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durée : 00:15:06 - Journal de 8 h - La sanction est tombée : de AA- à A+. L'agence de notation Fitch abaisse la note souveraine de la France en raison de son instabilité politique persistante et des incertitudes budgétaires qui contrarient l'assainissement de ses comptes publics très dégradés.
durée : 00:11:49 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - En Europe, "c'est en France que la situation budgétaire du pays est la plus complexe", juge Daniel Baal, président de la Fédération bancaire française, après la dégradation de la note de la France de AA- à A+ par l'agence Fitch vendredi soir. - réalisé par : Céline ILLA, Helene Bizieau Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:45:32 - On n'arrête pas l'éco - par : Alexandra Bensaid, Valentin Pérez - Au lendemain de la dégradation de la note souveraine de la France par l'agence Fitch, quelles "ruptures" économiques peut-on espérer du futur gouvernement Lecornu ? Ce samedi, débat sur la taxation des plus riches et entretien avec le nouveau président de la Fédération bancaire française. - invités : Daniel BAAL - Daniel Baal : Directeur général de Crédit Mutuel Alliance Fédérale - réalisé par : Céline ILLA Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:06 - Journal de 8 h - La sanction est tombée : de AA- à A+. L'agence de notation Fitch abaisse la note souveraine de la France en raison de son instabilité politique persistante et des incertitudes budgétaires qui contrarient l'assainissement de ses comptes publics très dégradés.
In the past few years, we have witnessed a frightening spiral of political violence. We've seen the killing of Charlie Kirk; the killing of Brian Thompson, the health insurance executive; the assassination of a Minnesota House Speaker and her husband; the shooting of a Minnesota state senator and his wife; several attempted assassinations of Donald Trump; an attack on Nancy Pelosi's home and husband; a plot to kidnap the governor of Michigan, Gretchen Whitmer; and calls to lynch Vice President Mike Pence on January 6. As The Atlantic's Adrienne LaFrance writes, this is looking to be "an age of assassinations." LaFrance, the executive editor of The Atlantic, has written tens of thousands of words, including cover stories for the magazine, on the history of political violence in the U.S. Today, we talk about media coverage of political violence before getting to the hardest question: How can America survive a period of mass delusion, deep division, and political violence without seeing the permanent dissolution of the ties that bind us? If you have questions, observations, or ideas for future episodes, email us at PlainEnglish@Spotify.com. Host: Derek Thompson Guest: Adrienne LaFrance Producer: Devon Baroldi Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
durée : 00:55:59 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - Joseph Kessel, échappant de peu à une arrestation début 1943, réussit à rejoindre l'Angleterre et les rangs de la France Libre. Pour ce juif russe, immigré longtemps apatride, qui avait fait de la France sa patrie d'adoption, le combat contre Hitler et pour la liberté sonnait comme une évidence. - invités : Olivier Weber - Olivier Weber : Ecrivain-voyageur, grand reporter - réalisé par : Anne WEINFELD Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:36:18 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - La France, dans l'attente de son prochain gouvernement, et de la note de l'agence Fitch, annoncée ce vendredi soir, pourrait se voir dégrader, au vu des performances économiques et la situation politique des derniers mois. Nos auditeurs posent leurs questions à nos invités. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce jeudi, il revient sur la journée "Bloquons tout" et sur l'arrestation de nombreux casseurs. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis quelques mois, on parle beaucoup de la tendance “no kids” en France. Certains hôtels, restaurants ou lieux publics refusent parfois les enfants. Mais comment sont-ils vraiment considérés dans notre société ? Dans cet épisode, Hugo et Ingrid expliquent comment les enfants sont parfois sous-estimés et comment les parents se retrouvent souvent seuls pour s'en occuper. Ils abordent aussi la façon dont certains lieux ne sont pas adaptés aux enfants, la difficulté pour les structures d'accueil d'offrir un environnement de qualité, et le regard parfois négatif de la société sur ceux qui font du bruit ou dérangent. Enfin, ils présentent des initiatives positives, comme les villes “à hauteur d'enfants”, les cafés “kids-friendly”, et discutent des changements possibles pour mieux intégrer les enfants dans la vie quotidienne. Retrouvez la transcription de l'épisode sur www.innerfrench.com/e179 Découvrez nos cours pour améliorer votre français sur www.courses.innferfrench.com
durée : 00:39:42 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - La crise politique s'est de nouveau cristallisée autour du budget de l'État proposé par le gouvernement désormais démissionnaire. Alors que le mouvement “Bloquons tout” appelle à mettre le pays à l'arrêt ce 10 septembre, quelles réponses apporter à la demande de plus de justice sociale ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Gabriel Zucman Économiste français; Jérôme Fourquet Politologue
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 10 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Didier Giraud et Bruno Poncet, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 10 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, le portrait de Sébastien Lecornu, la composition du nouveau gouvernement attendra et une nouvelle journée de blocage. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Christophe Bourseiller, historien, auteur de "La France en colère" aux éditions du Cerf Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Mathieu Vallet, député européen RN - Christophe Bordet, rédacteur en chef - Gérard Carreyrou, journaliste - Gauthier Le Bret, journaliste - Caroline Ithurbide, journaliste et animatrice de télévision française Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:30 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après la chute de François Bayrou, Emmanuel Macron veut nommer un successeur à Matignon "dans les tout prochains jours". Mais qui pourra survivre dans un paysage parlementaire sans majorité ? Ce casse-tête politique est largement commenté chez nos voisins.
C dans l'air l'invitée du 9 septembre 2025 avec Agnès Verdier-Molinié, directrice de la fondation Ifrap, et autrice de "Face au mur", aux éditions de l'Observatoire.L'instabilité politique en France, renforcée par la chute du gouvernement Bayrou, risque d'assombrir les perspectives économiques du pays et de peser sur ses finances publiques, sous la menace d'une dégradation de sa note par l'agence Fitch vendredi. Déjà malmenée par la hausse des droits de douane américains et la censure du précédent gouvernement, l'économie française affronte une nouvelle fois l'écueil de la vacance du pouvoir. La croissance française s'est jusqu'ici montrée plutôt résiliente, confortant le ministère de l'Economie dans sa prévision d'une hausse annuelle de 0,7% du produit intérieur brut (PIB). Mais l'équation budgétaire est difficile, dans un paysage politique morcelé, alors que la France figure parmi les cancres européens en raison de l'ampleur de son déficit public (5,8% du PIB en 2024) et de son endettement (113,9% du PIB ou 3.345,4 milliards d'euros fin mars).C'est dans ce contexte délicat que Fitch pourrait faire basculer vendredi la note souveraine de la France du groupe AA ("qualité haute ou bonne") au groupe A ("qualité moyenne supérieure"). Bercy tente d'amadouer les agences en leur dressant le portrait d'une France aux fondamentaux économiques solides, et à la croissance qui résiste.Agnès Verdier-Molinié nous livrera son analyse de la situation économique du pays. Quelles pourraient être les conséquences de l'instabilité politique ? La France pourra-t-elle voter un budget et réaliser les économies de 120 milliards d'euros sur cinq ans attendues par la Commission européenne ? En ce jour de démission de François Bayrou, la France emprunte plus cher que l'Italie à dix ans. À quelle réaction s'attendre de la part des acteurs économiques ?
Pour la première fois, depuis 1958, un gouvernement a été renversé par un vote de confiance. Hier (8 septembre 2025), François Bayrou a échoué à rallier une majorité…364 députés ont voté contre lui. Un échec historique qui l'a contraint à démissionner à la mi-journée. 1h20 d'entretien avec Emmanuel Macron et l'expédition des affaires courantes… le temps de lui trouver un successeur. Plusieurs noms circulent… Plusieurs scénarios cohabitent mais aucune vérité à l'heure où l'on se parle. Tout peut basculer dans les prochaines minutes ou pas. La France devenue enfant malade de l'Europe est-elle ingouvernable ? 24 gouvernements en 11 ans. Notre 5ème République pensée, conçue par le général de Gaulle est-elle à bout de souffle? C'est notre débat du soir ! Pour en débattre - Philippe Moreau-Chevrolet, professeur de Communication politique à Sciences-Po et président de MCBG Conseil - Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne - Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Yves Camdeborde, chef restaurateur, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Mourad Boudjellal, éditeur de BD, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:15:02 - Journal de 7 h - Chaque parti a son idée. Au centre, on appelle à un gouvernement d'intérêt général. Ce qui est sûr, c'est que la plupart des chantiers législatifs en cours sont désormais stoppés.
Pour la première fois, depuis 1958, un gouvernement a été renversé par un vote de confiance. Hier (8 septembre 2025), François Bayrou a échoué à rallier une majorité…364 députés ont voté contre lui. Un échec historique qui l'a contraint à démissionner à la mi-journée. 1h20 d'entretien avec Emmanuel Macron et l'expédition des affaires courantes… le temps de lui trouver un successeur. Plusieurs noms circulent… Plusieurs scénarios cohabitent mais aucune vérité à l'heure où l'on se parle. Tout peut basculer dans les prochaines minutes ou pas. La France devenue enfant malade de l'Europe est-elle ingouvernable ? 24 gouvernements en 11 ans. Notre 5ème République pensée, conçue par le général de Gaulle est-elle à bout de souffle? C'est notre débat du soir ! Pour en débattre - Philippe Moreau-Chevrolet, professeur de Communication politique à Sciences-Po et président de MCBG Conseil - Frédéric Sawicki, professeur de Science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne - Valérie Gas, cheffe du service politique de RFI.
Après la démission du Premier ministre François Bayrou, la situation politique en France se double d'une crise économique. Avec un déficit public à 5,5 % du PIB et une dette qui dépasse les 3 300 milliards d'euros, plusieurs pistes sont envisagées pour tenter de sortir de l'ornière. Mais chacune traduit une vision différente de la société. Durant son passage à Matignon, François Bayrou n'a cessé d'alerter sur la fragilité de la situation économique française. Son credo : réduire les dépenses publiques, limiter le recours au crédit et relancer la production par le travail. Mais cette ligne d'austérité modérée n'a pas convaincu, contribuant à son renversement politique. La gauche mise sur une fiscalité plus juste À gauche, la solution passe moins par la baisse des dépenses que par leur réorientation. L'idée : réduire certaines niches fiscales jugées inefficaces, qui pèsent près de 80 milliards d'euros par an, et faire davantage contribuer les hauts revenus et les détenteurs de capitaux. L'objectif affiché : protéger l'école, accélérer la transition écologique et rétablir plus d'équité dans l'effort collectif. La droite prône l'austérité radicale De l'autre côté de l'échiquier, la droite propose une cure sévère : suppression de certaines fonctions non régaliennes, privatisations, réduction du nombre de fonctionnaires et durcissement de l'accès aux aides sociales. Cette ligne vise à rétablir les comptes publics en serrant fortement la ceinture de l'État, quitte à risquer un frein à la croissance et des tensions sociales accrues. Finalement, une troisième voie semble émerger : celle d'un équilibre entre économies et hausse ciblée des impôts, défendue notamment par la Cour des comptes. Mais derrière les chiffres, c'est avant tout un choix politique et de société qui se profile pour l'avenir du pays. À lire aussiDéficit public: Italie, Espagne… que peut retenir la France de leurs politiques d'austérité?
Pour la première fois de l'histoire de la Vᵉ République, un gouvernement tombe lors d'un vote de confiance : 364 députés ont voté contre, 194 pour, ce lundi 8 septembre. Le premier ministre François Bayrou doit désormais remettre la démission de son gouvernement au président Emmanuel Macron, qui a promis de nommer son successeur « dans les tout prochains jours ».Si cette issue était largement attendue, le flou demeure quant aux choix à venir du président. Une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, comme le demande le Rassemblement national, ou bien sa propre démission, comment le demande La France insoumise, sont-elles sur la table ? Quelles sont les prochaines étapes pour retrouver un gouvernement ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Abel Mestre, chef adjoint au service Politique du Monde et Robin Richardot, chargé du suivi de l'Assemblée nationale, examinent cette séquence politique historique.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia et Garance Muñoz. Réalisation : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Claire Leys. Dans cet épisode : extrait du discours du premier ministre François Bayrou, le 8 septembre 2025 à l'Assemblée nationale.Cet épisode a été publié le 9 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frPour assister à un enregistrement de L'Heure du Monde en direct, inscrivez-vous ici. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Retrouvez les partis pris de Cécile Duflot le Mardi et le Jeudi dans votre chronique "Voix de gauche" sur RMC.
La France joue ce soir son deuxième match de qualications pour la Coupe du Monde aux États-Unis, réception de l'Islande au Parc des Princes. Si Ousmane Dembélé et Désiré Doué sont absents, Didier Deschamps pourra compter sur son nouveau maitre à jouer : Michael Olise. Que pensez-vous de l'intégration du joueur du Bayern Munich ? Doit-il être la pierre angulaire de l'attaque française ? Est-il le meilleur tricolore cette saison ? L'Italie s'en est sorti lors dun match fou face à Israël. Les transalpins concervent leurs espoirs de qualifications, ce qui serait la première fois en Coupe du Monde depuis 2014. Êtes-vous tout de même inquiet pour les joueurs de Gennaro Gattuso ?
La France continue d'animer les marchés, façon théâtre de boulevard. Le Parlement n'a pas accordé sa confiance au gouvernement. Emmanuel Macron va devoir remplacer François Bayrou, dont le coup de poker s'est transformé en désastre politique. Les marchés financiers n'en ont pas grand-chose à faire pour l'instant. Wall Street moins que les autres, puisque les indices y battent régulièrement des records.
durée : 00:15:02 - Journal de 7 h - Chaque parti a son idée. Au centre, on appelle à un gouvernement d'intérêt général. Ce qui est sûr, c'est que la plupart des chantiers législatifs en cours sont désormais stoppés.
durée : 00:03:36 - Le monde à l'endroit - Mauvaise élève de la zone euro, désormais privée de gouvernement, la France est moins crédible et donc moins audible à Bruxelles. Mais le "domaine réservé" du chef de l'Etat en matière de politique étrangère est vu à l'étranger comme un gage de stabilité... tant qu'Emmanuel Macron reste à l'Elysée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:06 - Le vrai ou faux - La France insoumise veut destituer le président de la République. Plusieurs internautes, qui vont se mobiliser le 10 septembre, espèrent aussi un départ d'Emmanuel Macron. Mais est-ce vraiment possible de le destituer ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Laurent Wauquiez attaque l'assistanat et la bureaucratie en opposant la France qui travaille face aux Français qui bénéficient des aides sociales. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:17 - Journal de 12h30 - La France s'apprête à replonger dans une crise politique aigüe avec la chute attendue aujourd'hui du gouvernement de François Bayrou lors d'un vote de confiance au parlement. Laissant le président seul pour assumer sa vision et trouver un nouveau Premier ministre. - invités : Juliette Méadel Ministre déléguée chargée de la ville. Magistrate et haute fonctionnaire.
Le livre MGTOW – Des hommes sans femmes est disponible ici
François Bayrou présente lundi 8 septembre sa déclaration de politique générale, mais le Premier ministre français sait déjà qu'il ne recueillera pas la confiance des députés. Dans un contexte où la France doit trouver 44 milliards d'euros d'économies, l'austérité s'impose dans les débats. Que nous apprennent les expériences espagnole et italienne? Avec une dette colossale équivalente à 138 % de son PIB, l'Italie a dû agir. Rome a choisi une approche hybride : réduction de certaines dépenses, lutte accrue contre la fraude fiscale, mais surtout un recours massif aux fonds européens post-Covid, à hauteur de 190 milliards d'euros. Résultat, un déficit public ramené de plus de 8 % pendant la pandémie à 3,4 % aujourd'hui, proche des normes européennes. Cependant, la dette reste abyssale. Si l'emploi résiste et que la croissance est présente, l'inflation pèse lourdement sur le pouvoir d'achat des Italiens. À lire aussiPourquoi l'Italie devient la nouvelle destination des riches Européens ? L'Espagne, le traumatisme de l'austérité De son côté, l'Espagne avait choisi dès 2010 une austérité brutale. Au programme, des coupes massives, une hausse des impôts et des réformes du marché du travail. Les conséquences sociales ont été désastreuses, avec un chômage dépassant 25 % de la population active. Ces dernières années, Madrid a changé de stratégie. Aidée, elle aussi, par les fonds européens, l'Espagne a renoué avec une croissance solide. Avec plus de 3 % en 2023 et 2024, elle se place parmi les meilleures performances de la zone euro. Le chômage recule, la consommation repart, mais les inégalités demeurent, et certains services publics restent fragilisés. À lire aussiHausse d'impôts: y a-t-il un risque de fuite des grandes fortunes? La France en quête de sa voix Entre ces deux modèles, la France doit trouver sa voie. Son déficit atteint 5,5 % du PIB et sa dette pèse lourdement sur ses finances publiques. L'expérience européenne montre que si l'austérité peut redresser les comptes, elle peut aussi freiner la croissance et accentuer les fractures sociales. Tout dépendra donc du rythme et de la nature des mesures mises en place. Car sans croissance, l'austérité n'est pas une solution, mais bien une impasse.
Le 19 septembre 2024, une enquête de France info révèle que 43% d'eau du robinet testées par la cellule investigation de Radio France et le réseau France Bleu, contiennent des PFAS, appelés aussi polluants éternels. Ils se basent sur 89 prélèvements réalisés partout en France. Les substances per- et polyfluoroalkylées, ou PFAS, sont connues pour leurs propriétés anti-adhésives, résistantes à l'eau et aux fortes chaleurs. Elles sont utilisées dans différents secteurs industriels, notamment le textile, les cosmétiques ou encore les emballages alimentaires. C'est d'ailleurs pour cela que l'humain se retrouve en contact avec. Comment affectent-ils l'environnement ? Où les trouve-on en Europe ? Quel est l'impact des "polluants éternels" sur la santé ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Samuel Lumbroso Date de première diffusion : 25 février 2023 À écouter aussi : A quoi servent vraiment les moustiques ? Rachida Dati : comment reconnaître un conflit d'intérêt ? Qu'est-ce que l'autisme virtuel ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos de Laurent Wauquiez attaque l'assistanat et la bureaucratie en opposant la France qui travaille face aux Français qui bénéficient des aides sociales. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:39 - 8h30 franceinfo - Le coordinateur national de La France insoumise et député des Bouches-du-Rhône était l'invité du "8h30 franceinfo", lundi 8 septembre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Imaginez la Normandie du XVIIᵉ siècle. Des campagnes verdoyantes, des petits bourgs, et soudain… la colère qui gronde. En 1639, les paysans normands se soulèvent. On appellera cet épisode la révolte des Nu-pieds. Pourquoi ce nom ? Parce que ces insurgés, souvent modestes, se battaient pieds nus, symbole de leur misère mais aussi de leur détermination.Un impôt qui met le feu aux poudresLe contexte est tendu. La France est engagée dans la terrible guerre de Trente Ans. Pour financer l'effort militaire, la monarchie a besoin d'argent, toujours plus d'argent. Et quand il faut remplir les caisses, la solution est simple : augmenter les impôts. En Normandie, la cible est la gabelle, l'impôt sur le sel.Or, jusqu'ici, la région bénéficiait d'un régime fiscal plus léger. Quand la Couronne décide d'alourdir la taxe, c'est la goutte de trop. Pour les paysans, les artisans, même certains notables, le sel n'est pas un luxe : c'est une nécessité quotidienne. Le nouveau prélèvement est vécu comme une injustice criante.Le roi des Nu-piedsLa révolte éclate à Avranches et se répand comme une traînée de poudre. À la tête des insurgés, un avocat local, Jean Quetil, bientôt surnommé le roi des Nu-pieds. Des milliers d'hommes, mais aussi de femmes et d'enfants, prennent part au soulèvement. Ils s'attaquent aux bureaux de la gabelle, malmènent les collecteurs, brûlent les registres. Le message est clair : assez d'impôts, assez de contraintes venues de Paris.Richelieu contre la NormandieMais à Paris, on ne plaisante pas avec la contestation. Le cardinal de Richelieu, tout-puissant ministre de Louis XIII, envoie les grands moyens. Le chancelier Pierre Séguier et des troupes commandées par le maréchal de Gassion débarquent en Normandie. Très vite, l'armée royale reprend la main.La répression est terrible. Des exécutions publiques sont organisées pour l'exemple, des villages incendiés. La violence est telle que la révolte est étouffée en quelques mois à peine.Plus qu'une simple jacquerieAlors, que retenir ? Bien sûr, les Nu-pieds ont perdu. Mais leur combat révèle un malaise profond : celui d'un peuple qui accepte mal l'impôt, surtout quand il paraît arbitraire et inégal. Comme l'explique l'historien Jean Nicolas, ce n'était pas une jacquerie isolée, mais un épisode d'un cycle plus vaste de révoltes antifiscales qui ponctuent tout le XVIIᵉ siècle.Un héritage de résistanceAujourd'hui encore, la révolte des Nu-pieds reste dans la mémoire comme l'un de ces moments où des communautés locales ont osé défier le pouvoir central. Elle raconte la difficulté d'un État qui, en cherchant à se renforcer, s'est souvent heurté à la résistance de ses sujets.En somme, les Nu-pieds n'étaient pas seulement des paysans en colère : ils étaient les porte-voix d'une société qui refusait de se laisser écraser par l'impôt et par la monarchie absolue naissante. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La France a vécu une énorme désillusion à l'Euro en s'inclinant dès les huitièmes de finale contre la Géorgie (80-70). Finalistes en 2022, les Bleus sortent cette fois par la petite porte, plombés par leur manque d'adresse et d'intensité. L'absence de plusieurs cadres – Wembanyama, Gobert, Fournier, Lessort, Poirier ou encore Sarr – ne suffit pas à tout expliquer. Cette élimination précoce interroge : la sélection avait-elle l'état d'esprit et les armes nécessaires ? Freddy Fauthoux a-t-il trouvé sa patte en tant que coach principal ? Quelle relève pour accompagner Yabusele, Okobo et les cadres encore présents ? Et surtout, comment la France peut-elle rebondir ? Voici les premières réponses à chaud de Jacques Monclar et Rémi Reverchon. Présenté par Baptiste Denis.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C'est une semaine décisive qui s'annonce, avec, demain, le vote de confiance à l'Assemblée nationale, qui selon toute vraisemblance, verra le Premier ministre François Bayrou perdre la main. Mercredi, le 10 septembre, la journée de protestation « Bloquons tout ». Deux rendez-vous qui inquiètent les hebdomadaires. Le Nouvel Obs et Marianne, parlent même d'une « crise de régime ». « Après une réélection sans élan en 2022, des législatives sans majorité, une dissolution suicidaire en 2024 et une vraie défaite aux législatives qui ont suivi, voici Emmanuel Macron bientôt contraint de nommer son cinquième Premier ministre en trois ans », constate le Nouvel Obs. Il se demande si « cette crise inédite est le signe d'une Vème République à bout de souffle ou de l'échec d'une classe politique incapable d'inventer une autre pratique du pouvoir ». De son côté, Marianne s'interroge « sur le blocage total et la défiance généralisée qui posent la question de la survie du régime à court terme ». Procrastinations C'est dans cette atmosphère plutôt pessimiste que la presse tente d'envisager l'avenir. Pour ce qui est du prochain gouvernement, les socialistes, et particulièrement leur Premier secrétaire Olivier Faure, ont fait savoir qu'ils étaient intéressés. « Olivier Faure a vocation à revendiquer le pouvoir », estime François Hollande dimanche 7 septembre dans la Tribune Dimanche. Pas tendre avec son successeur, l'ancien président socialiste estime que « si le gouvernement de François Bayrou tombe demain, les procrastinations d'Emmanuel Macron ne peuvent plus avoir cours. Il doit nommer vite un Premier ministre et lui laisser la plus grande des latitudes pour assurer la présentation d'un budget dans les délais constitutionnels. Il ne peut être question de poursuivre la politique menée depuis 2017. » François Hollande ne va toutefois pas jusqu'à réclamer la démission du président : « Ayant occupé cette charge, sachant combien nos institutions doivent être respectées, je ne serai jamais de ceux qui appellent à la démission du président de la République ». Dette publique Quant à la situation économique, elle n'engage pas non plus à l'optimisme. L'Express, notamment, se désole de voir la France endettée jusqu'au cou. « Un médecin parlerait sans doute de déni. Ou de fuite en avant », nous dit l'hebdomadaire, « Il dresserait le diagnostic d'un patient incapable d'appréhender le réel. Le réel, c'est celui d'une société française, malade de sa dette publique et de ses déficits qui s'empilent méthodiquement depuis 1973, au gré des alternances politiques ». Le 8 septembre, poursuit l'Express, « François Bayrou va jouer son avenir politique, et surtout la crédibilité de la France, sur un chiffre : 44 milliards d'euros, la facture nécessaire pour commencer à infléchir la tendance et permettre enfin au pays de respecter les engagements pris à Bruxelles ». Et l'Express ironise sur ceux qui ne partagent pas ce point de vue, tel Olivier Faure. « Pour le patron du PS, le problème du déficit français ne serait pas celui d'une dépense publique obèse, mais de recettes faméliques en raison des cadeaux fiscaux accordés depuis 2017 » affirme l'Express, qui poursuit : « Pire, au cœur des revendications du nébuleux mouvement "Bloquons tout", cette phrase reprise par Jean-Luc Mélenchon (le leader de la France Insoumise) : "cette dette n'est pas la nôtre". » « Bloquons tout » Alors, précisément, ce mouvement qui appelle au blocage pour la journée de mercredi, est-il aussi nébuleux que l'affirme l'Express ? Pas vraiment si l'on en croit le Nouvel Obs, qui a fait la rencontre de celle qui, selon lui, a lancé le mouvement un soir de colère. Christelle 46 ans, ancienne « gilet jaune », habite dans le sud de la France, et selon le Nouvel Obs, elle veut rester anonyme. C'est elle qui, avec l'aide de ChatGPT, a écrit « cette lettre ouverte au peuple de France », dans laquelle elle s'exclame notamment : « Stop aux injustices, stop aux abus. Stop à ce système qui broie les humains pour nourrir les profits. Ce jour-là, nous ne sortirons pas : Pas de travail, pas d'école, pas d'achat. Pas de train, pas de métro… ». Une vidéo postée sur TikTok qui connaît un succès immédiat. « Le lendemain, raconte Christelle, je vois que la vidéo a fait plus de 300 000 vues, puis très vite 600 000. » Sur les réseaux sociaux, « on se dispute la paternité de l'appel », extrême droite et extrême gauche « s'étripent », nous dit le Nouvel Obs, qui cite également un sondage de la Fondation Jean Jaurès, selon lequel « 80 % des soutiens au mouvement se situent dans la gauche radicale ». Des soutiens auxquels le Parisien-Dimanche savonne la planche, évoquant « un caravansérail de revendications sans grande cohésion, parfois même contradictoires mais qui se retrouvent dans un même fond de sauce : le ras-le-bol. De quoi ? D'un peu tout, une exaspération toute française », estime le journal. On en saura sans doute plus, le 10 septembre !
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comme toujours, nous commencerons notre émission par une discussion sur l'actualité. Notre première conversation portera sur le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, qui met en avant l'unité entre les dirigeants de la Chine, de l'Inde et de la Russie. Puis, nous parlerons du 80ème anniversaire de la capitulation du Japon, qui a marqué le début d'une ère d'alliances et de libre-échange. Depuis, les souvenirs de la guerre se sont estompés, tout comme le consensus sur ce qu'il faut faire pour éviter que l'histoire se répète. Nous passerons ensuite à une étude scientifique sur des traces possibles de métissage entre l'Homo sapiens et les Néandertaliens. Cette étude repousse d'environ 100 000 ans la chronologie jusque-là admise de ce métissage. Enfin, nous discuterons du Beer Mile World Classic, qui s'est récemment déroulé dans la capitale du Portugal. Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture françaises. Notre point de grammaire de la semaine sera : The Imperfect Tense. The Verbs of the Third Group with the roots: mettre, venir, cevoir and the verbs conjugating like rendre. Nous parlerons de la restitution par la France de restes humains aux autorités malgaches lors d'une cérémonie officielle. Ce geste historique marque un pas vers le pardon pour les massacres commis à Madagascar pendant la colonisation. Nous terminerons avec l'expression de la semaine : Mettre son grain de sel. Nous verrons que certains mots de vocabulaire diffèrent selon les régions de France, ce qui donne souvent lieu à des débats passionnés entre les Français. - La Chine, l'Inde et la Russie provoquent l'Occident en affichant leur unité - Oublier les leçons des guerres mondiales conduit à l'effondrement de l'ordre international - Une étude met en cause la théorie établie sur le métissage entre les humains et les Néandertaliens - Corey Bellemore domine le Beer Mile World Classic pour la cinquième année consécutive - La France rend à Madagascar trois crânes datant de l'époque coloniale - Pain au chocolat ou chocolatine : la guéguerre des régions françaises
durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre Haski - A moins de trois semaines de la reconnaissance de la Palestine annoncée par Emmanuel Macron, Israël et les États-Unis multiplient les obstacles à l'initiative diplomatique française. Israël accuse le président français de vouloir « saper la stabilité » du Proche-Orient. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le 22 septembre prochain aux sièges de l'ONU, la France deviendra officiellement le premier pays du G7 à reconnaître l'Etat de Palestine.Le président Emmanuel Macron en avait fait l'annonce le 24 juillet, juste après une visite en Egypte pendant laquelle il a rencontré des femmes et des enfants palestiniens, blessés, par des bombardements israéliens.Le Royaume Uni, autre membre permanent du conseil de sécurité de l'ONU, ainsi que le Canada, ont annoncé dans la foulée leur intention de faire de même. 147 pays reconnaissent actuellement l'existence de cet Etat partagé entre la Cisjordanie et la bande de Gaza. Pourquoi Emmanuel Macron a pris cette décision ? Pourquoi la France n'avait pas encore reconnu jusqu'ici l'Etat de Palestine ? Réponse dans Code source avec deux journalistes du Parisien : Charles du Saint Sauveur, chef du service international, et Henri Vernet du service politique, spécialiste des questions de diplomatie. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert et Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France Info, France 24. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.