Japanese singer and lyricist
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Our special guest Nick tells us how HMS Argonaut survived the first attacks at San Carlos, from his position as forward SeaCat missile director.
"Our special guest Nick tells us how HMS Argonaut survived the first attacks at San Carlos from his position as forward SeaCat missile director."
Chicago a rendu hommage au nouveau pape avec une pizza. Danick l’ami des animaux: la grenouille qui vomit ses bébés. Danick en échappé: Aimer son travail, c’est finalement pas une bonne affaire. Notre metteur en ondes a vu en primeur le nouveau Mission Impossible: Bilan Final. La Zone à Marcoux: Les activités de fin d’année, c’était pas la même chose… dans le temps! La Minute à Martin: Le sujet de l’explosion du vol à l’étalage fait pogner les nerfs à Martin. Debout les Caves - Vos meilleures jokes du jour. On dévoile le grand gagnant de l’Open Mic Si t'as un enfant avec ton conjoint-e, ça pourrait avoir des conséquences importantes sur vos finances, votre maison… et même votre héritage ! CKOI qui goûte drôle: on mange des ramens secs avec du beurre d’arachides. Dans ta face Cloutier L’Instant Incroyable: Un musicien qui a fait un pacte avec le diable et qui est devenu le 1er musicien à lire partie du club des 27. Débat: Est-ce que tous les moyens de contraception devraient être gratuits? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Dans cette nouvelle création poétique, l'autrice et comédienne Gaëlle Bien-Aimé raconte l'exil et le mal du pays. Clermesine laisse sa radio allumée. Seule avec ces voix qui diffusent l'intense, l'espérance et l'absurde. Seule avec ses guerres perdues et sa rage de vivre. Elle demeure désormais hors d'un pays pour lequel elle s'est battue. Ce pays, c'est Haïti, devenu «invivable» selon les dires de l'autrice, en particulier à Port-au-Prince, la capitale, en proie aux gangs. Je viens d'une ville qui n'existe plus, techniquement. Je refuse qu'on me propose un Port-au-Prince sans champ de mars ou la rue Magloire Ambroise. Les gens sont partis et un Port-au-Prince sans tout ça, cela ne veut rien dire. Gaëlle Bien-AiméCe texte «Aimer en stéréo» est né d'un poème «Poème à mort» écrit en 2022 qu'elle a développé. La pièce commence avec une annonce à la radio : celle d'une jeune femme enlevée qui vient d'être libérée après des mois de détention et qui finit par se suicider.Gaëlle Bien-Aimé raconte les drames de son pays, mais aussi les souvenirs : les sons, les odeurs. Invitée : Gaëlle Bien-Aimé, comédienne, autrice et metteuse en scène. Elle a également été journaliste et humoriste. Elle est née en 1987 à Port-au-Prince en Haïti. En 2022, elle est lauréate du Prix RFI Théâtre en 2022 pour «Port-au-Prince et sa douce nuit». Sa création « Aimer en stéréo » se joue à Théâtre Ouvert les 12 et 13 mai 2025. Le spectacle se joue dans le cadre du festival Zoom #10 qui court à Théâtre Ouvert jusqu'au 7 juin avec, au programme, deux spectacles, trois lectures performances, deux mises en voix et une mise en espace. Programmation musicale : L'artiste Nardvi avec le titre Voir le monde.
Dans cette nouvelle création poétique, l'autrice et comédienne Gaëlle Bien-Aimé raconte l'exil et le mal du pays. Clermesine laisse sa radio allumée. Seule avec ces voix qui diffusent l'intense, l'espérance et l'absurde. Seule avec ses guerres perdues et sa rage de vivre. Elle demeure désormais hors d'un pays pour lequel elle s'est battue. Ce pays, c'est Haïti, devenu «invivable» selon les dires de l'autrice, en particulier à Port-au-Prince, la capitale, en proie aux gangs. Je viens d'une ville qui n'existe plus, techniquement. Je refuse qu'on me propose un Port-au-Prince sans champ de mars ou la rue Magloire Ambroise. Les gens sont partis et un Port-au-Prince sans tout ça, cela ne veut rien dire. Gaëlle Bien-AiméCe texte «Aimer en stéréo» est né d'un poème «Poème à mort» écrit en 2022 qu'elle a développé. La pièce commence avec une annonce à la radio : celle d'une jeune femme enlevée qui vient d'être libérée après des mois de détention et qui finit par se suicider.Gaëlle Bien-Aimé raconte les drames de son pays, mais aussi les souvenirs : les sons, les odeurs. Invitée : Gaëlle Bien-Aimé, comédienne, autrice et metteuse en scène. Elle a également été journaliste et humoriste. Elle est née en 1987 à Port-au-Prince en Haïti. En 2022, elle est lauréate du Prix RFI Théâtre en 2022 pour «Port-au-Prince et sa douce nuit». Sa création « Aimer en stéréo » se joue à Théâtre Ouvert les 12 et 13 mai 2025. Le spectacle se joue dans le cadre du festival Zoom #10 qui court à Théâtre Ouvert jusqu'au 7 juin avec, au programme, deux spectacles, trois lectures performances, deux mises en voix et une mise en espace. Programmation musicale : L'artiste Nardvi avec le titre Voir le monde.
Dans son dernier livre en date, Gabrielle Halpern poursuit sa réflexion sur l'hybridation. Dans Créer des ponts entre les mondes, une philosophe sur le terrain (Fayard), cette normalienne, docteure en philosophie, raconte son riche parcours et l'action qu'elle déploie en faveur d'un concept qui lui est cher. Hybridation. De quoi s'agit-il ? L'auteure, une spécialiste de l'écrivain et philosophe Elias Canetti, a déjà développé cette notion dans Tous centaures ! Éloge de l'hybridation (Le Pommier, 2020), un livre qui était au cœur de notre conversation lors de sa sortie, dans Idées, le 21 octobre 2021. À lire aussiGabrielle Halpern, docteure en Philosophie: «Tous Centaures, éloge de l'hybridation»On pourrait dire qu'il s'agit de la fusion de deux univers pour en inventer un troisième. Il s'agit en tout cas de créer en tenant compte de l'autre. Au fil de ses longues études de philosophie, Gabrielle Halpern a fini par se poser une question : « Quel rôle peut bien remplir le philosophe dans la cité ? » Elle y a trouvé une réponse en développant des actions ici-et-là, après avoir côtoyé l'univers politique qui lui a laissé une impression mitigée, c'est le moins que l'on puisse dire. Au fond, l'action collective dépend finalement d'initiatives individuelles dans « l'exercice d'une citoyenneté contemporaine », car tout est lié. « Nous ne pouvons pas penser le cœur des villes sans les banlieues et les ruralités, les start-up sans les artisans, la jeunesse sans la vieillesse, sauf à créer des clivages… En faisant de l'hybridation un projet de société, nous pourrions bien trouver un chemin commun. »L'hybridation ou ce qu'elle appelle aussi « la philosophie du centaure » est aussi une attitude morale. C'est « une éthique de la relation à soi. Aimer "son prochain" – ce qui est proche de soi – est facile ; aimer ce qui est étranger est plus difficile ; or c'est précisément en cela que consiste l'idée de s'hybrider ».Associer la réflexion et l'action. Agir pour améliorer le monde. Gabrielle Halpern nous livre dans l'émission un message optimiste. Par les temps qui courent, cela fait du bien.► Le site de Gabrielle HalpernÀ écouter aussiPourquoi faire l'éloge de l'hybridation?► Programmation musicale :Anoushka Shankar, Sarathy Korwar et Alam Khan – We Burn So BrightlyBonobo – Rings
Tous les week-end, découvrez de courtes histoires d'amours, tendres ou percutantes, pour engager de vraies réflexions sur l'amour. Sans sa femme Alicia, la schizophrénie de John l'aurait sans doute rongé jusqu'à l'engloutir. Mais pour elle, aimer c'est soutenir. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Dans son dernier livre en date, Gabrielle Halpern poursuit sa réflexion sur l'hybridation. Dans Créer des ponts entre les mondes, une philosophe sur le terrain (Fayard), cette normalienne, docteure en philosophie, raconte son riche parcours et l'action qu'elle déploie en faveur d'un concept qui lui est cher. Hybridation. De quoi s'agit-il ? L'auteure, une spécialiste de l'écrivain et philosophe Elias Canetti, a déjà développé cette notion dans Tous centaures ! Éloge de l'hybridation (Le Pommier, 2020), un livre qui était au cœur de notre conversation lors de sa sortie, dans Idées, le 21 octobre 2021. À lire aussiGabrielle Halpern, docteure en Philosophie: «Tous Centaures, éloge de l'hybridation»On pourrait dire qu'il s'agit de la fusion de deux univers pour en inventer un troisième. Il s'agit en tout cas de créer en tenant compte de l'autre. Au fil de ses longues études de philosophie, Gabrielle Halpern a fini par se poser une question : « Quel rôle peut bien remplir le philosophe dans la cité ? » Elle y a trouvé une réponse en développant des actions ici-et-là, après avoir côtoyé l'univers politique qui lui a laissé une impression mitigée, c'est le moins que l'on puisse dire. Au fond, l'action collective dépend finalement d'initiatives individuelles dans « l'exercice d'une citoyenneté contemporaine », car tout est lié. « Nous ne pouvons pas penser le cœur des villes sans les banlieues et les ruralités, les start-up sans les artisans, la jeunesse sans la vieillesse, sauf à créer des clivages… En faisant de l'hybridation un projet de société, nous pourrions bien trouver un chemin commun. »L'hybridation ou ce qu'elle appelle aussi « la philosophie du centaure » est aussi une attitude morale. C'est « une éthique de la relation à soi. Aimer "son prochain" – ce qui est proche de soi – est facile ; aimer ce qui est étranger est plus difficile ; or c'est précisément en cela que consiste l'idée de s'hybrider ».Associer la réflexion et l'action. Agir pour améliorer le monde. Gabrielle Halpern nous livre dans l'émission un message optimiste. Par les temps qui courent, cela fait du bien.► Le site de Gabrielle HalpernÀ écouter aussiPourquoi faire l'éloge de l'hybridation?► Programmation musicale :Anoushka Shankar, Sarathy Korwar et Alam Khan – We Burn So BrightlyBonobo – Rings
Dans cet épisode de "Une vie de ouf - Le podcast de celles qui cochent leur bucket list", je t'embarque dans une aventure aussi originale qu'inspirante avec Adèle (@adele.saint.gier). Adèle a vendu sa sublime maison en plein cœur de Lyon pour réaliser un rêve un peu fou : vivre sur une péniche ! Elle raconte ses aventures sur le compte @4mousseset1chat. Avec son mari, leurs quatre enfants et leur chat, elle a troqué le plancher des vaches pour le charme de l'eau… sans jamais quitter le quai ! Eh oui, leur péniche est bien amarrée, mais leur quotidien a été complètement réinventé. Ensemble, on parle du déclic qui l'a poussée à faire ce grand saut, des surprises et ajustements que demande la vie sur une péniche (spoiler : y'a plus à penser qu'on l'imagine !), et de comment elle a utilisé la manifestation dans cette folle aventure.Un épisode doux, puissant et un brin magique, pour toutes celles qui rêvent d'une vie moins ordinaire.….
POUR LA REFOUA CHELEMA DE :HYZKIAHOU NATANEL BEN HAYA YITEL
Avec l'association " Vivre et aimer "
Bienvenue sur Happy Work Express, le podcast quotidien qui vous livre des chiffres étonnants et des anecdotes sur le monde du travail en quelques minutes. Happy Work Express est une version quotidienne et plus courte de Happy Work, le podcast francophone audio le plus écouté sur le bien-être au travail et le management bienveillant.Que vous soyez salarié, manager ou à la tête d'une entreprise, Happy Work Express vous apporte chaque jour des informations pertinentes et surprenantes pour éclairer votre journée de travail.Chaque épisode vous offre un regard neuf sur des statistiques clés, des tendances actuelles et des faits insolites qui façonnent le monde professionnel. Être manager ou managé, ce n'est pas toujours simple... mais ces chiffres vous montreront que vous n'êtes pas seul.e.s.devenir un meilleur manager ou un meilleur managé... c'est parfois simple comme un chiffre ;-)Abonnez-vous dès maintenant et enrichissez votre quotidien avec Happy Work Express !Si vous êtes sur Apple Podcast... n'oubliez surtout pas de mettre une étoile à Happy Work management carrière Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aharei Kedochim : Aimer son prochain - mission impossible ? Et si aimer, c'était bien plus dur que tu le crois ? Qui a dit que l'amour, c'était juste une émotion ? Tu l'aimes vraiment… ou tu fais juste semblant ?Pour plus de 1600 cours du Rav Yossi AMAR, visitez https://www.etorah.frPour sponsoriser un cours, ou soutenir nos actions, cliquez ici : https://don-chabad77.org/Suivez le Rav Yossi AMAR : https://linktr.ee/habad77Toutes les actions de Habad 77 sur : https://www.chabad77.org Toutes les parutions de Habad 77 sur : https://www.editionshabad77.com/ LinksInstagram / habad_77 TikTok / ravyossiamar Youtube: / @ravyossiamar_etorah.fr_habad77 Facebook: / yossiamar770 Application Apple Etorah https://www.apps.apple.com/fr/app/eto...Application Android Etorah https://www.play.google.com/store/app...Liste de diffusion WhatsApp https://www.chabad77.org/etorah-cours...
Comment aimer la Torah by Rav David Touitou
1 Jean 4:18 : "Il n'y a pas de crainte dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte, car la crainte suppose un châtiment. Celui qui craint n'est pas parfait dans l'amour." S'aimer sans se craindre est un idéal qui peut être réalité si l'on veut : Aimer sans la peur d'être vulnérable ou blessé.e Offrir et recevoir l'amour sans redouter le rejet ou l'abandon Être pleinement soi-même sans craindre le jugement de l'autre Cultiver une intimité véritable sans ériger des barrières protectrices Exprimer ses sentiments sincères sans anticiper des conséquences négatives Faire confiance sans la peur constante de la trahison S'engager pleinement dans la relation sans craindre la perte de son identité "Car ce n'est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d'amour et de sagesse." 2 Timothée 1:7 "L'Éternel est ma lumière et mon salut : De qui aurais-je crainte ?" Psaume 27:1
Tous les week-end, découvrez de courtes histoires d'amours, tendres ou percutantes, pour engager de vraies réflexions sur l'amour. Pour les deux, aimer c'est tout se dire. Dans leur échanges, elles se racontent sans artifices, échangent leur doutes les plus profonds. Une correspondance de 18 ans, sans doute la relation la plus importante de leur vie. Une histoire de livres, de lettres et de sentiments, une histoire d'amour. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Tous les matins à 7h50, l'actualité culture, TV ou cinéma avec Charles Magnien.
Dans cet épisode de "Une vie de ouf - Le podcast de celles qui cochent leur bucket list", je partage un moment super fort avec Marion (@marioncharzat), qui a fait un truc de dingue : passer 4 jours sans dire un mot, perdue au milieu des montagnes. Oui, tu as bien lu… QUATRE jours en mode silence total !On a papoté des raisons qui l'ont poussée à se lancer dans ce défi un peu fou, des galères (parce que oui, rester seule avec soi-même, c'est pas toujours easy), mais aussi de toutes les révélations hyper puissantes qu'elle a eues pendant cette parenthèse magique.Franchement, j'ai trouvé son expérience carrément fascinante. Et peut-être que, comme moi, tu vas finir l'épisode avec une seule envie : déconnecter, respirer… et tenter le silence toi aussi. Spoiler : c'est pas si flippant qu'on le croit !….
Commentaire de l'évangile SELON SAINT Jean 3, 31-36 Retrouvez l'évangile du jour sur le site AELF : https://www.aelf.org/2025-05-01/romain/messe L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
Flavie Taisne, sexothérapeute et thérapeute de couples, elle a publié Aimer de tout son corps (Éd. Eyrolles) Stéphane Clerget, pédopsychiatre et médecin psychiatre. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont Ne plus souffrir en amour (Éd. La Musardine) Thierry Paulmier, conférencier et formateur en intelligence émotionnelle. Il a publié Homo émotions : L' intelligence émotionnelle au service des managers (Éd. Diateino) Thierry Gineste, médecin spécialisé en psychiatrie et historien de la psychiatrie. Il a consacré de nombreuses années à l'étude de Victor de l'Aveyron, enfant sauvage, premier enfant soumis à la psychiatrie. Il publie une autobiographie Souviens-toi de moi dans les ténèbres (Éd. L'harmattan) dans lequel il raconte son lien à son père qu'il a perdu à 4 ans.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Homélie du P. Bernard Bastian pour le Deuxième Dimanche de Pâques ou de la Divine Miséricorde (27/4/2025). Ces trois textes, en ce dimanche de la Divine Miséricorde, nous emmènent bienLire la suite "L'unique réponse de Dieu après la crucifixion de son Fils, c'est de le ressusciter pour nous aimer"
Programme bien chargé pour cet épisode avec un retour sur notre passage au Brussels International Fantastic Film Festival (BIFFF), un petit tour d'horizon sur nos attentes cannoises et un conseil avec la revue Surimpressions ! Place ensuite à l'actualité des salles, avec au programme AIMER PERDRE de Lenny et Harpo Guit, BLACK DOG de Guan Hu, LES GRAINES DU FIGUIER SAUVAGE de Mohammad Rassoulof et THE LAST SHOWGIRL de Gia Coppola. Bonne écoute ! Judith, Eléonore & ClotildeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alain Chabat nous donne un avant-goût de sa série d'animation « Astérix et Obélix, le combat des chefs » qui arrive mercredi sur Netflix Le chanteur Matthieu Chedid est notre invité en tête-à-tête. Il est de retour avec « Totem » un nouveau disque de son aventure Lamomali, et il démarre une tournée marathon L'édito Télé d'Isabelle Morini-Bosc : Patrick Sébastien refait parler de lui. Un coup de cœur de ce printemps littéraire : « Aimer comme un albatros » de Jean-Noël Rieffel Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 27 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le coup de coeur d'Antoine Leiris pour "Aimer comme un albatros" de Jean-Noël Rieffel. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Antoine Leiris du 24 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Chantal Touvet, auteur de « Histoire des sanctuaires de Lourdes » (éditions NDL, 3 tomes) et de « Tout commença par un souffle » (éditions Béatitudes)
Pour ce nouvel épisode d'Amours, je reçois Léa, 32 ans, qui parle de son expérience de l'amour en tant que personne neuroatypique.Elle a reçu un diagnostic tardif de trouble du spectre autistique et de TDAH (à 30 ans), après des années à se sentir en décalage et à compenser pour ressembler aux autres.Depuis ce diagnostic, elle relit sa vie sous un nouveau prisme, et notamment sa manière de vivre l'amour, qui a toujours occupé une place centrale pour elle.Elle parle du manque de légitimité qu'elle a ressenti au moment du diagnostic, des ajustements qu'elle a mis en place depuis (et même avant), et de ses relations passées, pas toujours simples.Elle raconte sa rencontre avec son mari, avec qui elle vit aujourd'hui une très belle histoire. Une relation qui lui a permis de comprendre que sa neuroatypie ne l'empêchait pas d'être aimée par quelqu'un de vraiment bien.
Cet épisode est tiré de ma newsletter, pour vous abonner c'est ici!!!Comme je vous. le dis je vous remercie mille fois pour me suivre dans cette aventure de Vlan!J'adore mon célibat actuel, cette liberté exquise de décider de mon emploi du temps sans compromis.Et pourtant, je suis un incorrigible romantique !Ce paradoxe délicieux me constitue et colore ma vie de nuances fascinantes.Cette dualité n'est sans doute pas étrangère à mon histoire familiale.J'ai grandi avec des parents qui se sont rencontrés jeunes, ont eu des enfants à 24 et 26 ans et sont restés ensemble jusqu'à la fin malgré les tumultes de la vie – chose de plus en plus rare, j'ai l'impression.Ils ont incarné devant moi la possibilité d'un amour durable, même si le chemin n'était pas toujours facile.N'est-ce pas incroyable que nous puissions simultanément chérir notre indépendance et rêver de construire à deux ?L'amour reste cette aventure extraordinaire qui transcende les époques.Au 18ème siècle, Benjamin Franklin déclarait qu'un "homme sans femme n'est rien d'autre qu'un demi-homme" (on était moins subtil à l'époque...d'autant moins quand on sait que les femmes célibataires étaient, elles, brûlées vivent pour sorcellerie), et aujourd'hui encore, malgré toutes nos avancées, le couple demeure cette quête collective qui nous anime presque tous.Qu'y a-t-il de si captivant dans cette danse à deux ? Pourquoi continuons-nous à nous lancer dans cette entreprise hasardeuse, malgré les cicatrices et les déceptions ?Peut-être parce que l'amour, dans ses plus beaux moments, nous offre cette alchimie rare entre sécurité et aventure, entre connaissance profonde et éternelle découverte.J'ai connu des histoires d'amour intenses - dont une qui m'a conduit à imprimer un livre de 400 pages de nos échanges et à déménager à New York !Ces expériences m'ont transformé, enrichi, parfois blessé, mais jamais je n'ai regretté de m'être lancé et de vivre pleinement les choses (c'est ce que me disais ma psy).Chaque relation a ajouté une couche de compréhension à ma carte du monde émotionnel.À travers cette newsletter, je vous invite à explorer avec moi les mystères et les joies de l'amour moderne, ses défis et ses trésors cachés.Je partagerai mes découvertes (j'ai beaucoup cherché), mes erreurs (nombreuses !) et les pépites de sagesse glanées en chemin.Car si j'ai renoncé au mythe paralysant de l'âme sœur, je n'ai certainement pas abandonné la quête d'un amour authentique et vibrant.Comme l'écriture elle-même, l'amour nous enseigne ce que nous ne savions pas connaître sur nous-mêmes. Embarquons ensemble dans cette exploration joyeuse !Mon parcours amoureux : des cicatrices comme boussoleMa première histoire d'amour a duré sept ans. Je l'ai rencontrée dès les premières semaines d'école de commerce, nous nous sommes fiancés, le mariage était planifié. Vingt ans plus tard, nous sommes toujours proches, mais cette relation était fondamentalement dysfonctionnelle — principalement à cause de moi, je dois l'admettre.J'avais endossé la cape du sauveur pour surmonter ma timidité. Mon besoin d'appartenance était si intense et elle incarnait tout ce que je n'étais pas.C'était profondément injuste pour elle mais j'y reviendrais.J'ignorais alors mes propres besoins, mes névroses, mon style d'attachement.Elle est devenue malveillante malgré elle, et cette histoire était condamnée dès le départ.Ma deuxième relation significative m'a conduit chez un psychologue, perdu que j'étais. Sans doute l'une des décisions les plus sages de ma vie. C'est aussi à cette période que j'ai commencé à consulter des voyantes, cherchant désespérément des réponses que je ne trouvais pas en moi.Puis est venue LA relation passionnelle de ma vie.Une relation tellement intense qu'elle est difficile à expliquer.Pour vous donner une idée: j'ai compilé les trois premiers mois de nos échanges dans un livre de 400 pages imprimé en deux exemplaires (un pour elle et l'autre pour moi), et j'ai déménagé à New York pour elle.Cette femme réputée pour son légendaire self-control ne maîtrisait plus rien non plus.Certains parleraient d'âme sœur ou de flamme jumelle — j'ai cherché toutes les explications possibles. Après quatre ans d'une intensité intacte, elle est partie sans un mot d'explication.Huit ans ont passé, et il m'en a fallu 6 pour m'en remettre. Je le dis ici car dans cette société ou tout va de plus en plus vite parfois on n'accepte plus chez les autres mais aussi chez soi même que certains processus prennent du temps.Quoiqu'il en soit cette rupture m'a transformé.Comme me l'a fait remarquer un ami, peu d'hommes parlent ouvertement de leurs blessures amoureuses. Je n'avais pas le choix — cette histoire m'a bouleversé dans ma chair.Je crois que c'est important d'en parler et c'est la raison pour laquelle j'ai accepté l'invitation d'Anne du podcast Métamorphose à l'époque.C'est essentiel de montrer la vulnérabilité sans faux semblant et que les hommes ne sont évidemment pas insensibles aux ruptures. J'espère que cela aura permis à d'autres hommes de se connecter avec eux même.Et puis, je suis heureux d'avoir fait un kinsugi de cette rupture en co-créant un kit de secours pour cœur brisés.Durant ces six années de deuil, j'ai sabordé des relations avec des femmes extraordinaires, les comparant inévitablement à elle. J'ai finalement réussi à briser ce lien toxique grâce à un travail acharné avec psychologues, énergéticiens, voyantes, astrologues, constellations familiales, et même l'ayahuasca. J'ai tout essayé pour m'en libérer.J'ai su que j'étais guéri quand je suis retombé amoureux. Même si cette nouvelle histoire fut brève pour d'autres raisons, elle a confirmé ma guérison. Aujourd'hui, je reste ouvert à construire quelque chose avec quelqu'un, mais ce n'est pas simple.Les raisons de cette difficulté sont précisément l'objet de cette newsletter et je vous livre ce qui selon moi cloche en 5 grands points !Raison #1 : Nous sommes des idéalistes irréalistes par essenceNous avons grandi bercés par des mythes grecs(ne les sous-estimons pas, ils sont centraux), des histoires comme celle de Roméo et Juliette, des contes pour enfants ou encore des films hollywoodiens qui nous ont fait croire que l'impossible devenait possible par amour.Mais ces récits se concentrent presque exclusivement sur la quête amoureuse, rarement sur ce qui vient après."Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants." Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement ? Comment ont-ils géré leurs névroses respectives ? Leurs univers distincts ? Leurs problèmes de communication ? Leurs baisses de désir ? Leurs potentielles tentations extraconjugales ?Dis rapidement, notre idéal romantique est incompatible avec la réalité d'une connexion humaine.Ces expressions comme "ma moitié" sous-entendent que nous serions incomplets avant de rencontrer l'autre. "The one" ou "l'âme sœur" suggèrent qu'une seule personne au monde peut nous convenir.Vous l'aurez compris, j'ai personnellement expérimenté ce mythe de l'âme sœur — et en ai payé le prix fort.Cet idéal présuppose que notre partenaire devrait tout comprendre de nous sans communication verbale, alors même que nous peinons à nous comprendre nous-mêmes (personnellement, je me découvre encore chaque jour).Cela est évidemment accentué par un individualisme (pour ne pas dire égoïsme) sous stéroïdes.L'autre vit dans un univers parallèle, avec un système proche mais fondamentalement différent du nôtre.De manière anecdotique, lors d'un de mes événements sur l'IA, une personne a partagé qu'elle se sentait plus "vue" et "entendue" par ChatGPT que par son médecin ou ses amis.Notre société d'hyper-optimisation nous a fait perdre la capacité à prendre le temps — ou à l'accorder à l'autre.La conséquence est ce manque d'écoute mutuel et donc des incompréhensions en pagaille.Et si vous ajoutez à cela des différences culturelles, comme je l'ai vécu, cela complique encore davantage la situation.Esther Perel m'a fait réaliser que nos attentes sont démesurées : nous demandons à une seule personne de nous apporter ce qu'autrefois tout un village nous fournissait — sécurité, identité, amitié, sexualité, complicité émotionnelle et intellectuelle, goûts communs...Je ne vous fais pas la leçon, je suis le premier à tomber dans ce piège, tout en sachant parfaitement son absurdité.Le couple exige des compromis et un travail constant de construction à deux.Par ailleurs, nous entrons dans une relation avec une vision identitaire, un rêve de qui nous voulons devenir — souvent flou ou fantasmé.Quand on s'engage, ce n'est pas seulement l'autre qu'on cherche, mais une version future de soi-même. Ici aussi je plaide totalement coupable et ma 1ère longue relation s'inscrivait à 200% dans cette dynamique.Mais comme le souligne Esther, ce processus est inconfortable car l'autre ne change pas à notre rythme et ne comprend pas nécessairement le rôle implicite que nous lui avons assigné (m'apaiser, m'ouvrir, m'élever, m'intégrer…).Le changement personnel étant douloureux, nous finissons par reprocher à l'autre ce qui nous fascinait initialement. Ainsi, un partenaire choisi pour sa légèreté devient "irresponsable", une personne stable devient "ennuyeuse"…Le fantasme identitaire se heurte inévitablement à la réalité relationnelle.Et bien sur, les applications de rencontre aggravent le problème en alimentant l'illusion d'une offre infinie, comme si l'amour n'était qu'à un swipe de distance.Pour y avoir passé du temps, je vous rappelle (particulièrement si vous êtes en couple) que c'est aussi illusoire que ces couples Instagram où tout semble parfait.Raison #2 : Les papillons dans le ventre sont souvent un dangereux leurreNous avons tous éprouvé ces fameux papillons dans le ventre, cette sensation vertigineuse que nous pourchassons comme le nectar ultime de l'amour.C'est le moment où nous nous sentons le plus vivants d'ailleurs souvent considéré comme l'indicateur suprême de l'amour véritable.Franchement, quoi de plus délicieux que cette vibration viscérale ?J'adore personnellement cette sensation, mais les avertissements d'Alain de Botton m'ont ouvert les yeux : ce frisson que nous ressentons est très souvent une réaction à quelque chose de familier, parfois simplement l'activation d'un vieux schéma ou d'une blessure non cicatrisée.Voilà pourquoi nous sommes parfois attirés par des personnes qui ne nous conviennent pas du tout.En réalité, nous sommes attirés par ceux qui vont nous faire souffrir d'une manière qui nous est familière.Une relation calme, douce et respectueuse peut nous sembler étrange, "sans passion", voire profondément ennuyeuse, parce qu'elle menace notre scénario intérieur bien rodé.De Botton nous met en garde : ne confondez pas compatibilité avec familiarité traumatique. C'est extrêmement frustrant, car j'aime cette sensation d'intensité.D'ailleurs, même en sachant que c'est un indicateur défectueux, j'adore ces papillons et ce deuil n'est pas facile à faire (long way to go greg…ahahahhah).Alors à quoi se fier si les papillons sont trompeurs ?J'ai découvert que j'appliquais inconsciemment les conseils d'Alain de Botton quand je me sentais particulièrement à l'aise avec quelqu'un.L'une de ses questions préférées: "C'est quoi le weirdo en toi?" Parce qu'en vérité, sans masques ni artifices, nous sommes tous un peu étranges.Je sais que je suis vraiment amoureux quand j'ose révéler mes aspects les plus singuliers sans crainte du jugement, je laisse entrevoir ce qui se passe derrière le masque.Un autre signal essentiel selon lui — et auquel je suis attentif sans vraiment y réfléchir : observer si l'autre personne est capable de reconnaître ses propres biais et imperfections et si elle sait s'excuser quand ils se manifestent.Il faut également s'interroger honnêtement : sommes-nous nous-mêmes capables de cette introspection ? Je ne parle pas de sautes d'humeur passagères, mais de nos véritables zones d'ombre.On peut mesurer l'évolution d'une personne à sa capacité à reconnaître qu'elle est loin de l'idéal.Ce n'est pas quelque chose qu'on peut demander directement ; il faut l'observer à travers l'expérience partagée.L'objectif n'est évidemment pas l'auto-flagellation, mais une lucidité bienveillante sur nos mécanismes.Enfin, il est crucial de déterminer si la personne comprend que l'amour est une compétence plus qu'une émotion. Ressentir, bien sûr, mais surtout comprendre qu'un couple exige un travail commun, des compromis, des discussions et des efforts constants.Une amie a pris la décision d'aller voir un thérapeute de couple dès qu'elle a senti que sa relation devenait sérieuse.Non pas parce qu'ils rencontraient des problèmes, mais pour s'assurer que leur communication resterait toujours fluide.J'ai trouvé cette initiative particulièrement mature et judicieuse.D'ailleurs, je serais curieux de connaître votre opinion à ce sujet que certains pourraient qualifier de « tue l'amour ».Raison #3 : La catégorisation devient notre prison mentaleLorsque j'ai réalisé mon épisode sur les "pervers narcissiques", ma première observation fut celle-ci : quand tout le monde devient pervers narcissique, plus personne ne l'est véritablement.Et cette banalisation est irrespectueuse envers les véritables victimes.Cette réflexion s'applique à toute cette culture de surface et ces catégorisations simplistes que nous accumulons : styles d'attachement, langages de l'amour... sans oublier le mot fourre-tout "toxique", tellement galvaudé qu'il a perdu toute substance.Certes, se positionner sur un spectre a son utilité, mais comme son nom l'indique, c'est un "spectre" — il est rare d'incarner une seule catégorie pure.Personnellement, je trouve difficile d'identifier MON langage de l'amour principal, car tous me parlent profondément.Il en va de même pour la sexualité. Dans ce domaine, j'ai l'impression que nos corps communiquent directement.Certaines connexions sont extraordinaires, d'autres catastrophiques, sans que ce soit nécessairement la faute de quiconque. C'est ainsi, et ce n'est pas grave.Je l'avoue sans souci, j'ai été un « mauvais coup » pour certaines personnes mais j'espère un meilleur pour d'autres.J'ai souvent remarqué que cette alchimie se ressent dès le premier baiser. Cela dit, la sexualité reste un territoire d'exploration infini où nous devons d'abord accepter notre ignorance fondamentale.C'est particulièrement vrai pour les hommes car, d'après mon expérience, les femmes réagissent très différemment aux mêmes stimuli.Je n'ai pas d'expérience avec les hommes, mais j'imagine que c'est un peu plus mécanique — quoique vous pourriez me contredire.Au-delà de l'attraction initiale et des premières années, l'enjeu devient de faire durer le désir. J'ai adoré recevoir Anne et Jean-François Descombe sur ce sujet.Ils encouragent à dépasser l'idée reçue selon laquelle le sexe doit toujours naître spontanément du désir dans un couple établi.En réalité, aussi peu romantique que cela puisse paraître, il est souvent préférable de planifier des rendez-vous intimes, de créer délibérément des moments de connexion et de transcender les conventions en développant une perception corporelle plus subtile.Je n'ai jamais mis cette approche en pratique car ma compréhension de ces dynamiques est arrivée tardivement et mes relations récentes ont été trop brèves pour arriver à cet endroit. Cependant, j'observe que nous sommes souvent complètement déconnectés de nos corps sans même nous en rendre compte, parce qu'ils se protègent naturellement.Il faut réapprendre à ressentir, à ramener la sexualité dans le corps plutôt que dans la tête. C'est un travail considérable (pour moi aussi qui suis tellement cérébral).Raison #4 : Prisonniers de la performance, même dans l'intimitéLa sexualité demeure un enjeu majeur dans les relations, devenant souvent une difficulté dans les couples établis.Je crois que nous sommes conditionnés à la performance dans tous les domaines, alors que l'intimité devrait être précisément l'espace où cette pression n'existe pas.Pourtant, nous sommes obsédés par le plaisir de l'autre, et si nous échouons à l'atteindre, nous remettons tout en question. Cette pression existe pour les hommes, mais je la perçois encore plus forte chez les femmes.Un homme qui n'éjaculerait pas à répétition serait source d'inquiétude majeure pour sa partenaire, et probablement pour lui-même. J'ai conscience que mes propres biais transparaissent ici, mais j'ai l'impression que dans le sens inverse, ce serait moins problématique.Esther Perel dit: "Dis-moi comment tu as été aimé, je te dirai comment tu fais l'amour."Selon elle, notre histoire émotionnelle s'inscrit dans la physicalité de notre sexualité. Personnellement, il y a longtemps, j'entretenais une forme de respect que je qualifierais aujourd'hui de "déplacé" envers mes partenaires — déplacé parce que la sexualité n'implique pas un manque de respect.Typiquement, le problème résidait dans mon rapport à l'autre et à la sexualité en général.Un autre exemple peut être plus parlant pourrait être celui d'une femme qui n'oserait jamais dire à son partenaire qu'elle n'appréciait pas certaines pratiques sexuelles - cela illustre comment des schémas émotionnels anciens (peur du conflit ou de la désapprobation) créent des blocages dans l'intimité physique.Parfois, des couples apparemment harmonieux connaissent aussi des blocages sexuels malgré leur amour et leur entente.Esther Perel a développé toute une méthodologie de questions pour identifier comment nous avons appris à aimer, quelles ont été nos figures protectrices durant l'enfance, et si l'expression de nos émotions et de notre plaisir était considérée comme acceptable.Les réponses à ces questions révèlent comment nos expériences passées façonnent notre "plan érotique" et influencent nos défis émotionnels dans l'intimité.Notre histoire émotionnelle marque profondément notre sexualité, se manifestant à travers nos conditionnements, la reproduction de schémas relationnels, nos peurs de la vulnérabilité et la dynamique même de nos interactions intimes.Heureusement, la sexualité peut également devenir un outil pour accéder à des émotions profondes et résoudre des blocages que nous n'arrivions pas à surmonter autrement.En définitive, je crois que le couple n'existe pas pour "réussir" mais pour nous permettre de "ressentir".Nous devons impérativement nous libérer de cette logique performative et productiviste pour simplement nous sentir vivants.C'est une véritable révolution intérieure qui s'impose.Raison #5 : Nous entrons dans le couple pour évoluer, mais résistons au changementDepuis les Lumières, nous avons élevé l'individualisme au rang de valeur suprême. Comme je l'ai abordé dans une précédente newsletter, nous nous imposons une isolation que nous semblons apprécier, mais qui nous déconnecte de notre humanité fondamentale.La vie de couple exige d'articuler une dynamique entre préservation de son identité propre et connexion authentique avec l'autre.Comme évoqué dans la première raison, nous sommes des idéalistes irréalistes, portés par l'illusion d'un amour parfait qui nous transformerait en une version améliorée de nous-mêmes.Pourtant, lorsque nous nous engageons, cette promesse de métamorphose se heurte à la réalité.Nous ne choisissons pas un partenaire uniquement pour ses qualités ; inconsciemment, nous choisissons aussi une version future de nous-mêmes que nous aspirons à incarner — devenir plus calme, plus fort, plus complet.Esther Perel l'exprime magnifiquement : nous rencontrons l'autre pour retrouver une partie de nous encore inexplorée.Cette promesse d'évolution engendre cependant une tension profonde.Ce qui nous fascinait initialement devient source d'inconfort.Le calme apaisant se transforme en froideur détachée, la liberté joyeuse en irresponsabilité.La vision identitaire que nous avions imaginée entre en contradiction avec la réalité quotidienne du changement.Nous résistons à cette évolution parce qu'elle bouscule notre identité, même celle que nous avions idéalement construite.Le couple devient ainsi un espace paradoxal où nous aspirons à grandir tout en redoutant de perdre notre stabilité.Nous voulons évoluer, mais uniquement à notre rythme, sans que les transformations imposées par l'autre ne remettent en question ce que nous considérons comme notre essence. Ce conflit nous pousse souvent à rejeter ce qui devait nous transformer, à blâmer l'autre pour une inertie que nous percevons comme une trahison de notre idéal initial.Ce tiraillement entre l'envie d'ouvrir un nouveau chapitre et la peur d'abandonner l'image rassurante de notre identité constitue l'une des dynamiques les plus universelles et douloureuses de la vie à deux.C'est pourtant dans cette lutte que réside le potentiel d'une transformation authentique, si nous acceptons enfin le coût du changement intérieur.En conclusion: l'amour comme territoire d'exploration, non de performanceAimer aujourd'hui est difficile, non pas parce que nous serions devenus incapables d'aimer, mais parce que nous attendons de l'amour qu'il résolve tout.Qu'il nous apaise, nous élève, nous stimule, nous révèle.Qu'il nous offre simultanément la sécurité d'un foyer et l'ivresse d'une passion.Qu'il nous soutienne dans les moments difficiles tout en nous laissant respirer quand nous avons besoin d'espace.Ce n'est plus simplement une relation: c'est une architecture existentielle, un miroir identitaire, un incubateur de sens. C'est trop demander.Lorsque la réalité ne correspond pas à cette fiction intérieure, nous résistons.Nous accusons, fuyons ou nous replions.Nous croyons que l'autre nous blesse intentionnellement, alors qu'il réveille en nous des mémoires anciennes, des blessures non cicatrisées, des récits que nous tenons pour vérités absolues. Et nous l'avons vu, les papillons n'y sont pas pour rien…Nous oublions que dans toute relation, il n'existe jamais une vérité unique mais deux narrations distinctes — souvent incompatibles.Nous redoutons également le conflit, que nous confondons avec la fin de l'amour.Je déteste le conflit en bon « gentil », pourtant, un conflit traversé avec conscience est peut-être ce qu'il y a de plus vivant dans une relation.Il ne signale pas l'échec, mais la possibilité d'un lien authentique — non plus idéalisé, mais profondément incarné.Le couple n'a pas vocation à nous rendre heureux comme le ferait un produit fini.Il existe pour nous faire grandir, parfois nous ébranler, souvent nous décaler.Aimer n'est pas maîtriser, ni guérir, ni même comprendre entièrement.C'est oser traverser l'inconfort du lien sans fuir à la première dissonance.C'est abandonner l'idée qu'il existe une méthode parfaite pour aimer, pour embrasser la complexité d'un ch Suggestion d'autres épisodes à écouter : [Solo] Ca veut dire quoi d'être un homme? (https://audmns.com/VrvDGYA) [NEWS] La gentillesse est-elle toujours une vertu? (https://audmns.com/fsjMsBo) [NEWS] Le paradoxe du siècle « social » que l'on fait mine d'ignorer (https://audmns.com/CREUtAc)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:37:03 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Les annonces fracassantes et les décisions unilatérales en série de Donald Trump ont profondément abîmé l'image des États-Unis auprès des Français.
Et si aimer, ce n'était pas un coup de foudre… mais une décision ?Pas un hasard.Pas une évidence.Mais un vrai choix.Celui d'ouvrir son cœur, d'assumer sa vulnérabilité, de construire l'amour au lieu de le consommer.Dans ce nouvel épisode, on parle de ce que signifie vraiment choisir d'aimer, et pourquoi ce choix peut changer ta façon de vivre les relations.C'est doux, c'est vrai, et ça fait réfléchir.Prends 10 minutes pour ton cœur et tes relations aujourd'hui.Écoute l'épisode et laisse-moi te partager une autre façon de voir l'amour.Et pour aller plus loin, tu peux t'abonne gratuitement à ma newsletter "Bouffée d'air frais" que tu recevras chaque vendredi https://mailchi.mp/f4331fafec17/qqhe8mqjh6Sois bénie et n'hésite pas à laisser 5 étoiles ça aide vraiment à faire passer le message.
Welcome back night crew on this episode The Boys are joined by Zoe and they talk about instagram vs phone numbers, jerking standing-up, smoking, car accidents, blue chews and much more!
Pop Arthur, c'est le podcast créé pour assurer les bases indispensables de pop culture pour Arthur et vos enfants. Et leur prouver qu'il y a un monde après Dragon Ball Daima !
Aujourd'hui, je donne la parole à Harmony Albertini, créatrice de contenus et autrice de L'Amour est un choix, publié aux éditions Solar. Dans cet épisode, elle nous parle de l'amour sous toutes ses formes : les relations amoureuses, l'amour de soi, mais pas que… Et s'attache à mieux définir ce terme. Elle explique que, contrairement aux idées reçues, ce n'est pas la haine, le contraire de l'amour, mais bien la peur. Cette même peur qui pousse à juger les gens sur leur apparence, et qui est au fondement de la grossophobie. Elle évoque également son histoire personnelle, les remarques blessantes de son entourage dans l'enfance, le lipoedème dont elle souffre et ses impacts sur sa vie personnelle. Enfin, elle répond à des questions essentielles. Par exemple : comment s'aimer soi-même lorsqu'on nous a appris que certains types de corps sont plus aimables que d'autres ? Je vous propose de l'écouter dès maintenant, en toute bienveillance. Retrouvez également Harmony sur Instagram @harmonyalbertini, ainsi que dans son podcast @jaimequandonpapote, dans lequel elle échange avec son amoureux sur différents sujets. Et n'oubliez pas, @grossophobia_podcast est aussi sur Instagram... Crédits musique : Samuel Dalmard, du groupe L'instantané. Retrouvez la bande originale du podcast sur Spotify : https://open.spotify.com/intl-fr/artist/2YPIgrTGaGpvQTdTn8GEJD
Qu'est-ce que le sacrifice appelé Nédava ? En quoi est-il étonnant que la Torah nous en parle en premier lorsqu'elle aborde les sacrifices ? Quel enseignement peut-on en tirer quant à l'importance d'aimer Hachem, au lieu de simplement Le servir froidement ? Réponse à travers des propos du Steipeler, du Rambam et du Ram'hal.
Quel style ont choisi les frères Guit pour filmer les galères tragicomiques d'Armande, leur jeune héroïne dans Bruxelles ? Quel incroyable récit de survie en mer raconte « Last breath », avec Woody Harrelson ? Quel univers peu exploité au cinéma a choisi la comédie policière « Prosper » avec Jean-Pascal Zadi ? Les découvertes musicales : Jennie - Mantra Yves Jarvis - One Gripe Ofé - À l'aube Avalon Emerson - Treat Mode Merci pour votre écoute La semaine des 5 Heures, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 19h à 20h00 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de La semaine des 5 Heures avec les choix musicaux de Rudy dans leur intégralité sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/1451 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les week-end, découvrez de courtes histoires d'amours, tendres ou percutantes, pour engager de vraies réflexions sur l'amour. Ensemble, ils sont un univers entier de poésie et de sensualité. Serge Gainsbourg et Jane Birkin... Melody Nelson et l'homme à la tête de chou. Pour eux, aimer c'est sublimer. Sublimer l'autre, sublimer leur amour en chanson. Une histoire de croissants, de cigarettes et de scandale. Une histoire d'amour. Un podcast Bababam Originals. Première diffusion : 25 octobre 2019 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
https://vivre-et-aimer.org/
Prédication de Christian ROBICHAUD, à l'Eglise Paris Métropole, Campus de Bastille.Ce message a pour but d'encourager d'une part une personne qui n'est pas réconciliée avec Dieu, et d'autre part un chrétien qui marche avec le Seigneur et aussi nous challenger mutuellement sur l'ordre d'aller. Car nous sommes tous appelés à faire des disciples.Notons que l'Homme sans Dieu est déformé, perdu, car il a été créé pour vivre avec Dieu; et l'Homme ne peut pas vivre sans Dieu.C'est pourquoi à travers le Salut que nous donne le Seigneur Jésus, Dieu veut renouer avec chacun de nous Qu'est-ce-que le salut ?C'est naître de nouveau, d'eau et d'esprit. Le salut est donc une expérience spirituelle.Quand Jesus sauve, il te sauve de TOUT ! De ton passé, de ton présent et de ton éternité qui jusque là était sans Dieu. A la nouvelle naissance, le Saint-Esprit vient en nous avec une multitude de bénédictions, de la plus petite à la plus grande. Quand le Saint Esprit vient en toi, il vient donc avec TOUT.« Être sauvé » est ce qui unit tous les chrétiens du monde entier.Le disciple reçoit en Jésus un double salut et est sauvé 2 choses: Il vient vivre en toi par le Saint-Esprit et te sauve instantanément de tout ce dont tu aurais besoinDieu ne s'attend pas à ce que tu comprennes tout. Il a attend juste que tu lui ouvres ton coeur et le ciel entre dans ton coeur avec une multitude de bénédictions.Une nouvelle loi est venue avec Jésus, Romains 3.27 : La loi de la foi. « Je mets ma confiance en Jésus. »Mettons notre confiance en Jésus comme un enfant met sa confiance en son papa ou sa maman.Retrouvez l'Eglise Paris Métropole sur internet & les réseaux :INTERNET : monegliseaparis.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/egliseparismetrole INSTAGRAM : https://www.instagram.com/egliseparismetropoleHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment aimer Allah ?Leçons du Coran #3Émission live "La médecine des coeurs" du mercredi 19 mars 2025____________________________________________
Dans ce podcast (vidéo disponible sur youtube) nouveau format, je fais un décryptage en 10 d'inuites d'un message puissant sur le thème : s'aimer d'abord. Dans cet épisode, le Pasteur Athoms nous enseigne pourquoi s'aimer soi-même est non seulement essentiel, mais aussi un commandement biblique.
Puisque Christ vit en moi, je peux aimer les autres avec son amour.
Quand Marie-Pierre rencontre David, elle sort d'un divorce, élève seule ses deux enfants et voit d'abord en lui un jeune introverti. Au fil des années, malgré leur 22 ans d'écart et sans que ni l'un ni l'autre ne se l'explique, l'attirance naît. Puis grandit. Comment faire éclore cette romance au grand jour? Tous deux nous racontent leurs doutes, leurs questions, et leurs joies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez le podcast ? Venez voir le spectacle - https://www.billetreduc.com/362273/evt.htm Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Méditations de Carême 2025-03-18 12-Aimer Jésus by Radio Maria France
Méditations de Carême 2025-03-16 12-Aimer Jésus by Radio Maria France
[MÉTAMORPHOSE PODCAST] Anne Ghesquière reçoit l'auteur-compositeur et interprète, Ben Mazué. Comment survivre à une rupture amoureuse ? Devenir papa est-il le plus beau métier du monde ? Est-il possible de vieillir sereinement ? Au micro d'Anne Ghesquière, Ben Mazué se livre avec beaucoup de sensibilité et de poésie sur tous les thèmes qui traversent son nouvel et merveilleux album intitulé *Famille*. À travers 14 nouveaux titres, ce médecin de formation devenu auteur-compositeur-interprète, et récompensé aux Victoires de la musique, poursuit son exploration de l'âme humaine. N'hésitez pas à suivre son actualité musicale sur son site ! Épisode #571Quelques citations du podcast avec Ben Mazué :"Ce que moi j'appelle famille, ce sont les gens capables de m'accepter, de me pardonner, de me comprendre et à la fin de me sublimer.""Le fait de travailler avec les mêmes personnes, ça prouve quelque chose sur la qualité du lien.""L'idée n'est pas de vivre longtemps, mais de vivre assez."Thèmes abordés lors du podcast avec Ben Mazué :00:00 Introduction03:19 L'autobiographie musicale par Ben Mazué. 04:18 Passer du stéthoscope à la guitare. 07:15 La musique guérit-elle ? 09:16 Des « formules » thérapeutiques 10:21 Les sources d'inspiration de Ben Mazué. 13:23 Une définition de la famille 15:35 L'importance des collaborations. 18:35 La "tendre guerre" des relations familiales. 23:48 La paternité. 29:17 Le masculin : un sujet de défiance ?32:01 Qu'est-ce que l'amour ? 35:21 La question de la pérennité du désir.41:31 Comment aider une victime de violences conjugales ?44:04 Le deuil de la rupture. 50:12 Cesse-t-on d'aimer quand c'est fini ? 52:48 Aimer aimer et rendre hommage. 53:27 Comment aborder sereinement la mort et le vieillissement ? 56:20 Se sauver tout seul. 57:40 Un lien enfantin avec l'invisible. 61:29 Le contact avec le public. 01:04:58 Mener une vie dictée par sa passion.01:06:30 Les bienfaits de la marche. 01:09:17 Métamorphose et l'accueil de la lenteur. Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez un mercredi sur deux l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec les 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous gratuitement sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:58:25 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Celles et ceux qui aiment l'histoire envisagent parfois de consacrer leurs études aux récits du passé, voire de faire de leur passion une profession. Vers quelles formations en histoire se tourner, et à quelle diversité de métiers ces études permettent-elles d'accéder ? - réalisation : Laurence Millet - invités : Joëlle Alazard Professeure de chaire supérieure en histoire au lycée Louis-le-Grand, présidente de l'Association des Professeurs d'histoire-géographie (APHG); Théo Abramowicz Guide-conférencier, vice-président de la Fédération nationale des guides interprètes et conférenciers (FNGIC); Fanny Cohen Moreau Journaliste, productrice de podcasts; Jérémie Maria Archiviste, responsable Archives et Histoire à la Banque populaire
Avec Annette et Yves Tanguy, Aude et Charles de Baudus
Ben Mazué est un artiste qui ne fait rien à moitié. Il aime l'intensité, dans la musique comme dans la vie. D'abord médecin, il a tout quitté pour la scène. Il a connu le succès, l'échec, l'amour, la séparation… et puis l'amour à nouveau. Il s'est installé comme un incontournable de la chanson française ces dernières années avec des titres cultes comme Gaffe aux autres, Je marche ou encore son duo avec Pomme J'attends.Dans cet épisode, on parle d'amour (évidemment), de sa construction en tant qu'homme et en tant qu'artiste, de ses passions cachées, ses rêves et des thématiques qui l'obsèdent, le millier de lettres d'amour qu'il a lu pour son podcast amour jungle.Comment aller au bout de soi-même pour créer?Peut-on apprendre à lâcher prise ?Comment traverser les épreuves?Références et ressources citées :- Une époque formidable – Gérard Jugnot- Boîte vocale – Booba - Invaincu – Stromae- L'étranger – Albert Camus- Autoportrait de l'auteur en coureur de fond – Haruki Murakami- 4 mariages et un enterrement- Discours marquants : Camus (Prix Nobel), Ricky Gervais (Golden Globes), Coluche (César), Annie Girardot (César)- Autoportrait d'un auteur en coureur de fond - Haruki Murakami- Goscinny___Pour découvrir les coulisses du podcast : https://www.instagram.com/inpowerpodcast/ Pour retrouver Ben Mazué sur les réseaux : https://www.instagram.com/benmazue/?hl=frEt pour suivre mes aventures au quotidien : https://www.instagram.com/louiseaubery/ Si cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement : https://shows.acast.com/inpower/episodes/eddy-de-pretto-chanteur-je-veux-quon-maime-pour-ce-que-je-suRetrouvez l'album Famille sur toutes les plateformes de streaming dès le 28 février !00:00 Intro 00:29 La musique influence t-elle les émotions ? 02:39 Présentation 04:55 Qu'est ce qu'une personne intense ? 07:54 Comment aller au bout de soi-même ? 09:39 Comment provoquer l'inspiration ? 12:35 Quand est-ce qu'une œuvre est terminée ? 14:23 La pire souffrance 15:53 Somber dans le divorce 18:15 Peut-on de remettre avec ensemble après une rupture ? 23:50 Les meilleurs conseils en amour 28:47 Se projeter dans le futur 31:18 La peur de vieillir 32:24 La dépendance à la performance 36:47 L'échec le plus utile 41:00 Si Ben était médecin 42:22 Comment éduquer un enfant ? 44:35 Peut-on décider de son éducation ? 47:34 L'art oratoire et les discours 51:41 Sa première fois en loge au théâtre 53:22 La prochaine aventure 54:31 Ce que les gens ne savent pas sur Ben 59:31 L'amour a t-il des tendances communes ? 1:04:22 La question du genre 1:05:43 La masculinité fait-elle souffrir ? 1:07:25 Qu'est-ce qui rend un homme sexy ? 1:10:24 Reco livre 1:13:13 Reco invité.es 1:17:28 Ses derniers pleurs 1:18:34 Les enseignements Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec Chantal Touvet, auteur de « Histoire des sanctuaires de Lourdes » (éditions NDL, 3 tomes) et de « Tout commença par un souffle » (éditions Béatitudes) https://www.traditions-monastiques.com/fr/livres-spiritualite/2194-voie-coeur-jesus-saint-francois-sales-l1175f.html
Anne Ghesquière reçoit Sarah Serievic pour comprendre ce qu'est "aimer" et aimer sans masque. Après quinze ans de théâtre, elle devient psychothérapeute et fonde la méthode du « théâtre authentique » pour nous aider à sortir de nos masques et personnages… Alors comment s'aimer et aimer l'autre quand nous ne nous connaissons pas nous-même ? Un épisode passionnant [REDIFFUSION – BEST OF – MÉTAMORPHOSE]Le podcast #146 a été diffusé, la première fois, le 9 novembre 2020.Quelques citations du podcast avec Sarah Serievic :"L'Amour vient nous confronter au désamour de nous-même""Se laisser aimer...C'est bien cela le plus dur, l'abandon ultime, la prise de risque""C'est le coeur qui nous guérit. Il n'y a pas de pouvoir plus puissantThèmes abordés lors du podcast avec Sarah Serievic : 00:00 Introduction01:35 Qu'est-ce que l'amour ?02:58 Pourquoi joue-t-on des rôles ?04:44 L'amour peut-il nous guérir de nos blessures d'enfance ?06:23 Pourquoi nos scenarii relationnels se répètent-ils ?08:41 Amour : entre peur et attirance ?11:14 Le parcours de Sarah Serievic : d'actrice à psychothérapeute.15:40 Qu'est-ce que le théâtre authentique ?26:35 Pourquoi projette-t-on toujours sur l'autre ? 29:20 Exemple de stéréotype amoureux : la Puritaine et le Puritain. 34:50 La force atomique du coeur. 35:45 Se rencontrer soi-même pour mieux rencontre l'autre. 40:03 Peut-on être prêt dans la relation à l'autre ? 41:15 Comment aimer pleinement ? 43:40 Sommes-nous tous égaux dans l'accueil de l'amour ? 47:40 Désir et amour : indissociables ? 50:03 S'épouser chaque jour. 51:34 Il n'y a pas d'amour malheureux. Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez un mercredi sur deux la newsletter Métamorphose avec des infos inédites sur le podcast et les inspirations d'AnneFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.