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Alors même qu'elle est censée porter la voix du peuple, l'Assemblée Nationale est un haut lieu de performance d'un pouvoir viriliste, incarné par une masculinité hégémonique blanche, bourgeoise et hétérosexuelle. Que ce soit à travers le faste des lieux, la façon de mener les débats ou l'humour sexiste qui s'y déploie, tout dans cette institution clé de la Ve République tend à valoriser un mode de gouvernance violent et dominateur, où seule une petite part de la population se voit réellement représentée. De quelle manière le fonctionnement quotidien de l'Assemblée nationale s'imprègne-t-il du virilisme ? Comment se mettent en place les violences sexistes et sexuelles en politique ? La réelle parité femmes-hommes dans les institutions suffirait-elle à changer les choses ? Pourrait-on fonctionner sans “Père de la Nation” ? Pour en parler, Victoire Tuaillon reçoit Mathilde Viot, juriste en droit public et ancienne collaboratrice d'élu·es. Dans son essai « L'homme politique, moi j'en fais du compost » (éd. Stock, 2022), notre invitée revient sur ses 7 ans passés au Palais Bourbon. Elle interroge à travers une analyse acérée la valeur démocratique des lois qui régissent notre quotidien. Après avoir fondé le collectif Chair collaboratrice et participé au lancement du #MeTooPolitique, elle propose de composter le virilisme mortifère de nos institutions politiques pour faire advenir une démocratie féministe, écologiste et antiraciste.Un épisode initialement diffusé le 22 septembre 2022.RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées à la page https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/composter-lhomme-politique Binge Audio fête ses 10 ans au Mazette ! Prenez vos places sur Shotgun ou Dice CRÉDITS Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été enregistré dans les studios de Binge Audio (Paris, 19e). Générique : Théo Boulenger. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Prise de son, réalisation et mixage : Elisa Grenet et Paul Bertiaux. Chargée de production et d'édition : Naomi Titti et Marie Foulon. Marketing et communication : Jeanne Longhini, Lise Niederkorn et Justine Taverne. Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que son Hôtel-Spa "L'Isle de Leos" est sous le feu des critiques, le chanteur a décidé de se camoufler, pour enfin comprendre ce qui cloche. Une décision qu'il a très vite regretté... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avez-vous déjà remarqué que certaines personnes semblent obtenir plus facilement un emploi, une augmentation ou même de la sympathie… simplement parce qu'elles sont considérées comme belles ? Ce phénomène porte un nom : le pretty privilege, littéralement le privilège accordé à la beauté. Et ce n'est pas qu'une impression : la science le mesure, chiffres à l'appui.Le pretty privilege, c'est l'ensemble des avantages sociaux, professionnels ou personnels que reçoivent les individus jugés physiquement attirants. Il repose sur deux grands mécanismes psychologiques :D'abord le stéréotype de l'attractivité, ou l'idée que “beau = bon”.Ensuite, l'effet de halo : une caractéristique positive – ici la beauté – influence l'évaluation d'autres traits comme l'intelligence, la sociabilité ou la compétence.Concrètement, ces biais ont des effets très tangibles. Une étude menée sur plus de 43 000 diplômés de MBA a montré que les personnes considérées comme les plus attirantes touchaient en moyenne 2,4 % de plus par an, soit environ 2 500 dollars. Pour les 10 % les plus beaux, le bonus atteignait 11 %, soit plus de 5 500 dollars annuels.Une autre enquête menée aux États-Unis révèle que ceux qui se jugent “extrêmement attirants” déclarent gagner près de 20 000 dollars de plus par an que les personnes perçues comme peu attirantes. On parle là d'un salaire moyen de 64 000 dollars contre 44 000.Mais le phénomène ne s'arrête pas au monde du travail. À l'école déjà, les élèves jugés beaux sont perçus comme plus intelligents et bénéficient de la bienveillance des enseignants. Et même devant un tribunal, la beauté peut influencer : plusieurs recherches ont montré que les accusés séduisants reçoivent parfois des peines plus légères… sauf si leur délit est directement lié à leur charme, comme une escroquerie sentimentale.Dans la vie quotidienne, être perçu comme attirant facilite aussi les relations. Des études montrent que les visages considérés comme beaux sont plus “centrés” dans les réseaux sociaux : ils ont plus d'amis, plus de soutien, et bénéficient d'une meilleure estime d'eux-mêmes. À l'inverse, les personnes jugées peu attirantes déclarent plus souvent souffrir de détresse psychologique ou de dépression.Attention cependant : ce privilège a un revers. Maintenir certains standards de beauté coûte du temps, de l'argent, et peut nuire à la santé mentale. De plus, les personnes séduisantes peuvent aussi être victimes d'objectification ou de jalousie.Alors, le pretty privilege existe bel et bien, et la science le confirme : la beauté agit comme une monnaie sociale, capable d'influencer nos salaires, nos relations, voire la justice. Mais ce pouvoir n'est pas sans ambiguïtés. Finalement, c'est peut-être notre regard collectif, et nos biais inconscients, qui donnent tant de valeur à la beauté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 16 septembre 2025 - Assassinat de Charlie Kirk: Trump lance la "chasse aux sorcières"L'Amérique est toujours sous le choc de l'assassinat de Charlie Kirk et vit désormais dans une ambiance de chasse aux sorcières.Depuis le meurtre de l'influenceur d'extrême droite, les partisans du « Make America Great Again » (MAGA) ont décidé de recenser toutes les personnes qui se réjouissent, ou refusent tout simplement d'être attristées, par la mort de l'un de leurs idoles.Des dizaines d'entre elles ont même été licenciées : pompiers, employés de compagnies aériennes, enseignants… Plusieurs exemples ont fait la Une ces derniers jours, dont celui d'une professeure qui avait posté un message : « La haine appelle la haine. Zéro compassion. » Cela lui a valu une vague de harcèlement sur Internet, puis son licenciement pour atteinte à la réputation de l'université.La journaliste Matthew Dowd a, elle aussi, été virée de la chaîne MSNBC. Son tort ? « Lors d'un échange avec la présentatrice Katy Tur, Matthew Dowd a fait remarquer que Charlie Kirk avait encouragé les discours de haine, ajoutant que les pensées haineuses conduisent à des mots haineux, qui conduisent ensuite à des actions haineuses », relate le New York Times.Un licenciement dont s'est réjoui Donald Trump en personne. Le président des États-Unis a d'ailleurs lui-même encouragé cette chasse aux sorcières : « On cherche des noms. On n'aime pas ça. Personne ne se réjouit de la mort des gens. Ce sont des gens malades, dérangés », a-t-il déclaré.Mais cela va encore plus loin. Hier, le vice-président des États-Unis s'est symboliquement installé au micro de Charlie Kirk, à la Maison-Blanche, pour réaliser une émission à la mémoire de son ami assassiné. Animé d'une colère à peine contenue, multipliant les citations de la Bible, J. D. Vance a annoncé une répression sans précédent contre les « gens de gauche », accusés sans fondement de promouvoir la violence politique.Le vice-président a notamment désigné nommément pour cibles l'Open Society Foundations, fondée par le milliardaire George Soros, et la Ford Foundation. Elles sont accusées d'avoir financé le magazine mensuel de gauche The Nation, où J. D. Vance a lu un article présentant, selon lui, une vision déformée de Charlie Kirk, en raciste. La revue n'a bénéficié d'aucun fonds de cette origine, a déclaré Bhaskar Sunkara, son président. Cela n'a pas empêché J. D. Vance de reprocher aux deux fondations de « mettre le feu à la maison construite par la famille américaine depuis deux cent cinquante ans ».Parallèlement, Donald Trump continue d'envoyer la Garde nationale dans les villes dirigées par des démocrates, au nom de la lutte contre la criminalité. Après son déploiement dans la capitale Washington, mais aussi à Los Angeles et à Memphis, le président des États-Unis a déclaré que Chicago et Saint-Louis pourraient être les prochaines villes concernées, malgré les critiques des démocrates qui l'accusent de dérive autoritaire et de militariser les questions de sécurité publique.Alors, que se passe-t-il outre-Atlantique ? Pourquoi l'assassinat de Charlie Kirk fracture-t-il l'Amérique ? Quelles étaient les idées promues par cette star de la mouvance MAGA ? Les Etats-Unis sont-ils à point de bascule ? Jusqu'où ira la chasse aux sorcières lancée par l'administration Trump ? Enfin, pourquoi des portraits de Charlie Kirk étaient-ils au cœur de la manifestation anti-migrants de Londres ce week-end ?LES EXPERTS :- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Christine OCKRENT - Journaliste, spécialiste des affaires étrangères – France Culture- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Vincent JOLLY - Grand reporter – Le Figaro Magazine - Claire MEYNIAL – Duplex de Washington, correspondante aux États-Unis - Le Point, autrice de « La guerre des Amériques »
C dans l'air du 16 septembre 2025 - Assassinat de Charlie Kirk: Trump lance la "chasse aux sorcières"L'Amérique est toujours sous le choc de l'assassinat de Charlie Kirk et vit désormais dans une ambiance de chasse aux sorcières.Depuis le meurtre de l'influenceur d'extrême droite, les partisans du « Make America Great Again » (MAGA) ont décidé de recenser toutes les personnes qui se réjouissent, ou refusent tout simplement d'être attristées, par la mort de l'un de leurs idoles.Des dizaines d'entre elles ont même été licenciées : pompiers, employés de compagnies aériennes, enseignants… Plusieurs exemples ont fait la Une ces derniers jours, dont celui d'une professeure qui avait posté un message : « La haine appelle la haine. Zéro compassion. » Cela lui a valu une vague de harcèlement sur Internet, puis son licenciement pour atteinte à la réputation de l'université.La journaliste Matthew Dowd a, elle aussi, été virée de la chaîne MSNBC. Son tort ? « Lors d'un échange avec la présentatrice Katy Tur, Matthew Dowd a fait remarquer que Charlie Kirk avait encouragé les discours de haine, ajoutant que les pensées haineuses conduisent à des mots haineux, qui conduisent ensuite à des actions haineuses », relate le New York Times.Un licenciement dont s'est réjoui Donald Trump en personne. Le président des États-Unis a d'ailleurs lui-même encouragé cette chasse aux sorcières : « On cherche des noms. On n'aime pas ça. Personne ne se réjouit de la mort des gens. Ce sont des gens malades, dérangés », a-t-il déclaré.Mais cela va encore plus loin. Hier, le vice-président des États-Unis s'est symboliquement installé au micro de Charlie Kirk, à la Maison-Blanche, pour réaliser une émission à la mémoire de son ami assassiné. Animé d'une colère à peine contenue, multipliant les citations de la Bible, J. D. Vance a annoncé une répression sans précédent contre les « gens de gauche », accusés sans fondement de promouvoir la violence politique.Le vice-président a notamment désigné nommément pour cibles l'Open Society Foundations, fondée par le milliardaire George Soros, et la Ford Foundation. Elles sont accusées d'avoir financé le magazine mensuel de gauche The Nation, où J. D. Vance a lu un article présentant, selon lui, une vision déformée de Charlie Kirk, en raciste. La revue n'a bénéficié d'aucun fonds de cette origine, a déclaré Bhaskar Sunkara, son président. Cela n'a pas empêché J. D. Vance de reprocher aux deux fondations de « mettre le feu à la maison construite par la famille américaine depuis deux cent cinquante ans ».Parallèlement, Donald Trump continue d'envoyer la Garde nationale dans les villes dirigées par des démocrates, au nom de la lutte contre la criminalité. Après son déploiement dans la capitale Washington, mais aussi à Los Angeles et à Memphis, le président des États-Unis a déclaré que Chicago et Saint-Louis pourraient être les prochaines villes concernées, malgré les critiques des démocrates qui l'accusent de dérive autoritaire et de militariser les questions de sécurité publique.Alors, que se passe-t-il outre-Atlantique ? Pourquoi l'assassinat de Charlie Kirk fracture-t-il l'Amérique ? Quelles étaient les idées promues par cette star de la mouvance MAGA ? Les Etats-Unis sont-ils à point de bascule ? Jusqu'où ira la chasse aux sorcières lancée par l'administration Trump ? Enfin, pourquoi des portraits de Charlie Kirk étaient-ils au cœur de la manifestation anti-migrants de Londres ce week-end ?LES EXPERTS :- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Christine OCKRENT - Journaliste, spécialiste des affaires étrangères – France Culture- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Vincent JOLLY - Grand reporter – Le Figaro Magazine - Claire MEYNIAL – Duplex de Washington, correspondante aux États-Unis - Le Point, autrice de « La guerre des Amériques »
Émission du 16/09/2025 présentée par Amaury de Tonquédec avec Christopher Wangen, Investisseur et entrepreneur et Barthélémy Fendt, Fondateur du média Extraterrien. Nouveau concept : on a proposé à Barth de venir en studio pour un live de 1h pour être "coaché" par Christopher. Barth est entrepreneur, il a déjà investi mais jamais en immobilier. Alors pendant 1h, on lui procure les meilleurs conseils et stratégies pour des investissements réussis. Découvrez : Par où commencer ? Comment trouver la stratégie adaptée à votre profil ? Réussir à obtenir vos prêts à la banque, et ceux dans les meilleures conditions possible, quelle que soit votre situation. Si vous aussi vous voulez venir vous faire "coacher" en studio, ou simplement nous envoyer vos questions, ça se passe ici :
Tu veux que je te raconte l'histoire du joli voleur de chaussures? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
L'agriculture française souffre et n'est pas loin de rompre. En tout cas, c'est ce qu'affirment 15 professionnels du bassin parisien issus de toutes filières qui se sont réunis en fin de semaine dernière pour lancer un cri d'alarme. L'agriculture, disent-ils, est menacée de disparition, c'est notre question ce soir. Est-ce qu'effectivement, l'agriculture française pourrait disparaître ? Question particulièrement criante, à la veille de l'examen par les députés de la pétition contre la loi Duplomb qui pourrait ouvrir la voie à un débat à l'Assemblée nationale. Alors pourquoi une situation aujourd'hui aussi grave et peut-on sauver l'agriculture française ? Pour en débattre - Christophe Grison, polyculteur et maraîcher dans l'Oise, porte-parole du collectif d'agriculteurs du grand bassin parisien se revendiquant « sans posture politique ou syndicale » s'est exprimé le 11 septembre à Paris devant la presse, pour partager un message commun : « Si rien n'est fait, l'agriculture française pourrait disparaître en une génération. » - Aurèlie Catallo, directrice agriculture à l'Institut du Développement Durable et des Relations Internationales (IDDRI) - Benoit Cassart, député européen belge du groupe Renew Europe, agriculteur de profession.
À l'occasion de la sortie du film 'Regarde', Faustine Bollaert reçoit Benjamin Demarquilly. Atteint de rétinite pigmentaire, il sait qu'un jour, il perdra la vue. Alors il a choisi de ne rien remettre à plus tard : devenir mannequin, traverser l'Atlantique en voilier pour financer la recherche, et créer la Fondation 'Horizon'. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux que je te raconte l'histoire du jardinage dans l'espace? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Vendre c'est convaincre. Et le meilleur moyen de convaincre, c'est de présenter ses arguments. Mais personne ne nous a appris à présenter. Alors sur cet épisode je vous propose un cours accéléré de persuasion avec un spécialiste de la communication d'influence, Henri de Berny.Autres épisodes qui pourraient vous plaire : Vendre avec la transportation narrative3 choses simples à faire pour vendre sur internetVendre grâce aux Stories---------------
Lorsqu'elle est entrée dans la salle d'enregistrement, à Fontainebleau, c'est d'abord son enthousiasme contagieux qui nous a saisies. Et en écrivant ces lignes, en réfléchissant à ces premiers instants avec Eugénie Angot pour essayer de vous en dresser le contexte, de vous raconter le plus précisément possible comment s'est déroulé cet interview, c'est à sa jument que je pense. Elles s'étaient bien trouvées, Cigale et Eugénie. Angot, ce nom que l'on connaît bien et qui depuis des années fait partie de l'histoire du saut d'obstacles français, Angot comme Cédric, comme Florian. Angot comme Eugénie. Lorsqu'en 2004, elle fait son entrée, fracassante il faut le dire, au plus haut niveau, Eugénie a déjà une vision assez précise de ce qui l'attend. Depuis une dizaine d'années, Eugénie est la compagne d'un certain... Patrice Delaveau. Elle évolue à ses côtés, elle observe, elle s'imprègne. Les pistes, les concours, l'atmosphère, les enjeux, le système : autant de sujets dont elle avait fait l'expérience indirecte. Et puis, une rencontre, LA rencontre. Cigale du Taillis. Rappelez-vous, cette jolie baie, gagnante du GP 5* de Vigo, le GP du CSIO de Rome, elle était aussi 4ème de la Finale Coupe du Monde à Milan. Et tout ça, la même année. Bien sûr, l'Histoire d'Eugénie ne s'arrête pas à ce chapitre romanesque qu'elle a écrit avec Cigale. On se souvient encore de Old Chap Tame, qui était réserviste à Londres, membre de l'équipe de France à Herning pour les Championnats du Monde et vainqueur de la Samsung Super League à Barcelone. Aujourd'hui, Eugénie n'enfile plus de pantalon blanc mais elle est bien là, tous les week-end, en bord de piste pour coacher ses élèves. Et elle adore ce nouveau rôle, n'en témoigne la passion débordante qu'elle dégage lorsqu'elle parle de ce nouveau chapitre. Bref, on a adoré cette conversation avec Eugénie Angot. J'espère que cet épisode vous plaira aussi et comme toujours, n'oubliez pas de partager tout ça avec nous en nous écrivant sur Instagram. On adore vous lire, échanger avec vous et continuer de nourrir les réflexions que chaque épisode amorce chez vous. Alors bonne écoute et on se retrouve sur Instagram ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Journée spéciale sur le commerce mondial de la drogue aujourd'hui sur RFI. Focus tout de suite sur l'Afrique avec Flore Berger, de L'Initiative mondiale contre la criminalité transnationale organisée. Elle est spécialiste du trafic de drogue en Afrique. Elle nous explique pourquoi les narcotrafiquants n'aiment pas les coups d'État. Et elle nous révèle quel rôle jouent ces trafiquants dans certaines libérations d'otages au Sahel. Elle répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Pourquoi l'Afrique de l'Ouest est-elle devenue une plaque tournante pour la cocaïne entre l'Amérique latine et l'Europe ? Flore Berger : Oui, alors géographiquement c'est intéressant pour lier les deux zones. Mais aussi il y a des vulnérabilités importantes qui font que c'est devenu un centre logistique. Donc il y a moins de surveillance dans les territoires, un manque de ressources dans les ports principaux d'Afrique de l'Ouest, évidemment, des niveaux de corruption élevés. Donc, tout ça explique le fait que l'Afrique de l'Ouest soit devenue un centre névralgique pour le trafic mondial. Est-ce que les réseaux jihadistes d'Afrique de l'Ouest et du Sahel sont impliqués dans ce trafic ou dans celui d'autres drogues ? Alors pas spécialement. Déjà, il faut dire que la plupart des flux de cocaïne arrivent en Afrique de l'Ouest par les voies maritimes et repartent vers l'Europe par les voies maritimes. Mais il y a une partie qui est déchargée et qui prend la route, qui traverse notamment le Mali et le Niger en particulier, la Libye aussi. Et donc c'est sur ces routes de trafic qu'on a aussi la présence de réseaux jihadistes. Donc ce ne sont pas les acteurs principaux du trafic, ce ne sont pas ceux qui organisent ou ce ne sont pas les logisticiens, les intermédiaires… Mais comme ils ont une forte présence dans ces zones de transit, le long des routes, on sait qu'ils taxent la marchandise et taxent les trafiquants pour que ceux-ci puissent utiliser les routes qu'ils contrôlent. Donc on sait que les groupes jihadistes font ça pour tout type de biens licites et illicites. Donc les commerçants de carburant, les compagnies de transport, les éleveurs avec leurs animaux. Donc tout le monde qui veut utiliser leur territoire doit les payer. Donc, ce n'est pas spécifique au trafic de drogue. À lire aussiEn Afrique de l'Ouest, le trafic de drogues s'accompagne désormais d'une consommation hors de contrôle Est-ce que le trafic de drogue en Afrique est plus important dans les pays instables et en guerre civile ? Pas forcément. Et on voit qu'il y a certains trafics, comme on vient de parler du vol de bétail, qui sont renforcés, qui augmentent lors de périodes d'intense violence ou d'instabilité. C'est aussi le cas du trafic d'armes ou de carburant, par exemple, qui sont des ressources clés pour les groupes armés. Mais pour la cocaïne, c'est différent dans le sens où ce trafic prospère plutôt dans des zones où il y a un équilibre assez délicat, c'est-à-dire que trop d'instabilité va compliquer les flux et désorganiser les réseaux. C'est quelque chose qu'on a vu après, par exemple, le coup d'État au Niger en juillet 2023. Il y avait des réseaux de protection établis entre les autorités et les trafiquants. Et donc ces réseaux ont été éclatés du jour au lendemain. Aussi avec les périodes de grands conflits comme on a vu au nord du Mali dans la deuxième partie de 2023. Toutes ces périodes d'instabilité ne sont pas très bonnes pour le business, parce que les réseaux doivent soit trouver de nouveaux itinéraires, soit de nouveaux intermédiaires, recréer des relations de protection, et donc trop d'instabilité n'est pas forcément bon pour ce trafic-là. C'est-à-dire que les trafiquants de drogue du Niger ont été déstabilisés par le putsch de juillet 2023 ? Oui, oui. Donc, on a vu une diminution du trafic au Niger après le coup d'État, notamment de certains intermédiaires clés qui étaient impliqués dans le trafic de drogue depuis longtemps. Donc, avec la protection des autorités, il y a même des trafiquants, par exemple un en particulier qui s'est reconverti, on va dire, dans l'orpaillage, le trafic de l'or, parce que voilà, les protections au niveau de l'État pour le trafic de cocaïne n'étaient plus en place. À lire aussiTrafic de drogues: le Kenya, de plateforme logistique à marché de consommation émergent Quelle est la répression la plus efficace ? Pour la répression, donc, on sait spécifiquement pour le trafic de cocaïne qu'il y a vraiment des intermédiaires clés qui souvent sont connus de tous, qui opèrent depuis des décennies, par exemple au Mali ou au Niger, et puis des réseaux étrangers qui viennent des Balkans, qui s'implantent en Afrique de l'Ouest. Et donc eux sont vraiment les acteurs clés de cet écosystème et ils sont difficiles à remplacer parce que ce sont eux qui ont les connexions, ce sont eux qui ont les relations haut placées, ce sont eux qui sont au cœur de la logistique et des opérations. Et donc si on focalise la répression sur eux, donc il y aura clairement un impact sur ce marché illicite, au moins dans le moyen terme, jusqu'à ce que d'autres prennent leur place. Vous parlez des chefs de réseau, notamment de ces réseaux balkaniques qui viennent de Bosnie, d'Albanie, du Monténégro. C'est ça ? Voilà. Et qui ont évidemment des interlocuteurs, par exemple au Mali, au Niger ou les pays côtiers. Et est-ce qu'il y a déjà eu des arrestations du côté de ces chefs de réseaux ou pas ? Alors c'est un peu ça le souci principal, c'est que ce sont souvent eux qui ont établi des liens de protection avec l'accord des autorités. Par exemple, au Mali, ce sont des personnalités qui sont bien connues des services de renseignement et qui sont même parfois utilisés par les autorités, par exemple, quand il y a des otages et qu'il faut se lier ou faire des négociations entre groupes armés et autorités. Donc ce sont ces mêmes personnes-là qui sont appelées, du fait de leurs capacités à parler et aux groupes armés sur le terrain et aux autorités. Et donc c'est assez rare que des poursuites à leur encontre voient le jour. À lire aussiDe la culture de la coca au dealer européen, qui contrôle le trafic de cocaïne?
Dans les Fabuleux Destins, retrouvez également, tous les week-ends, les histoires d'amour qui nous ont fait rêver, qui nous étonner ! 1989, Philadelphie. Richard Linklater est de passage en ville. Ce jour de 89, le réalisateur fait du shopping avec sa sœur. Alors qu'il se trouve dans un magasin de jouet, une jeune femme l'aborde. Le courant passe, ils flirtent tous les deux quelques minutes. Richard lui glisse un mot "Je suis en ville pour cette nuit, si tu veux qu'on traine ensemble". Et c'est ce qu'ils font. Toute la nuit, ils se promènent et ils apprennent à se connaître. Ils parlent de tout et de rien. Richard dit à la jeune femme "Je ferai un film là dessus, sur ce sentiment". Et c'est comme ça que le jeune réalisateur a l'idée de "Before Sunrise", qui sera son quatrième film. Il ne sait pas encore, quand il l'écrit, que ce sera en fait une trilogie... Un podcast Bababam Originals Première diffusion : 3 juillet 2020 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
[REDIFF] Tu veux que je te raconte l'histoire de la famille la plus âgée? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Alors que les frappes aériennes russes redoublent d'intensité contre l'Ukraine, la diplomatie est-elle dans l'impasse, malgré toutes les démarches et manœuvres de ces dernières semaines ?
Imaginez une grande table au XVIᵉ siècle. Des mets somptueux, des coupes de vin, des convives élégants… mais pas de fourchette. Oui, vous m'avez bien entendu. On mange avec les doigts, parfois avec un couteau, mais cet ustensile si familier aujourd'hui est encore absent des tables françaises.Alors, comment la fourchette a-t-elle fait son entrée dans notre pays ? Et surtout, quel roi, un peu excentrique, a osé imposer cet objet qui allait transformer nos repas ?Une invention venue de loinLa fourchette n'est pas née en France. Elle apparaît dès le XIᵉ siècle dans l'Empire byzantin. À Constantinople, les aristocrates l'utilisent pour éviter de se salir les doigts en goûtant des plats délicats. L'Italie, toujours proche des échanges méditerranéens, adopte plus tôt cet ustensile, qui se glisse dans les cours princières de Venise et de Florence.Mais en France ? Rien. L'idée choque. Manger sans toucher la nourriture ? Inconcevable ! La fourchette est jugée inutile, artificielle, voire ridicule.L'arrivée à la cour de FranceC'est finalement au XVIᵉ siècle que la France découvre la fourchette. Et l'homme qui la fait entrer dans les usages de la cour, c'est… Henri III.Roi élégant, raffiné, souvent critiqué pour ses manières jugées trop efféminées par ses contemporains, Henri III est séduit par la mode italienne. Lors d'un séjour à Venise, il découvre cet étrange ustensile à deux dents. Fasciné, il décide de l'adopter et de l'imposer à sa table en France.Un roi moqué, mais en avance sur son tempsLe choix ne passe pas inaperçu. Les chroniqueurs rapportent que certains courtisans se moquent ouvertement de lui. Pour beaucoup, la fourchette est le signe d'un raffinement excessif, presque d'une faiblesse. Pourquoi se compliquer la vie avec un objet de métal alors que les doigts suffisent depuis toujours ?Mais Henri III persiste. Par goût du raffinement, mais aussi par souci d'hygiène : ne pas plonger ses mains dans la nourriture est, après tout, plus propre. Peu à peu, certains nobles imitent le roi, par snobisme autant que par curiosité.Une lente conquêteLa diffusion reste cependant très lente. Il faudra encore plus d'un siècle avant que la fourchette ne s'impose vraiment en France, sous Louis XIV, dans une cour où l'art de la table devient un véritable spectacle.Mais Henri III restera celui qui a osé franchir le pas, introduisant en France un petit objet qui allait changer notre rapport à la nourriture.ConclusionAlors, la prochaine fois que vous tiendrez une fourchette, pensez à ce roi mal-aimé, au style un peu extravagant, qui a su imposer, contre vents et moqueries, l'un des symboles les plus universels de la table moderne. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 13 septembre 2025 - Affaire Agathe Hilairet : qui est le suspect ?Le suspect du meurtre d'Agathe Hilairet a été mis en examen hier pour « meurtre suivi, accompagné ou précédé d'un autre crime, à savoir enlèvement ou séquestration ». L'homme, âge de 59 ans, a reconnu deux coups sur la jeune femme, ayant entraîné la mort sans intention de la donner, précise toutefois son avocat.L'ADN d'Agathe Hilairet avait en effet été découvert dans son véhicule. Cet ouvrier agricole réside à Vivonne (Vienne), commune d'où la jeune femme de 28 ans était partie courir, le 10 avril dernier, depuis le domicile de ses parents. L'individu a déjà été condamné à deux reprises à douze et trente ans de prison pour des faits de viols et d'agression sexuelle. Il était sorti en 2024 de la prison corse de Casabianda, spécialisée dans la réinsertion des criminels sexuels.En attendant, en Allemagne, le principal suspect dans l'affaire Maddie McCann, jeune britannique disparue en 2007, va être libéré. Faute de preuves suffisantes pour obtenir une mise en accusation, le parquet allemand ne peut empêcher la remise en liberté de cet homme au lourd passé judiciaire pour des crimes sexuels violents. Le procureur en charge du dossier, Christian Wolters, a souligné que Christian Brückner restait « foncièrement dangereux ».Si certaines affaires restent comme celle-ci non élucidées, les progrès scientifiques et techniques ont permis de faire avancer les enquêtes. C dans l'air a pu se rendre dans les locaux de l'institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) de Pontoise dans l'Oise, où les experts en criminologie ont recours aux dernières technologies pour faire parler les indices. Des progrès considérables ont été faits, notamment sur l'ADN et les portraits-robots génétiques. La science comportementale vient aussi de plus en plus souvent aux secours des enquêtes et des cold cases.Alors, qui est l'homme impliqué dans la mort d'Agathe Hilairet ? Pourquoi ne peut-on pas empêcher la remise en liberté du suspect dans l'affaire Maddie McCann ? Quelles sont les avancées techniques en termes d'enquêtes criminelles ? LES EXPERTS :- NOÉMIE SCHULZ - Grand reporter spécialiste police justice à France télévisions- Général François DAOUST - ancien directeur de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN)- Philippe LAFLAQUIERE - Ancien juge d'application des peines- Johanna ROZENBLUM - Psychologue clinicienne
[REDIFF] Tu veux que je te raconte l'histoire du championnat des plus belles barbes? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Des bruits de bottes, de chars et d'avions aux frontières de l'OTAN à partir d'aujourd'hui. Alors ce n'est pas la guerre, ce sont des exercices militaires russes. Les sapades, ça veut dire ouest en slab et ils se déroulent en Biélorussie dans un contexte forcément de tensions extrêmes avec l'OTAN et l'Europe.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 12 septembre 2025 - Influenceur assassiné: le sniper fait vriller l'AmériqueAu lendemain de l'assassinat de Charlie Kirk, abattu dans l'Utah, la violence politique est plus que jamais dans le débat aux Etats-Unis. Cet influenceur, figure de l'extrême droite américain, a été tué par balles mercredi 10 septembre lors d'une réunion publique dans le campus de l'université de la vallée, à Orem, dans l'ouest du pays. Agé de 31 ans, star des réseaux sociaux et du mouvement MAGA, il avait joué un rôle prépondérant dans le ralliement d'une partie de la jeunesse américaine à Donald Trump, avec ses discours pro-armes, contre l'avortement ou l'immigration coupables, selon lui, coupables de mettre en péril l'Amérique blanche.Très vite, le président des Etats-Unis a pris la parole mercredi pour saluer en Charlie Kirk, un « martyr de la vérité et de la liberté », et incriminé la « gauche radicale » sans que l'on ne connaisse ni le mobile, ni l'identité du tueur. Pour faire avancer l'enquête, le FBI a lancé un appel à témoins, sur la base de plusieurs vidéos diffusées hier, montrant un homme svelte portant des vêtements sombres, avec un pull à manches longues arborant le drapeau américain, des lunettes de soleil et une casquette. La police a également annoncé une récompense pouvant aller jusqu'à 100 000 dollars pour toute information en lien avec l'enquête.La chasse à l'homme s'est intensifiée ce vendredi aux Etats-Unis pour retrouver le meurtrier de Charlie Kirk. Selon les propos de Donald Trump, un suspect aurait été interpellé grâce à la dénonciation d'une personne « très proche de lui ». Le président a notamment expliqué que le père du suspect lui-même ainsi qu'un pasteur avaient joué un rôle dans cette arrestation.Cette annonce intervient dans un pays sous le choc et très fracturé. Si la classe politique américaine est unanime pour condamner cet assassinat et déplorer le regain de violence politique aux Etats-Unis, républicains et démocrates s'accusent mutuellement d'en être responsables, et certains analystes s'inquiètent déjà d'une volonté de vengeance des militants pro Trump. L'ancien président Joe Biden a appelé à ce que cette violence « cesse immédiatement ». Donald Trump, de son côté, a appelé ses fidèles à la retenue et à la non-violence. Parallèlement, le locataire de la Maison-Blanche a annoncé ce vendredi déployer des militaires de la Garde nationale à Memphis, dans le Tennessee, dans le cadre de sa lutte contre la criminalité ciblant des grandes villes démocrates du pays. « Nous allons à Memphis. Memphis est profondément en difficulté. Le maire est heureux, c'est un maire démocrate (…) Nous allons régler ça comme nous l'avons fait à Washington », a déclaré le président américain dans une interview à la chaîne Fox News. Dans le pays, cette annonce relance les craintes des commentateurs politiques d'une instrumentalisation de forces policières et militaires par Donald Trump, dans un tournant autoritaire du pouvoir présidentiel, avant les élections de mi-mandat de l'an prochain.Alors qui était Charlie Kirk ? Son assassinat constitue-t-il une bascule aux Etats-Unis ?LES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - Éditorialiste – FranceinfoTV, spécialiste des questions internationales- James ANDRÉ - Grand reporter – France 24- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste – Ouest-France - Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine, autrice de L'art de trumper - Piotr SMOLAR – EN DUPLEX - Correspondant à Washington – Le Monde
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Dans ARCHI COOL, un architecte d'intérieur partage un projet qu'il a mené et nous raconte tout : les choix qui ont été faits du sol au plafond, sa manière de travailler au quotidien sur ce chantier - et dans l'absolu -, ses conseils, ses bonnes adresses bref ses partis-pris et son savoir faire pour inspirer autant les pros que les fans de déco.Ici on va parler plans, matériaux, couleurs, volumes, budget, rénovation, peinture, sols, artisans, et bien sûr déco.Dans le 2e épisode de ce nouveau format (le 1er est sorti en juin), c'est Maya de Atelier Hans dont j'aime bcp le travail qui nous décrypte l'un de ses derniers projets, un appartement parisien de 140m2 qu'elle a complètement rénové pour - ou plutôt "avec" car vous verrez qu'ils ont formé une belle équipe - un couple de médecins avec 2 enfants. Le plan a été modifié notamment pour créer un double séjour avec une grande cuisine hyper belle, un grand nombre de portes ont été supprimées pour faciliter la circulation (il y en avait 30 au départ !), les coins Nuit parents/enfants ont été redistribués, de sublimes mosaïques ont été posées et tout cela avec beaucoup de goût, en jouant sur les matériaux, les ambiances chaleureuses et les couleurs toutes douces. Un très beau projet - qui a duré 1 an - que Maya nous raconte dans le podcast et dont vous pourrez découvrir les photos sur le compte Instagram de DECODEUR.Bonne écoute !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Tu veux que je te raconte l'histoire du drôle de musée? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Dans le nord de l'Afghanistan où, depuis plusieurs années, près de dix millions de personnes souffrent d'une sécheresse très sévère qui aggrave encore la crise humanitaire, le chantier du canal de Qosh Tepa suscite beaucoup d'espoir. Alimenté par la rivière Amou Daria, ce projet géant de 285 km de long conçu avant le retour au pouvoir des talibans - qui se sont empressés de le relancer - traverse trois provinces. Son ouverture est prévue pour 2028. De notre correspondante en Afghanistan, Les tractopelles s'activent vigoureusement sur le site de Sarband destiné à abriter les portes du canal de Qosh Tepa, dans le nord de l'Afghanistan. L'un des ingénieurs, Mortaza Zias, surveille la progression des fondations : « L'objectif de ce canal, c'est d'irriguer 500 hectares de terres et de zones urbaines. Il a été construit pour cela. Son autre extrémité se trouve à 285 km d'ici. Tout le tracé est en train d'être creusé, et la première phase est déjà terminée », explique-t-il. Pour les talibans, le chantier de Qosh Tepa est une priorité. « Le budget est entièrement financé par le gouvernement. Depuis quatre ans, tout vient de lui, il n'y a pas d'organisation internationale impliquée, poursuit Mortaza Zias, Seuls quelques plans ont changé. Le canal était censé être un peu moins long, mais le sol se compose de sable, de beaucoup de cailloux, donc au fur et à mesure des travaux, de nouvelles idées ont émergé. Comme celle, par exemple, de redistribuer l'eau dans la rivière Amou grâce à un barrage. » À lire aussiAfghanistan: le projet faramineux de construction du canal Qosh Tepa De l'autre côté de la province de Balkh, dans le village de Qarshi Gak, Hamidallah et ses cousins construisent une maison en terre pour deux de leurs frères : « Ils vivent en Turquie, mais ils voudraient revenir quand le canal sera terminé », explique Hamidallah. Grâce à l'argent envoyé par ses frères, Hamidallah a acheté des panneaux solaires qui lui permettent de pomper les eaux souterraines. Mais les réserves s'amenuisent. « Il n'y a pas d'eau, mais le canal nous donne de l'espoir, s'enthousiasme-t-il. Alors peut-être qu'avec le canal et de l'eau, nous aurons une vie meilleure. » Producteur de coton et de blé, Hamidallah voit ses récoltes se réduire d'année en année. À lire aussiSéisme en Afghanistan: «Les besoins de la population ne se limitent pas à des situations de crise»
En France, une personne sur 4 rêve d'écrire un livre. Mais… une sur 20 seulement passe à l'action.Alors peut-être que vous aussi, vous avez depuis toujours cette envie profonde d'écrire, que ce soit un roman ou un récit personnel. Mais qu'il y a plein d'obstacles et de résistances qui s'interposent, au point que vous vous demandez si ce rêve se réalisera un jour, ou si vous mourrez avec ce livre encore à l'intérieur de vous.Pour parler de ça aujourd'hui, j'ai invité Marie Khazrai, qui est l'autrice d'un roman remarquable, qui s'appelle Poupées Roumaines, paru aux éditions Les Avrils, et qui m'a énormément plu.Écoutez l'épisode pour :
D'abord petit rappel, le cap de Bonne-Espérance est l'un des passages maritimes les plus célèbres du monde. Il est situé à la pointe sud-ouest de l'Afrique. Contrairement à ce que beaucoup pensent, il ne marque pas la véritable extrémité sud du continent – c'est le cap des Aiguilles – mais il fut longtemps le symbole de la frontière entre l'Atlantique et l'océan Indien. Pour les navigateurs du XVe siècle, c'était surtout une zone terrifiante : vents violents, vagues gigantesques, brouillard soudain. On raconte que de nombreux navires y firent naufrage.Bartolomeu Dias, l'homme du capL'histoire du nom commence en 1488. L'explorateur portugais Bartolomeu Dias, mandaté par le roi Jean II du Portugal, cherche une route maritime vers les Indes en contournant l'Afrique. Après des semaines de navigation éprouvante, il est pris dans une tempête qui le pousse plus au sud qu'il ne l'imagine. Lorsqu'il retrouve la côte et mouille à Mossel Bay, il comprend qu'il a franchi le cap qui ouvre la route de l'océan Indien.Dias baptise d'abord ce promontoire cap des Tempêtes (Cabo das Tormentas) en mémoire des vents qui ont failli lui coûter la vie.Un roi qui voit plus loinMais à Lisbonne, le roi Jean II voit les choses autrement. Pour lui, ce cap marque la possibilité d'une nouvelle route commerciale vers les épices d'Asie, évitant les intermédiaires arabes et vénitiens. C'est une promesse d'enrichissement et de puissance. Alors, il décide de renommer le lieu cap de Bonne-Espérance (Cabo da Boa Esperança). Une manière de transformer une terre de danger en symbole d'avenir radieux.Une appellation qui traverse les sièclesLe nom s'impose et restera. Au fil du temps, le cap de Bonne-Espérance devient une escale stratégique pour les navigateurs européens. Au XVIIe siècle, les Hollandais y établissent une colonie, Le Cap, qui deviendra plus tard la capitale parlementaire de l'Afrique du Sud.ConclusionAinsi, ce nom n'est pas une simple description géographique, mais un message d'optimisme : malgré les tempêtes, ce promontoire représentait l'espoir d'un monde nouveau. Et cinq siècles plus tard, le cap de Bonne-Espérance reste un symbole universel : celui d'un passage difficile, mais porteur de promesses. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 11 septembre 2025 - Drones russes en Pologne : l'OTAN fait feuDans la nuit du 9 au 10 septembre, dix-neuf drones ont pénétré l'espace aérien polonais, un fait inédit pour un pays membre de l'Alliance atlantique. Des avions de chasse polonais et néerlandais ont été mobilisés et ont traqué les engins jusqu'au petit matin. Un avion-ravitailleur de l'OTAN, un avion-radar italien, ainsi qu'une batterie antiaérienne Patriot allemande ont également été déployés.Au moins trois de ces drones — des Shahed de conception iranienne, désormais produits en Russie — ont été abattus. Cette nuit a pris les allures d'un exercice grandeur nature de défense aérienne de l'OTAN… sauf que ce n'en était pas un. L'un des drones a été retrouvé à seulement 35 kilomètres de la frontière ukrainienne, un autre s'est écrasé à 130 kilomètres de Varsovie, et plusieurs ont percuté des habitations civiles.En Pologne, la population est sous le choc. Le Premier ministre, Donald Tusk, a dénoncé une « provocation » et mis en garde contre le risque d'un « conflit ouvert » avec la Russie. Il a aussitôt appelé à l'activation de l'article 4 du traité de l'Atlantique Nord, qui prévoit des consultations entre alliés en cas de menace pour l'un d'entre eux. Il a également demandé la convocation du Conseil de sécurité des Nations unies ce jeudi, afin de « porter l'attention du monde entier sur cette attaque sans précédent de drones russes ».De son côté, Moscou a nié toute intention hostile, affirmant ne pas avoir visé la Pologne. Le ministère russe de la Défense a dénoncé des « mythes » propagés par Varsovie pour justifier une escalade du conflit en Ukraine. Pourtant, 19 drones, ce n'est pas une erreur isolée. D'où l'hypothèse d'un test délibéré, destiné à jauger les capacités de réaction de l'Otan, des pays européens et des États-Unis.La réponse européenne a été immédiate. Outre la mobilisation de moyens aériens par plusieurs États membres, les représentants des cinq principales puissances européennes — Allemagne, France, Italie, Pologne et Royaume-Uni — se sont réunis mercredi à Londres pour condamner un acte « sans précédent ».Le Conseil de l'Atlantique Nord a modifié, jeudi, le format de sa réunion hebdomadaire, la tenant dans le cadre de l'article 4, comme le réclamait la Pologne. Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, s'est félicité de la rapidité de la réponse alliée face à cette « intrusion dangereuse, intentionnelle ou non », et a adressé un avertissement clair à Moscou : « Nous défendrons chaque centimètre du territoire de l'Otan. »Mais à Kiev, le président Volodymyr Zelensky a regretté le « manque d'action » des dirigeants occidentaux. Il a estimé que la Russie n'avait pas reçu de réponse ferme, qui aurait dû, selon lui, se traduire par des mesures concrètes.Quant à Donald Trump, il a réagi via son réseau Truth Social, dans un message énigmatique, au ton presque désinvolte : « Qu'est-ce qui se passe avec la Russie qui viole l'espace aérien polonais avec des drones ? C'est parti ! », a écrit le président américain.Alors, que s'est-il passé dans le ciel polonais ? Que révèle cette incursion de drones en Pologne ? Vladimir Poutine est-il en train de tester les limites de l'Otan ? Et quelle est la situation en Ukraine ?LES EXPERTS :- Marion Van Renterghem - Grand reporter, chroniqueuse à L'Express, et spécialiste des questions européennes- Gallagher Fenwick - Journaliste, spécialiste des Etats-Unis et des relations internationales- Alain Pirot - Journaliste, documentariste, spécialiste des questions de défense- Isabelle Lasserre - Correspondante diplomatique au Figaro
Tu veux que je te raconte l'histoire de la course de jockeys sans chevaux? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
C'est la rentrée, alors on parle résolutions, lectures et on met même des notes… à nos étés ! Alors, qui de Manu, Mélanie, Antoine ou Ginger se retrouve au coin pour bien démarrer l'année ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'intelligence artificielle (IA) ne se contente pas de bousculer les technologies. Pour beaucoup d'États africains, cette technologie devrait redessiner le futur du continent africain. L'IA pourrait permettre de répondre efficacement à certains des maux les plus pressants, en compensant les lacunes des systèmes éducatifs et de santé, en améliorant les rendements agricoles ou en facilitant l'accès aux services financiers pour une population encore largement exclue du système bancaire. Pour autant, plusieurs questions demeurent, le continent peut-il prendre part à la révolution en cours, tout en partant avec un certain temps de retard ? L'IA peut-elle devenir un facteur de développement pour l'Afrique ou, au contraire, représente-t-elle un obstacle à son indépendance économique ? Avec : • Thomas Melonio, chef économiste, directeur exécutif de l'Innovation, de la stratégie et de la recherche, Agence française de développement (AFD) • Paulin Melatagia Yonta, enseignant-chercheur en Informatique à l'Université de Yaoundé 1 • Ismaïla Seck, ingénieur et docteur en informatique. Enseignant chercheur en Intelligence artificielle à Dakar American University of Science & Technology et entrepreneur. En fin d'émission, la chronique IA débat, de Thibault Matha, un nouveau rendez-vous bimensuel chez 8 milliards de voisins. Alors que l'intelligence artificielle devient omniprésente dans notre quotidien et que son utilisation se démocratise, Thibault Matha interrogera les outils, et analysera la pertinence de leurs réponses. Aujourd'hui, Thibault tâchera de comprendre comment l'IA peut nous aider à bien nous organiser ? Programmation musicale : ► No.1 - Tyla Ft. Tems ► Katam - Diamond Platnumz.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Pour le lancement de la troisième saison de Folie Douce, l'autrice Nadège Erika est l'invitée de Lauren Bastide, à l'occasion de la parution de son deuxième roman, Ce refrain qui te plaît.Nadège Erika, à travers l'autofiction, explore sa vie de mère, travailleuse sociale, confrontée à un système de santé exsangue et à une société qui l'invisibilise dans son métier, sa maternité et son statut de proche aidant. Après avoir parlé du deuil d'un enfant dans son premier livre, Mon petit, elle se penche sur sa cette place de proche aidant d'un malade confronté à la psychiatrie : qui prend soin d'elles et d'eux ? Au travers de son parcours et de celui de son fils, elle décrit les difficultés qu'elle doit affronter, et se raconte, elle qui “[se] surveille beaucoup”. Elle décrit la honte qu'elle refuse de ressentir, le pathos qu'elle aurait le droit de déployer, et évoque les inégalités subies par les personnes racisées face au système médical.Cités dans cet épisode : la Maison Perchée et l'UNAFAM (Union nationale de familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques)Photo : Marie Rouge
Au Cameroun, Hermine Patricia Tomaïno Ndam Njoya est la seule femme parmi les douze candidats à la présidentielle du 12 octobre. Mais les Camerounais connaissent bien cette opposante politique, qui a repris les rênes de l'UDC, l'Union démocratique du Cameroun, après le décès en 2020 de son mari, Adamou Ndam Njoya. Longtemps députée nationale, Madame Tomaïno Ndam Njoya est aujourd'hui la maire de Foumban, la grande cité de l'ouest du Cameroun. Quelle est son ambition pour son pays ? RFI : Hermine Patricia Tomaïno Ndam Njoya, si vous êtes élue, quelles seront vos deux priorités ? Hermine Patricia Tomaïno Ndam Njoya : C'est la crise du Nord-Ouest et du Sud-Ouest qui est la toute première des premières. Parce que le Cameroun aujourd'hui est en guerre contre les Camerounais. Et évidemment, la grande deuxième priorité serait les réformes institutionnelles. Parce que depuis 2021, nous avons demandé que le code électoral soit modifié. Nous avons fait un travail de fond. Malheureusement, le pouvoir en place, comme il sait que c'est à travers des fraudes électorales qu'il s'en sort, c'est un problème d'arbitraire. Cette réforme du code électoral, vous l'avez demandée en direct au président Paul Biya lors de ses vœux du Nouvel An. C'était il y a quelques mois. Qu'est-ce qu'il vous a répondu ? Le président a dit qu'il n'était pas au courant que nous avions fait ce travail, et je lui ai répondu que nous allons mettre ce travail à sa disposition, ce que nous avons fait. Et jusqu'aujourd'hui, nous n'avons pas eu un retour. Vous êtes la seule femme candidate à ce scrutin. Si vous êtes élue, qu'est-ce qui changera pour les femmes camerounaises ? Les femmes camerounaises disent : aujourd'hui, 65 ans, ça suffit. Parce que c'est depuis les indépendances au Cameroun que les femmes sont discriminées. Nous n'avons pas de lois qui protègent les femmes, la famille, les enfants. Les femmes sont celles qu'il faut au Cameroun pour apporter la paix. Parce que le Cameroun est divisé. Aujourd'hui, il y a un manque de confiance entre Camerounais, entre les Camerounais et les institutions. Et donc après l'échec des hommes, il faut que les femmes prennent le pouvoir et elles sont prêtes. Voilà 43 ans que Paul Biya gouverne et il est candidat pour un huitième mandat. Face au système Biya, est-ce que vous ne partez pas battue d'avance ? Pas du tout. Le système Biya est là parce qu'il a les moyens de l'État, il a le confort. Mais dans la grande majorité, les Camerounais veulent des élections justes et transparentes. Donc quand on voit le bilan des 43 années de Monsieur Paul Biya, on comprend très vite pourquoi les Camerounais aspirent au changement. La guerre du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, c'est inadmissible. Quelle est la fonction d'un président de la République ? D'abord, incarner l'unité nationale, ce qu'il ne fait pas. Il doit arbitrer le fonctionnement des institutions républicaines, ce qui n'est pas le cas. Tout le monde voit que le régime n'apporte plus rien. Nous sortons d'une grande tournée au niveau national et nous ramenons que les Camerounais veulent le changement, mais par la paix. Qu'est-ce qui vous rend optimiste ? Est-ce que c'est le fait qu'il y ait des fissures au sein du parti au pouvoir et du gouvernement ? Est-ce que c'est l'âge du capitaine ? Normalement, c'est autant de signes qui montrent que si on était vraiment dans une République, l'âge n'aurait pas été un problème parce que nécessairement on aurait compris qu'il faut un mandat renouvelable une seule fois. Donc ça fera partie de nos résolutions urgentes de limiter le mandat présidentiel. Et maintenant, le fait qu'il y ait des problèmes dans la maison, c'est tout à fait normal aussi. C'est-à-dire que, dans le fond, c'est un régime qui a trop duré et les Camerounais souhaitent pouvoir prendre les rênes pour que le Cameroun redevienne cette Afrique en miniature, ce pays respecté dans la sous-région et dans le monde. Et c'est pour ça que nous parlons d'une nouvelle ère. Nous, on est là pour la rupture, c'est-à-dire un nouveau Cameroun, l'ère de la liberté, l'ère de la responsabilité… Parce qu'il y a tribalisme, détournement de fonds publics, corruption, qui laissent de côté la valorisation du travail, l'effort, la méritocratie. Ce sont des valeurs que nous devons retrouver au Cameroun. Les Camerounais sont prêts pour cette rupture. Alors face à Paul Biya, il y a onze candidats de l'opposition et un seul tour. Pour un candidat consensuel de l'opposition, est-ce que vous seriez prête à renoncer à votre propre candidature et à vous rallier à un autre candidat ? Bien sûr, c'est le principe. Parce que, quand on dit consensus, c'est une personne, mais qui est là dans le cadre d'une équipe, par rapport à un plan d'action commun consensuel. Et parmi les dix autres candidats de l'opposition, vous avez déjà en tête l'une ou l'autre de ces personnes pour qui vous pourriez vous rallier ? Celui qui va recueillir le plus de consensus, suivant des critères objectifs qui sont défendables devant le peuple, aura la confiance de l'Union démocratique du Cameroun.
Nouveauté pour la rentrée : Le carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" est disponible pour seulement 17 € au lieu de 39 € jusqu'au 19 septembre !1️⃣ Présentation de l'invité :Et si les bons cadeaux étaient l'un des leviers les plus sous-exploités de la performance hôtelière ?À l'heure où les OTA grignotent les marges et où chaque canal de vente compte, Sébastien Rolly s'est spécialisé dans le marché du coffret-cadeau, en développant SecretBox au sein d'API & YOU.Mais c'est aussi un hôtelier passionné, passé par Le Meurice.Après avoir reçu Rémi Ohayon, fondateur d'API & YOU, je vous propose de découvrir, avec Sébastien, le potentiel colossal et sous-exploité du marché du coffret cadeau pour améliorer la performance hôtelière et la restauration.Avec des chiffres d'affaires en pleine croissance – plus de 149 millions d'euros de chiffre d'affaires générés en 2024 et plus de 1 350 clients, les équipes de SecretBox ont acquis maitrise et créativité sur cet axe très stratégique pour optimiser le remplissage de votre établissement.Pourquoi les bons cadeaux sont bien plus qu'une simple attention ?Comment cette stratégie d'ambassadeurs permet aux établissements de booster leurs ventes directes, optimiser leur trésorerie et simplifier leur gestion opérationnelle ?Est-il possible de personnaliser ces offres et jusqu'où aller ?Comment s'intègre le bon taux de TVA ?Comment gérer la logistique ?Comment, grâce à une curiosité constante et la capacité à sortir de sa zone de confort, Cédric et son équipe réinventent l'expérience hôtelière à Bordeaux ?Toutes les réponses sont à écouter dans cet épisode.Alors, osez mettre en place cette solution et transformez vos clients en fidèles ambassadeurs !2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.Cet épisode est produit en partenariat avec SecretBox. Un grand merci aux équipes pour leur collaboration et leur professionnalisme.3️⃣ Le sponsor de l'épisode : D-EDGE permet une gestion centralisée du processus de paiement. La collecte des paiements sur les canaux en ligne et hors ligne n'a jamais été aussi facile. Demandez une démo pour D-EDGE Pay sur ce lien.Dites que vous venez d'Hospitality Insiders !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Les coffrets-cadeau pour l'hôtellerie-restauration00:10:00 - Le parcours professionnel de Sébastien Rolly00:21:00 - Intégration de cette solution e-commerce00:45:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLe E-Carnet "Devenir un Artisan Hôtelier" pour celles et ceux qui souhaitent faire de l'accueil un véritable artLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, on est de nouveau avec Louis pour parler d'organisation : ce qui marche pour nous, ce qui ne marche pas du tout, et toutes les méthodes qu'on a testées avec plus ou moins de succès. On partage nos routines, nos astuces (comme la méthode Pomodoro ou les to-do lists), nos contradictions, et notre besoin de rester souples. En bonus, on vous raconte la routine (très) matinale d'Amélie Nothomb et le joli projet musical que Louis a mené grâce à sa régularité. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/s0f1ra5b93po5zk3s1yj0) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/s0f1ra5b93po5zk3s1yj0/easyfrenchpodcast159_transcript.html?rlkey=3d7rl31ursev1xdiag5gkie1y&st=wufmm5ms&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/occmnsjfhjkgohy96o1hz/easyfrenchpodcast159_transcript.pdf?rlkey=j0yi2z4t0waopxxe8oottp0et&st=avjm00hv&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/9mee6vzp7tnnxf5xaetp8/easyfrenchpodcast159_vocab.txt?rlkey=a7fj7fxio0r3c7w3vk74z6e52&st=xtdde15b&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/eoobsqyzij8yf0i8jwd7t/easyfrenchpodcast159_vocab-semicolon.txt?rlkey=5qa57wwhb5jbywb30xdwwk96u&st=v5ro6xc6&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes
C'est une héroïne dont on a longtemps ignoré le nom. Pas de fusil, pas de batailles spectaculaires… juste un carnet, un crayon, et une incroyable détermination. Son nom ? Rose Valland. Grâce à elle, des milliers d'œuvres d'art pillées par les nazis ont pu être sauvées.Le pillage naziPendant l'Occupation, les nazis ne se contentent pas de contrôler la France. Ils pillent ses richesses. Tableaux, sculptures, objets d'art : tout ce que possèdent les musées, les collections privées, et surtout celles des familles juives, est saisi. Ce butin considérable est centralisé au Musée du Jeu de Paume, à Paris, transformé en véritable entrepôt du vol organisé.C'est là que travaille Rose Valland, modeste attachée de conservation. Aux yeux des nazis, c'est une employée sans importance. Mais ils ignorent une chose : Rose comprend l'allemand. Et elle les écoute. Chaque jour, elle note les conversations, les numéros de wagons, les destinations des convois.Une espionne de l'artAvec patience et sang-froid, Rose Valland consigne tout dans ses carnets. Chaque détail compte : l'expédition de tel tableau de Renoir vers Munich, le départ d'un Cézanne pour Berlin, ou la présence de tel dignitaire nazi au Jeu de Paume. Elle risque sa vie à chaque instant. Si les Allemands découvraient qu'elle les espionne, ce serait la déportation, peut-être la mort. Mais Rose tient bon. Pendant quatre années, elle mène une résistance silencieuse, armée seulement de son érudition et de sa mémoire.Après la LibérationQuand Paris est libéré en 1944, ses notes deviennent une arme précieuse. Grâce à elles, les Monuments Men — ce corps spécial créé par les Alliés pour retrouver les œuvres d'art volées — savent où chercher. Des milliers de tableaux, parmi lesquels des chefs-d'œuvre de Léonard de Vinci, Monet, Manet ou Picasso, sont localisés, saisis dans les dépôts nazis et rapatriés en France.Sans ce travail acharné et clandestin, une grande partie de notre patrimoine aurait disparu, engloutie dans les collections privées ou perdue à jamais dans les ruines de la guerre.Une reconnaissance tardiveEt pourtant, Rose Valland reste longtemps dans l'ombre. Après la guerre, elle continue de servir les musées français avec la même modestie. Ce n'est qu'à la fin de sa vie que son rôle est reconnu à sa juste valeur. Elle reçoit la Légion d'honneur, la Médaille de la Résistance, et son nom devient symbole de courage discret.ConclusionRose Valland n'a pas combattu avec des armes, mais elle a lutté avec ce qu'elle avait de plus précieux : sa mémoire et son courage. Alors, la prochaine fois que vous admirerez un tableau impressionniste au musée, souvenez-vous de cette femme discrète qui, seule, a défié l'avidité nazie pour sauver une part essentielle de notre culture. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'été dernier, j'ai décidé de faire une pause avec ce podcast. Les écoutes avaient déjà chuté durant l'été 2023, et je me suis dit que ça ne servait à rien de donner toute mon énergie si le public n'était pas au rendez-vous. Désormais, chaque mois d'août, ce sera ma coupure annuelle. On culpabilise souvent quand on est entrepreneur, comme si s'arrêter était un luxe. Pourtant, la pause est nécessaire, autant pour enseigner que pour apprendre. Ces pauses me permettent de réfléchir aux grandes décisions pour mon école. Cet été, plusieurs décisions ont été prises.Côté coulisses, le podcast est plus que jamais bien huilé : avec mon équipe, nous avons déjà bouclé la saison 2025. Tout est carré, planifié, anticipé. J'ai aussi lancé un projet qui me tient à cœur : le Salon, mon club de lecture. Après “L'Étranger” et “Chanson Douce”, nous lisons en septembre “Changer l'eau des fleurs”. Les discussions sont passionnantes. Pour rejoindre le Salon, c'est ici. Il y a eu aussi mes 40 ans. J'ai choisi l'authenticité : mon bar à vin préféré, mes amis venus de San Francisco, Bruxelles, Athènes ou Londres. Enfin : la fermeture du Weekly Dose of French. Je garde le Café français, mes niveaux préférés, et je me concentre sur les apprenants avancés. Alors si tu veux apprendre avec moi, tu as : le Café français, le Salon, le Club ou mes cours particuliers.
durée : 00:39:42 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - La crise politique s'est de nouveau cristallisée autour du budget de l'État proposé par le gouvernement désormais démissionnaire. Alors que le mouvement “Bloquons tout” appelle à mettre le pays à l'arrêt ce 10 septembre, quelles réponses apporter à la demande de plus de justice sociale ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Gabriel Zucman Économiste français; Jérôme Fourquet Politologue
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux que je te raconte l'histoire de la planète Mars? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
C'est peut-être un tournant historique qu'a vécu la guerre entre Israël et le Hamas hier. Israël qui frappe au coeur de Doha. Les dirigeants du Hamas visés ont survécu. Donald Trump dénonce une attaque malvenue contre un allié stratégique. Le ministre israélien de la Défense Israël Katz promet que ses ennemis n'auront nulle part où se cacher, quitte à détruire Gaza si les otages ne sont pas libérés. Le Qatar condamne et prévient qu'il se réserve le droit de riposter tout en maintenant son rôle de médiateur. Sur le terrain, l'armée israélienne poursuit son offensive contre la ville de Gaza. Nouveaux bombardements aujourd'hui. Une tour résidentielle pulvérisée. Au 705è jour de guerre, on compte plus de 64 600 morts côté palestinien, 1 219 victimes côté israélien. Et la tension monte en Europe, Ursula von der Leyen propose des sanctions contre les ministres israéliens extrémistes. Réponse immédiate de Tel Aviv, un mauvais message qui renforce le Hamas. Alors ce soir, comme depuis plusieurs longs mois que dure ce conflit, cette guerre, une question revient. Gaza peut-elle encore être sauvée ? Pour en débattre : - Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des Universités, président de l'IReMMO et co-auteur du livre Atlas du Moyen-Orient, éditions Autrement - Guilhem Delteil, journaliste au service international de RFI, auteur du podcast Palestiniens, ancien correspondant à Jérusalem - Raphaël Pitti, médecin humanitaire, président de l'ONG Husome Humanité Solidarité Médecine.
Il y a des silences qui en disent long. Tu sens que ton amie, ton frère, ou même ton collègue traverse quelque chose de lourd. Tu le vois dans son regard, dans ses absences, dans ses gestes. Et pourtant, il ne dit rien, ne demande rien.Alors, que faire ?Faut-il attendre ? Insister ? Respecter son silence ?Dans cet épisode, je t'emmène au cœur de ce dilemme. Avec des exemples concrets et des clés pratiques, tu découvriras comment être une présence douce, respectueuse et encourageante pour celui ou celle qui souffre, même sans mots.Parce que parfois, aimer, c'est être là sans imposer.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le résultat est une phrase simple, presque sèche, mais elle a mis deux siècles à voir le jour : « La peine de mort est abolie en France » Huit mots, prononcés en septembre puis promulgués le 9 octobre 1981. Huit mots qui ferment un chapitre long, violent, tragique, de notre histoire. Une histoire où l'on tranche, où l'on pend, où l'on fusille, au nom de la justice. Une histoire où le bourreau est salarié de l'État. Où l'on meurt dans la cour d'une prison, à l'aube, comme en catimini.Une histoire où chaque exécution déclenche des débats passionnés, entre humanisme et vengeance, droit et peur, morale et opinion publique.Cette histoire, c'est une fresque. Une lutte. Un interminable bras de fer entre deux France : celle qui croit à l'exemplarité du sang versé, et celle qui refuse qu'un État tue pour montrer qu'il ne faut pas tuer.Tout commence en 1764, avec un jeune marquis italien, Cesare Beccaria, qui ose une question inédite : « Quel est ce droit que se donne la société de tuer ses propres membres ? » C'est la naissance de l'abolitionnisme. Mais en France, il faudra attendre plus de deux siècles pour que cette idée devienne loi.Car malgré la Révolution, qui invente la guillotine mais annonce aussi la fin de la peine capitale « à la paix générale » ; malgré Victor Hugo, qui écrit « Prenez garde à la première tête qui tombe. Elle met le peuple en appétit » ; malgré les tentatives d'Aristide Briand ou Jean Jaurès ; malgré l'indignation suscitée par des exécutions ratées, des erreurs judiciaires, des supplices qui glacent le sang – rien n'y fait. La République, si souvent invoquée, recule. Les gouvernements tergiversent. Les majorités parlementaires cèdent. Et toujours, l'opinion publique est appelée à la barre : on la dit hostile à l'abolition. Alors on recule. Encore. Et encore.Il faudra les horreurs de la Seconde Guerre mondiale, la montée des mouvements humanistes, et surtout le courage politique d'un homme, Robert Badinter, pour que la bascule se produise enfin. En 1981, quelques mois après l'élection de François Mitterrand, la France abolit la peine de mort. Elle devient ainsi l'un des derniers pays d'Europe occidentale à le faire. Un paradoxe pour le pays des Lumières.Mais cette victoire est-elle définitive ? Peut-on considérer que le débat est clos, alors que dans le monde, plus de 50 pays continuent à exécuter ? Que même en France, certains rêvent de rétablir la peine capitale ? Et surtout, que nous dit cette longue marche abolitionniste de notre conception de la justice ? Est-elle une vengeance maquillée, une protection sociale, ou une exigence morale ?Ce sont toutes ces questions – et bien d'autres – que nous allons explorer avec mon invité, qui m'a fait le grand honneur de venir en studio, Jean-Yves Le Naour, historien, auteur - entre autre - d'une somme remarquable sur ce combat multiséculaire : celui d'une société contre sa propre tentation de mort légale Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 9 septembre 2025 - Après la crise, le spectre du blocageFrançois Bayrou a remis sa démission ainsi que celle de son gouvernement à Emmanuel Macron ce mardi en milieu de journée, au lendemain d'un vote sans appel à l'Assemblée nationale. Lundi, 364 députés ont voté contre la confiance, y compris au sein du bloc commun.Face à ce désaveu, tous les regards se tournent désormais vers le chef de l'État, confronté à nouveau à la tâche de nommer un nouveau Premier ministre capable d'éviter une censure rapide. Cette équation s'avère d'autant plus délicate que la popularité du président de la République est au plus bas dans les sondages et que le climat politique est électrique.Du côté des partis, les socialistes se disent « disponibles », tandis que les écologistes souhaitent un Premier ministre issu du Nouveau Parti écologiste (NFP). Marine Le Pen, pour le Rassemblement national, réclame une « dissolution ultra rapide ». Chez les Insoumis, Jean-Luc Mélenchon appelle à la démission d'Emmanuel Macron.Parallèlement, le mouvement « Bloquons tout » se prépare. Des pots de départ de François Bayrou ont été organisés partout en France, comme un avant-goût de la journée du 10 septembre où l'on annonce blocages, boycotts et grèves. Difficile néanmoins de mesurer l'ampleur du mouvement qui s'organise et dont l'un des enjeux sera la participation de la jeunesse. Plusieurs syndicats étudiants ont, ce dernier jour, décidé de rejoindre le mouvement « Bloquons tout ». Ils alertent notamment sur la précarité des étudiants. Nos journalistes sont allés à leur rencontre. Alors, qui pour succéder à François Bayrou à Matignon ? Blocages des axes routiers, grèves… À quoi faut-il s'attendre le 10 septembre ? Les étudiants vont-ils rejoindre le mouvement « Bloquons tout » ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologueMaître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point - Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP- Aline LECLERC (en duplex) - Reporter – Le Monde
Martin veut refourguer à une boulangerie des baguettes congelées à 27 centimes. Alors, forcément, ça coince.
Émission du 09/09/2025 présentée par Amaury de Tonquédec avec Jean-Baptiste de Pascal, DG d'Inter Invest et Bertrand Merveille, DG de BDL capital management. 60 % de l'épargne des Français dort …Dans des livrets, du cash ou des fonds en euros. Autrement dit : dans des placements « sûrs » mais non productifs.Pendant ce temps, la création de valeur (et donc d'emplois, d'innovation, de croissance) se fait… dans les entreprises.Alors pourquoi notre épargne n'y va pas assez ?Par manque de pédagogie ? Par peur du risque ? Par habitude ?Dans cet épisode, on parle de comment réorienter son épargne vers les entreprises.Vos questions en live : Etienne : "Mon fils Oscar est né cet été, qu'est-ce que je peux faire pour investir pour lui entre ses 0 et 18 ans ?"Thomas : "J'épargne depuis la naissance de mon fils qui a 8 ans, que faire pour investir pour lui dès maintenant ?" Et les questions CASH.
REDIFFUSION. Faites des gosses prend des vacances et vous propose de (re)découvrir certains de nos épisodes favoris. Bonne écoute !Nous sommes nombreux·ses à nous débattre avec des secrets de famille, des souvenirs violents qui ne se sont jamais dissipés, ou des souvenirs enfouis qui ont refait surface. Qu'ils soient issus de blessures intimes et personnelles ou hérités de générations précédentes, ces traumatismes pèsent sur nos vies. Alors comment faire pour qu'ils ne pèsent pas en plus sur celles de nos enfants ?Marine Revol s'est tournée vers le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron pour comprendre comment éviter la transmission des peurs et des douleurs dans les familles. Quand et comment parler ? Dans cet épisode, vous entendrez l'histoire d'un parapluie et d'un petit chien, du lien entre un avion et une table à langer, et de l'importance d'une baguette de pain au dîner. Pour en savoir plus : L'ouvrage de Serge Tisseron, Nos secrets de famille, histoire et mode d'emploi, (éditions Ramsay)Le sondage “Mémoire et traumatisme” datant de 2019 et mené par l'Ifop pour L'Observatoire B2V des MémoiresFaites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été réalisé par Anna Buy et la musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix ont été faits par Sam Jamin. Charlotte Pudlowski était à la production exécutive, Elsa Berthault était attachée de production et Mélissa Bounoua directrice des programmes. Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.comSuivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter. Et si vous souhaitez soutenir Louie, n'hésitez pas à vous abonner au Club. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nous sommes en 1552, située dans le Sussex de l'Ouest, en Angleterre. Cette année-là, le roi Édouard VI fonde l'école du Christ's Hospital. Un établissement public qui décide de faire porter une tenue commune aux orphelins et aux enfants défavorisés dont l'institution à la charge. Cette initiative vise, en réalité, à émanciper les enfants, par la scolarisation, en leur offrant des conditions égalitaires, y compris un uniforme simple, composé d'un long manteau, d'un short bleu, de chaussettes jaunes et d'un foulard blanc. Loin des codes vestimentaires élitistes des toges académiques, cet habit symbolise l'humilité et le respect du savoir, marquant l'inscription des enfants dans l'instruction au-delà de leur condition sociale. L'uniforme comme instrument de justice et de progrès est une idée qui sera défendue, deux siècles plus tard, par les gauches radicales. Son histoire est faite de flux et de reflux. Tombé en disgrâce après les guerres mondiales en Europe, il s'est généralisé ailleurs dans le monde, en Afrique, en Asie, en Amérique latine. Dans nos régions, son usage est, depuis quelques années, à nouveau, au centre des débats. Ses défenseurs y voient une réponse au désir d'ordre et de repères institutionnels face à l'affaiblissement des institutions et à la montée des affirmations identitaires. Ses pourfendeurs le perçoivent comme un vestige archaïque. Alors pour tenter de comprendre les uns et les autres, revenons aux origines de l'uniforme scolaire et à l'évolution de son usage. Avec nous : Jean-Claude Kaufmann, spécialiste de la vie quotidienne et pionnier de la microsociologie. « L'uniforme scolaire – Archaïsme ou modernité ? » ; Armand Colin. Sujets traités : L'uniforme, école, Édouard VI , institutions , évolution Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu veux que je te raconte l'histoire du chat qui mordille ? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!
Alors qu'il était à l'inauguration de l'échelle géante, œuvre de l'artiste italienne Paula Pivi, Jack Lang a eu la mauvaise surprise d'y trouver la ministre... Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.