Japanese singer and lyricist
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durée : 00:08:16 - Peut-on ne pas aimer la musique ? - par : Nicolas Lafitte - Dans ce nouvel épisode, nous nous intéressons à un phénomène qui touche un petit nombre d'entre nous : l'incapacité à ressentir la musique. Pourquoi et comment peut-on ne pas aimer la musique ? - réalisé par : Sophie Pichon
Cet épisode est un love enregistré en direct sur ma page instagram eadenr_ le 12 juin 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Et si tu osais être aimé·e pour qui tu es vraiment ?Par amour, par peur, ou pour se sentir accepté.e… on apprend très tôt à porter des masques. Mais à force de jouer un rôle, qui sommes-nous vraiment quand on les enlève ?Dans cet épisode, je retrouve Mourad pour explorer en profondeur le chemin de déconstruction des masques. On parle de ces petites trahisons du quotidien, quand on dit oui au lieu de non, quand on sourit alors qu'on bouillonne à l'intérieur et de ce que ça coûte, à long terme, de ne pas être soi.Avec beaucoup de justesse, Mourad partage son expérience : son travail sur les conditionnements inconscients, la puissance de la vulnérabilité, le courage de dire les choses comme elles sont, et ce qu'il a découvert à travers le shadow work.On aborde aussi la notion d'authenticité dans les relations, la peur d'être rejeté.e quand on est "trop" soi, et l'idée qu'oser être vrai, c'est peut-être la plus belle preuve d'amour qu'on puisse se faire, et faire aux autres.Un épisode qui remue, qui questionne, qui touche là où ça gratte… et qui ouvre la voie vers une liberté intérieure profonde.RéférencesThe professor : Les Derniers Jours de monsieur Brown - Wayne Roberts (film)Alchimie d'une métamorphose - Mourad Tellab (Livre)Toi aussi tu veux lancer ton podcast ?Prendre rdv : https://calendly.com/lilirbreit/30min?month=2024-08Nous suivre : https://www.instagram.com/materrehappy.eu/Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On célèbre ce soir des retrouvailles. Entre la star australienne aux 10 millions d'albums vendus et le public français qui attendait cette tournée évènement depuis 15 ans. Au programme 12 dates à travers tout le pays à partir de l'automne 2026 dont un concert exceptionnel Salle Pleyel à Paris pour l'interprète d'"Aller plus haut", « I want to spend my lifetime loving you », ou encore « Aimer jusqu'à l'impossible »Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
Maria Cavalier Bazan et Gladys Lefeuvre, du film "Aimer Perdre" des frères Guit, au Milano Film Fest, nous ont parlé de l'expérience magnifique du tournage, et du personnage intense et heureusement désespérée de Armande ( joué par Bazan), dont la vie complexe est raconté dans le film, qui à gagné [...] The post Maria Cavaliere Bazan et Gladys Lefeuvre, interview avec les actrices de “Aimer Perdre” appeared first on Fred Film Radio.
Dans cet épisode intimiste, je te partage ma vision du couple après 19 ans de relation. Je casse les illusions du "tout va bien tout le temps" et je t'invite à cultiver un amour vrai, libre et conscient. L'essence de la relation extraordinaire ? Travailler sur soi pour devenir une personne avec qui il est agréable d'être, reconnaître les cycles émotionnels de chacun, poser ses non-négociables avec maturité, sans tenter de changer l'autre. Je te partage aussi des clés profondes sur l'intelligence émotionnelle, le leadership intérieur, et la capacité à se choisir avant tout – même dans l'amour.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Manon Béréhouc, photographe et cinéaste naturaliste, dévoile pour Soluble(s) la vie secrète des chauves-souris, essentielles à la biodiversité. Alors que ces mammifères volants déclinent, elle mobilise l'image pour sensibiliser et agir.Loin des peurs irrationnelles qu'elles inspirent, les chauves-souris sont de précieuses alliées. Manon Béréhouc nous invite à les voir autrement : ces "petites boules de poils" qui jouent un rôle immense. [Lire l'article détaillé : https://csoluble.media/epsode/aimer-et-proteger-les-chauves-souris-avec-manon-berehouc ] En France, nos 34 espèces, toutes insectivores, sont de redoutables chasseuses : une seule pipistrelle peut consommer jusqu'à 3 000 moustiques par nuit ! Véritables « espèces parapluie », elles régulent les ravageurs agricoles et sont les sentinelles de la bonne santé de nos écosystèmes.Pourtant, leur déclin est alarmant : -40 % en seulement dix ans, et un tiers des espèces est aujourd'hui menacé. Les causes sont principalement humaines : pesticides empoisonnant leurs proies, destruction de leurs gîtes (haies, arbres creux, toitures), et pollution lumineuse qui fragmente leurs territoires de chasse. Manon alerte aussi sur la vulnérabilité des petits lors des travaux de rénovation en période de naissance, et sur le danger mortel d'un dérangement pendant leur hibernation.C'est pour combattre ces menaces et les préjugés que Manon a fait de l'image son outil de sensibilisation. À travers ses films, son livre Cavernicole ou ses expositions, elle nous montre leur beauté et l'urgence de les protéger. Dans cet épisode, découvrez les gestes accessibles à tous pour les accueillir et les préserver : installer des gîtes, réduire l'éclairage, préserver les haies... Car comme le résume Manon, « protéger les chauves-souris, c'est protéger toute la biodiversité ».POUR ALLER PLUS LOINLire l'ouvrage “Cavernicole” : sur commande en librairie ou en ligne ici : https://dashbook.fr/project/cavernicole Suivre Manon Béréhouc sur :Instagram : @manon.brhc https://www.instagram.com/manon.brhc/TikTok : @manon.brhc https://www.tiktok.com/@manon.brhcTIMECODES00:00 Introduction : Plongée dans l'univers des chauves-souris 01:31 Le parcours de Manon Béréhouc03:03 Briser les préjugés : pourquoi les chauves-souris sont-elles si mal aimées ? 04:28 Les chauves-souris, alliées de la biodiversité et régulatrices naturelles 06:58 Hibernation : immersion dans les grottes et secrets de la vie souterraine 12:46 Menaces et déclin16:10 Conseils pratiques : comment protéger les chauves-souris au quotidien 18:53 L'image pour sensibiliser : du livre à l'exposition Cavernicole 19:57 Questions-réponses finales21:28 Fin Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est le coup de gueule de la semaine dans le monde du sport : décorticage et débat autour de cette sortie médiatique !
Dans cet épisode de "Une vie de ouf - Le podcast de celles qui cochent leur bucket list", je retrouve Adèle (@terribles.podcast) pour un témoignage fort, bouleversant et profondément inspirant. Elle a osé déscolariser son enfant pendant un an, dans un contexte où tout — ou presque — semblait jouer contre elle.Elle nous raconte le parcours du combattant qu'elle a dû affronter pour sortir son enfant du système scolaire, malgré sa grande souffrance. En France, ce n'est pas simple, et Adèle a dû faire preuve d'une détermination incroyable pour tenir bon, défendre son choix, et offrir à son enfant une parenthèse salvatrice.Un épisode qui prend aux tripes, qui interroge, et qui montre à quel point il est possible de se battre pour ses convictions — même quand tout le monde te dit que c'est impossible. J'espère que ça te donnera, à toi aussi, l'envie de ne jamais lâcher tes rêves.….
100% LIFESTYLE - Tous les jeudis : - De 19H à 20H sur RDL 103.5 FM en Centre Alsace - A l'écoute partout à cette heure sur le direct live sur www.rdl68.fr / rdl68.fr/playlist/100-lifestyle/ - En PODCAST sur SOUNDCLOUD chaque JEUDI à 21H : on.soundcloud.com/QPEjqQJ7u51dxPjv6 Dans ce numéro, Anne-Claire & Yann vous proposent : - En route pour l'aventure (voyage/Yann): 10 impairs à ne pas commettre en voyage dans certains pays du monde - La minute soignante (santé & bien-être/Anne-Claire): Les bienfaits de l'air marin - Chanson Story (histoire d'un tube/Yann): "Made in Normandie", Stone et Charden, 1973 - La question des auditeurs: Pourquoi le mot "balcon" : origine, provenance, utilisation ? - Trucs & Astuces (Anne-Claire): Comment préserver la batterie de son téléphone portable ? MUSIQUES: "Ecoute mon cœur", Lola Bai, 2025 "Made in Normandie", Stone et Charden, 1973 "Sur mon tel", Rever, 2025 EXTRAITS: "Sous l'océan", La Petite Sirène, 1989 "Dès que le vent soufflera", Renaud, 1983 "L'avventura", Stone & Charden, 1971 "Aimer", Roméo & Juliette, 2000 "Le téléphone pleure", Claude François, 1972 Important: Je ne touche aucun droits d'auteur sur ces chansons. Les droits reviennent intégralement aux auteurs/compositeurs/interprètes. Diffusion: Jeudi 19H - 20H en direct sur RDL (103.5 FM dans le Centre Alsace) www.rdl68.fr Une production RDL 103.5 FM Tous droits réservés
Se sacrifier n'est pas aimer : ce que vos enfants retiennent vraiment de vous
Cet épisode est un love enregistré en direct sur ma page instagram eadenr_ le 4 juin 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[PARTENAIRE] Vous feriez tout pour votre chat ou votre chien… et si vous pensiez aussi à assurer sa santé ? Mon partenaire Lassie rembourse jusqu'à 3000 €/an de frais vétérinaires
Au travail, faut-il taire son humilité pour progresser? Selon la Dre Allison Wood Brooks de Harvard, les meilleurs leaders savent bien communiquer, valoriser leurs apports et faire briller les autres — sans forcément être les plus bruyants. Un défi accru pour les femmes et minorités. Anaïs partage ensuite une histoire marquante sur la conciliation de deux réalités parentales après une séparation, une épreuve qu’elle et Patrick connaissent trop bien. Isabelle raconte l’exploit inspirant de David Lutzy, cycliste malvoyant ayant bravé 320 km avec l’aide d’un guide. Et Louise Sigouin offre ses conseils pour survivre aux vacances en couple sans craquer. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
C'est un monument de l'histoire française. Victor Hugo, l'écrivain, le politicien, le poète ou le dramaturge... Il a marqué chacun des domaines auquel il s'est intéressé. Du génie, Juliette Drouet fut l'amante pendant 50 ans. Du jour de leur rencontre à son dernier souffle, elle l'aima avec la même furie. Car pour elle aimer, c'est se dévouer. Offrir chaque parcelle de son âme à cet homme, dédier chaque minute de son existence à cet amour. Une histoire de théâtre, de jalousie et d'exil, une histoire d'amour. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'église locale : faut-il vraiment y aller ? Est-ce encore essentiel pour un chrétien aujourd'hui ?Dans cet épisode, je partage ce que j'ai compris et vécu autour de l'église locale.Quelle est l'importance de l'église pour un chrétien ?Comment discerner celle qui nous correspond vraiment ?J'ai été exclu d'une église je te raconte ce que j'ai vécu entre les blessures et la déception de la communautéSi tu t'es déjà demandé si tu avais encore ta place dans une église… ou si tu hésites à y retourner, j'espère que ces mots pourront t'aider.—n'hésite pas à commenter, noter l'épisode ou l'envoyer à quelqu'un qui en aurait besoin ❤️
durée : 00:09:27 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le vétérinaire Jean-Noël Rieffel, directeur de l'OFB de la région Centre-Val de Loire, était l'invité de France Inter ce jeudi. Il est l'auteur de “Aimer comme un albatros” (Les Équateurs). - invités : Jean-Noël Rieffel - Jean-Noël Rieffel : Directeur régional Centre-Val de Loire à l'Office français de la biodiversité
durée : 00:09:27 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le vétérinaire Jean-Noël Rieffel, directeur de l'OFB de la région Centre-Val de Loire, était l'invité de France Inter ce jeudi. Il est l'auteur de “Aimer comme un albatros” (Les Équateurs). - invités : Jean-Noël Rieffel - Jean-Noël Rieffel : Directeur régional Centre-Val de Loire à l'Office français de la biodiversité
Dans cet épisode de "Une vie de ouf - Le podcast de celles qui cochent leur bucket list", je te présente Céline (@celinechevassu_coach), qui a relevé un défi complètement dingue à seulement 22 ans : devenir officier de la marine… sans rien connaître à la navigation !À l'époque, elle était timide, manquait de confiance, et pourtant, elle a embarqué (littéralement) dans cette aventure de ouf. Elle nous raconte comment cette année intense l'a transformée, l'a poussée à dépasser toutes ses limites, et lui a donné les clés pour devenir la femme qu'elle est aujourd'hui.Dix ans plus tard, elle en parle encore comme de l'année la plus folle de sa vie — et franchement, tu vas comprendre pourquoi. Un épisode inspirant, puissant, et qui te donne envie de dire oui à ce qui te fait peur !….
Le jugement fait partie de notre humanité. On ne pourra jamais l'éradiquer complètement.Mais on peut le reconnaître, l'apprivoiser, et choisir de ne pas s'y laisser enfermer.Moins juger, c'est plus aimer.C'est se relier à l'autre. Et à soi.Je vous laisse avec cette magnifique citation de Wayne Dyer :“Lorsque vous jugez les autres, vous ne les définissez pas — vous vous définissez vous-même.”Prenez soin de vous, de vos pensées… et de votre regard sur le monde.
Le jugement fait partie de notre humanité. On ne pourra jamais l'éradiquer complètement.Mais on peut le reconnaître, l'apprivoiser, et choisir de ne pas s'y laisser enfermer.Moins juger, c'est plus aimer.C'est se relier à l'autre. Et à soi.Je vous laisse avec cette magnifique citation de Wayne Dyer :“Lorsque vous jugez les autres, vous ne les définissez pas — vous vous définissez vous-même.”Prenez soin de vous, de vos pensées… et de votre regard sur le monde.
Kim Carpenter est resté auprès de sa femme alors qu'elle ne se souvenait plus de lui. Propulsé de mari à étranger, il a dû se battre pour la reconquérir. Pour eux, aimer c'est recommencer. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Limites et promesses de l'IA à travers les tests de Giskard sur les hallucinations des chatbots, les avancées en audio généré par IA, et effets spéciaux. Une publicité controversée de Pika Labs et la régulation des fakes aux États-Unis… Ça parle ! Ça vole ! Participants
Cartes de crédit municipales. Dépenses revanches des ménages. Aimer la monarchie. Dans cet épisode intégral du 23 mai, en entrevue : Sarah-Maude Lefebvre, journaliste au Bureau d’Enquête de Québecor. Fabien Major, planificateur et chroniqueur financier. Thomas Morin-Cabana, président de la Société de la couronne du Canada. Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
"Voici ce que je vous commande : c'est de vous aimer les uns les autres" Méditation de l'évangile (Jn 15, 12-17) par la pasteure Héléna Vicario Chant final : "Je vous ai choisis" par la communauté de l'EmmanuelDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Our special guest Nick tells us how HMS Argonaut survived the first attacks at San Carlos, from his position as forward SeaCat missile director.
"Our special guest Nick tells us how HMS Argonaut survived the first attacks at San Carlos from his position as forward SeaCat missile director."
Tous les week-end, découvrez de courtes histoires d'amours, tendres ou percutantes, pour engager de vraies réflexions sur l'amour. C'est la femme forte, libre, par excellence. L'éminence féministe et existentialiste. Son fameux turban, ses grandes boucles d'oreilles et sa relation si spéciale avec Sartre. Mais Simone de Beauvoir a aimé un autre homme, avec une intensité toute particulière. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Elle apprend le japonais pour lui parler.Elle essaie de comprendre sa culture.Elle s'adapte à ses codes, son pays, sa manière de vivre.Lui ? Il fait pas vraiment d'effort.Dans cet épisode, je réagis à l'histoire d'une abonnée en couple avec un Japonais… qui ne s'intéresse ni à sa langue, ni à sa culture française.Mais ce n'est pas juste une histoire de couple mixte — c'est un épisode pour toutes celles et ceux qui ont l'impression d'être les seuls à faire des efforts dans leur relation.On parle d'amour, mais surtout d'identité, de respect, de communication.Est-ce que l'amour suffit quand l'autre ne cherche pas à te comprendre vraiment ?Est-ce qu'on peut aimer sans curiosité ?Et c'est quoi, au fond, un couple qui fonctionne ?Tu vas sûrement te reconnaître, même si ta situation est très différente.Bonne écoute ✨✨ Et si tu veux participer aux prochains épisodes et partager ton histoire ou tes réflexions, envoie un DM à @jpeuxtefaireunvocal✨ ✨Mon insta : @imperatricewu ✨Abonne-toi pour ne louper aucun d'épisode ❤️ !!! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette nouvelle création poétique, l'autrice et comédienne Gaëlle Bien-Aimé raconte l'exil et le mal du pays. Clermesine laisse sa radio allumée. Seule avec ces voix qui diffusent l'intense, l'espérance et l'absurde. Seule avec ses guerres perdues et sa rage de vivre. Elle demeure désormais hors d'un pays pour lequel elle s'est battue. Ce pays, c'est Haïti, devenu «invivable» selon les dires de l'autrice, en particulier à Port-au-Prince, la capitale, en proie aux gangs. Je viens d'une ville qui n'existe plus, techniquement. Je refuse qu'on me propose un Port-au-Prince sans champ de mars ou la rue Magloire Ambroise. Les gens sont partis et un Port-au-Prince sans tout ça, cela ne veut rien dire. Gaëlle Bien-AiméCe texte «Aimer en stéréo» est né d'un poème «Poème à mort» écrit en 2022 qu'elle a développé. La pièce commence avec une annonce à la radio : celle d'une jeune femme enlevée qui vient d'être libérée après des mois de détention et qui finit par se suicider.Gaëlle Bien-Aimé raconte les drames de son pays, mais aussi les souvenirs : les sons, les odeurs. Invitée : Gaëlle Bien-Aimé, comédienne, autrice et metteuse en scène. Elle a également été journaliste et humoriste. Elle est née en 1987 à Port-au-Prince en Haïti. En 2022, elle est lauréate du Prix RFI Théâtre en 2022 pour «Port-au-Prince et sa douce nuit». Sa création « Aimer en stéréo » se joue à Théâtre Ouvert les 12 et 13 mai 2025. Le spectacle se joue dans le cadre du festival Zoom #10 qui court à Théâtre Ouvert jusqu'au 7 juin avec, au programme, deux spectacles, trois lectures performances, deux mises en voix et une mise en espace. Programmation musicale : L'artiste Nardvi avec le titre Voir le monde.
Dans cette nouvelle création poétique, l'autrice et comédienne Gaëlle Bien-Aimé raconte l'exil et le mal du pays. Clermesine laisse sa radio allumée. Seule avec ces voix qui diffusent l'intense, l'espérance et l'absurde. Seule avec ses guerres perdues et sa rage de vivre. Elle demeure désormais hors d'un pays pour lequel elle s'est battue. Ce pays, c'est Haïti, devenu «invivable» selon les dires de l'autrice, en particulier à Port-au-Prince, la capitale, en proie aux gangs. Je viens d'une ville qui n'existe plus, techniquement. Je refuse qu'on me propose un Port-au-Prince sans champ de mars ou la rue Magloire Ambroise. Les gens sont partis et un Port-au-Prince sans tout ça, cela ne veut rien dire. Gaëlle Bien-AiméCe texte «Aimer en stéréo» est né d'un poème «Poème à mort» écrit en 2022 qu'elle a développé. La pièce commence avec une annonce à la radio : celle d'une jeune femme enlevée qui vient d'être libérée après des mois de détention et qui finit par se suicider.Gaëlle Bien-Aimé raconte les drames de son pays, mais aussi les souvenirs : les sons, les odeurs. Invitée : Gaëlle Bien-Aimé, comédienne, autrice et metteuse en scène. Elle a également été journaliste et humoriste. Elle est née en 1987 à Port-au-Prince en Haïti. En 2022, elle est lauréate du Prix RFI Théâtre en 2022 pour «Port-au-Prince et sa douce nuit». Sa création « Aimer en stéréo » se joue à Théâtre Ouvert les 12 et 13 mai 2025. Le spectacle se joue dans le cadre du festival Zoom #10 qui court à Théâtre Ouvert jusqu'au 7 juin avec, au programme, deux spectacles, trois lectures performances, deux mises en voix et une mise en espace. Programmation musicale : L'artiste Nardvi avec le titre Voir le monde.
Dans son dernier livre en date, Gabrielle Halpern poursuit sa réflexion sur l'hybridation. Dans Créer des ponts entre les mondes, une philosophe sur le terrain (Fayard), cette normalienne, docteure en philosophie, raconte son riche parcours et l'action qu'elle déploie en faveur d'un concept qui lui est cher. Hybridation. De quoi s'agit-il ? L'auteure, une spécialiste de l'écrivain et philosophe Elias Canetti, a déjà développé cette notion dans Tous centaures ! Éloge de l'hybridation (Le Pommier, 2020), un livre qui était au cœur de notre conversation lors de sa sortie, dans Idées, le 21 octobre 2021. À lire aussiGabrielle Halpern, docteure en Philosophie: «Tous Centaures, éloge de l'hybridation»On pourrait dire qu'il s'agit de la fusion de deux univers pour en inventer un troisième. Il s'agit en tout cas de créer en tenant compte de l'autre. Au fil de ses longues études de philosophie, Gabrielle Halpern a fini par se poser une question : « Quel rôle peut bien remplir le philosophe dans la cité ? » Elle y a trouvé une réponse en développant des actions ici-et-là, après avoir côtoyé l'univers politique qui lui a laissé une impression mitigée, c'est le moins que l'on puisse dire. Au fond, l'action collective dépend finalement d'initiatives individuelles dans « l'exercice d'une citoyenneté contemporaine », car tout est lié. « Nous ne pouvons pas penser le cœur des villes sans les banlieues et les ruralités, les start-up sans les artisans, la jeunesse sans la vieillesse, sauf à créer des clivages… En faisant de l'hybridation un projet de société, nous pourrions bien trouver un chemin commun. »L'hybridation ou ce qu'elle appelle aussi « la philosophie du centaure » est aussi une attitude morale. C'est « une éthique de la relation à soi. Aimer "son prochain" – ce qui est proche de soi – est facile ; aimer ce qui est étranger est plus difficile ; or c'est précisément en cela que consiste l'idée de s'hybrider ».Associer la réflexion et l'action. Agir pour améliorer le monde. Gabrielle Halpern nous livre dans l'émission un message optimiste. Par les temps qui courent, cela fait du bien.► Le site de Gabrielle HalpernÀ écouter aussiPourquoi faire l'éloge de l'hybridation?► Programmation musicale :Anoushka Shankar, Sarathy Korwar et Alam Khan – We Burn So BrightlyBonobo – Rings
Tous les week-end, découvrez de courtes histoires d'amours, tendres ou percutantes, pour engager de vraies réflexions sur l'amour. Sans sa femme Alicia, la schizophrénie de John l'aurait sans doute rongé jusqu'à l'engloutir. Mais pour elle, aimer c'est soutenir. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans son dernier livre en date, Gabrielle Halpern poursuit sa réflexion sur l'hybridation. Dans Créer des ponts entre les mondes, une philosophe sur le terrain (Fayard), cette normalienne, docteure en philosophie, raconte son riche parcours et l'action qu'elle déploie en faveur d'un concept qui lui est cher. Hybridation. De quoi s'agit-il ? L'auteure, une spécialiste de l'écrivain et philosophe Elias Canetti, a déjà développé cette notion dans Tous centaures ! Éloge de l'hybridation (Le Pommier, 2020), un livre qui était au cœur de notre conversation lors de sa sortie, dans Idées, le 21 octobre 2021. À lire aussiGabrielle Halpern, docteure en Philosophie: «Tous Centaures, éloge de l'hybridation»On pourrait dire qu'il s'agit de la fusion de deux univers pour en inventer un troisième. Il s'agit en tout cas de créer en tenant compte de l'autre. Au fil de ses longues études de philosophie, Gabrielle Halpern a fini par se poser une question : « Quel rôle peut bien remplir le philosophe dans la cité ? » Elle y a trouvé une réponse en développant des actions ici-et-là, après avoir côtoyé l'univers politique qui lui a laissé une impression mitigée, c'est le moins que l'on puisse dire. Au fond, l'action collective dépend finalement d'initiatives individuelles dans « l'exercice d'une citoyenneté contemporaine », car tout est lié. « Nous ne pouvons pas penser le cœur des villes sans les banlieues et les ruralités, les start-up sans les artisans, la jeunesse sans la vieillesse, sauf à créer des clivages… En faisant de l'hybridation un projet de société, nous pourrions bien trouver un chemin commun. »L'hybridation ou ce qu'elle appelle aussi « la philosophie du centaure » est aussi une attitude morale. C'est « une éthique de la relation à soi. Aimer "son prochain" – ce qui est proche de soi – est facile ; aimer ce qui est étranger est plus difficile ; or c'est précisément en cela que consiste l'idée de s'hybrider ».Associer la réflexion et l'action. Agir pour améliorer le monde. Gabrielle Halpern nous livre dans l'émission un message optimiste. Par les temps qui courent, cela fait du bien.► Le site de Gabrielle HalpernÀ écouter aussiPourquoi faire l'éloge de l'hybridation?► Programmation musicale :Anoushka Shankar, Sarathy Korwar et Alam Khan – We Burn So BrightlyBonobo – Rings
"Voyage tant que tu peux."C'est ce que j'ai compris après ma première fois aux US.Franchement ? Je pensais pas autant AIMER... Mais voyager, c'est pas juste cocher des cases ou poster des photos.C'est sortir de sa zone de confort.C'est découvrir que le monde ne tourne pas autour de toi.C'est se prendre des claques, le bon comme le mauvais.Dans cet épisode, je te raconte TOUT.Mes surprises, mes déceptions, l'énergie du American Dream, le soleil, les palmiers, le campus comme dans les films… mais aussi les prix abusés, les tips relous, et l'hypocrisie sociale.Voyager, ça change ta perspective.L'argent part, les expériences restent.Clique, écoute, et peut-être que toi aussi, tu feras ta valise après ça !!✨ Et si tu veux participer aux prochains épisodes et partager ton histoire ou tes réflexions, envoie un DM à @jpeuxtefaireunvocal✨ ✨Mon insta : @imperatricewu ✨Abonne-toi pour ne louper aucun d'épisode ❤️ !!!Musique de fin : Boyu - How Is Life In Hollywood Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si mieux comprendre notre façon d'aimer nous permettait de mieux nous aimer les autres mais aussi nous-mêmes ?Dans cet épisode, je vous parle des 5 langages de l'amour développés par Gary Chapman : un outil puissant pour nourrir nos relations — mais aussi notre relation à nous-même.Je vous explique à quoi ressemble chacun de ces langages dans la vie quotidienne, comment repérer celui qui vous correspond le plus, et surtout… comment les appliquer en version self-love, pour prendre soin de vous avec douceur et intention.Un épisode à écouter si vous avez envie de cultiver des liens plus vrais, plus justes — avec les autres, et avec vous.
Avec l'association " Vivre et aimer "
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrière Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Comment aimer la Torah by Rav David Touitou
Tous les week-end, découvrez de courtes histoires d'amours, tendres ou percutantes, pour engager de vraies réflexions sur l'amour. Pour les deux, aimer c'est tout se dire. Dans leur échanges, elles se racontent sans artifices, échangent leur doutes les plus profonds. Une correspondance de 18 ans, sans doute la relation la plus importante de leur vie. Une histoire de livres, de lettres et de sentiments, une histoire d'amour. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Tous les matins à 7h50, l'actualité culture, TV ou cinéma avec Charles Magnien.
Avec Chantal Touvet, auteur de « Histoire des sanctuaires de Lourdes » (éditions NDL, 3 tomes) et de « Tout commença par un souffle » (éditions Béatitudes)
Pour ce nouvel épisode d'Amours, je reçois Léa, 32 ans, qui parle de son expérience de l'amour en tant que personne neuroatypique.Elle a reçu un diagnostic tardif de trouble du spectre autistique et de TDAH (à 30 ans), après des années à se sentir en décalage et à compenser pour ressembler aux autres.Depuis ce diagnostic, elle relit sa vie sous un nouveau prisme, et notamment sa manière de vivre l'amour, qui a toujours occupé une place centrale pour elle.Elle parle du manque de légitimité qu'elle a ressenti au moment du diagnostic, des ajustements qu'elle a mis en place depuis (et même avant), et de ses relations passées, pas toujours simples.Elle raconte sa rencontre avec son mari, avec qui elle vit aujourd'hui une très belle histoire. Une relation qui lui a permis de comprendre que sa neuroatypie ne l'empêchait pas d'être aimée par quelqu'un de vraiment bien.
Cet épisode est tiré de ma newsletter, pour vous abonner c'est ici!!!Comme je vous. le dis je vous remercie mille fois pour me suivre dans cette aventure de Vlan!J'adore mon célibat actuel, cette liberté exquise de décider de mon emploi du temps sans compromis.Et pourtant, je suis un incorrigible romantique !Ce paradoxe délicieux me constitue et colore ma vie de nuances fascinantes.Cette dualité n'est sans doute pas étrangère à mon histoire familiale.J'ai grandi avec des parents qui se sont rencontrés jeunes, ont eu des enfants à 24 et 26 ans et sont restés ensemble jusqu'à la fin malgré les tumultes de la vie – chose de plus en plus rare, j'ai l'impression.Ils ont incarné devant moi la possibilité d'un amour durable, même si le chemin n'était pas toujours facile.N'est-ce pas incroyable que nous puissions simultanément chérir notre indépendance et rêver de construire à deux ?L'amour reste cette aventure extraordinaire qui transcende les époques.Au 18ème siècle, Benjamin Franklin déclarait qu'un "homme sans femme n'est rien d'autre qu'un demi-homme" (on était moins subtil à l'époque...d'autant moins quand on sait que les femmes célibataires étaient, elles, brûlées vivent pour sorcellerie), et aujourd'hui encore, malgré toutes nos avancées, le couple demeure cette quête collective qui nous anime presque tous.Qu'y a-t-il de si captivant dans cette danse à deux ? Pourquoi continuons-nous à nous lancer dans cette entreprise hasardeuse, malgré les cicatrices et les déceptions ?Peut-être parce que l'amour, dans ses plus beaux moments, nous offre cette alchimie rare entre sécurité et aventure, entre connaissance profonde et éternelle découverte.J'ai connu des histoires d'amour intenses - dont une qui m'a conduit à imprimer un livre de 400 pages de nos échanges et à déménager à New York !Ces expériences m'ont transformé, enrichi, parfois blessé, mais jamais je n'ai regretté de m'être lancé et de vivre pleinement les choses (c'est ce que me disais ma psy).Chaque relation a ajouté une couche de compréhension à ma carte du monde émotionnel.À travers cette newsletter, je vous invite à explorer avec moi les mystères et les joies de l'amour moderne, ses défis et ses trésors cachés.Je partagerai mes découvertes (j'ai beaucoup cherché), mes erreurs (nombreuses !) et les pépites de sagesse glanées en chemin.Car si j'ai renoncé au mythe paralysant de l'âme sœur, je n'ai certainement pas abandonné la quête d'un amour authentique et vibrant.Comme l'écriture elle-même, l'amour nous enseigne ce que nous ne savions pas connaître sur nous-mêmes. Embarquons ensemble dans cette exploration joyeuse !Mon parcours amoureux : des cicatrices comme boussoleMa première histoire d'amour a duré sept ans. Je l'ai rencontrée dès les premières semaines d'école de commerce, nous nous sommes fiancés, le mariage était planifié. Vingt ans plus tard, nous sommes toujours proches, mais cette relation était fondamentalement dysfonctionnelle — principalement à cause de moi, je dois l'admettre.J'avais endossé la cape du sauveur pour surmonter ma timidité. Mon besoin d'appartenance était si intense et elle incarnait tout ce que je n'étais pas.C'était profondément injuste pour elle mais j'y reviendrais.J'ignorais alors mes propres besoins, mes névroses, mon style d'attachement.Elle est devenue malveillante malgré elle, et cette histoire était condamnée dès le départ.Ma deuxième relation significative m'a conduit chez un psychologue, perdu que j'étais. Sans doute l'une des décisions les plus sages de ma vie. C'est aussi à cette période que j'ai commencé à consulter des voyantes, cherchant désespérément des réponses que je ne trouvais pas en moi.Puis est venue LA relation passionnelle de ma vie.Une relation tellement intense qu'elle est difficile à expliquer.Pour vous donner une idée: j'ai compilé les trois premiers mois de nos échanges dans un livre de 400 pages imprimé en deux exemplaires (un pour elle et l'autre pour moi), et j'ai déménagé à New York pour elle.Cette femme réputée pour son légendaire self-control ne maîtrisait plus rien non plus.Certains parleraient d'âme sœur ou de flamme jumelle — j'ai cherché toutes les explications possibles. Après quatre ans d'une intensité intacte, elle est partie sans un mot d'explication.Huit ans ont passé, et il m'en a fallu 6 pour m'en remettre. Je le dis ici car dans cette société ou tout va de plus en plus vite parfois on n'accepte plus chez les autres mais aussi chez soi même que certains processus prennent du temps.Quoiqu'il en soit cette rupture m'a transformé.Comme me l'a fait remarquer un ami, peu d'hommes parlent ouvertement de leurs blessures amoureuses. Je n'avais pas le choix — cette histoire m'a bouleversé dans ma chair.Je crois que c'est important d'en parler et c'est la raison pour laquelle j'ai accepté l'invitation d'Anne du podcast Métamorphose à l'époque.C'est essentiel de montrer la vulnérabilité sans faux semblant et que les hommes ne sont évidemment pas insensibles aux ruptures. J'espère que cela aura permis à d'autres hommes de se connecter avec eux même.Et puis, je suis heureux d'avoir fait un kinsugi de cette rupture en co-créant un kit de secours pour cœur brisés.Durant ces six années de deuil, j'ai sabordé des relations avec des femmes extraordinaires, les comparant inévitablement à elle. J'ai finalement réussi à briser ce lien toxique grâce à un travail acharné avec psychologues, énergéticiens, voyantes, astrologues, constellations familiales, et même l'ayahuasca. J'ai tout essayé pour m'en libérer.J'ai su que j'étais guéri quand je suis retombé amoureux. Même si cette nouvelle histoire fut brève pour d'autres raisons, elle a confirmé ma guérison. Aujourd'hui, je reste ouvert à construire quelque chose avec quelqu'un, mais ce n'est pas simple.Les raisons de cette difficulté sont précisément l'objet de cette newsletter et je vous livre ce qui selon moi cloche en 5 grands points !Raison #1 : Nous sommes des idéalistes irréalistes par essenceNous avons grandi bercés par des mythes grecs(ne les sous-estimons pas, ils sont centraux), des histoires comme celle de Roméo et Juliette, des contes pour enfants ou encore des films hollywoodiens qui nous ont fait croire que l'impossible devenait possible par amour.Mais ces récits se concentrent presque exclusivement sur la quête amoureuse, rarement sur ce qui vient après."Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants." Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Comment ont-ils géré leurs névroses respectives ? Leurs univers distincts ? Leurs problèmes de communication ? Leurs baisses de désir ? Leurs potentielles tentations extraconjugales ?Dis rapidement, notre idéal romantique est incompatible avec la réalité d'une connexion humaine.Ces expressions comme "ma moitié" sous-entendent que nous serions incomplets avant de rencontrer l'autre. "The one" ou "l'âme sœur" suggèrent qu'une seule personne au monde peut nous convenir.Vous l'aurez compris, j'ai personnellement expérimenté ce mythe de l'âme sœur — et en ai payé le prix fort.Cet idéal présuppose que notre partenaire devrait tout comprendre de nous sans communication verbale, alors même que nous peinons à nous comprendre nous-mêmes (personnellement, je me découvre encore chaque jour).Cela est évidemment accentué par un individualisme (pour ne pas dire égoïsme) sous stéroïdes.L'autre vit dans un univers parallèle, avec un système proche mais fondamentalement différent du nôtre.De manière anecdotique, lors d'un de mes événements sur l'IA, une personne a partagé qu'elle se sentait plus "vue" et "entendue" par ChatGPT que par son médecin ou ses amis.Notre société d'hyper-optimisation nous a fait perdre la capacité à prendre le temps — ou à l'accorder à l'autre.La conséquence est ce manque d'écoute mutuel et donc des incompréhensions en pagaille.Et si vous ajoutez à cela des différences culturelles, comme je l'ai vécu, cela complique encore davantage la situation.Esther Perel m'a fait réaliser que nos attentes sont démesurées : nous demandons à une seule personne de nous apporter ce qu'autrefois tout un village nous fournissait — sécurité, identité, amitié, sexualité, complicité émotionnelle et intellectuelle, goûts communs...Je ne vous fais pas la leçon, je suis le premier à tomber dans ce piège, tout en sachant parfaitement son absurdité.Le couple exige des compromis et un travail constant de construction à deux.Par ailleurs, nous entrons dans une relation avec une vision identitaire, un rêve de qui nous voulons devenir — souvent flou ou fantasmé.Quand on s'engage, ce n'est pas seulement l'autre qu'on cherche, mais une version future de soi-même. Ici aussi je plaide totalement coupable et ma 1ère longue relation s'inscrivait à 200% dans cette dynamique.Mais comme le souligne Esther, ce processus est inconfortable car l'autre ne change pas à notre rythme et ne comprend pas nécessairement le rôle implicite que nous lui avons assigné (m'apaiser, m'ouvrir, m'élever, m'intégrer…).Le changement personnel étant douloureux, nous finissons par reprocher à l'autre ce qui nous fascinait initialement. Ainsi, un partenaire choisi pour sa légèreté devient "irresponsable", une personne stable devient "ennuyeuse"…Le fantasme identitaire se heurte inévitablement à la réalité relationnelle.Et bien sur, les applications de rencontre aggravent le problème en alimentant l'illusion d'une offre infinie, comme si l'amour n'était qu'à un swipe de distance.Pour y avoir passé du temps, je vous rappelle (particulièrement si vous êtes en couple) que c'est aussi illusoire que ces couples Instagram où tout semble parfait.Raison #2 : Les papillons dans le ventre sont souvent un dangereux leurreNous avons tous éprouvé ces fameux papillons dans le ventre, cette sensation vertigineuse que nous pourchassons comme le nectar ultime de l'amour.C'est le moment où nous nous sentons le plus vivants d'ailleurs souvent considéré comme l'indicateur suprême de l'amour véritable.Franchement, quoi de plus délicieux que cette vibration viscérale ?J'adore personnellement cette sensation, mais les avertissements d'Alain de Botton m'ont ouvert les yeux : ce frisson que nous ressentons est très souvent une réaction à quelque chose de familier, parfois simplement l'activation d'un vieux schéma ou d'une blessure non cicatrisée.Voilà pourquoi nous sommes parfois attirés par des personnes qui ne nous conviennent pas du tout.En réalité, nous sommes attirés par ceux qui vont nous faire souffrir d'une manière qui nous est familière.Une relation calme, douce et respectueuse peut nous sembler étrange, "sans passion", voire profondément ennuyeuse, parce qu'elle menace notre scénario intérieur bien rodé.De Botton nous met en garde : ne confondez pas compatibilité avec familiarité traumatique. C'est extrêmement frustrant, car j'aime cette sensation d'intensité.D'ailleurs, même en sachant que c'est un indicateur défectueux, j'adore ces papillons et ce deuil n'est pas facile à faire (long way to go greg…ahahahhah).Alors à quoi se fier si les papillons sont trompeurs ?J'ai découvert que j'appliquais inconsciemment les conseils d'Alain de Botton quand je me sentais particulièrement à l'aise avec quelqu'un.L'une de ses questions préférées: "C'est quoi le weirdo en toi?" Parce qu'en vérité, sans masques ni artifices, nous sommes tous un peu étranges.Je sais que je suis vraiment amoureux quand j'ose révéler mes aspects les plus singuliers sans crainte du jugement, je laisse entrevoir ce qui se passe derrière le masque.Un autre signal essentiel selon lui — et auquel je suis attentif sans vraiment y réfléchir : observer si l'autre personne est capable de reconnaître ses propres biais et imperfections et si elle sait s'excuser quand ils se manifestent.Il faut également s'interroger honnêtement : sommes-nous nous-mêmes capables de cette introspection ? Je ne parle pas de sautes d'humeur passagères, mais de nos véritables zones d'ombre.On peut mesurer l'évolution d'une personne à sa capacité à reconnaître qu'elle est loin de l'idéal.Ce n'est pas quelque chose qu'on peut demander directement ; il faut l'observer à travers l'expérience partagée.L'objectif n'est évidemment pas l'auto-flagellation, mais une lucidité bienveillante sur nos mécanismes.Enfin, il est crucial de déterminer si la personne comprend que l'amour est une compétence plus qu'une émotion. Ressentir, bien sûr, mais surtout comprendre qu'un couple exige un travail commun, des compromis, des discussions et des efforts constants.Une amie a pris la décision d'aller voir un thérapeute de couple dès qu'elle a senti que sa relation devenait sérieuse.Non pas parce qu'ils rencontraient des problèmes, mais pour s'assurer que leur communication resterait toujours fluide.J'ai trouvé cette initiative particulièrement mature et judicieuse.D'ailleurs, je serais curieux de connaître votre opinion à ce sujet que certains pourraient qualifier de « tue l'amour ».Raison #3 : La catégorisation devient notre prison mentaleLorsque j'ai réalisé mon épisode sur les "pervers narcissiques", ma première observation fut celle-ci : quand tout le monde devient pervers narcissique, plus personne ne l'est véritablement.Et cette banalisation est irrespectueuse envers les véritables victimes.Cette réflexion s'applique à toute cette culture de surface et ces catégorisations simplistes que nous accumulons : styles d'attachement, langages de l'amour... sans oublier le mot fourre-tout "toxique", tellement galvaudé qu'il a perdu toute substance.Certes, se positionner sur un spectre a son utilité, mais comme son nom l'indique, c'est un "spectre" — il est rare d'incarner une seule catégorie pure.Personnellement, je trouve difficile d'identifier MON langage de l'amour principal, car tous me parlent profondément.Il en va de même pour la sexualité. Dans ce domaine, j'ai l'impression que nos corps communiquent directement.Certaines connexions sont extraordinaires, d'autres catastrophiques, sans que ce soit nécessairement la faute de quiconque. C'est ainsi, et ce n'est pas grave.Je l'avoue sans souci, j'ai été un « mauvais coup » pour certaines personnes mais j'espère un meilleur pour d'autres.J'ai souvent remarqué que cette alchimie se ressent dès le premier baiser. Cela dit, la sexualité reste un territoire d'exploration infini où nous devons d'abord accepter notre ignorance fondamentale.C'est particulièrement vrai pour les hommes car, d'après mon expérience, les femmes réagissent très différemment aux mêmes stimuli.Je n'ai pas d'expérience avec les hommes, mais j'imagine que c'est un peu plus mécanique — quoique vous pourriez me contredire.Au-delà de l'attraction initiale et des premières années, l'enjeu devient de faire durer le désir. J'ai adoré recevoir Anne et Jean-François Descombe sur ce sujet.Ils encouragent à dépasser l'idée reçue selon laquelle le sexe doit toujours naître spontanément du désir dans un couple établi.En réalité, aussi peu romantique que cela puisse paraître, il est souvent préférable de planifier des rendez-vous intimes, de créer délibérément des moments de connexion et de transcender les conventions en développant une perception corporelle plus subtile.Je n'ai jamais mis cette approche en pratique car ma compréhension de ces dynamiques est arrivée tardivement et mes relations récentes ont été trop brèves pour arriver à cet endroit. Cependant, j'observe que nous sommes souvent complètement déconnectés de nos corps sans même nous en rendre compte, parce qu'ils se protègent naturellement.Il faut réapprendre à ressentir, à ramener la sexualité dans le corps plutôt que dans la tête. C'est un travail considérable (pour moi aussi qui suis tellement cérébral).Raison #4 : Prisonniers de la performance, même dans l'intimitéLa sexualité demeure un enjeu majeur dans les relations, devenant souvent une difficulté dans les couples établis.Je crois que nous sommes conditionnés à la performance dans tous les domaines, alors que l'intimité devrait être précisément l'espace où cette pression n'existe pas.Pourtant, nous sommes obsédés par le plaisir de l'autre, et si nous échouons à l'atteindre, nous remettons tout en question. Cette pression existe pour les hommes, mais je la perçois encore plus forte chez les femmes.Un homme qui n'éjaculerait pas à répétition serait source d'inquiétude majeure pour sa partenaire, et probablement pour lui-même. J'ai conscience que mes propres biais transparaissent ici, mais j'ai l'impression que dans le sens inverse, ce serait moins problématique.Esther Perel dit: "Dis-moi comment tu as été aimé, je te dirai comment tu fais l'amour."Selon elle, notre histoire émotionnelle s'inscrit dans la physicalité de notre sexualité. Personnellement, il y a longtemps, j'entretenais une forme de respect que je qualifierais aujourd'hui de "déplacé" envers mes partenaires — déplacé parce que la sexualité n'implique pas un manque de respect.Typiquement, le problème résidait dans mon rapport à l'autre et à la sexualité en général.Un autre exemple peut être plus parlant pourrait être celui d'une femme qui n'oserait jamais dire à son partenaire qu'elle n'appréciait pas certaines pratiques sexuelles - cela illustre comment des schémas émotionnels anciens (peur du conflit ou de la désapprobation) créent des blocages dans l'intimité physique.Parfois, des couples apparemment harmonieux connaissent aussi des blocages sexuels malgré leur amour et leur entente.Esther Perel a développé toute une méthodologie de questions pour identifier comment nous avons appris à aimer, quelles ont été nos figures protectrices durant l'enfance, et si l'expression de nos émotions et de notre plaisir était considérée comme acceptable.Les réponses à ces questions révèlent comment nos expériences passées façonnent notre "plan érotique" et influencent nos défis émotionnels dans l'intimité.Notre histoire émotionnelle marque profondément notre sexualité, se manifestant à travers nos conditionnements, la reproduction de schémas relationnels, nos peurs de la vulnérabilité et la dynamique même de nos interactions intimes.Heureusement, la sexualité peut également devenir un outil pour accéder à des émotions profondes et résoudre des blocages que nous n'arrivions pas à surmonter autrement.En définitive, je crois que le couple n'existe pas pour "réussir" mais pour nous permettre de "ressentir".Nous devons impérativement nous libérer de cette logique performative et productiviste pour simplement nous sentir vivants.C'est une véritable révolution intérieure qui s'impose.Raison #5 : Nous entrons dans le couple pour évoluer, mais résistons au changementDepuis les Lumières, nous avons élevé l'individualisme au rang de valeur suprême. Comme je l'ai abordé dans une précédente newsletter, nous nous imposons une isolation que nous semblons apprécier, mais qui nous déconnecte de notre humanité fondamentale.La vie de couple exige d'articuler une dynamique entre préservation de son identité propre et connexion authentique avec l'autre.Comme évoqué dans la première raison, nous sommes des idéalistes irréalistes, portés par l'illusion d'un amour parfait qui nous transformerait en une version améliorée de nous-mêmes.Pourtant, lorsque nous nous engageons, cette promesse de métamorphose se heurte à la réalité.Nous ne choisissons pas un partenaire uniquement pour ses qualités ; inconsciemment, nous choisissons aussi une version future de nous-mêmes que nous aspirons à incarner — devenir plus calme, plus fort, plus complet.Esther Perel l'exprime magnifiquement : nous rencontrons l'autre pour retrouver une partie de nous encore inexplorée.Cette promesse d'évolution engendre cependant une tension profonde.Ce qui nous fascinait initialement devient source d'inconfort.Le calme apaisant se transforme en froideur détachée, la liberté joyeuse en irresponsabilité.La vision identitaire que nous avions imaginée entre en contradiction avec la réalité quotidienne du changement.Nous résistons à cette évolution parce qu'elle bouscule notre identité, même celle que nous avions idéalement construite.Le couple devient ainsi un espace paradoxal où nous aspirons à grandir tout en redoutant de perdre notre stabilité.Nous voulons évoluer, mais uniquement à notre rythme, sans que les transformations imposées par l'autre ne remettent en question ce que nous considérons comme notre essence. Ce conflit nous pousse souvent à rejeter ce qui devait nous transformer, à blâmer l'autre pour une inertie que nous percevons comme une trahison de notre idéal initial.Ce tiraillement entre l'envie d'ouvrir un nouveau chapitre et la peur d'abandonner l'image rassurante de notre identité constitue l'une des dynamiques les plus universelles et douloureuses de la vie à deux.C'est pourtant dans cette lutte que réside le potentiel d'une transformation authentique, si nous acceptons enfin le coût du changement intérieur.En conclusion: l'amour comme territoire d'exploration, non de performanceAimer aujourd'hui est difficile, non pas parce que nous serions devenus incapables d'aimer, mais parce que nous attendons de l'amour qu'il résolve tout.Qu'il nous apaise, nous élève, nous stimule, nous révèle.Qu'il nous offre simultanément la sécurité d'un foyer et l'ivresse d'une passion.Qu'il nous soutienne dans les moments difficiles tout en nous laissant respirer quand nous avons besoin d'espace.Ce n'est plus simplement une relation: c'est une architecture existentielle, un miroir identitaire, un incubateur de sens. C'est trop demander.Lorsque la réalité ne correspond pas à cette fiction intérieure, nous résistons.Nous accusons, fuyons ou nous replions.Nous croyons que l'autre nous blesse intentionnellement, alors qu'il réveille en nous des mémoires anciennes, des blessures non cicatrisées, des récits que nous tenons pour vérités absolues. Et nous l'avons vu, les papillons n'y sont pas pour rien…Nous oublions que dans toute relation, il n'existe jamais une vérité unique mais deux narrations distinctes — souvent incompatibles.Nous redoutons également le conflit, que nous confondons avec la fin de l'amour.Je déteste le conflit en bon « gentil », pourtant, un conflit traversé avec conscience est peut-être ce qu'il y a de plus vivant dans une relation.Il ne signale pas l'échec, mais la possibilité d'un lien authentique — non plus idéalisé, mais profondément incarné.Le couple n'a pas vocation à nous rendre heureux comme le ferait un produit fini.Il existe pour nous faire grandir, parfois nous ébranler, souvent nous décaler.Aimer n'est pas maîtriser, ni guérir, ni même comprendre entièrement.C'est oser traverser l'inconfort du lien sans fuir à la première dissonance.C'est abandonner l'idée qu'il existe une méthode parfaite pour aimer, pour embrasser la complexité d'un ch Suggestion d'autres épisodes à écouter : [Solo] Ca veut dire quoi d'être un homme? (https://audmns.com/VrvDGYA) [NEWS] La gentillesse est-elle toujours une vertu? (https://audmns.com/fsjMsBo) [NEWS] Le paradoxe du siècle « social » que l'on fait mine d'ignorer (https://audmns.com/CREUtAc)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:03 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Les annonces fracassantes et les décisions unilatérales en série de Donald Trump ont profondément abîmé l'image des États-Unis auprès des Français.
Welcome back night crew on this episode The Boys are joined by Zoe and they talk about instagram vs phone numbers, jerking standing-up, smoking, car accidents, blue chews and much more!
Aujourd'hui, je donne la parole à Harmony Albertini, créatrice de contenus et autrice de L'Amour est un choix, publié aux éditions Solar. Dans cet épisode, elle nous parle de l'amour sous toutes ses formes : les relations amoureuses, l'amour de soi, mais pas que… Et s'attache à mieux définir ce terme. Elle explique que, contrairement aux idées reçues, ce n'est pas la haine, le contraire de l'amour, mais bien la peur. Cette même peur qui pousse à juger les gens sur leur apparence, et qui est au fondement de la grossophobie. Elle évoque également son histoire personnelle, les remarques blessantes de son entourage dans l'enfance, le lipoedème dont elle souffre et ses impacts sur sa vie personnelle. Enfin, elle répond à des questions essentielles. Par exemple : comment s'aimer soi-même lorsqu'on nous a appris que certains types de corps sont plus aimables que d'autres ? Je vous propose de l'écouter dès maintenant, en toute bienveillance. Retrouvez également Harmony sur Instagram @harmonyalbertini, ainsi que dans son podcast @jaimequandonpapote, dans lequel elle échange avec son amoureux sur différents sujets. Et n'oubliez pas, @grossophobia_podcast est aussi sur Instagram... Crédits musique : Samuel Dalmard, du groupe L'instantané. Retrouvez la bande originale du podcast sur Spotify : https://open.spotify.com/intl-fr/artist/2YPIgrTGaGpvQTdTn8GEJD