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durée : 00:53:45 - Le grand atelier - par : Vincent Josse - Une chose est sûre, Laura Felpin a le talent du verbe. À l'affiche de "L'amour, c'est surcôté" de Mourad Winter, elle s'entoure du docteur en neurosciences Albert Moukheiber. Rencontre avec deux adeptes de bons mots qui nous déculpabilisent de ne pas parvenir à tout mener de front . - invités : Laura Felpin, Albert Moukheiber, - Laura Felpin : Humoriste, Albert Moukheiber : Psychologue clinicien, docteur en neurosciences cognitives - réalisé par : Lucie Lemarchand
Marseille reçoit Montpellier pour la 30e journée de championnat. Actuellement 3e à un point de Monaco, les Phocéens restent sur 5 défaites sur les 7 derniers matches. Cette semaine les dirigeants se sont exprimés pour remobiliser l'équipe. Pablo Longoria a proné l'union sacrée sur Linkedin quand Mehdi Benatia a mis en garde sur le fait que la qualification en Ligue des champions était primordiale. Est-ce trop de pression mise sur les épaules des joueurs ? L'OM peut-il avoir peur même face à la lanterne rouge ? En ouverture de cette 30e journée, Nantes s'est imposé en fin de rencontre face à Rennes 2-1. Après 11 matches, que penser des débuts d'Habib Beye ? Quel doit être l'objectif de Rennes sur les 4 dernières journées ?
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille. Manque d’information, promesses floues et absence de cadres financiers : les électeurs s’apprêtent à voter sans connaître les vrais plans des chefs. Ruth Ellen Brosseau refait surface dans Berthier-Maskinongé, pendant que Québec découvre qu’il paie pour les chèques carbone du reste du Canada… sans recevoir un sou.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:04:36 - Le Reportage de la rédaction - La commission d'enquête sur les manquements des politiques publiques de protection de l'enfance rend public son rapport. À cette occasion, deux éducatrices, l'une intervient à domicile, l'autre en foyer, racontent au micro de France Culture ce que le manque de moyens fait aux enfants placés.
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité santé. Cette semaine, nous parlons d'alimentation et plus particulièrement d'alimentation en cas de manque d'appétit. Stress, infection, dépression, effets secondaires d'un traitement… L'appétit peut disparaitre pour diverses causes, mais il n'est pas question pour autant d'arrêter de s'alimenter. Que faire pour le retrouver ? Comment éviter les carences ?Avec Binetou Cheikh Seck, nutritionniste-diététicienne à Dakar, au Sénégal.La palabre au féminin de Charlie DupiotProgrammation musicale :► Miriam Makeba – Malaika► Greentea Peng – Green
Comme chaque vendredi, un médecin spécialisé répond aux questions des auditrices de Priorité santé. Cette semaine, nous parlons d'alimentation et plus particulièrement d'alimentation en cas de manque d'appétit. Stress, infection, dépression, effets secondaires d'un traitement… L'appétit peut disparaitre pour diverses causes, mais il n'est pas question pour autant d'arrêter de s'alimenter. Que faire pour le retrouver ? Comment éviter les carences ?Avec Binetou Cheikh Seck, nutritionniste-diététicienne à Dakar, au Sénégal.La palabre au féminin de Charlie DupiotProgrammation musicale :► Miriam Makeba – Malaika► Greentea Peng – Green
Avec Sébastien Ledoux et Géraldine Bozec, nous revenons dans cet épisode sur l'impact des assassinats de deux enseignants, Samuel Paty et Dominique Bernard, sur l'école.
durée : 00:04:27 - Le Reportage de la rédaction - La commission d'enquête sur les manquements des politiques publiques de protection de l'enfance rend public son rapport. À cette occasion, deux éducatrices, l'une intervient à domicile, l'autre en foyer, racontent au micro de France Culture ce que le manque de moyens fait aux enfants placés.
En France, 400 000 enfants et jeunes majeurs dépendent de l'Aide sociale à l'enfance (ASE), une institution censée les protéger, mais dont les défaillances les mettent parfois en danger. Manque de places, structures inadaptées, absence de suivi psychologique, maltraitances... La liste des manquements au sein de la protection de l'enfance est longue. Une commission d'enquête parlementaire sur l'Aide sociale à l'enfance rend ses conclusions mardi 8 avril, après des mois de travaux sur un système miné par les dysfonctionnements et l'inaction des pouvoirs publics.
durée : 00:04:27 - Le Reportage de la rédaction - La commission d'enquête sur les manquements des politiques publiques de protection de l'enfance rend public son rapport. À cette occasion, deux éducatrices, l'une intervient à domicile, l'autre en foyer, racontent au micro de France Culture ce que le manque de moyens fait aux enfants placés.
Le bâtiment génère 46 millions de tonnes de déchets chaque année en France, dont seulement 1 % sont réemployées selon le ministère chargé de la Transition écologique. Comment accélérer la démarche de reconditionnement ? Joanna Ferrière, directrice de Cyneo, réseau d'économie circulaire dans le BTP, nous répond.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
L'exploitation des immenses réserves de fer des monts du Simandou pourrait marquer un tournant décisif pour l'économie guinéenne. Estimées à près de 8 milliards de tonnes de minerai, ces réserves font l'objet de discussions depuis trois décennies. Les autorités prévoient une entrée en production pour la fin de l'année 2025, présentant ce projet comme la vitrine de leur ambition économique. Face au manque de transparence, la population guinéenne, qui a connu les désillusions de l'exploitation de bauxite, oscille entre espoir et scepticisme. Sur le chantier du chemin de fer, la poussière et les boues envahissent les champs, rendant impossible toute culture. Mamoudou Youla, habitant du village de Sounganyia marche sur la terre craquelée qui a envahi sa rizière. « Tout ça, là, c'est le lieu de travail. Depuis que les sociétés minières sont arrivées il y a cinq ans, on ne travaille pas ici, rien, tout est gâté. », se lamente-t-il. Les dédommagements promis par les miniers ne suffisent pas à compenser les pertes subies par les agriculteurs. Mamaseta Camara, une autre habitante, exprime son désenchantement face aux promesses non tenues. « Quand les entreprises sont arrivées ici, j'étais contente, je me suis dit que c'était une opportunité pour nous. Mais ça ne s'est pas passé comme prévu. On subit de nombreux impacts. » Tout se fissure. Les murs des maisons, comme la confiance des habitants envers les sociétés.Il n'y aurait pas eu assez d'emploi pour les jeunes de Soungayah. La corruption autour du chantier est un autre sujet de préoccupation. « Quand vous allez sur le chantier pour du travail, il y a des intermédiaires qui vous demandent de l'argent. Environ 1 million et demi de francs guinéens », témoigne anonymement ce jeune homme. Il a le verbe haut et une profonde colère en lui. « À Conakry, on dit que nous sommes les boss. Qu'il y a un grand projet chez nous, le grand port de la Guinée, et donc qu'on est les rois, mais les gens ne savent pas ce qui se passe réellement ici. Pas d'emploi, pas d'eau, pas d'hôpital. J'en veux aux autorités guinéennes. Parce que depuis que le projet a commencé ici, personne ne s'est déplacé pour voir ce que nous traversons ici. Ils s'en foutent de nous ». Plus de 33 000 emplois ont déjà été créés sur le corridor, avançait Mamadi Doumbouya, le président de la transition, lors de ses derniers vœux à la nation.Des retombées XXL espérées pour l'économie guinéenneInitié en 1997, le projet Simandou a connu de nombreux rebondissements. D'abord attribués à Rio Tinto, les blocs 1 et 2 ont ensuite été confiés à BSGR, avant d'être réattribués à Winning Consortium Simandou en 2019, un partenariat sino-singapourien avec une participation guinéenne. Après le coup d'État en 2021, les travaux ont été interrompus par la junte. Puis, le géant de l'acier Baowu Steel a investi 6 milliards de dollars dans le projet, renforçant l'engagement de la Chine. Les espoirs sont énormes. Les autorités guinéennes misent sur des retombées économiques annuelles de 600 à 700 millions de dollars via des taxes et redevances. « Les ressources générées par les mines du projet Simandou et la transformation locale des minerais par la construction des raffineries nous ouvrent des perspectives heureuses d'avenir. », se réjouissait Mamadi Doumbouya. La construction d'une aciérie permettrait également de transformer une partie du fer sur place.« Nous osons espérer que cela soit la bonne cette fois, explique l'économiste Mohammed Camara. Pour un projet minier, l'important, c'est qu'est-ce qu'on en tire comme fiscalité, quels sont les impôts et taxes que ce projet va payer à l'État ? Il faut voir le projet sur du long terme et s'assurer de l'utilisation efficace des ressources. Le peu que l'on gagne, il faut l'investir où on peut impacter le plus. »Le « pont vers la prospérité » vanté par les autorités guinéennes n'est pas garanti. « Les autorités comptent beaucoup sur le Simandou parce que c'est un projet qui va doubler le produit intérieur brut du pays, mais attention, il ne faut pas croire que cela va régler tous les problèmes d'un seul coup », poursuit Mohammed Camara.Des contrats miniers toujours secretsD'autant qu'un doute subsiste sur les retombées économiques réelles. Les contrats signés entre l'État et les sociétés minières n'ont en effet pas été publiés. Ces trois conventions minières, ferroviaires et portuaires finalisées en 2023 ne sont connues que de quelques-uns dans le pays. « On se demande bien qui les a vues, c'est l'omerta la plus totale », témoigne un ancien proche du ministère des Mines.La publication des contrats est obligatoire selon le code minier guinéen. Or, ces conventions validées par la Cour suprême adoptées par le CNT – l'Assemblée nationale guinéenne – en février 2024 sont introuvables. Manque de transparence flagrant pour certains acteurs de la société civile. Incompréhension pour Oumar Totiya Barry de l'Observatoire des mines et métaux : « Officiellement, le Premier ministre parle de contrat stratégique, donc de secret d'État. Le ministre des Mines évoque le fait que le processus de négociation n'est pas terminé. Mais on sait quand même que ces documents sont passés au niveau du CNT et donc, que le processus est à son terme. On ne comprend pas pourquoi la Guinée ne rend pas encore public ces contrats. Cela aiderait aujourd'hui à améliorer le niveau de compréhension. »À lire aussiGuinée: de Sekou Touré à Mamadi Doumbouya, l'incroyable histoire du gisement de fer de SimandouMême du côté des sociétés minières, on peine à comprendre ce manque de transparence. Mais le gouvernement reste droit dans ses bottes sur cette question. « Quand on négocie avec quelqu'un, il y a toujours des clauses de confidentialité, explique le ministre du plan Ismaël Nabé. Nous sommes en train de discuter avec les partenaires industriels et on publiera au temps opportun. On renégocie parce que la Guinée était perdante. Nous sommes avec des partenaires et on doit avoir un commun accord, et respecter ce que l'on s'est dit. Si on est d'accord, ça sera publié. »Les éléments juridiques des conventions signées ont déjà été publiés dans un numéro spécial du Journal officiel qui n'a pas été rendu public, mais que RFI a pu se procurer. Certains y voient la preuve que tout est déjà négocié et que les autorités n'ont pas envie de dévoiler des contrats qui seraient défavorables à la Guinée. Un des négociateurs nous informe que la plupart des contrats de revente par lesquels les clients achètent le minerai produit ne sont pas encore signés. Le prix de revente du fer de Simandou – élément clé pour le calcul des recettes de l'État – ne serait pas fixé. Djiba Diakité, le président du comité stratégique de Simandou, a récemment expliqué dans une interview à Forbes Afrique que « si on mettait bout à bout tous les documents contractuels de Simandou... ça ferait 14 kilomètres ».Un train pour le minerai et pour les passagers ?La Guinée veut croire à la renaissance de son réseau ferroviaire grâce au gigantesque projet minier. Le gisement de fer, l'un des plus riches au monde, doit être relié au port de Moribayah par une ligne de chemin de fer de 650 kilomètres. Une infrastructure qui cristallise les espoirs de désenclavement de la Haute et Moyenne-Guinée. Pensée comme une double voie, cette ligne doit permettre non seulement l'acheminement du minerai vers la côte, mais aussi, à terme, le transport de marchandises et de passagers. « Le chemin de fer est multi-utilisateur. Une partie va servir aux miniers, une autre aux marchandises, mais aussi aux personnes. L'objectif est de développer plus de 2 000 km de voie ferrée dans le pays », déclare Ismaël Nabé, ministre du Plan à RFI.Cette ambition de désenclaver les régions agricoles, comme la zone de Kankan ou de N'zérékoré, suscite l'enthousiasme. Certains imaginent déjà des trains chargés d'ignames ou de bananes rejoindre plus facilement les marchés urbains. Mais sur le terrain, les observateurs sont plus prudents. « L'idée d'un train passager est séduisante, mais peu réaliste dans l'état actuel du tracé », estime Oumar Totiya Barry, directeur de l'Observatoire des mines et métaux. Selon lui, la ligne évite les grands centres urbains. « Il y a bien une quinzaine de gares prévues, mais elles sont souvent à des dizaines de kilomètres des villes. Madina Oula, par exemple, se trouve à plus de 80 km de Kindia. Pour Mamou, c'est le même problème avec la gare de Farenta. » En cause, une logique de tracé prioritairement industrielle. Le chemin de fer suit le chemin le plus court et le moins coûteux entre la mine et le port, au détriment d'une intégration fine au territoire. « Le mariage entre aménagement du territoire et conception du chemin de fer n'a pas suffisamment fonctionné », regrette Oumar Totiya Barry.À Kaloum, cœur battant de Conakry, certains commerçants restent sceptiques. Marqués par les promesses non tenues des précédents projets miniers, ils redoutent que Simandou ne soit qu'un mirage de plus. Dans les zones d'exploitation de la bauxite, comme à Boké, l'exploitation a certes rapporté des devises, mais elle a aussi laissé des séquelles : pollution de l'air, raréfaction de l'eau potable, routes dégradées. « Simandou, c'est du vent », tranche un commerçant, dénonçant une richesse qui ne profite toujours pas à la population. En attendant, Simandou creuse son sillon, porté par de grandes ambitions.
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Charles Consigny et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi et dimanche dans Europe 1 Matin Week-end, Lénaïg Monier reçoit un invité pour évoquer les dernières actualités.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:27 - L'Instant poésie - Dans ce poème, Hyam Yared explore les traces laissées par l'exil, la perte et l'effacement, autant sur les corps que dans les mémoires. - invités : Wajdi Mouawad Auteur, metteur en scène, comédien et directeur du théâtre national de la Colline
Accès au traitement en dépendance : un chaos financier qui jette des usagers à la rue Entrevue avec Bruno Ferrari, président du comité permanent national en traitement à l’Association québécoise des centres d’intervention en dépendance.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Quand on combine un cerveau HPI qui va très vite et un TDAH qui le fait partir dans tous les sens… le quotidien peut vite virer au chaos. Une montagne d'idées, des projets qui fusent, une envie irrésistible d'apprendre et d'explorer… mais aussi une difficulté à s'organiser, à rester focus, et cette sensation frustrante de ne jamais avancer sur l'essentiel.Dans cet épisode, je vous partage mon expérience, mes défis, et surtout, ce que j'ai découvert en chemin : comment comprendre son propre fonctionnement, s'adapter et avancer, sans s'épuiser ni tout remettre en question sans cesse. Parce que le vrai enjeu, ce n'est pas de "corriger" notre mode de pensée, mais d'en faire une force.
David Darmon est médecin généraliste, professeur des universités, et directeur du département d'enseignement et de recherche en médecine générale à Nice. C'est une sommité au niveau français et même international.Nous parlons beaucoup d'IA. un peu tous les jours désormais (au moins dans mon cercle) et évidemment on a beaucoup entendu que l'IA allait remplacé les médeçins généralistes car plus accessible (en particulier quand vous êtes dans une zone éloignée des centres urbains).Et ca tombe bien car David Darmon a passé les 10 dernières années à comprendre aux impacts de l'intelligence artificielle sur le monde de la santé. Il était donc plus que naturel de l'inviter dans Vlan! pour discuter de ces transformations profondes.Dans cet épisode, nous parlons de la manière dont la médecine évolue à l'ère de l'IA, mais aussi de ce que cela dit de notre rapport à la santé, aux médecins et à la prévention. J'ai questionné David sur les maladies chroniques devenues la norme, sur l'inefficacité de notre système à répondre à cette nouvelle réalité, et sur la nécessité de repenser notre approche – non plus seulement curative, mais véritablement préventive.Nous avons également évoqué les déserts médicaux, les limites de notre système de formation, les dangers d'une médecine trop technicisée, mais aussi les opportunités qu'offre l'IA : accompagnement personnalisé, délégation intelligente, suivi asynchrone... sans jamais perdre de vue l'humain au centre du soin.David partage aussi des initiatives passionnantes menées à Nice, notamment autour du partenariat avec les patients – une vision de la médecine profondément collaborative et empathique, loin des clichés sur le manque d'écoute du corps médical.Un épisode riche, à la fois ancré dans le présent et tourné vers l'avenir, qui interroge notre manière de vivre... et de prendre soin.5 citations marquantes :"Le patient est l'expert de la vie avec la maladie.""On soigne les patients en équipe, pas en silo.""L'IA peut faire gagner du temps, mais elle ne remplace pas l'humain.""Ce que tu fais pour moi, sans moi, tu le fais contre moi.""70% des déterminants de santé sont en dehors du champ médical."10 questions posées pour résumé l'épisode :Quelle est la réalité de la santé en France aujourd'hui ?Comment expliquer l'essor des maladies chroniques ?Est-ce que la médecine doit devenir plus préventive ?À quoi pourrait ressembler la médecine avec l'IA ?Quelles sont les limites actuelles de l'IA en santé ?Pourquoi manque-t-on d'empathie dans la relation médecin-patient ?Comment formez-vous les médecins à Nice différemment ?Quelles données sont nécessaires pour faire avancer la médecine personnalisée ?L'IA est-elle un bon palliatif au manque de médecins ?Est-ce qu'on sera mieux soignés demain grâce à l'IA ?Timestamps :00:00 – Introduction de l'épisode01:00 – La réalité de la santé post-guerre à aujourd'hui04:50 – Déserts médicaux : causes et solutions07:30 – Vers une médecine plus fonctionnelle ?10:40 – L'éducation à la santé, un enjeu national12:40 – Les applications de l'IA dans la médecine20:30 – La révolution du dossier médical numérique25:20 – Manque d'empathie : comment y remédier28:00 – Le patient, acteur central du soin33:00 – IA & délégation des tâches médicales39:00 – Problèmes éthiques & souveraineté des données49:00 – Puces, quantification, et médecine préventive55:30 – Est-ce que l'IA nous soignera mieux demain ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #94 Futur de la médecine: vers moins de médicaments avec Thierry Picard (https://audmns.com/WpdMhQo) #323 La bouche , le baromètre de notre santé avec Bruno Donatini (partie 1) (https://audmns.com/NCbnuVu) #239 Comment repenser le système de santé en France? Avec Jean Charles Samuelian (https://audmns.com/mTSHtnB)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Christelle est frustrée par le manque de tendresse et de compliments de son mari. Elle se sent donc moins désirable. Elle lutte avec un rapport émotionnel à la nourriture, influencé par son histoire familiale. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donnez-moi votre feedback par SMS (mobile uniquement)!Six raisons principales1) Ego: perception de compétence suffisante et confiance en soi excessiveLes cadres supérieurs peuvent croire qu'ils ont déjà atteint un niveau de compétence suffisant et qu'ils n'ont pas besoin de formation supplémentaire. Cette perception est souvent renforcée par la pression de maintenir une image de leader infaillible. De plus, ils peuvent avoir une confiance en soi excessive, les amenant à surestimer leurs compétences et leur capacité à influencer les résultats. Ce biais de confiance excessive est bien documenté en psychologie cognitive, où les individus surestiment leurs compétences et leur capacité à influencer les résultats.2) Temps: urgence perçue de toutes leurs activités et décisionsLes cadres supérieurs sont souvent accaparés par leurs responsabilités et leurs engagements professionnels, ce qui laisse peu de place pour des activités de formation.3) Stress: surcharge mentale élevée, syndrome du leader solitaireLes cadres supérieurs sont souvent soumis à un niveau élevé de stress et de surcharge mentale, ce qui peut les empêcher de trouver le temps et l'énergie nécessaires pour participer à des formations. La psychologie cognitive montre que le stress chronique peut altérer la capacité de concentration et de prise de décision.4) Culture organisationnelleDans certaines entreprises, la formation continue n'est pas valorisée au niveau des cadres supérieurs. Cela peut créer un environnement où la formation est perçue comme une activité réservée aux niveaux hiérarchiques inférieurs.5) Manque de pertinence perçue des formationsLes cadres supérieurs peuvent percevoir les formations proposées comme non pertinentes ou non adaptées à leurs besoins spécifiques. Ils peuvent estimer que les contenus ne sont pas suffisamment avancés ou ne correspondent pas aux défis qu'ils rencontrent au quotidien.6) Priorité aux résultats immédiatsLes cadres supérieurs peuvent être très orientés vers les résultats immédiats et les objectifs à court terme, ce qui les amène à négliger les activités de formation qui ne produisent pas de résultats immédiats. En psychologie cognitive, cette orientation vers les résultats immédiats est souvent liée à la gratification instantanée, où les individus préfèrent des récompenses immédiates plutôt que des bénéfices à long terme.Comment aborder la question avec un.e cadre supérieur.e?= répondre aux questions "Qu'est-ce que j'y gagne" et "Qu'est-ce je ne perdrai pas?"Gagne:- Développement personnel et épanouissement- Renforcement de la confiance en soi par la connaissance de ses limites et de ses triggers- Reconnaissance et valorisation par l'entreprise (signe d'engagement et de dévouement)- Préparation aux futurs défis (maintien en situation d'apprentissage)- Développement de l'équipe par la délégation- Acquisition "d'armes secrètes" que les autres n'auront pasPerd pas: - Réputation vis-à-vis des personnes qui ne se forment pas- Temps important puisque la formation est elle-même importante Accès gratuit à toutes nos ressources: www.coapta.ch/campusAccès aux archives du podcast: www.coapta.ch/podcast© COAPTA SàrlTous les épisodes disponibles sur www.coapta.ch/podcast ou sur votre plateforme préférée (Spotify, Apple Podcasts, Google Podcasts); cherchez "Leadershift" ou "Vincent Musolino" Faites partie de notre communauté sur le Discord officiel COAPTA!
durée : 00:01:51 - Esprit sport - Jusqu'au 13 avril, la fédération Française de golf propose de découvrir sa discipline dans le cadre de l'opération "Tous au Golf". Esprit sport profite de l'occasion pour rencontrer des fans de la petite balle blanche. Premier invité, Christophe Muniesa, directeur Général de la fédération de Golf.
C'est un métal très demandé pour les soudures, et donc pour les puces électroniques. L'étain est présent dans les cellules photovoltaïques ou encore les ordinateurs et les téléphones portables. La demande ne cesse d'augmenter, mais la quantité de métal disponible sur le marché est affectée par des perturbations de production en Birmanie et en République démocratique du Congo (RDC). Une situation qui soutient un niveau de prix très élevé. Les chiffres sont donnés par l'International Tin Association, qui regroupe les industriels de la filière : 16% de l'approvisionnement mondial issu de l'extraction minière est aujourd'hui hors service. En cause, les perturbations qui touchent deux pays : la Birmanie et la République démocratique du Congo.Les activités de deux gisements du district de Walikale, au Nord-Kivu, ont été suspendues mi-mars en raison de l'avancée des hommes armés du M23. Ces mines congolaises représentaient en 2024 6% de l'offre mondiale.À ces volumes manquants s'ajoutent ceux qui ne sont plus exportés de Birmanie depuis août 2023. Les autorités militaires de l'État Wa, une région semi-autonome du pays, ont en effet suspendu la production minière. Or, cette zone fournissait les deux tiers de l'étain extrait en Birmanie et environ 10% de l'offre mondiale.À lire aussiBirmanie, menace sur la production d'étainBlocage en passe d'être levé en BirmanieCe blocage est sur le point d'être levé, selon les autorités de la région birmane concernée. Mais cela n'a pas suffi à faire baisser les cours, car la mesure n'est pas encore effective. Il faudra encore plusieurs mois pour que les travailleurs chinois obtiennent un nouveau permis de travail et pour que la production minière retrouve sa pleine capacité, selon l'International Tin Association.La réalité reste donc celle d'une offre restreinte, ce qui explique les niveaux actuels des prix, proches de 35 000 dollars la tonne, après un pic à 36 000 dollars la tonne mi-mars. Les prix sont également soutenus par le manque de stock, qui accentue l'incertitude sur le marché. À la Bourse des métaux de Londres (LME), les réserves d'étain sont à leur plus bas niveau depuis juin 2023, selon l'agence Reuters.La Chine, premier pays à en pâtirLe déséquilibre qui se profile sur le marché de l'étain dans les prochaines années ne laisse pas présager de baisse des prix. L'agence Fitch prévoit un déficit d'ici 2028, alimenté par une demande croissante, estimée à 500 000 tonnes en 2030, selon le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM).Le premier pays à souffrir de ces restrictions d'offre et de la flambée des prix est la Chine. La Birmanie était le principal fournisseur de concentré d'étain à l'industrie chinoise. Ensemble, la Birmanie et la RDC représentaient plus de 60% des importations chinoises de concentré d'étain en 2024.La production chinoise d'étain raffiné devrait donc diminuer cette année. Le deuxième exportateur, l'Indonésie, a quant à lui réussi à redresser la barre en février, après un mois de janvier compliqué en raison de retards dans la délivrance des licences d'exportation.À lire aussiÉtain: des prix en hausse, portés par une multiplication des usages
Jérôme Colin est journaliste, écrivain et réalisateur. Dans cet épisode, nous parlons de son dernier roman Les Dragons, une plongée bouleversante dans l'univers psychiatrique des adolescents.Ceci est un extrait de l'épisode que nous avons enregistré ensemble car cette semaine j'ai découvert la série "adolescent" qui m'a bouleversé de justesse et m'a fait pensé à cet épisode que nous avions enregistré ensemble.Je me suis dis que c'était important de ressortir cet extrait et peut être vous donner envie d'écouter l'intégralité de l'épisode bien sur.Dans cet extrait nous parlons en particulier du mal être des adolescents, de maladie mentale!J'ai rencontré Jérôme dans un moment rare, intense, presque brut. Il m'a parlé de ces ados qui ne veulent plus vivre, non pas parce qu'ils sont ados, mais parce que le monde que nous leur proposons est devenu invivable. Jérôme a fait une immersion de trois mois dans un centre psychiatrique pour écrire Les Dragons, et ce qu'il a entendu m'a profondément ébranlé : « Ce n'est pas l'adolescence, c'est la main de l'homme. »J'ai questionné Jérôme sur notre responsabilité d'adultes, sur l'école comme fabrique à normativité, sur la solitude imposée par la société, sur la difficulté à offrir un idéal mobilisateur à notre jeunesse. Mais aussi sur ce que ça veut dire d'aimer inconditionnellement son enfant, même quand il va mal.Un épisode fort, qui ne laisse pas indemne.Citations marquantes« Ce n'est pas l'adolescence, c'est ce que le monde leur fait. »« La vraie question, c'est pourquoi vous, les adultes, vous voulez vivre. »« L'isolement est une maladie — et le monde y trouve son compte. »« On ne se répare pas seul, il faut les autres. »« Le capitalisme ne propose plus d'idéaux à long terme. »Questions structurées poséesEst-ce qu'avoir des pensées suicidaires est inhérent à l'adolescence ?Les chiffres de la santé mentale des jeunes explosent-ils parce qu'on les écoute plus ?Qu'as-tu appris en immersion dans un centre psychiatrique pour ados ?Quelle est la part de responsabilité des adultes dans la souffrance des jeunes ?Comment les jeunes perçoivent-ils notre génération ?En quoi l'école est-elle une machine à conformer ?Pourquoi l'exclusion scolaire est-elle si problématique ?Quelle vision les jeunes ont-ils du monde et de l'avenir ?Comment établir un lien avec un ado en souffrance ?Comment offrir de l'espoir à un adolescent dans un monde incertain ?Timestamps clés00:00 – Le monde dans lequel les ados veulent mourir01:00 – Immersion dans un centre psychiatrique pour écrire Les Dragons03:00 – Nell : « Pourquoi vous voulez vivre ? »05:30 – L'école comme première zone d'exclusion07:45 – Le regard apocalyptique des ados sur les adultes08:45 – Que dire à un parent d'ado en crise ?10:40 – L'impact des écrans et la solitude des jeunes12:30 – Manque d'idéaux et effondrement de l'espérance13:30 – Le rôle de la rébellion et l'appel à sortir Suggestion d'épisode à écouter : #279 Le mal-être adolescent: conséquence d'une société violente ? avec Jerôme Colin (https://audmns.com/MsDIGME)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:55 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - À revers des discours politiques, les acteurs économiques soutiennent une politique migratoire volontariste qui permette de palier aux tensions de main-d'œuvre dans de nombreux secteurs et de stimuler l'innovation et la croissance. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Emmanuelle Auriol Économiste, professeure à la Toulouse School of Economics; Ekrame Boubtane Maîtresse de conférences habilitées à diriger des recherches, chercheuse associée à l'Ecole d'Economie de Paris; Jérôme Valette Economiste au CEPII, spécialiste des questions migratoires.
durée : 00:24:11 - 8h30 franceinfo - Yannick Neuder, ministre de la Santé et de l'Accès aux soins, était l'invité du "8h30 franceinfo".
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Pas de répit pour nos Grandes Gueules du Sport, ils passent la seconde ! L'une des grosses actus sportives décryptée par nos GG.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
✨ Suis-moi sur Instagram : https://instagram.com/laurita.socaliente/ Parfois, quelqu'un ou quelque chose nous manque, bien qu'on sache qu'il/elle n'était pas idéal(e) pour nous. Comment se fait-il que les choses néfastes nous manquent parfois ? Pourquoi restons-nous attacher à des situations qui ne nous font pas de bien ? Dans cet épisode, nous aborderons les points suivants : - On est humains - La dissonance cognitive qui nous ralentit - Les signes qu'il faut laisser tomber - Ce n'est pas lui/elle/ça qui vous manque au fond... - Pourquoi ne faut-il pas y retourner ? - Pourquoi se sent-on si mal de regretter ces situations - C'est à cause de nos circonstances ! - Comment s'en servir pour notre vision future ? - On est 8 milliards... Bonne écoute ! ✨ IGRAAL : https://fr.igraal.com/parrainage?parrain=AG_5850172334e71 ✨ MONEY MAGNET : Deviens un aimant à argent https://coaching.socaliente.fr/money-magnet
En cas d'incendies ou de catastrophes naturelles, certains habitants de dix arrondissements de Bangui doivent se débrouiller avec les moyens du bord, estimant que les sapeurs-pompiers manquent toujours à l'appel. Mis en cause, les responsables de ce service évoquent non seulement un manque cruel de moyens logistiques, de ressources humaines, mais aussi l'incivisme de certaines personnes qui empêchent cette entité de remplir sa mission régalienne. Reportage de notre correspondant qui a visité deux maisons incendiées au nord de la capitale. L'état de la maison démontre l'intensité des flammes : lits, chaises, armoires, vêtements, appareils ménagers… Tout a été entièrement détruit, et parfois transformé en charbon. Éléonore est l'une des victimes : « C'est hier, pendant la nuit, que le feu s'est déclaré dans la maison. On n'en connait pas encore l'origine. On a essayé de l'éteindre, mais ça n'a pas marché. » À Bangui, capitale de la Centrafrique, certains habitants déplorent, ces dernières semaines, des dysfonctionnements dans le travail des agents de la protection civile.En pleurs, Éléonore fouille dans les décombres, dans l'espoir de retrouver quelques objets importants, ayant résisté aux flammes : « Nous avons tout perdu, nos documents, nos diplômes, nos actes de naissance, notre argent. Ma fille a été asphyxiée, on l'a conduite à l'hôpital. »Les flammes ont également consumé chaque recoin de la bâtisse de son voisin Paul, laissant derrière elles des cendres et des ruines fumantes : « Les flammes étaient indescriptibles. Il n'y a pas eu de victimes, mais le dégât matériel est grave. J'ai vainement tenté de contacter les unités de secours. Avec l'aide des voisins, nous avions utilisé du sable et de l'eau pour essayer d'éteindre le feu. »De passage dans le secteur, Enock se gratte les sourcils et se souvient de ce qui était arrivé à sa fille. Âgée de 8 ans, elle était accidentellement tombée dans un puits d'environ cinq mètres : « Les conditions de travail des secouristes sont à revoir. Après 1 000 tentatives, nous avions eu en ligne une unité de la protection civile qui ne pouvait pas intervenir. Ils ont évoqué un manque de carburant et des pannes de véhicules. Ma fille a finalement perdu la vie. Le gouvernement doit prendre ses responsabilités. »À lire aussiInondations en Centrafrique: un premier vrai test pour les pompiers volontairesPour comprendre ces dysfonctionnements, visite de la direction générale de la protection civile. C'est l'heure du grand rassemblement et des derniers préparatifs pour ces agents avant de regagner leur poste. Thomas Djimasse, directeur de la protection civile, confie :« Le gouvernement vient d'intégrer 150 sapeurs-pompiers supplémentaires qui seront déployés dans les 20 préfectures, c'est un effort à saluer. Nous avons déjà remis en ligne tous nos numéros d'urgence, à savoir le 10-10, le numéro 118 et le 12-12. On peut nous contacter sur tous ces numéros. Maintenant, il faudrait que les éléments soient équipés. J'appelle les partenaires techniques et financiers de la RCA de nous appuyer. Nous avons déjà la promesse de l'ambassade de France pour reprendre sa coopération avec la protection civile. »En attendant de trouver une solution définitive, dans certains quartiers de la capitale, les habitants s'organisent pour palier aux manques.À lire aussiCentrafrique: un incendie ravage une partie du marché du PK5 à Bangui
Une famille conteste le résultat à l’école de leur enfant devant la Cour supérieure. Discussion avec Rémi Villemure, chroniqueurPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Luce Dufault et Lunou Zucchini feront partie de Les Belles-Soeurs symphonique cet été | Avoir un chat est-il bon pour la santé ? | Le procès de Gilbert Rozon mis sur pause | Une famille conteste le résultat à l’école de leur enfant devant la Cour supérieure Dans cet épisode intégral du 11 février, en entrevue : Luce Dufault, chanteuse Lunou Zucchini, chanteuse, comédienne, co-animatrice de Belle et Bum Caroline Kilsdonk, médecin vétérinaire et bioéthicienneMe François-David Bernier, analyste judiciaire. Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Sarah* a un métier qu'elle adorait. Mais depuis quelques mois, elle n'arrive plus à se concentrer, elle procrastine, elle ne voit plus l'utilité de ce qu'elle fait. Que s'est-il passé, pour que tout déraille ? Et maintenant qu'elle a perdu ses illusions sur son entreprise, va-t-elle jamais retrouver sa motivation à travailler ? (*le prénom a été modifié.) Dans cet épisode, le psychologue du travail et des organisations Adrien Chignard lui donne des clés pour retrouver du sens au travail, et pour communiquer avec son management lorsque l'on fait face à des situations d'injustice au travail. Cet épisode d'Émotions (au travail) a été rendu possible grâce au travail de la journaliste Léna Couffin. Marie Misset est à la présentation, Louis Jaubart est au montage, à la réalisation et au mix. Louise Hemmerlé est à la production. Merci au studio Capitaine Plouf pour la prise de son. Si vous aussi, vous souhaitez échanger avec un.e psychologue du travail sur une problématique qui vous affecte dans votre quotidien de travail, écrivez-nous à hello@louiemedia.com avec comme objet : “TRAVAIL”. On a hâte de vous lire ! Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI !Pour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
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Pendant l'été 2024, le Tchad a subi les pires inondations de son histoire. Elles ont fait près de 600 victimes et affecté environ 2 millions de personnes. Des pluies diluviennes, exacerbées par le réchauffement climatique, ont fait déborder les fleuves Logone et Chari et ravagé des quartiers entiers de la capitale. Un peu plus de six mois après, comment vivent les milliers de sinistrés tchadiens ? Et comment s'adapter à un phénomène qui devrait se reproduire et s'amplifier dans les années à venir ? De notre envoyé spécial de retour de Ndjamena,Devant le calme et la beauté des lieux le long du fleuve Logone, difficile d'imaginer l'ampleur des inondations de 2024 au Tchad. « Tout le village a été inondé. Même nos champs ont été inondés. Même l'école a été inondée, se souvient Mathieu Njilbé, le délégué du quartier de Kabé. Avant, il y avait déjà eu des inondations, mais pas comme cette année. Il y en avait un peu, mais celles de 2024 nous ont dépassés. »90% du quartier ravagé par les eaux, les habitants ont fui, au Cameroun, de l'autre côté du fleuve, ou à l'intérieur des terres. Et sans ressources, il est impossible aux sinistrés de reconstruire leur maison. « Jusqu'à aujourd'hui, à l'heure où je vous parle, certains ne peuvent pas rentrer chez eux, car ils n'ont pas d'abri pour poser la tête », déplore Mékunda Gargoulai, qui vit dans un hangar improvisé avec ses 12 enfants. À lire aussiTchad: la crue du fleuve Chari atteint un niveau inédit, Ndjamena toujours sous les eaux« Nous sommes tellement nombreux que les abris construits ne nous contiennent pas »Pour reloger les milliers de sinistrés, des camps ont été construits, comme celui où vit Nojimbadoum Nanidoum, mère de six enfants et veuve. Sur ce site, ce sont pas moins de 34 000 personnes qui sont accueillies dans des conditions précaires. « Nous sommes arrivés ici le 25 octobre. Mais nous sommes tellement nombreux que les abris construits ne nous contiennent pas, alerte-t-elle. Certains sont obligés d'habiter des abris de fortune. La vie ici est vraiment dure. Chacun se bat pour essayer de nourrir sa famille. »Manque de nourriture, absence de maternité et d'école, une fois encore, femmes et enfants demeurent les principales victimes. Une question se pose alors : comment continuer à vivre au bord du fleuve ? « Où peut-on aller ? Nous, nous n'avons pas les moyens d'acheter un terrain ailleurs, explique Mathieu Njildé. Donc, on va vivre ici, pour toujours. » « On a peur, renchérit cette sinistrée. On a l'inquiétude que, pendant l'année 2025 ou 2026, les inondations soient plus élevées encore ».S'adapter au changement climatiquePour Robert de l'ONG Caidel, le centre d'appui aux initiatives de développement locales qui vient en aide aux sinistrés, une seule solution : « Avec ce changement climatique, finalement, ils sont obligés maintenant de changer et de s'adapter à ce climat. »Construire des maisons plus solides, adapter les cultures, les défis sont nombreux et les besoins énormes. Alors le président des sinistrés de Kabé lance un appel : « Quand la population souffre d'une telle manière, il faut faire comment ? C'est la population de l'État. Il faut que le gouvernement tchadien pense aussi à cette population. » À lire aussiAu Tchad, après les inondations, les tentatives de reconstruction
durée : 00:27:49 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, du cinéma : "Mickey 17" de Bong Joon-ho et "Black Dog" de Guan Hu. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Charlotte Garson Rédactrice en chef adjointe des Cahiers du cinéma; Guillaume Orignac Cinéaste et critique de cinéma
durée : 00:05:54 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Alors qu'il s'alarmait surtout du déficit d'investissement en Europe, le rapport Draghi sur la compétitivité européenne a été résumé à sa composante la moins déterminante : la simplification. Histoire d'une récupération orchestrée par la Hongrie, les milieux d'affaires et la Commission européenne.
Lara évoque son enfance marquée par l'absence de ses parents artistes, qui l'ont envoyée vivre à l'étranger avant de la récupérer à l'âge de 7 ans. Elle exprime un sentiment persistant de perte d'identité, cherchant à comprendre son parcours de vie. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr
« Je crois ! Viens au secours de mon manque de foi ! » (Mc 9, 14-29)Méditation par le Père Jean-Marie Petitclerc
durée : 00:14:09 - Journal de 7 h - Où est le corps de Shiri Bibas ? Son corps devait être rapatrié avec les dépouilles de ses deux jeunes enfants. L'armée israélienne dénonce "une violation flagrante" de l'accord par le Hamas.
C dans l'air du 8 février 2025 - Immigration, droit du sol : la course à droite est lancée !Le sujet a enflammé l'Assemblée nationale cette semaine. A l'origine, une proposition de loi des Républicains visant à restreindre le droit du sol à Mayotte. À l'issue d'un débat âpre, marqué par plusieurs suspensions de séance, la proposition de loi a été adoptée jeudi à 162 voix contre 93. Marine Le Pen s'est réjouie d'une "petite victoire". Alors qu'à gauche, Eric Coquerel de la France insoumise dénonce "l'extrême-droitisation du débat. Mais certains ministres veulent aller bien plus loin. Le Garde des sceaux Gérald Darmanin s'est dit "favorable à ce que les Français puissent trancher ce genre de question lors d'une élection présidentielle en 2027 ou lors d'un référendum ". Déjà auteur d'une formule très critiquée sur une prétendue "subversion migratoire", le Premier ministre François Bayrou souhaite, lui, élargir le débat sur "qu'est-ce que c'est qu'être français". Une manière de donner des gages à la droite, après avoir négocié le budget avec la gauche. Très engagé sur l'immigration, le très droitier ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau espère bien profiter de ce débat pour gagner en popularité dans son camp.Ajoutée discrètement dans le budget, une autre mesure politique a provoqué un mini séisme cette semaine. En quête de recettes pour faire passer son projet de loi de finances, le gouvernement souhaitait abaisser le seuil d'exemption de la TVA pour les auto-entrepreneurs. Mais la mobilisation des fédérations de micro-entrepreneurs a contraint Bercy à faire machine arrière, en dénonçant "une complexification majeure pour tous ceux qui vont passer à la TVA" et en particulier les "presque 250 000 auto-entrepreneurs et 100 000 indépendants". Le président de l'Union des autoentrepreneurs (UAE), François Hurel estime même qu'une telle mesure en pousserait certains à sous-déclarer leur chiffre d'affaires annuel pour rester en-dessous du seuil de 25 000 euros. Face à l'indignation, le gouvernement a retiré sa mesure, mais la mèche a déjà été allumée. Marc Sanchez, secrétaire général du syndicat des indépendants et des TPE y voit "le pire des signaux qui pouvaient être adressés à l'activité entrepreneuriale". Un constat terrible, lorsqu'on sait à quel point Emmanuel Macron avait fait de la liberté entrepreneuriale son cheval de bataille depuis 2017.Signe de la perte de popularité d'Emmanuel Macron, les troupes du parti présidentiel Renaissance ont fondu comme neige au soleil. De 450 000 en 2017, le nombre d'adhérents est passé à 35 000 en 2023 et moins de 10 000 aujourd'hui. Manque de clarté sur la ligne politique, réforme des retraites, dissolution... Les raisons du désamour entre Renaissance et sa base sont nombreuses. Pour relancer cette machine, le nouveau secrétaire général Gabriel Attal a lancé les "états généraux" du parti à la mi-janvier : pendant un mois, environ 500 réunions dans les comités locaux, où les militants et adhérents sont invités à s'exprimer sur les forces et les faiblesses du parti, pour que cela soit remonté au bureau exécutif. L'ancien Premier ministre a aussi lancé une nouvelle campagne de tracts aux messages offensifs : "Non au désordre, ni LFI ni RN, le sursaut maintenant". Le parti présidentiel semble même déjà tourner la page d'Emmanuel Macron : sa figure a complètement disparu des nouveaux tracts.Que cherche François Bayrou en remettant le thème de l'identité nationale au centre de la table ? Le gouvernement a-t-il trahi les auto-entrepreneurs ? Et le parti présidentiel Renaissance peut-il renaître de ses cendres ?Les experts :- Richard WERLY - Journaliste, correspondant à Paris du média suisse Blick.ch- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - Franceinfo TV- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point
durée : 00:57:50 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Georg Simmel a publié, en 1900, une "Philosophie de l'argent". Pour lui, l'apparition de la monnaie exprime un état de confiance des individus dans l'organisation sociale. La monnaie permet de stabiliser la valeur des choses, ce qui engendre encore plus de confiance dans la société… - réalisation : Nicolas Berger - invités : Louis Quéré Sociologue, directeur de recherches au CNRS; André Orléan Économiste, directeur d'études à l'EHESS
durée : 00:57:56 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - La confiance peut sembler adossée à un optimisme excessif dans la nature humaine. Cependant, il n'y a pas de société sans confiance minimale : une méfiance tous azimuts, toute la journée, est invivable. Mais y a-t-il un point à partir duquel la confiance devient excessive, naïve, pure crédulité ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Louis Quéré Sociologue, directeur de recherches au CNRS; Joëlle Zask Philosophe, maîtresse de conférences à l'université Aix-Marseille, membre de l'Institut universitaire de France, spécialiste du pragmatisme, de philosophie sociale et de démocratie participative. ; Vincent Cespedes Philosophe et écrivain