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durée : 00:49:18 - Remède à la mélancolie - "Je t'aime je t'aime" d'Alain Resnais, Achille Chavée, les fleurs, les bruits ambiants, le Collectif Sin, Paul Laffoley, Hannah Rickards, Los Reyes Locos, Thomas de Visme, Reggie Watts... Retrouvez tous les remèdes de notre invité !
Son nom ne vous dit rien et il figure pourtant sur les affiches de vos films préférés. Hervé de Luze est l'un des grands monteurs français récompensé trois fois aux Césars, et nommé aux Oscars pour "Le Pianiste" en 2003. Il a travaillé sur de nombreux films de Roman Polanski, depuis "Tess" sorti en 1979, mais aussi d'Alain Resnais, Claude Berri ou Guillaume Canet, dont il signe le montage de son dernier long métrage : "Nous finirons ensemble". De la pellicule au numérique, comment à evolué le montage depuis ses débuts dans le métier ? Quelle liberté à-t'il ? Quelle relation s'installe avec le réalisateur ? Hervé de Luze nous raconte l'envers du décor. Entretien réalisé en Mars 2019. Musique du générique : Dreams (Joakim Karud)
Figure majeure de la littérature au 20e siècle, prix Goncourt en 1984 pour son roman "L'amant", Marguerite Duras va aussi écrire pour le théâtre et pour le cinéma, dont le scénario du film "Hiroshima mon amour" d'Alain Resnais, avant de passer elle-même à la réalisation. Invitée : Danielle Laurin
Cette semaine dans Flashback, Antoine Jullien vous parle des ressorties cinéma de ce mois d'octobre en revenant sur de nombreux classiques du cinéma.Au programme :Nous évoquerons les ressorties à la Cinémathèque française d'Ingmar Bergman avec un coup de projecteur sur "Le septième sceau". Plus particulièrement sur cette fascinante scène d'une partie d'échec avec la Mort. L'occasion de voir ou de revoir une oeuvre métaphysique culte dans une restauration éblouissante.Ensuite nous évoquerons la ressortie du film de Dino Risi, "Le Fanfaron" avec le duo Gassman/Trintignant qui crève littéralement l'écran. "Le Fanfaron" c'est la rencontre entre la quintessence du mâle italien et un étudiant froissé au volant d'une sublime Lancia. Rien que ça."Borsalino" de Jacques Deray fait également parti des ressorties du mois. De quoi retrouver deux monstres du cinéma, Jean-Paul Belmondo et Alain Delon dans le Marseille des années folles. Notre invité, Jérôme Wybon en profitera d'ailleurs pour nous en dire plus sur la relation qu'entretenait les deux hommes.Le mois d'octobre c'est aussi la ressortie de "Mon oncle d'Amérique" d'Alain Resnais. Une oeuvre stimulante avec notamment Gerard Depardieu et Nicole Garcia au casting et un long métrage que Resnais lui même, désignait comme une "comédie biologique".Enfin pour finir, deux grands classiques du maître de l'horreur John Carpenter seront de la partie avec la ressortie de "Fog" et du cultisme "Halloween" à l'occasion de la sortie du tout dernier volet de la saga le 24 octobre. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Dans cet épisode, il y a Myriam Leroy, Laurent Raphaël, Olivier Van Vaerenbergh et Nicolas Clément. Qui causent de: -"Aimer, boire et chanter", le dernier (et vraiment dernier pour le coup) film d'Alain Resnais. Un film désuet, ou bien une oeuvre qui ouvre de nouvelles perspectives cinématographiques? -"Extorsion", le nouveau roman de cette vieille branche de James Ellroy. Petit live ou livre mineur? -"The Red Road", la série du scénariste de Prisoners, polar et drame communautaire aux relents de jeu de cowboys et Indiens. A voir? -"Une version améliorée de la tristesse", l'album du Québécois Peter Peter. Hype passagère ou disque qui compte? Tout ça, et nos coups de coeur du moment en plus durant les 55 prochaines minutes, powered by Focus Vif magazine.
Dans L'Image-temps, Gilles Deleuze voyait en Stanley Kubrick, à l'instar d'Alain Resnais, un cinéaste "de l'identité du monde et du cerveau". En partant de Shining, nous questionnerons et prolongerons ce rapprochement en avançant trois autres noms de cinéastes explorateurs d'états limites du monde et de la conscience : David Lynch, Michael Haneke et Gus Van Sant.
Dans L'Image-temps, Gilles Deleuze voyait en Stanley Kubrick, à l'instar d'Alain Resnais, un cinéaste "de l'identité du monde et du cerveau". En partant de Shining, nous questionnerons et prolongerons ce rapprochement en avançant trois autres noms de cinéastes explorateurs d'états limites du monde et de la conscience : David Lynch, Michael Haneke et Gus Van Sant.