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Pablo Martínez Bernal, gran conocedor de la figura de Buffett, como inversor y como empresario, visita Tu Dinero Nunca Duerme. Warren Buffett sigue siendo el mejor inversor del mundo. Pero desde hace unos días, lo es más por su historial que por su labor diaria. Porque el sabio de Omaha anunció que se retiraba, por sorpresa, en la última conferencia anual de inversores de Berkshire Hathaway. Y a partir de ahí se desataron las especulaciones, ¿quiénes serán sus sucesores: en la dirección y en la selección de activos? ¿Seguirán los nuevos responsables de Berkshire manteniendo la línea que hizo famosos a Buffett y a su socio Charlie Munger? Para ayudarnos a responder a estas preguntas, esta semana nos acompaña en Tu Dinero Nunca Duerme el Head of Sales para Iberia de Amiral Gestion, Pablo Martínez Bernal, un gran conocedor de la figura de Buffett, como inversor y como empresario: "Ha sido una gran sorpresa. Todo el mundo daba por hecho que iba a hacer como Charlie Munger, que se iba a morir siendo consejero delegado de la compañía. En esta profesión, las canas cuentan: el acumulado de muchos años de conocimientos son un ayudado. Pero quizás el mismo ha pensado que no quiere ser un problema, sobre todo si aparece un deterioro cognitivo". "El rol por el que siempre ha insistido que le gustaría ser recordado es el de profesor. Ésa es la gran contribución para la comunidad inversora. Fue profesor en la Universidad de Nebraska y ha continuado con esa labor de una u otra forma (por ejemplo, recibiendo a grupos de estudiantes de MBA). A lo largo de estos años, el acumulado implica que ha dado clases a decenas de miles de inversores", nos recuerda Martínez Bernal. ¿Y qué hay detrás de tantos años de éxito? ¿Algún secreto que nadie más conoce?: "No diría que hay un secreto. Warren Buffet, antes de leer el libro El inversor inteligente (de Benjamin Graham), ya invertía, porque empezó a los 11 años. Lo hacía usando los gráficos: es decir, la gente no lo sabe pero era trader. Es curioso cómo una persona que había empezado mal, tira todos los sistemas que le estaban dando dinero, y apuesta por el value investing. Por eso, su secreto consiste en encontrarse con un libro y darse cuenta de que era la filosofía adecuada, que no era sencillo". Eso sí, aunque siga siendo un value de pura cepa, el gran inversor sí ha evolucionado a lo largo de los años: "Buffett no ha cambiado lo fundamental, el value investing, pero sí se ha adaptado. Una de sus claves es que la filosofía ha permanecido intacta, pero el cómo invierta ha cambiado mucho. De los años 50 a 2020, las compañías han cambiado mucho. Ha evolucionado con el paso del tiempo. Munger le dijo en su momento que lo que hacía (comprar empresas de baja calidad) no era escalable. Y a partir de la inversión en See's Candies cambió la forma en la que invertía" Eso sí, nuestro invitado cree que habrá pocos cambios en la nave: "La cultura empresarial de BRK sigue intacta. Estarán Greg Able, que será el nuevo consejero delegado a partir del 1 de enero de 2026; es canadiense que era parte del círculo cercano de Buffett. El rol más importante, el de asignador del capital, lo van a heredar Todd Combs y Ted Weschler".
Tandis que le monde célébrait la fin de la Seconde Guerre mondiale, combien d'Algériens, qui avaient pourtant combattu pour la France, ont été massacrés à Sétif, Guelma et Kherrata ? Mais que s'est-il réellement passé ce jour-là alors que le général de Gaulle venait à peine d'annoncer la capitulation de l'Allemagne nazie à la radio ? De quelle façon les nationalistes algériens se sont-ils manifestés dans les rues ? Et pour quelles raisons les autorités coloniales ont-elles déclenché des représailles sanglantes dans toute la colonie, dont les victimes s'élèvent à plusieurs dizaines de milliers de morts ? Avec Olivier Le Cour Grandmaison, politiste et blogueur, auteur de Racismes d'État, États racistes aux éditions Amsterdam, Coloniser. Exterminer aux éditions Fayard. ► BlogEt Alain Ruscio, historien, auteur de La première guerre d'Algérie aux éditions La Découverte, Nostalgérie aux éditions La Découverte. À écouter aussiMassacres du 8 mai 1945 en Algérie: «Cette histoire demeure très peu enseignée»Remerciements Maylis Bouffartigue, coordinatrice du festival Histoire(s) de se rencontrer M'hamed Kaki, metteur en scène de la pièce L'autre 8 mai 1945, je me souviens Marie-Myriam Lagny et Leila Khaly, comédiennes Abed Abidat, photographe et auteur du livre : 8 mai 1945 – Tragédie dans le Constantinois Sétif, Guelma, KherrataÀ lire aussiAlgérie : l'autre 8 mai 1945 et les impasses de la mémoire
Il avait remporté le Goncourt 2024 pour son roman "Houris" : Kamel Daoud, écrivain franco-algérien, fait l'objet de deux mandats d'arrêt internationaux émis par Alger, qui l'accuse d'avoir volé la vie d'une jeune Algérienne pour écrire son livre primé. Une accusation que l'auteur réfute entièrement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une déclaration signée du photographe camerounais Samuel Fosso dans les colonnes du Point. Alors que 133 cardinaux venus de 70 pays vont s'enfermer aujourd'hui, dans la Chapelle Sixtine, à Rome pour désigner un nouveau Pape. « Il est plus facile d'imaginer un Africain dans l'espace ou pratiquant la téléportation qu'un pape noir » affirmaient certains en 2017, dans les rues de Bamako rapporte le magazine. Pourtant, c'est possible. La preuve, l'Afrique est aujourd'hui « le moteur le plus dynamique du catholicisme mondial » avec 20% des catholiques de la planète et plusieurs cardinaux africains sont considérés comme des « papabili ».Parmi les noms qui circulent le plus selon le Point, Dieudonné Nzapalainga, cardinal de Bangui qui se définit comme « un casque bleu du Christ ». Il y a aussi Fridolin Ambongo Besungu, cardinal de Kinshasa qui estime « que la voix d'un pape noir porterait davantage que celle de la plupart des chefs d'État africains qui ne pensent qu'à leurs intérêts personnels ». Enfin, il y a le Cardinal Robert Sarah, originaire de Guinée, figure respectée des milieux conservateurs et fervent défenseur d'une église fidèle à sa tradition.Et c'est ce dernier que le Général Mamadi Doumbouya soutientLe Djély relaie le message du Président guinéen qui salue « le parcours spirituel et l'humilité remarquable » du Cardinal Sarah qui est aussi, selon le journal catholique français La Croix « le favori des conservateurs français, qui s'est imposé comme l'une des critiques les plus virulentes du pape François, porte-voix de la composante la plus classique – voire traditionnelle – des catholiques ».Dans la presse africaine aujourd'hui aussi : un appelLancé dans le Mail and Guardian. L'hebdomadaire sud-africain appelle à « mener le combat pour une cour internationale anti-corruption » qu'il considère comme « une maladie pour notre société et notre corps politique ».Cette idée, émise par la Cour Internationale de Justice permettrait de traiter la corruption comme un crime international « au même titre que les crimes de guerre ou les crimes contre l'humanité ». Pour appuyer son propos, le Mail and Guardian nous dévoile des chiffres qui donnent le tournis : ces 50 dernières années, l'Afrique a perdu 1000 milliards de dollars dans des transactions illicites, c'est presque autant que l'ensemble de l'aide étrangère perçue pendant la même période !Avant de conclure : « l'Afrique peut, soit rester les bras croisés sans se soucier des priorités africaines, soit saisir cette occasion pour exiger une cour qui serve véritablement ses intérêts ». On termine cette revue de presse avec une belle histoire…Et c'est TSA qui nous la raconte.Celle d'Aissa Benaidjer, originaire de Bejaia, en Algérie, arrivé en France en 2010. Il n'a jamais renoncé à son rêve : devenir chef cuisinier. « Je suis venu en France pour la cuisine de Bernard L'Oiseau et Paul Bocuse » dit-il. Resté trois mois sans travail, neuf ans sans papiers, « je traînais dans les brasseries parisiennes » raconte le cuisinier, avant d'intégrer le prestigieux Royal Monceau, un palace à 400 mètres de l'Arc de Triomphe, c'est là qu'il fait la rencontre de Bruno Guéret et de Pierre Gagnaire, chef aux 2 étoiles Michelin qui le prendront sous leur aile.Mais Aissa Benaidjer ne s'arrête pas là : en plus de côtoyer les plus grands cuisiniers français, il devient l'un des leurs. « J'ai fait les Césars en 2023 où j'ai eu la chance de cuisiner pour Brad Pitt » mais aussi pour un « ex-Président de la République française en 2019 » qui lui a dit « bravo mon fils » raconte l'algérien, encore ému.Il y a 3 mois, Aissa a ouvert son propre restaurant, dans le 15ème arrondissent de Paris dans lequel il propose des plats gastronomiques mais une formule à moins de 25 euros : « les gens qui ne peuvent pas manger dans les Palaces, ils peuvent manger chez nous avec amour ».
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'opposition de la France insoumise au moment d'adopter le texte de leur collègue Renaissance Constance Le Grip visant à la libération de Boualem Sansal prisonnier en Algérie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'opposition de la France insoumise au moment d'adopter le texte de leur collègue Renaissance Constance Le Grip visant à la libération de Boualem Sansal prisonnier en Algérie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le conclave des cardinaux est en cours dans la chapelle Sixtine pour élire le successeur du pape François, dans une atmosphère solennelle et religieuse.Le président français Emmanuel Macron reçoit le président syrien par intérim Ahmad Al-Charaa, ancien chef djihadiste, pour discuter de la stabilisation de la région et de la lutte contre le terrorisme.Deux mandats d'arrêt algériens visent l'écrivain franco-algérien Kamel Daoud, lauréat du Goncourt 2024, pour son roman sur les années noires du GIA en Algérie.L'organisation patronale U2P propose un "big bang" pour augmenter les revenus nets du travail, en supprimant la CSG et la CRDS sur les salaires.Le PSG affronte Arsenal ce soir au Parc des Princes dans un match décisif pour la qualification en finale de la Ligue des Champions.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le conclave des cardinaux est en cours dans la chapelle Sixtine pour élire le successeur du pape François, dans une atmosphère solennelle et religieuse.Le président français Emmanuel Macron reçoit le président syrien par intérim Ahmad Al-Charaa, ancien chef djihadiste, pour discuter de la stabilisation de la région et de la lutte contre le terrorisme.Deux mandats d'arrêt algériens visent l'écrivain franco-algérien Kamel Daoud, lauréat du Goncourt 2024, pour son roman sur les années noires du GIA en Algérie.L'organisation patronale U2P propose un "big bang" pour augmenter les revenus nets du travail, en supprimant la CSG et la CRDS sur les salaires.Le PSG affronte Arsenal ce soir au Parc des Princes dans un match décisif pour la qualification en finale de la Ligue des Champions.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Eugénie Bastié commente la visite prévue d'une trentaine d'élus français en Algérie pour commémorer les massacres du 8 mai 1945. Elle souligne que ces commémorations sont utilisées par le pouvoir algérien à des fins politiques, sans que la France n'obtienne de contrepartie. Eugénie Bastié estime que cette "repentance à sens unique" présente une vision tronquée de l'histoire de la colonisation, tout en négligeant les crimes commis par le FLN. Elle regrette également que les autorités algériennes n'aient jamais reconnu leurs propres exactions, comme le massacre d'Oran en 1962.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Une déclaration signée du photographe camerounais Samuel Fosso dans les colonnes du Point. Alors que 133 cardinaux venus de 70 pays vont s'enfermer aujourd'hui, dans la Chapelle Sixtine, à Rome pour désigner un nouveau Pape. « Il est plus facile d'imaginer un Africain dans l'espace ou pratiquant la téléportation qu'un pape noir » affirmaient certains en 2017, dans les rues de Bamako rapporte le magazine. Pourtant, c'est possible. La preuve, l'Afrique est aujourd'hui « le moteur le plus dynamique du catholicisme mondial » avec 20% des catholiques de la planète et plusieurs cardinaux africains sont considérés comme des « papabili ».Parmi les noms qui circulent le plus selon le Point, Dieudonné Nzapalainga, cardinal de Bangui qui se définit comme « un casque bleu du Christ ». Il y a aussi Fridolin Ambongo Besungu, cardinal de Kinshasa qui estime « que la voix d'un pape noir porterait davantage que celle de la plupart des chefs d'État africains qui ne pensent qu'à leurs intérêts personnels ». Enfin, il y a le Cardinal Robert Sarah, originaire de Guinée, figure respectée des milieux conservateurs et fervent défenseur d'une église fidèle à sa tradition.Et c'est ce dernier que le Général Mamadi Doumbouya soutientLe Djély relaie le message du Président guinéen qui salue « le parcours spirituel et l'humilité remarquable » du Cardinal Sarah qui est aussi, selon le journal catholique français La Croix « le favori des conservateurs français, qui s'est imposé comme l'une des critiques les plus virulentes du pape François, porte-voix de la composante la plus classique – voire traditionnelle – des catholiques ».Dans la presse africaine aujourd'hui aussi : un appelLancé dans le Mail and Guardian. L'hebdomadaire sud-africain appelle à « mener le combat pour une cour internationale anti-corruption » qu'il considère comme « une maladie pour notre société et notre corps politique ».Cette idée, émise par la Cour Internationale de Justice permettrait de traiter la corruption comme un crime international « au même titre que les crimes de guerre ou les crimes contre l'humanité ». Pour appuyer son propos, le Mail and Guardian nous dévoile des chiffres qui donnent le tournis : ces 50 dernières années, l'Afrique a perdu 1000 milliards de dollars dans des transactions illicites, c'est presque autant que l'ensemble de l'aide étrangère perçue pendant la même période !Avant de conclure : « l'Afrique peut, soit rester les bras croisés sans se soucier des priorités africaines, soit saisir cette occasion pour exiger une cour qui serve véritablement ses intérêts ». On termine cette revue de presse avec une belle histoire…Et c'est TSA qui nous la raconte.Celle d'Aissa Benaidjer, originaire de Bejaia, en Algérie, arrivé en France en 2010. Il n'a jamais renoncé à son rêve : devenir chef cuisinier. « Je suis venu en France pour la cuisine de Bernard L'Oiseau et Paul Bocuse » dit-il. Resté trois mois sans travail, neuf ans sans papiers, « je traînais dans les brasseries parisiennes » raconte le cuisinier, avant d'intégrer le prestigieux Royal Monceau, un palace à 400 mètres de l'Arc de Triomphe, c'est là qu'il fait la rencontre de Bruno Guéret et de Pierre Gagnaire, chef aux 2 étoiles Michelin qui le prendront sous leur aile.Mais Aissa Benaidjer ne s'arrête pas là : en plus de côtoyer les plus grands cuisiniers français, il devient l'un des leurs. « J'ai fait les Césars en 2023 où j'ai eu la chance de cuisiner pour Brad Pitt » mais aussi pour un « ex-Président de la République française en 2019 » qui lui a dit « bravo mon fils » raconte l'algérien, encore ému.Il y a 3 mois, Aissa a ouvert son propre restaurant, dans le 15ème arrondissent de Paris dans lequel il propose des plats gastronomiques mais une formule à moins de 25 euros : « les gens qui ne peuvent pas manger dans les Palaces, ils peuvent manger chez nous avec amour ».
Dans cette édition :La chapelle Sixtine se prépare à accueillir les 133 cardinaux électeurs pour désigner le successeur du pape François, dans un rituel minutieusement organisé.En Allemagne, Friedrich Merz est officiellement nommé chancelier après deux tours de scrutin au Bundestag, une première dans l'histoire du pays.Emmanuel Macron envisage d'organiser un référendum sur des réformes institutionnelles, notamment la simplification de l'organisation territoriale.La France insoumise s'oppose à la libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu arbitrairement en Algérie.Stéphane Plaza, animateur et agent immobilier, a été placé en garde à vue dans le cadre d'une enquête pour trafic de stupéfiants.Un policier a été grièvement blessé après avoir été poussé d'un toit par un cambrioleur à Hormeson-sur-Marne.La SNCF prévoit de maintenir 9 TGV sur 10 pendant le pont du 8 mai malgré le mouvement de grève.Les patrons de Renault et Stellantis alertent sur l'impact des normes européennes trop contraignantes pour l'industrie automobile.Donald Trump annonce que les Houthis ont capitulé, entraînant la fin des bombardements américains au Yémen.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :La chapelle Sixtine se prépare à accueillir les 133 cardinaux électeurs pour désigner le successeur du pape François, dans un rituel minutieusement organisé.En Allemagne, Friedrich Merz est officiellement nommé chancelier après deux tours de scrutin au Bundestag, une première dans l'histoire du pays.Emmanuel Macron envisage d'organiser un référendum sur des réformes institutionnelles, notamment la simplification de l'organisation territoriale.La France insoumise s'oppose à la libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, détenu arbitrairement en Algérie.Stéphane Plaza, animateur et agent immobilier, a été placé en garde à vue dans le cadre d'une enquête pour trafic de stupéfiants.Un policier a été grièvement blessé après avoir été poussé d'un toit par un cambrioleur à Hormeson-sur-Marne.La SNCF prévoit de maintenir 9 TGV sur 10 pendant le pont du 8 mai malgré le mouvement de grève.Les patrons de Renault et Stellantis alertent sur l'impact des normes européennes trop contraignantes pour l'industrie automobile.Donald Trump annonce que les Houthis ont capitulé, entraînant la fin des bombardements américains au Yémen.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des relations dans l'impasse et une ambiance glaciale. A la mi-avril, l'Algérie a ordonné l'expulsion de 12 fonctionnaires de l'ambassade de France, en retour c'est Paris qui expulse 12 agents diplomatiques algériens et rappelle son ambassadeur de France. Une situation bloquée, c'est ce que déplorait ce matin Jean-Noël Barrot, le ministre des Affaires étrangères, alors que l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, est emprisonné en Algérie depuis la mi-novembre et a été condamné à cinq ans de prison. On en parle avec Xavier Driencourt, ancien ambassadeur de France à Alger de 2008 à 2012 et de 2017 à 2020, auteur de « France-Algérie, le double aveuglement - Réseaux, immigration, diplomatie : qui tient qui ? » en librairie dès demain aux éditions de l'Observatoire.Tous les soirs du lundi au vendredi à 19h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Au sommaire de Radio foot internationale ce lundi 16h10-21h10 TU : - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! ; - Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. ; - Coup double pour le PFC. - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! Le trio sera donné par ordre alphabétique dans l'émission par Christophe Jousset, chef du Services des sports de RFI. Un prix qui récompense depuis 2009 le meilleur joueur africain évoluant en Ligue 1 chaque saison. Quel est votre favori pour lundi prochain ? Rappelons qu'il y a 3 Ivoiriens, 3 Sénégalais, 2 Algériens, 2 Marocains, 1 Guinéen et 1 Nigérian. Pouvait-on inclure à ce onze élargi d'autres noms ?- Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. Sprint final pour les places en Ligue des Champions, la course est serrée à 2 journées du terme ! Le match au sommet qui opposait Lille et Marseille n'a pas connu de vainqueur (1-1). Les Phocéens, dauphins du PSG, ont un point d'avance sur Monaco, vainqueur des Verts, 2 sur Nice qui bat Reims, et sur le LOSC, adversaire du soir. Strasbourg, 6è avec 57 points également, n'est devancé par les Aiglons et les Dogues qu'à la différence de buts. Mauvaise affaire pour l'OL, surpris à domicile par Lens.- Coup double pour le PFC. Les dames se sont adjugé la Coupe de France aux dépens du PSG, la gardienne nigériane Chiamaka Nnadozie a brillé. Les messieurs ont assuré la montée en L1. Un nul à Martigues conjugué à celui de Metz contre Rodez suffit à propulser les bleu marine et blanc dans l'élite. Une élite qu'il n'avaient plus fréquentée depuis 1979. Retour du derby parisien avec 2 enceintes séparées par une rue ! Quelles ambitions et quel effectif pour 2025-2026 ?Avec Hugo Moissonnier : Patrick Juillard, Hervé Penot et Yoro Mangara. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Au sommaire de Radio foot internationale ce lundi 16h10-21h10 TU : - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! ; - Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. ; - Coup double pour le PFC. - Prix Marc-Vivien Foé RFI/France 24. De la liste initiale des 12 finalistes dévoilée début avril, il n'en restera plus que 3 ! Le trio sera donné par ordre alphabétique dans l'émission par Christophe Jousset, chef du Services des sports de RFI. Un prix qui récompense depuis 2009 le meilleur joueur africain évoluant en Ligue 1 chaque saison. Quel est votre favori pour lundi prochain ? Rappelons qu'il y a 3 Ivoiriens, 3 Sénégalais, 2 Algériens, 2 Marocains, 1 Guinéen et 1 Nigérian. Pouvait-on inclure à ce onze élargi d'autres noms ?- Ligue 1, on disputait la 32è journée ce week-end. Sprint final pour les places en Ligue des Champions, la course est serrée à 2 journées du terme ! Le match au sommet qui opposait Lille et Marseille n'a pas connu de vainqueur (1-1). Les Phocéens, dauphins du PSG, ont un point d'avance sur Monaco, vainqueur des Verts, 2 sur Nice qui bat Reims, et sur le LOSC, adversaire du soir. Strasbourg, 6è avec 57 points également, n'est devancé par les Aiglons et les Dogues qu'à la différence de buts. Mauvaise affaire pour l'OL, surpris à domicile par Lens.- Coup double pour le PFC. Les dames se sont adjugé la Coupe de France aux dépens du PSG, la gardienne nigériane Chiamaka Nnadozie a brillé. Les messieurs ont assuré la montée en L1. Un nul à Martigues conjugué à celui de Metz contre Rodez suffit à propulser les bleu marine et blanc dans l'élite. Une élite qu'il n'avaient plus fréquentée depuis 1979. Retour du derby parisien avec 2 enceintes séparées par une rue ! Quelles ambitions et quel effectif pour 2025-2026 ?Avec Hugo Moissonnier : Patrick Juillard, Hervé Penot et Yoro Mangara. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Xavier Driencourt, diplomate, ancien ambassadeur de France en Algérie et auteur de "France - Algérie, le double aveuglement" aux éditions de L'Observatoire, répond aux questions de Dimitri Pavlenko. Ensemble, ils s'intéressent au pouvoir de l'armée algérienne et aux conditions de détention de Boualem Sansal. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est le magazine M, le supplément du Monde, qui a eu l'idée de ce portrait croisé, l'idée de retrouver deux familles déjà rencontrées juste après le 7 octobre 2023. La famille Weissmann tout d'abord, qui a survécu. « Réfugiée un temps près de Tel Aviv, une partie des Weissmann s'est réinstallée dans le village agricole de Netiv Haasara et vit désormais au rythme des bombardements voisins », raconte Annick Cojean, l'envoyée spéciale de M. Car la bande de Gaza est tout près. « Notre vie est au mochav (au village) », explique pourtant le patriarche Yaakov, quand la journaliste objecte « la guerre à moins d'un kilomètre, les mouvements de troupes et de véhicules sur la route numéro 4, le bourdonnement des drones et des hélicoptères ». Évoquant les hommes du Hamas, les viols, les meurtres, Yaakov Weissman déclare « deux millions de Gazaouis, deux millions de terroristes. C'en est fini pour moi d'essayer d'excuser, de comprendre, de faire la distinction entre les bons et les méchants, les barbares du Hamas et la population opprimée. Alors oui, c'est la guerre. Oui, il y a des bombes. Mais ça ne me fait plus rien ».Mon téléphone est un cimetièreCôté palestinien à présent, impossible d'aller à Gaza où les journalistes étrangers sont empêchés de se rendre, c'est donc en Cisjordanie que M a rencontré la famille Redwan. Plus précisément la mère, Reem, et l'une de ses filles, elles vivent à Ramallah, mais sont originaires de Gaza, où les parents de Reem et son petit frère ont été tués dans un bombardement, le 10 octobre 2023. « À Ramallah, dans leur patrie, en territoire palestinien, elles vivent de façon illégale », précise M. « Israël, qui délivre les papiers d'identité via l'Autorité Palestinienne, leur interdit de vivre en Cisjordanie, puisque leur adresse officielle est à Gaza ». La liste des proches tués là-bas s'allonge. Reem raconte : « On boit on mange on pleure. On boit on mange on enterre ». La mère de famille regarde les photos sur son téléphone. « Elle s'arrête sur des clichés d'adultes souriants, en fait défiler quelques-uns, puis repose l'appareil ». « Mon téléphone est devenu un cimetière »murmure-t-elle. Quel est son sentiment vis-à-vis des Israéliens ? Sa réponse est sans appel. « Ça fait bientôt 2 ans qu'on est dans une situation de génocide, le sang inonde les rues » dit-elle. « Qu'ont-ils fait en Israël ? Rien. Ni pour leurs otages, ni pour nos morts. Je vois une société qui tout entière veut tuer ».Guerre secrèteNous ouvrons à présent l'Express, qui consacre un long dossier à l'Algérie et la France, sous l'angle de l'espionnage. C'est à la Une de l'hebdomadaire : « France-Algérie : la guerre secrète des espions ». « Soixante ans de coups tordus et de petits arrangements entre initiés », ajoute l'Express, qui donne pour exemple « ces agents chargés de la lutte contre les opposants algériens vivant en France ». « Un grand classique des dictatures », remarque l'hebdomadaire. « Sauf qu'Alger va plus loin. Jusqu'à l'agression physique en territoire français ». « Deux sources proches du dossier », ajoute l'Express, « nous confirment que la DGSI suspecte le régime algérien d'avoir commandité trois agressions récentes d'opposants, tous condamnés en Algérie, tous réfugiés politiques en France ». Comment les espions algériens fonctionnent-ils ? Les consulats sont semble-t-il l'un de leurs points de chute préférés. L'Express a interrogé Jérôme Poirot. Ancien coordinateur adjoint du renseignement à l'Élysée, il déclare que « les services de renseignement algériens ont toujours été très actifs sur le territoire français depuis la lutte pour l'indépendance. On peut estimer qu'il y a plusieurs centaines d'agents dans l'Hexagone. Il y en a bien évidemment une part dans les consulats ». Ce, alors que la tension ne cesse d'augmenter entre la France et l'Algérie, rappelons que l'une et l'autre, ont récemment (et réciproquement) expulsé 12 agents diplomatiques et consulaires. Harcelé pour un tweetLe Parisien-Dimanche s'intéresse lui aussi aux étrangers qui, sur le territoire français, sont toujours persécutés par les autorités de leur pays d'origine. Le journal a rencontré Hongmin Yin, un étudiant chinois de vingt-huit ans, arrivé en France en 2019. « Il nous tend, sans un mot, son téléphone, dès le début de l'entretien », raconte le Parisien-Dimanche. « Sur l'écran : une avalanche d'alertes : des tentatives de piratages de ses comptes personnels, plusieurs fois par jour ». Un véritable harcèlement. Le jeune homme n'est pourtant pas « un opposant de premier plan ». « Ce qu'on lui reproche ? Un tweet ». Les faits remontent à 2016, lorsque Hong Min Yin, « apprend à contourner la censure » et visionne une vidéo du massacre de la place Tian'anmen, en juin 1989. Bouleversé, il poste cette vidéo sur Twitter, accompagnée de ces mots : « les assassins doivent payer ». « Une alerte s'allume, quelque part, sur un écran à Pékin », poursuit le Parisien-Dimanche. « Hongmin Yin vient d'entrer dans le viseur des autorités et n'en sortira plus ». « Il y a trois mois, il a reçu une convocation de l'ambassade de Chine à Paris. (…) il ne s'y est pas rendu. Il sait que ce genre de voyage ne prévoit pas de retour », conclut le Parisien-Dimanche.
durée : 01:48:45 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Pour son édition “Fiesta” jusqu'en novembre 2025, Lille3000 mobilise citoyens, artistes et institutions pour une fête inclusive, durable et ancrée dans le territoire comme à l'international. - réalisation : Peire Legras, Alexandra Malka - invités : Jean-François Chougnet Directeur général de Lille3000; Anaël Pigeat Editor-at-large du mensuel The Art Newspaper édition française, critique d'art et journaliste à Paris Match, productrice de documentaires sur France-Culture, ancienne critique à La Dispute sur France Culture; Xavier Driencourt Ancien ambassadeur de France en Algérie
Invitée : Asya Djoulaït A 15 ans, Issa, devient orphelin. De peur que le corps de sa mère soit rapatrié en Algérie, il décide de lʹenterrer seul, selon le rite musulman. Comment sʹy prendre ? Dans "Ibn", lʹécrivaine franco-algérienne Asya Djoulaït décrit et questionne lʹéveil à la foi dʹun adolescent, au seuil de son deuil. Elle en parle au micro de Jessica Da Silva. Photo : L'écrivaine Asya Djoulaït (Asya Djoulaït, DR) Bibliographie: Ibn, Editions Grasset, 2025, 272p.
durée : 00:59:15 - Andrée Turcy, la cigale provençale (1) - par : Martin Pénet - « Tour de chant » s'intéresse cette semaine à une chanteuse inclassable, Andrée Turcy, dont le nom ne dit plus grand chose aux jeunes générations, mais qui eut une très belle carrière à Paris, puis dans le sud de la France et en Algérie, entre les années 1910 et 1940. - réalisé par : Noé Mignard
L'émission 28 minutes du 03/05/2025 Ce samedi, Benjamin Sportouch décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Martial Ze Belinga, économiste et sociologue ; Britta Sandberg, correspondante de “Der Spiegel” à Paris ; Mariam Pirzadeh, rédactrice en chef à France 24 et le dessinateur de presse Nicolas Vadot. Le blocus de Gaza devant la justice internationale : un coup d'épée dans l'eau ?Cette semaine, la Cour internationale de justice s'est réunie à la demande d'une quarantaine d'États et d'organisations internationales, afin de statuer sur le blocus humanitaire imposé par le gouvernement israélien dans la bande de Gaza. Depuis le 2 mars, aucune aide n'est acheminée dans ce territoire où vivent plus de deux millions de Palestiniens. L'État hébreu se justifie en expliquant que l'aide humanitaire est détournée par le Hamas et certains ministres assument que cette stratégie est un moyen pour faire plier l'organisation terroriste palestinienne. Pourtant, le droit humanitaire international, qui régule les effets des conflits armés, l'interdit. Israël n'a pas participé aux audiences de la CIJ dénonçant une “persécution systématique” de sa part. Si les décisions de cette Cour sont juridiquement contraignantes, elle ne dispose pas de moyens pour les faire appliquer. Les Français sont-ils obsédés par leurs jours fériés ?Comme chaque 1er mai, les boulangeries étaient fermées en France mais, cette année, une proposition de loi s'est invitée dans le débat. Des sénateurs proposent que désormais, les boulangers aient le droit de vendre du pain en ce jour national de fête du travail. Les syndicats s'opposent à une telle mesure qui viendrait porter atteinte à une conquête sociale. Cette passe d'armes reflète l'importance des jours fériés en France, dont le maintien ou non revient régulièrement dans le débat public, notamment ceux du mois de mai qui sont nombreux. Certains estiment qu'ils sont une entrave à l'activité au moment où la France a besoin de recettes. D'autres considèrent que ces acquis ne doivent pas être remis en cause, qu'ils soient religieux ou républicains. Nous recevons Katia Boudoyan, directrice de l'Institut du monde arabe de Tourcoing où se tient l'exposition “Ya Rayi ! Une histoire de la musique Raï”, jusqu'au 27 juillet. La musique raï est longtemps restée cantonnée à son berceau, Oran et sa région, en Algérie. Mais, au début des années 1980, cette musique de révolte et de liberté franchit les frontières grâce aux enfants de l'immigration maghrébine et s'installe au sommet du Top 50 en France. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins allemands et leur gestion des déserts médicaux. Cette semaine, certains médecins français ont fait grève pour dénoncer une proposition de loi qui vise à réguler leur installation dans l'objectif de lutter contre les déserts médicaux. En Allemagne, cette régulation est en place depuis le début des années 1990 avec des résultats satisfaisants. Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Mark Carney, le nouveau Premier ministre canadien. Candidat du Parti libéral, le même que son prédécesseur, il a remporté l'élection lundi 28 avril face au conservateur Pierre Poilievre, longtemps donné gagnant et associé à Donald Trump. Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télévision italienne qui commémore les 80 ans de l'exécution du Duce, Benito Mussolini. Sa mémoire continue d'être honorée, entre vrais nostalgiques du fascisme et amateurs de gadgets plus ou moins décérébrés. Paola Puerari se demande pourquoi nous attendons de trouver l'âme sœur pour avoir des enfants ? Elle s'intéresse à la coparentalité, une nouvelle façon de faire famille. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi utilise-t-on encore de vieilles bandes magnétiques ?28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 03 mai 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio
Raoul Savoy est né il y a 52 ans à Sainte-Croix où il vit toujours. Mais depuis 2002, sa vie se conjugue entre le canton de Vaud et l'Afrique où il a entraîné des équipes de football au Cameroun, au Maroc, En Ethiopie, au Swaziland, en Algérie, en Gambie et en Centrafrique. Il a connu le succès partout où il est passé alors que son travail est ignoré dans son propre pays. Entretien avec un homme passionné et passionnant.
Algún amigo imaginarios no son lo que pensamos que son, cuidado, porque se pueden llevar grandes sorpresas. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
En colaboración para MVS Noticias con Manuel López San Martín, Erick Alcántara, trajo a 'Los Impresentables', es decir, a los personajes de la política mexicana que dieron de qué hablar esta semana. Hoy tenemos un nuevo capítulo de "Pasiones del Senado", la telenovela que nadie pidió... pero que absolutamente todos estamos viendo. Y es que, en medio de las tensiones legislativas, se escribe una historia de amor y odio imprevista, más intensa que debate de reforma oficialista. Porque resulta que José Gerardo Rodolfo Fernández Noroña, viajero frecuente de aerolínea capitalista, respondió que ya tiene dueña su corazón socialista… Y no, el senador no sufre por el odio o el amor... sufre porque se dice víctima de una injusticia estética. Pero, como en toda buena novela mexicana, el comentario no pasó desapercibido por su némesis emocional... ¿Algún día limarán asperezas? ¿O seguirán enfrentados en el próximo periodo de sesiones?... Espere el próximo capítulo de... "Pasiones del Senado". Así termina una cápsula más de 'Los impresentables' que distinguió a los icónicos personajes de la política que nos hicieron la semana.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:58:32 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Né en Martinique, étudiant à Lyon, psychiatre en Algérie, exilé à Tunis, ambassadeur au Ghana... Comment Fanon a-t-il pensé le lien entre ses différentes identités ? Quels sont leurs potentiels révolutionnaires ? Et quelle pensée du panafricanisme a-t-il développée ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Norman Ajari Philosophe, professeur à l'université Villanova de Philadelphie; Amzat Boukari-Yabara Docteur du Centre d'études africaines de l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS), spécialiste du panafricanisme; Myriam Cottias Historienne du fait colonial, directrice de recherche au CNRS, directrice du Centre International de Recherches sur les esclavages et post-esclavages (CIRESC)
Le 8 mai 1945, tandis que la France fête la victoire des Alliés, un autre récit se joue à Sétif, Guelma et Kherrata : celui d'un massacre colonial où des milliers d'Algériens sont tués pour avoir réclamé leur indépendance. Longtemps passé sous silence, cet épisode sanglant marque le point de départ de la guerre d'Algérie et brise le mythe d'une France épargnée par les crimes de masse.Dans cette série inédite, Jean-Michel Aphatie revient en détail sur la mémoire impossible de la colonisation en Algérie et sur les raisons profondes de ce déni national. Pour que, peut-être, notre rapport au passé cesse d'entraver notre présent.Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rencontre avec Sarah Haidar, à l'occasion de la parution de son roman, Aménorrhée, aux éditions Blast.Plusieurs semaines après la lecture d'Aménorrhée, les mots de Sarah Haidar continuent de résonner avec intensité. Très gros coup de cœur pour ce roman dystopique éminemment révolutionnaire ! Si une fois de plus les hommes prennent le contrôle sur les corps des femmes, ce régime a ceci de pervers qu'il est le fruit des frustrations d'hommes déconstruits de ne pas voir les choses aller dans leur sens malgré leurs efforts. A la fois accoucheuse et avorteuse clandestine, l'héroïne tient une place ambiguë entre résistance et résignation, l'individualité et le collectif, le privilège et l'oppression. Tour à tour tortionnaire ou victime, la narration appuie la dimension psychologique des violences patriarcales et de l'apathie imposée aux femmes. L'intensité est permanente entre colère et sarcasme. Ici chaque mot est choisi avec une précision acérée, le ton est viscéral, la langue politique et poétique.Sarah Haidar est une écrivaine algérienne. Féministe et anarchiste, l'écriture est pour elle une expérience esthétique et politique qui ne doit pas être confortable. Écrire est une confrontation, une prise de risque, « un engagement épidermique » dit-elle ; l'insolence lucide et éclatante de ses textes en témoigne. Journaliste et chroniqueuse de profession, elle affectionne paradoxalement la négation du réel et du factuel dans ses romans. Écrire est aussi pour elle un acte libérateur, non seulement des lois de la gravité mais aussi de la simplicité du présent. Les transhumances littéraires ont toujours été sa première passion et après avoir publié trois romans en langue arabe, Sarah Haidar choisit de migrer vers une autre géographie avec la langue de Henri Michaux. À présent autrice de six romans, elle a reçu le prix Apulée, décerné par la Bibliothèque nationale d'Alger pour Zanadeka (Apostats), son premier roman paru en 2004, et le prix des Escales littéraires d'Alger pour Virgules en trombe, son quatrième roman et le premier écrit en français (2013). La Morsure du coquelicot, paru à l'été 2016, a rencontré un vif succès en Algérie. En arabe comme en français, l'écrivaine fait toujours le pari de tourmenter la langue, de lui faire dire l'indicible et l'inconvenable afin que la naissance littéraire soit une véritable expérience esthétique et spirituelle hors des balises et hors du temps. Aménorrhée est son deuxième roman publiée par les éditions blast.Dans l'épisode, Sarah Haidar fait référence à la revue La Place : La Place / لبلاصة – éditions motifs Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'histoire récente de l'Algérie racontée à partir d'un immeuble. C'est le pari de la bande dessinée Rwama dont le deuxième tome vient de paraître chez Dargaud. Le dessinateur de presse Salim Zerrouki raconte, à hauteur d'enfant et d'adolescent, les décennies 1980 et 1990 de son pays. Notamment les années de guerre civile, improprement désignées sous le terme de « décennie noire ». Rwama - Tome 1, mon enfance en Algérie (1975-1992), de Salim Zerrouki, parue aux éditions Dargaud le 15 mars 2025, 176 pages.À écouter aussiL'art de raconter le monde: en Grèce dans les années 30, de la censure dans l'air
Alors que les tensions sont vives entre Paris et Alger, les opposants au régime d'Abdelmadjid Tebboune vivant sur le sol français se retrouvent, eux aussi, pris pour cible par le pouvoir algérien et ses partisans depuis plusieurs mois. À l'instar de l'influenceur Amine DZ qui avait été enlevé il y a un an. Menaces, cyberharcèlement, condamnations par contumace, deux activistes politiques installés en France racontent les outils de pression qu'utilisent le régime et l'existence discrète qu'ils sont contraints de mener. Sur ces réseaux sociaux, l'activiste Chawki Benzehra critique le régime algérien à visage découvert. Mais une fois la caméra éteinte, il vit caché. Chaque déplacement est millimétré. « Je fais très attention de sortir principalement en voiture, de ne pas prendre le même chemin, être incognito dans la rue. Je choisis les endroits avec beaucoup de précautions. C'est plus une vie normale », raconte-t-il.Le mois dernier, il apprend que son nom figure sur une liste de trente opposants vivant en France, sur lesquels Alger se renseigne. Un fonctionnaire, accusé d'espionnage et arrêté, aurait fait sortir leurs informations personnelles des bases de données administratives de l'État français. L'activiste algérien bénéficie du statut de réfugié politique, mais pour lui, ce n'est plus suffisant. « C'est plus une protection administrative qu'une vraie protection de mon intégrité physique. À cause des pratiques du régime algérien et de ses agents présents sur le sol français. Maintenant, ce n'est plus possible de vivre normalement en étant opposant au régime algérien en France », regrette-t-il.Même prudence chez Aksel Bellabbaci, opposant lui aussi, car il milite pour l'indépendance de la Kabylie, région du Nord de l'Algérie. « Bien sûr, on change toujours nos habitudes. On change aussi le lieu de résidence. Parce qu'on est tout le temps surveillé, on est tout le temps suivi. On sait de quoi il est capable ce régime », confie-t-il. En juin 2024, alors qu'il vit en France depuis 2012, la police française le convoque et lui apprend qu'un mandat d'arrêt a été déposé contre lui. « J'ai découvert que j'étais accusé d'être derrière des incendies de la Kabylie de 2021 où il y avait à peu près 500 morts et le lynchage de Djamel Bensmail, un Algérien qui a été assassiné, lynché sur le territoire kabyle », se souvient-il.Des motifs fallacieux et absurdes selon lui, qu'il ne prend pas au sérieux. Mais qui révèlent la pression juridique qui pèse sur ses épaules. « J'ai été condamné à 14 reprises. En tout, il y a 203 ans de prison plus deux condamnations à mort », énumère-t-il. Contrairement à Chawki Benzehra, la demande d'asile politique d'Aksel Bellabbaci n'a pas encore été acceptée. Il pourrait donc être extradé si la justice française donnait son feu vert. La cour d'appel de Paris devait rendre sa décision cette semaine, mais a finalement choisi pour la deuxième fois de la reporter.À lire aussiEn région parisienne, la crise diplomatique entre Paris et Alger vue par les Franco-Algériens
L'histoire récente de l'Algérie racontée à partir d'un immeuble. C'est le pari de la bande dessinée Rwama dont le deuxième tome vient de paraître chez Dargaud. Le dessinateur de presse Salim Zerrouki raconte, à hauteur d'enfant et d'adolescent, les décennies 1980 et 1990 de son pays. Notamment les années de guerre civile, improprement désignées sous le terme de « décennie noire ». Rwama - Tome 1, mon enfance en Algérie (1975-1992), de Salim Zerrouki, parue aux éditions Dargaud le 15 mars 2025, 176 pages.À écouter aussiL'art de raconter le monde: en Grèce dans les années 30, de la censure dans l'air
Le 8 mai 1945, tandis que la France fête la victoire des Alliés, un autre récit se joue à Sétif, Guelma et Kherrata : celui d'un massacre colonial où des milliers d'Algériens sont tués pour avoir réclamé leur indépendance. Longtemps passé sous silence, cet épisode sanglant marque le point de départ de la guerre d'Algérie et brise le mythe d'une France épargnée par les crimes de masse.Dans cette série inédite, Jean-Michel Aphatie revient en détail sur la mémoire impossible de la colonisation en Algérie et sur les raisons profondes de ce déni national. Pour que, peut-être, notre rapport au passé cesse d'entraver notre présent.Programme B est un podcast de Binge Audio présenté par Thomas Rozec. Réalisation : Paul Bertiaux. Production et édition : Charlotte Baix. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier et Thomas Steffen (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Violeta Tubert, a Aires del Conflent.Violeta Tubert és filla de Bonpàs i fa més de 30 anys que viu a Prada on va ser professora. Ara participa molt alCasal del Conflent. Amb ella parlem dels seus orígens a la Salanca, de les seves experiències com ensenyant a Melilla i Algèria i de moltes altres coses.Continuem la visita a Tarerac amb Jean-Louis Salies, parlem del Seneci del Cap amb l'Albert Mallol. Per la música ha escollit Brassens, Carlos Gardel, Mercedes Sosa.
Violeta Tubert, a Aires del Conflent.Violeta Tubert és filla de Bompàs i fa més de30 anys que viu a Prada on va ser professora. Ara participa molt al Casal del Conflent. Amb ella parlem dels seus orígens a la Salanca, de les seves experiències com ensenyant a Melilla i Algèria i de moltes altres coses.Continuem la visita a Tarerac amb Jean-Louis Salies, parlem del Seneci del Cap amb l'Albert Mallol. Per la música ha escollit Brassens, Carlos Gardel, Mercedes Sosa.
Violeta Tubert, a Aires del Conflent.Violeta Tubert és filla de Bompàs i fa més de30 anys que viu a Prada on va ser professora. Ara participa molt al Casal del Conflent. Amb ella parlem dels seus orígens a la Salanca, de les seves experiències com ensenyant a Melilla i Algèria i de moltes altres coses.Continuem la visita a Tarerac amb Jean-Louis Salies, parlem del Seneci del Cap amb l'Albert Mallol. Per la música ha escollit Brassens, Carlos Gardel, Mercedes Sosa.
Violeta Tubert és filla de Bompàs i fa més de30 anys que viu a Prada on va ser professora. Ara participa molt al Casal del Conflent. Amb ella parlem dels seus orígens a la Salanca, de les seves experiències com ensenyant a Melilla i Algèria i de moltes altres coses.Continuem la visita a Tarerac amb Jean-Louis Salies, parlem del Seneci del Cap amb l'Albert Mallol. Per la música ha escollit Brassens, Carlos Gardel, Mercedes Sosa.
Introducción:Breve presentación de Miguel Ángel Lurueña, tecnólogo alimentario, divulgador y autor de "Que no te líen con la comida" y "De los ultramarinos a los hipermercados" y autor del blog gominolas de petróleo. Antes de empezar, tengo que preguntárselo, ¿tienen petróleo las gominolas?Bloque 1: Etiquetado y seguridad alimentaria en casa¿En qué debemos fijarnos cuando vamos a hacer la compra al supermercado: latas abombadas, blisters con aire...?¿Qué información esencial deberíamos revisar en las etiquetas de los alimentos?¿Son seguros los edulcorantes artificiales? ¿Tienen efectos secundarios reales?¿Es mejor el edulcorante "natural"? Realmente existe?¿Son seguros los aditivos? ¿Para qué usa la industria la sal y el azúcar? Está casi en todos los productos...¿Cuáles son los errores más comunes que cometemos en la cocina que pueden poner en riesgo nuestra salud?¿Cómo debemos manipular los alimentos correctamente en casa?¿Cómo podemos saber cuando un alimento fresco está en mal estado?¿Existe algún documento de dominio público donde consultar los tiempos de conservación?¿Es seguro cocinar a baja temperatura?¿Qué debemos tener en cuenta al conservar alimentos como sobras de comidas, latas de tomate, atún, o maíz por ejemplo?¿Qué debemos tener en cuenta al congelar alimentos?¿Cuál es la manera más segura de descongelar alimentos para evitar riesgos?Bloque 2: Huevos, leche y otros alimentos.¿Qué significan los números en los huevos?¿Realmente existe diferencia nutricional entre huevos según estos números?¿Debemos lavar los huevos antes de guardarlos y consumirlos?¿Por qué hay huevos blancos y huevos marrones? Son mejores unos que otros?¿Es seguro consumir huevo crudo o tortillas poco hechas? Por qué los restaurantes no pueden usarlo?¿Es seguro beber leche cruda?Reutilizar aceite: ¿es seguro?, ¿cuántas veces podemos hacerlo?, ¿qué riesgos conlleva?¿Cuál es el mejor aceite para freír y por qué?¿Cuándo abres un bote de legumbres y la superfície está oscurecida, hay que desechar?¿Algún alimento que consideremos inocuo y que en realidad no lo sea?¿Realmente hay metales pesados en los alimentos? Debemos preocuparnos por ello?¿Cuántas latas de conservas podemos comer a la semana? por qué?¿Hay riesgo al comer steak tartar, sushi, tártar, ceviche o otros preparados en crudo?¿Tiene el arroz arsénico? Podemos consumirlo con tranquilidad?¿Es cierto que es peligroso tomar café de cápsula por el aluminio?Mantequilla clarificada o ghe, que es y que sentido tiene?Bloque 3: Alimentos ecológicos¿Qué significa que un alimento sea eco? ¿Cuándo puede un alimento llevar el sello eco? Hay buena regulación en ello?¿Son realmente mejores los alimentos ecológicos en términos nutricionales?¿Es verdad que los alimentos eco son más seguros o menos contaminados?Bloque 4: Microorganismos peligrosos (bacterias, mohos, parásitos)¿Qué debemos hacer para evitar intoxicaciones por bacterias como la Salmonella o la E. coli?¿Qué pasa con los mohos? ¿Es suficiente con retirar la parte visible afectada?Parásitos en alimentos: ¿son frecuentes y cómo evitarlos?¿Por qué hay tanto anisakis en la merluza y pescados? Cómo comerlo sin riesgo?¿Es cierta la regla de los 5 segundos? Cuán peligrosa es?¿Qué prevalencia hay actualimente de intoxicaciones alimentarias en comparación con décadas anteriores?Bloque 5: Mitos comunes en seguridad alimentariaCongelar alimentos mata todas las bacterias¿El calor lo mata todo? ¿Es suficiente cocinar bien para eliminar riesgos?¿Debemos lavar siempre los alimentos antes de consumirlos?El vinagre o el limón desinfectan los alimentos crudosBloque 6: Fechas de caducidad y consumo preferente¿Cuál es la diferencia real entre estas dos fechas?¿Hasta qué punto debemos respetar las fechas de duración?¿Por qué los huevos llevan fecha de consumo preferente?Bloque 7: Hormonas y valor nutricional de los alimentos¿Es cierto que los pollos tienen hormonas/antibióticos? ¿Cuál es la realidad detrás de este mito?¿Qué opinas de los disruptores endocrinos?¿Es verdad que los alimentos son cada vez menos nutritivos debido a que los suelos son menos ricos en minerales?Cierre: Mirando al futuro¿Qué crees que comeremos en el año 2100? ¿Se mantendrá la preocupación por la seguridad alimentaria y los nutrientes?Despedida y cierre del podcastConviértete en un seguidor de este podcast: https://www.spreaker.com/podcast/comiendo-con-maria-nutricion--2497272/support.
Voici l'histoire de Nancy Wake, surnommée la Souris Blanche, journaliste australienne engagée dans la Résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale, et résistante la plus décorée du conflit. D'abord active dans le réseau Pat O'Leary, elle sera bientôt recrutée par le Special Operations Executive.Nous sommes en novembre 1942. En seulement 3 jours, la zone libre connaît de grands bouleversements. Le 8 novembre, les forces alliées lancent l'opération Torch en débarquant en Algérie, au Maroc et en Tunisie dans le but d'ouvrir un nouveau front et d'affaiblir les forces de l'Axe. Malgré une résistance acharnée, les Alliés prennent rapidement le contrôle de plusieurs villes, coupant ainsi les voies d'approvisionnement et affaiblissant l'armée allemande. Mais Hitler ne compte pas en rester là. Dès le 11 novembre, il ordonne l'invasion de la zone libre en France.
Sosyal medya platformu X (eski adıyla Twitter) artık yalnızca bireylerin değil, büyük stratejilerin ve görünmeyen güçlerin de oyun alanı. Bu bölümde, X üzerinde sistematik şekilde kullanılan bot hesapların hem Türkiye'de hem de dünyada nasıl etkili bir manipülasyon aracı haline geldiğini derinlemesine inceliyoruz. Sahte hesaplar, yapay gündemler, siyasi kampanyalar, ticari algı yönetimi ve pazarlama dünyasının bu manipülasyondan nasıl etkilendiği gibi kritik konulara sağlam kaynaklarla ışık tutuyoruz.Bu bölümde şunları net biçimde öğreneceksiniz: • Bot hesaplar nasıl çalışır? • Türkiye ve dünyada hangi olaylarda gündem manipüle edildi? • Algı operasyonları nasıl planlanır? • X gerçekten güvenilir bir platform mu? • Bu manipülasyonlardan nasıl korunabiliriz?Bot hesaplar yalnızca siyasetle sınırlı değil. Kripto paralardan e-ticaret ürünlerine, influencer kampanyalarından marka algısına kadar birçok dijital pazarlama sürecine doğrudan etki edebiliyor. Özellikle trend listeye giren içeriklerin organik değil, yazılımla yönetilen binlerce sahte hesap tarafından pompalanması, kullanıcıların neye inanması gerektiğini sorgulatır hale getiriyor. Bu bölümde X'in algoritmalarının nasıl çalıştığını, Elon Musk sonrası yapılan değişikliklerin ne gibi sonuçlar doğurduğunu ve bağımsız araştırmacıların tespit ettiği kritik bulguları da paylaşıyorum.Türkiye'de son yıllarda seçim dönemlerinde, toplumsal olaylarda ve ekonomik tartışmalarda ortaya çıkan hashtag'lerin önemli bir kısmının bot destekli olduğu çeşitli analiz raporlarında açıkça ortaya konmuş durumda. Ancak sorun yalnızca bu botların varlığı değil; bu hesaplar üzerinden yapılan yorumlar, mention'lar ve retweet'ler sayesinde markaların, siyasetçilerin ya da fikir önderlerinin algısal gücünün olduğundan çok daha yüksek gösterilmesi. Yani X, yalnızca bir iletişim aracı değil, aynı zamanda bir algı oluşturma makinesine dönüşmüş durumda.Peki bu manipülasyonun dijital pazarlamaya etkisi ne? Şirketlerin kampanya stratejileri nasıl etkileniyor? Organik görünmeyen gündemlerde yer almak, tüketici güvenini nasıl zedeliyor? Dijitalde şeffaflık ve güven ilkeleri bu manipülasyon çağında nasıl savunulmalı? İşte bu bölümde tüm bu sorulara örneklerle, istatistiklerle ve sektörel analizlerle yanıt veriyoruz.
« Combien de temps durera cette guerre ? Ce n'est pas nous qui pouvons le décider. (…) Quelle qu'en soit la durée, nous ne céderons jamais ! On se battra jusqu'au triomphe ! » grondait Mao Zedong, fondateur de la République populaire de Chine, le 7 février 1953, alors que la Chine défendait ce qui deviendra la Corée du Nord face aux forces américaines, alliées, elles, du Sud.Un discours avec une forte résonance actuelle, cité par l'hebdomadaire français l'Express, qui nous offre cette semaine un important dossier sur comment la Chine se prépare depuis des années au choc commercial avec les États-Unis. Loin de faire allégeance à Donald Trump, le « géant asiatique » rend coup pour coup aux taxes douanières du président américain.Une réponse que la Chine risque de payer au prix fort. Mais elle est prête à le faire. D'ailleurs, cela a déjà commencé, note l'Express : « Amazon annule des commandes en provenance de Chine. Et des bateaux chargés de marchandises qui devaient prendre la mer restent à quai dans les ports de Shanghai ».Le régime chinois est persuadé que Washington jettera l'éponge en premier et s'accroche à des signes. Par exemple, Donald Trump a déjà cédé sur les ordinateurs, smartphones et autres produits high-tech chinois : plus aucune taxe pour entrer sur le territoire américain.Les leviers de PékinPourtant, sur le papier, « la Chine est largement désavantagée », selon l'Express : Pékin exporte bien plus aux États-Unis qu'elle n'importe. Mais c'est sans compter sur des leviers que Washington n'a pas. Le régime autoritaire chinois peut « limiter les sorties de ses capitaux », rappelle l'Express. Et sa propagande n'aura aucun mal à faire penser aux ménages chinois que c'est la faute de Donald Trump en cas de baisse substantielle du niveau de vie.Cet affrontement commercial effraie l'Europe et son industrie. « L'empire est à venir », « Cette déferlante chinoise qui menace la France », titre Marianne, qui rapporte cette semaine, page 17, que les capitaines d'industrie européens craignent la balle perdue dans cet affrontement. L'UE est le deuxième marché de consommateurs du monde. Si les exportations chinoises ne vont plus aux États-Unis, elles risquent de déferler sur l'Europe : millions d'objets à prix moindre. Une éventualité qui fait courir des risques aggravés pour des pans économiques français dont Marianne fait la liste. Et en première ligne : l'automobile, suivie de la bagagerie et maroquinerie. Puis viennent les fabricants de câbles électriques, de meubles et de robinets.« L'apaisement, c'est du vent » entre la France et l'AlgérieAprès l'expulsion de 12 agents diplomatiques français par Alger, Marianne revient sur la désescalade espérée au départ entre les deux pays, avant ce regain de tension. « Illusion ! » : le voyage de Jean-Noël Barrot en Algérie le 6 avril « n'était qu'un leurre », déplore le magazine : « Alger n'a en fait promis aucun geste. Pas de retour de l'ambassadeur algérien en France, rappelé par son pays depuis juillet dernier. Pas de date pour une libération de l'auteur franco-algérien Boualem Sansal, retenu depuis cinq mois. Aucune amélioration quant à l'application des mesures d'éloignement prononcées contre des Algériens », relève Marianne.Viennent donc ces expulsions d'agents diplomatiques. Réaction de l'Algérie à la détention d'un de ses agents consulaires, accusé d'avoir fomenté l'enlèvement d'un opposant politique algérien sur le sol français. « Pendant que l'Élysée tergiverse », souffle Marianne, « les problèmes perdurent et s'aggravent ».« Immigration, le conclave de la gauche »L'hebdomadaire français le Nouvel Observateur a enfermé une trentaine de personnalités de la gauche française dans ses locaux : des politiques, des patrons d'ONG ou des membres de la société civile. Cela dans le but de parler de l'immigration. Ce thème, très présent dans le débat public français, est porté essentiellement par la droite et l'extrême droite, qui dénoncent « une invasion migratoire ». La gauche, elle, selon le Nouvel Obs, « peine à exprimer sa propre vision et un contre-discours ».De ces rencontres sont sorties 12 propositions que liste l'hebdomadaire. Parmi elles : « permettre aux citoyens français de parrainer des candidats à la citoyenneté », ou encore « proposer systématiquement l'enseignement du français à l'ensemble des étrangers » qui arrivent sur le territoire pour la première fois. Des ovnis dans le débat public français, marqué par une poussée des conservatismes.
Hier, relève le site Algérie 360, « Paris a décidé d'expulser douze diplomates algériens en poste sur son territoire, en réponse à une mesure similaire prise par Alger quelques jours plus tôt. La tension monte d'un cran entre les deux capitales, mettant en péril le fragile processus de réchauffement engagé récemment. Cette réaction en chaîne, précise Algérie 360, trouve son origine dans l'arrestation, en France, d'un agent consulaire algérien. Un agent soupçonné d'être impliqué dans une affaire touchant un blogueur algérien controversé connu sous le pseudonyme d'Amir DZ, exilé dans l'Hexagone. À Alger, cette arrestation est perçue comme une violation flagrante des conventions diplomatiques (…). »Autre mesure forte prise par Paris : le rappel de son ambassadeur… « Cette décision est une première. Et cette crise est cette fois-ci partie pour durer, commente Le Matin d'Algérie. Car il y a comme une rupture de confiance entre les deux chefs d'État ».Retailleau dans le collimateurPour le quotidien gouvernemental El Moudjahid, le responsable de cette affaire, c'est le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau. « Alger et Paris, rappelle le quotidien algérien, avaient repris langue après des mois de crise, à la faveur de l'appel téléphonique du président français à son homologue Abdelmadjid Tebboune et la venue prompte de son ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Ce réchauffement a fait long feu, soupire El Moudjahid. L'enthousiasme a vite été douché par un incident jugé gravissime par Alger. L'arrestation ostentatoire d'un agent consulaire algérien en exercice en France. (…) Une arrestation bien évidemment effectuée sous les ordres de Bruno Retailleau ». Et, prévient El Moudjahid, « entre l'Algérie et la France, le rideau ne se lèvera pas tant que les barbouzeries de Bruno Retailleau ne seront pas annihilées ».Réplique économique ?Le site Algérie Patriotique s'interroge : « comment l'Algérie va répondre à l'expulsion de ses agents diplomatiques : va-t-elle rompre les livraisons de gaz et expulser (le groupe pétrolier français) Total Energie ? Jusque-là, les autorités algériennes n'ont jamais lié les questions économiques aux différends politiques et diplomatiques, sauf dans le cas marocain. Jusqu'où iront les mesures de rétorsion de part et d'autre de la Méditerranée, entre deux pays dont les relations en dents de scie n'ont jamais connu une crise aussi grave depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962 ? »D'ores et déjà, remarque le site Afrik.com, ce nouveau coup de froid « a des conséquences très lourdes pour les entreprises françaises désireuses de développer le marché algérien… Et qui vont devoir attendre un peu plus, pour profiter de la croissance de la première puissance économique d'Afrique du Nord. Le patronat français en pleurerait, tellement les conséquences des rodomontades de Messire Retailleau coûtent cher à la France ».Exemple, pointe Afrik.com, « le patron du troisième groupe mondial de transport maritime, CMA-CGM, Rodolphe Saadé, qui a vu annuler sa rencontre avec le président Tebboune, qui devait avoir lieu aujourd'hui, à Alger, et à l'issue de laquelle devait être annoncé un montant d'investissements colossaux en Algérie, de nature à faire des ports algériens une plateforme stratégique pour l'armateur français ».Toujours en décalage« Entre la France et l'Algérie, la malédiction des détentes éphémères », constate pour sa part Le Monde Afrique. « Pourquoi donc ces oscillations permanentes entre les deux capitales ? Pourquoi cette incapacité à stabiliser la relation (…) ? Un premier élément de réponse tient dans la nature multiforme de ce lien franco-algérien qui le rend comparable à nul autre. Fruit d'une imbrication entre mémoire coloniale, héritages migratoires, passerelles économiques, intérêts stratégiques et convulsions identitaires de chaque côté, la connexion entre la France et l'Algérie est par essence compliquée à réguler ».Mais, pointe encore Le Monde Afrique, « le véritable défi tient plutôt dans (…) l'absence de synchronie entre les différents agendas politiques, stratégiques et judiciaires. Quand la France est prête au dialogue, l'Algérie est absorbée par d'autres impératifs, et réciproquement. Et quand bien même les diplomates sont au diapason, les logiques partisanes de chaque pays poussent en sens contraire. Sans compter les incidents sécuritaires ou les vicissitudes judiciaires qui précipitent les embardées. »Enfin, analyse similaire pour Jeune Afrique qui constate qu' « à chaque fois qu'un chapitre semble esquisser un épilogue heureux, le caractère versatile et volatil de la relation entre la France et l'Algérie relance la machine à frictions ».
Entre l'Algérie et la France, le torchon brûle de nouveau. Suite à la décision d'Alger, ce dimanche, d'expulser douze agents consulaires français, Paris prend une décision identique et rappelle son ambassadeur en Algérie. Après le coup de fil Tebboune-Macron du 31 mars et les gestes d'apaisement qui avaient suivi, la surprise est totale. Comment en est-on arrivé là ? Va-t-on vers une rupture des relations diplomatiques ? Le Franco-Algérien Lyes Djebaili a milité pour le mouvement démocratique Hirak à Alger et dirige aujourd'hui en France le collectif Algérie Droit Devant. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Comment réagissez-vous à cette nouvelle escalade entre l'Algérie et la France ? Lyes Djebaili : C'est regrettable. C'est incompréhensible. Les relations franco-algériennes s'acheminaient vers une détente, vers un dégel. Et puis subitement, les relations se crispent davantage. Manifestement, on a l'impression que les deux présidents, Monsieur Macron et Monsieur Tebboune, malgré leurs relations personnelles, qui sont de bonnes relations, n'arrivent pas à se parler comme naguère le faisaient Monsieur Bouteflika et Monsieur Chirac. Là, c'est quelque chose d'inédit, du jamais vu depuis l'indépendance de l'Algérie depuis 1962. Le rappel des ambassadeurs côté algérien et côté français. L'expulsion de douze agents consulaires et diplomatiques français et algériens. Tout cela ouvre la voie vers la rupture des relations diplomatiques.Vous craignez une rupture ? Je le crains. Je crains cette rupture entre la France et l'Algérie parce que c'est inédit depuis 1962, une fermeture des deux côtés. Les ripostes sont fermes de part et d'autre. Voilà, espérons des jours meilleurs pour les relations franco-algériennes. Après tout, ce sont des relations historiques, profondes où s'entremêlent les relations de famille, les relations de culture, du sang, ainsi de suite. Voilà, en tout cas, en tant que militant, en tant que franco-algérien aussi, l'Algérie, c'est mon pays de naissance. Et la France, c'est mon pays d'adoption. Et je me sens aussi bien Algérien que Français. Et c'est la raison pour laquelle j'appelle de tous mes vœux au dégel de ces relations et au retour tant soit peu à la sagesse.Alors, il y a huit jours, après le coup de fil Tebboune-Macron et la visite à Alger du ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, tout le monde pensait que les deux pays allaient reprendre le dialogue, la coopération. Et puis depuis ce week-end, patatras ! L'Algérie décide d'expulser douze agents français et la France réplique comme vous le savez. Comment expliquez-vous ce nouveau raidissement ? Moi, je rappelle, en tant que militant des droits humains, en tant que militant pour la démocratie, pour l'établissement d'un État de droit et de citoyenneté dans mon pays, je rappelle que, dans un État de droit, la justice est indépendante. Honnêtement, je ne sais pas les détails de cet enlèvement de l'influenceur algérien…Amir DZ, oui… Et donc de la mise en examen et de l'arrestation vendredi dernier par la justice française de trois Algériens de France, dont un membre du consulat d'Algérie à Créteil, près de Paris…Oui, mais ces trois personnes qui sont impliquées dans l'enlèvement… Personnellement, en tant que citoyen, j'appelle à l'indépendance de la justice parce que nous militons pour une justice indépendante dans notre pays d'origine en Algérie. Laissons la justice faire son travail. La justice en France est une justice indépendante. Je ne pense guère qu'elle soit soumise, assujettie à l'exécutif. Mais j'appelle aussi bien l'Algérie et la France à retrouver les chemins de la sagesse pour renouer un dialogue d'égal à égal pour le bien-être de l'Algérie, de la France et des deux peuples algériens et français.Donc, vous pensez qu'après l'arrestation de cet agent algérien du consulat de Créteil, Alger n'était pas obligé d'expulser douze agents français d'Algérie ? C'est une décision qui était lourde de conséquences suite à une décision de justice. C'est un yoyo diplomatique. On retombe dans les travers alors que nous étions tous heureux que les relations franco-algériennes repartent de plus belle.Est-ce que le fond du problème, ce n'est pas la reconnaissance de la marocanité du Sahara par la France ? C'était il y a neuf mois…Oui, chaque pays est souverain dans la prise de sa décision. Maintenant, est-ce que la France aurait pu garder sa neutralité, rester neutre ? Est-ce que cette reconnaissance allait passer par le Parlement ? On se demande. Moi je me le demande, en tant que citoyen sachant les conséquences de cette reconnaissance. La France, c'est un grand pays qui a toujours su garder une certaine neutralité. Monsieur Macron aurait pu garder cette neutralité vis-à-vis de cette question du Sahara occidental. C'est une question qui dépend de l'ONU. C'est une question de décolonisation. Elle dépend de l'ONU. D'ailleurs, entre le ministre des Affaires étrangères français, Monsieur Barrot, et le ministre des Affaires étrangères algérien, Monsieur Attaf, il y avait un communiqué conjoint disant que la question du Sahara occidental dépendait de l'ONU.À lire aussiFrance-Algérie: Paris annonce l'expulsion de douze diplomates et rappelle son ambassadeur
Paris a annoncé le rappel de son ambassadeur à Alger et l'expulsion de 12 agents algériens du territoire français. Une riposte à l'expulsion par Alger de 12 fonctionnaires français du ministère de l'Intérieur, en poste en Algérie. C'est une mesure qu'Alger affirme avoir prise en réponse à la mise en examen et au placement en détention vendredi à Paris de trois de ses ressortissants, dont un agent consulaire, soupçonnés d'être impliqués dans l'enlèvement et la séquestration d'un influenceur opposant au régime algérien et exilé en France. Jean-Noël Barrot, le chef de la diplomatie française, appelle à "revenir à un dialogue franc, lucide et exigeant" avec l'Algérie.
Dans cette édition :Des attaques coordonnées et organisées visent les prisons françaises, avec des incendies de voitures de surveillants et des tirs à l'arme lourde, suscitant l'inquiétude des personnels pénitentiaires.La France décide de rappeler son ambassadeur en Algérie et d'expulser 12 diplomates algériens, dans un contexte de crise diplomatique entre les deux pays.Le Premier ministre alerte sur la situation alarmante des finances publiques françaises, appelant à des efforts de la part des Français, face à l'opposition de certains partis politiques.Emmanuel Macron décore 100 artisans, entrepreneurs et fonctionnaires ayant participé à la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame, six ans après l'incendie.Le PSG se qualifie pour les demi-finales de la Ligue des Champions malgré une défaite contre Aston Villa.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :La France rappelle son ambassadeur en Algérie et expulse 12 agents diplomatiques algériens en représailles à des mesures similaires prises par l'Algérie, dans un contexte de dégradation des relations bilatérales.Une série d'attaques visant des prisons françaises et leurs agents a eu lieu, avec des tirs à la Kalachnikov et des incendies de véhicules, suscitant l'inquiétude des autorités qui évoquent la piste du narcotrafic.Le Paris Saint-Germain s'est qualifié pour les demi-finales de la Ligue des Champions malgré une défaite 3-2 face à Aston Villa, les joueurs parisiens ayant été critiqués pour leur manque de sérieux en seconde période.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le comédien Pierre Palmade est sorti de prison ce matin après quatre mois seulement de détention, il va désormais purger le reste de sa peine sous bracelet électronique.Une série d'attaques coordonnées a visé 11 établissements pénitentiaires depuis dimanche, les autorités soupçonnent l'implication de groupes de délinquants ou de mouvances d'ultra-gauche.La France a rappelé son ambassadeur en Algérie et annoncé l'expulsion de 12 agents diplomatiques algériens en représailles à l'expulsion lundi de 12 agents français présents à Alger.Le Paris Saint-Germain s'est qualifié pour les demi-finales de la Ligue des Champions après avoir frôlé la catastrophe face à Aston Villa.La commune de Saint-Saulve dans le Nord a décidé de fermer tous ses services publics pour protester contre la baisse des dotations de l'État.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barraud, s'exprime sur la crise diplomatique entre la France et l'Algérie, affirmant que la France a répondu de manière proportionnée aux provocations d'Alger et exige le respect des accords bilatéraux.Le régime algérien désigne le ministre de l'Intérieur français, Bruno Retailleau, comme le principal responsable de cette crise diplomatique, l'accusant de "barbouserie à des fins purement personnelles".Le gouvernement français annonce 40 milliards d'euros d'efforts budgétaires pour l'année prochaine et envisage d'utiliser la méthode "Budget Basse Zéro" pour identifier des pistes d'économies.Le Premier ministre français, François Bayrou, reçoit le comité de soutien à l'écrivain Boualem Sansal, emprisonné en Algérie depuis 150 jours, qualifiant sa situation d'"insupportable".Le président de la Cour des comptes menace de ne pas certifier le prochain budget de l'État si les réserves exprimées par les sages ne sont pas suffisamment prises en compte par le gouvernement.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si nous apprenions le latin comme nous apprenons l'allemand ou l'anglais, par l'apprentissage de la conversation? Avant d'être figé dans le marbre ou sur des parchemins, le latin a été utilisé comme une langue vivante. Alors que Pierre-Yves Fux, ambassadeur suisse en Algérie, donne des conférences en latin, les passionnés de l'Institut américain Paideïa à Rome pratiquent couramment la langue de Cicéron. Reportages de Laurence Difélix Réalisation de Matthieu Ramsauer Production de Raphaële Bouchet
Escucha lo que dos inteligencias artificiales platicaron cuando se pusieron a hablar entre si. La conversación da miedo y se puso bastante rara en algún momento, lo que da más miedo todavía.Algún día nos gobernarán y seremos sus esclavos. Mantente al día con los últimos de 'El Bueno, la Mala y el Feo'. ¡Suscríbete para no perderte ningún episodio!Ayúdanos a crecer dejándonos un review ¡Tu opinión es muy importante para nosotros!¿Conoces a alguien que amaría este episodio? ¡Compárteselo por WhatsApp, por texto, por Facebook, y ayúdanos a correr la voz!Escúchanos en Uforia App, Apple Podcasts, Spotify, y el canal de YouTube de Uforia Podcasts, o donde sea que escuchas tus podcasts.'El Bueno, la Mala y el Feo' es un podcast de Uforia Podcasts, la plataforma de audio de TelevisaUnivision.
Le retour annoncé de l'ancien président de la République démocratique du Congo est largement commenté par la presse congolaise. Joseph Kabila qui compte rentrer dans le pays par sa partie « orientale ». Il ne précise pas s'il arrivera par le Katanga ou par les zones sous contrôle du M23. C'est ce flou qui fait l'objet de nombreux commentaires.Pour Forum des As : « Que Joseph Kabila rentre au pays, dans un contexte où son successeur bat le rappel des troupes pour davantage sceller la cohésion interne et faire face à l'ennemi, personne ne s'en offusque. Seulement voilà, écrit le journal en ligne, Joseph Kabila ne précise pas clairement sa porte d'entrée. (...) la partie orientale de la RDC est vaste. Et même très vaste ». Toutefois, reconnaît le Forum des As : « dans la situation actuelle du pays, Joseph Kabila est une variable pour le retour d'une paix durable ».Accusations de complicité avec le M23Tout autre son de cloche pour Info 27, qui reprend à son compte les accusations du président Félix Tshisekedi. Joseph Kabila serait en fait un complice du M23 et préparerait une insurrection. Info 27 estime que « Le retour annoncé de l'ancien président Joseph Kabila (...) précisément par la partie orientale du pays, ne doit rien au hasard », écrit le journal. « Cette région, aujourd'hui sous occupation rwandaise (...), constitue l'épicentre des tensions et des ambitions régionales. (...) Les masques tombent, accuse Info 27, et les alliances se révèlent au grand jour ». Pour le journal en ligne, Joseph Kabila est « le véritable propriétaire de l'AFC/M23, qui s'apprête à reprendre symboliquement possession de son fief à Goma ». Joseph Kabila avait formellement démenti en mars être « complice du M23 » lors d'une conférence de presse organisée en Afrique du Sud.Cyberespace maghrébinLe Maroc a été victime de l'une des pires fuites de données de son histoire. Des milliers de documents de la Sécurité sociale et du ministère de l'Emploi ont été publiés sur internet. Les hackeurs se revendiquent Algériens, mais prudence : rien ne le prouve pour le moment. La presse marocaine, elle, semble persuadée que c'est un coup d'Alger.Défilé d'experts en cybersécurité dans tous les journaux du pays ce matin pour tenter d'expliquer comment cela a pu arriver. Les responsables marocains restent pour le moment muets sur l'affaire. Le journal Yabiladi déplore : « La rivalité entre Maroc et Algérie dépasse les querelles sur les réseaux sociaux autour du patrimoine culturel, culinaire et vestimentaire, pour s'étendre au domaine des cyberattaques. Les tensions entre les deux nations se sont propagées dans le cyberespace ».Le journal en ligne l'Opinion, lui, appelle à des investissements conséquents dans la cybersécurité dans le pays. Des efforts jugés insuffisants selon lui.« Faux experts » au Sahel« Le Sahel et les faux experts : dessous d'une campagne de propagande russe », c'est le titre d'une enquête de Jeune Afrique. Le mensuel panafricain met en lumière un réseau de médias utilisés au Sahel pour diffuser un discours favorable à la Russie et hostile à la France, encore largement répandu aujourd'hui. Des médias qui publient des articles s'appuyant sur des experts ou des journalistes spécialisés qui sont en réalité fictifs. Ces gens n'existent tout simplement pas. Jeune Afrique révèle : « ce sont des créations d'un réseau d'influence. Le plus prolifique d'entre eux, Grégoire Cyrille Dongobada, est présenté comme un observateur militaire centrafricain, chercheur en études politiques ». « Seulement », écrit Jeune Afrique, « ses traces sur internet ne remontent qu'à 2021, alors qu'il est cité dans des médias pro-russes ». Des profils comme celui-là, il en existe d'autres. L'enquête est à lire sur le site internet de Jeune Afrique.
Les experts et journalistes de RFI répondent à vos questions sur un faux journal attribué à RFI, la crise diplomatique entre l'Algérie et les pays de l'AES et la normalisation des relations franco-algériennes. Guerre en Ukraine : vers une médiation de la Chine ?Alors que les pressions américaines persistent pour un cessez-le-feu en Ukraine, la Chine pourrait à son tour jouer un rôle de médiateur entre Moscou et Kiev. Quels intérêts Pékin pourrait trouver dans cette initiative ? Connaissant les liens qui l'unissent à la Russie, comment la Chine pourrait-elle mener des négociations ?Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Intox : un faux journal attribué à RFISur les réseaux sociaux et les chaînes WhatsApp, un audio créé par l'intelligence artificielle simule un journal de RFI sur la situation en RDC. On y entend Corneille Nangaa, l'ancien président de la Céni devenu coordinateur de l'Alliance fleuve Congo, alliée au M23, présenter ses excuses aux Congolais. Comment s'assurer qu'une information provient bien de RFI ?Avec Grégory Genevrier, journaliste à la Cellule Info-Verif. Algérie : les pays de l'AES rappellent leurs ambassadeursAprès la destruction d'un drone malien par l'Algérie, le Mali, le Burkina Faso et le Niger ont rappelé leurs ambassadeurs respectifs à Alger. Bamako affirme que ce drone volait au-dessus du territoire malien, Alger assure qu'il était entré dans l'espace aérien algérien. Que sait-on de cet incident ? Pourquoi les pays de l'AES dénoncent-ils des « provocations à répétitions » de la part de l'Algérie ? Une crise plus importante est-elle inévitable ?Avec Akram Kharief, journaliste et chercheur à la Fondation Rosa Luxemburg. France/Algérie : un premier pas vers la normalisation ?Le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot, s'est rendu en Algérie pour rencontrer son homologue algérien Ahmed Attaf et le président Abdelmadjid Tebboune. Objectif, permettre un réchauffement des relations entre Paris et Alger. À l'issue de ces entretiens, quels sont les engagements concrets pris sur les questions sécuritaires et migratoires ?Avec Khadija Mohsen-Finan, politologue spécialiste du Maghreb et du monde arabe, chercheure associée à l'Université de Paris 1 – Panthéon Sorbonne (Laboratoire SIRICE).