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Cette semaine, direction Cleveland au cœur des années 30 , juste après la Prohibition. Le grand héros de l'Amérique, Eliot Ness, célèbre pour avoir fait tomber Al Capone, prend la tête de la sécurité publique de la ville de Cleveland. Mais il va se retrouver face à une menace encore plus sombre qu'un baron du crime : un tueur en série insaisissable. Dans ce nouvel épisode de ComicsDiscovery, votre podcast préféré consacré à la bande dessinée américaine, nous explorons Torso, l'un des premiers titres de Brian Michael Bendis, co-écrit avec Marc Andreyko. Les deux auteurs nous plongent dans l'une des histoires les plus troublantes de leur ville natale, un fait divers glaçant adapté en comic book noir et publié en France chez Delcourt. Torso : du true crime en comics Qui sont les auteurs ?Si vous lisez régulièrement des comics, le nom de Brian Michael Bendis vous est certainement familier. Véritable pilier du comics américain des années 2000-2010, on lui doit des titres phares comme Ultimate Spider-Man, la création du célèbre Miles Morales, ou encore les grandes heures de Jessica Jones dans la série Alias. Il est reconnu pour sa capacité à donner vie à ses personnages à travers des dialogues réalistes et percutants. Plus surprenant : il est aussi le dessinateur de Torso, qu'il illustre dans un style brut, presque expressionniste, qui renforce l'ambiance oppressante du récit. De son côté, Marc Andreyko, co-auteur de Torso, est peut-être un peu moins médiatisé, mais tout aussi talentueux. Scénariste engagé, notamment en faveur de la cause LGBT+, il est l'auteur de titres marquants comme Manhunter chez DC Comics ou l'anthologie Love is Love, publiée en hommage aux victimes de la tuerie d'Orlando. Son écriture se distingue par une forte dimension humaine et sociale. The Cleveland Torso Murderer : un fait divers glaçantTorso adapte une histoire vraie, l'une des plus sombres de Cleveland. Entre 1934 et 1938, un tueur en série inconnu enlève des personnes défavorisées issues des bidonvilles, avant de disséminer des fragments de corps un peu partout dans la ville. La presse le surnommera le Cleveland Torso Murderer. Peu avant le début de ces crimes, Eliot Ness est nommé chef de la sécurité de la ville, chargé de superviser la police et les pompiers. Rapidement, le tueur s'amuse à le provoquer, allant jusqu'à déposer des cadavres à quelques mètres de son domicile. C'est cette traque haletante que Bendis et Andreyko mettent en scène dans leur roman graphique noir. Un contexte social lourdLa grande dépression frappe de plein fouet les États-Unis. Cleveland est envahie par des milliers de personnes à la recherche de travail. Beaucoup s'entassent dans des bidonvilles improvisés, qui deviennent le terrain de chasse du tueur. Sur la dizaine de meurtres, la police ne parviendra à identifier que deux victimes. Leurs histoires, comme celles des autres, restent largement méconnues. Malgré cette tragédie, Torso parvient à offrir un véritable témoignage historique. Le récit, sombre et intense, dévoile un pan oublié de l'histoire des États-Unis, tout en mettant en lumière les injustices sociales de l'époque. Bendis et Andreyko n'oublient jamais de donner une dimension humaine à leur enquête. Un comics marquant, entre enquête et témoignageTorso est une lecture incontournable pour les amateurs de true crime, de thrillers policiers et de bandes dessinées engagées. Le style visuel de Bendis, très éloigné de ce qu'il fera plus tard chez Marvel, donne une personnalité unique à l'ouvrage. C'est aussi l'occasion rare de découvrir l'un des seuls titres qu'il ait illustré lui-même. Que vous soyez passionné d'enquêtes criminelles, d'histoires vraies ou simplement curieux de découvrir un comics indépendant percutant, Torso mérite clairement un coup d'œil. Vous aimez le true crime et le polar ?Si vous êtes amateur de true crime ou de polar noir en bande dessinée, on vous recommande chaudement d'autres épisodes de ComicsDiscovery dans la même veine : Incognito de Ed Brubaker et Sean Phillips :
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l'actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
Beaucoup de tombes dans cette épisode, mais aussi de la tendresse et de la romance, et parfois ça fait du bien ! (N'en déplaise à Thi) Bonne écoute ! Télécharger l'émission (74 Mo) – Regarder sur YoutubeS'abonner au One Eye Club – S'abonner à toutes nos émissionsChroniques[04:23] Aucune Tombe Assez Profonde Skottie Young Jorge Corona Jean-François Beaulieu[10:42] Beneath the Trees Where Nobody Sees Patrick Hovarth[22:15] Les Cœurs de Ferraille n°1 BéKa, Munuera Munuera Sedyas[30:55] Bloom n°1-2 Mikami SakaUn Œil sur …[40:30] La Résidence Paul William DaviesLégende : Scénario – Dessin – Couleur – Coup de cœur – Service de Presse – Le Vote des TipeursGénérique et jingles : Spanish Samba (Oursvince) / Dialup (Jlew) / backstraight (Heigh-hoo)
Il a été scolarisé juste à côté du Parc des Princes : le champion olympique de saut à la perche 1996, Jean Galfione, réagit à la première victoire du PSG en Ligue des champions, qu'il a vécu en Martinique.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel avenir pour le karité africain ? Les acteurs publics et privés de la filière se sont réunis au Bénin, après une année difficile, marquée par des interdictions dans certains pays d'exporter les amandes brutes. L'ambition est de parvenir à un partenariat gagnant-gagnant sur les prix entre tous les opérateurs, de la collecte à la transformation du karité. De notre correspondant à Cotonou,Pour Antoinette Ouédraogo, secrétaire exécutif de l'ONG burkinabè BUA YA BA, un partenariat gagnant-gagnant va réparer une grosse injustice. « Comment comprendre qu'on nous achète le beurre de karité à moins de 500 francs CFA [soit 0,76 euro], et au mieux 1000 francs le kilo [soit 1,50 euro] pour se retrouver ailleurs à 10 ou 15 000 francs le kilo [environ 20 euros] ? Il y a une distribution qui n'est pas équitable. Comment comprendre que le cours mondial est fixé dans des pays qui n'ont même pas d'arbres de qualité chez eux ? Ce n'est pas facile, nous souhaitons qu'il y ait un changement par rapport à ça ».Collecte des amandes pas assez rémunéréeMême combat pour Gilles Adamon, président de l'interprofession Karité Bénin. Il plaide surtout la cause des milliers de femmes sous-payées qui travaillent dans la filière. « Entre les acteurs, il faut qu'on puisse avoir des séances de concertation pour arrêter des prix, pour que nul ne soit perdant, c'est cela le partenariat gagnant-gagnant. Il ne faut pas qu'un groupe soit beaucoup plus gagnant que les autres, surtout les femmes qui collectent les amandes ».Aurore Egounléty Biokou est experte en genre. Recrutée pour écouter et faire remonter les doléances de ces femmes, notamment au Togo et au Burkina Faso, elle déposera un rapport avec des solutions à court, moyen et long terme. « Ces femmes ne sont pas rémunérées à la hauteur de ce qu'elles font. Elles recherchent toujours des occasions pour se faire entendre pour qu'on arrive à les aider à trouver des solutions. »Prioriser l'achat par les entreprises localesAutre sujet évoqué, la suspension de l'exportation des amandes dans certains pays de la sous-région africaine, Mali et Burkina Faso. Les transformateurs des pays où il n'existe pas ce genre de mesures d'interdiction ont été pénalisés lors de la dernière campagne, alors Cotonou fait une recommandation. « Ce qui a été retenu principalement, souligne Gilles Adamon, c'est que les associations locales de chaque pays discutent avec l'État pour que les entreprises locales soient priorisées dans l'achat des amandes. »Les acteurs ont les yeux rivés sur la prochaine campagne, elle est imminente. Beaucoup prédisent qu'elle sera meilleure que la précédente.À lire aussiTransformation locale : le Bénin veut passer à la vitesse industrielle
La finale de la Ligue des champions aura lieu à l'Allianz Arena à Munich ce samedi 31 mai avec une affiche inédite entre le PSG et l'Inter Milan. Le club italien, finaliste malheureux face à Manchester City en 2023, rêve de remporter une quatrième Ligue des champions. Maillot bleu roi et noir fièrement porté, casquette « Nerrazzurri » sur la tête, Mario affiche clairement ses couleurs. Pour lui, c'est l'Inter Milan et rien d'autre : « Parce que c'est la plus grande équipe d'Italie ! Je suis fan de l'Inter depuis que je suis petit. C'est l'équipe de mon cœur. »À côté de lui, Michel s'est même tatoué l'écusson de l'Inter sur l'avant-bras. Fan depuis toujours, il ne veut surtout pas que l'on confonde avec le Milan AC, l'autre club de la ville : « Oui, c'est l'équipe la plus importante de Milan ! Depuis que je suis enfant, je soutiens l'Inter, comme toute ma famille. C'est une passion. Une fois que vous commencez à l'encourager, vous ne pouvez plus vous arrêter. Il n'y a que l'Inter à Milan ! »Créé il y a bien longtemps, en 1908, le club provient d'une scission au sein du Milan AC qui ne voulait pas accueillir de joueurs étrangers à l'époque. Les dissidents lui ont donné un nom : « Internazionale »Et aujourd'hui, les deux rivaux se partagent la suprématie de la ville et même leur stade. Mais depuis quelques années, ce sont bien les Nerazzuri qui sont au dessus, comme l'explique Alfio Musmarra, journaliste pour Antenna 3, une chaine de télé lombarde : « Bien sûr qu'il y a une grande rivalité ! Mais aujourd'hui, l'Inter est dans un cercle vertueux. Avec plus de continuité, plus de victoires. Aujourd'hui, sur le papier, il n'y a pas photo, c'est une équipe nettement supérieure au Milan AC ». Sept trophées en quatre ans et l'image d'une équipe généreuse et combative, guidée par son capitaine, l'Argentin Lautaro Martinez.« Il faudra un grand Inter Milan pour gagner ce match »Et l'Inter s'est donc hissé en finale de la Ligue des champions, après avoir notamment écarté le Bayern Munich et le Barça, au cours d'une confrontation qui restera dans les annales de la compétition.À lire aussiLe PSG à 48 heures de son rêve de Ligue des championsArrivé il y a 4 ans, l'entraîneur Simone Inzaghi a façonné un groupe qui n'abdique jamais et ça pourrait servir face au PSG : « C'est évident, on joue avec le cœur. C'est déterminant dans notre équipe et ça sera un aspect important du match. Et mon équipe l'a souvent montré ces dernières années. Ce qui fait qu'en tant qu'entraîneur, je suis très fier de guider un groupe comme celui-là. On sait quoi faire. On a joué deux finales en trois ans, et je ne pense pas que cela soit arrivé avant dans l'histoire du club. C'est sûr qu'il faudra un grand Inter Milan pour gagner ce match. »Le club milanais a le plus vieil effectif de la compétition. Près de 30 ans de moyenne d'âge. Beaucoup ont donc déjà disputé une finale de Ligue des champions. Un atout peut-être déterminant : « Ils ont déjà joué une finale contre Manchester City il y a deux ans. Et ils avaient réussi à faire jeu égal contre une équipe qui a dépensé beaucoup d'argent. Deux ans après, ils sont de retour en finale, et ça pourrait être une belle revanche pour tout ce groupe de joueurs. »Cette finale ressemble donc à un dernier défi pour la bande de Simone Inzaghi. Si elle atteint son objectif, ce serait la 4e Ligue des champions de l'histoire du club. La première depuis 2010.►PSG – Inter Milan. La finale de la Ligue des champions sera à suivre sur RFI dans une soirée spéciale à partir de 18h40 TU.
RTL Inside avec des supporters parisiens qui ont eu la chance d'avoir des billets pour la finale de la Ligue des champions face à l'Inter. Beaucoup de fans du PSG sont partis dès vendredi et ont choisi de s'arrêter à mi-chemin de Munich, à Strasbourg. Ecoutez RTL inside avec Yannick Olland du 30 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On laisse enfoncé le bouton «Record» après l'enregistrement, on en fait une bande-annonce...Pour commenter cette bande-annonce, donner votre avis ou simplement discuter avec notre communauté, connectez-vous au serveur Discord de Silence on joue!Soutenez Silence on joue en vous abonnant à Libération avec notre offre spéciale à 6€ par mois : https://offre.liberation.fr/soj/Retrouvez Silence on Joue sur Twitch : https://www.twitch.tv/liberationfrSilence on joue ! C'est l'émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et ses chroniqueur·euse·s Patrick Hellio, Julie Le Baron et Marius Chapuis.CRÉDITSSilence on joue ! est un podcast de Libération animé par Erwan Cario. Cette bande annonce a été enregistrée le 29 mai 2025 sur Discord. Réalisation : Erwan Cario. Générique : Marc Quatrociocchi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Collège des médecins rappelle certaines cliniques à l’ordre pour avoir sollicité leurs patients à des fins politiques. Pendant ce temps, Québec ferme la porte à la pluriparentalité. Yasmine Abdelfadel et Mario Dumont analysent ces deux décisions qui font réagir. La rencontre Abdelfadel-Dumont avec Yasmine Abdelfadel, analyste politique. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Beaucoup de nouvelles! Informations complémentaires : Arcade Québec sur CKRL (89.1) : https://www.ckrl.qc.ca/fr/emissions/magazine/arcade-quebec Arcade Québec sur Youtube : https://www.youtube.com/channel/UCLn1d-5sW745B6TzAgGtEiQ Arcade Québec sur Twitch : twitch.tv/arcadeqc Avec : Stéphane Goulet (@pinponey) Guillaume Duplain (@gyom999) Jeff Dion (@JF_dion) Suivez-nous : arcadequebec.com facebook.com/arcadequebec x : @arcadeqc twitch.tv/arcadeqc patreon : Arcade Québec Merci !!!!!! #arcadeqc #arcadequebec
Alors que le soleil s'installe pour le pont de l'Ascension, on s'intéresse au boom des sirops. Vous avez sûrement en tête la traditionnelle grenadine à l'eau, et bien figurez-vous que c'est une madeleine de Proust pour de nombreux Français. D'après une étude Opinion Way pour le Syndicat français des sirops, le sirop évoque un souvenir heureux pour 56% des Français. Encore aujourd'hui, le sirop reste une boisson incontournable pour beaucoup de Français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Cette semaine, Brieuc reçoit Bénoni Paumier, un invité dont le projet est pour le moins surprenant, mais terriblement utile.Enregistré en plein cœur du Parc Floral de Vincennes, lors de la Reuse Economy Expo, cette nouvelle conversation explore un sujet rarement abordé dans l'économie circulaire : le reconditionnement des jouets intimes. Bénoni, ingénieur matériaux chimie de formation et aujourd'hui à la tête de Rejouis, nous plonge dans cette aventure, démarrée en 2023.Avec une très forte démocratisation de leur usage (51% des Françaises et Français ont déjà essayé un "sexual wellness product" en 2021, contre 10% en 2007), les sextoys posent un énorme problème environnemental. Ils sont majoritairement fabriqués en silicone (difficile à recycler) et contiennent beaucoup d'électronique, de batteries lithium-ion, de terres rares et de cuivre, rendant leur réparation quasiment impossible. Beaucoup finissent simplement jetés discrètement.Rejouis propose donc une solution concrète pour remettre ces jouets en utilisation, en créant une industrie du reconditionnement fiable et professionnelle. Le processus inclut un nettoyage et une désinfection rigoureux, basés sur des protocoles équivalents à ceux des sondes gynécologiques utilisées en milieu hospitalier. Cette approche rassure le public, y compris les professionnels du milieu médical qui sont particulièrement réceptifs.Au-delà de l'aspect environnemental (allonger la durée de vie des produits, ne pas alimenter la production de neuf made in China), Rejouis a un impact social important. En offrant des prix 30 à 50% moins chers que le neuf, le projet rend l'exploration intime accessible à un public plus large, y compris les personnes à revenus modestes. Il contribue également à lever les tabous autour de la sexualité, à promouvoir le bien-être intime, et même à aborder des sujets comme l'éducation au consentement ou la sexualité et le handicap.Les acteurs principaux de ce marché ont accueilli de manière très positive leur initiative (y compris des grandes entreprises comme Passage du Désir, partenaire de Rejouis), preuve qu'ils attendaient une telle solution face aux défis des déchets et du coût des produits. Vous découvrirez leurs projets à venir : développement de corners en boutiques partenaires, exploration de l'international, mais aussi innovation sur la revalorisation des matières (comme le silicone) et la réparabilité.Il est réellement possible d'appliquer les principes de l'économie circulaire dans un domaine inattendu, transformant un "déchet" en levier de discussion et de mieux-être sociétal.Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Cameroun parvient à produire le coton ayant les meilleurs rendements. Sa qualité est aussi saluée. Le bon suivi des itinéraires techniques (le respect des calendriers, le bon usage des produits phytosanitaires, etc.) explique en partie ces résultats. Cependant, le taux d'analphabétisme est encore important dans la région et contraint le développement des bonnes pratiques. Pour améliorer cela, l'Alliance française de Garoua dispense des cours pour aider les agriculteurs dans leurs pratiques quotidiennes. Avec notre envoyée spéciale de retour de Garoua,Dans ce cours de premier niveau, les cotonculteurs majoritairement des femmes, reprennent le B.A. BA de la lecture. Madeleine a 54 ans et ne manque pas d'humour : « Ça m'a beaucoup aidé. En mathématiques, rien ne peut me dépasser. Je peux peut-être être comptable de la Sodecoton. » Elle a suivi assidûment l'ensemble des cours proposés par l'Alliance française. « C'est utile, ça m'aide à compter l'argent pour le coton. Je peux peser le coton moi-même. Et je saurai comment calculer l'argent », explique-t-elle. Elle précise que jusqu'à présent, c'étaient les agents de la Sodecoton qui s'en chargeaient. « Je ne savais pas s'ils calculaient bien ou pas, mais maintenant, moi-même, je vais calculer. Je peux bien vérifier », assure-t-elle avec une once de fierté.Félicitée a la vingtaine, elle trouve une réelle utilité à ces cours dans ses activités quotidiennes. « Je ne savais pas lire, mais maintenant, j'ai appris. [Je suis capable de lire] les notices sur les produits de la Sodecoton et d'autres produits. Je lis les notices, ça m'apprend beaucoup de choses. C'est pourquoi j'apprécie beaucoup cette école », souligne la jeune femme.À écouter aussiLe coton camerounais sous pression malgré des bons rendementsPallier un besoin des professionnels du secteurEn plus des apprentissages scolaires habituels et d'un niveau pour apprendre à gérer un projet économique, cette année, l'Alliance française a ouvert un quatrième niveau. Les apprenants sont formés à des activités génératrices de revenus telles que la fabrication de savon. « Nous avons constaté que par rapport aux activités agricoles, elles pouvaient faire autre chose. C'est pourquoi on a jugé bon que l'on pouvait leur apprendre une activité génératrice de revenus », explique Wadjiri Pahimi, le superviseur de l'Alliance française de la zone. « Les autres cours consistent à les amener à parler français, lire, écrire et calculer. Beaucoup n'ont pas été à l'école ou ont arrêté très tôt », poursuit-il.Ces cours sont la traduction d'un besoin et d'une demande formulée par la société cotonnière, la Sodecoton et la confédération des cotonculteurs. Elle est mise en œuvre par l'Alliance française en partenariat avec le ministère de l'Éducation. L'année dernière, deux heures par jour, cinq jours par semaine, plus de 1 500 apprenants ont fréquenté les bancs de ces classes.
En Libye, le gouvernement d'Abdelhamid Dbeibah fait face au mécontentement de nombreux habitants de Tripoli. Des centaines d'entre eux ont même manifesté vendredi dernier pour réclamer son départ. Pourtant, il y a deux semaines, après les combats à l'arme lourde en plein centre-ville, beaucoup pensaient que le Premier ministre Abdelhamid Dbeibah avait renforcé sa position dans la capitale libyenne. Les jours de ce gouvernement sont-ils comptés ? Et le maréchal Haftar pourrait-il en profiter ? Jalel Harchaoui est chercheur associé au Royal United Services Institute de Londres. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Après la mort le 12 mai du chef de la milice SSA, est-ce que le Premier ministre, Abdelhamid Dbeibah, sort renforcé sur la scène libyenne ? Jalel Harchaoui : S'il s'était arrêté là, oui, j'aurais répondu oui. C'est-à-dire que les opérations que vous décrivez, qui ont eu lieu le 12 mai, étaient des opérations violentes, mais qui étaient menées d'une manière chirurgicale et très bien exécutées. Si bien que, si tout le monde était allé se coucher le lundi 12 mai à minuit sur ces victoires tactiques, c'est-à-dire le fait de démanteler une brigade importante connue pour ses pratiques tortionnaires, pour sa corruption, et qui en plus tenait tête, pas d'une manière féroce, mais qui tenait tête quand même au Premier ministre… Et bien un certain nombre d'Etats étrangers auraient applaudi et le Premier ministre Dbeibah, reconnu par l'ONU, je vous rappelle, aurait pu se servir de cette opération réussie pour intimider les autres challengers qui existent à Tripoli. Ce n'est pas du tout ce qu'il a fait. Ce qu'il a fait, c'est qu'il s'est senti renforcé, il pensait avoir une espèce de baraka, il s'est dit « tout ce que je touche se transforme en or, donc je vais me lancer dans une nouvelle aventure contre une autre milice ». Or cette milice n'a strictement rien à voir avec celle que vous avez mentionnée… Je parle cette fois-ci de la Force de dissuasion Al Radaa qui tient le seul aéroport opérationnel de la capitale libyenne, Mitiga. Et cette seconde phase de cette aventure, c'est-à-dire mardi soir 13 mai, a donné lieu non pas à un succès comme lundi, mais ça a donné lieu à un fiasco.Le 13 mai, il s'est cassé les dents…Il s'est cassé les dents et ça s'est traduit par une très grande violence. Donc c'est un véritable massacre. Il y a eu quelque part entre 50 et 70 morts en 24h, dont des civils et en plein centre de Tripoli. Et ça, ça a été fortement rejeté par la population.Et d'autant que cette milice, Al Radaa, elle a des soutiens à l'extérieur de Tripoli, non ? Oui, depuis qu'il est clair qu'elle ne s'entend pas avec le Premier ministre, elle a restauré ses liens avec la famille Haftar à Benghazi. Donc c'est une milice qui, déjà avant la Grande Guerre de Tripoli en 2019, était connue pour maintenir une espèce de dialogue, même de lien, voire logistique et financier, avec la famille Haftar. Et bien tout cela est revenu ces dernières années. Aujourd'hui, pour moi, la force d'Al Radaa, qui contrôle Mitiga, est clairement liée dans une espèce d'alliance tactique avec la famille Haftar à Benghazi.Donc on a aujourd'hui un très fragile équilibre à l'intérieur de la capitale entre le Premier ministre Dbeibah et la Force Al Radaa ? Oui, et ce n'est pas le seul challenger. C'est ça qui rend la chose difficile, c'est que Tripoli, du fait d'une espèce de débâcle dans la nuit du mardi 13 au mercredi 14 mai… Aujourd'hui, Tripoli est poreuse. Qu'est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que les adversaires du Premier ministre Dbeibah à Zaouïa se manifestent. Zaouïa est une ville de 300 000 personnes, située à 45 kilomètres à l'ouest de Tripoli. Il y a des forces de Zaouïa, qui sont contre le Premier ministre, qui ont réussi à pénétrer le flanc ouest de la ville de Tripoli.Alors tout de même, Abdelhamid Dbeibah, le Premier ministre, il a un atout, c'est Misrata, la cité-État, qui est à l'est de Tripoli et qui exerce une sorte de tutelle stratégique sur tout l'ouest de la Libye depuis au moins cinq ans, non ? D'abord, vous avez raison de parler de Misrata, c'est extrêmement important. Mais je ne dirais pas les choses de cette façon-là. En ce qui concerne le dossier Dbeibah, c'est quand même un personnage qui n'a pas beaucoup aidé sa ville. Donc il s'est targué de venir de la ville de Misrata. Il a utilisé sa ville qui est une ville très importante sur le plan commercial, extrêmement dynamique, avec beaucoup d'hommes d'affaires qui ont réussi, etc. Mais ce n'est pas un bloc, Misrata. Il y a une partie, un réservoir de brigades que Dbeibah aimerait bien recevoir comme étant des alliés à l'intérieur de cette crise tripolitaine et qui ne bouge pas, qui ne lève pas le petit doigt actuellement, parce que cette partie des brigades ne l'aime pas. Et donc c'est vrai que par exemple, en 2019, la force principale qui avait permis à Tripoli de résister contre l'agression du Maréchal Haftar, c'étaient les forces de Misrata. Mais aujourd'hui, je ne dirais pas du tout que Misrata est entièrement mobilisée pour défendre un de ses enfants, c'est-à-dire le Premier ministre Dbeibah, pas du tout.Est-ce que, six ans après son échec devant Tripoli, le Maréchal Haftar peut prendre sa revanche ? Déjà, j'aurais tendance à dire que, aujourd'hui, la famille Haftar est beaucoup plus riche. Ses hommes sont mieux entraînés, il y a une présence russe qui est plus importante. Donc la famille Haftar est beaucoup plus puissante aujourd'hui qu'en 2019. Et donc elle est en train de ne pas juste regarder la crise à Tripoli. Il y a des acteurs aujourd'hui, des acteurs armés qui sont aujourd'hui à l'intérieur de Tripoli et qui sont, si vous voulez, des proxys de la famille Haftar. Donc ce ne sont pas des brigades de la famille Haftar, mais ce sont des alliés extrêmement étroits, extrêmement fiables du point de vue des Haftar. C'est-à-dire que maintenant que la situation de Tripoli a été clairement fragilisée, la famille Haftar se dit « bon, on est très confortable à l'est, on est très confortable à l'ouest, on voit que le Premier ministre à Tripoli a fait une bêtise. Et donc tout cela devient plus poreux. Donc on va essayer de tirer notre épingle du jeu ». Ça, c'est une certitude. Et ça, ce sont les ingrédients de la prochaine crise.
Semaine royale: le précédent de 1977. Prix de l’essence: le PQ réplique. Congés de maladies des gestionnaires: un privilège qui s’éteindra bientôt. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille et Benoit Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:06:59 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - L'évolution de la législation sur le démarchage téléphonique nous le rappelle : depuis longtemps, les artistes mettent en scène des appels intempestifs
Chaque samedi et dimanche, Lénaïg Monier reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour une interview sans concession. Aujourd'hui, Cédric Pioline pour évoquer notamment l'hommage à Rafael Nadal lors de l'ouverture de Roland-Garros. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, des villes françaises comme Valence, Nevers ou Châtillon sonnent familières à nos oreilles. Mais il fut un temps, à la Révolution française, où elles ne portaient pas les mêmes noms. Pourquoi ? Parce que plus de 3000 communes ont changé de nom entre 1790 et 1795.Un véritable tsunami toponymique, qui en dit long sur l'époque. Alors, que s'est-il passé ?La Révolution française, ce n'est pas seulement la chute de la monarchie. C'est une volonté de refaire la France, de fond en comble.Changer les lois. Changer les mœurs. Et même… changer les noms.Les révolutionnaires considéraient que les noms de villes portaient les stigmates de l'Ancien Régime : des références religieuses, royales ou féodales qui n'avaient plus leur place dans la République naissante.Alors, on a voulu épurer le territoire.Adieu "Saint-Quelque-Chose", "Ville-Royale", "Notre-Dame-de…"Prenons des exemples concrets :Saint-Étienne devient Armes-le-Républicain, en référence à son industrie d'armement.Montpellier est rebaptisée Mont-Libre.Châtillon-sur-Seine devient Montagne-sur-Seine, dans l'esprit des Montagnards révolutionnaires.Versailles, symbole absolu de la monarchie, devient… Berceau-de-la-Liberté. Un nom audacieux, voire ironique.Les saints disparaissent. On les remplace par des mots comme “liberté”, “égalité”, “montagne”, “république”, “la raison”… Toute une géographie nouvelle, façonnée par les idéaux révolutionnaires.Mais attention : ces changements ne sont pas tous imposés d'en haut. Beaucoup viennent des communes elles-mêmes, désireuses de prouver leur attachement à la Révolution, parfois pour échapper à la suspicion ou aux représailles.Certaines vont même plus loin que nécessaire, supprimant tout ce qui pourrait rappeler une croix, une abbaye ou un seigneur.Mais cette frénésie toponymique ne dure qu'un temps.Avec la fin de la Terreur en 1794, et surtout sous le Directoire, la ferveur radicale s'essouffle. Bon nombre de villes reprennent progressivement leurs anciens noms – parfois dès les premières années du XIXe siècle, parfois beaucoup plus tard.Alors non, ce grand nettoyage de la carte de France n'a pas duré. Mais il a laissé une trace. Il nous rappelle qu'un nom, ce n'est pas neutre. C'est un choix, une mémoire, une idéologie.Changer le nom d'un lieu, c'est essayer de changer ce qu'il signifie. Et pendant quelques années, la France a tenté de se renommer elle-même… pour réinventer son avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Faut-il s'étirer quand on court ?Dans cet épisode, on met les idées reçues à l'épreuve ! Avec Major Mouvement, on explore ce que la science dit vraiment des étirements en course à pied. Statique ou dynamique ? Avant ou après ? Utile ou complètement surfait ?Avec des métaphores croustillantes, des vérités qui piquent un peu, et surtout un bon bol de bon sens, ce podcast vous aide à répondre à LA question : s'étirer… ou pas ?
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 23 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Episode 495 avec David et Sébastien S..• Quand Google fait son show (00:01:54) : Un petit résumé de la conférence Google I/O. (Sources : blog.google, googleblog.com et theverge.com) • Discmaster revient (00:19:36) : Naviguez dans un océan de rétro-computing. (Source : korben.info) • Quand on partage ses Gb (00:24:54) : Dot Dot, l'appli de partage de vos gigas mobiles. (Sources : clubic.com et dotdot.fr) • Fortnite vs Apple (00:36:49) : De retour sur l'App Store américain après près de cinq ans. (Sources : bbc.com et pocketgamer.biz) • Quand Crypto rime avec parano (00:41:19) : La sécurité physique des grands détenteurs de cryptomonaies est à risque. (Source : developpez.com) • Beaucoup plus (00:49:39) : 30.72TB dans la main, le "plus gros SSD" à ce jour. (Source : techradar.com) Retrouvez toutes nos informations, liens, versions du podcast via notre site Abonnez-vous à notre infolettre afin d'être informé de notre veille technologique de la semaine et de la parution de nos épisodes
Un assureur belge propose désormais des prêts hypothécaires sur 40 ans. Une vie de remboursement, une vie à envoyer chaque mois de l'argent à sa banque ou à sa compagnie d'assurances sans interruption. L'argument est très simple : ça baisse la mensualité. Mais ce qu'on oublie de dire, c'est que vous payerez plus du double du montant emprunté. Pourquoi cette formule séduit-elle ? Parce qu'on est dans une époque où tout est trop cher. Acheter un bien devient presque mission impossible sans l'aide des parents ou sans étirer justement au maximum la durée du crédit. Beaucoup de jeunes se disent que c'est peut-être leur seule chance d'avoir un toit à eux. Mais derrière cette solution apparente, il y a un piège. Car un crédit sur 40 ans, ce n'est pas qu'une histoire de chiffres, c'est un poids sur les épaules. Ça vous suit partout, ça vous oblige à garder votre job, à faire attention à chaque changement, à éviter les coups de tête. Ce genre de crédit vous rend prudent, trop prudent même. Et c'est ça le véritable problème quand on est jeune. On devrait pouvoir tenter des choses, changer de cap, créer sa boîte, prendre des risques. Mais avec un crédit pareil sur le dos, on pense deux fois, trois fois avant de bouger. Et souvent, on ne bouge plus. On ne dit pas qu'il ne faut pas emprunter, mais il faut comprendre que ce type de crédit à long terme implique plusieurs choses. Ce n'est pas juste une mensualité un peu plus basse, c'est une vie entière à organiser autour d'un remboursement, une sorte d'engagement à long terme. Dans un monde qui change tout le temps, ce qu'il faudrait, ce n'est pas des crédits toujours plus longs, mais des logements à des prix plus raisonnables. Parce qu'un toit, ce n'est pas censé être un luxe, c'est supposé être un besoin fondamental. Mots clés : époque, assureur belge, prêts hypothécaires, 40 ans, crédit, emprunt, emprunter, argent, fonds, remboursement, banque, mensualité, compagnie d'assurance, sans interruption, argument, baisse, mensualités, différence, budget, double, prix, confort, mensuel, taux intérêts, formule, cher, cout de la vie, logements, bruxelles, wallonie, achat, acheter, accès, propriété, durée, mission impossible, aide, parents, jeunes, seule chance, toit, posséder, avoir, payer, paiement, piège, chiffres, poids sur les épaules, job, emploi, prudent, prudence, faire attention, changement, cage dorée, problème, créer sa boîte, prendre des risques, banques belges, frileuses, longue durée, long terme, allongement, durée, perte d'emploi, séparation, maladie, expérience, mois, abaisser, basse, engagement, logements, maison, appartement, prix raisonnables, hypothèque, hypothéquer, luxe, besoin fondamental, endettement, s'endetter, se loger, marché, politiques, décider, seul moyen, société, esclavagisme --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Mourad Boudjellal et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Beaucoup de médecins disent qu'il faut bannir les écrans une à deux heures avant d'aller se coucher pour ne pas perturber le sommeil. Regarder la télé le soir empêche-t-il aussi de bien dormir ? Le point. Ecoutez Ça va Beaucoup Mieux avec Aline Perraudin du 19 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
On débute cette émission très spéciale avec quelques nouveautés avant d'accueillir dans les studios Jahvie du Tuff Lions alongside Safa Diallo qui sont en tournée dans toute la France et pour la deuxième partie, on reçoit le groupe italien Mellow Mood qui vient nous présenter son nouvel album "7". Beaucoup de live & direct au programme!
Les envoyés spéciaux de l'émission vont constamment à droite et à gauche ! Dans ces conditions, Julien Courbet espère que Célia Oprandi peut quand même trouver du repos... Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, des villes françaises comme Valence, Nevers ou Châtillon sonnent familières à nos oreilles. Mais il fut un temps, à la Révolution française, où elles ne portaient pas les mêmes noms.Pourquoi ? Parce que plus de 3000 communes ont changé de nom entre 1790 et 1795.Un véritable tsunami toponymique, qui en dit long sur l'époque. Alors, que s'est-il passé ?La Révolution française, ce n'est pas seulement la chute de la monarchie. C'est une volonté de refaire la France, de fond en comble.Changer les lois. Changer les mœurs. Et même… changer les noms.Les révolutionnaires considéraient que les noms de villes portaient les stigmates de l'Ancien Régime : des références religieuses, royales ou féodales qui n'avaient plus leur place dans la République naissante.Alors, on a voulu épurer le territoire.Adieu "Saint-Quelque-Chose", "Ville-Royale", "Notre-Dame-de…"Prenons des exemples concrets :Saint-Étienne devient Armes-le-Républicain, en référence à son industrie d'armement.Montpellier est rebaptisée Mont-Libre.Châtillon-sur-Seine devient Montagne-sur-Seine, dans l'esprit des Montagnards révolutionnaires.Versailles, symbole absolu de la monarchie, devient… Berceau-de-la-Liberté. Un nom audacieux, voire ironique.Les saints disparaissent. On les remplace par des mots comme “liberté”, “égalité”, “montagne”, “république”, “la raison”… Toute une géographie nouvelle, façonnée par les idéaux révolutionnaires.Mais attention : ces changements ne sont pas tous imposés d'en haut. Beaucoup viennent des communes elles-mêmes, désireuses de prouver leur attachement à la Révolution, parfois pour échapper à la suspicion ou aux représailles.Certaines vont même plus loin que nécessaire, supprimant tout ce qui pourrait rappeler une croix, une abbaye ou un seigneur.Mais cette frénésie toponymique ne dure qu'un temps.Avec la fin de la Terreur en 1794, et surtout sous le Directoire, la ferveur radicale s'essouffle. Bon nombre de villes reprennent progressivement leurs anciens noms – parfois dès les premières années du XIXe siècle, parfois beaucoup plus tard.Alors non, ce grand nettoyage de la carte de France n'a pas duré. Mais il a laissé une trace. Il nous rappelle qu'un nom, ce n'est pas neutre. C'est un choix, une mémoire, une idéologie.Changer le nom d'un lieu, c'est essayer de changer ce qu'il signifie. Et pendant quelques années, la France a tenté de se renommer elle-même… pour réinventer son avenir. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz est condamné en appel à 15 ans de prison ferme pour « enrichissement illicite » et « trafic d'influence ». Avancée dans la lutte contre l'impunité ou règlement de comptes ? Au Gabon, l'ancien président Ali Bongo et sa famille ont été libérés et sont arrivés dans le plus grand secret à Luanda, la capitale angolaise. Beaucoup déplorent une justice à deux vitesses, à juste titre ? En Côte d'Ivoire, le leader du PDCI Tidjane Thiam est réélu à la tête du parti, deux jours après avoir démissionné de ce poste. Une élection qui ne change cependant rien à son inéligibilité au scrutin présidentiel d'octobre prochain.En Turquie, quelles chances pour les pourparlers en l'absence des présidents russe et ukrainien ?Enfin promesses d'investissement, dossiers sensibles, soupçon de conflit d'intérêts… Que doit-on retenir de la tournée du président américain Donald Trump au Moyen-Orient ? Avec la participation de : - Wuldath Mama, consultante spécialisée dans les questions internationales pour la Société de radio et de télévision du Bénin- Karine Oriot, éditorialiste camerounaise- François Hiondi Nkam, grand reporter et chef du service Économie au quotidien camerounais Le jour.
Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Jimmy Mohamed du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs De nombreuses victimes de violences au sein d'établissements catholiques ont regardé le premier ministre interrogé par la commission d'enquête parlementaire. Beaucoup en sont sorties déçues, autant par l'attitude de l'élu du Béarn que par l'absence de réponses concrètes. Un article Clément Rab, publié le 15 mai 2025 sur Mediapart, lu par Christine Pâris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:43 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - « Il faut cultiver notre jardin ». On connaît la dernière phrase du « Candide » de Voltaire. Plus de deux siècles qu'elle fait l'objet d'interprétations sans fin. Beaucoup l'ont interprété comme une invitation à la sagesse, d'autres à trouver un refuge contre les malheurs du monde.
On continue le débrief de la Draft des 32 équipes ! Au programme aujourd'hui, les Cincinnati Bengals.Beaucoup de choses à dire dans cette Draft, avec notamment le choix Shemar Stewart qui divise. Après cela, est-ce que les autres choix ont convaincu ?Le meilleur choix, le plus mauvais, le plus intrigant, tous ces choix vont être analysés par Antoine Ajavon et Nithinya Simuong au micro.Bonne écoute ! Become a member at https://plus.acast.com/s/touchdown-actu-nfl-podcast. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En France, on a des fromages, des vins… et des ronds-points. Beaucoup de ronds-points. Un pour entrer dans la ville, un pour en sortir, un autre juste pour dire qu'il y a un rond-point. Et au milieu, des trucs improbables : une vache géante, un avion de chasse, une sculpture en tôle représentant… personne ne sait vraiment quoi.On en compte plus de 50 000. Oui, oui. La France est championne du monde du rond-point, avec environ un tous les 21 kilomètres. Mais d'où ça sort, ce truc ? Qui s'est dit un jour : “Tiens, on va faire tourner les voitures en rond, ça va les calmer” ? Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:18:38 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Mercredi 14 mai 2025 : Bruno Rebeuh, ancien arbitre international de tennis. Il publie "Retour pleine ligne", aux éditions Albin Michel.
L'histoire de Pham Xuân An est digne d'un roman d'espionnage, sauf qu'elle est entièrement vraie. Pendant des décennies, cet homme a mené une double vie extraordinaire : journaliste respecté à Saïgon pour des médias occidentaux comme Time Magazine, il était en réalité un agent secret du Viet Cong, travaillant dans l'ombre pour le renseignement nord-vietnamien.Né en 1927 au Vietnam, Pham Xuân An est envoyé aux États-Unis dans les années 1950 pour étudier le journalisme à l'université d'Orange Coast College en Californie. C'est un homme cultivé, charismatique et très à l'aise dans les cercles américains. De retour au Vietnam, il devient correspondant pour plusieurs grandes agences de presse étrangères, gagnant rapidement la confiance de diplomates, d'officiers américains et de journalistes de renom. Il est perçu comme un observateur objectif, modéré, bien informé. En réalité, il mène une mission secrète bien plus audacieuse.Pham Xuân An était un espion au service du Nord-Vietnam, infiltré au cœur de l'élite politique et militaire sud-vietnamienne. Grâce à son statut de journaliste, il avait accès à des informations confidentielles, des rapports militaires, et des conversations privées de hauts responsables américains. Il retranscrivait tout cela en messages codés ou en microfilms, qu'il faisait parvenir à Hanoï via des messagers clandestins. Il a notamment transmis des données stratégiques sur les opérations américaines pendant la guerre du Vietnam, influençant directement certaines batailles clés.Ce qui rend son histoire fascinante, c'est la manière dont il a maintenu sa couverture pendant des décennies, même après la chute de Saïgon en 1975. Alors que d'autres espions sont démasqués ou éliminés, lui reste discret, protégé par son image publique de journaliste patriote. Ce n'est qu'après la guerre que son rôle réel commence à émerger. En 1976, il est officiellement nommé général dans les services de renseignement du Vietnam, une reconnaissance tardive mais immense.Beaucoup de ses anciens collègues journalistes furent abasourdis à la révélation de sa véritable identité. Certains se sentirent trahis, d'autres lui gardèrent leur estime, reconnaissant qu'il avait toujours fait preuve d'une éthique personnelle, ne mentant jamais plus que nécessaire et n'ayant jamais mis leurs vies en danger.Pham Xuân An est mort en 2006, honoré comme un héros national au Vietnam. Son histoire interroge profondément la frontière entre loyauté, trahison, et devoir. Il incarne l'archétype parfait de l'espion invisible : un homme effacé, brillant, qui a su manipuler la réalité avec une redoutable intelligence — sans jamais perdre son calme ni sa foi dans la cause qu'il servait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Didier Giraud et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Quel est le vrai bilan de la bataille de Goma, en janvier dernier, dans l'est de la RDC ? Trois mois après la prise de cette ville par les rebelles du M23, où en est la situation humanitaire ? Patrick Youssef est le directeur régional pour l'Afrique du Comité International de la Croix Rouge (CICR). De retour d'une mission en RDC, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quelque 100 jours après la prise de Goma par le M23, est-ce que la situation humanitaire est toujours aussi grave ou est-ce que les choses s'améliorent ? Patrick Youssef : la situation se stabilise de plus en plus. Évidemment, les bombardements et la conduite des hostilités ne sont plus à la même cadence à Goma et ailleurs. Mais la crainte, effectivement, que ça se dégrade encore est bien sûr sur la table.À la fin du mois de janvier, la ville de Goma est tombée après plusieurs jours de combats qui ont fait 3000 morts selon l'ONU et 600 morts selon les rebelles du M23. Quel est le vrai bilan d'après vous ? Ce que nous pouvons dire, c'est que nos équipes sur le terrain ont été témoin des conséquences humanitaires de ce conflit, que ce soient les morts, les blessés. Je pense que je n'ai jamais entendu un constat aussi dur de la part de nos collègues, ainsi que des volontaires de la Croix-Rouge de la RDC, qui nous ont raconté l'exploit et la difficulté de récolter les dépouilles mortelles et d'enterrer plus que 1000 corps. Donc, je ne connais pas les chiffres, mais les hôpitaux étaient déjà bien saturés et certainement les morgues ont suivi. Donc, je confirme que les chiffres sont très très difficiles à avoir à ce stade.Mais en tout cas, au moins 1000 corps ont été ramassés dans les rues de Goma ? Beaucoup plus, je pense. C'était juste cette action-là. Mais je n'ai pas les chiffres, bien sûr.Les personnes tuées à Goma sont des combattants, a affirmé le M23. Qu'en pensez-vous ? Évidemment, il y a des morts et des blessés dans les rangs des militaires, mais aussi des civils. Le nombre de blessés accueillis dans les établissements médicaux soutenus par le CICR a explosé sous ce flux massif. On entend de nos collègues que les bandages étaient coupés en trois. Les médicaments administrés dans le bloc opératoire étaient réduits. Le premier trimestre 2024 avait été marqué par d'intenses combats dans l'Est de la RDC. On avait 860 patients admis. Mais en 2025, ces chiffres ont explosé. Il y a eu trois fois plus d'admissions, autour de 2350 patients dans les quatre centres de soins de santé soutenus par le CICR.En mars dernier, à Goma, quelques 130 soldats congolais qui avaient été blessés dans les combats auraient été arrachés de leurs lits d'hôpital par le M23, disent les Nations unies. Est-ce que vous confirmez ? En fait, le rôle du CICR se limite vraiment à appuyer les structures qui offrent des soins nécessaires dont les blessés ont besoin. Bien sûr, cet événement est tragique. Le CICR n'a aucune manière de contrôler l'accès aux hôpitaux qu'il soutient avec des équipes chirurgicales. Nos équipes médicales sont là pour fournir simplement des soins aux patients, mais n'ont pas les moyens d'empêcher effectivement le transfert des blessés ou de leur garde-malade.Est-ce que vous avez des nouvelles de ces quelques 130 soldats congolais disparus ? C'est toujours un dialogue en cours effectivement avec les parties concernées. Comme vous le savez, c'est le cœur de notre travail. C'est le but d'engager un dialogue pour effectivement que ces violations ne se répètent pas.Depuis sa création, il y a bientôt 200 ans, en 1864, la Croix-Rouge s'occupe aussi des prisonniers de guerre. Est-ce que vous avez pu en visiter beaucoup depuis le début de l'année ? Oui, effectivement. Je confirme que cette action est très importante pour le CICR en termes d'accès et en termes de visites répétées par le CICR. C'est d'ailleurs un des sujets qui a été abordé par la présidente du Comité international de la Croix-Rouge lors de sa visite récente à Kinshasa, pour effectivement non seulement améliorer l'accès, mais effectivement travailler avec les autorités pour l'amélioration des conditions. Nous avons vraiment un espoir, s'il y a d'autres arrestations, que le CICR soit effectivement informé et que cette action puisse être accomplie.Depuis la prise de Goma au mois de janvier, des centaines de militaires congolais, mais aussi burundais, ont été capturés par les rebelles du M23, notamment à Goma et à Saké. Est-ce que vous avez de leurs nouvelles ? Ce n'est pas forcément opportun pour nous de parler de notre action publiquement. Ce qu'on peut dire, c'est que c'est une question extrêmement sensible. On y travaille. De manière générale, on a accès à plein de détenus. Dans ce cas, on y travaille encore. Donc, on a ce dialogue avec l'ensemble des parties et on espère effectivement que l'accès, qui n'est pas encore à un niveau satisfaisant, continue à s'améliorer, comme il y a déjà eu du progrès récemment.Et donc, vous avez pu rassurer des familles de prisonniers ? À chaque fois que nous rencontrons un prisonnier, que nous proposons les services de messages Croix-Rouge, effectivement, on avise effectivement les familles et, dans ce cas précis, on a eu énormément de contacts justement avec, que ça soit des détenus ou des membres de famille, selon les visites, bien sûr !Des familles congolaises ?Oui, bien sûr !Et des familles burundaises ?Je n'ai pas cette information.À lire aussiEst de la RDC: «Plus de 900 corps ont été enterrés par la Croix-Rouge et le CICR»
5 RESTOS HARAM QUE BEAUCOUP PENSENT HALAL
Le procès de la star américaine P. Diddy s'est ouvert le 5 mai 2025, à New York. Accusé de trafic sexuel, le musicien et producteur multimillionnaire encourt la prison à vie. Arrêté le 16 septembre 2024 à New York, le rappeur et producteur à succès P. Diddy est accusé de viol, de violences, de séquestration, de prostitution forcée et de distribution de vidéos illégales. Beaucoup font le parallèle avec l'affaire Epstein qui avait éclaté en 2019. Le monde apprenait avec horreur que le milliardaire américain Jeffrey Epstein proche de beaucoup de célébrités d'Hollywood dirigeait un réseau de prostitution pédocriminelle. Qui est P. Diddy ? Pourquoi et comment cette affaire a-t-elle éclaté ? Pourquoi prend-elle autant d'ampleur ? Qui est concerné ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter aussi : Qui sont ces stars qui font partie d'une secte ? Qui sont les nepo-babies, ces privilégiés d'Hollywood ? Qu'est-ce qu'un business pyramidal, cette arnaque sur les réseaux sociaux ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion le 08/10/2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:07:05 - L'invité de 6h20 - L'ancienne footballeuse Corine Petit, consultante de Radio France, était l'invitée de France Inter, au lendemain de la qualification du Paris Saint-Germain pour la finale de la Ligue des champions.
Le procès des Templiers est l'un des épisodes les plus troublants et fascinants de l'histoire médiévale. Il mêle pouvoir royal, manipulation politique, torture inquisitoriale et chute spectaculaire d'un ordre puissant. Voici tout ce qu'il faut savoir sur ce procès hors normes, qui scella la fin tragique des célèbres moines-soldats.Les Templiers : richesse et puissanceFondé vers 1119, l'ordre du Temple avait pour mission initiale de protéger les pèlerins en Terre sainte. Rapidement, il devient un acteur militaire incontournable des croisades, mais aussi un acteur économique majeur. Grâce aux dons, à leurs privilèges fiscaux et à un réseau de commanderies dans toute l'Europe, les Templiers accumulent des richesses colossales, agissant même comme banquiers pour les rois et les papes.Mais après la chute de Saint-Jean-d'Acre en 1291, dernier bastion chrétien en Orient, leur raison d'être semble affaiblie. Et un homme en particulier voit d'un très mauvais œil leur pouvoir : le roi de France Philippe IV le Bel.Une manœuvre politique implacableEndetté auprès des Templiers, Philippe le Bel décide de frapper fort. Le 13 octobre 1307, il ordonne l'arrestation massive de tous les Templiers de France, y compris leur grand maître, Jacques de Molay. L'accusation est grave : hérésie, idolâtrie, pratiques obscènes lors des cérémonies d'initiation, voire sodomie et reniement du Christ.Ces accusations reposent essentiellement sur des aveux obtenus sous la torture, avec l'aide de l'Inquisition. Beaucoup de Templiers avouent tout… avant de se rétracter aussitôt après. Mais le mal est fait : la rumeur court, et l'image des Templiers s'effondre.Un procès sans justiceLe pape Clément V, d'abord réticent, cède peu à peu à la pression du roi. Il ouvre un procès pontifical, mais les dés sont pipés. En 1312, sous la menace d'un schisme, Clément dissout l'ordre du Temple lors du concile de Vienne. Il ne le déclare pas coupable, mais supprime l'ordre par "pragmatisme".Le 18 mars 1314, après sept ans de captivité, Jacques de Molay est brûlé vif à Paris, sur l'île de la Cité, après avoir rétracté ses aveux en public. Il aurait lancé, selon la légende, une malédiction sur le roi et le pape, tous deux morts dans l'année suivante.Héritage et mytheCe procès, orchestré plus par la volonté politique que par la foi, reste un symbole de l'instrumentalisation de la justice à des fins de pouvoir. Il a aussi alimenté un immense imaginaire autour des Templiers : trésors cachés, savoirs occultes, et sociétés secrètes. Mais derrière le mythe, il reste une vérité plus crue : celle d'un ordre sacrifié pour des raisons d'argent et de souveraineté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après le temps des classiques voici venu l'époque des Grands Tours. Eh oui ce samedi en Albanie, pays visité pour la première fois par une course de ce niveau, le Giro d'Italia s'élancera pour sa 108e édition. Et bien malin celui qui pourrait nous annoncer le nom du dernier porteur du maillot rose de cette course le 1er juin prochain à Rome. Bien plus difficile à pronostiquer en tout cas que le Tour d'Italie 2024 qui avait vu Tadej Pogacar rafler 6 étapes et s'imposer avec plus de 10 minutes d'avance sur son dauphin le Colombien Martinez. Oui mais cette année Tadej n'est pas là et ses rivaux se frottent les mains espérant profiter de l'absence du grand méchant cannibale du cyclisme mondial. Alors, qui pour lui succéder ? Beaucoup de noms sont avancés dont celui de son équipier l'espagnol Ayuso ou encore du compatriote de Pogi, le slovène Primoz Roglic vainqueur en 2023 et qui malgré ses 35 printemps reste très performant et toujours aussi ambitieux. Mais aujourd'hui avec toute la bande de Grand Plateau nous verrons que la liste des prétendants est longue, très longue même. Une liste dans laquelle pourraient même figurer quelques coureurs français ? On verra ce que pensent nos experts des formes respectives de David Gaudu ou de Romain Bardet. Et puis nous étudierons également le parcours de ce Giro toujours aussi montagneux et qui pour finir franchira les portes du Vatican pour y rendre hommage au pape François récemment disparu. Avec Christophe Cessieux, Pierre-Yves Leroux, Pierre Koetschet, Yohan Bredow et Jérôme Coppel Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Vincent Cauchois
Tout savoir de l'actualité people et média, c'est tous les jours à 7h35, avec Antoni Ruiz sur RFM !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
It was a long day, but Rory finally made his way to the studio from New Orleans. The 100 men vs 1 gorilla debate resurfaced on Twitter so Mal had to remind everyone why it wouldn't be a fair fight. Then, we make it official! Mal will debate DJ Hed with Rory and Demaris as moderators. Plus, Shedeur Sanders being prank called by the Atlanta Falcons Defensive Coordinator's son leads to a debate about consequences, and a voicemail leaves Mal curious as to what women do when they stay out until 6AM.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Olivier, Marpeau est gynécologue de profession et créateur du compte Instagram « Mon Gynéco » avec plus de 1 million de followers.Avoir 2 hommes qui parle de la santé des femmes et plus spécifiquement de la santé gynécologique, ca peut paraître étrange et pourtant je suis convaincu que les hommes devraient s'en soucier beaucoup plus.J'ai posé l'intégralité des questions que j'ai reçu suite à une story Instagram anodine - pourtant j'ai eu des centaines de questions!Avec Olivier, j'ai eu une conversation à la fois fluide, engagée et incroyablement nécessaire. Depuis plusieurs années, Olivier s'est donné pour mission de rendre la santé gynécologique plus accessible, plus compréhensible, et surtout moins taboue. Ce qui m'a particulièrement frappé chez lui, c'est son désir sincère de remettre du dialogue et de la pédagogie là où, souvent, il n'y a que silences et gêne.Dans cet épisode, nous avons parlé de ce que signifie être un homme dans un domaine encore très genré, et de ce que cela change dans l'écoute et la relation aux patientes. J'ai voulu comprendre avec lui pourquoi tant de femmes vivent avec des douleurs que l'on considère à tort comme normales, pourquoi certains gestes médicaux comme la pose de stérilet se font encore sans anesthésie, et comment l'endométriose peut rester invisible pendant des années.Nous avons aussi abordé la question de la contraception, de la fertilité, et de la congélation d'ovocytes, sujets qui soulèvent souvent plus de peurs que d'informations. J'ai questionné Olivier sur les limites du discours médical, sur les responsabilités qu'on fait peser (toujours) sur les femmes, et sur ce qu'il faudrait changer, concrètement, dans l'éducation à la santé.Ce qui ressort de cet échange, c'est qu'on ne peut plus se permettre d'ignorer la complexité des corps féminins, ni de continuer à invisibiliser leur souffrance. Et pour cela, il faut écouter, expliquer, transmettre. Olivier le fait avec douceur, rigueur et une vraie volonté de faire avancer les choses. C'est une conversation qui, je l'espère, fera bouger les lignes — et les consciences.`Citations marquantes« Les hommes n'ont aucune idée de ce que vivent les femmes au quotidien. »« Ce n'est pas en cachant les choses qu'on rassure les femmes, c'est en leur expliquant. »« On pose un stérilet sans anesthésie. Pourquoi ? Parce que la douleur des femmes est encore invisible. »« Beaucoup de femmes vivent avec des douleurs qu'on leur a dit normales... mais qui ne le sont pas. »« On devrait enseigner la fertilité à tous, pas seulement quand il est presque trop tard. »Questions structurées posées dans l'interviewPourquoi as-tu voulu créer le compte “Mon Gynéco” ?Qu'est-ce qui t'a le plus surpris en tant que gynécologue sur la santé des femmes ?Pourquoi les hommes sont-ils si peu informés ?Quels sont les tabous encore présents en gynécologie ?Comment expliquer qu'on pose un stérilet sans anesthésie ?Quelle est ta vision de l'éducation à la fertilité ?Pourquoi tant de femmes souffrent sans diagnostic pendant des années ?Que penses-tu du discours médical sur la contraception ?Quels sont les risques ou les réalités de la congélation d'ovocytes ?Que souhaiterais-tu dire à toutes les femmes qui hésitent à consulter ?Timestamps clés00:00 – Introduction de l'épisode et présentation d'Olivier04:12 – Pourquoi les hommes doivent comprendre la santé gynéco09:30 – La douleur féminine : une question négligée15:40 – Le tabou autour du stérilet et de la contraception22:05 – L'endométriose : symptômes, délais, souffrance invisible29:10 – La congélation d'ovocytes : explications claires et sans langue de bois34:45 – L'éducation sexuelle : un levier pour l'autonomie41:00 – Les consultations gynéco : ce qu'il faut vraiment savoir46:20 – Message d'Olivier pour les femmes (et les hommes) Suggestion d'autres épisodes à écouter : #297 Briser les tabous autour de la ménopause avec Davina Mc Call (https://audmns.com/wpkwLZi) #308 Libérer la parole sur la santé des femmes avec André Ulmann (https://audmns.com/hAQtMJz) #189 Les psychédéliques pour améliorer votre santé mentale? Avec Françoise Bourzat (https://audmns.com/tgOZoDG)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olivier, Marpeau est gynécologue de profession et créateur du compte Instagram « Mon Gynéco » avec plus de 1 million de followers.Avoir 2 hommes qui parlent de la santé des femmes et plus spécifiquement de la santé gynécologique, ca peut paraître étrange et pourtant je suis convaincu que les hommes devraient s'en soucier beaucoup plus.J'ai posé l'intégralité des questions que j'ai reçue suite à une story Instagram anodine - pourtant j'ai eu des centaines de questions!Avec Olivier, j'ai eu une conversation à la fois fluide, engagée et incroyablement nécessaire. Depuis plusieurs années, Olivier s'est donné pour mission de rendre la santé gynécologique plus accessible, plus compréhensible, et surtout moins taboue. Ce qui m'a particulièrement frappé chez lui, c'est son désir sincère de remettre du dialogue et de la pédagogie là où, souvent, il n'y a que silences et gêne.Dans cet épisode, nous avons parlé de ce que signifie être un homme dans un domaine encore très genré, et de ce que cela change dans l'écoute et la relation aux patientes. J'ai voulu comprendre avec lui pourquoi tant de femmes vivent avec des douleurs que l'on considère à tort comme normales, pourquoi certains gestes médicaux comme la pose de stérilet se font encore sans anesthésie, et comment l'endométriose peut rester invisible pendant des années.Nous avons aussi abordé la question de la contraception, de la fertilité, et de la congélation d'ovocytes, sujets qui soulèvent souvent plus de peurs que d'informations. J'ai questionné Olivier sur les limites du discours médical, sur les responsabilités qu'on fait peser (toujours) sur les femmes, et sur ce qu'il faudrait changer, concrètement, dans l'éducation à la santé.Ce qui ressort de cet échange, c'est qu'on ne peut plus se permettre d'ignorer la complexité des corps féminins, ni de continuer à invisibiliser leur souffrance. Et pour cela, il faut écouter, expliquer, transmettre. Olivier le fait avec douceur, rigueur et une vraie volonté de faire avancer les choses. C'est une conversation qui, je l'espère, fera bouger les lignes — et les consciences.`Citations marquantes« Les hommes n'ont aucune idée de ce que vivent les femmes au quotidien. »« Ce n'est pas en cachant les choses qu'on rassure les femmes, c'est en leur expliquant. »« On pose un stérilet sans anesthésie. Pourquoi ? Parce que la douleur des femmes est encore invisible. »« Beaucoup de femmes vivent avec des douleurs qu'on leur a dit normales... mais qui ne le sont pas. »« On devrait enseigner la fertilité à tous, pas seulement quand il est presque trop tard. »Questions structurées posées dans l'interviewPourquoi as-tu voulu créer le compte “Mon Gynéco” ?Qu'est-ce qui t'a le plus surpris en tant que gynécologue sur la santé des femmes ?Pourquoi les hommes sont-ils si peu informés ?Quels sont les tabous encore présents en gynécologie ?Comment expliquer qu'on pose un stérilet sans anesthésie ?Quelle est ta vision de l'éducation à la fertilité ?Pourquoi tant de femmes souffrent sans diagnostic pendant des années ?Que penses-tu du discours médical sur la contraception ?Quels sont les risques ou les réalités de la congélation d'ovocytes ?Que souhaiterais-tu dire à toutes les femmes qui hésitent à consulter ?Timestamps clés00:00 – Introduction de l'épisode et présentation d'Olivier04:12 – Pourquoi les hommes doivent comprendre la santé gynéco09:30 – La douleur féminine : une question négligée15:40 – Le tabou autour du stérilet et de la contraception22:05 – L'endométriose : symptômes, délais, souffrance invisible29:10 – La congélation d'ovocytes : explications claires et sans langue de bois34:45 – L'éducation sexuelle : un levier pour l'autonomie41:00 – Les consultations gynéco : ce qu'il faut vraiment savoir46:20 – Message d'Olivier pour les femmes (et les hommes) Suggestion d'autres épisodes à écouter : #347 La gynécologie sans tabou avec Olivier Marpeau (Mongyneco) -partie 1 (https://audmns.com/tjfnTeq) #308 Libérer la parole sur la santé des femmes avec André Ulmann (https://audmns.com/hAQtMJz) #297 Briser les tabous autour de la ménopause avec Davina Mc Call (https://audmns.com/wpkwLZi)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.