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Entre 1996 et 2000, le Pérou a vécu l'un des épisodes les plus sombres et les plus méconnus de son histoire récente : des milliers de femmes, en grande majorité pauvres, indigènes et rurales, ont été stérilisées de force, dans le cadre d'un programme gouvernemental présenté comme… une politique de santé publique.À cette époque, le président Alberto Fujimori dirige le pays d'une main de fer. Officiellement, son gouvernement lance une vaste campagne de "planification familiale" pour réduire la pauvreté. L'idée semble simple : moins d'enfants, donc moins de misère.Mais derrière les slogans, une réalité bien plus brutale se met en place.Dans les villages reculés, souvent quechua ou aymara, des femmes sont convoquées dans des centres de santé. On leur promet une consultation gratuite, un vaccin, une aide financière… mais une fois sur place, elles sont emmenées en salle d'opération. Sans explication. Sans consentement. Parfois même sous la menace.On leur ligature les trompes. C'est irréversible.Au total, plus de 300 000 femmes ont été stérilisées. Certaines ont été attachées. D'autres anesthésiées à moitié. Des témoignages évoquent des douleurs atroces, des infections, et même des décès. Il y a eu aussi des cas d'hommes stérilisés de force, mais en bien plus petit nombre.Ce programme n'avait rien d'un choix éclairé : c'était une campagne de contrôle démographique ciblé, avec des quotas imposés aux médecins. Ceux qui ne "produisaient" pas assez de stérilisations étaient sanctionnés. Un véritable système, bureaucratisé, cynique.Pourquoi ces femmes ? Parce qu'elles étaient pauvres. Parce qu'elles parlaient peu ou pas l'espagnol. Parce qu'elles avaient peu de moyens pour se défendre, et que leurs voix avaient peu de poids dans les instances politiques.Pendant des années, ce scandale a été ignoré, minimisé, étouffé.Mais les témoignages ont fini par remonter. Des associations de femmes, des journalistes, des ONG ont documenté les faits, rassemblé des preuves, et porté plainte.Aujourd'hui encore, les victimes attendent réparation. Le procès contre Fujimori a été ouvert en 2021, mais traîne. Pour beaucoup, cette affaire n'est pas seulement une question de justice, mais de mémoire collective : rappeler que derrière les statistiques, il y avait des vies. Des mères. Des jeunes femmes. Et que tout cela s'est produit au nom de la lutte contre la pauvreté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quelle heure est-il chez vous ? Qu'êtes-vous en train de boire ? Une tasse de chaï fumant, un lait d'or au curcuma ou bien un chocolat chaud à la cannelle, un jus de bissap ? Chaude, glacée, pétillante, pour éveiller les papilles, les boissons se mêlent aux épices et se partagent, elles sont à la source des relations sociales, des rituels culturels et des traditions. Elles portent en elles les savoir-faire et les terroirs, des techniques qui retranscrivent les découvertes de l'homme dans son environnement. Initialement choisies pour soigner, prier ou conserver, elles ont accompagné l'évolution et porté à travers les siècles les fermentations, les sirops de fruits, mêlés aux épices. Avec - Mathilde Roellinger, directrice des Épices Roellinger à Cancale, Saint-Malo ou Paris. - Beena Paradin Migotto, autrice de plusieurs livres autour des épices et de la cuisine indienne. «Boire les épices», un livre pensé et écrit à 4 mains est paru aux éditions Ulmer. En images Programmation musicale : Sava Sava, de Malka Family.
✂️ Et si vous vendiez vos patrons de couture pdf sur la plateforme Coudre.Shop ?! Je vous en dis plus dans l'épisode ! ✂️ Je suis heureuse de partager aujourd'hui avec vous ma conversation avec 3 créatrices qu'on adore suivre sur Instagram pour nos inspirations couture : Catherine alias Catypy, Cyrielle, alias Mlle Cyrielle et Louise alias Louisemju. Vous le savez sans doute, j'adore coudre, mais je couds davantage d'accessoires que de vêtements. Alors je suis toujours assez admirative quand je vois toutes les merveilles que ces créatrices et d'autres partagent sur Instagram et j'avais hâte qu'elles nous révèlent tous leurs secrets pour coudre de beaux vêtements !On parle évidemment de ce qui les a amenées à découvrir la couture, de leur parcours jusqu'à présent et de leurs projets. On parle également de ce lien qui les unit, du lien qu'elles ont avec leurs cousettes et du rôle que la couture joue désormais dans leur vie. Elles partagent également avec nous plein de conseils, de patrons préférés et d'accessoires chouchous !Bonne écoute !Mélanie
durée : 00:09:02 - Pourquoi les cigales chantent-elles tout l'été ? - par : Nicolas Lafitte - L'été arrive et les cigales commencent à chanter, mais pourquoi? Et les grillons, les bourdons, les abeilles, les criquets alors? Dans ce nouvel épisode du Labo de Nico, voyons quelle est la raison de cette symphonie estivale. - réalisé par : Sophie Pichon Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Paludisme, dengue, zika... Les moustiques sont les vecteurs de maladies parfois mortelles pour les humains. Le petit insecte piquant est responsable d'environ 800 000 décès par an. D'où l'idée récurrente d'éradiquer tous les moustiques de la planète. Mais est-ce vraiment une bonne idée ? [REDIFFUSION] Vous avez très certainement déjà tué un moustique, sans doute guidé par votre instinct de survie, puisque le moustique – la femelle moustique – est l'animal le plus dangereux pour les humains : il provoque environ 800 000 morts par an. Alors peut-être qu'en écrasant entre vos mains l'un de ces insectes piquants vous êtes-vous demandé : et si on tuait tous les moustiques pour sauver des vies humaines ? « C'est plutôt un fantasme d'éradiquer les moustiques de la surface de la Terre », répond Frédéric Simard, directeur de recherche à l'IRD, l'Institut de recherche pour le développement, basé à Montpellier dans le sud de la France. « On n'est absolument pas capable de cela. Les moustiques sont présents sur la planète depuis bien avant nous et ils y seront probablement encore après nous. » Les premiers moustiques sont apparus sur Terre il y a environ 250 millions d'années, quand notre plus lointain ancêtre, Homo habilis, a fait ses premiers pas il y a moins de 3 millions d'années. Le moustique est écologique En finir avec les moustiques serait surtout une mauvaise idée en raison des nombreux services écologiques que rendent les moustiques là où ils se trouvent, c'est-à-dire partout sur la planète, sauf en Antarctique et dans un petit pays insulaire, l'Islande. « Ils sont tout petits, mais ils sont très nombreux, rappelle Frédéric Simard. Ils sont une source de nourriture importante pour tous les insectivores, terrestres et aquatiques. Ils peuvent aussi, à l'âge adulte, contribuer à la pollinisation. Il faut savoir que les moustiques, mâles comme femelles, se nourrissent de sucre – ils vont butiner les fleurs. » Les moustiques ont également un rôle souvent méconnu : ils filtrent l'eau. « Les larves qui se développent dans l'eau vont être un maillon initial de la dégradation des feuilles mortes qui tombent dans les flaques d'eau par exemple. Elles vont les réduire en bouille pour transformer l'azote organique en azote minéral et le rendre disponible pour les plantes. » On connait 3 500 espèces de moustiques sur la planète, et seulement cinq ou six transmettent, malgré elles, des virus, comme la dengue, ou des parasites, comme le paludisme. Ces moustiques dangereux gagnent du terrain en raison de la mondialisation et du réchauffement climatique – en témoigne la très rapide colonisation de la France par le moustique-tigre, une espèce exotique envahissante. Soigner le mal par le mâle La chimie et l'utilisation d'insecticides ayant montré leurs limites (au fil de générations, les moustiques développent une résistance) et leurs effets négatifs sur les autres espèces animales (en frappant les insectes indifféremment), on a imaginé d'autres moyens de démoustication dans certaines zones habitées. L'IRD développe ainsi une technique pour provoquer la ponte d'œuf non fécondé. « On va stériliser les mâles en les exposant à une dose de radiation aux rayons X, comme si on leur faisait passer une radio », décrit Frédéric Simard. « Ça va détruire les spermatozoïdes, et ensuite on va lâcher ces mâles dans l'environnement pour qu'ils s'accouplent avec les femelles. » Lors d'une expérimentation sur l'île de La Réunion, l'IRD a ainsi fait baisser de moitié la fertilité des moustiques. « La technique commence à marcher, mais nécessite du développement, de l'ingénierie. Il va falloir construire des usines de production de moustiques à grande échelle pour être capable de traiter des grandes surfaces », plaide Frédéric Simard. Ou comment soigner le mal par le mâle.
Quelle heure est-il chez vous ? Qu'êtes-vous en train de boire ? Une tasse de chaï fumant, un lait d'or au curcuma ou bien un chocolat chaud à la cannelle, un jus de bissap ? Chaude, glacée, pétillante, pour éveiller les papilles, les boissons se mêlent aux épices et se partagent, elles sont à la source des relations sociales, des rituels culturels et des traditions. Elles portent en elles les savoir-faire et les terroirs, des techniques qui retranscrivent les découvertes de l'homme dans son environnement. Initialement choisies pour soigner, prier ou conserver, elles ont accompagné l'évolution et porté à travers les siècles les fermentations, les sirops de fruits, mêlés aux épices. Avec - Mathilde Roellinger, directrice des Épices Roellinger à Cancale, Saint-Malo ou Paris. - Beena Paradin Migotto, autrice de plusieurs livres autour des épices et de la cuisine indienne. «Boire les épices», un livre pensé et écrit à 4 mains est paru aux éditions Ulmer. En images Programmation musicale : Sava Sava, de Malka Family.
L'euro numérique est un projet de monnaie numérique de banque centrale (CBDC) porté par la Banque centrale européenne. Il permettrait aux citoyens de la zone euro de disposer d'un moyen de paiement numérique, gratuit, sécurisé, instantané, et utilisable même hors ligne, tout en étant garanti par la BCE, comme les billets et pièces actuels.Ce projet vise à compléter les moyens de paiement privés, à préserver la souveraineté monétaire européenne face à la montée des cryptomonnaies et des stablecoins (notamment américains), et à offrir une forme publique de monnaie adaptée à l'ère numérique. Après une phase d'étude entre 2021 et 2023, la BCE est désormais dans une phase de préparation technique et réglementaire. La décision de lancer ou non l'euro numérique sera prise en octobre 2025, pour une mise en circulation possible à partir de 2027.Mais une étude publiée en juin 2025 par le cabinet PwC vient jeter une ombre sur ce calendrier. Commandée par trois grandes fédérations bancaires européennes, l'étude révèle que les coûts d'adaptation pour les banques seraient très élevés : environ 2 milliards d'euros pour un échantillon de 19 banques, et jusqu'à 30 milliards pour l'ensemble de la zone euro si certaines fonctionnalités ambitieuses sont mises en œuvre (paiement hors ligne, comptes multiples, interopérabilité avec les acteurs privés). La grande majorité des coûts (75 %) concernerait des adaptations techniques (nouvelles applis, interfaces, infrastructures).Plus inquiétant encore, près de 46 % des experts bancaires spécialisés seraient mobilisés chaque année sur ce projet, au détriment de la capacité d'innovation des établissements. Ce coût humain et organisationnel s'ajoute aux autres points de friction déjà identifiés : crainte d'une désintermédiation bancaire (si les citoyens transfèrent trop d'argent vers leur portefeuille numérique BCE), débats sur la protection de la vie privée, et incertitudes réglementaires au sein de l'Union européenne.Malgré ces obstacles, la BCE et la Commission européenne restent déterminées, notamment face aux ambitions américaines en matière de stablecoins. Elles voient dans l'euro numérique un outil stratégique pour préserver l'indépendance monétaire de la zone euro.Conclusion :Le lancement de l'euro numérique reste probable, mais pas encore assuré. Tout dépendra de l'équilibre politique trouvé d'ici octobre 2025 entre les ambitions institutionnelles européennes et les contraintes techniques et économiques des banques. À court terme, le projet reste fragile. À moyen terme, cependant, la digitalisation mondiale des paiements rend son adoption de plus en plus inévitable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Maïssa Bey est née et vit en Algérie. Lauréate du prix des Libraires algériens en 2005 pour l'ensemble de son œuvre, elle est publiée aux éd. de L'Aube en France et aux éd. Barzakh en Algérie. Co-fondatrice des éditions Chèvre-feuille étoilée, elle y publie des textes courts, du théâtre et des nouvelles dans la revue Étoiles d'encre. À l'occasion du 31ème Maghreb des livres dont elle est la marraine, elle évoque une autre voix de la littérature algérienne, Assia Djebar. «… écrire à la première personne du singulier et de la singularité, corps nu et voix à peine déviée par le timbre étranger, rameute face à nous tous les dangers symboliques. Toute femme écrivant qui s'avance ainsi hardiment, prend le risque de voir combien son chemin est miné. » Assia Djebar se présente comme une femme écrivant dans cet extrait de Ces voix qui m'assiègent. Elle a fait très tôt irruption dans la vie de lectrice de Maïssa Bey qui lui a adressé son premier roman avec cette dédicace : À vous, Assia, qui m'avez ouvert les chemins de l'écriture. Maïssa Bey nous livre dans ce recueil, son rapport intime à cette figure majeure de la littérature de langue française et montre combien son œuvre est liée à l'histoire et à l'évolution de la société en Algérie. Sous prétexte de fiction romanesque, Assia Djebar forçait les portes et les fenêtres aux volets clos des maisons en apparence silencieuses et repliées sur elles-mêmes, entrait et nous faisait entrer dans l'intime des femmes, de ces femmes reléguées, recluses, assignées à résidence depuis leur naissance ou presque. Elle disait leurs rêves bâillonnés, leurs désirs, leurs espoirs et leurs renoncements, mais elle disait aussi la volonté de certaines d'entre elles de franchir les seuils, de s'ouvrir au monde. (Présentation des éditions Chèvre-feuille étoilée) Elles sont 22 femmes écrivaines de langue française. Et en cette langue commune, langue maternelle pour certaines, langue marâtre pour d'autres – si l'on reprend l'expression d'Assia Djebar – c'est-à-dire autre que celle de la mère, langue choisie ou imposée par l'histoire, pas seulement leur histoire, mais celle de leur pays, elles nous livrent un bref fragment de leur vie, elles reviennent sur les lieux de leur enfance. Ici, dans ces pages, chacune d'entre elles a déposé son offrande à celles et ceux qui voudront bien parcourir ce recueil… Toutes, ensemble, elles écrivent, non pas pour se souvenir, mais pour devenir. Présentation de Maïssa Bey, co-fondatrice des éditions Chèvre-feuille étoilée. L'expérience de l'exil à travers le regard de vingt autrices de talent issues de toute la francophonie. Dans cet ouvrage collectif, vingt autrices du Parlement des écrivaines francophones racontent l'exil subi ou choisi. Ces expériences sont vécues comme une libération ou au contraire comme un arrachement, mais toujours singulières et empreintes d'émotion. Avec une grande délicatesse, ces femmes explorent leurs souvenirs et cicatrices pour tenter de comprendre un peu mieux le monde. (Présentation des éditions des Femmes) Marie-Rose Abomo, Cathie Barreau, Cécile Belleyme, Sophie Bessis, Chochana Boukhobza, Carmen Campo Real, Camilla Cederna, Laure Mi Hyun Croset, Ananda Devi, Diagne Khady Fall, Alicia Dujovne Ortiz, Nancy Lange, Georgia Makhlouf, Danielle Michel-Chich, Madeleine Monette, Claudine Monteil, Béatrice Riand, Leïla Sebbar, Pinar Selek et Faouzia Zouari cosignent ce recueil. « Et l'on sait déjà que, pour une femme, chaque frontière franchie est un tabou qui tombe, un pas de liberté conquise, une identité qui refuse d'être uniforme. C'est en cela qu'il est permis de parler d'une spécificité de l'exil féminin. » F. Z. Créé en 2017 et regroupant plus de 170 femmes, le Parlement des écrivaines francophones (PEF) a pour objectif de faire entendre la voix des autrices d'expression française sur le monde. Le PEF travaille également à faire reconnaître la place de l'écrivaine dans son pays, à réaffirmer son rôle dans le dialogue civilisationnel et à défendre les droits des femmes et des hommes partout où ils se trouvent attaqués. Ce Parlement est aussi un espace de prise de parole destiné à donner le point de vue des femmes sur les débats ou les crises de nos sociétés. ILLUSTRATION MUSICALE : MASSI SOUAD Le bien et le mal. LIEN VERS LE MAGHREB DES LIVRES ICI.
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« Mercredi noir : 9 morts et 400 blessés lors de manifestations dans 27 comtés », c'est le grand titre du Daily Nation à Nairobi. « Défiance, chaos et chagrin », soupire encore le journal. « Les jeunes sont venus commémorer la mémoire des héros tombés au combat (il y a un an), mais ils ont été accueillis par la violence », déplore pour sa part le Standard, autre quotidien kenyan. Pourtant, poursuit-il, « la protestation est l'un des derniers outils de responsabilisation en cas de défaillance des institutions. (…) La solution ne consiste pas à criminaliser les manifestations menées par les jeunes, mais à réagir à leur contenu. Cela exige une écoute de la part des détenteurs du pouvoir. » Il faut savoir que « le Kenya est un pays jeune, précise encore le Standard : les trois quarts de sa population ont moins de 35 ans. On pourrait penser que la jeunesse serait une priorité centrale des budgets et des plans gouvernementaux, mais ce n'est pas le cas. » Le ras-le-bol de la jeunesse Que s'est-il passé hier dans le pays ? « La jeunesse kényane était (donc) dans la rue, rapporte Le Monde Afrique. Nombreuse et bruyante, un an, jour pour jour, après la gigantesque manifestation au cours de laquelle des protestataires avaient envahi le Parlement pour s'opposer à la loi de finances prévoyant de sévères hausses de prix et d'impôts. Le mouvement de 2024 s'était soldé par une soixantaine de morts et environ 80 disparus, possiblement enlevés par la police, selon des organisations de défense de droits de l'homme. » Les manifestations d'hier étaient donc organisées en mémoire des victimes de l'année dernière. Mais elles ont rapidement pris une tournure politique, pointe encore Le Monde Afrique : « malgré les appels à une marche pacifique, de nombreux manifestants sont venus pour réclamer le départ du pouvoir de William Ruto, le président kényan. » En effet, « la contestation sociale et la colère n'ont fait qu'enfler dans le pays au cours de l'année écoulée. En 2024, les manifestants reprochaient au pouvoir les trop nombreuses hausses de prix : de l'essence, du pain, des serviettes hygiéniques… Un an plus tard, les mêmes accusent désormais le président kényan de dérive autoritaire et de confisquer la démocratie. » Promesses non-tenues… « Dans les cortèges, les revendications vont au-delà de la mémoire, renchérit Afrik.com. Elles portent aussi la désillusion d'une jeunesse diplômée mais sans emploi, dans un pays miné par la corruption et les promesses non tenues. (…) Les mots “Ruto must go“ (Ruto doit partir) résonnent comme un cri collectif contre un Président dont la popularité s'est effondrée. Élu en 2022 avec des promesses d'inclusion et d'emplois pour la jeunesse, William Ruto fait désormais face à un profond rejet, relève encore Afrik.com. S'il a évité toute hausse directe d'impôts dans le budget 2025, beaucoup y voient une mesure cosmétique. Les causes profondes du malaise – chômage massif, violences policières, impunité – demeurent intactes. » Justice ! Enfin, on revient au quotidien kenyan Daily Nation qui lance cette supplique en direction de William Ruto : « Monsieur le Président, mettez fin à cette anarchie ! (…) La colère, la frustration et la déception règnent dans tout le pays, car nos dirigeants ont renié leurs promesses de campagne visant à améliorer le bien-être de la population. » Certes, pointe le journal, « les manifestations doivent être pacifiques, mais la police ne doit pas non plus utiliser une force excessive contre les citoyens qui exercent leur droit constitutionnel. (…) La justice doit être rendue, mais ce même droit s'applique aux familles des manifestants qui ont perdu la vie ou qui ont été blessés l'année dernière. » Le Daily Nation proteste également contre la censure exercée par les autorités : « le gouvernement a interdit la couverture télévisée et radiophonique des manifestations et des émeutes à travers le pays. Cette interdiction constitue une violation flagrante du droit fondamental du peuple à un libre accès à l'information. La liberté de la presse est la pierre angulaire de la société libre et démocratique que ce pays a toujours défendue. »
Après le déjeuner de midi, on ressent parfois ce coup de mou, une envie irrépressible de dormir un petit peu.Le weekend, ou en vacances, c'est assez facile de faire une petite sieste. Mais au travail, c'est plus compliqué. 20 minutes, c'est la durée de la sieste idéale. Si c'est plus long, on risque de tomber dans un sommeil trop profond qui va nous faire somnoler tout l'après-midi, voire même nous empêcher de bien dormir le soir. Comment faire une sieste flash ? Existe-t-il des contre-indications ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Pierre Collas. A ecouter ensuite : Comment s'endormir rapidement avec la méthode Alpha Bridge de l'armée américaine ? Comment utiliser le brassage cognitif pour s'endormir plus vite ? Pourquoi dormir moins de 6 heures par nuit équivaut à être ivre ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'un des plus dangereux criminels d'Équateur, le narcotrafiquant «Fito», recherché dans son pays et également réclamé par les États-Unis, a été arrêté mercredi après un an et demi de cavale, a annoncé le président Daniel Noboa, en guerre ouverte contre les groupes mafieux. 17 mois après son évasion qui avait lancé un cycle de violence en Équateur, l'ennemi public numéro 1 en Équateur a été capturé mercredi par les forces de l'ordre. José Adolfo Macías alias «Fito» est tombé dans la ville de Manta, dans la province de Manabi où a été créé le Groupe Armé Organisé des «Choneros» qu'il dirigeait depuis la clandestinité. Ce groupe, l'un des deux plus importants et dangereux du pays travaillait avec le cartel mexicain de Sinaloa et avait fait de l'Équateur le premier exportateur mondial de cocaïne. Plus de détails avec notre correspondant en Équateur Eric Samson. Hasard du calendrier, cette arrestation survient au moment où les Nations unies publient leur rapport sur le trafic et la consommation de drogue. Le constat est clair : partout dans le monde, on consomme plus qu'avant. L'une des autres crises majeures est celle des opioïdes aux États-Unis. Ces médicaments anti-douleur, dont le surpuissant Fentanyl 50 fois plus puissant que l'héroïne. En 2013, les overdoses ont tué près de 3 000 personnes, 74 000 en 2022. Aujourd'hui, la tendance s'inverse de nouveau. Notre correspondant Edward Maille a tenté de comprendre pourquoi. Vous pouvez également retrouver son Grand reportage à partir de 22h05 ce jeudi 26 juin 2025. Les États-Unis accusent trois banques mexicaines de blanchiment d'argent La lutte contre le Fentanyl, Donald Trump en a fait l'une de ses priorités. Il accuse les autorités mexicaines de ne pas en faire assez. Dans ce contexte, l'administration américaine a mis en place hier des sanctions sur trois banques mexicaines accusées de blanchiment d'argent. C'est un coup sans précédent porté au système financier mexicain, affirme el Pais. Selon le Réseau de lutte contre la criminalité financière du Trésor américain, les banques CIBanco, Intercam et Vector Casa de Bolsa blanchissent de l'argent pour plusieurs cartels mexicains. Elles «contribuent ainsi à l'empoisonnement d'innombrables Américains en transférant de l'argent pour le compte des cartels», a affirmé le secrétaire au Trésor Scott Bessent. Selon l'administration américaine, elle permettrait notamment l'approvisionnement des cartels en Chine pour la production du Fentanyl. Les trois banques ont nié les accusations et demandé des preuves. Les sanctions actuelles les interdisent d'opérer au sein du système financier américain, ce qui limite grandement leur accès aux marchés financiers internationaux et s'accompagnent d'un gel de leurs avoirs aux États-Unis. Derrière les technicités économiques, l'éditorialiste d'El Universal Mario Maldonado, voit en effet une décision stratégique à l'égard des autorités mexicaines. « En plus d'exposer l'incapacité ou la complicité des fonctionnaires mexicains chargés de surveiller les ressources d'origine illicite, le Département du trésor américain pointe l'implication d'anciens fonctionnaires et conseillers du gouvernement dans des opérations criminelles », écrit-il. Parmi les trois établissements financiers, Vector est détenu par Alfonso Romo, très proche de l'ancien président Andres Manuel Lopez Obrador. Il était chef de son cabinet au début de son mandat et principal interlocuteur de l'exécutif auprès du monde des affaires, note El Universal. CIBanco de son côté est l'un des principaux opérateurs de change pour les agences gouvernementales mexicaines et Intercam est également en lien direct avec d'autres institutions financières proches du parti au pouvoir. Parallèlement, la procureure générale des États-Unis a annoncé devant le Sénat placer le Mexique sur la liste noire de pays adversaires étrangers. Bref, les relations entre les États-Unis et le Mexique se détériorent, conclut el Universal. Pérou : la stérilisation forcée Pérou sous la présidence d'Alberto Fujimori Nous partons également au Pérou. Le pays tente de se confronter aux moments sombres de son histoire notamment la stérilisation forcée des femmes issues des minorités les plus pauvres. Elles ont été nombreuses à subir ces pratiques pendant la présidence d'Alberto Fujimori dans les années 90. La Cour interaméricaine des droits de l'homme étudie plusieurs cas en ce moment, et les victimes espèrent que l'État sera condamné. Martin Chabal est allé à leur rencontre. À lire aussiLe Pérou jugé pour sa politique de stérilisations forcées dans les années 90 Haïti : Le Nouvelliste « La centrale hydroélectrique de Péligre est-elle victime des divisions politiques ? » Comme tous les jeudis, nous échangeons avec notre confrère Frantz Duval, rédacteur en chef du quotidien Le Nouvelliste. La une du site s'intéresse à la nouvelle fermeture forcée de la centrale hydraulique de Péligre. C'est la deuxième en un mois. Cela pourrait être lié aux dissensions internes au sein de l'exécutif, des divergences entre le président du Conseil présidentiel de transition et le ministre de la Défense, concernant un certain nombre de contrats. À écouter aussiHaïti: quand les coupures de courant nourrissent le sentiment d'abandon et l'insécurité
Être une femme et avoir une île dans sa vie. C'est le thème de cette 4ème saison de Murmures en partenariat avec la Fondation Carmignac et le Parc national de Port-Cros. Je suis allée à la rencontre de femmes qui entretiennent un lien particulier avec leur île. Elles sont artiste, productrice, scénariste, gardiennes de la nature… Je leur ai demandé en quoi l'île travaille leur féminité, si l'île révèle, façonne les femmes qu'elles sont devenues ? Bernard Pesce les a photographiées. De cette collaboration sont nés des portraits sonores regroupés dans cette série intitulée Archipelles, un archipel visuel et sonore qui révèle l'île en elles.Les témoignages que vous allez entendre explorent des territoires intimes tels que l'amour, le rapport au corps, au vivant, au sacré, la sauvagerie, la création, la liberté, le désir, la sensualité...A travers la parole de ces femmes, se pose une question qui nous concerne tous : en quoi les lieux nous constituent, comment les endroits où l'on a grandi, où l'on a fait notre vie, par hasard ou par nécessité, contribue à construire notre identité ?Selon vous, est-ce que l'île peut jouer un rôle dans le rapport que l'on entretient avec son corps ? est-ce qu'elle favorise une forme d'émancipation du corps ? En écoutant l'archipel de pensées de mes invités, vous allez voir que la réponse n'est pas si évidente. Merci à Isabelle, Julie, Mona, Ophélie et Laurence.Support the show Me suivre sur instagram : https://www.instagram.com/fragile_porquerolles/ Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/fragile-porquerolles-1 Vous pouvez me laisser des étoiles et un avis sur Apple Podcasts et Spotify, ça aide ! Si vous souhaitez m'envoyer un mail: fragileporquerolles@gmail.com
« Mercredi noir : 9 morts et 400 blessés lors de manifestations dans 27 comtés », c'est le grand titre du Daily Nation à Nairobi. « Défiance, chaos et chagrin », soupire encore le journal. « Les jeunes sont venus commémorer la mémoire des héros tombés au combat (il y a un an), mais ils ont été accueillis par la violence », déplore pour sa part le Standard, autre quotidien kenyan. Pourtant, poursuit-il, « la protestation est l'un des derniers outils de responsabilisation en cas de défaillance des institutions. (…) La solution ne consiste pas à criminaliser les manifestations menées par les jeunes, mais à réagir à leur contenu. Cela exige une écoute de la part des détenteurs du pouvoir. » Il faut savoir que « le Kenya est un pays jeune, précise encore le Standard : les trois quarts de sa population ont moins de 35 ans. On pourrait penser que la jeunesse serait une priorité centrale des budgets et des plans gouvernementaux, mais ce n'est pas le cas. » Le ras-le-bol de la jeunesse Que s'est-il passé hier dans le pays ? « La jeunesse kényane était (donc) dans la rue, rapporte Le Monde Afrique. Nombreuse et bruyante, un an, jour pour jour, après la gigantesque manifestation au cours de laquelle des protestataires avaient envahi le Parlement pour s'opposer à la loi de finances prévoyant de sévères hausses de prix et d'impôts. Le mouvement de 2024 s'était soldé par une soixantaine de morts et environ 80 disparus, possiblement enlevés par la police, selon des organisations de défense de droits de l'homme. » Les manifestations d'hier étaient donc organisées en mémoire des victimes de l'année dernière. Mais elles ont rapidement pris une tournure politique, pointe encore Le Monde Afrique : « malgré les appels à une marche pacifique, de nombreux manifestants sont venus pour réclamer le départ du pouvoir de William Ruto, le président kényan. » En effet, « la contestation sociale et la colère n'ont fait qu'enfler dans le pays au cours de l'année écoulée. En 2024, les manifestants reprochaient au pouvoir les trop nombreuses hausses de prix : de l'essence, du pain, des serviettes hygiéniques… Un an plus tard, les mêmes accusent désormais le président kényan de dérive autoritaire et de confisquer la démocratie. » Promesses non-tenues… « Dans les cortèges, les revendications vont au-delà de la mémoire, renchérit Afrik.com. Elles portent aussi la désillusion d'une jeunesse diplômée mais sans emploi, dans un pays miné par la corruption et les promesses non tenues. (…) Les mots “Ruto must go“ (Ruto doit partir) résonnent comme un cri collectif contre un Président dont la popularité s'est effondrée. Élu en 2022 avec des promesses d'inclusion et d'emplois pour la jeunesse, William Ruto fait désormais face à un profond rejet, relève encore Afrik.com. S'il a évité toute hausse directe d'impôts dans le budget 2025, beaucoup y voient une mesure cosmétique. Les causes profondes du malaise – chômage massif, violences policières, impunité – demeurent intactes. » Justice ! Enfin, on revient au quotidien kenyan Daily Nation qui lance cette supplique en direction de William Ruto : « Monsieur le Président, mettez fin à cette anarchie ! (…) La colère, la frustration et la déception règnent dans tout le pays, car nos dirigeants ont renié leurs promesses de campagne visant à améliorer le bien-être de la population. » Certes, pointe le journal, « les manifestations doivent être pacifiques, mais la police ne doit pas non plus utiliser une force excessive contre les citoyens qui exercent leur droit constitutionnel. (…) La justice doit être rendue, mais ce même droit s'applique aux familles des manifestants qui ont perdu la vie ou qui ont été blessés l'année dernière. » Le Daily Nation proteste également contre la censure exercée par les autorités : « le gouvernement a interdit la couverture télévisée et radiophonique des manifestations et des émeutes à travers le pays. Cette interdiction constitue une violation flagrante du droit fondamental du peuple à un libre accès à l'information. La liberté de la presse est la pierre angulaire de la société libre et démocratique que ce pays a toujours défendue. »
[GRAINE DE METAMORPHOSE] Xavier Pitois reçoit Lev Fraenckel, professeur de philosophie, vidéaste “Serial Thinker” sur YouTube et auteur. La question du sens de la vie a-t-elle encore un sens de nos jours ? Vaut-il mieux renoncer à le chercher ? La philosophie peut-elle encore nous aider ? Lev Fraenckel nous propose de traverser des sujets très variés tels que l'amour, la mort, l'école, l'intelligence artificielle ou encore le mérite pour remettre la philosophie là où elle nous est peut-être le plus utile : dans nos vies réelles. Son premier livre Ma vie a-t-elle un sens ? est publié chez Albin Michel. Épisode #128Quelques citations du podcast avec Lev Fraenckel :"La vie humaine ne sera jamais un moyen en vue d'une fin autre qu'elle-même. Elle est une fin en soi et c'est ça qui doit être exaltant.""Il n'y a aucun phénomène existentiel qui est plus fort dans la rencontre avec l'altérité que le phénomène amoureux." "Le rire, c'est toujours une violence déjouée et c'est pour ça qu'on aime autant l'humour noir."Thèmes abordés lors du podcast avec Lev Fraenckel :00:00 Introduction02:59 La question du sens de la vie05:21 Ne servir à rien : un compliment !07:33 Donner du sens : l'expression artistique09:00 Interroger les normes10:52 La question du sens dans l'amour17:34 La conscience de soi : entre liberté et solitude21:08 Y a-t-il des progrès possibles en philosophie ?23:59 L'IA est-elle capable de ressentir de l'angoisse ?27:06 Complotisme et soif de sens32:30 Cultiver un rire qui rassemble ?38:44 Lev Fraenckel répond à la question : ma vie a-t-elle un sens ?Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto © Roberto Frankenberg Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes à New York en 1969, dans le quartier de Greenwich Village dans le sud-ouest de Manhattan. C'est ici que se trouve un bar, le Stonewall Inn. Un des rares établissements à servir à boire aux homosexuels, à l'époque encore considérés comme des personnes atteintes d'une maladie. Aux Etats-Unis, l'homosexualité est un crime. Il était d'ailleurs interdit de danser avec une personne du même sexe que soi. Les bars gays n'existent pas encore à New York et le Stonewall fait régulièrement l'objet de descentes de polices. Que se passe-t-il dans ce bar ? Cet événement impacte-t-il encore notre société ? Et qu'est devenu le Stonewall ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. A écouter aussi : Qu'est-ce que la Marche des Fiertés ? Qu'est-ce que le mouvement queer ? Qu'est-ce que la dysphorie de genre ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 22/06/2022 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ce 218e épisode de Pos. Report est consacré à la classe Ocean Fifty avec deux navigatrices qui disputeront de mercredi à dimanche l'Act 2 des Ocean Fifty Series à Concarneau, Anne-Claire Le Berre, qui a succédé cette année à Francesca Clapcich à la barre de Upwind by MerConcept, et Audrey Ogereau, qui fait partie depuis 2023 de l'équipage de Koesio aux côtés d'Erwan Le Roux.L'une comme l'autre commencent justement par raconter comment elles sont arrivées en Ocean Fifty, la première après avoir postulé à la sélection organisée par MerConcept pour constituer en 2024 un équipage 100% féminin, la seconde dès 2022 lorsqu'Erwan Le Roux lui a proposé d'assurer des RP sur son trimaran en Méditerranée.Toutes les deux issues de la filière olympique - 470 pour Anne-Claire Le Berre, Nacra 17 pour Audrey Ogereau -, elles expliquent comment la course au large est peu à peu devenue un objectif, ce qui les a poussées à quitter un poste bien établi - directrice technique du team Initiatives Coeur et ingénieure d'affaires dans un cabinet de conseil en informatique - pour se lancer dans ce nouveau challenge.Elles racontent ensuite leur apprentissage de l'Ocean Fifty, mais également leurs autres expériences, en Class40 pour Anne-Claire Le Berre avec Amélie Grassi, en AC40 sur la première Women's America's Cup pour Audrey Ogereau. Cette dernière s'est aussi mise au Figaro cette année - elle a terminé 8e de la récente Transat Paprec avec Quentin Vlamynck et disputera la Fig'Armor en août -, histoire de se familiariser avec l'exercice du large en solitaire.Car si le principal objectif de leur saison 2025 sera la Transat Café L'Or, qu'elles disputeront avec Erwan Le Roux pour cette dernière, Elodie-Jane Mettraux pour la première, elles enchaîneront en 2026 avec la Route du Rhum-Destination Guadeloupe, premières femmes à s'élancer en Ocean Fifty sur la transat entre Saint-Malo et Pointe-à-Pitre.Diffusé le 24 Juin 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les infections urinaires sont des infections localisées au niveau de la vessie. Provoquées le plus souvent par la bactérie Escherichia Coli, les infections urinaires sont plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes. Diagnostiquées et soignées à temps, elles sont en général sans gravité. Une mauvaise prise en charge peut, en revanche, engendrer des complications, notamment pour les personnes fragiles. Pourquoi les femmes sont-elles plus souvent concernées que les hommes par les infections urinaires ? Y a-t-il moyen de prévenir les cystites ? Dr Jean-Marc Bohbot, Infectiologue et andrologue, responsable de l'unité Génitale et Directeur Médical de l'Institut Alfred Fournier à Paris. Président de l'Académie du Microbiote Uro-Génital Retrouvez l'émission en entier ici : Les infections urinaires
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des 145 personnes victimes de piqûres durant la fête de la musique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des 145 personnes victimes de piqûres durant la fête de la musique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de Cheminements, je reçois Fabrice, un patient engagé et militant infatigable pour une meilleure prise en charge des maladies rénales. Diagnostiqué d'un syndrome d'Alport à l'âge de 18 ans, il raconte avec sincérité son parcours de vie bouleversé par la maladie, la greffe et la dialyse. Fabrice a été le premier patient à Rennes à expérimenter la dialyse longue de nuit, une modalité qui a littéralement transformé son quotidien. Grâce à ce traitement plus doux et compatible avec une vie active, il a repris le sport, le travail et s'est engagé pour d'autres patients. À travers un film-documentaire, des défis sportifs et des prises de parole publiques, il milite pour une dialyse adaptée aux projets de vie. Dans cet épisode, je vous invite à découvrir son témoignage inspirant et porteur d'espoir.Axes abordés dans cet épisode :Le diagnostic du syndrome d'Alport et les premières années de traitement.Les limites de la dialyse conventionnelle et la découverte de la dialyse longue de nuit.Le sport comme moyen de résilience et d'émancipation.L'engagement militant pour une meilleure accessibilité aux différentes modalités de dialyse.Le rôle des patients dans les décisions des établissements de santé.Les inégalités d'accès aux soins et les réformes nécessaires en néphrologie.Cheminements, c'est le podcast santé des femmes qui parlent de leur santé mentale, physique, et émotionnelle, sans honte, sans filtre et sans tabou. Chaque épisode, diffusé un lundi sur deux, vous plonge dans des récits authentiques et bouleversants.En ouvrant le dictionnaire, on apprend que "cheminement" désigne une progression graduelle, un mouvement, une avancée. Dans ce podcast, le cheminement est celui des femmes : leurs luttes, leurs victoires et leurs transformations face aux défis de la vie et de la santé.Dans Cheminements, le micro est tendu à des femmes du quotidien : vos voisines, collègues, soeurs ou amies. Elles témoignent de leur santé mentale, physique ou sociale, partagent leurs parcours uniques et osent enfin lever le voile sur des sujets trop souvent passés sous silence.Ce podcast santé donne la parole à celles qui méritent d'être entendues. Chaque histoire, portée avec sincérité, met en lumière des réalités humaines, parfois douloureuses, mais toujours humaines.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
Quels sont les risques spécifiques liés aux grossesses multiples ? Dr Abdoulaye Diop, gynécologue obstétricien à la Clinique Bellevue à Dakar, au Sénégal. Retrouvez l'émisison dans son intégralité iciQuestions de femmes : les grossesses multiples
Dans cette fiction audio, plongez dans une France républicaine où les rafles ne se disent plus comme telles.Elles s'annoncent. Par des lampadaires qui clignotent. Par des algorithmes qui classent.Par des ministres qui parlent de “nettoyage” dans une langue douce… mais une logique brutale.Cette histoire est une alerte.Une parabole sur les dérives d'un pouvoir qui préfère les chiffres aux visages, les expulsions à l'écoute, les silences à la honte.
Ils sont plus de 800 000 Vénézuéliens à vivre aux États-Unis. Mais depuis le retour de Donald Trump au pouvoir, leur quotidien a basculé. Entre durcissement des lois migratoires et suspicion généralisée, beaucoup se sentent désormais indésirables. Comment cette situation est vécue depuis Caracas ? C'est un reportage de notre correspondante Alice Campaignolle. Depuis le 9 juin 2025, le Venezuela fait officiellement partie des 12 pays visés par le nouveau « travel ban » américain. Les visas de tourisme, d'études ou encore de commerce sont suspendus, et Caracas a réagi en lançant une alerte maximale à ses citoyens, les appelant à ne plus voyager aux États-Unis. « Pays dangereux », avertit le ministère des Affaires étrangères vénézuélien. Pour les Vénézuéliens déjà sur place, la situation est de plus en plus précaire : leur statut spécial de protection a été supprimé, et une nouvelle mesure pourrait bientôt leur interdire de demander un permis de travail pendant leur procédure d'asile. Sur le terrain, cette politique migratoire se traduit par des contrôles renforcés, des séparations familiales et une ambiance de peur permanente. Des familles entières voient leurs dossiers d'asile traités de manière incohérente. La militante Hélène Villalonga alerte sur une vague d'injustices qui frappe sa communauté. Des enfants sont autorisés à rester, tandis que leurs parents sont expulsés ou placés en détention. Même des Vénézuéliens qui avaient soutenu Donald Trump, espérant une ligne dure contre le régime de Nicolas Maduro, se sentent aujourd'hui trahis et abandonnés. Franyeli Zambrano, expulsée récemment, raconte l'angoisse du quotidien : malgré un statut régulier, son foyer a été pris pour cible par les autorités. Elle dénonce une chasse aux migrants qui touche même ceux parfaitement intégrés. Ce durcissement inquiète d'autant plus que Donald Trump a promis d'expulser un million de migrants sans documents valides au cours de sa première année de mandat. Si ce chiffre semble irréaliste, plus de 5 000 Vénézuéliens ont déjà été renvoyés dans leur pays depuis janvier. La Statue de la Liberté fête son 140ème anniversaire Cette semaine, les États-Unis célèbrent les 140 ans de l'arrivée de la Statue de la Liberté à New York, un monument emblématique offert par la France, symbole universel de liberté et d'accueil. Pourtant, dans l'Amérique de 2025, ces valeurs sont fortement bousculées. Beaucoup de New-Yorkais interrogés par notre correspondante Loubna Anaki voient un profond décalage entre ce que représente la statue et la réalité politique actuelle, marquée par un durcissement migratoire sans précédent sous l'administration Trump. La contradiction est flagrante : alors que la statue accueillait autrefois les migrants venus chercher une vie meilleure, les États-Unis multiplient désormais les expulsions et les interdictions d'entrée. Le célèbre poème gravé sur son socle – un appel aux pauvres et opprimés du monde – semble trahi par les décisions prises par Donald Trump. Malgré ce contexte tendu, « Lady Liberty » continue de fasciner. Chaque jour, des milliers de visiteurs affluent pour la voir de près, émerveillés par sa taille, sa couleur verte inattendue, ou l'histoire qu'elle incarne. Créée par le sculpteur français Bartholdi avec l'aide de Gustave Eiffel, la statue est arrivée en 1885 mais n'a été inaugurée qu'un an plus tard. Si elle est restée presque inchangée en 140 ans, elle demeure le témoin silencieux d'un pays en perpétuelle évolution – et aujourd'hui plus divisé que jamais sur la question de l'immigration. Donald Trump critique le jour férié de « Juneteenth », la fête qui célèbre la fin de l'esclavage Dans un message publié sur ses réseaux sociaux, le président américain a dénoncé ce qu'il appelle « trop de jours fériés » aux États-Unis. Selon lui, cela coûte des milliards à l'économie, et même les travailleurs n'en voudraient pas. Il a menacé d'en supprimer certains, sans nommer directement Juneteenth. Mais The Daily Beast rappelle qu'en 2020, en pleine campagne électorale, Trump avait promis d'en faire un jour férié national. C'est finalement Joe Biden qui l'a officialisé en 2021. Et selon CNN, cette année, beaucoup de célébrations ont été annulées, en raison de problèmes de sécurité et d'une résistance croissante aux politiques de diversité et d'inclusion. Pour la professeure LaTasha Levy, citée par la chaîne, ces reculs montrent que nombre d'entreprises n'étaient jamais réellement engagées. Mais Politico rapporte que les églises noires, très actives dans la lutte pour les droits civiques, montent au front. Elles interpellent les grandes entreprises, comme Target, accusées de reculer sur leurs engagements. Le pasteur Jamal Bryant, en Géorgie, rappelle que ces politiques ne sont pas un geste de charité, mais un partenariat légitime avec la communauté afro-américaine. La montée de la violence policière dans les zones rurales C'est une tribune à lire dans le Washington Post, signée par un ancien policier. Elle s'ouvre sur un drame : en 2022, un homme en détresse mentale appelle la police après une panne sur une route isolée du Colorado. Il ne menace personne. Mais parce qu'il refuse de sortir de son véhicule, les policiers lui tirent dessus et le tuent. L'an dernier, 1 365 personnes ont été tuées par la police aux États-Unis – un record. Et ce qui frappe, c'est que ces violences basculent vers les zones rurales. Entre 2020 et 2024, les morts lors d'interventions pour « personne armée » ont presque quadruplé en zone rurale. Pourquoi ? La pandémie, l'exode urbain et la flambée des loyers ont poussé des millions d'Américains vers la campagne. Mais les services locaux n'ont pas suivi. Les policiers de petites villes sont dépassés, mal formés, souvent seuls face à des situations complexes. Résultat : la méfiance s'installe, et les incidents quotidiens – une dispute conjugale, un chien qui aboie – tournent au drame. Haïti : Livres en folie, « un vecteur de résistance culturelle » C'est dans un contexte d'insécurité extrême que se tient en ce moment, à Port-au-Prince, la foire littéraire Livres en folie. Plus de 90 auteurs présents, plus de 1000 ouvrages exposés. Cette 31è édition s'impose, écrit Gazette Haïti, comme un véritable « vecteur de résistance culturelle dans le pays ». Dès l'ouverture, c'est la jeunesse qui a attiré tous les regards, venue en nombre pour découvrir les livres et rencontrer les écrivains. Pour l'auteur Gary Victor, cette jeunesse incarne l'espoir. « Il existe un réservoir de jeunes porteurs d'idées, qui aspirent à une autre vie. ». Des mots forts, qui résonnent comme un rappel essentiel, écrit Gazette Haïti. : « malgré les épreuves, malgré le chaos, Haïti continue de tenir debout… portée par l'élan de ses enfants ». Journal de la 1ère Les algues sargasses empoissonnent la vie des habitants de Guadeloupe.
C dans l'air du 19 juin 2025 - Affaire Grégory : un nouvel interrogatoire...L'affaire du petit Grégory rebondit. Plus de quarante ans après la découverte du corps du petit garçon, ligoté, dans la Vologne, en octobre 1984, l'un des plus grands faits divers français pourrait prendre un nouveau tournant. Jacqueline Jacob, la grand-tante de l'enfant, va de nouveau être auditionnée par les juges d'instruction de la cour d'appel de Dijon, en vue de sa possible mise en examen pour "association de malfaiteurs criminelle", a annoncé mercredi le procureur général de la cour d'appel de Dijon, Philippe Astruc. Jacqueline Jacob avait déjà été suspectée depuis qu'une expertise en graphologie l'avait désignée comme l'autrice d'une lettre anonyme menaçante adressée en 1983 aux parents du petit Grégory. Interpellée avec son époux en 2017, elle avait gardé le silence lors de son audition et avait été mise en examen avec son mari pour "enlèvement et séquestration suivie de mort". Mais un vice de forme avait, à l'époque, fait échouer les poursuites. L'avocat des époux Jacob a botté en touche, estimant qu'il s'agit d'une "non-information". L'affaire, qui hante la famille Villemin et qui a déjà causé le suicide du juge Lambert en 2017, va-t-elle cette fois-ci se conclure ?L'affaire du petit Grégory n'est pas la seule à hanter la justice. Celle d'Inass Touloub, surnommée la "martyre de l'A10", depuis la découverte de son corps d'enfant mutilé en 1987, le long d'une autoroute du Loir-et-Cher, offre un panorama des dysfonctionnements de la justice. Les enquêteurs ont d'abord mis des années à retrouver les parents de la victime. Arrêtés en 2018, ils ont été mis en examen pour "tortures ou actes de barbarie sur mineur de 15 ans", mais ont depuis été relâchés sans la moindre date de procès à l'horizon. En cause, un débat judiciaire entre le parquet, les juges d'instruction et les avocats sur les qualifications du crime et la volonté réelle de tuer la petite fille. Depuis des années, les différents partis se renvoient la balle tandis que les suspects vieillissent : ils sont aujourd'hui âgés de plus de 70 ans. Dernier épisode en date, cette lettre envoyée début 2025 par les juges d'instruction de la cour d'appel d'Orléans à la chancellerie, et expliquant ne pas pouvoir organiser de procès avant 2027 à cause du manque de moyens de la justice.Fin mai, c'est le procès Le Scouarnec qui a connu son dénouement. Après trois mois d'audience, le pédocriminel de 74 ans, a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle pour près de 300 agressions sexuelles, dont certaines sur des mineurs, commises entre 1989 et 2014, dans l'exercice de ses fonctions de chirurgien. Mais les victimes s'inquiètent désormais que cette affaire hors-norme disparaisse des radars. Là où l'affaire des viols de Mazan a débouché sur une proposition de loi modifiant la définition pénale du viol, et l'affaire de Bétharram sur des inspections de la part de l'Éducation nationale, l'affaire Le Scouarnec n'a quasiment pas donné lieu à des réactions politiques. Un collectif de victimes exhorte désormais les responsables politiques et l'ordre des médecins à s'engager pour des mesures fortes contre la pédocriminalité en milieu médical : "Ce procès n'est pas seulement celui d'un homme, c'est le procès d'un système, celui de défaillances institutionnelles en série, de complicités passives, d'alertes ignorées", ont-ils dénoncé. Elles demandent désormais une commission interministérielle et des mesures politiques, notamment pour empêcher les agresseurs sexuels d'exercer dans le domaine médical.L'affaire du petit Gregory va-t-elle rebondir avec l'audition de sa grand-tante ? Comment expliquer la lenteur de la justice dans l'affaire de la petite martyre de l'A10 ? Et pourquoi les victimes de Joël Le Scouarnec dénoncent-elles l'inaction des personnalités politiques ?LES EXPERTS :- Laurent VALDIGUIÉ, grand reporter à Marianne- Alain BAUER, professeur de criminologie au CNAM- Audrey GOUTARD, grand reporter à France Télévisions, spécialiste des faits de société- Marine ALLALI, avocate pénaliste au Cabinet Seban, directrice du pôle Aide aux victimes
L'idée paraît contre-intuitive : comment imaginer de la glace au cœur brûlant d'une planète géante comme Jupiter ou Neptune, où les températures atteignent plusieurs milliers de degrés ? Et pourtant, les scientifiques ont découvert qu'une forme particulière de glace pourrait bel et bien exister dans ces profondeurs extrêmes.Voyons pourquoi.Tout repose sur la physique de l'eau et sur un concept clé : le rôle de la pression.Nous avons l'habitude de penser que la glace se forme quand la température descend en dessous de 0 °C. Mais c'est vrai uniquement à pression atmosphérique normale. Dès que la pression augmente, le comportement de l'eau change radicalement.Dans l'intérieur des planètes géantes, la pression est colossale : plusieurs millions, voire des centaines de millions de fois la pression terrestre. Par exemple, dans le manteau de Neptune ou dans les couches profondes d'Uranus, on atteint facilement des pressions de l'ordre de 500 GPa (gigapascals), soit plus de 5 millions d'atmosphères.Or, à ces pressions, l'eau adopte des phases exotiques de glace, appelées glace VII, glace X, ou même des phases dites "superioniques", qui n'ont rien à voir avec la glace que nous connaissons.Prenons la glace superionique, récemment étudiée par des équipes comme celle du laboratoire Livermore en Californie :Dans cette phase, les atomes d'oxygène forment une structure cristalline fixe, rigide comme un solide. Mais les protons d'hydrogène, eux, restent mobiles, circulant à l'intérieur de ce réseau.Résultat : une "glace" qui est à la fois solide dans sa structure et partiellement fluide dans son comportement électrique — un état totalement inédit !Cette glace peut exister à des températures de plusieurs milliers de degrés Kelvin (jusqu'à 5 000 K), tant que la pression est suffisante.C'est ce qui explique pourquoi, même sous une chaleur intense, l'eau compressée en profondeur dans une planète peut rester sous forme de glace.Ces phases de glace ont des implications majeures :Elles pourraient influencer le champ magnétique des planètes.Elles jouent un rôle dans la convection interne.Elles expliquent partiellement les anomalies de densité observées par les sondes spatiales.Ainsi, dans l'univers des planètes géantes, la glace n'est pas forcément froide : elle est le produit d'un équilibre entre température et pression extrêmes.Un merveilleux exemple de la diversité des états de la matière dans le cosmos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:36:51 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Au Salon du Bourget, la France affiche sa puissance industrielle et son rang de 2e exportateur d'armes. Mais derrière les chiffres, ces ventes impliquent des choix politiques. Quelle place accorder à la morale dans ce commerce ? - réalisation : François Richer - invités : Tony Fortin Chargé d'études à l'Observatoire des armements; Renaud Bellais Co-directeur de l'Observatoire de la défense de la Fondation Jean Jaurès, chercheur à l'université Grenoble Alpes
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Les tongs sont le symbole des vacances et de la plage. Quand il fait chaud, on n'a qu'une envie : laisser respirer ses pieds et beaucoup de personnes optent pour des tongs. Elles sont légères, pratiques, faciles à enfiler et à retirer, peu coûteuses, mais peuvent-elles être portées au quotidien ? Le point. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 19 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:08:29 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Le préfet des Alpes-Maritimes, Laurent Hottiaux, a demandé au maire de Nice, Christian Estrosi, de retirer le drapeau israélien du fronton de la mairie "au nom du principe de neutralité du service public". Comment fonctionne ce principe de neutralité et quels drapeaux y contreviennent ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marion Ogier avocate en droit public au cabinet Andotte Avocats
Yankuam Warmpash es biólogo y representante de una de las nacionalidades indígenas que existe en Ecuador y Nathaly Pinto diseñadora. Elles estuvieron diseñando un conjunto de pictogramas. En esta entrevista nos cuentan sobre como son las agrupaciones indígenas y como se benefician de tener pictogramas que representen cada nacionalidad. Nos contaron sobre una colaboración de varios años donde el diseño de estos pictogramas tuvo un rol especial. Yankuam y Nathaly nos recomiendan: Dos canciones: Chadijaia, Movimiento indígena Cumbia psicodélica: Los mirlos- La danza de los mirlos. Los iconoclastas Manual para mapeo colectivo. Arte y ecología política- Gabriela Merlinsky y Paula Serafini. Esta serie es posible gracias a la Sociedad de historia del diseño, Design History Society, que me dio la beca Descolonizando la historia del diseño. (Decolonising Design History Grant). También me asesoraron a quienes entrevistar fuera de latinoamérica, para que esta serie tenga una perspectiva más internacional. Esta serie tiene entrevistadas y proyectos desde India, Argentina, España, Ghana, EEUU, Brasil, Colombia, México, Australia, Ecuador y Paraguay. Es una serie trilingüe con episodios en Portugués, Español e Inglés. Entrevisto a diseñadores, artistas e investigadores. Esta entrevista es parte de las listas: Decolonizar, Territorio y diseño, Política y diseño y Educación y diseño. A Nathaly Pinto la entrevisté en el episodio 176, hace mucho tiempo, en tiempos de pandemia, en el 2020. Por entonces estaba empezando su trabajo de doctorado, sobre educación en la amazonía ecuatoriana. Era como el inicio de este proyecto y en esa entrevista hablamos de colaboración en red, comunidades indígenas y educación. Después seguimos en contacto y ella escribió un epílogo para el libro Diseño y Territorio, que es uno de los libros que produjo Diseño y diáspora.
Depuis le vendredi 13 juin et l'offensive initiale d'Israël contre l'Iran, les deux pays échangent les frappes.Les attaques israéliennes ont visé des centaines de sites militaires et nucléaires, afin d'empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique.Elles ont déclenché un conflit sans précédent…Au moment de l'enregistrement de ce podcast mardi 17 juin, au cinquième jour de l'escalade, le bilan était de 224 morts en Iran et de 24 morts côté israélien, selon des sources officielles.Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé vouloir changer "la face du Moyen-Orient". De son côté, Téhéran a promis de bombarder Israël "aussi longtemps qu'il le faudra" pour mettre fin à l'attaque israélienne.Israël peut-il atteindre ces buts de guerre ? Quels sont les risques à l'échelle mondiale ? Une désescalade est-elle possible ?Réalisation : Maxime MametInvités : Kevan Gafaïti, enseignant à Sciences Po Paris et chercheur au Centre Thucydide de l'Université Paris II Panthéon-Assas; Thomas Juneau, professeur à l'Ecole supérieure d'affaires publiques et internationales de l'Université d'Ottawa; Jérémy Dieudonné, chercheur en relations internationales à l'Université catholique de Louvain.Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Enfin l'été ! Les grandes vacances ! Comme chaque année, je vais chez ma mamie. Chez elle, je retrouve tout ce que j'aime : les odeurs de pain grillé et de fleurs séchées, le jardin qui ressemble à une jungle et les vieux jouets cabossés de ma maman. Sans oublier Mistigri, le gros chat gris. MAIS SURTOUT, je retrouve Mamie Suzie chérie…" L'été magique de Léonie, une histoire lue par Emmanuel, écrite par Sophie Furlaud et Alexandra Garibal, illustrée par Aurore Damant, publiée dans le magazine Pomme d'Api n°713. Le magazine Pomme d'Api propose chaque mois une histoire à écouter en famille. Un podcast plein de tendresse, d'humour et de douceur, dont vous pouvez retrouver le texte original dans le magazine du mois. La grande histoire, ce sont des histoires écrites par des auteurs jeunesse et des journalistes spécialistes de l'enfance. Elles sont lues par de vrais parents ou grands-parents, tontons et tatas, baby-sitters, grands-frères, grandes-sœurs, nounous, cousines, cousins... Ce podcast est préparé et animé par Bayard Jeunesse. Réalisation : Emmanuel Viau, Musique : E. Viau. Habillage sonore et mixage : Gabriel Fadavi. Création visuelle : Marianne Vilcoq . Production : Hélène Loiseau. Voix : Aude Loyer-Hascoet et Emmanuel.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le drone est-il en train de remplacer l'hélicoptère, voire l'avion, dans un certain nombre de pays, notamment en Afrique ? Cette année, le drone est l'une des superstars du Salon aéronautique du Bourget, qui vient de s'ouvrir près de Paris. Parmi les visiteurs assidus de ce Salon, il y a l'ancien officier français Peer de Jong, qui a créé Themiis, une société de conseil pour la paix et la sécurité, qui opère principalement en Afrique. Quels sont les atouts du drone en Afrique ? En ligne du Bourget, Peer de Jong répond aux questions de Christophe Boisbouvier. Quelles sont en Afrique les batailles où les drones ont joué un rôle décisif ces dix dernières années ? Je connais deux batailles où les drones ont joué un rôle vraiment décisif. La première, c'est au Mali, puisque les Forces armées maliennes (Fama) avec Wagner utilisent systématiquement depuis en fait deux ans dans toutes leurs opérations des drones pour la reconnaissance. Mais également pour le tir, puisqu'elles ont des Bayraktar de Turquie. Ces Bayraktar sont armés. Donc aujourd'hui, il y a un usage systématique au Mali, en tout cas de drones. La deuxième grande bataille, c'est en Libye. En Libye, en 2020, au moment où le maréchal Haftar déclenche une offensive en direction de Tripoli à partir de Tobrouk, il a été très concrètement arrêté par les forces de Tripoli qui étaient, elles, équipées avec une société militaire privée (SMP) bien connue qui s'appelle Sadat. Elles étaient équipées avec des Bayraktar. Et le Bayraktar a été décisif dans le blocage des forces de Haftar en direction de Tripoli. Donc, on est vraiment au début d'une histoire et aujourd'hui les vendeurs de matériel circulent dans toute l'Afrique et font des propositions. Les acteurs principaux dans ce domaine-là, très concrètement, ce sont les Turcs. Aujourd'hui, les Turcs se servent du drone comme une espèce de produit d'appel pour en fait développer une forme d'influence sur l'ensemble des pays africains. Et moi actuellement, je les rencontre partout et ils le font avec une structure qui s'appelle Sadat. C'est un petit peu le Wagner bis, le Wagner turc. Et c'est cette structure qui fait théoriquement la formation et qui fait la préparation des unités opérationnelles sur le Bayraktar. Un drone armé de type Bayraktar de fabrication turque, ça coûte combien environ ? Alors ce n'est pas très cher, on est largement en dessous des 5 millions d'euros. Et en fait, après, le problème, c'est le missile qu'on met dessus, parce que ce sont les missiles qui coûtent cher principalement. Et comparativement, un hélicoptère, ça coûte combien ? Je ne sais pas, ça dépend des modèles, bien évidemment, mais on est sur des modèles à 20 ou 30 millions. Sachant que l'hélicoptère est un engin relativement fragile. Donc le drone aujourd'hui trouve toute sa place dans les opérations de reconnaissance et éventuellement dans les opérations de combat pour les pays qui sont, je dirais, en tension. Est-ce que le drone n'est pas en train de remplacer l'avion ou l'hélicoptère dans certains pays africains ? Oui, mais l'emploi n'est pas le même parce qu'en fait l'hélicoptère fait de la logistique principalement. Il y a très peu d'hélicoptères armés à part les Mi-24. Je vois un exemple au Mali, il y a les deux. Il y a des hélicoptères armés, il y a des drones. Aujourd'hui, les Maliens préfèrent travailler avec des drones, c'est beaucoup plus simple. On met la mission à l'intérieur du drone et le drone, quoi qu'il en soit, il y va. Donc, on voit que l'emploi du drone est tellement simple, tellement facile et en fait tellement économique. Quelque part, il n'y a pas de comparaison. Encore une fois, l'hélicoptère devient un engin qui devient, je ne dis pas obsolète parce que le mot est un petit peu fort, parce que, dans les missions logistiques, les missions de commandement, on peut utiliser évidemment l'hélicoptère, mais l'hélicoptère perd beaucoup de son intérêt. On s'en sert comme un engin de transport, mais pas comme un engin de combat. À lire aussiLa défense et l'espace, seules éclaircies attendues au salon de l'aéronautique du Bourget En décembre 2023, au Nigeria, un drone a tué 85 civils qui participaient à une fête religieuse. C'était à Toudoum Biri, dans l'État de Kaduna. L'armée nigériane a présenté ses excuses, mais est-ce que le pilotage à distance n'augmente pas le nombre de bavures ? Théoriquement non, parce qu'il y a une qualité d'image qui est reportée à l'arrière, qui est excellente. Après, tout dépend du commandement, parce que l'image arrive derrière, dans une espèce de petit état-major, un petit PC pour faire court, avec un écran ou deux écrans. Donc il y a des vérifications, des contrôles et l'ordre de tir n'est pas donné par le tireur, il est donné par le chef du système. Alors après, tout dépend comment c'est organisé. Peer de Jong, vous êtes au salon du Bourget. Est-ce que les fabricants de drones sont présents, je pense notamment aux industriels turcs et chinois ? Alors, il n'y a globalement pas que ça, mais on va dire que c'est le grand marché qui s'ouvre. Parce qu'il y a des Luxembourgeois, il y a des Belges, il y a des Espagnols, il y a évidemment des Chinois. En fait, l'ensemble de la planète aujourd'hui fabrique des drones. Donc, on est sur un marché en pleine explosion. Donc encore une fois, c'est un marché phénoménal dans lequel les États africains sont partie prenante bien évidemment, puisqu'en fait, ils peuvent acquérir des engins à des prix parfaitement acceptables. D'autant qu'aujourd'hui, on fabrique les drones en grande quantité, donc les prix baissent et donc, évidemment, ils sont accessibles pour tous les budgets militaires africains. Et le premier prix est à combien, si j'ose dire ? Pour 10 000 euros, vous avez un drone parfaitement efficace. Aujourd'hui, l'Union européenne finance des programmes de drones pour la surveillance des frontières ou pour la surveillance des pêches, ou éventuellement pour les questions de surveillance écologique, pour voir les bateaux, les dégazages, etc. Donc, encore une fois, le drone a des missions extrêmement variées. Alors c'est vrai que la mission la plus haute, c'est la mission de combat avec des missiles, mais on voit bien que la plupart des missions des drones sont des missions de reconnaissance ou des missions pour aller observer ce qui se passe. Y a-t-il en Afrique aujourd'hui des États qui cherchent à fabriquer eux-mêmes des drones ? Alors quand les vendeurs de drones viennent dans les pays, les États africains leur disent : « Écoutez, nous, on est prêts à, comment dire, à vous acheter des drones, mais par contre on veut les fabriquer sous licence. » Donc, il y a un marché régional qui va se mettre en place. Moi, je connais deux pays qui aujourd'hui sont plutôt partie prenante et sont plutôt dynamiques dans ce domaine-là, c'est le Maroc et l'Afrique du Sud. À lire aussiFrance: les tensions géopolitiques au Moyen-Orient perturbent le salon de l'aéronautique du Bourget
Épisode 1334 : La saison des festivals est lancée et avec elle les activations de marques immersives et personnalisées !Et de ces marques qui ne se contentent plus d'un stand : elles veulent créer des expériences.À l'heure où les marques cherchent à pousser ce curseur de l'expérience et de la création de contenu, les événements musicaux sont le terrain de jeu idéal pour tester, innover mais aussi rencontrer le public. —Les festivals, nouveau terrain de jeu préféré des marquesPendant longtemps, activer une marque sur un festival, c'était une bâche, un totem, un gobelet.Mais ça, c'était avant.Aujourd'hui, les marques veulent faire vivre une expérience.Elles veulent capturer l'attention du public festivalier.Et surtout, elles veulent donner envie de partager.Il n'existe pas de statistique officielle unique sur le nombre exact de publications par festivalier et par événement, mais les observations et analyses du secteur indiquent qu'un festivalier publie généralement entre 5 et 15 contenus sur les réseaux sociaux au cours d'un festival.Côté annonceur, c'est tout bénéf' : de l'UGC, du earned media et une proximité émotionnelle avec le public.—L'immersion comme levier d'engagementPlus l'activation est sensorielle, plus elle performe.La vue, l'ouïe, l'odorat, le toucher, le goût : tout y passe.Espaces expérientiels :Aperol Spritz Piazza à Coachella : Aperol a conçu une « piazza » italienne photogénique avec un tramway de marque, des jeux interactifs et un dôme photo, créant un lieu de rencontre convivial et hautement partageable sur les réseaux sociaux—Mesurer le ROI d'une activation immersiveLes marques ne s'arrêtent plus à la visibilité.Elles veulent des chiffres.Et l'immersif peut en fournir :nombre de participants / taux de partage / mentions sociales / trafic redirigé vers leurs canaux—Parfois le ROI se mesure en chiffre d'affairePlusieurs festivals de musique intègrent désormais des espaces dédiés au shopping, offrant ainsi aux festivaliers une expérience lifestyle complète mêlant musique, mode, art et consommation responsable. We Love Green : propose un espace appelé la restylerie. On y trouve des stands de mode éthique, d'accessoires, de cosmétiques naturels, ainsi que des espaces dédiés à l'upcycling et à la seconde main. Mai spas que. Cette année Izipizi était présent avec un stand sur lequel vosu pouviez acheter vois lunettes de soleil.—Pourquoi ça marche ?Parce que c'est émotionnel.Parce que c'est Instagrammable.Et parce que ça fait vivre une marque dans la vraie vie.C'est aussi une réponse à une attente générationnelle.Les GenZ valorisent l'expérience plus que le produit.Selon EventTrack, 74% des Millennials préfèrent dépenser pour une expérience que pour un bien matériel.Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En pleine guerre entre Israël et Téhéran, la presse américaine souligne l'importance d'une décision qui pourrait enflammer la région et bouleverser les principes politiques du locataire de la Maison Blanche. La Maison Blanche doit-elle s'associer aux frappes israéliennes et viser le régime iranien ? Dans le camp du oui, on trouve le Wall Street Journal, et c'est un grand oui. Le quotidien libéral et conservateur de New York évoque un « moment crucial pour la dissuasion américaine ». « Les adversaires des États-Unis, lit-on dans son éditorial, attendent de voir comment Donald Trump va répondre aux pressions et aux menaces stratégiques. » Si l'Amérique ne vient pas en aide « à l'un de ses alliés le plus fidèles et les plus loyaux pour éliminer la menace nucléaire iranienne, la Chine comprendra que les États-Unis ne défendront jamais Taïwan ». Et tout le monde le verra, « aussi bien les commissaires politiques du Kremlin que les caciques du Parti communiste chinois ». Dans le camp du doute, il y a CNN, la grande chaîne proche du Parti démocrate. « Il essaie peut-être, se demande Stephen Collinson dans un long article d'analyse, de faire peur à l'Iran et de ramener Téhéran sur le chemin de la diplomatie. Ou alors, il s'apprête à jouer très gros en renonçant à l'isolationnisme, l'un de ses grands principes politiques. […] Or, le régime iranien aura l'obligation de riposter, ne serait-ce que pour affirmer son autorité. » L'Iran pourrait attaquer des ressortissants américains et des bases militaires dans la région, entraîner les États-Unis dans un cycle de violence sans fin, tout cela, poursuit CNN, « du fait d'un homme qui s'enorgueillait jusqu'ici de ne jamais déclencher une guerre. Et pourtant, on parle à nouveau d'envoyer des Américains au milieu d'un conflit au Proche-Orient sur la base de renseignements incomplets à propos d'armes de destruction massive. On doit a minima à nos soldats tombés en Afghanistan et en Irak « une explication sur ce qui se passera après les premiers bombardements américains en Iran. » À lire aussi[En direct] Trump laisse planer le doute sur une intervention américaine en Iran En Haïti, un projet de Constitution contesté L'avant-projet de nouvelle Constitution, récemment soumis au Conseil présidentiel de transition (CPT) par le comité de pilotage, continue de provoquer de vives réactions à Port-au-Prince. Des voix s'élèvent dans presque toutes les sphères de la société civile pour dénoncer un texte jugé en décalage profond avec les réalités sociales et politiques du pays. D'aucuns remettent en cause sa légitimité même. Ils estiment que le comité de pilotage a usurpé une fonction qui ne peut revenir qu'à une assemblée constituante élue. Reportage signé Peterson Luxama à Port-au-Prince, à réécouter dans l'édition du jour, avec l'analyse de Jean-Marie Théodat, interrogé par Anne Cantener. Dora Maria Téllez, figure de l'opposition nicaraguayenne, répond aux questions de RFI Ancienne révolutionnaire sandiniste, connue aussi sous son nom de guerre, « Comandante 2 », elle combattait dans les années 1970 aux côtés de Daniel Ortega contre la dictature de Somoza. Mais dans les années 1990, elle a pris ses distances avec celui qui dirige aujourd'hui le Nicaragua d'une main de fer. À l'époque déjà, Dora María Téllez dénonçait les dérives autoritaires de Daniel Ortega. Passée dans l'opposition, elle a été arrêtée en 2021, emprisonnée, puis expulsée en 2023 vers les États-Unis. Aujourd'hui, l'historienne vit en exil en Espagne. De passage à Paris pour un congrès de chercheurs spécialisés sur l'Amérique latine, elle a accordé une interview à Achim Lippold. Doria Maria Téllez a notamment été marquée douloureusement par ses 20 mois de prison au Nicaragua avant son expulsion en 2023. Dora María Téllez : J'en garde toujours des séquelles. Toujours. Des séquelles physiques, parce qu'on passe beaucoup de temps enfermé dans le noir. J'ai été à l'isolement total, avec interdiction de parler. Je ne pouvais pas lire, je ne pouvais pas écrire, je ne pouvais exercer aucune activité sociale. Je n'avais même pas accès aux choses les plus élémentaires. Et puis, l'alimentation était très mauvaise. Et à cela s'ajoutaient des interrogatoires permanents, constants, surtout au début. Ensuite, ils se sont espacés. Mais les séquelles demeurent. On ressent une profonde fatigue, un véritable trou… Un trou de mémoire, dans le sens où pendant deux ans, on n'a rien appris, on n'a eu aucun contact avec la réalité extérieure. Cela laisse un vide, un gouffre. RFI : Comment qualifieriez-vous le régime de Daniel Ortega ? En ce moment, on vit sous un régime de terreur. Ils ont essayé de stabiliser leur pouvoir en instaurant une peur absolue dans la société nicaraguayenne, pour empêcher toute mobilisation. Tout est interdit. Les mobilisations sont interdites. Il n'y a plus de journaux, ils ont tous été fermés. Les médias ont été réduits au silence, toutes les universités privées aussi. L'Église est soumise à une forte pression. Des évêques, des prêtres et des religieuses ont été emprisonnés ou expulsés du pays. Il y a une opposition, mais elle ne peut pas s'exprimer. Il ne peut pas y avoir de manifestations d'opposition. Pas de réunions, pas d'assemblées, même pas en intérieur. À quel moment le régime a-t-il basculé vers une dictature ? Il y avait déjà une dérive autoritaire, oui, mais en 2018, quand de grandes protestations civiques ont éclaté, le régime a choisi de ne pas dialoguer, ni de chercher de solution politique à cette crise, qui était une véritable crise politique. Il a choisi de réprimer la contestation dans le sang. Plus de 350 personnes ont été tuées. Des milliers de personnes emprisonnées. Des centaines de blessés, des disparus dont on n'a plus de nouvelles. Le gouvernement a choisi de répondre par la violence, comme s'il s'agissait d'une guerre. Ils ont sorti les paramilitaires, l'armée, la police, tous armés de fusils de guerre. Ils ont tiré à bout portant sur la population. Ils ont réagi comme en temps de guerre. Et c'est dans ces conditions que le Nicaragua vit encore aujourd'hui. La situation n'a cessé d'empirer. Et en février de cette année, on a atteint un sommet, le point le plus extrême : une réforme constitutionnelle massive a été adoptée, et la dictature est devenue constitutionnelle. » Quel rôle jouez-vous aujourd'hui en tant qu'opposante politique en exil ? Moi, je suis une opposante à ce régime. Je crois que le Nicaragua a besoin de démocratie pour pouvoir se développer, pour offrir des opportunités, pour construire une société plus juste, avec plus d'égalité, de justice sociale. Avec une dictature, il n'y a aucun progrès possible. On n'a même plus le droit de penser, de réfléchir, de débattre des politiques publiques. Le pays est non seulement à l'arrêt, mais il se vide de son sang : 12 % de la population a quitté le pays depuis 2018. Le Nicaragua compte six millions d'habitants, et plus de 1,2 million sont partis. On parle ici de jeunes, de professionnels, de gens qualifiés. C'est une véritable hémorragie. Le pays est paralysé, et il se vide. C'est la deuxième fois que vous combattez une dictature, la première fois, c'était dans les années 1970. Vous avez contribué, en tant révolutionnaire sandiniste, à faire chuter la dictature Somoza. Quelle leçon tirez-vous de cette époque pour votre combat d'aujourd'hui ? Ce que j'ai appris, c'est que toutes les dictatures finissent par tomber. Elles tombent face à la volonté des peuples. Je vois clairement le processus de décomposition profonde dans lequel est tombé ce régime, et je suis convaincue que cette dictature sera liquidée à court terme. Avez-vous l'espoir de pouvoir retourner un jour, au Nicaragua ? J'ai de l'espoir, mais plus encore : j'ai la certitude que je vais retourner au Nicaragua. Ce n'est pas juste de l'espoir. C'est une certitude. Je sais qu'à court terme, je vais revenir dans mon pays. Et qu'il sera alors dans une autre situation. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1ère En Guadeloupe, le 19e congrès des élus exprime de vastes ambitions, mais sans parvenir pour l'instant à accorder tous ses violons.
durée : 00:08:57 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Une étude japonaise, menée dans deux villes sur plus d'une année, révèle la présence de néonicotinoïdes, dont l'acétamipride, dans 91% des échantillons prélevés. Un résultat qui montre donc un nouveau mode de contamination à ces produits toxiques, encore utilisés dans certaines cultures. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Jean-Marc Bonmatin Chargé de recherche au Centre de biophysique moléculaire du CNRS à Orléans, spécialiste de l'action des neurotoxiques chez les insectes et plus particulièrement chez les abeilles
Tandis que le conclave sur les retraites se termine ce mardi 17 juin 2025, Florian Gazan nous rappelle depuis quand nos retraites existent en France et dans le monde. Cette saison dans "RTL Matin", Florian Gazan répond aux questions pas si bêtes qui nous passent par la tête. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'arrivée des beaux jours rime souvent avec barbecue. Mais derrière ce plaisir convivial se cachent des risques pour la santé, bien documentés par la recherche médicale.Le principal danger réside dans la formation de composés chimiques toxiques lors de la cuisson à haute température. Lorsque les graisses de la viande fondent et tombent sur les braises, elles génèrent de la fumée. Cette fumée contient des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), substances classées cancérogènes probables par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Ces HAP se déposent ensuite sur les aliments.De plus, la cuisson de la viande à des températures élevées entraîne la formation de amines hétérocycliques (AHC). Ces molécules se créent lors de la réaction entre les acides aminés et les sucres présents dans la viande. Elles sont elles aussi considérées comme cancérogènes.Mais ce n'est pas qu'une théorie. Une étude majeure publiée en 2005 dans la revue Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention par le Dr Kristin Anderson, épidémiologiste à l'université du Minnesota, a suivi plus de 62 000 femmes. Résultat : celles qui consommaient régulièrement de la viande bien cuite au barbecue avaient un risque de cancer du sein augmenté de 54 % par rapport aux femmes qui en consommaient peu ou pas.Les risques concernent aussi d'autres cancers : colorectal, pancréas, prostate… Plusieurs études épidémiologiques ont montré une corrélation entre une consommation fréquente de viande grillée et une augmentation de ces cancers.Autre point préoccupant : les HAP ne se contentent pas d'augmenter le risque de cancer. Ils peuvent aussi avoir des effets sur le système cardiovasculaire et entraîner des inflammations chroniques. Quant aux AHC, ils peuvent endommager l'ADN des cellules, un mécanisme clé dans le développement tumoral.Faut-il pour autant bannir le barbecue ? Pas nécessairement. Il est possible de réduire ces risques en adoptant quelques précautions :éviter de carboniser les aliments,cuire à une température plus modérée,mariner la viande, ce qui réduit la formation d'AHC,privilégier les légumes grillés, beaucoup moins concernés par ces composés toxiques.En résumé, la cuisson au barbecue expose à des substances cancérogènes connues. La recherche médicale, comme l'étude de l'université du Minnesota, démontre que leur consommation répétée augmente significativement le risque de cancer. En adaptant ses pratiques, on peut cependant continuer à profiter de ces moments en limitant les dangers. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tracklist: 01. GHEIST - Everything Is Right (Extended Alternative Mix) 02. Blank & Jones - Baia Degli Angeli 03. Chicane - Epilogue (Beatless Extended Mix) 04. Basic Guy - Darkness (Horizons Remix - Narel's Ambient Edit) 05. Tvardovsky - Mistakes (Alternative Version) 06. Steven Liquid - Seaview (3Ivissa 5oul's Sunrise Relay) 07. Project Blue Sun - Close Your Eyes 08. Stelios Vassiloudis - Rua Do Campo 09. Trilucid - The Rift Between (Sunrise Mix) 10. Hyunji-A - Full of Empty Space 11. Trafik - Haunt (Extended Mix) 12. CHILL OF THE MOMENT: Delaitech & Seven24 feat. Elles de Graaf - Embers of a Fading Fire (Original Mix) 13. Rediit - Weightlessness (Original Mix) 14. Andrew Riqueza & Diana Dyatkinskaya - Let Me Go (Original Mix) 15. Drumcomplex & Frank Sonic - Last Echoes 16. Mystairium - Basematrix (Original Mix) 17. D-Formation - Distance Shores (Deep Flow Mix) 18. Alex Kassian & Spooky - Orange Coloured Liquid (Part II) 19. Paul Oakenfold - Novacaine (Chill Out Mix) 20. Trance Wax - Childhood 21. Puremusic - Unexpressed 22. Pig&Dan - I Feel it 23. Glenn Morrison, Frank Sonic - Sagaland (Ambient Extended Mix) 24. Hoopoe - Maen Ceti (Original Mix) 25. SOLITUDES CLASSIC: Aurasphere - The Greenhouse Effect (Original Mix)
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durée : 00:03:47 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Louise, 9 ans, s'interroge sur une idée très répandue : certains insectes femelles dévoreraient systématiquement leurs congénères mâles après l'accouplement. Or, selon la biologiste Christine Rollard, cela ne se passe pas exactement comme ça… - invités : Christine ROLLARD - Christine Rollard : Biologiste, spécialisée dans les araignées, maître de conférences au MNHN - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Nous sommes à l'automne 547 avant notre ère, dans le royaume de Lydie, un vaste ensemble territorial qui occupe l'essentiel de la partie occidentale de l'Anatolie. Nous sommes dans l'actuelle Turquie. Crésus, le roi de puissant royaume est contraint de se réfugier dans son palais de Sardes, la capitale. En effet, les troupes du Cyrus II le Grand, roi de Perse, sont parvenu à encercler la ville. Elles vont bientôt investir le palais et l'incendier. Crésus choisit alors de se donner la mort. Cette prise de Sardes, qui entraîne la chute de la Lydie, est perçue, par les anciens Grecs, comme un événement sans précédent. Selon le grec Hérodote, que l'on considère comme le premier véritable historien, « Les oracles prédirent à Crésus que, s'il faisait la guerre aux Perses, il détruirait un grand empire ». Que sait-on véritablement de Crésus ? Certes, nous aimerions être aussi riche que lui, riche comme Crésus… Mais d'où vient cette légende ? Et quel rapport avec une autre expression célèbre : toucher le pactole ? Plongeons-nous dans l'Asie Mineure d'il y a un peu plus de deux mille cinq cents ans … Invité : Kevin Leloux, docteur en histoire, art et archéologie à l'Université de Liège et professeur à Saint Louis Waremme. « Crésus – le plus riche des rois de Lydie » paru aux éditions Perrin. Sujets traités : Riche, Crésus, roi de Lydie, roi, Lydie, Anatolie, Cyrus, Hérodote, Perses, légende, Asie, Sardes Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Beaucoup d'espèces sont comestibles. Mais seulement une vingtaine sont autorisées à la consommation en France. Elles respectent des teneurs maximales en iode et en métaux lourds. Pour la plupart, on peut les récolter sur nos côtes bretonnes. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion des 10 ans de Laurent Ruquier aux commandes des "Grosses Têtes", RTL vous propose chaque jour de revivre en podcasts les meilleures séquences de l'émission ! Aujourd'hui, découvrez un extrait du 9 juin 2020 ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.