POPULARITY
Categories
durée : 00:24:32 - La Série fiction - En 1832, le choléra menace Paris. Jean Valjean veut partir en Angleterre pour protéger Cosette. La jeune femme est désespérée à l'idée de quitter Marius. - réalisation : François Christophe
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.
Vous les avez sans doute déjà remarquées : ces colonnes cylindriques tournant devant les salons de barbier, ornées de spirales bleu, blanc et rouge. On les croise encore aux États-Unis, en Europe ou en Asie. Mais pourquoi ces couleurs ? Et surtout, que viennent faire le bleu, le blanc et le rouge sur une enseigne de coiffeur ?Une origine médiévaleL'histoire commence bien avant le simple rasage de barbe. Au Moyen Âge, les barbiers n'étaient pas seulement des coiffeurs : ils pratiquaient aussi de petits actes médicaux. On les appelait parfois les “barbiers-chirurgiens”. Ils saignaient les patients pour “purger” le corps, selon la théorie des humeurs, posaient des ventouses, arrachaient des dents ou recousaient des plaies. Bref, c'étaient de véritables praticiens polyvalents.Le symbole des couleursLes couleurs de l'enseigne rappellent directement ces pratiques. Le rouge représente le sang. Le blanc, les bandages utilisés pour comprimer et arrêter l'hémorragie. Quant au bleu, il symboliserait les veines, c'est-à-dire la circulation sanguine que l'on cherchait à contrôler avec les saignées.À l'origine, les barbiers accrochaient réellement des bandages ensanglantés à l'extérieur, enroulés autour d'un bâton, pour signaler leur activité. Avec le temps, cette image s'est stylisée en spirale colorée.Un objet codifiéDans certains pays, comme en Angleterre dès le XIVᵉ siècle, l'activité des barbiers-chirurgiens a été réglementée. Ils avaient même une enseigne officielle : un poteau surmonté d'un bassin, rappelant celui où l'on recueillait le sang. Le cylindre rayé, que l'on connaît aujourd'hui, est l'héritier direct de cette tradition.Pourquoi ces couleurs sont restéesMême après la séparation des métiers — les chirurgiens devenant des praticiens à part entière, et les barbiers se concentrant sur la coiffure et le rasage —, les enseignes ont gardé ce code visuel. Aux États-Unis, le bleu, blanc et rouge a parfois été interprété comme un clin d'œil patriotique aux couleurs du drapeau. Mais l'origine véritable reste médicale. En Europe, certaines enseignes n'affichent d'ailleurs que le rouge et le blanc.ConclusionL'enseigne de barbier est donc bien plus qu'un simple logo coloré. C'est un vestige d'un temps où se faire couper la barbe pouvait aller de pair avec… une petite saignée. Chaque spirale rouge, blanche et bleue raconte cette histoire insolite : celle des barbiers qui étaient aussi, autrefois, un peu médecins. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
William Shakespeare, né en 1564 en Angleterre, est un poète et dramaturge devenu l'un des écrivains les plus célèbres de l'histoire. Il commence sa carrière à Londres, écrit pour la troupe des Lord Chamberlain's Men et connaît un immense succès avec ses pièces jouées au théâtre du Globe. Il mêle comédies, tragédies et drames historiques, avec des personnages pleins d'émotions et des thèmes comme l'amour, la jalousie ou le pouvoir. Il écrit aussi des poèmes célèbres comme ses Sonnets. Il meurt en 1616, mais ses œuvres sont publiées par ses amis dans un recueil qui les rend immortelles. Aujourd'hui, Shakespeare est considéré comme le plus grand dramaturge de tous les temps.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Histoires du soir : podcast pour enfants / les plus belles histoires pour enfants
William Shakespeare, né en 1564 en Angleterre, est un poète et dramaturge devenu l'un des écrivains les plus célèbres de l'histoire. Il commence sa carrière à Londres, écrit pour la troupe des Lord Chamberlain's Men et connaît un immense succès avec ses pièces jouées au théâtre du Globe. Il mêle comédies, tragédies et drames historiques, avec des personnages pleins d'émotions et des thèmes comme l'amour, la jalousie ou le pouvoir. Il écrit aussi des poèmes célèbres comme ses Sonnets. Il meurt en 1616, mais ses œuvres sont publiées par ses amis dans un recueil qui les rend immortelles. Aujourd'hui, Shakespeare est considéré comme le plus grand dramaturge de tous les temps.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Si vous avez déjà longé une zone industrielle, vous avez sûrement remarqué ces silhouettes caractéristiques : des toits anguleux, en forme de dents de scie. On les associe tellement aux usines que même les emojis d'usine reprennent ce motif. Mais pourquoi cette forme a-t-elle dominé l'architecture industrielle du XIXᵉ siècle ? Et pourquoi tend-elle à disparaître… tout en revenant aujourd'hui sous une autre forme ?Un héritage de la Révolution industrielleL'histoire commence en Angleterre au XIXᵉ siècle, au cœur de la Révolution industrielle. À cette époque, les usines s'agrandissent, mais l'électricité n'est pas encore disponible pour éclairer ces immenses halles. Les lampes à huile ou les chandelles ne suffisent pas. Or, travailler dans la pénombre est impensable pour les ouvriers. La solution viendra des toitures : on invente le “shed roof”, ou toit en dents de scie.Comment ça fonctionne ?La structure est simple : une succession de toits en triangle rectangle. La partie verticale est vitrée, orientée généralement au nord, pour laisser entrer la lumière diffuse, sans éblouir ni chauffer excessivement l'espace. La partie inclinée, elle, est recouverte de tuiles, d'ardoises ou de métal, protégeant de la pluie et de la chaleur. Résultat : une lumière naturelle constante, idéale pour travailler la journée, surtout dans les ateliers de textile ou de métallurgie.Ces toitures avaient d'autres atouts : elles facilitaient l'écoulement des eaux de pluie, répartissaient mieux le poids sur la charpente et rendaient les bâtiments plus solides.Le déclin progressifAvec l'arrivée de l'électricité au début du XXᵉ siècle, la contrainte lumineuse disparaît. On peut désormais éclairer un atelier avec des lampes, sans dépendre de l'orientation du bâtiment. Dès les années 1910, des écoles comme le Bauhaus en Allemagne expérimentent de nouvelles formes, plus modernes et modulables. Peu à peu, les toits en dents de scie déclinent et disparaissent du paysage industriel.Un retour inattenduMais l'histoire ne s'arrête pas là. Depuis quelques années, ces toits reviennent dans les projets de réhabilitation et d'architecture durable. Pourquoi ? Parce que leur face inclinée orientée plein sud est idéale pour accueillir… des panneaux solaires. Ce qui était autrefois une solution de lumière naturelle devient aujourd'hui un levier pour la transition énergétique. Certains architectes, comme Jean Prouvé dès les années 1950, avaient déjà pressenti ce potentiel en réutilisant ce type de structure dans des rénovations.ConclusionLes toits en dents de scie racontent une histoire fascinante : nés d'un besoin d'éclairage, abandonnés avec l'électricité, puis réinventés pour l'énergie solaire. Preuve que l'architecture industrielle, loin d'être figée, s'adapte sans cesse aux défis de son temps. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes en 1552, située dans le Sussex de l'Ouest, en Angleterre. Cette année-là, le roi Édouard VI fonde l'école du Christ's Hospital. Un établissement public qui décide de faire porter une tenue commune aux orphelins et aux enfants défavorisés dont l'institution à la charge. Cette initiative vise, en réalité, à émanciper les enfants, par la scolarisation, en leur offrant des conditions égalitaires, y compris un uniforme simple, composé d'un long manteau, d'un short bleu, de chaussettes jaunes et d'un foulard blanc. Loin des codes vestimentaires élitistes des toges académiques, cet habit symbolise l'humilité et le respect du savoir, marquant l'inscription des enfants dans l'instruction au-delà de leur condition sociale. L'uniforme comme instrument de justice et de progrès est une idée qui sera défendue, deux siècles plus tard, par les gauches radicales. Son histoire est faite de flux et de reflux. Tombé en disgrâce après les guerres mondiales en Europe, il s'est généralisé ailleurs dans le monde, en Afrique, en Asie, en Amérique latine. Dans nos régions, son usage est, depuis quelques années, à nouveau, au centre des débats. Ses défenseurs y voient une réponse au désir d'ordre et de repères institutionnels face à l'affaiblissement des institutions et à la montée des affirmations identitaires. Ses pourfendeurs le perçoivent comme un vestige archaïque. Alors pour tenter de comprendre les uns et les autres, revenons aux origines de l'uniforme scolaire et à l'évolution de son usage. Avec nous : Jean-Claude Kaufmann, spécialiste de la vie quotidienne et pionnier de la microsociologie. « L'uniforme scolaire – Archaïsme ou modernité ? » ; Armand Colin. Sujets traités : L'uniforme, école, Édouard VI , institutions , évolution Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.
Il faudra attendre un jour lointain pour que les historiens qualifient notre époque de charnière. Ainsi, 60 ans après, nous pouvons dire que 1965 en a été une avec l'entrée de l'Amérique dans la Guerre du Vietnam, le mouvement des droits civiques aux Etats-Unis mais aussi le succès mondial d'artistes rock comme les Rolling Stones, Bob Dylan et bien sûr, les Beatles qui ont eu un impact considérable sur toute une génération et au-delà. Et c'est au milieu de ce bouleversement qu'un petit acteur français, présent dans le métier depuis vingt ans, spécialiste des seconds rôles, avec plus de cent films au compteur, va se hisser au sommet du box-office européen. Oui, contre toute attente, c'est ce second couteau, devenu récemment vedette du théâtre de boulevard, qui va, entre guillemets, sauver le cinéma européen de l'effondrement des fréquentations en salle : - 75% ces dix dernières années. On ne compte plus les fermetures des cinémas de village et de quartier, partout en France, Angleterre, Belgique, Allemagne. Sauf que depuis le début de l'année, le vaste public qui avait abandonné les salles obscures pour la télévision, y revient en courant pour voir deux films dont tout le monde parle : Le gendarme de St Tropez et Fantômas. Oui, même Fantômas, où il n'a que le second rôle derrière Jean Marais, c'est à peine la presse parle de lui, fait un malheur grâce à Louis de Funès.L'acteur est au courant de son soudain succès mais entre ceux qui disent que c'est un hasard, un long tournage en Italie qui l'emmène loin de Paris, et puis, comment savoir que ses films remplissent à Liège, Bordeaux, Nice, allez vous faire une certitude. Ça fait tellement longtemps que Louis est noyé dans la masse de ceux se battent pour un jour ou deux de tournage ! Mais voilà, ce 25 mars 1965, jour de la sortie du Corniaud, première grosse production où son nom figure en haut de l'affiche, va tout changer. Les critiques de presse, tout d'abord, puis les entrées en salles qui semaine après semaine augmentent. Je vous le demande, quand a-t-on vu ça ? 71.000 spectateurs à Paris, la première semaine, plus de 900.000 à la fin de l'année. Et puis il y a la province, et l'étranger, chez nous, le film ne sort qu'en octobre, sous le titre De snul en Flandre, tant et si bien que fin de l'année suivante, Le Corniaud franchit la barre des 8 millions d'entrées. Fin de l'année suivante, … Ah c'est certain, le monde a bien changé. Aujourd'hui sur les plateformes, nous sommes parfois des millions à regarder un même film ou épisode de série, le premier jour de sa diffusion. En 1965, à Bruxelles, les quatre derniers de Funès sont à l'affiche en même temps, en 25ème, voire en 50ème semaine. Car on en parle : je suis allé voir, j'ai ri du début à la fin. Il est incroyable. Alors oui, même si on évoque surtout la sortie de Thunderball, le 4ème James Bond, du Docteur Jivago, avec ses cinq Oscars, de Pierrot le fou de Godard, avec Belmondo, et du Help! des Beatles, 1965 fut bel et bien, l'année Louis de Funès, et le début du règne d'un acteur, à l'échelle de l'Europe.
Le titre de Championnes d'Europe à peine digéré, il est déjà temps pour nos féminines de reprendre le championnat !Avec un mercato ambitieux mais une préparation mitigée, Arsenal se dresse naturellement comme le premier outsider à Chelsea dans la quête du titre de Champion d'Angleterre .Retour sur la pré saison et sur les ambitions affichées !Bonne écoute !
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
L’Angleterre qui souhaite avoir accès à toutes les données qui sont dans iCloud. Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Écoutez l'essentiel de La commission du 3 septembre 2025: La coroner Géhane Kamel émet 12 recommandations pour la sécurité des enfants; Pierre Poilièvre réclame la fin du programme des travailleurs étrangers temporaires; L’Angleterre interdit les boissons énergisantes pour les moins de 16 ans. Le Québec devrait-il prendre la même décision?; Plus de 500 entreprises au Québec ne respectent toujours pas la nouvelle loi 101 sur l’affichage en français, entrée en vigueur le 1er juin dernier. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:02:57 - Un monde connecté - par : François Saltiel - La ville de Coventry en Angleterre vient de signer un contrat avec la sulfureuse entreprise américaine pour optimiser ses services publics.
durée : 00:05:47 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - La 10e Coupe du monde de rugby féminin en Angleterre bat des records : 400 000 billets vendus, stades pleins, 3,2 millions de téléspectateurs pour France-Italie sur TF1. Un engouement inédit qui confirme l'essor et la reconnaissance croissante de la discipline.
Onze ans après son mariage avec le prince Charles, la famille royale ne cerne toujours pas la personnalité de Diana, un personnage complexe, marqué par le mysticisme. Elle affirme avoir des prémonitions, comme celle du malaise fatal du cheval de Charles. Toute sa vie Diana croit à des forces mystérieuses et consulte des voyantes comme Penny Thornton que lui a présenté Sarah Ferguson. C'est cette femme, en perpétuelle questionnement qui doit désormais trouver un nouveau chemin après sa séparation avec le prince Charles."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Bruno Deltombe.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy LebourgMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Bien qu'elle soit sur le point d'épouser l'héritier du trône britannique, la pression de ses premières apparitions publiques la met mal à l'aise. Lors de sa première sortie officielle au bras du prince de Galles, elle commet un impair en portant une robe noire, couleur réservée aux deuils dans la famille royale. Ce soir-là, la princesse Grace de Monaco lui donne un conseil qui, avec le temps, se révèlera on ne peut plus prémonitoire. : "Ne vous inquiétez pas, les choses vont beaucoup empirer.”"Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Bruno Deltombe.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy LebourgMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Icône glamour, princesse du peuple, mais femme insaisissable, Diana Spencer demeure un mystère. Propulsée sous les projecteurs en épousant le prince Charles, elle devient l'une des figures les plus médiatisées du XXe siècle. Derrière les sourires et les robes somptueuses, se cache pourtant une âme tourmentée, tiraillée entre devoir royal et quête d'amour. Engagée dans des causes humanitaires, adorée du public mais brisée par la pression, elle s'affranchit peu à peu de la monarchie pour tracer son propre chemin. Entre lumière et solitude, sa légende continue de fasciner bien au-delà des contes de fées."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Bruno Deltombe.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy LebourgMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Leylah Fernandez en simple et en double ! On jase de hockey et d’une histoire digne de Cendrillon en Angleterre. Discussion sports avec Charles-Antoine Sinotte, chroniqueur sports. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cet épisode, je partage avec toi mon parcours personnel et professionnel : comment, depuis mon enfance, le français est devenu une évidence. Au collège et au lycée, c'était déjà ma matière préférée. J'adorais lire, et cette passion m'a naturellement conduite à étudier les lettres modernes à l'université.Je raconte aussi comment mon expérience à l'étranger, en Angleterre, a été décisive pour choisir le français langue étrangère (FLE) et devenir professeure de français.Si tu es passionné(e) par la langue française et que tu veux mieux me connaître, cet épisode est fait pour toi. Tu découvriras pourquoi j'ai choisi d'enseigner le français et comment mon parcours peut t'inspirer dans ton propre apprentissage.----------------------------------------------------------------------------------Les 40 erreurs à NE PLUS faire, c'est gratuit et c'est ici.Tu veux enfin passer à la vitesse supérieure ? Prends des cours avec moi, c'est ici.Le club de lecture de roman policier, c'est ici.Un dollar fait la différence pour sauver les chiens et chats errants au Mexique, fais un don.
Louise de Bettignies, enfant du Nord, se destinait à une longue et lente vie de contemplation, au sein de l'Ordre du Carmel. Pourtant, à l'aube de la Première Guerre mondiale, loin du cloisonnement d'une vie monastique à laquelle elle songeait tant, la jeune femme fonde Alice, l'un des plus importants réseaux de renseignement du conflit. Elle s'associe aux grandes organisations et agents de son temps pour déstabiliser l'ennemi, en assurant le transport de messages de la France vers l'Angleterre, en passant par la Belgique. Espionne redoutable, dévouée à sa cause, et héroïne de sa région, celle que l'on surnomme la Jeanne d'Arc du Nord ne manque pas de courage, d'esprit, ni d'audace !
Louise de Bettignies, enfant du Nord, se destinait à une longue et lente vie de contemplation, au sein de l'Ordre du Carmel. Pourtant, à l'aube de la Première Guerre mondiale, loin du cloisonnement d'une vie monastique à laquelle elle songeait tant, la jeune femme fonde Alice, l'un des plus importants réseaux de renseignement du conflit. Elle s'associe aux grandes organisations et agents de son temps pour déstabiliser l'ennemi, en assurant le transport de messages de la France vers l'Angleterre, en passant par la Belgique. Espionne redoutable, dévouée à sa cause, et héroïne de sa région, celle que l'on surnomme la Jeanne d'Arc du Nord ne manque pas de courage, d'esprit, ni d'audace !Louise de Bettignies est prête à mettre en place son réseau Alice. Mais non sans aide. Elle rencontre à Roubaix Léonie Vanhoutte, une espionne aguerrie, travaillant depuis août 1914, sous la fausse identité de Charlotte Lameron. Elle est chargée de la mise en place d'ambulances, et de ce fait, est amenée à effectuer de nombreux déplacements.
C'est à Istanbul qu'Hélène Kerloeguen, la cheffe pâtissière du Prince de Galles à Paris, a décidé de nous emmener. Sentez ! L'odeur des marchés, le bruit de la foule et des commerçants. Ça et là, observez les fruits séchés et la viande maturée suspendue. De ce voyage, Hélène garde un délicieux souvenir, plein de nouveautés et découvertes.Les spécialités culinaires à IstanbulÀ Istanbul, de nombreux aliments sont vendus séchés. C'est le cas du kaki et de l'aubergine par exemple, qu'Hélène n'avait jamais goûté sous cette forme.Elle retient aussi les délicieux desserts Ayva Tatlisi et Kabak Tatlisi respectivement au coing et au potiron. Les fruits y sont confits et servis avec du tahineh et diverses épices. Une association qu'Hélène a d'ailleurs envie de refaire au Prince de Galles.Côté salé, Hélène y a aussi goûté les kebabs locaux faits de viande de boeuf maturée et servi avec un verre de lait fermenté.Enfin, côté boisson, elle a été surprise par le café turc et le thé servi dans une double théière.Au menu de cet épisode :
Variant anglais, Brexit, guerre entre la couronne et le couple Meghan-Harry, vaccin AstraZeneca, "l'Angleterre" fait beaucoup parler d'elle. Mes petits élèves français sont souvent en pleine confusion car dans le langage courant nous utilisons le mot Angleterre pour Royaume-Uni, mais n'oublions pas que ce sont deux entités bien distinctes. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Louise de Bettignies, enfant du Nord, se destinait à une longue et lente vie de contemplation, au sein de l'Ordre du Carmel. Pourtant, à l'aube de la Première Guerre mondiale, loin du cloisonnement d'une vie monastique à laquelle elle songeait tant, la jeune femme fonde Alice, l'un des plus importants réseaux de renseignement du conflit. Elle s'associe aux grandes organisations et agents de son temps pour déstabiliser l'ennemi, en assurant le transport de messages de la France vers l'Angleterre, en passant par la Belgique. Espionne redoutable, dévouée à sa cause, et héroïne de sa région, celle que l'on surnomme la Jeanne d'Arc du Nord ne manque pas de courage, d'esprit, ni d'audace !Difficile d'imaginer qu'une jeune femme comme Louise de Bettignies entrerait un jour en contact avec un Etat-major. Aucun membre de sa famille n'est issu du milieu militaire. Son père, Henri de Bettignies, est issu de la vieille noblesse wallonne du Hainaut. Pendant un temps, les De Bettignies connaissent la richesse grâce à la manufacture de faïence impériale et royale de Tournai, qu'ils fondent en 1751.
Quand David fait trembler Goliath, RFI revient sur dix boycotts restés dans l'histoire. Théorisé en Irlande à la fin du XIXe siècle, ce mode d'expression de la colère continue de faire peur même aux plus puissants. Aujourd'hui, les origines du mot « boycott » en Irlande ravagée par une crise agraire. C'est en 1880, en Irlande ravagée par une grave crise économique, que les pauvres fermiers ont réussi à faire plier l'impitoyable gestionnaire de terres. L'affaire fait les gros titres de la presse de l'époque. Le mot « boycott » entre dans le dictionnaire. Un capitaine devenu gestionnaire de terres Charles Cunningham Boycott, le héros malgré lui de cette histoire, est né en 1832 à Norfolk en Angleterre. Après une brève carrière militaire, le capitaine Boycott s'installe sur l'île d'Achill au large de l'Irlande, sur un lopin de terre qu'il vient d'acheter. Mais la terre est pauvre et la solitude le ronge. Frustré par de mauvaises récoltes, l'homme retourne finalement s'établir en Irlande comme gestionnaire de terres chez un riche propriétaire terrien, dans le comté de Mayo. Sa mission : collecter les loyers des paysans et expulser les mauvais payeurs. L'autoritarisme du capitaine provoque la colère des villageois. Trop pauvres pour être propriétaires des terres qu'ils cultivent, ces métayers, comme on les appelle, ont souvent des traites en retard. La population exsangue C'est la panique dans le village. Les mères se jettent aux pieds du capitaine, les bébés pleurent, mais l'intendant reste de marbre. Le film intitulé Capitain Boycott, réalisé en 1947 par le Britannique, Frank Launder, dépeint cette dure réalité de la fin du XIXe siècle en Irlande. De mauvaises conditions météo ont provoqué de très basses récoltes et la famine s'en est suivie. Trois familles se retrouvent dans la rue. La révolte gronde. La résistance s'organise. La puissante Irish Land League est créée en 1879 Cela fait deux ans que les travailleurs agricoles irlandais protestent contre une législation qu'ils considèrent injuste. Ils ont le soutien de la puissante Irish Land League créée en 1879. Son leader, Charles Stewart Parnell, conseille aux villageois du comté de Mayo d'isoler leur intendant. Une action collective, terrible dans son efficacité est mise en place. Les commerçants refusent de vendre des biens à l'intendant, le facteur cesse de lui livrer son courrier et les métayers désertent les champs. Ostracisé, le capitaine Boycott doit faire venir des travailleurs des autres régions pour effectuer la récolte et engager des soldats pour les protéger. Le coût de l'opération, 10 000 livres sterling de l'époque, dépasse largement le prix de la récolte, 350 livres. Une action collective, solidaire et bien organisée Solidaires et bien organisés les paysans irlandais obtiennent des avancées. La loi votée en 1881 introduit la double propriété foncière entre propriétaires et locataires. Et une commission spéciale est créée pour fixer les loyers pour 15 ans. Ruiné, Charles Cunningham Boycott quitte l'Irlande et meurt en Angleterre seize ans plus tard, en 1897. Mais son nom est resté dans l'histoire pour décrire une contestation collective dans le but d'exercer une pression économique ou politique.
Autour de Philippe Sanfourche, retrouvez Dominique Sévérac, du journal Le Parisien, Bruno Constant, voix anglaise de RTL, et Timothée Maymon, de la chaîne Ligue 1 +. Au sommaire : - Retour sur cette défaite inaugurale en Ligue 1 de l'OM, battu à Rennes : pourquoi un tel faux pas ? - Le PSG est archi-favori pour conserver son titre en Ligue 1. Mais à quel point l'écart peut-il se réduire ou au contraire se creuser encore un peu plus avec la concurrence ? - Ousmane Dembélé sera-t-il forcément sacré meilleur buteur de L1 cette saison ? - Le Paris FC, promu ambitieux, peut-il être européen dès sa première saison ? - Hugo Ekitike à Liverpool, Rayan Cherki à Manchester City : lequel va s'imposer le premier en Angleterre ? - La promesse des clubs, de nos dirigeants de Ligue 1, de s'ouvrir aux diffuseurs, au public, d'ouvrir les vestiaires, de s'ouvrir tout simplement aux amoureux du ballon rond : faut-il croire en une vraie révolution culturelle ?Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur une mise à prix sur la tête d'un chef de gang haïtien, l'accord de Bougival en danger et le fonds souverain norvégien. États-Unis/RDC : pourquoi l'accord minier divise ? À Washington, des élus démocrates veulent plus de transparence sur l'accord minier signé entre les États-Unis et la RDC. Pourquoi ces élus américains et ainsi que le consortium de la société civile « Le Congo n'est pas à vendre » trouve que cet accord manque de transparence ? Quelles pourraient être les conséquences économiques s'il y a une absence de transparence ou un conflit d'intérêts ? Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI. Haïti : Washington mise 5 millions sur la tête de « Barbecue » Les États-Unis offrent une récompense de cinq millions de dollars pour la capture du chef de gang Jimmy Chérizier, surnommé « Barbecue ». Comment expliquer que les Américains en viennent à vouloir débourser une telle somme ? Quelles sont les chances réelles de le retrouver et de l'arrêter ? Avec Jean-Marie Théodat, directeur du département de géographie à l'Université Panthéon-Sorbonne. Nouvelle-Calédonie : l'accord de Bougival rejeté par les indépendantistes Les indépendantistes du FLNKS de Nouvelle-Calédonie rejettent l'accord signé en juillet entre Paris et les non-indépendantistes. Pourquoi les indépendantistes ont-ils rejeté cet accord ? Ce rejet met-il un terme à l'accord signé ou est-ce qu'il reste toujours d'actualité ? Avec Nathalie Mrgudovic, enseignante-chercheuse à l'Université d'Aston (Birmingham, Angleterre), spécialiste de la présence française dans le Pacifique Sud. Norvège : le fonds souverain se sépare de ses parts israéliennes Le fonds souverain norvégien a décidé de se désengager de onze entreprises israéliennes. Quelles entreprises israéliennes sont concernées par cette vente et dans quels secteurs elles opèrent ? Quel rôle jouent ces entreprises dans l'économie israélienne ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente la chronique Aujourd'hui l'économie.
Nous sommes le 16 juillet 1824, en Angleterre, dans la petite Eglise du village de Hucknall Torkard, pas très loin du manoir de Newstead où vécu celui que l'on enterre, ici, en présence de ses seuls amis et de quelques proches. Celui qui a incarné de son vivant déjà, et aujourd'hui encore, le génie poétique romantique. Un révolté épris d'indépendance, un ténébreux égoïste et misogyne, scandaleux mais aussi courageux qui n'aura pas hésité à combattre pour la liberté des peuples d'Italie et de Grèce. Il fut le sixième baron Byron. Mieux connu sous le nom de Lord Byron. Avec Daniel Salvatore Schiffer. « Lord Byron » ; folio biographies. Sujets traités : Lord Byron, baron, Newstead, Angletterre, poète, romantique, génie, scandaleux , liberté Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque vendredi du 25 juillet au 15 août, Tip & Shaft vous propose sa série estivale baptisée Un été post Vendée Globe, l'occasion d'écouter ou de réécouter les récits de skippers ayant participé à la 10e édition. Troisième invité, Sam Goodchild, arrivé en 9e position. Écoutez-le dans ce 116e épisode d'Into The Wind, enregistré le 22 avril 2025, peu de temps après le retour de son Vendée Globe.--Rares sont les marins à avoir goûté à autant de supports, si jeune : à 35 ans, Sam Goodchild, qui vient de boucler le Vendée Globe à la 9e position après 76 jours de course, n'a que le mot "apprendre" à la bouche. Alors, depuis qu'à 15 ans il s'est mis en tête de boucler le tour du monde en solitaire, le jeune Anglais multiplie les expériences.Après une jeunesse vécue aux Antilles sur le bateau familial, il rentre en Angleterre en pension puis intègre le circuit habitable et goûte au match racing, toujours partant pour filer un coup de main pour bricoler. C'est comme ça qu'il rencontre Alex Thomson et Mike Golding et vit le Vendée Globe 2008 de l'intérieur, après des premières transatlantiques et transpacifiques. Il a à peine 18 ans et arrête ses études : il sera marin.Il entre à l'Artemis Offshore Academy, et se lance en Figaro, pour quatre saisons : un apprentissage rude mais précieux, d'autant que, déjà, à côté, il multiplie les piges en Class40, gagnant la Normandy Channel Race en 2012. Quelques mois plus tard, il tombe à la mer lors de la deuxième étape de la Global Ocean Race, récupéré après 40 minutes à l'eau par son équipier Conrad Colman.Pendant ces riches années, il navigue en VOR65, en MOD70, en Imoca, désormais reconnu par les marins français, qui apprécient sa polyvalence... et son français parfait ! Habitué aux projets des autres, il se lance en Class40 pour le Rhum 2018, soutentu par Netflix, mais il démâte quelques jours après le départ. L'année suivante, il fait la rencontre de Leyton, qui lui confie la barre du Figaro, puis celle de l'Ocean Fifty.Cette fois, il a son propre projet, deux saisons complètes - dont une 3e place sur la Transat Jacques Vabre - et un statut de favori au départ de la Route du Rhum 2022 ; malheureusement, il est gravement blessé par sa colonne de winch dès le départ et doit renoncer.La suite était déjà écrite : à peine remis, il prend la barre de l'ancien Imoca de Thomas Ruyant et intègre la structure du Nordiste pour préparer le Vendée Globe, enfin ! En deux saisons, il accumule les places de 3e et décroche un titre de champion du monde Imoca, participe à The Ocean Race avec Holcim PRB, démâte quelques semaines avant le départ mais prend le départ de son tour du monde en solo serein et heureux.Il avait deux objectifs : terminer classé et prendre du plaisir. Objectifs atteints, et maintenant ? Sam Goodchild reconnaît que se remettre en selle n'est pas forcément évident et que réaliser son rêve est un peu vertigineux. Mais, désormais, courir autour du monde n'est plus un rêve, c'est son métier, et il a bien l'intention de continuer à le pratiquer.Rediffusé le 8 août 2025Diffusé le 22 Avril 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⚽️PODCAST FOOTBALL AU COEUR DU PARIS SAINT GERMAIN
durée : 00:29:20 - Avoir raison avec... - par : Marie-Lys de Saint Salvy - À 21 ans, Élisée Reclus part s'exiler en Angleterre, puis découvre l'Irlande et les Amériques. Comment un aspirant pasteur de Gironde est-il devenu l'un des plus grands géographes de son époque ? Voici le portrait d'Élisée Reclus en voyageur des années 1830 à 1857. - réalisation : Chloé Leblond - invités : Federico Ferretti Universitaire.
Cathédrale de Cantorbéry, en Angleterre, 29 décembre 1170. L'archevêque Thomas Becket, plus haut prélat du royaume, est frappé à mort par quatre hommes d'armes qui l'ont poursuivi. Pour le second volet de la série d'été « Un meurtre, une société », Fanny Madeline, maîtresse de conférences en histoire médiévale à l'université Panthéon-Sorbonne, décrypte les enjeux de cette mort violente à relier aux affrontements entre Église et pouvoirs séculiers initiés par la « réforme grégorienne ». Pour aller plus loin : Lloyd de Beer, Naomi Speakman, Thomas Becket: murder and the making of a saint, British Museum, 2021 Une série de Paroles d'histoire, podcast créé et produit par André Loez, distribué par Binge audio. Contact pub : project@binge.audioMusique de générique : Neil Young, Cortez the Killer.Titre de la série en référence au livre de Bernard Guénée sur 1407.Un podcast créé, animé et produit par André Loez et distribué par Binge Audio. Contact pub : project@binge.audioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Espagne, championne du monde en titre, élimine l'Allemagne et rejoint l'Angleterre en finale du championnat d'Europe féminin. La Roja va tenter de remporter son premier titre européen face aux tenantes du titre.
Privatisé en 1989, le secteur de l'eau au Royaume-Uni traverse aujourd'hui une grave crise. Entre déversements d'eaux usées, dettes abyssales et sous-investissements massifs, le gouvernement britannique veut reprendre la main. Mais une question reste en suspens : qui règlera la facture ? En 1989, la Première ministre Margaret Thatcher privatisait le secteur de l'eau en Angleterre et au Pays de Galles. L'objectif ? Attirer des capitaux privés pour moderniser un réseau jugé vétuste, tout en allégeant le fardeau des finances publiques. Mais 35 ans plus tard, le bilan est accablant. Les entreprises privées ont versé plus de 78 milliards de livres de dividendes à leurs actionnaires, tandis que la dette du secteur atteint aujourd'hui 68 milliards. Résultat : les investissements promis dans les infrastructures n'ont pas été réalisés, au détriment de l'environnement et des usagers. Une crise environnementale et sanitaire grandissante Ce sous-investissement s'est traduit par une dégradation spectaculaire du service. En cinq ans, les incidents graves de pollution ont été multipliés par cinq. Les déversements d'eaux usées dans la nature se sont multipliés, rendant certaines plages impraticables et classant les rivières du Royaume-Uni parmi les plus polluées d'Europe. Cette situation a provoqué un tollé au sein de la population, notamment face aux bonus records des dirigeants de ces compagnies, alors même que les services se détériorent. Et ce sont bien les consommateurs qui risquent de payer l'addition. Un plan à 104 milliards financé par les usagers ? Pour rattraper le retard, un rapport récent estime les besoins en investissement à 104 milliards de livres d'ici à 2030, uniquement pour l'Angleterre et le Pays de Galles. Ce plan devrait entraîner une hausse de 36 % des factures d'eau pour les Britanniques. F ace à la situation, le gouvernement a annoncé une réforme du secteur avec la mise en place d'un nouveau régulateur chargé d'assurer un contrôle plus strict et de renforcer les sanctions. Mais le défi est triple : protéger l'environnement, regagner la confiance des citoyens et rassurer les investisseurs, de plus en plus frileux face à la dégradation de la note financière des opérateurs. À lire aussiLe Royaume-Uni va devoir débourser 340 milliards d'euros pour rénover ses réseaux d'eau
durée : 00:38:54 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - La tapisserie de Bayeux sera expédiée en Angleterre en 2026 pour être exposée dans le prestigieux British Museum. L'institution présente toutes les garanties de sérieux, mais l'opération soulève toutefois bien des questions et des inquiétudes des experts au regard de la grande fragilité de l'œuvre. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Thalia Bajon-Bouzid Restauratrice textile; Hugo Fresnel Docteur en histoire médiévale, ATER à l'Université de Caen Normandie; Pauline Schnapper Professeure de civilisation britannique à l'université Sorbonne Nouvelle; Vincent Négri Juriste, chercheur au CNRS, au sein de l'Institut des sciences sociales du politique (Ecole normale supérieure de Paris-Saclay)
durée : 00:58:51 - Les Grandes Traversées - Les racines du jeune Winston disent tout. Partons donc au Palais de Blenheim, où la lignée des Marlborough, dont Churchill, a vécu et grandit. Ce château, "un peu notre Versailles", raconte un Churchill aventurier, avec une destinée. Né en 1874 au Palais de Blenheim, en Angleterre, Winston Churchill a grandi près de sa grand-mère, bien plus que de ses parents, comme le voulait l'usage parmi les aristocrates de l'époque. Celui que l'on surnommait "le vieux lion" a raconté ses jeunes années dans un livre publié en 1930, My Early life. En observant cette atmosphère marquée par l'imaginaire de la guerre et des batailles à Blenheim, on comprend que le petit Winston était en vérité un "soldat né". L'écrivain en herbe Le poète franco-britannique Michael Edwards évoque la prévalence des mots dans la jeunesse de Churchill : "Son premier souvenir, c'était une phrase. Il dit qu'à l'âge de quatre ans, lorsqu'il était en Irlande, et que son grand-père, le duc de Marlborough, a inauguré, dévoilé une statue à un grand militaire, il a prononcé un discours, et Churchill pense se rappeler une phrase : 'Et d'une salve cinglante, il fracassa les lignes ennemies.' Je trouve ça très intéressant parce que la phrase est merveilleuse. Il se peut que Churchill l'ait un peu réaménagé, mais la phrase est très puissante, très anglaise et très rythmée. Il avait le sens de la langue et il avait acquis, en quelque sorte, toutes les possibilités de l'anglais. Il connaissait les ressources de l'anglais comme un vrai écrivain." Churchill le comique Une fameuse anecdote racontée par le concerné veut que le jeune Winston ait été tout à fait déconcerté par un cours de latin portant sur la déclinaison du mot "mensa", la "table". Alors que son professeur s'efforçait de lui enseigner le vocatif — "mensa" — en expliquant qu'il s'agissait du cas à employer pour s'adresser à l'objet en question, Churchill répondit malicieusement qu'il ne parlait jamais aux tables... "Ce que j'ai remarqué dans ce livre My Early Life, raconte Michael Edwards, c'est que c'est un grand livre comique. La comédie ne le quitte jamais, qu'il parle de l'armée, qu'il aimait énormément, et où il trouvait beaucoup de glamour dans le sens anglais du mot, beaucoup de panache, de couleurs, etc. Ou qu'il parle de l'école, qu'il parle de ses amis politiciens ou qu'il parle de ses discours, etc. Il y a toujours des traits d'humour." L'officier au panier percé Le jeune Churchill manquait d'argent. Bien que sa famille eût été fortunée, Winston se voyait régulièrement refuser les sommes d'argent qu'il demandait à sa mère, à 20 ans, pour satisfaire les standards de la vie d'officier. L'écrivain Eric Simon raconte : "Il a toujours eu des problèmes d'argent parce que, disons-le, il vivait vraiment au-dessus de ses moyens." Il parvint à se constituer des ressources complémentaires grâce au journalisme : "Il a commencé à avoir une dérogation de son officier supérieur pour qu'il puisse écrire des articles. À l'époque, on lui payait en article 5 pounds (...). 5 pounds, ce serait à peu près aujourd'hui 250 livres de l'article. C'est grâce à la presse qu'il a pu tenir son standing de jeune officier, fréquenter un club, offrir le Champagne et le Porto à ses amis, comme un officier devait vivre." L'écriture se frayait ainsi un chemin dans la vie du jeune homme, avant même la consécration du prix Nobel.
Pourquoi les Français refusent-ils de payer pour un service qu'ils aiment ?Mapstr, l'application qui permet de répertorier ses lieux préférés (cafés, restos, boutiques...), a fait un pari osé : passer d'un modèle gratuit à un abonnement payant après 10 ans de service offert. Et ça n'a pas été de tout repos pour son fondateur, Sébastien Caron.✨ 4,5 millions d'utilisateurs
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 11 juillet 2025 : "Accord franco-britannique sur l'échange de migrants, bonne ou mauvaise idée ?", avec Fatima Aït Bounoua, professeure de français, Charles Consigny, avocat, et Antoine Diers, consultant.
C dans l'air du 10 juillet 2025 : Nucléaire, immigration : l'axe Paris-LondresAlors que les attaques russes redoublent d'intensité en Ukraine et que le continent s'est lancé dans une course à l'armement, Paris et Londres ont annoncé être prêts à "coordonner" leurs dissuasions nucléaires pour protéger l'Europe de toute "menace extrême". Un "groupe de supervision nucléaire", coprésidé par l'Élysée et le Cabinet Office britannique, va être créé. Cette évolution majeure de leur doctrine a été officialisée par Emmanuel Macron et Keir Starmer, alors que le président de la République effectue une visite d'État au Royaume-Uni depuis plusieurs jours.Depuis plusieurs semaines, les deux dirigeants avaient promis de muscler la défense européenne face au désengagement des États-Unis. C'est chose faite. Mais qu'est-ce que cela signifie concrètement ? S'agit-il d'un tournant historique en matière de dissuasion nucléaire ? Le rapprochement franco-britannique signe-t-il le retour de "l'Entente cordiale" ?Invité par le roi Charles III, Emmanuel Macron est le premier chef d'État de l'Union européenne à se rendre outre-Manche depuis le Brexit, et le premier président français à effectuer une visite d'État au Royaume-Uni depuis Nicolas Sarkozy en 2008. Entre procession en calèche et dîner royal à Windsor, le couple présidentiel ont eu droit à tous les honneurs du protocole royal. Emmanuel Macron s'est également adressé au Parlement britannique, a coprésidé une réunion de la "coalition des volontaires" avec Keir Starmer, et a participé à un sommet qualifié par certains de… réconciliation.Au-delà de la défense, Londres et Paris s'apprêtent à annoncer de nouvelles mesures pour lutter contre l'immigration clandestine dans la Manche, un dossier qui empoisonne les relations bilatérales depuis plusieurs années.Autre point de friction : Donald Trump. Le président américain, revenu sur le devant de la scène, menace d'imposer de nouveaux droits de douane. Une inquiétude partagée des deux côtés de la Manche. Tandis que Keir Starmer s'est dit prêt à satisfaire les exigences de Washington pour conclure rapidement un accord, Paris et Bruxelles ont jusqu'au 1er août 2025 pour tenter, à leur tour, de négocier un compromis.LES EXPERTS :- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- JOSEPHINE STARON - Directrice des études et des relations internationales – Synopia- CATHERINE NORRIS TRENT - Grand reporter -France 24- PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chassePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM :https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 10 juillet 2025 : Nucléaire, immigration : l'axe Paris-LondresLES EXPERTS :- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- JOSEPHINE STARON - Directrice des études et des relations internationales – Synopia- CATHERINE NORRIS TRENT - Grand reporter -France 24- PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Bruno Poncet et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'affaire Lucy Letby a suscité une vague d'indignation dans tout le Royaume-Uni. La nature des crimes est aussi horrible qu'inconcevable. Durant les années 2015 et 2016, sept bébés ont été tués, six autres ont échappé de justesse au même destin funeste. Ces crimes n'ont pas été commis dans un domicile quelconque ou dans la rue. Ils ont été perpétrés dans l'un des lieux les plus sûrs du comté de Chester : un hôpital. La coupable est une infirmière. Elle s'appelle Lucy Letby et pour ces meurtres, il se pourrait qu'elle ne sorte jamais de prison. Voici l'incroyable histoire criminelle de Lucy Letby, infirmière et tueuse en série.
Ce jeudi dans Radio Foot Internationale à 16h10 TU & 21h10 TU : - Drame : les frères Jota périssent dans un accident de voiture. ; - Euro féminin 2025 : premiers frissons en Suisse ; - CAN féminine : le Maroc entre en scène ce week‑end. ; - « Beckham : le mythe en 100 pages » par So Foot. Drame : les frères Jota périssent dans un accident de voiture. Diogo Jota, joueur de Liverpool, international portugais et son frère André Silva Jota, footballeur au FC Penafiel, tous deux passés par le FC Porto ont perdu la vie dans un terrible crash en Espagne. Le monde du foot sous le choc ! Marco Matins de RFI sera avec nous pour lui rendre hommage et rendre compte de l'émotion suscitée au Portugal. ⸻ Euro féminin 2025 : premiers frissons en Suisse La Norvège renverse la Suisse 2‑1 à Bâle ce mercredi. France et Angleterre s'affrontent samedi à Zurich pour l'entrée en lice dans le groupe D. Les enjeux de cette édition, outsiders et favoris ! Cette Euro peut-elle enfin marquer un tournant médiatique et sportif ? ⸻ CAN féminine : le Maroc entre en scène ce week‑end Maroc–Zambie samedi à Rabat pour ouvrir le tournoi. 12 équipes en lice, l'Afrique du Sud à conserver son titre en toile de fond. Ferveur assurée. Le Maroc peut-il créer la surprise sur son sol ? ⸻ « Beckham : le mythe en 100 pages » par So Foot À découvrir dès aujourd'hui dans les kiosques. Et une question : David Beckham reste-t-il une icône universelle du sport, ou n'est-il plus que le symptôme des dérives du foot business ! — Présentation : Annie Gasnier | Edition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno | Consultants : Philippe Doucet, Cherif Ghemmour, Salim Baungally, Manu Terradillos.
Ce jeudi dans Radio Foot Internationale à 16h10 TU & 21h10 TU : - Drame : les frères Jota périssent dans un accident de voiture. ; - Euro féminin 2025 : premiers frissons en Suisse ; - CAN féminine : le Maroc entre en scène ce week‑end. ; - « Beckham : le mythe en 100 pages » par So Foot. Drame : les frères Jota périssent dans un accident de voiture. Diogo Jota, joueur de Liverpool, international portugais et son frère André Silva Jota, footballeur au FC Penafiel, tous deux passés par le FC Porto ont perdu la vie dans un terrible crash en Espagne. Le monde du foot sous le choc ! Marco Matins de RFI sera avec nous pour lui rendre hommage et rendre compte de l'émotion suscitée au Portugal. ⸻ Euro féminin 2025 : premiers frissons en Suisse La Norvège renverse la Suisse 2‑1 à Bâle ce mercredi. France et Angleterre s'affrontent samedi à Zurich pour l'entrée en lice dans le groupe D. Les enjeux de cette édition, outsiders et favoris ! Cette Euro peut-elle enfin marquer un tournant médiatique et sportif ? ⸻ CAN féminine : le Maroc entre en scène ce week‑end Maroc–Zambie samedi à Rabat pour ouvrir le tournoi. 12 équipes en lice, l'Afrique du Sud à conserver son titre en toile de fond. Ferveur assurée. Le Maroc peut-il créer la surprise sur son sol ? ⸻ « Beckham : le mythe en 100 pages » par So Foot À découvrir dès aujourd'hui dans les kiosques. Et une question : David Beckham reste-t-il une icône universelle du sport, ou n'est-il plus que le symptôme des dérives du foot business ! — Présentation : Annie Gasnier | Edition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno | Consultants : Philippe Doucet, Cherif Ghemmour, Salim Baungally, Manu Terradillos.
durée : 00:29:03 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Karine Le Loët - L'"épidémie" débute en 2021 en Angleterre, et gagne la France en 2022. Le ministère de l'Intérieur déplore 2100 plaintes en France. Depuis, les cas se font moins nombreux. Mais que s'est-il passé pendant ces mois où la France a vécu au rythme des alertes aux piqûres ? Récit signé Karine Le Loët - réalisation : Yaël Mandelbaum
En septembre 2017 à Londres en Angleterre, Sophie Lionnet, jeune fille au pair française, est retrouvée morte dans un feu allumé par son employeur.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En septembre 2017 à Londres en Angleterre, Sophie Lionnet, jeune fille au pair française, est retrouvée morte dans un feu allumé par son employeur.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En septembre 2017 à Londres en Angleterre, Sophie Lionnet, jeune fille au pair française, est retrouvée morte dans un feu allumé par son employeur.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.