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durée : 00:03:38 - L'info d'ici, ici Gascogne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
On se retrouve pour un épisode de Dark Story pour des Affaires criminelles Terrifiantes.. Ici je vous présenterais les True Crime les plus sombre qui ont choqué le monde.. Plongez avec moi dans l'horreur de ces True crime.. Rester bien jusqu'à la fin pour tout les details des histoires afin de tout comprendre de ses histoires criminelles.Viens discuter sur mon insta : ►Instagram : Mogotasama................................................................................Merci à d'avoir regarder la vidéo , prenez soin de vous et vos proches.►Contact Pro : mogokusama@gmail.com
Dans cet épisode, je vous invite à découvrir le parcours de Morgane, éditrice aux éditions Addictive, qui vient nous parler du métier d'éditrice, mais aussi de ses différentes missions au sein de la maison d'édition pour laquelle elle travaille. Addictive est une maison d'édition spécialisée dans la romance, qui publie aussi bien des romances contemporaines que de la romantasy dans la collection Addictasy, et des romances plus sombres dans la collection Adonia. Ici, on parle :Des missions d'un éditeurDes enjeux liés à la publication d'un livre Des éditions Addictive en général (ligne éditorial, choix de publication, tri des manuscrits).De l'accompagnement des auteurices pour leur permettre de réaliser le meilleur roman possible. Si vous avez aimé l'épisode, n'hésitez pas à le repartager, ou laisser un commentaire sur la plateforme où vous l'avez écouté
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Lorsqu'on mange un plat épicé, la principale responsable s'appelle la capsaïcine. C'est la molécule contenue dans le piment qui provoque cette sensation de brûlure. Contrairement à une idée reçue, elle ne chauffe pas réellement : elle trompe les récepteurs thermiques situés dans la bouche et le nez. Ces récepteurs, appelés TRPV1, détectent normalement la chaleur. Mais la capsaïcine les active artificiellement, comme si ta bouche était en feu. Ton cerveau interprète alors ce signal comme une agression thermique, et déclenche une série de réactions de défense.Par réflexe, ton organisme cherche à se protéger et à se refroidir. D'abord, les vaisseaux sanguins des muqueuses se dilatent. Ensuite, les glandes situées dans le nez et les sinus se mettent à produire davantage de mucus. Ce mucus, ou écoulement nasal, a pour but d'évacuer les substances irritantes — ici, la capsaïcine — et de calmer l'inflammation locale. C'est ce qu'on appelle une rhinorrhée gustative, un mot savant pour désigner ce nez qui coule lorsqu'on mange épicé.Ce réflexe est proche de celui déclenché par un rhume, mais les causes sont différentes. Dans un rhume, le nez coule à cause d'une infection virale : le système immunitaire libère des médiateurs chimiques pour combattre le virus. Ici, aucune infection : seulement une irritation chimique. C'est une réaction nerveuse et réflexe, pas immunitaire.Certaines personnes sont plus sensibles que d'autres à cette réaction. L'âge, la génétique ou la fréquence de consommation d'aliments épicés peuvent influencer la réponse du corps. Chez les amateurs de piment, une forme de tolérance se développe : leurs récepteurs TRPV1 deviennent moins sensibles, et le nez coule moins avec le temps.Enfin, ce phénomène n'est pas nuisible, bien au contraire. En stimulant les glandes salivaires et les muqueuses, la capsaïcine favorise la sécrétion de mucus, ce qui aide à nettoyer les voies respiratoires. En somme, si ton nez coule après un repas épicé, ce n'est pas un bug du corps, mais une réaction de protection parfaitement naturelle, héritée de millions d'années d'évolution pour nous défendre… des plats trop ardents. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ici, je partage la traversée entre San Vicente et Llanes. Plages tranquilles, villages authentiques et falaises impressionnantes rythment cette portion du voyage, simple et pleine de nature.Points clés :l'étape à San Vicente ;les plages et l'ambiance nature ;les falaises de Llanes ;le bruit de l'eau dans les trous de falaise ;une journée guidée par les envies.-----------Si l'épisode vous a plu, laissez-moi une note 5 ⭐️ou un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify
À Nouadhibou, deuxième ville de Mauritanie, de nombreux Africains partent en pirogues vers les îles Canaries, en Espagne, au péril de leur vie. Dans cette ville portuaire devenue carrefour migratoire, de plus en plus de familles font le choix de rester sur place et tentent d'envoyer leurs enfants à l'école malgré la précarité. Une école, fondée par des migrants pour des migrants, leur ouvre aujourd'hui une chance d'avenir, dans un contexte où l'Europe renforce ses contrôles, et où la Mauritanie devient un partenaire clé de la gestion des flux migratoires. De notre correspondante en Mauritanie, À l'étage d'une petite maison de Nouadhibou, plusieurs pièces ont été transformées en salles de classe. Particularité : ces classes sont réservées aux enfants de migrants. Yama Fama Ndiaye, Sénégalaise de 12 ans, est à Nouadhibou depuis deux ans avec son père. Elle vient s'inscrire à l'école. « Mon papa travaille dans le poisson. Je veux apprendre le français et l'arabe », explique-t-elle. Les enfants viennent d'une dizaine de pays d'Afrique de l'Ouest et centrale. Les professeurs, eux, sont membres de l'Organisation de soutien aux migrants et aux réfugiés, qui a créé l'école en 2018. « Les enfants apprennent généralement le français. Ici, il y a plusieurs cultures : les Maliens, les Sénégalais... Ils apprennent les mathématiques arabes. Cela leur permet de s'intégrer dans le pays », précise Blanche, Camerounaise. Un enseignement adapté aux enfants en situation de migration Nouadhibou est un lieu de passage prisé des Africains qui cherchent à rejoindre l'Europe : frontalière du Maroc, à quelques jours seulement des Canaries par la mer. L'école adapte son enseignement aux besoins spécifiques de ces enfants venus parfois de très loin. « Ce sont des enfants qui ont traversé des pays et des moments très difficiles. On a aussi des enfants qui sont des réfugiés de guerre. Quand ils arrivent ici, ils ont un traitement quand même à part, surtout dans leur éducation. On a formé nos enseignants de sorte qu'ils puissent détecter ça, et puis améliorer leur éducation », précise Sahid Moluh, directeur de l'école. Baisse du nombre de migrants Sous pression des partenaires européens, la Mauritanie multiplie les contrôles et les rafles contre les migrants sans titre de séjour. Beaucoup de parents n'ont pas obtenu la carte de résidence et ne peuvent donc ni travailler librement ni se déplacer. « On rafle parfois les hommes. On laisse les femmes avec les enfants, raconte Amsatou Vepouyoum, présidente de l'Organisation. Ici, nous sommes en location. Il y a quand même l'apport des parents d'élèves. Ils apportent pour la contribution du loyer et pour donner aux encadreurs, qui sont des bénévoles. » L'école fait payer une petite participation : 600 ouguiyas, soit environ 13 euros par mois. Mais en cette rentrée, le portefeuille des familles est au plus bas, et les inscriptions se font timides. « Ça, c'est un centre qui accueille parfois 250 personnes. Mais depuis lundi, jusqu'à présent, nous n'avons pas encore 80 élèves, cela veut dire que l'impact est visible », poursuit Amsatou Vepouyoum. La tendance aux départs reste forte, même si les chiffres ont reculé. Entre janvier et août 2025, un peu plus de 12 000 migrants ont atteint les îles Canaries, soit une baisse de plus de 50% par rapport à la même période en 2024, selon Frontex et le ministère espagnol de l'Intérieur. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar
La COP30 à Belém, au Brésil, entre dans sa deuxième semaine ce 17 novembre. Parmi les sujets abordés de ce grand sommet mondial sur le climat, il y a celui de la sécurité alimentaire. En Afrique, elle est menacée notamment par la croissance des villes. Selon Africapolis, le continent connaît un des taux d'urbanisation les plus rapides au monde. D'ici à 2050, les villes africaines accueilleront 950 millions d'habitants supplémentaires. Alors, comment nourrir ces populations urbaines ? À Nairobi, au Kenya, dans le bidonville de Kawangware, on fait le pari de l'agriculture urbaine. Reportage de notre correspondant au Kenya, Jane Changawa habite un petit immeuble délabré de Kawangware. C'est sur le toit qu'elle a lancé, il y a trois ans, ce qu'elle appelle « sa ferme » : 50m² de plantations. « Là, on a des haricots verts, des tomates, des patates douces. On a aussi des épinards et du chou kale. Ma ferme est 100% bio. J'ai mes petits tuyaux. Vous voyez, par exemple, les oignons nouveaux sont plantés au milieu du chou kale. Quand ils sentent les oignons, les insectes s'enfuient. L'urine de lapin est aussi très efficace contre les insectes. Et si je mélange une tasse d'urine et cinq d'eau, ça me fait aussi de l'engrais », raconte Jane Changawa. Jane et sa famille consomment la plupart de sa production. Le reste, elle le vend pour environ 6 000 shillings par mois, soit une quarantaine d'euros. C'est la moitié du salaire minimum légal au Kenya. Lilian Nyariki, elle, vend des légumes dans la rue. Et c'est chez Jane qu'elle s'approvisionne. « C'est beaucoup plus intéressant pour moi que d'aller au marché de gros » « Ici, j'achète en général du chou kale, des épinards et des oignons. C'est beaucoup plus intéressant pour moi que d'aller au marché de gros. Quand je vais au marché, je dois prendre un bus. C'est assez loin. Ça me coûte 200 shillings (environ 1,30 euro, NDLR). Alors qu'ici, je n'en ai pas besoin. Jane vend aussi moins cher. Sept choux kales me coûtent 20 shillings (0,13 euro, NDLR), contre 500 à 1 000 shillings (3,30 à 6,60 euros, NDLR) au marché de gros. Avec Jane, je fais de bons profits », explique Lilian Nyariki C'est l'Association kényane pour les femmes en agriculture (Awak) qui a formé Jane. Ce jour-là, dans une petite église de Kawangware, Julius Mundia, membre de l'organisation, enseigne à une quarantaine de femmes. L'idée du projet lui est venue pendant la pandémie de Covid-19, alors que le confinement a provoqué une grave pénurie de nourriture dans la capitale. « Il est tout à fait possible de produire de la nourriture à Nairobi, dans des endroits exigus. C'est comme ça qu'on a inventé les jardins verticaux. On utilise n'importe quel contenant disponible : des sacs, des vieux vêtements, n'importe quoi dans lequel on peut mettre du terreau. Après, on plante des graines. Un sac peut parfois contenir une centaine de graines. On peut utiliser les toits des immeubles. Avec un simple balcon, on peut faire quelques jardins. Et pour l'eau, on utilise les eaux usées de la cuisine », explique Julius Mundia. Awak a déjà formé plus de 15 000 femmes. À lire aussiComment promouvoir l'agriculture urbaine pour nourrir les villes africaines ?
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