POPULARITY
durée : 00:36:25 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - 13/14 exceptionnel depuis un TER entre Thionville et Metz pour parler de ceux qui prennent le train quotidiennement. Avec ceux qui le prennent comme ceux qui le font rouler et qui le financent.
durée : 00:03:36 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - C'était une journée sans transports en commun, ou presque, ce jeudi dans l'Agglomération clermontoise. Une grève des personnels de la T2C inquiets de la prochaine réorganisation du travail dans le cadre du projet InspiRe qui va redéfinir les mobilités à la fin de l'année.
Mauvaise gestion des travaux autour du CHUM. «On continue de s’indigner!» Entrevue avec Diane Brodeur, présidente du comité des usagers du CHUM et avec Norman Mallette, directeur des Services techniques du Centre hospitalier de l’Université de Montréal. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:06:11 - Didier Guibert, conducteur TGV représentant Sud Rail - 90% des trains circuleront pendant ce week-end du 8-mai, selon le PDG de la SNCF, en pleine grève, plutôt 85% dans la région des Pays de la Loire. "La mobilisation est moins forte que ce que l'on pensait", selon Didier Guibert, conducteur de TGV et représentant Sud-Rail.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:18 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:15 - Les "trains de la colère" des usagers de la ligne Paris-Orléans-Toulouse
durée : 00:03:57 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne
durée : 00:03:39 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne
durée : 00:09:51 - L'invité de 7h50 du week-end - Aujourd'hui, nous recevons le chargé de mission Parcoursup au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche, Jérôme Teillard.
Problème d'autobus de la CNT dans le Sud : les usagers dénoncent un manque criant de bus by TOPFM MAURITIUS
Sujets traités : Les contrôles à la frontière allemande prolongés jusqu'en septembre. L'annonce a été faite hier par le chancelier Olaf Scholz. Cette mesure, installée de manière provisoire en septembre 2024, devait initialement s'achever à la fin du mois de mars. Entre l'Alsace et le Bade-Wurtemberg voisin, plus de 1.200 entrées illégales ont déjà été stoppées.Le Noël numérique de l'APEI Centre-Alsace, suite et fin de cette série ! Divers outils et nouvelles technologies ont été distribués il y a un peu plus d'un mois à certains services de cette association pour contribuer au bien-être et à l'inclusion des personnes en situation de handicap. Après le Pôle Santé Accompagnement Médicalisé et le Camsp de Châtenois, focus sur l'Esat L'Evasion de Sélestat. Lors des dernières fêtes de fin d'année, l'établissement s'est vu offrir deux machines de personnalisation pour renforcer les propositions de son atelier arts plastiques. Les précisions d'Aurélien Imhoff, chef de service de L'Evasion. Caroline et Thomas, tous deux infographistes à l'Esat L'Evasion, nous en disent plus sur l'utilisation de ces nouveaux outils. Pour mener à bien ce projet de Noël numérique, au total près de 40 000 euros ont été posés sur la table, à l'échelle de l'ensemble de l'APEI Centre Alsace. Une somme récoltée intégralement sous la forme de dons. Retrouvez ce reportage dans son intégralité, mais aussi les autres témoignages venant du Pôle Santé Accompagnement Médicalisé et du Camsp de Châtenois, sur notre site internet azur-fm.com.Incompréhension dans le Nord-Alsace. Usagers de la gare de Haguenau et habitants du quartier viennent de lancer une pétition pour protester contre la fermeture de la “Place des services”, située à la gare. Ouvert en 2021, ce service qui proposait notamment dépôt et retrait de colis et quelques achats, est fermé depuis ce début de semaine à cause d'une décision de la communauté d'agglomération de Haguenau, propriétaire du lieu. Une fréquentation trop restreinte justifie cette fermeture.Et aujourd'hui à 13h, AZUR FM vous propose de découvrir une émission réalisée par les jeunes participants de l'atelier radio de ces vacances scolaires, sur le thème des 80 ans de la libération. Écoutez un extrait des témoignages récoltés lors d'un micro-trottoir. Rendez-vous toute à l'heure à 13h pour écouter cette émission que vous pourrez retrouver en podcast juste après sa diffusion.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ils sont ceux que l'on ne veut pas voir, qui mettent mal à l'aise. Ceux que l'on chasse et déplace depuis trente ans en France, dans le triangle nord-est parisien, à coup d'opérations policières médiatisées. Des centaines de toxicomanes qui vivent dans une grande précarité et consomment dans l'espace public. Pour les riverains, c'est un enfer. Les évacuations successives ne font que déplacer le problème. C'est une journée froide avec un soleil pâle. Aya Soro a tenu sa promesse. Membre du collectif Rosa Craque, elle nous emmène sur le chemin du crack dans le nord parisien. « Nous allons remonter le boulevard Macdonald jusqu'à la porte de la Villette, des endroits où se regroupent les usagers de drogues. » À l'approche d'un arrêt de tram, elle désigne une personne : « Les gens sont tranquillement à l'arrêt du tram et vous voyez bien, il passe les importuner. Il va passer demander de l'argent. Et puis c'est une personne qui a besoin d'aide et qui ne peut pas vivre à la rue. »Depuis le démantèlement du campement du square Forceval dans le 19ᵉ arrondissement, en 2022, les 400 toxicomanes qui s'y étaient installés sont revenus par groupes dans le quartier Rosa Parks, toujours situé dans le nord de Paris. En voilà quelques-uns dans une petite rue. L'approche est difficile, entre méfiance et agressivité. Visage osseux, les doigts jaunis et les ongles noircis, Ali accepte de témoigner : « Cette addiction, c'est la plus sournoise que j'ai jamais connue. Et comme c'est de la cocaïne, forcément, ça a tendance à pousser un peu le cerveau. »Aya Soro, du collectif Rosa Craque, nous présente un habitant du quartier : « On a des blessures qui sont infectées avec le pied qui a doublé de volume. Ça sent la pourriture. Ils sont, des fois, tout nus dans les métros. On voit des fesses qui sont pleines d'excréments. Franchement, on n'a pas envie de voir tout ça... »À lire aussi France : à Paris, la police démantèle un campement de consommateurs de crack« Je ne me sens pas en sécurité »« Ce sont des gens qui circulent ici, ajoute Aya Soro. Et surtout que le crack, c'est une drogue qui met les gens dans un état second. Ils sont très agressifs. Il y a eu beaucoup d'agressions dans le quartier. Moi, quand je dois aller dans le parking pour aller chercher la voiture, j'ai peur. Quand je sors la nuit, je ne me sens pas en sécurité. Je regarde derrière moi. C'est vrai que ça a créé un climat de peur. »L'État et la mairie de Paris tirent pourtant un bilan positif de la deuxième phase du plan crack, avec, par exemple, un renforcement de la présence des policiers. Insuffisant, pour Aya Soro. « On les voit aux heures de sortie d'école de nos enfants, on les voit devant les écoles. Mais le problème, c'est que ce n'est pas quelques heures dans la journée, ni sur quelques endroits, dénonce-t-elle. C'est dans tout le quartier et tout le temps. »À écouter dans Le débat du jourPeut-on réguler le marché de la drogue ?« C'est la misère humaine, c'est la misère sociale, c'est un suicide collectif »La jeune femme nous quitte devant la Halte « Soins addictions », porte de la Chapelle, ouverte désormais sept jours sur sept et qui reçoit en moyenne 200 consommateurs par jour. Des toxicomanes sont agglutinés devant l'entrée. Les paupières et les jambes tremblent. Jean-Loup était agressif. Puis, il s'est calmé. « C'est la misère humaine, c'est la misère sociale, c'est un suicide collectif », déclare-t-il.Des avancées se sont fait sentir également, avec des places d'hébergement supplémentaires. Sous l'épuisement, le beau regard bleu résiste. Tom, 43 ans, a bénéficié d'un hébergement. « Moi, j'ai eu cette chance-là et ça me fait mal au cœur parce que tout le monde n'a pas cette chance-là, regrette-t-il. Et moi, il a fallu qu'on me prenne par la main quand même. Sans ça, moi, ça n'aurait pas été possible. Maintenant, je ne veux plus être à la rue. Et ça, ça a été un électrochoc en fait. »Il n'empêche que, malgré les efforts, les structures d'accueil continuent de manquer dans la capitale.À écouter dans Témoins d'actuFrance: quelles solutions pour les consommateurs de crack?
Que se passe-t-il avec le REM ? Lundi et mardi matin, le REM a scrappé la matinée de ses usagers avec d’autres pannes. Les témoignages abondent sur les groupes Facebook, les mêmes groupes sur lesquels les citoyens doivent se tourner pour savoir s’il y a panne ou non. Entrevue avec Pierre Barrieau, expert en planification des transports, Fendy Chang, usager du REM en colère, Lindi Ross, citoyenne de CarignanPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Des enfants et des usagers des transports scolaires sont en danger dans certaines zones. Particulièrement en Montérégie depuis 2023. Entrevue avec Patrick Bélanger, directeur du Service de police de l’agglomération de Longueuil et représentant de l’ADPQ.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En France, le ministre de l'intérieur Bruno Retailleau s'est fixé comme objectif de présenter prochainement au Parlement une loi contre le narcotrafic, allant récemment jusqu'à employer le terme de « mexicanisation » de la France, pour décrire l'amplification de cette criminalité liée à la drogue. Ses Propos avaient été précédés, ces derniers mois, d'autres séquences médiatiques et sécuritaires, à l'occasion des opérations « place nette XXL », opérations de lutte contre le trafic, largement couvertes par la presse. Grande oubliée de l'équation, la politique sanitaire ne fait, elle, pas la Une. Est-ce que l'approche du « tout répressif » a fait ses preuves en matière de lutte contre la drogue ? Quelle est la place du soin dans la gestion de ce problème en France ? Pr Amine BENYAMINA, psychiatre addictologue, Chef du Département de Psychiatrie et d'Addictologie de l'Hôpital Paul Brousse à Villejuif en région parisienne.Retrouvez l'émission en entier ici : Guerre contre la drogue: qu'en pensent les médecins?
Ne pas pouvoir remonter ses courses quand on habite au 15e étage ou simplement sortir de chez soi à cause de l'ascenseur en panne : chaque année, 1,5 million de pannes d'ascenseurs sont recensées en France. Pour venir à bout de ce problème récurrent et préoccupant, qui touche des milliers de personnes, une proposition de loi, visant à lutter contre les pannes d'ascenseurs non prises en charge, est en débat depuis jeudi 23 janvier à l'Assemblée nationale. Dans une banlieue résidentielle, à Rueil-Malmaison dans les Hauts-de-Seine, Abdeladim Outtaleb se déplace en fauteuil roulant. Il loue un appartement situé au 2e étage et, suite à de fortes pluies, l'ascenseur de son immeuble est en panne. Une situation qui dure depuis deux mois. « Je vis un enfer, confie-t-il. Je ne peux pas descendre. Je ne peux rien faire à part télétravailler chez moi. J'ai envie d'aller au musée, dans un parc, prendre l'air, comme tout le monde ! Moi, qui suis en situation de handicap, j'ai l'impression d'être en prison. Pour l'instant, moi, je subis. »Pour sortir enfin de chez lui. Abdeladim a trouvé la solution. Il fait appel aux services de Fouad Ben Ahmed. Ce militant au sein du collectif Plus sans ascenseur a lancé, il y a quelques années, SAMV (Solution d'assistance à mobilité verticale), une société qui travaille à ne plus laisser sur le carreau les personnes à mobilité réduite.« On a adapté un moteur électrique avec un équipement spécifique, répondant à nos usages, explique-t-il. On peut déplacer une personne du rez-de-chaussée au 18e étage, jusqu'à 130 kilos, sur tous types d'escaliers. Le plus important, c'est la formation, la compétence. Nos assistants sont un peu des guides de haute montagne. »Le guide de haute montagne en question, souriant, qui vient délivrer Abdeladim, s'appelle Willy. Abdeladim est alors arnaché à une chaise très particulière, avec un moteur électrique à sa base et dont le mouvement rotatif épouse les marches et permet de les descendre.Un travail très particulier pour Willy, jeune recrue de 22 ans : « Ce n'est un travail commun. Rendre service, j'aime cela, mais cela demande de la patience, notamment pour comprendre le mécanisme de la chaise. Il faut se mettre sur le bord. Il faut ensuite pencher la chaise, régler le bouton des trois vitesses, etc. C'est la chaise qui fait tout le travail. Nous, nous sommes là en qualité d'assistant. »Les pannes d'ascenseurs récurrentes s'invitent aussi au sein de l'Hémicycle. « Avec cette loi, on remet de l'ordre dans le système de la maintenance des ascenseurs : obligation de stocks de pièces pour les sociétés ascensoristes, obligation de délais d'intervention, obligation de mesures de prescription pour qu'il y ait, dans le cadre d'une panne prolongée, des mesures de substitution : portage de repas, portage de courses, portage de personnes dans les escaliers... Il y a des sociétés qui font cela aujourd'hui », détaille le socialiste Philippe Brun, porteur de la proposition de loi à l'Assemblée nationale. Alors que les députés planchent pour trouver une solution, Abdeladim a pu descendre les dizaines d'escaliers qui le séparent de l'extérieur. « Deux minutes pour descendre ! C'est une solution alternative utile, SAMV, mais uniquement à court-terme. J'ai envie de retrouver ma vie normale », clame-t-il. Chaque année, on recense 1,5 million de pannes d'ascenseurs en France.À lire aussiFrance: découverte à Paris de la Maison des coursiers, un havre pour les livreurs à vélo
durée : 00:03:24 - Les chantiers participatifs font le plein à la Maison éclusière
Imaginez un bus scolaire à pédales au design novateur, capable de transformer nos trajets quotidiens.Lors d'un voyage familial aux Pays-Bas, Mathieu Spillman, alors agent immobilier à Paris, tombe sur une idée révolutionnaire : un drôle de vélo collectif. Eurêka ! Inspiré par cette trouvaille, il décide de l'adapter au marché français.Il fonde alors France Quadricycle et développe le prototype du Ouicycle, un véhicule intermédiaire à quatre places, modulable grâce à un système « quick change».À Montpellier, le Ouicycle remplit plusieurs missions : le matin, il assure le ramassage scolaire ; l'après-midi, il devient un outil précieux pour la logistique urbaine ou le transport des personnes âgées et à mobilité réduite. Grâce à sa batterie alimentée par énergie solaire, il file à 25 km/h, respectueux de l'environnement.TranSpod a eu l'occasion de monter à bord du Ouicycle en compagnie de Mathieu Spillman. Au volant ? Robin Allory, animateur de la Fédération des Usagers de la Bicyclette, qui nous livre ses impressions à chaud.Chaque individu, à son niveau, a le pouvoir de transformer notre société et notre manière de nous déplacer. Le Ouicycle en est un exemple concret et inspirant.Retrouvez-nous sur toutes les plates-formes (Deezer, Apple Podcast, Spotify...), et si vous avez aimé abonnez-vous, likez, réagissez et parlez-en autour de vous. Un podcast écrit, réalisé et monté par Nathalie Bureau du Colombier. Voix générique Eddy Creuzet CreuzetVignette Thomas Billet.. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:10 - INFO D'ICI - L'invité de la rédaction - Les usagers du train attendent ça depuis six ans : la réouverture de la ligne Nancy-Lyon dimanche 15 décembre. C'est l'épilogue d'un long combat pour l'association Adurne. Olivier Jeannel, son vice-président, est l'invité de France Bleu Sud Lorraine ce vendredi.
durée : 00:03:34 - Le ras-le-bol des usagers des bus auxerrois
Faire en sorte que tous les usagers de la route soient en sécurité
Tous les matins à 6h40, l'actualité vue du point de vue des auditeurs de RMC. Chaque jour, une question différente.Témoignages, réactions et débats : RMC est LA radio de l'interactivté.
Découvrez l'incroyable parcours de Ramzi AMMAR, fondateur de la start-up nantaise Captain Blink !Ramzi nous dévoile les secrets de son succès et l'importance cruciale de se mettre à la place de l'usager pour comprendre ses besoins. Pour lui, la technologie n'est qu'un moyen de répondre à ces besoins, et il nous explique comment Captain Blink utilise la technologie embarquée pour révolutionner la mobilité douce.Plongez dans l'univers d'une start-up à impact, où chaque innovation est pensée pour améliorer la vie des usagers. Et ne manquez pas l'opportunité de soutenir leur campagne de crowdfunding, qui se termine le 14 novembre !LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/ramziammar/Site web : https://www.captainblink.com/Campagne de crowdfunding : https://fr.ulule.com/captain-blink/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:15 - Comme personne - Le gouvernement a annoncé une mission sur les violences routières mardi 22 octobre, une semaine après la mort de Paul, cycliste de 27 ans écrasé par un automobiliste en plein Paris. Thibault Quéré, porte-parole de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB), partage son âge et son combat. - invités : Thibault Quéré porte-parole de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB)
durée : 00:02:51 - Comme personne - Le gouvernement a annoncé une mission sur les violences routières mardi 22 octobre, une semaine après la mort de Paul, cycliste de 27 ans écrasé par un automobiliste en plein Paris. Thibault Quéré, porte-parole de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB), partage son âge et son combat. - invités : Thibault Quéré porte-parole de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB)
durée : 00:04:15 - Comme personne - Le gouvernement a annoncé une mission sur les violences routières mardi 22 octobre, une semaine après la mort de Paul, cycliste de 27 ans écrasé par un automobiliste en plein Paris. Thibault Quéré, porte-parole de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB), partage son âge et son combat. - invités : Thibault Quéré porte-parole de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB)
Paul, cycliste de 27 ans, a été tué par un automobiliste mardi dernier. Le conducteur a été mis en examen pour meurtre et incarcéré. Ce week-end de nombreux hommages ont été rendu partout en France. Le ministre des Transports a reçu les associations de cyclistes. Pour leur dire quoi ? Alexis Frémeaux, co-président de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB) est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 21 octobre 2024.
Paul, cycliste de 27 ans, a été tué par un automobiliste mardi dernier. Le conducteur a été mis en examen pour meurtre et incarcéré. Ce week-end de nombreux hommages ont été rendu partout en France. Le ministre des Transports a reçu les associations de cyclistes. Pour leur dire quoi ? Alexis Frémeaux, co-président de la Fédération des Usagers de la Bicyclette (FUB) est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 21 octobre 2024.
durée : 00:02:41 - Les maisons France Services de l'Huisne sarthoise à la rencontre des usagers
Pause Vélo - le podcast qui redonne envie de monter sur un vélo
Pause vélo est construit avec nos copains du magazine de la Fédération des Usagers de la Bicyclette le "Vélocité #171". On y parle féminisation du vélo, histoire des luttes, emploi lié au tourisme à vélo, masse critique et on retrouve bien sûr Mora'Frica. Bonne écoute ami cycliste du quotidien ! Lien : @fub @mora_frica @masse_critique_bordeaux
Au Japon, pour la première fois depuis 20 ans, de nouveaux billets de banque sont mis en circulation mercredi 3 juillet 2024. Dans une première mondiale, ils sont munis d'un hologramme en trois dimensions afin de prévenir la contrefaçon. Un événement accueilli par un tonnerre de protestations qui inquiète aussi bien les commerçants que les consommateurs en raison d'une particularité au pays du soleil levant. De notre correspondant à Tokyo,On dénombre plus de quatre millions de distributeurs automatiques au Japon, soit un pour 31 habitants, un record mondial. Le montant annuel de leurs ventes est faramineux : 41 milliards d'euros. Le problème est que, contrairement aux distributeurs de billets de banque, ces machines que l'on trouve à tous les coins de rue n'accepteront pas les nouvelles coupures mises en circulation. Pas dans un premier temps, en tout cas. Car il faut d'abord adapter leurs capteurs qui lisent et reconnaissent les billets. Mais les fabricants de distributeurs étant débordés, l'opération prendra des mois.À Tokyo, cela ne rassure pas les usagers qui vont devoir modifier leurs habitudes : « Dans les gares, pourra-t-on utiliser ces nouveaux billets pour acheter un ticket à un automate ou mettre ses bagages à la consigne ? Ce n'est pas garanti, semble-t-il », se demande cette femme qui utilise ce système. « À la laverie automatique ou dans les parkings par exemple, ce ne sera pas pratique si on ne peut payer qu'avec des pièces », s'inquiète une autre. Pour ce jeune homme habitué aux nouvelles technologies : « Ça ne me posera pas de problèmes, puisque je paie tout par carte ou avec mon smartphone, mais la plupart des gens continuent de régler en liquide. »Au Japon en effet, 60 % des achats sont réglés en espèces. Une conséquence du fait qu'un habitant sur trois est âgé de 65 ans ou plus. Or, bon nombre de seniors ne gèrent pas, techniquement, le paiement par smartphone : via un code QR ou des applications dédiées.La colère des commerçants Des centaines de milliers de petits commerçants nippons sont vent debout contre ces nouveaux billets. Les restaurateurs, par exemple. Car dans la plupart des tavernes ou des snacks, le client choisit et paie son repas au moyen d'un distributeur situé à l'entrée, qui affiche les menus servis. On appuie sur le bouton correspondant au repas désiré, on insère les billets et la machine délivre un ticket. Cela fait gagner un temps précieux au personnel en lui évitant de devoir manipuler de l'argent.Pourtant, la plupart de ces distributeurs de tickets n'accepteront pas les nouveaux billets. Ces deux restaurateurs ne décolèrent pas : « Mon distributeur va être adapté pour pouvoir accepter les nouveaux billets, mais ce ne sera pas fait avant la fin décembre, m'a dit le fabricant. Du coup, j'ai dû engager un intérimaire pendant six mois pour tenir la caisse. Parce que moi, je suis seul en cuisine, donc je n'ai vraiment pas le temps de m'occuper de ça. »« Sur le distributeur de tickets, j'ai apposé un avis prévenant les clients qu'il n'acceptait que les vieux billets. Ce n'est pas glorieux, mais je n'ai pas le choix : ma trésorerie ne me permet pas de faire adapter cette machine. » Modifier les capteurs d'un distributeur coûte cher : 600 000 yens, plus de 3 000 euros. Quant aux machines les plus anciennes, elles ne peuvent pas être reformatées. Elles devront donc être remplacées, ce qui représente un cout de 2 millions de yens (environ 11 000 euros).Pour les restaurateurs, c'est une perte sèche qu'ils ne peuvent assumer, déjà pris à la gorge par l'envolée des prix des produits alimentaires qu'ils utilisent.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, il revient sur les chiffres du baromètre de la Fondation VINCI Autoroutes, 88% des automobilistes déclarent redouter l'agressivité des autres usagers de la route... mais ils sont aussi 67% à insulter les autres conducteurs, 55% à klaxonner ceux qui les énervent et 18% à descendre de leur véhicule pour s'expliquer.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Une femme de 73 ans est morte d'un anévrisme dans les toilettes de l'urgence de l'hôpital de Joliette l'été dernier, après avoir attendu 17 heures sans jamais voir un médecin. Entrevue avec Pierre Blain, PDG des Usagers de la Santé du Québec.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pascale Déry n'est pas à la hauteur de son poste, selon Rémi Villemure | Doit-on abolir les pourboires? Débat entre Francis Gosselin et Jean-François Baril | La lutte attire de plus en plus de spectateurs | Le duo Mat and Mym sur leur expérience à Canada's got talent. Dans cet épisode intégral du 21 mars, en entrevue : Pierre Blain, PDG des Usagers de la Santé du Québec. Mathieu Cloutier et Myriam Lessard, du duo Mat and Mym qui participe actuellement à Canada's Got Talent. Une production QUB Mars 2024Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:23 - Grand angle - C'est le service que proposent deux médiathèques de la communauté d'agglomération Val Parisis quelques mois. Une première en France. Les abonnés peuvent venir y emprunter des livres ou travailler y compris le dimanche et tard le soir en l'absence des bibliothécaires.
Les difficultés d'accès à l'électricité sont un souci de longue date à Ndjamena. Beaucoup estiment que la situation ne cesse d'empirer, et craignent de passer des semaines difficiles, alors qu'on entre dans la période la plus chaude de l'année, et que la période du ramadan approche. De notre envoyé spécial à Ndjamena,L'air brassé par le ventilateur du petit salon de Khonon est un soulagement, alors que la température dépasse les 40°C dans le quartier Madagascar de Walia. Ce petit confort, ce professeur de karaté ne le doit qu'à lui-même. Il a longuement économisé pour une installation solaire.« C'est difficile d'avoir l'argent. Chez nous, ici, le travail, ce n'est pas facile d'en avoir. L'électricité chez nous, c'est déjà un luxe. Même si tu as l'électricité, ça veut dire qu'à la fin du mois par exemple, on te donne une facture ou tu n'arrives même pas à payer et tu n'as même pas le jus, encore. Donc le mieux c'est d'avoir des panneaux, tu es tranquille », explique Khonon.À écouter aussiÀ Ndjamena, les délestages d'électricité pourrissent le quotidien des habitantsPas de courant malgré les travauxAu milieu de la rue, des poteaux et des câbles électriques posés voici quatre mois par la Société nationale d'électricité. Les riverains ont cotisé pour l'installation, mais il n'y a toujours pas de courant, nous explique Jacques, le neveu de Khonon. Il habite juste en face.« Les câbles sont passés, mais jusque-là, la SNE n'est pas encore revenue pour pouvoir donner la connexion dans chaque concession. Nous nous sommes décarcassés pour avoir des dizaines de millions [de francs CFA], faire passer des dizaines de poteaux et nous sommes encore sans jus », constate Jacques.Étudiant, il a pu s'offrir un panneau avec ses petits boulots, mais pas encore la batterie qui lui permettra de travailler après le coucher du soleil.« [Pour] les études, il faut aussi faire des recherches à côté, il faut aussi rédiger des devoirs, il faut faire des traités, des exposés... Et l'électricité, c'est un luxe, comme on l'a dit. Ce n'est pas facile d'avoir l'électricité et même en journée. Même à l'université, il n'y a pas de l'électricité tous les jours, il faut amener 100 francs ou 200. Charger à la cabine, cela devient trop coûteux et trop pesant pour moi. Je me suis dit qu'il faut que j'économise petit à petit, on va tasser la ceinture, on va dormir aussi affamés pour ne serait-ce qu'avoir de l'électricité », indique l'étudiant.À écouter aussiTchad: les coupures d'électricité trop fréquentes exaspèrent la populationVers des améliorations les prochaines semaines ?Augmentation de la population et étalement urbain, générateurs trop peu nombreux, en panne ou en maintenance, mauvaise gestion et détournement de carburant… Les causes des délestage sont nombreuses. Les autorités promettent des solutions depuis des années.Ministre de l'Énergie depuis janvier, Louise Ndougonna Mbakasse Riradjim le reconnait, mais elle espère des améliorations dans les prochaines semaines. « Il y a deux grands projets, un à Gassi et un autre à Djermaya. Les deux doivent produire 62 mégawatts, le tiers du besoin en électricité de la ville de Ndjamena. En mars, ce n'est pas possible de les avoir, ça sera en avril en pleine canicule », déclare la ministre.Selon elle, plusieurs partenariats avec des entreprises privées sont en cours de finalisation pour produire de l'électricité supplémentaire, notamment via des champs solaires.
C dans l'air l'invité du 15 février avec Michel Quinort, vice-président de la Fédération nationale des associations d'usagers des transports (FNAUT) La CGT et Sud-Rail appellent à la grève le week-end du 17-18 février, au milieu des vacances scolaires de la zone C (Ile-de-France) et au début de celles de la zone A (Bordeaux, Lyon, Grenoble...), pour revendiquer des hausses de salaires et une meilleure prise en compte de leur fin de carrière. Si la direction a tenté d'empêcher le mouvement avec des concessions, les syndicats se disent prêts à "aller jusqu'au bout du conflit", "si la direction ne cède pas". En raison de cette grève des contrôleurs, seul un TGV sur deux circulera vendredi, samedi, selon la SNCF, qui compte donner la "priorité" aux trajets vers la montagne, et aux enfants. "Notre pays est régulièrement touché par des périodes de grève dans les transports publics. Ces grèves à répétition, pénalisent la vie économique et la vie quotidienne des Français", regrette le président du groupe centriste du Sénat Hervé Marseille qui vient de déposer une proposition de loi visant à "concilier la continuité du service public de transports avec l'exercice du droit de grève". Michel Quidort est le vice-président de la Fédération Nationale des Associations d'Usagers des Transports (FNAUT). Selon lui, même si "nous sommes attachés au droit de grève", "on ne peut pas faire n'importe quoi avec, et là, c'est vers quoi on s'achemine". Il reviendra sur les revendications de cette grève des contrôleurs de la SNCF et sur la proposition de loi déposée par le groupe centriste du Sénat pour éviter les mouvements sociaux dans les transports pendant les vacances scolaires.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la situation à la SNCF et de la grève des contrôleurs qui aura lieu ce week-end.
Si vous vous êtes toujours demandé comment fonctionnait vraiment la démocratie sanitaire, qui nous représentait vraiment en tant que patients, quel est le rôle des représentants des usagers et des associations de patient, alors cet épisode est fait pour vous ! Alexis Vervialle est conseiller santé au pôle playdoyer de France Assos Santé : il nous explique son rôle et ses convictions concernant l'engagement des usagers pour faire évoluer le système de santé. Pour en savoir plus sur nos formations : https://lowpital.care/formations/design-thinking-sante Pour lire le rapport ministériel sur la santé des jeunes : https://lowpital.care/mission-sante-jeunes Equipe du podcast Interview : Aude Nyadanu Musique : Aude Nyadanu & Pierre Roquin Montage : Charline Yao
C'est le retour des beaux jours, et avec eux, de la chaleur. Mais pour les femmes, difficile de se sentir bien en vêtements d'été dans les transports bondés des grandes villes. En 2016, la Fédération Nationale des Usagers et des Transports publics publiait une étude aux résultats effrayants : 87% des femmes ont déjà fait l'expérience de harcèlement sexiste dans les transports en commun. Ajoutons à cela le fait que, selon un sondage OpinionWay pour 20 Minutes réalisé en 2020, 83% des femmes ont déjà subi des remarques ou sifflement sur leur tenue vestimentaire. Depuis quand ce terme existe-t-il ? Est-ce que c'est une technique qui fonctionne ? Que faire pour combattre le harcèlement sexiste dans les transports ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Maële Diallo. À écouter aussi : A quoi sert le mot de passe “Angela”, qui protège les femmes ? Qu'est-ce que le furtivage, cette pratique reconnue comme une agression sexuelle ? Comment combattre les micro-agressions ? Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:04:17 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Ce qui contribue au climat de défiance envers les institutions aux Antilles... Ce rapport pointe des défaillances dans le fonctionnement des services publics depuis plusieurs décennies.
durée : 00:04:16 - Chroniques littorales de José-Manuel Lamarque - par : Jose Manuel Lamarque - Une grève commencée le 18 décembre 2022 et aujourd'hui les négociations entre direction et syndicats sont au point mort et ce malgré l'appel des élus à renouer le dialogue...
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la grève qui engendre des problèmes de transports.
Chaque jour, Europe 1 se penche sur une idée ou un problème dans votre quotidien. Face à la multiplication des travaux sur le réseau de transport, la dégradation du service et la hausse des tarifs, des usagers ont décidé de se réunir pour crier leur exaspération. Tous pointent du doigt des conditions de voyages inconfortables.
Chaque jour, les invités des GG se divisent en deux équipes pour débattre sur un sujet d'actualité en présentant leur plaidoyer. Avec : Barbara Lefebvre, enseignante en reconversion. Jean-Baptiste Djebarri, ex-ministre des Transports. Et Bruno Poncet, cheminot. Dans les Grandes Gueules, les esprits s'ouvrent et les points de vue s'élargissent. 3h de talk, de débats de fond engagés où la liberté d'expression est reine et où l'on en ressort grandi ! Cette année, une nouvelle séquence viendra mettre les auditeurs au cœur de cette émission puisque ce sont eux qui choisiront le débat du jour ! Et pour cette 18ème saison, Alain Marschall et Olivier Truchot, accompagnés des GG issues de la société civile feront la part belle à l'information et au divertissement. En simultané sur RMC Story.
La régie des transports parisiens n'échappe pas à l'inflation et à la pénurie de main-d'œuvre qui touchent l'ensemble du pays. Pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et ses invités font le point sur la délicate augmentation du Pass navigo francilien alors que nouveau directeur de la RATP et ex-Premier ministre, Jean Castex, entre en fonction.Vous souhaitez prendre la parole et nous aider à poursuivre le développement de nos podcasts et plus largement des services « Les Echos » ? Nous vous invitons à rejoindre notre panel de lecteurs pour partager très prochainement votre opinion sur nos podcasts en suivant ce lien.La Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en décembre 2022. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Isabelle Ficek (journaliste au service Politique des « Echos ») et Enrique Moreira (journaliste au service Entreprises des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : NICOLAS MESSYASZ/SIPA. Sons : RATP Group, TF1, RTL, Serge Gainsbourg « Le poinçonneur des Lilas » (1959). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.