POPULARITY
Categories
Si vous êtes en couple aujourd'hui, essayez de vous demander quel est l'évènement dans votre vie qui est à la source de votre rencontre … le fameux effet papillon. Parfois c'est quelque chose qui n'a absolument rien à voir. Parfois c'est une première histoire qui vous mène à celle d'aujourd'hui. Et dans le cas d'Alban c'est un rêve, un rêve qui l'a amené à l'autre bout du monde. Et après bien des péripéties, un rêve qui l'a amené à son histoire ex…traordinaire. Clémentine De La Grange a réalisé cet épisode, Stéphane Bidart l'a monté et mis en musique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elle a tout transformé en dépendance: la bouffe, l'alcool, le sport et même la randonnée. 25 ans à courir après un manque: boulimie, anorexie, alcool, tabac. Aujourd'hui Ariane Pommery de Villeneuve n'est plus seulement patiente. Elle est patiente-experte. Elle forme les médecins, accompagne les entreprises et rappellent une vérité essentielle: Parfois, le silence est plus toxique que les produits.
Tu as l'impression que tu ne progresses pas assez vite ? Que tes débuts sont difficiles ? Que tu fais tout bien mais que les résultats ne viennent pas ? Dans cet épisode, je vais te parler de 5 pensées qu'on n'aime pas forcément entendre mais qui changent tout quand on veut progresser en course à pied. J'ai appris ces principes au fil de mes 10 ans de course. Parfois j'ai payé cher pour les apprendre en me blessant et/ou en régressant. Comprendre ces principes va t'éviter de te décourager, de te blesser ou de chercher des raccourcis, et surtout te donner une vision réaliste pour continuer à courir longtemps avec plaisir.Liens :Tous les liens et anciens épisodes : https://km42.soulier.xyz/370Le Protocole Perte de Gras : https://go.soulier.xyz/protocolekm42Le programme débutant Lève-toi et cours : https://go.soulier.xyz/levetoikm42
Selon la police, 175.000 manifestants ont rejoint le mouvement “Bloquons tout”… À Paris donc, mais aussi à Nantes, Marseille, Toulouse et Montpellier. Parfois dans un climat tendu…Tous les soirs du lundi au vendredi vers 19h20 sur France 5, Louis Amar vous raconte une des histoires qui a fait l'actualité dans sa “Story”.
durée : 00:04:21 - Le Reportage de la rédaction - Elles s'appellent Zelliana et Émilie mais en réalité elles ont plusieurs visages. Parfois, c'est un enfant qui habite leur corps et leur cerveau, parfois, c'est un garçon, parfois, juste une toute autre femme. Toutes deux souffrent de TDI, trouble dissociatif de l'identité et elles se racontent.
La nuit, durant notre sommeil, nous produisons des rêves qui semblent souvent n'avoir aucun sens. Parfois, nous en ressortons complètement troublés. Pourquoi rêvons-nous? À quoi peuvent bien servir nos rêves? Le rêve est probablement un des meilleurs moyens d'accéder à notre inconscient et de découvrir les conflits intérieurs qui nous habitent. Toutefois, le rêve est souvent dérangeant, car il nous montre justement ce que nous ne voulons pas voir. De plus, il exige de notre part de savoir le décoder. Le livre Inner Work du psychothérapeute Robert A. Johnson offre des pistes concrètes pour transformer nos rêves en outils d'introspection grâce à une méthode en quatre étapes. Il propose aussi l'exercice de l'imagination active, avec une démarche tout aussi structurée. Dans cet épisode, je vous invite à explorer comment apprivoiser vos rêves pour qu'ils deviennent non pas des énigmes perturbantes, mais des alliés précieux dans votre parcours personnel. Selon Robert A. Johnson, le rêve est plus réel que le réel. Ordre du jour 0m23: Introduction 14m30: Présentation du livre (Inner Work) 19m20: Rêve en appui (Enseigner dans un monde en déroute) 27m19: Posture à adopter pour l'analyse des rêves 48m05: Méthodes pour les rêves et Imagination active 1h10m08: Réflexion personnelle Pour encore plus de détails, consulte la page web de l'épisode
durée : 00:04:21 - Le Reportage de la rédaction - Elles s'appellent Zelliana et Émilie mais en réalité elles ont plusieurs visages. Parfois, c'est un enfant qui habite leur corps et leur cerveau, parfois, c'est un garçon, parfois, juste une toute autre femme. Toutes deux souffrent de TDI, trouble dissociatif de l'identité et elles se racontent.
Au bout de combien de fois on réussit ? Pourquoi c'est si dur d'apprendre à lire ? Comment on fait pour devenir une championne ?Parfois, on n'y arrive pas du premier coup, mais l'important, c'est de réessayer et de ne pas désespérer !Parlons-en avec le docteur Catherine Dolto. Parce que Mine de Rien, quand on comprend mieux, on grandit mieux !Les mots du docteur Catherine Dolto est un podcast de Gallimard Jeunesse Giboulées, adapté des livres de la collection Mine de Rien, écrits par Catherine Dolto et Colline Faure-Poirée. Disponible sur toutes les plateformes d'écoute.Produit par Kidsono pour Gallimard Jeunesse Giboulées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Qu'est-ce que c'est, un mensonge ? Est-ce que même les grandes personnes peuvent mentir ? Comment faire pour garder confiance ?Parfois, on sait qu'on devrait dire la vérité mais on n'y arrive pas.Parlons-en avec le docteur Catherine Dolto. Parce que Mine de Rien, quand on comprend mieux, on grandit mieux !Les mots du docteur Catherine Dolto est un podcast de Gallimard Jeunesse Giboulées, adapté des livres de la collection Mine de Rien, écrits par Catherine Dolto et Colline Faure-Poirée. Disponible sur toutes les plateformes d'écoute.Produit par Kidsono pour Gallimard Jeunesse Giboulées. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Parfois, on prend l'avion pour réaliser un vieux rêve et on atterrit dans une vie qu'on n'avait pas complètement prévue. Laetitia Mouton a grandi avec l'appel du large : l'Irlande, les premières libertés, l'envie de remettre ça plus loin. Puis c'est au tour de New York, la vie d'au pair, les semaines sans fin et enfin la Floride. La romance digne son comédie romantique, jusqu'à la boîte noire qu'on n'ouvre pas : l'emprise, les signaux que l'on tait, le corps qui parle plus fort que le reste. Jusqu'au jour où Laetitia pousse une porte, met des mots sur l'invisible et décide de ne plus subir, de fuir, et de se relever.Dans cet épisode, elle nous raconte comment elle a du tout recommencer d'un job alimentaire dans l'hôtellerie à une reconversion qui a du sens, d'un visa précaire à un quotidien apaisé et d'une identité cabossée à une boussole retrouvée. Aujourd'hui à Denver au cœur du Colorado, Laetitia est UX designer et elle nous raconte comment on se reconstruit sans renier ses rêves, et en apprenant à se choisir jour après jour. L'histoire de Laetitia est disponible en deux épisodes. Celui-ci est le premier, et le second est d'ores et déjà en ligne pour connaître la suite.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Parfois se reconstruire, c'est moins repartir de zéro que se rappeler qui l'on est.Après la tempête, Laetitia Mouton a choisi de se prioriser, mettre des mots sur ses valeurs, apprivoiser le silence pour mieux s'entendre, réinventer son travail, son quotidien, mais aussi sa façon d'aimer.Du Montana au Colorado, elle a replacé la joie au centre, pierre après pierre. Et dans ce mouvement, elle a retrouvé deux amours.L'amour d'elle-même, solide et non négociable, mais aussi l'amour partagé, celui qui respire, qui soutient et qui fait grandir.Je vous propose donc de découvrir la suite de l'histoire de Laetitia dans ce deuxième épisode, une histoire de renaissance, d'équilibre reconquis et d'avenir qui s'ouvre.Si vous n'avez pas écouté la première partie de son histoire, je vous invite à le faire maintenant, sinon ça risque d'être dur à suivre.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Russie a pour but avoué d'occuper la totalité de la région de Donetsk. Or, on ne parle pas uniquement de territoire. Rien que dans les agglomérations de Kramatorsk et Sloviansk, il reste encore près de 100 000 personnes, et ces villes aux allures de garnison sont les dernières grandes forteresses du Donbass à l'arrière du front, qui se rapproche pourtant inexorablement. Reportage à Kramatorsk de notre correspondante Nous sommes à Kramatorsk, à une quinzaine de kilomètres seulement du front, presque à portée d'artillerie, et définitivement à portée des drones russes. Ici, les drapeaux ukrainiens, bleus et jaunes flottent dans toutes les rues. Une énième sirène retentit. Impossible chaque jour de les compter tant elles sont nombreuses, pourtant ici, malgré la présence de bunkers en béton à travers la ville, plus personne n'y prête attention ni ne s'abrite. Dans ce supermarché du centre-ville, où l'on trouve désormais autant de soldats que de civils, Luda, une caissière, explique : « Eh bien, je voudrais rester ici, dans ma maison. Je ne veux aller nulle part ailleurs, vous comprenez ? J'ai travaillé ici toute ma vie, j'ai mes enfants, mes petits-enfants… » À lire aussiUkraine: à Kramatorsk, une ville entre la menace de la destruction et le spectre d'une nouvelle occupation À quelques rues de là, sous-sol, nous retrouvons Anja, une vétérinaire. Pour elle non plus, il n'est pas encore question de partir : « Il y a beaucoup de monde qui est venu ici, bien sûr, ils sont venus de toute la région de Donetsk. Ils sont venus s'installer, ici, à Kramatorsk, mais aussi à Sloviansk. On va partir, mais pas encore. » Pourquoi ? « Eh bien, pas encore, on est déjà partis de là où nous vivions, à Lyman, c'est dans l'autre direction, c'est juste que nous vivons ici depuis trois ans maintenant, enfin un peu moins. Et pendant longtemps, ça allait. Pour l'instant, ça va encore, mais on a un enfant, donc on ne sait pas trop quoi faire. On partira probablement à un moment. » Rester, faute de mieux Dasha, elle, est jeune maman. Malgré les explosions devenues quotidiennes, elle ne voit aucune perspective loin d'ici : « Effrayant, oui ! Mais que faire ? Qui a besoin de nous ? Les loyers sont chers ces temps-ci, et je suis mère célibataire. Il n'y a personne pour m'aider ! » Dans le bazar de la ville, on retrouve des personnes âgées, qui étalent les récoltes de leur jardin, herbes, fruits et légumes. Parfois, même leurs effets personnels qu'ils essaient de vendre afin de boucler les fins de mois. Eux n'ont tout simplement pas les moyens financiers pour fuir. C'est sur cette population que pèse le danger quotidien des bombes russes, ainsi que la perspective d'une nouvelle invasion, dans cette ville déjà occupée pendant quelques mois par les séparatistes soutenus par Moscou en 2014.
La Russie a pour but avoué d'occuper la totalité de la région de Donetsk. Or, on ne parle pas uniquement de territoire. Rien que dans les agglomérations de Kramatorsk et Sloviansk, il reste encore près de 100 000 personnes, et ces villes aux allures de garnison sont les dernières grandes forteresses du Donbass à l'arrière du front, qui se rapproche pourtant inexorablement. Reportage à Kramatorsk de notre correspondante Nous sommes à Kramatorsk, à une quinzaine de kilomètres seulement du front, presque à portée d'artillerie, et définitivement à portée des drones russes. Ici, les drapeaux ukrainiens, bleus et jaunes flottent dans toutes les rues. Une énième sirène retentit. Impossible chaque jour de les compter tant elles sont nombreuses, pourtant ici, malgré la présence de bunkers en béton à travers la ville, plus personne n'y prête attention ni ne s'abrite. Dans ce supermarché du centre-ville, où l'on trouve désormais autant de soldats que de civils, Luda, une caissière, explique : « Eh bien, je voudrais rester ici, dans ma maison. Je ne veux aller nulle part ailleurs, vous comprenez ? J'ai travaillé ici toute ma vie, j'ai mes enfants, mes petits-enfants… » À lire aussiUkraine: à Kramatorsk, une ville entre la menace de la destruction et le spectre d'une nouvelle occupation À quelques rues de là, sous-sol, nous retrouvons Anja, une vétérinaire. Pour elle non plus, il n'est pas encore question de partir : « Il y a beaucoup de monde qui est venu ici, bien sûr, ils sont venus de toute la région de Donetsk. Ils sont venus s'installer, ici, à Kramatorsk, mais aussi à Sloviansk. On va partir, mais pas encore. » Pourquoi ? « Eh bien, pas encore, on est déjà partis de là où nous vivions, à Lyman, c'est dans l'autre direction, c'est juste que nous vivons ici depuis trois ans maintenant, enfin un peu moins. Et pendant longtemps, ça allait. Pour l'instant, ça va encore, mais on a un enfant, donc on ne sait pas trop quoi faire. On partira probablement à un moment. » Rester, faute de mieux Dasha, elle, est jeune maman. Malgré les explosions devenues quotidiennes, elle ne voit aucune perspective loin d'ici : « Effrayant, oui ! Mais que faire ? Qui a besoin de nous ? Les loyers sont chers ces temps-ci, et je suis mère célibataire. Il n'y a personne pour m'aider ! » Dans le bazar de la ville, on retrouve des personnes âgées, qui étalent les récoltes de leur jardin, herbes, fruits et légumes. Parfois, même leurs effets personnels qu'ils essaient de vendre afin de boucler les fins de mois. Eux n'ont tout simplement pas les moyens financiers pour fuir. C'est sur cette population que pèse le danger quotidien des bombes russes, ainsi que la perspective d'une nouvelle invasion, dans cette ville déjà occupée pendant quelques mois par les séparatistes soutenus par Moscou en 2014.
Depuis notre naissance et jusqu'à notre mort, nous franchissons des portes. Certaines s'ouvrent. D'autres restent fermées. Parfois nous les forçons, parfois nous en perdons les clés.Derrière chaque porte, une épreuve, une leçon, un cadeau.Puis un jour, le toc toc devient tic tac. Et finalement, aux portes de l'Au-delà, il ne reste plus que nos actes.Ya Allah, ouvre-nous les portes de Ta miséricorde, avant que ne s'ouvre la porte de notre dernière demeure. Amine
C'est le Guardian à Londres, qui nous raconte son histoire et qui nous montre la dernière photo de Jana, petite fille de Gaza, souffrant de malnutrition sévère et d'acidose, une affection qui serait due à la malnutrition. « Sur les photos récentes, explique le Guardian, Jana Ayyad est recroquevillée en boule, le visage couvert de ses mains. Parfois cette fillette émaciée de 8 ans sanglote, réclamant son père, bloqué hors de Gaza depuis le début de la guerre, il y a 23 mois. Jana risque de mourir, poursuit le quotidien britannique. Son seul espoir est une évacuation médicale de Gaza pour pouvoir être soignée à l'étranger. » La mère de Jana, qui a perdu il y a deux mois son autre fille, témoigne : « Le médecin m'a dit sans détour : « Votre fille est dans un état critique. Vous pouvez la perdre à tout moment ». » Seulement voilà, « Israël contrôle les entrées et les sorties de Gaza ». « Les cas les plus critiques sont orientés vers l'étranger, poursuit le Guardian, mais les médecins et les autorités médicales affirment que la plupart des demandes sont retardées indéfiniment. » La mère de l'enfant, elle, supplie et interroge : « Pourquoi le cas de Jana est-il si compliqué ? Pourquoi personne au monde ne peut la faire sortir de Gaza ? » Retour à la case départ À la Une également, des dizaines de Russes victimes de la politique d'expulsions menée par Donald Trump. « Plusieurs dizaines de dissidents russes ont été expulsés des États-Unis et renvoyés de force en Russie », annonce le Times, qui a pu interroger « Vadim et Yuliya, un jeune couple qui pensait être enfin en sécurité, loin du régime répressif du président Vladimir Poutine. Mais qui aujourd'hui s'interroge (..) ils vivent dans la peur qu'on vienne frapper à leur porte, à Brooklyn. » Les autorités russes leur reprochent « d'avoir documenté la réalité de la guerre en Ukraine, sur une chaîne Telegram pacifiste ». Toutefois, ce n'est pas le FSB qui pourrait venir frapper à leur porte, mais bien les agents de l'immigration américains. C'est d'ailleurs ce qui est arrivé à des dizaines d'autres russes (dont des déserteurs), qui ont été expulsés des États-Unis, le 27 août dernier, « moins de deux semaines après le sommet entre le président Trump et Poutine, en Alaska », précise le Times. Un sommet qui a fortement déçu Vadim, le jeune dissident. « J'espérais en partie que [Vladimir] Poutine serait arrêté à son arrivée en Alaska, car c'est un criminel de guerre, dit-il, et pourtant Trump l'a accueilli comme un ami. » Les socialistes s'y voient déjà Enfin, en France, la classe politique est sur le pont, avant le vote de confiance, prévu la semaine prochaine à l'Assemblée nationale. « Face au spectre de la gauche à Matignon, la droite en ébullition », titre le Figaro, qui a interrogé le Numéro 2 des Républicains (LR) François-Xavier Bellamy, selon lequel « un gouvernement PS serait immédiatement censuré par sa famille politique ». « Alors que le vote de confiance, lundi, devrait précipiter la chute de François Bayrou », estime encore le quotidien français, « les socialistes s'y voient déjà, espérant placer leur premier secrétaire, Olivier Faure, à Matignon ». Situation qui fait grincer des dents le Figaro. « Reconnaissons-le, nous dit le quotidien conservateur, il fallait une bonne dose d'imagination, il y a quelques jours encore, pour envisager la nomination d'un socialiste à Matignon. Dans une France résolument de droite, au bord du gouffre, réclamant rigueur et autorité, c'est peu dire qu'Olivier Faure et ses amis ne présentent pas le meilleur profil pour succéder à François Bayrou ». Plus cruel encore, le journal compare le Parti socialiste à une grenouille : « Profitant de la confusion générale, la grenouille socialiste, se prenant soudainement pour un bœuf, se prépare à gouverner ». Le Figaro ne cache pas son agacement : « Envoyer un socialiste à Matignon serait le pire signe qui soit ».
Tout ce qui n’a pas été fait dans le dossier de la fillette de Granby… On recommence la saison comme on l’a laissée. De la prison à la maison, ou encore : un permis pour frauder en toute impunité. Crime et société avec Félix Séguin, journaliste au Bureau d’enquête de Québecor. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans cet épisode, Henry Arnaud, correspondant à Hollywood dévoile les coulisses du documentaire de Céline Dion avec Jean-Jacques Goldman. Geneviève Pettersen explore sans tabou l’univers de la pornographie, de ses premières découvertes à la porno féministe, tout en discutant de ses impacts sur les couples et l’éducation sexuelle. Maripier partage ses mésaventures avec un défi fitness quotidien, et Marie-Eve révèle ses astuces pour commencer les achats de Noël dès septembre. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement « toc » en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur « se met en scène ». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement « morte des suites d'alcoolisme » puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une « évidence » pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu « proustiennes ». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admirative des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : L'auteur Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'école des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, « une suite ininterrompue de monologues intérieurs ». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère
Que sait-on de sa famille ? De génération en génération, Laurent Mauvignier détricote le fil de son histoire familiale depuis son trisaïeul, Firmin Proust. Mais où est donc passée la médaille de Jules, l'arrière-grand-père ? C'est ainsi que commence le nouveau roman de Laurent Mauvignier, une saga familiale sur plusieurs générations. Il y a des histoires inventées qui contiennent plus de vérité que des histoires vécues qui sont complètement « toc » en fait. Parfois, le roman, en inventant, peut toucher plus de vérités. Pour la première fois, l'auteur « se met en scène ». Il écrit, il cherche et compose à la recherche de son passé. Il part de l'histoire de son arrière-arrière-grand-père puis déploie l'histoire de son arrière-grand-mère pour comprendre les raisons du décès de sa grand-mère officiellement « morte des suites d'alcoolisme » puis comprendre le suicide de son père lorsque l'auteur avait seize ans. Laurent Mauvignier a toujours considéré l'écriture comme une « évidence » pour lui. Quand vous écrivez, toute votre vie est consumée par l'écriture. Il y a des moments, il faut se battre pour se sentir vivant parmi les autres. Son écriture se caractérise par la longueur de ses phrases, des phrases un peu « proustiennes ». Quand je suis sur une phrase, chaque point est une torture. Il n'y a pas de point qui ne soit pas final, j'ai l'impression de tuer mes propres phrases. Je suis admirative des gens qui savent faire des phrases très courtes. Invité : L'auteur Laurent Mauvignier est un auteur français né à Tours en 1967. Il est issu d'une famille ouvrière de cinq enfants. Il intègre l'école des Beaux-Arts à 17 ans, dont il sort diplômé en 1991 en arts plastiques. En 1999, il publie son premier roman, Loin d'eux, aux Éditions de Minuit, « une suite ininterrompue de monologues intérieurs ». Il publiera par la suite des romans tels que Dans la foule (inspiré du drame de Heysel) Des hommes, qui raconte le traumatisme de la guerre d'Algérie et Histoires de la nuit, un thriller social qui sera adapté pour le cinéma prochainement. Il vient de publier son nouveau roman La Maison vide, mais aussi Quelque chose d'absent qui me tourmente – Entretiens avec Pascaline David (« Double », 2025) aux éditions de Minuit. Programmation musicale : l'artiste Coline Rio avec le titre Grand-mère
"Toulouse, la ville rose… Le charme de ses briques, ses quais dorés au coucher du soleil… Et pourtant, parfois, il faut partir. Juste un instant. S'éloigner. Prendre l'air ailleurs." "À 1h15 de là, une autre vie vous attend. Une vie plus lente. Plus douce. Plus vraie. Bienvenue dans le Tarn. Et cette fois… laissez-moi vous parler du Refuge du Trappeur." "Vous quittez la route. Le bitume fait place au gravier, puis à un sentier. Les arbres s'élèvent, le silence s'installe. Le souffle se calme. Le décor change. Et à 300 mètres seulement de la Cabane en Paille, un autre monde vous accueille." "Ici, pas de cabane perchée. Pas de show. Juste l'essentiel. Un petit refuge, à fleur de forêt. Un chalet comme on en rêve quand on veut se couper du tumulte, du bruit, des obligations. Un abri, au sens noble du terme." "À l'intérieur, tout invite à ralentir. À contempler. À vivre autrement. Les fenêtres sont de vraies ouvertures vers la canopée. On y sent l'odeur des pins, on y perçoit les frissons du vent. Parfois, on croit entendre la forêt respirer." "Le Refuge du Trappeur, c'est le goût de la lenteur. Le luxe de l'inutile. Le droit à ne rien faire. Lire un livre. Regarder les feuilles danser. S'étendre sur le filet suspendu, contempler les étoiles le soir, écouter la vie, simplement." "Tout est pensé pour l'essentiel. Une cuisine pour cuisiner, pas pour paraître. Une chambre pour se retrouver. Un espace à soi. Loin de tout. Et pourtant, tellement connecté à la nature." "C'est un lieu pour se recentrer. Pour écrire. Pour aimer. Pour rêver les yeux ouverts. Pour marcher, aussi. Car tout autour, le Tarn s'offre à vous : l'isthme d'Ambialet, les cascades d'Arifat, les sentiers de granit du Sidobre." "Mais peut-être n'irez-vous nulle part. Peut-être resterez-vous là. À écouter. À sentir. À savourer l'instant. Et ce sera parfait."Pour réserver c'est ici https://chezfedericoetpierre.fr/le-refuge-du-trappeur/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascale Rossler, ancienne responsable politique déléguée à la biodiversité, est coach, et conférencière. Formée aux Sciences de l'Environnement, elle accompagne aujourd'hui les transitions écologiques, pour des structures collectives comme pour des personnes privées. Pascale Rossler vient de publier un livre, Révélez votre nature !, qu'elle présente comme un « guide de l'écologie intérieure et relationnelle pour monde meilleur ». L'originalité de son approche, c'est la largeur en même temps que la profondeur de son regard : Largeur dans sa prise en considération des immenses défis écologiques qui se dressent devant nous ; profondeur dans sa vision d'une transformation personnelle par « l'écopsychologie » et aussi la spiritualité. C'est ainsi, selon elle, que nous pouvons réellement contribuer à l'avènement d'une meilleure manière d'habiter la Terre ensemble. Face à nos enjeux actuels, ceux de la perte de nos repères, la crise écologique, le délitement de la solidarité, toutes les déstabilisations individuelles et collectives que nous subissons, il est possible de redonner à nos vies des trajectoires personnelles épanouissantes. Avec son talent, son énergie et sa sérénité, Pascale Rossler offre un témoignage puissant et convaincant. Chez elle, l'amour de la nature et la passion du vivant composent une belle symphonie, portée par une joie rayonnante. Grâce à des acteurs engagés comme elle, le monde meilleur que nous espérons pour demain est déjà en marche, dès aujourd'hui. Pour lire Révélez votre nature !, le livre de Pascale Rossler, cliquer ici. Pour découvrir les activités de Pascale Rossler, cliquer ici. LES PREUX ET LES GUEUX ? Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Lorsque j'écrivais ma lettre hebdomadaire, envoyée dimanche dernier, le 24 août, je n'avais pas imaginé qu'elle susciterait tant d'émouvantes réactions… Au moment où j'écris cette nouvelle lettre, je continue de recevoir des messages de soutien et d'encouragements dont certains m'ont bouleversé par leur contenu, leur profondeur et leur délicatesse. Déjà, j'aurais aimé avoir le temps de répondre à chaque message. En attendant, j'ai retranscrit une sélection d'entre eux sur le site de Zeteo. Vous pourrez les lire en cliquant ici. Vous découvrirez des lignes et des mots qui m'ont tous particulièrement touché, et qui devraient vous toucher aussi. Mieux que tout ce que j'aurais pu dire, ils confirment ce qu'est le parcours de Zeteo depuis son lancement jusqu'à ce jour : une belle et fragile aventure, initiée par un homme de bonne volonté qui suit les intuitions de son cœur, et le fil des rencontres qui se nouent les unes après les autres. Zeteo n'est ni adossé ni soutenu par aucune structure ou Église. Ce podcast libre et indépendant est davantage le fruit d'une curiosité, d'un élan intérieur et du désir de partager au plus grand nombre ce qui fait du bien, qui réchauffe, qui console, qui guérit, qui aime et qui est beau. Avec toujours dans les yeux, dans le cœur et dans l'esprit, cette présence si douce, si intime, si aimante du Christ. C'est une belle et fragile aventure, et la fragilité a aussi une beauté. Comme la fragilité de Jésus, comme celle de tous ceux qui le suivaient sur les terres souvent arides et poussiéreuses de Palestine. La semaine passée, j'avais fait part des reproches de certains. Ils regrettaient que Zeteo ne suivait pas ou plus, selon eux, certaines règles de l'Église catholique. Je tiens ici à rassurer certains auditeurs qui se sont inquiétés. De tels reproches, il n'y en a pas eu beaucoup. Depuis le début de l'été, pas même eu de quoi former tous les doigts d'une seule main. Il est normal que Zeteo ne fasse pas l'unanimité. N'y a t-il pas plusieurs demeures dans la maison du Père ? Il est impossible que la bienveillance divine infinie ne vive seulement que dans une ou deux de ses maisons, et qu'elle abandonne toutes les autres. Zeteo n'est pas une de ces grandes maisons du Seigneur. Juste un petit couloir peut-être, ce qui serait déjà tellement bien. Ou encore, mieux qu'un couloir, un petit chemin parmi tous ceux qui, en traversant le coeur d'une immense et merveilleuse forêt, mèneraient vers une montagne où brille toujours le soleil. Sinon, que penser des messages d'auditeurs, reçus cette semaine, comme de tous ceux qui les ont précédés ? Ceux qui témoignent des bienfaits qu'ils ont reçu des invités entendus sur Zeteo, se trompent-ils ? Mentent-ils ? Ou, simplement, sont-ils dans l'illusion ? Ces témoignages valent-ils moins que ceux qui confessent un attachement plus direct à une Église, qu'elle soit catholique, protestante ou orthodoxe, voire à une religion non chrétienne ? Y aurait-it des témoins plus valables que d'autres ? D'un côté les preux, de l'autre les gueux ? Il n'y a pas d'un côté les bons et de l'autre les méchants. Ni les preux à droite et les gueux à gauche. Le bien et le mal, la division, la dualité, la vie et la mort sont en chacun de nous. C'est en chacun de nous que se livre le combat. Et nous ne sommes pas seuls pour le gagner. Il y a celui qui l'a déjà gagné pour nous, pour toujours. Celui qui nous attend tout le temps. Celui qui inspire, guide et accompagne d'innombrables hommes et femmes de bien sur cette terre et qui, à leur tour, libèrent, éveillent, guérissent les uns et les autres. Comme le dit si bien Fadila Semaï au micro de Zeteo, Jésus n'appartient pas aux catholiques. Le Christ appartient à toute l'humanité. N'oublions jamais l'attachement de Jésus, tranchant résolument sur les pratiques religieuses de son temps. Il allait parler à tous et à toutes. Il est celui qui « attire à lui tous les hommes » (Jn 12, 32). L'évangélisation, elle est pour tout le monde. Elle n'est pas conditionnée par des principes, des vérités et parfois des dogmes qui comptent pour certaines populations, selon la géographie, la culture ou la société. La moisson recouvre toute la Terre, et la tâche est immense. D'où peut-être, modestement, cette mission de Zeteo d'essayer d'aller toujours au plus grand nombre. Et de tenter de révéler ce qui nous rapproche tous, pas ce qui nous divise. Comme le révèle justement Philippe Dautais lors d'une de ses participations à Zeteo, il est frappant de voir à quel point toutes les spiritualités se rapprochent, depuis celles des peuples premiers. Il les comparait aux religions. Celles-ci sont des organisations humaines, et même si elles peuvent être inspirées et guidées divinement, elles peuvent tomber dans les pièges des divisions. Philippe Dautais est un religieux lui-même, il est une très belle figure de l'Église orthodoxe. Mais je crois qu'il est avant tout, comme de nombreux mystiques, un spirituel. Il est à l'écoute de l'Esprit qui souffle et qui anime, d'abord dans nos esprits et dans nos coeurs. L'Esprit divin souffle où il veut. Zeteo n'est pas au centre du monde. Ce podcast n'a pas la prétention de détenir une vérité immuable et infaillible. Mais il n'est pas vrai que l'Esprit ne souffle que d'un côté. La meilleure illustration, qui est en même temps notre meilleur soutien, ce sont ces témoignages d'auditeurs que je citais plus haut. N'est-il pas frappant, en lisant les Évangiles, de voir l'attitude du Christ dans presque tous ses échanges directs avec ceux qu'il rencontre ? Jésus est doux et aimant. Parfois, il ne parle pas. Ou il pose une, ou deux questions. En l'interrogeant, il invite toujours son interlocuteur vers son intériorité. Il l'invite à chercher, avec cette confiante certitude que c'est à l'intérieur de soi que l'on trouve le bon, le beau, le vrai et l'amour. C'est tout le sens du va-vers-soi de notre si chère Annick de Souzenelle. Alors que nos institutions et nos sociétés semblent au bord de craquer, que notre modèle civilisationnel est à bout de souffle, il est temps de réinviter l'homme à son intériorité et à sa liberté. Cela n'est pas en s'arc-boutant sur des principes dépassés, en se repliant et en se protégeant des autres que l'on sauvera le monde. C'est en faisant confiance en ce qui est le meilleur en chacun d'entre nous. Infiniment, je remercie ceux qui ont écrit un message d'encouragement cette semaine. Je remercie les auditeurs pour leur écoute et leur fidélité. Je remercie les donateurs, ceux qui ont fait un geste cette semaine, comme ceux qui le feront à leur tour un autre jour, ou dès aujourd'hui ? Beau dimanche, belle semaine à venir, belle rentrée à tous, et à bientôt pour la suite de nos aventures, si telle est la volonté divine, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
⁉️ Vous êtes plutôt force
Avec la suspension de l'aide américaine, le camp d'Al-Hol, en Syrie, fait face à une crise humanitaire grandissante. Tandis que les familles peinent à subvenir à leurs besoins, les autorités locales redoutent une aggravation de la situation et un possible regain du groupe État islamique. De notre envoyé spécial à Al-Hol, Plus de cinquante femmes, vêtues de noir, se tiennent à l'intérieur d'une petite boutique du marché du camp d'Al-Hol, en Syrie, qui abrite des milliers de familles de membres de Daech [l'acronyme en arabe du groupe terroriste État islamique, NDLR]. Elles attendent d'entendre leur nom pour recevoir un virement envoyé par leurs familles. Depuis que les États-Unis ont suspendu les programmes d'aide destinés au camp, ces virements sont devenus la principale source de revenus des familles pour acheter de la nourriture et des vêtements, selon deux femmes ayant requis l'anonymat : « La situation est très difficile, témoigne dit une. Je suis venue récupérer un virement au centre, car nous vivons actuellement uniquement grâce aux transferts d'argent envoyés par nos familles à l'étranger. Récemment, nous avons été coupés d'Internet, malgré nos demandes répétées pour son rétablissement. Nous sommes entièrement contrôlés, comme si nous étions en prison. Ils font de nous ce qu'ils veulent, et voilà que l'électricité et l'eau viennent aussi d'être coupées. » « Nous sommes des personnes âgées. Mon mari est handicapé et reste toujours dans la tente, s'agace une autre habitante du camp. Depuis plusieurs jours, il n'y a plus de médecins ni de soins médicaux. Même la simple distribution de médicaments a cessé, et maintenant, les habitants du camp meurent sur place à cause des maladies. » « Les enfants ont besoin de lait » La décision des États-Unis a entraîné un déficit de 60 % des coûts opérationnels et des aides pour le camp d'Al-Hol, affectant notamment les programmes de soins médicaux. Toutefois, selon la directrice de l'administration civile du camp Haval Jihan, certains programmes ont été maintenus jusqu'à la fin du mois de septembre prochain : « Ce système où l'aide s'arrête un mois, reprend un autre mois, puis s'interrompt à nouveau ne peut pas fonctionner. Nous restons dans l'incertitude, sans savoir ce qui nous attend. Parfois, l'aide est suspendue pendant deux jours, puis revient pour trois mois. Ce n'est pas viable. Nous avons commencé à chercher une alternative au soutien américain, mais honnêtement, c'est une tâche extrêmement difficile. » La ministre des Affaires étrangères de l'administration autonome kurde Ilham Ahmed craint que l'arrêt des aides n'accélère la fermeture du camp et ne favorise ainsi la résurgence de Daech : « Sans financement, le camp sera hors de contrôle. Les enfants ont besoin de lait et il n'y en a pas. Il y a un grand nombre d'enfants et de nourrissons ici, et si nous ne pouvons pas répondre à leurs besoins, la situation deviendra incontrôlable. Il y aura des révoltes, des manifestations, et bien d'autres problèmes plus graves. » Selon les chiffres officiels, le camp abrite plus de 60 000 personnes issues de familles de Daech, originaires de 43 nationalités différentes. À lire aussiSyrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»
Avec la suspension de l'aide américaine, le camp d'Al-Hol, en Syrie, fait face à une crise humanitaire grandissante. Tandis que les familles peinent à subvenir à leurs besoins, les autorités locales redoutent une aggravation de la situation et un possible regain du groupe État islamique. De notre envoyé spécial à Al-Hol, Plus de cinquante femmes, vêtues de noir, se tiennent à l'intérieur d'une petite boutique du marché du camp d'Al-Hol, en Syrie, qui abrite des milliers de familles de membres de Daech [l'acronyme en arabe du groupe terroriste État islamique, NDLR]. Elles attendent d'entendre leur nom pour recevoir un virement envoyé par leurs familles. Depuis que les États-Unis ont suspendu les programmes d'aide destinés au camp, ces virements sont devenus la principale source de revenus des familles pour acheter de la nourriture et des vêtements, selon deux femmes ayant requis l'anonymat : « La situation est très difficile, témoigne dit une. Je suis venue récupérer un virement au centre, car nous vivons actuellement uniquement grâce aux transferts d'argent envoyés par nos familles à l'étranger. Récemment, nous avons été coupés d'Internet, malgré nos demandes répétées pour son rétablissement. Nous sommes entièrement contrôlés, comme si nous étions en prison. Ils font de nous ce qu'ils veulent, et voilà que l'électricité et l'eau viennent aussi d'être coupées. » « Nous sommes des personnes âgées. Mon mari est handicapé et reste toujours dans la tente, s'agace une autre habitante du camp. Depuis plusieurs jours, il n'y a plus de médecins ni de soins médicaux. Même la simple distribution de médicaments a cessé, et maintenant, les habitants du camp meurent sur place à cause des maladies. » « Les enfants ont besoin de lait » La décision des États-Unis a entraîné un déficit de 60 % des coûts opérationnels et des aides pour le camp d'Al-Hol, affectant notamment les programmes de soins médicaux. Toutefois, selon la directrice de l'administration civile du camp Haval Jihan, certains programmes ont été maintenus jusqu'à la fin du mois de septembre prochain : « Ce système où l'aide s'arrête un mois, reprend un autre mois, puis s'interrompt à nouveau ne peut pas fonctionner. Nous restons dans l'incertitude, sans savoir ce qui nous attend. Parfois, l'aide est suspendue pendant deux jours, puis revient pour trois mois. Ce n'est pas viable. Nous avons commencé à chercher une alternative au soutien américain, mais honnêtement, c'est une tâche extrêmement difficile. » La ministre des Affaires étrangères de l'administration autonome kurde Ilham Ahmed craint que l'arrêt des aides n'accélère la fermeture du camp et ne favorise ainsi la résurgence de Daech : « Sans financement, le camp sera hors de contrôle. Les enfants ont besoin de lait et il n'y en a pas. Il y a un grand nombre d'enfants et de nourrissons ici, et si nous ne pouvons pas répondre à leurs besoins, la situation deviendra incontrôlable. Il y aura des révoltes, des manifestations, et bien d'autres problèmes plus graves. » Selon les chiffres officiels, le camp abrite plus de 60 000 personnes issues de familles de Daech, originaires de 43 nationalités différentes. À lire aussiSyrie: au camp d'Al-Hol, «il est urgent de trouver une solution»
Parfois l'IA n'est pas du tout l'IA qu'on croit... Rediffusion du 12 février 2025.
Parfois l'IA n'est pas du tout l'IA qu'on croit... Rediffusion du 12 février 2025.
Podcast horreur
Parfois, la finance c'est les « lendemain d'hier ». Vous savez ce genre de soirée où vous avez un peu trop forcé et que vous vous réveillez avec un train à vapeur qui vous passe juste au-dessus des sourcils et vous vous dites : « cette fois j'arrête » – enfin, jusqu'à la prochaine fois. … Continued
Travail, couple, appart, bordel... Parfois le retour des vacances d'été est un détonateur d'envies de changements ! Alors qu'est-ce qu'on met à la poubelle et comment savoir si c'est le grand ras le bol ou juste un moment à passer ? Un podcast Bababam Originals Ecrit par Hélène Vézier Retrouvez tous les épisodes de Madame Meuf ici. Première diffusion le 01/09/2022 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Parfois, de tout petits accidents peuvent faire bifurquer le cours de l'Histoire. Ainsi de ce prince héritier capétien, fils aîné de Louis VI qui, au XIIe siècle, est mort d'une chute de cheval, pour avoir simplement buté …sur un porc domestique !Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On pense souvent que pour que ça aille mieux, il faut tout changer :– refaire son agenda,– réorganiser toute sa vie,– repartir de zéroMais la vérité, c'est que tu n'as pas besoin de tout ça.Parfois, un seul petit ajustement suffit pour ressentir un vrai soulagement.Dans cet épisode, tu vas découvrir :– Pourquoi le mythe du “tout ou rien” t'empêche d'avancer,– Comment un ajustement minime peut avoir un grand impact,– L'action du jour pour identifier et tester TON petit ajustement,– Et pourquoi la régularité vaut mieux que la révolution.Et si ton ajustement, c'était d'apprendre l'arabe ?Mais à ton rythme, sans pression, dans un cadre simple et progressif.Les cours Miftah ouvrent leurs portes.
durée : 01:02:36 - Les Masterclasses - par : Mathilde Wagman - L'illustratrice et auteure américaine, Emil Ferris, de passage à Paris, évoque sa fascination pour les monstres et les récits d'horreur, une passion qu'on retrouve dans ses œuvres. - réalisation : Peire Legras - invités : Emil Ferris Illustratrice, dessinatrice, auteure de BD
Les départs clandestins de pirogues depuis les côtes guinéennes vers l'archipel espagnol des Canaries se sont multipliés, en conséquence de l'accord migratoire conclu entre la Mauritanie et l'Espagne l'an dernier. Pourtant, la traversée depuis la Guinée peut durer une dizaine de jours et est extrêmement dangereuse. En 2024, l'ONG espagnole Caminando Fronteras dénombre 10 457 morts dans l'Atlantique. Entretien avec Elhadj Mohamed Diallo, ancien exilé, qui dirige désormais l'Organisation guinéenne de lutte contre la migration irrégulière. RFI : La Guinée est devenue une alternative pour les candidats à la migration clandestine, notamment depuis la ville côtière de Kamsar. Pourquoi ce phénomène, selon vous, a-t-il pris de l'ampleur dans la ville ? Elhadj Mohamed Diallo : D'abord, la ville de Kamsar est une ville portuaire, où la pêche est beaucoup développée. La plupart des jeunes maîtrisent parfaitement l'océan. Ce sont des pêcheurs qui maîtrisent la conduite des pirogues. La situation aux îles Canaries est telle que des journalistes espagnols sont venus enquêter jusqu'en Guinée pour identifier les familles des disparus, racontez-nous. Lorsque des Guinéens sont arrivés dans les îles des Canaries – le troisième convoi au départ de Kamsar -, il y a eu un accident. Sept personnes sont décédées, dont deux enfants. Donc les journalistes se sont intéressés à la question. Ils nous ont contactés et ils sont venus sur le terrain pour identifier trois familles parmi les sept et après, ils sont venus à Conakry. On les a mis en contact avec des familles de disparus, et eux nous ont mis en relation avec des organisations qui travaillent sur les questions d'identification dans les autres pays. Il y a plusieurs familles qui sont identifiées, on est en train de mettre en place le collectif des familles de disparus. Et une fois que vous les identifiez, qu'est-ce que vous faites ? Parfois, un jeune décède dans un autre pays, mais la famille n'est pas identifiée. Donc, ils nous contactent. On accompagne la famille pour qu'elle puisse rapatrier le corps au pays et inhumer le jeune. On les accompagne aussi dans leur deuil et dans les démarches administratives. Lorsqu'un corps est identifié, il y a un tas de dossiers qu'il faut aller retirer à la justice ou à la mairie. Parfois, les familles ne sont pas informées. Nous accompagnons les familles dans toutes ces démarches, s'ils décident de rapatrier le corps ou pour qu'ils aient les documents nécessaires pour engager des procédures auprès des tribunaux. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar Alors concrètement, comment ça se passe ? Ce sont des passeurs qui sont, disons, des « professionnels » et qui ouvrent un nouveau point de passage ? Ou est-ce que ce sont des pêcheurs ou des personnes sur place, à Kamsar, qui se lancent dans le marché de la migration par opportunisme ? Le premier convoi, c'était des pêcheurs. Comme le Sénégal est un pays frontalier, on se dit que s'il y a des voies de passage depuis le Sénégal, nous aussi Guinéens pouvons tenter. Donc c'est comme ça qu'ils ont commencé. Un groupe d'individus étaient là en train de travailler, ils se sont réunis, ils ont formé leur convoi et ils sont partis. Ca a même échappé aux autorités. Pour le moment, on n'a pas pu avoir des informations sur les passeurs, on est en train de faire des recherches. Mais bon, vous savez, c'est une question très compliquée de former un groupe de réseaux. Ça peut être des compatriotes qui étaient déjà en Mauritanie ou au Sénégal et qui reviennent en Guinée, ou ça peut être aussi des gens issus du réseau marocain qui se ramifie jusqu'en Guinée. Ce sont des réseaux qui sont vraiment professionnels. On doit planifier le terrain, il faut identifier qui doit être impliqué, qui ne doit pas être impliqué aussi. Ça va prendre du temps. Mais quand même, il y a eu pour le moment trois ou quatre convois qui sont partis et le mois dernier, les autorités ont arrêté pas mal de groupes de personnes qui étaient prêtes à partir. Deux convois ont été arrêtés au mois de juillet. Un autre convoi a été arrêté en Mauritanie où il y avait des Guinéens, des Sénégalais et d'autres nationalités. Vous voulez dire qu'en fonction des politiques migratoires des pays pourtant voisins, le point de départ peut changer ? Pas forcément les politiques migratoires en soi. Ça peut être peut-être la façon dont on est en train de réprimer les migrants, ou bien comment on est en train de durcir un peu les politiques migratoires. C'est une chaîne, en fait. Ça a commencé par le Maroc, puis le Maroc a « fermé » sa voie d'accès. Puis la Mauritanie, le Sénégal où ça devient de plus en plus difficile. Finalement, les points de départ s'éloignent de plus en plus. Et certainement demain, quand on va « fermer » la Guinée, peut-être que c'est Sierra Leone, le Liberia ou la Côte d'Ivoire qui seront concernés. En ce qui concerne le réseau des passeurs, ce n'est pas seulement la Guinée qui doit y travailler. Il faut que les pays collaborent, que ça soit une coordination entre les États parce que ces passeurs sont des criminels. Ça, il faut le dire. Quand vous voyez ce qui se passe aujourd'hui en Tunisie, vous comprendrez pourquoi les pays doivent coopérer pour pouvoir travailler sur cette question. Est-ce que vous avez pu dresser un profil des personnes qui prennent la mer ? Ce sont des familles avec des enfants, parce qu'ils sont convaincus qu'avec des enfants, on vous donne des papiers en règle dès votre arrivé. Donc, ils prennent toute la famille pour partir. En majorité, c'est des jeunes de 17 à 35 ans. Mais il y a également des vieux, des femmes, des enfants, des intellectuels, des étudiants, des non-étudiants... C'est les mêmes personnes, des fois, qui avaient envie de partir mais qui n'en avaient pas la possibilité. Avec 15 millions de francs guinéens [1 500 €, NDLR], ils vont migrer depuis Kamsar. À lire aussiMauritanie: «Notre politique vis-à-vis de la migration irrégulière est restée la même» Alors même que la communication habituelle des autorités et la sensibilisation communautaire martèlent que le risque de partir clandestinement, c'est très dangereux, que la Guinée ou même l'Afrique en général, a besoin de bras pour se construire et que les politiques migratoires, vous l'avez dit, sont de plus en plus dures. Pourquoi, selon vous, les jeunes continuent de tenter « l'aventure », comme on l'appelle en Afrique de l'Ouest ? On est tous d'accord que d'abord, la migration, c'est un fait naturel. Deuxièmement, il y a une communication sur les réseaux sociaux qui dit que l'Allemagne ou la France ont besoin de plus de main-d'œuvre et les jeunes ont besoin de travailler. Mais quand vous prenez le cas spécifique de la Guinée, la majeure partie des jeunes Guinéens ont perdu confiance non seulement en l'intellectuel guinéen, mais aussi en la République de Guinée. Même s'ils avaient des milliards en poche, ils n'auraient pas envie d'investir dans ce pays parce qu'il y a une totale perte de confiance. Même si ces jeunes sont des intellectuels, même si vous leur trouvez un travail, ils vont chercher un moyen de transport pour quitter le pays parce qu'ils n'ont plus confiance en la République. À une époque, on avait des tee-shirts qui disaient La Guinée est mon avenir. Il y a un jeune qui m'a interpellé un jour, en me disant : « Tu penses qu'il y a une possibilité de réussir dans ce pays où un Premier ministre te dit qu'une région n'a pas le courant parce qu'un Chinois est mort ? » [en 2018, l'ex-Premier ministre Kassory Fofana avait justifié l'absence d'électricité à Kankan par le décès prématuré de l'investisseur chinois choisi pour le projet, NDLR] Vous voyez la mentalité ? Au début de ce mois, 49 Sénégalais ont quitté la Mauritanie en pirogue, se sont perdus en mer et ont finalement pu atteindre les îles Canaries en s'accrochant à une barge remorquée par un navire européen. Comment vous expliquez une telle détermination chez les jeunes Africains, avec pourtant un énorme risque de se faire arrêter ou pire, de mourir, tout simplement ? Vous interrogez dix jeunes aujourd'hui sur pourquoi ils sont prêts à prendre ces risques-là. Ils vous diront que dans l'état actuel des choses, ils sont comme déjà morts. Donc pour eux, il vaut mieux aller mourir ailleurs et peut-être réussir, que de rester ici et mourir. C'est comme un jeune avec ses parents, s'il n'a plus confiance, il va quitter la maison. Donc quand on n'a plus confiance en notre nation, on va forcément la quitter. C'est ce qui arrive en l'Afrique de l'Ouest, surtout au Sénégal et en Guinée. Quand dans un pays, même manger devient un luxe, ça devient un problème. Il y a donc la communication sur les réseaux sociaux et aussi cette question politique qui motive de nombreux jeunes à partir. Et on comprend parfois leur motivation, ils veulent tout simplement vivre en paix. À lire aussiLa France peut-elle se passer d'immigration ?
Dans les profondeurs sombres du bois de Boulogne, entre les arbres aux troncs difformes, Vanesa Campos s'effondre. Sa poitrine est transpercée. Une mare de sang s'étale au sol. Autour d'elle, la forêt bruisse encore des pas précipités de ses agresseurs. Il est 23 h 15, le 16 août 2018. Quelques heures plus tôt, la ville célébrait les Gay Games et l'inclusion. Quelques mètres plus loin, les rires étouffés des clients pressés de fuir résonnent à peine. Et Vanesa, elle, agonise seule. Sous le ciel de Paris, capitale des droits de l'homme, une femme transgenre et sans papiers meurt dans l'indifférence.Parmi ce groupe d'hommes, un attire particulièrement l'attention. 21 ans, en situation irrégulière, venu d'Égypte quelques mois plus tôt, il loge dans des squats, traîne avec des groupes instables, fréquente les abords du bois. Les filles le surnomment « El Nano », le nain. Il rôde, observe, surgit parfois pour s'emparer d'un téléphone, d'un sac ou de l'argent. Il passe vite, les yeux fuyants, les mains dans les poches. Parfois seul, souvent accompagné. Il les regarde comme des intruses, des parasites.
✨ Suis-moi sur Instagram : https://instagram.com/laurita.socaliente/ Pourquoi devrions-nous tous plus pratiquer le silence, garder notre calme et maîtriser notre esprit ? - Choisir ses batailles - Le silence n'est pas une faiblesse - Qu'est ce que tu as fait pour que l'autre se sente confortable de te traiter comme ça ? - L'inconfort que génère le silence est gold - Quand on se tait, on entend - Moins tu en dis, plus on t'écoute - Le silence est aussi une réponse A tout de suite ;)
Suite de la série qui vous emmène tout au long de l'été dans les lieux où l'art vibre et se crée sur le continent. Pour ce sixième rendez-vous direction le Kenya. Et plus précisément sa capitale, Nairobi. Le collectif Kuona y rassemble une vingtaine d'artistes, dans un groupe de containers. Sculpture, peinture, charpenterie ou encore mode, chaque créateur a son studio sur place, et il y expose. Il est presque caché dans un jardin calme, au fond d'une rue à Nairobi. Lorsque l'on franchit le portail du collectif d'artistes Kuona, l'art envahit le regard. Des sculptures sont éparpillées un peu partout. Dans les conteneurs alignés en rang, les artistes travaillent sur leurs prochaines œuvres. Ils sont plus d'une vingtaine à y avoir aménagé leurs studios et à y exposer leurs créations. Meshack Oiro est le président du collectif. « Nous avons des sculpteurs, des graveurs sur bois, des artistes qui travaillent dans la mode, des peintres qui font de la peinture à l'eau, des encadreurs... Nous avons de tout ici à Kuona », dit-il. Meshack est lui sculpteur. Il crée à partir de métaux récupérés. « Regardez cette œuvre : le client va venir la voir aujourd'hui. On distingue bien le moule en deux parties. Je vais souder les métaux tout autour, puis une fois que je l'aurai retiré, je verrai le résultat. Ensuite, j'assemblerai les deux parties, et ça formera un buffle. Ça se voit, non ? » Un collectif aux multiples talents Dans le conteneur mitoyen, les murs sont recouverts d'œuvres colorées. Représentant des fleurs, des animaux, des portraits... Elnah Akware les peint en utilisant des planches en bois sur lesquelles elle a gravé des motifs. Elle travaille, assise à son bureau. « Une fois que j'ai esquissé l'œuvre que j'ai en tête, je grave le motif dans le bois. Parfois, je fais même le croquis directement sur la planche. Une fois que c'est prêt, j'applique la peinture sur la surface gravée, puis je transfère le tout sur une feuille de papier en utilisant des rouleaux pour bien faire adhérer la peinture. Ensuite, il ne reste plus qu'à laisser sécher », raconte-t-elle. Elnah a 27 ans, elle a rejoint le collectif Kuona en 2019, en lançant sa carrière d'artiste professionnelle. « J'ai étudié les arts à l'université, mais on ne nous a pas vraiment appris cette technique de peinture à partir de gravure sur bois. C'est en arrivant à Kuona que je l'ai découverte. J'aimais déjà beaucoup la gravure à l'école, donc ça m'a tout de suite plu. Ce que j'apprécie particulièrement ici, c'est que je peux aller voir d'autres artistes et leur dire : “Je travaille là-dessus, qu'est-ce que tu en penses ? Comment je peux m'améliorer ? Tu peux m'aider ?” Il y a énormément de solidarité. Par moments, je me demande où j'en serai dans ma vie d'artiste si je n'avais pas rejoint ce collectif. Je pense que ce serait beaucoup plus difficile de vendre mes œuvres, d'être exposée à différentes techniques, ou même de comprendre comment les artistes gèrent l'aspect commercial de ce métier », raconte-t-elle. Une meilleure visibilité Ici, des artistes reconnus côtoient des jeunes pousses émergentes. Et chacun profite de la visibilité des autres. Un des avantages d'être en communauté. Comme le reconnait Wanjohi Maina. Âgé de 39 ans, il a rejoint le collectif en 2017. « Lorsqu'une personne vient ici pour voir un artiste en particulier, les autres artistes, en bénéficient puisque cette personne découvre en même temps notre travail. Et par la suite peut même en devenir collectionneuse ! Être regroupés au même endroit nous donne une meilleure visibilité : cela permet à un plus grand nombre de personnes de découvrir nos œuvres… et parfois d'en tomber amoureuses ». Wanjohi peint sur des plaques en métal. Ces œuvres représentent des scènes de la vie à Nairobi. Des vendeurs à la sauvette notamment que connaissent bien les habitants de la capitale. « J'aime bien dire que je saisis des moments... Des moments que je vois dans la rue. La vie du quotidien avec ses défis... C'est ça que j'essaye de représenter à travers mon travail ». Presque chaque premier samedi du mois, Kuona accueille une journée d'exposition avec des concerts. Certains artistes organisent aussi régulièrement des ateliers pour faire découvrir leur technique. De quoi faire vibrer la culture de la capitale.
Parfois, ce n'est pas ce que tu fais qui t'épuise mais c'est tout ce que tu gardes !Dans cet épisode, on voit :– Pourquoi l'encombrement vole ton énergie– Les 3 niveaux de tri (matériel, mental, digital)– Comment libérer de la place, sans attendre le “grand rangement”
En Bolivie, la campagne électorale s'est achevée. Les élections générales, et notamment la présidentielle, auront lieu dimanche 17 août, à l'issue d'une campagne marquée par la crise économique. Reportage, à la Paz, de Nils Sabin. Avec une inflation à deux chiffres et une population confrontée à des pénuries de dollars et de carburant, les candidats à l'élection présidentielle en Bolivie seront certainement jugés sur leurs solutions. Pour la population, « le porte-monnaie ne suit plus », mais il existe aussi de lourdes pénuries, notamment de médicaments. Les sentiments populaires sont donc très négatifs à l'approche des élections. Pour Nils Sabin, qui a rencontré la population, de nombreux Boliviens souhaitent une rupture après plusieurs décennies de gouvernements de gauche. Bad Bunny met en avant la culture portoricaine avec son nouvel album En 2020, Bad Bunny est devenu le premier artiste non anglophone le plus écouté sur la plateforme Spotify, une notoriété qui met en lumière la musique hispanophone. Le dernier album de l'artiste est un hommage à sa terre natale et à la culture portoricaine, face à une américanisation croissante du pays. L'album de Bad Bunny est politique et va bien au-delà du simple phénomène musical : les retombées économiques à Porto Rico sont impressionnantes, avec plus de 6 000 visiteurs prévus dans le pays. À écouter aussiLe rappeur portoricain Bad Bunny sort un nouvel album entre héritage et innovation La rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine fait la Une dans la plupart des médias nord-américains aujourd'hui… Oui, et chacun y va de son analyse et de ses prévisions… Le New York Times, par exemple, a donné la parole à une experte de la politique étrangère et de la sécurité russe : « Poutine devrait faire attention à ce qu'il veut », prévient-elle. Elle décrit un monde remodelé à la baguette par le président américain, tout-puissant en ce moment face à la Russie de Poutine, affaiblie par deux ans de guerre et des ressources limitées… Dans le Washington Post, on peut lire une tout autre analyse. Les journalistes rappellent, eux, que Poutine est un ancien agent du KGB et qu'il n'hésitera pas à user de ses charmes et de sa maîtrise de la manipulation pour flatter le président américain et, pourquoi pas, le détourner du sujet principal… l'invasion russe en Ukraine. Suivre le live[En direct] Sommet Trump-Poutine: l'Ukraine «compte» sur le président américain pour convaincre la Russie de mettre fin à la guerre En République dominicaine, des femmes migrantes se font expulser juste après leur accouchement… Un chiffre assez impressionnant que l'on retrouve dans la presse aujourd'hui, il concerne les femmes haïtiennes, principales réfugiées en République dominicaine. Depuis le début de l'année 2025, les accouchements de ces femmes dans les hôpitaux publics du pays ont chuté de 70 %. Car il est devenu risqué d'aller accoucher à l'hôpital. Pourquoi ? À cause d'une politique migratoire très stricte mise en place en République dominicaine. Le média en ligne Notigram rappelle que, depuis le mois d'avril, le président a organisé des « raids d'immigration »… Le concept : demander systématiquement aux étrangers des documents d'identité ou une carte de séjour en règle lorsqu'ils ont besoin de soins. Si les patients étrangers ne présentent pas ces documents, ils risquent une expulsion presque immédiate. Parfois, les femmes haïtiennes ont à peine le temps d'accoucher. Notigram explique que, selon la réglementation, celles qui accouchent naturellement sont remises aux autorités de l'immigration 72 heures après la naissance de leur bébé. Le journal The Haitian Times avait recueilli certains témoignages de ces mères. Par exemple, l'arrivée d'hommes armés qui entrent dans une chambre d'hôpital à coups de pied sur la porte, au milieu de la nuit. Le journaliste Edxon Francisque raconte que, parfois, ils n'attendent même pas que la mère ait fini d'allaiter son nouveau-né pour les charger dans un camion qui les emmènera de l'autre côté de la frontière. À lire aussiL'ONU dénonce l'expulsion de femmes enceintes de République dominicaine vers Haïti Au Salvador, le président vient de nommer, à la tête du ministère de l'Éducation, une militaire… La nouvelle fait la Une de plusieurs journaux du pays. Il faut dire que ce n'est pas une décision anodine. Nayib Bukele, « le dictateur le plus cool du monde » comme il aime se faire appeler, opère en ce moment une restructuration des ministères, qui s'inscrit dans un contexte particulier. Le média indépendant et critique ContraPunto, Contre-Point en français, rappelle que la gouvernance du président prend une tournure de plus en plus autoritaire. Il mentionne l'appareil de propagande de Nayib Bukele, son culte du leader et l'effondrement progressif de la démocratie. Le journal La Prensa, lui, évoque une restructuration particulièrement radicale de l'éducation dans le pays. Les journalistes rappellent que cette nomination intervient alors que plusieurs syndicats alertent sur des pressions fréquentes sur les enseignants : rien que cette semaine, 14 professeurs ont été licenciés dans le pays. Sur X, le président s'est exprimé : il a toute confiance en la nouvelle ministre de l'Éducation pour « impulser une transformation profonde ». L'idée semble plutôt de réimplanter des valeurs conservatrices à l'école. En 2024, Bukele avait ordonné au ministère de l'Éducation d'éliminer « toute trace » de l'approche de genre dans les manuels scolaires. À lire aussiLe Salvador permet au président Nayib Bukele de se représenter indéfiniment Journal de la 1ère En Guadeloupe, les soignants du centre hospitalier Sainte-Marie ont défilé dans les rues de Marie-Galante pour dénoncer le manque de personnel sur place.
Arnaud et Guillaume explore l'évolution de l'écosystème Java avec Java 25, Spring Boot et Quarkus, ainsi que les dernières tendances en intelligence artificielle avec les nouveaux modèles comme Grok 4 et Claude Code. Les animateurs font également le point sur l'infrastructure cloud, les défis MCP et CLI, tout en discutant de l'impact de l'IA sur la productivité des développeurs et la gestion de la dette technique. Enregistré le 8 août 2025 Téléchargement de l'épisode LesCastCodeurs-Episode–329.mp3 ou en vidéo sur YouTube. News Langages Java 25: JEP 515 : Profilage de méthode en avance (Ahead-of-Time) https://openjdk.org/jeps/515 Le JEP 515 a pour but d'améliorer le temps de démarrage et de chauffe des applications Java. L'idée est de collecter les profils d'exécution des méthodes lors d'une exécution antérieure, puis de les rendre immédiatement disponibles au démarrage de la machine virtuelle. Cela permet au compilateur JIT de générer du code natif dès le début, sans avoir à attendre que l'application soit en cours d'exécution. Ce changement ne nécessite aucune modification du code des applications, des bibliothèques ou des frameworks. L'intégration se fait via les commandes de création de cache AOT existantes. Voir aussi https://openjdk.org/jeps/483 et https://openjdk.org/jeps/514 Java 25: JEP 518 : Échantillonnage coopératif JFR https://openjdk.org/jeps/518 Le JEP 518 a pour objectif d'améliorer la stabilité et l'évolutivité de la fonction JDK Flight Recorder (JFR) pour le profilage d'exécution. Le mécanisme d'échantillonnage des piles d'appels de threads Java est retravaillé pour s'exécuter uniquement à des safepoints, ce qui réduit les risques d'instabilité. Le nouveau modèle permet un parcours de pile plus sûr, notamment avec le garbage collector ZGC, et un échantillonnage plus efficace qui prend en charge le parcours de pile concurrent. Le JEP ajoute un nouvel événement, SafepointLatency, qui enregistre le temps nécessaire à un thread pour atteindre un safepoint. L'approche rend le processus d'échantillonnage plus léger et plus rapide, car le travail de création de traces de pile est délégué au thread cible lui-même. Librairies Spring Boot 4 M1 https://spring.io/blog/2025/07/24/spring-boot–4–0–0-M1-available-now Spring Boot 4.0.0-M1 met à jour de nombreuses dépendances internes et externes pour améliorer la stabilité et la compatibilité. Les types annotés avec @ConfigurationProperties peuvent maintenant référencer des types situés dans des modules externes grâce à @ConfigurationPropertiesSource. Le support de l'information sur la validité des certificats SSL a été simplifié, supprimant l'état WILL_EXPIRE_SOON au profit de VALID. L'auto-configuration des métriques Micrometer supporte désormais l'annotation @MeterTag sur les méthodes annotées @Counted et @Timed, avec évaluation via SpEL. Le support de @ServiceConnection pour MongoDB inclut désormais l'intégration avec MongoDBAtlasLocalContainer de Testcontainers. Certaines fonctionnalités et API ont été dépréciées, avec des recommandations pour migrer les points de terminaison personnalisés vers les versions Spring Boot 2. Les versions milestones et release candidates sont maintenant publiées sur Maven Central, en plus du repository Spring traditionnel. Un guide de migration a été publié pour faciliter la transition depuis Spring Boot 3.5 vers la version 4.0.0-M1. Passage de Spring Boot à Quarkus : retour d'expérience https://blog.stackademic.com/we-switched-from-spring-boot-to-quarkus-heres-the-ugly-truth-c8a91c2b8c53 Une équipe a migré une application Java de Spring Boot vers Quarkus pour gagner en performances et réduire la consommation mémoire. L'objectif était aussi d'optimiser l'application pour le cloud natif. La migration a été plus complexe que prévu, notamment à cause de l'incompatibilité avec certaines bibliothèques et d'un écosystème Quarkus moins mature. Il a fallu revoir du code et abandonner certaines fonctionnalités spécifiques à Spring Boot. Les gains en performances et en mémoire sont réels, mais la migration demande un vrai effort d'adaptation. La communauté Quarkus progresse, mais le support reste limité comparé à Spring Boot. Conclusion : Quarkus est intéressant pour les nouveaux projets ou ceux prêts à être réécrits, mais la migration d'un projet existant est un vrai défi. LangChain4j 1.2.0 : Nouvelles fonctionnalités et améliorations https://github.com/langchain4j/langchain4j/releases/tag/1.2.0 Modules stables : Les modules langchain4j-anthropic, langchain4j-azure-open-ai, langchain4j-bedrock, langchain4j-google-ai-gemini, langchain4j-mistral-ai et langchain4j-ollama sont désormais en version stable 1.2.0. Modules expérimentaux : La plupart des autres modules de LangChain4j sont en version 1.2.0-beta8 et restent expérimentaux/instables. BOM mis à jour : Le langchain4j-bom a été mis à jour en version 1.2.0, incluant les dernières versions de tous les modules. Principales améliorations : Support du raisonnement/pensée dans les modèles. Appels d'outils partiels en streaming. Option MCP pour exposer automatiquement les ressources en tant qu'outils. OpenAI : possibilité de définir des paramètres de requête personnalisés et d'accéder aux réponses HTTP brutes et aux événements SSE. Améliorations de la gestion des erreurs et de la documentation. Filtering Metadata Infinispan ! (cc Katia( Et 1.3.0 est déjà disponible https://github.com/langchain4j/langchain4j/releases/tag/1.3.0 2 nouveaux modules expérimentaux, langchain4j-agentic et langchain4j-agentic-a2a qui introduisent un ensemble d'abstractions et d'utilitaires pour construire des applications agentiques Infrastructure Cette fois c'est vraiment l'année de Linux sur le desktop ! https://www.lesnumeriques.com/informatique/c-est-enfin-arrive-linux-depasse-un-seuil-historique-que-microsoft-pensait-intouchable-n239977.html Linux a franchi la barre des 5% aux USA Cette progression s'explique en grande partie par l'essor des systèmes basés sur Linux dans les environnements professionnels, les serveurs, et certains usages grand public. Microsoft, longtemps dominant avec Windows, voyait ce seuil comme difficilement atteignable à court terme. Le succès de Linux est également alimenté par la popularité croissante des distributions open source, plus légères, personnalisables et adaptées à des usages variés. Le cloud, l'IoT, et les infrastructures de serveurs utilisent massivement Linux, ce qui contribue à cette augmentation globale. Ce basculement symbolique marque un changement d'équilibre dans l'écosystème des systèmes d'exploitation. Toutefois, Windows conserve encore une forte présence dans certains segments, notamment chez les particuliers et dans les entreprises classiques. Cette évolution témoigne du dynamisme et de la maturité croissante des solutions Linux, devenues des alternatives crédibles et robustes face aux offres propriétaires. Cloud Cloudflare 1.1.1.1 s'en va pendant une heure d'internet https://blog.cloudflare.com/cloudflare–1–1–1–1-incident-on-july–14–2025/ Le 14 juillet 2025, le service DNS public Cloudflare 1.1.1.1 a subi une panne majeure de 62 minutes, rendant le service indisponible pour la majorité des utilisateurs mondiaux. Cette panne a aussi causé une dégradation intermittente du service Gateway DNS. L'incident est survenu suite à une mise à jour de la topologie des services Cloudflare qui a activé une erreur de configuration introduite en juin 2025. Cette erreur faisait que les préfixes destinés au service 1.1.1.1 ont été accidentellement inclus dans un nouveau service de localisation des données (Data Localization Suite), ce qui a perturbé le routage anycast. Le résultat a été une incapacité pour les utilisateurs à résoudre les noms de domaine via 1.1.1.1, rendant la plupart des services Internet inaccessibles pour eux. Ce n'était pas le résultat d'une attaque ou d'un problème BGP, mais une erreur interne de configuration. Cloudflare a rapidement identifié la cause, corrigé la configuration et mis en place des mesures pour prévenir ce type d'incident à l'avenir. Le service est revenu à la normale après environ une heure d'indisponibilité. L'incident souligne la complexité et la sensibilité des infrastructures anycast et la nécessité d'une gestion rigoureuse des configurations réseau. Web L'évolution des bonnes pratiques de Node.js https://kashw1n.com/blog/nodejs–2025/ Évolution de Node.js en 2025 : Le développement se tourne vers les standards du web, avec moins de dépendances externes et une meilleure expérience pour les développeurs. ES Modules (ESM) par défaut : Remplacement de CommonJS pour un meilleur outillage et une standardisation avec le web. Utilisation du préfixe node: pour les modules natifs afin d'éviter les conflits. API web intégrées : fetch, AbortController, et AbortSignal sont maintenant natifs, réduisant le besoin de librairies comme axios. Runner de test intégré : Plus besoin de Jest ou Mocha pour la plupart des cas. Inclut un mode “watch” et des rapports de couverture. Patterns asynchrones avancés : Utilisation plus poussée de async/await avec Promise.all() pour le parallélisme et les AsyncIterators pour les flux d'événements. Worker Threads pour le parallélisme : Pour les tâches lourdes en CPU, évitant de bloquer l'event loop principal. Expérience de développement améliorée : Intégration du mode --watch (remplace nodemon) et du support --env-file (remplace dotenv). Sécurité et performance : Modèle de permission expérimental pour restreindre l'accès et des hooks de performance natifs pour le monitoring. Distribution simplifiée : Création d'exécutables uniques pour faciliter le déploiement d'applications ou d'outils en ligne de commande. Sortie de Apache EChart 6 après 12 ans ! https://echarts.apache.org/handbook/en/basics/release-note/v6-feature/ Apache ECharts 6.0 : Sortie officielle après 12 ans d'évolution. 12 mises à niveau majeures pour la visualisation de données. Trois dimensions clés d'amélioration : Présentation visuelle plus professionnelle : Nouveau thème par défaut (design moderne). Changement dynamique de thème. Prise en charge du mode sombre. Extension des limites de l'expression des données : Nouveaux types de graphiques : Diagramme de cordes (Chord Chart), Nuage de points en essaim (Beeswarm Chart). Nouvelles fonctionnalités : Jittering pour nuages de points denses, Axes coupés (Broken Axis). Graphiques boursiers améliorés Liberté de composition : Nouveau système de coordonnées matriciel. Séries personnalisées améliorées (réutilisation du code, publication npm). Nouveaux graphiques personnalisés inclus (violon, contour, etc.). Optimisation de l'agencement des étiquettes d'axe. Data et Intelligence Artificielle Grok 4 s'est pris pour un nazi à cause des tools https://techcrunch.com/2025/07/15/xai-says-it-has-fixed-grok–4s-problematic-responses/ À son lancement, Grok 4 a généré des réponses offensantes, notamment en se surnommant « MechaHitler » et en adoptant des propos antisémites. Ce comportement provenait d'une recherche automatique sur le web qui a mal interprété un mème viral comme une vérité. Grok alignait aussi ses réponses controversées sur les opinions d'Elon Musk et de xAI, ce qui a amplifié les biais. xAI a identifié que ces dérapages étaient dus à une mise à jour interne intégrant des instructions encourageant un humour offensant et un alignement avec Musk. Pour corriger cela, xAI a supprimé le code fautif, remanié les prompts système, et imposé des directives demandant à Grok d'effectuer une analyse indépendante, en utilisant des sources diverses. Grok doit désormais éviter tout biais, ne plus adopter un humour politiquement incorrect, et analyser objectivement les sujets sensibles. xAI a présenté ses excuses, précisant que ces dérapages étaient dus à un problème de prompt et non au modèle lui-même. Cet incident met en lumière les défis persistants d'alignement et de sécurité des modèles d'IA face aux injections indirectes issues du contenu en ligne. La correction n'est pas qu'un simple patch technique, mais un exemple des enjeux éthiques et de responsabilité majeurs dans le déploiement d'IA à grande échelle. Guillaume a sorti toute une série d'article sur les patterns agentiques avec le framework ADK pour Java https://glaforge.dev/posts/2025/07/29/mastering-agentic-workflows-with-adk-the-recap/ Un premier article explique comment découper les tâches en sous-agents IA : https://glaforge.dev/posts/2025/07/23/mastering-agentic-workflows-with-adk-sub-agents/ Un deuxième article détaille comment organiser les agents de manière séquentielle : https://glaforge.dev/posts/2025/07/24/mastering-agentic-workflows-with-adk-sequential-agent/ Un troisième article explique comment paralleliser des tâches indépendantes : https://glaforge.dev/posts/2025/07/25/mastering-agentic-workflows-with-adk-parallel-agent/ Et enfin, comment faire des boucles d'amélioration : https://glaforge.dev/posts/2025/07/28/mastering-agentic-workflows-with-adk-loop-agents/ Tout ça évidemment en Java :slightly_smiling_face: 6 semaines de code avec Claude https://blog.puzzmo.com/posts/2025/07/30/six-weeks-of-claude-code/ Orta partage son retour après 6 semaines d'utilisation quotidienne de Claude Code, qui a profondément changé sa manière de coder. Il ne « code » plus vraiment ligne par ligne, mais décrit ce qu'il veut, laisse Claude proposer une solution, puis corrige ou ajuste. Cela permet de se concentrer sur le résultat plutôt que sur l'implémentation, comme passer de la peinture au polaroid. Claude s'avère particulièrement utile pour les tâches de maintenance : migrations, refactors, nettoyage de code. Il reste toujours en contrôle, révise chaque diff généré, et guide l'IA via des prompts bien cadrés. Il note qu'il faut quelques semaines pour prendre le bon pli : apprendre à découper les tâches et formuler clairement les attentes. Les tâches simples deviennent quasi instantanées, mais les tâches complexes nécessitent encore de l'expérience et du discernement. Claude Code est vu comme un très bon copilote, mais ne remplace pas le rôle du développeur qui comprend l'ensemble du système. Le gain principal est une vitesse de feedback plus rapide et une boucle d'itération beaucoup plus courte. Ce type d'outil pourrait bien redéfinir la manière dont on pense et structure le développement logiciel à moyen terme. Claude Code et les serveurs MCP : ou comment transformer ton terminal en assistant surpuissant https://touilleur-express.fr/2025/07/27/claude-code-et-les-serveurs-mcp-ou-comment-transformer-ton-terminal-en-assistant-surpuissant/ Nicolas continue ses études sur Claude Code et explique comment utiliser les serveurs MCP pour rendre Claude bien plus efficace. Le MCP Context7 montre comment fournir à l'IA la doc technique à jour (par exemple, Next.js 15) pour éviter les hallucinations ou les erreurs. Le MCP Task Master, autre serveur MCP, transforme un cahier des charges (PRD) en tâches atomiques, estimées, et organisées sous forme de plan de travail. Le MCP Playwright permet de manipuler des navigateurs et d'executer des tests E2E Le MCP Digital Ocean permet de déployer facilement l'application en production Tout n'est pas si ideal, les quotas sont atteints en quelques heures sur une petite application et il y a des cas où il reste bien plus efficace de le faire soit-même (pour un codeur expérimenté) Nicolas complète cet article avec l'écriture d'un MVP en 20 heures: https://touilleur-express.fr/2025/07/30/comment-jai-code-un-mvp-en-une-vingtaine-dheures-avec-claude-code/ Le développement augmenté, un avis politiquement correct, mais bon… https://touilleur-express.fr/2025/07/31/le-developpement-augmente-un-avis-politiquement-correct-mais-bon/ Nicolas partage un avis nuancé (et un peu provoquant) sur le développement augmenté, où l'IA comme Claude Code assiste le développeur sans le remplacer. Il rejette l'idée que cela serait « trop magique » ou « trop facile » : c'est une évolution logique de notre métier, pas un raccourci pour les paresseux. Pour lui, un bon dev reste celui qui structure bien sa pensée, sait poser un problème, découper, valider — même si l'IA aide à coder plus vite. Il raconte avoir codé une app OAuth, testée, stylisée et déployée en quelques heures, sans jamais quitter le terminal grâce à Claude. Ce genre d'outillage change le rapport au temps : on passe de « je vais y réfléchir » à « je tente tout de suite une version qui marche à peu près ». Il assume aimer cette approche rapide et imparfaite : mieux vaut une version brute livrée vite qu'un projet bloqué par le perfectionnisme. L'IA est selon lui un super stagiaire : jamais fatigué, parfois à côté de la plaque, mais diablement productif quand bien briefé. Il conclut que le « dev augmenté » ne remplace pas les bons développeurs… mais les développeurs moyens doivent s'y mettre, sous peine d'être dépassés. ChatGPT lance le mode d'étude : un apprentissage interactif pas à pas https://openai.com/index/chatgpt-study-mode/ OpenAI propose un mode d'étude dans ChatGPT qui guide les utilisateurs pas à pas plutôt que de donner directement la réponse. Ce mode vise à encourager la réflexion active et l'apprentissage en profondeur. Il utilise des instructions personnalisées pour poser des questions et fournir des explications adaptées au niveau de l'utilisateur. Le mode d'étude favorise la gestion de la charge cognitive et stimule la métacognition. Il propose des réponses structurées pour faciliter la compréhension progressive des sujets. Disponible dès maintenant pour les utilisateurs connectés, ce mode sera intégré dans ChatGPT Edu. L'objectif est de transformer ChatGPT en un véritable tuteur numérique, aidant les étudiants à mieux assimiler les connaissances. A priori Gemini viendrait de sortir un fonctionnalité similaire Lancement de GPT-OSS par OpenAI https://openai.com/index/introducing-gpt-oss/ https://openai.com/index/gpt-oss-model-card/ OpenAI a lancé GPT-OSS, sa première famille de modèles open-weight depuis GPT–2. Deux modèles sont disponibles : gpt-oss–120b et gpt-oss–20b, qui sont des modèles mixtes d'experts conçus pour le raisonnement et les tâches d'agent. Les modèles sont distribués sous licence Apache 2.0, permettant leur utilisation et leur personnalisation gratuites, y compris pour des applications commerciales. Le modèle gpt-oss–120b est capable de performances proches du modèle OpenAI o4-mini, tandis que le gpt-oss–20b est comparable au o3-mini. OpenAI a également open-sourcé un outil de rendu appelé Harmony en Python et Rust pour en faciliter l'adoption. Les modèles sont optimisés pour fonctionner localement et sont pris en charge par des plateformes comme Hugging Face et Ollama. OpenAI a mené des recherches sur la sécurité pour s'assurer que les modèles ne pouvaient pas être affinés pour des utilisations malveillantes dans les domaines biologique, chimique ou cybernétique. Anthropic lance Opus 4.1 https://www.anthropic.com/news/claude-opus–4–1 Anthropic a publié Claude Opus 4.1, une mise à jour de son modèle de langage. Cette nouvelle version met l'accent sur l'amélioration des performances en codage, en raisonnement et sur les tâches de recherche et d'analyse de données. Le modèle a obtenu un score de 74,5 % sur le benchmark SWE-bench Verified, ce qui représente une amélioration par rapport à la version précédente. Il excelle notamment dans la refactorisation de code multifichier et est capable d'effectuer des recherches approfondies. Claude Opus 4.1 est disponible pour les utilisateurs payants de Claude, ainsi que via l'API, Amazon Bedrock et Vertex AI de Google Cloud, avec des tarifs identiques à ceux d'Opus 4. Il est présenté comme un remplacement direct de Claude Opus 4, avec des performances et une précision supérieures pour les tâches de programmation réelles. OpenAI Summer Update. GPT–5 is out https://openai.com/index/introducing-gpt–5/ Détails https://openai.com/index/gpt–5-new-era-of-work/ https://openai.com/index/introducing-gpt–5-for-developers/ https://openai.com/index/gpt–5-safe-completions/ https://openai.com/index/gpt–5-system-card/ Amélioration majeure des capacités cognitives - GPT‑5 montre un niveau de raisonnement, d'abstraction et de compréhension nettement supérieur aux modèles précédents. Deux variantes principales - gpt-5-main : rapide, efficace pour les tâches générales. gpt-5-thinking : plus lent mais spécialisé dans les tâches complexes, nécessitant réflexion profonde. Routeur intelligent intégré - Le système sélectionne automatiquement la version la plus adaptée à la tâche (rapide ou réfléchie), sans intervention de l'utilisateur. Fenêtre de contexte encore étendue - GPT‑5 peut traiter des volumes de texte plus longs (jusqu'à 1 million de tokens dans certaines versions), utile pour des documents ou projets entiers. Réduction significative des hallucinations - GPT‑5 donne des réponses plus fiables, avec moins d'erreurs inventées ou de fausses affirmations. Comportement plus neutre et moins sycophant - Il a été entraîné pour mieux résister à l'alignement excessif avec les opinions de l'utilisateur. Capacité accrue à suivre des instructions complexes - GPT‑5 comprend mieux les consignes longues, implicites ou nuancées. Approche “Safe completions” - Remplacement des “refus d'exécution” par des réponses utiles mais sûres — le modèle essaie de répondre avec prudence plutôt que bloquer. Prêt pour un usage professionnel à grande échelle - Optimisé pour le travail en entreprise : rédaction, programmation, synthèse, automatisation, gestion de tâches, etc. Améliorations spécifiques pour le codage - GPT‑5 est plus performant pour l'écriture de code, la compréhension de contextes logiciels complexes, et l'usage d'outils de développement. Expérience utilisateur plus rapide et fluide- Le système réagit plus vite grâce à une orchestration optimisée entre les différents sous-modèles. Capacités agentiques renforcées - GPT‑5 peut être utilisé comme base pour des agents autonomes capables d'accomplir des objectifs avec peu d'interventions humaines. Multimodalité maîtrisée (texte, image, audio) - GPT‑5 intègre de façon plus fluide la compréhension de formats multiples, dans un seul modèle. Fonctionnalités pensées pour les développeurs - Documentation plus claire, API unifiée, modèles plus transparents et personnalisables. Personnalisation contextuelle accrue - Le système s'adapte mieux au style, ton ou préférences de l'utilisateur, sans instructions répétées. Utilisation énergétique et matérielle optimisée - Grâce au routeur interne, les ressources sont utilisées plus efficacement selon la complexité des tâches. Intégration sécurisée dans les produits ChatGPT - Déjà déployé dans ChatGPT avec des bénéfices immédiats pour les utilisateurs Pro et entreprises. Modèle unifié pour tous les usages - Un seul système capable de passer de la conversation légère à des analyses scientifiques ou du code complexe. Priorité à la sécurité et à l'alignement - GPT‑5 a été conçu dès le départ pour minimiser les abus, biais ou comportements indésirables. Pas encore une AGI - OpenAI insiste : malgré ses capacités impressionnantes, GPT‑5 n'est pas une intelligence artificielle générale. Non, non, les juniors ne sont pas obsolètes malgré l'IA ! (dixit GitHub) https://github.blog/ai-and-ml/generative-ai/junior-developers-arent-obsolete-heres-how-to-thrive-in-the-age-of-ai/ L'IA transforme le développement logiciel, mais les développeurs juniors ne sont pas obsolètes. Les nouveaux apprenants sont bien positionnés, car déjà familiers avec les outils IA. L'objectif est de développer des compétences pour travailler avec l'IA, pas d'être remplacé. La créativité et la curiosité sont des qualités humaines clés. Cinq façons de se démarquer : Utiliser l'IA (ex: GitHub Copilot) pour apprendre plus vite, pas seulement coder plus vite (ex: mode tuteur, désactiver l'autocomplétion temporairement). Construire des projets publics démontrant ses compétences (y compris en IA). Maîtriser les workflows GitHub essentiels (GitHub Actions, contribution open source, pull requests). Affûter son expertise en révisant du code (poser des questions, chercher des patterns, prendre des notes). Déboguer plus intelligemment et rapidement avec l'IA (ex: Copilot Chat pour explications, corrections, tests). Ecrire son premier agent IA avec A2A avec WildFly par Emmanuel Hugonnet https://www.wildfly.org/news/2025/08/07/Building-your-First-A2A-Agent/ Protocole Agent2Agent (A2A) : Standard ouvert pour l'interopérabilité universelle des agents IA. Permet communication et collaboration efficaces entre agents de différents fournisseurs/frameworks. Crée des écosystèmes multi-agents unifiés, automatisant les workflows complexes. Objet de l'article : Guide pour construire un premier agent A2A (agent météo) dans WildFly. Utilise A2A Java SDK pour Jakarta Servers, WildFly AI Feature Pack, un LLM (Gemini) et un outil Python (MCP). Agent conforme A2A v0.2.5. Prérequis : JDK 17+, Apache Maven 3.8+, IDE Java, Google AI Studio API Key, Python 3.10+, uv. Étapes de construction de l'agent météo : Création du service LLM : Interface Java (WeatherAgent) utilisant LangChain4J pour interagir avec un LLM et un outil Python MCP (fonctions get_alerts, get_forecast). Définition de l'agent A2A (via CDI) : ▪︎ Agent Card : Fournit les métadonnées de l'agent (nom, description, URL, capacités, compétences comme “weather_search”). Agent Executor : Gère les requêtes A2A entrantes, extrait le message utilisateur, appelle le service LLM et formate la réponse. Exposition de l'agent : Enregistrement d'une application JAX-RS pour les endpoints. Déploiement et test : Configuration de l'outil A2A-inspector de Google (via un conteneur Podman). Construction du projet Maven, configuration des variables d'environnement (ex: GEMINI_API_KEY). Lancement du serveur WildFly. Conclusion : Transformation minimale d'une application IA en agent A2A. Permet la collaboration et le partage d'informations entre agents IA, indépendamment de leur infrastructure sous-jacente. Outillage IntelliJ IDEa bouge vers une distribution unifiée https://blog.jetbrains.com/idea/2025/07/intellij-idea-unified-distribution-plan/ À partir de la version 2025.3, IntelliJ IDEA Community Edition ne sera plus distribuée séparément. Une seule version unifiée d'IntelliJ IDEA regroupera les fonctionnalités des éditions Community et Ultimate. Les fonctionnalités avancées de l'édition Ultimate seront accessibles via abonnement. Les utilisateurs sans abonnement auront accès à une version gratuite enrichie par rapport à l'édition Community actuelle. Cette unification vise à simplifier l'expérience utilisateur et réduire les différences entre les éditions. Les utilisateurs Community seront automatiquement migrés vers cette nouvelle version unifiée. Il sera possible d'activer les fonctionnalités Ultimate temporairement d'un simple clic. En cas d'expiration d'abonnement Ultimate, l'utilisateur pourra continuer à utiliser la version installée avec un jeu limité de fonctionnalités gratuites, sans interruption. Ce changement reflète l'engagement de JetBrains envers l'open source et l'adaptation aux besoins de la communauté. Prise en charge des Ancres YAML dans GitHub Actions https://github.com/actions/runner/issues/1182#issuecomment–3150797791 Afin d'éviter de dupliquer du contenu dans un workflow les Ancres permettent d'insérer des morceaux réutilisables de YAML Fonctionnalité attendue depuis des années et disponible chez GitLab depuis bien longtemps. Elle a été déployée le 4 aout. Attention à ne pas en abuser car la lisibilité de tels documents n'est pas si facile Gemini CLI rajoute les custom commands comme Claude https://cloud.google.com/blog/topics/developers-practitioners/gemini-cli-custom-slash-commands Mais elles sont au format TOML, on ne peut donc pas les partager avec Claude :disappointed: Automatiser ses workflows IA avec les hooks de Claude Code https://blog.gitbutler.com/automate-your-ai-workflows-with-claude-code-hooks/ Claude Code propose des hooks qui permettent d'exécuter des scripts à différents moments d'une session, par exemple au début, lors de l'utilisation d'outils, ou à la fin. Ces hooks facilitent l'automatisation de tâches comme la gestion de branches Git, l'envoi de notifications, ou l'intégration avec d'autres outils. Un exemple simple est l'envoi d'une notification sur le bureau à la fin d'une session. Les hooks se configurent via trois fichiers JSON distincts selon le scope : utilisateur, projet ou local. Sur macOS, l'envoi de notifications nécessite une permission spécifique via l'application “Script Editor”. Il est important d'avoir une version à jour de Claude Code pour utiliser ces hooks. GitButler permet desormais de s'intégrer à Claude Code via ces hooks: https://blog.gitbutler.com/parallel-claude-code/ Le client Git de Jetbrains bientot en standalone https://lp.jetbrains.com/closed-preview-for-jetbrains-git-client/ Demandé par certains utilisateurs depuis longtemps Ca serait un client graphique du même style qu'un GitButler, SourceTree, etc Apache Maven 4 …. arrive …. l'utilitaire mvnupva vous aider à upgrader https://maven.apache.org/tools/mvnup.html Fixe les incompatibilités connues Nettoie les redondances et valeurs par defaut (versions par ex) non utiles pour Maven 4 Reformattage selon les conventions maven … Une GitHub Action pour Gemini CLI https://blog.google/technology/developers/introducing-gemini-cli-github-actions/ Google a lancé Gemini CLI GitHub Actions, un agent d'IA qui fonctionne comme un “coéquipier de code” pour les dépôts GitHub. L'outil est gratuit et est conçu pour automatiser des tâches de routine telles que le triage des problèmes (issues), l'examen des demandes de tirage (pull requests) et d'autres tâches de développement. Il agit à la fois comme un agent autonome et un collaborateur que les développeurs peuvent solliciter à la demande, notamment en le mentionnant dans une issue ou une pull request. L'outil est basé sur la CLI Gemini, un agent d'IA open-source qui amène le modèle Gemini directement dans le terminal. Il utilise l'infrastructure GitHub Actions, ce qui permet d'isoler les processus dans des conteneurs séparés pour des raisons de sécurité. Trois flux de travail (workflows) open-source sont disponibles au lancement : le triage intelligent des issues, l'examen des pull requests et la collaboration à la demande. Pas besoin de MCP, le code est tout ce dont vous avez besoin https://lucumr.pocoo.org/2025/7/3/tools/ Armin souligne qu'il n'est pas fan du protocole MCP (Model Context Protocol) dans sa forme actuelle : il manque de composabilité et exige trop de contexte. Il remarque que pour une même tâche (ex. GitHub), utiliser le CLI est souvent plus rapide et plus efficace en termes de contexte que passer par un serveur MCP. Selon lui, le code reste la solution la plus simple et fiable, surtout pour automatiser des tâches répétitives. Il préfère créer des scripts clairs plutôt que se reposer sur l'inférence LLM : cela facilite la vérification, la maintenance et évite les erreurs subtiles. Pour les tâches récurrentes, si on les automatise, mieux vaut le faire avec du code reusable, plutôt que de laisser l'IA deviner à chaque fois. Il illustre cela en convertissant son blog entier de reStructuredText à Markdown : plutôt qu'un usage direct d'IA, il a demandé à Claude de générer un script complet, avec parsing AST, comparaison des fichiers, validation et itération. Ce workflow LLM→code→LLM (analyse et validation) lui a donné confiance dans le résultat final, tout en conservant un contrôle humain sur le processus. Il juge que MCP ne permet pas ce type de pipeline automatisé fiable, car il introduit trop d'inférence et trop de variations par appel. Pour lui, coder reste le meilleur moyen de garder le contrôle, la reproductibilité et la clarté dans les workflows automatisés. MCP vs CLI … https://www.async-let.com/blog/my-take-on-the-mcp-verses-cli-debate/ Cameron raconte son expérience de création du serveur XcodeBuildMCP, qui lui a permis de mieux comprendre le débat entre servir l'IA via MCP ou laisser l'IA utiliser directement les CLI du système. Selon lui, les CLIs restent préférables pour les développeurs experts recherchant contrôle, transparence, performance et simplicité. Mais les serveurs MCP excellent sur les workflows complexes, les contextes persistants, les contraintes de sécurité, et facilitent l'accès pour les utilisateurs moins expérimentés. Il reconnaît la critique selon laquelle MCP consomme trop de contexte (« context bloat ») et que les appels CLI peuvent être plus rapides et compréhensibles. Toutefois, il souligne que beaucoup de problèmes proviennent de la qualité des implémentations clients, pas du protocole MCP en lui‑même. Pour lui, un bon serveur MCP peut proposer des outils soigneusement définis qui simplifient la vie de l'IA (par exemple, renvoyer des données structurées plutôt que du texte brut à parser). Il apprécie la capacité des MCP à offrir des opérations état‑durables (sessions, mémoire, logs capturés), ce que les CLI ne gèrent pas naturellement. Certains scénarios ne peuvent pas fonctionner via CLI (pas de shell accessible) alors que MCP, en tant que protocole indépendant, reste utilisable par n'importe quel client. Son verdict : pas de solution universelle — chaque contexte mérite d'être évalué, et on ne devrait pas imposer MCP ou CLI à tout prix. Jules, l'agent de code asynchrone gratuit de Google, est sorti de beta et est disponible pour tout le monde https://blog.google/technology/google-labs/jules-now-available/ Jules, agent de codage asynchrone, est maintenant publiquement disponible. Propulsé par Gemini 2.5 Pro. Phase bêta : 140 000+ améliorations de code et retours de milliers de développeurs. Améliorations : interface utilisateur, corrections de bugs, réutilisation des configurations, intégration GitHub Issues, support multimodal. Gemini 2.5 Pro améliore les plans de codage et la qualité du code. Nouveaux paliers structurés : Introductif, Google AI Pro (limites 5x supérieures), Google AI Ultra (limites 20x supérieures). Déploiement immédiat pour les abonnés Google AI Pro et Ultra, incluant les étudiants éligibles (un an gratuit de AI Pro). Architecture Valoriser la réduction de la dette technique : un vrai défi https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-valoriser-la-reduction-de-la-dette-technique-mission-impossible–97483.html La dette technique est un concept mal compris et difficile à valoriser financièrement auprès des directions générales. Les DSI ont du mal à mesurer précisément cette dette, à allouer des budgets spécifiques, et à prouver un retour sur investissement clair. Cette difficulté limite la priorisation des projets de réduction de dette technique face à d'autres initiatives jugées plus urgentes ou stratégiques. Certaines entreprises intègrent progressivement la gestion de la dette technique dans leurs processus de développement. Des approches comme le Software Crafting visent à améliorer la qualité du code pour limiter l'accumulation de cette dette. L'absence d'outils adaptés pour mesurer les progrès rend la démarche encore plus complexe. En résumé, réduire la dette technique reste une mission délicate qui nécessite innovation, méthode et sensibilisation en interne. Il ne faut pas se Mocker … https://martinelli.ch/why-i-dont-use-mocking-frameworks-and-why-you-might-not-need-them-either/ https://blog.tremblay.pro/2025/08/not-using-mocking-frmk.html L'auteur préfère utiliser des fakes ou stubs faits à la main plutôt que des frameworks de mocking comme Mockito ou EasyMock. Les frameworks de mocking isolent le code, mais entraînent souvent : Un fort couplage entre les tests et les détails d'implémentation. Des tests qui valident le mock plutôt que le comportement réel. Deux principes fondamentaux guident son approche : Favoriser un design fonctionnel, avec logique métier pure (fonctions sans effets de bord). Contrôler les données de test : par exemple en utilisant des bases réelles (via Testcontainers) plutôt que de simuler. Dans sa pratique, les seuls cas où un mock externe est utilisé concernent les services HTTP externes, et encore il préfère en simuler seulement le transport plutôt que le comportement métier. Résultat : les tests deviennent plus simples, plus rapides à écrire, plus fiables, et moins fragiles aux évolutions du code. L'article conclut que si tu conçois correctement ton code, tu pourrais très bien ne pas avoir besoin de frameworks de mocking du tout. Le blog en réponse d'Henri Tremblay nuance un peu ces retours Méthodologies C'est quoi être un bon PM ? (Product Manager) Article de Chris Perry, un PM chez Google : https://thechrisperry.substack.com/p/being-a-good-pm-at-google Le rôle de PM est difficile : Un travail exigeant, où il faut être le plus impliqué de l'équipe pour assurer le succès. 1. Livrer (shipper) est tout ce qui compte : La priorité absolue. Mieux vaut livrer et itérer rapidement que de chercher la perfection en théorie. Un produit livré permet d'apprendre de la réalité. 2. Donner l'envie du grand large : La meilleure façon de faire avancer un projet est d'inspirer l'équipe avec une vision forte et désirable. Montrer le “pourquoi”. 3. Utiliser son produit tous les jours : Non négociable pour réussir. Permet de développer une intuition et de repérer les vrais problèmes que la recherche utilisateur ne montre pas toujours. 4. Être un bon ami : Créer des relations authentiques et aider les autres est un facteur clé de succès à long terme. La confiance est la base d'une exécution rapide. 5. Donner plus qu'on ne reçoit : Toujours chercher à aider et à collaborer. La stratégie optimale sur la durée est la coopération. Ne pas être possessif avec ses idées. 6. Utiliser le bon levier : Pour obtenir une décision, il faut identifier la bonne personne qui a le pouvoir de dire “oui”, et ne pas se laisser bloquer par des avis non décisionnaires. 7. N'aller que là où on apporte de la valeur : Combler les manques, faire le travail ingrat que personne ne veut faire. Savoir aussi s'écarter (réunions, projets) quand on n'est pas utile. 8. Le succès a plusieurs parents, l'échec est orphelin : Si le produit réussit, c'est un succès d'équipe. S'il échoue, c'est la faute du PM. Il faut assumer la responsabilité finale. Conclusion : Le PM est un chef d'orchestre. Il ne peut pas jouer de tous les instruments, mais son rôle est d'orchestrer avec humilité le travail de tous pour créer quelque chose d'harmonieux. Tester des applications Spring Boot prêtes pour la production : points clés https://www.wimdeblauwe.com/blog/2025/07/30/how-i-test-production-ready-spring-boot-applications/ L'auteur (Wim Deblauwe) détaille comment il structure ses tests dans une application Spring Boot destinée à la production. Le projet inclut automatiquement la dépendance spring-boot-starter-test, qui regroupe JUnit 5, AssertJ, Mockito, Awaitility, JsonAssert, XmlUnit et les outils de testing Spring. Tests unitaires : ciblent les fonctions pures (record, utilitaire), testés simplement avec JUnit et AssertJ sans démarrage du contexte Spring. Tests de cas d'usage (use case) : orchestrent la logique métier, généralement via des use cases qui utilisent un ou plusieurs dépôts de données. Tests JPA/repository : vérifient les interactions avec la base via des tests realisant des opérations CRUD (avec un contexte Spring pour la couche persistance). Tests de contrôleur : permettent de tester les endpoints web (ex. @WebMvcTest), souvent avec MockBean pour simuler les dépendances. Tests d'intégration complets : ils démarrent tout le contexte Spring (@SpringBootTest) pour tester l'application dans son ensemble. L'auteur évoque également des tests d'architecture, mais sans entrer dans le détail dans cet article. Résultat : une pyramide de tests allant des plus rapides (unitaires) aux plus complets (intégration), garantissant fiabilité, vitesse et couverture sans surcharge inutile. Sécurité Bitwarden offre un serveur MCP pour que les agents puissent accéder aux mots de passe https://nerds.xyz/2025/07/bitwarden-mcp-server-secure-ai/ Bitwarden introduit un serveur MCP (Model Context Protocol) destiné à intégrer de manière sécurisée les agents IA dans les workflows de gestion de mots de passe. Ce serveur fonctionne en architecture locale (local-first) : toutes les interactions et les données sensibles restent sur la machine de l'utilisateur, garantissant l'application du principe de chiffrement zero‑knowledge. L'intégration se fait via l'interface CLI de Bitwarden, permettant aux agents IA de générer, récupérer, modifier et verrouiller les identifiants via des commandes sécurisées. Le serveur peut être auto‑hébergé pour un contrôle maximal des données. Le protocole MCP est un standard ouvert qui permet de connecter de façon uniforme des agents IA à des sources de données et outils tiers, simplifiant les intégrations entre LLM et applications. Une démo avec Claude (agent IA d'Anthropic) montre que l'IA peut interagir avec le coffre Bitwarden : vérifier l'état, déverrouiller le vault, générer ou modifier des identifiants, le tout sans intervention humaine directe. Bitwarden affiche une approche priorisant la sécurité, mais reconnaît les risques liés à l'utilisation d'IA autonome. L'usage d'un LLM local privé est fortement recommandé pour limiter les vulnérabilités. Si tu veux, je peux aussi te résumer les enjeux principaux (interopérabilité, sécurité, cas d'usage) ou un extrait spécifique ! NVIDIA a une faille de securite critique https://www.wiz.io/blog/nvidia-ai-vulnerability-cve–2025–23266-nvidiascape Il s'agit d'une faille d'évasion de conteneur dans le NVIDIA Container Toolkit. La gravité est jugée critique avec un score CVSS de 9.0. Cette vulnérabilité permet à un conteneur malveillant d'obtenir un accès root complet sur l'hôte. L'origine du problème vient d'une mauvaise configuration des hooks OCI dans le toolkit. L'exploitation peut se faire très facilement, par exemple avec un Dockerfile de seulement trois lignes. Le risque principal concerne la compromission de l'isolation entre différents clients sur des infrastructures cloud GPU partagées. Les versions affectées incluent toutes les versions du NVIDIA Container Toolkit jusqu'à la 1.17.7 et du NVIDIA GPU Operator jusqu'à la version 25.3.1. Pour atténuer le risque, il est recommandé de mettre à jour vers les dernières versions corrigées. En attendant, il est possible de désactiver certains hooks problématiques dans la configuration pour limiter l'exposition. Cette faille met en lumière l'importance de renforcer la sécurité des environnements GPU partagés et la gestion des conteneurs AI. Fuite de données de l'application Tea : points essentiels https://knowyourmeme.com/memes/events/the-tea-app-data-leak Tea est une application lancée en 2023 qui permet aux femmes de laisser des avis anonymes sur des hommes rencontrés. En juillet 2025, une importante fuite a exposé environ 72 000 images sensibles (selfies, pièces d'identité) et plus d'1,1 million de messages privés. La fuite a été révélée après qu'un utilisateur ait partagé un lien pour télécharger la base de données compromise. Les données touchées concernaient majoritairement des utilisateurs inscrits avant février 2024, date à laquelle l'application a migré vers une infrastructure plus sécurisée. En réponse, Tea prévoit de proposer des services de protection d'identité aux utilisateurs impactés. Faille dans le paquet npm is : attaque en chaîne d'approvisionnement https://socket.dev/blog/npm-is-package-hijacked-in-expanding-supply-chain-attack Une campagne de phishing ciblant les mainteneurs npm a compromis plusieurs comptes, incluant celui du paquet is. Des versions compromises du paquet is (notamment les versions 3.3.1 et 5.0.0) contenaient un chargeur de malware JavaScript destiné aux systèmes Windows. Ce malware a offert aux attaquants un accès à distance via WebSocket, permettant potentiellement l'exécution de code arbitraire. L'attaque fait suite à d'autres compromissions de paquets populaires comme eslint-config-prettier, eslint-plugin-prettier, synckit, @pkgr/core, napi-postinstall, et got-fetch. Tous ces paquets ont été publiés sans aucun commit ou PR sur leurs dépôts GitHub respectifs, signalant un accès non autorisé aux tokens mainteneurs. Le domaine usurpé [npnjs.com](http://npnjs.com) a été utilisé pour collecter les jetons d'accès via des emails de phishing trompeurs. L'épisode met en lumière la fragilité des chaînes d'approvisionnement logicielle dans l'écosystème npm et la nécessité d'adopter des pratiques renforcées de sécurité autour des dépendances. Revues de sécurité automatisées avec Claude Code https://www.anthropic.com/news/automate-security-reviews-with-claude-code Anthropic a lancé des fonctionnalités de sécurité automatisées pour Claude Code, un assistant de codage d'IA en ligne de commande. Ces fonctionnalités ont été introduites en réponse au besoin croissant de maintenir la sécurité du code alors que les outils d'IA accélèrent considérablement le développement de logiciels. Commande /security-review : les développeurs peuvent exécuter cette commande dans leur terminal pour demander à Claude d'identifier les vulnérabilités de sécurité, notamment les risques d'injection SQL, les vulnérabilités de script intersite (XSS), les failles d'authentification et d'autorisation, ainsi que la gestion non sécurisée des données. Claude peut également suggérer et implémenter des correctifs. Intégration GitHub Actions : une nouvelle action GitHub permet à Claude Code d'analyser automatiquement chaque nouvelle demande d'extraction (pull request). L'outil examine les modifications de code pour y trouver des vulnérabilités, applique des règles personnalisables pour filtrer les faux positifs et commente directement la demande d'extraction avec les problèmes détectés et les correctifs recommandés. Ces fonctionnalités sont conçues pour créer un processus d'examen de sécurité cohérent et s'intégrer aux pipelines CI/CD existants, ce qui permet de s'assurer qu'aucun code n'atteint la production sans un examen de sécurité de base. Loi, société et organisation Google embauche les personnes clés de Windsurf https://www.blog-nouvelles-technologies.fr/333959/openai-windsurf-google-deepmind-codage-agentique/ windsurf devait être racheté par OpenAI Google ne fait pas d'offre de rachat mais débauche quelques personnes clés de Windsurf Windsurf reste donc indépendante mais sans certains cerveaux y compris son PDG. Les nouveaux dirigeants sont les ex leaders des force de vente Donc plus une boîte tech Pourquoi le deal a 3 milliard est tombé à l'eau ? On ne sait pas mais la divergence et l‘indépendance technologique est possiblement en cause. Les transfuge vont bosser chez Deepmind dans le code argentique Opinion Article: https://www.linkedin.com/pulse/dear-people-who-think-ai-low-skilled-code-monkeys-future-jan-moser-svade/ Jan Moser critique ceux qui pensent que l'IA et les développeurs peu qualifiés peuvent remplacer les ingénieurs logiciels compétents. Il cite l'exemple de l'application Tea, une plateforme de sécurité pour femmes, qui a exposé 72 000 images d'utilisateurs en raison d'une mauvaise configuration de Firebase et d'un manque de pratiques de développement sécurisées. Il souligne que l'absence de contrôles automatisés et de bonnes pratiques de sécurité a permis cette fuite de données. Moser avertit que des outils comme l'IA ne peuvent pas compenser l'absence de compétences en génie logiciel, notamment en matière de sécurité, de gestion des erreurs et de qualité du code. Il appelle à une reconnaissance de la valeur des ingénieurs logiciels qualifiés et à une approche plus rigoureuse dans le développement logiciel. YouTube déploie une technologie d'estimation d'âge pour identifier les adolescents aux États-Unis https://techcrunch.com/2025/07/29/youtube-rolls-out-age-estimatation-tech-to-identify-u-s-teens-and-apply-additional-protections/ Sujet très à la mode, surtout au UK mais pas que… YouTube commence à déployer une technologie d'estimation d'âge basée sur l'IA pour identifier les utilisateurs adolescents aux États-Unis, indépendamment de l'âge déclaré lors de l'inscription. Cette technologie analyse divers signaux comportementaux, tels que l'historique de visionnage, les catégories de vidéos consultées et l'âge du compte. Lorsqu'un utilisateur est identifié comme adolescent, YouTube applique des protections supplémentaires, notamment : Désactivation des publicités personnalisées. Activation des outils de bien-être numérique, tels que les rappels de temps d'écran et de coucher. Limitation de la visualisation répétée de contenus sensibles, comme ceux liés à l'image corporelle. Si un utilisateur est incorrectement identifié comme mineur, il peut vérifier son âge via une pièce d'identité gouvernementale, une carte de crédit ou un selfie. Ce déploiement initial concerne un petit groupe d'utilisateurs aux États-Unis et sera étendu progressivement. Cette initiative s'inscrit dans les efforts de YouTube pour renforcer la sécurité des jeunes utilisateurs en ligne. Mistral AI : contribution à un standard environnemental pour l'IA https://mistral.ai/news/our-contribution-to-a-global-environmental-standard-for-ai Mistral AI a réalisé la première analyse de cycle de vie complète d'un modèle d'IA, en collaboration avec plusieurs partenaires. L'étude quantifie l'impact environnemental du modèle Mistral Large 2 sur les émissions de gaz à effet de serre, la consommation d'eau, et l'épuisement des ressources. La phase d'entraînement a généré 20,4 kilotonnes de CO₂ équivalent, consommé 281 000 m³ d'eau, et utilisé 660 kg SB-eq (mineral consumption). Pour une réponse de 400 tokens, l'impact marginal est faible mais non négligeable : 1,14 gramme de CO₂, 45 mL d'eau, et 0,16 mg d'équivalent antimoine. Mistral propose trois indicateurs pour évaluer cet impact : l'impact absolu de l'entraînement, l'impact marginal de l'inférence, et le ratio inference/impact total sur le cycle de vie. L'entreprise souligne l'importance de choisir le modèle en fonction du cas d'usage pour limiter l'empreinte environnementale. Mistral appelle à plus de transparence et à l'adoption de standards internationaux pour permettre une comparaison claire entre modèles. L'IA promettait plus d'efficacité… elle nous fait surtout travailler plus https://afterburnout.co/p/ai-promised-to-make-us-more-efficient Les outils d'IA devaient automatiser les tâches pénibles et libérer du temps pour les activités stratégiques et créatives. En réalité, le temps gagné est souvent aussitôt réinvesti dans d'autres tâches, créant une surcharge. Les utilisateurs croient être plus productifs avec l'IA, mais les données contredisent cette impression : une étude montre que les développeurs utilisant l'IA prennent 19 % de temps en plus pour accomplir leurs tâches. Le rapport DORA 2024 observe une baisse de performance globale des équipes lorsque l'usage de l'IA augmente : –1,5 % de throughput et –7,2 % de stabilité de livraison pour +25 % d'adoption de l'IA. L'IA ne réduit pas la charge mentale, elle la déplace : rédaction de prompts, vérification de résultats douteux, ajustements constants… Cela épuise et limite le temps de concentration réelle. Cette surcharge cognitive entraîne une forme de dette mentale : on ne gagne pas vraiment du temps, on le paie autrement. Le vrai problème vient de notre culture de la productivité, qui pousse à toujours vouloir optimiser, quitte à alimenter l'épuisement professionnel. Trois pistes concrètes : Repenser la productivité non en temps gagné, mais en énergie préservée. Être sélectif dans l'usage des outils IA, en fonction de son ressenti et non du battage médiatique. Accepter la courbe en J : l'IA peut être utile, mais nécessite des ajustements profonds pour produire des gains réels. Le vrai hack de productivité ? Parfois, ralentir pour rester lucide et durable. Conférences MCP Submit Europe https://mcpdevsummit.ai/ Retour de JavaOne en 2026 https://inside.java/2025/08/04/javaone-returns–2026/ JavaOne, la conférence dédiée à la communauté Java, fait son grand retour dans la Bay Area du 17 au 19 mars 2026. Après le succès de l'édition 2025, ce retour s'inscrit dans la continuité de la mission initiale de la conférence : rassembler la communauté pour apprendre, collaborer et innover. La liste des conférences provenant de Developers Conferences Agenda/List par Aurélie Vache et contributeurs : 25–27 août 2025 : SHAKA Biarritz - Biarritz (France) 5 septembre 2025 : JUG Summer Camp 2025 - La Rochelle (France) 12 septembre 2025 : Agile Pays Basque 2025 - Bidart (France) 15 septembre 2025 : Agile Tour Montpellier - Montpellier (France) 18–19 septembre 2025 : API Platform Conference - Lille (France) & Online 22–24 septembre 2025 : Kernel Recipes - Paris (France) 22–27 septembre 2025 : La Mélée Numérique - Toulouse (France) 23 septembre 2025 : OWASP AppSec France 2025 - Paris (France) 23–24 septembre 2025 : AI Engineer Paris - Paris (France) 25 septembre 2025 : Agile Game Toulouse - Toulouse (France) 25–26 septembre 2025 : Paris Web 2025 - Paris (France) 30 septembre 2025–1 octobre 2025 : PyData Paris 2025 - Paris (France) 2 octobre 2025 : Nantes Craft - Nantes (France) 2–3 octobre 2025 : Volcamp - Clermont-Ferrand (France) 3 octobre 2025 : DevFest Perros-Guirec 2025 - Perros-Guirec (France) 6–7 octobre 2025 : Swift Connection 2025 - Paris (France) 6–10 octobre 2025 : Devoxx Belgium - Antwerp (Belgium) 7 octobre 2025 : BSides Mulhouse - Mulhouse (France) 7–8 octobre 2025 : Agile en Seine - Issy-les-Moulineaux (France) 8–10 octobre 2025 : SIG 2025 - Paris (France) & Online 9 octobre 2025 : DevCon #25 : informatique quantique - Paris (France) 9–10 octobre 2025 : Forum PHP 2025 - Marne-la-Vallée (France) 9–10 octobre 2025 : EuroRust 2025 - Paris (France) 16 octobre 2025 : PlatformCon25 Live Day Paris - Paris (France) 16 octobre 2025 : Power 365 - 2025 - Lille (France) 16–17 octobre 2025 : DevFest Nantes - Nantes (France) 17 octobre 2025 : Sylius Con 2025 - Lyon (France) 17 octobre 2025 : ScalaIO 2025 - Paris (France) 17–19 octobre 2025 : OpenInfra Summit Europe - Paris (France) 20 octobre 2025 : Codeurs en Seine - Rouen (France) 23 octobre 2025 : Cloud Nord - Lille (France) 30–31 octobre 2025 : Agile Tour Bordeaux 2025 - Bordeaux (France) 30–31 octobre 2025 : Agile Tour Nantais 2025 - Nantes (France) 30 octobre 2025–2 novembre 2025 : PyConFR 2025 - Lyon (France) 4–7 novembre 2025 : NewCrafts 2025 - Paris (France) 5–6 novembre 2025 : Tech Show Paris - Paris (France) 6 novembre 2025 : dotAI 2025 - Paris (France) 6 novembre 2025 : Agile Tour Aix-Marseille 2025 - Gardanne (France) 7 novembre 2025 : BDX I/O - Bordeaux (France) 12–14 novembre 2025 : Devoxx Morocco - Marrakech (Morocco) 13 novembre 2025 : DevFest Toulouse - Toulouse (France) 15–16 novembre 2025 : Capitole du Libre - Toulouse (France) 19 novembre 2025 : SREday Paris 2025 Q4 - Paris (France) 19–21 novembre 2025 : Agile Grenoble - Grenoble (France) 20 novembre 2025 : OVHcloud Summit - Paris (France) 21 novembre 2025 : DevFest Paris 2025 - Paris (France) 27 novembre 2025 : DevFest Strasbourg 2025 - Strasbourg (France) 28 novembre 2025 : DevFest Lyon - Lyon (France) 1–2 décembre 2025 : Tech Rocks Summit 2025 - Paris (France) 4–5 décembre 2025 : Agile Tour Rennes - Rennes (France) 5 décembre 2025 : DevFest Dijon 2025 - Dijon (France) 9–11 décembre 2025 : APIdays Paris - Paris (France) 9–11 décembre 2025 : Green IO Paris - Paris (France) 10–11 décembre 2025 : Devops REX - Paris (France) 10–11 décembre 2025 : Open Source Experience - Paris (France) 11 décembre 2025 : Normandie.ai 2025 - Rouen (France) 28–31 janvier 2026 : SnowCamp 2026 - Grenoble (France) 2–6 février 2026 : Web Days Convention - Aix-en-Provence (France) 3 février 2026 : Cloud Native Days France 2026 - Paris (France) 12–13 février 2026 : Touraine Tech #26 - Tours (France) 22–24 avril 2026 : Devoxx France 2026 - Paris (France) 23–25 avril 2026 : Devoxx Greece - Athens (Greece) 17 juin 2026 : Devoxx Poland - Krakow (Poland) Nous contacter Pour réagir à cet épisode, venez discuter sur le groupe Google https://groups.google.com/group/lescastcodeurs Contactez-nous via X/twitter https://twitter.com/lescastcodeurs ou Bluesky https://bsky.app/profile/lescastcodeurs.com Faire un crowdcast ou une crowdquestion Soutenez Les Cast Codeurs sur Patreon https://www.patreon.com/LesCastCodeurs Tous les épisodes et toutes les infos sur https://lescastcodeurs.com/
Judith et Axel parlent de l'amitié à l'âge adulte
Le 14 août 2021, la moitié sud de l'île était frappée par un violent séisme de magnitude 7,2. Même si des efforts pour s'adapter aux risques sismiques sont menés, la situation reste fragile. Ce tremblement de terre, qui a causé la mort de 2 200 personnes et détruit 130 000 logements, a bouleversé la vie de plus de 800 000 personnes dans les départements du sud. L'assistance aux sinistrés avait été compliquée par la situation sécuritaire et socio-économique du pays. Des efforts sont aujourd'hui faits pour s'adapter aux risques sismiques, mais le climat politique instable complique la tâche. Les précisions de Léa Le Denmat. En mai 2025, les États-Unis ont désigné Viv Ansanm, la principale coalition de gangs en Haïti, «organisation terroriste étrangère». Ils mettent aujourd'hui la tête de son chef à prix. Le FBI offre une prime de 5 millions de dollars pour la capture de Jimmy Chérizier, dit Barbecue. Oui, cet ex-policier reconverti en influent chef d'une coalition de gangs est activement recherché. Il aurait conspiré avec des personnes aux États-Unis et en Haïti afin de contourner les sanctions américaines, entre 2020 et 2025. Selon le Washington Post, Chérizier aurait collaboré avec des membres de la diaspora haïtienne aux États-Unis pour transférer des fonds destinés à financer les activités criminelles de son groupe : salaires et achat d'armes notamment. Il aurait par exemple collaboré avec Bazile Richardson, lui aussi inculpé par les États-Unis. Cet Haïtien naturalisé américain aurait envoyé au chef de gang plusieurs milliers de dollars. L'homme de 45 ans a été arrêté à Houston, le 23 juillet 2025, et placé en détention. Le Haitian Times revient sur le profil de ce complice installé en Caroline du Nord. Le journal rappelle aussi que le réseau de Chérizier est lié à des meurtres, des incendies criminels et des déplacements massifs de population à Port-au-Prince. Les États-Unis, à force de pression sur le gouvernement mexicain, ont obtenu l'extradition de 26 membres de cartels de haut rang. Oui, tous sauf un risquent la prison à vie aux États-Unis, mais ils devraient échapper à la peine capitale. Le journal mexicain El Proceso liste leurs noms. Il s'agit notamment de membres du cartel de Sinaloa, du cartel de la nouvelle génération de Jalisco et du cartel du Nord-Ouest. Parmi eux par exemple : « El Cuini », le beau-frère du leader du Cartel Nouvelle Génération de Jalisco. Tous sont accusés d'avoir importé des tonnes de drogues dangereuses aux États-Unis, notamment de la cocaïne, des méthamphétamines, du fentanyl et de l'héroïne, auxquels s'ajoutent des enlèvements, meurtres, prises d'otages, trafic d'êtres humains, entre autres crimes. Cette extradition intervient quelques jours après la révélation par le New York Times d'une directive controversée. Oui, cette directive secrète, signée par Donald Trump autorise le Pentagone à poursuivre les cartels de la drogue latino-américains dans les eaux et territoires internationaux. La Maison Blanche n'a pas démenti. Trump ressert aussi l'étau sur la culture, en obligeant cette fois-ci les musées de Washington à respecter «les idéaux américains». La formule est floue mais le message est clair : toutes les expositions, textes, sites internet et réseaux sociaux de huit musées de Washington vont être passés à la loupe. Leur langage «clivant ou idéologique» doit être remplacé d'ici 120 jours «par des descriptions unificatrices, historiquement exactes et constructives», selon les termes de la lettre envoyée par la Maison Blanche à la plus grande institution de musées de la capitale américaine, citée dans les colonnes du NYT. Pour Politico, cette décision vise encore une fois à «réformer la manière dont l'histoire et la culture américaines sont enseignées et présentées dans les institutions à travers le pays.» On retrouve parmi les établissements concernés le Musée national d'histoire américaine, le Musée national d'histoire et de culture afro-américaines, ou encore le Musée national des Indiens d'Amérique. D'autres musées devraient aussi être visés prochainement par la Maison Blanche. En Colombie, les funérailles du sénateur Miguel Uribe, décédé ce lundi (11 août 2025) des suites de ses blessures par balles, ont lieu ce mercredi (13 août 2025). Sa disparition laisse le pays en deuil et inquiet pour son avenir politique... Oui, alors que 4 000 Colombiens se sont recueillis mardi 12 août sur sa tombe, le pays est encore sonné par cet assassinat. Son parti politique de droite, voire d'extrême droite, le Centre Démocratique, est plus orphelin que jamais. «C'est la plus grande crise traversée par ce parti depuis sa création», selon El Espectador. Le journal colombien relève qu'en une semaine, le parti a perdu son leader suprême, l'ancien président Álvaro Uribe Vélez, qui a été condamné en première instance à 12 ans d'assignation à résidence, et, «alors que ce coup dur n'avait pas encore été surmonté», le sénateur et candidat Miguel Uribe Turbay est décédé. Cet assassinat marque un «tournant», il aura «une incidence déterminante sur la course à la présidence» de 2026, estime le journal Cambio. Déjà en remettant sur le devant de la scène le thème de la violence, thème cher à une droite aujourd'hui affaiblie. En Argentine, un lot de fentanyl médical contaminé a provoqué la mort d'au moins 97 patients depuis le mois d'avril Parfois consommé comme une drogue, notamment aux États-Unis, le fentanyl est un puissant opiacé utilisé médicalement comme analgésique et anesthésiant. Et c'est bien l'utilisation médicale de fentanyl contaminé qui a provoqué cette crise sanitaire en Argentine. Théo Conscience. Au Panama, le succès de «Priti», un titre de reggaeton du chanteur Setch Il tourne beaucoup sur les radios, dans les rues, dans les soirées... «Priti» est un titre du chanteur panaméen Setch, en collaboration avec le Vénézuélien Danny Ocean. Acclamée par la critique à sa sortie, la chanson, portée par un vidéoclip ambitieux, est devenue un tube de l'été. Reportage de Grégoire Pourtier. Journal de la 1re La fusée Ariane 6 a réussi son décollage depuis le centre spatial guyanais de Kourou. L'objectif est de réaliser neuf à dix lancements similaires chaque année.
Il y a cinq ans, les Biélorusses votaient pour élire leur président. Une élection une nouvelle fois marquée par une fraude massive qui a permis la réélection d'Alexandre Loukachenko, au pouvoir depuis 1994. Mais en 2020, à la différence des autres années, les Biélorusses sont descendus en masse dans les rues pour protester. Des manifestations qui ont été réprimées dans le sang. Cinq ans après, les persécutions se poursuivent. Près de 1 200 prisonniers politiques sont en prison et 500 000 Biélorusses ont quitté leur pays pour fuir la répression. Ils se sont surtout installés en Pologne et en Lituanie. De notre correspondante à Vilnius, Quand il sirote son cappuccino dans un café de Vilnius, rien ne distingue Yauhen des autres jeunes Lituaniens, tatoués et habillés à la mode comme lui. Tout les sépare pourtant. Le Biélorusse est réfugié en Lituanie. « J'ai l'impression d'être parfois dans un monde parallèle où la Biélorussie n'a jamais été une dictature. D'un côté, quitter le pays a été une très bonne décision, d'un autre, je rêve souvent de retourner dans mon pays », confie-t-il. Il est arrivé en Lituanie le 4 novembre 2020, après avoir été expulsé de l'université à Minsk. Il s'est fait tatouer le tampon d'entrée sur le territoire sur son bras. Comme la plupart des 51 000 Biélorusses arrivés dans ce pays depuis cinq ans, il n'a pas choisi ce déracinement. Même s'il parle lituanien, il est content de trouver des endroits où échanger en biélorusse. « Tous les trois-quatre mois, des espaces apparaissent où les Biélorusses peuvent se retrouver. Il y a un restaurant biélorusse, Karczma, un magasin de souvenirs biélorusses qui organisent aussi des rencontres, des événements », énumère-t-il. Victoria Federova dirige l'ONG Legal Initiative. Elle documente les cas de torture dans les prisons biélorusses et verse ces preuves aux enquêtes ouvertes contre le régime de Minsk en Lituanie. Le quotidien peut être parfois compliqué. « Nos pièces d'identité vont bientôt expirer et par exemple, on ne sait pas comment faire pour les renouveler. Désormais, c'est interdit de le faire dans les ambassades », regrette-t-elle. Les services de renseignement lituaniens avertissent depuis quelques mois de la campagne active de recrutement du KGB biélorusse en Lituanie. « J'ai appris aujourd'hui que le comité biélorusse d'investigation avait ouvert des enquêtes criminelles contre des personnes qui avaient manifesté à l'étranger contre le régime. Ils peuvent nous juger par contumace et confisquer nos biens en Biélorussie », explique Victoria Federova, qui se méfie lorsqu'elle se rend à des manifestations. Le poète Tsikhan Czarnikiewicz a recréé l'union des écrivains biélorusses à Vilnius, après que l'association a été fermée du jour au lendemain durant l'été 2021. Pour lui, promouvoir la culture est un acte de résistance : « On organise ici des événements littéraires, des festivals et on essaye d'inviter des auteurs de Biélorussie. Il y a si peu d'occasions aujourd'hui en Biélorussie pour les écrivains, les musiciens, les acteurs. » Quand on sort de Vilnius, les panneaux indiquent la direction de Minsk ou Grodno, deux grandes villes biélorusses toutes proches. Mais pour de nombreux émigrés, traverser la frontière signifierait être directement envoyé en prison. À lire aussiVilnius reçoit la Marche des fiertés des pays baltes, dans une Lituanie accusée «de retard au sein de l'UE»
Impulsif ou calculateur, avare ou dépensier, colérique ou impassible... La liste de nos défauts peut être plus ou moins longue, mais personne n'en est exempt. Parfois, ces défauts nous empêchent d'atteindre nos objectifs, de réaliser nos rêves ou, simplement, de conserver de bonnes relations avec nos proches. Comment réagir quand on prend conscience de ses propres défauts ? Faut-il d'abord essayer de les comprendre ? La gestion des défauts, qu'est-ce que cela signifie ? Dr Adrian Chaboche, médecin généraliste et psychothérapeute, cofondateur du Centre Vitruve à Paris. Président de l'agence des médecines complémentaires adaptées. Auteur de Fatigue, et si on apprenait vraiment à se reposer aux éditions Flammarion Versilio. (Rediffusion) À lire aussiPsychologie : je n'arrive pas à me débarrasser de mes défauts
Impulsif ou calculateur, avare ou dépensier, colérique ou impassible... La liste de nos défauts peut être plus ou moins longue, mais personne n'en est exempt. Parfois, ces défauts nous empêchent d'atteindre nos objectifs, de réaliser nos rêves ou, simplement, de conserver de bonnes relations avec nos proches. Certains défauts sont-ils indissociables de notre caractère à en devenir de véritables traits de personnalité ? Alors, peut-on s'en débarrasser, ou à l'inverse, comme le dit le proverbe : « Chassez le naturel, il revient au galop » ? Dr Adrian Chaboche, médecin généraliste et psychothérapeute, cofondateur du Centre Vitruve à Paris. Président de l'agence des médecines complémentaires adaptées. Auteur de Fatigue, et si on apprenait vraiment à se reposer aux éditions Flammarion Versilio. Programmation musicale : ► Kandy Guira – Waabo ► Charlotte Cardin – Meaningless. (Rediffusion)
Impulsif ou calculateur, avare ou dépensier, colérique ou impassible... La liste de nos défauts peut être plus ou moins longue, mais personne n'en est exempt. Parfois, ces défauts nous empêchent d'atteindre nos objectifs, de réaliser nos rêves ou, simplement, de conserver de bonnes relations avec nos proches. Certains défauts sont-ils indissociables de notre caractère à en devenir de véritables traits de personnalité ? Alors, peut-on s'en débarrasser, ou à l'inverse, comme le dit le proverbe : « Chassez le naturel, il revient au galop » ? Dr Adrian Chaboche, médecin généraliste et psychothérapeute, cofondateur du Centre Vitruve à Paris. Président de l'agence des médecines complémentaires adaptées. Auteur de Fatigue, et si on apprenait vraiment à se reposer aux éditions Flammarion Versilio. Programmation musicale : ► Kandy Guira – Waabo ► Charlotte Cardin – Meaningless. (Rediffusion)
Pour célébrer les deux premières saisons de Folie Douce, et vous faire découvrir des épisodes que vous auriez loupés, on vous propose tout l'été, chaque jeudi, de réécouter les moments les plus forts du podcast avant de lancer la saison 3 à la rentrée !D'ici là bel été, et prenez soin de vous.Cet épisode de Folie Douce a été diffusé le 9 mai 2024.“Génération santé mentale” : ces paroles de la jeune chanteuse Yoa ont tout de suite parlé à nos oreilles, et on a voulu l'inviter pour un épisode de Folie Douce, que l'on partage aujourd'hui avec vous. Suite à la sortie de son deuxième EP, Chansons (+) tristes, Yoa évoque au micro de Lauren Bastide sa démarche créative, et sa grosse tournée de l'année passée. Parfois considérée comme la porte-parole d'une génération régulièrement taxée de “ouin-ouin”, ou encore de snowflakes, elle décrit une jeunesse impactée par les confinements, impliquée, et désirant changer l'ordre des choses pour une meilleure inclusivité et en accord avec l'écologie. Il lui est naturel de parler de sa santé mentale, elle qui a vécu des épisodes d'anxiété, de dépression, et qui est touchée par des troubles du comportement alimentaire. Yoa raconte également son expérience dans le milieu du théâtre, gangréné par un racisme systémique, mais aussi son besoin de solitude, et sa faculté à se mettre en priorité, tout en s'ajustant à sa notoriété toute neuve.Cet épisode de Folie Douce évoque la dépression et les troubles du comportement alimentaire.Quelques ressources évoquées dans cet épisode :La chaîne YouTube StyleLikeUL'étude co-réalisée par Mélissa Macalli sur la santé mentale des étudiants avant et après le CovidL'association NightLine, qui s'engage pour la santé mentale des jeunes
Parfois, lorsqu'on part, on est presque plus stressés que dans la vie quotidienne. Il faut choisir ce qu'on va faire de notre journée, planifier des visites, des sorties…Et si l'on est en vacances organisées, il faut même se lever à une certaine heure pour ne pas être en retard pour les activités ! Tout un programme… Mais on observe de plus en plus de personnes faire le choix d'allier tourisme et travail sur soi, relaxation… C'est ce qu'on appelle le tourisme du bien-être, et il est en plein essor. Mais les vacances n'est-ce pas déjà se relaxer ? Quel est le profil de ces touristes du bien-être ? Dois-je partir loin pour faire un voyage bien-être ? Ecoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast écrit et réalisé par Maële Diallo. Première diffusion : 13 août 2022 À écouter aussi : Qu'est-ce que le chronoworking, qui vous rendrait plus efficace au travail ? Quelles sont les 3 techniques de manipulation les plus connues ? A quelle fréquence faut-il se laver les cheveux ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
(00:00:45) L'aide humanitaire à Gaza, insuffisante et parfois dangereuse (00:04:39) Un sommet international pour lutter contre la faim dans le monde, interview de Frank Eyhorn (00:12:12) 50 ans d'une odyssée moscovite, celle de la journaliste Zoïa Svetova. Episode 2/3
Dans cet épisode, Judith retrouve Cyrielle, son amie d'enfance devenue bibliothécaire passionnée
Dans cet épisode, je te parle de ce sentiment qu'on connaît trop bien quand on vit loin de sa famille : la culpabilité. Parce qu'être loin, ce n'est pas toujours une question de kilomètres. Parfois, c'est juste avoir choisi une autre vie, d'autres priorités… et se demander si on n'est pas un peu égoïste.On parle de ces petites phrases qui restent en tête, comme “Tu nous manques…” ou “Tu as changé…”, la liberté qu'on recherche, mais qui peut parfois peser lourd, la pression qu'on se met à vouloir être partout à la fois, et comment trouver un équilibre entre nos envies et ceux qu'on aime ... Si toi aussi tu ressens cette culpabilité quand tu construis ta vie, cet épisode est pour toi. Parce que choisir ta vie ne fait pas de toi une mauvaise personne.enjooooy bb