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Patrick Weil, historien et chercheur au CNRS, revient dans cet extrait sur un épisode clé de l'histoire de France : la séparation de l'Église et de l'État. Dans un contexte politique et géopolitique tendu aujourd'hui, où la place du religieux dans le débat public est plus que jamais questionnée, il m'a semblé essentiel de remettre en lumière ce moment charnière.Le terme de laicité est très utilisé mais pour servir des propos qui sont en décalage avec le sujet initial.Dans cet épisode, nous parlons de la manière dont l'Église s'est mêlée des affaires politiques françaises à la fin du XIXe siècle, en soutenant des causes monarchistes ou en s'opposant ouvertement à la République, jusqu'à provoquer un tournant historique. J'ai questionné Patrick Weil sur le rôle décisif d'Aristide Briand et de Clémenceau, sur la crise des inventaires, mais aussi sur la stratégie politique mise en place pour préserver la paix civile tout en affirmant fermement la laïcité.Cet échange met en lumière une leçon essentielle : la loi de 1905 n'est pas née d'un affrontement brutal, mais d'une volonté de compromis éclairé, pour garantir la liberté de culte tout en protégeant l'espace public des pressions religieuses. Une réflexion toujours aussi brûlante aujourd'hui.5 citations marquantes« Aucun chandelier ne vaut une vie humaine. » – Clémenceau« Le pape voulait faire des martyrs, il ne fallait pas lui en donner l'occasion. »« La loi de 1905, c'est la liberté pour tous, sans domination d'aucun. »« L'Église appelait depuis ses chaires à voter contre les républicains. »« Comment le pape peut-il ordonner au président de la République où voyager ? »10 questions posées dans l'interviewComment l'Église a-t-elle réagi à la volonté de séparation d'avec l'État ?Pourquoi a-t-on voulu séparer la religion de l'État en France ?Quelle était la place de l'Église dans la République avant 1905 ?Quelles conséquences a eu le soutien de l'Église à la monarchie ?Quel rôle l'Église a-t-elle joué dans l'affaire Dreyfus ?Comment a été élaborée la loi de séparation de 1905 ?Quelle a été la réaction du Vatican à cette loi ?Pourquoi y a-t-il eu des violences lors des inventaires ?Quelle stratégie Aristide Briand et Clémenceau ont-ils choisie ?En quoi cette crise nous éclaire-t-elle sur notre rapport actuel à la laïcité ?Timestamps clés (optimisé YouTube)00:00 – Introduction de l'épisode par Grégory Pouy00:28 – Le mélange religion/État sous l'Ancien Régime et Napoléon02:18 – L'implication politique de l'Église jusqu'à l'affaire Dreyfus03:15 – Les prémices de la loi de 1905 avec Aristide Briand04:06 – L'incident diplomatique déclencheur avec le pape05:19 – Réaction de l'Église de France et opposition du Vatican06:14 – Briand et Clémenceau : une mise en œuvre politique risquée07:53 – L'hésitation face à la déchéance de nationalité des évêques08:48 – Offensives contre l'école publique et ripostes légales Suggestion d'épisode à écouter : #207 Comprendre la tension autour de la laïcité avec Patrick Weil (https://audmns.com/oavleuD)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand on évoque les grandes civilisations précolombiennes, deux noms surgissent immédiatement : les Mayas et les Incas. Pourtant, si elles ont toutes deux marqué l'histoire de l'Amérique, elles sont très différentes dans leur localisation, leur organisation et leurs héritages.Les Mayas apparaissent bien avant les Incas. Leur civilisation se développe dès 2000 avant notre ère, dans les forêts tropicales du Yucatán, au sud du Mexique, ainsi qu'au Guatemala, au Belize et au Honduras actuels. Les Incas, eux, émergent beaucoup plus tard, au XIIIᵉ siècle, dans la cordillère des Andes, principalement au Pérou. Cette différence chronologique explique déjà un contraste : quand l'empire inca atteint son apogée au XVe siècle, les grandes cités mayas étaient déjà abandonnées depuis longtemps.Sur le plan politique, le contraste est frappant. Les Mayas n'avaient pas un empire unifié mais une mosaïque de cités-États indépendantes, comme Tikal, Palenque ou Copán, qui rivalisaient entre elles par des guerres et des alliances. Les Incas, au contraire, fondèrent un empire centralisé : le Tawantinsuyu. Depuis Cuzco, l'empereur, appelé le Sapa Inca, exerçait un pouvoir absolu sur des millions de sujets et un territoire immense s'étendant de la Colombie jusqu'au Chili.Sur le plan culturel, les Mayas brillèrent surtout par leur écriture et leurs connaissances scientifiques. Ils développèrent un système d'écriture hiéroglyphique complexe, unique en Amérique, qui permettait de noter aussi bien des événements politiques que des récits mythologiques. Ils élaborèrent également un calendrier extrêmement précis, basé sur l'astronomie, et laissèrent des monuments impressionnants comme les pyramides de Chichén Itzá. Les Incas, eux, ne connaissaient pas l'écriture. Pour conserver la mémoire des tributs ou des recensements, ils utilisaient les quipus, des cordelettes nouées dont les combinaisons servaient de code numérique. Leur génie s'exprima surtout dans l'ingénierie : routes pavées traversant les Andes, ponts suspendus, systèmes d'irrigation et villes perchées comme Machu Picchu.Enfin, leurs religions différaient. Les Mayas pratiquaient des rituels sanglants pour apaiser leurs dieux, y compris des sacrifices humains. Les Incas, eux, adoraient surtout Inti, le dieu Soleil, et considéraient l'empereur comme son descendant direct. Leurs sacrifices humains existaient, mais étaient plus rares et souvent réservés à des moments exceptionnels.En somme, les Mayas furent des astronomes et des scribes brillants, mais fragmentés politiquement. Les Incas, eux, bâtirent un empire solide et organisé, mais sans écriture. Deux civilisations fascinantes, qui montrent la diversité et la richesse des mondes précolombiens bien avant l'arrivée des Européens. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu te demandes si c'est vraiment possible de vivre de ton podcast ? Sans vendre de formations, ni freelancer à côté ?C'est exactement ce qu'a réussi à faire Clervie Rose, créatrice du podcast Oser la reconversion, écouté par des milliers de personnes chaque semaine. En moins de 6 mois, elle a décroché ses premiers sponsors… et aujourd'hui, elle vit à 100% de son podcast.Dans cet épisode, elle partage les coulisses de son modèle économique et te livre ses meilleures stratégies pour passer à la monétisation :
Découvrons la nouvelle vie de Felicia, notre petit moineau, qui a quitté le lycée pour l'université de Paris Nanterre. Est-ce que ça lui plaît? Est-ce que c'est loin de la maison? Qu'est-ce qui est nouveau? Parle-t-elle à des gens? A-t-elle goûté le restaurant universitaire (le CROUS!!)? Quelle est la température du bassin de la piscine? Continue-t-elle l'italien? Vous trouverez les réponses à toutes ces questions brûlantes dans cet épisode.
C dans l'air du 3 octobre 2025 - Poutine contre la « militarisation de l'Europe »« J'observe la militarisation de l'Europe et promets une réponse aux menaces ». Cette déclaration hier de Vladimir Poutine intervient au moment où les pays européens multiplient les investissements militaires. Les Vingt-Sept cherchent à se protéger après les intrusions de drones attribuées à la Russie. Hier encore, un survol de drones dans le ciel allemand a conduit à la suspension de l'aéroport de Munich durant la nuit.Le ton pris hier par Poutine se voulait belliqueux. Le président russe accuse l'Europe de mener « une escalade permanente » du conflit russo-ukrainien. Il s'en est notamment pris à la France après l'interception d'un pétrolier russe au large de Saint-Nazaire, « c'est de la piraterie », a-t-il déclaré. Le ton était plus clément à l'égard des États-Unis, même s'il a estimé que l'envoi de missiles longue portée américains Tomahawk à Kiev serait une « nouvelle escalade » entre Moscou et Washington.Pendant ce temps, côté américain, Donald Trump continue de se rêver en faiseur de paix, et d'obtenir le Prix Nobel. C dans l'air a rencontré John Bolton, son ancien conseiller, à présent son son opposant. Il critique la politique étrangère de Trump, et estime que celui-ci se fait mener en bateau par Poutine. Il pointe aussi la dérive dictotariale du milliardaire. Trump, lui, a fait comprendre jeudi dernier qu'il fallait embrasser son idéologie ou prendre la porte. Lors d'un rassemblement réunissant les haut gradés de l'armée américaine, le locataire de la Maison balnche a souligné que les Etats-Unis sont sujets à « une invasion de l'intérieur » qu'il s'agit de stopper. Dans son viseur : les immigrés sans papiers, la presse ou encore ses opposants. De son côté, Pete Hegseth, le chef du Pentagone, a assuré que le choix des militaires déployés pour combattre répondrait désormais "au plus haut standard masculin".Alors, faut-il prendre au sérieux les menaces de Poutine ? Quelle est l'analyse de John Bolton sur la politique de Trump ? Qui sont ces « ennemis de l'intérieur » pointés du doigt par le président américain ?LES EXPERTS :- Anthony Bellanger - Éditorialiste à Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- Marie Jégo - Journaliste au Monde, ancienne correspondante en Russie- Nicole Bacharan - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Michel Goya - Colonel, expert en stratégie militaire
Aujourd'hui, quand on dit qu'un récipient est “hermétiquement fermé”, on pense à un couvercle parfaitement étanche, qu'aucune goutte d'air ou de liquide ne peut traverser. Mais l'histoire du mot est bien plus ancienne et surprenante : elle nous mène aux pratiques mystérieuses des alchimistes et au dieu grec Hermès.Dans l'Antiquité tardive et au Moyen Âge, l'alchimie se présentait comme une quête à la fois scientifique et spirituelle. Les alchimistes cherchaient à transformer les métaux, à fabriquer la pierre philosophale ou à atteindre l'immortalité. Leur savoir, souvent codé et réservé à quelques initiés, fut désigné par le terme hermétisme. Pourquoi ce nom ? Parce que leur tradition se réclamait d'Hermès Trismégiste, figure mythique associée à la sagesse. Ce personnage, mélange du dieu grec Hermès et du dieu égyptien Thot, était censé avoir transmis aux hommes des textes ésotériques décrivant les secrets du cosmos et de la matière.L'adjectif hermétique servait donc d'abord à qualifier tout ce qui se rapportait à cette doctrine occulte, réputée incompréhensible pour le commun des mortels. C'est de là qu'est né le sens figuré que nous connaissons encore : un discours “hermétique” est obscur, réservé aux initiés.Mais le mot a pris aussi un sens beaucoup plus concret grâce aux pratiques mêmes des alchimistes. Dans leurs laboratoires, ils utilisaient des bocaux et des cornues pour réaliser leurs expériences. Or, pour que leurs réactions chimiques aboutissent, il fallait absolument empêcher l'air extérieur de pénétrer et sceller parfaitement les récipients. Ils ont ainsi mis au point des techniques de fermeture avec de la cire, des soudures ou des scellements divers. On parlait alors de récipients “fermés à la manière des hermétistes”, autrement dit des alchimistes. Peu à peu, le terme “hermétique” a désigné non plus seulement un savoir secret, mais aussi un objet totalement clos, imperméable à l'air et à l'eau.C'est cette double filiation – symbolique et technique – qui explique la richesse du mot. L'hermétisme, doctrine ésotérique, a donné naissance à l'adjectif “hermétique” pour qualifier ce qui est obscur. Puis, par extension, et grâce aux méthodes pratiques de fermeture utilisées dans les laboratoires alchimiques, le terme a pris son sens moderne d'“étanche”.Ainsi, chaque fois que l'on ferme un bocal “hermétiquement”, on perpétue sans le savoir un héritage venu de l'alchimie et des mystères d'Hermès Trismégiste. Un mot du quotidien qui, derrière sa banalité, cache une histoire faite de mythes, de secrets et d'expériences en laboratoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Tchad, le président Mahamat Idriss Déby s'ouvre la voie d'une présidence sans aucune limitation du nombre de mandats. En effet, le 13 octobre, l'Assemblée et le Sénat doivent se réunir en congrès à Ndjamena, en vue d'adopter une révision de la Constitution dans ce sens. Réaction aujourd'hui de Robert Gam, le secrétaire général du PSF, le Parti socialiste sans frontières. L'opposant tchadien – qui séjourne actuellement en France – témoigne d'abord sur ses huit mois de prison à Ndjamena, de septembre 2024 à juin 2025, sans la moindre procédure judiciaire. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous êtes un revenant. Après votre arrestation en septembre 2024 à Ndjamena, vous avez disparu pendant huit mois. Et une nuit du mois de juin dernier, un véhicule vous a déposé devant votre domicile de la capitale tchadienne. Qu'est-ce qui vous est arrivé ? Robert Gam : Oui, comme vous le dites, « revenant », prenons-le comme tel. J'ai été enlevé le 20 septembre 2024 alors que je rentrais d'une réunion politique. J'ai été enlevé et déposé au siège de l'ANS pendant huit mois et quinze jours. L'Agence nationale de sécurité…. Très bien. J'ai été déposé là-bas. J'ai mis huit mois et quinze jours sans qu'on ne m'ait signifié pourquoi j'ai été arrêté. Et pendant les huit mois, j'ai été malade. J'ai demandé qu'on me soigne. On a également refusé. Et curieusement, le 3 juin à 17h30, une ambulance est venue me chercher et là, on m'a emmené au bureau de l'ANS où il y a eu des questions qui m'ont été posées. Et après ces questions, à 1 h du matin, ils ont décidé donc de me déposer chez moi. C'est-à-dire que du 20 septembre au 2 juin, vous êtes resté détenu sans que personne ne vous interroge sur quoi que ce soit ? Non, non, non, rien du tout. Aucun interrogatoire ? Non. Rien. Est-ce que vous avez été maltraité ? Oui, on était très maltraité. Vous savez que la première intention de l'ANS, quand ils m'ont arrêté, c'était d'abord de m'exécuter, parce que j'ai mis plus de 30 minutes à genoux. J'étais entre un commando cagoulé que vous ne pouvez pas voir, et dans la cellule, vous savez qu'il n'y a pas de fenêtre. C'est une cellule construite en béton coulé. Le haut, le bas, c'était coulé. Et là, c'était le calvaire puisqu'il faisait extrêmement chaud. On n'avait pas de moustiquaire, on n'avait pas d'électricité et le repas qu'on nous donnait était de mauvaise qualité. Et l'eau qu'on nous donnait, ce n'était pas une eau potable. Vous êtes donc le secrétaire général du PSF, le Parti socialiste sans frontières, dont le président Yaya Dillo a été tué à Ndjamena le 28 février 2024, suite officiellement à des affrontements avec les forces de sécurité tchadienne. Et aujourd'hui, vous demandez une enquête indépendante. Pourquoi ? Nous pensons que le président Yaya Dillo a été exécuté parce qu'il n'y avait pas eu d'affrontement. Il ne peut y avoir un affrontement que quand deux parties se combattent. Et dans ce cas de figure, le président Yaya n'était pas armé et nous étions en train d'organiser un congrès pour présenter la candidature de notre président. Et subitement, un plan a été orchestré par le système en place qui voulait coûte que coûte éliminer la personne de Yaya Dillo Djerou Betchi. Mais qu'est-ce qui prouve que Yaya Dillo a été exécuté comme vous le dites ? Oui, c'est une exécution barbare et lâche parce qu'il a été exécuté d'une balle dans la tempe. À lire aussiMort de l'opposant Yaya Dillo au Tchad: «S'il s'était rendu, on n'en serait pas arrivé à cette extrémité» Alors, en février dernier, au micro de RFI, le porte-parole du gouvernement, le ministre Gassim Cherif Mahamat, a déclaré « Je comprends que les familles puissent s'impatienter, mais la justice fera son travail. Une commission d'enquête va se mettre en place » … Aujourd'hui, la justice tchadienne est instrumentalisée. Il n'y a pas de justice au Tchad. Vous allez attendre pendant longtemps. Les événements du 20 octobre 2022, il n'y a jamais eu un rapport d'enquête sur ces événements. Déjà, une plainte a été déposée par nos avocats ici en France, et nous attendons que justice soit faite. Mais comment pouvez-vous saisir la justice française à propos d'un homme politique tchadien ? Oui, nous pensons que les personnalités ayant participé à l'exécution de Yaya Dillo, parmi ces personnalités, il y a des personnes de double nationalité, franco-tchadienne. À qui pensez-vous ? Ce n'est pas le moment de vous le dire ici et nous pensons que le moment venu, nous allons dévoiler tout ça. Le 13 octobre prochain, l'Assemblée nationale et le Sénat tchadien doivent se réunir en congrès pour modifier la Constitution et établir un mandat présidentiel de sept ans, renouvelable sans aucune limitation. Quelle est votre réaction ? Nous avons rejeté en bloc ce projet parce que nous avons constaté que la motivation du gouvernement était tout simplement d'aller vers une dynastie. Et ces députés sont là pour faire la volonté d'une dynastie. Ils accompagnent tout simplement le pouvoir en place et ça ne nous surprend pas. Et là, nous déplorons cette attitude. Et que comptez-vous faire ? Les Tchadiens commencent à prendre conscience. Ils sont mobilisés. Nous allons nous battre par tous les moyens pour que le Tchad puisse vivre cette ère véritablement démocratique. À lire aussiMort de l'opposant Yaya Dillo au Tchad: retour sur le parcours d'un cousin trop gênant
On connaît Paul de Saint-Sernin pour ses punchlines dans Quelle Époque, mais derrière le rôle du sniper, il y a une vraie sensibilité. Dans cet extrait, il raconte son rapport aux critiques, le poids d'un message négatif face à des dizaines de compliments, et la difficulté d'accepter le désamour. Il parle aussi de nuance, d'ego, de réseaux sociaux et de ce qui l'anime vraiment quand il fait rire : l'envie d'aimer et d'être aimé.Pour retrouver notre conversation en intégralité rendez-vous ici : https://shows.acast.com/inpower/episodes/apprendre-a-accepter-ses-emotions-avec-paul-de-saint-sernin Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Épisode 1368 : Pourquoi mes contenus n'ont plus d'impact et comment y remédier ? Impact visuel =Mémorisation Valeur perçue de ma marqueCohérence avec ma culture de marqueImpact perf = Viralité hypothétique / Nombre de vues / interaction / taux d'engagement / visibilitéPortée organique VS portée virale vs portée payéePourquoi mes contenus n'ont plus d'impact visuel ?Petit à petit, happé par les sirènes de la viralité, j'ai commencé à suivre les trends, j'ai créé des contenus toujours plus éloignés de mon ADN de marque.J'ai cherché à produire tellement de contenu pour faire plaisir aux algorithmes que j'en ai oublié la qualité, la cohérence.Chaque contenu n'est plus unique, intelligible,J'ai fatigué mes audiences en produisant trop de contenuPourquoi mes contenus n'ont plus d'impact en terme de performance ?Chercher la viralité, c'est accepter d'échouer, échouer c'est accepter de ne pas performer 99 fois pour sur performer une fois. Si je suis drivé par la quête de viralité ou la quête ultime de performances, alors j'accepte aussi de créer des contenus qui ne perforeront pasJe fais quoi alors pour retrouver de l'impact ? Créer des contenus remarquablesSe respecter un peu plusSoigner les touch pointProduire moins mais mieuxRevenir aux basiques, quel positionnement de marque je souhaite travailler. Quelle image je veux renvoyer, quelle valeur je souhaite que mes consommateurs perçoiventUn peu de sobriété ça ne fait pas de malMettre en place une stratégie de visibilité publicitaireNe plus voir ses performances par le prisme du hasard mais avec une stratégie bien établieLe publicitaire bien ciblé est très bénéfique, quelque soit le prixC'est indigne d'accepter de dépenser 500, 1000, 5000 € sur un contenu et ne pas accepter de mettre 50 ou 100 € de budget publicitaire pour qu'il soit vu un minimum.. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À Madagascar, les manifestants ont fait une nouvelle démonstration de force hier, notamment dans la capitale. Beaucoup continuent de réclamer le départ du président Rajoelina, malgré la décision de celui-ci de dissoudre son gouvernement. Quels sont les atouts politiques que le chef de l'État malgache conserve dans sa main ? Et quel rôle peut jouer l'armée dans ce moment de forte tension, qui a déjà provoqué la mort de 22 personnes selon l'ONU ? Il y a quelques années, chez Karthala, l'économiste et politologue Olivier Vallée a publié La société militaire à Madagascar. RFI : Beaucoup de manifestants réclament le départ du président Rajoelina, mais celui-ci a eu la souplesse de limoger son gouvernement et de faire un début de repentir. Est-ce que cela peut satisfaire une partie de la rue ? Olivier Vallée : Je ne crois pas, parce que ses réactions étaient quand même très lentes. Le limogeage du gouvernement est apparu quand même improvisé, dans la mesure où il demandait à ce qu'on lui envoie des CV pour constituer un nouveau gouvernement. Donc ça parait vraiment un peu comme une comédie un peu grotesque à la plupart des manifestants, et aussi à l'ensemble des observateurs politiques, y compris dans son camp. Avec le limogeage du gouvernement, le président Rajoelina se sépare du Premier ministre Christian Ntsay qui était en poste depuis sept ans et qui paraissait indéboulonnable. Est-ce que ce n'est pas une grosse perte pour lui ? Ce n'est pas une grosse perte dans l'immédiat, parce qu'il remplit pour la première fois son rôle de fusible. Mais par contre, c'est un poids lourd du système politique et ça va laisser effectivement dès maintenant le président en tête-à-tête avec les manifestants et avec les politiques, un tête-à-tête dans lequel il ne sera pas du tout à l'aise. Il a tendance plutôt à s'emporter, alors que son Premier ministre est certainement quelqu'un qui prépare ses coups sur la longueur. Les manifestants réclament aussi la mise à l'écart de l'homme d'affaires Mamy Ravatomanga. Mais vu que c'est un homme de l'ombre, comment le président Rajoelina pourrait-il mettre en scène sa disgrâce ? Je pense qu'il y a énormément de moyens et Mamy Ravatomanga, sa maison et certains de ses établissements ont été attaqués, mais il bénéficie d'une milice qui est presque aussi puissante que la police de Tananarive. Donc sa milice est responsable d'un certain nombre de morts. Et il faudrait que le président mette en cause justement cette milice et l'Académie de sécurité, dirigée par un Français, que Mamy Ravatomanga a créée et qui lui permet justement d'entretenir ces milices de sécurité privées. Il y a énormément de moyens d'ordre public de s'en prendre à son protecteur et bienfaiteur, sans mettre sur la place publique leurs relations financières qui datent de très longtemps. C'est un financeur de campagnes électorales, etc. Mais là, il s'est illustré pendant les manifestations par la brutalité de sa milice. À lire aussiMadagascar: des milliers de manifestants défilent et appellent à la démission de Rajoelina En 2009, quand le président Rajoelina a été porté au pouvoir par la rue, l'armée a joué un rôle clé en sa faveur. Quelle peut être la stratégie des militaires aujourd'hui ? Ce que l'on voit, c'est que l'armée qui est, comme je l'ai écrit dans mon livre, une agglomération de différentes tendances, de différentes unités… Andry Rajoelina n'avait été soutenu, lors de son coup d'Etat de 2009, que par une partie, une toute petite partie de l'armée qui se trouvait à Tananarive. Les autres unités ont rallié le coup d'Etat sans y participer vraiment. Donc aujourd'hui, ce à quoi on a assisté, c'est quand même une certaine passivité. L'armée a accueilli le président de la République quand il est revenu sur la base aérienne d'Ivato. À son retour de New York ? Oui, tout à fait. Et l'a transféré en hélicoptère dans son palais forteresse qu'avait créé Didier Ratsiraka, qui se trouve à peu près à une quinzaine de kilomètres du centre-ville. Mais ses bons offices en sont restés là. Le président a lui-même sa milice. Et les forces qui se sont déployées dans la capitale, ce sont essentiellement celles de la gendarmerie, qui continue à obéir et être sous l'influence d'un homme lige de Ange Rajoelina, qui s'appelle le général Ravalomanana, qui est à la fois au Sénat et l'animateur souterrain de la gendarmerie. Celle-ci joue la stratégie de la force. Ses hommes ont tiré. On a énormément de vidéos. Mais le reste de l'armée ne s'est pas engagée. Quant à la police, elle a été complètement passive pendant les pillages. Donc pour l'instant, l'armée est attentiste, c'est ça ? Oui, l'armée est attentiste. Donc c'est un moment difficile parce qu'il y a vraiment un mouvement de masse qu'on n'a pas toujours vu. En 2009, ce n'était pas un mouvement de masse, donc l'armée a laissé faire et ensuite a repris la main. Là, elle laisse faire, mais elle n'est pas sûre de reprendre la main et elle sait que, si elle se compromet, ça lui coûtera plus cher qu'en 2009. À lire aussiÀ Madagascar, la Gen Z en appelle à la génération X
Aujourd'hui, j'ai le plaisir de recevoir Alexandre Boissenot, responsable cartes à jouer chez eBay France et investisseur depuis plus de 20 ans.Dans cet épisode, j'ai demandé à Alexandre de m'expliquer tous les rouages de l'investissement en cartes Pokémon.***
Dans la langue française, les figures de style sont nombreuses et parfois si proches qu'on les confond. C'est le cas de la litote et de l'euphémisme. Toutes deux consistent à dire autrement ce que l'on pense, mais leurs intentions sont différentes. Pour bien comprendre, il faut les distinguer pas à pas.La litote est une figure d'amplification par atténuation. Cela paraît paradoxal, mais c'est simple : on dit moins pour suggérer plus. L'exemple le plus célèbre est celui de Corneille dans Le Cid, quand Chimène dit à Rodrigue : « Va, je ne te hais point ». Elle n'ose pas avouer son amour, alors elle l'exprime de façon atténuée, par la négation du contraire. En réalité, elle dit beaucoup plus fort « je t'aime » que si elle l'avait affirmé directement. On retrouve ce procédé dans le langage courant : « Ce n'est pas mauvais » signifie en fait « C'est bon » ; « Ce n'est pas idiot » équivaut à « C'est intelligent ». La litote renforce donc le sens en passant par une retenue.L'euphémisme, lui, suit une logique opposée. Son but n'est pas de renforcer, mais d'adoucir. On emploie un mot ou une formule plus douce pour évoquer une réalité jugée trop dure, trop crue ou trop brutale. Par exemple, dire « il nous a quittés » au lieu de « il est mort » ; « les personnes à mobilité réduite » au lieu de « les handicapés » ; ou encore « un plan social » au lieu de « licenciements ». Ici, il ne s'agit pas de suggérer plus, mais d'atténuer la charge émotionnelle ou négative. L'euphémisme sert donc à ménager la sensibilité de celui qui écoute, ou à rendre plus acceptable une réalité difficile.La confusion vient du fait que, dans les deux cas, on atténue le propos. Mais la finalité diffère. La litote est une stratégie rhétorique pour insister indirectement, amplifier par la retenue. L'euphémisme est un adoucissement, une manière de lisser ou d'édulcorer une réalité.On pourrait dire que la litote est une sorte de clin d'œil, une complicité avec l'auditeur : « Je ne dis pas tout, mais tu comprends bien ce que je veux dire ». L'euphémisme, lui, est une politesse du langage : « Je choisis des mots plus doux pour ne pas heurter ».En résumé, la litote suggère plus qu'elle ne dit, l'euphémisme dit moins pour choquer moins. L'une amplifie, l'autre adoucit. Et toutes deux montrent combien la langue française aime jouer avec les nuances. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 30 septembre 2025 - Trump : son plan pour la paix à Gaza« Je soutiens votre plan pour mettre fin à la guerre à Gaza. » Benjamin Netanyahu, reçu hier à la Maison blanche, a approuvé le plan de paix en vingt points proposé par Donald Trump. Mais le chef du gouvernement israélien a insisté sur les nombreuses limites qu'il avait posées sur la plupart d'entre eux, jusqu'à parfois presque amender le texte rendu public par l'exécutif américain.Sur le retrait de l'armée israélienne d'abord, qu'il souhaite « en étapes », la première étant un « retrait modeste, suivi de la libération des otages dans les soixante-douze heures ». Israël relâcherait ensuite plus de mille prisonniers palestiniens. Le territoire palestinien serait lui gouverné par une autorité temporaire « technocratique et apolitique », sous la supervision de Trump. Le texte envisage la création d'un État palestinien mais Netanyahu affirme que ceci « n'est pas écrit ». Le flou persiste donc, et le Premier ministre israélien a promis de « finir le travail » si le Hamas n'accepte pas cet accord.Pendant ce temps, le conflit russo-ukrainien continue. Trump semble avoir changé de stratégie face à Poutine. Après avoir affirmé vouloir abattre les avions russes pénétrant dans l'espace aérien de l'OTAN, le président américain considère la livraison de missiles Tomahawk à l'Ukraine, une option jusqu'ici écartée. Le revirement fait suite à une demande de Zelensky. Selon le président ukrainien, ces missiles d'une portée de plus de 2500 kilomètres permettraient de forcer Poutine à négocier un accord de paix. De son côté, l'Europe veut se protéger face aux incursions de drones russes. Un mur antidrones est envisagé en collaboration avec l'Ukraine et l'OTAN.En Ukraine, le désastre de la guerre demande une logistique pour l'identification des soldats morts sur le front, ou torturés par les Russes. C dans l'air est allé à Odessa, à la rencontre de médecins légistes ukrainiens qui ont la tâche d'examiner ces corps mutilés et méconnaissables.Alors, que contient le plan proposé par Trump à Netanyahu pour stopper la guerre à Gaza ? Quelle est la nouvelle stratégie de Trump face à Poutine ? Comment s'effectue la reconnaissance des corps de soldats ukrainiens ?LES EXPERTS :- James ANDRÉ - Grand reporter à France 24- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Patricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- Michel YAKOVLEFF - Ancien général à l'OTAN
Gestion des déchets, manque d'infrastructures d'assainissement, d'accès à l'eau, inondations récurrentes, îlot de chaleur... Les villes du continent africain sont confrontées à des problèmes récurrents qui sont amenés à se multiplier alors que le rythme de l'urbanisation en Afrique est le plus rapide au monde. Selon les prévisions, le nombre d'urbains devrait doubler d'ici 2050 en Afrique pour passer à 1,4 milliard. À cette hausse de population difficile à absorber pour les villes, s'ajoutent la prise en compte des pratiques informelles, des spécificités locales, ou encore le manque de moyens. Dans ces conditions, la mise en place de projets d'infrastructures et d'aménagements pour répondre aux besoins de la population peut relever du casse-tête pour les pouvoirs publics. Les habitants ont parfois l'impression de ne pas être écoutés et considérés. Comment mettre en œuvre de nouveaux équipements qui prennent en compte les vrais besoins et les modes de vie des usagers ? Sous quelle forme intégrer les habitants aux projets de leur ville ? Avec : • Audrey Guiral Naepels, urbaniste, responsable de la division Développement urbain, Aménagement et Logement de l'AFD (Agence Française de Développement) • Charlemagne Yankoty, maire de la commune de Porto Novo au Bénin • Rina Andriambololomanana , cheffe de projet «pépinière urbaine» d'Antananarivo, au Gret (ONG internationale de développement social et solidaire) à Madagascar. En fin d'émission, un reportage au Tchad de Raphaëlle Constant. L'Académie de basket ball «Dreams Comes True» («le rêve devient réalité» en français) à Ndjamena a été fondée en 2020, c'est une école mixte et moderne qui forme les enfants à partir de 5 ans et où l'accent est mis sur la réussite scolaire en parallèle de la formation sportive. Ils sont aujourd'hui 178 pensionnaires, dont 51% de filles, encadrés par 12 coachs. Notre reporter Raphaëlle Constant a assisté à un entraînement et a rencontré les fondateurs Issa Nakoye, président exécutif et Alain Assnale, directeur technique, tous deux anciens joueurs de l'équipe nationale. Direction le Lycée Sacré-cœur dans le quartier Moursal où, ce jour-là, une quarantaine d'enfants de la catégorie minime traversent le terrain sous les consignes du coach Alladoum Klamong. Programmation musicale : ► Magique – Oxmo Puccino ► Robocop – Article15.
Cette semaine, vous aurez la réponse à la question que tout le monde se pose : êtes-vous sociopathe, ou batracien ? la géniale Anninka rejoint la team de 4 Quarts d'heure pour évoquer sa vie à base de pommes et de darons en thérapie. Quelle joie !Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure, abonnez-vous à Supercast comme ceci : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GRegardez-nous sur YouTubeLes ups et les downs :Le down de Louise : ses rêves zarbiLe up d'Anninka : la thérapie de son père Le down de Camille : se poser la question de déménager de Paris Le up d'Alix : Too Much, la série de Lena DunhamDans cet épisode, on parle de : Le podcast d'Annika : Nanani NananaL'insta d'AnninkaLe podcast Girls RewatchToo Much de Lena DunhamMaggot Brain des Funkadelic Killing EveSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorente Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
La Révolution d'Octobre de 1917, est un événement déterminant du 20e siècle. Quelle en est l'histoire ? Aujourd'hui, on s'attaque aux évènements entourant février 1917. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Vladimir Bliznetsov https://www.facebook.com/vip.petrarka et @Kekpeck @polukotnedokot - Instagram Révision: Carl Pépin https://carlpepin.com/ 00:00:00 - Introduction 00:00:36 - Contexte historique 00:01:07 - Les deux révolutions de 1917 00:01:56 - Le rôle de Nicolas II 00:02:42 - L'impact de la Première Guerre mondiale 00:03:14 - L'Empire russe avant la révolution 00:04:05 - Nicolas II et l'impératrice Alexandra Fedorovna 00:06:54 - L'année 1915 : un tournant 00:07:15 - La Douma d'État et la politique 00:11:51 - L'influence de Grégory Rasputin 00:12:40 - La prise de décisions politiques 00:15:06 - Soupçons d'espionnage et rumeurs d'adultère 00:16:11 - L'instabilité du gouvernement et l'étrangeté de Protopopov 00:17:57 - L'influence croissante de Raspoutine et l'isolement du couple impérial 00:18:15 - Le complot pour assassiner Raspoutine 00:18:46 - La mort de Raspoutine et ses conséquences 00:20:00 - La crise alimentaire et l'agitation sociale 00:22:10 - L'indifférence de Nicolas II et l'émeute de Petrograd 00:26:42 - La formation du double pouvoir 00:28:12 - L'effondrement du gouvernement impérial 00:28:51 - L'insurrection de Petrograd et l'aveuglement de Nicolas II 00:30:13 - Le blocage de Nicolas II à Pskov 00:31:02 - La formation du gouvernement provisoire 00:32:19 - L'influence du soviet des ouvriers de Pétrograde 00:35:16 - L'abdication de Nicolas II 00:36:22 - L'abdication de Michael 00:38:16 - L'arrestation de Nicolas II et sa famille 00:38:45 - Les nouvelles réformes du gouvernement provisoire 00:39:30 - L'arrivée de Vladimir Lénine 00:39:43 - Conclusion Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. S ources et pour aller plus loin: Eric Hobsbawm, L'Âge des extrêmes, Complexe, 2003. Mikhail Zygar, The Empire Must Die: Russia's Revolutionary Collapse, 1900-1917, 2017. https://www.nlobooks.ru/books/chto_takoe_rossiya/27237/ Anna Geifman, Revolutionary Terrorism in Russia 1894-1917, Princeton University Press, 2020. René Girault et Marc Ferro, De la Russie à l'U.R.S.S : l'histoire de la Russie de 1850 à nos jours, Nathan, 1989. Marc Ferro, La Révolution de 1917, Albin Michel, 1997. Jean-Jacques Marie, La Guerre civile russe. 1917-1922. Tallandier, 2016. Nicolas Werth, 1917: la Russie en révolution, Paris, Gallimard, 1997. Alexandre Sumpf, 1917, la Russie et les Russes en révolutions, Perrin, 2017. Boterbloem, K. (2020) Russia as Empire: Past and Present. London: Reaktion Books. Malia, M. (1995). Soviet Tragedy: A History of Socialism in Russia 1917-1991. New York: Free Press. Suny, R. G. (Ed.). (2006). The Cambridge History of Russia: Volume 3, The Twentieth Century. Cambridge: Cambridge University Press. Sheila Fitzpatrick, The Russian Revolution, Oxford University Press, 1982. Daniels, R. V. (1972). The Russian Revolution. Englewood Cliffs: Prentice-Hall. Kowalski, R. I. (1997). The Russian Revolution, 1917–1921 London: Routledge. Malone, R. (2004). Analysing the Russian Revolution. Cambridge: Cambridge University Press. Rabinowich, A. (2017). The Bolsheviks Come to Power: The Revolution of 1917 in Petrograd. Chicago: Haymarket Books. Laura Engelstein, Russia in Flames: War, Revolution, Civil War, 1914–1921, Oxford University Press, 2017. Rex A. Wade, The Russian Revolution, 1917, Cambridge University Press, 2000. Steve Smith, Russia in Revolution: An Empire in Crisis, 1890 to 1928, Oxford University Press, 2016. Orlando Figes, A People's Tragedy: The Russian Revolution 1891–1924, London, Jonathan Cape, 1996. Catherine Merridale, Lenin on the Train, Metropolitan Books, 2016. https://en.wikipedia.org/wiki/Russian_Revolution https://en.wikipedia.org/wiki/Bibliography_of_the_Russian_Revolution_and_Civil_War https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_russe Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #russie #russia #romanov #tsar #raspoutin
Gestion des déchets, manque d'infrastructures d'assainissement, d'accès à l'eau, inondations récurrentes, îlot de chaleur... Les villes du continent africain sont confrontées à des problèmes récurrents qui sont amenés à se multiplier alors que le rythme de l'urbanisation en Afrique est le plus rapide au monde. Selon les prévisions, le nombre d'urbains devrait doubler d'ici 2050 en Afrique pour passer à 1,4 milliard. À cette hausse de population difficile à absorber pour les villes, s'ajoutent la prise en compte des pratiques informelles, des spécificités locales, ou encore le manque de moyens. Dans ces conditions, la mise en place de projets d'infrastructures et d'aménagements pour répondre aux besoins de la population peut relever du casse-tête pour les pouvoirs publics. Les habitants ont parfois l'impression de ne pas être écoutés et considérés. Comment mettre en œuvre de nouveaux équipements qui prennent en compte les vrais besoins et les modes de vie des usagers ? Sous quelle forme intégrer les habitants aux projets de leur ville ? Avec : • Audrey Guiral Naepels, urbaniste, responsable de la division Développement urbain, Aménagement et Logement de l'AFD (Agence Française de Développement) • Charlemagne Yankoty, maire de la commune de Porto Novo au Bénin • Rina Andriambololomanana , cheffe de projet «pépinière urbaine» d'Antananarivo, au Gret (ONG internationale de développement social et solidaire) à Madagascar. En fin d'émission, un reportage au Tchad de Raphaëlle Constant. L'Académie de basket ball «Dreams Comes True» («le rêve devient réalité» en français) à Ndjamena a été fondée en 2020, c'est une école mixte et moderne qui forme les enfants à partir de 5 ans et où l'accent est mis sur la réussite scolaire en parallèle de la formation sportive. Ils sont aujourd'hui 178 pensionnaires, dont 51% de filles, encadrés par 12 coachs. Notre reporter Raphaëlle Constant a assisté à un entraînement et a rencontré les fondateurs Issa Nakoye, président exécutif et Alain Assnale, directeur technique, tous deux anciens joueurs de l'équipe nationale. Direction le Lycée Sacré-cœur dans le quartier Moursal où, ce jour-là, une quarantaine d'enfants de la catégorie minime traversent le terrain sous les consignes du coach Alladoum Klamong. Programmation musicale : ► Magique – Oxmo Puccino ► Robocop – Article15.
Le théâtre du Maghreb et du Moyen-Orient sont à l'honneur pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne. Pour cette deuxième émission enregistrée à Limoges, lumière sur le théâtre du Maghreb avec Yacine Benyacoub, metteur en scène, comédien et auteur franco-algérien, né dans le quartier de Bab El Oued à Alger et qui vient de recevoir le prix SACD de la dramaturgie francophone pour sa pièce La décennie noire écrite en 2023, une tragédie, mais non dénuée d'humour qui parle de cette décennie meurtrière qui a frappé son pays d'origine dans les années 90. Yacine Benyacoub a commencé à faire du théâtre en Algérie dès 2001, année de la concorde civile après la fin de la «décennie noire». Il quitte l'Algérie en 2012 pour s'installer en France où il fonde la compagnie Alter Natif. En France, il a été frappé par la méconnaissance du sujet. On vit dans une colère permanente et diffuse, c'est épuisant. Faire ce travail d'écriture me guérit, ça permet de prendre du recul sur ce qu'on a vécu. La décennie noire désigne la guerre civile qui a ensanglanté l'Algérie de 1992 à 2002. Elle a débuté après l'annulation des élections législatives de 1991 remportées par le Front islamique du Salut (FIS). Ce conflit a opposé les forces de sécurité de l'État à divers groupes islamistes armés tels que le GIA entraînant une vague de meurtres, kidnappings, attentats, massacres de civils ou assassinats ciblés. Bien que le bilan soit sujet à débat, on estime que 150.000 à 200.000 personnes ont perdu la vie, que 20.000 personnes auraient disparu et que 1 million de personnes auraient été contraintes de fuir. Le texte La décennie noire aux éditions Quartiers Intranquilles. Le théâtre palestinien est également à l'honneur avec Amer Khalil qui a repris la direction du théâtre national palestinien en 2011 après le suicide de son fondateur François Gaspar dit Abou Salem. Ce théâtre situé à Jérusalem-Est, est régulièrement menacé de fermeture par les autorités israéliennes «La difficulté aujourd'hui n'est pas tant la liberté de faire ce qu'on veut, ou la censure : on se heurte plutôt aux difficultés administratives.» Quelle époque pour être en vie ! À Limoges, Amer Khalil présente Un cœur artificiel. Une pièce de science-fiction créée pour le Théâtre national palestinien et mise en scène par Mohammad Basha, qui se penche sur la question de l'intelligence artificielle et de l'évolution des machines. Mais c'est aussi une pièce qui interroge sur la notion de vengeance sur un ton de vaudeville...sans doute pour exorciser les horreurs de la vie et de la guerre. Le Théâtre national palestinien a été fondé par François Abou Salem (né François Gaspar) un comédien, auteur, metteur français d'origine palestinienne en 1984 à Jérusalem-Est. Né à Provins en France, d'un père poète et traducteur et d'une mère sculptrice, François Abou Salem a grandi à Jérusalem-Est. Après un passage au Théâtre du Soleil à Paris, il commence à travailler en tant que comédien et metteur en scène à Jérusalem-Est. Il a créé la compagnie théâtrale El-Hakawati en 1978 qui deviendra, quelques années plus tard, le Théâtre National palestinien. Il se suicidera en 2011, à Ramallah. À lire : Le Théâtre palestinien et François Abou Salem, de Najla Nakhlé-Cerruti, publié chez Actes Sud. Programmation musicale du jour : Le groupe Manaraf qu'on a pu entendre dans la pièce Kaldûn, spectacle d'ouverture des Zébrures d'automne.
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Le WFC donne ses notes du match entre l'OM et l'Ajax Amsterdam (4-0). Qui est l'homme du match entre Paixao et Aubameyang ? Quelle note pour Vermeeren et Aguerd ?
Le théâtre du Maghreb et du Moyen-Orient sont à l'honneur pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne. Pour cette deuxième émission enregistrée à Limoges, lumière sur le théâtre du Maghreb avec Yacine Benyacoub, metteur en scène, comédien et auteur franco-algérien, né dans le quartier de Bab El Oued à Alger et qui vient de recevoir le prix SACD de la dramaturgie francophone pour sa pièce La décennie noire écrite en 2023, une tragédie, mais non dénuée d'humour qui parle de cette décennie meurtrière qui a frappé son pays d'origine dans les années 90. Yacine Benyacoub a commencé à faire du théâtre en Algérie dès 2001, année de la concorde civile après la fin de la «décennie noire». Il quitte l'Algérie en 2012 pour s'installer en France où il fonde la compagnie Alter Natif. En France, il a été frappé par la méconnaissance du sujet. On vit dans une colère permanente et diffuse, c'est épuisant. Faire ce travail d'écriture me guérit, ça permet de prendre du recul sur ce qu'on a vécu. La décennie noire désigne la guerre civile qui a ensanglanté l'Algérie de 1992 à 2002. Elle a débuté après l'annulation des élections législatives de 1991 remportées par le Front islamique du Salut (FIS). Ce conflit a opposé les forces de sécurité de l'État à divers groupes islamistes armés tels que le GIA entraînant une vague de meurtres, kidnappings, attentats, massacres de civils ou assassinats ciblés. Bien que le bilan soit sujet à débat, on estime que 150.000 à 200.000 personnes ont perdu la vie, que 20.000 personnes auraient disparu et que 1 million de personnes auraient été contraintes de fuir. Le texte La décennie noire aux éditions Quartiers Intranquilles. Le théâtre palestinien est également à l'honneur avec Amer Khalil qui a repris la direction du théâtre national palestinien en 2011 après le suicide de son fondateur François Gaspar dit Abou Salem. Ce théâtre situé à Jérusalem-Est, est régulièrement menacé de fermeture par les autorités israéliennes «La difficulté aujourd'hui n'est pas tant la liberté de faire ce qu'on veut, ou la censure : on se heurte plutôt aux difficultés administratives.» Quelle époque pour être en vie ! À Limoges, Amer Khalil présente Un cœur artificiel. Une pièce de science-fiction créée pour le Théâtre national palestinien et mise en scène par Mohammad Basha, qui se penche sur la question de l'intelligence artificielle et de l'évolution des machines. Mais c'est aussi une pièce qui interroge sur la notion de vengeance sur un ton de vaudeville...sans doute pour exorciser les horreurs de la vie et de la guerre. Le Théâtre national palestinien a été fondé par François Abou Salem (né François Gaspar) un comédien, auteur, metteur français d'origine palestinienne en 1984 à Jérusalem-Est. Né à Provins en France, d'un père poète et traducteur et d'une mère sculptrice, François Abou Salem a grandi à Jérusalem-Est. Après un passage au Théâtre du Soleil à Paris, il commence à travailler en tant que comédien et metteur en scène à Jérusalem-Est. Il a créé la compagnie théâtrale El-Hakawati en 1978 qui deviendra, quelques années plus tard, le Théâtre National palestinien. Il se suicidera en 2011, à Ramallah. À lire : Le Théâtre palestinien et François Abou Salem, de Najla Nakhlé-Cerruti, publié chez Actes Sud. Programmation musicale du jour : Le groupe Manaraf qu'on a pu entendre dans la pièce Kaldûn, spectacle d'ouverture des Zébrures d'automne.
Die internationalen Aktienmärkte stehen vor einem Herbst voller Herausforderungen und Chancen. Während die großen US-Technologiekonzerne weiter für Kursfantasie sorgen, belasten neue Zölle und politische Unsicherheiten das Umfeld. Wie wirken sich die aktuellen Handelskonflikte, der drohende US-Shutdown und die anhaltende KI-Euphorie auf die Börsen aus? Dr. Ulrich Stephan, Chefanlagestratege für Privat- und Firmenkunden der Deutschen Bank, und Finanzjournalistin Jessica Schwarzer ordnen die aktuelle Lage von Wirtschaft und Märkten ein. Haben Sie Themenwünsche? Schreiben Sie sie uns: perspektiven-am.morgen@db.com Ein Transkript dieser Episode finden Sie hier: https://perspektiventogo.podigee.io/346-von-zollen-shutdowns-und-ki/transcript Quelle für Wert- und Preisentwicklungen sowie Zinsprognosen: Bloomberg. Quelle für Erwartungen der Unternehmensgewinne: LSEG Datastream. Sofern nicht anders gekennzeichnet, ist die Quelle für alle getroffenen Aussagen die Deutsche Bank und alle Meinungsaussagen geben die aktuelle Einschätzung der Deutschen Bank wieder, die sich jederzeit ändern kann. Soweit hier von Deutsche Bank die Rede ist, bezieht sich dies auf die Angebote der Deutsche Bank AG. Wir weisen darauf hin, dass die in dieser Publikation enthaltenen Angaben keine Anlage-, Rechts- oder Steuerberatung darstellen, sondern ausschließlich der Information dienen. Die Information ist mit größter Sorgfalt erstellt worden. Bei Prognosen über Finanzmärkte oder ähnlichen Aussagen handelt es sich um unverbindliche Informationen. Soweit hier konkrete Produkte genannt werden, sollte eine Anlageentscheidung allein auf Grundlage der verbindlichen Verkaufsunterlagen getroffen werden. Aus der Wertentwicklung in der Vergangenheit kann nicht auf zukünftige Erträge geschlossen werden. HINWEIS: BEI DIESEN INFORMATIONEN HANDELT ES SICH UM WERBUNG. Die Inhalte sind nicht nach den Vorschriften zur Förderung der Unabhängigkeit von Anlage- oder Anlagestrategieempfehlungen (vormals Finanzanalysen) erstellt. Es besteht kein Verbot für den Ersteller oder für das für die Erstellung verantwortliche Unternehmen, vor bzw. nach Veröffentlichung dieser Unterlagen mit den entsprechenden Finanzinstrumenten zu handeln. Die Deutsche Bank AG unterliegt der Aufsicht der Europäischen Zentralbank und der Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht (BaFin).
Coup d'envoi de la campagne électorale au Cameroun : en lice pour un 8ème mandat, Paul Biya, 92 ans, affrontera le 12 octobre 2025 11 challengers. L'opposition parviendra-t-elle à s'entendre sur un candidat de consensus ? Qu'attendez-vous du scrutin ?
➡️ DESCRIPTION: Dans cette émission, Fred Bican et moi abordons un phénomène resurgent : le nationalisme chrétien. Si plusieurs se réjouissent d'un certain retour des valeurs chrétiennes dans l'espace public, il est crucial de discerner entre un véritable réveil spirituel et une récupération politique de la foi. Peut-on s'identifier comme chrétien sans être né de nouveau? Quels sont les dangers d'un christianisme réduit à une identité culturelle? Et en même temps, comment reconnaître les opportunités que Dieu peut saisir même à travers des mouvements imparfaits? Voilà quelques unes des questions que nous désirons aborder. Articles et autres ressources mentionnées durant l'épisode: - Entrevue avec Douglas Wilson sur le nationalisme chrétien - POUR (https://www.youtube.com/watch?v=YsrThQp3KHA) - Entrevue avec David VanDrunen sur la nationalisme chrétien - CONTRE (https://www.youtube.com/watch?v=uwJUB1CKOdM) - Les évangéliques convertis à l'Islam (https://www.christianismeaujourdhui.info/ils-sont-jeunes-nes-dans-des-familles-evangeliques-et-convertis-a-l-islam/) - Jonathan Leeman: Les désaccords politiques dans l'Église (https://www.youtube.com/watch?v=PXuKLJQmLl4) TABLE DES MATIÈRES 00:00 - Intro 00:58 - La bonne terminologie 01:35 - Un constat sociétal 18:16 - Une anomalie ou la mission même de l'Église? 23:42 - L'erreur du raisonnement 39:45 - La nature du royaume de Dieu 43:49 - Le bon côté du christianisme identitaire Conclusion 54:54 -
Le pétrole occupe encore une place centrale dans nos sociétés. Voiture, chauffage, plastique: lʹor noir et ses dérivés ont profondément modifié notre manière de vivre. Comment cette industrie est-elle devenue la plus puissante au monde? Quelle est lʹavenir du pétrole à lʹheure du dérèglement climatique? Tribu reçoit Matthieu Auzanneau, ancien journaliste dʹinvestigation, directeur du Shift Project, un think tank de la transition écologique, et auteur du livre "Or noir. La grande histoire du pétrole", paru aux éditions de la Découverte.
REPLAYJ'ai reçu l'exceptionnelle Clarisse Ferreres-Frechon, fondatrice de l'Agence Melchior.Oui c'est la femme du chef étoilé Éric Frechon - et justement on en parle.Clarisse me parle de son parcours atypique dans l'univers de la communication spécialisée dans l'art de vivre, de la gastronomie à l'hôtellerie.Une entreprise lancée sur un coup de tête - devenue une référence en 15 ans.Comment concilier perfectionnisme et sensibilité exacerbée ?Quelle est la place de l'art de vivre dans le monde économique actuel ?Avec Clarisse on parle de la vulnérabilité, l'importance de s'entourer des bonnes personnes, de communication (évidemment) et du succès qui réside souvent dans notre capacité à rêver et à persévérer.Bonne dégustation ;)
La Suisse fragilisée: comment éviter la chute? Face à face Sophie Michaud Gigon (Verts-VD) - Damien Cottier (PLR-NE)Notre pays est encore sous le choc, après une pause estivale marquée par la fessée tarifaire administrée par le président Donald Trump et des incertitudes géopolitiques croissantes. Quelle stratégie pour la suite ? Face à face entre conseillers nationaux: l'écologiste Sophie Michaud Gigon et le libéral-radical Damien Cottier. Notre journaliste Romain Clivaz et David Biner de la Weltwoche ont aussi abordé l'actualité plus immédiate: le français en danger dans les écoles primaires alémaniques ainsi que le décès subit du conseiller national UDC zurichois Alfred « Fredi » Heer qui a ému l'ensemble de l'Assemblée fédérale. Un échange vif, toujours respectueux, parfois un brin indiscipliné. Bonne écoute! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après avoir été en partie arrêtée cet été, l'aide de l'État pour la rénovation énergétique des logements rouvre totalement mardi 30 septembre. Concrètement qu'est-ce qui avait été mis en pause ? Qu'est-ce qui change ? Nathan Bocard vous explique tout.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après avoir été en partie arrêtée cet été, l'aide de l'État pour la rénovation énergétique des logements rouvre totalement mardi 30 septembre. Concrètement qu'est-ce qui avait été mis en pause ? Qu'est-ce qui change ? Nathan Bocard vous explique tout.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Wenn der Beruf Berufung ist: Karin Riegger und Christoph Schoop im Gespräch mit Michèle Schönbächler Christoph Schoop – Zwischen Handwerk und Zukunftsdenken Christoph Schoop ist in einem Umfeld aufgewachsen, das von unternehmerischem Pioniergeist geprägt war. Sein Vater gründete in Dättwil 1955 eine Spenglerei, welche die Spenglertechnik revolutionierte, und damit früh Zeichen in der Branche setze. Christoph Schoop trat nach seiner Ausbildung zum Spengler in den Betrieb ein und übernahm bereits in jungen Jahren die Leitung. Heute denkt er über das klassische Handwerk hinaus: Er investiert in Grundstücke und entwickelt Projekte, die auf Nachhaltigkeit und Machbarkeit ausgerichtet sind. Mit dem „Wikkelhouse“ verfolgt er ein innovatives Wohnkonzept, welches das Leben auf kleinem Raum neu interpretiert. Seine unternehmerische Haltung ist klar: wirtschaftlich denken, aber mit Augenmass – gewinnorientiert, aber nicht gewinnmaximiert um jeden Preis. Schon als Kind genoss er die Natur im Ferienhaus an der Reuss – und noch heute spielt die Natur für ihn eine wichtige Rolle – als Ort der Erholung und als Quelle für neue Ideen. ________________________________________ Karin Riegger - Neue Wege nach einem unerwarteten Umbruch Während 12 Jahren war Karin Riegger im Verkauf der Familienunternehmung Weinkeller Riegger AG tätig, betreute ihre Gastronomie-Kunden in der ganzen Schweiz und bereiste die unterschiedlichsten Weingüter. Es schien logisch, dass sie die Nachfolge ihres Onkels als Geschäftsführerin antreten würde. Die innerfamiliäre Übergabe der Unternehmung kam jedoch nicht zustande – stattdessen wurde das Familienunternehmen an einen Grosskonzern verkauft. Diese Wendung führte zu einem beruflichen Neustart. Der Bewerbungsprozess mit Mitte 40 war für die Aargauerin anspruchsvoll, aber auch eine Gelegenheit zur persönlichen Weiterentwicklung. Heute ist Karin Riegger Bereichsleiterin Bildung bei Holzbau Schweiz und bringt ihre Erfahrungen und ihr Engagement in die Branche ein. Sie lebt mit ihrem Partner und ihren drei Kindern in Mellingen/AG. In den Ferien tauscht sie regelmässig das Wohnhaus mit anderen Familien – eine Form des Reisens, die ihr neue Perspektiven und Freundschaften eröffnet hat. Besonders prägend war ein halbes Jahr in Australien, wo sie gemeinsam mit ihrer Familie lebte und täglich zur Schule ging. _________________________________________ Moderation: Michèle Schönbächler Karin Riegger und Christoph Schoop sind zu Gast im Persönlich am Sonntag, 28. September 2025 im Kurtheater Baden/AG. Türöffnung ist um 9 Uhr. Das Publikum ist gebeten, bis 9.30 Uhr einzutreffen. ___________________________________________ Das ist «Persönlich»: Jede Woche reden Menschen über ihr Leben, sprechen über ihre Wünsche, Interesse, Ansichten und Meinungen. «Persönlich» ist kein heisser Stuhl und auch keine Informationssendung, sondern ein Gespräch zur Person und über ihr Leben. Die Gäste werden eingeladen, da sie aufgrund ihrer Lebenserfahrungen etwas zu sagen haben, das über den Tag hinaus Gültigkeit hat.
Pascal Denault - Psaume 41 RÉSUMÉ: Béni soit Jésus-Christ, le Roi qui s'est dépouillé lui-même afin de nous revêtir de sa justice! Dans le Psaume 41, nous verrons que David préfigurait ce Roi issu de sa propre lignée, mais nos regards se porteront non sur David, mais sur son Fils. PLAN: 1. Un Roi bon (v.1-4) 2. Un Roi persécuté (v.5-10) 3. Un Roi justicier (v.11-14) QUESTIONS: 1. Qu'est-ce que le premier mot du Psaume 41 nous apprend? 2. De qui est-il question dans ce psaume? 3. Qu'est-il dit au sujet des pauvres exactement? 4. Quelle promesse est-elle faite pour celui dont l'intégrité sera parfaite? 5. Qu'est-ce que le verset 5 nous apprend au sujet du péché? 6. Que sait-on sur les ennemis du roi-messianique? 7. Quelle fut la réponse de Dieu face aux persécutions de son Messie? 8. Quelles applications pouvons-nous faire du Psaume 41? Lectures complémentaires: Psaume 72 ; 1 Pierre 2.21-24 (Cène)
Dans notre langage quotidien, on utilise souvent les mots « sexe » et « genre » comme s'ils étaient interchangeables. Pourtant, en sciences humaines comme en biologie, ces deux notions ne désignent pas la même réalité. Comprendre cette différence est essentiel pour saisir les débats actuels autour de l'identité, des droits et de la société.Le sexe, d'abord, relève de la biologie. Il désigne l'ensemble des caractéristiques physiques et physiologiques qui distinguent le mâle et la femelle chez l'espèce humaine : chromosomes, organes reproducteurs, hormones, caractéristiques sexuelles secondaires comme la pilosité ou la voix. En résumé, le sexe est déterminé par la nature et observé à la naissance. Mais même là, la réalité est plus complexe qu'on ne l'imagine : certaines personnes naissent intersexes, avec des caractéristiques biologiques qui ne correspondent pas strictement aux catégories « mâle » ou « femelle ».Le genre, lui, est une construction sociale et culturelle. Il désigne les rôles, les comportements et les représentations qu'une société associe au fait d'être masculin ou féminin. Être un « homme » ou une « femme » dans une culture donnée implique des attentes : comment on s'habille, quelle profession on exerce, quelles attitudes on adopte. Or ces normes varient selon les époques et les cultures. Ce qui est considéré comme « masculin » dans une société peut être vu comme « féminin » ailleurs.Ainsi, si le sexe se rapporte au corps, le genre se rapporte aux significations que les sociétés attribuent à ce corps. Par exemple, biologiquement, rien n'empêche une femme de devenir médecin ou une homme de s'occuper des enfants à la maison. Mais pendant longtemps, les stéréotypes de genre ont assigné ces rôles différemment.Aujourd'hui, la distinction entre sexe et genre permet de mieux comprendre les débats autour des identités de genre. Certaines personnes peuvent se reconnaître dans un genre qui ne correspond pas à leur sexe biologique, d'autres se définir en dehors du cadre binaire homme/femme. Ces réalités interrogent nos catégories habituelles et bousculent les repères.Être pédagogue, c'est rappeler que distinguer sexe et genre n'efface pas les différences biologiques, mais met en lumière le poids de la culture et des normes sociales. Cela permet d'éviter les confusions et d'ouvrir un espace de dialogue plus nuancé, où l'on reconnaît à la fois la diversité des corps et celle des identités. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Une chanson d'amour a des super-pouvoirs. Elle déclenche dès les premières notes des émotions intenses. Elle peut nous rappeler des souvenirs heureux avec l'être aimé, nous plonger dans une nostalgie réconfortante, nous donner des frissons de plaisir. Elle peut aussi raviver une souffrance si l'amour n'est plus là, nous faire fondre en larmes ou nous mettre en colère. Si la chanson des Beatles “Yesterday” fait cet effet-là à beaucoup de gens, c'est parce que c'est la chanson d'amour la plus reprise au monde. Tout a commencé dans un rêve. C'est en tout cas ce que raconte Paul McCartney quand il parle de “Yesterday”. Comment est née cette chanson ? De quoi parle Yesterday ? Et alors, qui a repris Yesterday ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez - Culture". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Béatrice Jumel. Date de première diffusion : 14/02/2024 À écouter aussi : “Du coup”, “genre”... : que révèlent nos tics de langage ? Marché VS grandes surfaces : où faire ses courses pour dépenser moins ? Quel est le meilleur mois pour trouver du travail ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Le président-candidat Paul Biya est en pleine forme de ses moyens et il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meetings avant la présidentielle », affirme le ministre camerounais du Travail Grégoire Owona, qui est aussi le secrétaire-général adjoint du parti au pouvoir RDPC. En vue de la présidentielle du 12 octobre, le candidat Paul Biya ne risque-t-il pas de perdre des voix après la démission de deux de ses ministres ? Et fera-t-il des réformes s'il est réélu ? En ligne de Yaoundé, l'un des hommes forts de sa majorité répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Grégoire Owona, quelles seront les deux premières priorités du président Paul Biya s'il est réélu ? Grégoire Owona : Mais le président Paul Biya, certainement, va mieux préciser ses priorités dans sa profession de foi qui va bientôt sortir. Mais je crois que si on devait parler des deux premières priorités en tant que RDPC qui soutient sa candidature, je prendrais la consolidation de la paix, de l'unité nationale et la sécurité en premier, et ensuite la promotion des jeunes et le renforcement du rôle de la femme. La grande inquiétude de l'opposition, c'est la fraude électorale. Même Bello Bouba Maigari affirme que les élections sont truquées au Cameroun et que c'est encore arrivé à la présidentielle de 2018. Qu'est-ce que vous lui répondez ? Je crois que tous ceux qui disent ça font un peu de la diversion. On ne peut pas appeler par exemple au boycott d'une élection locale, sachant qu'on déclare en plus pertinemment quelles sont les conséquences, à savoir l'exclusion à l'élection présidentielle, pour dire après que le système électoral n'est pas bon ou qu'il est mauvais. Donc, je crois qu'il faut faire très attention. Le dépouillement est public. Chacun des candidats ou des représentants des candidats rentrant avec un procès-verbal signé par tous. Quelle autre transparence peut-on vouloir dans un système électoral ? Et si le candidat Paul Biya est battu, est-ce qu'il reconnaîtra sa défaite ? Nous allons à une compétition dans un esprit démocratique. Nous sommes bien préparés, nous espérons gagner. Et si cela arrivait, on se comporterait comme des républicains. C'est-à-dire que le RDPC reconnaîtrait à ce moment-là, la défaite de son champion ? Mais absolument. Mais sur la base des résultats des urnes, pas sur la base des procès d'intention, des interprétations malsaines des lois. Ce 12 octobre, le président Paul Biya va être candidat pour un huitième mandat. Mais beaucoup estiment qu'à 92 ans, c'est une charge trop lourde pour lui. Qu'est-ce que vous en pensez ? J'ai entendu sur votre radio que quand on parle d'âge, c'est qu'on a plus d'arguments. J'ai entendu quelqu'un dire ça. C'est en effet ce qu'a dit Issa Tchiroma. Nous, on a des arguments. Notre candidat est en pleine forme de ses moyens, il conduit le pays, il est à même de poursuivre ce qu'il a commencé. Donc, je ne vois pas le problème que vous êtes en train de soulever sur cet aspect. Actuellement, le chef de l'Etat séjourne en Europe. Est-ce que vous savez quand est-ce qu'il va rentrer ? Mais c'est un court séjour privé. Quand il devra rentrer, on sera bien informé. Et quand il va rentrer, est ce qu'il va tenir un ou plusieurs meetings ? Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Je vous ai dit au début qu'il rendra publique sa profession de foi. Il n'y a aucune raison qu'il ne tienne pas de meeting. Et je peux même vous dire que s'il faut faire des réformes, il se permettra de faire des réformes. Le départ du gouvernement de deux poids lourds du nord du pays Bello Bouba et Issa Tchiroma. Est-ce que cela ne va pas vous faire perdre des voix ? Les démissions de Bouba Bello et d'Issa Tchiroma, je peux vous dire qu'elles ne vont pas spécialement nous faire perdre des voix. Pourquoi ? Pour deux choses. Parce que d'abord, ces deux candidats se sont discrédités par leur façon de faire et par leur façon d'être. La deuxième raison, c'est que dans les zones où ils ont leur base, il y a de nouveaux alliés qui nous ont rejoints, que ce soit en termes de partis politiques ou en termes d'associations. Mais est-ce que nécessairement, et notamment à cause de ces deux ministres démissionnaires, vous n'allez pas faire un score inférieur à celui de 2018 ? Wait and see. Moi, je n'en suis pas du tout convaincu, parce que plusieurs candidats se sont discrédités par leur façon d'être, par leur façon de faire. Ils ont dit des choses et leur contraire en même temps. Ils ont eu des agissements qui font qu'on ne croit plus en eux. Et nous, nous sommes restés dans la même ligne politique et nous sommes crédibles. Notre candidat est crédible. Voulez-vous dire que Bello Bouba et Tchiroma ne sont pas crédibles parce qu'ils étaient encore avec vous il y a quatre mois et que ce ne sont pas de vrais opposants ? Ce n'est pas ça que j'ai dit, mais ils ont fait pire que démissionner. Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ce n'est ni le lieu ni le moment de vouloir parler négativement des autres candidats. Nous, on est fair-play. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: le parti au pouvoir présente «l'armée» de Paul Biya pour la campagne À lire aussiÉlections au Cameroun: pour battre Paul Biya, «il faudra un raz-de-marée» de l'opposition, martèle Issa Tchiroma Bakary
Matthieu Ricard, moine bouddhiste, partage dans cet extrait sa vision profonde de la liberté intérieure. J'ai adoré cette conversation dans son ensemble car elle touche à une question universelle : comment être libre… vraiment ? Pas dans un sens politique ou matériel, mais au plus profond de soi.Dans cet échange, je l'interroge sur cette quête de liberté que tant d'entre nous poursuivent, souvent en pensant qu'elle viendra de l'extérieur : l'argent, le confort, ou l'absence de contraintes. Et pourtant, comme Matthieu le rappelle avec sagesse, la véritable liberté commence dans notre esprit. Il nous invite à déconstruire nos automatismes mentaux, à comprendre comment nous sommes les jouets de nos émotions, et surtout à nous familiariser avec ce qu'est vraiment la méditation – loin des clichés.Ce moment m'a aussi marqué par sa mise en garde précieuse sur les faux maîtres spirituels. Dans un monde où les repères s'effacent parfois, sa parole est une boussole essentielle. 5 citations marquantes« La liberté, ce n'est pas faire tout ce qu'on veut, c'est être maître de son esprit. »« On est souvent le jouet de nos émotions toxiques, donc pas libres du tout. »« La méditation, ce n'est pas faire le vide, c'est un entraînement de l'esprit. »« Un vrai maître spirituel n'a rien à gagner, rien à perdre, tout à donner. »« Il faut examiner un maître pendant douze ans avant de s'engager. »10 questions structurées poséesComment définiriez-vous la liberté intérieure ?Pourquoi pense-t-on à tort que la liberté vient de l'extérieur ?Comment devenir libre de ses conditionnements mentaux ?Quel est le rôle de la méditation dans cette quête de liberté ?Quelle est votre définition personnelle de la méditation ?Est-ce un chemin spirituel réservé à certains ou accessible à tous ?Quelle a été l'importance de vos maîtres dans votre parcours ?Pourquoi avoir ressenti le besoin de leur rendre hommage dans votre livre ?Comment reconnaître un vrai maître spirituel ?Quels sont les signes d'un imposteur spirituel à éviter absolument ?Timestamps clés pour YouTube00:00 – Introduction sur la notion de liberté et les illusions qu'on y projette00:38 – Matthieu Ricard définit la vraie liberté et ses dérives modernes01:42 – Le lien entre émotions, conditionnements et absence de liberté02:28 – L'analogie du marin : être maître de son esprit03:21 – La méditation comme familiarisation avec l'esprit04:04 – Distinguer détente et vraie méditation05:19 – La méditation comme entraînement vers la sagesse06:09 – L'importance des maîtres spirituels dans son parcours07:42 – Les dangers des faux maîtres spirituels09:55 – Les critères d'un vrai maître selon les textes bouddhistesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A movie about a bitter divorce and custody battle might win best picture, but it doesn't entirely win us over, no matter how good Meryl Streep's peformance is. A reactionary film that swept the Oscars? Quelle surprise, Hollywood. Starring Dustin Hoffmann, Meryl Streep, Justin Henry, and Jane Alexander. Written and directed by Robert Benton.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Pour tous ceux qui ont fait de l'occitan par ici, et même pour pas mal de monde, Jean Petit qui danse, c'est une comptine qui ramène à l'enfance, où on s'agite les membres quand ils sont cités dans la chanson, c'est un peu mignon ! Eh ben Jean Petit lui, on va dire qu'on les lui a agité ses membres, parce que devinez quoi : comme beaucoup de comptines, c'est un peu terrible !Bonne écoute !
Nous sommes au milieu des années 1970. 1975 constitue un basculement majeur, une rupture brutale dans l'histoire économique et sociale de la Belgique. Elle marque la fin d'une période de croissance et de chômage relativement faible et inaugure une ère de "crise" caractérisée par un chômage de masse. Le basculement est la conséquence directe du choc pétrolier de 1973-1974. L'année est marquée par une récession économique, avec pour la première fois depuis 1958, un taux de croissance négatif du PIB. Le phénomène le plus marquant de cette période est cette envolée spectaculaire du chômage : alors que le taux moyen était d'un peu plus de 3% entre 1965 et 1974, il grimpe à près de 13% pour la période 1975-1984. Face à cette explosion sans précédent, les gouvernements mettent en place les premières grandes mesures qui visent à en atténuer les effets. Quel rôle les syndicats ont-ils joué au cours de cette période ? Mais aussi avant et après ? Quel a été leur discours face aux crises. Comment ont-ils mobilisé et organisé les "travailleurs sans emploi" ? En Belgique, environ 85% des chômeurs sont membres d'une des trois organisations syndicales reconnues, un pourcentage élevé, qui est une particularité en Europe. Comment expliquer cette particularité ? Quelle est l'évolution des relations complexes, et parfois paradoxales, entre syndicats et chômage ? Avec nous : Jean Faniel, docteur en sciences politiques, directeur général du CRISP (Centre de recherche et d'information socio-politiques). « Les syndicats, le chômage et les chômeurs en Belgique - Raisons et évolution d'une relation complexe. » (thèse de 2006 – ULB). Sujets traités : Syndicalisme ,chômage, Belgique, crise, emploi , chômeur, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les relations franco-maliennes dégradées, la disparition du trou de la couche d'ozone et le blocage d'une aide américaine à Taïwan. RDC : pourquoi Vital Kamerhe a-t-il préféré démissionner ? Visé par une pétition réclamant son départ, Vital Kamerhe a annoncé sa démission de la présidence de l'Assemblée nationale de la RDC. Pourquoi a-t-il choisi de jeter l'éponge avant le vote des députés ? Quelles pourraient être les conséquences politiques d'une telle décision ? Quelle est la suite pour assurer son remplacement ? Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. France-Mali : les relations se dégradent encore un peu plus Paris a expulsé deux diplomates maliens et annoncé la suspension de sa coopération antiterroriste avec Bamako. Pourquoi ces deux membres de l'ambassade et du consulat du Mali ont été «déclarés persona non grata» par la France ? Quelles peuvent être les conséquences sécuritaires de la suspension de cette coopération ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. Environnement : vers la fermeture totale du trou de la couche d'ozone ? Vitale pour la vie sur Terre, la couche d'ozone se rétablit. Selon l'ONU, son trou devrait complètement disparaitre d'ici à 2065. Comment expliquer ce succès ? En quoi cette nouvelle est-elle positive pour la lutte contre le réchauffement climatique ? Avec Simon Rozé, chef du service environnement de RFI. États-Unis : Washington suspend une aide militaire pour Taïwan Donald Trump a annoncé le blocage d'une aide militaire majeure de 400 millions de dollars destinée à son allié Taïwan. Comment expliquer cette décision alors que les tensions entre Taïwan et la Chine s'intensifient ? Ce changement de politique signifie-t-il que les Américains n'aideront pas les Taïwanais en cas d'attaque chinoise ? Avec Emmanuel Véron, géographe, spécialiste de la Chine contemporaine, chercheur associé à l'Inalco, membre de l'IFRAE.
David Baverez est investisseur et vit depuis des années à Hong Kong. Il est aussi l'auteur du percutant ouvrage Bienvenue en économie de guerre et je suis content de revenir un peu à l'économie et à la géopolitique.Il observe notre monde avec un regard aussi lucide que tranché avec ses biais bien sûr. Dans cet épisode, j'ai voulu comprendre pourquoi il parle d'économie de guerre, ce que cela implique pour la France, pour l'Europe, et comment cela rebat les cartes du monde tel que nous le connaissions.Nous avons beaucoup parlé de la Chine, évidemment, un pays que David connaît intimement. Mais aussi des États-Unis, de leur dette publique, de leur rapport à l'innovation, à la puissance. De la France et de sa désindustrialisation volontaire. D'une Europe qui vacille, accrochée à des illusions de puissance passée, et qui peine à reconnaître sa dépendance économique, numérique, énergétique, militaire… La France est passée d'une place de 4ème à 24ème en PIB/habitant en 20 ans. Et ce n'est pas un simple chiffre.J'ai questionné David sur ce qu'il appelle un monde "apolaire", un monde dans lequel il n'existe plus de centre de gravité unique. Un monde fait de chaos, où les puissances intermédiaires, comme l'Arabie Saoudite ou la Turquie, jouent leur partition au gré de leurs intérêts.Dans cet épisode, nous abordons :les ruptures de 2022 et pourquoi cette date est si symbolique,le rôle de la Chine dans la nouvelle économie mondialisée,le piège de la dette française et notre perte de souveraineté,la montée des extrêmes et l'impact des plateformes numériques comme TikTok sur les démocraties,et surtout, ce que nous pouvons encore faire pour redonner du sens, réinvestir notre liberté d'agir, de penser, et sortir de notre posture d'autostoppeur économique.David propose même un modèle inédit de gouvernance, à base de "7 papy-mamie flingueurs" pour sauver la France du chaos. Un épisode dense, remuant, mais ô combien nécessaire pour comprendre le monde qui vient. Citations marquantes« L'économie de guerre, c'est le moyen d'éviter la guerre. »« La France est devenue le dernier auto-stoppeur mondial. »« Aujourd'hui, la liberté d'agir est en Chine, la liberté de penser aux US, mais les deux s'effritent. Seule l'Europe a les deux. »« Ce qu'on appelle démocratie peut aboutir à faire élire des anti-démocrates. »« En économie de guerre, la réussite se mesure par la dépendance qu'on impose aux autres. »Dix questions structurées posées dans l'épisodeQu'entends-tu par économie de guerre ?Pourquoi 2022 marque-t-elle une rupture historique ?Comment analyses-tu la chute de la France dans les classements économiques ?La désindustrialisation française est-elle un choix politique ?Quels sont les trois grands défis qui définissent la prochaine décennie ?Pourquoi dis-tu que nous vivons dans un monde apolaire ?En quoi la Chine est-elle "maîtresse du chaos" ?Pourquoi l'Europe ne parvient-elle pas à négocier avec la Chine ?Quelle solution proposes-tu face à l'effondrement démocratique ?Que peut-on espérer du modèle allemand pour relancer l'Europe ?Timestamps clés pour YouTube00:00 - Introduction et présentation de l'épisode01:00 - Définition de l'économie de guerre03:30 - Pourquoi 2022 est une rupture géopolitique majeure06:00 - Désindustrialisation : un choix cynique08:30 - Le modèle économique chinois post-Covid12:00 - Le monde devient apolaire : explication15:00 - La dépendance énergétique, numérique et militaire de l'Europe20:00 - Déficit de souveraineté de la France28:00 - Le modèle allemand : un espoir pour l'Europe ?33:00 - Réflexion sur la démocratie à l'ère des réseaux sociaux Suggestion d'autres épisodes à écouter : #351 Pourquoi ne peut-on plus s'en sortir en travaillant? (partie 1) avec Antoine Foucher (https://audmns.com/chQnSYy) #345 L'occident ne comprends plus le monde avec Pierre Haski (partie 1) (https://audmns.com/yGmnzUq) #312 Les défis géopolitiques d'un monde hors de contrôle avec Thomas Gomart (https://audmns.com/jscnrns)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
David Baverez est investisseur et vit depuis des années à Hong Kong. Il est aussi l'auteur du percutant ouvrage Bienvenue en économie de guerre et je suis content de revenir un peu à l'économie et à la géopolitique.Il observe notre monde avec un regard aussi lucide que tranché avec ses biais bien sûr. Dans cet épisode, j'ai voulu comprendre pourquoi il parle d'économie de guerre, ce que cela implique pour la France, pour l'Europe, et comment cela rebat les cartes du monde tel que nous le connaissions.Nous avons beaucoup parlé de la Chine, évidemment, un pays que David connaît intimement. Mais aussi des États-Unis, de leur dette publique, de leur rapport à l'innovation, à la puissance. De la France et de sa désindustrialisation volontaire. D'une Europe qui vacille, accrochée à des illusions de puissance passée, et qui peine à reconnaître sa dépendance économique, numérique, énergétique, militaire… La France est passée d'une place de 4ème à 24ème en PIB/habitant en 20 ans. Et ce n'est pas un simple chiffre.J'ai questionné David sur ce qu'il appelle un monde "apolaire", un monde dans lequel il n'existe plus de centre de gravité unique. Un monde fait de chaos, où les puissances intermédiaires, comme l'Arabie Saoudite ou la Turquie, jouent leur partition au gré de leurs intérêts.Dans cet épisode, nous abordons :les ruptures de 2022 et pourquoi cette date est si symbolique,le rôle de la Chine dans la nouvelle économie mondialisée,le piège de la dette française et notre perte de souveraineté,la montée des extrêmes et l'impact des plateformes numériques comme TikTok sur les démocraties,et surtout, ce que nous pouvons encore faire pour redonner du sens, réinvestir notre liberté d'agir, de penser, et sortir de notre posture d'autostoppeur économique.David propose même un modèle inédit de gouvernance, à base de "7 papy-mamie flingueurs" pour sauver la France du chaos. Un épisode dense, remuant, mais ô combien nécessaire pour comprendre le monde qui vient. Citations marquantes« L'économie de guerre, c'est le moyen d'éviter la guerre. »« La France est devenue le dernier auto-stoppeur mondial. »« Aujourd'hui, la liberté d'agir est en Chine, la liberté de penser aux US, mais les deux s'effritent. Seule l'Europe a les deux. »« Ce qu'on appelle démocratie peut aboutir à faire élire des anti-démocrates. »« En économie de guerre, la réussite se mesure par la dépendance qu'on impose aux autres. »Dix questions structurées posées dans l'épisodeQu'entends-tu par économie de guerre ?Pourquoi 2022 marque-t-elle une rupture historique ?Comment analyses-tu la chute de la France dans les classements économiques ?La désindustrialisation française est-elle un choix politique ?Quels sont les trois grands défis qui définissent la prochaine décennie ?Pourquoi dis-tu que nous vivons dans un monde apolaire ?En quoi la Chine est-elle "maîtresse du chaos" ?Pourquoi l'Europe ne parvient-elle pas à négocier avec la Chine ?Quelle solution proposes-tu face à l'effondrement démocratique ?Que peut-on espérer du modèle allemand pour relancer l'Europe ?Timestamps clés pour YouTube00:00 - Introduction et présentation de l'épisode01:00 - Définition de l'économie de guerre03:30 - Pourquoi 2022 est une rupture géopolitique majeure06:00 - Désindustrialisation : un choix cynique08:30 - Le modèle économique chinois post-Covid12:00 - Le monde devient apolaire : explication15:00 - La dépendance énergétique, numérique et militaire de l'Europe20:00 - Déficit de souveraineté de la France28:00 - Le modèle allemand : un espoir pour l'Europe ?33:00 - Réflexion sur la démocratie à l'ère des réseaux sociauxHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:08 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Le 1er Septembre 1939, le Reich a lâché ses panzers sur la Pologne. Côté français, le même jour, le Président du Conseil, Edouard Daladier, a ordonné la mobilisation générale et le 3, se conformant à ses engagements, la France conjointement au Royaume-Uni, a déclaré la guerre à l'Allemagne... - invités : Fabrice Grenard - Fabrice Grenard : Historien, directeur scientifique de la Fondation de la Résistance - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est une question qui intrigue, parfois dérange : où s'arrête la religion et où commence la secte ? Les deux semblent partager beaucoup de points communs : des croyances, des rituels, des chefs spirituels, des fidèles. Pourtant, dans notre imaginaire collectif, la religion est perçue comme respectable, intégrée, presque « normale », tandis que la secte inspire méfiance, voire peur.Historiquement, le mot « secte » n'avait rien de péjoratif. Dans la Rome antique, il désignait simplement un « courant » ou une « école de pensée ». Les stoïciens, les épicuriens, c'étaient des sectes philosophiques. Mais au fil du temps, le terme a pris une connotation négative, notamment avec l'essor du christianisme. Les premières communautés chrétiennes étaient elles-mêmes vues comme une secte par les Romains ! Ce qui montre bien que la frontière est mouvante et dépend du regard social.Alors, qu'est-ce qui fait la différence aujourd'hui ?La religion, au sens classique, rassemble un grand nombre d'adeptes sur une longue durée. Elle s'institutionnalise : elle a une organisation, une hiérarchie, un corpus de textes et surtout une reconnaissance sociale et culturelle. Le christianisme, l'islam, le bouddhisme… toutes ces religions sont ancrées dans l'histoire et reconnues par les États. Elles se transmettent de génération en génération.La secte, elle, est perçue comme marginale et fermée. Souvent centrée autour d'un gourou charismatique, elle fonctionne sur un rapport d'autorité très fort et peut exercer un contrôle sur la vie intime de ses membres : choix de vie, relations familiales, argent. Ce n'est pas tant le contenu des croyances qui la distingue, mais la manière dont elles sont imposées. En France, par exemple, une commission parlementaire a défini des critères : manipulation mentale, isolement social, rupture avec l'entourage, dérives financières ou sexuelles. Ce sont ces pratiques qui font basculer un groupe spirituel dans la catégorie « secte ».Mais la ligne reste floue. Car une religion universellement reconnue aujourd'hui a pu être qualifiée de secte hier. Et certains défenseurs de petites communautés spirituelles dénoncent une stigmatisation injuste. Finalement, la différence n'est pas seulement théologique ou organisationnelle, elle est aussi politique et sociale : une religion est une secte qui a « réussi », disent certains sociologues.Alors, religion ou secte ? La réponse dépend souvent du point de vue, du contexte historique et de la reconnaissance institutionnelle. Une chose est sûre : cette frontière, instable, révèle surtout combien la croyance est un phénomène humain, toujours en mouvement, oscillant entre quête de sens et besoin d'encadrement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand un mot fait la une de l'actualité, il est utile de lui demander ses papiers.
Nous sommes au milieu du XVIe siècle, à Namur. Dame Julienne de Glymes, prieure de l'abbaye cistercienne de Salzinnes passe commande d'un antiphonaire, càd un livre liturgique. Le résultat sera un objet culturel exceptionnel fabriqué pendant deux années. Parmi les manuscrits enluminés, cette ouvrage est unique par ses nombreuses images de religieuses identifiées par leurs noms. Des images qui accompagnent les chants, témoins de la piété de la communauté monastique. Il y a deux siècles, l'abbaye de Salzinnes ne résista pas à la bascule révolutionnaire qui provoqua sa fin. Quelle fut la destinée de l'antiphonaire, chef-d'œuvre de l'art religieux, que l'on retrouvera, bien des années plus tard, à Halifax, au Canada ? Invitée : Aurore Carlier, conservatrice à la Société archéologique de Namur. sujets traités : découverte, l'antiphonaire ,Salzinnes, Namur, abbaye, cistercienne, chef-d'œuvre, ,art , religieux, Halifax, Canada Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern raconte le destin d'Ana María Mauricia de Austria, dite Anne d'Autriche, l'Infante d'Espagne arrivée en France en épousant le futur roi Louis XIII, avant d'œuvrer, à sa mort, pour devenir régente absolue… Peut-on dire qu'Anne d'Autriche a mis au monde celui qui deviendra le plus grand monarque de France ? Quelle régente était-elle ? Pourquoi a-t-elle été éclipsée par toutes les figures masculines qui l'entouraient ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Joël Cornette, historien et auteur de la biographie « Anne d'Autriche, la régente absolue » aux éditions (Gallimard). (rediffusion)Au Coeur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Stéphane Bern- Réalisation : Loic Vimard- Rédaction en chef : Benjamin Delsol- Auteure du récit : Albane Le Conte- Journaliste : Clara LegerHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:08 - Le Fil de l'histoire - par : Stéphanie Duncan - Le 1er Septembre 1939, le Reich a lâché ses panzers sur la Pologne. Côté français, le même jour, le Président du Conseil, Edouard Daladier, a ordonné la mobilisation générale et le 3, se conformant à ses engagements, la France conjointement au Royaume-Uni, a déclaré la guerre à l'Allemagne... - invités : Fabrice Grenard - Fabrice Grenard : Historien, directeur scientifique de la Fondation de la Résistance - réalisé par : Claire DESTACAMP Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.