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Alexandre Dana est entrepreneur et fondateur de LiveMentor, mais surtout, c'est un ami proche, avec qui j'ai eu la joie d'avoir de nombreuses discussions profondes. Il anime le podcast Métamorophose parfois et il est aussi l'auteur du livre La chaise tue, un ouvrage choc, nécessaire, qui explore une réalité bien trop ignorée : notre sédentarité nous détruit à petit feu.Dans cet épisode, j'ai eu envie de reprendre le micro avec Alexandre, justement parce que ce sujet me tient profondément à cœur. Comme vous le savez, je suis passionné par notre capacité à mieux comprendre le monde pour y vivre plus sereinement, et ici, on va se concentrer au niveau individuel sur un sujet que j'ai déjà traité mais qui me semble crucial parce que souvent relégué au second plan : le mouvement.Nous avons tous conscience qu'il faut faire du sport, qu'il est important de bouger... mais savons-nous que l'on peut être un sportif sédentaire ?Alexandre nous explique pourquoi notre environnement moderne – nos bureaux, nos villes, notre rapport au travail, aux écrans, à nos loisirs – nous condamne à rester assis, et pourquoi cela met en danger notre corps, notre santé mentale, nos émotions... et même notre créativité.J'ai questionné Alexandre sur son chemin personnel, sur ce qui l'a amené à écrire ce livre, et sur les solutions concrètes qu'il propose, à la fois individuelles et collectives. On a parlé du rôle des entreprises, de la responsabilité de l'État, de l'école, mais aussi de toutes les petites actions que chacun peut entreprendre au quotidien pour remettre du mouvement dans sa vie.Et croyez-moi, c'est bien plus qu'une question de sport. C'est une révolution culturelle à mener – douce, joyeuse, mais essentielle.5 citations marquantes"La chaise tue notre corps, mais aussi notre bien-être, nos émotions, notre clarté d'esprit.""On surestime le sport, et on sous-estime le simple fait de bouger.""Notre environnement nous rend sédentaires. Ce n'est pas qu'une affaire de volonté.""Plus tu es confortablement assis, plus tu mets ta santé en péril.""Le mouvement n'est pas un luxe, c'est un besoin vital."10 questions structurées posées dans l'interviewPourquoi avoir choisi ce titre radical : La chaise tue ?En quoi la sédentarité est-elle si dangereuse pour notre santé ?Qu'est-ce qu'une “bonne” chaise selon toi ?Pourquoi l'entreprise et l'État doivent-ils s'emparer du sujet ?Que peut-on faire concrètement si on est obligé de rester assis au travail ?En quoi la culture du développement personnel renforce-t-elle la culpabilité ?Pourquoi les pauses actives sont-elles essentielles ?Quelle est la différence entre sport et mouvement ?Pourquoi les villes doivent-elles être repensées pour encourager le mouvement ?Comment réintroduire le mouvement dans notre vie familiale et sociale ?Timestamps clés pour YouTube 00:00 – Introduction : Pourquoi le mouvement est un enjeu de société.04:30 – Alexandre explique pourquoi “La chaise tue”.10:15 – L'impact psychologique et physiologique de la sédentarité.18:00 – La fausse bonne idée des chaises confortables.24:45 – L'histoire de la chaise et le monde du travail.32:00 – Que faire quand on n'a pas le choix de rester assis ?40:20 – Le poids des environnements urbains sur notre inactivité.52:30 – Marcher pour penser : le lien entre créativité et mouvement.01:00:00 – L'expérience personnelle d'Alexandre face à la sédentarité.01:10:00 – Des solutions concrètes, accessibles et progressives. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #322 Démystifier le bien-être avec Major Mouvement (https://audmns.com/IfubNER) Vlan #135 Se reconnecter à l'intelligence du corps avec Eve Berger Grosjean (https://audmns.com/ETKQSfx) #171 Mieux se connaitre pour trouver une posture juste avec Thierry Janssen (https://audmns.com/jeikAHO)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:36 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Que cherchons-nous vraiment dans la quête de nos origines ? Quelle est la différence entre "origine" et "généalogie" ? S'agit-il d'un simple récit factuel ou d'une quête d'essence ? Quels sont les risques de cette recherche ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud
Anne Ghesquière reçoit le journaliste Stéphane Allix. Notre conscience survit-elle à la mort ? Quel rôle peut jouer la médiumnité dans la compréhension du deuil et de l'après-vie ? Comment ces capacités permettent-elles de percevoir les messages des défunts ? Quelle est la différence entre médium, voyant et mentaliste ? Nos proches sont-ils vivants ailleurs ? Peuvent-ils nous envoyer des signes ? Stéphane Allix a mené, auprès de 7 médiums, une expérience rigoureuse sur l'assassinat d'Aurélie, victime de féminicide. Un thème qui l'interroge et sur lequel il enquête depuis de nombreuses années. Son livre, La Preuve : les morts nous “parlent” chez Harper Collins. Épisode #631Quelques citations du podcast avec Stéphane Allix :"La conscience ne disparaît pas avec la mort du corps.""La mort est une métamorphose et une métamorphose est une invitation dans la lumière.""Quand tu vis quelque chose qui s'apparente à un signe, à la seconde où ça se passe, tu sens quelque chose de juste."À réécouter :#592 Trouver le chemin de la libération#497 La mort n'existe pas#329 Un fantôme sur le divan#199 Nos âmes oubliées#19 Nos défunts nous parlentJusqu'au 31 octobre, tentez de remporter 500€ de prestations beauté et bien-être de votre choix, avec Planity !Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphoseThèmes abordés lors du podcast avec Stéphane Allix :00:00Introduction02:00Présentation invité03:03L'origine de La Preuve08:55Comprendre la médiumnité12:59Qu'est-ce que la vie après la mort ?14:22Parler à des défunts ou capter des infos19:28Faut-il laisser les morts avec les morts ?24:19La mort comme une métamorphose28:25Médium, voyant et mentaliste33:22Trauma et médiumnité35:27Parasitage et filtres38:40L'effet Barnum40:40Les révélations44:41Une communication spécifique46:59Pierre Yonas : une séance bluffante49:12Les deux leçons de cette enquête51:17Distinguer un bon d'un mauvais medium57:37Les signes perçus par les proches01:04:07Le chemin du deuilAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À l'occasion de cette seconde émission enregistrée à Marseille, nous abordons précisément l'actualité de la médecine tropicale : les flambées qui, ces derniers mois, ont mobilisé infectiologues, virologues, parasitologues et épidémiologiste. Mpox, dengue et Ebola... Quelle prise en charge pour la population ? Peut-on évaluer les conséquences aujourd'hui, sur le plan de la santé tropicale, de la baisse des financements internationaux dans le domaine de la santé et de la remise en cause, dans la parole publique, du savoir scientifique, en particulier dans le domaine de la vaccinologie ? Émission délocalisée à Marseille, à l'occasion des « Actualités du Pharo », les rencontres francophones de médecine et de santé publique tropicales, à l'Hôpital de la Timone. - Réalisation : Tiffanie Menta - Pr Christophe Rapp, infectiologue à l'Hôpital Américain de Paris à Neuilly, en région parisienne. Président de la Société Française de médecine des voyages Pr Marie-Lise Gougeon, immunologiste et Professeur à l'Institut Pasteur Dr Catherine Bertrand-Ferrandis, Vétérinaire, Spécialisée en communication des risques et gestion d'infodémie Dr Cheick Oumar Doumbia, médecin épidémiologiste, Référent en épidémiologie et recherche opérationnelle, MSF WaCA (Abidjan). Programmation musicale : ► Hope Tala – Phoenix ► James BKS – Wetin U Go Choose ⇒ Pour aller plus loin : Les rapports de gestion d'infodémie de l'AIRA (Alliance africaine de lutte contre l'infodémie) [lien en anglais] Le collectif femmes de santé
À l'occasion de cette seconde émission enregistrée à Marseille, nous abordons précisément l'actualité de la médecine tropicale : les flambées qui, ces derniers mois, ont mobilisé infectiologues, virologues, parasitologues et épidémiologiste. Mpox, dengue et Ebola... Quelle prise en charge pour la population ? Peut-on évaluer les conséquences aujourd'hui, sur le plan de la santé tropicale, de la baisse des financements internationaux dans le domaine de la santé et de la remise en cause, dans la parole publique, du savoir scientifique, en particulier dans le domaine de la vaccinologie ? Émission délocalisée à Marseille, à l'occasion des « Actualités du Pharo », les rencontres francophones de médecine et de santé publique tropicale, à l'Hôpital de la Timone. - Réalisation : Tiffanie Menta - Pr Christophe Rapp, infectiologue à l'Hôpital Américain de Paris à Neuilly, en région parisienne. Président de la Société française de médecine des voyages. Pr Marie-Lise Gougeon, immunologiste et professeur à l'Institut Pasteur. Dr Catherine Bertrand-Ferrandis, vétérinaire, spécialisée en communication des risques et gestion d'infodémie. Dr Cheick Oumar Doumbia, médecin épidémiologiste, référent en épidémiologie et recherche opérationnelle, MSF WaCA (Abidjan). Programmation musicale : ► Hope Tala – Phoenix ► James BKS – Wetin U Go Choose ⇒ Pour aller plus loin : Les rapports de gestion d'infodémie de l'AIRA (Alliance africaine de lutte contre l'infodémie) [lien en anglais] Le collectif femmes de santé
Liebe Leute,mein Gast ist Michael Nuss, einer der wenigen deutschsprachigen Wim-Hof-Trainer, der Menschen seit Jahren ins kalte Wasser begleitet. Wir sprechen darüber, warum Kälte nicht nur eine Herausforderung, sondern auch eine echte Quelle von Kraft, Gesundheit und innerer Ruhe sein kann. Michael erklärt, was im Körper passiert, wenn wir ins Eisbad steigen, wie man sicher und Schritt für Schritt damit anfängt.Anschließend gibt es in der Sprachanalyse (27:50) wieder interessanten Wortschatz wie die Frostbeule, schwindelig, oder Redewendungen wie Blut lecken.Viel Freude beim Zuhören!Euer RobinFlemming und Davids 4-monatiges Premium Programm C1 Fluency Sprint:https://copecart.com/products/4f9cc412/p/aufdeutschgesagtZu Michael Nuss:https://michaelnuss.de/Zum Wortschatz-Wochenende 2026:Wortschatz-Wochenende 2026 - Auf Deutsch gesagt!Hier geht es zum Handout:https://www.dropbox.com/scl/fi/dj5mjaaq0lcczd6b1bj3c/Episode_151_Eisbanden-mit-Michael-Nuss_Handout.pdf?rlkey=yozr3foq99ccvmuoyimk5driw&dl=0Das Transkript und viele weitere Extras gibt es auf Patreon:https://www.patreon.com/aufdeutschgesagtZum Newsletter:https://aufdeutschgesagt.us21.list-manage.com/subscribe?u=530247c810b1c462df23c5ff9&id=b3c548b8d1Wer meine Arbeit finanziell unterstützen will, der kann das hier tun:https://paypal.me/aufdeutschgesagt?locale.x=de_DEE-Mail:auf-deutsch-gesagt@gmx.deHomepage:www.aufdeutschgesagt.deFolge dem Podcast auch auf diesen Kanälen:Facebook:https://www.facebook.com/pages/category/Podcast/Auf-Deutsch-gesagt-Podcast-2244379965835103/Instagram:www.instagram.com/aufdeutschgesagtYouTube:https://www.youtube.com/aufdeutschgesagtHier geht es zum Podcast auf anderen Seiten:https://plinkhq.com/i/1455018378?to=page Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:03:56 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Amalia s'inquiète d'une invasion par les robots sur terre. Laure de Roucy-Rochegonde, directrice du Centre géopolitique des technologies de l'Ifri lui explique qu'il y a plus à craindre de la singularité technologique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tu te demandes si c'est vraiment possible de vivre de ton podcast ? Sans vendre de formations, ni freelancer à côté ?C'est exactement ce qu'a réussi à faire Clervie Rose, créatrice du podcast Oser la reconversion, écouté par des milliers de personnes chaque semaine. En moins de 6 mois, elle a décroché ses premiers sponsors… et aujourd'hui, elle vit à 100% de son podcast.Dans cet épisode, elle partage les coulisses de son modèle économique et te livre ses meilleures stratégies pour passer à la monétisation :
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La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Patrick Weil, historien et chercheur au CNRS, revient dans cet extrait sur un épisode clé de l'histoire de France : la séparation de l'Église et de l'État. Dans un contexte politique et géopolitique tendu aujourd'hui, où la place du religieux dans le débat public est plus que jamais questionnée, il m'a semblé essentiel de remettre en lumière ce moment charnière.Le terme de laicité est très utilisé mais pour servir des propos qui sont en décalage avec le sujet initial.Dans cet épisode, nous parlons de la manière dont l'Église s'est mêlée des affaires politiques françaises à la fin du XIXe siècle, en soutenant des causes monarchistes ou en s'opposant ouvertement à la République, jusqu'à provoquer un tournant historique. J'ai questionné Patrick Weil sur le rôle décisif d'Aristide Briand et de Clémenceau, sur la crise des inventaires, mais aussi sur la stratégie politique mise en place pour préserver la paix civile tout en affirmant fermement la laïcité.Cet échange met en lumière une leçon essentielle : la loi de 1905 n'est pas née d'un affrontement brutal, mais d'une volonté de compromis éclairé, pour garantir la liberté de culte tout en protégeant l'espace public des pressions religieuses. Une réflexion toujours aussi brûlante aujourd'hui.5 citations marquantes« Aucun chandelier ne vaut une vie humaine. » – Clémenceau« Le pape voulait faire des martyrs, il ne fallait pas lui en donner l'occasion. »« La loi de 1905, c'est la liberté pour tous, sans domination d'aucun. »« L'Église appelait depuis ses chaires à voter contre les républicains. »« Comment le pape peut-il ordonner au président de la République où voyager ? »10 questions posées dans l'interviewComment l'Église a-t-elle réagi à la volonté de séparation d'avec l'État ?Pourquoi a-t-on voulu séparer la religion de l'État en France ?Quelle était la place de l'Église dans la République avant 1905 ?Quelles conséquences a eu le soutien de l'Église à la monarchie ?Quel rôle l'Église a-t-elle joué dans l'affaire Dreyfus ?Comment a été élaborée la loi de séparation de 1905 ?Quelle a été la réaction du Vatican à cette loi ?Pourquoi y a-t-il eu des violences lors des inventaires ?Quelle stratégie Aristide Briand et Clémenceau ont-ils choisie ?En quoi cette crise nous éclaire-t-elle sur notre rapport actuel à la laïcité ?Timestamps clés (optimisé YouTube)00:00 – Introduction de l'épisode par Grégory Pouy00:28 – Le mélange religion/État sous l'Ancien Régime et Napoléon02:18 – L'implication politique de l'Église jusqu'à l'affaire Dreyfus03:15 – Les prémices de la loi de 1905 avec Aristide Briand04:06 – L'incident diplomatique déclencheur avec le pape05:19 – Réaction de l'Église de France et opposition du Vatican06:14 – Briand et Clémenceau : une mise en œuvre politique risquée07:53 – L'hésitation face à la déchéance de nationalité des évêques08:48 – Offensives contre l'école publique et ripostes légales Suggestion d'épisode à écouter : #207 Comprendre la tension autour de la laïcité avec Patrick Weil (https://audmns.com/oavleuD)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le budget, la droite, le Président lui-même (?) auront eu raison de Sébastien Lecornu qui restera comme le plus court locataire de Matignon. Quelle solution de sortie? Dissolution, Premier ministre de gauche, démission du président ?
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Face au mouvement de contestation de la Gen Z, le président Andry Rajoelina entend jouer l'apaisement et le retour à la sécurité. Notamment avec la nomination lundi d'un nouveau Premier ministre, en l'occurrence… un militaire. Le général Fortunat Ruphin Zafisambo aura fort à faire… « Outre le rétablissement de l'ordre public, pointe L'Express à Antananarivo, les axes de priorité du général sont de résoudre rapidement les problèmes d'eau et d'électricité, de redresser l'économie, d'améliorer les conditions de vie des jeunes, notamment dans les universités ». Le tout avec « un accent particulier sur "une lutte rigoureuse contre la corruption sous toutes ses formes, l'assainissement de l'administration publique et la mise en place d'une gestion transparente des affaires publiques" ». Commentaire du journal : « le général Zafisambo devra surtout convaincre l'opinion publique, notamment ceux qui descendent quotidiennement dans la rue depuis le 25 septembre. Convaincre qu'il incarne vraiment la rupture avec des pratiques jugées désuètes et inefficaces ». Rétablir la confiance ? Sitôt arrivé à la primature, le nouveau Premier ministre « s'est engagé dans une véritable manœuvre de consolidation de son pouvoir, relève pour sa part Madagascar Tribune, autre quotidien malgache. Moins de 24 heures après sa désignation, trois figures issues des corps militaires et policiers ont été nommées à des postes clés. Une stratégie claire, affirme le journal : placer la sécurité au centre de l'action politique, dans un contexte où les tensions sociales et les manifestations continuent d'ébranler la capitale et le pays. (…) Le chef de l'État veut reprendre la main sur une situation critique et tenter de redresser la barre, poursuit Madagascar Tribune. Il a fixé comme priorité de lever le couvre-feu, actuellement en vigueur de 20 heures à 4 heures du matin dans la capitale, une mesure qu'il estime préjudiciable à l'économie nationale, notamment au secteur du tourisme. L'objectif officiel : rétablir la confiance, permettre à chacun de travailler et circuler librement, et donner un signal d'apaisement. (…) Reste à savoir si cette stratégie de fermeté ramènera la stabilité… ou renforcera la défiance. » La Gen Z toujours aussi déterminée… Pas sûr que l'arrivée de militaires à la tête et au sein du gouvernement soit un signal positif en direction de la jeunesse contestataire… C'est ce que souligne Afrik.com : « depuis plusieurs semaines, la jeunesse malgache, menée par le collectif Gen Z, réclame des réponses concrètes : eau potable, accès à l'électricité, fin de la corruption et surtout, respect du droit de manifester. En retour, elle reçoit des gaz lacrymogènes, des arrestations, et désormais, un général aux commandes. (…) Ce que veut la Gen Z, c'est du respect, pas des matraques, affirme encore Afrik.com. (…) Opposer un général à une génération, c'est faire le choix de la confrontation plutôt que de la réforme. C'est risquer l'escalade, alors que la tension est déjà maximale dans plusieurs villes du pays ». D'ailleurs, le mouvement Gen Z a appelé à la grève générale et à manifester ce jeudi. Hier, il a boycotté une rencontre avec le chef de l'État et réclame toujours sa démission… Aujourd'hui à Ouagadougou s'interroge : « sous quel jour vont se réveiller les Malgaches ce matin ? La grève générale sera-t-elle suivie ? L'étau de la Gen Z se resserre autour du président. Quelle manœuvre emploiera-t-il pour sauver son fauteuil ? Et quelle sera la posture de l'armée, laquelle jusqu'à présent ne s'en est pas mêlée ? » L'économie malgache en berne… En attendant, l'économie malgache tourne au ralenti… C'est ce que constate Le Monde Afrique : « les commerçants et la myriade de marchands ambulants qui, chaque jour, sillonnent les rues pour gagner quelques milliers d'ariary ne sont pas les seuls à subir le ralentissement de l'activité provoquée par la crise qui secoue la Grande Ile. Le couvre-feu instauré à 20 heures à Antananarivo et dans d'autres villes de province, le spectacle de la répression des manifestants et des rues enfumées par les tirs de gaz lacrymogène a provoqué d'importantes annulations dans le secteur touristique, dont le pays tire l'une de ses principales sources de devises étrangères ». Et Le Monde Afrique de citer cette remarque désabusée de la présidente de la Chambre de commerce et d'industrie France- Madagascar : « depuis la crise du Covid-19, un travail important avait été mené pour relancer l'attractivité de Madagascar. Pour des secteurs comme le tourisme, tout s'est effondré d'un seul coup, affirme-t-elle, et il va falloir recommencer ».
C dans l'air du 8 octobre 2025 - Crise politique : que va faire Macron ?Un Premier ministre de gauche succédera-t-il à Sébastien Lecornu ? C'est le scénario qui monte alors que la réforme des retraites pourrait être suspendue pour convaincre les socialistes et se lier aux macronistes. « On ne doit pas faire de cette réforme un totem », la petite phrase hier d'Elisabeth Borne dans les colonnes du Parisien a ouvert la voie à cette possibilité. Reçu ce matin à Matignon, Olivier Faure a cependant déploré n'avoir reçu « aucune assurance sur la réalité de la suspension » de cette réforme. De son côté, l'écologiste Marine Tondelier affirme toutefois « qu'on a jamais été aussi proches d'avoir un Premier ministre de gauche ». Un peu plus tôt ce matin, le Premier ministre démissionnaire a lui évoquer dans une allocution « une volonté partagée de trouver un budget qui éloigne les perspectives de dissolution ». Il s'exprimera ce soir au 20h de France 2, tandis que le chef de l'Etat reste muet depuis sa démission. De son côté, Marine Le Pen estime que « la blague a assez durée », qu'elle censurerait à présent « tout » jusqu'à une dissolution. Les insoumis aussi réclament des élections anticipées, ils affirment qu'ils censureront un gouvernement où les socialistes seraient mêlés aux macronistes.À droite, une suspension de la réforme des retraites n'est pas souhaitée, et il est fort à parier que LR censure eux aussi un gouvernement de gauche. En cas de duel RN - gauche à des législatives, LR pourrait ne pas suivre le front républicain. Hier, le chef du parti, Bruno Retailleau, a déclaré qu'« aucune voix ne devait aller à la gauche » au second tour de la législative partielle dans la 1ere circonscription du Tarn-et-Garonne qui opposera le PS à l'alliance RN/UDR ce 12 octobre.Pendant ce temps, Emmanuel Macron n'a jamais été aussi isolé et ses alliés historiques le lâchent les uns après les autres : Gabriel Attal a affirmé « ne plus comprendre ses choix », Edouard Philippe l'appelle à partir. C dans l'air est allé à la rencontre de Sibeth Ndiaye, macroniste de la première heure et ancienne porte-parole du gouvernement Philippe. Si elle regrette les lois immigration votées ces dernières années, elle continue de soutenir le président de la République.. Alors, que va faire Macron a l'issue de ces ultimes concertations ? N'y a t-il plus de front républicain à droite ? Quelle est l'analyse de Sibeth Ndiaye sur l'évolution du macronisme ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique à Franc-Tireur- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef, service politique du Point- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique à Franceinfo- Dominique ROUSSEAU - Constitutionnaliste, professeur à l'École de Droit de la Sorbonne
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'exode des habitants de Kidal au Mali, des raids de drones ukrainiens en Russie et le déploiement de la garde nationale dans deux nouvelles villes américaines. Madagascar : un général à la tête du gouvernement Une semaine après avoir limogé son gouvernement, sous la pression de la jeunesse, le président Andry Rajoelina a nommé le général Ruphin Fortunat Zafisambo au poste de Premier ministre. Pourquoi le choix s'est-il porté sur un militaire ? Que pense le collectif «Gen Z Madagascar» de cette nomination ? Avec Guilhem Fabry, correspondant de RFI à Antananarivo. Mali : la ville de Kidal se vide de ses habitants Face aux affrontements entre l'armée malienne et les rebelles du Front de libération de l'Azawad qui ont imposé un blocus à Kidal, de nombreux civils ont fui la ville du Nord. Sait-on où ces personnes ont-elles trouvé refuge ? Comment expliquer ce blocus ? Avec David Baché, journaliste au service Afrique de RFI. Guerre en Ukraine : la Russie frappée par des raids massifs de drones ukrainiens Kiev a rarement lancé autant de drones sur la Russie. Moscou affirme en avoir intercepté 251, dans la nuit de dimanche à lundi, et plus de 200 la nuit suivante. Pourquoi l'Ukraine a-t-elle choisi d'intensifier ses frappes maintenant ? Quelle était la cible principale de ces drones ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative. États-Unis : déploiement de soldats dans de nouvelles villes Après Los Angeles et Washington, Donald Trump a ordonné le déploiement de la Garde nationale à Chicago et à Portland. Ces deux villes représentent-elles une menace pour la sécurité nationale, comme l'affirme la Maison Blanche ? Avec William Genieys, directeur de recherche au CNRS à Sciences Po.
Tu te demandes si c'est vraiment possible de vivre de ton podcast ? Sans vendre de formations, ni freelancer à côté ?C'est exactement ce qu'a réussi à faire Clairvie Rose, créatrice du podcast Oser la reconversion, écouté par des milliers de personnes chaque semaine. En moins de 6 mois, elle a décroché ses premiers sponsors… et aujourd'hui, elle vit à 100% de son podcast.Dans cet épisode, elle partage les coulisses de son modèle économique et te livre ses meilleures stratégies pour passer à la monétisation :
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
En RDC, des combats ont repris depuis quelques jours dans l'Est du pays, mais le gouvernement refuse de dramatiser. « Les indicateurs sur le retrait des troupes rwandaises de notre territoire ne sont pas encore visibles, mais nous sommes confiants qu'on va atteindre l'objectif de la paix », affirme le vice-Premier ministre congolais Jacquemain Shabani. De passage à Paris, Jacquemain Shabani, qui est aussi ministre de l'Intérieur, de la sécurité et de la décentralisation, s'exprime aussi sur ce qu'il appelle « le génocide perpétré dans l'Est du Congo depuis 30 ans ». Il répond aux questions de Patient Ligodi et Christophe Boisbouvier. RFI : Monsieur le vice-Premier ministre Jacquemin Shabani, le 27 juin dernier, le Congo et le Rwanda ont signé à Washington un accord de paix. Mais depuis une semaine, les combats reprennent au Nord et au Sud Kivu. Est-ce à dire que la guerre a recommencé ? Jacquemin Shabani : Je ne pourrais pas dire que la guerre a recommencé, parce qu'effectivement, il y a eu cet accord de paix signé à Washington. Il y a eu aussi une déclaration de principe signée à Doha et des mesures de confiance qui vont être mises en exécution dans le prochain accord qui va être signé aussi là-bas. Je crois qu'il faut arriver à considérer que nous sommes dans un processus qui a pour objectif de mettre en place une paix dans un contexte de conflit assez difficile. Le plus important pour nous tous, c'est de retenir le fait qu'il y a un processus de paix enclenché avec des initiatives effectivement à Washington, comme vous l'avez souligné, mais aussi à Doha, qui sont en cours et qui vont nécessairement se finaliser par une paix durable. Parce que c'est ça, l'objectif. Et la prise, il y a quelques jours, par les rebelles du M23 de la localité de Nzibira, au Sud Kivu. Quelle est votre réaction ? Ça entre dans le cadre de ce que vous venez de souligner. Et il y a un mécanisme mis en place à Washington, et même à Doha, de surveillance de tous ces incidents. Et dans ce contexte-là, toutes ces questions vont trouver des règlements. À lire aussiEst de la RDC: l'AFC/M23 en quête de gains territoriaux autour de Shabunda Recrutement de policiers, recrutement de magistrats. Le M23 s'enracine dans les deux territoires du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. Il commence même à délivrer des documents administratifs, ce qui, pour le ministre de l'Intérieur et de la sécurité que vous êtes, doit être difficile à supporter. Est-ce que ce n'est pas le signe que le M23 veut s'installer dans la durée ? Le M23 est dans effectivement des initiatives que je pourrais qualifier de distraction. Mais je reviens encore à ce que je vous ai dit au début, nous sommes avec le M23 à Doha en discussion. Le M23, effectivement, s'invite à la mise en place d'une administration parallèle dans le cadre de sa rébellion. Mais tout ça est pris en charge aussi dans l'initiative de Doha. Et si vous lisez la déclaration de principe que le gouvernement a signée avec le M23, nous identifions des procédures de règlement de toutes ces situations malencontreuses mises en œuvre par le M23. Tout ça est pris en charge dans la déclaration de principe, avec une projection sur un accord de paix qui va nous permettre de rétablir l'État dans sa juste position. Et on identifie ça dans la restauration de l'autorité de l'État après la cessation du conflit. Selon un communiqué conjoint que vous avez signé le 24 septembre avec le Rwanda, vos deux pays doivent mettre en œuvre, à partir de ce 1ᵉʳ octobre, des mesures de sécurité. Mais il y a quelques jours, aux Nations-Unies, le président Tshisekedi a accusé son homologue rwandais, Paul Kagamé, de manœuvres pour retarder la paix. Oui, parce que les indicateurs sur le processus de retrait, malheureusement, ne sont pas encore visibles. Et pourtant, nous avons signé à Washington. Donc, je crois que le discours du chef de l'État, Félix Tshisekedi, est une pression de plus qui permette à ce que ces forces négatives se retirent du territoire congolais. Donc en fait, ça n'avance pas ? Si c'est votre conclusion, elle est la vôtre. Nous, nous sommes dans un processus et nous sommes engagés à le faire avancer. Et nous sommes confiants que la paix est un objectif que nous allons atteindre, et nous travaillons pour cela. À la tribune de l'ONU, le 23 septembre, le président Tshisekedi a lancé un appel solennel pour la reconnaissance du génocide des Congolais dans l'Est de votre pays. Réponse du ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe : « Un génocide contre qui ? Contre des ethnies non Tutsies ? Contre toutes toutes celles qu'on chercherait à détruire en tant que telles ? Cette proposition est stupide ». De quoi je me mêle ? Est-il ministre de la République démocratique du Congo ? Non. Qu'est-ce qui l'embête à nous voir, nous Congolais, parler de notre pays, réclamer justice sur les souffrances et les meurtres qu'ont subies les populations congolaises ? Se sent-il coupable ? Moi, je crois que ce sont les grandes préoccupations qu'il faut se poser. Lorsqu'un ministre d'un gouvernement étranger se préoccupe autant des droits que réclame un président élu légitimement par ses concitoyens, se sent-il coupable de ce génocide ? C'est la question majeure qu'il faut se poser. Et lorsqu'on trouvera ensemble tous la réponse, je crois qu'effectivement, tel que nous sommes en train de le réclamer, ce génocide sera reconnu universellement et on aura identifié le coupable réel du génocide congolais. À lire aussiRDC: la question du retour des réfugiés au coeur des discussions de paix avec l'AFC/M23 et le Rwanda
Tu te demandes si c'est vraiment possible de vivre de ton podcast ? Sans vendre de formations, ni freelancer à côté ?C'est exactement ce qu'a réussi à faire Clervie Rose, créatrice du podcast Oser la reconversion, écouté par des milliers de personnes chaque semaine. En moins de 6 mois, elle a décroché ses premiers sponsors… et aujourd'hui, elle vit à 100% de son podcast.Dans cet épisode, elle partage les coulisses de son modèle économique et te livre ses meilleures stratégies pour passer à la monétisation :
A 10h, ce mardi 7 octobre 2025, les GG : Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Yves Camdeborde, chef restaurateur, débattent de : Chaos politique, dissolution ou démission, quelle solution ?
Ce matin, on vous demande votre flemme absolue. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parmi toutes les légendes japonaises, celle des 47 rônins occupe une place à part. Elle incarne l'essence du bushidô, le code d'honneur des samouraïs, et raconte comment des hommes décidèrent de sacrifier leur vie pour venger leur maître.Tout commence en 1701, sous le shogunat Tokugawa. Asano Naganori, seigneur du domaine d'Akô, est chargé d'accueillir des envoyés impériaux au château d'Edo. Pour l'aider, on lui assigne Kira Yoshinaka, un haut fonctionnaire réputé pour sa cupidité. Kira attend des cadeaux et des pots-de-vin, mais Asano, jeune seigneur intègre, refuse de céder. L'humiliation grandit entre les deux hommes.Un jour, excédé par les insultes, Asano dégaine son sabre et blesse Kira dans le château du shogun. Or, dégainer une arme dans ce lieu sacré est un crime impardonnable. Asano est immédiatement condamné au seppuku, le suicide rituel, et ses terres confisquées. Ses samouraïs deviennent alors des rônins, des guerriers sans maître.À la tête de ces hommes se trouve Ôishi Kuranosuke. Officiellement, il se résigne, mène une vie dissolue et semble avoir abandonné toute idée de vengeance. Mais c'est une ruse. Pendant près de deux ans, il cache ses intentions, laissant ses ennemis croire que les anciens vassaux d'Asano ont perdu tout esprit combatif.Dans l'ombre pourtant, Ôishi et quarante-six compagnons préparent minutieusement leur revanche. Ils étudient les habitudes de Kira, la disposition de sa demeure et attendent le moment propice. Dans la nuit glaciale du 14 décembre 1702, ils passent à l'action. Armés de sabres et d'arcs, ils prennent d'assaut la résidence de Kira. Le combat est bref mais violent. Finalement, ils trouvent Kira caché dans une remise. Il est exécuté sur place, et sa tête tranchée est déposée sur la tombe d'Asano, au temple Sengaku-ji.Le Japon tout entier est bouleversé. D'un côté, les rônins ont violé la loi en commettant un meurtre prémédité. De l'autre, ils ont respecté jusqu'au bout l'honneur de leur seigneur. Le shogun hésite, puis tranche : les 47 rônins ne seront pas traités comme de vulgaires criminels, mais devront accomplir le seppuku. Ils meurent donc dignement, rejoignant leur maître dans la mort.Leur tombe au temple Sengaku-ji, à Tokyo, est devenue un lieu de pèlerinage. Aujourd'hui encore, l'histoire des 47 rônins reste un symbole de loyauté, de sacrifice et de fidélité inébranlable, rappelant qu'au Japon, l'honneur pouvait valoir plus que la vie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on évoque les grandes civilisations précolombiennes, deux noms surgissent immédiatement : les Mayas et les Incas. Pourtant, si elles ont toutes deux marqué l'histoire de l'Amérique, elles sont très différentes dans leur localisation, leur organisation et leurs héritages.Les Mayas apparaissent bien avant les Incas. Leur civilisation se développe dès 2000 avant notre ère, dans les forêts tropicales du Yucatán, au sud du Mexique, ainsi qu'au Guatemala, au Belize et au Honduras actuels. Les Incas, eux, émergent beaucoup plus tard, au XIIIᵉ siècle, dans la cordillère des Andes, principalement au Pérou. Cette différence chronologique explique déjà un contraste : quand l'empire inca atteint son apogée au XVe siècle, les grandes cités mayas étaient déjà abandonnées depuis longtemps.Sur le plan politique, le contraste est frappant. Les Mayas n'avaient pas un empire unifié mais une mosaïque de cités-États indépendantes, comme Tikal, Palenque ou Copán, qui rivalisaient entre elles par des guerres et des alliances. Les Incas, au contraire, fondèrent un empire centralisé : le Tawantinsuyu. Depuis Cuzco, l'empereur, appelé le Sapa Inca, exerçait un pouvoir absolu sur des millions de sujets et un territoire immense s'étendant de la Colombie jusqu'au Chili.Sur le plan culturel, les Mayas brillèrent surtout par leur écriture et leurs connaissances scientifiques. Ils développèrent un système d'écriture hiéroglyphique complexe, unique en Amérique, qui permettait de noter aussi bien des événements politiques que des récits mythologiques. Ils élaborèrent également un calendrier extrêmement précis, basé sur l'astronomie, et laissèrent des monuments impressionnants comme les pyramides de Chichén Itzá. Les Incas, eux, ne connaissaient pas l'écriture. Pour conserver la mémoire des tributs ou des recensements, ils utilisaient les quipus, des cordelettes nouées dont les combinaisons servaient de code numérique. Leur génie s'exprima surtout dans l'ingénierie : routes pavées traversant les Andes, ponts suspendus, systèmes d'irrigation et villes perchées comme Machu Picchu.Enfin, leurs religions différaient. Les Mayas pratiquaient des rituels sanglants pour apaiser leurs dieux, y compris des sacrifices humains. Les Incas, eux, adoraient surtout Inti, le dieu Soleil, et considéraient l'empereur comme son descendant direct. Leurs sacrifices humains existaient, mais étaient plus rares et souvent réservés à des moments exceptionnels.En somme, les Mayas furent des astronomes et des scribes brillants, mais fragmentés politiquement. Les Incas, eux, bâtirent un empire solide et organisé, mais sans écriture. Deux civilisations fascinantes, qui montrent la diversité et la richesse des mondes précolombiens bien avant l'arrivée des Européens. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
On confond souvent avidité et cupidité, comme si ces deux termes désignaient la même soif insatiable. Pourtant, ils recouvrent des nuances importantes, tant sur le plan psychologique que moral.L'avidité est d'abord un élan intérieur, une pulsion tournée vers la possession ou la consommation. C'est un désir intense, presque animal, d'obtenir toujours plus : plus de nourriture, plus de pouvoir, plus de plaisir. L'avidité se manifeste dans une recherche sans fin, où ce que l'on obtient n'apaise jamais durablement le besoin. Elle peut être matérielle, mais aussi symbolique : une avidité de reconnaissance, d'expériences, d'influence. Le philosophe Spinoza la décrivait déjà comme une passion qui naît du manque et qui s'auto-entretient.La cupidité, elle, est plus précise et plus ciblée. C'est l'amour excessif de l'argent et des richesses matérielles. Être cupide, c'est vouloir accumuler sans relâche de l'or, des biens, des profits, parfois au mépris de l'éthique ou de la justice. Là où l'avidité est une faim généralisée, la cupidité est une obsession particulière pour l'avoir monétaire. Dans l'imaginaire collectif, on pense à l'usurier, au banquier véreux, ou au personnage de l'oncle Picsou, dont la fortune s'accumule dans un coffre géant qu'il ne cesse de remplir.Ces deux notions diffèrent aussi dans leur rapport au monde. L'avidité peut toucher n'importe qui, dans n'importe quel domaine. Un scientifique peut être avide de savoir, un sportif avide de victoires. Cette avidité n'est pas toujours négative : elle peut stimuler la créativité, l'innovation, le dépassement de soi. Mais poussée à l'excès, elle devient destructrice, car elle ne laisse jamais de place à la satisfaction ni à la sérénité. La cupidité, au contraire, porte en elle une connotation presque toujours péjorative. Elle enferme l'individu dans la quête de profit matériel, souvent au détriment d'autrui.On pourrait dire que la cupidité est une forme spécialisée d'avidité : elle en est une branche, centrée sur l'argent. Mais elle a pris dans l'histoire une telle importance morale qu'elle est devenue l'un des sept péchés capitaux du christianisme. L'avidité, elle, ne figure pas dans cette liste, car elle peut encore se décliner sous des formes neutres ou positives.En résumé, l'avidité est une soif sans limite, la cupidité une soif d'argent. L'une peut être moteur ou poison selon le contexte, l'autre est presque toujours perçue comme un vice. Comprendre cette différence, c'est mieux saisir comment nos désirs façonnent nos comportements et parfois nos excès. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:57:49 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Qu'est-ce qu'une histoire populaire de la France ? Une histoire à propos du peuple, qui met en lumière son agentivité, ainsi que sa diversité ? Comment cette démarche peut-elle également faire œuvre de transmission, à travers la vulgarisation et la bande dessinée ? - réalisation : Thomas Beau, Laurence Millet - invités : Laurence De Cock Historienne, chargée de cours en didactique de l'histoire et sociologie du curriculum à l'Université de Paris, spécialiste de l'histoire de l'éducation et de l'école; Sylvain Venayre Historien, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Grenoble-Alpes
durée : 00:58:46 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Comme chaque semaine, zoom sur l'actualité : de l'ISF à la taxe Zucman, pourquoi la taxation des grandes fortunes inclut ou pas celle des biens professionnels ? Entamons ensuite notre histoire de la politique de l'offre (ép. 1/2), en remontant le fil des investissements technologiques français. - réalisation : Sorj Leroy - invités : François Geerolf Économiste à l'OFCE, chercheur et professeur associé à Sciences Po Paris; Martin Baloge Docteur en science politique et enseignant-chercheur à l'Université Catholique de Lille; Jean-Baptiste Devaux Sociologue, maître de conférences en sociologie à Grenoble INP - Université de Grenoble et chercheur au laboratoire PACTE
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✨ Suis-moi sur Instagram : instagram.com/laurita.socaliente/ Beaucoup ont peur de vieillir, et je vous comprends. Quelle angoisse de se dire que tout est éphémère. Mais pas de panique, voici un épisode good vibes, et les réflexions abordées : - Vieillir est un privilège que peu ont. - Votre legacy, c'est le nombre de vies que vous touchez. - Continuer d'avoir des conversations avec les jeunes. - Ce qui nous retient c'est nos responsabilités. - Pas besoin d'agir comme si on avait l'âge qu'on a juste parce qu'on attend cela de nous. - La peur n'arrête pas la mort, elle arrête la vie. Et bien d'autres réflexions. A tout de suite ;)
Découvrons la nouvelle vie de Felicia, notre petit moineau, qui a quitté le lycée pour l'université de Paris Nanterre. Est-ce que ça lui plaît? Est-ce que c'est loin de la maison? Qu'est-ce qui est nouveau? Parle-t-elle à des gens? A-t-elle goûté le restaurant universitaire (le CROUS!!)? Quelle est la température du bassin de la piscine? Continue-t-elle l'italien? Vous trouverez les réponses à toutes ces questions brûlantes dans cet épisode.
C dans l'air du 3 octobre 2025 - Poutine contre la « militarisation de l'Europe »« J'observe la militarisation de l'Europe et promets une réponse aux menaces ». Cette déclaration hier de Vladimir Poutine intervient au moment où les pays européens multiplient les investissements militaires. Les Vingt-Sept cherchent à se protéger après les intrusions de drones attribuées à la Russie. Hier encore, un survol de drones dans le ciel allemand a conduit à la suspension de l'aéroport de Munich durant la nuit.Le ton pris hier par Poutine se voulait belliqueux. Le président russe accuse l'Europe de mener « une escalade permanente » du conflit russo-ukrainien. Il s'en est notamment pris à la France après l'interception d'un pétrolier russe au large de Saint-Nazaire, « c'est de la piraterie », a-t-il déclaré. Le ton était plus clément à l'égard des États-Unis, même s'il a estimé que l'envoi de missiles longue portée américains Tomahawk à Kiev serait une « nouvelle escalade » entre Moscou et Washington.Pendant ce temps, côté américain, Donald Trump continue de se rêver en faiseur de paix, et d'obtenir le Prix Nobel. C dans l'air a rencontré John Bolton, son ancien conseiller, à présent son son opposant. Il critique la politique étrangère de Trump, et estime que celui-ci se fait mener en bateau par Poutine. Il pointe aussi la dérive dictotariale du milliardaire. Trump, lui, a fait comprendre jeudi dernier qu'il fallait embrasser son idéologie ou prendre la porte. Lors d'un rassemblement réunissant les haut gradés de l'armée américaine, le locataire de la Maison balnche a souligné que les Etats-Unis sont sujets à « une invasion de l'intérieur » qu'il s'agit de stopper. Dans son viseur : les immigrés sans papiers, la presse ou encore ses opposants. De son côté, Pete Hegseth, le chef du Pentagone, a assuré que le choix des militaires déployés pour combattre répondrait désormais "au plus haut standard masculin".Alors, faut-il prendre au sérieux les menaces de Poutine ? Quelle est l'analyse de John Bolton sur la politique de Trump ? Qui sont ces « ennemis de l'intérieur » pointés du doigt par le président américain ?LES EXPERTS :- Anthony Bellanger - Éditorialiste à Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- Marie Jégo - Journaliste au Monde, ancienne correspondante en Russie- Nicole Bacharan - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Michel Goya - Colonel, expert en stratégie militaire
Aujourd'hui, quand on dit qu'un récipient est “hermétiquement fermé”, on pense à un couvercle parfaitement étanche, qu'aucune goutte d'air ou de liquide ne peut traverser. Mais l'histoire du mot est bien plus ancienne et surprenante : elle nous mène aux pratiques mystérieuses des alchimistes et au dieu grec Hermès.Dans l'Antiquité tardive et au Moyen Âge, l'alchimie se présentait comme une quête à la fois scientifique et spirituelle. Les alchimistes cherchaient à transformer les métaux, à fabriquer la pierre philosophale ou à atteindre l'immortalité. Leur savoir, souvent codé et réservé à quelques initiés, fut désigné par le terme hermétisme. Pourquoi ce nom ? Parce que leur tradition se réclamait d'Hermès Trismégiste, figure mythique associée à la sagesse. Ce personnage, mélange du dieu grec Hermès et du dieu égyptien Thot, était censé avoir transmis aux hommes des textes ésotériques décrivant les secrets du cosmos et de la matière.L'adjectif hermétique servait donc d'abord à qualifier tout ce qui se rapportait à cette doctrine occulte, réputée incompréhensible pour le commun des mortels. C'est de là qu'est né le sens figuré que nous connaissons encore : un discours “hermétique” est obscur, réservé aux initiés.Mais le mot a pris aussi un sens beaucoup plus concret grâce aux pratiques mêmes des alchimistes. Dans leurs laboratoires, ils utilisaient des bocaux et des cornues pour réaliser leurs expériences. Or, pour que leurs réactions chimiques aboutissent, il fallait absolument empêcher l'air extérieur de pénétrer et sceller parfaitement les récipients. Ils ont ainsi mis au point des techniques de fermeture avec de la cire, des soudures ou des scellements divers. On parlait alors de récipients “fermés à la manière des hermétistes”, autrement dit des alchimistes. Peu à peu, le terme “hermétique” a désigné non plus seulement un savoir secret, mais aussi un objet totalement clos, imperméable à l'air et à l'eau.C'est cette double filiation – symbolique et technique – qui explique la richesse du mot. L'hermétisme, doctrine ésotérique, a donné naissance à l'adjectif “hermétique” pour qualifier ce qui est obscur. Puis, par extension, et grâce aux méthodes pratiques de fermeture utilisées dans les laboratoires alchimiques, le terme a pris son sens moderne d'“étanche”.Ainsi, chaque fois que l'on ferme un bocal “hermétiquement”, on perpétue sans le savoir un héritage venu de l'alchimie et des mystères d'Hermès Trismégiste. Un mot du quotidien qui, derrière sa banalité, cache une histoire faite de mythes, de secrets et d'expériences en laboratoire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Tchad, le président Mahamat Idriss Déby s'ouvre la voie d'une présidence sans aucune limitation du nombre de mandats. En effet, le 13 octobre, l'Assemblée et le Sénat doivent se réunir en congrès à Ndjamena, en vue d'adopter une révision de la Constitution dans ce sens. Réaction aujourd'hui de Robert Gam, le secrétaire général du PSF, le Parti socialiste sans frontières. L'opposant tchadien – qui séjourne actuellement en France – témoigne d'abord sur ses huit mois de prison à Ndjamena, de septembre 2024 à juin 2025, sans la moindre procédure judiciaire. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous êtes un revenant. Après votre arrestation en septembre 2024 à Ndjamena, vous avez disparu pendant huit mois. Et une nuit du mois de juin dernier, un véhicule vous a déposé devant votre domicile de la capitale tchadienne. Qu'est-ce qui vous est arrivé ? Robert Gam : Oui, comme vous le dites, « revenant », prenons-le comme tel. J'ai été enlevé le 20 septembre 2024 alors que je rentrais d'une réunion politique. J'ai été enlevé et déposé au siège de l'ANS pendant huit mois et quinze jours. L'Agence nationale de sécurité…. Très bien. J'ai été déposé là-bas. J'ai mis huit mois et quinze jours sans qu'on ne m'ait signifié pourquoi j'ai été arrêté. Et pendant les huit mois, j'ai été malade. J'ai demandé qu'on me soigne. On a également refusé. Et curieusement, le 3 juin à 17h30, une ambulance est venue me chercher et là, on m'a emmené au bureau de l'ANS où il y a eu des questions qui m'ont été posées. Et après ces questions, à 1 h du matin, ils ont décidé donc de me déposer chez moi. C'est-à-dire que du 20 septembre au 2 juin, vous êtes resté détenu sans que personne ne vous interroge sur quoi que ce soit ? Non, non, non, rien du tout. Aucun interrogatoire ? Non. Rien. Est-ce que vous avez été maltraité ? Oui, on était très maltraité. Vous savez que la première intention de l'ANS, quand ils m'ont arrêté, c'était d'abord de m'exécuter, parce que j'ai mis plus de 30 minutes à genoux. J'étais entre un commando cagoulé que vous ne pouvez pas voir, et dans la cellule, vous savez qu'il n'y a pas de fenêtre. C'est une cellule construite en béton coulé. Le haut, le bas, c'était coulé. Et là, c'était le calvaire puisqu'il faisait extrêmement chaud. On n'avait pas de moustiquaire, on n'avait pas d'électricité et le repas qu'on nous donnait était de mauvaise qualité. Et l'eau qu'on nous donnait, ce n'était pas une eau potable. Vous êtes donc le secrétaire général du PSF, le Parti socialiste sans frontières, dont le président Yaya Dillo a été tué à Ndjamena le 28 février 2024, suite officiellement à des affrontements avec les forces de sécurité tchadienne. Et aujourd'hui, vous demandez une enquête indépendante. Pourquoi ? Nous pensons que le président Yaya Dillo a été exécuté parce qu'il n'y avait pas eu d'affrontement. Il ne peut y avoir un affrontement que quand deux parties se combattent. Et dans ce cas de figure, le président Yaya n'était pas armé et nous étions en train d'organiser un congrès pour présenter la candidature de notre président. Et subitement, un plan a été orchestré par le système en place qui voulait coûte que coûte éliminer la personne de Yaya Dillo Djerou Betchi. Mais qu'est-ce qui prouve que Yaya Dillo a été exécuté comme vous le dites ? Oui, c'est une exécution barbare et lâche parce qu'il a été exécuté d'une balle dans la tempe. À lire aussiMort de l'opposant Yaya Dillo au Tchad: «S'il s'était rendu, on n'en serait pas arrivé à cette extrémité» Alors, en février dernier, au micro de RFI, le porte-parole du gouvernement, le ministre Gassim Cherif Mahamat, a déclaré « Je comprends que les familles puissent s'impatienter, mais la justice fera son travail. Une commission d'enquête va se mettre en place » … Aujourd'hui, la justice tchadienne est instrumentalisée. Il n'y a pas de justice au Tchad. Vous allez attendre pendant longtemps. Les événements du 20 octobre 2022, il n'y a jamais eu un rapport d'enquête sur ces événements. Déjà, une plainte a été déposée par nos avocats ici en France, et nous attendons que justice soit faite. Mais comment pouvez-vous saisir la justice française à propos d'un homme politique tchadien ? Oui, nous pensons que les personnalités ayant participé à l'exécution de Yaya Dillo, parmi ces personnalités, il y a des personnes de double nationalité, franco-tchadienne. À qui pensez-vous ? Ce n'est pas le moment de vous le dire ici et nous pensons que le moment venu, nous allons dévoiler tout ça. Le 13 octobre prochain, l'Assemblée nationale et le Sénat tchadien doivent se réunir en congrès pour modifier la Constitution et établir un mandat présidentiel de sept ans, renouvelable sans aucune limitation. Quelle est votre réaction ? Nous avons rejeté en bloc ce projet parce que nous avons constaté que la motivation du gouvernement était tout simplement d'aller vers une dynastie. Et ces députés sont là pour faire la volonté d'une dynastie. Ils accompagnent tout simplement le pouvoir en place et ça ne nous surprend pas. Et là, nous déplorons cette attitude. Et que comptez-vous faire ? Les Tchadiens commencent à prendre conscience. Ils sont mobilisés. Nous allons nous battre par tous les moyens pour que le Tchad puisse vivre cette ère véritablement démocratique. À lire aussiMort de l'opposant Yaya Dillo au Tchad: retour sur le parcours d'un cousin trop gênant
On connaît Paul de Saint-Sernin pour ses punchlines dans Quelle Époque, mais derrière le rôle du sniper, il y a une vraie sensibilité. Dans cet extrait, il raconte son rapport aux critiques, le poids d'un message négatif face à des dizaines de compliments, et la difficulté d'accepter le désamour. Il parle aussi de nuance, d'ego, de réseaux sociaux et de ce qui l'anime vraiment quand il fait rire : l'envie d'aimer et d'être aimé.Pour retrouver notre conversation en intégralité rendez-vous ici : https://shows.acast.com/inpower/episodes/apprendre-a-accepter-ses-emotions-avec-paul-de-saint-sernin Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Épisode 1368 : Pourquoi mes contenus n'ont plus d'impact et comment y remédier ? Impact visuel =Mémorisation Valeur perçue de ma marqueCohérence avec ma culture de marqueImpact perf = Viralité hypothétique / Nombre de vues / interaction / taux d'engagement / visibilitéPortée organique VS portée virale vs portée payéePourquoi mes contenus n'ont plus d'impact visuel ?Petit à petit, happé par les sirènes de la viralité, j'ai commencé à suivre les trends, j'ai créé des contenus toujours plus éloignés de mon ADN de marque.J'ai cherché à produire tellement de contenu pour faire plaisir aux algorithmes que j'en ai oublié la qualité, la cohérence.Chaque contenu n'est plus unique, intelligible,J'ai fatigué mes audiences en produisant trop de contenuPourquoi mes contenus n'ont plus d'impact en terme de performance ?Chercher la viralité, c'est accepter d'échouer, échouer c'est accepter de ne pas performer 99 fois pour sur performer une fois. Si je suis drivé par la quête de viralité ou la quête ultime de performances, alors j'accepte aussi de créer des contenus qui ne perforeront pasJe fais quoi alors pour retrouver de l'impact ? Créer des contenus remarquablesSe respecter un peu plusSoigner les touch pointProduire moins mais mieuxRevenir aux basiques, quel positionnement de marque je souhaite travailler. Quelle image je veux renvoyer, quelle valeur je souhaite que mes consommateurs perçoiventUn peu de sobriété ça ne fait pas de malMettre en place une stratégie de visibilité publicitaireNe plus voir ses performances par le prisme du hasard mais avec une stratégie bien établieLe publicitaire bien ciblé est très bénéfique, quelque soit le prixC'est indigne d'accepter de dépenser 500, 1000, 5000 € sur un contenu et ne pas accepter de mettre 50 ou 100 € de budget publicitaire pour qu'il soit vu un minimum.. . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
À Madagascar, les manifestants ont fait une nouvelle démonstration de force hier, notamment dans la capitale. Beaucoup continuent de réclamer le départ du président Rajoelina, malgré la décision de celui-ci de dissoudre son gouvernement. Quels sont les atouts politiques que le chef de l'État malgache conserve dans sa main ? Et quel rôle peut jouer l'armée dans ce moment de forte tension, qui a déjà provoqué la mort de 22 personnes selon l'ONU ? Il y a quelques années, chez Karthala, l'économiste et politologue Olivier Vallée a publié La société militaire à Madagascar. RFI : Beaucoup de manifestants réclament le départ du président Rajoelina, mais celui-ci a eu la souplesse de limoger son gouvernement et de faire un début de repentir. Est-ce que cela peut satisfaire une partie de la rue ? Olivier Vallée : Je ne crois pas, parce que ses réactions étaient quand même très lentes. Le limogeage du gouvernement est apparu quand même improvisé, dans la mesure où il demandait à ce qu'on lui envoie des CV pour constituer un nouveau gouvernement. Donc ça parait vraiment un peu comme une comédie un peu grotesque à la plupart des manifestants, et aussi à l'ensemble des observateurs politiques, y compris dans son camp. Avec le limogeage du gouvernement, le président Rajoelina se sépare du Premier ministre Christian Ntsay qui était en poste depuis sept ans et qui paraissait indéboulonnable. Est-ce que ce n'est pas une grosse perte pour lui ? Ce n'est pas une grosse perte dans l'immédiat, parce qu'il remplit pour la première fois son rôle de fusible. Mais par contre, c'est un poids lourd du système politique et ça va laisser effectivement dès maintenant le président en tête-à-tête avec les manifestants et avec les politiques, un tête-à-tête dans lequel il ne sera pas du tout à l'aise. Il a tendance plutôt à s'emporter, alors que son Premier ministre est certainement quelqu'un qui prépare ses coups sur la longueur. Les manifestants réclament aussi la mise à l'écart de l'homme d'affaires Mamy Ravatomanga. Mais vu que c'est un homme de l'ombre, comment le président Rajoelina pourrait-il mettre en scène sa disgrâce ? Je pense qu'il y a énormément de moyens et Mamy Ravatomanga, sa maison et certains de ses établissements ont été attaqués, mais il bénéficie d'une milice qui est presque aussi puissante que la police de Tananarive. Donc sa milice est responsable d'un certain nombre de morts. Et il faudrait que le président mette en cause justement cette milice et l'Académie de sécurité, dirigée par un Français, que Mamy Ravatomanga a créée et qui lui permet justement d'entretenir ces milices de sécurité privées. Il y a énormément de moyens d'ordre public de s'en prendre à son protecteur et bienfaiteur, sans mettre sur la place publique leurs relations financières qui datent de très longtemps. C'est un financeur de campagnes électorales, etc. Mais là, il s'est illustré pendant les manifestations par la brutalité de sa milice. À lire aussiMadagascar: des milliers de manifestants défilent et appellent à la démission de Rajoelina En 2009, quand le président Rajoelina a été porté au pouvoir par la rue, l'armée a joué un rôle clé en sa faveur. Quelle peut être la stratégie des militaires aujourd'hui ? Ce que l'on voit, c'est que l'armée qui est, comme je l'ai écrit dans mon livre, une agglomération de différentes tendances, de différentes unités… Andry Rajoelina n'avait été soutenu, lors de son coup d'Etat de 2009, que par une partie, une toute petite partie de l'armée qui se trouvait à Tananarive. Les autres unités ont rallié le coup d'Etat sans y participer vraiment. Donc aujourd'hui, ce à quoi on a assisté, c'est quand même une certaine passivité. L'armée a accueilli le président de la République quand il est revenu sur la base aérienne d'Ivato. À son retour de New York ? Oui, tout à fait. Et l'a transféré en hélicoptère dans son palais forteresse qu'avait créé Didier Ratsiraka, qui se trouve à peu près à une quinzaine de kilomètres du centre-ville. Mais ses bons offices en sont restés là. Le président a lui-même sa milice. Et les forces qui se sont déployées dans la capitale, ce sont essentiellement celles de la gendarmerie, qui continue à obéir et être sous l'influence d'un homme lige de Ange Rajoelina, qui s'appelle le général Ravalomanana, qui est à la fois au Sénat et l'animateur souterrain de la gendarmerie. Celle-ci joue la stratégie de la force. Ses hommes ont tiré. On a énormément de vidéos. Mais le reste de l'armée ne s'est pas engagée. Quant à la police, elle a été complètement passive pendant les pillages. Donc pour l'instant, l'armée est attentiste, c'est ça ? Oui, l'armée est attentiste. Donc c'est un moment difficile parce qu'il y a vraiment un mouvement de masse qu'on n'a pas toujours vu. En 2009, ce n'était pas un mouvement de masse, donc l'armée a laissé faire et ensuite a repris la main. Là, elle laisse faire, mais elle n'est pas sûre de reprendre la main et elle sait que, si elle se compromet, ça lui coûtera plus cher qu'en 2009. À lire aussiÀ Madagascar, la Gen Z en appelle à la génération X
Dans la langue française, les figures de style sont nombreuses et parfois si proches qu'on les confond. C'est le cas de la litote et de l'euphémisme. Toutes deux consistent à dire autrement ce que l'on pense, mais leurs intentions sont différentes. Pour bien comprendre, il faut les distinguer pas à pas.La litote est une figure d'amplification par atténuation. Cela paraît paradoxal, mais c'est simple : on dit moins pour suggérer plus. L'exemple le plus célèbre est celui de Corneille dans Le Cid, quand Chimène dit à Rodrigue : « Va, je ne te hais point ». Elle n'ose pas avouer son amour, alors elle l'exprime de façon atténuée, par la négation du contraire. En réalité, elle dit beaucoup plus fort « je t'aime » que si elle l'avait affirmé directement. On retrouve ce procédé dans le langage courant : « Ce n'est pas mauvais » signifie en fait « C'est bon » ; « Ce n'est pas idiot » équivaut à « C'est intelligent ». La litote renforce donc le sens en passant par une retenue.L'euphémisme, lui, suit une logique opposée. Son but n'est pas de renforcer, mais d'adoucir. On emploie un mot ou une formule plus douce pour évoquer une réalité jugée trop dure, trop crue ou trop brutale. Par exemple, dire « il nous a quittés » au lieu de « il est mort » ; « les personnes à mobilité réduite » au lieu de « les handicapés » ; ou encore « un plan social » au lieu de « licenciements ». Ici, il ne s'agit pas de suggérer plus, mais d'atténuer la charge émotionnelle ou négative. L'euphémisme sert donc à ménager la sensibilité de celui qui écoute, ou à rendre plus acceptable une réalité difficile.La confusion vient du fait que, dans les deux cas, on atténue le propos. Mais la finalité diffère. La litote est une stratégie rhétorique pour insister indirectement, amplifier par la retenue. L'euphémisme est un adoucissement, une manière de lisser ou d'édulcorer une réalité.On pourrait dire que la litote est une sorte de clin d'œil, une complicité avec l'auditeur : « Je ne dis pas tout, mais tu comprends bien ce que je veux dire ». L'euphémisme, lui, est une politesse du langage : « Je choisis des mots plus doux pour ne pas heurter ».En résumé, la litote suggère plus qu'elle ne dit, l'euphémisme dit moins pour choquer moins. L'une amplifie, l'autre adoucit. Et toutes deux montrent combien la langue française aime jouer avec les nuances. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 30 septembre 2025 - Trump : son plan pour la paix à Gaza« Je soutiens votre plan pour mettre fin à la guerre à Gaza. » Benjamin Netanyahu, reçu hier à la Maison blanche, a approuvé le plan de paix en vingt points proposé par Donald Trump. Mais le chef du gouvernement israélien a insisté sur les nombreuses limites qu'il avait posées sur la plupart d'entre eux, jusqu'à parfois presque amender le texte rendu public par l'exécutif américain.Sur le retrait de l'armée israélienne d'abord, qu'il souhaite « en étapes », la première étant un « retrait modeste, suivi de la libération des otages dans les soixante-douze heures ». Israël relâcherait ensuite plus de mille prisonniers palestiniens. Le territoire palestinien serait lui gouverné par une autorité temporaire « technocratique et apolitique », sous la supervision de Trump. Le texte envisage la création d'un État palestinien mais Netanyahu affirme que ceci « n'est pas écrit ». Le flou persiste donc, et le Premier ministre israélien a promis de « finir le travail » si le Hamas n'accepte pas cet accord.Pendant ce temps, le conflit russo-ukrainien continue. Trump semble avoir changé de stratégie face à Poutine. Après avoir affirmé vouloir abattre les avions russes pénétrant dans l'espace aérien de l'OTAN, le président américain considère la livraison de missiles Tomahawk à l'Ukraine, une option jusqu'ici écartée. Le revirement fait suite à une demande de Zelensky. Selon le président ukrainien, ces missiles d'une portée de plus de 2500 kilomètres permettraient de forcer Poutine à négocier un accord de paix. De son côté, l'Europe veut se protéger face aux incursions de drones russes. Un mur antidrones est envisagé en collaboration avec l'Ukraine et l'OTAN.En Ukraine, le désastre de la guerre demande une logistique pour l'identification des soldats morts sur le front, ou torturés par les Russes. C dans l'air est allé à Odessa, à la rencontre de médecins légistes ukrainiens qui ont la tâche d'examiner ces corps mutilés et méconnaissables.Alors, que contient le plan proposé par Trump à Netanyahu pour stopper la guerre à Gaza ? Quelle est la nouvelle stratégie de Trump face à Poutine ? Comment s'effectue la reconnaissance des corps de soldats ukrainiens ?LES EXPERTS :- James ANDRÉ - Grand reporter à France 24- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste à Ouest-France- Patricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- Michel YAKOVLEFF - Ancien général à l'OTAN
Gestion des déchets, manque d'infrastructures d'assainissement, d'accès à l'eau, inondations récurrentes, îlot de chaleur... Les villes du continent africain sont confrontées à des problèmes récurrents qui sont amenés à se multiplier alors que le rythme de l'urbanisation en Afrique est le plus rapide au monde. Selon les prévisions, le nombre d'urbains devrait doubler d'ici 2050 en Afrique pour passer à 1,4 milliard. À cette hausse de population difficile à absorber pour les villes, s'ajoutent la prise en compte des pratiques informelles, des spécificités locales, ou encore le manque de moyens. Dans ces conditions, la mise en place de projets d'infrastructures et d'aménagements pour répondre aux besoins de la population peut relever du casse-tête pour les pouvoirs publics. Les habitants ont parfois l'impression de ne pas être écoutés et considérés. Comment mettre en œuvre de nouveaux équipements qui prennent en compte les vrais besoins et les modes de vie des usagers ? Sous quelle forme intégrer les habitants aux projets de leur ville ? Avec : • Audrey Guiral Naepels, urbaniste, responsable de la division Développement urbain, Aménagement et Logement de l'AFD (Agence Française de Développement) • Charlemagne Yankoty, maire de la commune de Porto Novo au Bénin • Rina Andriambololomanana , cheffe de projet «pépinière urbaine» d'Antananarivo, au Gret (ONG internationale de développement social et solidaire) à Madagascar. En fin d'émission, un reportage au Tchad de Raphaëlle Constant. L'Académie de basket ball «Dreams Comes True» («le rêve devient réalité» en français) à Ndjamena a été fondée en 2020, c'est une école mixte et moderne qui forme les enfants à partir de 5 ans et où l'accent est mis sur la réussite scolaire en parallèle de la formation sportive. Ils sont aujourd'hui 178 pensionnaires, dont 51% de filles, encadrés par 12 coachs. Notre reporter Raphaëlle Constant a assisté à un entraînement et a rencontré les fondateurs Issa Nakoye, président exécutif et Alain Assnale, directeur technique, tous deux anciens joueurs de l'équipe nationale. Direction le Lycée Sacré-cœur dans le quartier Moursal où, ce jour-là, une quarantaine d'enfants de la catégorie minime traversent le terrain sous les consignes du coach Alladoum Klamong. Programmation musicale : ► Magique – Oxmo Puccino ► Robocop – Article15.
Cette semaine, vous aurez la réponse à la question que tout le monde se pose : êtes-vous sociopathe, ou batracien ? la géniale Anninka rejoint la team de 4 Quarts d'heure pour évoquer sa vie à base de pommes et de darons en thérapie. Quelle joie !Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure, abonnez-vous à Supercast comme ceci : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur votre plateforme préférée : https://tr.ee/MEaR8W9S9GRegardez-nous sur YouTubeLes ups et les downs :Le down de Louise : ses rêves zarbiLe up d'Anninka : la thérapie de son père Le down de Camille : se poser la question de déménager de Paris Le up d'Alix : Too Much, la série de Lena DunhamDans cet épisode, on parle de : Le podcast d'Annika : Nanani NananaL'insta d'AnninkaLe podcast Girls RewatchToo Much de Lena DunhamMaggot Brain des Funkadelic Killing EveSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Alix : @alixmrtnCamille : @camille.lorente Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
La Révolution d'Octobre de 1917, est un événement déterminant du 20e siècle. Quelle en est l'histoire ? Aujourd'hui, on s'attaque aux évènements entourant février 1917. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Vladimir Bliznetsov https://www.facebook.com/vip.petrarka et @Kekpeck @polukotnedokot - Instagram Révision: Carl Pépin https://carlpepin.com/ 00:00:00 - Introduction 00:00:36 - Contexte historique 00:01:07 - Les deux révolutions de 1917 00:01:56 - Le rôle de Nicolas II 00:02:42 - L'impact de la Première Guerre mondiale 00:03:14 - L'Empire russe avant la révolution 00:04:05 - Nicolas II et l'impératrice Alexandra Fedorovna 00:06:54 - L'année 1915 : un tournant 00:07:15 - La Douma d'État et la politique 00:11:51 - L'influence de Grégory Rasputin 00:12:40 - La prise de décisions politiques 00:15:06 - Soupçons d'espionnage et rumeurs d'adultère 00:16:11 - L'instabilité du gouvernement et l'étrangeté de Protopopov 00:17:57 - L'influence croissante de Raspoutine et l'isolement du couple impérial 00:18:15 - Le complot pour assassiner Raspoutine 00:18:46 - La mort de Raspoutine et ses conséquences 00:20:00 - La crise alimentaire et l'agitation sociale 00:22:10 - L'indifférence de Nicolas II et l'émeute de Petrograd 00:26:42 - La formation du double pouvoir 00:28:12 - L'effondrement du gouvernement impérial 00:28:51 - L'insurrection de Petrograd et l'aveuglement de Nicolas II 00:30:13 - Le blocage de Nicolas II à Pskov 00:31:02 - La formation du gouvernement provisoire 00:32:19 - L'influence du soviet des ouvriers de Pétrograde 00:35:16 - L'abdication de Nicolas II 00:36:22 - L'abdication de Michael 00:38:16 - L'arrestation de Nicolas II et sa famille 00:38:45 - Les nouvelles réformes du gouvernement provisoire 00:39:30 - L'arrivée de Vladimir Lénine 00:39:43 - Conclusion Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. S ources et pour aller plus loin: Eric Hobsbawm, L'Âge des extrêmes, Complexe, 2003. Mikhail Zygar, The Empire Must Die: Russia's Revolutionary Collapse, 1900-1917, 2017. https://www.nlobooks.ru/books/chto_takoe_rossiya/27237/ Anna Geifman, Revolutionary Terrorism in Russia 1894-1917, Princeton University Press, 2020. René Girault et Marc Ferro, De la Russie à l'U.R.S.S : l'histoire de la Russie de 1850 à nos jours, Nathan, 1989. Marc Ferro, La Révolution de 1917, Albin Michel, 1997. Jean-Jacques Marie, La Guerre civile russe. 1917-1922. Tallandier, 2016. Nicolas Werth, 1917: la Russie en révolution, Paris, Gallimard, 1997. Alexandre Sumpf, 1917, la Russie et les Russes en révolutions, Perrin, 2017. Boterbloem, K. (2020) Russia as Empire: Past and Present. London: Reaktion Books. Malia, M. (1995). Soviet Tragedy: A History of Socialism in Russia 1917-1991. New York: Free Press. Suny, R. G. (Ed.). (2006). The Cambridge History of Russia: Volume 3, The Twentieth Century. Cambridge: Cambridge University Press. Sheila Fitzpatrick, The Russian Revolution, Oxford University Press, 1982. Daniels, R. V. (1972). The Russian Revolution. Englewood Cliffs: Prentice-Hall. Kowalski, R. I. (1997). The Russian Revolution, 1917–1921 London: Routledge. Malone, R. (2004). Analysing the Russian Revolution. Cambridge: Cambridge University Press. Rabinowich, A. (2017). The Bolsheviks Come to Power: The Revolution of 1917 in Petrograd. Chicago: Haymarket Books. Laura Engelstein, Russia in Flames: War, Revolution, Civil War, 1914–1921, Oxford University Press, 2017. Rex A. Wade, The Russian Revolution, 1917, Cambridge University Press, 2000. Steve Smith, Russia in Revolution: An Empire in Crisis, 1890 to 1928, Oxford University Press, 2016. Orlando Figes, A People's Tragedy: The Russian Revolution 1891–1924, London, Jonathan Cape, 1996. Catherine Merridale, Lenin on the Train, Metropolitan Books, 2016. https://en.wikipedia.org/wiki/Russian_Revolution https://en.wikipedia.org/wiki/Bibliography_of_the_Russian_Revolution_and_Civil_War https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_russe Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #russie #russia #romanov #tsar #raspoutin
Coup d'envoi de la campagne électorale au Cameroun : en lice pour un 8ème mandat, Paul Biya, 92 ans, affrontera le 12 octobre 2025 11 challengers. L'opposition parviendra-t-elle à s'entendre sur un candidat de consensus ? Qu'attendez-vous du scrutin ?
➡️ DESCRIPTION: Dans cette émission, Fred Bican et moi abordons un phénomène resurgent : le nationalisme chrétien. Si plusieurs se réjouissent d'un certain retour des valeurs chrétiennes dans l'espace public, il est crucial de discerner entre un véritable réveil spirituel et une récupération politique de la foi. Peut-on s'identifier comme chrétien sans être né de nouveau? Quels sont les dangers d'un christianisme réduit à une identité culturelle? Et en même temps, comment reconnaître les opportunités que Dieu peut saisir même à travers des mouvements imparfaits? Voilà quelques unes des questions que nous désirons aborder. Articles et autres ressources mentionnées durant l'épisode: - Entrevue avec Douglas Wilson sur le nationalisme chrétien - POUR (https://www.youtube.com/watch?v=YsrThQp3KHA) - Entrevue avec David VanDrunen sur la nationalisme chrétien - CONTRE (https://www.youtube.com/watch?v=uwJUB1CKOdM) - Les évangéliques convertis à l'Islam (https://www.christianismeaujourdhui.info/ils-sont-jeunes-nes-dans-des-familles-evangeliques-et-convertis-a-l-islam/) - Jonathan Leeman: Les désaccords politiques dans l'Église (https://www.youtube.com/watch?v=PXuKLJQmLl4) TABLE DES MATIÈRES 00:00 - Intro 00:58 - La bonne terminologie 01:35 - Un constat sociétal 18:16 - Une anomalie ou la mission même de l'Église? 23:42 - L'erreur du raisonnement 39:45 - La nature du royaume de Dieu 43:49 - Le bon côté du christianisme identitaire Conclusion 54:54 -
Le pétrole occupe encore une place centrale dans nos sociétés. Voiture, chauffage, plastique: lʹor noir et ses dérivés ont profondément modifié notre manière de vivre. Comment cette industrie est-elle devenue la plus puissante au monde? Quelle est lʹavenir du pétrole à lʹheure du dérèglement climatique? Tribu reçoit Matthieu Auzanneau, ancien journaliste dʹinvestigation, directeur du Shift Project, un think tank de la transition écologique, et auteur du livre "Or noir. La grande histoire du pétrole", paru aux éditions de la Découverte.
REPLAYJ'ai reçu l'exceptionnelle Clarisse Ferreres-Frechon, fondatrice de l'Agence Melchior.Oui c'est la femme du chef étoilé Éric Frechon - et justement on en parle.Clarisse me parle de son parcours atypique dans l'univers de la communication spécialisée dans l'art de vivre, de la gastronomie à l'hôtellerie.Une entreprise lancée sur un coup de tête - devenue une référence en 15 ans.Comment concilier perfectionnisme et sensibilité exacerbée ?Quelle est la place de l'art de vivre dans le monde économique actuel ?Avec Clarisse on parle de la vulnérabilité, l'importance de s'entourer des bonnes personnes, de communication (évidemment) et du succès qui réside souvent dans notre capacité à rêver et à persévérer.Bonne dégustation ;)
Dans notre langage quotidien, on utilise souvent les mots « sexe » et « genre » comme s'ils étaient interchangeables. Pourtant, en sciences humaines comme en biologie, ces deux notions ne désignent pas la même réalité. Comprendre cette différence est essentiel pour saisir les débats actuels autour de l'identité, des droits et de la société.Le sexe, d'abord, relève de la biologie. Il désigne l'ensemble des caractéristiques physiques et physiologiques qui distinguent le mâle et la femelle chez l'espèce humaine : chromosomes, organes reproducteurs, hormones, caractéristiques sexuelles secondaires comme la pilosité ou la voix. En résumé, le sexe est déterminé par la nature et observé à la naissance. Mais même là, la réalité est plus complexe qu'on ne l'imagine : certaines personnes naissent intersexes, avec des caractéristiques biologiques qui ne correspondent pas strictement aux catégories « mâle » ou « femelle ».Le genre, lui, est une construction sociale et culturelle. Il désigne les rôles, les comportements et les représentations qu'une société associe au fait d'être masculin ou féminin. Être un « homme » ou une « femme » dans une culture donnée implique des attentes : comment on s'habille, quelle profession on exerce, quelles attitudes on adopte. Or ces normes varient selon les époques et les cultures. Ce qui est considéré comme « masculin » dans une société peut être vu comme « féminin » ailleurs.Ainsi, si le sexe se rapporte au corps, le genre se rapporte aux significations que les sociétés attribuent à ce corps. Par exemple, biologiquement, rien n'empêche une femme de devenir médecin ou une homme de s'occuper des enfants à la maison. Mais pendant longtemps, les stéréotypes de genre ont assigné ces rôles différemment.Aujourd'hui, la distinction entre sexe et genre permet de mieux comprendre les débats autour des identités de genre. Certaines personnes peuvent se reconnaître dans un genre qui ne correspond pas à leur sexe biologique, d'autres se définir en dehors du cadre binaire homme/femme. Ces réalités interrogent nos catégories habituelles et bousculent les repères.Être pédagogue, c'est rappeler que distinguer sexe et genre n'efface pas les différences biologiques, mais met en lumière le poids de la culture et des normes sociales. Cela permet d'éviter les confusions et d'ouvrir un espace de dialogue plus nuancé, où l'on reconnaît à la fois la diversité des corps et celle des identités. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Matthieu Ricard, moine bouddhiste, partage dans cet extrait sa vision profonde de la liberté intérieure. J'ai adoré cette conversation dans son ensemble car elle touche à une question universelle : comment être libre… vraiment ? Pas dans un sens politique ou matériel, mais au plus profond de soi.Dans cet échange, je l'interroge sur cette quête de liberté que tant d'entre nous poursuivent, souvent en pensant qu'elle viendra de l'extérieur : l'argent, le confort, ou l'absence de contraintes. Et pourtant, comme Matthieu le rappelle avec sagesse, la véritable liberté commence dans notre esprit. Il nous invite à déconstruire nos automatismes mentaux, à comprendre comment nous sommes les jouets de nos émotions, et surtout à nous familiariser avec ce qu'est vraiment la méditation – loin des clichés.Ce moment m'a aussi marqué par sa mise en garde précieuse sur les faux maîtres spirituels. Dans un monde où les repères s'effacent parfois, sa parole est une boussole essentielle. 5 citations marquantes« La liberté, ce n'est pas faire tout ce qu'on veut, c'est être maître de son esprit. »« On est souvent le jouet de nos émotions toxiques, donc pas libres du tout. »« La méditation, ce n'est pas faire le vide, c'est un entraînement de l'esprit. »« Un vrai maître spirituel n'a rien à gagner, rien à perdre, tout à donner. »« Il faut examiner un maître pendant douze ans avant de s'engager. »10 questions structurées poséesComment définiriez-vous la liberté intérieure ?Pourquoi pense-t-on à tort que la liberté vient de l'extérieur ?Comment devenir libre de ses conditionnements mentaux ?Quel est le rôle de la méditation dans cette quête de liberté ?Quelle est votre définition personnelle de la méditation ?Est-ce un chemin spirituel réservé à certains ou accessible à tous ?Quelle a été l'importance de vos maîtres dans votre parcours ?Pourquoi avoir ressenti le besoin de leur rendre hommage dans votre livre ?Comment reconnaître un vrai maître spirituel ?Quels sont les signes d'un imposteur spirituel à éviter absolument ?Timestamps clés pour YouTube00:00 – Introduction sur la notion de liberté et les illusions qu'on y projette00:38 – Matthieu Ricard définit la vraie liberté et ses dérives modernes01:42 – Le lien entre émotions, conditionnements et absence de liberté02:28 – L'analogie du marin : être maître de son esprit03:21 – La méditation comme familiarisation avec l'esprit04:04 – Distinguer détente et vraie méditation05:19 – La méditation comme entraînement vers la sagesse06:09 – L'importance des maîtres spirituels dans son parcours07:42 – Les dangers des faux maîtres spirituels09:55 – Les critères d'un vrai maître selon les textes bouddhistesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
David Baverez est investisseur et vit depuis des années à Hong Kong. Il est aussi l'auteur du percutant ouvrage Bienvenue en économie de guerre et je suis content de revenir un peu à l'économie et à la géopolitique.Il observe notre monde avec un regard aussi lucide que tranché avec ses biais bien sûr. Dans cet épisode, j'ai voulu comprendre pourquoi il parle d'économie de guerre, ce que cela implique pour la France, pour l'Europe, et comment cela rebat les cartes du monde tel que nous le connaissions.Nous avons beaucoup parlé de la Chine, évidemment, un pays que David connaît intimement. Mais aussi des États-Unis, de leur dette publique, de leur rapport à l'innovation, à la puissance. De la France et de sa désindustrialisation volontaire. D'une Europe qui vacille, accrochée à des illusions de puissance passée, et qui peine à reconnaître sa dépendance économique, numérique, énergétique, militaire… La France est passée d'une place de 4ème à 24ème en PIB/habitant en 20 ans. Et ce n'est pas un simple chiffre.J'ai questionné David sur ce qu'il appelle un monde "apolaire", un monde dans lequel il n'existe plus de centre de gravité unique. Un monde fait de chaos, où les puissances intermédiaires, comme l'Arabie Saoudite ou la Turquie, jouent leur partition au gré de leurs intérêts.Dans cet épisode, nous abordons :les ruptures de 2022 et pourquoi cette date est si symbolique,le rôle de la Chine dans la nouvelle économie mondialisée,le piège de la dette française et notre perte de souveraineté,la montée des extrêmes et l'impact des plateformes numériques comme TikTok sur les démocraties,et surtout, ce que nous pouvons encore faire pour redonner du sens, réinvestir notre liberté d'agir, de penser, et sortir de notre posture d'autostoppeur économique.David propose même un modèle inédit de gouvernance, à base de "7 papy-mamie flingueurs" pour sauver la France du chaos. Un épisode dense, remuant, mais ô combien nécessaire pour comprendre le monde qui vient. Citations marquantes« L'économie de guerre, c'est le moyen d'éviter la guerre. »« La France est devenue le dernier auto-stoppeur mondial. »« Aujourd'hui, la liberté d'agir est en Chine, la liberté de penser aux US, mais les deux s'effritent. Seule l'Europe a les deux. »« Ce qu'on appelle démocratie peut aboutir à faire élire des anti-démocrates. »« En économie de guerre, la réussite se mesure par la dépendance qu'on impose aux autres. »Dix questions structurées posées dans l'épisodeQu'entends-tu par économie de guerre ?Pourquoi 2022 marque-t-elle une rupture historique ?Comment analyses-tu la chute de la France dans les classements économiques ?La désindustrialisation française est-elle un choix politique ?Quels sont les trois grands défis qui définissent la prochaine décennie ?Pourquoi dis-tu que nous vivons dans un monde apolaire ?En quoi la Chine est-elle "maîtresse du chaos" ?Pourquoi l'Europe ne parvient-elle pas à négocier avec la Chine ?Quelle solution proposes-tu face à l'effondrement démocratique ?Que peut-on espérer du modèle allemand pour relancer l'Europe ?Timestamps clés pour YouTube00:00 - Introduction et présentation de l'épisode01:00 - Définition de l'économie de guerre03:30 - Pourquoi 2022 est une rupture géopolitique majeure06:00 - Désindustrialisation : un choix cynique08:30 - Le modèle économique chinois post-Covid12:00 - Le monde devient apolaire : explication15:00 - La dépendance énergétique, numérique et militaire de l'Europe20:00 - Déficit de souveraineté de la France28:00 - Le modèle allemand : un espoir pour l'Europe ?33:00 - Réflexion sur la démocratie à l'ère des réseaux sociaux Suggestion d'autres épisodes à écouter : #351 Pourquoi ne peut-on plus s'en sortir en travaillant? (partie 1) avec Antoine Foucher (https://audmns.com/chQnSYy) #345 L'occident ne comprends plus le monde avec Pierre Haski (partie 1) (https://audmns.com/yGmnzUq) #312 Les défis géopolitiques d'un monde hors de contrôle avec Thomas Gomart (https://audmns.com/jscnrns)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
David Baverez est investisseur et vit depuis des années à Hong Kong. Il est aussi l'auteur du percutant ouvrage Bienvenue en économie de guerre et je suis content de revenir un peu à l'économie et à la géopolitique.Il observe notre monde avec un regard aussi lucide que tranché avec ses biais bien sûr. Dans cet épisode, j'ai voulu comprendre pourquoi il parle d'économie de guerre, ce que cela implique pour la France, pour l'Europe, et comment cela rebat les cartes du monde tel que nous le connaissions.Nous avons beaucoup parlé de la Chine, évidemment, un pays que David connaît intimement. Mais aussi des États-Unis, de leur dette publique, de leur rapport à l'innovation, à la puissance. De la France et de sa désindustrialisation volontaire. D'une Europe qui vacille, accrochée à des illusions de puissance passée, et qui peine à reconnaître sa dépendance économique, numérique, énergétique, militaire… La France est passée d'une place de 4ème à 24ème en PIB/habitant en 20 ans. Et ce n'est pas un simple chiffre.J'ai questionné David sur ce qu'il appelle un monde "apolaire", un monde dans lequel il n'existe plus de centre de gravité unique. Un monde fait de chaos, où les puissances intermédiaires, comme l'Arabie Saoudite ou la Turquie, jouent leur partition au gré de leurs intérêts.Dans cet épisode, nous abordons :les ruptures de 2022 et pourquoi cette date est si symbolique,le rôle de la Chine dans la nouvelle économie mondialisée,le piège de la dette française et notre perte de souveraineté,la montée des extrêmes et l'impact des plateformes numériques comme TikTok sur les démocraties,et surtout, ce que nous pouvons encore faire pour redonner du sens, réinvestir notre liberté d'agir, de penser, et sortir de notre posture d'autostoppeur économique.David propose même un modèle inédit de gouvernance, à base de "7 papy-mamie flingueurs" pour sauver la France du chaos. Un épisode dense, remuant, mais ô combien nécessaire pour comprendre le monde qui vient. Citations marquantes« L'économie de guerre, c'est le moyen d'éviter la guerre. »« La France est devenue le dernier auto-stoppeur mondial. »« Aujourd'hui, la liberté d'agir est en Chine, la liberté de penser aux US, mais les deux s'effritent. Seule l'Europe a les deux. »« Ce qu'on appelle démocratie peut aboutir à faire élire des anti-démocrates. »« En économie de guerre, la réussite se mesure par la dépendance qu'on impose aux autres. »Dix questions structurées posées dans l'épisodeQu'entends-tu par économie de guerre ?Pourquoi 2022 marque-t-elle une rupture historique ?Comment analyses-tu la chute de la France dans les classements économiques ?La désindustrialisation française est-elle un choix politique ?Quels sont les trois grands défis qui définissent la prochaine décennie ?Pourquoi dis-tu que nous vivons dans un monde apolaire ?En quoi la Chine est-elle "maîtresse du chaos" ?Pourquoi l'Europe ne parvient-elle pas à négocier avec la Chine ?Quelle solution proposes-tu face à l'effondrement démocratique ?Que peut-on espérer du modèle allemand pour relancer l'Europe ?Timestamps clés pour YouTube00:00 - Introduction et présentation de l'épisode01:00 - Définition de l'économie de guerre03:30 - Pourquoi 2022 est une rupture géopolitique majeure06:00 - Désindustrialisation : un choix cynique08:30 - Le modèle économique chinois post-Covid12:00 - Le monde devient apolaire : explication15:00 - La dépendance énergétique, numérique et militaire de l'Europe20:00 - Déficit de souveraineté de la France28:00 - Le modèle allemand : un espoir pour l'Europe ?33:00 - Réflexion sur la démocratie à l'ère des réseaux sociauxHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.