huîtres saveurs d'Asie : avec une sauce soja, jus et zestes de citron vert, graines de sésame, pointe de gingembre.2) Huîtres gratinées : le grand classique des années 70 : version facile : 10 cl de champagne / échalotes / crème épaisse / gratiner au four / + complexe en réalisant un sabayon avec des jaunes d'œufs3) Huîtres en tempura : passer les huîtres dans un panure à l'anglaise : farine, œuf battu et chapelure panko (japonaise très croustillante) / frireHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:58:46 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse aux interdictions de visa par l'administration Trump contre des personnalités européennes, au travail d'Yves Gauthier, traducteur du russe au cœur de la bataille des mots dans les années 1980 en Russie, et aux chansons de Françoise Sagan. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Anna Holveck - invités : Suzanne Vergnolle Maîtresse de conférences en droit du numérique au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM); Yves Gauthier Écrivain, traducteur; Denis Westhoff Photographe, fils unique de Françoise Sagan
Avec l'arrivée d'Amita Boolauky à la tête de la Private Secondary Education Authority (PSEA), l'Union of Private Secondary Education Employees (UPSEE) espérait un renforcement du professionnalisme et une meilleure coordination avec les directives du ministère de l'Éducation. Mais pour le syndicat, les attentes ne sont pas au rendez-vous. Selon Arvind Bhojun, président de l'UPSEE, « nous espérions une continuité entre les annonces du ministre de l'Éducation et la mise en œuvre par la PSEA, mais ce n'est pas le cas ». Il cite en exemple les circulaires publiées récemment par la PSEA concernant la reprise des cours. Initialement, une journée préparatoire avait été prévue le 9 janvier 2026 pour tout le personnel avant la rentrée du 12 janvier 2026. Quelques jours plus tard, une nouvelle circulaire modifie la date de reprise pour le personnel non enseignant, désormais fixé au 5 janvier. « Cette confusion reflète un manque de professionnalisme et laisse le personnel non enseignant dans le flou », déplore Arvind Bhojun. Par ailleurs, le président de l'UPSEE revient sur un problème ancien, datant de 2017, concernant les « Heads of Departments » (HoD) dans les collèges privés. Aujourd'hui, plusieurs départements n'ont toujours pas de responsable désigné, et les enseignants sont contraints d'assumer ces responsabilités sans rémunération supplémentaire, contrairement à la pratique dans les collèges d'État, souligne Arvind Bhojun.
Conseils, tendances du marché… Samedi et dimanche, dans Europe 1 Matin Week-end, Christophe Bordet revient sur l'actualité immobilière. Aujourd'hui, Airbnb.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
FB TW WS La Journée internationale de la préparation aux épidémies, observée chaque 27 décembre, a été proclamée en 2020 par les Nations unies. Elle vise à rappeler aux États l'importance de l'anticipation, de la coordination et de la réactivité face aux menaces sanitaires, à la lumière des leçons tirées de la pandémie de Covid-19. À Maurice, la gestion des épidémies s'est considérablement améliorée ces dernières années, souligne le Dr Fazil Khodabaccus, directeur par intérim des Services de santé. Selon lui, l'expérience de la Covid-19 a permis de renforcer les capacités du personnel de santé, notamment en matière de prévention et de contrôle des infections (Infection Prevention and Control – IPC). « Aujourd'hui, tout le personnel est formé aux protocoles IPC », affirme-t-il. Le Dr Fazil Khodabaccus a souligne qu'un plan d'action national en matière de préparation aux épidémies devrait d'ailleurs voir le jour l'an prochain. Il a ajoute que « Maurice est prête à faire face aux épidémies. Nous disposons d'un bon système, mais il doit être amélioré en permanence », conclut le Dr Fazil Khodabaccus, rappelant que la vigilance et l'adaptation restent essentielles face aux menaces sanitaires futures.
Cluny fut la reine des abbayes en Europe aux alentours de l'an Mil. Aujourd'hui, on peut visiter ce qu'il reste d'elle, ombre de sa puissance passée… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:33 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Semaine spéciale Charles Aznavour ! Aujourd'hui, nous réécoutons l'entretien de Frédéric Pommier avec le comédien et humoriste Gil Alma, qui avait choisi d'évoquer "La Bohême", chanson qui lui rappelle le jour de la naissance de son premier fils. (Rediffusion de l'émission du 20/10/2022.) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
durée : 00:04:40 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - La France a-t-elle la fièvre ? En cinq épisodes, l'historien Michel Winock revient sur 150 ans de "fièvre hexagonale", ces moments de crise politique aigue. Aujourd'hui, mai 1968.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Alexis de la Fléchère scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, les attentes des Français et le cabaret, patrimoine national inestimable.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, le chanteur Garou.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, l'écrivaine Amélie Nothomb.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui Laetitia Casta, actrice et mannequin. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
Si vous aimez mon univers, sachez que je propose des réflexions personnelles sur les sujets abordés ici (à savoir l'amour, la nourriture, la sexualité…) dans une newsletter qui s'intitule La vie gourmande. Aujourd'hui, j'ai l'immense plaisir de recevoir Rosa Bursztein.Rosa est comédienne, stand-upeuse, podcasteuse et autrice.Dans cet épisode, elle revient sur l'évolution de son rapport à son corps depuis l'enfance, et ce que le théâtre, puis le stand-up, lui ont permis de déplacer.Nous parlons du métier de faire rire, de la façon dont sa vie personnelle nourrit son travail, et des limites qu'elle pose à ce qu'elle en partage.Rosa raconte également son expérience de la maternité : la violence du silence autour des fausses couches, l'impact d'une naissance sur le couple, l'ajustement avec la vie professionnelle, et ce que devenir mère a changé dans son rapport à la vie.Mais avec Rosa, nous avons aussi discuté de jalousie, de secret et de sexualité – accompagnée ou solitaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:48:14 - Interception - par : Fabienne Sintes - Quatre enfants sur dix ne sortent pas de leur établissement pendant une semaine complète. Dès le début du 20e siècle, l'Education nationale questionnait la place de la nature en milieu scolaire. Aujourd'hui, des enseignants veulent les emmener dehors. Pour leur bien-être. - réalisé par : Lucie Lemarchand Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cet épisode est une rediffusion - j'aime vous proposer, pendant les vacances scolaires, les contenus que vous avez le plus plébiscités au cours des derniers mois !« Ce qu'on fait pour les enfants, tout le monde en bénéficie. »À quoi ressemblerait une ville pensée d'abord pour les enfants ? Cet épisode vous invite à découvrir comment la ville de Lyon s'est transformée pour mieux inclure les plus jeunes et faire de leur bien-être une priorité collective.Aujourd'hui, notre invité est Tristan Debray, conseiller municipal délégué à la Ville des enfants à Lyon. Spécialiste engagé depuis de nombreuses années sur les droits de l'enfant, Tristan a travaillé auprès d'instances internationales et locales, notamment au Liban et au Comité des droits de l'enfant des Nations unies. À Lyon, il porte une politique ambitieuse pour replacer les enfants au cœur des décisions urbaines.Dans cet épisode, vous partirez à la rencontre des transformations concrètes qui réinventent la ville à hauteur d'enfant : rues végétalisées, espaces de jeux repensés, conseils d'enfants et d'adolescents… Tristan partage sa vision, ses défis, et les impacts positifs de cette démarche inclusive pour l'ensemble des habitants. Vous découvrirez pourquoi accorder une vraie place aux enfants n'est pas seulement bénéfique pour eux, mais aussi pour toute la société.Au programme :(00:00-04:02) Parcours et engagement précoce de Tristan Debray pour les droits de l'enfant(04:02-11:39) La Convention internationale des droits de l'enfant : ambitions, freins et réalités en France(11:39-13:39) Naissance du projet "Ville des enfants" à Lyon et originalité de la démarche(13:39-15:57) Pourquoi les villes doivent s'impliquer pour l'inclusion des enfants(15:57-19:49) Le label « Ville amie des enfants » de l'UNICEF : exigences, impacts et innovations lyonnaises(19:49-25:27) Les freins psychologiques et culturels à repenser la ville pour les enfants(25:27-28:54) Pourquoi une ville pensée pour les enfants profite à tous ses habitants(28:54-34:56) Les grands chantiers concrets à Lyon : rues aux enfants, conseils, cours nature...(34:56-38:15) Conseils d'enfants : des idées aux réalisations concrètes(38:15-40:54) Retours des enfants et apprentissages d'une participation active(40:54-43:42) Impact global de la Ville des enfants : pour une société plus inclusive et démocratiqueRessources de l'épisode :Livre : « La ville des enfants. Pour une (r)évolution urbaine » de Francesco TonucciÀ travers le regard de Tristan Debray, cet épisode révèle comment l'écoute, la participation et le respect des droits de l'enfant peuvent transformer nos villes et, au-delà, nourrir une société plus juste, créative et humaine.
durée : 00:39:14 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - La nostalgie, à l'origine, est une sous-forme de mélancolie qui se définirait plutôt comme « mal du pays ». Aujourd'hui, elle souffle son vent un peu partout, outil pour faire vendre. Et vous, cette nostalgie, comment l'éprouvez vous ? Qu'est-ce qu'elle vous évoque ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:08 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Semaine spéciale Charles Aznavour ! Aujourd'hui, nous réécoutons l'entretien de Frédéric Pommier avec la chanteuse de jazz Térez Montcalm, qui avait choisi d'évoquer "Je n'attendais que toi", morceau composé pour le film "Edith et Marcel" de Claude Lelouch. (Rediffusion de l'émission du 08/02/2024.) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:37:57 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Le youtubeur Vincent Verzat et le journaliste Gaspard d'Allens se sont rencontrés lors des premières mobilisations climat. Aujourd'hui, après dix ans de luttes et de manifestations, ils donnent un nouveau souffle à leur engagement en créant des ponts entre le monde sauvage et le monde militant. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:10 - Le vrai ou faux - En cette période de fêtes de fin d'année, franceinfo se penche sur les infox liées à la santé. Aujourd'hui, on s'intéresse à ces bracelets et bagues qui promettent de vous soulager sans médicament. Ils sont censés faire disparaître la douleur ou les ronflements. Mais que dit la science ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:33 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - La France a-t-elle la fièvre ? En cinq épisodes, l'historien Michel Winock revient sur 150 ans de "fièvre hexagonale", ces moments de crise politique aigue. Aujourd'hui, la tentative de putsch, en 1958, et le retour du général de Gaulle.
Et si le Père Noël n'avait jamais été ce que vous pensiez ?En aidant ses parents à déménager, un homme redécouvre un vieux cahier d'enfant. À l'intérieur, des pages écrites en 2008 racontent une histoire glaçante : celle d'un « Père Noël » vivant dans le sous-sol familial. À l'époque, tout semblait innocent. Aujourd'hui, chaque mot prend un sens terrifiant.Disparitions, bruits nocturnes, menaces murmurées… puis la révélation d'un drame qui a marqué tout un quartier — et bien plus encore.Dans cet épisode de Dans Le Noir, je vous raconte une histoire vraie (ou presque), où l'innocence de l'enfance se heurte à l'horreur la plus humaine. Une histoire qui rappelle que parfois, le monstre n'est pas sous le lit… mais juste en dessous de la maison.
L'Afrique du Sud voit émerger un type de club de lecture un peu particulier, les «Silent Book Club» (clubs de lecture silencieux, en français). Un concept ayant vu le jour il y a plus de 10 ans à Los Angeles, mais qui s'est bien exporté au sein de la nation arc-en-ciel. Le principe est simple : des passionnés se retrouvent régulièrement dans des lieux publics pour lire ensemble. RFI a rencontré quelques adeptes qui s'étaient réunis à Johannesburg. La météo capricieuse a obligé ces participants à se réfugier dans différents cafés du quartier. Seul le bruit de la machine à espresso et les conversations d'autres clients viennent perturber leur lecture, chacun dans son monde, mais tous autour d'une même table. Ce rassemblement est organisé régulièrement à l'initiative de Nabeela Mangera, qui a lancé le club de Johannesburg, il y a un an. « C'est un concept un peu étonnant, mais qui apporte beaucoup de sérénité. Je pense que de nos jours, on a du mal à se poser. On veut toujours des sources rapides d'informations, et il n'y a pas le temps de lire, ou plutôt on ne prend pas le temps. Quand j'ai entendu parler des clubs de lecture silencieux, j'ai voulu créer un de ces espaces où on peut venir et rencontrer des gens tout aussi passionnés. Mais aussi un espace où on peut s'asseoir et se concentrer sur sa lecture, sans trop de distractions », détaille-t-elle. Difficulté de lire dans un lieu public Ouvrage papier ou tablette numérique, le support importe peu. De même que le type de livre, puisque chacun est libre de choisir ce qui lui plait, sans temps imparti pour tout finir, contrairement aux clubs de lecture traditionnels. Ce qu'apprécie Adila, 34 ans : « Aujourd'hui, je change un peu mes habitudes de lecture. Le plus souvent, j'aime lire des romans policiers ou des romans à énigmes. Mais là je lis du fantastique, avec des dieux grecs et tout ça ! Ici c'est très détendu, on vient juste pour le plaisir. » Chacun reste plongé dans son livre pendant une heure, mais apprécie la compagnie silencieuse des autres lecteurs. Il s'agit de lire seul, mais ensemble, en somme. À la fin, ceux qui le souhaitent peuvent participer à une discussion et partager leur passion. Pour Austin, ce concept est particulièrement bienvenu dans une ville comme Johannesburg. « Ce n'est pas souvent qu'on se retrouve entourés d'autres lecteurs, c'est sympa d'avoir une communauté. De plus, ici, on est souvent inquiet pour sa sécurité, et ce n'est pas si simple de sortir et de commencer à lire dans un lieu public. Donc, on a créé un espace et une communauté pour que les gens puissent le faire. Et puis, c'est dur de trouver un peu de silence dans Johannesburg », plaisante-t-il. L'initiative rencontre aussi du succès dans d'autres métropoles d'Afrique du Sud comme Le Cap et Durban, ou de plus petites villes comme George, avec des lecteurs qui se retrouvent dans des parcs, à la plage, ou encore dans des bars. À lire aussiLe succès des marchés de Noël en Afrique du Sud [1/5]
«L'écologie sera décoloniale ou ne sera pas», annonçait Malcom Ferdinand, dans son précédent livre. Aujourd'hui, le philosophe et politiste martiniquais publie S'aimer la Terre, défaire l'habiter colonial pour comprendre et interpréter le scandale du chlordécone, qui a profondément pollué les Antilles. (Rediffusion du 7 novembre 2024) C'est l'un des plus gros scandales sanitaires et environnementaux en France : le chlordécone. Cet insecticide a été massivement utilisé aux Antilles pour lutter contre le charançon du bananier entre 1972 et 1993 alors que sa toxicité était avérée. Mais alors qu'un pays comme les USA l'interdit en 1976, il faut attendre 1990 pour que la France le retire enfin... sauf en Guadeloupe et en Martinique où il est utilisé jusqu'en 1993 avec des conséquences humaines désastreuses. Pourtant, malgré la reconnaissance de ce scandale, la France a bénéficié d'un non-lieu en janvier 2023, provoquant l'incompréhension, la colère et la défiance des habitants envers l'État. Mais cette pollution massive est-elle seulement un triste écocide ? Et une question revient inlassablement : comment en est-on arrivé là ? La réponse est plus complexe qu'on ne l'imagine et elle questionne notre rapport à la terre, au vivant, à l'homme et à sa pathétique volonté de dominer, à la fois la nature et ses propres congénères. Avec Malcom Ferdinand, ingénieur en environnement de l'University College London, docteur en Philosophie politique de l'Université Paris-Diderot et chercheur au CNRS (IRISSO / Université Paris-Dauphine), pour son ouvrage S'aimer la Terre, défaire l'habiter colonial, paru au Seuil.
Que nous enseignent les contes aujourd'hui ? Comment les contes nous apprennent à apprendre ? Nous permettent-ils de rester éveillés aux autres ? Invitée : Muriel Bloch, conteuse. L'Enfant au poisson rouge et autres contes d'apprentissage est paru chez Gallimard.
Que nous enseignent les contes aujourd'hui ? Comment les contes nous apprennent à apprendre ? Nous permettent-ils de rester éveillés aux autres ? Invitée : Muriel Bloch, conteuse. L'Enfant au poisson rouge et autres contes d'apprentissage est paru chez Gallimard.
durée : 01:28:42 - Bella Davidovich, un grand nom du piano au féminin - par : Aurélie Moreau - Bella Davidovich a beaucoup joué le répertoire romantique, tout particulièrement Chopin. Elle joint à une maîtrise technique souveraine, une palette de couleurs exceptionnelle. Aujourd'hui : Beethoven, Chopin, Prokofiev, Saint-Saëns et Schumann. - réalisé par : Lionel Quantin Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Denis Castin est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro de Baptiste Julien Blandet, le délégué général de Toit à Moi alerte : le sans-abrisme reste une urgence sociale majeure en France.Aujourd'hui, plus de 300 000 personnes vivent sans domicile. Face à cette réalité, Toit à Moi défend une méthode éprouvée depuis plus de 15 ans : le « logement d'abord tremplin ». Le principe est clair : offrir un logement stable en priorité, puis un accompagnement social de long terme pour permettre une reconstruction durable.« Loger une personne sans accompagnement, ça ne suffit pas », martèle Denis Castin. Présente dans 20 villes, l'association a déjà acquis plus d'une centaine de logements via une foncière solidaire, soutenue par des citoyens, des entreprises et des collectivités.À l'occasion du RENT et du gala de la PropTech, Toit à Moi a été mise en lumière par les acteurs de l'immobilier. Pour Denis Castin, le message est sans détour : « Les professionnels ont une partie de la solution entre les mains ». Promoteurs, agences et investisseurs peuvent agir, en intégrant des logements solidaires au cœur même de leurs projets.Un échange sans langue de bois sur l'immobilier, la responsabilité collective et la nécessité de changer d'échelle.
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui, nous sommes le 25 décembre. Nous fêtons la naissance de l'Enfant-Jésus.En ce jour de Noël, je me joins à la joie de Marie et Joseph, qui accueillent cet enfant tant attendu par le peuple d'Israël, ainsi que par le reste de... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Veni, lumen cordium de Margaret Rizza interprété par Margaret Rizza - Fountain of Life © Margaret Rizza.
Aujourd'hui, Jérémy t'invite dans un temps de reconnaissance dans la prière, pour célébrer la bonté de Dieu dans ta vie et redécouvrir toutes les petites bénédictions que Dieu a placées sur ton chemin, telles que : la nourriture, la nature, les vêtements, etc. Alors sois encouragé(e) et laisse la gratitude transformer ton regard sur la vie ! 00:00:00 : Début de l'émission 00:00:15 : Chant 00:02:21 : Encouragement 00:05:56 : Prière
Aujourd'hui, on se concentre sur votre croissance business à travers un atelier pratico-pratique !
durée : 00:04:37 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Semaine spéciale Charles Aznavour ! Aujourd'hui, nous réécoutons l'entretien de Frédéric Pommier avec le magistrat et auteur de romans policiers Eric Halphen, qui avait choisi d'évoquer "Emmenez-moi", un titre qui réveille chez lui le souvenir de sa mère. (Rediffusion de l'émission du 19/04/2023.) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Bruno Poncet, cheminot, Antoine Diers, consultant, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.