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Isabelle Martin Les assises des déchets ont lieu les 2 et 3 octobre prochain à Nantes, l'occasion de faire un point sur la façon dont nous gérons nos déchets en France. J'ai interviewé Isabelle Martin, directrice de relations institutionnelles chez Suez recyclage et valorisation. A l'occasion des Assises Nationales des déchets qui se tiendront donc les 2 et 3 octobre prochain vous allez animer une conférence sur les outils numériques au service de la gestion des déchets. De quoi parle-t-on ? C'est quoi ces outils numériques ? On est dans une société de plus en plus connectée, et pour les déchets et bien effectivement, les outils numériques vont nous aider… vont aider le citoyen à être de plus en plus connecté pour améliorer son geste de tri. Mais au-delà de ça, ça va nous aider également en tant qu'industriels, à mettre en place des outils qui vont pouvoir être plus performant. Par exemple sur la collecte des déchets on va pouvoir déployer des puces sur les bacs qui reçoivent les déchets de façon à mesurer les quantités de déchets à l'intérieur et optimiser les collectes et les tournées de collectes, ce qui va permettre de faire des gains et d'optimiser. C'est aussi utiliser toutes les données qui sont maintenant de plus en plus disponible à travers l'intelligence artificielle pour robotiser et détecter sur les bandes transporteuses de nos centres de tri les différents types de plastiques d'emballage, de façon à limiter les erreurs de tri et à préparer une matière de qualité supérieure à celle qu'on a aujourd'hui par exemple. Donc on ne parle pas trop d'applications mobiles, mais c'est plus le déploiement de l'intelligence artificielle au service du tri ? Il y a aussi bien évidemment tout ce qui concerne ce dont vous parlez, c’est-à-dire les applications services des bonnes pratiques. Ça, c'est déjà bien déployé. Si vous êtes un citoyen sur Paris par exemple, vous voulez savoir où il y a une déchetterie, vous pouvez effectivement vous connecter et vous aurez toutes les informations sur les horaires, les temps d'attente, les périodes d'influence, les déchets que vous pouvez déposer / pas déposer, si vous voulez faire enlever un encombrants, à quel moment… tout cela existe déjà. Il y a ces robots donc qui qui permettent de faciliter le tri, est-ce que vous pouvez nous expliquer d'où on est partis et où on va arriver avec ces nouvelles technologies au service des déchets ? Au départ on ne triait pas, puis est arrivé le tri sélectif "manuel" puis on a mis de l'informatique dans tout ça… Vous avez entièrement raison oui. Au départ le premier flux qu'on a séparé c'est le verre. Ça date déjà de 25 ans, mais ce sont des boîtes "des box" qui sont sur les trottoirs et petit à petit effectivement, on a mis en place, soit de la collecte sélective qui se fait au sein du ménage. Pour les ordures ménagères il faut le trier pour séparer les différentes matières. Il y a déjà plusieurs années (une vingtaine d'années, se sont développé les centres de tri. Dans les premiers centres de tri, on triait le carton du plastique et petit à petit, comme dans les plastiques il y a beaucoup de résines (il y a 5 résine majoritaire notamment le polyéthylène qui constitue pratiquement toutes les bouteilles) on les a amélioré avec des détecteur optiques… des soufflettes qui permettent aussi d'évacuer les déchets qui doivent pas rester dans le flux. Et derrière, on a toujours quand même du tri manuel pour corriger les erreurs qu'a fait la machine. Donc, comme on va avoir un déploiement sur 3 ans en France de l'extension des consignes de tri, nous allons mettre dans le bac jaune d'autre matières comme les barquettes en plastique, les pots de yaourt, les enveloppes de de jambon etcetera.. Et bien en fait on est amenés à utiliser l'intelligence artificielle qui va utiliser soit les photos, la détection de la forme qui est à trier et tout ça va nous permettre effectivement d'avoir un meilleur tri.
https://youtu.be/FIxGV6YLqsw Cela fait de nombreuses années que les éco quartiers et autres cités durables fleurissent un peu partout en France et dans le monde. Les initiatives se multiplient, parfois un peu dans leur coin, sans toujours se nourrir les unes les autres. Les différentes villes qui se sont lancées dans le développement durable ont mis en place beaucoup de solutions, mais elles restent souvent à l'intérieur des quartiers. Elles relèvent, pourtant, la plupart du temps d'initiatives qui vont dans le bon sens. La question aujourd'hui est : comment passer d'un quartier durable exemplaire à une généralisation pour l'ensemble de la ville ? C'est l'objet d'un ouvrage intitulé "Du quartier à la ville durable, vers un nouveau modèle urbain ?" Edité par le Comité 21, cet ouvrage de 164 pages dresse un panorama d'une centaine d'expériences concrètes, innovantes et transférables, menées dans les collectivités françaises et étrangères. Pour Antoine Charlot, le responsable du programme Territoires durables du Comité 21, et auteur de cet ouvrage, "la ville durable ne peut se résumer à un cortège de maisons passives ou à la construction d'un éco-quartier. Elle doit représenter un changement radical du modèle urbain, qui doit dépasser les seules mesures environnementales !" Beaucoup d'exemples dans cet ouvrage, mais surtout pas de modélisation applicable à toutes les villes. Chaque territoire, chaque commune, doit se construire en fonction de son contexte historique, politique, géographique, et en fonction de sa démographie. De Lille à Marseille, à un village isolé du Cantal, ou du Sénégal au Brésil, la ville durable ne sera pas la même, les enjeux seront différents, les solutions mises en uvre, très spécifiques. Il faut donc éviter les labels, mais construire SA ville durable en fonction de SON contexte. Passer de l'éco quartier à la ville durable, doit se faire par une évaluation de ces expérimentations pour voir comment étendre les solutions à l'échelle d'une ville. © Comité 21 L'ouvrage du Comité 21 redonne les enjeux d'un nouveau modèle urbain. L'urbanisation n'est pas un phénomène récent, mais elle présente aujourd'hui une ampleur inégalée : foncier explosif, paysages sacrifiés, voiture nécessaire et omniprésente, exclusion sociale des centres urbains. Pour contrer tous ces effets négatifs, l'ouvrage tente d'apporter des réponses concrètes et des pistes de réflexion. Il faut repenser la ville dans son ensemble sans se focaliser sur une seule activité. Les élus doivent donc s'appuyer sur une stratégie globale qui concerne à la fois l'aménagement urbain et l'ensemble des politiques de la collectivité : l'éducation, la formation, l'emploi ou la solidarité. Tous les acteurs de la ville doivent être mobilisés pour mettre en uvre cette stratégie : élus, architectes, urbanistes, sociologues, services publics, associations, ou encore spécialistes de l'énergie et évidemment les habitants eux-mêmes. Et comme il faut aussi s'inspirer de l'existant pour essaimer ailleurs, l'ouvrage du Comité 21 détaillent quelques expérimentations parmi les plus innovantes. Initiative, par exemple d'un éclairage public modulé en fonction des lieux de la ville ou de l'heure de la journée, comme cela se fait à Oslo. Multiplicité de l'offre des transports collectifs, comme à Nantes, ou encore les jardins partagés, qui se développent largement et qui sont des lieux d'échange autour de la biodiversité. Initiatives encore autour de la participation des habitants, comme à Porto Allegre, au Brésil ou à Echirolles, en Isère ; mixité sociale comme à Barcelone ; intégration de la nature dans la ville comme à Londres ou à Nantes ; maitrise de la consommation énergétique, comme à Francfort ou Los Angeles. Tout cela contribue à penser globalement la ville à l'échelle du développement durable. "Du quartier à la ville durable, vers un nouveau modèle urbain ?", un ouvrage du Comité 21 pour réfléchir à des no...
© Grand Ensemble La construction d’une nouvelle école, l’implantation d’un centre commercial, d’un écoquartier, ou d’une base de loisir, les projets d’aménagement du territoire passent de plus en plus par la consultation des citoyens. On sonde, on interroge, on expose les maquettes, on ouvre le débat à la population… Mais ces grandes concertations populaires ne seraient-elles pas, parfois, que de la poudre aux yeux ? A Vaulx en Velin, dans le Rhône, dans le quartier de la Soie, un grand centre de vie, entendez par cela un nouveau pôle de loisirs et de commerce, baptisé "Carré de Soie", a vu le jour il y a 4 ans, après plusieurs années de réunions consultatives. Un projet sensé s’adapter aux attentes des habitants. En vain ! Les espaces sortis de terre ne reflétèrent alors que très peu les souhaits exprimés. C’est pour décrypter ce processus de décision que la réalisatrice Béatrice Dubell a reconstitué les différentes réunions en les faisant rejouer par les habitants eux-mêmes. Militants associatifs, mères de famille, retraités, ouvriers, mais aussi pouvoirs publics et promoteurs privés ont été rejoués par ceux là même qui ont eu à subir le simulacre de concertation. Au final, une peinture très juste et acide de ces réunions prétextes à de grandes campagnes de communication. C’est ce langage dominant qu’à voulu décortiquer Béatrice Dubell, la réalisatrice de "Déconcertation", en mettant en lumière des réalités sociales. Laure Pupier a participé au film. Habitante du quartier, elle a du incarner la puissance privée, le promoteur en charge de réaliser le nouveau centre… [youtube]http://youtu.be/KhVp59vVf2M[/youtube] "Déconcertation" fait partie d’une série de mini fictions mises en œuvre par l’association Grand Ensemble, un atelier de cinéma populaire, dont l’objectif est de témoigner de la vie de la société au travers des actions, des combats, des tranches de vie. "Déconcertation" et les autres réalisations sont à suivre sur le site de l’association Grand Ensemble qui prépare un autre film autour de la guerre d’Algérie dans la mémoire populaire lyonnaise. Pour en savoir plus : Déconcertation, naissance du documentaire Des habitants face à une implacable mécanique
Les villes et communautés en transition intègrent les enjeux du changement climatique pour préparer l'après pétrole en s'orientant vers les circuits courts...
Eco cité : l'example de Houten aux Pays Bas où le vélo est prioritaire, et où la voiture est devenue inutile...
Les villes françaises ont encore des efforts significatifs à faire pour favoriser les déplacements à vélo de leurs habitants. C'est ce qui ressort du dernier baromètre des villes cyclables publié par la Fédération française des Usagers de la Bicyclette (FUB). 316 communes de France métropolitaine et d'outre-mer ont été passées au crible des habitants via le site de la fédération. Les résultats 2017 du classement mettent en avant les difficultés des citadins à se déplacer à vélo confortablement et en sécurité. Au final, seulement 21 villes ont obtenu une note supérieure à la moyenne. © FUB Au palmarès des villes de plus de 200 000 habitants les plus vélo-compatibles, c’est Strasbourg qui se trouve sur la première marche du podium. Avec une note moyenne de 4,10 sur 6, la capitale alsacienne obtient de très bons résultats sur la plupart des critères testés, que ce soit sur la disponibilité des vélos en libre-service, la qualité du réseau de pistes cyclables, ou la possibilité de faire réparer son vélo facilement. 8% des Strasbourgeois circulent à vélo dans la ville qui dispose de 600 kilomètres de pistes cyclables, 6 000 vélos en libre-service, des parkings dédiés et des rues où les vélos sont prioritaires sur les voitures. Avec une note de 3,91 sur 6, Grenoble s’adjuge la tête du classement des villes de 100 à 200 000 habitants. Les Grenoblois saluent les efforts importants faits par leur municipalité pour favoriser les vélos et affirment que circuler à bicyclette en ville est agréable. Notons encore que c’est La Rochelle qui est distinguée parmi les villes moyennes de 50 à 100 000 habitants. Là encore, la place faite à la petite reine depuis de nombreuses années est saluée par les Rochelais. Au-delà du palmarès, les Français restent relativement critiques sur le développement de la politique en faveur du deux roues dans la cité. Et ce sont principalement les enfants et les seniors qui se sentent exclus de la mobilité à vélo. Une mobilité pourtant essentielle à leur autonomie et à leur santé. Pour développer un réseau cyclable performant pour tous, la FUB demande la création d’un fond national vélo doté de 200 M € par an. Il s’agit d’aider les villes à investir dans leur réseau d’itinéraires cyclables. La fédération s’appuie sur les exemples de villes où la politique cyclable fonctionne comme à Nantes, ou à Chambéry. Les Français ayant participé à l'enquête suggèrent aussi que le vélo peut sauver le train régional. Pour augmenter la fréquentation des TER, et éviter que les lignes les moins utilisées soient fermées, il faut favoriser le rabattement à vélo vers les gares. La France ne compte que 30 000 places de stationnement vélo en gare contre 440 000 aux Pays-Bas où la symbiose train-vélo a transformé le transport en commun en un système « porte-à-porte ». La gare de Grenoble notamment montre la voie aux autres communes françaises avec des ses silos à vélo ultramodernes. Rond-point cyclable à Eindhoven (Pays-Bas) © Cyclable.com Le vélo est un enjeu majeur pour répondre aux crises sanitaires, souligne encore la FUB. Il est un outil de lutte contre la pollution, le bruit, ou la sédentarité. Il peut également favoriser l’insertion sociale, la recherche d’emploi par une mobilité retrouvée, et permettre de gagner un peu de pouvoir d’achat. La Fédération française des Usagers de la Bicyclette souhaite que la future loi d’orientation des mobilités donne une impulsion nationale aux politiques cyclables locales. Le Plan vélo, annoncé par la ministre des Transports, doit en particulier inciter les villes françaises à investir enfin sérieusement dans les infrastructures cyclables… Pour permettre aux Français de choisir librement de se déplacer à vélo en toute sécurité pour sa santé, son portefeuille et l'environnement. Pour aller plus loin : Fédération française des Usagers de la Bicyclette Baromètre des villes cyclables Le détail du palmarès ville par ville [youtube https://www.youtube.com/watch?v=sTOIr2uWsPM]
Les bus cyclistes font la promotion des déplacements doux, écolos, et conviviaux... Une alternative au covoiturage...
S’engager pour le développement durable et évaluer les actions engagées, c’est l’objectif du Baromètre du développement durable. Cet outil a été créé en 2008 par le Réseau Cohérence qui regroupe une centaine d’associations, syndicats et entreprises engagés pour un développement véritablement durable et solidaire. Avec la mise en place de ce baromètre, le Réseau souhaite rendre visible et désirable tous les aspects possibles du développement durable en mettant autour du même table citoyens, associations et élus locaux. Julian Pondaven est le directeur du Réseau Cohérence. « A partir d’un questionnaire, le baromètre du développement durable permet de rendre concrets les engagements à travers cette démarche de dialogue, d'échange et de participation. Elus et associations répondent conjointement au questionnaire au cours d’une réunion et voir ce qui fait ou pas sur la commune et voir ce qui doit être prioritaire. » Le baromètre se compose d’une centaine de questions réparties sur les 4 piliers du développement durable : l’économie, les solidarités, l’environnement et la citoyenneté. Par ce questionnaire, le Réseau Cohérence insiste sur le fait qu’il ne peut y avoir de démarche de développement durable sans cette prise en compte des quatre piliers. Sur la Bretagne, 179 communes se sont emparées des questionnaires. Et déjà des dynamiques se sont installées en faveur d’une meilleure prise en compte des piliers du développement durable dans la politique de la cité. Le Baromètre est présent en Bretagne, en PACA, en Pays de Loire et en Essonne, relayé à chaque fois par une association locale. Avec des questionnaires prenant en compte les spécificités de chaque territoire. Mais toutes les régions de France peuvent s’approprier cet outil grâce à la Pépinière de Baromètre, qui permet d’accéder à un questionnaire adapté à toutes les communes de France. Pour aller plus loin : Baromètre du développement durable Réseau Cohérence Baromètre des communes de Bretagne Baromètre des communes de l'Essonne Baromètre des communes de PACA Baromètre des communes des Pays de la Loire La Pépinière du baromètre des communes de France
Lassociation "Notre Village Terre dAvenir" édite un "Guide des Bonnes Pratiques" des Agendas 21 dans les petites communes...
Louvrage "Du quartier à la ville durable, vers un nouveau modèle urbain ?", incite à sinspirer des éco quartiers pour imaginer la ville à lheure du développement durable
C’est par l’exemple que l’on peut modifier son comportement. C’est le sens du Guide des Bonnes pratiques que propose la FRAPNA, la Fédération Rhône Alpes de Protection de la Nature. A l’heure où beaucoup nous promettent le changement, la FRAPNA souhaite elle, au contraire, que chacun d’entre nous puisse initier ce changement. Les nombreux défis environnementaux que notre société doit relever nécessitent la mobilisation d’un maximum d’acteurs, tant au niveau international et national qu’à l’échelon plus local de la collectivité et du citoyen. Mais mettre en œuvre une politique environnementale ne s’improvise pas. Il est souvent compliqué de se lancer dans une action en étant sûr de mobiliser, de convaincre. Manque de connaissances, d’informations, d’expériences voire d’accompagnement, les raisons d’engagements environnementaux ratés sont nombreuses. L’appui d’associations spécialisées est l’un des moyens à disposition des collectivités désireuses de mener à bien leur projet. Le guide de la FRAPNA permet justement de bénéficier d’un large éventail d’expériences déjà menées, et dont les retours sont évaluables. Le recueil met en lumière ainsi 20 actions exemplaires présentées sous forme de fiches pratiques. Le contexte dans lequel elles ont été mise en œuvre est détaillé, tout comme leur coût, les partenaires et les plus-values obtenues. On y découvre par exemple que la ville de Bristol, en Angleterre, a décidé de prendre en charge la gestion de la totalité de ses ressources en eau afin d’en préserver sa qualité et de l’économiser. Récupération des eaux de pluie, contrôle de la qualité des cours d’eau, vérification de l’utilisation de l’eau dans les bâtiments publics et privés, le projet de Bristol a permis d’embellir la ville et de diminuer sa facture d’eau. En France, à Mouhans-Sartoux, dans les Alpes maritimes, c’est une Régie communale agricole qui a été créée pour permettre aux cantines scolaires de passer au “100% Bio”. La commune ayant des difficultés à trouver des produits biologiques en passant par ses marchés publics, elle a décidé de produire elle-même les fruits et légumes à destination de la restauration collective A Rueil-Malmaison, en banlieue parisienne, ce sont les crèches municipales qui ont été accompagnées pour diminuer leur impact environnemental et augmenter la qualité de vie des enfants. Au Canada, la ville de Québec a, elle, amorcé une politique de restauration des berges de la rivière Saint Charles, alliant reconquête de la rivière et valorisation urbaine. Aux Etats-Unis, en Allemagne, en Espagne, en Grande Bretagne, ou en France, ces exemples ont plusieurs points communs : l’amélioration de la prise en compte de l’environnement, un caractère innovant, et leur faculté à être transposable à d’autres territoires. Que ce soient des initiatives simples, rapides et peu coûteuses à mettre en œuvre, ou de réels programmes ambitieux de long terme, les actions de ce Guide des Bonnes pratiques de la FRAPNA sont un appel à l’action et la collaboration de chacun. Pour aller plus loin : FRAPNA, Fédération Rhône Alpes de Protection de la Nature Guide des Bonnes pratiques de la FRAPNA