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Aunque los ensayos clínicos iniciales del tamoxifeno como tratamiento del cáncer de mama fueron positivos, Imperial Chemical Industries (ICI) no creía que este mercado fuera comercialmente viable. La compañía esperaba una píldora anticonceptiva (el tamoxifeno no funcionó para eso), no un tratamiento contra el cáncer. En 1972, los superiores del ICI decidieron cancelar la investigación. Pero Dora Richardson, la química que originalmente había sintetizado el compuesto, y su jefe, Arthur Walpole, estaban convencidos de que estaban en algo importante, algo que podría salvar vidas. Continuaron la investigación en secreto. El tamoxifeno se lanzó finalmente en 1973 y se convirtió en un éxito mundial, salvando cientos de miles de vidas. El papel de Dora Richardson en su desarrollo, sin embargo, fue eclipsado por su colega masculino y casi olvidado. Learn about your ad choices: dovetail.prx.org/ad-choices
Although initial clinical trials of tamoxifen as a treatment of breast cancer were positive, Imperial Chemical Industries (ICI) did not believe this market would be commercially viable. The company had hoped for a contraceptive pill – tamoxifen didn't work for that – not a cancer treatment. In 1972 the higher-ups at ICI decided to cancel the research.But Dora Richardson, the chemist who had originally synthesized the compound, and her boss, Arthur Walpole, were convinced they were on to something important, something that could save lives. They continued the research in secret. Tamoxifen was eventually launched in 1973 and went on to become a global success, saving hundreds of thousands of lives. Dora Richardson's role in its development, however, was overshadowed by her a male colleague and all but forgotten.This Best Of episode first aired in October 2024 to coincide with Breast Cancer Awareness month. It is now also available in a Spanish adaptation, narrated by Laura Gómez. Learn about your ad choices: dovetail.prx.org/ad-choices
Aujourd'hui, Basilic met en lumière un épisode de Soif de Sens avec Claire Vallée, cheffe autodidacte qui a décroché la première étoile Michelin pour une cuisine 100 % végétale avec ONA – et l'étoile verte qui récompense une approche responsable. Au micro de Pierre Chevelle, Claire raconte un parcours singulier : de l'archéologie aux fourneaux, un détour par l'Asie, l'apprentissage des fermentations, la sobriété énergétique en cuisine et l'art de fédérer un quartier quand les banques tournent le dos. On parle leadership au féminin dans un milieu encore très masculin, mais surtout nouveaux récits culinaires où le végétal devient source d'exploration et de plaisir.Ce dialogue déborde d'écologie concrète (circuits courts, énergie renouvelable, zéro déchet), de bien-être (émotions en cuisine, madeleine de Proust version végétale), et d'utopie très réelle : proposer une gastronomie durable et positive sans renoncer à la gourmandise. Des tables éphémères à six couverts jusqu'à son ancrage près de Nantes, Claire invente des expériences totales : scénographie, boissons fermentées maison, épices d'exception et transmission. Sa cuisine prouve qu'un plat peut émouvoir, relier des inconnus à la même table et déplacer nos imaginaires alimentaires.Pourquoi cette curation ? Parce qu'ici cuisine ouvre un horizon positif et accessible : moins d'empreinte, plus de saveurs, des producteurs mis à l'honneur et une cheffe qui partage ses doutes, ses ratés et ses victoires – bref, du journalisme de solutions version gastronomique.Pour découvrir le travail de Pierre, ça se passe par ici : https://soifdesens.fr/Et pour soutenir Basilic il vous suffit de vous abonner au podcast, laisser un commentaire sur Spotify ou lire la newsletter sur Kessel !
Le premier tour de l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire se tient le samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice. RFI donne la parole à chaque candidat. Jeudi 16 octobre, c'est à l'ancienne ministre Henriette Lagou, qui se présente comme une femme politique « centriste » : elle prône l'apaisement. Henriette Lagou répond aux questions de notre correspondante à Abdijan, Bineta Diagne. RFI : Henriette Lagou, vous avez démarré votre campagne par Daoukro, c'est le fief du PDCI. Ce parti n'a pas donné de consigne de vote pour cette élection. Est-ce que c'est pour vous une manière explicite de séduire l'électorat de Tidjane Thiam ? Henriette Lagou : ce n'est pas une séduction, mais ce sont des grands principes de notre société. Je suis de Daoukro. Il est important que je confie à la population de l'Iffou, de Daoukro, singulièrement cette campagne que nous entamons. Ce n'est donc pas pour aller charmer un quelconque électorat. Dans cette zone, le public est majoritairement favorable au PDCI ? Une campagne présidentielle, ce n'est pas un parti qui gagne, ce n'est pas un parti qui vote, mais c'est toute la population. Une des questions de cette élection présidentielle, c'est la participation des électeurs. Quel message adressez-vous sur le terrain aux électeurs pour qu'ils se motivent à venir voter le 25 octobre. C'est de dire que la Côte d'Ivoire est notre bien commun. À chaque élection en Côte d'Ivoire, il y a eu toujours quelques remous. Il y a eu des crises. Ce n'est pas la Côte d'Ivoire seulement, dans d'autres pays aussi ça se passe comme ça. Mais cette fois-ci, nous devons aller à ces élections-là de façon paisible. Pourquoi ? Parce que la Côte d'Ivoire a connu une grande crise et les cicatrices ne sont pas encore fermées. Et nous avons le devoir d'apaiser les populations en allant à ces élections. Comment vous positionnez-vous par rapport aux candidats à l'élection présidentielle qui, eux, ont été recalés par le Conseil constitutionnel ? Je pense notamment à l'ancien président Laurent Gbagbo. Je pense aussi au président du PDCI, Tidjane Thiam. Comment est-ce que vous vous positionnez par rapport à eux ? Je me positionne les bras ouverts pour que, en fin de compte, un président soit élu au soir du 25 octobre. J'en appelle à ces deux leaders et aussi, au-delà de ces deux leaders, à tous les candidats qui ont été recalés : que nous puissions aller paisiblement aux élections et que moi, Henriette Lagou, je suis Ivoirienne. Je suis centriste. Je suis pour l'apaisement et je les appelle à me soutenir. Vous étiez déjà candidate en 2015, vous aviez fait moins de 1 %. Aujourd'hui, qu'est-ce qui a changé ? Dix ans plus tard, comment est-ce que vous menez votre campagne face à des grosses montures, à des gros partis qui eux sont déjà sur le terrain depuis assez longtemps ? C'est vrai, je n'ai pas fait un score qui puisse attirer l'international, qui puisse attirer même le national. Mais ce qu'il faut retenir, c'est que quand j'ai pris la carte de la Côte d'Ivoire, partout, Henriette Lagou a eu une voix, deux voix. Henriette Lagou a été votée. Et ça, quand j'ai vu, j'ai dis mais voilà, je suis nationale et je peux percer l'abcès et je continue à travailler sur le terrain. En 2015, je suis allée en singleton et puis c'était pour me faire connaître en fait, parce que, à chaque élection sa stratégie. Mais aujourd'hui, je pense que j'ai les armes, j'ai l'expérience. Sans le soutien officiel des principaux partis politiques comme le PDCI, le PPA-CI, qui n'ont pas donné de consigne de vote, ça risque d'être quand même un peu compliqué ? Vous savez, les choses ne se passent pas, ici en Afrique et en Côte d'Ivoire comme ailleurs dans les pays où les consignes de vote sont suivies par des militants ou par des sympathisants. Ici, c'est tout autre chose. Voilà. Parce que quand, dans une région, vous avez des milliers de militants et que ces milliers de militants-là se retrouvent à la personne qui est candidate, je vous ai dit que les choses ne se passent pas en termes de parti politique, mais ça se passe en termes de peuple qui vote. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: coup d'envoi de la campagne
C'est le grand retour d'Entrez ! Plat, Dessert !Pour démarrer cette nouvelle saison, notre journaliste Audrey Largouët part à Montreuil, dans les cuisines d'un traiteur pas comme les autres : Les Cuistots Migrateurs, fondé par Louis Jacquot. Ici, les gastronomies du monde se croisent et s'enrichissent, grâce à des chefs réfugiés venus de Syrie, du Népal, du Bangladesh ou du Sénégal. Un épisode qui mêle cuisine, engagement et humanité — et qui prouve qu'en cuisine, l'intégration passe d'abord par le goût.Cette série audio est réalisée en collaboration avec Eureden Foodservice et produite par Lacmé.Journaliste : Audrey Largouët ; Réalisateur : Benjamin Macé ; Productrice : Alice Deroide ; Vidéaste ; Edouard Jacques Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Active sur la toile, Laure Saunier Architecte DPLG est identifiée dans la sphère architecturale française comme une femme de caractère. Entre autre, et afin de défendre la qualité architecturale, elle a l'audace de mettre à jour les différents dysfonctionnements qui peuvent sévir dans la profession. Son agence LS Architectures, qu'elle créée en 2010, intervient sur tout type de projets et de programmes quelque soit le territoire. L'usage est au coeur du processus créatif de l'agence. Les espaces créés doivent avant tout répondre aux besoins de leurs utilisateurs. Ici, un projet réussi est à la fois un projet qui fonctionne bien à la livraison et un projet qui pourra s'adapter à une future évolution.Dans ce Com d'Archi, Laure Saunier raconte son parcours et évoque les valeurs qu'elle porte à travers ses réalisations. Passée par des grandes agences comme celles de Rudy Ricciotti, Yves Lion ou encore celle de Manuelle Gautrand, forte de son expérience hors norme, elle mène ses projets avec tempérament, condition nécessaire à leur bonne exécution.Image teaser DR © LS ArchitecturesIngénierie son : Julien Rebours____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Maintenance therapy with ICIs (atezolizumab or durvalumab) is already established in extensive stage small-cell lung cancer, but lurbinectedin enters the chat with a recent FDA approval. Next up - tarlatamab? IMforte (maintenance lurbinectedin + atezolizumab): https://doi.org/10.1016/S0140-6736(25)01011-6 DeLLphi-303 (phase 1b maintenance tarlatamab + ICI): https://doi.org/10.1016/S1470-2045(25)00480-2
À Kharkiv, en Ukraine, l'opéra vient de fêter ses cent ans. La ville a beau être située à une trentaine de kilomètres du front, l'institution continue ses spectacles, au sous-sol de cet immense bâtiment. Et si la scène est trois fois plus petite, si plus de la moitié des danseurs et chanteurs sont partis, les représentations font salle comble et pas question pour la troupe d'arrêter. Des portés majestueux, des danseurs qui virevoltent. En cette fin d'après-midi, le ballet de Kharkiv donne une représentation de Corsaire, inspirée d'un poème de Lord Byron. On est bien dans l'opéra de la ville, mais au sous-sol. Plus exactement, dans un abri anti-bombes, transformé depuis un an en salle de spectacle. Ici, l'orchestre joue à quelques centimètres des spectateurs. Les quatre cents sièges de la salle ont davantage l'air de chaises de bureau que de confortables sièges de velours, mais tous les regards sont rivés sur les danseurs qui multiplient les figures aériennes. Olha Charikova, 35 ans, incarne ce soir Gulnare, l'un des rôles principaux. Pour elle, danser à Kharkiv était une évidence : « C'est ma ville natale, mes parents sont ici. Ils ne sont jamais partis. Je veux rester avec eux et faire mon travail. Nous avons l'opportunité de montrer notre art à notre peuple, la guerre est dehors, mais à l'intérieur, nous essayons de leur donner du bonheur et un peu d'espoir pour un futur meilleur. » Il a fallu s'adapter : la scène, trois fois plus petite, ne permet pas d'exécuter toutes les figures, les décors sont simplifiés et certains morceaux ont même dû être retravaillés pour correspondre aux dimensions de la salle. « "Corsaire" se joue maintenant en deux actes au lieu de trois. Par exemple, dans la dernière scène, il y a un grand navire qui vogue sur la scène et coule. Ça ne peut vraiment être montré que sur une grande scène. Aujourd'hui, le ballet se termine avec des jeunes filles en tutu, des fleurs, et une happy end, parce que nous avons déjà assez de tragédies dans nos vies ! », explique Olha Charikova. Maintenir l'opéra à Kharkiv, coûte que coûte Après le 24 février 2022, la troupe est partie deux ans en Europe, accueillie en Lituanie et en Slovaquie. Mais dès que cela fut possible, ceux qui ont pu le faire sont revenus à Kharkiv. Le directeur de l'opéra, Ihor Tuluzov, a tout tenté pour maintenir l'institution : « Durant les premières semaines, c'était vraiment très difficile, parce qu'il y avait des bombardements constants. Notre bâtiment aussi a été touché. » À lire aussiUkraine: «pluie» de drones russes sur la ville de Kharkiv, deux morts et trente blessés De nombreuses fenêtres de cette immense dalle de béton ont par exemple explosé. Dans la ville d'ailleurs, même si les ouvriers travaillent vite pour effacer les stigmates de la guerre, on croise encore des façades éventrées, des trottoirs marqués par des éclats d'obus, ou des fenêtres recouvertes par d'immenses palissades. Après deux ans de fermeture, l'opéra a désormais presque repris une activité normale et propose des spectacles plusieurs fois par semaine : « Pour nous, il est très important de montrer, psychologiquement, que Kharkiv bouillonne », souligne Ihor Tuluzov. « Et puis, nous voulons présenter les exemples les plus éclatants de la culture ukrainienne : l'opéra, le ballet, etc. Ce qui compte aussi, c'est que nous, en tant que troupe professionnelle, nous nous produisions ici, à Kharkiv. La ville avait besoin de notre activité, de notre travail, de nos représentations, de notre soutien », ajoute-t-il. « Je suis vraiment heureuse de voir qu'à Kharkiv, notre ville vit sa vie » Plus de la moitié des danseurs et des musiciens sont partis, certains en Europe, d'autres ailleurs en Ukraine. Et d'autres sont partis sur le front. L'un d'entre eux est mort au combat dans les environs de la ville. Chaque représentation est d'ailleurs précédée de l'hymne ukrainien pour leur rendre hommage. Malgré ces conditions, le directeur de l'opéra se veut optimiste : « Bien sûr, maintenant, nous n'avons plus la possibilité d'accueillir autant de spectateurs. Mais je pense que nous avons aussi gagné un nouveau public : des gens qui n'étaient jamais venus à l'opéra ou au ballet avant la guerre. » Dans cette ville où beaucoup de bars, de musées et de salles de concert ont dû fermer, venir à l'opéra est un luxe rare. À l'entracte, Yulia, 27 ans, invitée par son amie Khrystyna, découvre les lieux et a encore les yeux qui brillent : « Je suis très heureuse d'avoir la possibilité de voir l'opéra et le ballet à Kharkiv. » À côté d'elle, son amie renchérit : « Je suis vraiment heureuse de voir qu'à Kharkiv, notre ville vit sa vie. » À l'extérieur, une alerte aérienne retentit : des drones survolent la région. Mais dans la salle, où la sécurité est maximale, personne ne bouge : le public n'entend que la musique. Et dans cet abri, chaque spectacle devient bien plus qu'un simple divertissement : une parenthèse dans un quotidien d'angoisse. À lire aussiUkraine: rester à Kramatorsk, malgré le danger quotidien des bombes russes
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OPINION: Magalong's resignation: A necessary step to preserve ICI's integrity | Oct. 2, 2025Subscribe to The Manila Times Channel - https://tmt.ph/YTSubscribe Visit our website at https://www.manilatimes.net Follow us: Facebook - https://tmt.ph/facebook Instagram - https://tmt.ph/instagram Twitter - https://tmt.ph/twitter DailyMotion - https://tmt.ph/dailymotion Subscribe to our Digital Edition - https://tmt.ph/digital Check out our Podcasts: Spotify - https://tmt.ph/spotify Apple Podcasts - https://tmt.ph/applepodcasts Amazon Music - https://tmt.ph/amazonmusic Deezer: https://tmt.ph/deezer Stitcher: https://tmt.ph/stitcherTune In: https://tmt.ph/tunein#TheManilaTimes#KeepUpWithTheTimes Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
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NOTRE PREMIÈRE FORMATION EST EN LIGNE, VENEZ CHANGER DE VIE EN CHANGEANT VOTRE RAPPORT AU TEMPS : POUR S'INSCRIREIl y a 5 ans je découvrais avec amour mon premier accouchement à la maison.Ici, je vous raconte mon cheminement, mes problématiques, ce qui m'a touché dans la préparation à l'accouchement.Je vous prends la main et vous amène dans une aventure incroyable.Si vous vous posez des questions, si vous avez la curiosité de comprendre comment fonctionne en accouchement physiologique, alors venez !L'accouchement orgasmique, la facilité de cette première expérience et l'intensité pour ma 3e et dernière fille c'est le menu de cet épisode. SPOILER J'AI PLEURÉ dans cet épisode. LIENS UTILES : EPISODE FLORIANE STAUFFER EPISODE 148 EPISODE MICHEL ODENT EPISODE 77EPISODE ISABELLE DEPUTIER EPISODE 18 GUIDE GRATUIT POUR PRÉPARER SON POSTPARTUMHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dr. Tony Ebel interviews Gabby and Lindsey from Informed Choice Iowa about their journey from questioning vaccines for their own families to leading legislative change. Lindsey's microbiology background helped her recognize lab ingredients in vaccines, while Gabby faced intense pressure in the hospital after her daughter's birth. They discuss the science behind immune system overstimulation, the expansion of the vaccine schedule from 3 to 72 doses, and ICI's historic legislative victory, which requires Iowa schools to disclose vaccine exemptions to parents. The conversation offers practical strategies for families navigating medical decisions, emphasizing the importance of informed choice and community support.-----Links & Resources:Conference Registration: https://www.informedchoiceiowa.com/2025conferenceIowa Exemptions: https://www.informedchoiceiowa.com/exemptionsFollow ICI on FacebookFollow ICI on Instagram-----Key Topics & Timestamps(00:07:00) - Lindsay's Scientific Background: Recognizing Lab Ingredients in Vaccines(00:14:00) - Gabby's Hospital Story: Pressure and Signing Under Duress(00:20:00) - Finding Supportive Healthcare Providers Who Partner, Not Pressure(00:24:00) - The Microbiome Reality: Trillions of Microbes vs. 13 Vaccines(00:28:00) - Training the Immune System for Chronic Illness(00:31:00) - Informed Choice Iowa's Legislative Mission and Victories(00:33:00) - Historic Win: Iowa Law Requiring Schools to Disclose Exemptions(00:36:00) - What True Informed Choice Really Means(00:39:00) - The Critical Importance of Finding Your Community(00:42:00) - November 21st Conference: Reclaim Your Health-- Follow us on Socials: Instagram: @pxdocs Facebook: Dr. Tony Ebel & The PX Docs Network Youtube: The PX Docs For more information, visit PXDocs.com to read informative articles about the power of Neurologically-Focused Chiropractic Care. Find a PX Doc Office near me: PX DOCS DirectoryTo watch Dr. Tony's 30 min Perfect Storm Webinar: Click HereSubscribe, share, and stay tuned for more incredible episodes unpacking the power of Nervous System focused care for children!
Dans la langue française, les figures de style sont nombreuses et parfois si proches qu'on les confond. C'est le cas de la litote et de l'euphémisme. Toutes deux consistent à dire autrement ce que l'on pense, mais leurs intentions sont différentes. Pour bien comprendre, il faut les distinguer pas à pas.La litote est une figure d'amplification par atténuation. Cela paraît paradoxal, mais c'est simple : on dit moins pour suggérer plus. L'exemple le plus célèbre est celui de Corneille dans Le Cid, quand Chimène dit à Rodrigue : « Va, je ne te hais point ». Elle n'ose pas avouer son amour, alors elle l'exprime de façon atténuée, par la négation du contraire. En réalité, elle dit beaucoup plus fort « je t'aime » que si elle l'avait affirmé directement. On retrouve ce procédé dans le langage courant : « Ce n'est pas mauvais » signifie en fait « C'est bon » ; « Ce n'est pas idiot » équivaut à « C'est intelligent ». La litote renforce donc le sens en passant par une retenue.L'euphémisme, lui, suit une logique opposée. Son but n'est pas de renforcer, mais d'adoucir. On emploie un mot ou une formule plus douce pour évoquer une réalité jugée trop dure, trop crue ou trop brutale. Par exemple, dire « il nous a quittés » au lieu de « il est mort » ; « les personnes à mobilité réduite » au lieu de « les handicapés » ; ou encore « un plan social » au lieu de « licenciements ». Ici, il ne s'agit pas de suggérer plus, mais d'atténuer la charge émotionnelle ou négative. L'euphémisme sert donc à ménager la sensibilité de celui qui écoute, ou à rendre plus acceptable une réalité difficile.La confusion vient du fait que, dans les deux cas, on atténue le propos. Mais la finalité diffère. La litote est une stratégie rhétorique pour insister indirectement, amplifier par la retenue. L'euphémisme est un adoucissement, une manière de lisser ou d'édulcorer une réalité.On pourrait dire que la litote est une sorte de clin d'œil, une complicité avec l'auditeur : « Je ne dis pas tout, mais tu comprends bien ce que je veux dire ». L'euphémisme, lui, est une politesse du langage : « Je choisis des mots plus doux pour ne pas heurter ».En résumé, la litote suggère plus qu'elle ne dit, l'euphémisme dit moins pour choquer moins. L'une amplifie, l'autre adoucit. Et toutes deux montrent combien la langue française aime jouer avec les nuances. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Parce qu'elle a laissé ses amies organiser leur escapade durant ce week-end de trois jours, Clotilde se retrouve dans une ville qu'elle avait rayée de la carte. Ici, il y a vingt ans, elle a vécu avec Monsieur, un homme qui fit d'elle sa Madame sous prétexte de lui faire du bien. C'est ainsi que Clotilde se dépouilla d'elle-même, jusqu'à devenir un simple objet, mais un objet d'amour. De son assujettissement d'alors, Clotilde a encore honte, et elle a beaucoup de mal à se découdre la bouche pour reconnaître les faits. La preuve : ni Adélaïde, ni Judith, ni Bérangère, ni Hermeline ne connaissent cette histoire, et aucune ne se doute qu'à deux rues de leur location, dans son immense maison, habite toujours Monsieur. Clotilde se demande si libérer sa parole pourrait aider la honte à enfin changer de camp. À lire – Chloé Delaume, Ils appellent ça l'amour, Seuil, 2025
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Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Aujourd'hui, je démarre un défi un peu fou : 60 épisodes en 60 jours, jusqu'à mes 60 ans. Pourquoi ? Parce qu'il y a 6 ans, tout a basculé quand j'ai accompagné mon père — mon Sweet Papi — de sa perte d'autonomie à sa fin de vie. Ce chemin m'a bouleversée, transformée, et j'ai choisi de ne plus le garder pour moi. Chaque jour, je partagerai avec toi : ✨ un souvenir intime, ✨ un enseignement tiré de l'accompagnement, ✨ et une clé concrète pour mieux vivre la fin de vie — comme proche ou comme professionnel.
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NEWS: Marcos names former PNP chief Azurin as new ICI investigator | Sept. 30, 2025Subscribe to The Manila Times Channel - https://tmt.ph/YTSubscribe Visit our website at https://www.manilatimes.net Follow us: Facebook - https://tmt.ph/facebook Instagram - https://tmt.ph/instagram Twitter - https://tmt.ph/twitter DailyMotion - https://tmt.ph/dailymotion Subscribe to our Digital Edition - https://tmt.ph/digital Check out our Podcasts: Spotify - https://tmt.ph/spotify Apple Podcasts - https://tmt.ph/applepodcasts Amazon Music - https://tmt.ph/amazonmusic Deezer: https://tmt.ph/deezer Stitcher: https://tmt.ph/stitcherTune In: https://tmt.ph/tunein #TheManilaTimes#KeepUpWithTheTimes Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
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Depuis quelques semaines, les rues anglaises se parent de drapeaux : l'Union Jack, le drapeau britannique ou encore la croix rouge de Saint-Georges sur fond blanc, drapeau de l'Angleterre. Certains rond-points ont également été repeints aux couleurs nationales. Cette campagne « Raise the Colours » (Levez les drapeaux, en français), encouragée par le leader d'extrême droite Nigel Farage, intervient alors que les hôtels accueillant des demandeurs d'asile sont visés par des manifestations nationalistes. Notre correspondante s'est rendue dans l'un des quartiers ciblés par l'opération. De notre correspondante en Angleterre, À deux pas du quartier d'affaires de Canary Wharf, visé par des manifestations anti-migrants depuis deux mois. Les lampadaires sont bardés de drapeaux anglais, croix rouge sur fond blanc, financés par des groupes liés à l'extrême droite sur les réseaux sociaux. Les cordes claquent au vent. « Une tentative d'intimidation » Tom, qui ramène sa fille de l'école, aimerait les voir disparaître : « Je ne peux pas dire que j'aime ça. Je le vois comme une tentative d'intimidation, c'est une manière de dire à une partie des gens qui vivent par ici : vous n'êtes pas chez vous. Quand les Anglaises ont gagné l'Euro il y a deux mois, il n'y avait pas de drapeaux, donc je ne pense pas que ce soit une histoire de fierté nationale. » Des drapeaux qui disent « vous êtes chez nous ». C'est exactement l'interprétation de Michael, qui a participé aux manifestations dans le quartier : « Les gens qui viennent ici doivent respecter le Royaume-Uni, ses lois, ses valeurs. Le gouvernement n'arrive pas à freiner tous ces immigrants qui arrivent. Mais quand vous êtes une minorité, que vous venez vivre ici, légalement ou non, vous n'êtes pas chez vous ! » Ici, la mairie a fait retirer plusieurs étendards. Mais dans les rues, certains expatriés, comme ce jeune Portugais, n'y voient pas de menace : « C'est le signe que les gens aiment leur pays, en sont fiers. Cela ne me dérange pas. » Les drapeaux, fierté nationale ou signe d'une radicalisation de la société ? Le Premier ministre Keir Starmer lui-même a dû trancher sur la BBC : « Chez nous, nous avons une croix de saint Georges. J'encourage les drapeaux, c'est un symbole de patriotisme, mais ils ne doivent pas être dévalués et utilisés pour diviser. Je ne veux pas de ça, je suis fier de notre drapeau. » À lire aussiRoyaume-Uni: le militant d'extrême droite Tommy Robinson réunit plus de 100 000 personnes à Londres Pas de condamnation, bien au contraire. John Denham, chercheur en politique à l'université de Southampton, souligne que contrairement à d'autres, le Royaume-Uni ne réserve pas ses drapeaux aux nationalistes : « Nous ne sommes pas une nation qui agite ses drapeaux. C'est historique : nous étions le plus grand Empire du monde. Les drapeaux, c'était pour [les colonies], les Américains par exemple. Nous n'en avions pas besoin. Par conséquent, aujourd'hui, chacun donne le sens qu'il veut au drapeau. » En clair, pour ce professeur proche du Parti travailliste : la campagne « Raise the Colours » a fait long feu : « Je pense que les groupes d'extrême droite espéraient susciter des réactions de la part de la gauche, qu'elle demanderait le retrait des drapeaux. Ce qui aurait permis à ces groupes de se présenter comme les seuls patriotes. Ça n'a pas fonctionné. » Certains poseurs de drapeaux encourent aujourd'hui des poursuites pour dégâts criminels, après avoir tagué la croix de saint Georges sur des ronds-points et aux abords de mosquées. À lire aussiIrlande: importé du Royaume-Uni, le mouvement «hisser les couleurs» interpelle
La marche du monde est au MuCem à Marseille. Le Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée accueille pour la 5ème édition le colloque Balkan Matters, un rendez-vous scientifique international où les cultures matérielles des Balkans sont à l'honneur ! Ici on s'intéresse à l'usage des objets en général et à l'usage de la radio en particulier ! Radio Moscou, Radio Sofia, Radio Bulgaria, chaque radio de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques diffuse ses propres programmes au temps de la guerre froide. Des archives méconnues, souvent perdues, des souvenirs d'auditeurs, des histoires sensibles, à la fois intimes et collectives sur lesquelles nos invités anthropologues ont longuement enquêté. Avec Aliki Angélidou, de l'Université Panteion des Sciences sociales et politiques à Athènes, nous réveillons la mémoire des réfugiés grecs de la guerre civile tandis qu'avec Olivier Givre, de l'Université Lumière Lyon 2, nous partons sur le terrain à la recherche d'un mystérieux poste de radio appelé Radiototchka ! Tous nos remerciements - Au MucemLab et particulièrement à Anne Faure - À l'équipe de Balkan Matters et particulièrement à Olivier Givre - À l'équipe de RFI et particulièrement à Jad El Khoury et Sophie Janin - À découvrir, l'exposition de Alain Blum et Emilia Koustova «Sur les traces des lituaniens déportés par Staline». Pour aller plus loin Série «Les voix du goulag» sur RFI.
Philippe Dautais nous propose une nouvelle méditation, après celles de la Semaine sainte de cette année. Ici, il a souhaité nous présenter les spiritualités de deux grands saints dont le rayonnement ne faiblit pas depuis le début du XXème siècle. Les proximités sont effectivement nombreuses, entre Saint Silouane de l'Athos (1866-1938) et Sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897). Il y a déjà les dates de leurs fêtes respectives : le 24 septembre pour le moine russe, le 1er octobre pour la carmélite française, d'où l'idée de cet épisode diffusé à partir du 28 septembre, exactement entre ces deux fêtes. Philippe Dautais nous présente « deux grands témoins de l'unité », deux grandes figures dont les enseignements convergent dans les aspects les plus essentiels de la vie chrétienne. Issus de traditions, d'histoires, de contextes très différents, ils se rejoignent dans le même message, la mise en évidence de l'action de la miséricorde divine sans laquelle on ne peut rien faire. Ils révèlent cette même pédagogie divine du cœur de Dieu, qui est tourné vers ceux qui souffrent. Les entrailles de sa miséricorde vibrent. Elles portent en elles le pardon, la compassion, le mouvement d'amour, le tressaillement intérieur dans l'amour. Tous les deux, Thérèse et Silouane nous révèlent ce Dieu qui n'est ni le gendarme, ni le punisseur qui peut condamner à l'enfer. Les grands saints vénérés par deux des grandes Églises chrétiennes nous débarrassent du faux Dieu dont les caricatures ont trop longtemps envahi les milieux chrétiens. Ils nous invitent à revenir à l'Évangile, c'est-à-dire à l'origine même du message divin qui nous a été transmis par le Christ. Dans son amour, sa présence et son attente constante, il veut notre bien à tout instant. Philippe Dautais conclue sa profonde méditation par une réflexion porteuse de lumière, de force et d'espérance sur l'épreuve, sur la mort et l'au-delà. La puissance divine est infinie. Cela signifie qu'elle rejoint tous les hommes et toutes les femmes. Même jusqu'aux cœurs des enfers, croit-il, où l'éternité usera tous ceux qui résistent au rayonnement de l'amour de Dieu. -------------- Pour lire La voie du coeur, l'un des ouvrages écrits par Philippe Dautais, cliquer ici. Pour découvrir le Centre Sainte-Croix, créé et animé par Philippe et Élianthe Dautais, cliquer ici. L'AVENTURE DE ZETEO Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Vivre l'aventure d'un podcast comme Zeteo, c'est vivre des expériences extraordinaires à un rythme extraordinaire. Puisqu'il n'y a pas une semaine sans qu'elle soit marquée pour moi par au moins une rencontre merveilleuse. Voire deux, voire plus parfois, comme ce fut le cas au cours de celle qui s'achève. C'est ainsi que, chaque semaine, se renouvelle la dynamique qui s'est créée avec ce podcast, et qui fait circuler une merveilleuse énergie entre ses invités, ses auditeurs, ses bienfaiteurs. Elle est merveilleuse, parce qu'elle transforme tout ce qui est ordinaire en extraordinaire, comme l'aurait si bien dit la petite Thérèse, l'une des deux grandes figures de la méditation de Philippe Dautais qui est diffusée dès aujourd'hui. Le rayonnement de cette énergie lumineuse est profondément transformateur. Il nous change tous. Il illumine à jamais la pépite d'Or qui est en chacun. C'est ainsi que vit cette si belle « fraternité, cette communion des cavaliers de l'invisible » qui nous rassemble. Cette magnifique expression, elle vient de l'invitée d'un prochain épisode. La fraternité et la communion sont tellement précieuses. Nous avons besoin les uns des autres. La bienveillance, la prière, la protection que nous nous apportons les uns aux autres sont des feux qui nous réchauffent, qui nous guérissent et qui nous annoncent la lumière même au cœur de la nuit. Sinon, les temps difficiles que nous traversons, dans notre vie collective comme dans nos vies respectives, le seraient encore plus. Je tiens ici à dire mon immense gratitude pour tant de frères et de soeurs en communion ! L'aventure de la vie, comme celle de Zeteo qui nous relie ici, est tellement belle ! La plus belle expression de cette beauté, c'est la joie. Pour finir ce message, me vient le chant que le génie de Jean-Sébastien Bach a élevé comme l'une des prières les plus belles : Jésus, que ma joie demeure. Belle semaine à tous, Pour soutenir l'effort de Zeteo, podcast sans publicité et d'accès entièrement gratuit, vous pouvez faire un don. Il suffit pour cela de cliquer sur l'un des deux boutons ci-dessous, pour le paiement de dons en ligne au profit de l'association Telio qui gère Zeteo. Cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. 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durée : 00:07:09 - Le journal de 7h, ici Gascogne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:11:42 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - "Ce soir en France" : Reportage aux grottes de Lascaux avec les jeunes gens qui les découvrirent, 1ère diffusion sur la Chaîne Parisienne le 26/09/1948. - réalisation : Virginie Mourthé
Ici il ne s'agit pas de faire face au sens de "l'opposition" mais bien de trouver des solutions pour habiter encore les territoires en dépit de ses fléaux. Pour exemple, dans les DOM-TOM, il faudra, sur un temps long, déplacer sensiblement le village de Miquelon pour échapper à sa submersion marine. Ce positionnement d'une agence d'urbanisme mure, qui accompagne les habitants et les collectivités territoriales, nous intéresse beaucoup. Il nous permet d'interroger puis de mesurer le "coefficient" de l'intérêt général, et son importance en période de pleine instabilité politique. L'agence Métamorphoses Urbaines nous apparaît ainsi, tel un socle de compétences et de résilience, qui permettra à la ville d'opérer ses mutations tout en préservant ses richesses culturelles dans les décennies à venir. C'est pourquoi nous avons choisi d'ouvrir les interviews de la Saison 7 en studio, juste après le cas d'école "Les Fabriques" in situ à Marseille (agence Brenac & Gonzalez & Associés), par l'interview du dirigeant et fondateur de Métamorphoses Urbaines, Laurent Pinon.Dans cet échange avec Anne-Charlotte, vous y trouverez tous les ingrédients qui vous permettront de croire en l'avenir : le parcours de Laurent, son dévouement envers les populations, son écoute attentive, son travail ouvert aux autres disciplines, son acuité pour l'élaboration d'un bon diagnostic et du bon traitement, tel un médecin des territoires !Conseil audio Nyre Image teaser © comdarchipodcast____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui on va parler d'un sujet qui n'avait encore jamais été abordé dans DECODEUR : les toilettes. Or les toilettes ne sont pas un détail. C'est un sujet dont on parle trop peu alors qu'il nous concerne tous et que, vous allez voir, est passionnant… allez go chez Griffon, une marque qui se distingue sur 2 aspects depuis les années 50 : une fabrication française qui valorise le savoir faire local et un style rétro, raffiné, notamment grâce à des couleurs aussi subtiles qu'un nuancier de peinture. Oui les toilettes peuvent être belles, confortables, robustes et responsables, tout en intégrant des contraintes techniques et des innovations… c'est d'ailleurs tout ce dont on va discuter avec François Mounier le CEO de Griffon. Ici on parle des éléments essentiels qui constituent les toilettes et les 2 grands modèles qui existent au moment du choixdes modèles iconiques de Griffon et ce qui fait leur différence en quoi ils sont géniaux pour personnaliser son intérieur grâce à un très joli nuancier de couleurs ce qu'on a tendance à trop négliger au moment de l'achatl'importance de défendre les circuits courts et le made in France, ce qui n'est pas tjrs plus cherdu sujet ultra sensible de l'immense consommation d'eau versus la solution des eaux grises de rester humble dans un univers fortement concurrentieldes meilleures innovations à venir de l'histoire familiale de Griffon et de la vision de François depuis son arrivée de sa petite équipe et de ses grands défis à venir et bien sûr de quelques anecdotes car ce sujet ne doit pas être tabou !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas