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Le Journal en français facile du mardi 20 mai 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bgeo.A
A l'occasion du huitième sommet de Choose France, Pascal Cagni, président du conseil de l'administration de Business France, met en lumière les avantages dont dispose l'Hexagone sur la scène internationale. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je pars à la rencontre de Lucie Anizon, directrice de Coop-médias, une SCIC, une société non lucrative qui appartient à ses sociétaires. Son objectif : agir collectivement pour construire un paysage médiatique pluraliste, dynamique et engagé, qui soit un espace d'information et de décryptage d'intérêt public et démocratique. Ensemble nous parlerons du rôle des médias pour faire changer la société, d'infobésité, d'indépendance et d'esprit critique. Pour en savoir plus sur le travail de Lucie, je vous invite à vous rendre sur le site Web de Coop-médias. Pour continuer la lecture de Lucie, il s'agissait du livre “Mal entendus : Les Français, les médias et la démocratie” de Nina Fasciaux. 2030 Glorieuses c'est le podcast des nouvelles croissances. Car non, demain n'est pas foutu ! Oui, le futur peut se révéler être autrement plus enthousiasmant que la période actuelle. À condition de se mettre (enfin) à la hauteur des enjeux de notre siècle…C'est ce que nous explorerons ensemble toutes les deux semaines dans le podcast 2030 Glorieuses. Quelles sont nouvelles croissances qui nous attendent dans la société durable, solidaire et joyeuse de demain ? Avec nos invité·es, nous imaginerons les valeurs fortes qui vont se déployer largement et pour quels bénéfices. Nous évoquerons les indicateurs qui nous permettront de mesurer ces changements souhaitables. Et nous tenterons même de deviner quelles étapes et quelles ruptures ont été nécessaires pour y parvenir. Et pour retrouvez notre galaxie utopiste, rendez-vous sur 2030glorieuses.org. Le podcast est soutenu par La Nef, la coopérative bancaire citoyenne qui soutient depuis plus de 30 ans les porteurs de projets sociaux, écologiques et culturels. Plus d'infos sur lanef.com.
En janvier 1923 cinq divisions françaises et belges envahissent la Ruhr pour obliger l'Allemagne à payer les réparations de guerre, mais pas seulement…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Retour sur un enjeu majeur de santé publique devenu la grande cause nationale 2025 : la santé mentale. Depuis le Covid, tous les indicateurs sont au rouge. Les Français vont de plus en plus mal et la parole se libère autour de l'anxiété, de la dépression, de la bipolarité…Alors allons-nous réellement de plus en plus mal ou sommes-nous simplement plus enclins à en parler ? Est-ce notre société qui produit du mal-être ? Et si oui, comment retrouver collectivement un rapport au monde plus apaisé ? On en débat ce jeudi 15 mai avec nos invités : ▶︎ Guirchaume ABITBOL Co-fondateur et président de l'application Lyynk▶︎ Faroudja HOCINI Psychiatre-psychanalyste, chercheuse au Centre de recherche Psychanalyse, médecine et société (CRPMS), co-autrice de « Tuer les gens, tuer la Terre. Passion euthanasique et crise écologique » aux éditions des Compagnons d'humanité (09.04.24)▶︎ Lauren BASTIDE Journaliste, autrice et productrice des podcasts La Poudre et Folie Douce, autrice de « Courir l'escargot » aux éditions JC Lattès (03.01.24)▶︎ Serge HEFEZ Psychiatre, psychothérapeute familial et psychanalyste▶︎ Martin LEGROS Philosophe, journaliste, rédacteur en chef de Philosophie magazine, responsable des pages « Livres » du journal Philosophie magazine▶︎ Aude CARIA Directrice de l'organisme public d'information sur la santé mentale Psycom
Retour sur un enjeu majeur de santé publique devenu la grande cause nationale 2025 : la santé mentale. Depuis le Covid, tous les indicateurs sont au rouge. Les Français vont de plus en plus mal et la parole se libère autour de l'anxiété, de la dépression, de la bipolarité… Alors allons-nous réellement de plus en plus mal ou sommes-nous simplement plus enclins à en parler ? Est-ce notre société qui produit du mal-être ? Et si oui, comment retrouver collectivement un rapport au monde plus apaisé ? On en débat ce jeudi 15 mai avec nos invités : ▶︎ Guirchaume ABITBOL Co-fondateur et président de l'application Lyynk▶︎ Faroudja HOCINI Psychiatre-psychanalyste, chercheuse au Centre de recherche Psychanalyse, médecine et société (CRPMS), co-autrice de « Tuer les gens, tuer la Terre. Passion euthanasique et crise écologique » aux éditions des Compagnons d'humanité (09.04.24)▶︎ Lauren BASTIDE Journaliste, autrice et productrice des podcasts La Poudre et Folie Douce, autrice de « Courir l'escargot » aux éditions JC Lattès (03.01.24)▶︎ Serge HEFEZ Psychiatre, psychothérapeute familial et psychanalyste▶︎ Martin LEGROS Philosophe, journaliste, rédacteur en chef de Philosophie magazine, responsable des pages « Livres » du journal Philosophie magazine▶︎ Aude CARIA Directrice de l'organisme public d'information sur la santé mentale Psycom
La lecture diminue de plus en plus au profit des écrans. Fabrice Luchini apporte ses explications sur le phénomène. Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Début du festival de Cannes aujourd'hui dans un climat un peu morose : la fréquentation des cinémas est en baisse depuis le début de l'année. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Début du festival de Cannes aujourd'hui dans un climat un peu morose : la fréquentation des cinémas est en baisse depuis le début de l'année. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de l'émission sur TF1 ce mardi soir dans laquelle le président de la République, Emmanuel Macron, répondra aux questions des Français. Pour Loïc, auditeur de l'émission, les sujets qui seront abordés ne correspondent pas aux besoins de la population. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Perrine jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
En l'espace de quinze ans, le fer à repasser — jadis indispensable dans tous les foyers français — a perdu de sa superbe. De 3 millions d'unités vendues par an à la fin des années 2000, le marché est tombé à 1,6 million en 2024, selon les données de NielsenIQ-GFK. Les ventes reculent régulièrement, année après année : -8,7 % pour les fers à repasser, -7,2 % pour les centrales vapeur en 2024. Mais cette désaffection ne rime pas forcément avec un laisser-aller vestimentaire.La première explication de ce phénomène tient au changement d'habitudes vestimentaires. Depuis les années 2010, les entreprises ont progressivement assoupli leur code vestimentaire. Les tailleurs et chemises rigides ont été remplacés par des tenues plus décontractées. Avec l'essor du télétravail, ces changements se sont accélérés. Moins de présence au bureau, moins de pression sociale à « être tiré à quatre épingles » : les Français ont donc moins besoin de repasser.En parallèle, les matières textiles ont évolué. Les vêtements d'aujourd'hui sont souvent conçus pour limiter les plis. De plus, les appareils électroménagers intègrent de nouvelles fonctions, comme le défroissage dans les lave-linge ou sèche-linge, qui permettent d'obtenir un linge plus souple sans effort.Autre tendance forte : l'arrivée des défroisseurs vapeur portables, qui connaissent un succès croissant. En 2024, leurs ventes ont encore progressé de 5,2 %. Moins encombrants, plus rapides à utiliser, ils séduisent particulièrement les jeunes générations. L'usage d'un fer à lisser les cheveux pour défroisser un vêtement devient même une solution de secours populaire, comme le confie Mathilde, 32 ans : « Quand j'ai vraiment besoin d'enlever un faux pli, j'utilise mon fer à lisser. »Le ralentissement des ventes est également dû à la plus grande longévité des appareils. En repassant moins souvent, les Français usent moins vite leurs fers, d'autant que les innovations comme les systèmes anticalcaire allongent leur durée de vie.Enfin, la place même du fer à repasser dans les rayons des magasins s'est réduite. Dans certaines enseignes comme Boulanger, les rayons sont désormais envahis de friteuses sans huile, d'aspirateurs-balais ou de robots culinaires — tandis que les fers deviennent presque des produits de niche.Pour autant, le repassage n'a pas disparu des foyers français. Avec 1 million de fers et 500 000 centrales vapeur vendus en 2024, le marché reste bien présent. Il s'adapte simplement à de nouvelles attentes, plus pratiques, plus rapides, et à une vie où l'élégance ne passe plus nécessairement par une chemise impeccable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Français adorent les pâtes fraîches : avec une croissance de 5,5% par an, elles dépassent largement les pâtes sèches, et ce malgré un prix élevé. Mais pouvons-nous les fabriquer maison ? On en parle avec le chef étoilé du restaurant Le George, Simone Zanoni. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Stéphane Carpentier et Agnès Bonfillon du 09 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Olivier Babeau, économiste et président de l'Institut Sapiens. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Joëlle Dago-Serry et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez Le débat du jour avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 06 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le débat du jour avec Amandine Bégot et Thomas Sotto du 06 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier Colcombet, président du réseau de mandataires Optimhome est l'invité de ce nouvel épisode de Mon Podcast Immo. Au micro d'Ariane Artinian, il revient sur les principaux enseignements du 12e baromètre Les Français et l'Immobilier réalisé avec Haris Interactive. Vous vous demandez ce qui motive (encore) les Français à acheter ? Pourquoi les primo-accédants reviennent en force ? Faut-il miser sur une passoire thermique pour faire une bonne affaire ? "Les Français n'ont jamais cessé de vouloir acheter, même quand ils ne le pouvaient pas", analyse t-il. Et pour s'y retrouver dans un marché plus technique, "le recours aux pros n'a jamais été aussi crucial". En 10 ans, leur image a gagné 18 points. Au menu : aspirations, contraintes, retour du PTZ, baisse des taux, image des professionnels et regain d'optimisme sur le terrain. "Il y a un bouchon de trois ans qui saute enfin grâce à la détente du crédit". À écouter absolument pour comprendre la dynamique actuelle du marché !
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Vincent Trémolet de Villers analyse les résultats d'un sondage révélant un profond malaise dans l'opinion publique française. Alors que près de 4 Français sur 5 souhaitent un changement radical de la politique, aucun candidat crédible ne semble émerger pour incarner cette aspiration. Cette crise de confiance s'étend à l'ensemble des institutions politiques et touche jusqu'à la perception même de la politique par les citoyens. Au-delà des enjeux économiques et sécuritaires, c'est la question de l'identité et des valeurs de la France qui semble au cœur des préoccupations des Français. Un éclairage essentiel sur les défis qui attendent la prochaine élection présidentielle.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que la paix entre Palestiniens et Israéliens n'a jamais semblé aussi lointaine, une grappe d'étudiants palestiniens a fait le choix de suivre un cursus d'« études israéliennes ». Au programme : cours d'hébreu, études de grands textes du judaïsme et de la littérature israélienne, histoire et sociologie d'Israël. La prestigieuse université de Birzeit, en bordure de Ramallah, affiche clairement ses objectifs : « Mieux connaître l'occupant » pour mieux le combattre sur le terrain des idées. De notre correspondante à Ramallah,C'est un cours d'hébreu... à la palestinienne. Il démarre par une distribution de baklawas. Grand sourire, une étudiante annonce ses fiançailles tout en promenant un plateau de pâtisseries. Gourmand, Esmat Mansour, le professeur, se sert tout en ne perdant pas de vue ses objectifs pédagogiques : « Mazel tov ! Mazel Tov ! » Les yeux rieurs encadrés de lunettes, il confie à voix basse : « L'hébreu rappelle de mauvais souvenirs aux étudiants. Pour eux, c'est la langue des checkpoints. Alors, j'essaie autant que je le peux de détendre l'atmosphère pendant le cours. Moi, j'adore l'hébreu et mon rôle, c'est de faire aimer cette langue à mes étudiants. Je leur dis souvent qu'en maîtrisant l'hébreu, ils vont gagner en force et en confiance en eux. Si tu ne sais pas t'exprimer en hébreu, les Israéliens te mépriseront. »L'hébreu, le quinquagénaire a eu tout le loisir de l'apprendre en prison où il a passé vingt années de sa vie pour participation au meurtre d'un Israélien établi dans une colonie. Il avait pour camarade de cellule un certain Yahya Sinwar, ancien numéro un du Hamas et instigateur des attaques du 7-Octobre qui ont fait basculer la région dans un chaos dont on ne voit plus la fin.Mais sur ce lourd passé, l'homme préfère se faire discret : « Mes étudiants sont curieux et veulent en savoir plus sur l'expérience de la prison, mais l'université n'est pas le lieu pour le faire. Ici, je ne parle que des bons aspects de la prison. Avoir pu apprendre l'hébreu est l'une de ces bonnes choses. »« C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens »Lui qui dit croire désormais en une « solution politique » au conflit, prodigue la matière phare du cursus : l'hébreu à raison de neuf heures par semaine. Révisions du vocabulaire de base et apprentissage de quelques adages en hébreu, le cours se déroule dans une ambiance bon enfant teintée de salves d'humour noir. Après la lecture d'un texte évoquant la protection de la nature et des animaux, un étudiant lance, cynique : « Ils sont fantastiques, les Israéliens ! Ils font attention à tout, la nature, les animaux ! Sauf à nous ! Nous non, on ne compte pas ! Pourquoi ? Aucune idée ! ». Les rires fusent. « Les plus tragiques des désastres sont ceux qui provoquent des rires », soutient le poète palestinien Mohammed El-Kurd dans son recueil « Rifqa ». Ici, on rit beaucoup. Tout en rondeurs et sourires lui aussi, Rabih Bader, 27 ans, dit vouloir entamer un travail de recherche consacré à ce qu'il appelle la « judaïsation de l'histoire palestinienne » par les Israéliens. Impossible donc de faire l'impasse sur l'hébreu : « C'est normal de vouloir en savoir plus sur les Israéliens. Eux savent tout de nous. Ils ont de très bons départements d'études palestiniennes dans leurs universités. Ils étudient non seulement l'arabe, mais même les différents dialectes palestiniens. Ils sont super spécialisés, à nous d'en faire de même. » Oreilles dressées pour écouter les cours, plusieurs étudiants gardent un œil en permanence sur leurs smartphones. Les dernières informations sont égrenées à haute voix : arrestations, incursions de l'armée israélienne ou rumeurs de fuites de documents au sein du Shin Bet, l'appareil de renseignements israéliens, la salle de classe a aussi des airs de rédaction. On commente, on se perd en conjectures et souvent, on ironise, encore et encore, sur la situation. Un programme lancé il y a dix ansPour accéder à cette rieuse salle de classe, il en aura fallu de la patience. Ici comme dans beaucoup d'endroits de Cisjordanie occupée, la méfiance règne. Avant de nous autoriser à nous mêler à leurs étudiants, les responsables de l'université de Birzeit annoncent avoir fait « leur enquête » sur nous. Un mois et demi d'échanges d'e-mails, de messages WhatsApp, de smileys, de vœux pour l'Aïd, de rencontres et de tractations plus tard, les portes de ce programme académique inédit s'ouvrent enfin à notre micro.Sous un portrait de Shireen Abou Aqleh – ancienne étudiante et professeur à Birzeit, mais surtout journaliste star d'Al Jazeera abattue en plein reportage à Jénine par l'armée israélienne – Najat Abdulhaq, sémillante responsable du département de la communication de l'université explique sa prudence. Smartphone en main, elle montre des photos des différents raids de l'armée israélienne sur le campus. Les dizaines d'étudiants arrêtés, les salles de classes retournées et les drapeaux arrachés l'incitent à la prudence désormais. Dans ce contexte hautement explosif, comment étudier sereinement la société israélienne ? Quand ce programme a été lancé il y a dix ans, un dilemme s'est posé d'emblée : peut-on étudier la société israélienne tout en évitant la « normalisation » ? La solution est vite trouvée. Les seuls Israéliens autorisés à donner cours ici sont des Palestiniens, citoyens d'Israël, comme Areen Hawari, directrice d'un centre de recherches à Haïfa, en Israël. Petite, coupe au carré, elle confie que cette escapade académique hebdomadaire en Cisjordanie occupée est paradoxalement une bouffée d'air pour elle : « Je suis heureuse d'enseigner ici à Birzeit. Je suis palestinienne et cela fait partie de notre projet de libération. Oui, cela fait partie de notre projet de libération de pouvoir produire des études qui soient critiques du colonialisme d'un point de vue académique. Je suis très enthousiaste. » Composant 20% de la population israélienne, les Palestiniens d'Israël sont minoritaires. Présentés comme une cinquième colonne qui menace la sécurité de l'État hébreu, ces professeurs – malgré les checkpoints qu'ils doivent franchir pour venir enseigner en Cisjordanie occupée – trouvent ici paradoxalement un répit de quelques heures dans le climat de suspicion généralisée qui prédomine en Israël. « J'ai un passeport israélien, mais je me sens palestinienne et je porte le poids de la douleur des Palestiniens moi aussi. Notre souhait, c'est qu'Israël ne soit pas un État que pour les juifs, mais pour tous les citoyens. On veut un État démocratique », poursuit Areen Hawari. Combattre la colonisation par les armes du savoirUn département d'études israéliennes peut-il se concevoir sans professeurs israéliens juifs ? Pour Asma, étudiante aussi appliquée qu'impliquée, la question ne se pose pas : « On n'a pas de professeur juif effectivement, mais le problème ce n'est pas la confession en soi. On ne veut pas avoir de profs sionistes. Mais ça n'empêche pas qu'on les lise. On ne peut pas comprendre les Israéliens si on ne lit pas Theodor Herzl et d'autres penseurs du sionisme ». Le sionisme. Le terme revient beaucoup en cours. « Plus de terre, moins d'Arabes », lance une étudiante pour le définir. Une question survient alors : « Peut-on étudier un domaine que l'on n'aime pas ? » Sans circonvolutions, Asma répond avec l'aplomb des punchlines propres à sa génération : « On est un peu comme les médecins qui étudient le cancer. Les médecins n'aiment pas le cancer, mais ils l'étudient pour pouvoir le combattre. » Tous, ici, professeurs comme étudiants, ont l'impression de combattre la colonisation par les armes du savoir. Fondée à l'aube du XXe siècle, l'Université de Birzeit a une longue tradition d'engagement pour la cause palestinienne. Les Français l'ont découverte à la (dé)faveur du déplacement de Lionel Jospin sur le campus le 26 février 2000. Pris à partie par des étudiants scandalisés par ses propos sur le Hezbollah qu'il a qualifié de « terroriste », le Premier ministre français essuie jets de tracts et de pierres. La scène donne des sueurs froides à son personnel de sécurité et vient rappeler combien chaque mot est miné dans cette région du monde. Un programme financé par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de DohaUn quart de siècle plus tard, rien n'a changé. L'Orient reste plus que jamais « compliqué » et suscite l'intérêt redoublé de programmes de recherches du monde entier. À commencer par celui des riches pétromonarchies du Golfe désormais convaincues de la nécessité d'investir dans le savoir en plus de la pierre et des clubs de football européens. La petite trentaine d'étudiants qui suit le programme bénéficient ainsi d'une bourse financée par le Centre arabe de recherche et de sciences politiques de Doha. Un institut dirigé par l'intellectuel palestinien Azmi Bishara également citoyen d'Israël où il fut député. Recherche, journalisme, diplomatie, les secteurs en mesure d'accueillir ces rares étudiants palestiniens connaisseurs en profondeur de la société israélienne sont nombreux et stratégiques.Casquette vissée sur la tête, main qui caresse tantôt un chapelet tantôt une cigarette, Mohanad, le regard clair – lui aussi ancien prisonnier comme 40% des hommes palestiniens et dont le nom sera tu pour des raisons de sécurité – confie pourtant avoir du mal à savoir ce qu'il fera de son diplôme. « Tu sais, nous en Palestine, on ne sait plus se projeter. Là, je suis avec toi, mais demain qui sait où je serai ? J'ai été emprisonné deux fois. Je peux être emprisonné à nouveau à tout moment. Depuis le 7-Octobre, on parle même de nous faire partir d'ici de façon massive. C'est difficile de pouvoir réfléchir à l'avenir ». « L'impossible futur ; comment la colonisation israélienne sape les rêves d'avenir de la jeunesse palestinienne ». Un thème de recherche académique en soi…
Dans cet épisode animé de Pop Culture, Mathieu Alterman nous fait découvrir l'essor de l'animation française. De Kirikou à Ballerina, en passant par les classiques Astérix et Le Roi et l'Oiseau, la France s'impose désormais sur la scène internationale avec des productions originales et acclamées. Plongez dans l'univers créatif de réalisateurs talentueux qui hissent l'animation hexagonale au rang des meilleures au monde.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:05 - Le Zoom de France Inter - Les déclarations tonitruantes à l'Ouest de Donald Trump, à l'Est de Vladimir Poutine font basculer les certitudes des baby-boomers, mais inquiètent aussi les plus jeunes. A quelques jours des commémorations du 8 mai 1945, Interception prend le pouls les Français, face au nouveau désordre mondial.
L'émission 28 minutes du 03/05/2025 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Martial Ze Belinga, économiste et sociologue ; Britta Sandberg, correspondante de “Der Spiegel” à Paris ; Mariam Pirzadeh, rédactrice en chef à France 24 et le dessinateur de presse Nicolas Vadot. Le blocus de Gaza devant la justice internationale : un coup d'épée dans l'eau ?Cette semaine, la Cour internationale de justice s'est réunie à la demande d'une quarantaine d'États et d'organisations internationales, afin de statuer sur le blocus humanitaire imposé par le gouvernement israélien dans la bande de Gaza. Depuis le 2 mars, aucune aide n'est acheminée dans ce territoire où vivent plus de deux millions de Palestiniens. L'État hébreu se justifie en expliquant que l'aide humanitaire est détournée par le Hamas et certains ministres assument que cette stratégie est un moyen pour faire plier l'organisation terroriste palestinienne. Pourtant, le droit humanitaire international, qui régule les effets des conflits armés, l'interdit. Israël n'a pas participé aux audiences de la CIJ dénonçant une “persécution systématique” de sa part. Si les décisions de cette Cour sont juridiquement contraignantes, elle ne dispose pas de moyens pour les faire appliquer. Les Français sont-ils obsédés par leurs jours fériés ?Comme chaque 1er mai, les boulangeries étaient fermées en France mais, cette année, une proposition de loi s'est invitée dans le débat. Des sénateurs proposent que désormais, les boulangers aient le droit de vendre du pain en ce jour national de fête du travail. Les syndicats s'opposent à une telle mesure qui viendrait porter atteinte à une conquête sociale. Cette passe d'armes reflète l'importance des jours fériés en France, dont le maintien ou non revient régulièrement dans le débat public, notamment ceux du mois de mai qui sont nombreux. Certains estiment qu'ils sont une entrave à l'activité au moment où la France a besoin de recettes. D'autres considèrent que ces acquis ne doivent pas être remis en cause, qu'ils soient religieux ou républicains. Nous recevons Katia Boudoyan, directrice de l'Institut du monde arabe de Tourcoing où se tient l'exposition “Ya Rayi ! Une histoire de la musique Raï”, jusqu'au 27 juillet. La musique raï est longtemps restée cantonnée à son berceau, Oran et sa région, en Algérie. Mais, au début des années 1980, cette musique de révolte et de liberté franchit les frontières grâce aux enfants de l'immigration maghrébine et s'installe au sommet du Top 50 en France. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins allemands et leur gestion des déserts médicaux. Cette semaine, certains médecins français ont fait grève pour dénoncer une proposition de loi qui vise à réguler leur installation dans l'objectif de lutter contre les déserts médicaux. En Allemagne, cette régulation est en place depuis le début des années 1990 avec des résultats satisfaisants. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Mark Carney, le nouveau Premier ministre canadien. Candidat du Parti libéral, le même que son prédécesseur, il a remporté l'élection lundi 28 avril face au conservateur Pierre Poilievre, longtemps donné gagnant et associé à Donald Trump. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision italienne qui commémore les 80 ans de l'exécution du Duce, Benito Mussolini. Sa mémoire continue d'être honorée, entre vrais nostalgiques du fascisme et amateurs de gadgets plus ou moins décérébrés. Paola Puerari se demande pourquoi nous attendons de trouver l'âme sœur pour avoir des enfants ? Elle s'intéresse à la coparentalité, une nouvelle façon de faire famille. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi utilise-t-on encore de vieilles bandes magnétiques ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 03 mai 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
La ministre chargée des Comptes publics souhaite taxer les millions de colis qui arrivent chaque jour en Europe depuis la Chine, pour l'essentiel des produits achetés sur Temu et Shein. Sauf que le gouvernement n'assume pas l'idée que c'est une taxe et prend les Français pour des idiots... Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 01 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La ministre chargée des Comptes publics souhaite taxer les millions de colis qui arrivent chaque jour en Europe depuis la Chine, pour l'essentiel des produits achetés sur Temu et Shein. Sauf que le gouvernement n'assume pas l'idée que c'est une taxe et prend les Français pour des idiots... Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de 5 minutes de français, Émilie et Judith explorent les clichés que les étrangers ont sur les Français. Du béret à la […] L'article Les clichés sur les français – 5 minutes de français est apparu en premier sur Français avec Pierre.
L'hygiène, c'est personnel mais aussi très culturel ! Et à ce sujet, les Français n'ont pas la meilleure réputation
En théorie, les pâtes à tartiner sont condamnées. En pratique, c'est un carton commercial. Les Français dépensent 800 millions d'euros tous les ans pour en acheter. On en avale 110.000 tonnes. Et, surtout, les ventes ont encore progressé de 10 % l'an dernier. Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 29 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Flora Ghebali et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Après avoir déclaré il y a quelques jours qu'il "serait le candidat" de Marine Le Pen si cette dernière venait à être empêchée de se présenter en 2027, Jordan Bardella ne cache pas préparer cette échéance. Un travail de lobbying interne et externe, pour passer d'une candidature à Matignon l'été dernier, à une première campagne pour l'Élysée.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En théorie, les pâtes à tartiner sont condamnées. En pratique, c'est un carton commercial. Les Français dépensent 800 millions d'euros tous les ans pour en acheter. On en avale 110.000 tonnes. Et, surtout, les ventes ont encore progressé de 10 % l'an dernier. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retrouve la vidéo et la transcription sur : https://www.francaisauthentique.com/ces-sons-que-seuls-les-francais-font-oh-la-la-pff-euh
Les Français ont la réputation de prendre beaucoup de vacances. Comparé à d'autres pays, la France est très généreuse en ce qui concerne les congés annuels.Traduction :The French have the reputation of being on vacation a lot. Compared to other countries, France is very generous when it comes to annual leave. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Les Français ont la réputation de prendre beaucoup de vacances. Comparé à d'autres pays, la France est très généreuse en ce qui concerne les congés annuels.Traduction :The French have the reputation of being on vacation a lot. Compared to other countries, France is very generous when it comes to annual leave. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:36:21 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Mode de transport privilégié pour aller travailler et partir en vacances, la voiture occupe une place de premier choix dans le foyer des Français… et dans leur cœur.
Les Français sont de véritables papillonneurs lorsqu'il s'agit de faire leurs courses. Selon une récente étude de l'institut Kantar, un foyer type fréquente aujourd'hui près de neuf enseignes de supermarché différentes. Un chiffre en hausse constante (il n'était que de 7,8 en 2019), qui illustre une infidélité croissante envers les marques de grande distribution. Mais pourquoi ce phénomène ?Une quête prioritaire : les petits prixLa principale motivation de cette infidélité est économique. La crise inflationniste de 2022 et 2023 a profondément bouleversé les habitudes de consommation. Dans un contexte de hausse continue des prix alimentaires, les consommateurs sont devenus plus vigilants et mobiles. Leur objectif : trouver les meilleurs prix, quitte à changer régulièrement d'enseigne. Cette chasse aux bonnes affaires concerne aussi bien les produits du quotidien que les articles d'hygiène ou de beauté, désormais souvent achetés dans des discounters comme Action ou Normal, au détriment des grandes surfaces traditionnelles.La diversification des attentesOutre les prix, les Français recherchent également la qualité des produits, notamment dans les rayons bio, frais ou locaux. Aucune enseigne ne répond totalement à l'ensemble de ces critères pour tous les consommateurs. Résultat : chacun compose son propre parcours d'achat, en fonction des promotions ponctuelles, des offres ciblées, ou des programmes de fidélité personnalisés.Des enseignes à l'assaut de la fidélitéFace à cette versatilité, les distributeurs redoublent d'ingéniosité pour retenir leurs clients. Ils multiplient les initiatives : réductions ciblées à certaines heures, remises sur les produits bio, ou encore programmes adaptés aux foyers modestes. Les cartes de fidélité évoluent également, intégrant désormais des partenariats avec des services annexes (assurance, énergie…) ou des jeux à tirage type loto.Leclerc, champion de la fidélisationDans cette bataille, certaines enseignes tirent leur épingle du jeu. C'est le cas d'E.Leclerc, qui affiche le plus haut taux de fidélité : 29,1 % de ses clients y effectuent plus de 70 % de leurs dépenses. Les coopératives comme Hyper U/Super U (20,3 %) ou Intermarché (17,6 %) suivent, tandis que les enseignes comme Lidl, bien que très populaires, séduisent surtout une clientèle occasionnelle.En somme, les Français ne sont pas volages par caprice, mais bien par nécessité. Leur infidélité est un choix stratégique de consommation, dicté par le contexte économique et l'exigence croissante envers la qualité et les prix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les Français ne seront pas tous égaux aujourd'hui pour aller faire leurs courses. Certains verront portes closes, d'autres seront attendus. L'occasion de rappeler pourquoi certains magasins sont fermés les jours fériés et d'autres non... Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 21 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Fatima Aït-Bounoua et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:27:38 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1975, Germaine Tillion était au micro de Claude Frère pour une série de cinq entretiens. Dans le deuxième d'entre eux, elle témoignait de ce qu'avait été sa captivité au camp de Ravensbrück durant la seconde guerre mondiale. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Germaine Tillion Ethnologue et résistante
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on discute à deux d'un sujet très actuel et souvent tabou : le cannabis en France.