« Merci maman, Merci papa » est un podcast qui donne la parole a des parents arrivés en France entre les années 60 et 80, pour des raisons aussi diverses que leurs nationalités.
J'ai quitté les réseaux sociaux il y a désormais 7 mois. C'est un choix éthique qui, souvent, prend des airs de parcours initiatique. Je témoigne volontiers de mes pensées et de mes avancées tant professionnelles que personnelles au travers d'une newsletter hebdomadaire : « 52 semaines, ma première année sans réseaux sociaux ». Si ce n'est pas déjà fait, je t'invite à t'y inscrire via le lien disponible ICI : http://urlr.me/PsgSk Je reste également joignable par email à l'adresse suivante : m.guisse@lacomtessedaventures.fr Ainsi, on ne perd pas le lien, on change juste de moyen. Je vous dis à très vite et vous souhaite un excellent voyage au cœur de ce nouveau témoignage ! **************************************** Dans cette seconde partie, Maman Margot revient sur les premiers mois qui ont précédé son premier accouchement. Vous l'entendrez, les défis se sont cumulés. On aborde également la question de la transmission. Puis, on s'arrête un long moment sur les liens familiaux que le temps, l'immigration et les choix de vie ont distendus, si ce n'est rompus. Enfin, Maman Margot se confie sur la difficulté de trouver sa place, lorsque l'on a deux pays à l'esprit. C'est l'interview la plus personnelle qu'il m'ait été donné de faire et je remercie infiniment notre invitée pour sa sincérité. Je pense très fort à ses enfants et évidemment à Papa Pascal, un père, un ami et un mari génial. Je vous souhaite un voyage plein d'émotions, dans notre conversation.
J'ai quitté les réseaux sociaux il y a désormais 7 mois. C'est un choix éthique qui, souvent, prend des airs de parcours initiatique. Je témoigne volontiers de mes pensées et de mes avancées tant professionnelles que personnelles au travers d'une newsletter hebdomadaire : « 52 semaines, ma première année sans réseaux sociaux ». Si ce n'est pas déjà fait, je vous invite à vous y inscrire via le lien disponible ICI : http://urlr.me/PsgSk Je reste également joignable par email à l'adresse suivante : m.guisse@lacomtessedaventures.fr Ainsi, on ne perd pas le lien, on change juste de moyen. Je vous dis à très vite et vous souhaite un excellent voyage au cœur de ce nouveau témoignage. **************************************** C'est une intrigue familiale qui prend racine dans l'histoire nationale. C'est le chemin d'une femme déterminée, qui a refusé une réalité trop étriquée. C'est le destin de Margot qu'il me tarde de vous raconter. Née au Portugal dans une famille de 4 enfants, elle rejoint la France en toute illégalité un jour d'été. Brillante à l'école, elle verra ses espoirs de poursuivre de grandes études, stoppés par une mixité non appréciée. À 14 ans c'est décidé, elle aussi devra travailler. Maman Margot, c'est notre grande sœur avant l'heure. Ce sont les conséquences d'un déracinement d'un autre temps, de sacrifices parentaux contraints eux aussi de fuir leur pays bien trop tôt. Maman Margot, c'est aussi une rencontre amoureuse. Des souvenirs tendrement conservés et pudiquement égrainés. Parfois difficilement, toujours sincèrement. Cet épisode est riche en péripétie, fort en émotions, dense en réflexion. De ce fait, il est divisé en deux parties. Ne m'en voulez pas pour ce cliffangher incroyable et jugez plutôt ce parcours des plus admirables.
J'ai quitté les réseaux sociaux il y a désormais 4 mois. C'est un choix éthique qui, souvent, prend des airs de parcours initiatique. Je témoigne volontiers de mes pensées et de mes avancées tant professionnelles que personnelles au travers d'une newsletter hebdomadaire : « 52 semaines, ma première année sans réseaux sociaux ». Si ce n'est pas déjà fait, je vous invite à vous y inscrire via le lien disponible ici : https://urlz.fr/fwmF. Je reste également joignable par email à l'adresse suivante : m.guisse@lacomtessedaventures.fr Ainsi, on ne perd pas le lien, on change juste de moyen. Je vous dis à très vite et vous souhaite un excellent voyage au cœur de ce nouveau témoignage. **************************************** La première fois que j'ai lu le roman épistolaire « Une si longue lettre » de Mariama Bâ, j'ai su ce que serait le féminisme pour moi. Oui, on peut être une femme noire, être attachée à sa culture, à sa religion ET prendre ses propres décisions. Oui on peut, on DOIT, aller au-delà des croyances limitantes pour mieux se rapprocher de ce à quoi on est destiné. Maman Salimata, elle a fait tout cela. Alors qu'elle n'est pas encore sevrée du lait maternel, elle est confiée à une autre tutelle, celle de sa tante. De cette première séparation, naîtra une qualité qu'elle ne cessera de mettre à profit : son autonomie. À 10 ans, elle s'en va visiter son papa qu'elle ne connaît pas et décide de ne pas revenir. Plus tard, elle poursuivra ses études, seule, à Tambacounda. Puis à 21 ans, elle rejoindra papa Moussa. En France, elle cultive sa singularité, particulièrement dans la manière de s'approprier sa maternité. Dans la seconde partie du témoignage, papa Moussa nous rejoint pour évoquer leurs années communes et vous l'entendrez, les enseignements sont nombreux. Enfin, nous avons abordé deux thèmes qui me sont précieux : ~ Les conseils pour faire perdurer une vie à deux (spoiler alert : l'humilité semble être une indispensable qualité). ~ Les challenges liés à l'éducation d'enfants qui, dans un seul et même cœur, font coexister deux continents très différents. Cet épisode a été enregistré il y a un an et son contenu est toujours aussi passionnant. Je vous souhaite un voyage plein d'émotions, dans notre conversation !
airs de parcours initiatique. Je témoigne volontiers de mes pensées et de mes avancées tant professionnelles que personnelles au travers d'une newsletter hebdomadaire : « 52 semaines, ma première année sans réseaux sociaux ». Si ce n'est pas déjà fait, je vous invite à vous y inscrire via le lien disponible dans le résumé de l'épisode. Je reste également joignable par email à l'adresse suivante : m.guisse@lacomtessedaventures.fr Ainsi, on ne perd pas le lien, on change juste de moyen. Je vous dis à très vite et vous souhaite un excellent voyage au cœur de ce nouveau témoignage. **************************************** C'est un bonheur et un honneur pour moi de vous parler ce couple-là. Papa Moussa et Maman Salimata. Elle Malienne, lui Sénégalais, tous deux Soninkés. Au-delà de se rencontrer, ils étaient faits pour se marier. De lui, j'ai appris qu'il est sain de visiter le jardin de son voisin mais qu'il est capital de cultiver et de chérir le sien. En elle, j'ai vu une bravoure très précoce, une intelligence pleinement déployée et une résilience inspirante. Grâce à eux deux, j'ai saisi que les histoires d'immigrations sont belles car elles sont plurielles. Dans ce premier épisode, vous découvrirez les premières années de Papa Moussa de sa naissance à l'obtention de son premier travail en France. Il nous raconte ce qu'était sa joyeuse vie dans l'ancien Paris avant que le destin ne l'invite à emprunter un autre chemin. Avec lui, on en apprend beaucoup sur l'ingéniosité des premiers immigrés, sur la solitude qui nous envahit lorsqu'on perd des proches et qu'on se trouve si loin et sur la force de nos racines qui nous lient toujours à nos origines. Sans plus tarder, je vous laisse en compagnie de Papa Moussa et vous souhaite un voyage plein d'émotions, dans notre conversation.
REDIFFUSION - Episode 9 Maman Néné (3/3) Cet épisode est rediffusé en la mémoire de Néné Diabaté. Puisse son âme reposer en paix et la terre lui être légère. Par ailleurs, j’ai désormais quitté les réseaux sociaux mais donne des nouvelles régulièrement à travers une newsletter hebdomadaire : 52 SEMAINES, ma première année sans réseaux sociaux. Vous pouvez vous inscrire ICI : https://urlz.fr/fwmF Bonne écoute et d’ici-là prenez soin de vous. ********** Souvenez-vous : au début de l’épisode précédent, Maman Néné a besoin de changement. Elle s’envole vers les Etats-Unis et vit une première journée très éprouvante, sauvée l’hospitalité haïtienne restée ancrée dans ses origines africaines. Après 5 années de félicité et un nouveau-né : il est temps de rentrer. Mais avec qui ? A quel prix ? Dans cette troisième et dernière partie, Maman Néné se remémore la difficulté du retour et nous apprend qu’il est faux de penser que l’on repart de zéro. Elle insiste aussi sur l’importance de savoir s’arrêter pour réaliser le long chemin parcouru. Pour savourer les fruits d’une vie bien remplie. Pour apprendre à s’aimer pour ce qu’on a fait, pour ce qu’on est. Néné conclut sur le pouvoir de la transmission et personne ne doutera que son histoire en est le plus bel étendard. Cet épisode est audible grâce au lien dans bio, sur Apple Podcast pour les Iphoners et toutes autres les plateformes d’écoutes (Spotify, Soundcloud, Castbox entre autres) Je vous souhaite un voyage plein d’émotion, dans notre conversation. ***** J’ai désormais quitté les réseaux sociaux mais donne des nouvelles régulièrement à travers une newsletter hebdomadaire : 52 SEMAINES, ma première année sans réseaux sociaux. Vous pouvez vous inscrire ICI : https://urlz.fr/fwmF
Cet épisode est rediffusé en la mémoire de Néné Diabaté. Puisse son âme reposer en paix et la terre lui être légère. Par ailleurs, j’ai désormais quitté les réseaux sociaux mais donne des nouvelles régulièrement à travers une newsletter hebdomadaire : 52 SEMAINES, ma première année sans réseaux sociaux. Vous pouvez vous inscrire ICI : https://urlz.fr/fwmF Bonne écoute et prenez soin de vous ****** Dans cette seconde partie la vie de Maman Néné est pour le moins perturbée. Une séparation maritale, un décès familial et un départ dans des conditions peu banales. Mais malgré tout cela, Néné y croit, elle y va. Où ? Comment ? Pour quand ? C’est ce que je vous invite à découvrir dans ce nouvel épisode riche en rebondissement, mais surtout en humanité. Allez, je vous le dis : c’est mon préféré ! Je vous souhaite un voyage plein d’émotion dans notre conversation. ***** J’ai désormais quitté les réseaux sociaux mais donne des nouvelles régulièrement à travers une newsletter hebdomadaire : 52 SEMAINES, ma première année sans réseaux sociaux. Vous pouvez vous inscrire ICI : https://urlz.fr/fwmF
REDIFFUSION - Episode 9 Maman Néné (1/3) Cet épisode est rediffusé en la mémoire de Néné Diabaté. Puisse son âme reposer en paix et la terre lui être légère. J’ai désormais quitté les réseaux sociaux mais donne des nouvelles régulièrement à travers une newsletter hebdomadaire : 52 SEMAINES, ma première année sans réseaux sociaux. Vous pouvez vous inscrire ICI : https://urlz.fr/fwmF A très vite et d’ici-là prenez soin de vous. ********** Je vous invite à un voyage aux nombreux virages. Tenez-moi la main très fort, car ensemble, nous allons emprunter des chemins pavés de bonnes intentions, mais aux curieuses destinations. Née dans le Bamako des années 70, l’histoire de Néné éclot dans les yeux visionnaires de sa grand-mère : Nana Dramé. Institutrice à une époque où les colons sélectionnaient encore les écoliers, épouse, propriétaire, justicière et femme de foi, elle s’est battue pour ses droits et a tout fait pour que sa petite fille suive ses pas. Cet épisode sera diffusé en trois parties, la première lui est dédiée. Préparez-vous à plonger dans un héritage familial riche, enchevêtré dans les beaux-draps du Mali mais de la France aussi. Dans ce premier chapitre, vous découvrirez que l’accès à la présidence peut se jouer à une fausse note, que la politique d’immigration bouleverse une maison -Charles Pasqua, tu ne nous manques pas… - que la maladie a aussi ses moments de magie. ***** J’ai désormais quitté les réseaux sociaux mais donne des nouvelles régulièrement à travers une newsletter hebdomadaire : 52 SEMAINES, ma première année sans réseaux sociaux. Vous pouvez vous inscrire ICI : https://urlz.fr/fwmF
Dans « La perle et la coquille » de Nadia Hashimi le narrateur dit que « Le destin trouve plus facile de revenir sur ses pas ». Cela est d’autant vrai pour les belles rencontres. Celles qui vous vont sourire à leur souvenir, celles qui vous apaisent et vous apprennent. Souvenez-vous, il y a quelques semaines, j’interrogeais le volubile Papa Alex. À ses côtés, Maman Suzette était intervenue avec tant d’intelligence et de sagesse que j’ai su qu’il me fallait revenir à cette même adresse. Grâce à elle, vous découvrirez une Martinique de carte postale. Celle qui fleure bon la mer salée, qui transcende l’enfance insouciante et affûte les désirs d’indépendance. Maman Suzette revient aussi sur sa vie en métropole et les choix qui en ont découlés avec recul et justesse. Enfin, elle vous partage son regard sur le couple et la réalité du rôle de mère avec une humilité qui ferait rougir la twittosphère. Mais avant de débuter cet épisode, un petit rappel : « Merci Maman, Merci Papa » est un podcast qui vit uniquement d’amour et d’appréciation. Je compte donc sur vous pour vous abonner, commenter, mais surtout lui donner les meilleures notes qu’il soit (moins ça n’existe pas) sur Apple Podcast, Soundcloud et Spotify, J’en profite pour vous remercier à nouveau et du fond du cœur pour vos partages, vos retours, vos suggestions. Si vous souhaitez que votre maman et/ou votre papa vienne témoigner : mes dm et mon micro sont ouverts. Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
Ce nouvel épisode vous raconte une histoire d’immigration, une histoire de renoncement, une histoire d’espoir, mais surtout une histoire d’amour. Monsieur et Madame B -ils ont préféré conserver leur anonymat- se sont rencontrés à Meknès au Maroc. De voisins, ils sont devenus mari et femme. Pourtant rien ne laisser présager qu’ils partageraient le même destin. Institutrice à une époque où l’accès à l’emploi était limité, elle n’envisageait sa vie qu’au Maroc. Monsieur B., lui, avait pour projet de traverser la Méditerranée quitte à n’y rester quelques années. Alors comment fait-on lorsque les routes de l’immigration déroutent nos ambitions ? Comment construit-on sa vie dans un Paris intra-muros qui parfois emmure ? Pourquoi est-il si difficile de repartir au pays une fois que les enfants ont grandi ? C’est une discussion matinée de nostalgie, riche en réflexion et emprunte de douceur à laquelle je vous invite. Avant de débuter cet épisode un petit rappel : Merci Maman, Merci Papa est un podcast qui vit uniquement d’amour et de notes fraiches. Je compte donc sur vous pour vous abonner, commenter, mais surtout lui donner les meilleures notes qu’il soit (n’oubliez pas on est pas des profs de philo) sur Apple Podcast et Spotify, J’en profite pour vous remercier à nouveau et du fond du cœur pour vos partages, vos retours, vos suggestions. Si vous souhaitez que votre maman et/ou votre papa vienne témoigner : mes dm et mon micro sont ouverts. Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
Papa Alex est le premier papa d’origine martiniquaise à nous partager son histoire. Et pour être tout à fait honnête, c’était la première fois que je m’entretenais aussi longuement avec un papa antillais. Spoiler alert : le résultat est passionnant, drôle et très touchant. Papa Alex vous emmènera tout d’abord sur son île chérie, car c’est bien de là que tout est parti. Sa première leçon de courage, il la tiendra de sa maman, une femme extraordinairement forte qui élèvera seule ses 11 enfants, dans une Martinique aussi saturée par la pauvreté, que ses terres sont chlordéconés (pour ceux qui ne savent pas de quoi il s’agit, je vous rassure, on explique plus en détail ce scandale sanitaire durant l’épisode) Soutenu par sa douce et brillante épouse Maman Suzette, il nous rappelle aussi que le manque de savoir ne peut qu’aboutir à une perte de pouvoir et que l’esclavage mental n’a malheureusement pas fini son travail. Je vous ai dit que c’était passionnant ? Avant de débuter cet épisode un petit rappel : Merci Maman, Merci Papa est un podcast qui vit uniquement d’amour et de notes fraiches. Je compte donc sur vous pour vous abonner, commenter, mais surtout lui donner les meilleures notes qu’il soit (n’oubliez pas on est pas des profs de philo) sur Apple Podcast et Spotify, J’en profite pour vous remercier à nouveau et du fond du cœur pour vos partages, vos retours, vos suggestions. Si vous souhaitez que votre maman et/ou votre papa vienne témoigner : mes dm et mon micro sont ouverts. Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
J’aurais pu débuter cet épisode avec le classique Sodade de Césaria Evoria. Parce que l’histoire de Mama Rahmatou, c’est avant tout cela. Du moins, durant ses premières années. Un départ de la capitale du Togo très jeune, le décès d’un grand-père trop tôt, une sévère déconvenue au Burkina Faso et une arrivée en France où elle sera victime de travaux forcés orchestrés par une proche parenté. Mais heureusement, après la difficulté vient certes la facilité et parfois même… la félicité. Une rencontre déterminante, une belle revanche et un enfant plus tard Maman Rahmatou découvre les joies du métissage, mais aussi ses barrages. Mais cela, elle vous le racontera bien mieux que moi. Cet épisode est audible grâce au lien DANS LA BIO DE LA PAGE DEDIEE @mmmp_podcast, sur Apple Podcast pour les Iphoners et toutes autres les plateformes d’écoutes (Spotify, Soundcloud, Castbox entre autres) J’en profite pour vous remercier à nouveau et du fond du cœur pour vos partages, vos retours, vos suggestons. Si vous souhaitez que votre maman ou votre papa vienne témoigner : mes dm et mon micro sont ouverts. Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
Ils ne sont pas immigrés à proprement parler, mais ont bien des choses à nous raconter Ils n’ont pas vécu en France autant que nos parents et pourtant leur destin est intimement lié aux desseins de politiques qui redessinèrent l‘Afrique sous des formes géométriques depuis l’hexagone. Pour ce premier hors-série, je vous invite à découvrir l’histoire de Papy Djibril Tamsir Niane. Né au début des années 1930 dans l’Afrique Occidentale Française (l’AOF), il nous parle d’un temps que les moins de 80 ans ne peuvent pas connaître. Dès ses premiers souvenirs, il nous explique comment le système colonial est intrinsèquement pensé pour se perpétrer, mais surtout : prospérer durant des centaines années Vous découvrirez également pourquoi l’histoire de Cheick Anta Diop lui a donné envie de partir à la découverte de la sienne. Son voyage, en terre du Mali lui a permis de faire taire les plus sceptiques en donnant de la voix à la tradition orale. Un mode de transmission à la démarche scientifique, éthique, gardien de trésors aussi féeriques que véridiques. Durant la seconde partie de cet épisode, son épouse et lui-même reviennent avec précision et émotions sur les premières années d’indépendance de l’AOF. Sa genèse, les raisons pour lesquelles la France ne s’est pas battue pour conserver ses colonies d’Afrique subsaharienne et l’arrivé au pouvoir d’un homme aussi décrié qu’adulé : le président Sékou Touré. Qui est-il ? Pourquoi fascine-t-il encore ? Quels sont réellement ses torts ? Cet épisode est audible grâce au lien dans bio, sur Apple Podcast pour les Iphoners et toutes autres les plateformes d’écoutes (Spotify, Soundcloud, Castbox entre autres) Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
Souvenez-vous : au début de l’épisode précédent, Maman Néné a besoin de changement. Elle s’envole vers les Etats-Unis et vit une première journée très éprouvante, sauvée l’hospitalité haïtienne restée ancrée dans ses origines africaines. Après 5 années de félicité et un nouveau-né : il est temps de rentrer. Mais avec qui ? A quel prix ? Dans cette troisième et dernière partie, Maman Néné se remémore la difficulté du retour et nous apprend qu’il est faux de penser que l’on repart de zéro. Elle insiste aussi sur l’importance de savoir s’arrêter pour réaliser le long chemin parcouru. Pour savourer les fruits d’une vie bien remplie. Pour apprendre à s’aimer pour ce qu’on a fait, pour ce qu’on est. Néné conclut sur le pouvoir de la transmission et personne ne doutera que son histoire en est le plus bel étendard. Cet épisode est audible grâce au lien dans bio, sur Apple Podcast pour les Iphoners et toutes autres les plateformes d’écoutes (Spotify, Soundcloud, Castbox entre autres) Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
Dans cette seconde partie la vie de Maman Néné est pour le moins perturbée. Une séparation maritale, un décès familial et un départ dans des conditions peu banales. Mais malgré tout cela, Néné y croit, elle y va. Où ? Comment ? Pour quand ? C’est ce que je vous invite à découvrir dans ce nouvel épisode riche en rebondissement, mais surtout en humanité. Allez, je vous le dis : c’est mon préféré ! Je vous souhaite un voyage plein d’émotion dans notre conversation. Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
Je vous invite à un voyage aux nombreux virages. Tenez-moi la main très fort, car ensemble nous allons emprunter des chemins pavés de bonnes intentions, mais aux curieuses destinations. Née dans le Bamako des années 70, l’histoire de Néné éclot dans les yeux visionnaires de sa grand-mère : Nana Dramé. Institutrice à une époque où les colons sélectionnaient encore les écoliers, épouse, propriétaire, justicière et femme de foi, elle s’est battue pour ses droits et a tout fait pour que sa petite fille suive ses pas. Cet épisode sera diffusé en trois parties, la première lui est dédiée. Préparez-vous à plonger dans un héritage familial riche, enchevêtré dans les beaux-draps du Mali mais de la France aussi. Dans ce premier chapitre, vous découvrirez que l’accès à la présidence peut se jouer à une fausse note, que la politique d’immigration bouleverse une maison -Charles Pasqua, tu ne nous manques pas… - que la maladie a aussi ses moments de magie. L’épisode est audible grâce au lien dans bio, sur Apple Podcast pour les Iphoners et toutes autres les plateformes d’écoutes (Spotify, Soundcloud, Castbox entre autres) Pour plus d’informations sur le podcast, les interviewés ou votre obligée
J’ai aimé interviewer tous les parents. Je suis enthousiaste pour chaque épisode que je produis. Mais celui… Il est incroyable (sorry Daddy
Papa Roger n’aime pas les réalités altérées. C’est pourtant ce qui l’a poussé à tout quitter il y a trentaines d’années. Il idéalisait un pays aux contours biaisés par le prisme de la télé., Il finit par quitter Tananarive Pour fouler une terre plus dure, mais aussi plus sûr. Il y rencontra l’amour et compris qu’il n’y aurait pas de retour. Avec Dada Roger j’ai appris : Qu’il est possible de vivre sur une ile sans voir la mer. Que s’intégrer, c’est aussi renoncer. Que pour combler le manque, on peut en oublier sa langue. J’ai passé un très beau moment avec lui et j’espère que vous en ferez autant. Je vous souhaite un voyage plein d’émotions dans notre conversation.
Merci Maman, Merci Papa. Episode 6 Mama a des doigts de fées. Elle rêvait de les utiliser au pays des gratte-ciel. Mais ils s’usent au gré d’une profession qui frotte le sol. Femme de chambre au sein d’une société employée par l’hôtel Ibis Batginolles, elle est en grève depuis plus d'un mois pour réclamer ses droits La rencontre a eu lieu au coeur même du rassemblement. Cet épisode grouille de bruits et c'est très bien ainsi. Car il n'est point de révolution silencieuse pour ceux et celles qui souhaitent une fin heureuse. Une dernière chose : Merci Maman, Merci Papa a désormais sa page Instagram @mmmp_podcast -je vous invite vivement à la suivre si ce n'est pas déjà le cas- et une page web dédiée sur Ausha Je vous remercie infiniment pour votre soutien vous souhaite un voyage plein d'émotions dans notre conversation.
Pour cet épisode 5, c'est Maman Souleikha qui m'ouvre les portes de chez elle. On en a profité pour visiter ses premiers souvenirs rythmés par l'effervescence d'une Algérie libérée. On s'est arrêté sur l'évolution de la religion musulmane en France, sur la richesse de la double culture. Puis Maman Souleikha a évoqué sa peur de la solitude, ses affres aussi. Notre périple se termine sur une note d'espoir et d'amour, comme devrait toujours se finir ce chemin sinueux qu'on appelle la vie. Je vous souhaite un voyage plein d'émotions dans notre conversation.
Sommes-nous les enfants de nos parents ? Comme leur réalité, leurs choix, leurs voies influencent la nôtre ? Avec Maman Dieynaba, on parle de son père dont elle a hérité la sagesse mais aussi son rapport avec la polygamie -une constance qui a traversé toute sa vie- de sa relation avec ses enfants, de son non-choix d’avoir fait grandir son aîné dans son pays d’origine, de sa vision de l’amour. Je vous souhaite un voyage plein d'émotions dans notre conversation.
L’homme que vous vous apprêtez à écouter, c’est mon père. Papa est arrivée en France il y a 50 ans maintenant. Vous allez écouter son parcours de son enfance dans la région du Fouta, à ses aventures avec sa grand-mère qui l’aime tant. On parle aussi de son périple pour venir jusqu’ici, de sa rencontre incroyable avec son grand frère dans les rues de Paris et de son rapport à son pays natal le Sénégal. Les années ont balayé beaucoup de souvenirs de Papa emportant avec elles, dates, lieu, précision et conjugaison. C'est ce qui explique que ma voix est exceptionnellement présente sur cet épisode. Je vous souhaite un joli voyage dans ses souvenirs !
L’homme que vous vous apprêtez à écouter, c’est mon père. Papa est arrivée en France il y a 50 ans maintenant. Vous allez écouter son parcours de son enfance dans la région du Fouta, à ses aventures avec sa grand-mère qu'il aime tant. On parle aussi de son périple pour venir jusqu’ici, de sa rencontre incroyable avec son grand frère dans les rues de Paris et de son rapport à son pays natal le Sénégal. Les années ont balayé beaucoup de souvenirs de Papa emportant avec elles, dates, lieu, précision et conjugaison. C’est donc ma voix-off que vous entendrez à certains moments pour retranscrire en français ses pensées sans jamais je l’espère les dénaturer ou pire encore les étouffer. Je vous souhaite un joli voyage dans ses souvenirs !
Pour ce second épisode, j’interviewe Maman Elisabeth. Un prénom de reine-mère pour un parcours d’une roturière. Arrivée du Cameroun à l’adolescence, elle évoque ses réussites, mais aussi ses déceptions professionnelles. Elle dépeint également avec force et courage la réalité d’une mère célibataire sans jamais se départir de son mental incroyable. On aborde l'avenir aussi. Ah oui et on rit -beaucoup- aussi. Bon voyage dans ses souvenirs !
Dans ce première épisode, Papa Sakho évoque son enfance à Bakel au Sénégal, le rôle qu’a joué sa famille dans son arrivée en France et comment elle l’a accompagné à son arrivée. Il revient en tout humilité sur son rôle pourtant déterminant lors des grèves des foyers Sonacotra en 1976. On parle également du fait d’élever ses enfants en France de la notion de racisme qu’il aborde avec force et sagesse.