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Marta García Aller, sobre las críticas del Gobierno al Supremo tras la condena al fiscal: "Si lo acatas no lo atacas"
Marta Garcia Aller ha criticado la respuesta que el presidente de EEUU le dio a una reportera que pregunto al principe bin Salman, por el asesinato del periodista Jamal Kashogi.
Kjell-Gabriel har vært på smaking med Bernard Huber og smakt igjennom alle 2023 årgangene hans. Han mener at dette er noe du bare må skaffe deg. Dette er det beste fra Tyskland nå om dagen. Så Bernard Huber er navnet, og noe får man tak i på basisutvalget, men noe er i spesialutvalge og da må du ringe polet.See omnystudio.com/listener for privacy information.
La periodista ha explicado como el exsecretario de Organizacion del PSOE maniobraba para que Servinabar recibiera encargos que luego el cobraba en especie, viviendo a gastos pagados.
Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Esta semana vamos a hacer una Pausa para hablar de una guerra. Una guerra cognitiva. Analizamos el hackeo, no de una web, sino de nuestra mente. Y la batalla que juegan las grandes potencias con la geopolítica del meme. ¿Es distinta ahora la propagada política? ¿Cómo se difunden estos memes que parecen inocentes y no lo son? ¿Dónde se crean? ¿Qué son los cheap fakes? Marta García Aller se pone el casco de batalla junto a Daniel Iriarte periodista de El Confidencial y analista especializado en seguridad global, autor de 'Guerras Cognitivas'.
Forfatteren Thomas Boberg sidder i dag i retten, fordi han er blevet sagsøgt for injurier af Frank Strathe, der kan genkende sig selv i karakteren Rolf i romanen "Insula". Boberg og Gyldendal fastholder, at karakteren er fiktion. K-live sender live fra dagens retssag. Dagen efter kommunalvalget ser vi også på, hvem der kommer til at definere kulturpolitikken i landets største kommuner, og hvorfor det er sejt at være single. Medvirkende: Lotte Folke, redaktionschef for Opinion på Politiken; Rebekka Bundgaard, kulturredaktør på Atlas; Mads Mygind, digter; Johanne Bille, forfatter og kulturredaktør hos Aller; Rasmus Faber Lundberg, redaktør på Kulturmonitor. Vært: Linnea Albinus Lande Producer: Sarah Randeris Redaktør: Lasse Lauridsen
Raphaël Ruegger a cofondé la Fédération Française des Trucs qui marchent et vient de publier un livre éponyme, aux éditions Buchet-Chastel. Son objectif : identifier et faire connaître des initiatives portées par les communes qui ont fait leur preuves, et qui peuvent fonctionner ailleurs Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hennings, Alexa
La periodista ha descrito la propuesta de Hacienda como "un universo paralelo" en el que pretende aprobar una financiacion que castigara a algunas comunidades, pero en la que ninguna saldra perjudicada.
Aujourd'hui, Didier Giraud, éleveur de bovins, Bruno Poncet, cheminot, et Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Invitée: Victoire Tuaillon. Il ne se passe par un jour sans que le monde apporte son lot de violences, de guerres. Sans parler du dérèglement climatique. Ces nouvelles ont de quoi déprimer, voir sidérer. Comment aller bien dans un monde qui va mal? Cʹest la question que se pose la journaliste Victoire Tuaillon dans son nouveau podcast "Renverser la table". Elle est l'invitée de Tribu, en amont de son passage à Genève dans le cadre du Festival Les Créatives.
Dans une conférence Est jugée (à raison) plus faible, les Pistons continuent d'asseoir leur extrême domination. Malgré les blessures à répétition, Detroit vient d'enchaîner un dixième succès consécutif, son douzième de la saison. Et c'est tout simplement la plus longue série de victoires des Pistons depuis la saison 2007/08, c'est dire ! Pour autant, sont-ils taillés pour aller loin en playoffs ? Jusqu'où peuvent aller ces Pistons ? Débat dans Basket Time.27.5 points, 5.5 rebonds, 9.9 passes. Cade Cunningham porte les Pistons sur ses épaules. Même s'il arrose de tous les côtés, il affiche des stats démentielles et s'affiche comme un véritable leader. Mais face à Luka Doncic, Nikola Jokic ou encore Anthony Edwards, Cade Cunningham a-t-il l'étoffe d'un MVP ? Peut-il devenir le visage américain dont rêve la NBA ? Dans la partie historique : Le joueur, les Pistons de l'époque et sa rivalité avec Michael Jordan... Basket Time profite de cet épisode spécial Pistons pour s'arrêter sur un joueur emblématique : Isiah Thomas. Et enfin, le quiz de Basket Time / Spécial Pistons et Motown.Avec Pierre Dorian, Alex Biggerstaff, Félix Gabory et Fred WeisProduction : Killian VeroveRéalisation : Kevin Paugam
Dans une conférence Est jugée (à raison) plus faible, les Pistons continuent d'asseoir leur extrême domination. Malgré les blessures à répétition, Detroit vient d'enchaîner un dixième succès consécutif, son douzième de la saison. Et c'est tout simplement la plus longue série de victoires des Pistons depuis la saison 2007/08, c'est dire ! Pour autant, sont-ils taillés pour aller loin en playoffs ? Jusqu'où peuvent aller ces Pistons ? Débat dans Basket Time.
La periodista ha descrito la propuesta de Hacienda como "un universo paralelo" en el que pretende aprobar una financiacion que castigara a algunas comunidades, pero en la que ninguna saldra perjudicada.
La periodista destacado los datos del Informe sobre la realidad migratoria en Espana del CES, que resalta que solo el 4,8% de los migrantes reciben el Ingreso Minimo Vital, pese a que un 20% de las familias tienen carencias materiales severas.
La periodista destacado los datos del Informe sobre la realidad migratoria en Espana del CES, que resalta que solo el 4,8% de los migrantes reciben el Ingreso Minimo Vital, pese a que un 20% de las familias tienen carencias materiales severas.
Tous les matins, 8h50 sur Chérie FM, Alex et Tiffany l'équipe du Réveil Chérie vont chacun vous donner une info ! Une seule est vraie ! L'autre est complètement fausse !" A vous de trouver qui dit vrai !
RDV le Jeudi 27 Novembre pour le LIVE BLACKFRIDAY IVT M'écrire ? ➡️ Contactez-moi ici : Morning Mood : morningmood@xavierfenaux.comContact Pro : xavier.fenaux.pro@gmail.com
De Oscarwinnende regisseur Guillermo Del Toro (Pan's Labyrinth, The Shape of Water) bouwde zijn hele carrière toe naar dit moment: een eigen verfilming van het voor hem zo belangrijke Frankenstein-verhaal. Levert deze horrorklassieker in zijn handen ook een meesterwerk op? Coen en Gudo scharen zich in deze recensie niet blind achter veel andere critici. En eindelijk gaan de heren verder met hun lijst 'favoriete filmscènes aller tijden'. Ook bij de nummers 15 t/m 11 valt vooral de enorme variatie op. Van geliefde blockbusters tot kleine arthouseproducties. Voor alles is een plek, zolang het hun filmhart maar sneller doet kloppen. 00:00 Introductie03:56 Recensie: Frankenstein17:38 Top 25: Favoriete filmscènes aller tijden (15-11)Support the show: https://www.patreon.com/movieinsidersSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Chaque samedi, dans CLAP !, Laurie Cholewa donne la parole aux critiques, qui commentent les sorties de la semaine. Les auditeurs ont également rendez-vous avec le journal des sorties, et les chiffres du box-office.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La periodista ha querido detenerse en la ultima entrevista que ha concedido el presidente del Gobierno en Radio 3, donde se quito la corbata para elogiar el disco 'Lux', igual que hizo Feijoo en el parlamento.
Invités : - Marc Ferracci, député Ensemble pour la République des Français établis hors de France et ancien ministre de l'Industrie et de l'Énergie - Jules Torres, journaliste politique au JDD - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Beaucoup pensent qu'il faut avoir une confiance inébranlable pour aller en club libertin.Dans cet épisode, je déconstruis cette idée.On parle libertinage, émotions, premières fois, alignement intérieur,et de ce qu'il faut vraiment pour vivre une expérience libertine sans se perdre.Confiance en soi, confiance en l'autre, limites, sécurité émotionnelle, intentions…Je te donne un cadre clair pour comprendre si tu es prêt·e ou pas.Un épisode pour celles et ceux qui hésitent, qui fantasment,ou qui veulent simplement mieux comprendre ce que le libertinage exige vraiment.Abonne-toi à Ta Pause Sexy pour ne rien rater des prochains épisodes.Retrouve-moi sur Instagram @tapausesexy et inscris-toi à la newsletter pour recevoir les coulisses et bonus exclusifs.Bonne écoute !Pour les demandes de sponsoring : tapausesexy@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La periodista ha destacado la disparidad de relatos que se pueden observar en los medios de comunicacion en un proceso en el que estan desapareciendo las instituciones invisibles que sostenian
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Booste ton activité de marchand de biens avec Le Cercle MDB
La periodista analiza el contenido de los audios que grabo el fiscal Stampa en el encuentro que tuvo con la fontanera, en el que afirmo ser la segunda en la sombra de Santos Cerdan.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", et Laura Warton Martinez, sophrologue, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
« Le président Tshisekedi ne peut pas aller signer la paix à Washington sans qu'on puisse constater que les troupes rwandaises se sont retirées de notre territoire », déclare sur RFI, ce mercredi matin, le ministre congolais de la Communication et des Médias, Patrick Muyaya. Est-ce à dire que la poignée de main, prévue d'ici à la fin du mois à Washington, entre le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagamé est sérieusement compromise ? De passage à Paris, Patrick Muyaya, qui est aussi porte-parole du gouvernement de la RDC, répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Jusqu'à la semaine dernière, vous faisiez du retrait des troupes rwandaises du Congo le préalable à toute signature d'accords. Mais vendredi dernier, à Washington, vous avez finalement signé un accord de coopération économique avec le Rwanda pour le développement futur de la sous région. Pourquoi avez-vous changé d'avis ? Patrick Muyaya : Nous avons paraphé parce qu'il y a eu un progrès. Il y a eu, dans ce qui avait été signé, une section qui a été rajoutée. Dans cette section, il est clairement dit que le cadre d'intégration économique régionale pourra effectivement être mis en œuvre après la satisfaction de l'exécution du Conops. Le Conops, c'est le volet militaire de l'accord du 27 juin qui stipule, d'une part, que nous allons traiter la question des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) et que le Rwanda va à son tour retirer ce que l'on appelle ses « mesures de défense », en réalité, la présence de ses troupes et de son matériel militaire. Dans ce qui s'est discuté, il y a des engagements qui ont été réitérés de part et d'autre, notamment en ce qui concerne le volet militaire, pour que cela facilite la signature par les deux chefs d'État. Vous avez signé parce que le principe, notamment, d'un retrait des troupes rwandaises vous semble acquis ? Nous avons signé, dans le cadre de cette section, que l'on a rajouté, parce qu'il faut que l'on s'assure que, dans cette dimension, le Rwanda fasse sa part. Dans le Conops, le volet militaire, n'oubliez pas qu'il est prévu de traiter d'une part la question des FDLR, ce que nous traitons, avec la phase de la sensibilisation – nous en ferons le point pour décider s'il y a des opérations qui doivent se faire. Mais, d'autre part, le Rwanda s'était engagé à retirer ses mesures de défense. Nous faisons notre part et eux doivent faire la leur. Comme vous le dites, la mise en œuvre de cet accord de coopération économique est conditionnée aussi à la neutralisation des rebelles hutu rwandais FDLR sur votre territoire. Mais concrètement, monsieur le ministre, avez-vous cartographié le déploiement des FDLR ? Avez-vous commencé à les désarmer ? Je crois qu'il y a un travail d'état-major qui a été fait en termes de cartographie. Il y en a certains qui sont sur la partie du territoire que nous contrôlons, et l'autre partie sur le territoire qui est sous contrôle des forces d'occupation. Dans les parties que nous contrôlons, au moment où je vous parle, il y a des experts militaires qui sont sur place pour procéder à la phase de sensibilisation qui est, elle aussi, prévue dans le cadre du Conops, qui est annexé à l'accord du 27 juin. Dans cet ordre, nous faisons cette première partie. S'il y a des résistances, dans le cadre de ce qui est prévu, nous passerons à la phase suivante pour nous assurer que nous nous sommes acquittés de notre part dans le cadre de l'exécution du Conops. Du côté des négociations avec les rebelles de l'AFC/M23, vous avez signé avec eux, il y a un mois, un accord créant un mécanisme de surveillance du cessez-le-feu. Où en est ce mécanisme ? Fonctionne-t-il ? Il doit fonctionner normalement en fonction des structures qui ont été mises en place. Je crois que la première réunion devrait être convoquée incessamment pour voir comment cela peut se mettre en place. Ce n'est pas simplement la question du mécanisme du cessez-le-feu, mais aussi cette question de prisonniers. Vous parlez d'échange de prisonniers. Vous négociez à ce sujet avec le M23 depuis plusieurs mois à Doha, mais cela n'avance pas. Beaucoup disent que c'est vous qui bloquez, car vous refuseriez la libération d'un certain nombre de prisonniers politiques. Je n'irai pas à dire que nous bloquons ou que nous n'avançons pas. Le fait, déjà, que nous ayons parlé préalablement des mécanismes qui ont été signés, notamment sur le cessez-le-feu ou la libération de prisonniers, c'est la preuve que nous avançons sur les mécanismes de prisonniers. Il y a une tâche qui a été confiée au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), qui est en train de travailler avec les deux parties. Le moment venu, il y aura des évolutions et les choses pourront être dites. La condamnation à mort, le mois dernier, de l'ancien président Joseph Kabila par un tribunal militaire de Kinshasa ne complique-t-elle pas ces négociations ? Je ne suis pas sûr que cela complique les négociations. Il faut dissocier le président Kabila. C'est un ancien président. Je pense qu'il existe une loi qui le concerne, lui, personnellement – parce qu'on n'a pas deux anciens présidents. Au regard de cette loi et au regard de ses agissements, notamment son séjour et ses contacts réguliers – je ne dirai pas davantage –, il faut considérer qu'il n'a pas joué le rôle qu'il devrait jouer dans ce cadre et que les conséquences au plan judiciaire ont été tirées. Cette semaine, toujours à Doha, au Qatar, on attend la signature d'un accord-cadre entre l'AFC/M23 et votre gouvernement. Où en est-on ? Je pense que les discussions ont plutôt bien évolué. Il y a un besoin humanitaire urgent et pressant. Je pense que nous trouvons un compromis qui sera complémentaire à celui trouvé à Washington et qui nous permet d'aller maintenant dans la mise en œuvre effective qui sera l'étape la plus déterminante qui permette le retour de la paix effective. La Conférence humanitaire de Paris, le 30 octobre dernier, a-t-elle donné les résultats que vous espériez, ou vous a-t-elle déçu ? On ne dira pas qu'on est déçu parce qu'il y a eu une grosse mobilisation sur un sujet qui nous tient particulièrement à cœur, le sujet humanitaire. Il y a des besoins qui ont été chiffrés à peu près à 2,2 milliards et Paris s'est prononcé pour à peu près 1,6 milliard. Ce n'est pas tout ce dont nous avons besoin, mais c'est déjà quelque chose d'essentiel. Nous restons attentifs sur ce sujet aussi. La réouverture de l'aéroport de Goma pour des causes humanitaires, y croyez-vous ? Nous allons y arriver parce que nous avions convenu de cette urgence avec les humanitaires sur place. La question a fait l'objet des discussions à Paris. Ici, il faut rappeler d'abord que, si ceux qui occupent illicitement la ville de Goma et de Bukavu étaient en mesure d'ouvrir l'aéroport, ils l'auraient ouvert. C'est une question de souveraineté. Et nous, nous avons lancé un NOTAM (« Messages aux navigants », ndlr) – pour parler un langage de spécialiste –, pour dire que ces aéroports ne pouvaient pas servir. Pour des besoins strictement humanitaires, il y aura une dérogation qui pourra être faite pour des vols de type précis qui pourront être systématiquement contrôlés et être dans la mesure de fournir l'appui qu'il faut à nos populations sur place. D'ici combien de temps ? Je ne saurai pas vous donner des délais, au moment où nous parlons. Mais je sais qu'il y a des personnes qui y travaillent, que ce soit à Kinshasa ou à Paris, et qui doivent être en mesure rapidement de rendre concret ce projet. Vous êtes sur le point de signer un accord-cadre avec les rebelles AFC/M23, mais en même temps, ce mouvement est en train de recruter des dizaines, voire des centaines de magistrats pour son administration. Comment réagissez-vous ? Il est évident, le ministre de la Justice l'a déjà dit, que tout acte posé dans ces contextes sera déclaré nul et de nul effet. Vous convenez avec moi qu'ils ne sont pas en compétence de faire un quelconque recrutement parce qu'il existe un travail du Conseil supérieur de la magistrature et des critères bien établis. Nous n'accordons que peu d'attention à ce genre d'actions qui n'ont en réalité aucun avenir. Voilà plus de quatre mois que les ministres des Affaires étrangères de vos deux pays, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, ont signé un premier accord de paix à Washington. C'était le 27 juin. Mais à quand un accord de paix définitif signé par vos deux présidents, Félix Tshisekedi et Paul Kagame, en présence de Donald Trump à Washington ? Mais je crois que c'est prévu et les conditions doivent être réunies. Mais il y a pour nous un facteur principal, c'est le retrait de ce qu'on appelle, en langage diplomatique, les « mesures de défense du Rwanda », mais qui sont, en réalité, son armée et tous les matériels qui sont déployés sur notre territoire. Dès que les conditions seront réunies, et il me semble que nous sommes sur la voie, le président de la République pourra faire le déplacement de Washington pour poser la signature sur cet accord de paix. Donc, pas de déplacement de Félix Tshisekedi à Washington avant un début de retrait des forces rwandaises de votre territoire ? Je crois que nous l'avons fait savoir, notamment à la médiation américaine. Vous avez vu qu'il y a eu une évolution. Je vous ai dit tout à l'heure, lorsque nous parlions de la signature du cadre d'intégration économique régionale, que cette préoccupation a été bien notée. Nous avons réagi à travers un communiqué et nous considérons que c'est un pas important qui nous permettra de faire le mouvement de Washington. Nous considérons que nous sommes sur une dynamique positive qui nous permettra, dans les jours qui viennent, de parvenir à la signature de cet accord par les présidents de la République. Signature qui pourrait avoir lieu d'ici à la fin de ce mois de novembre ? Cela dépendra aussi des agendas, mais il y a des contacts étroits pour que les mots du président Trump puissent correspondre à la réalité sur le terrain. Votre gouvernement, disons l'armée congolaise, a lancé cette campagne pour demander aux FDLR de pouvoir déposer les armes en vue d'une éventuelle reddition. A combien évaluez-vous le nombre de ces combattants FDLR en RDC? Je ne saurais peut-être pas me hasarder sur des chiffres, qui relèvent plutôt des états-majors. Mais je ne pense pas qu'ils soient en nombre considérable et qu'ils puissent véritablement causer des problèmes de sécurité au Rwanda. Mais quand vous parlez d'un nombre qui ne serait pas considérable, vous l'évaluez à combien environ ? 500 personnes ? Certains experts nous parlent de 1 000, 1500, mais c'est du domaine du renseignement militaire. Il faut laisser le travail se faire et peut être que le moment venu, nous pourrons revenir avec des chiffres plus précis dès que nous les aurons. Sur RFI, les porte-paroles des FDLR disent qu'à ce jour, les FDLR ne peuvent pas désarmer. Ils ne peuvent donc suivre la campagne qui est menée par les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), déposer les armes et donc faire cette reddition. Nous savons que nous avons des engagements. Nous savons qu'il y a des choses qui doivent être faites à notre niveau. Nous, on a commencé cette phase de sensibilisation. Évidemment, il y a des prochaines phases en fonction de l'évaluation qui sera faite. Il y a un travail qui doit être aussi fait au Rwanda parce que ce sont des Rwandais, et le Rwanda devrait être disposé à les recevoir. Pour le reste, il ne m'appartient pas de commenter les décisions de ce genre dès lors que nous avons un plan préalablement établi et sur lequel nous tenons, dans le cadre des différents accords que nous avons signés. En parlant de ce processus de Washington et de Doha, il a été convenu d'un mécanisme de suivi du cessez-le-feu. Mais sur le terrain, rien n'est fait. Encore hier, il y avait des combats sur le terrain. Il y a toujours une distance entre le moment où nous signons et le moment où les choses se mettent en place. Nous connaissons la détermination des occupants. Mais il ne faut pas oublier que nous avons une médiation qui suit ce qui se passe sur le terrain. Il ne faut pas oublier que les médiateurs disposent d'autres leviers qui peuvent servir de pression pour nous assurer que nous atteignons les objectifs que nous poursuivons. On peut dire que rien n'a été fait. Ne vendez-vous pas du vent à la population congolaise, avec tout ce qui se passe à Doha et à Washington ? Attention, nous ne vendons pas du vent parce qu'il y a des progrès. Il y a des combats sur le terrain. Mais j'y arrive. Nous sommes dans un processus diplomatique. Lorsque nous avons choisi la résolution 2773 et tout ce qu'il y a comme déploiements diplomatiques ici, il y a un travail qui doit se faire au préalable, c'est le travail diplomatique. Mais après, il y a un travail plus important, le travail de terrain. Cela veut dire qu'il y a les préalables. Lorsqu'on dit qu'on mettra en place un mécanisme de cessez-le-feu, il faut être sûr qu'on arrive à mobiliser toutes les parties prenantes, les mettre en place et qu'elles aient les moyens de déploiement. Cela ne se fait pas sur un claquement de doigt, et les médiateurs le savent. Donc on ne saura peut être pas vous dire dans l'immédiat : « On signe aujourd'hui, demain sur terrain, et ceci. » C'est pour cela qu'il y a un besoin de responsabilité pour le Rwanda, conformément à l'accord du 27 juin, de faire sa part et de s'assurer, de par le lien parental qui les lie au M23, de voir comment le M23 va aussi s'acquitter de sa part. Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons atteindre les objectifs fixés au plan diplomatique. Nous avons des médiateurs qataris, américains et de l'Union africaine qui suivent étroitement les processus. Dans ce cadre là, chaque fois qu'il y a des actes qui sont posés, qui ne devraient pas l'être et qui sont rapportés, ce sera le moment venu au médiateur de voir qui bloque quoi et tirer les conséquences qu'il faut. Cette rencontre à venir à Washington entre les deux chefs d'État pourrait-elle avoir lieu avant le début du retrait des troupes rwandaises du Congo ? Nous savons que le retrait des troupes rwandaises est la condition principale pour que nous puissions avancer. Parce que le président de la République ne peut pas se rendre à Washington sans que nous ne puissions être en mesure, avec les Américains avec lesquels nous travaillons, de constater qu'il y a eu retrait de ce qu'on a appelé, en langage diplomatique, des « mesures des défense », mais en réalité des troupes rwandaises et de tout ce qui les accompagne. Donc il n'y aura pas cette poignée de main avant un geste militaire de votre voisin rwandais ? En tout cas, il y a un accord qui a été signé, qui prévoit des choses. Nous, nous faisons notre part. Le Rwanda doit faire la sienne pour nous permettre d'avancer. Pour obtenir ce retrait des troupes rwandaises, on voit bien que vous comptez beaucoup sur la pression des Américains. Mais maintenant que le Rwanda accepte d'accueillir des migrants en provenance des États-Unis, ne craignez-vous pas que Washington n'ait plus aucun moyen de pression sur Kigali ? Je crois que le président Donald Trump, de manière constante, se présente comme celui qui aide à atteindre les objectifs de paix. Il l'a fait dans plusieurs pays. Pour ce qui concerne la République démocratique du Congo, il est bien au courant. Vous suivez notamment les déploiements de son envoyé spécial, Massad Boulos. Aujourd'hui, il faut considérer que nous avons fait des pas. N'oubliez pas que le président de la République, en 2019, dès son arrivée, avait fait le choix courageux de la paix, avec les voisins, notamment le Rwanda. N'oubliez pas qu'il y a une volonté américaine et qatari d'investir massivement dans la région pour en débloquer tout le potentiel. J'ai assisté à Washington en octobre dernier à une réunion, à l'initiative du Département du Trésor américain, avec tous les bailleurs qui sont intéressés par l'investissement dans cette partie de la région. Je crois qu'il y a davantage de pression sur le Rwanda pour aller vers la conclusion de l'accord, pour permettre à tous ces bailleurs de commencer à aller vers l'essentiel. L'essentiel ici, c'est nos populations. Je rappelle que le président de la République a toujours dit et répété que nous n'avions pas de problème avec le peuple rwandais. Vous voyez qu'il y a des objectifs nobles qui nous attendent. Des objectifs qui permettront à la fois aux Américains d'être sûrs de pouvoir bénéficier de ressources critiques. Nous avons tous besoin de parvenir à cet objectif de paix. Et nous avons tous besoin, dans ce cadre, que le Rwanda fasse sa part autant que nous faisons la nôtre. À lire aussiRDC: «Nous résisterons jusqu'à ce que Kigali accepte un dialogue», affirment les FDLR
Esta semana vamos a hacer una Pausa para hablar de los españoles. De cómo somos o, mejor dicho, de cómo no somos pero nos creemos que sí. Hablamos de las luces y sombras de la demoscopia como espejo incómodo de la opinión pública. ¿Es verdad que España es un país cada vez menos católico pero los jóvenes cada vez lo son más? ¿Creemos en la democracia? ¿Vamos más a los toros o al ballet? Marta García Aller responde a la encuesta junto a Ignacio Urquizu, profesor en la Universidad Complutense de Madrid, desde la mismísima cocina de Metroscopia. Date de alta en la newsletter de Pausa: https://www.elconfidencial.com/newsletter/
El precio de este tipo de alimentos se ha mas que duplicado desde 2021, como indica la periodista, que lo compara con la bonanza macroeconomica de Espana.
Aller au mikvé, le fils et le père ensemble, est-ce permis (rav Yéhouda Touitou) by Rav David Touitou
La periodista ha analizado las circunstancias que envuelven la cumbre del clima que comienza este lunes en Brasil, condicionada por la ausencia de China y EEUU.
Tu vas mal, tu te sens t'éteindre, démotivée… mais tu ne comprends pas vraiment pourquoi ?Dans cet épisode, on va creuser ces petites habitudes invisibles ; celles qu'on banalise, qu'on répète chaque jour... mais qui finissent par abîmer ta santé mentale, ton énergie et ton estime de toi.Je te partage 6 grands types d'habitudes à observer chez toi, des exemples concrets, et surtout des solutions douces et efficaces pour retrouver ton équilibre sans te brusquer.Un épisode à écouter si tu veux te sentir mieux mais que tu ne sais pas par où commencer. ♥️ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Send us a textDans cet épisode de SHINE, je reçois Maryline Combalot — autrice, coach, conférencière et experte reconnue de l'épuisement professionnel — pour parler d'un moment aussi crucial que méconnu : le retour au travail après un burn-out.Son livre “Welcome Back to Work – Les 6 étapes pour réussir un retour au travail après un burn-out” (Éditions Vuibert) est un guide puissant, à la fois sensible, concret et profondément humain. Avec elle, on aborde une question souvent laissée dans l'ombre : que se passe-t-il une fois les soins terminés ? Comment revenir dans son job sans culpabilité, sans peur, et surtout… sans replonger ?
Norsk redaktørforening avholdt denne uken et ekstraordinært landsmøte i forbindelse med sitt 75-års jubileum. Mediebobler markerer begivenheten med å snakke om bare redaktør-relaterte spørsmål, og til det har vi hentet inn konstituert redaktør i Dagbladet, Martine Lunder Brenne. Torsdag bragte NRK nyheten om at Ine Marie Eriksen Søreide vil bli ny Høyre-leder, hvorfor kom ikke nyheten i VG først? BBC får sterk kritikk for å ha kryssklippet Donald Trump, var det tradisjonell redigering eller manipulering? Med Anders Giæver og Gard Steiro. Produsent Magne Antonsen. Ansvarlig redaktør Gard Steiro. Kontakt redaksjonen på giaeveroggjengen@vg.no. Giæver & gjengen gir deg de viktigste nyhetene hver dag på drøye 20 minutter når du skal hjem fra jobb. Hør «Mediebobler» hver lørdag om feilene pressen gjør og dilemmaer VG står i. Alltid på Podme.
La periodista ha destacado las dos realidades contradictorias que se han dado en EEUU esta semana, la eleccion de un alcalde de izquierdas en Nueva York y la lluvia de dinero para el dueno de Tesla.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Pour débuter l'émission de ce vendredi 7 novembre 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent du sujet du jour : Patrick Sébastien, ambition présidentielle, doit-il y aller ?
La mobilisation pour aller combattre les Romains 04 by XamSaDine
La periodista ha querido detenerse en el nuevo informe publicado por Caritas, que senala un aumento y cronificacion alarmante de la desigualdad en Espana.
Booste ton activité de marchand de biens avec Le Cercle MDB
El emerito publica este miercoles en Francia 'Reconciliacion', el titulo que ha dado en sus memorias, que no estaran disponibles en Espana hasta el mes que viene.
Cet épisode est un extrait de l'épisode 265 – Comprendre le refus scolaire et l'anxiété – Marie Gallé-Tessonneau, psychologueMarie Gallé-Tessonneau nous explique ce qu'est le trouble anxieux en détail. Voici le programme de l'épisode complet : Définitions et terminologie (04:42 – 05:51)Manifestations cliniques et diagnostic (06:58 – 10:26)Métaphore de l'iceberg et troubles sous-jacents (14:50 – 17:02)Complexité du milieu scolaire (21:34 – 23:41)Évolution démographique et sociétale (19:25 – 36:32)Déclencheurs et facteurs de starter (40:13 – 42:24)Trio gagnant et approche thérapeutique (43:30 – 49:19)Processus de rétablissement (52:39 – 55:58)Recommandations pour l'accompagnement parental (01:06:48 – 01:10:26)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La periodista hace un repaso de la nueva investigacion que se ha publicado parcialmente en la que se incluyen conversaciones de WhatsApp entre el ministro y Koldo para acelerar los pagos de mascarillas de la empresa de Aldama.
Rookie or Vet? I'm back on the mic breaking down the 2026 NFL DraftQB class vs the wave of veteran “retreads” balling in new homes. We look at why preseason boards got flipped, how the current draft order shapes decisions, and what this all means for your dynasty squads. Are Fernando Mendoza, Ty Simpson, Dante Moore ready to beat out Daniel Jones, Sam Darnold, Mac Jones, Aaron Rodgers right now? Or is the edge riding with the vets while we wait on the rookies to develop? Chapters (00:00) Intro — why this show is back (02:50) Draft order clarity + QB talk (04:55) Sellers, Klubnik, Aller, Nussmeier reality check (08:00) Class strength starts with QB (12:18) Rookie or Vet — the question that matters (17:13) Daniel Jones, Rodgers, Mac, Darnold breakdown (22:21) Tua, Fields check-ins (25:22) Mendoza, Simpson, Moore profiles (31:26) Will teams really swap QBs in 2026? (33:58) Dynasty Superflex strategy (39:48) Final takeaways Thank you for checking out the Podcast, be sure to follow and comment if you have any questions, we are always happy to answer any. For Access to our Premium Tools (Trinity, WAR & More) & Discord Community https://ddfantasyfootball.com/subscriptions/ Subscribe to the Youtube Channel DDFFB https://www.youtube.com/@DDFFB Subscribe to Ray's Channel: https://www.youtube.com/@RayGQue Check out All of Ray's Articles at Yahoo!: https://sports.yahoo.com/author/ray-garvin/ Follow Ray on Bleacher Report: https://br.app.link/7ExIDsWfHVb Follow us on Twitter: https://x.com/destinationdevy Become a Member on Youtube for access to the Dynasty Deal Show Live, Destination Chill and other member benefits, like priority reply to comments and unique badges and emojis: https://www.youtube.com/channel/UCV84gHvtBMXxzN9ZPI9XHfg/join Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices