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L'attaque au couteau à Southport a lieu le 29 juillet 2024 dans la ville de Southport, au Royaume-Uni. Ayant pour cible une école de danse et de yoga qui organisait une activité sur le thème de Taylor Swift, cette attaque fait 3 morts et 10 blessés. Le tueur, Axel Rudakubana, âgé de 17 ans, est arrêté sur les lieux. Il n'avait pas de motivation politique, religieuse, idéologique ou raciale. L'évènement suscite une forte émotion dans le pays et déclenche d'importantes manifestations qui dégénèrent en violentes émeutes impliquant des mouvances d'extrême droite.Lundi 29 juillet 2024. Le soleil illumine la ville balnéaire de Southport, sur la côte Ouest de l'Angleterre. En cette matinée de vacances d'été, le centre-ville grouille de touristes et de locaux qui s'apprêtent à prendre leur pause déjeuner aux terrasses des restaurants ou sur les pelouses verdoyantes du parc Victoria. A environ un kilomètre de là, dans le quartier de Meols Cop, la journée suit également son cours. Dans cette petite banlieue ouvrière, les maisons en briques rouges se mêlent aux petits commerces. Une vie de quartier tranquille, il fait bon vivre et tout le monde se connaît.
Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:05:43 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le pays est toujours en train de gérer les conséquences de l'après-Brexit et le gouvernement tente de relancer la croissance. Et sur le bureau du Premier ministre travailliste les gros dossiers s'accumulent.
L’Union des villes et communes de Wallonie (UVCW) appellent les communes à taxer à nouveau les antennes télécoms. Elle dénonce un accord opaque et déséquilibré signé en 2024 avec les opérateurs. La scale-up namuroise Sunrise lève 25 millions d'euros pour déployer son dispositif innovant contre l’apnée du sommeil. Le tour de table servira à soutenir la croissance aux États-Unis, en Grande-Bretagne et en France, ces trois marchés les plus prometteurs. Des tests rapides et réalisables chez soi pour détecter des maladies sexuellement transmissibles (MST). C'est la révolution technologique développée par la biotech Rapidemic, qui vient de recevoir le soutien de la fondation Gates. > Tracker #97 Mounir Laggoune | Celui qui a gagné 10 ans de salaire en un jour avec la bourse Présentation: Ondine Werres Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:19:16 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Tribune de Paris : "L'Angleterre et la Fédération européenne". Dans cette émission de 1948 il était question des réserves, des oppositions, du refus qui émanaient de la Grande-Bretagne concernant une "fédération européenne". Un débat avec William Pickles, Claude Bourdet et Jean-Maurice Martin. - réalisation : Virginie Mourthé
Relations amoureuses et secrets d'État n'ont jamais fait bon ménage, particulièrement en période de guerre froide. L'affaire John Profumo ne désigne pas seulement un scandale politique ayant nourri les tabloïds dans les années 60. Elle est également liée au monde de l'espionnage et aurait pu coûter très cher aux autorités britanniques.
Les œuvres d'art sont de véritables pièces maitresses de la diplomatie. Cette fois, c'est à destination de la Grande-Bretagne que s'adresse le geste de la France, comme un gage donné de rapprochement entre Paris et Londres après le Brexit. La tapisserie de Bayeux, monument historique classé par l'UNESCO, une œuvre millénaire sera prêtée au British Museum en 2026. Côté français, on s'interroge sur son état de conservation qui semble ne pas lui permettre un tel voyage. Didier Rykner, historien de l'art, fondateur et rédacteur de la rédaction de la Tribune de l'Art, et Axel Haddad, directeur général de la société de transport Grospiron, étaient les invités de Nathalie Amar. ► Chronique Saison 1, Épisode 1 Jessica Taieb nous fait découvrir la série sénégalaise «Marie et Momo». C'est l'une des nouveautés les plus attendues de la rentrée et c'est signé Marodi TV. ► Reportage Lisa Giroldini est allée voir «Portrait de Rita» au théâtre, un seul en scène dont elle nous donne les coulisses. ► Playlist du jour - The Rolling Stones - Gimme Shelter - Queen Rima - Bad Man.
Les œuvres d'art sont de véritables pièces maitresses de la diplomatie. Cette fois, c'est à destination de la Grande-Bretagne que s'adresse le geste de la France, comme un gage donné de rapprochement entre Paris et Londres après le Brexit. La tapisserie de Bayeux, monument historique classé par l'UNESCO, une œuvre millénaire sera prêtée au British Museum en 2026. Côté français, on s'interroge sur son état de conservation qui semble ne pas lui permettre un tel voyage. Didier Rykner, historien de l'art, fondateur et rédacteur de la rédaction de la Tribune de l'Art, et Axel Haddad, directeur général de la société de transport Grospiron, étaient les invités de Nathalie Amar. ► Chronique Saison 1, Épisode 1 Jessica Taieb nous fait découvrir la série sénégalaise «Marie et Momo». C'est l'une des nouveautés les plus attendues de la rentrée et c'est signé Marodi TV. ► Reportage Lisa Giroldini est allée voir «Portrait de Rita» au théâtre, un seul en scène dont elle nous donne les coulisses. ► Playlist du jour - The Rolling Stones - Gimme Shelter - Queen Rima - Bad Man.
« Gaza, l'effroyable offensive » : c'est le titre de l'éditorial de La Croix à Paris. « À l'approche de l'anniversaire de l'attaque terroriste du 7-Octobre, jour le plus meurtrier pour le peuple juif depuis la Seconde Guerre mondiale, le pouvoir israélien a provoqué une spirale infernale, dénonce le quotidien catholique, visant les terroristes du Hamas, mais acceptant de frapper de plein fouet une population sacrifiée. » « Nétanyahou vers sa guerre totale », renchérit Libération en première page. « En annonçant hier mardi une énième "phase décisive" de sa guerre à Gaza, Benyamin Netanyahu a précipité son pays un peu plus loin dans un isolement total du monde civilisé. (…) Bombardant le Qatar puis le Yémen, menaçant presque ouvertement l'Égypte, rompant avec tous ses alliés, Netanyahu s'acharne sur Gaza que personne, dans le monde arabe ou à la Maison-Blanche, ne semble vouloir sauver. (…) lundi, le Premier ministre israélien avait appelé ses concitoyens à faire de l'État une "super Sparte" pour tenir bon face aux pressions internationales qui montent de toute part. » Sparte, référence à cette cité guerrière de l'Antiquité grecque qui vivait en quasi-autarcie. Vers un « État paria » ? Le problème, c'est que les israéliens sont plutôt sceptiques, relève le Guardian à Londres : « l'avenir que Benyamin Netanyahu a tracé pour Israël, celui d'une société plus militarisée, d'une autarcie partielle – ou d'un pays économiquement autosuffisant – avec des options commerciales limitées et s'appuyant de plus en plus sur la production locale, cet avenir a suscité une réaction négative parmi les Israéliens, de plus en plus inquiets à l'idée de le suivre sur la voie d'un État paria. » « Netanyahu entraîne Israël dans l'abîme », fulmine Haaretz à Tel Aviv. « Derrière ce discours sur Sparte se cache une exigence simple : permettre à Netanyahu de gouverner seul et sans entraves, au nom de la guerre éternelle. (…) Israël ne survivra pas s'il instaure une économie autarcique. L'économie israélienne est une économie d'exportation, et elle s'effondrera si le monde se retourne contre nous », prévient encore Haaretz qui conclut ainsi : « ce discours sur Sparte était celui d'un homme hanté et vaincu. La campagne de destruction (à Gaza) doit être stoppée au plus vite, et le peuple (israélien) doit avoir son mot à dire : il faut des élections générales anticipées. » Le feu vert implicite de Trump Si le Premier ministre israélien, imperturbable, trace son sillon, c'est qu'il sait qu'il a l'aval implicite de Donald Trump. C'est ce que constate le New York Times : « la position de laisser-faire de Trump donne carte blanche à Netanyahu pour l'escalade à Gaza. Alors qu'Israël a entamé une offensive majeure à Gaza, le président Trump n'a ni appelé à la retenue ni approuvé cette action, que le dirigeant israélien a interprétée comme un feu vert implicite pour procéder. » Mais, relève encore le New York Times, « la position pour le moins laxiste de Donald Trump envers Israël pourrait bientôt être mise à l'épreuve. L'Assemblée générale des Nations Unies tient sa réunion annuelle la semaine prochaine à New York, et plusieurs alliés proches des États-Unis – dont la France, l'Australie, le Canada et la Grande-Bretagne – affirment qu'ils reconnaîtront un État palestinien. » Pressions internationales accrues Qui plus est, mardi 16 septembre, une commission d'enquête indépendante nommée par les Nations unies a accusé pour la première fois Israël de génocide à Gaza. C'est une pression supplémentaire, relève El Pais à Madrid. El Pais qui constate « qu'un consensus international se développe pour punir l'État d'Israël. (…) Ensemble, arrêtons les massacres », s'exclame le quotidien espagnol. « Netanyahu se prépare à occuper militairement un territoire qui n'est, pour ainsi dire, qu'une plage sur laquelle un million de personnes sont entassées dans des conditions misérables. Il le fait, de plus, avec le soutien implicite des États-Unis, désormais dépourvus de toute autorité morale. Dans ce contexte, poursuit El Pais, toute action pacifique et légale visant à empêcher Netanyahu de mener ses actions exterminatrices est absolument nécessaire. Nul ne doit confondre la reconnaissance de la Palestine, les dénonciations internationales, les rapports de l'ONU, la suspension de tous les approvisionnements en armes et en munitions, ou les sanctions commerciales et sportives contre Israël, avec le soutien au terrorisme du Hamas. »
La série britannique Adolescence a raflé 8 récompenses aux Emmy Awards. Une surprise pour cette production télévisée sur un collégien accusé du meurtre d'une camarade, qui a provoqué de nombreux débats en Grande-Bretagne et au-delà. Marc Bourreau revient justement sur ces œuvres qui bousculent la sociétéMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Jusqu'où l'AfD ira-t-elle en Allemagne de l'Ouest ? », s'interroge Die Welt à Berlin. En effet, le parti d'extrême droite a réalisé une percée hier lors du premier tour des municipales en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, le Land le plus peuplé d'Allemagne (22 % de la population du pays). L'AfD a triplé son score par rapport aux élections municipales de 2020, passant de 5 % à environ 15 % des voix. « Un énorme succès », s'est immédiatement félicitée la coprésidente de l'AfD, Alice Weidel. « De fait, constate Die Welt, la progression de l'AfD est spectaculaire, même si la CDU, l'Union chrétienne-démocrate, demeure le premier parti du Land, où elle s'est tenue en tête avec environ 34 % des voix, un résultat très proche de celui de 2020.(…) Avec environ 15 % donc, l'AfD est désormais le troisième parti, derrière le SPD avec 22 % (en baisse de 2,2 points), mais devant les Verts pour la première fois, qui n'ont obtenu que 13 % (en baisse de 6 points et demi) ». Alors, « pour éviter que l'AfD n'amplifie sa percée lors du second tour des élections dans deux semaines, la CDU et le SPD ont décidé de s'allier, pointe encore le quotidien allemand : lorsque l'un de leurs candidats se présentera contre un candidat de l'AfD, ils uniront leurs voix ». Objectif : gouverner… Cette progression de l'AfD est scrutée à la loupe dans la presse européenne… « L'extrême droite confirme son enracinement à l'ouest de l'Allemagne », constate Le Soir à Bruxelles. « Les élections communales de Rhénanie-du-Nord-Westphalie étaient le premier grand test électoral pour le nouveau chancelier, Friedrich Merz, depuis son élection en mai. Tandis que l'AfD triple son score par rapport à 2020, la CDU ne progresse pas, malgré le durcissement de sa politique migratoire. (…) L'AfD démontre que sa politique de dédiabolisation, façon RN français, fonctionne. Les dirigeants du parti visent une participation au prochain gouvernement fédéral en 2029, voire à la chancellerie ». En effet, renchérit le Guardian à Londres, « ce vote indique que l'AfD est en bonne voie pour réitérer les gains importants réalisés dans les Länder de l'Est, anciennement communistes, où elle a le mieux su exploiter le mécontentement des électeurs. Son objectif est d'entrer au gouvernement fédéral dans les prochaines années. Elle est actuellement le principal parti d'opposition au Parlement ». Manif nationaliste à Londres : coup de semonce pour les partis traditionnels… Le Guardian qui commente également la grande manifestation nationaliste qui a eu lieu samedi à Londres… Plus de 110 000 personnes qui ont manifesté contre l'immigration, à l'appel de Tommy Robinson, figure de l'extrême droite. « La leçon est claire, affirme le Guardian : les mouvements populistes réussissent non seulement grâce à ce qu'ils offrent, mais aussi grâce à ce que leurs adversaires ne parviennent pas à leur offrir. Les États-Unis semblent désormais prisonniers d'un écosystème médiatique et politique qui profite de la division et de la haine. Rien de bon n'attend la Grande-Bretagne qui s'engage sur cette voie de la colère et du désespoir – un terrain fertile pour l'exploitation politique par des politiciens sans scrupules. Les élus doivent combler les divisions, et non les élargir ». Pour le Times, « l'écrasante majorité de la foule agitant drapeaux et croix n'étaient pas là, samedi, pour en découdre. Mais pour défendre une cause : stopper l'immigration, défendre la liberté d'expression, raviver le christianisme. C'est une trinité convaincante pour un pays en colère et désemparé ». Et attention, prévient le quotidien conservateur britannique : « ce qui a rassemblé les manifestants, c'est leur aversion pour les politiciens qui font des promesses qu'ils ne respectent jamais et qui réclament ensuite plus d'impôts pour compenser leurs échecs. Pourtant, rien n'indique que les dirigeants du Parti travailliste ou du Parti conservateur, dont les sondages totalisent désormais moins de 40 % des intentions de vote, soient conscients du danger qu'ils courent ». Objectif du RN en France : Matignon puis l'Élysée… Enfin, en France, militants et dirigeants du Rassemblement national étaient réunis à Bordeaux ce week-end. « Au RN, les regards rivés vers des élections législatives anticipées », constate La Croix à Paris. La Croix qui relève que les deux dirigeants du parti d'extrême droite « Marine Le Pen et Jordan Bardella n'ont eu de cesser de réclamer une dissolution assortie de législatives anticipées, convaincus que Matignon est à leur portée ». « Marine Le Pen n'a voulu laisser aucun doute sur ses intentions, ni ses ambitions, relève pour sa part Le Figaro, malgré son procès en appel qui doit commencer le 13 janvier prochain : « ce que nous commençons dès demain à Matignon, a-t-elle dit, nous l'amplifierons après-demain à l'Élysée ».
Invités : - Michel Aubouin, ancien préfet et inspecteur général de l'administration, ancien directeur du ministère de l'Intérieur en charge de l'intégration des étrangers et des naturalisations, auteur de Le Défi d'être français (Presses de la cité, 2023) - Jean-Pierre Jouyet, ancien secrétaire général de l'Elysée, ancien ambassadeur de France en Grande-Bretagne, auteur de L'ombre du général (Albin Michel, paru le 10 septembre dernier) Chroniqueurs : - Joseph Macé-Scarron, essayiste et écrivain - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles - Vincent Roy, écrivain et journaliste - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Michel Aubouin, ancien préfet et inspecteur général de l'administration, ancien directeur du ministère de l'Intérieur en charge de l'intégration des étrangers et des naturalisations, auteur de Le Défi d'être français (Presses de la cité, 2023) - Jean-Pierre Jouyet, ancien secrétaire général de l'Elysée, ancien ambassadeur de France en Grande-Bretagne, auteur de L'ombre du général (Albin Michel, paru le 10 septembre dernier) Chroniqueurs : - Joseph Macé-Scarron, essayiste et écrivain - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles - Vincent Roy, écrivain et journaliste - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Michel Aubouin, ancien préfet et inspecteur général de l'administration, ancien directeur du ministère de l'Intérieur en charge de l'intégration des étrangers et des naturalisations, auteur de Le Défi d'être français (Presses de la cité, 2023) - Jean-Pierre Jouyet, ancien secrétaire général de l'Elysée, ancien ambassadeur de France en Grande-Bretagne, auteur de L'ombre du général (Albin Michel, paru le 10 septembre dernier) Chroniqueurs : - Joseph Macé-Scarron, essayiste et écrivain - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles - Vincent Roy, écrivain et journaliste - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La chute de Louisbourg a été un tournant de la guerre de la Conquête. La forteresse qui assurait la sécurité à l'entrée du fleuve Saint-Laurent est tombée à deux reprises aux mains de la Grande-Bretagne. L'historien Maurice Basque raconte comment les troupes britanniques ont fait sauter le dernier verrou français de l'Atlantique.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.
Cette semaine dans Crimes · Histoires Vraies, vous avez découvert l'affaire de l'assassinat de la députée britannique Jo Cox. Une politicienne du parti travailliste, de centre gauche, fervente opposante au Brexit. Elle est assassinée à 41 ans par un militant d'extrême droite, quelques mois avant le référendum qui scella la sortie du Royaume-Uni de l'UE. C'est ce qu'on appelle un féminicide politique. Mais quelle différence entre un féminicide, un assassinat politique et un féminicide politique ? Chaque semaine, pour compléter votre histoire inédite, Crimes · Le focus analyse en cinq minutes un élément clé de l'affaire. Procédure juridique complexe, interrogatoire décisif, phénomène de société... Allons plus loin pour rendre ces récits encore plus passionnants !
Ce n'est le cas qu'en France et en Belgique. Aux Etats-Unis, les sorties des films se font le vendredi, comme en Grande-Bretagne. Et en Allemagne et en Italie c'est le jeudi ...En France aussi c'était le jeudi, jusqu'en 1972 ...
On pourrait penser qu'avec les moyens colossaux du IIIᵉ Reich et l'avance initiale de la science allemande, Hitler aurait pu mettre la main sur l'arme nucléaire. Pourtant, le projet n'a jamais abouti. Plusieurs raisons l'expliquent :1. Une science allemande affaiblie par le nazismeAvant 1933, l'Allemagne était une puissance scientifique majeure, avec des physiciens comme Einstein, Born ou Hahn. Mais l'arrivée au pouvoir des nazis bouleverse tout : les chercheurs juifs ou opposants fuient le pays. Résultat : une fuite des cerveaux vers les États-Unis et la Grande-Bretagne, qui vont nourrir plus tard le projet Manhattan.2. Une mauvaise orientation des recherchesLe régime nazi lance bien un programme nucléaire dès 1939, confié à Werner Heisenberg, grand physicien théorique. Mais l'équipe se disperse, les crédits sont insuffisants, et l'armée privilégie d'autres armes considérées comme plus efficaces à court terme (V2, chars, avions à réaction). Le nucléaire semble trop complexe, trop long à développer.3. Le problème de l'uranium et du plutoniumPour fabriquer une bombe, il faut soit de l'uranium 235 enrichi, soit du plutonium. L'Allemagne disposait de gisements d'uranium, notamment en Tchécoslovaquie, mais elle n'avait pas les capacités industrielles pour enrichir le minerai à grande échelle. Quant aux réacteurs expérimentaux, ils n'ont jamais atteint la masse critique nécessaire.4. Des erreurs stratégiques et théoriquesCertains historiens estiment qu'Heisenberg lui-même n'avait pas compris toutes les conditions nécessaires à la réaction en chaîne. Il pensait qu'il faudrait plusieurs tonnes d'uranium enrichi pour déclencher l'explosion, alors que quelques kilos suffisent. Cette erreur de calcul a contribué à faire croire que la bombe était hors de portée.5. Le poids du tempsEnfin, la guerre allait trop vite. Entre 1942 et 1944, l'Allemagne se bat sur plusieurs fronts et doit consacrer ses ressources à l'urgence militaire. Le projet nucléaire, très coûteux et incertain, passe au second plan. Pendant ce temps, les États-Unis, protégés par leur distance géographique et dotés de moyens financiers et industriels gigantesques, avancent à marche forcée vers Hiroshima et Nagasaki.ConclusionHitler n'a jamais eu la bombe atomique parce que son régime a affaibli la science allemande, négligé l'investissement massif nécessaire, commis des erreurs techniques… et surtout manqué de temps. L'Allemagne a préféré miser sur des armes “miracles” plus rapides à produire, comme les V2, mais sans comprendre que la véritable révolution militaire de la Seconde Guerre mondiale se jouait ailleurs : dans les laboratoires de Los Alamos. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.Dans son quartier de Fieldhead, à Birstall, Thomas Mair est très apprécié pour ses services rendus aux plus vulnérables. Une réputation à des années lumières du crime qu'il a commis.Depuis plusieurs années, il travaille comme jardinier bénévole pour des personnes âgées, notamment pour un voisin handicapé à qui il vient en aide plusieurs après-midis par semaine. Il entretient gratuitement les pelouses, taille les haies, répare des clôtures. Il le dit lui-même, le jardinage, c'est toute sa vie. Ses voisins le décrivent comme poli, réservé. On lui reconnaît parfois une certaine excentricité, mais il ne s'est jamais montré menaçant envers qui que ce soit.
« Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente », chantait Georges Brassens. Mais pour la députée britannique Jo Cox, la sentence fut brutale. Trois coups de feu suffirent à éteindre ses convictions. Le 16 juin 2016, elle est sauvagement assassinée en pleine rue devant plusieurs témoins. Un crime survenu à seulement quelques jours du référendum sur le Brexit, et presque allégorie de la cristallisation politique du pays que ces débats entraînent. Jo Cox, la travailliste engagée pour le maintien du Royaume-Uni dans l'Union Européenne et l'ouverture du pays à l'immigration, tuée par Thomas Mair, adepte de théories suprémacistes blanches et ultra-nationalistes.En juin 2016, Helen Joanne Cox dite Jo, est députée travailliste depuis un peu plus d'un an, élue dans la circonscription de Batley and Spen, dans le West Yorkshire, sa région natale. Elle a 41 ans et un parcours impressionnant. Née au sein d'une famille modeste, elle se hisse jusqu'aux bancs de la prestigieuse Université de Cambridge et raconte ses difficultés à s'intégrer auprès de camarades issus de classes sociales supérieures. Pas à pas, elle solidifie son engagement politique, jusqu'à son arrivée à la Chambre des Communes en 2015. Très vite, son quotidien vogue au rythme des débats sur le Brexit.
Dans Grand Plateau, Romaine Grégoire raconte sa victoire sur le Tour de Grande-Bretagne, où il a devancé Remco Evenepoel et Julian Alaphilippe ! Il se confie sur sa semaine, comment il l'a vécue, ainsi que son programme pour la suite : championnats d'Europe, Tour du Luxembourg... Avec Georges Quirino, Pierre-Yves Leroux, Jérôme Pineau et Maria Azé Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Benjamin Guilmin
Vincent Hervouët analyse la situation politique tendue au Royaume-Uni. Alors que le gouvernement travailliste mené par Keir Starmer n'a pas encore fêté son premier anniversaire, il fait déjà face à de nombreuses difficultés. La démission fracassante de la vice-première ministre Angela Rayner, accusée de malversations fiscales, a déstabilisé l'exécutif. Avec des défis économiques majeurs à relever et une montée du populisme incarnée par Nigel Farage, le pays semble revenir à des heures sombres. Vincent Hervouët décrypte les enjeux de cette crise politique qui secoue la Grande-Bretagne.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La lecture des biographies de Supertramp sur internet nous inspire une réflexion immédiate : et ben ils en ont mis du temps à avoir du succès. Et c'est vrai : six années entre la formation du groupe et le premier tube cela doit paraître bien long.Et pourtant, ce n'est pas parce que la case tube est vide que les musiciens sont restés les bras croisés. Ils ont pendant ce temps composé un tas de chansons, publié quatre albums et donné un tas de concerts. Et surtout commencé à gagner leur vie correctement : un toit et de la nourriture, une maison de disques et des tournées, quand on fait de la musique rock dans les années septante c'est déjà pas si mal. C'est même très bien.Oui, leur premier album a été enregistré entre minuit et six heures du matin avec un ingénieur du son qui piquait du nez vers trois heures, raide épuisé mais ils l'ont fait ce disque … qui ne s'est pas vendu. Et comme tout était payé par un mécène hollandais, Supertramp a pu en enregistrer un second album sans se faire virer. Bon, mauvaise idée cette femme tatouée torse nu, même si le torse était plutôt pas mal, sur la pochette de leur second 33 tours qui ne s'est pas vendu non plus.Là le mécène, il jette l'éponge. Nous sommes en 1972, quelques membres du groupe ont quitté le navire et ont été remplacés. Supertamp met deux ans avant de sortir le disque de la dernière chance et … bingo. C'est le hit en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis où les musiciens ont fini par conquérir un public qui leur permet de gagner leur vie en jouant pas mal. Il n'en faut pas plus pour que plusieurs d'entre eux élisent domicile en Californie, aux Etats-Unis, où ils enregistrent leur nouvel album en 1976. Là, vous vous attendez à ce que je vous raconte un studio à Los Angeles, sous le soleil, pas loin de la plage dorée, le ciel bleu intense limite mauve et les bars en paillote … et bien non, la bande se retrouve dans les montagnes, au Caribou Ranch Studio, à Nederland, dans le Colorado. Quand on sait que leur ancien mécène était Hollandais, c'est un signe.Pas étonnant donc que l'album qui en sort se nomme Even in the quietest moments, même dans les moments les plus calmes. Hé, vous avez vu la vue ? Les montagnes enneigées derrière le piano ? C'est beau, hein ? Ben, allez voir sur Google Images. Et pas de trucage à l'époque, une équipe a dû monter le piano jusqu'au sommet de la montagne pour réaliser la photo de couverture du 33 tours. La partition sur le piano à queue est intitulée Fool's ouverture, un long titre de près de 11 minutes qui encore aujourd'hui est dans toutes les oreilles. Pour les fans, pas de doute, c'est le meilleur de leur carrière. C'est d'ailleurs celui qu'on fait écouter aux copains sur disque ou sur cassette, il n'y a ni Facebook, ni Youtube à l'époque : comment tu ne connais pas ? C'est super, il a plein de bruitages et quand le morceau démarre enfin, tu décolles avec lui. La tournée qui passe par chez nous se déroule sur 130 concerts, un vrai triomphe pour Supertramp longtemps espéré par ses membres. Ca y est, se disent-ils : on est au sommet, on n'ira pas plus haut.Et pourtant …
Toutes les deux semaines, Grand Plateau vous fait découvrir ou redécouvrir un coureur cycliste qui a fait parler de lui lors de la saison 2024.Après Jarno Widar et Léo Bisiaux, on s'intéresse aujourd'hui à un nouveau coureur, un autre grand talent, qui n'a que 20 ans. Le Britannique Matthew Brennan, coureur pour la Visma Lease a Bike, qui vient de remporter une étape sur le Tour de Grande Bretagne. Focus sur celui que l'on peut considérer comme le meilleur jeune, LE rookie de l'année ! Avec Yohan Bredow et Roxanne Lacuska Réalisation : Killian Verove
Vous pouvez joindre Joueurs info service au 09 74 75 13 13, de 8h à 2h, 7 jours sur 7. Votre appel est anonyme et non surtaxé (coût d'une communication locale depuis un poste fixe ou inclus dans les forfaits des box et des mobiles).Que vous soyez concerné directement ou indirectement par un problème de jeu excessif, n'hésitez pas à appeler Joueurs info service, vous y trouverez :Des professionnels formés aux difficultés rencontrées avec la pratique de jeu excessifUne écoute sans jugement et confidentielleDes informations précises, une aide personnaliséeDes orientations adaptées à votre situationHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:58:37 - Sir Thomas Beecham l'excentrique - par : Christian Merlin - La vie musicale britannique n'aurait pas été la même sans lui. Chef d'orchestre, mécène et producteur, il créa la saison lyrique de Covent Garden, fonda le London Philharmonic et le Royal Philharmonic et fit connaître Strauss et Sibelius en Grande-Bretagne, avec une excentricité très anglaise. - réalisé par : Marie Grout Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:28:08 - Sir Thomas Beecham l'excentrique (4/4) : Sir Thomas n'en fait qu'à sa tête - par : Christian Merlin - La vie musicale britannique n'aurait pas été la même sans lui. Chef d'orchestre, mécène et producteur, il créa la saison lyrique de Covent Garden, fonda le London Philharmonic et le Royal Philharmonic et fit connaître Strauss et Sibelius en Grande-Bretagne, avec une excentricité très anglaise. - réalisé par : Marie Grout Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:16:02 - Disques de légende du jeudi 28 août 2025 - Grande figure du piano en Grande-Bretagne, Myra Hess fut l'âme musicale de Londres pendant la seconde guerre mondiale avec ses concerts à la National Gallery. Ses Bach enregistrés, portés par un toucher d'une délicatesse miraculeuse, gardent une intensité intemporelle. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:28:37 - Sir Thomas Beecham l'excentrique (3/4) : Le Royal Philharmonic Orchestra - par : Christian Merlin - La vie musicale britannique n'aurait pas été la même sans lui. Chef d'orchestre, mécène et producteur, il créa la saison lyrique de Covent Garden, fonda le London Philharmonic et le Royal Philharmonic et fit connaître Strauss et Sibelius en Grande-Bretagne, avec une excentricité très anglaise. - réalisé par : Marie Grout Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:28:06 - Sir Thomas Beecham l'excentrique (2/4) : Le London Philharmonic Orchestra - par : Christian Merlin - La vie musicale britannique n'aurait pas été la même sans lui. Chef d'orchestre, mécène et producteur, il créa la saison lyrique de Covent Garden, fonda le London Philharmonic et le Royal Philharmonic et fit connaître Strauss et Sibelius en Grande-Bretagne, avec une excentricité très anglaise. - réalisé par : Marie Grout Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:28:05 - Sir Thomas Beecham l'excentrique 1/4 Mécène et chef d'orchestre - La vie musicale britannique n'aurait pas été la même sans lui. Chef d'orchestre, mécène et producteur, il créa la saison lyrique de Covent Garden, fonda le London Philharmonic et le Royal Philharmonic et fit connaître Strauss et Sibelius en Grande-Bretagne, avec une excentricité très anglaise. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Violences devant un hôtel de migrants, un ministre britannique qui parle « d'invasion », des slogans haineux dans la rue... Il y a quelques jours encore, à Epping, près de Londres, des manifestants d'extrême droite affrontaient la police devant un centre hébergeant des demandeurs d'asile. Scène quasi inimaginable il y a 10 ans en Grande-Bretagne. Le pays de la devise « Keep Calm and Carry On » semblerait avoir perdu son flegme légendaire dès qu'il est question d'immigration. Depuis le Brexit en 2016, le débat s'est enflammé. Des figures comme Nigel Farage alimentent l'idée d'une invasion migratoire. Le gouvernement lui-même, qu'il soit conservateur hier ou travailliste aujourd'hui, durcit les lois pour tenter de « reprendre le contrôle » des frontières, au point de flirter avec les limites du droit international. Résultat : les traversées clandestines de la Manche continuent et la tension monte entre communautés. Alors, que se passe-t-il vraiment au Royaume-Uni ? Quelle part revient aux réseaux sociaux dans ce climat ? Comment l'histoire du Brexit a-t-elle radicalisé le discours public ? Et surtout, comment la société britannique réagit-elle : assiste-t-on à une libération de la parole raciste ? Ou bien le pays reste-t-il majoritairement attaché à sa tradition multiculturelle ? Avec nos invités : Aurélien Antoine, professeur à l'Université Jean-Monnet de Saint-Étienne, directeur de l'Observatoire du Brexit Amélie Cracco, docteure en droit, autrice de la thèse « Les conséquences du Brexit sur la liberté de circulation des personnes »
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bulletin d´informations. Cet été, la politique ne prend pas de repos. E effet, les soupcons d´ingérence de la part de la Grande-Bretagne dans les élections législatives slovaques de 2023 secouent la sphere politique et diplomatique. Explications dans cette émission.
Rencontre avec un anthropologue de l'invisible : Gregory Delaplace qui enquête sur les différentes façons dont les morts se manifestent aux vivants. Notre humanité serait-elle hantée ? Depuis quand et pourquoi ? Qu'est-ce que nos fantômes disent de nous ? (Rediffusion du 29/10/24). Portons un autre regard sur les fantômes, non pas en nous demandant s'ils existent mais plutôt pourquoi et comment les morts se manifestent aux vivants de tant de manières différentes ? Qu'est-ce que cela dit de nous et de nos humanités ? Pourquoi faire l'anthropologie des fantômes ? Avec Grégory Delaplace qui vient de publier La voix des fantômes, enquête de terrain renversante qui nous entraîne de la Mongolie à Madagascar en passant par le Cameroun, le Vietnam et la Grande-Bretagne pour tenter de comprendre pourquoi les morts se rebiffent ? Pourquoi ne restent-ils pas à la place que nous les vivants leur avons assignée ? Dans quels contextes historiques, géographiques et sociaux, les spectres font-ils leur apparition et pourquoi notre époque est-elle propice à leur manifestation ? Notre humanité serait-elle hantée depuis toujours et plus que jamais ? Avec Grégory Delaplace, anthropologue spécialiste de la Mongolie et de ses rituels funéraires pour son ouvrage La voix des fantômes, quand débordent les morts paru au Seuil.
Rencontre avec un anthropologue de l'invisible : Gregory Delaplace qui enquête sur les différentes façons dont les morts se manifestent aux vivants. Notre humanité serait-elle hantée ? Depuis quand et pourquoi ? Qu'est-ce que nos fantômes disent de nous ? (Rediffusion du 29/10/24). Portons un autre regard sur les fantômes, non pas en nous demandant s'ils existent mais plutôt pourquoi et comment les morts se manifestent aux vivants de tant de manières différentes ? Qu'est-ce que cela dit de nous et de nos humanités ? Pourquoi faire l'anthropologie des fantômes ? Avec Grégory Delaplace qui vient de publier La voix des fantômes, enquête de terrain renversante qui nous entraîne de la Mongolie à Madagascar en passant par le Cameroun, le Vietnam et la Grande-Bretagne pour tenter de comprendre pourquoi les morts se rebiffent ? Pourquoi ne restent-ils pas à la place que nous les vivants leur avons assignée ? Dans quels contextes historiques, géographiques et sociaux, les spectres font-ils leur apparition et pourquoi notre époque est-elle propice à leur manifestation ? Notre humanité serait-elle hantée depuis toujours et plus que jamais ? Avec Grégory Delaplace, anthropologue spécialiste de la Mongolie et de ses rituels funéraires pour son ouvrage La voix des fantômes, quand débordent les morts paru au Seuil.
durée : 00:58:45 - Ils ont changé le monde - par : Alfred de Montesquiou - Qui était Victoria ? Cette femme qui a régné sur le plus grand empire de tous les temps : un ensemble maritime et terrestre atteignant 35 millions de kilomètres carrés et 450 millions de sujets, répartis sur cinq continents à son apogée ? - réalisation : Rafik Zénine - invités : Philippe Chassaigne Historien, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Bordeaux-Montaigne et spécialiste de la Grande-Bretagne; Fabrice Bensimon Professeur d'histoire et de civilisation britanniques à l'université Paris-Sorbonne, membre du Centre d'Histoire du XIXe siècle (Paris 1- Paris 4); Béatrice Laurent Professeure de Civilisation britannique à l'Université Bordeaux Montaigne
durée : 00:41:25 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - L'océan pacifique est l'objet, dans la seconde moitié du 18e siècle, d'un duel entre la France et la Grande-Bretagne pour la conquête ce vaste territoire méconnu. C'est le début des voyages de Bougainville et Cook que raconte ce premier épisode de "Le Pacifique en long et en large" en 1979. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Etienne Taillemite Historien
durée : 00:58:45 - Ils ont changé le monde - par : Alfred de Montesquiou - Qui était Victoria ? Cette femme qui a régné sur le plus grand empire de tous les temps : un ensemble maritime et terrestre atteignant 35 millions de kilomètres carrés et 450 millions de sujets, répartis sur cinq continents à son apogée ? - réalisation : Rafik Zénine - invités : Philippe Chassaigne Historien, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Bordeaux-Montaigne et spécialiste de la Grande-Bretagne; Fabrice Bensimon Professeur d'histoire et de civilisation britanniques à l'université Paris-Sorbonne, membre du Centre d'Histoire du XIXe siècle (Paris 1- Paris 4); Béatrice Laurent Professeure de Civilisation britannique à l'Université Bordeaux Montaigne
Dans cette édition :Le Royaume-Uni annonce une reconnaissance prochaine d'un État palestinien, suscitant la colère d'Israël qui accuse le Premier ministre britannique de récompenser le terrorisme du Hamas.La France prévoit de larguer 40 tonnes d'aide humanitaire à Gaza, tandis que l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la France envisagent d'envoyer leurs ministres des Affaires étrangères en Israël pour demander plus d'aide.De nouvelles agressions antisémites sont signalées en Italie et en France, alimentant les inquiétudes de la communauté juive face à la recrudescence de l'antisémitisme.Le gouvernement français oblige les constructeurs automobiles à fournir des voitures de remplacement aux propriétaires de véhicules équipés d'airbags Takata défectueux, sous peine d'amendes.Malgré les risques, des sociétés de sécurité privées sont déployées dans certains quartiers de Toulouse pour lutter contre le trafic de drogue et la délinquance.Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont un impact positif sur le tourisme à Paris, avec une hausse de 15% des réservations hôtelières et une forte présence de visiteurs américains.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:37 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - Après la Seconde Guerre mondiale, l'URSS puis la France, la Grande-Bretagne et la Chine vont développer leur propre programme nucléaire. Le monde est entré dans la guerre froide et une course aux armements effrénée va se poursuivre jusqu'à la fin des années 80... - réalisation : Anne Perez
durée : 00:58:47 - Ils ont changé le monde - par : Alfred de Montesquiou - Qui était Victoria ? Cette femme qui a régné sur le plus grand empire de tous les temps : un ensemble maritime et terrestre atteignant 35 millions de kilomètres carrés et 450 millions de sujets, répartis sur cinq continents à son apogée ? - réalisation : Rafik Zénine - invités : Philippe Chassaigne Historien, professeur d'histoire contemporaine à l'Université Bordeaux-Montaigne et spécialiste de la Grande-Bretagne; Fabrice Bensimon Professeur d'histoire et de civilisation britanniques à l'université Paris-Sorbonne, membre du Centre d'Histoire du XIXe siècle (Paris 1- Paris 4); Béatrice Laurent Professeure de Civilisation britannique à l'Université Bordeaux Montaigne
durée : 00:58:37 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - Après la Seconde Guerre mondiale, l'URSS puis la France, la Grande-Bretagne et la Chine vont développer leur propre programme nucléaire. Le monde est entré dans la guerre froide et une course aux armements effrénée va se poursuivre jusqu'à la fin des années 80... - réalisation : Anne Perez
durée : 00:58:37 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - Après la Seconde Guerre mondiale, l'URSS puis la France, la Grande-Bretagne et la Chine vont développer leur propre programme nucléaire. Le monde est entré dans la guerre froide et une course aux armements effrénée va se poursuivre jusqu'à la fin des années 80... - réalisation : Anne Perez
REDIFF - Les Etats-Unis ont célébré il y a trois jours le "4th of July", fête nationale du pays commémorant la Déclaration d'indépendance du 4 juillet 1776, vis-à-vis de la Grande-Bretagne. À cette occasion, gros plan sur le drapeau des Etats-Unis ! Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'affaire Lucy Letby a suscité une vague d'indignation dans tout le Royaume-Uni. La nature des crimes est aussi horrible qu'inconcevable. Durant les années 2015 et 2016, sept bébés ont été tués, six autres ont échappé de justesse au même destin funeste. Ces crimes n'ont pas été commis dans un domicile quelconque ou dans la rue. Ils ont été perpétrés dans l'un des lieux les plus sûrs du comté de Chester : un hôpital. La coupable est une infirmière. Elle s'appelle Lucy Letby et pour ces meurtres, il se pourrait qu'elle ne sorte jamais de prison. Voici l'incroyable histoire criminelle de Lucy Letby, infirmière et tueuse en série.
durée : 01:15:04 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1979, les historiens Douglas Johnson et François Bédarida dialoguaient sur France Culture autour de quelques-uns des chapitres de la relation mouvementée entre leurs deux pays, la France et la Grande-Bretagne. - réalisation : Emily Vallat - invités : François Bédarida Historien
durée : 00:58:40 - Toute une vie - par : Julien Thèves - Cinq textes de théâtre, brûlants, violents, désespérés, romantiques, explosifs, modernes. Un auteur est né, un choc venu de Grande-Bretagne, qui change le visage du théâtre puis disparaît. Sarah Kane se suicide à 28 ans, en se pendant avec ses lacets dans sa chambre d'hôpital. - réalisation : Christine Robert - invités : Elisabeth Angel-Perez Professeur à l'université Paris IV, spécialiste du théâtre britannique.; Christian Benedetti Metteur en scène et directeur du Théâtre-Studio d'Alfortville; Graham Saunders Essayiste, auteur de Love me or Kill me : Sarah Kane et le théâtre (l'Arche éditeur).; Claudine Galea Auteure de théâtre, Grand prix de littérature dramatique jeunesse 2019; Isabelle Huppert Actrice française; James Brandily; Arnaud Cathrine Écrivain