Podcasts about Cela

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    Choses à Savoir
    Pourquoi la BNP a dû payer près de 9 milliards de dollars aux États-Unis ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 2:44


    En mai 2014, un événement inédit a secoué le monde bancaire : BNP Paribas, première banque française, a accepté de payer une amende colossale de 8,97 milliards de dollars au gouvernement américain. Le motif ? La banque avait contourné les embargos imposés par les États-Unis à Cuba, l'Iran et le Soudan entre 2004 et 2012. Ces pays étaient considérés par Washington comme des États soutenant le terrorisme ou violant les droits humains.Quels faits étaient reprochés exactement ? BNP Paribas avait réalisé, via certaines filiales, des transactions en dollars pour le compte de clients liés à ces pays. Or, toute opération en dollars transitant à un moment donné par le système financier américain est soumise à la législation des États-Unis. Cela signifie que même une banque étrangère peut être poursuivie à partir du moment où elle utilise la monnaie américaine. C'est l'un des points clés de ce dossier.La banque a reconnu avoir non seulement effectué ces paiements, mais parfois mis en place des procédures visant à masquer l'identité des clients ou l'origine réelle des fonds pour éviter les contrôles américains. Sur le plan du droit américain, la sanction était donc légale : la banque avait violé les règles de l'Office of Foreign Assets Control (OFAC), qui encadre les embargos.Là où le dossier devient explosif, c'est sur le plan du droit international. Beaucoup d'experts et de gouvernements ont dénoncé une sanction « extraterritoriale ». Autrement dit, les États-Unis appliquent leurs lois à des entités étrangères, opérant hors de leur territoire, simplement parce qu'elles utilisent la monnaie américaine ou un serveur situé aux États-Unis. Pour nombre de juristes, cela revient à imposer au reste du monde la politique étrangère américaine.Les critiques soulignent que BNP Paribas n'a pas violé le droit français ni le droit international, et que les embargos américains n'engageaient que les États-Unis. Pourtant, Washington a considéré que l'utilisation du dollar suffisait à justifier son intervention. Ce type de sanction a depuis été utilisé contre de nombreuses entreprises européennes, provoquant un réel malaise diplomatique.L'affaire BNP a ainsi mis en lumière un rapport de force : les États-Unis disposent d'une arme économique puissante — le contrôle du dollar — qui leur permet d'étendre leur influence bien au-delà de leurs frontières. Elle a également relancé le débat sur la souveraineté européenne et la capacité du continent à protéger ses entreprises des pressions américaines.Une sanction financière, donc, mais aussi un choc géopolitique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs
    349. 20 questions à intégrer à votre bilan de fin d'année (version entrepreneur)

    TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs

    Play Episode Listen Later Dec 8, 2025 26:11


    ✨ Mon workshop pour préparer votre année 2026 en live, ensemble : https://thebboost.fr/2026Vous faites (encore) partie de celles qui bâclent leur bilan de fin d'année… ou qui n'en font pas du tout ?Spoiler : vous passez à côté de 70% des apprentissages qui pourraient transformer votre business en 2026.Dans cet épisode, je vous partage 20 questions puissantes, celles que je me pose chaque année et qui ont littéralement changé ma manière de piloter mon business, mes décisions, mon mindset et… mes résultats.On va parler :De vos schémas récurrentsDe ce qui a réellement été sous votre contrôleDe ce que votre année dit de vous (et de votre business)De ce que vous devez absolument laisser derrière vousEt de ce que vous devez amplifier x10 en 2026À la fin de cet épisode, vous aurez une trame complète, prête à être utilisée pour faire un bilan profond, utile, stratégique… qui va vraiment vous servir l'année prochaine.✨ Liens utiles :Mon workshop pour préparer votre année 2026 en live, ensemble : https://thebboost.fr/2026Me suivre sur Instagram → @thebboost✨ Chapitres :00:00 - Introduction02:50 - Pourquoi faire un bilan c'est indispensable06:01 - Les 4 piliers d'un bilan réussi08:17 - Business & chiffres (questions 1 à 5)12:45 - Stratégie & structure (questions 6 à 10)16:39 - Mindset & énergie (questions 11 à 15)20:57 - Leadership & identité (questions 16 à 20)

    Le Nouvel Esprit Public
    Le nouveau rapport de force entre la Chine et l'Europe / Le bloc central s'effondre-t-il ?

    Le Nouvel Esprit Public

    Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 63:13


    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 décembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.LE NOUVEAU RAPPORT DE FORCE ENTRE LA CHINE ET L'EUROPEAu cours des douze derniers mois, l'Europe est devenue le premier excédent commercial de la Chine, devant les Etats-Unis. Il a atteint 310 milliards de dollars Depuis 2019, le surplus chinois vis-à-vis de l'Europe a presque doublé. Et tout porte à croire qu'avec les droits de douane de Trump, qui ferment en grande partie la porte du marché américain aux exportations de l'empire du Milieu, ce phénomène est appelé à s'amplifier et à durer. Cela traduit l'impressionnante montée en puissance de la Chine dans un grand nombre de technologies, notamment dans les industries vertes, sur lesquelles l'Europe se retrouve désormais, dans un renversement du rapport de force, en position de demandeur. Face à la Chine, sur le plan économique et commercial, l'Europe n'est plus naïve : elle filtre les investissements ; applique des droits de douane sur les biens bénéficiant de subventions à la production, comme les voitures électriques ; travaille à desserrer l'étau de sa dépendance en ressources de base, comme les terres rares et les aimants permanents ; elle prend des mesures commerciales fortes, comme les quotas qui s'appliqueront pour l'acier et l'inox au 1er janvier prochain. Elle se convertit à l'idée, très française, de préférence européenne notamment pour les achats publics. Début décembre, le commissaire Stéphane Séjourné a porté à Bruxelles un texte pour conditionner les investissements en Europe à des transferts de technologie. Ces mesures révèlent un changement de logiciel de la Commission européenne, dans un rapport de force de plus en plus tendu avec Pékin. La prise de conscience des vulnérabilités stratégiques européennes gagne des pays pour qui le libre-échange était auparavant l'alpha et l'oméga, comme l'Allemagne, les Pays-Bas ou les Scandinaves.Pour sa quatrième visite d'État en Chine depuis 2017, du 3 au 5 décembre, Emmanuel Macron, qui était accompagné en 2023 par la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, a été bien seul face à Xi Jinping. Les Chinois sont aujourd'hui en position de force dans presque tous les domaines. Les contentieux entre la France et la Chine s'accumulent. L'Ukraine en est l'exemple le plus patent, à l'heure où Donald Trump cherche à précipiter un accord de paix, au risque de s'aligner sur les positions de Vladimir Poutine : bientôt quatre ans après l'invasion russe, Pékin n'a jamais faibli dans son soutien diplomatique et industriel à l'effort de guerre russe. Le numéro un chinois a opposé une fin de non-recevoir à la demande du chef de l'État français de faire pression sur la Russie. Le président français a également pressé son hôte sur le front économique, en quête d'un grand « rééquilibrage » avec là aussi une réponse fuyante de l'« usine du monde », qui déverse ses surcapacités industrielles aux quatre coins de la planète.LE BLOC CENTRAL S'EFFONDRE-T-IL ?Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale est revenu mardi en deuxième lecture à l'Assemblée nationale. Vendredi, les députés ont adopté son volet recettes pour 2026, par 166 voix pour et 140 contre. Paradoxalement, le gouvernement s'inquiète davantage des votes du bloc central (Renaissance, Modem, Horizons, et LR) que de ceux des oppositions. Or les députés du parti Horizons, présidé par Édouard Philippe, n'entendent pas voter pour ce texte qui « ne propose pas de réduction du déficit, repose sur de nouvelles mesures de fiscalité et ne propose pas de nouvelles mesures de réduction de dépenses », selon le patron du groupe à l'Assemblée Paul Christophe. Des gestes ont été faits, sur la Défense, ou le prix de l'électricité, mais ce coup de pression venant d'un parti qui compte trois ministres au sein du gouvernement Lecornu, est mal compris par ses partenaires. Une adoption du texte, le 9 décembre, serait un succès pour le Premier ministre, qui espère provoquer ensuite une dynamique favorable sur le projet de budget de l'État. Les incertitudes demeurent d'autant plus que l'amertume monte au sein du bloc central, après avoir dû concéder des mesures aux socialistes, dont la suspension de la réforme des retraites de 2023.À un an et demi du scrutin présidentiel, dans un bloc central affaibli par les divisions et avec l'impopularité du président sortant, aucun candidat « naturel » n'a pour l'heure émergé. Seul prétendant déclaré, l'ancien Premier ministre Edouard Philippe s'efforce de s'imposer comme le candidat de la droite et du centre et exclut de passer par une primaire. Après son appel à la démission du président de la République, un sondage est venu, depuis, ébranler son camp. Selon le dernier baromètre Odoxa publié le 25 novembre, pour la première fois au second tour, face à Édouard Philippe, Jordan Bardella recueillerait 53% des voix. Quoi qu'il en soit de la fiabilité d'un sondage de deuxième tour dont les sondeurs eux-mêmes soulignent la fragilité, en avril dernier, Édouard Philippe était donné vainqueur de Jordan Bardella au second tour, avec 54% contre 46%. Cette baisse dans les sondages affecte tout le bloc central, soulignent les philippistes, alors que les discussions budgétaires au Parlement s'enlisent. L'affaiblissement de l'ancienne majorité présidentielle dans les sondages serait selon eux le résultat d'une « succession de mauvais choix » d'Emmanuel Macron, lequel aurait « contaminé » les prétendants issus de son camp. « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés », résume l'eurodéputée Nathalie Loiseau, membre d'Horizons. Le patron du parti macroniste Gabriel Attal se réjouit en privé, de talonner le Havrais dans les sondages et croit de plus en plus pouvoir incarner l'espace central, dans l'esprit du « en même temps » de 2017, que réfute Édouard Philippe.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les p't**s bateaux
    Un détective privé peut-il être espionné par un autre détective ?

    Les p't**s bateaux

    Play Episode Listen Later Dec 7, 2025 3:40


    durée : 00:03:40 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Imaginez : un détective suit quelqu'un dans la rue, mais qui est lui-même suivi par un autre détective ! Cela ressemble à un film d'espionnage, mais c'est la question posée par Gustave. Pour y répondre, Margaux Duquesne, détective privée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    CaptureMag
    STEROIDS - LE PODCAST : NINJA III

    CaptureMag

    Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 32:24


    Ne perdons pas les bonnes vieilles habitudes ! Cela faisait quelques temps que nous n'avions pas parlé d'un bon gros nanar à l'ancienne dans STEROIDS - LE PODCAST, mais c'était sans compter sur la pugnacité de ces chers Yannick Dahan et Stéphane Moïssakis, toujours prêts à se rouler dans la fange pour balancer quelques bons mots ! Cette fois, c'est le mirifique NINJA III de Sam Firstenberg qui a le droit aux honneurs d'un podcast en bonne et due forme. Il faut dire que cette rencontre improbable entre FLASHDANCE et L'EXORCISTE enrobée dans un film de ninjas de la Cannon en fait le candidat idéal !Retrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frPour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/#NinjaIII #CannonFilms #Nanar Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Revue de presse Afrique
    À la Une: l'accord de paix signé par Félix Tshisekedi et Paul Kagame

    Revue de presse Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 3:53


    C'est à la Une du Journal de Kinshasa : « La RDC et le Rwanda tournent la page des tensions. Le jeudi 4 décembre 2025 restera gravé dans l'histoire de la région des Grands Lacs ». Sans évoquer l'ambiance, glaciale, de cette rencontre, le Journal de Kinshasa revient sur les principales déclarations des deux présidents. Tout d'abord le chef de l'État rwandais : Paul Kagame a estimé que la feuille de route signée hier « est la plus claire et la plus précieuse que nous ayons jamais eue ». Il a aussi remercié Donald Trump, alors que Félix Tshisekedi de son côté, « qualifiait les Accords de Washington de tournant historique ». Quant au président américain Donald Trump, il a insisté sur « la rapidité du processus » qu'il a lui-même initié… Les accords sont signés mais sur le terrain, rien n'est réglé. Pourtant, le Journal de Kinshasa se veut optimiste, estimant que la signature de ces accords « marque le début d'une dynamique nouvelle, orientée vers la stabilité, la coopération économique et la prospérité partagée ». Africanews qui s'est rendu à Goma, la capitale du Nord-Kivu a pu constater que ce sommet « faisait naître un mélange d'espoir et de scepticisme ». « Le sentiment général, ajoute Africanews, est résumé par un habitant de Goma qui affirme : "ils disent être dans un processus de paix et après nous apprenons que la guerre reprend. Cela nous fait mal et nous sommes très inquiets" ».  Exaspération Les Somaliens sont en colère. C'est Afrik.com, qui nous dit que « que la Somalie est indignée par les propos ouvertement racistes de Donald Trump ». Récemment, le président américain « s'est violemment attaqué aux immigrés somaliens vivant aux États-Unis, les qualifiant "d'ordures" indésirables, ne faisant rien d'autre que de se plaindre ». « Dans la capitale somalienne », raconte Afrik.com, « l'indignation est générale. Habitants et membres de la société civile peinent à croire à la violence du discours présidentiel américain et s'inquiètent du climat de stigmatisation croissant ». Mais ce n'est pas le seul point que souligne le site d'information panafricain. Car « au-delà de la colère contre Donald Trump, plusieurs voix dénoncent l'absence de réaction des autorités somaliennes ».  L'une des personnes interviewées par Afrik.com, exprime ainsi « son exaspération » : « Trump insulte quotidiennement les Somaliens, nous traitant d'ordures et utilisant d'autres termes péjoratifs que nous ne pouvons plus tolérer. Nos dirigeants auraient dû réagir à ses propos. » Nouvelle arrestation En Tunisie, l'une des dernières figures de l'opposition encore en liberté, Ahmed Nejib Chebbi, président du Front du Salut National, a été arrêté hier. Tunisie Webdo précise qu'il a été arrêté, « en exécution du jugement définitif prononcé à son encontre dans l'affaire dite "du complot contre la sûreté de l'État" ». Il a été « interpellé à son domicile pour purger une peine de 12 ans de prison ». Tunisie Webdo en profite pour annoncer demain, « une grande marche pour "dénoncer l'injustice" qui sera organisée à Tunis ». Le parti Al Joumhouri, fondé par Ahmed Nejib Chebbi, souligne qu'avant lui, d'autres personnalités proches de l'opposition ont récemment été arrêtées. Il parle ainsi de « l'enlèvement de la militante Chaima Issa, puis de l'arrestation de l'avocat Ayachi Hammami, cette semaine ». Pour Al Joumhouri, ces arrestations « de responsables politiques, de militants, de journalistes et de blogueurs » visent ni plus ni moins, « à fermer l'espace public et à réduire au silence les voix critiques ».

    Choses à Savoir
    Pourquoi le “grand coquelicot” finit-il toujours coupé ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 2:11


    Le syndrome du grand coquelicot désigne un phénomène social dans lequel une personne qui réussit, se distingue ou dépasse le groupe se retrouve critiquée, rabaissée ou isolée précisément à cause de sa réussite. L'image est simple : dans un champ de coquelicots, celui qui dépasse les autres attire l'attention… et on le coupe pour que tout reste au même niveau.L'expression remonte à l'Antiquité. L'historien Tite-Live rapporte que le roi Tarquin le Superbe, interrogé sur la manière de mater une ville rebelle, répondit en coupant les têtes des coquelicots les plus hauts de son jardin. Le message était clair : pour maintenir l'ordre, il faut affaiblir les individus les plus visibles ou influents. Cette métaphore a traversé les siècles et est particulièrement populaire dans les pays anglo-saxons, notamment en Australie et en Nouvelle-Zélande, où elle décrit l'idée qu'un excès d'égalitarisme peut décourager l'ambition ou la réussite trop visible.Le syndrome n'a rien d'une maladie. C'est un mécanisme social reposant sur trois éléments : d'abord une réussite visible (une promotion, un succès financier, une performance remarquable), puis un regard social négatif (jalousie, sentiment d'infériorité, comparaison), et enfin une forme de sanction (moqueries, rumeurs, isolement, critiques systématiques). On ne reproche pas à quelqu'un d'échouer, mais bien de réussir “trop” ou trop ouvertement.Plusieurs ressorts psychologiques expliquent ce phénomène. Dans certaines cultures, on valorise la modestie et la discrétion : se mettre en avant ou sortir du rang est mal perçu. La réussite d'autrui peut aussi rappeler à chacun ses propres limites, suscitant jalousie et amertume. Enfin, le groupe a tendance à vouloir maintenir une cohésion interne : rabaisser celui qui s'élève permet de garder tout le monde au même niveau.Les conséquences peuvent être importantes. Pour éviter les critiques, certaines personnes finissent par cacher leurs accomplissements ou par s'autocensurer. Cela peut freiner l'innovation, décourager les talents et favoriser une culture où la médiocrité est plus confortable que l'excellence. À l'inverse, comprendre ce mécanisme permet d'encourager un environnement où la réussite est reconnue et célébrée, et non punie.En résumé, le syndrome du grand coquelicot décrit la tendance d'un groupe à “couper” ceux qui réussissent trop, non parce qu'ils nuisent aux autres, mais parce qu'ils se distinguent trop visiblement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Choses à Savoir
    Qui sont les deux seules personnes à avoir refusé un prix Nobel ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 2:21


    Dans toute l'histoire du prix Nobel, deux hommes seulement ont pris la décision — libre, assumée, publique — de refuser l'une des distinctions les plus prestigieuses au monde : Jean-Paul Sartre en 1964 et Lê Duc Tho en 1973. Deux refus très différents, mais qui disent chacun quelque chose d'essentiel sur leur époque et sur leurs convictions.Le premier à franchir ce pas radical est Jean-Paul Sartre, philosophe et écrivain français, figure majeure de l'existentialisme. En 1964, l'Académie suédoise lui décerne le prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre. La réaction de Sartre est immédiate : il refuse le prix. Non par modestie, mais par principe. Sartre a toujours refusé les distinctions officielles, estimant que l'écrivain doit rester libre, non récupéré par le pouvoir, les institutions ou la notoriété. Pour lui, accepter un prix comme le Nobel reviendrait à « devenir une institution », ce qui contredisait son engagement politique et intellectuel.Il avait d'ailleurs prévenu l'Académie, avant même l'annonce, qu'il ne souhaitait pas être nommé. Cela ne change rien : il est proclamé lauréat malgré lui. Sartre refuse alors publiquement, dans un geste retentissant. Ce refus est souvent perçu comme l'expression ultime d'une cohérence : l'écrivain engagé qui refuse d'être couronné. Ce geste, unique dans l'histoire de la littérature, marque durablement la réputation du philosophe, admiré ou critiqué pour son intransigeance.Neuf ans plus tard, c'est au tour de Lê Duc Tho, dirigeant vietnamien et négociateur lors des Accords de Paris, de refuser le prix Nobel de la paix. Le prix lui est attribué conjointement avec l'Américain Henry Kissinger pour les négociations qui auraient dû mettre fin à la guerre du Vietnam. Mais pour Lê Duc Tho, il n'y a pas de paix à célébrer. Les hostilités se poursuivent, les bombardements aussi. Refuser le Nobel devient alors un acte politique : il déclare ne pouvoir accepter un prix de la paix tant que la paix n'est pas réellement obtenue.Contrairement à Sartre, son refus n'est pas motivé par un principe personnel, mais par une analyse de la situation géopolitique. Son geste est moins philosophique que stratégique, mais tout aussi historique. Il reste le seul lauréat de la paix à avoir décliné le prix.Ces deux refus, rares et spectaculaires, rappellent que le prix Nobel, pourtant considéré comme l'une des plus hautes distinctions humaines, peut devenir un terrain d'expression politique ou morale. Sartre par conviction, Lê Duc Tho par cohérence historique : deux gestes, deux époques, deux refus qui ont marqué l'histoire du prix. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    C dans l'air
    Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ? - Vos questions sms -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 7:37


    C dans l'air du 4 décembre 2025 - Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ? Il ne reste plus que quelques jours aux députés pour examiner le projet de budget de la Sécurité sociale, dont le vote solennel est prévu mardi 9 décembre. Le Premier ministre a redit hier qu'il n'utiliserait pas le 49.3 pour le faire passer et a estimé possible de « trouver une zone d'atterrissage […] autour de 20 milliards d'euros de déficit ». Mais les discussions se tendent à l'Assemblée nationale, et Sébastien Lecornu a annulé l'intégralité de ses rendez-vous de la journée, notamment avec la CGT et la CFDT, pour se consacrer « aux débats parlementaires sur le PLFSS ».Beaucoup de tensions se cristallisent autour de la suspension de la réforme des retraites et de l'augmentation de la CSG sur le capital, un point qui doit être examiné ce jeudi par les députés. Le débat promet d'être explosif. Le PS en fait un point clé pour voter le PLFSS (ce qui n'est pas encore acquis), tandis que Les Républicains (LR) et Horizons ne veulent pas en entendre parler. Édouard Philippe et ses troupes ont menacé ces dernières heures de ne pas voter le PLFSS si ces « irritants » restent dans le texte. Ce qui n'a pas manqué de faire réagir le patron de Renaissance : Gabriel Attal a appelé le fondateur d'Horizons à garder « son sang-froid » et ses « nerfs solides ». « Dans la période où l'air de la vie politique est devenu totalement irrespirable […], on a besoin de points de repère (…) Il faut tout faire pour avoir un budget d'ici la fin de l'année », a-t-il ajouté à destination de son prédécesseur à Matignon.Le socle commun, sur lequel s'appuie Sébastien Lecornu et qui va de Renaissance à LR en passant par le MoDem et Horizons, se fracture alors que, chez LR, à l'approche des municipales, la tentation d'une alliance avec l'extrême droite gagne du terrain. Invité de la matinale de TF1 mercredi, Laurent Wauquiez a expliqué la ligne de son parti si jamais le candidat LR n'était pas présent au second tour : « Nous appellerons à voter tout sauf LFI. Cela veut dire voter blanc, cela veut dire voter pour ceux qui sont en face, quel que soit le parti. Tout sauf LFI, je ne peux pas être plus clair », a déclaré le président des députés LR. Et, dans certaines communes, certains franchissent le pas dès le premier tour. Ainsi, à Bourg-en-Bresse, des élus d'opposition Les Républicains ont décidé de se ranger derrière le candidat Reconquête pour constituer une liste commune.Alors, un compromis est-il possible sur le budget de la Sécurité sociale ? Édouard Philippe veut-il faire tomber le gouvernement Lecornu ? Quelle est la position du parti LR vis-à-vis du RN et de Reconquête ? Enfin, après trois ans au pouvoir, quel est le bilan de la politique de Giorgia Meloni ?Nos experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Métamorphoses françaises

    C dans l'air
    Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ?  - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 65:56


    C dans l'air du 4 décembre 2025 - Qui peut encore sauver le budget... et Lecornu ? Il ne reste plus que quelques jours aux députés pour examiner le projet de budget de la Sécurité sociale, dont le vote solennel est prévu mardi 9 décembre. Le Premier ministre a redit hier qu'il n'utiliserait pas le 49.3 pour le faire passer et a estimé possible de « trouver une zone d'atterrissage […] autour de 20 milliards d'euros de déficit ». Mais les discussions se tendent à l'Assemblée nationale, et Sébastien Lecornu a annulé l'intégralité de ses rendez-vous de la journée, notamment avec la CGT et la CFDT, pour se consacrer « aux débats parlementaires sur le PLFSS ».Beaucoup de tensions se cristallisent autour de la suspension de la réforme des retraites et de l'augmentation de la CSG sur le capital, un point qui doit être examiné ce jeudi par les députés. Le débat promet d'être explosif. Le PS en fait un point clé pour voter le PLFSS (ce qui n'est pas encore acquis), tandis que Les Républicains (LR) et Horizons ne veulent pas en entendre parler. Édouard Philippe et ses troupes ont menacé ces dernières heures de ne pas voter le PLFSS si ces « irritants » restent dans le texte. Ce qui n'a pas manqué de faire réagir le patron de Renaissance : Gabriel Attal a appelé le fondateur d'Horizons à garder « son sang-froid » et ses « nerfs solides ». « Dans la période où l'air de la vie politique est devenu totalement irrespirable […], on a besoin de points de repère (…) Il faut tout faire pour avoir un budget d'ici la fin de l'année », a-t-il ajouté à destination de son prédécesseur à Matignon.Le socle commun, sur lequel s'appuie Sébastien Lecornu et qui va de Renaissance à LR en passant par le MoDem et Horizons, se fracture alors que, chez LR, à l'approche des municipales, la tentation d'une alliance avec l'extrême droite gagne du terrain. Invité de la matinale de TF1 mercredi, Laurent Wauquiez a expliqué la ligne de son parti si jamais le candidat LR n'était pas présent au second tour : « Nous appellerons à voter tout sauf LFI. Cela veut dire voter blanc, cela veut dire voter pour ceux qui sont en face, quel que soit le parti. Tout sauf LFI, je ne peux pas être plus clair », a déclaré le président des députés LR. Et, dans certaines communes, certains franchissent le pas dès le premier tour. Ainsi, à Bourg-en-Bresse, des élus d'opposition Les Républicains ont décidé de se ranger derrière le candidat Reconquête pour constituer une liste commune.Alors, un compromis est-il possible sur le budget de la Sécurité sociale ? Édouard Philippe veut-il faire tomber le gouvernement Lecornu ? Quelle est la position du parti LR vis-à-vis du RN et de Reconquête ? Enfin, après trois ans au pouvoir, quel est le bilan de la politique de Giorgia Meloni ?Nos experts :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Bruno JEUDY - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP, auteur de Métamorphoses françaises

    Bulle de bonheur
    #284 - Comment se libérer du regard des autres ?

    Bulle de bonheur

    Play Episode Listen Later Dec 4, 2025 17:57


    Pour devenir Ambassadeur du bonheur et m'aider à propulser le lancement de mon nouveau livre sur Amazon. Inscrivez-vous !Une remarque blessante peut suffire à ébranler la confiance, même lorsque tout semble aller bien dans les relations au quotidien. Lorsqu'un jugement nous atteint, nous cherchons immédiatement ce que nous aurions fait de travers, comme si la parole de l'autre révélait une vérité sur nous. Pourtant, les mots d'une personne parlent d'abord d'elle-même : de ses peurs, de ses croyances, de ses insécurités.C'est ce que rappelle le deuxième accord toltèque partagé par Don Miguel Ruiz : « Ne faites jamais une affaire personnelle ». Lorsque quelqu'un critique, juge ou dévalorise, il exprime surtout son monde intérieur. Le « poison » émotionnel n'entre qu'à partir du moment où nous acceptons de lui donner du crédit.Prendre du recul permet de déplacer le regard : au lieu de se demander « Qu'est-ce que j'ai fait ? », se demander « De quoi cette personne parle-t-elle en elle ? ». Cette distance ouvre la voie à un meilleur discernement entre deux types de retours : le feedback constructif, qui aide à progresser, et les attaques personnelles, qui sapent inutilement l'estime de soi.Choisir consciemment ce que l'on accueille ou non est une manière de préserver son équilibre émotionnel. Cela renforce la confiance intérieure, diminue la rumination et favorise des relations plus apaisées. En comprenant que chacun parle depuis son propre vécu, il devient plus simple d'écouter sans se blesser et d'avancer avec présence, ancrage et compassion — pour les autres, et pour soi.**********Retrouvez le texte de l'épisode sur notre blog.En vous abonnant sur Itunes pour recevoir les notifications et en nous laissant un avis, vous nous envoyez des bulles de bonheur !En suivant notre actu sur FB @2minutesdebonheur et sur insta @2minutesdebonheur, vous profiterez gratuitement de pleins de trucs, d'astuces et de mises en pratique liés au podcast de la semaine.Inscrivez-vous à la newsletter, vous serez ainsi notifié de nos nouveaux épisodes et vous recevrez un bon de réduction de 5% sur notre site.Et surtout, partagez nos épisodes à tous ceux qui veulent prendre le temps d'être heureux !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    EMCI TV Prières inspirées
    Dieu peut te donner bien + que cela !

    EMCI TV Prières inspirées

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 31:24


    Grand reportage
    En Autriche, le paradoxe européen

    Grand reportage

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 19:30


    L'Autriche célèbre, cette année, les 30 ans de son adhésion à l'Union européenne. La République alpine de 9 millions d'habitants a, en effet, adhéré à l'UE en 1995 et trois décennies plus tard, un constat s'impose : l'Autriche profite largement de son adhésion sur le plan économique. De notre correspondante à Vienne, Gabriel Felbermayr, directeur de l'Institut de recherche économique Wifo, voit trois avantages essentiels de cette adhésion pour l'Autriche : « Il y a d'abord, évidemment, le marché intérieur [européen]. Si l'Autriche ne dépendait que de son propre marché, les entreprises ne pourraient pas se spécialiser autant. Cela est beaucoup plus vrai pour les petits pays comme l'Autriche que pour les grands comme la France. Il y a aussi l'espace Schengen et enfin, la politique monétaire européenne. Elle est très importante pour un pays comme l'Autriche, qui s'était auparavant aligné sur le mark allemand, mais qui n'avait pas son mot à dire. » Gabriel Felbermayr a mené une étude pour Wifo dans laquelle il quantifie ces avantages et donc ce que le pays perdrait s'il y avait un « Öxit », le terme qui désigne une sortie de l'Autriche de l'UE. Et les résultats sont sans appel : « On arrive, selon nos calculs, à un effet positif de l'adhésion de l'Autriche à l'UE qui se situe entre 7 et 8% du PIB. C'est beaucoup. Et comme l'Autriche est un pays riche, 7% représentent environ 4 000 euros par habitant. En Autriche, on critique souvent le fait que ces 4 000 euros ne sont pas gratuits, qu'il faut payer une contribution. Mais cette contribution est relativement faible. L'Autriche verse environ trois milliards d'euros à l'UE et en récupère deux milliards, soit une contribution nette d'un milliard. Nous avons 9 millions d'habitants, ce qui signifie que la contribution nette par habitant est d'environ 110 euros. On paie donc 110 euros et on en récupère 4 000, ce qui est un assez bon investissement ! » Une forte insatisfaction Pourtant, année après année, les enquêtes Eurobaromètre, études d'opinion réalisées à l'échelle de l'Union européenne, montrent l'insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'Europe. Dans la plus récente, publiée en septembre 2025, seuls 60% d'entre eux se disent convaincus que leur pays bénéficie de son adhésion à l'UE contre une moyenne de 73% dans l'ensemble de l'Union européenne. Et seuls 38% des Autrichiens ont une opinion positive de l'UE. L'Autriche est ainsi l'un des pays les plus insatisfaits des 27. Un thème cristallise ce mécontentement et est, selon cette étude, la priorité pour les Autrichiens : l'immigration. On le constate à Nickelsdorf, village de moins de 2 000 habitants, situé à la frontière avec la Hongrie, dans la région autrichienne du Burgenland. En 2015, lors de ce qu'on a appelé « la crise des réfugiés », ce village a été l'un des principaux points de passage. En quelques semaines, 300 000 réfugiés, principalement originaires de Syrie, d'Afghanistan et d'Irak, sont arrivés dans ce village, depuis la Hongrie - jusqu'à 20 000 par jour au plus fort de la vague. Des tentes ont été installées, des moyens de transport déployés, car ces réfugiés voulaient gagner l'ouest de l'Europe, notamment l'Allemagne. Le maire social-démocrate de la commune depuis près de 30 ans, Gerhard Zapfl, reconnaît qu'ils se sont sentis seuls à l'époque pour faire face à cette situation d'urgence, déplorant le manque de stratégie coordonnée des 27 États européens : « En 2015, l'Union européenne n'avait pas de réponse à ce problème et, jusqu'à présent, je constate qu'elle n'en a toujours pas. » Cette crise a, selon lui, laissé des traces durables à Nickelsdorf, mais aussi dans toute l'Autriche. « La conséquence de cette vague de réfugiés est que le scepticisme à l'égard des étrangers n'a cessé d'augmenter. Et cette situation peut être instrumentalisée. C'est le cas en Autriche avec le parti d'extrême droite FPÖ, qui ramène tous les sujets qui touchent le pays à l'immigration », affirme-t-il, ajoutant que ce scepticisme concerne aussi l'Union européenne. « L'UE échoue totalement sur cette question et cela déçoit un très grand nombre de personnes. » Intéresser les jeunes à l'UE Le FPÖ est actuellement dans l'opposition, mais il est le premier parti dans les sondages, crédité d'environ 35% des intentions de vote. Kevin dit se reconnaître dans ce parti. Ce jeune homme vit à Sattledt en Haute-Autriche, commune de moins de 3 000 habitants « où tout le monde se connaît » et où il a ouvert un café, il y a deux ans. « L'idée d'une union entre les pays européens, du point de vue d'une communauté économique, d'un projet de paix, est quelque chose de très positif », reconnaît-il. Mais s'il se dit aujourd'hui très critique de l'Union européenne, c'est avant tout, insiste-t-il, en raison de la politique migratoire de l'UE : « Nous ne parviendrons pas à maîtriser la situation si nous n'avons pas de protection aux frontières. [...] C'est typique de l'UE : nous discutons et négocions éternellement au lieu de prendre rapidement des mesures. » C'est pour comprendre cette insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'UE et la combattre que Rüya Buga parcourt l'Autriche depuis deux ans. Cette jeune bénévole de l'association ÖGfE anime des ateliers sur l'Union européenne dans les écoles, partout dans le pays. « J'entends souvent la réponse suivante de la part des élèves : "Ça ne m'intéresse pas." Mais alors, je leur réponds : "Tu es jeune, n'est-ce pas ? Tu aimerais peut-être déménager un jour, avoir un bon travail, pouvoir t'offrir certaines choses ? Tout ça, ce sont des sujets politiques qui influencent ta vie. Alors, cela doit t'intéresser d'une manière ou d'une autre." » Le but des ateliers qu'elle anime est de mieux faire connaître le travail de l'UE et ses effets concrets dans notre vie de tous les jours. Faire naître « une prise de conscience » car, conclut-elle, « nous vivons tous dans l'Union européenne et devons contribuer à la façonner. Parce que nous sommes la masse et ici, il s'agit de notre avenir. »

    Revue de presse Afrique
    À la Une: quel sort pour Christophe Gleizes?

    Revue de presse Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 4:13


    C'est aujourd'hui mercredi que le journaliste français sera jugé par la Cour d'appel de Tizi Ouzou en Algérie, plus de six mois après sa condamnation à sept ans de prison ferme pour « apologie du terrorisme » et « possession de publications de propagande portant atteinte à l'intérêt national ». Cette « audience en appel, explique le Matin d'Algérie, doit permettre de déterminer clairement la frontière entre un travail journalistique et une accusation pénale particulièrement lourde. C'est autour de cette ligne que s'articule la stratégie de la défense menée par Me Daoud et Me Bakouri. Les deux avocats entendent démontrer qu'il s'agit d'une simple irrégularité administrative et non d'un acte criminel. Ils reconnaissent que Christophe Gleizes est entré en Algérie muni d'un visa touristique alors que sa mission professionnelle nécessitait une accréditation délivrée par les autorités compétentes. Me Bakouri a d'ailleurs expliqué dans la presse algérienne que cette démarche constituait une violation des procédures administratives, mais ne pouvait en aucun cas être assimilée à une infraction liée au terrorisme. » « Interviewer une source ne peut constituer un délit » « Sur le fond du dossier judiciaire, les avis sont tranchés, relève Jeune Afrique. Pour la justice algérienne, Christophe Gleizes a été en contact avec un dirigeant du club de foot de la Jeunesse sportive de Kabylie, qui se trouve être responsable du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie, organisation classée terroriste, en 2021, par les autorités. Fin juin, le collaborateur des magazines So Foot et Society était donc condamné, en première instance, à sept ans de prison ferme, notamment pour “apologie du terrorisme“. À l'inverse, pointe encore Jeune Afrique, pour les signataires français de la tribune publiée la semaine dernière pour sa libération, “interviewer une source ne peut constituer un délit“ et qualifier de terrorisme ce recueil d'informations – “y compris auprès de personnes ou d'organisations controversées“ – revient à “nier la nature même du métier et à menacer la liberté d'informer, garantie par les conventions internationales“. » Quel scénario ? Alors ce mercredi, devant la Cour de Tizi Ouzou, « plusieurs scénarios sont sur la table, précise le Monde Afrique. Le tribunal pourrait réduire la peine de Christophe Gleizes à six mois ferme, couvrant à quelques jours près la durée de détention déjà effectuée par le reporter et lui permettant d'envisager une libération rapide. En cas de confirmation de la peine (ou de réduction de celle-ci à moins de sept ans) et de condamnation définitive, Christophe Gleizes pourrait bénéficier d'une mesure de grâce à disposition du président Abdelmadjid Tebboune. Une issue plus favorable encore serait celle d'un acquittement. » En tout cas, poursuit le Monde Afrique, « la plaidoirie de la défense devrait s'articuler autour de deux axes, celui de l'erreur administrative commise par le reporter, entré sur le sol algérien avec un visa touristique et celui de l'accès aux sources “indispensable pour mener son travail d'investigation, mais qu'il ne faut pas confondre avec l'adhésion à une quelconque cause défendue par certaines de ces sources“, précise Me Daoud. Une définition, commente le journal, qui conviendrait sans doute à Christophe Gleizes, lecteur, auteur, commentateur, mais journaliste avant tout. » Guinée : un an sans nouvelles d'Habib Marouane Camara Enfin, toujours dans ce chapitre de la liberté de la presse, à noter ce triste anniversaire. Cela fait un an jour pour jour ce mercredi qu'on est sans nouvelles du journaliste guinéen Habib Marouane Camara. Le responsable du site d'information le Révélateur 224 avait été arrêté par des gendarmes le 3 décembre 2024 dans la banlieue de Conakry. Les autorités guinéennes ont toujours nié avoir une quelconque responsabilité dans cette disparition. Aujourd'hui, son épouse, Camara Mariama Lamarana Diallo, ainsi que plusieurs de ses confrères seront face à la presse, note le site Guinée Live. Objectif, pointe le média guinéen : « attirer l'attention de l'opinion nationale et internationale sur ce phénomène qui s'est emparé de la Guinée : le kidnapping de citoyens à leur domicile, sans procès. » En effet, soupire Guinée Live, « ils sont nombreux, les Guinéens (civils et militaires) dont les familles n'ont aucune nouvelle. Sans fournir ici une liste exhaustive, citons les opposants Foniké Mengué et Mamadou Billo Bah ou encore l'ancien secrétaire général du ministère des Mines, Saadou Nimaga. »

    RADIO MAMA
    Gérer un enfant et un cheval ? 2 ans et 1/2 d'écuries en tant que maman

    RADIO MAMA

    Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 29:40


    Cela fait 2 ans et demi (oui, déjà !), que je suis devenue maman. Je ne partage pas notre histoire de famille sur les réseaux, je ne vous parle pas de mon fils par respect pour son anonymat, mais pour autant, il est beaucoup là avec moi, y compris quand je travaille, et encore plus quand je suis aux écuries.Comment je gère depuis 30 mois ce nouveau mini palefrenier que j'ai la chance de daronner ? Je vous donne nos organisations rien qu'à nous.Ici Mathilde, de Dance With Him, et vous écoutez Radio Mama.Instagram : @dance_with_him Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Le Précepteur
    [À L'ESSENTIEL]

    Le Précepteur

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 8:03


    POUR COMMANDER MON LIVRE : Sur Amazon : https://amzn.to/3ZMm4CY Sur Fnac.com : https://tidd.ly/4dWJZ8O

    Rothen s'enflamme
    Manu Petit sur Nice : "Bonne chance pour remobiliser les joueurs après tout cela" – 02/12

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 1:28


    Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

    Capital Markets Quickie
    [281-25] Capital Markets Quickie: A Rocky Start to December

    Capital Markets Quickie

    Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 2:45


    US markets pulled back yesterday as stocks and bitcoin both slipped, setting a cautious tone for the start of December. Investors shifted their focus toward upcoming inflation data and the Federal Reserve's rate decision next week.➡️ Just a quick reminder, Capital Markets Quickie is brought to you by AMF Capital AG, Asset Management Frankfurt, your leading provider for individual investment solutions and mutual funds. Visit https://www.amf-capital.de for more information.>>> Make sure to check out my newsletter "Cela's Weekly Insights":https://endritcela.com/newsletter/>>> You can subscribe here to our YouTube Channel “MVP – Main Value Partners”:https://www.youtube.com/@MainValue>>> Visit my website for more information:http://www.endritcela.com>>> Follow me on LinkedIn:https://www.linkedin.com/in/endrit-cela/>>> Follow me on Instagram:https://www.instagram.com/endritcela_official/Disclaimer for "Capital Markets Quickie" Podcast:The views and opinions expressed on this podcast are based on information available at the time of recording and reflect the personal perspectives of the host. They do not represent the viewpoints of any other projects, cooperations, or affiliations the host may be involved in. "Capital Markets Quickie" does not offer financial advice. Before making any financial decisions, please conduct your own due diligence and consult with a financial advisor.

    C dans l'air
    Zelensky fragilisé...Poutine et Trump prêts à signer? - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 65:05


    C dans l'air du 1er décembre 2025 - Zelensky fragilisé...Poutine et Trump prêts à signer?Encore une semaine cruciale pour l'Ukraine. Volodymyr Zelensky est reçu ce lundi à l'Élysée par Emmanuel Macron, afin d'échanger sur les négociations et le plan de paix proposé par Donald Trump. Cette nouvelle visite en France du président ukrainien, la dixième depuis le début de l'invasion russe de l'Ukraine en février 2022, intervient au lendemain de nouvelles discussions en Floride. Les Russes n'étaient pas autour de la table : il n'y avait que les Américains et les Ukrainiens, mais le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, a jugé que ces pourparlers avaient été « productifs », même s'il a prévenu qu'« il restait encore du travail ». Une source proche de la délégation ukrainienne a confié de son côté à l'AFP que ces discussions n'étaient « pas faciles ».Cela n'a pas empêché le président américain d'afficher dimanche son optimisme à bord d'Air Force One. « Je pense que la Russie aimerait que cela se termine, et je pense que l'Ukraine… je sais que l'Ukraine aimerait que cela se termine », a déclaré Donald Trump.L'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, qui a participé aux discussions en Floride, doit de nouveau se rendre à Moscou mardi pour discuter avec le président russe Vladimir Poutine. Ces échanges seront suivis de près par les Ukrainiens, les Européens et les Américains, tant l'envoyé spécial est considéré comme proche de Moscou depuis la divulgation d'un appel téléphonique avec un conseiller diplomatique russe par l'agence Bloomberg.Les Européens espèrent que l'administration de Donald Trump, qu'ils soupçonnent de « complaisance » vis-à-vis de Vladimir Poutine, ne sacrifiera pas l'Ukraine, considérée comme un rempart face aux ambitions russes.De son côté, le président ukrainien – qui incarne depuis bientôt quatre ans la résistance ukrainienne à l'invasion russe – a dû se séparer en urgence de son chef de cabinet, Andriy Yermak, éclaboussé par un important scandale de corruption. Un timing qui ne pouvait pas être plus mauvais pour l'Ukraine, alors que dans le pays les attaques incessantes des drones et des missiles russes sur les villes se poursuivent et que sur la ligne de front l'armée russe gagne du terrain, kilomètre carré par kilomètre carré, même si l'armée ukrainienne réussit encore des coups d'éclat, comme l'attaque de deux pétroliers russes par des drones marins le week-end dernier.Nos experts :- Général Jean-Paul PERRUCHE - général de corps d'armée, ancien directeur général de l'état-major de l'Union européenne et ancien chef de la mission militaire auprès du commandement suprême allié de l'Otan en Europe- Alain BAUER - professeur émérite de criminologie au Conservatoire National des Arts et Métiers, auteur de Conspiration au Vatican, publié aux Editions First- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang, publié aux éditions du Rocher- Patricia ALLEMONIERE - Grand reporter spécialiste des questions internationales

    Choses à Savoir SCIENCES
    Pourquoi nos ancêtres sont-ils restés bloqués pendant 300 000 ans ?

    Choses à Savoir SCIENCES

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 2:58


    Une découverte majeure publiée dans Nature Communications bouleverse notre manière de raconter l'histoire de l'humanité. Sur le site kényan de Nomorotukunan, les archéologues ont mis au jour un phénomène fascinant — et déroutant. Pendant près de 300 000 ans, des générations d'hominidés y ont façonné exactement les mêmes outils en pierre, sans la moindre innovation. Pas de progrès, pas de variation notable, pas d'amélioration technique. Une immobilité totale dans un monde pourtant en pleine mutation.Cette persistance dans la répétition interroge. On a longtemps imaginé la préhistoire comme une aventure continue d'inventions brillantes menant progressivement à l'Homo sapiens moderne. Mais Nomorotukunan raconte une autre histoire : celle d'une humanité qui, pendant une immense portion de son existence, a fait du conservatisme technologique la norme plutôt que l'exception.Les outils retrouvés ne sont pas n'importe quels objets : ce sont des artefacts appartenant à la tradition Oldowayenne, l'une des plus anciennes technologies humaines, apparue il y a environ 2,6 millions d'années. Ce sont des éclats simples, produits en frappant deux pierres l'une contre l'autre, utilisés pour couper, racler ou broyer. Leur fabrication, quasi immuable, suggère une maîtrise transmise, mais jamais réinventée. Cela implique des pratiques pédagogiques, une culture matérielle stable et, surtout, une absence totale de pression à innover.Comment expliquer cette stagnation ? D'abord, ces outils étaient probablement suffisants pour répondre aux besoins du quotidien. Quand une technologie fonctionne parfaitement pour chasser, découper ou dépecer, pourquoi en changer ? Ensuite, les hominidés de cette époque vivaient dans des environnements où la stabilité culturelle importait davantage que l'expérimentation individuelle. L'innovation, loin d'être une valeur universelle, est un concept moderne.Cette découverte nous oblige aussi à revoir notre définition du « progrès ». Ce que nous percevons aujourd'hui comme une évolution naturelle — l'amélioration continue des technologies — est en réalité une anomalie récente à l'échelle de notre histoire. Pendant des centaines de milliers d'années, le véritable pilier de la survie humaine n'était pas la créativité, mais la continuité.L'immobilité de Nomorotukunan n'est donc pas un signe d'infériorité intellectuelle. Au contraire, elle révèle que ces populations maîtrisaient déjà un savoir-faire optimisé, durable et parfaitement adapté à leur mode de vie. Le progrès n'était pas une priorité : la transmission fidèle d'un geste ancestral était la clé de la survie.En fin de compte, cette découverte bouleverse notre récit : l'humanité n'a pas toujours avancé grâce à l'innovation. Pendant la majorité de son histoire, elle a avancé grâce à la tradition. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs
    348. Le mindset des entrepreneurs qui voient 10x plus grand avec Jérémy Goillot

    TheBBoost : Le podcast qui booste les entrepreneurs

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 68:39


    Vous pensez viser grand ? Attendez de voir comment raisonnent les entrepreneurs qui visent 10x plus !On va décortiquer sans détour les mécanismes mentaux, les décisions difficiles et les choix stratégiques qui permettent de passer d'un business « qui tourne »… à un business qui change de dimension.J'accueille Jérémy Goillot : ex Head of Growth chez Spendesk, passé par un parcours US, freelance à 20K/mois, aujourd'hui CEO de Mobile First… et qui a levé 10 millions d'euros en partant de zéro.Il nous parle de son expérience, de ses ambitions, de sa vision et aussi... de ses prises de risque.En 1h, vous aurez une bonne dose de mindset, de stratégie, de chaos maîtrisé et de discipline : tout ce qui peut vous aider à voir au-delà de votre business actuel.En résumé :➡️ Quitter un job prestigieux pour entreprendre : comment décider sans tout faire exploser ?➡️ Reconstruire son identité entrepreneuriale : comment dépasser votre environnement actuel pour penser plus grand ?➡️ Lever des fonds ou scaler en partant de rien : comment construire une vision qui ouvre un nouveau niveau de jeu ?Bonne écoute

    Milkshaker
    Episode 146 - Emma : Nuits hachées, petit poids, le plan pour un sevrage nocturne.

    Milkshaker

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 56:33


    Emma travaille en néonatalogie. L'allaitement c'est son quotidien. Quand elle devient maman, cela ne fait aucun doute : elle allaitera. Son projet, accoucher physiologiquement et allaiter son bébé quelques mois, sans pression. Après un accouchement pénible, et une césarienne d'urgence qui bouleversent une partie du plan, Emma devra aussi surfer sur quelques difficultés de démarrage avec un bébé qui prend du poids certes, mais qui ne remontera jamais dans son couloir de poids initial, faisant planer le doute aujourd'hui encore sur le bon déroulement de l'allaitement. Quand bébé prend du poids mais tout juste ce qu'il faut, et qu'il tète un nombre incalculable de fois la nuit, les tétées nocturnes peuvent sembler particulièrement précieuses voir indispensables tout en vous vidant de votre énergie les mois s'écoulant. C'est ainsi qu'après 1 an de nuits complètement hachées et à l'aube de reprendre le travail, Emma décide malgré tout d'entreprendre un sevrage nocturne. Comment s'y est-elle prise ? Cela a-t-il eu un impact sur cette lactation déjà fragile ? Comment passer d'un bébé qui tète toute la nuit à un bébé qui arrête de téter tout court ?Elle vous raconte ça, et tout le reste de son histoire inachevée dans cet épisode . Je vous souhaite une belle écouteCharlotte Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    First Print - Podcast comics de référence
    Stands Kana sur salons et éditeur de création française : Thibault Billy, le couteau-suisse du manga [SuperFriends]

    First Print - Podcast comics de référence

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 113:24


    Un SuperFriends spécial vous attend aujourd'hui ! Cela faisait des années que je voulais faire un podcast avec mon ami et ancien collègue Thibault Billy, que certains d'entre vous connaissent peut être sous le nom de Billax ou Strafeur, de la période où il travaillait sur... Comicsblog ! Hé oui. Et justement : depuis son départ de l'ancienne société ARTS à aujourd'hui, le bougre a abattu un sacré volume de taff, toujours dans le milieu de l'édition, et c'est ce qu'on abordera aujourd'hui !Les gros stands de mangasse avec BillaxHomme à tout faire chez Kana, Thibault travaille en effet beaucoup sur leurs stands qui écument tous les salons de France, et c'est un sacré travail dont on ne soupçonne ni l'intensité, ni toutes les subtilités. Mais Billax supervise aussi depuis plus d'un an de nouvelles créations dans le rang des "mangas français" sur lesquels on a vu l'éditeur Kana être de plus en plus actif. Et nous allons donc parler de l'ensemble de ces travaux !D'ailleurs, No Devil, l'un des mangas que Billax édite, vient d'être annoncé pour avril 2026 !Si cette émission vous plaît, n'hésitez pas à saluer Thibault au prochain salon où vous le croiserez ! Vous pouvez partager ce podcast, en parler autour de vous, et aussi nous soutenir via notre Tipeee pour qu'on continue de vous produire des émissions sur le long terme ! Merci de votre écoute et à bientôt pour le prochain podcast !Soutenez First Print - Votre podcast comics (& BD) préféré sur TipeeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    NBA Extra
    EP 123 - Miami sera-t-il la surprise de l'année ?

    NBA Extra

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 41:30


    Le Heat a fait sa révolution en modifiant complètement son style de jeu : fini le pick-and-roll, place à la "circle offense" et à un mouvement permanent du ballon en attaque. Une idée qui a installée Miami dans le bon wagon de la Conférence Est. Cela peut-il durer ?A Minnesota, Anthony Edwards est devenu le meneur de jeu par défaut des Timberwolves. Une situation pas si surprenante vu l'effectif de Chris Finch... L'arrière peut-il être à long terme une solution à ce poste ?A Atlanta, l'absence de Trae Young donne des ailes à Jalen Johnson. Et si l'avenir des Hawks était plus radieux sans le meneur de jeu de 27 ans ?Avec Jacques Monclar. Présenté par Nicolas Sarnak.Jacques Monclar, Rémi Reverchon, Mary Patrux, Xavier Vaution, Fred Weis et Chris Singleton décryptent l'actualité de la NBA dans le Podcast NBA Extra, présenté par Nicolas Sarnak et Baptiste Denis.En complément de l'émission lancée en 2012, beIN SPORTS a créé, avec ce podcast, un nouveau format pour revenir en profondeur sur la ligue nord-américaine de basketball. Chaque semaine, les membres de l'émission débattent autour de trois thèmes majeurs, qui font l'actualité de la NBA.Un podcast à retrouver aussi sur Youtube : https://tinyurl.com/y4sabkns Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

    Reportage Afrique
    Sénégal: des courts métrages réalisés, produits et pour la première fois au cinéma

    Reportage Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 2:28


    Des courts métrages sénégalais pour la première fois visibles au cinéma. Cela se passe à Dakar. Depuis une semaine, quatre films de jeunes cinéastes africains sont projetés deux fois par semaine, le mardi et le jeudi dans les deux grandes salles de la capitale. Le Pathé et le Seanema et suivi d'un débat avec le public. L'occasion jusqu'au 11 décembre de voir le travail de tout jeunes cinéastes qui seront peut-être les grands noms de demain. Kaay Seetaan, (« Viens voir ») en wolof, s'affiche en lettres capitales sur le grand écran. Installé dans un fauteuil de la salle obscure, Armand Komla Sousou 27 ans, originaire du Togo, formé à la réalisation à Lomé puis à Dakar à l'écriture du scénario, peine encore à y croire. Voir son premier film, Marco au cinéma, c'est : « Fabuleux. Je me rappelle encore écrire dans ma petite chambre d'étudiant un scénario et du jour au lendemain le voir porter à l'écran avec des gens qui ont des étoiles dans les yeux, c'est juste fabuleux. » Penda Seck, elle, s'est essayée au métier de réalisatrice et elle aussi est encore émerveillée de l'apprentissage qu'elle vient de faire après cinq mois de formation, à tout juste 22 ans : « Quand tu te retrouves pour la première fois sur un plateau et qu'il y a près de quarante personnes et que tu dois parler à tout le monde en gardant son sang-froid et bien gérer une équipe. Avoir une bonne ambiance sur le plateau, et tout ça pour une première fois : c'est énorme. » « Ça peut être des films d'horreur » Apprendre, c'est bien l'enjeu de cette formation en cinq mois. Financé par la coopération culturelle britannique (le British Council) Le Film Lab, c'est son nom, veut professionnaliser un secteur en pleine expansion, comme l'explique Chloé Orthole Diop-productrice elle-même et qui a supervisé la formation : « Au Sénégal, on est très bon en technique et cinéma, mais pas assez de technicien, en particulier en son, en image et en production. C'est ça qu'on a identifié comme les terrains prioritaires à former. » En tout, seize jeunes, des Sénégalais pour l'essentiel, ont été formés aux métiers de chef opérateur, prise du son, mais aussi compositeur de musique de film ou encore scénariste et réalisateur. Un côté laboratoire que Penda Seck, directrice artistique jusqu'ici, a particulièrement apprécié en tant que réalisatrice : « Tu peux avoir envie de faire autre chose et autre chose, ça peut être des films d'horreur ou du cinéma expérimental. Ce n'est pas parce que je suis Africaine que je ne peux pas faire un film d'horreur. » Au final, c'est le drame psychologique que la jeune femme a exploré. Une histoire très personnelle sur la dépression et le poids du silence qui pèse encore trop souvent au Sénégal sur les femmes mariées qui se doivent d'être des épouses exemplaires. À lire aussiCinéma: au Sénégal, la nostalgie des salles de cinéma d'antan se conjugue avec un renouveau de la fréquentation

    Reportage Afrique
    Kenya: pour les parents, les concours de beauté des enfants génèrent un espoir de carrière

    Reportage Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 2:37


    Au Kenya, les mini miss et mister Kenya 2025 ont été élus la semaine dernière à Nairobi. Une quarantaine d'enfants de 3 à 17 ans ont participé à la compétition. Ce concours de beauté existe depuis près de 15 ans. Il a ouvert la voie à de nombreuses autres compétitions de ce genre qui se transforment parfois en opportunité de carrière pour les jeunes kényans. Le public du théâtre national de Nairobi s'enflamme quand monte sur scène une petite fille de neuf ans. Ella Cheruto commence sa performance. « Là, j'ai dansé et présenté mon projet écologique. Je me sens super bien. Je suis fière de concourir, j'adore ça. J'étudie le mannequinat. Ils m'apprennent à me coiffer, m'habiller, défiler. Vous pouvez me retrouver sur Instagram, Facebook, In box », explique-t-elle. Plusieurs fois par semaine, Ella Cheruto se rend dans une école de mannequinat. Sa mère, Chila Mayo, commerçante, l'y a inscrite. Cela fait deux ans que toutes les deux écument les concours de beauté du pays. « La visibilité, c'est important pour rencontrer du monde. Ella a d'ailleurs une manager. Être mannequin, c'est une carrière et je sais qu'elle ira jusqu'à l'international. Je veux la voir sur des plateformes à l'étranger. C'est un investissement, mais ça rapportera pour les gagnants. La pression, ce n'est rien, on la gérera en avançant », estime-t-elle. « Ça me donne confiance pour faire ce que je fais aujourd'hui » Tina Lughano est la fondatrice des mini miss et mister Kenya. C'est pour aider sa fille, atteinte d'une timidité maladive, qu'elle a créé ce concours en 2013 : « Monter sur scène, s'entraîner et montrer leur beauté, leur talent, cela leur donne confiance en eux. Quel que soit votre physique, vous pouvez participer. On juge surtout la confiance, les projets et le talent. Les enfants ont fait carrière, ça fait partie du plan. Certains réussissent, y compris d'un point de vue commercial ». Couronne sur la tête, écharpe autour du cou, Victor Job se balade dans les coulisses. À douze ans, il revient tout juste d'Inde où il a participé à l'élection de miss et mister univers : « Ce n'est pas une écharpe, c'est le titre de mini mister Kenya 2023. Ça me donne confiance pour faire ce que je fais aujourd'hui. Défiler et gagner des titres et parfois même de l'argent. Je me sens fatigué, mais j'aime aider ma mère avec cet argent. Quand je serai grand, je voudrais être pilote », termine-t-il. À partir du secondaire, l'École coûte en moyenne 400 dollars par an, selon le ministère de l'Éducation du Kenya. Le taux d'abandon pour cette période est de 8,5%.

    Oser la Reconversion
    #182 - Avril - De l'audit en finance (BIG 4) à sage-femme

    Oser la Reconversion

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 68:14


    Oser la Reconversion, le Podcast, épisode #182Oser La Reconversion est le podcast numéro 1 sur la Reconversion.S'inscrire à la Newsletter et recevoir le guide gratuit 30 jours pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/newsletter/Aujourd'hui, j'accueille dans Oser la Reconversion, Avril. Après 5 ans en audit financier en BIG 4, Avril a tout plaqué pour devenir sage-femme.Avril a suivi la voie des bonnes élèves, école de commerce, étude de finance, stage en cabinet d'audit Big 4 et premier CDI dans un de ses cabinets qui fait rêver. Cela semblait être la bonne voie pour elle car ses parents étaient tous les deux dans la finance.Son premier déclic ? Quand sa N+1 l'appelle pour lui annoncer qu'elle n'arrive plus à sortir de son lit, qu'elle fait un burn-out et qu'elle est arrêtée 4 mois du jour en lendemain. Très proche d'elle, Avril voit son futur et plaque tout du jour au lendemain pour voyager et faire le bilan.Aujourd'hui, Avril vient de terminer ses 4 années d'études de sage-femme en Suisse et s'apprête à exercer. Une vocation pas si farfelue que ça car sa grand-mère était elle-même sage-femme !Retrouvez Oser la Reconversion sur Instagram : https://www.instagram.com/oserlareconversion/Télécharger le cahier d'exercices d'Oser la Reconversion pour se reconvertir : https://oserlareconversion.com/Notes & Références : - Linkedin d'Avril : https://www.linkedin.com/in/avril-cibois-a81190107/Contactez-moi ! Si le Podcast vous plait, le meilleur moyen de me le dire, ou de me faire vos feedbacks (et ce qui m'aide le plus à le faire connaître), c'est simplement de laisser un avis sur Apple Podcast, un commentaire sur Youtube et d'en parler autour de vous. ça m'aide vraiment alors n'hésitez pas.Pour me poser des questions, participer au podcast ou suivre mes aventures, c'est par ici :- Sur Instagram @clervierose : https://www.instagram.com/oserlareconversion et @clervierose : https://www.instagram.com/clervierose- Sur Linkedin : https://www.linkedin.com/in/clervie-rose-boennec-a09065102/- Sur Youtube https://www.youtube.com/channel/UC7Qzm4HrS5OdmdXoY344vqA- Par mail : partenariats@oserlareconversion.com

    24H Pujadas - Les partis pris
    Les Partis Pris : "Marine Le Pen : c'est qui la patronne ? !", "Google, incroyable !" et "Sauvons Noël en Belgique"

    24H Pujadas - Les partis pris

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 19:54


    Après tous les commentaires, la mise en avant des sondages sur les sommets de Jordan Bardella, Ruth Elkrief pense que Marine Le Pen tente de redresser le tir. Selon Ruth, c'est ce qu'on pourrait comprendre des images de la tournée qu'elle a entreprise depuis quelques jours pour lancer les municipales au nom de son parti. On assiste à un duel de titans. On pensait que Google serait dépassé, démonétisé par les jeunes, OpenAI, NVIDIA… Mais donné pour mort, il repart à l'assaut et, selon François Lenglet, il devrait surpasser ses rivaux. Le cours de l'action de Google a pris 86 % depuis le mois de juin 2025. Le 28 novembre, la ville de Bruxelles a inauguré une nouvelle crèche de Noël intitulée “Les étoffes de la Nativité”. Cela donne l'impression à Abnousse Shalmani qu'il s'agit d'un défilé de mode. Les personnages sont représentés par des mannequins qui n'ont pas de visage. Elle dit qu'il faut sauver Noël en Belgique. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Capital Markets Quickie
    [280-25] Capital Markets Quickie: A Big Week Ahead: Payrolls, Powell, and Post-Holiday Spending

    Capital Markets Quickie

    Play Episode Listen Later Dec 1, 2025 2:51


    A busy week of data and earnings is kicking off after the Thanksgiving break. Markets will focus on payrolls, consumer sentiment, and a wave of major tech results.➡️ Just a quick reminder, Capital Markets Quickie is brought to you by AMF Capital AG, Asset Management Frankfurt, your leading provider for individual investment solutions and mutual funds. Visit https://www.amf-capital.de for more information.>>> Make sure to check out my newsletter "Cela's Weekly Insights":https://endritcela.com/newsletter/>>> You can subscribe here to our YouTube Channel “MVP – Main Value Partners”:https://www.youtube.com/@MainValue>>> Visit my website for more information:http://www.endritcela.com>>> Follow me on LinkedIn:https://www.linkedin.com/in/endrit-cela/>>> Follow me on Instagram:https://www.instagram.com/endritcela_official/Disclaimer for "Capital Markets Quickie" Podcast:The views and opinions expressed on this podcast are based on information available at the time of recording and reflect the personal perspectives of the host. They do not represent the viewpoints of any other projects, cooperations, or affiliations the host may be involved in. "Capital Markets Quickie" does not offer financial advice. Before making any financial decisions, please conduct your own due diligence and consult with a financial advisor.

    Choses à Savoir SCIENCES
    Pourquoi ne détournons-nous pas une partie des rayons solaires vers l'espace ?

    Choses à Savoir SCIENCES

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 2:56


    Pour lutter contre le réchauffement climatique, certains scientifiques ont imaginé une solution spectaculaire : renvoyer une partie des rayons du Soleil vers l'espace pour refroidir la Terre. Cette approche fait partie de la « géo-ingénierie solaire » et porte un nom : Solar Radiation Modification (SRM). L'idée semble simple : si la planète recevait un peu moins d'énergie solaire, elle se réchaufferait moins. Pourtant, malgré son apparente élégance, cette stratégie n'est pas utilisée — et pour de bonnes raisons.La Terre renvoie naturellement environ 30 % de la lumière qu'elle reçoit. En augmentant ce pourcentage, on pourrait réduire la température globale. Plusieurs techniques ont été proposées. La première consiste à éclaircir les nuages marins : en pulvérisant de fines gouttelettes d'eau de mer dans l'air, on rendrait ces nuages plus blancs, donc plus réfléchissants. Une autre option serait d'envoyer des aérosols dans la stratosphère, formant une couche diffuse renvoyant une partie du rayonnement solaire vers l'espace — un phénomène comparable à celui observé après de grandes éruptions volcaniques.Mais ces idées, souvent évoquées dans les négociations climatiques – comme à la COP 30 au Brésil – se heurtent à de grands obstacles techniques, climatiques et politiques. D'abord, les aérosols utilisés ne restent que peu de temps dans l'atmosphère. Pour maintenir un effet rafraîchissant, il faudrait en réinjecter en permanence, pendant des décennies voire des siècles. Si ce système s'arrêtait brusquement, la Terre rattraperait très vite le réchauffement « masqué » : on assisterait alors, en une ou deux décennies, à un bond de température brutal, bien plus dangereux que le réchauffement progressif actuel.Ensuite, les scientifiques s'accordent sur un point critique : le SRM ne règle pas les causes du réchauffement. Il réduit la chaleur reçue, mais laisse inchangé le CO₂ dans l'atmosphère. Cela signifie que l'acidification des océans continuerait, que les impacts sur les écosystèmes persisteraient, et que la concentration de gaz à effet de serre poursuivrait sa hausse silencieuse.Pire encore, les modèles climatiques montrent que cette méthode pourrait dérégler les précipitations dans certaines régions. Certaines zones pourraient recevoir moins de pluie, d'autres davantage, affectant agriculture, ressources en eau et stabilité géopolitique. Or personne ne peut garantir à l'avance quelles régions seraient gagnantes ou perdantes.En résumé, détourner les rayons solaires n'est pas une solution miracle. C'est une technologie encore incertaine, risquée, coûteuse à maintenir et incapable de traiter la cause principale du problème : nos émissions. Tant que celles-ci ne diminuent pas réellement, le SRM ne serait qu'un pansement fragile sur une blessure profonde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Revue de presse française
    À la Une: la visite du pape Léon XIV en Turquie et au Liban

    Revue de presse française

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 5:06


    « Léon XIV au défi de la paix », titre le Parisien-Dimanche, qui précise qu'après trois jours en Turquie, le souverain pontife arrive ce dimanche à Beyrouth. « Un voyage très attendu, dans une région meurtrie par les guerres », ajoute le journal. Pourtant, « nul ne s'attend à ce que le pape fasse la paix au Proche-Orient, de telles rodomontades n'appartenant qu'à Trump », remarque le Parisien-Dimanche selon lequel, à Beyrouth, « Léon XIV s'adressera peut-être autant au Hezbollah, dont le désarmement est le sujet crucial au Liban, qu'à Israël qui poursuit ses bombardements. Au-delà, dans cette région essentielle à ses yeux – la Terre sainte – l'Église de Rome prône avec constance une solution à deux états, Israël et Palestine, avec un statut international pour Jérusalem ».   Et ce n'est pas rien. Aux yeux du Parisien-Dimanche, « les paroles du natif de Chicago, plutôt discret depuis mai dernier, loin du tumulte des années François, n'ont jamais été aussi attendues dans un monde chaotique où prime la loi du plus fort, où la culture du clash attisée par les réseaux sociaux mine l'espace public et où grandit le spectre d'une troisième guerre mondiale ». « Perdre ses enfants » Le spectre d'une troisième guerre mondiale agite les pays européens et notamment la France. Emmanuel Macron a annoncé cette semaine le retour du service militaire en France, sur la base du volontariat, sur fond de guerre en Ukraine et de pression croissante de la Russie, après la déclaration très remarquée du chef d'état-major des armées, le général Fabien Mandon : « Si notre pays flanche parce qu'il n'est pas prêt à accepter de perdre ses enfants (…) alors nous sommes en risque ». Il n'en faut pas plus à Marianne pour décréter en Une que « Macron nous prépare au pire ». « En marche vers la guerre », clame l'hebdomadaire, avec la photo de Vladimir Poutine en toile de fond. S'ensuivent les déclarations alarmistes du général Vincent Desportes, ancien directeur de l'École de guerre, qui affirme : « Si l'Ukraine tombe, puis la Moldavie, alors nous ne sommes plus rien ». Un autre général, le général Christophe Gomart, député les Républicains au Parlement européen estime, lui, que « le président Macron instille la peur, pire ennemi d'une nation ». Il n'en déclare pas moins « qu'il faut montrer notre détermination et nous réarmer massivement en munitions, chars, avions, frégates, drones. La dissuasion est d'abord une question de crédibilité ». Et il ajoute : « N'oublions jamais que le réarmement dissuadera toute attaque, créera un rapport de force crédible, et surtout, préparera la guerre pour préserver la paix. »  Plan de paix et corruption En Ukraine, la guerre est bien réelle. Et elle est l'objet d'une correspondance entre deux sœurs ukrainiennes, régulièrement publiée par M, le supplément du Monde. L'une, Sasha, vit à Kiev, l'autre Olga vit à Paris. Cette semaine, Olga confie « qu'elle a eu un haut-le-cœur en découvrant "le plan de paix de Trump". Ce pseudo-plan n'est, à mon avis, qu'une façon de dire à Zelensky : " Rends-toi maintenant, ne tarde pas" ». « Cela signifie-t-il aussi que les États-Unis ne vont plus du tout donner d'armes à l'Ukraine ? » interroge Olga. « Qu'ils nous laissent tomber définitivement ? Je n'arrive pas à croire que la première puissance du monde se comporte comme une autruche » conclut-elle. À Kiev, sa sœur Sasha, elle, s'indigne du scandale de corruption qui frappe l'entourage du président Zelensky. Elle cite Timur Mindich, accusé « d'être le cerveau d'un système de rétrocommissions dans des contrats liés à Energoatom, la compagnie nucléaire d'État ». « L'histoire me fait vomir », ajoute Sasha, « quand je lis que cet homme a quitté le pays quelques heures avant les perquisitions, quand je regarde les photos de ses sacs remplis de dollars et d'euros, quand je découvre les toilettes en plaqué or de son appartement ». « Un appartement qui se trouve dans le même immeuble que celui de notre président. Nausée ! s'exclame Sasha, qui ajoute même : On aimerait penser que Zelensky n'y est pour rien, mais ça va contre le bon sens ». Endorphines Courrier International s'intéresse cette semaine à notre santé mentale. « Votre médecin veut que vous fassiez la fête, et certains prescrivent même des concerts », titre l'hebdomadaire, qui s'est promené à travers le monde pour voir ce qu'il en est. On apprend ainsi qu'au Canada, « les médecins peuvent désormais prescrire à leurs patients des billets pour des concerts de musique classique ». C'est la chaîne canadienne CBC qui l'a annoncé. Pourquoi une telle prescription ? « Parce qu'écouter de la musique libère des endorphines, qui sont des antalgiques et des régulateurs d'humeur naturels, ainsi que de la dopamine, l'hormone du bien-être liée au plaisir (…) ». Et pourquoi pas une visite dans un musée ? C'est ce que recommande le Japon : « un bain muséal », une étude assure en effet « que le taux de mortalité des personnes fréquentant régulièrement des musées, serait plus faible que celui des personnes qui n'en ont pas l'habitude. » 

    Le Paddock RMC
    GP de Qatar - La stratégie honteuse de McLaren maintient un suspens de folie !

    Le Paddock RMC

    Play Episode Listen Later Nov 30, 2025 54:05


    Cette saison 2025 est définitivement dingue. Max Verstappen s'impose au Qatar pour la 7e fois de la saison. Le quadruple champion du monde a bénéficié d'une monumentale erreur stratégique de McLaren qui n'est pas entré aux stands en début de course alors qu'une safety car était sur la piste. Oscar Piastri qui dominait la course doit se contenter de la 2e place. Lando Norris perd de très gros points en terminant seulement 4e. Tout se jouera à Abu Dhabi avec un Verstappen qui ne pointe plus qu'à 12 points de Norris tandis que Piastri reste en embuscade à 16 unités. Cela fait 15 ans qu'un titre pilote ne s'était pas joué entre 3 pilotes lors de la dernière course !Avec Nicolas Paolorsi, Jean-Luc Roy, Arnaud Valadon et Séraphin Bette

    Choses à Savoir
    Pourquoi ne fallait-il pas refuser une relation sexuelle avec Messaline ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 2:01


    Messaline, épouse de l'empereur Claude au Ier siècle, est restée dans la mémoire collective comme l'une des femmes les plus sulfureuses de l'Antiquité. Sa réputation – largement façonnée par les auteurs antiques comme Tacite, Suétone et Juvénal – repose sur l'idée d'une impératrice nymphomane, manipulatrice et dangereuse.Mais derrière la légende, une réalité s'impose : refuser une relation sexuelle avec Messaline pouvait être… mortel.Pourquoi ?Parce que Messaline n'était pas seulement la femme de l'empereur. Elle était l'autorité suprême au palais, la maîtresse du pouvoir intime. Dans une cour impériale où tout reposait sur l'opportunisme, la peur et les jeux d'alliances, contrarier la volonté de l'impératrice revenait à se mettre en danger politique direct.1. Elle disposait d'un pouvoir réelMême si Claude semblait lointain et souvent manipulé, Messaline contrôlait les faveurs, les nominations et l'accès à l'empereur. Elle faisait et défaisait des carrières.Elle fit, par exemple, exécuter le sénateur Appius Silanus après l'avoir piégé dans un faux complot.Si elle pouvait faire éliminer un aristocrate puissant, qu'en était-il d'un simple citoyen qui lui résistait ?2. Les auteurs antiques la présentent comme vindicativeLes sources – biaisées mais concordantes – montrent une femme qui punissait ceux qui lui déplaisaient. Juvénal raconte qu'elle se rendait de nuit dans les lupanars sous un pseudonyme, et qu'elle exigeait des hommes qu'elle avait choisis qu'ils se soumettent, sous peine de représailles. Même si cela relève en partie du discours moraliste romain, cela reflète bien l'image qu'avaient les contemporains : Messaline n'était pas quelqu'un à contrarier.3. Refuser, c'était l'humilier publiquementDans une société romaine obsédée par le statut, faire perdre la face à l'impératrice revenait à la menacer symboliquement. Or l'humiliation, dans une cour impériale, était souvent suivie d'une répression.Un refus pouvait être interprété non comme un choix personnel, mais comme un acte politique, presque une offense envers l'empereur lui-même.4. La fin de Messaline montre l'étendue de son pouvoirAvant sa chute en 48, elle avait osé se remarier publiquement avec Caïus Silius, un patricien en vue — un acte qui aurait été impensable si elle n'avait pas accumulé un pouvoir démesuré. Pour Juvénal, elle “régnait” littéralement dans le palais.Cela illustre pourquoi personne n'osait lui dire non : elle pouvait tout prendre, et tout faire tomber. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    C dans l'air
    Poutine, immigration, inflation: Trump en échec? - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 64:26


    C dans l'air du 29 novembre 2025 - Poutine, immigration, inflation: Trump en échec?Au-dessus de Donald Trump, le ciel s'assombrit. Mercredi à Washington, deux membres de la Garde nationale ont été blessés par balle lors d'une fusillade. Le président américain a annoncé le lendemain la mort de l'une des deux militaires suite à ses blessures. Le locataire de la Maison-Blanche a dénoncé un "acte de terreur". Mais loin de vouloir apaiser la situation, il a qualifié "d'animal" le tireur, et a ciblé son prédécesseur Joe Biden, l'accusant d'avoir fait entrer légalement cet individu, un ressortissant afghan. Il a également affirmé vouloir "suspendre définitivement l'immigration en provenance de tous les pays du tiers-monde". Son administration a aussitôt interrompu toutes les décisions en matière d'asile et suspendu la délivrance de visas à toute personne voyageant avec un passeport afghan. Pas moins de 18 autres pays sont concernés par cette décision.Il s'agit du nouveau tour de vis d'une politique anti-immigration déjà très sévère et contestée, particulièrement dans les grandes métropoles du pays. Dans ces villes, les agissements violents de l'ICE, une agence de police fédérale utilisée par Donald Trump pour faire la chasse aux migrants, ont choqué. Ces municipalités, principalement démocrates, ont décidé de se défendre en passant par la justice.Sur la scène internationale, la révélation par l'agence Bloomberg des conversations secrètes sur le plan de paix en Ukraine a fait l'effet d'une bombe. La proximité manifeste entre l'envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff, et Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique de Vladimir Poutine a choqué. Il apparait plus que jamais que ce plan de paix a été écrit sous la dictée de Moscou. Cela interroge sur les liens entre le locataire de la Maison-Blanche et la Russie. Qualifiée depuis des années de "liaison dangereuse" par les détracteurs de Trump, cette relation n'a jamais laissé fuiter de preuve accablante pour le président américain. Il est cependant régulièrement accusé de collusion, soit avec les renseignements russes, soit avec le pouvoir politique du Kremlin. Et malgré l'absence de preuve, Donald Trump ne parvient pas à se défaire de ces nombreuses suspicions.Il ne parvient pas non plus à se débarrasser des problèmes économiques du pays. Son pari contre l'inflation est pour l'heure perdant. Lors de la dernière campagne présidentielle, ses promesses sur le sujet lui avaient permis de remporter l'adhésion de la majorité de la population. Mais aujourd'hui, les Américains déchantent. En dépit des discours, ils continuent de voir les prix augmenter. Le niveau d'inflation, à 3% en septembre, devient un véritable sujet de préoccupation politique pour la Maison-Blanche et pour Donald Trump, de plus en plus contesté.La justice pourra-t-elle mettre un coup de frein à la politique anti-immigration de Donald Trump ?La crédibilité de Donald Trump sur la scène internationale est-elle affectée par les révélations de Bloomberg ?Le président américain peut-il perdre l'adhésion des classes populaires, dont le pouvoir d'achat est miné par l'inflation ?Nos experts :- Anthony Bellanger – Éditorialiste, France Info TV – Spécialiste des questions internationales- Nicole Bacharan – Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de Requiem pour un monde libre- Corentin Sellin – Historien, spécialiste des États-Unis – Chroniqueur - Les Jours- Marjorie Paillon – Journaliste, spécialiste de la politique américaine- Olivier Piton – Avocat aux barreaux de Paris et de Washington DC (En visio depuis Washington)

    Reportage International
    Corée du Sud: «Renforcer le système immunitaire et stimuler l'esprit» par la thérapie forestière

    Reportage International

    Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 2:37


    La forêt comme thérapie. En Corée du Sud, depuis 2016, l'Office national des forêts invite les Coréens à venir se relaxer et éliminer le stress dans des centres de thérapie publics. Au programme, marche et méditation à l'ombre des arbres. Une manière de se reconnecter avec la nature et de lutter contre la dépression et le mal-être dont souffre une grande partie de la population. De notre correspondant de retour de Jinan Un petit village au milieu des pins et des chênes de la forêt coréenne. Sur le plateau de Jinan a ouvert en 2024 le dernier des 22 complexes de forêts de bien-être en Corée du Sud. Nous rejoignons son directeur Kim Chang-hyun sur l'un des sentiers forestiers du centre. « Ici, nous sommes dans la vallée de Baegundong. On l'appelle également la forêt aux trois couleurs. En parcourant les sentiers forestiers, on peut simplement marcher, y compris pieds nus, explorer, faire de la méditation ou du yoga avec nos professeurs. Plein d'activités qui permettent de renforcer le système immunitaire et de stimuler l'esprit. » Loin de la ville, on vient se ressourcer, se détendre et méditer. Au-delà du calme, la forêt offre une expérience sensorielle qui serait bénéfique pour la santé mentale des participants : « Il y a un mot coréen, l'« im-sang » qui se rapporte à la nature : les odeurs, le paysage naturel, les sons de la vallée, de l'eau et des oiseaux. Toutes ces stimulations mêlées aux activités dont je vous parlais viennent créer une thérapie forestière. Cela fonctionne aussi bien pour les personnes avec un simple coup de mou ou celles souffrant de syndrome post-traumatique par exemple. » À lire aussiPourquoi la nature fait-elle du bien à la santé des humains? « Respirer les odeurs de la forêt et de la terre » De retour au village, les participants rejoignent leur séance de médiation avec des bols tibétains. Cet homme est venu avec sa femme et son fils pour échapper à la ville et son stress : « En ville, il y a beaucoup de monde, c'est bruyant et on vit à un rythme très rapide. Ici, on peut tout relâcher et se ressourcer. Cela m'a permis de me concentrer uniquement sur moi-même. Ce que je préfère, c'est sentir le vent frôler mes oreilles, respirer les odeurs de la forêt et de la terre. Mon fils adore les insectes, donc il court après les criquets. C'est bien que les enfants aussi puissent accéder à la nature. » Politique de santé publique, ces centres de thérapie restent abordables, comptez moins de 50 € par personne pour un week-end complet. Kang Daejin, un autre participant venu pour deux jours, s'estime satisfait de l'offre : « J'ai connu le centre grâce à des proches. Par rapport aux hôtels ordinaires, c'est plutôt abordable et puis le cadre est assez exceptionnel. Je crois qu'il est important d'avoir, dès le plus jeune âge, et jusqu'à un âge avancé, toutes sortes d'expériences de ce type dans la nature. » Depuis le lancement de ces programmes en 2016, déjà près d'un million de Sud-Coréens sont allés méditer à l'ombre des pins.

    Géopolitique, le débat
    Les États-Unis à l'heure de Trump: quelle influence sur l'ordre mondial?

    Géopolitique, le débat

    Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 48:29


    On n'a de cesse d'évoquer la rupture profonde à laquelle on assiste dans la tradition diplomatique américaine. Cela va de la dénonciation des accords multilatéraux, ou de la réorientation stratégique vers un unilatéralisme assumé à la remise en cause des alliances historiques : la politique étrangère américaine s'est redéfinie sous le sceau d'un nationalisme décomplexé, voire d'un révisionnisme tant l'on voit les États-Unis chercher à tout prix aujourd'hui à renverser cet ordre mondial qu'ils ont eux-mêmes créé. Cette redéfinition ou ce révisionnisme a des conséquences majeures sur les équilibres géopolitiques, les rapports de force internationaux et la légitimité des institutions globales. Dans quelle mesure la présidence Trump transforme-t-elle la place des États-Unis dans l'ordre mondial et redéfinit les logiques de puissance à l'échelle internationale ? Cette rupture de la stratégie américaine est-elle liée à la personnalité de Trump, à l'évolution sociologique des États-Unis ou à la bascule géopolitique mondiale ?   Pour en discuter : Sylvie Matelly, économiste et directrice de l'Institut Jacques Delors. Son dernier ouvrage, «Géopolitique de l'économie» aux éditions Eyrolles. Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l'Iris. Autrice de «Géopolitique des États-Unis» nouvelle édition 2025 chez Eyrolles et de la newsletter «MC Géopo».   Cécile Ondoa Abeng, consultante en relations internationales et ancienne conseillère du président Macron pour l'Amérique et la prospective internationale. François Clémenceau, éditorialiste international à BFMTV et la Tribune du Dimanche. Émission enregistrée à Grenoble dans le cadre des Géopolitiques de Grenoble. Initiative IRIS (Institut des Relations Internationales et Stratégiques / GEM (Grenoble École de Management). 

    Culture en direct
    Le fil de la mode 14/15 : La mode est obsédée par les petits accessoires, et cela dit quelque chose de l'époque

    Culture en direct

    Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 3:29


    durée : 00:03:29 - Le Fil pop culture - Breloques, charms, mini-bijoux : petits accessoires qui envahissent sacs et lacets, révélant une obsession du détail et un nouveau terrain d'expression identitaire. Que dit cette frénésie sur nos modes et notre époque ? - réalisation : Colin Gruel

    Les matins du samedi
    Le fil de la mode 14/15 : La mode est obsédée par les petits accessoires, et cela dit quelque chose de l'époque

    Les matins du samedi

    Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 3:29


    durée : 00:03:29 - Le Fil pop culture - Breloques, charms, mini-bijoux : petits accessoires qui envahissent sacs et lacets, révélant une obsession du détail et un nouveau terrain d'expression identitaire. Que dit cette frénésie sur nos modes et notre époque ? - réalisation : Colin Gruel

    Capital Markets Quickie
    [279-25] Capital Markets Quickie: Nasdaq Snaps Its Streak as November Ends on a Volatile Note

    Capital Markets Quickie

    Play Episode Listen Later Nov 29, 2025 2:29


    US stocks climbed during a shortened Friday session, but November still ended in the red for major indexes. Investors focused on rate-cut hopes, AI momentum, and a rare global trading outage.➡️ Just a quick reminder, Capital Markets Quickie is brought to you by AMF Capital AG, Asset Management Frankfurt, your leading provider for individual investment solutions and mutual funds. Visit https://www.amf-capital.de for more information.>>> Make sure to check out my newsletter "Cela's Weekly Insights":https://endritcela.com/newsletter/>>> You can subscribe here to our YouTube Channel “MVP – Main Value Partners”:https://www.youtube.com/@MainValue>>> Visit my website for more information:http://www.endritcela.com>>> Follow me on LinkedIn:https://www.linkedin.com/in/endrit-cela/>>> Follow me on Instagram:https://www.instagram.com/endritcela_official/Disclaimer for "Capital Markets Quickie" Podcast:The views and opinions expressed on this podcast are based on information available at the time of recording and reflect the personal perspectives of the host. They do not represent the viewpoints of any other projects, cooperations, or affiliations the host may be involved in. "Capital Markets Quickie" does not offer financial advice. Before making any financial decisions, please conduct your own due diligence and consult with a financial advisor.

    L'entreprise de demain
    Autonomie et adhésion : les réponses de Matthieu Fouquet aux questions signature

    L'entreprise de demain

    Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 6:07


    Ce bonus rassemble les réponses de Matthieu Fouquet, partenaire RH et Directeur Général adjoint de Onepoint, aux questions signature. Il partage ce qui structure sa pratique managériale, ses repères personnels et la manière dont il aborde un rôle qui évolue rapidement. Dès les premières réponses, il décrit une pratique managériale fondée sur la clarté, la responsabilité et la confiance donnée aux équipes. Dans un contexte de transformation, il revient sur ce qui l'aide à tenir son rôle : un cadre simple, des repères stables et une vigilance constante sur le collectif. Sa pratique managériale s'inscrit dans une lecture lucide des transformations en cours : autonomie accrue, adhésion nécessaire et responsabilité individuelle.Matthieu évoque la cohérence dans les décisions, l'importance de se remettre en question et le respect des singularités. Ces éléments donnent une lecture concrète de ce que signifie manager dans un environnement plus horizontal. Il insiste sur le rôle de l'organisation dans la création d'un climat de confiance : sans cette confiance initiale, l'autonomie reste théorique et la responsabilité difficile à exercer. Il partage également la manière dont il navigue entre les attentes du collectif, les trajectoires individuelles et les évolutions technologiques qui questionnent les repères habituels.Dans ses réponses les plus personnelles, il revient sur ce qui le guide : son rapport au collectif, son envie de transmettre et son attention à la cohérence. Cela éclaire la manière dont il exerce son leadership au quotidien : sobre, attentif, ancré dans la réalité du terrain. Ses propos rejoignent les préoccupations actuelles des managers et des DRH : comment accompagner des équipes dans un contexte incertain, comment donner du sens, comment soutenir l'engagement sans surcharger les individus.Ce bonus offre un regard incarné sur les repères d'un manager qui avance dans un environnement en mouvement. Un éclairage utile pour celles et ceux qui cherchent à ajuster leur posture dans un cadre qui évolue.Un format court pour découvrir les réponses de Matthieu Fouquet aux questions signature.

    Lenglet-Co
    LES SECRETS DE LA CONSO - "Up-cycling" : du neuf sans matériaux neufs, comme ce blouson... 909

    Lenglet-Co

    Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 3:18


    À contre courant de la consommation jetable et de la surconsommation comme en cette journée de "Black Friday", la tendance de faire du neuf avec du vieux gagne du terrain. Cela s'appelle "up-cycling" ou "sur-cyclage » en bon Français : on donne une nouvelle vie totalement différente à des matériaux déjà utilisés par ailleurs... Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 28 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Choses à Savoir
    Pourquoi Starbucks gagne de l'argent sans rien vendre ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 2:01


    Starbucks gagne de l'argent même lorsque ses clients ne boivent pas de café, et cela repose sur deux mécanismes économiques très simples : l'argent non dépensé et l'argent immobilisé.D'abord, Starbucks vend énormément de cartes-cadeaux et de bons prépayés. Les clients y chargent par exemple 25, 50 ou 100 dollars. Dès que cet argent est chargé, Starbucks l'encaisse immédiatement, alors qu'aucun produit n'a encore été servi. C'est une avance de trésorerie : l'entreprise reçoit le paiement bien avant de fournir le café ou la nourriture.Ensuite, il existe un phénomène appelé “breakage”. Il s'agit de la partie des cartes-cadeaux qui ne sera jamais dépensée. Cela peut être une carte perdue, quelques dollars oubliés, un cadeau jamais utilisé ou un solde trop faible pour être récupéré. Dans le cas de Starbucks, on estime qu'environ 10 % des 2 milliards de dollars en circulation sur les cartes ne seront jamais utilisés. Cela représente environ 200 millions de dollars qui deviennent un bénéfice pur. Aucun café n'a été produit, aucune marchandise n'a été vendue, mais l'argent est bel et bien définitivement acquis par l'entreprise.À cela s'ajoute un autre avantage colossal : les intérêts. Tout l'argent chargé sur les cartes et l'application Starbucks reste sur les comptes de l'entreprise jusqu'à ce qu'il soit dépensé. Pendant ce temps, Starbucks peut utiliser ces milliards comme n'importe quelle trésorerie. Elle peut les placer sur des comptes rémunérés, les utiliser pour financer son activité ou réduire ses besoins d'emprunt. Cet argent immobilisé, appelé “float”, rapporte des dizaines de millions de dollars par an en intérêts.C'est exactement le même mécanisme que celui des compagnies aériennes avec leurs miles, de PayPal avec les soldes des comptes, ou d'Amazon avec les cartes prépayées. L'entreprise reçoit l'argent aujourd'hui et n'a pas besoin de fournir immédiatement le service. Certaines sommes ne seront jamais consommées et une partie génère de la valeur financière en attendant d'être utilisées.En résumé, Starbucks bénéficie d'un double avantage :l'argent jamais dépensé, qui devient un profit net,l'argent temporairement stocké, qui apporte des revenus financiers.Cela transforme les cartes-cadeaux et les recharges d'application en une source de revenus extrêmement rentable, parfois même plus lucrative que la vente de café elle-même. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Librairie Majalis
    #Minanul_Bâqil_Qadîm - N°31 : « Tuub'ug Sëriñ bi » (Chapitre premier – Le repentir du Cheikh) P10

    Librairie Majalis

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 11:06


    L'un des aspects les plus sublimes de la conduite de Cheikh Ahmadou Bamba était sa parfaite politesse et son respect absolu envers Dieu et Son Messager, ainsi que sa préférence totale pour ce qui leur plaisait. Cela se manifestait dans sa manière de faire ses prières et Zikr, qui constituaient la majeure partie de ses actions spirituelles. Il plaçait toujours la louange de Dieu, puis la prière sur le Prophète PSL avant toute invocation, conformément au hadith rapporté par Al-Tirmidhi.Cheikh Ahmadou Bamba composait des poèmes pour exprimer sa demande à Dieu, renouveler son engagement spirituel et affirmer son attachement exclusif à Lui. Il entreprit plusieurs voyages et rencontres avec des maîtres spirituels dans le seul but de vérifier et parfaire son chemin vers Dieu. Il se servit notamment des ouvrages de Al-Ghazâlî pour la réforme morale et du Cheikh Al-Yaddâlî pour approfondir la science soufie...

    L'entreprise de demain
    Repenser le management : autonomie, responsabilité, adhésion - Matthieu Fouquet

    L'entreprise de demain

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 47:24


    Nous vivons une transformation du management qui touche des dimensions très concrètes du travail. Dans cet épisode, Matthieu Fouquet, partner RH et Directeur Général adjoint de Onepoint, explique comment cette transformation du management s'exprime au quotidien : par une bascule vers plus d'autonomie, une responsabilité accrue et un rapport nouveau au collectif. Sa lecture s'appuie sur l'observation du terrain et sur l'évolution rapide d'une organisation comme Onepoint. Dès les premières minutes, il revient sur un mouvement déjà engagé : le passage de l'obligation de moyens à l'obligation de résultat. Cela modifie le lien entre l'individu, l'équipe et l'entreprise, et fait évoluer le métier de manager.Pour Matthieu, ces changements dépassent les seules pratiques opérationnelles. C'est une transformation du management. Ils interrogent le leadership, le cadre, la confiance et la façon dont les équipes adhèrent au projet. L'autonomie devient un engagement, la responsabilité une condition, et le résultat un repère partagé. Cela redéfinit la place du manager dans un collectif plus horizontal. Le lien de subordination laisse progressivement la place à un lien d'adhésion, qui demande davantage de clarté, de transparence et d'écoute. Il faut expliquer, donner du sens et créer un environnement où chacun peut prendre sa part.L'épisode met également en lumière les effets de l'horizontalité portée par les Millennials, qui transforment les repères du management traditionnel. Le rapport aux réseaux, l'accès permanent à l'information et la circulation rapide des savoirs bousculent les habitudes anciennes. Matthieu explique comment ces dynamiques remettent en question les rentes statutaires et les rentes d'expertise, amplifiées par l'arrivée de l'IA. Pour rester légitime, chacun doit accepter d'être challengé, de se remettre en mouvement et de demeurer acteur de son propre développement. Une lecture utile pour les DRH et les managers, confrontés à ces évolutions dans leur quotidien.Matthieu partage également un outil simple : un pacte social construit avec les équipes. Ce pacte donne un cadre clair sans figer les comportements. Il guide les pratiques managériales dans des environnements mouvants, en s'appuyant sur la confiance, le respect et la responsabilisation. Pour les DRH et les managers, cet épisode offre des repères concrets : comment soutenir l'engagement des collaborateurs, comment clarifier les attentes, comment accompagner la montée en autonomie, comment ajuster sa posture dans un collectif qui change.Un échange qui aide à comprendre ce qui évolue dans les pratiques et les repères managériaux aujourd'hui.

    Rothen s'enflamme
    Christophe Dugarry : "Les dirigeants niçois doivent prendre des décisions, ils ne peuvent rester comme cela" – 27/11

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 11:21


    Rothen s'enflamme
    La VAR - Christophe Dugarry : "Tu ne peux pas cibler certains de tes coéquipiers comme cela" – 27/11

    Rothen s'enflamme

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 3:01


    Prière du matin
    « Lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume... " (Lc 21, 29-33)

    Prière du matin

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 9:08


    « Lorsque vous verrez arriver cela, sachez que le royaume de Dieu est proche » Méditation de l'évangile (Lc 21, 29-33) par le père Michel Martin-PrévelChant final : "Maintenant les puissances célestes" G.F. Lvovsky - Chœur Séminaire orthodoxe d'ÉpinayRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Halte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Journal d'Haïti et des Amériques
    «En Haïti, les gangs ne cherchent pas à renverser le système politique existant»

    Journal d'Haïti et des Amériques

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 30:00


    En Haïti, l'avenir de la transition politique préoccupe davantage après des sanctions que Washington vient de prendre contre l'un de ses membres, Fritz Alphonse Jean, que les États-Unis accusent d'être lié aux gangs. Une débâcle sur laquelle se penchent Romain Le Cour Grandmaison, chercheur senior à Global Initiative, et Frantz Duval, rédacteur en chef du quotidien Le Nouvelliste. « Il existe probablement des liens entre les groupes criminels en Haïti et des responsables politiques de haut niveau », remarque le chercheur Romain Le Cour Grandmaison, alors que les États-Unis viennent de sanctionner le conseiller présidentiel Fritz Alphonse Jean pour ses supposées relations avec les gangs, que l'intéressé dément. « Malheureusement, ce qui est très compliqué est de les documenter. » Toute la question est de savoir quels sont les liens entre ces groupes armés, la classe politique et le secteur économique. Sont-ils devenus suffisamment puissants pour s'affranchir de ceux qui les ont financés ? « Les gangs ont trouvé une façon de naviguer dans l'économie politique, parce qu'ils se sont enrichis, parce qu'ils contrôlent plus de territoires, mais ils ne cherchent pas à renverser le système politique tel qu'il existe », remarque Romain Le Cour Grandmaison. « On est plutôt face à des acteurs qui cherchent toujours à être bien positionnés – politiquement, territorialement, économiquement – pour négocier la meilleure place à l'intérieur du système pour leurs activités criminelles. » Mais, insiste le chercheur, il est devenu impossible de faire fonctionner le pays sans parler avec les gangs. Le bourbier haïtien Le Nouvelliste revient sur cinquante ans de gouvernances ratées et de transitions qui ne mènent nulle part. L'adage selon lequel le pays n'a jamais raté une occasion de rater une occasion se vérifie encore une fois, écrit dans son éditorial le rédacteur en chef du quotidien, Frantz Duval. « Des présidences stériles aux transitions inutiles, les années passent et le bilan global est de plus en plus catastrophique », écrit-il.  La suite de la transition pose de nombreuses questions et font écrire au Nouvelliste que tout a été fait pour assouvir les appétits d'une clique dont le journal dresse le portrait. « Des hommes qui s'intéressent à eux-mêmes, à leurs privilèges et au pillage des ressources publiques », remarque Frantz Duval.  Et ce alors que la violence reste extrêmement importante. Pour tenter de la juguler, la police s'est réunie avec son partenaire onusien afin d'élaborer son plan de développement 2026-2030. Ce qui n'a pas manqué de faire sourire les observateurs. « À chaque fois, ce sont des plans de développement qui ne sont pas appliqués, ni même financés, remarque Frantz. Mais surtout, à chaque fois, ce sont des plans de développement qui ne répondent pas aux problèmes d'Haïti ». « Cela fait plus de trente ans que la police est sous la tutelle de ses bailleurs étrangers sans parvenir à répondre aux problèmes d'insécurité. »   La République dominicaine ouvre ses aéroports aux États-Unis Saint-Domingue vient d'offrir l'accès à son principal aéroport et à l'une de ses bases aériennes aux États-Unis dans leur lutte affichée contre le narcotrafic. Il s'agira d'un accès restreint, pour une durée limitée et pour des opérations logistiques, a précisé le président Luis Abinader aux côtés du secrétaire américain à la Défense Pete Hegseth. Mais l'annonce conduit tout de même le Diario libre à s'interroger : la géopolitique est-elle une tragédie ou une bénédiction ? « Nous sommes plongés dans le bouillon d'une crise régionale marquée par des tensions politiques, des pressions économiques et des mouvements militaires que nous ne contrôlons pas », constate le quotidien dominicain. « S'il s'agit uniquement de réapprovisionnement en carburant, il n'y a pas de problèmes, même si nous devenons indirectement complices si ces opérations conduisent à des actions telles qu'un coup d'État ou des attaques dans la région », estime de son côté le politologue Luis Gonzalez dans les colonnes de Hoy. Mais, la République dominicaine doit se cantonner à un rôle d'observateur, prévient-il, et bien veiller à ce que la coopération n'affecte pas la souveraineté nationale ou ne conduise pas le pays à participer involontairement aux conflits régionaux.   Que Nicolas Maduro peut-il offrir à Donald Trump pour apaiser son courroux ? Donald Trump souffle le chaud et le froid sur le Venezuela en le menaçant d'un côté d'actions militaires, et de l'autre en évoquant la possibilité de s'entretenir avec son homologue qu'il accuse pourtant de narcoterrorisme. Selon le chercheur Phil Gunson, interviewé par les correspondants d'El Pais à Bogota et Washington, la seule chose qui pourrait apaiser le président américain est précisément celle que Nicolas Maduro ne va pas lui offrir : à savoir, sa propre démission. À défaut, le président vénézuélien pourrait faire d'autres propositions. Comme participer davantage à la lutte des États-Unis contre l'immigration ou le trafic de drogue. Ou bien lui offrir la tête de Diosdado Cabello, le ministre de l'Intérieur que Washington accuse de co-diriger le prétendu Cartel de los Soles. Dernière option, et non des moindres : accorder aux entreprises américaines un meilleur accès aux ressources pétrolières du pays. Quoi qu'il en soit, considère le politologue José Vicente Carrasquero, interrogé par le journal péruvien El Comercio, un tel entretien entre Trump et Maduro – s'il avait lieu – ne serait en aucun cas une discussion. « Dialoguer implique une certaine égalité entre les parties », remarque le chercheur. Or ici, il n'y a pas d'égalité : « Il s'agit d'une négociation conditionnée par la force. »  À écouter aussiVenezuela: «le Cartel de los Soles n'existe pas»

    Monde Numérique - Jérôme Colombain

    Comment l'IA peut-elle aider patients et dentistes à mieux comprendre les devis, anticiper les remboursements et réduire le renoncement aux soins ? Arnaud Assous détaille la vision et l'impact concret de La Fraise.Interview : Arnaud Assous, CEO de La FraiseComment l'IA peut-elle lever les freins au renoncement aux soins dentaires ?Notre objectif est simple : aider les patients à mieux comprendre leur devis dentaire et, ainsi, éviter qu'ils renoncent à leurs soins. Aujourd'hui, 50 % des devis ne sont pas réalisés, souvent parce que les patients oublient ce que leur a expliqué le praticien, ne comprennent pas le document ou ignorent leurs options de remboursement et de financement.Avec La Fraise, l'IA analyse automatiquement le devis et le transforme en une explication claire : du texte simple, des schémas, des vidéos, le tout dans la langue du patient. Si son téléphone est en turc, l'explication arrive en turc. Nous aidons aussi à comprendre le remboursement de la mutuelle, grâce à des centaines de milliers de cotations analysées. Le patient sait rapidement combien il sera remboursé et quelles démarches effectuer.La Fraise sera d'ailleurs présente au Congrès ADF Paris 2025.Comment fonctionne concrètement votre service ?Le patient reçoit un lien sécurisé par SMS ou e-mail. Pas besoin de télécharger quoi que ce soit. Une fois connecté, il retrouve son devis expliqué dans une interface simple. De son côté, le dentiste ne change rien à ses habitudes : notre outil s'intègre à tous les logiciels, y compris les plus anciens installés en local. Il fait son devis comme d'habitude, et nous prenons le relais pour l'analyse et la communication au patient.Pour le praticien, c'est gratuit pour ses patients et c'est un service supplémentaire qui valorise son cabinet tout en lui faisant gagner du temps : en moyenne 10 minutes par patient.Où en est votre développement ?Nous avons lancé La Fraise en bêta en début d'année avant d'accélérer commercialement à partir de septembre. Nous comptons aujourd'hui 1 200 dentistes utilisateurs répartis sur plusieurs centaines de cabinets. Notre dernière levée de fonds, de 3,2 millions d'euros, marque la confiance d'investisseurs comme 20VC, Kima Ventures, Sitcamp, Bpifrance, mais aussi de nombreux dentistes qui se sont impliqués dès les premières phases de test.Notre équipe de cinq associés réunit notamment quatre anciens de Doctolib, chacun avec une expertise dédiée (commercial, technique, produit…). Nous avons développé notre technologie en interne, du parsing des devis à l'intégration avec des IA existantes.Quels bénéfices observez-vous déjà sur le terrain ?Les résultats sont très nets : les cabinets constatent 20 % de devis signés en plus. Cela prouve que mieux comprendre ses soins, connaître ses droits et ses options de financement change radicalement la décision du patient. Nous accompagnons aussi ceux qui ont besoin d'aide pour contacter leur mutuelle ou organiser un financement.Pour les équipes administratives, c'est un soulagement : moins de scans, moins de relances, moins d'appels à la mutuelle. L'IA fait le travail et libère du temps pour le reste.-----------♥️ Soutien : https://mondenumerique.info/don

    Peregrino
    Te cuento la vida de la Beata Sara Salkaházi ¡conócela!

    Peregrino

    Play Episode Listen Later Nov 27, 2025 11:18 Transcription Available