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Au programme :Le succès insolent de NintendoMaster Chief atterri sur PlayStationNos jeux du momentArc Raiders – Christophe recommande chaudementThe Outer Worlds 2 – Christophe recommande chaudementDispatch – Mehdi recommande chaudementBattlefield 6 – Mehdi recommande chaudementKeeper – JK recommandeCitizen Sleeper 2 – JK recommande1000xResist – Christophe recommandeBall X Pit – Mehdi recommandeShinobi Art of Vengeance – Patrick recommandeThe Legend of Zelda: Tears of the Kingdom – Patrick crie au chef d'oeuvreStreet Fighter VI – Patrick passe diamantLe reste de l'actualité---Infos :Animé par Patrick Beja (Bluesky, Instagram, Twitter, TikTok)Co-animé par JK Lauret (Twitter).Co-animé par Medhi Camprasse « El Medoc » (Le Cosy Corner)Co-animé par Christophe Collet (Bluesky)Produit par Patrick Beja (LinkedIn) et Fanny Cohen MoreauMusique par Daniel Beja.Le Rendez-vous Jeux épisode 421 – Incroyable, Nintendo vend beaucoup de Switch 2 – Halo sur PS5, Arc Raiders, The Outer Worlds 2, Dispatch, Battlefield 6, Keeper, Citizen Sleeper 2, 1000x Resist, Ball x PitLiens :
Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 06 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:00 - France Services vous en rend beaucoup ! - France Services est un programme de l'État permettant d'accompagner les citoyens dans leurs démarches administratives. Édith ORLANDO-KOSIK et Marie RIBOT nous expliquent ce service essentiel. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Lumière sur Jérémy Nadeau, créateur de contenu à l'imagination fertile, témoin sa chaîne Youtube qui compte plus de 3 millions d'abonnés, acteur de séries remarqué telles que "Furies" avec Marina Foïs ou "Cœur noir", l'humoriste Jérémy Nadeau est actuellement en tournée avec son premier spectacle intitulé “Beaucoup trop” à découvrir jeudi 13 novembre à 20h00 à l'Ecrin à Talant, près de Dijon.
À l’approche de l’Action de grâces américaine, Patrick, Tatiana et Maïka débattent d’une nouvelle saveur d’Oreo à la dinde rôtie! Les animateurs invitent les auditeurs à trancher : audace gourmande ou hérésie culinaire? Maïka se confie sur la culpabilité maternelle et l’importance de préserver son bonheur malgré les attentes parentales. Le trio teste aussi la complicité des couples avec le « test de l’oiseau », et Chef Oli transforme un budget serré en repas savoureux. Tatiana raconte son self-care original sous la pluie, tandis que Geneviève partage son dilemme autour d’un voyage familial. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Beaucoup de recommandations culturelles cette semaine !Ce dont je parle :La compagnie MerlotLe film La petite dernière de Hafsia HerziL'appli YNAB"The Doom Spenders" (MacLean's)"AI Is Making Online Dating Even Worse" (The Cut)"The Great Enshittening" (The Gray Area)Nobody Wants This (Netfix)Pour envoyer une histoire ou un vocal, allez sur le site du Love GangAbonnez-vous à la newsletter du Love Gang : tous les mois, un podcast de récap culturel (livres, films, articles...) et un texte sur l'amour ! C'est 5 euros et un super moyen de me soutenir.La musique est de Timothy Infinite, remixée par Nahaa. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Louis de Raguenel, journaliste politique - Eric Naulleau, essyiste - Eric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Louis de Raguenel, journaliste politique - Eric Naulleau, essyiste - Eric Revel, journaliste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Beaucoup d'action cette semaine! Est-ce que les nouveaux aventuriers réussiront à compléter leur première mission? Que veut dire les visions reçues pendant un moment crucial de l'épisode !! Il va falloir écouter pour savoir la suite !!Allons rejoindre :Sir pattes de velour aux oreilles poilues, 3e du nom, un ranger Hatari, joué par Benoit GagnonSolem-Kar, un Divine Wielder, Clank/Drakona, jouée par Martin DuretteBookar Durocher, un magicien Faun, jouée par Jonathan PappinVotre maître de jeu est Ian Richards.Bonne partie
En petit comité avec Olivier et Elodie cette semaine ! On parle du livre Le Carton Jaune, des films Cash (Jérémie Rozan), Daisy Miller et La Petite Dernière. Un épisode parfait pour accompagner l'arrivée du froid. Bonne écoute !
Travailler et vivre en Suisse - le podcast de David Talerman
David Talerman reçoit Rebeca Valença, coach basée à Zurich, qui a accompagné plus de 1 200 candidats vers des postes compétitifs en Suisse et à l'international. Le décor est posé : l'économie suisse montre des signes de prudence dans l'industrie et la construction, la finance ralentit, mais le commerce et l'hôtellerie-restauration tiennent bon. La question qui brûle les lèvres : peut-on travailler à Zurich sans parler allemand ? Oui, répond Rebeca, à condition d'évoluer dans des environnements internationaux et non « client-facing ». Pour servir la région DACH, l'allemand demeure un atout décisif. Côté rythme d'embauche, Zurich vibre : depuis mi-janvier, budgets débloqués, contrats signés, entretiens en chaîne.Zurich, surtout, s'affirme comme pôle deep-tech. Rebeca cite la cybersécurité, l'IA appliquée, l'ingénierie et l'automation dans une logique de « résilience ». L'ETH irrigue l'écosystème, et l'implantation annoncée d'OpenAI et de DeepMind accélère encore la traction. Le quantique prend forme, plutôt à Bâle.Pour s'insérer, la candidature en ligne ne suffit pas : la clé, c'est le networking par centres d'intérêt (crypto, data, IA, product…), dans les coworkings, labs et meetups. Beaucoup d'événements sont en anglais ; on y rencontre décideurs, recruteurs et pairs qui font avancer les carrières. Côté compétences, le marché valorise celles et ceux qui « appliquent » l'IA à leur métier et savent démontrer des gains concrets sur le CV. Sur les méthodes d'embauche, Rebeca démonte un mythe : malgré les ATS, le tri reste largement manuel pour des raisons de conformité. Les délais s'étalent souvent sur 3-4 mois dans les structures traditionnelles, plus courts lorsque la pression business est forte (IPO, private equity, ouverture de marché). Pour les profils seniors, place au « reverse recruitment » : beaucoup de postes sont cachés, sensibles ou ultra-niche. On les décroche via chasse dédiée, advisory boards ou mandats d'experts, en activant les réseaux « alumni » des entreprises qui recrutent des profils similaires.Vivre à Zurich ? Qualité de vie top, scène de meetups foisonnante et exigeante sans être agressive. L'intégration sociale peut demander du temps (langue, coût, mobilité des expats), mais l'ancrage local aide. Et l'on peut travailler pour Zurich en mode hybride depuis la Romandie. Pour trouver les bons événements : Meetup, Eventbrite, Luma… et la « House of AI » animée par Rebeca, dédiée aux usages concrets de l'IA.En filigrane, un message simple : Zurich concentre la majorité des opportunités (avec Zoug), l'anglais peut suffire, mais c'est le réseau ciblé et l'IA appliquée qui font gagner la partie.Je m'appelle David Talerman, je suis
Polémique en Israël autour de la procureure militaire Yifat Tomer-Yerushalmi en détention désormais. Inculpée trois jours après sa démission, on lui reproche d'avoir communiqué à la presse des vidéos montrant des sévices et un viol imposé à un détenu palestinien par des soldats israéliens. La droite et l'extrême droite accusent l'ex-magistrate de trahison, considérant qu'elle entache la réputation des militaires en temps de guerre. La gauche quant à elle estime que le débat porte sur la responsabilité éthique de dénoncer les sévices contre les détenus palestiniens. Entretien avec Nitzan Perelman-Becker, docteure en sociologie politique à l'Université Paris Cité et co-fondatrice du site Yaani. Autrice de Anatomie de la droite israélienne, à paraître chez Agone en avril 2026. RFI : La procureure générale de l'armée israélienne Yifat Tomer-Yerushalmi a été inculpée pour fraude et abus de confiance, abus de fonction, entrave à la justice et divulgation d'informations par un fonctionnaire parce qu'elle avait communiqué à la presse – elle l'a reconnu en fin de semaine dernière –, une vidéo montrant partiellement les sévices et le viol commis par des soldats israéliens contre un détenu palestinien. Ces révélations datent de juillet 2024. Pourquoi la procureure a choisi de démissionner maintenant ? Nitzan Perelman-Becker : Tout d'abord, je voudrais expliquer ce qu'est Sde Teiman. C'est une base militaire qui a servi depuis octobre 2023 comme un camp de détention où il y avait énormément de Gazaouis qui se retrouvaient sans même savoir pourquoi ils étaient là. Il y avait énormément de témoignages, y compris d'organisations israéliennes comme Physicians for Human Rights, qui racontent des tortures de manière quotidienne dans ce camp de détention. Et il y a une seule histoire, donc, qui sort, qui est publiée dans la presse. Ce viol d'un Palestinien qui arrive aussi à l'hôpital. On ne sait pas qui a publié la vidéo, mais la vidéo est publiée partout. Des organisations nationalistes de droite, avec les soldats qui ont commis le viol, demandent au tribunal de faire une enquête pour découvrir qui l'a publiée. Le tribunal sollicite l'armée. L'armée mène une enquête, et [selon les conclusions], on ne sait pas qui a publié la vidéo. Mais tout d'un coup, on découvre à la fin du mois d'octobre 2025, que c'était justement l'ex-procureure générale de l'armée israélienne, Yifat Tomer-Yerushalmi, qui a publié elle-même la vidéo, et elle admet que c'était bien le cas. Elle dit qu'elle l'a fait pour s'opposer à la propagande « contre les forces de l'ordre de l'armée ». Elle veut montrer que l'armée fait ses enquêtes. Et donc elle publie la vidéo. Cela a créé énormément de polémique. Il y a énormément de pression sur elle, notamment de militants de droite. Elle écrit une lettre de suicide qu'elle laisse à sa famille. On ne la retrouve pas pendant quelques heures, puis on la retrouve à côté de la mer, on ne retrouve pas son téléphone. Et jusqu'à aujourd'hui, on cherche son téléphone. Elle est arrêtée, elle est toujours en détention. Beaucoup de pression sur elle, vous nous dites. Neuf soldats avaient été mis en cause pour ce viol et ces sévices. Où en est la procédure qui les concerne aujourd'hui ? En ce qui les concerne, la procédure est toujours en cours. Mais ce qui est intéressant de savoir, c'est que du point de vue de la société israélienne, le problème n'est pas l'acte qu'ils ont commis, mais bien l'acte de l'ex-procureure générale. Benyamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, dit même qu'elle a provoqué la plus grande attaque médiatique que le pays n'a jamais connue. Donc, bien sûr, ils ne parlent pas de ce que beaucoup de juristes, historiens et organisations internationales appellent le génocide à Gaza et tous les crimes commis par l'État d'Israël dans le cadre du génocide. Ils ne parlent pas non plus de Sde Teiman, de toutes les actions, de toutes les tortures qu'il y avait pendant des mois et des mois dans cette base militaire. Le journal Haaretz, effectivement, soulignait, comme vous l'évoquiez à l'instant, le fait que cette affaire faisait tellement de bruit qu'on en oubliait ce qui s'était passé sur la base militaire de Sde Teiman. Est-ce que cela préoccupe en Israël, au-delà du pouvoir politique, de la droite et de l'extrême droite ? Bien évidemment, et ce qu'il faut comprendre, c'est qu'il y a une vraie fracture entre le gouvernement au pouvoir qui place l'identité juive et la domination juive sur les institutions étatiques et le centre gauche sioniste qui place d'abord les institutions étatiques. Et eux disent que cette affaire met en péril l'image de l'armée et l'image de l'État. Ils insistent pour qu'on ne critique pas l'ex-procureure générale, mais bien évidemment la droite qui est au pouvoir demande de ne même pas qualifier ce viol comme un crime. On voit des parlementaires, on voit des membres du gouvernement et aussi, bien sûr, des organisations de droite qui soutiennent ces soldats qui ont commis ce viol en disant très clairement qu'il ne s'agit pas d'un crime. Cela avait déjà été le cas d'ailleurs l'année dernière, avec des manifestations pour soutenir les soldats. L'extrême droite, vous nous le disiez, les avait largement soutenues aussi en allant jusqu'à justifier le viol. Est-ce que c'est compatible avec la position que défend le gouvernement en disant que les droits des prisonniers sont respectés dans les centres de détention ? Bien évidemment, il faut juste écouter le discours du ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, et de voir les vidéos qu'il publie des prisons israéliennes pour comprendre à quel point il légitime ce genre d'action, c'est-à-dire le fait de torturer les prisonniers palestiniens qui sont parfois même des otages parce qu'ils se trouvent dans les prisons israéliennes, et ils ne savent même pas pourquoi ils sont là, ils n'ont même pas recours à un avocat et donc ils doivent être considérés du point de vue du droit international comme de vrais otages. Et là, on voit le discours d'Itamar Ben-Gvir qui légitime toute action violente contre eux. On voit même que la peine de la mort est prévue par le gouvernement contre les détenus palestiniens. Et donc, ça représente effectivement la ligne du gouvernement, notamment la ligne d'Itamar Ben-Gvir qui est chargé de la police. À lire aussiIsraël: l'ex-procureure générale de l'armée arrêtée pour la fuite d'une vidéo de viol dans une prison
C dans l'air du 3 novembre 2025 : LES EXPERTS :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au Nouvel Obs, co-auteur avec Mathieu Aron Le grand détournement - Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match
C dans l'air du 3 novembre 2025 : Le temps file à l'Assemblée nationale. Après des débats houleux la semaine dernière sur la justice fiscale, les députés ont repris l'examen du projet de loi de finances ce lundi matin. La journée sera entièrement consacrée, dans l'hémicycle, au budget 2026, alors qu'il reste encore 2 400 amendements à étudier d'ici demain. Ils devront ensuite mettre les débats sur pause pour se consacrer à l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). La première partie de ce texte doit, en théorie, être votée le 12 novembre… Il restera ensuite onze jours avant que la copie budgétaire ne soit transmise au Sénat, le 23 novembre à minuit au plus tard.Mais les délais d'examen de ce budget de l'État seront-ils tenus ? À la demande du Premier ministre, l'ensemble des groupes politiques de l'Assemblée sont conviés ce lundi, à la mi-journée, au ministère des Relations avec le Parlement, autour des ministres concernés, pour « essayer de se mettre d'accord sur les grands principes de l'atterrissage d'un texte pour la Sécurité sociale et pour le projet de loi de finances ».Ce matin, Olivier Faure a estimé, au micro de France Inter, que si la voie est « étroite » vers une adoption du budget par l'Assemblée nationale, un « chemin » lui semblait encore « possible » pour obtenir la disparition des « horreurs » encore contenues dans le texte. « Ce que nous cherchons, dans la première partie de la loi de finances, c'est à trouver des recettes qui se substitueront aux économies demandées à des gens qui ont déjà tant de mal à finir leurs fins de mois », a poursuivi le socialiste.Quelques heures plus tard, les groupes PS, écologiste, communiste et insoumis ont indiqué qu'ils ne se rendraient pas à la réunion de négociation avec le gouvernement.Alors, le Parlement va-t-il réussir à adopter un budget en temps et en heure ? Pourquoi ces retards dans l'examen du texte ? Quelles sont les mesures adoptées par les députés avant l'examen du Sénat ? Si la taxe Zucman a été rejetée, l'impôt « sur la fortune improductive » a, lui, été approuvé ce week-end par les députés PS, MoDem et RN. De quoi s'agit-il ? Et quelle est la stratégie du Rassemblement national sur le budget ?Enfin, quel sera l'impact du projet de loi de finances sur l'apprentissage ? Le gouvernement envisage la fin de l'exonération des cotisations sociales sur les contrats d'apprentissage. Les apprentis bénéficiaient auparavant d'une exonération de cotisations sur la part de leur salaire n'excédant pas 78 % du SMIC — déjà ramenée à 50 % pour les contrats conclus à partir de mars 2025. Le budget 2026 prévoit d'y mettre fin à compter du 1er janvier, ce qui suscite de vives inquiétudes parmi les acteurs de la filière.LES EXPERTS :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au Nouvel Obs, co-auteur avec Mathieu Aron Le grand détournement - Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match
durée : 00:25:07 - Julie Fuchs, soprano (2/5) - par : Nicolas Lafitte - À 40 ans, la soprano Julie Fuchs se livre au fil de cinq épisodes au micro de Nicolas Lafitte. Elle raconte son parcours, de son enfance à Avignon à ses projets récents, évoquant ses émotions, ses succès, ses doutes et les rencontres qui ont marqué sa carrière internationale. - réalisé par : Béatrice Trichet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Cette réalité surprend aujourd'hui, car on imagine le médecin comme une figure respectée, savante, au service du bien commun. Mais à Rome, la médecine n'avait pas ce prestige. C'était un métier utile, certes, mais considéré comme manuel, presque servile. Les citoyens romains libres, surtout les plus aisés, voyaient mal l'idée d'un homme libre penché sur un malade ou manipulant le corps d'autrui. Ce rôle était donc souvent confié à des esclaves instruits, souvent d'origine grecque.Les Grecs étaient alors réputés pour leurs connaissances dans les sciences et la philosophie, et beaucoup avaient été réduits en esclavage après les conquêtes romaines. Parmi eux, certains maîtrisaient les textes d'Hippocrate, de Galien ou d'Aristote. Rome, pragmatique, récupéra ce savoir à sa manière. Un riche patricien pouvait ainsi posséder un esclave formé à la médecine, chargé de soigner la maisonnée, les enfants, les domestiques et parfois même les voisins. Cet esclave, s'il s'avérait compétent, gagnait en considération et pouvait être affranchi, devenant un « médecin affranchi ». Mais son origine servile restait souvent un stigmate social.Dans les grandes familles, on formait même des esclaves spécialement pour ce rôle. On les instruisait dans des écoles de médecine grecques, ou on les plaçait en apprentissage auprès d'un médecin expérimenté. Ces hommes (et parfois ces femmes) devenaient les « medici » du domaine, au même titre qu'un cuisinier ou qu'un scribe. Ils soignaient les blessures, préparaient des onguents, réalisaient des saignées et suivaient les accouchements. Leur valeur économique était telle qu'un médecin esclave pouvait coûter très cher sur le marché.Il faut aussi se rappeler que la médecine romaine était très pragmatique : plus proche de la pratique que de la théorie. Le prestige allait plutôt aux philosophes, aux juristes, aux orateurs. Le médecin, lui, touchait les corps — et cela le plaçait dans une catégorie inférieure. Il n'exerçait son art que par tolérance sociale, pas par reconnaissance.Pourtant, certains d'entre eux réussirent à s'élever. Le plus célèbre, Galien, né libre mais influencé par cette tradition gréco-romaine, fit carrière auprès des empereurs. D'autres, affranchis ou anciens esclaves, devinrent riches et respectés, preuve que la compétence pouvait parfois transcender le statut.Ainsi, dans la Rome antique, le savoir médical circulait grâce à des esclaves savants. Ce paradoxe dit beaucoup de cette société : c'est au cœur même de la servitude que Rome a puisé une partie de son savoir scientifique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rubrique:nouvelles Auteur: guy-de-maupassant Lecture: Christiane-JehanneDurée: 08min Fichier: 07 Mo Résumé du livre audio: Yveline Samoris Voici l'histoire d'Yveline, jeune fille joyeuse mais naïve. « Une histoire toute simple, sans crime et sans violences. — Alors quoi ? — Presque rien. Beaucoup de courtisanes étaient nées pour être des honnêtes femmes, dit-on ; et beaucoup de femmes dites honnêtes pour être courtisanes, n'est-ce pas ? Or, Mme Samoris, née courtisane, avait une fille née honnête femme, voilà tout. » Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Au programme de Radio foot internationale ce jeudi à 16h10 / 21h10 T.U. : - La Ligue 1 palpitante ! ; - Liverpool toujours plus dans le rouge ! La Ligue 1 palpitante ! Le championnat de France n'a jamais été aussi serré depuis 15 ans à ce stade. Beaucoup de surprises ce mercredi soir lors de la 10è journée : Le Paris SG accroché, ses poursuivants Marseille et Lyon aussi. Strasbourg, 4è, continue de surprendre. Nous évoquons aussi Rennes, où l'entraîneur Habib Beye semble parti pour rester malgré une série de six matchs sans victoire. Enfin, Monaco, dauphin du PSG, s'apprête à vivre un petit événement, avec le retour prévu ce week-end de Paul Pogba. Le champion du monde 2018 n'a plus joué depuis près de deux ans. Liverpool toujours plus dans le rouge ! Le champion d'Angleterre continue de sombrer. Surclassés à Anfield par Crystal Palace (0-3) en League Cup, les Reds ont concédé leur sixième défaite en sept matchs toutes compétitions confondues. Autour d'Olivier Pron ce jeudi : Patrick Juillard, Éric Rabesandratana et Salim Baungally. Laurent Salerno aux manettes, Victor Missistrano à la préparation.
Au programme de Radio foot internationale ce jeudi à 16h10 / 21h10 T.U. : - La Ligue 1 palpitante ! ; - Liverpool toujours plus dans le rouge ! La Ligue 1 palpitante ! Le championnat de France n'a jamais été aussi serré depuis 15 ans à ce stade. Beaucoup de surprises ce mercredi soir lors de la 10è journée : Le Paris SG accroché, ses poursuivants Marseille et Lyon aussi. Strasbourg, 4è, continue de surprendre. Nous évoquons aussi Rennes, où l'entraîneur Habib Beye semble parti pour rester malgré une série de six matchs sans victoire. Enfin, Monaco, dauphin du PSG, s'apprête à vivre un petit événement, avec le retour prévu ce week-end de Paul Pogba. Le champion du monde 2018 n'a plus joué depuis près de deux ans. Liverpool toujours plus dans le rouge ! Le champion d'Angleterre continue de sombrer. Surclassés à Anfield par Crystal Palace (0-3) en League Cup, les Reds ont concédé leur sixième défaite en sept matchs toutes compétitions confondues. Autour d'Olivier Pron ce jeudi : Patrick Juillard, Éric Rabesandratana et Salim Baungally. Laurent Salerno aux manettes, Victor Missistrano à la préparation.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Toutes les réponses à tes questions ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Fatima Aït Bounoua, professeure de français, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dans cet épisode, je partage une vérité qui pique et qui va à contre-courant de ce que l'on entend partout sur les réseaux sociaux : investir ne te rendra pas riche du jour au lendemain. Beaucoup de gens vous promettent la liberté financière en un claquement de doigts grâce à la bourse, au trading ou à l'immobilier. Mais est-ce vraiment la réalité ? Je vois trop de personnes, souvent des femmes, qui investissent sans une bonne stratégie et finissent par perdre leur argent. Dans cette vidéo, je vais t'expliquer pourquoi : L'investissement n'est pas une baguette magique. Le temps, le montant et le bon investissement sont les trois ingrédients indispensables pour réussir. Je vais te détailler deux stratégies d'investissement (patrimoniale et de rapport) et t'expliquer les risques et les opportunités de chacune. Nous verrons aussi pourquoi la bourse ne t'enrichira pas immédiatement. Enfin, je te partagerai le bon "mindset" à adopter : l'investissement est un marathon, pas un sprint ! Si tu veux investir en toute conscience, sans te faire avoir par des promesses irréalistes, cet épisode est pour toi. Pour aller plus loin, télécharge mon ebook gratuit :
La CGT, la CFDT, FO... Tous ces syndicats qui défendent les droits des travailleurs en bataillant face au patronat ont régulièrement recours à quelque chose qui remonte à l'Égypte antique : la grève. En effet, si nous les Français avons la réputation d'être les champions de la manifestation, ce n'est pourtant pas nous qui l'avons inventé... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:40 - Le monde à l'endroit - Après trois années d'absence, la messe célébrée en latin a fait son retour samedi 25 octobre au Vatican. Un geste d'apaisement de Léon XIV célébré comme une victoire par la frange traditionnaliste de l'Eglise catholique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les Canadiens ont remporté sept victoires en dix matchs. On fait des constats dans trois secteurs (attaque, défense, gardiens). Ivan Demidov rivalise de talent avec Nick Suzuki qui se dirige pourant vers une saison de 100 points. Antoine Roussel est renversé. Et en raison de sa blessure qui va l"écarter du jeu plusieus mois, est-ce «Bye bye Laine»? Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel épisode de Sortie de zone avec l'animateur Jérémie Rainville et Antoine Roussel du 98.5 Sports, ainsi que Richard Labbé et Simon-Olivier Lorange de La Presse. Le sommaire Bloc 1 1:40 - Après 10 matchs, les Canadiens ont une fiche de 7-3-0. Quels sont vos constats: attaque, défense et gardiens? 23:40 - Collectivement, est-ce que les indicateurs vous disent que les Canadiens peuvent maintenir le tempo? Bloc 2 30:27 - Ivan Demidov… Un marqueur ou un passeur? 38:40 - Trois ou quatre mois sans Patrick Laine. Est-ce la fin pour lui dans la LNH? Bloc 3 50:06 - Les Canadiens contre le Karaken de Seattle. Votre analyse. 51:48 - Les Devils et le Mammoth sont en feu!Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Avec : Baptiste des Monstiers, journaliste. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
En première partie, les anciennes colonies portugaises célèbrent un demi-siècle d'indépendance. 5 pays sont concernés : l'Angola, le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, le Mozambique et Sao Tomé-et-Principe... En deuxième partie, nous serons dans la région d'Agadir au Maroc, dans ce qu'on appelle parfois le grenier de l'Europe. Dans des champs immenses ou des serres gigantesques, y poussent fruits et légumes. Une particularité : ils sont récoltés en très grande partie par des migrants subsahariens. Portugal : les déracinés des indépendances africaines 5 pays africains : l'Angola, le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, le Mozambique et São Tomé et Principe, commémorent cette année les 50 ans de leur indépendance. Les guerres coloniales se sont arrêtées avec la chute du régime autoritaire de Salazar en 74, et la révolution démocratique du 25 avril. Les guerres civiles et les soubresauts politiques des anciennes colonies poussent toujours hommes et femmes vers l'ancien pays colonisateur. Certains sont arrivés dans les années 70, d'autres bien plus tard, et d'autres encore sont nés au Portugal. Ils y vivent entre indépendance, intégration, nostalgie et conviction. Un Grand reportage de Marie-Line Darcy qui s'entretient avec Jacques Allix. Le quotidien des migrants subsahariens au Maroc Au Maroc, la région d'Agadir dans le sud-ouest du pays, concentre une part importante des travailleurs migrants irréguliers. Ils seraient plus de 10 000, selon les ONG, parmi ces subsahariens entre 90 000 et 300 000, qui y font escale. Beaucoup d'autres poursuivent leur migration vers l'Europe. Ils se sont installés dans ce que certains surnomment le « potager de l'Europe » : 20 000 hectares de serres où fruits et légumes poussent toute l'année. Sans papiers, ils sont mal payés, travaillent dur et s'intègrent très difficilement. Même si des associations sont présentes. Un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji qui s'entretient avec Jacques Allix.
Même nos sages ont beaucoup souffert by Rav David Touitou
durée : 00:20:28 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Les guerres, la prison, l'Académie Goncourt, le monde de la technique, la poésie, la douleur, la mort "normale", mais aussi son style pour "Le Hussard sur le toit" et "Que ma joie demeure" : en 1965 dans l'émission "La Minute de vérité", Jean Giono s'exprimait sur tout cela avec Gilbert Ganne. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Giono Écrivain (1895 - 1970)
Le Pakistan est devenu un pays inhospitalier pour les 2,8 millions d'Afghans qui y vivent. Au nom de la lutte contre le terrorisme, Islamabad mène depuis plusieurs mois une politique d'expulsion massive, conduisant au départ de centaines de milliers d'entre eux vers l'Afghanistan. Beaucoup se retrouvent face à un choix impossible : rester dans la clandestinité ou tout quitter à nouveau. Un reportage réalisé par Shahzaib Wahlah, Ondine de Gaulle, et en collaboration avec Ihsan Ullah Ahmadzai.
En Côte d'Ivoire, l'élection présidentielle se tient samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice, dont Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat. RFI donne la parole à chaque candidat. Ce matin, dernier entretien, avec Simone Ehivet, l'ex-épouse de Laurent Gbagbo, qui a créé son parti en août 2022, le Mouvement des générations capables (MGC). Cette figure de l'opposition met l'accent sur la souveraineté économique et sur la réconciliation nationale. Elle répond aux questions de notre correspondante à Abidjan, Bineta Diagne. RFI : Simone Ehivet, votre principal thème de campagne porte sur la réconciliation nationale. Qu'est-ce que vous voulez faire de plus par rapport à l'administration sortante dans ce domaine ? Simone Ehivet : ce pays a vécu une crise très profonde, une grande déchirure du tissu social, et on peut dire que des choses ont été faites. Moi-même, j'ai bénéficié d'une loi d'amnistie pour sortir de prison, donc des actes ont été posés. Mais le plus grand de ce chantier-là attend encore d'être réalisé. Il faut rendre hommage à ces morts-là pour que l'esprit repose en paix. Il faut organiser le pardon au-delà de ceux qui ont perdu leurs vies, il y a ceux qui ont perdu leurs biens. Il va être nécessaire de traiter la question et de faire les dédommagements. Vous dites que rien n'a été fait. Pourtant, entre temps, il y a eu des dédommagements. Il y a eu la restitution des corps des victimes de la crise à Duekoué, à Toulépleu. On ne peut pas dire que rien n'a été fait ? Moi, je souhaiterais qu'on rende hommage aux morts. Beaucoup de personnes ont perdu leur emploi, ont perdu leur travail, ont perdu leur commerce. Mais du coup, quinze ans plus tard, qu'est-ce que vous comptez faire ? Mais quinze ans plus tard, il faut faire le point de cela. Il faut pouvoir mettre ensemble les populations pour qu'elles acceptent de pardonner, parce que tout le monde n'a pas accepté de pardonner, aujourd'hui encore. Lorsque vous avez tenu le lead au sein de la Côte d'Ivoire, vous avez mené un combat pour que le dialogue politique puisse avoir lieu, pour que la révision de la liste puisse avoir lieu, pour que la Commission électorale indépendante puisse être réformée. Toutes ces conditions sont toujours là. Qu'est-ce qui vous garantit une participation à cette élection de manière transparente ? Mais nous n'avons aucune garantie de rien du tout. Nous avons écrit trois fois au président de la République pour obtenir la convocation du dialogue. Nous sommes persuadés qu'aller à ces élections-là, telles que les choses se présentent, ça va être une participation très difficile à ces élections. Mais je dis, nous avons également convenu, ayant tiré les leçons du passé, qu'il vaut mieux encore aller à ces élections-là dans des conditions difficiles que pas du tout. C'est-à-dire que pour vous aujourd'hui, le boycott n'est pas du tout envisageable ? Non, faire du boycott aujourd'hui, c'est offrir des résultats au premier tour à Monsieur Alassane Ouattara. Mais alors du coup, si les résultats après ne vous conviennent pas, cela veut dire que vous n'aurez pas aussi la latitude de les contester ou de les critiquer. Si les choses se sont passées et que des gens ont pu observer que, la situation étant difficile, les élections ont eu lieu et que mes électeurs ont pu voter, que je n'ai pas gagné, je n'ai pas gagné. Car quand on va à des élections, on peut gagner comme on peut perdre. Alassane lui-même, il est candidat. Mais qu'est-ce qui garantit qu'il va gagner ? En lice dans cette compétition, il y a aussi Ahoua Don Mello. Pourquoi est-ce que c'était si difficile finalement d'obtenir une candidature unique entre tous les candidats, entre guillemets, issus de la gauche ivoirienne ? Il n'y a pas eu au niveau de l'opposition, ni au niveau de la gauche un débat pour une candidature unique. Mais l'objectif qui était poursuivi, c'était d'obtenir une réforme du système électoral lui-même. Et donc, il était question que chacun fasse ses propres analyses et prenne ses propres décisions. Il y a deux femmes candidates à cette élection présidentielle. Vous-même, vous avez été opposante, vous avez été première dame, vous êtes passée par la case prison, vous avez perdu votre parti, vous en avez recréé un autre. Avec du recul, quel regard vous portez sur votre trajectoire ? Moi, je continue le travail que j'ai fait depuis très longtemps, qui est de poser toutes les actions possibles pour obtenir, dans ce pays-là, la réalisation de la vision que j'ai de la Côte d'Ivoire. Ce que je souhaite pour la Côte d'Ivoire, c'est que ce soit une nation prospère, une nation souveraine, une nation forte, une nation où les hommes qui sont aguerris, qui sont capables de prendre des initiatives, de créer pour le changement. Ce travail-là, il n'est pas achevé et c'est la raison pour laquelle je suis encore dans la course. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: la vie chère, l'emploi et la sécurité au cœur du scrutin
Conseils Marketing - Des conseils concrets pour prospecter et fidéliser !
Notre empreinte sur Terre - Des cartes et Des cartes et des infographies pour comprendre l'Anthropocène Interview de Laurent Testot -> Tu écris que ce livre est un "cri d'alarme", pourtant l'histoire nous a montré par des précédents que les changements climatiques pouvaient mettre à genoux une société (Khmers, Nazca, Maya...), pourquoi ne réagit-on pas ? -> Beaucoup de personnes disent "Pourquoi agir, c'est aux autres pays les plus pollueurs de commencer par eux", pourquoi est ce une vision tronquée ? -> Tu dis qu'il faudra nous sevrer du pétrole... Est ce que c'est par ce que nous n'en n'aurons plus rapidement ? -> C'est quoi croitre avec moins ? -> On dit souvent qu'une des solution simples est de moins manger de viande et de poisson, en plus de déconsommer au global P124) ? Qu'en penses tu ? -> On parle d'effet cliquet, de points de bascule, quels sont ils ? Pourquoi est ce qui incertain avec des scénarios divers ? -> Est ce que des zones comme la Bretagne et le Nord seront des zone privilégiées par rapport à un Sud qui devient désertique ? -> Comment les entreprises doivent s'adapter ? -> Pourquoi il est important de décrédibiliser les marchands de doute ? Plus d'infos https://amzn.to/4ozH8GT
Au Maroc, la région d'Agadir dans le sud-ouest du pays, concentre une part importante des travailleurs migrants irréguliers. Ils seraient plus de 10 000, selon les ONG, parmi ces subsahariens entre 90 000 et 300 000, qui y font escale. Beaucoup d'autres poursuivent leur migration vers l'Europe. Ils se sont installés dans ce que certains surnomment le « potager de l'Europe » : 20 000 hectares de serres où fruits et légumes poussent toute l'année. (Rediffusion) Sans papiers, ils sont mal payés, travaillent dur et s'intègrent très difficilement. Même si des associations sont présentes. Récolter pour survivre : le quotidien des migrants subsahariens au Maroc, un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Fatima Aït Bounoua, professeur de français, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'élection en Côte d'Ivoire se tient ce samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice, dont le président sortant, Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat. Son parti, le RHDP, espère l'emporter par un « coup KO ». Mais comme tous les autres partis, le RHDP se confronte à une donnée : la question de la mobilisation. Le ministre Amadou Coulibaly, par ailleurs Directeur régional adjoint de campagne du Poro, répond aux questions de Bineta Diagne. RFI : La campagne bat son plein, mais il y a aussi quelques mouvements de protestations sporadiques qu'on a pu voir dans le pays. Comment peut-on garantir que l'élection sera calme et apaisée ce samedi ? Amadou Coulibaly : J'ai lu avec beaucoup d'intérêt le bilan de l'appel à manifester qui a été fait par un des auteurs de cet appel. Mais il y a à peine six localités qui ont été concernées sur les 111 départements et 201 communes que la Côte d'Ivoire compte. Donc, ça reste très marginal et l'ordre est rétabli de façon quasi systématique par les forces de l'ordre qui interviennent de façon conventionnelle. Plutôt que d'interdire, est-ce que ce n'était pas plus simple d'encadrer et de protéger les manifestants, comme le suggère l'ONG Amnesty International ? En toute chose, il faut que force reste à la loi. À partir du moment où c'est une décision qui a été arrêtée par le Conseil constitutionnel, le gouvernement a estimé que les manifestations visant à dénoncer cette décision n'étaient pas autorisées. Jusqu'à aujourd'hui, les principaux partis de l'opposition réclament encore le dialogue. Qu'est-ce qui bloque ? On se pose des questions. L'élection aura lieu le 25. Quel serait le but d'un dialogue au moment où le processus électoral est lancé ? Mais avez-vous pensé à la suite ? Après les élections, comment comptez-vous apaiser les esprits au sein de l'opposition ? Parce que ça crée des frustrations… Les frustrations, vous les connaissez, elles sont venues du fait que certains candidats de l'opposition qui n'étaient pas éligibles ont posé leur candidature. Le Conseil constitutionnel a fait son travail. Je reste persuadé que, pour les élections à venir, avec tous les cadres qui existent dans les différents partis qui ont envie de compétir, tous ceux qui, parmi eux sont éligibles, poseront leur candidature. Le débat ne se posera plus de la même façon. Sur le terrain, quasiment tous les cadres du RHDP insistent pour que les militants aillent voter ce samedi. Est-ce que vous avez un doute aujourd'hui sur la mobilisation des électeurs ? Nous n'avons pas de doute. La loi électorale permet de retirer sa carte d'électeur le jour même de l'élection. Ce que nous faisons au RHDP et c'est de demander aux électeurs de retirer leur carte dès à présent afin de savoir dans quel bureau de vote ils sont affectés, ça rend le vote plus efficace. Mais nous sommes persuadés que, pour ce qui nous concerne en tout cas, nous aurons une bonne mobilisation de nos électeurs. Vous n'avez pas une crainte que les électeurs, en tout cas vos électeurs, se disent que tout est plié d'avance, inutile de se déplacer samedi ? Non du tout, puisque nous avons un challenge. C'est nous qui avons demandé au président Ouattara d'être candidat et c'est à nous de démontrer au président Ouattara que nous voulions vraiment qu'il soit candidat. Et cela passe par le plébiscite que nous devons lui offrir. Un des arguments présentés par le président au moment de l'annonce de sa candidature, c'est de maintenir la stabilité dans le pays. Beaucoup de choses ont été faites sur le plan de la sécurité. Qu'est-ce que vous comptez faire de mieux ou de plus ? Nous allons continuer à intensifier les actions qui vont créer ce sentiment de sécurité, ou plutôt renforcer ce sentiment de sécurité qu'ont les Ivoiriens. La Côte d'Ivoire est entourée de pays qui sont eux-mêmes débordés par les questions de terrorisme. Il n'y a plus forcément de coopération aujourd'hui avec le voisin burkinabè. Comment comptez-vous faire pour rétablir le dialogue et donc aussi la coopération ? Le dialogue, quoi qu'on dise, n'a jamais été formellement rompu. Nos voisins ont toujours des représentations diplomatiques en Côte d'Ivoire. Ça permet de montrer que, au moins de façon diplomatique, le dialogue est maintenu. Maintenant, pour ce qui concerne notre pays, évidemment, nous renforçons la sécurité à nos frontières pour éviter que nous puissions avoir des infiltrations. Mais sans patrouilles mixtes, ça reste quand même un frein dans votre dispositif ? Nous avons eu à mener ensemble beaucoup d'opérations conjointes. C'est vrai que cela rendait plus efficace la sécurisation de nos frontières respectives. Mais aujourd'hui, en attendant que les choses se stabilisent et que nous reprenions donc cette coopération efficiente et efficace en termes de sécurité, nous avons le devoir de protéger le territoire ivoirien. Et c'est ce à quoi le chef de l'État s'attelle. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: quel bilan politique pour Alassane Ouattara?
L'Europe traverse depuis plusieurs années une pénurie chronique de médicaments. Derrière les rayons parfois vides des pharmacies, c'est tout un système qui montre ses limites. Les causes sont multiples, mais une idée centrale revient : notre continent est devenu dépendant, fragile et mal coordonné.Tout commence par la dépendance extérieure. Aujourd'hui, plus de 80 % des ingrédients actifs utilisés dans les médicaments européens sont produits en Asie, principalement en Chine et en Inde. Pendant des décennies, les laboratoires ont délocalisé leur production pour réduire les coûts, sans anticiper les risques. Résultat : lorsqu'une usine asiatique ferme temporairement ou rencontre un problème logistique, les conséquences se répercutent jusqu'aux hôpitaux européens.Cette vulnérabilité s'est traduite par une explosion des ruptures. Selon l'Agence européenne du médicament (EMA), 136 pénuries critiques ont été signalées entre 2022 et 2024, concernant des produits essentiels comme les antibiotiques, les traitements contre le cancer ou les anticoagulants. Dans la moitié des cas, les autorités ont été prévenues trop tard, parfois une fois les stocks déjà vides.Le problème vient aussi de la manière dont l'industrie fonctionne. Beaucoup de médicaments génériques ne sont produits que dans un seul site mondial, souvent en dehors de l'Union européenne. Si cette usine s'arrête, toute la chaîne tombe. Les prix, tirés vers le bas par les appels d'offres publics, découragent les fabricants de maintenir plusieurs lignes de production. Faire « au moins cher » devient alors synonyme de prendre le plus grand risque.À cela s'ajoutent les dysfonctionnements internes au marché européen. Chaque pays a ses règles, ses prix et ses circuits. Les grossistes réexportent parfois les stocks vers des pays où les prix sont plus élevés, créant des pénuries locales. En hiver, les épidémies font bondir la demande d'antibiotiques, mais la production, rigide et planifiée, met plusieurs mois à s'ajuster.L'Union européenne tente de réagir. En 2024, elle a lancé une plateforme de suivi des pénuries et un mécanisme de solidarité entre États membres. Mais ces outils restent partiels : ils agissent en aval, une fois la crise déjà là.En 2023, chaque pharmacien européen a passé en moyenne près de dix heures par semaine à gérer des ruptures, contre trois heures dix ans plus tôt. Derrière ces chiffres, il y a des patients privés de leurs traitements, des médecins contraints de modifier leurs prescriptions, et des professionnels de santé à bout.En somme, la pénurie de médicaments en Europe n'est pas une fatalité : c'est le résultat d'un système mondialisé qui a troqué la sécurité contre l'économie, et qui découvre aujourd'hui, à ses dépens, le prix de sa dépendance. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« À qui l'on a beaucoup donné, on demandera beaucoup » (Lc 12, 39-48)Méditation par la Pasteur Nicole FabreChant Final : "O Lord hear my prayer" de TaizéRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les jeunes joueurs des Canadiens de Montréal - Lane Hutson et Ivan Demidov en tête - sont étoudissants sur la patinoire, mais cela ne mène pas à une foule de tirs en provenance de l'enclave. Quels sont les correctifs à apporter? Constat limpide: ça va mieux pour Jakub Dobes que pour Samuel Montembeault, mais souvenons-nous de la saison dernière. Dobes marcdhait sur les eaux quand... Et est-ce qu'un retour à la réalité attend le Tricolore - fiche de 5-2-0, 10 points - à Calgary et à Edmonton? Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel épisode de Sortie de zone avec l'animateur Jérémie Rainville et Antoine Roussel, du 98.5, ainsi que Richard Labbé et Simon-Olivier Lorange de La Presse. Le sommaire Bloc 1 1:12 - On fait la mise à jour des rappels des Canadiens en provenance du Rocket de Laval. 9:20 - Une victoire de 4-2 contre les Sabres de Buffalo: votre analyse. 16:30 - Beaucoup de jeux scientifiques et peu de lancers en provenance de l’enclave pour les joueurs des Canadiens. Tendance lourde ou correctif facile à appliquer? Bloc 2 24:40 - Jakub Dobes ou Samuel Montembeault? 34:15 - Les Flames de Calgary (mercredi) et les Oilers d'Edmonton (jeudi). Un retour à la réalité pour les Canadiens? Bloc 3 39:00 - Le Lightning de Tampa Bay n'a qu'une victoire en temps réglementaire en six matchs. Signe inquiétant ou mauvais passage?Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:04:17 - Une semaine dans leurs vies - A l'heure où les centres villes des communes moyennes souffrent de désertion et de disparition de commerces, Beaucoup de salon de coiffure mettent la clé sous la porte depuis le Covid et la crise du pouvoir d'achat... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Beaucoup des constellations du zodiaque portent les noms d'animaux : Poissons, Lion, Taureau, Bélier, Scorpion... il y a aussi des êtres humains, comme le Verseau, la Vierge... et puis il y a plein de signes dont on se demande à quoi ils font référence... à commencer peut-être par celui des Gémeaux.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les loutres sont des animaux particulièrement adorables. On a déjà tous vu cette vidéo craquante de loutres sur le dos qui s'endorment en se tenant la patte. Mais saviez-vous que la vraie raison de ce comportement n'a rien de romantique ? Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête. Un podcast RTL Originals.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La paix semble encore très fragile à Gaza. Israël menace de reprendre les combats, si le Hamas ne rend pas toutes les dépouilles d'otages. On compte 170.000 blessés depuis le début de la guerre, le 8 octobre 2023. 70% de ces blessés sont des femmes et des enfants. Beaucoup ont perdu un ou plusieurs membres. Écoutez RTL autour du monde du 16 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.