Commune in Occitanie, France
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Dans ce nouvel épisode de Ces questions que tout le monde se pose, je lis la lettre d'Adam. Adam est ce qu'on appelle un “senior” dans le monde du travail. Il a d'ailleurs une belle carrière derrière lui, et après avoir passé 15 années dans sa dernière entreprise, il a récemment été victime d'un licenciement économique lors d'un plan social. Malgré toute son expérience, Adam a complètement perdu confiance en lui, et a l'impression de ne plus être dans le coup ou capable de retrouver un travail, avoir ni les compétences nécessaires et d'être trop vieux. Alors à travers l'histoire d'Adam, et toujours dans l'espoir d'aider aussi toutes celles et ceux qui écouteront cet épisode, j'essaie aujourd'hui de répondre aux questions que tout le monde se pose… sur comment les échecs et comment les transformer.N'hésitez pas à vous abonner à ce podcast, me suivre sur les réseaux sociaux sous le nom de Maud Ankaoua, ou consulter mon site internet https://www.maud-ankaoua.com. N'oubliez pas que si vous avez vous-même des questions, ou s'il y a des sujets que vous aimeriez que j'aborde dans un futur épisode, vous pouvez m'écrire ou m'envoyer une note vocale à l'adresse podcast.eyrolles@gmail.com. Vous retrouverez toutes ces informations dans le texte de description de l'épisode. Je serais également ravie de vous retrouver en librairie avec mes trois romans, Kilomètre Zéro, Respire ! Le Plan est toujours parfait et Plus jamais sans moi.Autrice & Animatrice : Maud Ankaoua Production : Éditions EyrollesRéalisation : Margaux Rol & Céline Malvo de l'Atelier ENLMontage & Mixage : Marthe CunyMusique : Martijn De BoerHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le président-fondateur du quotidien L'Opinion, Nicolas Beytout, et l'éditorialiste politique Ruth Elkrief reviennent sur le vote survenu hier à l'Assemblée nationale. Selon eux, ce budget de la Sécurité sociale, profondément socialiste, est un désastre absolu. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chef d'entreprise? Téléchargez ce Guide Offert : https://max-piccinini.com « Les 7 moyens pour booster votre C.A. de 100 à 200 % ».Si vous êtes nouveau sur ma chaîne, je m'appelle Max Piccinini. J'ai développé un patrimoine de plus de 50 millions d'euros en partant de zéro (avec un Bac + 1 et une semaine de travail :-)).Je suis l'auteur best-seller du livre « Réussite Maximum ». Mon entreprise est leader sur le marché de l'accompagnement pour chefs d'entreprise.Nous réalisons près de 15 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, et notre passion est d'aider les chefs d'entreprise comme vous à « scaler » leur entreprise, booster leur rentabilité, décupler leur valorisation, et se libérer de l'opérationnel.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu es entrepreneur, ou tu aspires à le devenir. Tu es issu de la diaspora africaine, afro-descendante. Tu as l'ambition, la vision, la rage de réussir. Mais tu sens ce plafond de verre. Tu sens que les règles du jeu ont été écrites par d'autres, pour d'autres. Tu as l'impression de te battre pour une place dans un système qui, au fond, ne te ressemble pas. Tu es fatigué(e) de devoir te justifier, de te sur-adapter, d'être considéré(e) comme "hors format". Cette vidéo est pour toi. Elle est essentielle à ce moment précis de ton parcours, car elle t'offre ce qui te manque le plus : une nouvelle carte. Après un séjour intense en Guadeloupe, j'ai synthétisé des mois de recherche, d'interviews et d'analyses pour répondre à une question explosive : et si la solution à notre impasse économique et identitaire se trouvait en Afrique ? Dans cette vidéo, je ne me contente pas de le dire. Je le démontre. Je te livre une feuille de route stratégique, sans concession, pour pivoter de la périphérie au centre de ton propre écosystème.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Bruno Poncet, cheminot, et Sandrine Pégand, avocate, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La Commission européenne présente ce mercredi un nouveau dispositif destiné à sécuriser l'accès de l'UE aux matières premières critiques. Une accélération rendue indispensable après une crise en octobre qui a failli bloquer plusieurs chaînes de production automobile en Europe.
Analyse complète du plan de jeu de Roberto De Zerbi : ses forces, ses faiblesses, mais surtout pourquoi les équipes adverses anticipent désormais parfaitement le jeu de l'OM. Transitions défensives, plan B, gestion mentale, créativité, profil des joueurs, failles tactiques… on décrypte tout ! Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Yves Camdeborde, cuisinier, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille et Benoit Dutrizac. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Abonnez-vous à QUB télé via https://www.tvaplus.ca/qub ou écoutez ce segment en balado via https://www.qub.ca/radio/balado/benoit-dutrizacPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Emma travaille en néonatalogie. L'allaitement c'est son quotidien. Quand elle devient maman, cela ne fait aucun doute : elle allaitera. Son projet, accoucher physiologiquement et allaiter son bébé quelques mois, sans pression. Après un accouchement pénible, et une césarienne d'urgence qui bouleversent une partie du plan, Emma devra aussi surfer sur quelques difficultés de démarrage avec un bébé qui prend du poids certes, mais qui ne remontera jamais dans son couloir de poids initial, faisant planer le doute aujourd'hui encore sur le bon déroulement de l'allaitement. Quand bébé prend du poids mais tout juste ce qu'il faut, et qu'il tète un nombre incalculable de fois la nuit, les tétées nocturnes peuvent sembler particulièrement précieuses voir indispensables tout en vous vidant de votre énergie les mois s'écoulant. C'est ainsi qu'après 1 an de nuits complètement hachées et à l'aube de reprendre le travail, Emma décide malgré tout d'entreprendre un sevrage nocturne. Comment s'y est-elle prise ? Cela a-t-il eu un impact sur cette lactation déjà fragile ? Comment passer d'un bébé qui tète toute la nuit à un bébé qui arrête de téter tout court ?Elle vous raconte ça, et tout le reste de son histoire inachevée dans cet épisode . Je vous souhaite une belle écouteCharlotte Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.REDRESSEMENT ITALIEN, DÉCLIN FRANÇAIS : UN PARALLÈLE EN TROMPE-L'ŒILAlors que la France s'enfonce dans la dette, l'Italie redresse ses dépenses publiques. Le 2 octobre, le gouvernement d' « union des droites » de Giorgia Meloni a approuvé les dernières prévisions financières pour fin 2025 : le déficit serait ramené autour de 3% du PIB, ouvrant la porte à une sortie de la procédure pour déficit excessif engagée par la Commission européenne. L'Italie est devenue la quatrième puissance exportatrice mondiale se classant derrière l'Allemagne, elle devance désormais la Corée du Sud. En 2014, elle était classée au septième rang.Ces résultats ne doivent pas occulter une dette italienne restée à des niveaux très préoccupants (140% du PIB). De plus, le redressement financier de l'Italie est facilité par les effets du plan de relance européen décidé durant la crise sanitaire de 2020-2022, particulièrement généreux pour Rome (avec 194 milliards d'euros perçus, le pays est le premier bénéficiaire du dispositif). Une dette souveraine qui n'a pas empêché le 19 septembre l'agence de notation Fitch d'en relever la note à BBB+, quelques jours après avoir abaissé celle de la France à A+, donnant l'impression que les courbes, entre les deux pays, étaient destinées à se croiser, le redressement italien ne faisant que mettre en lumière, par contraste, l'affaiblissement des positions de la France.L'économie italienne conserve de grandes fragilités structurelles, notamment une productivité atone, une croissance en berne et une crise démographique qui ne cesse de s'aggraver, notamment par le départ à l'étranger des Italiens diplômés. Le pays connait une productivité du travail faible, estimée par l'OCDE à 65,60 € par heure en 2024, soit beaucoup moins que la France (90,86€). Deuxième puissance manufacturière d'Europe, l'Italie arrive seulement quatorzième dans le classement des pays membres les plus innovants en 2025, selon la Commission, tandis que le climat social se détériore. Le recul du chômage de 7,8% en 2022 à 6% en 2024 cache une augmentation du nombre de travailleurs pauvres et un temps partiel contraint qui frappe d'abord les femmes. Dans ces circonstances, le nombre de familles en situation de pauvreté absolue se maintient au-dessus de 8 millions, quand le taux de population à risque de pauvreté est de 23,1% en 2024. De plus, une étude d'octobre 2024 menée par plusieurs universités analysant les données de la Banque centrale européenne a mis en évidence le caractère profondément inégalitaire du système fiscal italien. Les principaux avantages fiscaux y seraient ainsi concentrés entre les mains des 7% des plus riches, dont le taux moyen d'imposition se révèle inférieur à celui des classes moyennes moins favorisées.En dépit de ces faiblesses, 39% des Italiens, selon le baromètre publié en février 2025 par le Centre de recherches politiques de Sciences Po, déclarent faire confiance à la politique, contre 26% des Français. L'Italie, il est vrai, connait depuis trois ans, contrairement à la France, une stabilité gouvernementale inédite.LE PLAN DE PAIX DE TRUMP POUR L'UKRAINELe 18 novembre, un plan de paix en Ukraine, détaillé en 28 points a sidéré les Ukrainiens et les Européens, tant cette esquisse inacceptable à leurs yeux était alignée sur les positions russes. Il stipule notamment que la Crimée (annexée par la Russie en 2014) ainsi que Louhansk et Donetsk seront « reconnues comme russes de facto, y compris par les Etats-Unis ». Il évoque aussi la création d'une « zone tampon démilitarisée » et neutre dans la partie de l'oblast de Donetsk contrôlée par l'Ukraine, qui serait « internationalement reconnue comme territoire appartenant à la Fédération de Russie », mais où les forces russes n'entreraient pas. Il y est énoncé encore que l'Ukraine devrait renoncer à son projet d'adhérer à l'OTAN et réduire à 600.000 soldats ses forces armées. Il ouvre la voie à une amnistie générale, y compris pour les crimes de guerre dont est accusé le dirigeant russe, Vladimir Poutine, ainsi qu'à une levée progressive des sanctions occidentales, voire à un retour de la Russie dans le G8.Les négociations entreprises dimanche à Genève, entre les conseillers à la sécurité nationale américains, ukrainiens et européens, ont permis de remodeler le plan Trump et de le nettoyer de ses aspects les plus problématiques. Sur les 28 points initiaux, il n'en restait plus que 19 lundi. Certains paragraphes ont été tout simplement rayés, comme la suggestion de réintégrer la Russie dans le G8, ou d'offrir la possibilité pour les Etats-Unis d'utiliser les actifs russes gelés, majoritairement détenus dans des pays européens, afin de financer l'effort de reconstruction. Les mentions concernant directement les intérêts européens, comme les sanctions, la perspective que l'Ukraine adhère à l'Union européenne ou qu'elle n'intègre jamais l'OTAN ont été remises à plus tard. Ce nouveau plan en 19 points n'est pas définitif. Divers ajustements et précisions doivent encore être négociées dans les coulisses, avant d'être soumis à la Russie. Mais la copie paraît désormais acceptable à la fois aux Ukrainiens, aux Américains et aux Européens. Il n'est plus question pour Kyiv de renoncer aux territoires conquis par la Russie, ni d'établir une zone tampon sur son sol mais de proposer un armistice sur la ligne de front actuelle qui serait gelée. Il n'est plus envisagé de réduire par deux la taille de l'armée ukrainienne. « Beaucoup de choses justes ont été prises en compte » à Genève, a observé Volodymyr Zelensky, lundi, indiquant qu'il négociera lui-même avec Donald Trump les points les plus sensibles laissés de côté, lors d'une rencontre dont la date est incertaine. En écho, Vladimir Poutine a déclaré jeudi que « les combats cesseront » quand l'armée ukrainienne « quittera les territoires qu'elle occupe » (= les régions revendiquées par Moscou) et qu'il ne peut pas y avoir d'accord de paix car le gouvernement ukrainien n'est pas légitime.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La guerre à Gaza a été déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023.Une attaque qui a entraîné la mort de 1.221 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles.69.799 Palestiniens ont été tués par la campagne militaire israélienne de représailles, selon le ministère de la Santé de Gaza, contrôlé par le Hamas.Ces données, jugées fiables par l'ONU, ne précisent pas le nombre de combattants tués mais indiquent que plus de la moitié des morts sont des mineurs et des femmes.Après deux ans de guerre, Donald Trump a mis au point un plan de paix.Un cessez-le-feu, encore fragile, a été mis en place dans la bande de Gaza.Mais que contient ce plan ? A-t-il une chance de mener à une paix durable ?Invités: Léon Bruneau, correspondant de l'AFP au Département d'Etat américain ; Pascal Boniface, directeur de l'Iris, l'Institut de relations internationales et stratégiques ; David Khalfa, codirecteur de l'Observatoire de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, Fondation Jean-Jaurès.Réalisation : Maxime Mamet et Emmanuelle BaillonLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:18:41 - 8h30 franceinfo - L'eurodéputée Renew était l'invitée d'Hadrien Bect et Camille Vigogne Le Coat. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité :Alexandre Del Valle, géopolitologue et auteur de “Le Nouvel Ordre Post-Occidental" aux Editions l'ArtilleurChroniqueurs :Antonin André, chef du service politique du JDDVictor Eyraud, journaliste politique à Valeurs ActuellesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Au programme : Ukraine : plan de paix Trump ou Européen ? / Retour du service militaire : bonne ou mauvaise nouvelle ?
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Comment suivre le plan de Dieu
Les tractations se poursuivent cinq jours après l'annonce d'un plan de paix des États-Unis pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Un texte élaboré sans Kiev, ni les Européens mais qui ne cesse d'évoluer au fil des discussions. Ce mercredi (26 novembre 2025), la Russie évoque un «processus sérieux». Moscou accueillera, la semaine prochaine, l'émissaire américain Steve Witkoff. Face à cela, le président ukrainien Volodymyr Zelensky évoque une pression maximale sur l'Ukraine et résume l'enjeu : «perdre sa dignité ou risquer de perdre un partenaire majeur». Jusqu'où l'Ukraine peut-elle aller pour mettre fin à la guerre ? Quelles sont les alternatives possibles ? Avec : - Frédéric Petit, député Les démocrates des Français établis à l'étranger, membre de la Commission des Affaires Étrangères et du groupe d'amitié France-Ukraine - Ulrich Bounat, analyste géopolitique, spécialiste de l'Europe centrale et de l'Est, chercheur associé chez Eurocreative, auteur de La guerre hybride en Ukraine, quelles perspectives ? Éditions du Cygne - Charles Tenenbaum, maître de conférences en Science politique à Sciences Po Lille, spécialiste des questions de médiation internationale, coordinateur de l'Observatoire en ligne du Multilatéralisme et des Organisations internationales. Membre du groupe international d'experts sur l'Ukraine.
Les tractations se poursuivent cinq jours après l'annonce d'un plan de paix des États-Unis pour mettre fin à la guerre en Ukraine. Un texte élaboré sans Kiev, ni les Européens mais qui ne cesse d'évoluer au fil des discussions. Ce mercredi (26 novembre 2025), la Russie évoque un «processus sérieux». Moscou accueillera, la semaine prochaine, l'émissaire américain Steve Witkoff. Face à cela, le président ukrainien Volodymyr Zelensky évoque une pression maximale sur l'Ukraine et résume l'enjeu : «perdre sa dignité ou risquer de perdre un partenaire majeur». Jusqu'où l'Ukraine peut-elle aller pour mettre fin à la guerre ? Quelles sont les alternatives possibles ? Avec : - Frédéric Petit, député Les démocrates des Français établis à l'étranger, membre de la Commission des Affaires Étrangères et du groupe d'amitié France-Ukraine - Ulrich Bounat, analyste géopolitique, spécialiste de l'Europe centrale et de l'Est, chercheur associé chez Eurocreative, auteur de La guerre hybride en Ukraine, quelles perspectives ? Éditions du Cygne - Charles Tenenbaum, maître de conférences en Science politique à Sciences Po Lille, spécialiste des questions de médiation internationale, coordinateur de l'Observatoire en ligne du Multilatéralisme et des Organisations internationales. Membre du groupe international d'experts sur l'Ukraine.
00:00:00 : Bande-annonce Conférence Guérison & Réveil 2e édition 00:01:37 : Début de l'émission
durée : 00:07:58 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - L'Ukraine a connu dans la nuit de nouvelles attaques russes. Cette nouvelle nuit d'affrontements survient après que la Russie a rejeté lundi des propositions européennes pour amender le plan Trump sur l'Ukraine. Marie Mendras est professeure à l'Ecole des Affaires Internationales de Sciences Po. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:56 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Mercredi 19 novembre 2025, un plan de paix américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été révélé. Ce projet, défendu par Donald Trump et négocié avec l'entourage diplomatique de Poutine, a conduit à de fortes tensions avec les Européens qui défendent une autre approche. - invités : Vera Grantseva Politiste Enseignante à Sciences Po Paris; Isabelle Lasserre Journaliste française
durée : 00:20:02 - Journal de 18h - L'inquiétude et le désarroi en Ukraine après le plan de paix américain particulièrement favorable à la Russie. Les Européens espèrent encore améliorer ce plan validé par Donald Trump.
Ce lundi 24 novembre, le projet de plan de paix américain visant à régler le conflit entre l'Ukraine et la Russie, un projet qui divise les Américains eux-mêmes, a été abordé par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:20:02 - Journal de 18h - L'inquiétude et le désarroi en Ukraine après le plan de paix américain particulièrement favorable à la Russie. Les Européens espèrent encore améliorer ce plan validé par Donald Trump.
durée : 00:38:56 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Mercredi 19 novembre 2025, un plan de paix américain pour mettre fin à la guerre en Ukraine a été révélé. Ce projet, défendu par Donald Trump et négocié avec l'entourage diplomatique de Poutine, a conduit à de fortes tensions avec les Européens qui défendent une autre approche. - invités : Vera Grantseva Politiste Enseignante à Sciences Po Paris; Isabelle Lasserre Journaliste française
durée : 00:15:29 - Journal de 12h30 - De quelle marge de manœuvre disposeront les Européens à Genève ? Des responsables français, allemand, britanniques et italiens doivent participer aux discussions entre Ukrainiens et Américains sur la fin de la guerre et proposer des alternatives au plan Trump.
durée : 00:15:29 - Journal de 12h30 - De quelle marge de manœuvre disposeront les Européens à Genève ? Des responsables français, allemand, britanniques et italiens doivent participer aux discussions entre Ukrainiens et Américains sur la fin de la guerre et proposer des alternatives au plan Trump.
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent de la décision de Volodymyr Zelensky.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 20 novembre, le travail d'un plan secret par les États-Unis et la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine, a été abordé par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dans ce nouvel épisode de Ces questions que tout le monde se pose, je lis la lettre de Chloé. Chloé a 23 ans et travaille depuis peu en tant qu'ingénieure dans le domaine des énergies. À la suite de son entretien annuel d'entreprise où elle a reçu beaucoup de compliments, elle a surtout retenu qu'il fallait encore qu'elle améliore sa confiance en elle. Et ça, elle a l'impression qu'elle n'y arrivera jamais. Alors à travers l'histoire de Chloé, et toujours dans l'espoir d'aider aussi toutes celles et ceux qui écouteront cet épisode, j'essaie aujourd'hui de répondre aux questions que tout le monde se pose… sur comment surmonter le sentiment d'illégitimité au travail.N'hésitez pas à vous abonner à ce podcast, me suivre sur les réseaux sociaux sous le nom de Maud Ankaoua, ou consulter mon site internet https://www.maud-ankaoua.com. N'oubliez pas que si vous avez vous-même des questions, ou s'il y a des sujets que vous aimeriez que j'aborde dans un futur épisode, vous pouvez m'écrire ou m'envoyer une note vocale à l'adresse podcast.eyrolles@gmail.com. Vous retrouverez toutes ces informations dans le texte de description de l'épisode. Je serais également ravie de vous retrouver en librairie avec mes trois romans, Kilomètre Zéro, Respire ! Le Plan est toujours parfait et Plus jamais sans moi.Autrice & Animatrice : Maud Ankaoua Production : Éditions EyrollesRéalisation : Margaux Rol & Céline Malvo de l'Atelier ENLMontage & Mixage : Marthe CunyMusique : Martijn De BoerHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La poursuite du cessez-le-feu dans la bande de Gaza est suspendue au sort de militants du Hamas , piégés dans un tunnel dans le sud de l'enclave contrôlée par Israël. Ils sont près de 200 et les États-Unis ont bien l'intention de régler le problème pour éviter de voir "capoter" le plan de Donald Trump.Écoutez RTL autour du monde du 13 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Emmanuel Macron a reçu hier Mahmoud Abbas en tant que président de l'État de Palestine que la France a reconnu le 22 septembre. Les deux dirigeants présentent des pistes pour l'avenir de Gaza, alors que le plan Trump ne parvient pas à passer à la deuxième phase, plus politique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Emmanuel Macron a reçu hier Mahmoud Abbas en tant que président de l'État de Palestine que la France a reconnu le 22 septembre. Les deux dirigeants présentent des pistes pour l'avenir de Gaza, alors que le plan Trump ne parvient pas à passer à la deuxième phase, plus politique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Un chef-d'œuvre d'une beauté inégalée
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Prêt depuis 2024, le programme national préparé par l'Agence française anticorruption n'a toujours pas été présenté par les autorités. La faute à des réticences politiques, tandis que les chiffres officiels alertent sur la forte hausse des atteintes à la probité. Un article d'Antton Rouget publié jeudi 6 novembre 2025, lu par Christine Pâris. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Steve Bannon a accordé une longue interview à The Economist.L'ancien stratège de Donald Trump, cerveau du mouvement MAGA et figure centrale du populisme mondial, y annonce sans détour que Trump aura un troisième mandat en 2028.Il parle d'un “plan” pour contourner la Constitution, d'une stratégie de “prise de contrôle et de purge des institutions”, et d'un réseau international de forces nationalistes prêtes à remodeler le monde politique occidental.Pourquoi The Economist, symbole du libéralisme global, lui donne-t-il la parole ? Parce que Bannon n'est plus une figure marginale. Il est l'un des idéologues les plus influents de notre époque, et ce qu'il décrit dans cet entretien ressemble à un manifeste : celui d'un nouveau pouvoir, illibéral, technopolitique, messianique.Cet épisode revient sur les propos les plus marquants de l'interview, sur ce qu'ils révèlent du moment politique américain, et sur la guerre culturelle et institutionnelle qui s'annonce entre populisme et démocratie libérale.Au-delà du cas Trump, c'est une réflexion sur la fragilité de nos démocraties, et sur ce que Bannon incarne : le projet assumé de refonder le monde à partir de la colère.---Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
durée : 00:15:33 - Journal de 12h30 - Au Maroc, des milliers de personnes ont célébré le vote du Conseil de sécurité de l'ONU sur le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental. Le territoire était au centre d'un conflit vieux d'un demi-siècle. - invités : Chantal Birman Sage-femme, militante des droits des femmes
Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 30 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 22 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - Au sixième jour du cessez-le-feu dans la bande de Gaza, les Palestiniens rencontrés par notre envoyée spéciale à Ramallah (Cisjordanie occupée) se sentent oubliés par la communauté internationale et sont inquiets pour l'avenir.
Les premières phases du plan de paix pour Gaza se mettent en place. Près de 2000 prisonniers palestiniens sont sortis des prisons de l'Etat hébreu après que le Hamas a relâché les vingt otages israéliens encore vivants hier lundi.
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Donald Trump et une vingtaine de dirigeants européens et du Moyen Orient se retrouvent aujourd'hui en Égypte au chevet de Gaza, mais avec des agendas et des objectifs différents. Le risque est de déboucher sur un cessez-le-feu sans processus de paix, la recette de futures catastrophes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le gouvernement israélien a donc approuvé dans la nuit jeudi 9 au vendredi 10 octobre 2025 l'accord de cesser le feu avec le Hamas. Il doit s'appliquer sous les prochaines 24 heures. C'est un pas immense vers la paix. Mais l'extrême droite israélienne n'a pas validé ce plan. Elle veut continuer la guerre. Écoutez RTL autour du monde du 10 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:02 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le plan en 21 points présenté hier par Donald Trump après son entretien avec Benyamin Netanyahou est en retrait par rapport au projet franco-saoudien adopté par l'Assemblée générale des Nations Unies. Même s'il connait un début d'exécution, il n'ouvre pas la voie à une solution politique. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.