Landlocked country in West Africa
POPULARITY
Categories
On this episode of the “Prison Pulpit” on the China Compass podcast I dive into what missionary pilot Kevin Rideout might be experiencing in Niger (or Timbuktu) after being kidnapped by Islamic extremists (but I repeat myself) last month, in the hopes that we will take time to "remember his chains" and intercede for him as Hebrews 13:3 teaches us to do.... I'm your China travel guide, Missionary Ben, back home in Malaysia. Follow me on Twitter/X (@chinaadventures) where I share daily reminders to pray for China.You an email me anytime @ bfwesten at gmail dot com and learn more about our strategic prayer and missions projects @ PrayGiveGo.us! American Missionary Pilot Kidnapped in Niger (Oct 22) https://christianchronicle.org/missionarypilot/ https://www.christianpost.com/news/american-missionary-pilot-kevin-rideout-is-abducted-in-niger.html First, a couple of facts about where Kevin lived, and where Niger is located… He was in an upscale neighborhood of Niamey, the capital of Niger The US Embassy of Niger was just 2 miles away (8 minute drive) The Niger Natl Guard and Presidential Palace were just a mile away Niamey is located 125 miles west of NW Nigeria, and 125 south of Mali’s southern border Kevin was reportedly taken north towards Mali, home to the infamous city of Timbuktu. Niamey is 500 miles north of the Atlantic Ocean (leap-frogging Benin) Niamey is in the south Sahara, 1500 miles from the Mediterranean and 2100 miles from Cairo Niger is about twice the size of Texas, 3x the size of California, and virtually the same as Peru Niamey has about a million people, and Niger as a whole 25 million Niger has both the highest birthrate in the world at 6.5, but also the highest infant mortality rate The child mortality rate (child deaths before age 5) is between 80 and 250 per 1,000 (1 in 4) Niger is such a basketcase that even China has trouble getting them to cooperate, despite throwing hundreds of millions (billions, really) of dollars their way! China and Niger: https://northafricapost.com/88430-chinas-costly-gamble-niger-exposes-risks-of-regime-agnostic-diplomacy-in-africa.html https://www.scmp.com/news/china/diplomacy/article/3313824/china-niger-ties-challenge-beijings-cornerstone-non-interference-policy Follow China Compass Subscribe to China Compass wherever you get your podcasts. Follow me on X (@chinaadventures), check out our website (PrayGiveGo.us) and email anytime @ (bfwesten at gmail dot com). Hebrews 13:3!
U 214. epizodi Njuz Podkasta ulazimo u "Ćacilend" – analiziramo atmosferu straha i apsurda koja je obeležila Srbiju. Nakon što je Dijana Hrka prekinula štrajk glađu, osvrćemo se na brutalnost policije u Novom Sadu, gde su mete postali čak i maloletnici. Zašto je zlo u Srbiji postalo toliko patetično? Dok nam prete američke sankcije zbog NIS-a, a ministarka energetike paniči, Vučić i Siniša Mali igraju igru "dobrog i lošeg policajca". Mi imamo bolje rešenje – otkrivamo ekskluzivni plan kako da Njuz.net kupi Naftnu industriju Srbije i reši krizu sa benzinom jednom za svagda. Takođe, komentarišemo kako je Milan Antonijević postao SNS kandidat i sahranio mit o "menjanju sistema iznutra".
C'est un véritable cri d'alarme qu'a lancé hier le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres : « il est absolument essentiel que, malgré les divergences, nous construisions une plateforme de coopération entre les services de renseignement et de sécurité » des pays du Sahel, a-t-il affirmé. Des propos relayés par Le Monde Afrique. « Antonio Guterres a appelé à l'union, sur ce sujet, entre les pays de la Cédéao, ceux de l'Alliance des États du Sahel, formée par les juntes souverainistes au pouvoir au Mali, au Niger et au Burkina Faso, ainsi que la Mauritanie, le Tchad et l'Algérie ». Il faut dire, poursuit Le Monde Afrique, que « le nombre d'attaques jihadistes au Sahel a explosé en six ans, passant de 1900 en 2019, principalement concentrées à la frontière entre le Mali et le Burkina Faso, à plus de 5500 en 2024 et 3800 avant le 10 octobre de cette année, sur une zone désormais grande comme deux fois l'Espagne. Ces attaques ont fait près de 80 000 morts ». Ces chiffres, précise le journal, émanent d'une compilation effectuée par l'Agence France Presse basée sur les données de l'organisation ACLED, une ONG américaine spécialisée dans la fourniture de données et d'analyses sur les conflits partout dans le monde. Blocus Outre les attaques contre des civils et contre l'armée, le Mali est confronté depuis début septembre à un blocus sur le carburant imposé par les groupes jihadistes. Depuis, Bamako est asphyxiée en raison des pénuries d'essence. « Jamais, constate Jeune Afrique, la capitale malienne n'avait subi pareille pression depuis le déclenchement de la guerre, en 2012, lorsque les insurgés, s'emparant de Kidal, Ménaka, Tombouctou et Gao, menaçaient de descendre jusqu'à Bamako. S'il est peu probable que la ville tombe à court terme, en dépit de l'emballement médiatique qui a suivi les alertes d'ambassades occidentales qui ont appelé leurs ressortissants à "quitter immédiatement" le pays fin octobre, la situation de ces dernières semaines, pointe Jeune Afrique, n'en reste pas moins d'une gravité inédite. Face aux métastases jihadistes, qui atteignent désormais des régions jusqu'alors relativement épargnées par le conflit, Sikasso, Kayes ou Bamako ne peuvent plus ignorer l'ampleur de la dégradation sécuritaire ». Des « récits alarmistes » Sur place à Bamako, les médias proches du pouvoir minimisent la situation… « Aujourd'hui, alors que le Mali affirme sa souveraineté et redéfinit ses partenariats sécuritaires, des récits alarmistes ressurgissent, s'exclame ainsi Mali Tribune. Ils visent à semer le doute sur la capacité du pays à se gouverner et à assurer sa propre sécurité. Pour les autorités maliennes, il s'agit d'une véritable guerre psychologique, destinée à affaiblir la cohésion nationale et à préparer l'opinion internationale à une nouvelle forme d'ingérence ». Fousseynou Ouattara, vice-président de la Commission Défense du Conseil National de Transition, interrogé par Africa Radio, va plus loin : il rejette catégoriquement les affirmations d'un affaiblissement de l'État face aux jihadistes du Jnim. Il assure que Bamako est sécurisée, que les blocus de carburant relèvent d'une « fiction médiatique », une « invention des médias français » et il interpelle les pays occidentaux sur leurs alertes sécuritaires. Sahel Tribune, proche du pouvoir, invoque le principe de souveraineté : « les États sahéliens ne demandent pas une simple assistance sécuritaire, mais une reconnaissance claire de leur droit souverain : celui de se défendre, de choisir leurs alliances et de rompre avec des tutelles paternalistes ». Refondation ? Reste que « la montée de l'extrémisme religieux, menace la paix et la cohésion sociale au Mali », reconnait pour sa part Le Pouce, autre publication bamakoise. « Les germes de la division sont plantés par quelques individus soutenus par des puissances étrangères qui ont des intérêts à défendre et qui n'ont rien à voir avec le chemin de Dieu », affirme encore Le Pouce. Enfin, le site Bamada appelle à une refondation : « le Mali se trouve aujourd'hui à la croisée des chemins. Les difficultés que traverse le pays ne relèvent plus d'un simple passage à vide ; elles traduisent un malaise profond et multiforme qui touche toutes les couches sociales. (…) Il faut rebâtir ensemble », poursuit Bamada, avec « une armée unie, solide et respectée, une société civile libre et vigilante, des réponses énergiques et visibles aux souffrances quotidiennes, la reconstruction des partis politiques, la libération de toute personne détenue pour avoir exprimé une opinion et le retour digne des exilés non poursuivis par la justice ».
Medio millón de españoles huyeron del país en 1939. Otros dos millones emigraron después para ganarse la vida en Europa y por causas políticas. Hoy viven en España nueve millones de personas de origen extranjero que han llegado a nuestro país por razones económicas o buscando refugio. Isabel Jiménez analiza esta transformación con la ayuda de dos voces separadas por medio siglo: la de Julia Hidalgo, militante del PCE y exiliada política, y Abdulaye Traoré, refugiado en España tras huir de Mali.Escuchar audio
L'artiste malienne Rokia Traoré publie aux éditions J.-C. Lattès Je suis née libre. Disponible depuis le 29 octobre 2025, le livre interroge sur les rapports entre l'Europe et l'Afrique et sur les droits des femmes entre autres. Et la journaliste, mais aussi chanteuse Fanny Marsot présente Pani zétwal, chanson disponible depuis le 17 octobre et en collaboration avec le pianiste de jazz Jimmy Felvia. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Rokia Traoré - Tuit tuit Rokia Traoré - Nè so Fanny Marsot x Jimmy Felvia - Pa ni zetwal Rokia Traoré - Tu voles Rokia Traoré - Obikè Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.
durée : 00:03:43 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Selon le ministre des Affaires étrangères maliens, Abdoulaye Diop, les pénuries d'essence et l'avancée des djihadistes vers Bamako est un complot orchestré par des agents de l'étranger Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:43 - Sous les radars - par : Sébastien LAUGENIE - Selon le ministre des Affaires étrangères maliens, Abdoulaye Diop, les pénuries d'essence et l'avancée des djihadistes vers Bamako est un complot orchestré par des agents de l'étranger Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
„Mali na výber zdanlivo pokojný život alebo boj za lepší svet. Rozhodli sa pre to druhé. Pre slobodu boli ochotné veľa riskovať a obetovať. Tvorili výraznú časť disentu. Bez nich by k historickým zmenám v roku 1989 nedošlo. Či už žili v Poľsku, alebo v Československu, spájal ich odpor proti komunistickej moci a viera v silu spoločenstva, ktorého podstatou je spoluzodpovednosť a solidarita.“ Toto sú úvodné slová výstavy o ženách v disente, autenticky stredoeurópskej výstavy, ktorú si budete môcť pozrieť od 14. novembra v Poľskom Inštitúte v Bratislave pod názvom Každodenná odvaha: Češky, Poľky a Slovenky v protikomunistickej opozícii v rokoch 1968 – 1989. A práve o tejto výstave a o témach, ktoré prináša, je najnovší diel Dejín. Prečo má dnes zmysel hovoriť o ženách, ktoré sa vzopreli štátnemu útlaku a spoločenským očakávaniam? V čom sa líšili príbehy Poliek, Sloveniek či Češiek? A v čom boli podobné? Čo tieto ženy riskovali? A ako za svoju odvahu zaplatili? Historička Agáta Šústová Drelová sa rozprávala so sociologičkou Oľgou Gyarfášovou z Fakulty sociálnych a ekonomických vied Univerzity Komenského a s historikom Františkom Neupauerom z Ústavu pamäti národa, ktorí zo slovenskej strany spolupracovali na výstave spolu so Soňou Gyarfášovou a Zuzanou Luprichovou. Výstava je spoluorganizovaná Poľským inštitútom, Ústavom pamäti národa, Ústavom pre štúdium totalitných režimov a Múzeom pamäti 20. storočia. – Ak máte pre nás spätnú väzbu, odkaz alebo nápad, napíšte nám na jaroslav.valent@petitpress.sk – Všetky podcasty denníka SME nájdete na sme.sk/podcastySee omnystudio.com/listener for privacy information.
Championne du monde de boxe et autrice reconnue, Aya Cissoko est l'invitée exceptionnelle de Mondial Sports ce samedi. Qualifiée, une boxeuse de «battante» pourrait relever du cliché. Dans le cas d'Aya Cissoko, l'expression est particulièrement choisie. Née à Paris de parents maliens, la championne du monde et championne d'Europe (c'était il y a 20 ans), a su surmonter les drames personnels pour s'imposer sur le ring. Mais ce n'est pas tout : une fois les gants raccrochés, Aya Cissoko a eu le courage et le talent de passer du noble art à l'art d'écrire, et ce dès 2011 avec «Danbé», co-signé par Marie Desplechin (Calmann-Lévy, 2011). Depuis, elle a publié deux autres ouvrages dont «Au nom de tous les tiens», paru en 2022 aux éditions du Seuil. Ce samedi, dans Mondial Sports, elle échangera notamment avec Marie Camara, autre reine des rings et porte-drapeau du Mali lors des Jeux de Paris. Jean-Philippe Lustyk, voix et encyclopédie vivante du noble art en France, sera également aux côtés de Sophiane Amazian ce samedi. Le gong de Mondial Sports retentit à 16h10, temps universel ! Le son sera disponible dans cette page à partir de samedi 18h05.
Rok 2009, Košice, dve deti. Rok 2012, Huncovce, žena a jej dve deti. Tri roky neskôr, Malcov, 97 ľudí prišlo o strechu nad hlavou. 2016, Košice, Mašličkovo, jedno dieťa. Rok 2021, Sabinov, dvaja dospelí. Marec 2025, Veľký Šariš, päť detí a žena. A napokon 10. november 2025, Košice, Mašličkovo, dve deti. Je to len časť tragédií, ktoré opakovane zasahujú extrémne chudobných ľudí z osád na Slovensku. Tí s klesajúcou teplotou stoja pred dilemou, či si zakúria a riskujú požiar, alebo zmrznú. Dá sa s tým spraviť niečo dostatočne rýchlo na to, aby sme o podobných nešťastiach viac nepočuli? O téme sa Nikola Šuliková Bajánová rozpráva s moderátorkou a redaktorkou denníka SME Zuzanou Kovačič Hanzelovou. Zdroj zvukov: STVR Odporúčanie Už túto nedeľu – 16. novembra sa vo viacerých slovenských mestách uskutoční festival Nežná. Hodnoty, ktoré pred 36 rokmi vybojovali odvážni jedinci, môžete osláviť aj v spoločnosti denníka SME. V Bratislave sa na Námestí slobody budú v rámci festivalu konať hneď tri verejné nahrávania našich podcastov. O 11. hodine sa v Dejinách moderátor Jaro Valent bude rozprávať s publicistkou Soňou Gyarfášovou a historikom Ľubomírom Morbacherom o tom, ako november ’89 prežívali politickí väzni a či sa dočkali právnej, finančnej alebo aspoň ľudskej satisfakcie. V Aréne Naživo sa zase Jana Krescanko Dibáková stretne s hercom a bývalým ministrom kultúry Milanom Kňažkom a herečkou Kristínou Tormovou. Diskusia o angažovaní sa za slobodu sa bude konať medzi 14. a 15. hodinou. A napokon sa o 17. hodine môžete pozrieť na nahrávanie Dobrého rána sobota so Zuzanou Kovačič Hanzelovou a Jakubom Filom, ktorí sa s herečkou Zuzanou Fialovou a hudobníkom a riaditeľom festivalu Pohoda Michalom Kaščákom zamyslia nad tým, akou krízou si demokracia prechádza dnes a či o ňu nebudeme musieť bojovať znovu. Vstup na všetky diskusie je voľný, nájdete nás v Stane slobody, na Námestí slobody v Bratislave, už túto nedeľu 16. novembra. Tešíme sa na vás! A to nie ešte nie je všetko, ak hľadáte program na dnešný večer, tak Piatoček dnes o 19.30 robí v Kácečku vedomostnú súťaž Nie alebo áno, v ktorej si môžete overiť svoje vedomosti z bizarností politiky fyzicky na mieste, ale aj online doma. Lístky nájdete na www.piatocek.com. – Všetky podcasty denníka SME nájdete na sme.sk/podcasty – Odoberajte aj audio verziu denného newslettra SME.sk s najdôležitejšími správami na sme.sk/brifingSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Il y a deux ans, jour pour jour, l'armée malienne faisait une entrée triomphale, après près d'une décennie de contrôle par la rébellion touareg. Une victoire symbolique pour Bamako, rendue possible grâce au soutien du groupe Wagner. Mais aujourd'hui, le contexte sécuritaire s'est à nouveau dégradé : les groupes jihadistes gagnent du terrain, les tensions resurgissent dans le nord, et même l'armée malienne connaît des dissensions internes.
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
Au Mali, la progression du JNIM et son blocus autour de Bamako font craindre une possible avancée vers le pouvoir. A Washington, cette semaine, le Président syrien par intérim, Al-Charaa poursuit son opération de réhabilitation diplomatique. En Algérie, Boualem Sansal est gracié. L'Allemagne a joué un rôle majeur dans ce dénouement. Enfin, en France, les commémorations du 13-Novembre ravivent l'émotion tandis que les autorités alertent sur une menace terroriste toujours élevée.
« L'Afrique est-elle le prochain califat ? », demandait il y a deux ans l'universitaire français Luis Martinez, dans un ouvrage au titre provocateur, paru aux éditions Tallandier. Aujourd'hui, la question se pose au Mali, où les jihadistes du Jnim essayent d'imposer le blocus de Bamako et où les États-Unis et la France conseillent à leurs ressortissants de quitter le pays au plus vite. Mais y a-t-il vraiment une menace sécuritaire de la part des jihadistes sur la ville de Bamako ? Luis Martinez, qui est directeur de recherches au Centre de recherches internationales (CERI), répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Deux ans après la sortie de votre livre, continuez-vous de penser que l'Afrique peut devenir le prochain califat ? Luis Martinez : Je pense qu'en Afrique, et en particulier dans le Sahel, il y a des conditions pour voir émerger des territoires qui seraient gouvernés par des jihadistes, qui chercheraient à mettre en œuvre ce qu'ils cherchent depuis quelques années, à savoir un califat. Quand vous dites que le jihadisme est en expansion, pensez-vous en priorité à l'Afrique de l'Ouest ou à l'Afrique de l'Est ? Disons que le vivier, le cœur ou l'épicentre, c'est clairement le Sahel. Tout simplement parce que les conditions de ces dix dernières années nous montrent qu'il y a eu une constellation qui a favorisé leur expansion. Je ne reviens pas sur les déterminants intérieurs et régionaux, mais les conditions ont été vraiment propices à leur développement. Et leur projet ne s'arrête pas là. Il est clair qu'on voit bien qu'il y a des tentatives vers l'Afrique de l'Ouest, sur le Bénin, le Togo, le Nigeria, bien évidemment, et depuis longtemps dans certaines régions. Mais le Sahel reste quand même l'épicentre en raison d'un certain nombre de conditions qui sont quand même très favorables. Certains observateurs disent qu'après ses échecs en Irak et en Syrie, le groupe État islamique essaie de faire de l'Afrique de l'Est une base de repli, notamment en Somalie ? En Somalie, c'est clair qu'il y a dans l'État semi-autonome du Puntland ou d'autres régions, là aussi, des conditions qui pourraient amener à une installation. Mais en même temps, on est en Somalie, c'est un environnement qui, peut-être, n'est pas celui du Sahel, avec un engagement des États-Unis qui, sans doute, limite ou limiterait, dans la durée, la possibilité de vraiment s'y installer. Pour revenir à l'Afrique de l'Ouest, quel est, à votre avis, le pays le plus exposé à l'instauration d'un éventuel califat jihadiste ? Clairement, c'est le Mali qui apparaît dans l'agenda jihadiste comme celui qui pourrait le plus facilement, dans les semaines, les mois, voire les années à venir, constituer un terrain nouveau d'instauration d'un califat. Alors pourquoi ? Tout simplement parce qu'il y a quand même un isolement de Bamako, à la fois vis-à-vis de la France et vis-à-vis du voisin algérien. Mais également, ses partenaires et alliés, que ce soit le Burkina ou le Niger, ont eux-mêmes de graves difficultés sur place pour pouvoir lui venir en aide. Quant à la Russie, je pense que les quelque 2 000 ou 3 000 mercenaires de l'Africa Corps ne peuvent strictement rien faire face à une insurrection jihadiste. On l'a vu avec la France avec ses 6 000 hommes, ce ne sont pas les 2 000 ou 3 000 hommes de la Russie qui vont modifier la donne. Je pense que l'approche militaire, de toute manière, est vouée à l'échec. Parce qu'il faudrait vraiment passer par les armes et faire des massacres dans toutes les régions du Mali pour restaurer l'ordre et la sécurité, ce que quasiment aucun État occidental n'assumerait de faire. Et évidemment, la Russie a d'autres soucis en Europe et en Ukraine pour pouvoir considérer que le Mali est stratégique dans sa politique. Aujourd'hui, l'armée malienne est quand même assez isolée pour pouvoir bénéficier d'une capacité, non seulement de résistance, mais de reconquête de son territoire. Cela me semble, comme beaucoup d'observateurs, voué à l'échec. Quand vous voyez que les États-Unis et les grands pays européens appellent leurs ressortissants à quitter Bamako, y voyez-vous le signe d'une prise possible de cette capitale africaine, notamment par le Jnim d'Iyad Ag Ghaly ? Je ne sais pas dans les détails. Aujourd'hui, Bamako peut tomber ou pas. Ce qui est sûr, c'est que depuis quelques années, le Jnim a construit une vraie stratégie pour, entre guillemets, isoler Bamako sur le plan territorial, isoler le pouvoir politique sur le plan sociétal, dont l'influence est limitée. Et maintenant, sans doute, chercher à l'isoler économiquement, financièrement. Toutes ces conditions vont-elles faire que les militaires à Bamako vont considérer qu'il n'y a plus d'échappatoire ? Ou bien vont-ils estimer qu'ils peuvent s'en accommoder ? Un peu comme à Kaboul où, pendant des années, on s'est accommodé de ne pas pouvoir sortir au-delà de 30 km de Kaboul, parce qu'il y avait les talibans à côté. Voilà, cela va dépendre. Le Jnim n'a aucune capacité, aujourd'hui, de conquête, au sens militaire du terme, d'entrer dans Bamako. Le Jnim a toujours recherché ce qu'on pourrait appeler des partenaires politiques, militaires et religieux pour lui ouvrir les portes de Bamako. C'est-à-dire faire en sorte que, de l'intérieur, on se débarrasse de la junte et on négocie des alliances avec le Jnim dans ce qu'on pourrait appeler une co-gouvernance de la capitale et de l'État malien. À une époque passée, pas très lointaine, il y avait l'imam Mahmoud Dicko qui aurait pu remplir ce rôle. Lui-même avait fondé le Coordination des mouvements, associations et sympathisants de l'imam Dicko (CMAS), ce qui est donc une sorte de coordination de mouvements civils et religieux qui avait encouragé un dialogue jusqu'en 2019 et 2020. À partir de 2022, les militaires au pouvoir à Bamako l'ont quasiment pourchassé. Il est exilé en Algérie en ce moment. Mais c'est ce type de personnage que les groupes jihadistes recherchent. C'est-à-dire des figures religieuses, politiques, voire demain militaires, qui puissent être des passerelles pour ouvrir les portes de Bamako. Parce que les djihadistes du Sahel sont pour beaucoup des Arabes et des Touaregs qui seraient minoritaires dans la ville de Bamako ? Il y a à la fois cette dimension ethnique, communautaire qui jouerait, mais en même temps, il y a l'expérience passée, c'est-à-dire la conquête militaire d'une ville, voire sa prise complète du pouvoir. Le Jnim a bien regardé ce qui s'est passé avec le groupe État islamique du côté de Syrte, en Libye. Cela a généré immédiatement une coalition internationale pour déloger le groupe État islamique de la ville de Syrte en 2014 et 2015. Donc il y a cette idée que le Jnim ne veut pas apparaître comme un projet politique radical qui s'imposerait à la société, mais comme une alternative politique et religieuse que la société serait prête à accompagner. Cela fait quelques années que le Jnim, entre guillemets, gouverne un certain nombre de régions, et Bamako serait un peu la vitrine. Entrer par la force à Bamako pourrait susciter des réactions tout à fait contraires à son projet. Il y a dix ans, les attentats de Paris et de Saint-Denis ont été prémédités et préparés au Moyen-Orient, et donc pas en Afrique de l'Ouest. Est-ce à dire que les jihadistes qui opèrent en Afrique et au Sahel ne représentent pas une menace terroriste pour l'Europe ? Il me semble que le contexte du Moyen-Orient, qui était quand même un contexte d'ingérence de forces étrangères extrêmement importantes – la guerre d'Irak, la guerre contre Al-Qaïda, et toute une série de variables – avait construit une vraie haine de l'Occident et des pays alliés à l'Occident. Il me semble que l'on n'a pas cette configuration aujourd'hui dans le Sahel. À la rigueur, je dirais presque que c'est une chance pour la France aujourd'hui de ne pas être associée à cette avancée spectaculaire des jihadistes et de ne pas chercher à les combattre militairement sur place. Tout simplement parce qu'ainsi cela ne va pas générer un certain nombre de griefs, de colère contre la France. Il y a déjà le passé colonial. Il y a déjà le passé post-colonial de la Françafrique. Je pense qu'aujourd'hui, la France est, entre guillemets, mieux lotie en étant loin de ce type de transformation de la société du Sahel plutôt qu'en y étant présente. Cela ne veut pas dire demain que cette région ne pourrait pas, bien évidemment, devenir une base pour certains groupes qui, entre guillemets, échapperaient à la gouvernance du Jnim et chercheraient à exploiter les failles d'une gouvernance califale pour frapper l'Occident. Cela, en toute sincérité, je n'en sais rien aujourd'hui. À lire aussiMali: record d'enlèvements d'étrangers par les jihadistes
Le Mali traverse une crise énergétique exceptionnelle : files d'attente interminables devant les stations-service, coupures d'électricité, activités paralysées, conséquences d'un blocus imposé par les groupes jihadistes dans ce pays déjà parmi les plus pauvres du monde. Les invités d'Eco d'ici Eco d'ailleurs décrypte la stratégie de ceux qui ont lancé ce bras de fer économique avec le pouvoir malien dirigé par des militaires.
Dans cette édition :Boualem Sansal, écrivain franco-algérien, donne de ses nouvelles depuis l'hôpital de Berlin où il est retenu, et exprime son espoir de rentrer bientôt en France.La nation rend hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, avec une cérémonie émouvante à Paris et la participation de milliers de personnes.Le président du Rassemblement National, Jordan Bardella, regrette de ne pas avoir été convié à la cérémonie officielle, qu'il juge comme un "mépris" envers des millions de Français.La menace terroriste reste préoccupante au Mali, où l'État islamique gagne du terrain et mène un "djihad économique" en coupant les routes et les approvisionnements.L'équipe de France de football se qualifie pour la Coupe du Monde 2026 aux États-Unis, avec une victoire 4-0 contre l'Ukraine, dans une ambiance particulière le 13 novembre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Mali traverse une crise énergétique exceptionnelle : files d'attente interminables devant les stations-service, coupures d'électricité, activités paralysées, conséquences d'un blocus imposé par les groupes jihadistes dans ce pays déjà parmi les plus pauvres du monde. Les invités d'Eco d'ici Eco d'ailleurs décrypte la stratégie de ceux qui ont lancé ce bras de fer économique avec le pouvoir malien dirigé par des militaires.
Dans cette édition :Boualem Sansal, écrivain franco-algérien, donne de ses nouvelles depuis l'hôpital de Berlin où il est retenu, et exprime son espoir de rentrer bientôt en France.La nation rend hommage aux victimes des attentats du 13 novembre 2015, avec une cérémonie émouvante à Paris et la participation de milliers de personnes.Le président du Rassemblement National, Jordan Bardella, regrette de ne pas avoir été convié à la cérémonie officielle, qu'il juge comme un "mépris" envers des millions de Français.La menace terroriste reste préoccupante au Mali, où l'État islamique gagne du terrain et mène un "djihad économique" en coupant les routes et les approvisionnements.L'équipe de France de football se qualifie pour la Coupe du Monde 2026 aux États-Unis, avec une victoire 4-0 contre l'Ukraine, dans une ambiance particulière le 13 novembre.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1. V čom sme prominenti
10 ans après les attentats de Paris, le terrorisme islamiste reste une menace mondiale. Mais son influence s'étend particulièrement en Afrique, surtout au Sahel où les jihadistes tentent de progresser vers les pays du golfe de Guinée. Comment vivez-vous cette menace ? Quel est l'impact sur votre quotidien ? Comment votre pays peut-il relever le défi sécuritaire ?
On les appelle des "enfants volés" car pour la plupart, ils ont été adoptés par des Français sans le consentement des parents biologiques. C'est au journal Le Monde que l'on doit les révélations au sujet de l'un des plus gros scandales d'adoption illégale entre la France et le Mali. Au bout de cinq ans d'enquête, le journal publie, à l'hiver 2022, des conclusions accablantes sur des conditions d'adoption illégales. Qui est responsable ? Qui d'autre est mis en cause ? Y a-t-il eu des sanctions ? Combien de cas sont recensés ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Johanna Cincinatis. Première diffusion : avril 2023 À écouter aussi : Qu'est-ce que l'affaire du Mediator, l'un des plus gros scandales sanitaires français ? Qu'est-ce que le scandale de l'Ozempic ? Qu'est-ce que le scandale des policiers Brav-M ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
L'émission 28 minutes du 13/11/2025 Mali : l'Afrique, nouvel épicentre du djihadisme et du terrorisme dans le monde ? La France a appelé, il y a quelques jours, ses ressortissants à quitter au plus vite le Mali en raison de la menace djihadiste. Bamako, la capitale du pays, est encerclée par les troupes du JNIM, Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans. Depuis deux mois, ce groupe islamiste proche d'Al-Qaida, impose de nombreux blocus sur des villages, dont les convois de carburant. L'objectif du groupe est d'imposer un "calife", selon le chef des services de renseignements extérieurs français. La terreur règne dans le pays. Vendredi dernier, Mariam Cissé, tiktokeuse malienne âgée de 20 ans, a été exécutée en public pour avoir publié des vidéos en faveur de la junte au pouvoir. Dirigée par le général Assimi Goïta, cette dernière avait demandé la fin de l'opération Barkhane au Mali en 2022. Depuis, les troupes françaises ont été remplacées par les forces russes, Africa Corps, milices ayant succédé à Wagner, qui se retrouvent elles-mêmes piégées par le groupe djihadiste. Le JNIM, proche d'Al-Qaida mais aussi de plusieurs émanations de Daech, est-il une menace pour la France ?On en débat avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Francis Kpatindé, enseignant à Sciences Po Paris, spécialiste de la diplomatie africaine et Anna Sylvestre-Treiner, chef du service Afrique au "Monde". 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 13/11/2025 Parler, c'est résister : le langage comme arme politique pour l'américain Ta-Nehisi CoatesJournaliste, écrivain, professeur d'université, scénariste : Ta-Nehisi Coates est sûrement l'un des penseurs afro-américains les plus influents de sa génération. Il publie "Le message" (éditions Autrement), un essai écrit après différents voyages dans trois lieux de conflits : au Sénégal, en Caroline du Sud et en Palestine. L'écrivain revient sur le pouvoir de l'écriture et à quel point elle peut être une arme. Il démystifie, entre autres, les récits sur l'île de Gorée, lieu symbolique de l'esclavagisme, questionne la déclaration d'indépendance des États-Unis et s'interroge sur les mécanismes de ségrégation en Palestine. Mali : l'Afrique, nouvel épicentre du djihadisme et du terrorisme dans le monde ? La France a appelé, il y a quelques jours, ses ressortissants à quitter au plus vite le Mali en raison de la menace djihadiste. Bamako, la capitale du pays, est encerclée par les troupes du JNIM, Groupe de soutien à l'Islam et aux musulmans. Depuis deux mois, ce groupe islamiste proche d'Al-Qaida, impose de nombreux blocus sur des villages, dont les convois de carburant. L'objectif du groupe est d'imposer un "calife", selon le chef des services de renseignements extérieurs français. La terreur règne dans le pays. Vendredi dernier, Mariam Cissé, tiktokeuse malienne âgée de 20 ans, a été exécutée en public pour avoir publié des vidéos en faveur de la junte au pouvoir. Dirigée par le général Assimi Goïta, cette dernière avait demandé la fin de l'opération Barkhane au Mali en 2022. Depuis, les troupes françaises ont été remplacées par les forces russes, Africa Corps, milices ayant succédé à Wagner, qui se retrouvent elles-mêmes piégées par le groupe djihadiste. Le JNIM, proche d'Al-Qaida mais aussi de plusieurs émanations de Daech, est-il une menace pour la France ?On en débat avec Marc-Antoine Pérouse de Montclos, directeur de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD), Francis Kpatindé, enseignant à Sciences Po Paris, spécialiste de la diplomatie africaine et Anna Sylvestre-Treiner, chef du service Afrique au "Monde". Enfin, Xavier Mauduit revient sur la grâce accordée à l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal pour nous parler de Dostoïevski, lui-même gracié en son temps. Théophile Cossa s'intéresse au fonctionnement de l'économie fragile des trains-couchettes et donne quelques idées de trains de nuit à tester. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Rencontre avec Seckou Keita, maître de la kora malienne, qui partage son parcours du Mali aux scènes mondiales et sa vision d'une musique universelle reliant les cultures et les cœurs.
Vincenzo Carrozza"Il traditore"Golem Edizioniwww.golemedizioni.itSeguito del libro “Ghost Medical Team”. Il GMT è chiamato a svolgere una nuova missione che coinvolge George, Lorenzo e tre soldati inglesi, in territorio nemico. George, leader del GMT, rimarrà ucciso. Lorenzo non è convito che la sua morte sia casuale, così, insieme al suo amico Giuseppe e Ciccio, il cane mascotte, comincia a cercare indizi. Entrambi sono convinti che George sia stato ucciso in seguito a un preciso ordine. Ma da parte di chi? E perché?La vicenda si snoda tra Inghilterra, Francia, Cuba e Russia e altri omicidi, mettendo a rischio la vita degli stessi due amici e Ciccio.Vincenzo CarrozzaMedico, specializzato in Chirurgia generale, dopo varie esperienze di lavoro in Italia e all'estero, decide di dedicarsi alla chirurgia di guerra. Somalia, Niger, Afghanistan, Mali, Kosovo e Ucraina diventano, allora, luoghi familiari, dove provare a dare speranza a bambini, donne, ragazzi, uomini per i quali la morte arriva inaspettata per via delle guerre, della fame, dei trafficanti, delle malattie, del terrorismo, del deserto e del mare grosso.Ghost Medical Team, pubblicato nel 2023 per Golem Edizioni, racconta di un team medico altamente segreto, al servizio di enti sovranazionali, nato per agire in zone ostili.Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
A long siege by al-Qaeda-linked fighters has left Bamako low on fuel, food and power. Life has stalled and fear is growing across Mali. The crisis now tests a military government that has promised safety yet cannot break the blockade. What does this mean for Mali and the wider region? In this episode: Beverly Ochieng (@BeverlyOchieng), analyst at Control Risks Episode credits: This episode was produced by Marcos Bartolomé and Melanie Marich, with Diana Ferrero, Farhan Rafid, Fatima Shafiq, Tamara Khandaker, and our host, Natasha del Toro. It was edited by Kylene Kiang. Our sound designer is Alex Roldan. Our video editors are Hisham Abu Salah and Mohannad Al-Melhem. Alexandra Locke is The Take’s executive producer. Ney Alvarez is Al Jazeera’s head of audio. Connect with us: @AJEPodcasts on X, Instagram, Facebook, and YouTube
Can Mali's military junta maintain its hold on power despite a jihadist blockade? What role are mercenaries playing in Africa's current conflicts. And the genesis of a new type of Algerian rai protest music known as "Way Way" Presenter: Audrey Brown Producers: Yvette Twagiramariya, Patricia Whitehorne, Bella Hassan and Mark Wilberforce in London with, Madina Maishanu in Abuja. Technical Producer: Jack Graysmark Senior Producer: Paul Bakibinga Editor: Andre Lombard and Alice Muthengi
durée : 00:58:37 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Au Mali, l'insurrection islamiste dirigée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, affilié à Al-Qaïda, met la junte militaire malienne, ainsi que son allié russe, en difficulté. Le GSIM poursuit ses offensives et espère prendre le pouvoir comme l'a fait Ahmed al-Chaara en Syrie. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Seidik Abba Président du Centre international d'études et de réflexions sur le Sahel (CIRES), un think tank basé à Paris ; Bakary Sambe Président-fondateur du Timbuktu Institute, basé à Dakar, et enseignant-chercheur au Centre d'étude des religions (CER) de l'Université Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal); Vincent Foucher Politiste, chargé de recherche CNRS au laboratoire Les Afriques dans le Monde (LAM) de Sciences Po Bordeaux
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'absence des États-Unis à la COP30, l'enrôlement de soldats africains dans l'armée russe et des mandats d'arrêt turcs contre des responsables israéliens. Mali : l'exécution d'une TikTokeuse bouleverse le pays L'assassinat de Mariam Cissé suscite un vif émoi sur les réseaux sociaux. La jeune influenceuse a été fusillée en public sur une place de la ville de Tonka, dans la région de Tombouctou, par des jihadistes présumés. Dans quelles circonstances a-t-elle été tuée ? Pourquoi s'en sont-ils pris à elle ? Avec Serge Daniel, correspondant régional de RFI sur le Sahel. COP30 : l'absence des États-Unis, une bonne ou mauvaise nouvelle ? Considérant la crise climatique comme « une grande escroquerie », Donald Trump a annoncé que les États-Unis, 2e plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre, n'enverraient aucun représentant de haut niveau à la COP30 qui se tient à Belèm au Brésil. Cette absence peut-elle avoir un impact sur les négociations ? Avec Stefanie Schüler, journaliste au service environnement-climat de RFI. Guerre en Ukraine : Kiev dit stop aux recrutements de combattants africains par Moscou Selon le ministère des Affaires étrangères ukrainien, Andrii Sybiha, 1 436 soldats africains de 36 nationalités différentes combattent sur le front en Ukraine pour le compte de la Russie. Quelle est la véracité de ce chiffre ? Comment ces recrutements s'organisent-ils ? Avec Lou Osborn, membre du collectif All Eyes on Wagner. Co-autrice de l'ouvrage « Wagner, enquête au cœur du système Prigojine » (éditions du Faubourg). Turquie : 37 mandats d'arrêt pour « génocide » contre des responsables israéliens Le parquet d'Istanbul a émis des mandats d'arrêt visant le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et 36 autres responsables israéliens, les accusant de « génocide » et de « crimes contre l'humanité » dans le cadre des opérations militaires à Gaza. Quel est le poids de ces mandats d'arrêt alors que depuis un an la CPI demande l'arrestation de Benyamin Netanyahu ? Avec Lyna Ouandjeli, chercheuse à l'Institut européen d'études sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (Eismena).
Au Mali, le JNIM – un groupe affilié à Al-Qaïda au Sahel – vise massivement les convois d'essence qui approvisionnent les villes maliennes. De nombreux pays ont annoncé le retrait de leur personnel non essentiel du Mali. La France, elle, a recommandé à ses ressortissants de quitter temporairement le pays dès que possible par les vols commerciaux encore disponibles.
Obstaja velika nevarnost da, tudi če boste današnji prispevek poslušali, ga ne boste slišali. Zunaj namreč divjajo martinovanja in alkoholiziranost, pijanost, nabitost, in podobni izrazi so glavna deviza nocojšnjega večera. Seveda ne nastopamo z moralističnih višav, ker bog ve, da smo v naši redakciji ljubitelji kozarčka ali dveh. Moti le nakladanje, da je martinovanje del slovenske tradicije. Nič ni dlje od resnice; edina razlika med martinovanjem in fabricirani prazniki sodobnosti, kot so noč čarovnic, valentinovo in celo božič do neke meje, je ta, da smo si martinovanje izmislili sami. Te vrstice pišemo iz enega središč slovenskega vinskega vesolja in slovenska vinogradniška tradicija ne pozna nič podobnega martinovanju v današnji obliki. Če že, je ob svetem Martinu vinogradnik povabil ljudi, ki so pomagali pri trgatvi, na kozarec vina. In to je bilo vse. Ampak tradicije nekje in nekoč pač morajo nastati, tako zdaj sedimo sredi nastajanja tradicije množičnih bakanalij.Niso pa današnje pijanke kar tako. O ne, gospod. Nocojšnje pijančevanje naj bo še posebej slavnostno. Kajti edina neprijetnost – ob mačku naslednjega dne – ki smo jo do sedaj poznali pri alkoholni omami, je bila prejšnji teden odpravljena. In odpravilo jo je samo Ustavno sodišče. Kar velja, kot da je z žebljem pribito. Namreč; če česa, smo se pijoči bali policistov, ko smo pribiti, opiti ali samo malo pod gasom sedli za volan. Teorija govori o različnih količinah in razmerjih. Mali pir ali špricer sta vedno ok! Velik pir ali pol buteljke že zahtevata mali golaž, vse, kar je več, pa zahteva srečo. Tako smo se tresli pred policijsko patrolo cela desetletja, ker pijančku pač absurdnost vožnje pod vplivom alkohola ne pride do živega. In ko so nas dobili … Oh, kako smo klicali znane pri policiji, znane na občini, znane pri sodniku za prekrške. In kako smo jokali in moledovali … Potem smo zbirali točke, ponovno opravljali izpit in se s psihologom pogovarjali o alkoholizmu. Vse te čirečare je sedaj Ustavno sodišče ukinilo in nam privoščilo srečno in veselo martinovanje in srečen ter veseli december z njegovimi neštetimi priložnostmi. Za kaj gre? Na to vprašanje ne znamo odgovoriti, ker se razumnemu zdi odločitev ustavnega sodišča blazna. Ampak vseeno nekaj podrobnosti. Kot veste, je Ustavno sodišče presodilo, da je 2. odstavek 107. člena zakona o pravilih cestnega prometa neskladen z ustavo. Ta člen ali odstavek določa, da je opravljen preizkus z alkotestom, če se pihajoči z rezultatom strinja, dovolj, za dokazovanje prekrška. In ta člen je sedaj Ustavno sodišče razveljavilo. Ga dalo na led. Menda zaradi tega, ker pihajoči nima dovolj informacij in znanja, da bi lahko potrdil pravilnost pozitivnega rezultata. Jasno, da nima dovolj znanja in informacij, če pa je nažgan! Ampak gremo lepo po vrsti. Razumnemu se zdi, da je takšna odločitev sodišča nastala nekje v vzporednem vesolju, saj se je do sedaj zdelo, da se nihče, še najmanj pa sodišča, ne bi spuščal v dodatno rahljanje že tako preveč ohlapne zakonodaje glede vožnje pod vplivom alkohola. A očitno smo se motili. In ko se človek vpraša kako lahko institucija, kot je Ustavno sodišče, zvali takšno jajce, moramo vedeti stvar ali dve. Ustavno sodišče ni najbolj pravo sodišče. Hočemo povedati, da tja sodnike, kljub vsemu ugledu in prestižu, delegirajo politiki. Linija subordinacije je: predsednik republike, državni zbor in potem poslanci, ki morajo izvoliti sodnike z dvotretjinsko večino. In kot tudi vemo iz prakse, se različne slovenske politične stranke trudijo inštalirati v sodišče svoje kandidate. Tako da ko pride pred sodišče katera njihovih agend, njihov interes ali celo, bog ne daj, njihov predsednik, imajo zadevo pod nadzorom. Tako se ustavni sodniki ukvarjajo z bolj ali manj tehtnimi družbenimi vprašanji, ki so včasih spekulativna, včasih zapletena, včasih nepotrebna, včasih bizarna. Potem ne čudi, da vrle sodnike normalno vprašanje, kot je: »Ali se vam ne zdi, da pijani voznik nima dovolj znanja in informacij o pozitivnem testu in o indikatorju?« povsem zmede. Zato so tam zbrane žene in možje nekoliko pomodrovali in vzkliknili: »Seveda ga nima, in če ga nima, je sprožiti postopek proti njemu neustavno.« Ob tem nismo najbolj prepričani, če je pijana vožnja sploh ena od kategorij slovenske ustave. Vsekakor pa je ustavna kategorija in to temeljna, da imaš kot prebivalec republike Slovenije ustavno pravico do tega, da te ne nasadi pijan voznik in da ima republika Slovenija ustavno dolžnost te tipe spraviti s cest. Žal pa so ustavni sodniki použili preveč vrhunskega pravnega znanja, da bi znali presoditi tisto, kar je vsem nam ostalim logično, očitno in razumljivo. Seveda je ta sestavek samo beden pamflet, ki nima nobene teže v vzvišenem svetu prava; ampak da nismo niti mi od včeraj, bomo, kot se v boljših družbah pravnikov spodobi, citirali latinski izrek. S temi imajo pravniki, sploh ob kozarčku na večer po simpoziju, veliko veselje. Si equus aut eques ebrius est, numquam contra Romam eris. latinski izrek Kar se za vas, ki sta vam pravo in latinščina španska vas, bere kot: “Če sta konj ali pač jezdec opita – nikar proti Rimu.”
Au Mali, le JNIM - un groupe affilié à Al-Qaida au Sahel - vise massivement les convois d'essence qui approvisionnent les villes maliennes, depuis septembre 2025. Selon Bakary Sambe, directeur régional du centre de recherche Timbuktu Institute, "l'objectif stratégique in fine, c'est d'étouffer Bamako, essayer de délégitimer les autorités en place par une forme de jihad économique qui touche véritablement le cœur de l'économie malienne".
World news in 7 minutes. Tuesday 11 November 2025. Today: Uganda Kenyan activists. Mali Islamists. US shutdown vote. Brazil COP30. India Delhi explosion. India Delhi pollution. Philippines Typhoon. Poland Russian agent. France Sarkozy. UK BBC. Spain language study.SEND7 is supported by our amazing listeners like you.Our supporters get access to the transcripts and vocabulary list written by us every day.Our supporters get access to an English worksheet made by us once per week.Our supporters get access to our weekly news quiz made by us once per week.We give 10% of our profit to Effective Altruism charities.You can become a supporter at send7.org/supportContact us at podcast@send7.org or send an audio message at speakpipe.com/send7Please leave a rating on Apple podcasts or Spotify.We don't use AI! Every word is written and recorded by us!Since 2020, SEND7 (Simple English News Daily in 7 minutes) has been telling the most important world news stories in intermediate English. Every day, listen to the most important stories from every part of the world in slow, clear English. Whether you are an intermediate learner trying to improve your advanced, technical and business English, or if you are a native speaker who just wants to hear a summary of world news as fast as possible, join Stephen Devincenzi, Juliet Martin and Niall Moore every morning. Transcripts, vocabulary lists, worksheets and our weekly world news quiz are available for our amazing supporters at send7.org. Simple English News Daily is the perfect way to start your day, by practising your listening skills and understanding complicated daily news in a simple way. It is also highly valuable for IELTS and TOEFL students. Students, teachers, TEFL teachers, and people with English as a second language, tell us that they use SEND7 because they can learn English through hard topics, but simple grammar. We believe that the best way to improve your spoken English is to immerse yourself in real-life content, such as what our podcast provides. SEND7 covers all news including politics, business, natural events and human rights. Whether it is happening in Europe, Africa, Asia, the Americas or Oceania, you will hear it on SEND7, and you will understand it.Get your daily news and improve your English listening in the time it takes to make a coffee.For more information visit send7.org/contact or send an email to podcast@send7.org
Bloquer, détourner et parfois détruire les camions de carburants qui approvisionnent le Mali par la route : « c'est un blocus d'une redoutable efficacité qu'impose, depuis deux mois, le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, constate Jeune Afrique. Les axes majeurs reliant Bamako au reste du pays sont désormais très largement paralysés. Et la situation ne cesse de se dégrader, tant la stratégie amorcée par le groupe jihadiste depuis début septembre frappe, par un effet domino imparable, la quasi-totalité des secteurs. Si le transport et la logistique sont évidemment les premiers touchés, les conséquences se font désormais sentir sur l'énergie, l'agriculture, les mines et même l'éducation. "S'il n'y a pas de carburant, au Mali, cela signifie que tout s'arrête, puisqu'il n'y a pas d'alternative au transport routier", résume un responsable d'une société de logistique interrogé par le site panafricain. "Le vivrier, les personnes, les biens, le gaz… Absolument tout est transporté par voie routière. Donc à partir du moment où vous n'avez plus ni voie sécurisée, ni carburant, l'économie est à l'arrêt" ». Bamako pas sur le point de tomber… C'est dans ce contexte que la France, après les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Italie, a conseillé vendredi à ses ressortissants présents au Mali de quitter le pays. Pour autant, relève Afrik.com, « les jihadistes du JNIM ne semblent pas préparer une attaque militaire directe contre Bamako. Leur stratégie consisterait plutôt à asphyxier lentement la capitale par des blocus successifs. Les rançons versées en échange de la libération d'otages, entre 50 et 70 millions d'euros récemment, selon plusieurs sources, renforcent considérablement les moyens du groupe jihadiste. Cet afflux d'argent liquide permettrait au JNIM d'acquérir des armes lourdes, des véhicules, du carburant et des drones, mais aussi de financer sa propagande et de recruter plus efficacement ». En effet, renchérit le chercheur Boubacar Haidara sur le site The Conversation : « à ce stade, les jihadistes sont loin d'avoir les moyens de prendre la capitale. (…) On pourrait même penser que le JNIM lui-même a été surpris par l'ampleur inattendue des conséquences de ses actions autour de Bamako, lesquelles, en réalité, ne requièrent pas de moyens militaires particulièrement importants. (…) L'annonce alarmiste d'une éventuelle prise de contrôle du Mali par ce groupe, dans la perspective de gouverner le pays, estime encore Boubacar Haidara, revient à accorder une importance excessive aux conséquences, certes spectaculaires, d'une crise ponctuelle, plutôt qu'à une évaluation globale des actions du JNIM, et des capacités réelles que révèle sa force militaire observable ». Vers une extension de la crise ? En tout cas, attention, toute « l'Afrique de l'Ouest risque la paralysie économique », prévient un observateur cité par Le Point Afrique : « les pays voisins ne s'impliquent pas suffisamment, notamment pour sécuriser les axes routiers stratégiques – Abidjan-Bamako, Conakry-Bamako, Dakar-Bamako ou encore ceux venant de Mauritanie. Il faudrait mobiliser des forces armées pour protéger ces convois, car si rien n'est fait sur le volet purement économique, cette crise deviendra ouest-africaine. À force de laisser pourrir le Mali, prévient-il, c'est tout l'Ouest africain qui pourrait s'enfoncer dans le gouffre ». Résilience… La presse malienne pour sa part fait bloc… Sahel Tribune exalte le courage des chauffeurs routiers dont les représentants ont été récemment reçus par le Premier ministre Abdoulaye Maïga : « face aux défis sécuritaires et logistiques, ils ont exprimé leur détermination à poursuivre leur mission, malgré les risques et ont réaffirmé leur engagement total envers la nation. (…) Les chauffeurs et conducteurs routiers du Mali se dressent comme des acteurs clés de la résilience nationale ». Pour sa part, L'Essor affirme que « la distribution du carburant reprend progressivement dans les stations-service de Bamako. Les files d'attente se raccourcissent et les usagers retrouvent peu à peu leur sérénité ». Enfin, Aujourd'hui-Mali s'en prend aux puissances occidentales qui ont demandé à leurs ressortissants de quitter le pays : « La récente multiplication de ces messages diplomatiques alarmistes ne saurait être interprétée comme un simple geste de précaution humanitaire. Elle s'inscrit plutôt dans une logique de pression indirecte, affirme Aujourd'hui Mali, visant à affaiblir la crédibilité du gouvernement malien en amplifiant artificiellement le sentiment d'insécurité. Les ressortissants étrangers, pour la plupart, sont déjà recensés et informés par des circuits officiels précis ; ces alertes publiques et médiatisées n'ajoutent donc rien à la sécurité réelle, mais contribuent à nourrir une peur collective savamment entretenue ».
Ce lundi 10 novembre, la dégradation de la situation au Mali a été abordée par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
The Sahel stands at a crossroad, it is torn by crisis, instability, and shifting power. Join Dr. Jessica Moody and Dominic Bowen as they dive deep into the region's unfolding humanitarian emergency. What does ECOWAS's withdrawal mean for the people? How is Russian influence rewriting the rules? And why are jihadist groups gaining ground? From Bamako's frontlines to the corridors of power, this is your inside look at the struggles shaping the Sahel's future!Dr. Jessica Moody is a political risk, due diligence and peacebuilding consultant in West Africa. She conducts open source and on the ground research into political, economic and security developments in West Africa and provides timely forecasts as well as scenario planning to clients, enabling them to better plan their operations. She also provides detailed insights into key personalities across West Africa, to enable businesses to understand power structures and who they should prioritise engagement with.Jessica has worked in and on West Africa for more than a decade, during which she has consulted for an array of organisations ranging from S&P Global to Horizon Engage to the United States Institute of Peace. Having spent time living and working in Senegal, Cote d'Ivoire and Mali, she has an extensive range of local contacts in government and the private sector across the region. Jessica has a BA hons degree in History from the University of Nottingham, an MSc in International Relations from the London School of Economics and a PhD in War Studies, focusing on Cote d'Ivoire from King's College London. She is the author of Life After War: Lessons in Human Centered Peacebuilding from Cote d'Ivoire (London, Bloomsbury) – forthcoming in May 2026.The International Risk Podcast brings you conversations with global experts, frontline practitioners, and senior decision-makers who are shaping how we understand and respond to international risk. From geopolitical volatility and organised crime, to cybersecurity threats and hybrid warfare, each episode explores the forces transforming our world and what smart leaders must do to navigate them. Whether you're a board member, policymaker, or risk professional, The International Risk Podcast delivers actionable insights, sharp analysis, and real-world stories that matter.The International Risk Podcast – Reducing risk by increasing knowledge.Follow us on LinkedIn and Subscribe for our updates!Tell us what you liked!
Alors que Paris s'apprête à commémorer, ce jeudi 13 novembre 2025, les attentats les plus meurtriers de son histoire, dix ans plus tard, le terrorisme islamiste reste un danger… en France, mais pas seulement. Dans un rapport datant du mois d'août dernier, les Nations unies assurent que la menace que représentent le groupe État islamique et ses affiliés «reste intacte», sa «stratégie» s'orientant «de plus en plus» vers l'Afrique. Au Moyen-Orient aussi, dans les régions irako-syriennes qu'elle dominait, il y a dix ans, l'organisation pourrait potentiellement regagner de l'influence. Sans oublier une autre branche particulièrement active en Asie centrale. Alors comment le terrorisme islamiste parvient-il à perdurer ? Comment expliquer son influence dans certaines régions du monde ? Et peut-on faire face à cette menace ? Invités - Anne-Clémentine Larroque, historienne, spécialiste des idéologies islamistes. Auteure de Géopolitique des islamismes et Le trou identitaire (PUF) - Myriam Benraad, politologue, spécialiste de l'Irak et du Moyen-Orient. Auteure de cet ouvrage : L'État islamique est-il défait ? (CNRS Éditions) - Nicolas Normand, ancien ambassadeur de France au Mali, au Congo-Brazzaville et au Sénégal. Auteur du Grand livre de l'Afrique : chaos ou émergence au sud du Sahara ? (Eyrolles).
Your daily news in under three minutes. At Al Jazeera Podcasts, we want to hear from you, our listeners. So, please head to https://www.aljazeera.com/survey and tell us your thoughts about this show and other Al Jazeera podcasts. It only takes a few minutes! Connect with us: @AJEPodcasts on X, Instagram, Facebook, and YouTube
Offenbar Entspannung im Streit über Nexperia, US-Präsident Trump scheint Ungarns Regierungschef Orbán Ausnahme für Lieferung von russischen Gas und Öl zu gewähren, Russland überzieht Ukraine erneut mit Angriffen, Islamisten in Mali legen die Treibstoffversorgung im Land lahm, Vor 30 Jahren begründete ein Kirchenvolksbegehren die Bewegung "Wir sind Kirche", Beauftragter für Sucht- und Drogenfragen schlägt gestaffelte Altersfreigaben für Apps vor, US-Genforscher und Medizin-Nobelpreisträger James Watson gestorben, Kooperation mit Universität Tübingen: Abschluss der Arbeiten am Tempel von Esna, 10. Spieltag der Fußball-Bundesliga, Die Lottozahlen, Das Wetter Hinweis: Die Beiträge zur "Fußball-Bundesliga" dürfen aus rechtlichen Gründen nicht auf tagesschau.de gezeigt werden.
In this episode of Hold Your Fire!, Richard is joined by Crisis Group's Cameroon expert Arrey E. Ntui and Sahel director Jean-Hervé Jézéquel. Richard first talks with Arrey about the fallout from Cameroon's disputed elections, growing public anger toward President Paul Biya – the world's oldest serving head of state – and opposition protests. They also assess how the political crisis might affect Cameroon's long-running Anglophone conflict and risks for further escalation. Richard then turns to Jean-Herve to discuss the blockade imposed by the militant group Jama'at Nusrat al-Islam wal-Muslimin (JNIM), which has cut off fuel supplies to the capital Bamako. They examine why the military has struggled to secure key supply roads, whether the blockade signals a shift in JNIM's strategy, how it might shape public sentiment toward Mali's military rulers and whether the blockade paves the way for a jihadist takeover.Click here to listen on Apple Podcasts or Spotify. For more, check out our Cameroon and Mali pages. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Offenbar Entspannung im Streit über Nexperia, US-Präsident Trump scheint Ungarns Regierungschef Orbán Ausnahme für Lieferung von russischen Gas und Öl zu gewähren, Russland überzieht Ukraine erneut mit Angriffen, Islamisten in Mali legen die Treibstoffversorgung im Land lahm, Vor 30 Jahren begründete ein Kirchenvolksbegehren die Bewegung "Wir sind Kirche", Beauftragter für Sucht- und Drogenfragen schlägt gestaffelte Altersfreigaben für Apps vor, US-Genforscher und Medizin-Nobelpreisträger James Watson gestorben, Kooperation mit Universität Tübingen: Abschluss der Arbeiten am Tempel von Esna, 10. Spieltag der Fußball-Bundesliga, Die Lottozahlen, Das Wetter Hinweis: Die Beiträge zur "Fußball-Bundesliga" dürfen aus rechtlichen Gründen nicht auf tagesschau.de gezeigt werden.
Fond farewells to Scots singer Archie Fisher (tracks 50-54), Breton trad singer Yan Fanch Kemener (tracks 17-19), and American songwriter Bob Franke (tracks 27 & 28). A few songs for Remembrance Day. Tasty new releases from Denmark, Nova Scotia, Quebec, Ontario, BC, Alberta, USA, Mali, and Senegal. Plus a couple of tracks from the amazing young Scots lowland piper Brighde Chaimbeul, who plays in town this evening.
Notre invité Afrique du jour nous emmène dans le sud du Maroc, aux portes du Sahara. Acteur culturel important, Halim Sbaï est le fondateur et le directeur du festival Zamane. Cet évènement, qui se tiendra du 14 au 16 novembre à M'Hamid El Ghizlane, met en valeur les traditions ancestrales, les cultures du désert et tisse des ponts avec les pays voisins, notamment le Mali en invitant des musiciens importants. Pour cette édition, c'est Vieux Farka Touré, le fils de feu Ali Farka Touré. Halim Sbaï est l'invité Afrique de Guillaume Thibault. À lire aussiMaroc: le festival Zamane a l'ambition de faire revivre les traditions
(00:00) Defensie handelde nalatig en verwijtbaar bij mortierongeluk Mali Defensiemedewerkers handelden in de aanloop naar het dodelijke ongeluk met een mortiergranaat in Mali in 2016 elf keer nalatig en drie keer verwijtbaar. Ook heeft de top van het ministerie toegelaten dat de commissie die dit in 2018 al had moeten onderzoeken, afweek van haar opdracht - zonder hiervoor toestemming van de minister te vragen. Deze harde conclusies van de commissie Den Oudsten stelt minister Brekelmans voor de vraag: en nu? Wat gaat Defensie doen met de verantwoordelijken? (34:35) Veel meer PFAS in pesticiden PFAS-houdende pesticiden zijn in Nederland in vier jaar tijd meer dan verdubbeld. De groei kan doorzetten als een algeheel verbod op PFAS, zoals nu voorligt in Brussel, pesticiden blijft uitzonderen. De PFAS bereiken ook ons grond- en drinkwater. Als er niets verandert, vrezen drinkwaterbedrijven voor ‘onherstelbare verontreinigingen'. (38:38) Hoe lang mag de overheid maximaal offline zijn na een hack? Deze zomer lagen de systemen van het Openbaar Ministerie plat door een hack. Dit had grote gevolgen voor het strafrecht. Een hack kan elke organisatie overkomen. Maar hebben overheidsorganisaties wel een plan klaarliggen voor als het misgaat? Presentatie: Eric Arends Research mortierongeluk Mali: Eric Arends Research PFAS: Leon Zantinge Research hack OM: Saar Slegers
Charlotte Greenway in for Nick and joined by Racing TV's Lydia Hislop to look ahead to the racing on British soil this weekend, on which we hear from Josh Guerriero, who runs two in the Grand Sefton at Aintree, favourite White Rhino and last year's third Gaboriot. Charlotte and Lydia look back at the key performances from yesterday and give their assessment, they discuss the walk-over at Newbury yesterday and small fields at Wincanton tomorrow and also the upcoming sale of stallion Sands of Mali and the complications behind the ownership of this horse. Kelly Thomas, breeder of Gstaad shares the story of how she bought the dam for £800, who has now provided them with two individual Group 1 winners. Lydia looks at a recent article in the Irish Times regarding accusations against suspended trainer Luke Comer and looks at the report published by the Treasury Committee on the taxation of gambling.
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
After nearly 400 conversations with Olympians, Paralympians, and trailblazing women athletes from 55 countries, one thing is clear: no two stories are alike. Some athletes train with world-class facilities, others without basic equipment. Some are household names, others are fighting for visibility in sports you've never even seen on TV. And yet, across all these differences, certain themes echo again and again.That's what this new Best Of series is all about: spotlighting both the range of experiences and the threads that connect them. We've pulled together the most powerful moments across years of conversations, including:✨ Best Advice to Younger Selves — from “give yourself grace to be a beginner” to “don't dim your light for anyone.”✨ Best Stories of Resilience — tales of athletes coming back from devastating injuries, near-misses, and moments when the world doubted them most.✨ Best Moments of Role Modelship — athletes lifting the next generation, mentoring teammates, and carrying entire communities with them to the world stage.✨ Best Stories of Identity & Joy — how athletes embrace who they are on and off the field, from glitter on the track to pride in their heritage.and many more!You'll hear voices as different as the sports they represent, yet together, they reveal what it really takes to rise to the top. This isn't just one story. It's hundreds woven together. And this is just the beginning.In this episode, With a Little Help, Cynthia Appiah (Canada, bobsleigh pilot) shares how her coaches guided her through her toughest season back to the podium. Asia Hogan Rochester (Canada, rugby sevens) reflects on rebuilding team culture, healing from injuries, and rising to Olympic silver. Natoya Ghoul Toppin (Jamaica, 800m) draws strength from her faith to overcome fear and rebuild confidence. Marine Fatoumatta Camara (Mali, boxing) tells of choosing to represent Mali and becoming the country's first female boxing medalist. Husnah Kukundakwe (Uganda, paraswimming) recalls qualifying through lockdown determination with her mom and coach. Giancarla Trevisan (Italy, 400m) shares how training partners and patience led her from injury to a personal best. Fran Brown (Great Britain, para cycling) describes how friendship and opportunity reignited her path to elite sport. Together, their stories show how belief, mentorship, and community transform self-doubt into collective strength.Flame Bearers is a women's sports storytelling studio, illuminating the unsung stories of exceptional women athletes from around the world. We tell stories via podcast, video and live events.For more videos about elite women athletes, subscribe to our YouTube channel ► / @flamebearersFollow us -Instagram - / flamebearersFacebook - / flamebearerspodcastLinkedin - / flame-bearersTiktok - / flame_bearersX - / flame_bearersOur Website - https://flamebearers.com/Leave a comment and tell us what you liked in the video.If you like the content, subscribe to our channel!
Le Journal en français facile du mercredi 5 novembre 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C9vV.A
Donate (no account necessary) | Subscribe (account required) Join Bryan Dean Wright, former CIA Operations Officer, as he dives into today's top stories shaping America and the world. In this Friday Headline Brief of The Wright Report, Bryan covers Trump's new work requirements for welfare recipients, job losses from the AI revolution, major trade developments with China, new drone defenses for the Pacific, and the growing risks of a satellite disaster in orbit. Work for Welfare Begins: Starting tomorrow, able-bodied adults ages 18 to 65 without dependents must work at least 80 hours a month to receive food aid under Trump's "Triple B Bill." Exemptions include parents of young children and residents in areas with high unemployment. Bryan warns that states managing these programs may soon raise local taxes to offset new administrative costs. AI Cuts Human Jobs: Amazon and other major tech firms are laying off software engineers as AI begins writing code and automating support work. Bryan calls it "a quiet industrial revolution that's going to reshape America's middle class for decades." Trump and Xi Trade Gains and Tensions: China agreed to buy 12 million metric tons of U.S. soybeans this season, with promises to expand purchases later if relations hold steady. But Xi refused to curb Russian oil imports, signaling Beijing's intent to prolong the war in Ukraine. New U.S. Drone System — The X-BAT: A cutting-edge drone platform called the X-BAT can launch vertically, operate without runways, and land itself like a reusable rocket. Bryan calls it "a game-changer for a future war in the Pacific." A Coming Satellite Crisis: With 100,000 satellites expected in orbit by 2030, experts warn of potential collisions and cascading debris — the "Kessler Syndrome." Bryan explains how one accident could take down global communications and cripple modern life. Venezuela Airstrikes Under Review: Trump is considering airstrikes against Venezuelan drug ports and airfields tied to the Cartel de los Soles. Analysts believe the move could topple Nicolás Maduro and restore democracy under opposition leader María Corina Machado. Europe's Migration Backlash: Germany and Sweden face outrage over migrant crime after courts refused to deport rapists from Eritrea. Bryan highlights how "suicidal empathy" — compassion that undermines security — is destabilizing Western nations. Ukraine's Strain and Russia's Weakness: Russia cut interest rates to ease its stagnant economy while Ukraine faces mass draft dodging as 100,000 young men flee to Europe. Trump responded by reducing U.S. troop levels in Romania to refocus on the Pacific and Latin America. Crisis in Mali: Al Qaeda rebels have surrounded Mali's capital as the U.S. orders citizens to evacuate. Bryan warns that Ukraine's secret aid to jihadist groups could backfire and lead to a new Taliban-style regime in West Africa. Listener Mail — The Morality of Espionage: Bryan answers questions about ethics inside the CIA, sharing personal reflections on moral judgment, mentorship, and the gray zones of intelligence work. "And you shall know the truth, and the truth shall make you free." - John 8:32 Keywords: Trump welfare work requirements Triple B Bill, Amazon AI job cuts software layoffs, Trump Xi China soybean trade, X-BAT drone vertical launch defense, Kessler Syndrome satellite collision risk, Venezuela airstrike Cartel de los Soles, Germany Sweden migrant crime backlash, Russia Ukraine draft exodus Romania troops, Mali AQ ISIS rebellion evacuation, CIA morality ethics Bryan Dean Wright