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    Ça va Beaucoup Mieux
    INCENDIES : La fumée présente-t-elle des risques pour la santé ?

    Ça va Beaucoup Mieux

    Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 3:17


    Alors que les incendies se poursuivent près de Narbonne, ainsi qu'aux abords de Marseille, notre journaliste santé Agathe Landais fait le point sur les risques associés à la fumée de ces incendies. Des risques avant tout respiratoires, mais aussi cardio-vasculaires. Qui sont les profils les plus à risque ? Et comment protéger son domicile de ces fumées parfois toxiques ? Ecoutez Ça va beaucoup mieux avec Agathe Landais du 09 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    C dans l'air
    Budget : attention, ça va faire mal... - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 65:31


    C dans l'air du 8 juillet 2025 : Budget : attention, ça va faire mal...François Bayrou s'est rendu à Chartres ce mardi pour présenter la nouvelle réforme de l'administration territoriale de l'État. L'idée est d'octroyer davantage de pouvoir aux 133 préfets de l'Hexagone, leur conférant ainsi une autorité plus importante que celle des agences de l'État et des directions générales publiques, afin de simplifier l'action des pouvoirs publics, dans l'espoir de faire des économies. "Les préfets ont pour responsabilité de faire travailler ensemble ceux qui travaillent pour l'État", a expliqué le Premier ministre. "C'est une légitimité nouvelle donnée à la décentralisation. Les élus n'auront plus qu'un seul interlocuteur. C'est un moyen de rendre la dépense publique plus efficace. Cette nouvelle organisation de l'action publique est une manière de rendre plus efficace l'utilisation de l'argent", a ajouté le chef du gouvernement, qui alerte depuis des semaines sur la nécessité de redresser les finances publiques.François Bayrou a d'ailleurs insisté sur le fait que la France "est en danger mortel. Cela va demander des efforts à tout le monde", a-t-il une nouvelle fois reconnu à huit jours de dévoiler les grandes lignes du budget 2026.Après avoir consulté pendant des semaines, Bercy a rendu sa copie. Il revient désormais au Premier ministre d'effectuer les derniers arbitrages pour dégager 40 milliards d'euros d'économies. Année blanche, instauration d'une TVA sociale, baisse des dépenses de la Sécurité sociale, création d'une "taxe Zucman", rabotage des niches fiscales et crédits d'impôt… Plusieurs pistes ont déjà été lancées.Alors, que va décider François Bayrou ? Où trouver les 40 milliards d'euros ? Certains, à droite et à l'extrême droite, appellent à prendre exemple sur les politiques mises en œuvre par Javier Milei en Argentine et Giorgia Meloni en Italie. Mais quel est le bilan de la "politique de la tronçonneuse" de Javier Milei ? Comment l'Italie a-t-elle redressé ses comptes publics ? Depuis vendredi 4 juillet, "la France emprunte à des taux plus élevés que l'Italie", a glissé le ministre de l'Économie Eric Lombard afin d'alerter les Français sur le remboursement de la dette de l'Etat.LES EXPERTS :- Dominique Seux - Directeur délégué de la rédaction - Les Echos- François Ecalle - Ancien magistrat à la Cour des comptes et président du site spécialisé dans la gestion des finances publiques Fipeco - Anne de Guigné - Journaliste au service économie - Le Figaro- Thomas Porcher - Économiste, professeur à la Paris School of Business

    Les dents et dodo
    Le musée du chien

    Les dents et dodo

    Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 2:29


    Tu veux que je te raconte l'histoire du musée du chien? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!

    Invité Afrique
    Cameroun: Paul Biya «est le candidat du RDPC à l'élection présidentielle, tout le reste n'est que supputation»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 11:13


    Le chef de l'État camerounais sera-t-il candidat à la présidentielle d'octobre ? « C'est du 50/50 », a déclaré lundi sur RFI le porte-parole du gouvernement camerounais, le ministre René-Emmanuel Sadi. « Il n'y a aucun doute », le président Paul Biya sera candidat en octobre, affirme de son côté, toujours sur RFI, le porte-parole du parti au pouvoir RDPC, Jacques Fame Ndongo. Visiblement, il y a donc une divergence entre le gouvernement et le parti au pouvoir sur l'avenir politique du président camerounais. Jacques Fame Ndongo, qui est aussi ministre d'Etat et ministre de l'Enseignement supérieur, répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Nous sommes à trois mois de la présidentielle et, à la différence des autres grands partis politiques, le RDPC au pouvoir n'a toujours pas désigné son candidat. Est-ce qu'aujourd'hui vous pouvez nous en dire plus ? Jacques Fame Ndongo : Le candidat du RDPC est désigné. Article 27, alinéa trois, des statuts du parti. Que dit cet article ? Le président national du RDPC est le candidat du parti à l'élection présidentielle. Il est le candidat et je le dis de manière catégorique. Mais formellement, comment le RDPC peut-il prendre une telle décision ? Est-ce lors d'un congrès ? Est-ce lors d'un comité central ? Est-ce lors d'un bureau politique ? On n'a pas besoin d'un congrès. On n'a pas besoin d'autres choses. Nous avons nos statuts. C'est le droit positif. C'est-à-dire, l'article 27 des statuts du parti ne laisse planer aucun doute. Le président national du RDPC est le candidat du RDPC, de ce parti-là donc, à l'élection présidentielle. Donc, il y a zéro chance qu'il y ait un autre candidat du RDPC à la présidentielle d'octobre ? Nos statuts sont clairs. Pour être candidat du RDPC à l'élection présidentielle, il faut être président national de ce parti. Or, je ne sais pas qu'il y ait un autre président national du RDPC. Donc, c'est le président national du parti, Son Excellence Paul Biya, qui est le candidat. C'est dans les statuts du parti. Mais le chef de l'État a fait savoir ces derniers temps qu'il répondrait en temps voulu à l'appel du parti qui lui demande d'être candidat. Il n'a pas encore formellement répondu à cet appel… Je vous dis qu'il est candidat. Mais qu'est-ce qui vous permet de savoir qu'il est candidat alors qu'il ne s'est pas exprimé lui-même ? Parce que, ayant critiqué toutes les sources, je peux vous affirmer de manière péremptoire qu'il est le candidat du RDPC à l'élection présidentielle. Tout le reste n'est que supputation. C'est-à-dire que vous l'avez vu récemment ? Je ne peux pas répondre à cette question, mais je vous dis que j'ai procédé à toutes les vérifications possibles et réelles. L'information que je vous livre est puisée à très bonne source. Ce que tout le monde a envie de vous demander, c'est : est-ce que vous avez pu rencontrer ces dernières heures le président Paul Biya et est-ce qu'à l'issue de cette rencontre il vous a donné son accord pour que vous nous disiez ceci aujourd'hui ? Je ne le dirai pas, mais sachez qu'en 52 ans de haute administration, il m'est difficile de me jeter comme ça dans un tonneau des Danaïdes si je n'ai pas la certitude de ce que j'affirme. Je ne suis pas né de la dernière pluie, comme vous le savez bien. Donc, vous avez puisé à la meilleure source ? J'ai puisé à bonne source, c'est bien vérifié, c'est bien recoupé. Pas de doute là-dessus. Alors, formellement, par quel canal le chef de l'État va-t-il annoncer qu'il répond oui à l'appel des militants de son parti ? Oui, il le fera. Vous savez qu'il est maître du temps présidentiel. Il le fera par le canal qu'il jugera le plus opportun. Alors, ce lundi 7 juillet, sur RFI, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, René-Emmanuel Sadi, a affirmé que rien n'était décidé concernant la candidature ou non du président Biya à la présidentielle d'octobre. « C'est du 50/50 », a-t-il précisé… Oui là, c'est l'État. Moi, je parle au nom du parti. Vous êtes bien d'accord que ce sont quand même deux points de vue divergents ? C'est vous qui le dites. Et est-ce que cette divergence, ça ne crée pas une situation de cacophonie au sommet de l'État camerounais ? Il n'y a aucune cacophonie. L'un parle pour le gouvernement de la République et l'autre pour le parti au pouvoir. Il n'y a pas de parti État. Alors par ailleurs, vous êtes ministre de l'Enseignement supérieur, vous êtes donc un collègue de René-Emmanuel Sadi. Est-ce que vos propos ne risquent pas d'être perçus comme une sérieuse entorse au principe de solidarité gouvernementale ? Je parle au nom du parti, pas au nom du gouvernement. Le ministre Sadi, qui est un frère, un ami, parle au nom de l'État, au nom du gouvernement. C'est la première fois tout de même que l'on voit une divergence sérieuse de point de vue entre le parti au pouvoir et le gouvernement sur la question d'une candidature à venir du président Biya, est-ce que cela ne dénote pas un certain essoufflement, une certaine fragilité au sommet de l'État camerounais ? C'est vous qui parlez de divergence. Je ne critique personne. La solidarité gouvernementale existe bel et bien, mais moi, je m'exprime au nom du parti au pouvoir.

    On est fait pour s'entendre
    Thibault, à la recherche de son petit frère

    On est fait pour s'entendre

    Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 21:44


    REDIFF - Thibault a vécu 17 ans séparé de son demi-frère. Alors qu'il était un tout jeune garçon, du jour au lendemain, ce petit-frère lui a été arraché, laissant en lui un vide immense, impossible à combler. Jusqu'à ce que la vie lui réserve, très récemment, une surprise... Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Géopolitique
    Le sommet des BRICS : un sommet qui va dans le mur ?

    Géopolitique

    Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 3:22


    durée : 00:03:22 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Alors que Rio accueille la réunion annuelle des BRICS, on peut se demander à quoi sert un sommet censé incarner le Sud global, quand ni la Chine ni la Russie ne sont vraiment au rendez-vous. Derrière les discours sur un monde multipolaire, les BRICS peinent encore à parler d'une seule voix. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    C dans l'air
    Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeance - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 65:39


    C dans l'air du 7 juillet 2025 : Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeanceIl a mis ses menaces à exécution. Quelques semaines après sa rupture fracassante avec Donald Trump, Elon Musk lance son parti politique, officiellement baptisé, samedi 5 juin, le Parti de l'Amérique, censé bousculer le duopole républicain-démocrate. L'annonce a été faite sur X, son propre réseau social, au lendemain de la fête nationale américaine et dans un climat politique déjà tendu.Cette initiative intervient dans la foulée de l'adoption par le Congrès du Big Beautiful Bill — surnom donné par Donald Trump à sa vaste loi budgétaire. Un texte controversé, qui devrait alourdir la dette publique de plus de 3 400 milliards de dollars d'ici 2034, et qui a ravivé les tensions entre les deux milliardaires.Sans dévoiler les grandes lignes de son programme, le patron de Tesla et SpaceX a affirmé vouloir offrir une "alternative crédible" aux électeurs lassés des deux partis traditionnels. Une sortie critiquée par Donald Trump : "C'est ridicule", a-t-il lancé à des journalistes. "Un troisième parti ne fait qu'ajouter à la confusion. La troisième voie n'a jamais fonctionné". Une remarque teintée d'expérience, lui qui avait lui-même tenté de s'imposer en dehors des grands partis dans les années 1990.L'initiative d'Elon Musk pourrait toutefois rebattre les cartes à l'approche des élections de mi-mandat, en novembre 2026. Et ce alors que Donald Trump, en chute dans les sondages, fait face à une nouvelle tempête politique. Sa gestion des récentes inondations meurtrières au Texas suscite de vives critiques.Alors que l'État déplore plus de 80 morts, dont de nombreux enfants, des habitants ont dénoncé l'absence d'alertes suffisantes. La polémique rattrape l'administration Trump qui a imposé ces derniers mois des coupes budgétaires drastiques dans les services météorologiques, entraînant la suppression de centaines de postes. Sur place, les recherches se poursuivent, pour retrouver dizaines de personnes toujours portées disparues, notamment des enfants en camp d'été.Le président américain a annoncé avoir "signé une déclaration de catastrophe" et prévoit de se rendre sur place vendredi. Le gouverneur du Texas, de son côté, alerte sur de nouvelles précipitations attendues jusqu'à mardi, avec un risque accru d'inondations dans les zones déjà saturées.Quelles sont les ambitions politiques d'Elon Musk ? Peut-il être le trouble-fête des midterms de 2026 ? A-t-il un pouvoir de nuisance sur le président américain ? Jusqu'où ira leur bras de fer ? Donald Trump est-il fragilisé ?LES EXPERTS :- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - MARJORIE PAILLON - Journaliste - spécialiste de la politique américaine - AMY GREENE - Enseignante-chercheure à Sciences Po Paris, spécialiste de la vie politique et de la politique étrangère des Etats-Unis, autrice de L' Amérique face à ses fractures

    C dans l'air
    Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeance - Vos questions sms -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 6:01


    C dans l'air du 7 juillet 2025 : Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeanceIl a mis ses menaces à exécution. Quelques semaines après sa rupture fracassante avec Donald Trump, Elon Musk lance son parti politique, officiellement baptisé, samedi 5 juin, le Parti de l'Amérique, censé bousculer le duopole républicain-démocrate. L'annonce a été faite sur X, son propre réseau social, au lendemain de la fête nationale américaine et dans un climat politique déjà tendu.Cette initiative intervient dans la foulée de l'adoption par le Congrès du Big Beautiful Bill — surnom donné par Donald Trump à sa vaste loi budgétaire. Un texte controversé, qui devrait alourdir la dette publique de plus de 3 400 milliards de dollars d'ici 2034, et qui a ravivé les tensions entre les deux milliardaires.Sans dévoiler les grandes lignes de son programme, le patron de Tesla et SpaceX a affirmé vouloir offrir une "alternative crédible" aux électeurs lassés des deux partis traditionnels. Une sortie critiquée par Donald Trump : "C'est ridicule", a-t-il lancé à des journalistes. "Un troisième parti ne fait qu'ajouter à la confusion. La troisième voie n'a jamais fonctionné". Une remarque teintée d'expérience, lui qui avait lui-même tenté de s'imposer en dehors des grands partis dans les années 1990.L'initiative d'Elon Musk pourrait toutefois rebattre les cartes à l'approche des élections de mi-mandat, en novembre 2026. Et ce alors que Donald Trump, en chute dans les sondages, fait face à une nouvelle tempête politique. Sa gestion des récentes inondations meurtrières au Texas suscite de vives critiques.Alors que l'État déplore plus de 80 morts, dont de nombreux enfants, des habitants ont dénoncé l'absence d'alertes suffisantes. La polémique rattrape l'administration Trump qui a imposé ces derniers mois des coupes budgétaires drastiques dans les services météorologiques, entraînant la suppression de centaines de postes. Sur place, les recherches se poursuivent, pour retrouver dizaines de personnes toujours portées disparues, notamment des enfants en camp d'été.Le président américain a annoncé avoir "signé une déclaration de catastrophe" et prévoit de se rendre sur place vendredi. Le gouverneur du Texas, de son côté, alerte sur de nouvelles précipitations attendues jusqu'à mardi, avec un risque accru d'inondations dans les zones déjà saturées.Quelles sont les ambitions politiques d'Elon Musk ? Peut-il être le trouble-fête des midterms de 2026 ? A-t-il un pouvoir de nuisance sur le président américain ? Jusqu'où ira leur bras de fer ? Donald Trump est-il fragilisé ?LES EXPERTS :- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - MARJORIE PAILLON - Journaliste - spécialiste de la politique américaine - AMY GREENE - Enseignante-chercheure à Sciences Po Paris, spécialiste de la vie politique et de la politique étrangère des Etats-Unis, autrice de L' Amérique face à ses fractures

    Les dents et dodo
    La course de bateaux en carton

    Les dents et dodo

    Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 2:45


    Tu veux que je te raconte l'histoire de la course de bateaux en carton? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!

    Home(icides)
    L'affaire Malgouyres, meurtre dans le jardin préféré des Français (1/4) : un cambriolage qui tourne mal

    Home(icides)

    Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 20:10


    Quand deux cambrioleurs entrent par effraction sur l'immense propriété de Daniel et Françoise Malgouyres à Servian, une petite commune près de Béziers, le mari tue l'un d'eux et fait fuir l'autre. Pendant l'audition, les époux dénoncent des profiteurs, venus s'en prendre à leur argent. Mais rapidement les enquêteurs soupçonnent le propriétaire d'avoir orchestré un faux cambriolage… pour faire peur à sa femme. Un cambriolage qui tourne mal À l'époque où Daniel a acheté cet amas de cailloux avec son épouse, Françoise, il n'y avait rien. Pas un arbre, pas un cours d'eau. Il n'y avait qu'un rêve à construire. Alors ils ont travaillé dur. Ils ont fait dormir leurs enfants, Olivier et Aurélie, dans un mobile home pendant six ans — et eux avec !, le temps d'aménager ce qui n'était alors qu'une idée complètement fantasmagorique. Mari et femme ont travaillé main dans la main. Ils ont mis toutes leurs forces dans ce projet. Nous sommes le 5 octobre 2017, quand un cambriolage va mal tourner... Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire du petit Emile Production et diffusion : Bababam Originals Écriture : Tiphaine Pioger Voix : Caroline Nogueras En partenariat avec upday.  Première diffusion : 11 mars 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

    Invité Afrique
    René-Emmanuel Sadi, ministre camerounais de la Communication : «La candidature du président Biya ? C'est du 50/50»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 19:07


    Le chef de l'État camerounais, Paul Biya, sera-t-il candidat à sa succession lors de la présidentielle du mois d'octobre prochain ? « C'est du 50/50 », répond ce lundi sur RFI le ministre camerounais de la Communication, René-Emmanuel Sadi. Dans cette interview, le porte-parole du gouvernement camerounais réagit également à la démission récente de ses deux collègues, Bello Bouba Maïgari et Issa Tchiroma Bakary, et à l'annonce de leur candidature à la présidentielle à venir. « Au parti RDPC au pouvoir, les rangs sont en train de se resserrer », déclare-t-il. En ligne de Yaoundé, le ministre de la Communication et Porte-parole du gouvernement répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Les départs annoncés des ministres Bello Bouba Maigari et Issa Tchiroma Bakary de votre gouvernement, est-ce que ce n'est pas un coup dur à trois mois de l'élection présidentielle ? René-Emmanuel Sadi : Des alliés qui partent et non des moindres, effectivement, on peut forcément le regretter. Pour autant, nous ne croyons pas qu'il faille faire tout un drame de ces démissions de quelques membres du gouvernement, en l'occurrence des ministres appartenant au FSNC et à l'UNDP. Je le dis parce que le Cameroun est un pays de liberté et de démocratie et ceci est un acquis irréversible que nous devons incontestablement à l'engagement du président Paul Biya. Le RDPC, quant à lui, en prend forcément acte et le RDPC, fort de ses nombreux atouts et de son maillage territorial, reste debout et serein. C'est vrai que la concurrence sera sans doute un peu plus forte puisque nous avons perdu des alliés, mais le RDPC va s'organiser, les rangs sont en train de se resserrer et il est quasiment certain, de mon point de vue, que nous allons préserver cette position dominante que nous avons non seulement sur l'ensemble du pays, mais particulièrement dans la zone du septentrion. Enfin, pour ce qui est de la prétendue absence au sommet de l'État, il n'en est rien. Le président de la République conduit bel et bien les affaires de la République dans un style qui lui est propre, fait de discrétion et d'efficacité, sans tapage. Alors en effet, c'est Issa Tchiroma Bakary qui a parlé de l'absence de Paul Biya en tant que président de la République. Il a expliqué que, lors des réunions, le président ne s'exprimait plus, qu'il était absent et qu'il ne gouvernait plus. Qu'est-ce que vous répondez à cela ? Je pense que cette absence est une absence apparente. Cette absence apparente n'enlève rien à l'efficacité de l'homme et n'enlève rien à sa connaissance parfaite des dossiers. Il suit au quotidien tout ce qui se passe. Il est certainement l'homme le plus informé. Mais quand on a 92 ans, est-ce qu'il n'est pas normal qu'on ait quelquefois quelques absences ? Justement, à 92 ans, c'est un énorme mérite que de continuer à gouverner son pays. C'est un énorme mérite que de s'intéresser aux affaires de l'État, de suivre les dossiers. Je pense que la chance qu'on a, c'est que le président, à cet âge, a une mémoire phénoménale. C'est vrai, l'âge est là, il est important. Mais évidemment, quand on peut, malgré cet âge, continuer à suivre ses dossiers, c'est aussi un grand mérite qu'il faut saluer. Est-ce que le Secrétaire général de la Présidence Ferdinand Ngoh Ngoh n'est pas quelquefois le vrai patron du pays, quand le président n'est pas en mesure de gouverner à chaque heure de la journée ? Non, non, je ne dirai pas la même chose. Le Secrétaire général de la Présidence peut donc, en tant que collaborateur le plus proche du président de la République, le connaissant, il peut anticiper. Je peux vous dire qu'il est tenu de rendre compte et, s'il a anticipé que la décision qu'il a eu à prendre n'est pas celle qui convenait, le chef de l'État est en mesure d'apporter les corrections nécessaires et, évidemment, il s'exécute dans ce sens-là. Alors, à trois mois de la présidentielle, tous les grands partis ont investi leur candidat, ou du moins ont annoncé qui sera leur candidat. Tous sauf le RDPC au pouvoir. Pourquoi ? Tout simplement parce que le RDPC connaît les dispositions de la loi. Nous avons encore suffisamment de temps pour que le RDPC se prononce et donc nous attendons dans les meilleurs délais possibles sous la conduite de son président national, le président Paul Biya. Nous entendons nous décider dans ce sens-là. Le chef de l'État lui-même a laissé entendre que, le moment venu, il dirait à ses militants s'il est candidat ou non. Quand Paul Biya s'exprimera, est-ce que vous êtes certain qu'il dira : « Oui, je suis candidat ? » ou est-ce qu'il y a une hypothèse où il pourrait dire : « Eh bien, non, je ne serai pas candidat, ce sera quelqu'un d'autre » ? Je ne suis pas un devin, pour vous dire. Il se prononcera en son âme et conscience. Et c'est un homme d'une très grande clairvoyance, d'une très grande sagesse. Il saura dire à ses compatriotes la position qui sera la sienne. Mais pour dire les choses familièrement, à votre avis, c'est du 50/50, ou il y a plus de chances qu'il dise oui ou qu'il dise non ? C'est du 50/50. Forcément, puisqu'il l'a dit, qu'il se prononcera le moment venu. Forcément, c'est du 50/50. Donc le jeu est ouvert ! Écoutez, c'est lui qui nous a dit qu'il va se prononcer le moment venu. Ses militants, beaucoup ont fait des appels au président et c'est à lui qu'il appartient de répondre à ses militants. Et il peut y avoir une surprise ? Bon, peut-être que ça peut être une surprise dans un sens comme dans l'autre. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: dans le sud-ouest anglophone, les élites du RDPC derrière Paul Biya

    Franck Ferrand raconte...
    L'affaire des « Pentagone papers »

    Franck Ferrand raconte...

    Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 20:09


    Alors que s'emballait la guerre du Vietnam, et des contingents sans cesse plus nourris de jeunes Américains partaient au combat, un haut fonctionnaire américain décida de livrer au public des documents compromettants pour le gouvernement…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Le Nouvel Esprit Public
    « C'est Nicolas qui paie » : l'amorce d'un conflit intergénérationnel

    Le Nouvel Esprit Public

    Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 61:13


    Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 juillet 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.C'EST NICOLAS QUI PAIE » : L'AMORCE D'UN CONFLIT INTERGÉNÉRATIONNELTravail, écologie, sexualité, politique, racisme, laïcité, tant autour des questions sociales que dans le champ des valeurs, tout séparerait les jeunes de leurs aînés. Les « boomers » auraient « cramé la caisse » et la planète. Leurs successeurs seraient paresseux, instables, égoïstes, trop radicaux. L'expression « OK, boomer », apparue en 2018 et largement répandue sur les réseaux sociaux, résume à elle seule ce « clash intergénérationnel ». En cause : la montée de l'individualisme, l'accélération des changements technologiques et l'inversion opérée dans la transmission traditionnelle des savoirs. Avec le Covid, la génération Z - née entre la fin des années 1990 et le début des années 2010 – se serait sentie sacrifiée pour protéger les boomers. La crise écologique a créé des éco-anxieux qui demandent des comptes. C'est sur le front des conditions économiques que les tensions sont les plus vives : dans un État consacrant plus de budget à la retraite (379 milliards d'euros en 2023, 13,4 % du PIB, selon le rapport du Conseil d'orientation des retraites) qu'à sa jeunesse (190 milliards d'euros pour l'éducation en 2023, 6,7 % du PIB), celle-ci est contrainte de composer avec un chômage structurel, des inégalités sociales croissantes et un État de moins en moins providence et protecteur, constate Salomé Saqué, dans son livre Sois jeune et tais-toi.Alors que la CFDT comme le Medef commencent à s'inquiéter d'un risque de conflit intergénérationnel, dans son rapport d'avril, la Cour des comptes a alerté sur la nécessité de veiller à l'équité intergénérationnelle des systèmes de retraites. Compte tenu du vieillissement de la population et de la baisse de la natalité, pour éviter que les écarts ne se creusent, la Cour note l'intérêt de mieux piloter le système global avec des clauses de revoyure. Le rapport entre actifs et retraités ne cesse de se dégrader : de trois actifs pour un retraité au début des années 1980, ce ratio est passé à 2,1 actifs pour un retraité en 2000 et à 1,7 cotisant pour un retraité en 2021. Il devrait encore décliner d'ici à 2050 pour passer à 1,5 cotisant pour un retraité. Dans un tel contexte, le système de retraites par répartition apparaît de moins en moins à même de générer un niveau de pensions suffisant.Depuis quelques mois, Nicolas, trente ans, un personnage fictif devenu un mème populaire sur les réseaux sociaux incarne le « ras-le-bol fiscal » d'une partie de la jeune génération. Notamment sur X et à droite, dès qu'un article de presse relaie une information impliquant une dépense de l'État, le commentaire surgit : « C'est Nicolas qui paie. » Nicolas (prénom le plus donné aux garçons en 1995) se veut emblématique de la génération des jeunes actifs trentenaires, supposés écrasés d'impôts pour financer les croisières de « Bernard et Chantal », retraités de 70 ans, et le RSA de « Karim », jeune immigré de 25 ans, autres personnages fictifs. « Il n'y a pas de caractère inédit concernant les contestations fiscales, souligne l'économiste Erwann Tison. Ce qui est nouveau, c'est le côté générationnel ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les p't**s bateaux
    Pourquoi on dit que les cordons bleus sont bleus alors qu'ils ne sont pas bleus ?

    Les p't**s bateaux

    Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 3:33


    durée : 00:03:33 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question que pose Basile, 9 ans, à l'historien spécialiste de l'alimentation Loïc Bienassis. Étonnamment, la réponse remonte au 16ᵉ siècle, à la cour d'Henri III, avec un détour par les États-Unis... - invités : Loïc Bienassis - Loïc Bienassis : Chercheur à l'Institut Européen d'Histoire et des Cultures de l'Alimentation de l'université de Tours - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Le Feuilleton
    "Le Dahlia noir" de James Ellroy 10/10 : Dénouement

    Le Feuilleton

    Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 28:11


    durée : 00:28:11 - Le Feuilleton - "En s'approchant de Boston, l'avion fut enseveli sous les nuages et j'eus peur. Alors, je fis appel à Betty. De là où elle était, je lui demandai d'arriver sain et sauf en échange de mon amour… "

    C dans l'air
    Trump : vers un nouvel âge d'or de l'Amérique ? - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 67:02


    C dans l'air du 5 juillet 2025 : Trump : vers un nouvel âge d'or de l'Amérique ?PRÉSENTATION: MAYA LAUQUÉ« Nous entrons dans l'âge d'or de l'Amérique ». C'est avec ses mots que Donald Trump a promulgué sa loi budgétaire à l'occasion de la fête nationale. Sa « grande et belle loi », comme il l'a baptisée, est tentaculaire, et honore bon nombre de ses promesses de campagne : augmentation des dépenses militaires, financement d'une campagne d'expulsion d'ampleur de migrants, réductions d'impôts pour les plus riches. Une victoire pour Trump, « la plus grande » à ses yeux depuis le début de son second mandat.Ce n'était pourtant pas gagner d'avance. Le président a dû chercher le soutien de sénateurs républicains pour arracher le vote du texte au Congrès. L'opposition a donc échoué à l'en empêcher, dans un contexte déjà tendu sur le plan économique, avec des droits de douanes qui devraient s'appliquer dès ce mercredi pour des dizaines de pays, si aucun accord commercial n'est trouvé avec la Maison blanche.La loi prévoit en tout cas 170 milliards de dollars pour des dépenses reliées à l'immigration. 70 devraient être alloués aux opérations de la police de l'immigration (ICE), 45 à la reprise de la construction du mur entre les Etats-Unis et le Mexique. Mais le tollé vient d'un nouveau centre de rétention pour immigrés en situation irrégulière, construit au milieu des marécages de Floride. Celui-ci est entourés d'alligators pour dissuader toute évasion.Les méthodes de Donald Trump donnent des idées à certains politiques français. En Nouvelle-Aquitaine, le député UDR Bartolomé Lenoir est surnommé le « Trump de la Creuse ». Catholique et réactionnaire, il est obnubilé par l'immigration et l'extrême gauche, et n'hésite pas à propager de fausses informations.Alors, quelles seront les conséquence de cette loi budgétaire ? Jusqu'où ira Trump dans sa politique anti-immigration ? Pourquoi ses méthodes controversées s'importent-elles en France ? LES EXPERTS :Anthony BELLANGER - Éditorialiste à Franceinfo TV, spécialiste des questions internationalesLauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l'Université Versailles -Saint QuentinMARJORIE PAILLON – Journaliste, spécialiste des questions internationalesMARIE-CECILE NAVES - Directrice de recherche à l'IRIS, Spécialiste des États-Unis

    Dans La Boîte à Gants
    Jean-Pierre NICOLAS - De pilote en Groupe B à la création de la Peugeot 306 Maxi.

    Dans La Boîte à Gants

    Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 127:29


    Depuis la création de Dans La Boîte à Gants, je lis souvent des commentaires critiquant le fait que je porte des casquettes durant les épisodes. Alors, comme un pied de nez, j'ai décidé de créer une collection de casquettes. Je l'ai pensée pour ceux qui n'attendent pas qu'on leur donne leur place, pour ceux qui la prennent !Si toi aussi, en plus d'être passionné d'Automobile et de Moto, tu as choisi d'être réellement toi-même, bonne nouvelle ! Tu as trouvé ta nouvelle casquette préférée.Aucune concession n'a été faite sur la qualité, tout est en broderie ! Il est possible qu'il y ait un clin d'œil supplémentaire à une voiture dont j'ai beaucoup parlé depuis le début de ce podcast.Pour acheter ta casquette Dans La Boîte à Gants, (⚠️ série limitée) : https://shop.danslaboiteagants.fr/Merci pour votre soutien depuis le début ! ❤️ Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

    Le zoom de la rédaction
    Les dangers du soleil

    Le zoom de la rédaction

    Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 4:37


    durée : 00:04:37 - Le Zoom de France Inter - Les grandes vacances commencent, le soleil commence à être brûlant, soyez prudents, ne négligez les dangers de ses rayons ultra violets. 100 000 cancers de la peau sont diagnostiqués chaque année. En trente ans, leur nombre a triplé. Alors que c'est un cancer qu'on peut éviter en se protégeant. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    DECODEUR
    #128 Casamance : un éditeur de tissus et papiers peints bien dans son époque

    DECODEUR

    Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 50:52 Transcription Available


    Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui dans DECODEUR, on va parler tissus, papiers peints, panoramiques ou encore revêtements muraux avec l'un des grands éditeurs français du textile haut de gamme : CASAMANCE. CASAMANCE c'est le nom du groupe et ils ont ensuite 4 marques, Casamance donc, Casamance Maison, Camengo et Misia, ou plutôt devrais-je dire 5 marques puisque ISSé, la petite nouvelle dont on va justement vous parler va sortir très bientôt. Casamance fête ses 25 ans cette année, l'occasion de rencontrer Florence Vermelle la directrice artistique du groupe et de revenir sur son savoir-faire, la création des collections, mais aussi les enjeux contemporains de cette industrie passionnante !Ce que vous allez apprendre dans ce podcastla naissance d'une maison d'édition pourquoi 5 marques et leurs grandes différencesISSé la petite nouvelle qui va devenir grande quels engagements responsables quand on crée des tissus la collab' inédite pour fêter leurs 25 ans le métier de coloriste, pilier du procédé créatif les ateliers et leur manière de travailler comment on allie performance et esthétisme le goût du moment la grande différentre entre papier peint et revêtement mural comment se porte le marché du textile d'ameublement face à la crise et plein d'autres sujets passionnants of course !BONNE ECOUTESi ce podcast vous plait n'hésitez pas 

    Les dents et dodo
    Le championnat de voitures télécommandées

    Les dents et dodo

    Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 2:56


    Tu veux que je te raconte l'histoire du championnat de voitures télécommandées? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!

    Les dents et dodo
    La partie d'échecs qui dure 46 jours

    Les dents et dodo

    Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 4:01


    Tu veux que je te raconte l'histoire de la partie d'échecs qui dure 46 jours? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!

    Du grain à moudre
    Mayotte : la lutte contre l'immigration est-elle un préalable à toute reconstruction ?

    Du grain à moudre

    Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 43:24


    durée : 00:43:24 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Le projet de loi de programmation pour la refondation de Mayotte a été adopté à l'Assemblée nationale le 1er juillet, après une semaine de débats parlementaires. Alors que la commission mixte paritaire se réunira le 8 juillet prochain, quel avenir peut-on envisager pour le département de Mayotte ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Marjane Ghaem Avocate en droit des étrangers; Sylvain Grisot Urbaniste, enseignant-chercheur, ; Ambdilwahedou Soumaïla Maire de Mamoudzou

    Nota Bene
    BACKSTAGES - Comment j'ai été amené à faire des documentaires historiques ? - Avec Laureline Amanieux et Tom de l'équipe

    Nota Bene

    Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 41:30


    Mes chers camarades, bien le bonjour !Faire des vidéos d'histoire en se filmant devant sa bibliothèque, ça n'a rien à voir avec ce qu'on peut voir à la télé. Mais partir et filmer notre patrimoine français, ça m'a toujours démangé, que ce soit pour ma chaîne YouTube ou pour la télé ! Et ça tombe bien, car j'ai eu l'opportunité de faire les deux ! Très tôt sur Nota Bene, j'ai eu la possibilité de réaliser des reportages partout en France et même à l'étranger, en compagnie de Tom, qui en est le réalisateur, le cadreur, et le monteur depuis le début ! Et j'ai eu l'occasion il y a quelques années de réaliser mon premier documentaire télé "On les appelle : vikings" avec Laureline Amanieux, qui en a été la réalisatrice ! Alors à l'occasion des 10 ans de Nota Bene, je me suis dit que ce serait chouette de parler documentaires historiques avec eux, et voici l'échange que ça a donné !Bonne écoute !➤ Retrouvez Laureline : ➜ Sur Instagram : https://www.instagram.com/laurelineamanieux/➜ Sur YouTube : https://www.youtube.com/@LaurelineAmanieux/➤ Mon documentaire "On les appelle : vikings" : https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/70306➤ Les reportages…➜ Nota Bene : https://www.youtube.com/playlist?list=PLgLm3t2YjNL25ZyT9FzWE9ltrqA86R6Xs➜ Nota Bonus : https://www.youtube.com/playlist?list=PLKAhCjFBnoZ1Lif7uWVb0HILXSg60HA_T

    Invité Afrique
    Organisation du fleuve Sénégal: «Les engagements financiers doivent être honorés pour la maintenance des ouvrages»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 11:59


    La coopération entre les États, ça continue de marcher en Afrique de l'Ouest, même après la rupture entre les trois États de l'Alliance du Sahel et la Cédéao. La preuve ? L'OMVS, l'Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal, qui réunit le Sénégal, la Mauritanie, la Guinée et le Mali. Mais attention, dit le Haut-Commissaire de l'OMVS, la vraie menace sur son organisation n'est pas politique. Elle est financière. Si les sociétés nationales d'eau et d'électricité ne payent plus leurs factures, les barrages vont tomber en ruine ! En ligne de Dakar, le Mauritanien Mohamed Abdel Vetah répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : En octobre et novembre dernier, une crue exceptionnelle du fleuve Sénégal a provoqué plus de 50 000 déplacés et a inondé plus de 16 000 hectares de terres agricoles. Est-ce que c'est une fatalité ou est-ce qu'on peut y faire quelque chose ? Mohamed Abdel Veta : Les changements climatiques sont une réalité et le bassin du fleuve Sénégal n'y échappe pas. Les crues sont plus fréquentes et plus violentes. Effectivement, l'année dernière, nous avons connu l'une des pires inondations depuis un demi-siècle. Le fleuve a atteint des niveaux records. Les dégâts ont été importants, mais grâce à la coordination régionale, nous avons activé notre système d'alerte précoce. Nous avons opéré les barrages et travaillé main dans la main avec les États membres, jour après jour, pour limiter les impacts. Et ce que vous dites, c'est que, si vous n'étiez pas intervenu, cela aurait pu être pire ? Sur le fleuve Sénégal, il y a deux barrages importants, celui de Manantali et celui de Diama, et ils ont été opérés effectivement pour réduire l'impact de ces crues. Et notre rôle, c'est la préparation de notre plan, de notre système d'alerte précoce qui est là pour dire aux populations : attention, cette zone est inondable, il ne faut pas cultiver, il ne faut pas y habiter, ou attention, cette saison des pluies sera une saison particulièrement humide. Et quelles sont vos prévisions hydrologiques pour le fleuve Sénégal pour ce deuxième semestre 2025 ? Alors tout porte à croire qu'elles seront excédentaires sur le haut bassin, c'est-à-dire dans la zone Guinée et Mali. Et normale ou plutôt normale dans le reste du bassin. Et quand je dis excédentaire dans le haut bassin, cela veut dire effectivement qu'il y a des risques d'inondation parce qu'avec le temps, c'est la pluie qui vient dans le haut bassin qui vient se propager dans le reste du bassin. L'OMVS est un organisme de bassin transfrontalier qui réunit quatre pays, la Mauritanie dont vous êtes vous-même un ressortissant, le Sénégal, le Mali et la Guinée. Je vois que vous veillez à l'équilibre entre les quatre pays de votre organisation, mais est-ce que la rupture récente entre le Mali et la Cédéao ne complique pas les relations entre vos quatre pays ? L'OMVS, ce n'est pas la Cédéao. Et la bonne question, c'est plutôt : quelle est notre contribution pour que ce qui a fonctionné pendant 50 ans, 50 ans de dialogue, 50 ans de solutions qui ont bénéficié à nos populations, continue à fonctionner et à bénéficier à nos populations ? Notre conviction est que la coopération n'est pas un luxe. C'est une nécessité, surtout aujourd'hui face au changement climatique. Et l'eau, la sécurité alimentaire, aucun pays ne peut relever ces défis seul. Je crois qu'il y a trois priorités pour que cette coopération non seulement tienne, mais s'amplifie. La première, c'est de saisir l'opportunité du changement climatique pour trouver des financements pour pousser à l'innovation. La deuxième, c'est de maintenir un haut niveau de dialogue et d'engagement politique. Et c'est la force de l'OMVS à travers la conférence des chefs d'États et de gouvernements, c'est que le dialogue a toujours été maintenu entre nos États. Et la troisième, c'est de construire l'avenir avec les jeunes. Ce sont eux les vrais bâtisseurs de la résilience. Et au fond, c'est cela la diplomatie du concret, des projets visibles, partagés, utiles pour ces jeunes. Et nous y croyons et nous le faisons avec force. À l'heure de la rupture entre la Cédéao et les trois États de l'AES, est-ce que vous ne craignez pas tout de même que chacun des quatre États de l'OMVS ne soient tentés de se replier sur lui-même ? Alors, ce que je peux vous dire, c'est que nous avons lancé notre dernier programme d'adduction en eau potable dans les zones rurales qui ont été longtemps délaissées au profit des grands transferts vers les grandes villes comme Nouakchott, comme Dakar et comme d'autres grandes villes. Ces programmes vont permettre aux villageois autour du fleuve d'avoir accès à une eau potable. Et quand nous avons lancé ce programme, et bien nous avons vu l'engagement des quatre États de l'organisation pour ces projets. Et je vous parle de projets, là, qui ont été lancés dans les derniers mois. L'une des grandes vocations de l'OMVS, c'est de vendre de l'eau et de l'électricité aux grandes sociétés nationales. Mais est-ce que ces sociétés s'acquittent convenablement de leurs obligations financières ? Les ouvrages communs de l'OMVS, qui font notre fierté et symbolisent notre résilience, ces barrages qui éclairent nos foyers, irriguent nos terres, donnent à boire à nos populations et nous protègent face aux aléas climatiques, ces ouvrages fonctionnent parce que, depuis la création de l'OMVS, depuis plus d'un demi-siècle, chacun de nos pays a joué sa partition. Mais je dois le dire avec clarté, sans paiement régulier des obligations financières, ces infrastructures sont en péril. Ce que nos prédécesseurs ont construit avec courage et vision sera en péril. Je sais que la conjoncture est parfois difficile. Je ne porte aucun jugement, mais je garde une conviction. L'histoire de l'OMVS a montré que, chaque fois que nos pays se sont réunis autour de problématiques communes, des solutions visionnaires ont été trouvées. Donc, il faut qu'en Mauritanie, au Sénégal, au Mali, en Guinée, les sociétés nationales des eaux, les sociétés nationales d'électricité payent leurs factures. C'est ça ? Oui. Il faut que ces engagements financiers soient honorés parce que, sans ces engagements, la maintenance des ouvrages est une difficulté majeure et la continuité de service sera un risque. À lire aussiMali : inauguration du barrage de Gouina, sur le fleuve Sénégal   À lire aussiSénégal: le barrage de Diama, un exemple de gestion partagée de l'eau  

    Les Grosses Têtes
    MEILLEUR DE LA SAISON - Quand Adil Rami donne une bonne réponse

    Les Grosses Têtes

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 6:38


    L'ancien footballeur n'a pas vraiment été recruté pour sa culture générale. Alors quand il donne une bonne réponse, c'est la fête dans le studio ! Fous rires, réponses inattendues, nouvelles rencontres, cet été redécouvrez les meilleurs moments de cette saison 2024-2025 ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Choses à Savoir
    Pourquoi parle-t-on de “contre-culture” ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 2:31


    La contre-culture désigne un ensemble de mouvements, d'idées et de pratiques qui s'opposent aux normes dominantes d'une société à un moment donné. Elle ne se contente pas de critiquer l'ordre établi : elle cherche souvent à le subvertir, le transformer, voire le rejeter radicalement, que ce soit sur le plan politique, social, artistique ou moral.Le terme devient particulièrement célèbre dans les années 1960-1970, aux États-Unis puis en Europe, avec l'émergence des mouvements hippies, pacifistes, féministes, écologistes, anti-racistes et anti-capitalistes. Ces mouvements rejettent la guerre du Vietnam, la société de consommation, l'autorité patriarcale, le racisme, la répression sexuelle et les institutions traditionnelles.La contre-culture n'est pas un mouvement unique, mais un patchwork de rébellions :Dans la musique : le rock psychédélique, le punk ou plus tard le rap contestataire.Dans les mœurs : la libération sexuelle, l'usage de drogues psychédéliques, les communautés alternatives.Dans les idées : la critique du capitalisme, du militarisme, du patriarcat, ou encore la recherche de spiritualités alternatives (bouddhisme, chamanisme…).Elle s'oppose donc à la culture dominante, celle qui est véhiculée par les institutions, les médias, l'école, la religion ou la publicité. Alors que la culture dominante valorise souvent l'ordre, la productivité, la famille traditionnelle ou la réussite économique, la contre-culture valorise l'autonomie, la créativité, la liberté individuelle et la remise en question des normes.Mais il est important de noter que la contre-culture n'est pas toujours révolutionnaire. Elle peut être récupérée ou intégrée par le système dominant. Par exemple, de nombreuses idées issues de la contre-culture des années 60 (écologie, liberté sexuelle, égalité des genres) ont fini par influencer la société dans son ensemble… ou être commercialisées. Les jeans, les tatouages, ou la musique rock — autrefois symboles de rébellion — sont aujourd'hui devenus banals.Aujourd'hui, la notion de contre-culture s'applique encore : certains voient dans les mouvements comme Extinction Rebellion, les hackers militants, les communautés queer radicales, ou même certaines formes de culture internet (mèmes, subcultures en ligne, critiques du capitalisme numérique) des formes contemporaines de contre-culture.En résumé, la contre-culture est une contestation de la norme par la création de nouveaux modes de vie et de pensée. Elle agit comme un miroir critique de la société, et pousse à réinterroger ce que l'on considère comme "normal". Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Franceinfo junior
    franceinfo junior. Dans les coulisses du Tour de France

    Franceinfo junior

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 10:17


    durée : 00:10:17 - franceinfo junior - Alors que les coureurs du Tour de France s'élanceront samedi pour leur première étape, les enfants de franceinfo junior posent leurs questions à Fanny Lechevestrier, journaliste au service des sports de Radio France qui couvrira la course pour franceinfo, radio officielle du Tour. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

    Les dents et dodo
    Le combat de boxe de robots

    Les dents et dodo

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 2:52


    Tu veux que je te raconte l'histoire du combat de boxe de robots? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!

    La Story
    A Prato, comment la Chine a infiltré le textile italien

    La Story

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 20:44


    Alors que la législation en France tente d'encadrer la déferlante de la fast fashion venue de Chine, elle s'est implantée à Prato, près de Florence, en important parfois ses méthodes. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invitée Anaïs Moutot nous font découvrir l'envers du textile bon marché « made in Italy ».Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juillet 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invitée : Anais Moutot (journaliste aux « Echos Week-end »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Michele Borzoni pour « Les Echos Week-End ». Sons : France 24, Public Sénat, TF1, « Germinal » (1993), France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Home(icides)
    Le meurtre de Karine Esquivillon : quelle était vraiment la vie de Karine ? (4/4)

    Home(icides)

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 26:56


    Redécouvrez l'histoire d'un terrible mensonge. Karine Esquivillon, 54 ans, s'est évaporée le 27 mars 2023 à Maché en Vendée, abandonnant toute sa famille. Son mari, Michel, donne l'alerte. Alors, que s'est-il passé ? Dans quelles circonstances a-t-elle disparu ? Et surtout, son mari aurait-il pu avoir un rôle ? Quelle était vraiment la vie de Karine ? Depuis qu'il a avoué avoir tué son épouse, Michel Pialle est en prison, en détention provisoire. L'enquête sur la mort de Karine Esquivillon se poursuit. Les gendarmes veulent comprendre si la mère de famille est morte accidentellement comme l'affirme le mis en cause ou bien s'il s'agit d'un meurtre avec préméditation. Karine avait-elle découvert de nouvelles escroqueries de Michel Pialle ? Quelle vie menait-elle réellement avec cet homme ? Dans ce dernier épisode, Adelaïde Esquivillon, la soeur de Karine, répond aux questions de Caroline Nogueras. Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Ecriture et voix : Caroline Nogueras Production et diffusion : Bababam Originals Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

    Invité Afrique
    Volkan Isiksi (Turquie): «On veut subvenir aux besoins de nos amis africains qui nous font la demande»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 11:32


    « La Turquie n'est pas en rivalité avec la France en Afrique », affirme le responsable de la diplomatie turque pour l'Afrique. Depuis vingt-cinq ans, la Turquie est en pleine expansion sur le continent africain. On le voit avec ses opérateurs économiques et avec le succès de ses drones sur les champs de bataille. Mais loin de vouloir prendre sa place, la Turquie veut renforcer sa coopération avec la France. C'est ce qu'affirme Volkan Isiksi, directeur général pour l'Afrique au ministère turc des Affaires étrangères. De passage à Paris, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Volkan Isikci, bonjour, Volkan Isikci : bonjour RFI : En 2007, la France de Nicolas Sarkozy et l'Allemagne d'Angela Merkel ont dit non à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Est-ce que c'est l'une des raisons pour lesquelles votre pays s'est tourné vers le continent africain avec une politique ambitieuse ? En fait, notre politique ambitieuse vers les autres continents, notamment l'Afrique, ça remonte bien avant 2007, donc en 1998. A partir de 2003, les relations de la Turquie avec l'Union africaine, ça s'est développé et on a essayé d'être présent sur le continent africain avec l'ouverture des ambassades. En l'an 2002, on avait douze ambassades. Aujourd'hui, on en a 44 et notre vision est de pouvoir augmenter le nombre de ces ambassades et de pouvoir les augmenter jusqu'à 50 dans les prochaines années, avec les possibilités que l'on va avoir. Tout de même, Monsieur le Directeur général, on remarque que, en 2007 donc, il y a ce refus de la France et de l'Allemagne de faire entrer la Turquie dans l'Union européenne. Et un an plus tard, en 2008, il y a ce premier sommet Turquie-Afrique. Est-ce qu'il n'y a pas un lien de cause à effet ? Non, c'est une coïncidence. Le choix de 2008, c'est indépendamment de la décision que vous avez mentionnée. C'était une feuille de route que l'on avait déjà établie. Donc, en 2008, on a organisé le premier sommet Turquie-Afrique, c'était en Turquie. En 2014, le deuxième, c'était en Guinée équatoriale. En 2021, on a organisé le troisième en Turquie et le quatrième, on va l'organiser l'année prochaine en Libye. Le choix a été ratifié par les organismes concernés de l'Union africaine. Et par les autorités libyennes de Tripoli, puisque ce sera à Tripoli ? Exactement. Depuis 20 ans, Monsieur le Directeur général, le volume d'échanges de votre pays avec l'Afrique a fait un bond très important. Il est passé de 5 milliards à 40 milliards de dollars par an. Qu'est-ce que vous apportez de différent par rapport à l'Europe et la Chine ? Avec nos amis africains, la période de Covid a eu des effets positifs pour que ce volume d'échanges augmente. Comme vous savez, à ce moment-là, il y avait des restrictions du point de vue des visas, du point de vue des vols. Nous, on n'a jamais essayé de rendre la vie difficile à nos amis africains qui voulaient visiter la Turquie. Notre régime de visas était flexible. En plus, les vols de Turkish Airlines n'ont jamais cessé à cette période-là. Nos amis africains, au lieu des destinations classiques qu'ils avaient pour voyager, faire du commerce en Europe ou bien en Asie, ils ont découvert un peu la Turquie. Et dans plusieurs pays africains, ils mentionnent que la continuité, la qualité, le prix et le suivi des produits turcs qu'ils se procurent en Turquie sont nettement plus concurrents que ceux des autres régions du monde. Ils nous disent : « Vous avez des produits de qualité européenne au prix de produits chinois. Alors en effet, certains disent en Afrique que les produits turcs sont moins chers que les produits européens et de meilleure qualité que les produits chinois. Quels produits par exemple ? De tout. Des dentifrices aux tissus, aux chaussures, aux meubles. Surtout dans le secteur de la construction. La plupart du matériel est importé de la Turquie. Évidemment, au lieu d'importer de très loin comme la Chine, le matériel qui est commandé de la Turquie, il parvient à peu près dans un délai d'un mois, un mois et demi, dans le pays concerné. Quand il faut construire un centre de conférence très vite pour un sommet de dans six mois, les Turcs sont là. C'est ça ? Voilà. Donc je ne vais pas citer le pays, mais dans un pays africain, le leader qui avait demandé à une compagnie turque de pouvoir organiser une grande conférence internationale avec la participation des chefs d'Etats, il lui a demandé s'il pouvait construire un centre de conférence en six mois. La compagnie concernée, qui est très active en Afrique, lui a fait la proposition de pouvoir le faire avec un délai de six mois. Evidemment, le prix était très abordable pour ça. La compagnie lui a demandé quelques faveurs : pouvoir amener 4000 ouvriers de Turquie avec six navires et tout le matériel qui serait nécessaire. Donc la commande a été passée au mois de janvier et les portes de cette conférence ont été ouvertes pour accueillir les chefs d'Etat mi-juin. Et donc c'est un succès qui a été réalisé en six mois. Et cet exemple que vous donnez sur six mois, je crois que c'est arrivé dans un pays d'Afrique centrale ? Oui, en Afrique centrale. L'un de vos produits phares en Afrique, Volkan Isikci, c'est le drone de la société Bayraktar. Il a fait ses preuves à Tripoli en 2019, puis dans la guerre Éthiopie -Tigré en 2021. Et du coup, beaucoup de pays africains vous achètent ce produit, comme le Mali, le Tchad. Est-ce que certains pays africains n'ont pas renoncé à la protection des avions de chasse classiques au bénéfice de ces drones, parce que c'est moins cher et parce qu'il y a moins d'abandon de souveraineté ? Je pense qu'il faut voir cette approche dans un contexte technologique et de maniabilité parce que, pour l'utilisation des avions de chasse, il faut déjà des terrains, des pistes d'atterrissage qui sont adéquats. Et ces drones ou ces nouveaux engins depuis quelque temps sont beaucoup plus abordables, maniables et efficaces que les avions de chasse. Que les Mirage 2000 par exemple ? Les avions de chasse demandent beaucoup de dépenses évidemment pour l'achat, pour la maintenance ou le personnel. Les drones, évidemment, ce sont des sociétés privées qui en font, mais l'autorisation d'exportation émane de notre ministère de la Défense. Il faut d'abord un feu vert d'Ankara ? Voilà. Et le suivi de l'utilisation de ces engins est régulé par le ministère de la Défense et d'autres institutions qui travaillent dans ce domaine-là. Est ce qu'on peut parler, de la part de la Turquie en Afrique, d'une diplomatie du drone ? Mais la question du drone se passe seulement dans quelques pays africains pour protéger leur intégrité territoriale. Ce sont des demandes conjoncturelles qui font que la demande des pays est acceptée par la Turquie. Évidemment, les formations que l'on offre, avec un prix abordable et la continuité et la confiance qu'ils ont en la Turquie, tout cela fait que beaucoup plus de pays maintenant recourent à notre technologie dans ce domaine-là. Mais quand vos drones sont utilisés pour frapper des populations civiles, je pense au Mali par exemple, est ce que vous ne craignez pas que cela ternisse l'image de la Turquie ? Évidemment, comme je vous l'ai dit, pour les ventes et l'exportation, il y a une régulation très restreinte. On fait le suivi de ces engins-là dans ces pays-là. Donc, une mauvaise utilisation de vos drones peut conduire à la rupture de la livraison de ces drones ? Voilà, parce que c'est régulé internationalement. Nous, on ne voudrait pas nuire à l'image de la Turquie dans ce sens-là, on ne voudrait pas que ça arrive. Est ce qu'il vous est arrivé, ces dernières années, de dire à un pays africain client de vos drones : « Là, vous avez utilisé ces drones contre des populations civiles, nous ne sommes pas d'accord et nous arrêtons la livraison » ? Après, on n'a pas dit. Mais avant, on dit toujours : « Il ne faut pas les utiliser de façon inappropriée, sinon ça va être la rupture », parce qu'il y a un contrôle continu dans ce sens-là ». Et c'est arrivé qu'il y ait une rupture ? Non, ça n'est pas arrivé, mais on suit de très près pour que ce genre d'évènement n'arrive pas dans ce sens-là. En 2019, la Turquie a soutenu militairement le gouvernement Sarraj à Tripoli contre l'offensive du maréchal Haftar sur la capitale libyenne. Pourquoi avez-vous fait ce choix ? Monsieur Sarraj, c'était le leader de la Libye à ce moment-là, qui était reconnu par les Nations Unies. Du coup, quand il y a eu les actes émanant de l'Est de la Libye vers Tripoli, il a écrit une lettre de demande d'aide d'urgence aux leaders internationaux de cinq pays, y compris la France et la Turquie. Et la Turquie a été le seul pays à pouvoir répondre positivement à son appel à l'aide. Donc notre coopération avec le gouvernement de Tripoli, ça a commencé avec ces démarches de Monsieur Sarraj à ce moment-là et ça continue jusqu'à présent. Et maintenant, on voit que la Libye est en cours de pouvoir solidifier sa démocratie, disons sa gouvernance, avec l'aide qu'on leur a fournie pour que le pays ne tombe pas dans le chaos. Et justement, vous continuez de soutenir Tripoli contre Benghazi ? Le gouvernement Dbeibah contre le maréchal Haftar et ses fils ? Ou est-ce que vous essayez de réconcilier les deux camps ? Non, il n'y a pas de pour et contre. Nous avons des relations avec l'Est aussi. On a ouvert notre Consulat général à Benghazi par exemple. On a des contacts avec Monsieur Haftar et les dirigeants du côté Est. Donc on soutient toutes les parties pour qu'il y ait une entente entre eux pour stabiliser politiquement leur pays. Et je crois que Turkish Airlines atterrit maintenant à Benghazi ? Voilà ! Depuis la chute du régime Assad en Syrie, au mois de décembre dernier, la Russie redéploie ses bateaux et ses avions gros-porteurs vers l'Est de la Libye, notamment Tobrouk et Benghazi. Est-ce que cela vous préoccupe ? Non, pas du tout. Nous, on a toujours des contacts avec la Russie concernant les questions de sécurité et de défense, concernant différentes régions du monde. Donc ça ne nous préoccupe pas. Est que c'est pour apaiser la situation politique au Congo-Brazzaville… Il y a 5 ans, vous avez accepté de soigner dans votre pays, en Turquie, l'opposant Jean-Marie Michel Mokoko, qui est donc sorti de sa prison congolaise pendant quelques semaines et qui y est retourné depuis. Voilà 9 ans quand même que cet opposant politique est détenu à Brazzaville. Qu'est-ce que vous pensez de cette situation ? Pour cela, il faut voir la qualité du plateau technique sanitaire que la Turquie offre aux différents demandeurs dans ce sens-là. Les pays africains font beaucoup de demandes pour pouvoir se soigner sur le sol turc. Donc, il faut considérer cette approche du gouvernement du Congo-Brazzaville pour pouvoir soigner l'opposant. La relation qui existe entre les chefs d'Etat et la confiance qui règne entre eux… Je pense que c'est le résultat de ces approches-là qui a fait que cet opposant a pu retrouver la santé et retourner après dans son pays. Donc, c'est le témoignage d'une relation de confiance entre les présidents Sassou-Nguesso et Erdogan ? Voila. Dans votre esprit, c'est plus une approche humanitaire qu'une approche politique ? Humanitaire. Il faut voir ça sous l'optique humanitaire. Autre séjour médical très remarqué dans votre pays, la Turquie, celui évidemment de l'ancien président Alpha Condé de Guinée Conakry. Est-ce à dire que vous pourriez jouer un rôle de facilitateur aujourd'hui entre le général Doumbouya, qui est venu d'ailleurs à Ankara pour la dernière investiture du président Erdogan il y a deux ans, et les opposants guinéens en exil ? Vous savez, la médiation ne se fait pas parce que vous avez le désir d'être médiateur. Ça doit venir des parties concernées. Donc une demande n'a pas été mentionnée. Donc du coup, ça n'a pas été vu dans ce sens-là. Il n'y a pas de médiation turque sur la Guinée Conakry ? Non. On dit souvent, Volkan Isikci, qu'il y a une rivalité entre la Turquie et la France en Afrique. Est-ce que c'est vrai ou pas ? Pas du tout ! Parce que le mot rivalité, c'est quelque chose de négatif. La concurrence, ça existe parce que, dans le monde, les intérêts, ça existe. Avec la France, je pense que le mot concurrence est plus adapté, mais il faut enrichir ça avec une coopération, une collaboration. Avec les relations historiques que la France a avec le continent africain, avec l'expérience de plus en plus aiguë des acteurs turcs sur le continent, je pense qu'avec ces atouts, les deux pays peuvent servir davantage pour pouvoir subvenir aux besoins des pays concernés, pour être à côté de ceux qui en ont besoin. Et dans le cadre d'un partenariat entre les deux pays, quels sont les atouts de la France en Afrique sur lesquels vous, les Turcs, vous aimeriez vous appuyer ? Les deux pays ont des expériences différentes. Évidemment, la connaissance du terrain, la présence linguistique peuvent apporter beaucoup de choses de la part de la France. La Turquie, avec son expérience de plus en plus aiguë depuis les années 2000, peut servir davantage pour pouvoir réaliser de grands investissements dans ce sens. Moi j'aimerais bien mentionner que la zone de confort n'existe pas. Il faut prendre des risques. Il faut être sur le terrain avec un partenaire de confiance. Je pense qu'on peut faire beaucoup de choses. On croit beaucoup à ça et, quel que soit le pays, on n'a jamais essayé de destituer une entité, un pays du continent africain. Vous n'avez jamais voulu chasser la France de certains pays africains ? Pas du tout, pas du tout. On n'a pas cette position. On veut seulement développer davantage et subvenir aux besoins de nos amis africains qui nous font la demande. Vous n'êtes pas dans une démarche de rivalité avec la France, comme peut l'être la Russie par exemple ? Pas du tout, pas du tout. La question de la Russie, je ne suis pas en mesure d'y répondre, mais nous, on ne voit pas la France en tant que rivale sur le continent africain. Volkan Isikci, monsieur le Directeur général, merci. Merci beaucoup   À lire aussiEntre l'Afrique et la Turquie, un partenariat qui s'enracine À lire aussiLa Turquie s'apprête à débuter sa mission d'exploration pétrolière en Somalie

    Folie Douce
    [PETITE DOUCEUR] Baptiste Beaulieu sur l'état de l'hôpital public

    Folie Douce

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 9:20


    Régulièrement, l'équipe de Folie Douce partage avec vous les extraits les plus marquants des épisodes du podcast. Aujourd'hui, on vous propose de réécouter l'auteur et médecin Baptiste Beaulieu, qui rend hommage aux aide-soignant·es de l'hôpital public, et évoque la souffrance des patient·es et des personnels soignants.Retrouvez cet épisode en entier sur toutes vos plateformes de podcast.Médecin généraliste et écrivain, Baptiste Beaulieu est connu sur les réseaux sociaux pour son engagement et ses anecdotes sur son quotidien et l'univers hospitalier.Au micro de Lauren Bastide il évoque la souffrance des soignants, la parentalité et son dernier roman Tous les silences ne font pas le même bruit dans lequel il analyse l'impact de l'homophobie sur sa vie. Il y fait le lien avec les violences sexuelles vécues lorsqu'il avait dix ans et le fait que les personnes LGBTQIA+ aient huit fois plus de risques de subir des agressions sexuelles dans l'enfance.Lui dont la parole est souvent tournée vers les autres et le politique, évoque ses troubles alimentaires, des "kilos de soins" qu'il dit devoir à un système de santé détruit par les politiques publiques. Cette dégradation du service de santé en France dont témoigne Baptiste Beaulieu met la santé mentale des soignants à rude épreuve. Les sous-effectifs, l'allongement des délais de prise en charge, font retomber sur eux la culpabilité de ne pouvoir apporter autant de soin que nécessaire aux patients et les mènent à une perte de sens de leur métier.Si être soignant lui a "fait le cuir" et l'a peu à peu coupé de ses émotions, c'est voir son enfant grandir qui lui rappelle le mieux à quel point cela vaut la peine d'être humain et lui a permis de retrouver accès à ses larmes.Cet épisode de Folie Douce évoque le viol, la psychiatrie, l'homophobie et la pédocriminalité.Crédit photo : Lucile Boiron

    Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
    Punchline - Ukraine : alors que la Russie «ne renoncera pas à ses objectifs», Trump et Poutine se sont entretenus ce jeudi

    Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

    Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 10:48


    Invités :  - Eric Naulleau, journaliste et écrivain  - Gauthier Le Bret, journaliste politique à CNews - Catherine Nay, éditorialiste politique d'Europe 1  - Louis de Raguenel, journaliste politique d'Europe 1 - Jean-Sébastien Ferjou, journaliste - Michel Aubouin, ancien préfet  - Nicolas Baverez, historien et essayiste  Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Easy French: Learn French through authentic conversations | Conversations authentiques pour apprendre le français

    En France, on valorise le confort et la stabilité. Mais est-ce vraiment ce qu'on veut ? Dans cet épisode, on parle de travail, de reconversion et de ce moment où l'on se demande : suis-je aligné·e avec ce que je fais ? Entre désirs profonds, peurs du vide et poids du regard des autres, on explore ce qui nous empêche parfois de changer… et ce qui pourrait, peut-être, nous rendre plus vivants. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/df71aon3hyh9r9eq4jlaw) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/df71aon3hyh9r9eq4jlaw/easyfrenchpodcast151_transcript.html?rlkey=cf8bdglgbu5k8itifdky1pmg9&st=csuycx47&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/hljtrol4h97vaq5e67m1p/easyfrenchpodcast151_transcript.pdf?rlkey=wgnwscpcbrgmeyhs62mbehimc&st=9xk1zye0&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/r5aeftdosuiua9ozk4ksb/easyfrenchpodcast151_vocab.txt?rlkey=2orc7w5h4wdx7h1xy16h9mj74&st=jrsfgeuh&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/579320tyztmffqqlwz7at/easyfrenchpodcast151_vocab-semicolon.txt?rlkey=ugbdliligtcktg2ceqldkw1fz&st=9gtv725y&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes D'après une histoire vraie (https://www.amazon.fr/Dapr%C3%A8s-histoire-vraie-Delphine-Vigan/dp/2253068632/ref=asc_df_2253068632/?tag=googshopfr-21&linkCode=df0&hvadid=701435855454&hvpos=&hvnetw=g&hvrand=6279751800155859311&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=&hvdev=c&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=9056136&hvtargid=pla-565556881438&psc=1&mcid=e13b3819c7be34599df824aa3419d2e1&tag=googshopfr-21&linkCode=df0&hvadid=701435855454&hvpos=&hvnetw=g&hvrand=6279751800155859311&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=&hvdev=c&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=9056136&hvtargid=pla-565556881438&psc=1&hvocijid=6279751800155859311-2253068632-&hvexpln=0) de Delphine de Vigan Petit Pays (https://www.amazon.fr/Petit-Pays-Ga%C3%ABl-Faye/dp/2253070440/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=12NK859J8FMJP&dib=eyJ2IjoiMSJ9.MAg2M3tnoXSn383kMcO7-Gl5DvCltw_Trkkf4RSAOoKfGm_lJf58Zakqfly8s4BMi2JDs-tVDIKmRvFO_zODVrTbhyPfkQVZ8hDY5QsLN8S0SNXuPjmjV8CO0sdYwRyP8kpvnTHUsBmLVdBLjf96nTiIvsmSXPN9pRAqjjPFEkXIcpertiPyvK_tKs4nUjWGC1HKKhgCVtXADhD4PM76NhtDBmMhQX6-EfS_01S4LPc.i3DWCPy5VbBlpI_-dmMBGIcwmJ2wUI02Y6THsq_LOXQ&dib_tag=se&keywords=petit+pays&qid=1751444500&s=books&sprefix=petit+pays%2Cstripbooks%2C164&sr=1-1) de Gaël Faye Transcript Judith: [0:17] Bonjour Hélène. Hélène: [0:19] Salut Judith, salut tout le monde. Judith: [0:22] Comment ça va aujourd'hui ? Hélène: [0:23] Ça va bien et toi ? Judith: [0:25] Ça va, ça va. Aujourd'hui, j'aimerais qu'on rentre directement dans le vif du sujet qui m'a été inspirée par le message que l'on a reçu de la part de Francesco. Hélène: [0:37] Alors, on va commencer par écouter ce message. Francesco: [0:40] Salut Hélène, salut Judith. Tout d'abord, merci pour votre travail. Cela m'a beaucoup aidé à progresser en français. Ensuite, je voudrais partager mon avis sur votre récent podcast sur l'échec que j'ai trouvé très intéressant. Dernièrement, je me suis rendu compte à quel point les idées reçues des autres peuvent fausser notre regard sur les mots et sur nous-mêmes. Je suis au chômage depuis deux ans et quand j'ai perdu mon travail, tout le monde a exprimé une sorte de deuil pour moi, parce qu'il était bien renuméré, avec beaucoup de bonus, etc. Et ça me fait un peu réfléchir à quel point les gens sont apparemment obsédés par l'argent, par la stabilité économique. Pourtant, la plupart poursuivent des valeurs qui ne sont pas vraiment les leurs, comme acheter une maison, avoir un bon travail, etc. Et évidemment, c'est possible que, quand on échoue, on devrait d'abord réfléchir si c'était vraiment un échec ou juste une tentative de se découvrir soi-même et de chercher ce qu'on veut vraiment de la vie. A priori, de ce que les gens vont chercher habituellement. Merci pour votre attention. Hélène: [2:02] Merci pour ce message, Francesco. Très sage, je pense. On voit que tu as pris beaucoup de recul sur ce qui t'est arrivé. Et c'est vrai que ça pose une question un peu taboue, un peu difficile à explorer parce que ça remet beaucoup de choses en question. Et donc, je suis très contente que ce message t'ait donné l'idée qu'on parle de ça aujourd'hui. Judith: [2:26] Eh bien, du coup, c'est parti. Et encore merci Francesco pour ton message. Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    La Prohibition - 6/6 et fin

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 15:08


    Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l'alcool, protéger les familles, ramener l'ordre moral.On veut guérir l'Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n'a rien d'une convalescence. C'est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d'hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d'alcool deviennent illégaux sur l'ensemble du territoire américain. Officiellement, l'alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l'Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L'État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu'il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n'est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l'argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n'est pas seulement l'histoire des gangsters. C'est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d'une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C'est l'histoire d'une croisade morale détournée par l'argent. D'un État qui perd la main.D'un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l'illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l'autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l'Amérique. Elle l'a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d'aussi ancré que l'alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd'hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n'est pas seulement une période de l'histoire américaine.C'est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s'attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    C dans l'air
    Trump lâche l'Ukraine, Poutine avance ses pions - L'intégrale -

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 67:45


    C dans l'air du 2 juillet 2025 - Trump lâche l'Ukraine, Poutine avance ses pions - Alors que Donald Trump reste, depuis des semaines, ambivalent sur l'avenir de l'aide militaire à l'Ukraine, la Maison-Blanche a annoncé mardi avoir suspendu la livraison de certaines armes à Kiev. Une décision motivée, selon plusieurs médias américains, par les inquiétudes du Pentagone concernant le niveau des stocks de munitions de l'armée américaine.Parmi les équipements concernés figurent les systèmes de défense aérienne Patriot, l'artillerie de précision et les missiles Hellfire. Cette décision intervient alors que la Russie intensifie ses frappes. Rien que le week-end dernier, plus de 530 drones et missiles se sont abattus sur le territoire ukrainien. La défense antiaérienne en a intercepté la moitié. Les autres ont visé plusieurs villes, dont Kiev.L'Ukraine a déclaré mercredi ne pas avoir reçu de notification officielle de la part des États-Unis. "Nous sommes en train de clarifier la situation", a précisé Dmytro Lytvyne, conseiller de Volodymyr Zelensky. Il a assuré que les discussions avec Washington se poursuivent "à tous les niveaux".Le Kremlin, lui, a salué cette annonce. "Moins il y a d'armes livrées à l'Ukraine, plus proche est la fin de l'opération militaire spéciale", a déclaré Dmitri Peskov, porte-parole de Vladimir Poutine.Sur un autre front, Donald Trump a affirmé mardi sur son réseau social que l'État d'Israël a accepté un cessez-le-feu de 60 jours dans la bande de Gaza. Il espère "travailler avec toutes les parties pour mettre fin à la guerre" et met la pression sur le Hamas pour qu'il accepte cet accord, déclarant : "La situation ne s'améliorera pas — ELLE NE FERA QU'EMPIRER". Cette déclaration intervient alors que le ministre israélien des Affaires stratégiques, Ron Dermer, était en visite à Washington, en amont de la venue du Premier ministre Benyamin Netanyahou prévue lundi. Trump a aussi mentionné une rencontre bilatérale imminente avec l'Iran, sans en dévoiler les détails. Pendant ce temps, les interrogations persistent sur l'impact réel des récentes frappes américaines contre les installations nucléaires iraniennes.Selon le Washington Post, des échanges interceptés entre responsables iraniens laisseraient entendre que les dommages sont limités. De son côté, Donald Trump affirme que le programme nucléaire iranien a été "complètement anéanti". Les responsables américains se veulent plus prudents : l'évaluation complète des dégâts prendra du temps. D'autant plus que Téhéran a suspendu toute coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), qui n'a désormais plus accès aux sites nucléaires du pays. Selon l'agence onusienne, l'Iran pourrait relancer son programme d'enrichissement d'uranium d'ici à "quelques mois".En parallèle, Donald Trump s'est livré à une nouvelle attaque verbale contre Elon Musk, n'excluant pas d'expulser du pays le patron de Tesla, naturalisé américain en 2002, et le renvoyer vers son pays d'origine : l'Afrique du Sud. Il a aussi évoqué la possibilité que la Commission pour l'efficacité gouvernementale (DOGE) – créée par et pour Elon Musk afin de réduire les dépenses fédérales – puisse se retourner contre son ex-directeur et remettre en question les fonds publics investis dans ses entreprises, notamment dans le domaine spatial.LES EXPERTS :- Anthony BELLANGER - éditorialiste à France Info TV, spécialiste des questions internationales- Nicole BACHARAN - historienne, spécialiste des Etats-Unis et également éditorialiste chez Ouest France- Isabelle LASSERRE - correspondante diplomatique pour Le Figaro- Général Jean-Paul PALOMÉROS - ancien chef d'état-major et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN

    Appels sur l'actualité
    [Vos questions] RDC-Rwanda : retour sur l'accord de paix « historique » signé à Washington

    Appels sur l'actualité

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 19:30


    Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le procès de Benyamin Netanyahu pour corruption et les mutineries de soldats au Niger. Accord de paix RDC-Rwanda : vers la neutralisation des FDLR ?  Après trois décennies d'insécurité à l'est de la RDC, Kinshasa et Kigali ont signé un accord de paix à Washington, sous l'égide des États-Unis. Le texte prévoit le désengagement des forces rwandaises et la neutralisation des FDLR. Quand peut-on espérer le désarmement effectif de ce groupe de rebelles rwandais ?  RDC-Rwanda : qui surveillera la bonne application de l'accord de paix ?   Malgré les engagements signés entre la RDC et le Rwanda, la mise en œuvre de l'accord de paix reste incertaine dans une région marquée par la méfiance et les enjeux géostratégiques. Quels mécanismes sont prévus pour s'assurer que l'accord sera respecté ? Pourquoi les rebelles de l'AFC/M23 ne sont-ils pas mentionnés dans le document conclu à Washington ? RDC-Rwanda : à quand un accord avec le M23 ?  La signature de l'accord de la paix entre Kinshasa et Kigali a eu lieu à Washington, sous la médiation américaine. Parallèlement, des négociations sont en cours au Qatar entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda. Où en sont les discussions ?   Avec Patient Ligodi, journaliste au service Afrique de RFI.   Israël : Benyamin Netanyahu gagne un sursis dans son procès pour corruption   Alors qu'il devait comparaître cette semaine dans son procès pour corruption, fraude et abus de confiance, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a obtenu un nouveau sursis judiciaire avec le report des audiences. De son côté, Donald Trump a déclaré qu'il ne « tolérerait pas » la poursuite du procès. Le président américain a-t-il pu influencer la décision du tribunal de Jérusalem ? Avec Michel Paul, correspondant de RFI à Jérusalem. Niger : pourquoi des soldats se rebellent-ils ?   La semaine dernière, deux unités de l'armée nigérienne se sont mutinées à Filingué et Tera. Depuis le mois de mars, quatre mouvements de colère ont été recensés au sein des forces armées. Quelles sont les revendications de ces soldats ? Ces soulèvements risquent-ils de se propager ? Quel sort est réservé aux mutins ?  Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au conseil militaire suprême du Niger » (éditions L'Harmattan).

    Les dents et dodo
    La maison à 6 euros

    Les dents et dodo

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 3:14


    Tu veux que je te raconte l'histoire de la maison à 6 euros? Alors attrape ta brosse à dents, ton dentifrice, et c'est parti!

    Les Ambitieuses
    MINUTES LEGEND LADIES: 3 CLÉS POUR UN PERSONAL BRANDING INCARNÉ

    Les Ambitieuses

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 28:01


    Ces dernières semaines j'ai délivré pas moins de 4 conférences en entreprises sur le sujet du

    Reportage International
    Guerre en Ukraine: le fléau des violences sexuelles encore sous-estimé

    Reportage International

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 2:32


    En Ukraine, la question des violences sexuelles liées au conflit s'ajoute à la longue liste de crimes de guerre commis par l'agresseur russe. Jusqu'à présent, tous crimes confondus, la justice ukrainienne a recensé plus de 150 000 violations. Et lorsqu'il s'agit de crimes à caractère sexuel, l'État et les organisations non gouvernementales qui y répondent font face à de nombreux obstacles. De notre correspondante à Kiev, Les crimes à caractère sexuel font partie des crimes les plus difficiles à recenser sur le territoire ukrainien. À Kiev, les acteurs qui y répondent se sont rassemblés il y a quelques mois autour de la volonté commune de joindre leurs forces afin de proposer le meilleur cadre possible pour que la justice suive son cours et que les survivants soient mieux pris en charge. La problématique du genre des survivants est centrale. Céline Bardet, juriste internationale à la tête de l'ONG We Are NOT Weapons of War, explique : « C'est important parce que de l'extérieur, quand on parle des violences sexuelles, on pense immédiatement aux femmes et aux filles, à juste titre évidemment. Mais il y a plein d'endroits dans le monde où les hommes et les garçons sont très touchés, et en Ukraine, c'est le cas. » Face à ces violences, le travail des ONG ukrainiennes a été crucial. Olena Suslova, fondatrice du centre d'information et de consultation pour les femmes, épaule les survivants depuis plus d'une décennie : « Nous avons commencé à nous attaquer aux problèmes des violences sexuelles liées aux conflits en 2015. Nous nous sommes ensuite rendus dans les territoires libérés de la région de Donetsk, à Kramatorsk, Sloviansk, Droujkivka pour interroger la population. À cette époque, les gens étaient très effrayés et très fermés. Ils avaient peur de parler des violences sexuelles. Alors, nous avons posé des questions pour savoir s'il y avait eu des violations des droits humains. » À lire aussiUkraine : la kétamine utilisée pour soigner les maux physiques et psychiques des vétérans Ce travail a permis à Olena Suslova d'établir qu'au moins 15% des personnes à qui elle parlait avaient été victimes de violences sexuelles. Des ONG comme Global Survivors Fund agissent à leurs côtés et les aident notamment à obtenir des réparations. Pour Fedir Dunebabin, le représentant de l'association pour l'Ukraine, le plus important pour les survivants est d'être reconnus comme tels : « D'après ce qu'on voit dans nos échanges, la chose la plus utile pour eux, c'est de dépasser le traumatisme, c'est la reconnaissance. C'est de savoir qu'ils ne sont pas seuls et que quelqu'un pense à eux. Pas seulement une personne, mais la société ukrainienne, le gouvernement ukrainien ainsi que la communauté internationale. » À l'heure actuelle, seuls 366 cas de violences sexuelles en lien avec l'invasion russe de 2022 ont été documentés. Un chiffre que les autorités craignent bien en deçà de la réalité. Côté judiciaire, le président Volodymyr Zelensky vient de ratifier l'accord sur la création d'un tribunal spécial pour juger la Russie de ses crimes en Ukraine. Le chemin vers la justice est encore long pour les Ukrainiens, mais il est bel et bien enclenché.  À lire aussiGuerre en Ukraine: «Dans les prisons russes, la torture des Ukrainiens est une pratique institutionnalisée»

    Débat du jour
    Réfugiés climatiques : le droit international est-il prêt pour leur accueil ?

    Débat du jour

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 29:30


    10.000 personnes dont le pays est condamné, englouti d'ici 2100 par la montée des eaux : aux îles Tuvalu, dans le Pacifique, le tiers des habitants a d'ores et déjà demandé un visa pour l'Australie. Les 280 bénéficiaires seront tirés au sort. Le changement climatique rend de nombreux territoires de plus en plus inhospitaliers. Faut-il dès lors créer un statut spécifique de réfugié climatique ? Quels dispositifs existent pour la prise en charge de ces déplacés ? Alors que parfois leurs propres États sont menacés de disparition, qui est responsable de leur situation ? Pour en débattre :   - Dina Ionesco, travaille pour l'agence des Nations Unies pour les réfugiés, spécialiste des questions de l'asile, de la migration et du changement climatique. Co- autrice du 1er Atlas des Migrations environnementales aux presses de sciences Po   - Baptiste Filloux, chef de Pôle campagne et Plaidoyer solidarités internationales chez Oxfam - Thibaut Fleury Graff, professeur de droit public à l'Université Panthéon-Assas.

    7 milliards de voisins
    Alerte sur le financement de l'éducation dans l'aide internationale

    7 milliards de voisins

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 48:30


    Alors que s'achève la Conférence de Séville, sur le financement du développement, l'UNESCO sonne l'alarme devant la baisse d'un quart de l'aide internationale à l'éducation prévue entre 2023 et 2027. Ces reculs risquent d'annuler des décennies de progrès dans l'accès à l'éducation pour tous. Dans des pays comme l'Éthiopie, le Yémen ou Haïti, où l'aide extérieure finance plus de la moitié des budgets éducatifs, les coupes budgétaires menacent directement l'accès à l'école pour des millions d'enfants. Les États-Unis, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont tous réduit drastiquement leurs contributions notamment à cause de l'explosion de la dette mondiale, les pressions budgétaires internes, une réorientation de l'aide vers des secteurs plus urgents ou stratégiques et la baisse de la part de l'éducation dans l'Aide Publique au Développement. Comment justifier ces choix alors que chaque dollar investi dans l'éducation génère entre 10 et 15 dollars de croissance économique tout au long de la vie active d'un individu. ? Dans ces conditions, l'éducation pour tous peut-elle demeurer un droit universel ? Avec : • Stefania Giannini, Sous-Directrice générale de l'UNESCO pour l'éducation.  • Serigne Mbaye Thiam, ancien ministre de l'Éducation nationale et ancien ministre de l'Eau et de l'Assainissement du Sénégal, émissaire de haut niveau du Partenariat Mondial pour l'Education (GPE) et conseiller pour l'éducation.  • Michelle Perrot, directrice du plaidoyer et de l'engagement des jeunes chez Plan International France   Programmation musicale : ► Mexico en Janvier – BigFlo & Oli, et Youssoupha ► Von Na Agbeto – Dogo du Togo & The Alagaa Beat Band

    Home(icides)
    Le meurtre de Karine Esquivillon : Michel Pialle, un escroc mythomane (3/4)

    Home(icides)

    Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 27:08


    Redécouvrez l'histoire d'un terrible mensonge. Karine Esquivillon, 54 ans, s'est évaporée le 27 mars 2023 à Maché en Vendée, abandonnant toute sa famille. Son mari, Michel, donne l'alerte. Alors, que s'est-il passé ? Dans quelles circonstances a-t-elle disparu ? Et surtout, son mari aurait-il pu avoir un rôle ? Michel Pialle, un escroc mythomane  Comment savoir si l'homme ou la femme avec qui l'on partage sa vie est vraiment celui qu'il prétend être ? C'est une question que l'on se pose souvent dans Home(icides). Et à chaque fois, nous sommes étonnés de la capacité de certains à tenir un double discours, à avoir une double vie ou une double personnalité. Eh bien, c'est le cas de Michel Pialle. Pile, c'est un père de famille gentil et attentionné, un homme calme et sans histoire. Face, c'est un menteur et un escroc au casier judiciaire bien rempli. Dans ce troisième épisode, Eva-Louise, la fille de Karine, témoigne. Un podcast enregistré dans les studios de Bababam Ecriture et voix : Caroline Nogueras Production et diffusion : Bababam Originals Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

    Au cœur de l'histoire
    Turenne, le maréchal du Grand Siècle

    Au cœur de l'histoire

    Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 39:34


    Bienvenue dans ce nouvel épisode d'«Au Cœur de l'Histoire» ! Ce matin, nous vous emmenons à la rencontre d'un personnage clé du XVIIe siècle français : Henri de La Tour d'Auvergne, plus connu sous le nom de maréchal de Turenne.Dès son plus jeune âge, Turenne baigne dans un environnement marqué par les conflits. Né dans une famille protestante, il grandit au cœur de la guerre de Trente Ans, un vaste conflit qui ravage l'Europe pendant trois décennies. Très jeune, il manifeste des qualités de stratège et d'organisateur qui ne tardent pas à être remarquées. Après avoir fait ses armes auprès de son oncle aux Pays-Bas, il rejoint l'armée française et gravit rapidement les échelons, devenant l'un des plus brillants généraux de son temps.Sous les règnes de Louis XIII et de Louis XIV, Turenne va jouer un rôle déterminant dans les conflits qui opposent la France à l'Espagne et à l'Autriche. Ses victoires décisives, notamment lors de la guerre de Hollande, lui valent une renommée sans égale. Tacticien hors pair, Turenne privilégie une approche indirecte, cherchant à désorganiser et à surprendre l'ennemi plutôt que de l'affronter de front.

    Les matins
    "Des découvertes extraordinaires qui changent la vie" : quand une éditrice s'installe dans un village de la Meuse

    Les matins

    Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 4:43


    durée : 00:04:43 - Le Reportage de la rédaction - Alors que les festivals centrés sur les idées et les savoirs se développent en milieu rural, depuis trois ans à Mangiennes, un village dans la Meuse, les éditions Macula rassemblent très large et mobilisent les habitants lors de rencontres aux auteurs parfois exigeants, mais jamais inaccessibles.

    Choses à Savoir
    Pourquoi Steve Jobs aurait plongé un ipod dans un aquarium ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 1:50


    On est en 2001. Dans une salle de réunion chez Apple, les ingénieurs présentent à Steve Jobs ce qu'ils pensent être une petite révolution : le tout premier iPod. Compact, élégant, déjà révolutionnaire pour l'époque. Un petit bijou de technologie.Jobs regarde l'objet. Il le tourne, l'examine en silence, le pèse dans sa main.Les ingénieurs sont confiants :— "C'est le plus petit qu'on puisse faire, Steve. Il n'y a plus un millimètre de place dedans."Silence. Puis, sans dire un mot, Steve Jobs se lève, marche jusqu'à un aquarium installé dans la pièce, et… laisse tomber le prototype dedans.Un ploc.Des bulles remontent à la surface.Et Jobs de déclarer, calmement :— "Vous voyez ces bulles ? Ça veut dire qu'il y a encore de l'air. Donc de la place. Faites-le plus petit."Cette scène est devenue légendaire. Elle résume à elle seule l'esprit Jobs : aucune limite, aucun compromis, aucune zone de confort. Ce n'était jamais assez fin, assez rapide, assez simple. Il fallait toujours pousser plus loin.Mais… est-ce que cette histoire est vraie ? Rien n'est moins sûr.Elle a été rapportée dans plusieurs livres sur Apple, mais aucun ingénieur n'a jamais confirmé y avoir assisté. Pas de témoin direct. Pas de preuve. Une belle histoire, oui. Mais sans source solide.En revanche, ce qu'on sait avec certitude, c'est que Steve Jobs raisonnait de cette manière. De nombreux témoignages confirment qu'il demandait sans cesse à ses équipes de refaire ce qu'elles pensaient impossible. Il détestait les limites techniques, les phrases du type "on ne peut pas faire mieux".Alors, que ce geste dans l'aquarium ait eu lieu ou non, peu importe. Il symbolise parfaitement l'exigence radicale de Steve Jobs, et la culture Apple de l'époque.Le mythe vaut presque autant que le fait. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    La Prohibition - 5/6

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 10:46


    Pour vous abonner et écouter l'émission en une fois, sans publicité : https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Ça démarre toujours comme ça Par une bonne intention.Alors, on veut sauver les hommes de l'alcool, protéger les familles, ramener l'ordre moral.On veut guérir l'Amérique.Mais ce que les États-Unis vont vivre, à partir de 1920, n'a rien d'une convalescence. C'est une descente. Une décennie de violence, de double discours, d'hypocrisie politique et de criminalité organisée à une échelle jamais vue.Pendant treize ans, la fabrication, la vente et le transport d'alcool deviennent illégaux sur l'ensemble du territoire américain. Officiellement, l'alcool est banni pour préserver la nation, encourager la tempérance, rendre les citoyens meilleurs. En réalité, il ne disparaît jamais. Il change de visage. Il entre en clandestinité. Et l'Amérique avec lui.Derrière les façades closes des speakeasies (les bars clandestins), on danse sur du jazz, on trinque en cachette, on négocie des pots-de-vin. La police détourne les yeux, parfois la loi aussi. La boisson coule à flot dans les villes, les caves, les arrière-salles. Et dans les veines du pays.L'État croyait contrôler une habitude. Il découvre qu'il a réveillé un monstre.Car interdire, ce n'est pas empêcher.Et ce que la Prohibition interdit, elle va surtout le rendre rentable.Elle consacre des figures nouvelles.Des avocats devenus millionnaires, dont certains dissimulent leurs distilleries derrière des pharmacies.Des criminels qui deviennent des icônes, comme Al Capone, qui transforme Chicago en capitale du crime, finance des soupes populaires avec l'argent du trafic, tout en faisant exécuter ses rivaux à la mitraillette.Mais la Prohibition, ce n'est pas seulement l'histoire des gangsters. C'est aussi celle des échecs du pouvoir, des contradictions d'une société, et du poids des idéaux mal appliqués.C'est l'histoire d'une croisade morale détournée par l'argent. D'un État qui perd la main.D'un peuple qui se rit des lois… et qui en meurt parfois.Car à force de distiller dans l'illégalité, on fabrique des alcools frelatés, toxiques, dangereux. On mélange, on coupe, on triche. Et on enterre.Et puis il y a l'autre scène : celle des bureaux, des couloirs du Congrès, des caves du Sénat pleines de bouteilles, pendant que les rues se remplissent de cadavres.La Prohibition devait moraliser l'Amérique. Elle l'a fracturée. Elle a sapé la confiance dans les institutions. Elle a légitimé la corruption comme mode de gouvernement. Elle a semé les bases du crime organisé moderne.Et pourtant, cette période est aussi fascinante que trouble. Car elle interroge :Pourquoi une société décide-t-elle de bannir quelque chose d'aussi ancré que l'alcool ?Pourquoi une loi, votée à une écrasante majorité, devient-elle si vite une mascarade ?Et pourquoi, malgré ses effets désastreux, certains rêvent-ils encore, aujourd'hui, de moraliser la société par la contrainte ?Ce que nous allons explorer, ce n'est pas seulement une période de l'histoire américaine.C'est un miroir tendu à notre époque.Car derrière les barils de whisky cachés dans les caves, derrière les gangsters en costume et les descentes de police, il y a une question essentielle : que se passe-t-il quand la loi s'attaque à la culture ? Et que reste-t-il, une fois la tempérance oubliée, mais que la violence, elle, est restée ?Mon invitée, l'historienne et spécialiste des Etats-Unis, Annick Foucrier, qui vient de sortir son dernier ouvrage, excellent, au nom évident "La Prohibition", chez Armand Colin Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    Le roi: Une autre histoire de la droite - Baptiste Roger-Lacan

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 48:08


    Les Français ne se seraient pas remis de la mort de Louis XVI. En 2015, Emmanuel Macron expliquait que le roi était «l'absent» du «processus démocratique». Cette absence justifierait le renforcement de l'exécutif sous la Ve République. Paradoxalement, la monarchie n'a jamais été en position d'être restaurée depuis les années 1870, et pourtant le roi n'a pas disparu. Alors comment ce spleen a-t-il été entretenu?? Il se diffuse sous la IIIe République, lorsque les droites doivent composer avec la fin des espoirs de Restauration. Face à ce vide, elles entretiennent des récits et des théories contre-révolutionnaires. Au coeur de ce dispositif, on trouve la figure du roi, alternative à une république libérale. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, cet imaginaire est mobilisé dans le débat public. Il survit dans des lieux aussi différents que le château de Versailles, devenu un musée à la gloire de l'Ancien Régime, mais aussi des institutions comme l'Académie française. Il se diffuse grâce à d'immenses succès de librairie, qui nourrissent la nostalgie. Bref, la France ne se comprend pas sans son roi.L'auteur, Baptiste Roger-Lacan, est avec nous en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    C dans l'air
    Michaël Zemmour - Retraites: prêts pour la capitalisation?

    C dans l'air

    Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 12:12


    C dans l'air l'invité du 30 juin 2025 avec Michaël Zemmour, enseignant-chercheur à l'université Lumière Lyon-II et économiste au laboratoire d'évaluation des politiques publiques de Sciences-Po.Jeudi, le Premier ministre François Bayrou a énuméré devant la presse les "avancées" permises par les négociations sur les retraites qui pourraient être reprises dans un budget à l'automne. Les syndicats et le patronat réunis en "conclave" n'ont pas trouvé d'accord global sur les retraites, mais ils ont dégagé des compromis sur plusieurs points. Et, vendredi, la CFDT a refusé, à l'instar de la CFTC et de la CFE-CGC, de jouer les prolongations, comme l'avait proposé le Premier ministre la veille.Aujourd'hui dans les Echos, l'ancien Premier ministre Gabriel Attal a dit vouloir en finir avec l'âge de départ unique, une norme devenue inutile selon lui. Le départ à la retraite ne se fixerait que sur la base de la durée de cotisation. Un système financé par une dose de capitalisation : chacun met de côté pour sa future retraite plutôt que de financer celle des retraités actuels. Édouard Philippe lui aussi a vanté les mérites de la capitalisation il y a quelques semaines, et dévoilait aussi les contours de sa réforme des retraites qu'il proposera pour 2027. Alors comment financer durablement notre système de retraites, dont le déficit devrait atteindre près de 15 milliards d'euros en 2035 selon la Cour des comptes ? Michaël Zemmour, enseignant-chercheur à l'université Lumière Lyon-II et économiste au laboratoire d'évaluation des politiques publiques de Sciences-Po, est notre invité.

    Au cœur de l'histoire
    Notre démocratie est-elle l'héritière d'Athènes ?

    Au cœur de l'histoire

    Play Episode Listen Later Jun 30, 2025 23:53


    La République Française étale son nom en lettres majuscules au frontispice de nos institutions. Elle naît de la Révolution française, cependant, les révolutionnaires s'inspiraient eux-mêmes de l'Antiquité greco-romaine, la grand-mère de notre civilisation occidentale. Alors, comment la pratique de la politique à Athènes et à Rome influence encore nos sociétés occidentales ? Avons-nous oublié les leçons que nous devions tirer du passé pour construire notre présent ? Pour répondre à ces questions, Virginie Girod reçoit Michel de Jaeghere, le directeur du Figaro Histoire et auteur de nombreux essais dont" Le cabinet des antiques" paru en deux tomes aux éditions Les Belles Lettres. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.