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Vanessa, ce matin on s'envole dans la Gard pour vivre une expérience insolite … … Magique ! vous faites bien d'employer le mot s'envoler, on part véritablement voler. Une expérience unique au monde. Doublement magique grâce au lieu : ca se passe dans une grotte immense : 120 mètres de long, 80 de large et 40 mètres de plafond ! Cette grotte de la salamandre, elle se situe au nord du Gard. Pourquoi ce nom ? Quand les spéléologues explorent la cavité en 1965, ils descendent en rappel et se retrouvent en bas nez a nez avec une salamandre. Vous pouvez vous aussi la descendre en rappel : vous êtes encadrés par un moniteur, vous descendez 20 mètres dans le puits d'accès puis 30 dans le vide. Belle émotion pour la découvrir, mais moi je préfère la ressentir en m'élevant. Je m'explique : en Mr tournesol de génie, Jean-Pierre David a créé une sorte d'énorme libellule pour voler, planer au-dessus au-dessus des géants de cristal, les stalagmites, en toute sécurité. Une sorte de libellule ? Un aéroplume, un dirigeable gonflé à l'hélium :10 m de long et 5 de haut que vous manœuvrez seul. La seule condition : faire entre 40 et 80 kg. J'étais juste... Vous vous glissez dans le harnais fixé sous le ballon, vous enfilez vos bras dans des ailes. Et la c'est parti, vous êtes un plumonaute, vous nagez la brasse mais dans les airs. Vous volez Comme Icare. Mais pour éviter de vous brûler les ailes, un aerodriver explique comment vous mouvoir. Et si besoin, il vous remet dans l'axe avec un filin. C'est incroyable. Et on n'a pas le vertige, car aucune partie de votre corps ne touche terre. Le vol coute 80 euros et vous pouvez même le réserver pour en faire cadeau. Et cette partie du Gard vaut le détour ? Oui vous êtes entourés de 4 superbes villages de caractère : Lussan, Barjac, Montclus Aigueze. ,Et puis j'ai déniché LA maison d'hôtes : La Parenthèse à Laval-Saint-Roman : Ariane et Arnaud, les hôtes sont vraiment géniaux ! L'Aero plume de la Grotte de la Salamandre : https://www.grottedelasalamandre.com/fr/ballon/ Les plus beaux villages : https://www.tourismegard.com/destination/villes-villages/les-plus-beaux-villages-du-gard/ Hébergement, la maison d'hôtes La Parenthèse à Laval-Saint-Roman, à 40 min de la grotte. https://www.laparenthese30.fr/ La tome Dans le cadre de la cheese and wine week qui commence le 3/11 et mettra le vin et le fromage à l'honneur, dans le cadre de nombreuses manifestations, je vous parle d'un fromage typiquement hivernal, la tome. Méthode de conservation bien connue dans les campagnes alpines et les vallées depuis des siècles, les tomes servaient avant tout à constituer des réserves pour l'hiver. Pâte pressée, la tome vient du dialecte toma qui signifie fromage fabriqué en alpages. La tome au foin : issue d'une méthode de conservation des fromages dans le foin pour les protéger de l'humidité. Le foin, en séchant dégageait des arômes qui imprégnaient le fromage et le parfumaient. Une autre tome originale est celle que l'on trouve dans les Alpes et associe une plante bien connue là-bas, le Génépi. On enveloppe la tome dans ces plantes qui vont aussi parfumer le fromage. Vous pouvez l'utiliser pour réaliser, non pas un gratin dauphinois (qui ne contient pas de fromage), mais un gratin alpin / pommes de terre, crème fraiche et tome. On peut aussi la faire fondre sur un morceau de pain et y ajouter un filet de miel et quelques noix concassées. Cheese and wine week : partout en France, mais aussi à NY, Londres où Bruxelles / Du 3 au 23 nov / l'occasion aussi de (re)découvrir les vins de Savoie, parfait avec la tome / le fameux Chignin-Bergeron, produit avec de la Roussanne / Un vin ample, mais aussi très droit qui fait merveille avec les to Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Espagne, le 20 novembre 1975, cela fera cinquante ans que Franco est décédé. Au cours de ce mois, une centaine d'événements seront organisés pour honorer la mémoire des victimes de son régime autoritaire qui a duré 34 ans. Les autorités ont également annoncé la publication d'une liste des symboles franquistes dans l'espace public qui doivent être retirés tel que le prévoit la loi sur la mémoire démocratique de 2022. Des statues, emblèmes militaires ou noms de rue en référence à la dictature... Selon le syndicat Commissions ouvrières, 6000 symboles franquistes sont encore présents sur le territoire. Coincé entre deux bretelles du périphérique, à l'entrée ouest de Madrid, l'Arc de la Victoire est devenu un vestige encombrant. Cet édifice néoclassique construit dans les années 50 pour célébrer le succès des troupes franquistes sur les soldats républicains lors de la Guerre civile, symbolise à lui-seul la polémique autour des éléments du franquisme encore présents dans l'espace public espagnol. Emilio Silva, président de l'association pour la récupération de la mémoire historique réclame depuis des décennies un autre statut pour cet emblème du franquisme. « Cet Arc de la Victoire pourrait être soumis à un collectif d'artistes qui le réinterprète pour en changer sa signification. Madrid est encore rempli de symboles franquistes, il y a des tas de rues avec des noms de généraux qui ont participé au coup d'État. Ils sont des criminels de guerre devenus des hauts dignitaires durant la dictature. Comme par exemple, la rue du Docteur Vallejo Najera qui a été un médecin, un psychiatre qui a élaboré une théorie sur la pureté de la race espagnole ». La loi sur la mémoire historique adoptée en 2007 sous le gouvernement socialiste de José Luis Rodríguez Zapatero prévoyait déjà le retrait des symboles faisant l'apologie de la dictature dans l'espace public. Cette mesure a été de nouveau mentionnée dans la loi sur la mémoire démocratique votée en 2022. Or dans les faits, à l'exception des statues de Franco qui ont été déboulonnées et l'exhumation du Caudillo de son mausolée, la présence franquiste dans les rues du pays est encore très visible. Et certaines régions, dirigées par des gouvernements de droite, rechignent à retirer ces vestiges du passé comme le reconnait Emilio Silva, qui fustige le manque de volonté politique. « On voit bien que lorsque certaines régions comme Madrid refusent d'appliquer la loi, le gouvernement central n'utilise pas tous les moyens de l'État pour faire appliquer le droit. Rien ne se passe pour ces régions qui décident de passer outre la loi ». « Il y a certaines choses que l'on ne peut pas effacer » Il faut dire que la suppression des symboles franquistes se heurte toujours à de vives réticences au sein d'un électorat conservateur. Juan Antonio, âgé de 65 ans, vit à quelques mètres de l'Arc de la Victoire. « Qu'il s'agisse d'une époque blanche ou d'une époque noire, on parle de notre Histoire et il y a certaines choses que l'on ne peut pas effacer. Il faut maintenir certains monuments. Oui, cela me dérange que l'on touche à ce passé ». Les conservateurs ont promis d'abroger la loi sur la Mémoire démocratique s'ils reviennent au pouvoir et ont boycotté tout au long de cette année anniversaire les commémorations pour célébrer le retour à la démocratie espagnole après quarante ans de dictature. À lire aussiEspagne: le gouvernement de Pedro Sanchez veut effacer les symboles du franquisme de l'espace public
nos « amis » les pessimistes reviennent en force, à grand renforts de statistiques déprimantes, d'études nous expliquant pratiquement que la fin du monde est proche et que, surtout… avant, c'était mieux.Tout va t'il bien ? Euuuuh… non, bien entendu, mais d'un point de vue macro-sociétal, pouvez-vous me citer une période où tout allait bien de votre vivant ? Vous le savez, je suis un optimiste, mais je suis également réaliste. Si 2021 n'a pas été l'année parfaite, c'était tout de même autrement mieux que 2020, non ? Pas de confinement, pas de couvre-feu, moins de décès du COVID, le début de la vaccination, retour au présentiel, avènement du travail hybride (enfin)… non, franchement, comparée à 2020, 2021, c'était le paradis !Et pourtant… il nous manque toujours un petit quelque chose. Que le COVID disparaisse ? Oui, ok, mais nous n'y pouvons pas vraiment quelque chose. Alors quoi ? Oui, j'ai toujours pensé que nous pouvions être acteur et actrice de nos vies, qu'elles soient professionnelles ou personnelles… et heureusement.Et bien justement… et si nous remettions du « fun » dans notre quotidien au travail. DU FUN ???? MAIS DE QUOI IL PARLE CHATELAIN-BERRY ? Oui, certain.e.s d'entre -vous vous dites probablement cela ; après tout, tout le monde n'est pas clown au cirque Pinder et je suis certain que, quotidiennement, vous gérez des problématiques très sérieuses… et pourtant, je vous assure que ce sujet de l'amusement au travail est fondamental. Pourquoi ?Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Espagne, le 20 novembre 1975, cela fera cinquante ans que Franco est décédé. Au cours de ce mois, une centaine d'événements seront organisés pour honorer la mémoire des victimes de son régime autoritaire qui a duré 34 ans. Les autorités ont également annoncé la publication d'une liste des symboles franquistes dans l'espace public qui doivent être retirés tel que le prévoit la loi sur la mémoire démocratique de 2022. Des statues, emblèmes militaires ou noms de rue en référence à la dictature... Selon le syndicat Commissions ouvrières, 6000 symboles franquistes sont encore présents sur le territoire. Coincé entre deux bretelles du périphérique, à l'entrée ouest de Madrid, l'Arc de la Victoire est devenu un vestige encombrant. Cet édifice néoclassique construit dans les années 50 pour célébrer le succès des troupes franquistes sur les soldats républicains lors de la Guerre civile, symbolise à lui-seul la polémique autour des éléments du franquisme encore présents dans l'espace public espagnol. Emilio Silva, président de l'association pour la récupération de la mémoire historique réclame depuis des décennies un autre statut pour cet emblème du franquisme. « Cet Arc de la Victoire pourrait être soumis à un collectif d'artistes qui le réinterprète pour en changer sa signification. Madrid est encore rempli de symboles franquistes, il y a des tas de rues avec des noms de généraux qui ont participé au coup d'État. Ils sont des criminels de guerre devenus des hauts dignitaires durant la dictature. Comme par exemple, la rue du Docteur Vallejo Najera qui a été un médecin, un psychiatre qui a élaboré une théorie sur la pureté de la race espagnole ». La loi sur la mémoire historique adoptée en 2007 sous le gouvernement socialiste de José Luis Rodríguez Zapatero prévoyait déjà le retrait des symboles faisant l'apologie de la dictature dans l'espace public. Cette mesure a été de nouveau mentionnée dans la loi sur la mémoire démocratique votée en 2022. Or dans les faits, à l'exception des statues de Franco qui ont été déboulonnées et l'exhumation du Caudillo de son mausolée, la présence franquiste dans les rues du pays est encore très visible. Et certaines régions, dirigées par des gouvernements de droite, rechignent à retirer ces vestiges du passé comme le reconnait Emilio Silva, qui fustige le manque de volonté politique. « On voit bien que lorsque certaines régions comme Madrid refusent d'appliquer la loi, le gouvernement central n'utilise pas tous les moyens de l'État pour faire appliquer le droit. Rien ne se passe pour ces régions qui décident de passer outre la loi ». « Il y a certaines choses que l'on ne peut pas effacer » Il faut dire que la suppression des symboles franquistes se heurte toujours à de vives réticences au sein d'un électorat conservateur. Juan Antonio, âgé de 65 ans, vit à quelques mètres de l'Arc de la Victoire. « Qu'il s'agisse d'une époque blanche ou d'une époque noire, on parle de notre Histoire et il y a certaines choses que l'on ne peut pas effacer. Il faut maintenir certains monuments. Oui, cela me dérange que l'on touche à ce passé ». Les conservateurs ont promis d'abroger la loi sur la Mémoire démocratique s'ils reviennent au pouvoir et ont boycotté tout au long de cette année anniversaire les commémorations pour célébrer le retour à la démocratie espagnole après quarante ans de dictature. À lire aussiEspagne: le gouvernement de Pedro Sanchez veut effacer les symboles du franquisme de l'espace public
Passer de 500 millions de dollars à 2,5 milliards de dollars d'aide humanitaire pour cette année 2025, c'est le premier objectif de la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité des Grands Lacs, qui se tient aujourd'hui à Paris, en présence notamment du Congolais Félix Tshisekedi et du Français Emmanuel Macron. Quelles sont les plus grandes urgences de l'heure dans l'est de la RDC ? Le médecin gynécologue De-Joseph Kakisingi exerce à Bukavu et préside le Conseil National des Forums d'ONG Humanitaires et de Développement (CONAFOHD). Il est présent à Paris et répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Quel est le problème le plus urgent à régler pour les millions de Congolais déplacés par la guerre ? De-Joseph Kakisingi : Le problème le plus urgent à régler aujourd'hui, c'est d'abord l'accès à l'alimentation, à la nourriture. Parce que ces milliers de déplacés aujourd'hui sont bloqués dans une zone sans accès physique, et donc ils sont coupés de leur source d'alimentation. Et donc ça devient très urgent qu'ils aient accès à la nourriture, qu'ils aient accès aux soins médicaux. Donc, il faut l'approvisionnement en soins médicaux et, en fait, qu'ils aient aussi accès à des espaces sûrs. Est-ce que la prise des villes de Goma et de Bukavu au début de l'année par les rebelles et leurs soutiens rwandais, est-ce que cette prise a aggravé la crise humanitaire ? Effectivement, cette crise est venue aggraver davantage une crise humanitaire qui était déjà assez alarmante, et notamment par les blocus que cela fait autour de ces villes-là et autour des zones périphériques. Ça entraîne notamment la fermeture de l'espace aérien et des aéroports, comme l'aéroport de Goma et celui de Bukavu. Les routes aujourd'hui sont dégradées pendant la saison des pluies et les banques sont fermées et l'accès par les frontières est très difficile. Et donc cela vient exacerber une situation humanitaire qui était déjà assez grave. Ces millions de Congolais déplacés, ils vivent dans quelles conditions concrètement ? Alors, ils vivent dans des conditions très difficiles. Vous savez, avant la chute de Goma et de Bukavu, il y avait des camps de déplacés autour de Goma, autour de Bukavu, et donc l'assistance était assez facile à partir des ONG nationales et internationales et des Nations unies qui pouvaient subvenir aux besoins urgents de ces populations. Mais aujourd'hui, les camps de déplacés ont été fermés et ça fait que ces populations sont en train d'errer sans abri, sans assistance, sans possibilité qu'elles puissent être mieux regroupées pour être mieux aidées. Et ça fait qu'elles vivent dans des conditions très, très difficiles. Ce qui veut dire que vous-même qui êtes médecin gynécologue, vous ne pouvez pas soigner tous les malades, c'est ça ? Oui, c'est ça, effectivement, le problème est là où l'accès est difficile pour s'approvisionner en médicaments, beaucoup d'hôpitaux, beaucoup de zones de santé voient leurs stocks de médicaments en rupture, et ça fait que les hôpitaux ne peuvent plus offrir des soins de qualité parce qu'il n'y a pas de médicaments. Et nous, comme médecins, nous nous trouvons face à une grave difficulté. Parfois, on est obligé d'assister à des décès de personnes qu'on aurait pu sauver si on avait des médicaments à portée de main. Moi, je viens de Bukavu, au cœur de la crise, et il nous arrive de voir des femmes mourir ou des enfants par manque de médicaments. Il nous arrive de voir des femmes mourir d'hémorragie post-partum parce qu'on n'a pas l'ocytocine pour pouvoir prévenir les hémorragies et parce que la chaîne du froid devient difficile dans ces conditions où l'espace aérien est fermé. Il nous arrive aussi de voir des enfants mourir parce qu'on manque des médicaments essentiels et parce que les voies d'accès sont difficiles. Est-il vrai qu'il y a encore des stocks de médicaments sur plusieurs sites du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, mais qu'on ne peut pas les acheminer jusqu'aux centres de santé, jusqu'aux populations à cause des tracasseries administratives, à cause des checkpoints ? Oui, il arrive effectivement que certaines organisations internationales disposent des stocks dans les grandes villes, mais il y a effectivement des tracasseries administratives, comme par exemple, je viens de voir une note qui est sortie il y a quelques jours au niveau de Kinshasa, où on annonce que toute tentative de contractualisation d'aide humanitaire avec les zones périphériques doit d'abord se référer au ministère national. Et quand on voit l'étendue du pays, quand on voit tout ce qu'il y a comme zones de santé et les difficultés, ça fait des tracasseries administratives en plus. Y a-t-il aussi des tracasseries du côté des rebelles du M23 ? Effectivement, c'est des deux côtés, de plus en plus. Il y a des doubles taxations, il y a des contraintes pratiquement pour les ONG nationales, il y a des menaces, des intimidations et ça rétrécit l'espace humanitaire et ça fait que l'aide humanitaire n'arrive pas. Est-ce qu'il y a au moins des corridors humanitaires ? Jusqu'à ce jour, non. On a essayé d'établir un corridor humanitaire entre Bukavu et Uvira par exemple, et cela n'a pas marché à la dernière minute. Toutes les parties au conflit se sont opposées ou ne l'ont pas permis. Cette conférence de Paris, où vous êtes ce jeudi, qu'est-ce que vous en attendez ? La première chose, c'est en fait donner un peu plus de la lumière sur la crise congolaise. Si vous voyez, il y a beaucoup de visibilité sur la crise de Gaza, beaucoup de visibilité sur la crise de l'Ukraine, mais très peu de visibilité sur la crise congolaise. La deuxième chose qu'on attend de cette conférence, c'est en fait une sensibilisation pour le financement de l'action humanitaire. Le plan de réponse humanitaire de cette année était évalué à 2,5 milliards de dollars pour pouvoir répondre aux besoins des 6,8 millions sur les 21 millions de personnes qui sont en besoin d'aide humanitaire au Congo. Mais jusqu'à ce jour, ce plan n'a été financé qu'à 500 millions de dollars. Et on attend de cette conférence, qu'il y ait un peu plus de solidarité pour qu'on arrive peut-être à lever le double de ce qui a déjà été donné et ainsi pouvoir apporter de l'aide à toutes ces communautés qui sont dans les besoins humanitaires urgents. À lire aussiRDC: à Paris, une conférence de soutien à la paix dans la région des Grands Lacs
La croyance selon laquelle faire bouillir plusieurs fois la même eau serait dangereux circule depuis longtemps. En réalité, tout dépend de ce que l'on entend par « dangereux » et du type d'eau utilisée. Sur le plan chimique, rebouillir de l'eau n'est pas intrinsèquement nocif, mais dans certaines conditions, cela peut effectivement concentrer des substances indésirables.Quand on fait bouillir de l'eau, une partie s'évapore. Si on recommence l'opération plusieurs fois, le volume d'eau diminue, mais les minéraux et contaminants dissous — eux — restent. Cela signifie que des composés tels que le fluor, le nitrate, l'arsenic ou le plomb peuvent se retrouver légèrement concentrés après plusieurs bouillies. Dans des régions où l'eau du robinet contient déjà ces éléments à des niveaux proches des seuils réglementaires, une concentration supplémentaire peut poser un problème, notamment pour les nourrissons, les femmes enceintes ou les personnes fragiles.Une étude publiée en 2015 dans la revue Environmental Science & Pollution Research a montré que dans certaines zones à forte teneur en arsenic, rebouillir l'eau pouvait en effet augmenter le risque d'exposition chronique. Toutefois, il faut préciser que ces cas concernent des contextes où l'eau est déjà polluée à la source. Dans les pays où la qualité de l'eau est strictement contrôlée — comme en Europe —, cette concentration reste infime et sans danger pour la santé.Le rebouillage ne modifie pas non plus la structure de l'eau, contrairement à ce que prétendent certains discours pseudoscientifiques. Il ne crée pas de « molécules toxiques » ou de transformations chimiques mystérieuses. En revanche, il peut avoir un léger effet gustatif : en chauffant trop longtemps, l'eau perd une partie de son oxygène dissous, ce qui lui donne parfois un goût « plat » ou « lourd ».En résumé :Non, rebouillir l'eau du robinet n'est pas dangereux dans les pays où elle est potable.Oui, cela peut poser problème si l'eau contient déjà des contaminants chimiques, car ils se concentrent légèrement à chaque évaporation.Et non, cela ne la rend pas toxique ni « morte », contrairement à certaines idées reçues.Conclusion : une eau saine le reste, même rebouillie, mais il est inutile — et parfois contre-productif — de la faire bouillir plusieurs fois. Mieux vaut utiliser un filtre domestique si l'on craint la présence de métaux lourds ou de nitrates. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ahhhhh la résilience. Mot tellement « à la mode » actuellement. Commençons par la définition du dictionnaire. Selon le Larousse, voici la définition de la résilience : Aptitude d'un individu à se construire et à vivre de manière satisfaisante en dépit de circonstances traumatiques. Bon… la définition est claire : quoi qu'il arrive, quelqu'un de résilient ne se laisse pas abattre, quoi qu'il arrive. Cette définition me fait penser à un proverbe japonais que j'ai toujours aimé d'ailleurs : le succès, c'est de tomber 7 fois et de se relever 8. Oui, ok… ça c'est la théorie mais concrètement, comment faire quand les raisons d'avoir le moral dans les chaussettes se multiplient dans notre vie ? Entre la pandémie qui n'en finit plus, la peur du chômage pour certain.e.s, certains politiques qui nous expliquent que la fin du monde est proche ou que la France est devenu un pays en déclin, l'hiver qui fait que l'on a le sentiment de vivre la nuit… oui, il y a de quoi baisser les bras. Dans ma vie, comme beaucoup d'entre vous, j'ai connu la maladie sérieuse, le chômage, les peines de cœurs, la perte de proches, les échecs, le 17 mars 2020, mon métier de conférencier en présentiel (ma source principale de revenus) a disparu du jour au lendemain… et pourtant, rien de tout cela ne m'a abattu. Question de nature ? Peut-être, mais je n'y crois pas beaucoup, d'où cet épisode. Je pense que la résilience est quelque chose que l'on peut acquérir en changeant son regard sur les choses, et c'est cela que je souhaite partager avec vous. Pour retrouver tout mon contenu, articles, vidéos, tests de personnalité =>>> www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous avez déjà eu envie de faire quelque chose et de vous dire "non... je n'y arriverai pas", ou d'avoir des proches qui à force de vous dire que votre rêve est fou finissent par vous convaincre que cela ne sert à rien d'essayer ? Oui ? Et bien moi aussi... mais, croyez-moi, ce n'est pas une fatalité et vous pouvez dépasser cela ! Cet épisode vous explique comment faire !Et n'hésitez pas à vous rendre sur mon site pour retrouver tous mes contenus, articles, tests de personnalité, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sports et société avec Jean-Charles Lajoie et la rencontre Martineau-Dutrizac avec Richard Martineau et Benoît Dutrizac. Oui oui! Dans le même segment! Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Au sommaire ce soir dans La Matinale, on reçoit en première partie d'émission Bernard Loup porte-parole du collectif Oui aux terres de gonesses. Et le groupe de punk électro Leroy se meurt. Ce sera en deuxième partie d'émission ! Au flash info c'est Fabien ! Et puis, la chronique d'Eve qui nous parlera du fameux vole de Bijoux au Louvre. Ce sera en toute fin d'émission, alors restez bien avec nous ! Pour sa chronique libre Arthur nous parlera de Sarkozy. On a hâte d'en savoir plus.
Oui ou non. Deux mots simples, et pourtant au cœur de ce qu'on appelle "la culture du viol" en France. Près d'un an après le procès des viols de Mazan, la notion de consentement entre officiellement dans la loi : "Tout acte sexuel non consenti" sera désormais considéré comme un viol ou une agression sexuelle.
Lundi soir, la Cour constitutionnelle de Cotonou a définitivement écarté la candidature de Renaud Agbodjo, l'avocat désigné par le parti d'opposition Les Démocrates pour se présenter à la présidentielle du 12 avril 2026. Que pense ce parti de cette décision de justice ? Y voit-il une manœuvre du pouvoir béninois ? Guy Dossou Mitokpè est le porte-parole du parti Les Démocrates. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Comment réagissez-vous à l'exclusion de votre candidat Me Renaud Agbodjo ? Guy Dossou Mitokpè : Bon, comme la plupart de mes compatriotes, je reçois cette information avec beaucoup de tristesse parce que, pour nous, le principal parti d'opposition aujourd'hui, c'est le parti Les Démocrates. Et donc pour la plupart des Béninois, on allait assister à une très belle fête électorale. Et donc pour nous, ce n'était pas croyable que la Cour constitutionnelle ne puisse pas nous donner raison en disant le droit. À l'origine du rejet de votre candidat, il y a le fait qu'il devait présenter 28 parrainages d'élus et que l'un de ces 28 a fait défection. Pourquoi n'avez-vous pas présenté un plus grand nombre de parrainages, 35 ou 40 par exemple, pour être certain de faire face à toutes défections et d'avoir au final vos 28 parrainages ? En fait, la loi électorale impose que les parrains soient parmi les députés en activité ou les maires en activité. Et donc, lorsque nous, on rentrait dans le Parlement, on avait 28 députés, on n'a pas été présents à l'élection des maires, donc on avait 28 députés. Mais lorsqu'on rentrait au Parlement, la loi électorale imposait d'avoir seulement 16 parrains. Et c'est au cours de notre présence au sein du Parlement, que le régime actuel a changé la loi électorale en positionnant le nombre de parrains exactement sur le nombre de parrains que nous avons, c'est-à-dire 28. Et donc c'était à dessein, parce qu'ils savaient que, à l'approche des élections, ils feraient tout pour nous déstabiliser en faisant probablement tout pour qu'un député fasse défection. Alors, justement, le député qui a fait défection, il s'appelle Michel Sodjinou. Il prétend qu'il s'est rétracté parce qu'il n'était pas d'accord avec le choix de Me Renaud Agbodjo au sein de votre parti. Qu'est-ce que vous en pensez ? Non, c'est un alibi parce que Monsieur Sodjinou a fait preuve d'ambition démesurée. Ce qu'il a avancé, ce sont des arguments qui ne tiennent pas. Et donc, s'il a fait défection, nous, nous continuons de croire qu'il est probablement en lien avec nos adversaires. Donc, vous pensez qu'il a été instrumentalisé par le pouvoir ? Je n'ai pas de preuve, mais tout laisse à croire qu'il a été instrumentalisé par nos adversaires. Parce que, en respectant les normes démocratiques en interne, cela ne peut pas expliquer le fait que quelqu'un puisse trahir tout un peuple. Oui, pour vous, le député Michel Sodjinou a trahi ? Il a trahi et c'est clair, il n'y a pas d'hésitation à ce niveau. Au total, le rejet de votre candidat, c'est la faute à pas de chance ou c'est une manœuvre du pouvoir ? C'est d'abord de la responsabilité d'un homme qui a été trop ambitieux. Monsieur Sodjinou Michel, je ne peux pas dire sans preuve que c'est la responsabilité du pouvoir. Je peux simplement dire que, voilà, nos adversaires ont tout intérêt à ce que Monsieur Michel Sodjinou puisse se comporter comme il l'a fait. « Ce qui se passe, ce n'est pas la démocratie », dit l'un des conseillers juridiques de votre parti, Me Victorien Fadé… Oui, naturellement que ce n'est pas la démocratie. C'est triste parce que vous savez, la démocratie, c'est qu'on puisse donner la chance aux électeurs de choisir celui ou celle qui leur convient. Mais ici, le choix du peuple, malheureusement, est très restreint, parce que le parti qui est aujourd'hui le parti le plus populaire dans notre pays, malheureusement, ne pourra pas présenter de candidat à la prochaine élection présidentielle. Et c'est très dommage. Vendredi dernier, il y a eu un long entretien au palais présidentiel à Cotonou entre le chef de l'État, Patrice Talon, et le président de votre parti, l'ancien chef de l'État Boni Yayi. Est-ce que vous espérez encore une solution politique ? Pour ce qui concerne l'élection présidentielle, il est dit dans notre loi fondamentale que les décisions de la Cour constitutionnelle sont sans recours. Donc, me rabattant sur cette décision, je peux dire que les chances pour que le parti Les Démocrates puisse présenter un duo de candidats à l'élection présidentielle sont quasiment nulles. Mais la bonne nouvelle, c'est que nous avons deux autres élections. Nous avons les élections communales et les élections législatives. Et à ce niveau, au niveau du parti Les Démocrates, nous avons pris toutes les dispositions afin que le peuple puisse consacrer son énergie à donner la majorité des maires et la majorité des députés au principal parti d'opposition. En 2021, beaucoup de candidats de l'opposition n'ont pas pu se présenter. Votre candidate de l'époque, Reckya Madougou, est même allée en prison. Elle y est toujours. Est-ce que vous craignez une nouvelle élection sans opposition ? Oui. L'ancienne ministre Reckya Madougou est en prison avec le professeur Joël Aïvo et bien d'autres compatriotes sont en prison ou en exil. Et je continuerai de dire que c'est l'une des raisons pour lesquelles nous sommes davantage tristes, parce que si la démocratie revenait à sa juste valeur, comprenez que nos prisonniers seraient libérés, les exilés feraient le retour. C'est la raison fondamentale de notre combat aujourd'hui. Une élection présidentielle sans les candidats du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie. À lire aussiBénin: la Cour constitutionnelle écarte la candidature des Démocrates à la présidentielle de 2026
UN MARIAGE EN 3 CEREMONIES Katleen & Alexis ont organisé 3 cérémonies pour leur mariage, civil, religieux et laïque. Ils nous racontent l'organisation de leur mariage et le déroulé de ces 3 cérémonies. Lorsque le marié tient absolument à son mariage à l'église, mais que la mariée est plus emballée par la liberté qu'offre une cérémonie laïque … il faut bien trouver un compromis pour satisfaire tout le monde et surtout n'avoir aucun regret. Alors on discute, on pèse le pour et le contre. Et généralement, les mariés finissent par choisir entre la cérémonie religieuse et la cérémonie laïque, en fonction de ce qui fait le plus sens pour eux, pour leur histoire de couple. Même si on a déjà eu plusieurs exemples dans le podcast de mariages avec 3 cérémonies, c'est vrai que c'est toute une organisation et le timing de la journée peut vite être très serré. Pour Katleen & Alexis, ça a été une vraie décision et il a fallu s'accrocher pour réussir à faire entrer 3 cérémonies de mariage dans le planning du weekend ! Mais tu te doutes bien, si les mariés sont là aujourd'hui pour raconter leur histoire à mon micro, c'est que cette histoire finit bien … ils ont réussi à aller jusqu'au bout de leur envie de se dire OUI en 3 cérémonies ! ******* Bienvenue DANS LA CONFIDENCE ! le podcast mariage qui aide les futures mariées tout au long de leurs préparatifs !Je suis Laurène, jeune mariée du 15 Juillet 2021, j'ai profité de l'année de report de mon mariage pour lancer ce podcast dédié aux futures mariées. Chaque Mercredi matin, je te donne RDV pour un nouvel épisode inédit ! Je reçois des jeunes mariées qui nous racontent tous leurs préparatifs jusqu'au déroulé de leur jour J. Et j'interviewe des professionnels du mariage pour décrypter au mieux les coulisses de leurs métiers et te faire découvrir des prestataires passionnés.Ce podcast mariage, c'est le meilleur moyen de faire le plein de conseils pratiques, de bons plans et de recommandations de prestataires ! Bref, tout ce dont on a besoin quand on prépare un mariage !******* Pour me contacter par mail : danslaconfidence.podcast@gmail.comRetrouvez toutes les infos de cet épisode sur le compte instagram du podcast !Montage de cet épisode : Laurène GOLVAN Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous avez remarqué ? Dès que l'on parle de bienveillance ou de management bienveillant, il y a toujours quelqu'un pour vous dire « oui, non mais c'est bien gentil ta bienveillance, mais la réalité, c'est qu'il fait être méchant pour réussir ». Vraiment ? C'est un sujet qui m'interpelle depuis que j'ai commencé ma carrière, au siècle dernier… et oui, ce n'est pas nouveau. Il faut dire qu'à cette époque, le management était à 100% descendant, omniscient, omniprésent, peu ouvert à la discussion avec les équipes, souvent froid et distant… un vrai bonheur pour les équipes comme vous pouvez vous en douter. L'exemple était donné : pour réussir (ie : devenir manager étant à l'époque le seul modèle reconnu de réussite), il fallait être dur. En fait, la vraie question a quelque peu changé depuis des années puisque le concept même de réussite a totalement changé. Réussir sa vie professionnelle, qu'est-ce aujourd'hui ? Être manager ? Gagner beaucoup d'argent ? Avoir un rôle social reconnu de toutes et de tous ? Autre chose ? Oui… c'est autre chose ; bien entendu, nous avons toutes et tous une définition différente de ce qu'est de réussir, mais c'est cela qui est nouveau. Il y a quelques années, la réussite se définissait par le fait d'avoir une Rolex ou pas à 50 ans… force est de constater que cette phrase de Jacques Séguéla attribuée par erreur à Nicolas Sarkozy est devenue totalement ringarde. Pourquoi ? 1- La nouvelle définition de la réussite professionnelle 2- L'équilibre (enfin trouvé) entre vie pro et vie perso ? 3- Faut-il être méchant pour devenir manager ? Bonne écoute ! Pour lire la version écrite et voir tous mes contenus : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
3.2 L'AUDACE PROPHÉTIQUE Qualité de l'âme, qui incite à accomplir des actions difficiles, à prendre des risques pour réussir une entreprise considérée comme impossible. Nous étudierons ensemble ce passage car il est très riche : Ézéchiel 3:1-9 PDV2017 « 1. Celui qui parle me dit : « Toi, l'homme, mange ce qui est devant toi. Mange ce rouleau, puis va parler aux Israélites. » 2. J'ouvre la bouche, et il me fait manger le rouleau.3. Ensuite, il me dit : « Toi, l'homme, remplis (nourris) ton ventre, nourris-toi avec ce rouleau que je te donne. » Je le mange donc. Dans ma bouche, il est doux comme du miel. 4. Celui qui parle me dit : « Toi, l'homme, va vers les Israélites et répète-leur (dis-leur) ce que je vais te dire. 5. Je ne t'envoie pas vers un peuple qui parle une langue étrangère difficile à comprendre. Je t'envoie vers le peuple d'Israël. 6. Si je t'envoyais vers les peuples nombreux qui parlent une langue étrangère difficile à comprendre, et qui est obscure pour toi, ils t'écouteraient. 7. Mais les Israélites, eux, ne voudront pas t'écouter, parce qu'ils ne veulent pas m'écouter. Oui, ils ont tous la tête dure, et leur cœur est fermé. 8. Je vais te rendre aussi têtu qu'eux, et ta tête sera aussi dure que leur tête. 9. Je la rendrai dure comme le diamant, plus dure que la pierre. N'aie pas peur d'eux, ne sois pas effrayé devant eux. Oui, c'est une bande de révoltés. » » Que pouvons-nous tirer comme leçon de ce passage ? Que Dieu vous bénisse abondamment !
Au moins 150 000 morts, 12 millions de réfugiés et 25 millions de personnes en proie à la famine… C'est le triste bilan après près de trois ans de conflit meurtrier entre l'armée soudanaise, héritière de l'ancien régime, avec à sa tête le général Abdel Fattah al-Burhan et les FSR, les Forces de soutien rapide, une unité paramilitaire dissidente dirigée par le général Hemedti. Avantage à ces derniers : dimanche, constate Libération à Paris, après 18 mois de siège, « la ville d'El-Fasher est tombée aux mains des Forces de soutien rapide, laissant présager de nouveaux massacres ethniques. Les paramilitaires contrôlent désormais la quasi-totalité de la région du Darfour ». Et le journal de s'interroger : « est-ce un tournant dans la guerre civile soudanaise ? » Oui, répond Alan Boswell, de l'International Crisis Group : « la chute d'El-Fasher est "le moment que beaucoup redoutaient, celui de la partition claire du Soudan. Le pays est désormais de facto divisé. Et plus la guerre durera, plus cette division deviendra concrète et sera difficile à inverser" ». Et « que fait la communauté internationale ? », s'interroge encore Libération. Réponse : « à peu près rien. En juin 2024, le Conseil de sécurité des Nations unies a voté la résolution 2736 exigeant "que les FSR mettent fin au siège d'El-Fasher", demandant "l'arrêt immédiat des combats" et "que les parties au conflit autorisent et facilitent l'acheminement rapide, sûr, durable et sans entrave de l'aide humanitaire destinée aux civils qui en ont besoin". Aucune de ces "exigences" onusienne n'a été respectée. Après un an de siège, l'état de famine a été déclaré à Zamzam puis à El-Fasher même. Les bombardements et les assauts des FSR n'ont jamais cessé ». Deux prédateurs… Pour Le Temps à Genève, « le Soudan est (donc) plus que jamais divisé entre deux prédateurs ». Deux généraux, « deux anciens complices qui se battent entre eux, commente le chercheur Marc Lavergne, interrogé par le journal. Ce n'est pas une guerre civile, affirme-t-il. Car les Soudanais ne se détestent pas, ils subissent cette guerre. Il reste une conscience nationale et, malgré l'exil de millions d'habitants, le mouvement démocratique subsiste dans ce pays qui avait vu naître les premiers partis politiques en Afrique pendant la colonisation britannique ». Il n'empêche : le pays est plus que jamais coupé en deux, constate encore Marc Lavergne : « l'armée soudanaise aura de la peine à reprendre le contrôle du Darfour. Les FSR, quant à eux, pourront difficilement reprendre pied dans la capitale ». Pourtant, déplore-t-il, « une nouvelle partition n'est pas la solution. Il n'y a qu'à voir le destin du Soudan du Sud, lui aussi déchiré par les combats et les ambitions personnelles ». Du matériel militaire britannique Toujours à propos de ce conflit, cette révélation du Guardian à Londres : « du matériel militaire britannique a été retrouvé sur des champs de bataille au Soudan, du matériel utilisé par les FSR, groupe paramilitaire accusé de génocide », pointe le journal qui s'appuie sur « des documents consultés par le Conseil de sécurité de l'ONU ». Il s'agit, précise le Guardian de « de systèmes de cibles pour armes légères et de moteurs de fabrication britannique pour véhicules blindés de transport de troupes ». Ces matériels « auraient transité par les Émirats arabes unis, accusés à plusieurs reprises de fournir des armes aux paramilitaires ». Commentaire du journal : ces fournitures de matériels militaires « posent questions concernant le gouvernement britannique et son rôle potentiel dans l'alimentation du conflit ». « Ces vieillards qui s'accrochent au pouvoir… » Enfin, on reste en Afrique avec cet éditorial du Washington Post sur ces « dirigeants africains vieillissants qui s'accrochent au pouvoir sur un continent jeune : l'Afrique a un problème encore pire que les États-Unis, pointe le journal, avec des politiciens vieillissants qui ne veulent pas lâcher prise ». On aura compris le sous-entendu… Le Post cible le Camerounais Paul Biya qui vient de se faire réélire pour un 8e mandat. « Le qualifier de "vainqueur" est une affirmation généreuse, relève le journal, car l'élection a très probablement été truquée. (…) L'Afrique reste dominée par des vieillards, déconnectés depuis longtemps des préoccupations populaires, déplore le Washington Post. Déjà chef d'État le plus âgé du monde, Biya aura presque 100 ans s'il termine son huitième mandat. Le président du Togo a 86 ans, celui du Malawi 85 et celui de la Côte d'Ivoire 83. Cette gérontocratie crée un climat explosif, conclut le quotidien américain, qui ne peut qu'entrainer de futurs conflits ».
Comment booster votre podcast sans vous épuiser ? Publier deux fois par semaine : bonne idée ou fausse bonne stratégie ?Dans ce nouvel épisode de Tips, je réponds à une question que beaucoup de podcasteurs se posent : “Est-ce que je dois publier plus d'épisodes pour faire décoller mon podcast ?”On entend souvent dire qu'une recette miracle pour augmenter l'audience de son podcast, serait d'augmenter son rythme de publication. Mais est-ce vraiment la meilleure stratégie pour votre émission podcast ? Ou est-ce que ça risque plutôt de vous mener à l'épuisement… et au fameux podfading ?
COMMENTAIRE DE L'ÉVANGILE DU JOUR Lc 13, 22-30 En ce temps-là, tandis qu'il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant. Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » Jésus leur dit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n'y parviendront pas. Lorsque le maître de maison se sera levé pour fermer la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : “Seigneur, ouvre-nous”, il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes.” Alors vous vous mettrez à dire : “Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places.” Il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l'injustice.” Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors. Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu. Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. »
Aujourd'hui, nous plongeons dans l'accompagnement de fin de vie, là où le corps devient le dernier langage, un messager silencieux chargé de vérité et d'émotions. Bienvenue dans la saison 5 "La voix en héritage"! Rejoins moi sur Sweet Elles : https://go.sweetpapipodcast.com/sweetelles Contrairement aux idées reçues, ce n'est pas la parole ni les soins techniques qui dominent ce passage, mais la présence, le geste, le souffle partagé. À travers des souvenirs intimes et des réflexions profondes, je t'invite à découvrir comment les petits signes du corps, une main qui se tend, un regard qui s'envole, deviennent les derniers poèmes d'un être aimé. Cet épisode te fera réfléchir à votre manière d'accompagner, de ressentir et d'aimer différemment dans les instants suspendus de la fin de vie. Que tu sois aidant, professionnel du soin ou simplement en quête de sens face à la fragilité, cet épisode est une invitation à ralentir et à écouter ce que le corps nous murmure quand les mots s'effacent. Voici 3 enseignements clés à retenir : Le corps parle encore, même quand la voix se tait À travers des gestes, des regards ou une respiration, chaque signe devient un message puissant. Il nous dicte une vérité nue et invite à une écoute plus profonde. La synchronisation émotionnelle apaise S'ajuster au rythme d'un proche, respirer ensemble, installer le calme et la douceur : cette corégulation réduit le stress et la douleur, et crée une véritable danse invisible entre deux présences. Le soin, c'est d'être et non de faire En fin de vie, il s'agit d'accorder sa présence avec douceur, patience et lenteur. Parfois, en faire moins mais avec plus de sens permet d'accompagner avec bienveillance et profondeur. Timeline de l'épisode 00:01:0600:01:20 Le langage silencieux du corps : "Le corps devient le dernier lieu de lien. Il parle encore, juste autrement. Oui, les mots se taisent, les traitements se font plus légers, mais soudain tout passe par lui." 00:03:2200:03:25 La sagesse du corps dans les derniers instants "C'est fou comme le corps devient notre professeur dans ces moments-là." 00:03:3600:03:40 L'art du soin en fin de vie "Ce jour-là, j'ai compris que le soin ce n'était plus de faire, mais d'être." 00:04:5900:05:16 Synchronisation émotionnelle et corégulation : "C'est une sorte de danse invisible entre 2 respirations. Savais-tu que les neurosciences affectives le confirmer Les microrythmes corporels, respiration, regards, tension musculaire s'accordent spontanément entre 2 êtres humains." 00:05:5700:06:00 Le langage silencieux des adieux : "Ces signes ne sont pas anodins, ils sont les derniers poèmes du corps."
Tom Herga, notre journaliste, devient Tom Lerga. Oui, il vous sort de la galère. Avec lui, les petites galères du quotidien, c'est fini ! Tom Lerga, tous les jours, va à la rencontre des Strasbourgeois. Nos Alsaciens se confient au micro de Tom, et notre héros trouve toujours la solution, les tips, le conseil pour vous sortir de la lèrga !
Entré en vigueur le 6 août dernier, l'accord migratoire conclu entre Londres et Paris permet au Royaume-Uni de renvoyer des exilés en France et, en échange, d'en accueillir autant. Mais la mesure peine à se mettre en place et n'a aucun effet sur les traversées. Reportage à Calais, l'un des principaux points de départs des migrants. Une partie de football s'improvise dans la cour du Secours catholique à Calais. L'association offre, en plein centre-ville, un lieu de répit aux exilés. Ici, beaucoup ont déjà entendu parler de l'accord migratoire entre la France et la Grande-Bretagne, sans toujours en connaître les détails. « J'ai entendu parler de cet accord, c'est un peu comme si on était des animaux. Mais je ne peux pas faire demi-tour et je ne peux pas rester ici. Je n'ai pas d'autre choix », affirme Abdo, originaire du Yémen et arrivée à Calais il y a un mois. À l'intérieur du bâtiment, des dizaines d'hommes, souvent jeunes, discutent autour des multiprises si précieuses pour recharger leur portable. La fréquentation du centre n'a pas baissé, malgré la nouvelle menace qui pèse sur les candidats à la traversée. « Je pense qu'au début, il y avait des questions qui se posaient. Quand l'information est sortie, les gens, par pragmatisme, continuaient de passer en petits bateaux. Nous, on a tout de suite pensé que c'était inefficace. Tant que les personnes sont coincées dans ces politiques européennes, elles continueront d'aller en Angleterre », estime Léa Biteau, qui coordonne l'antenne du Secours catholique à Calais. De fait, depuis le 1e janvier, près de 37 000 personnes sont arrivées au Royaume-Uni à bord de petites embarcations, au départ des côtes françaises. Ce chiffre dépasse celui de l'ensemble de l'année 2024. Et depuis l'entrée en vigueur de l'accord entre Londres et Paris, seulement 42 personnes ont été expulsées de Grande-Bretagne et 23 ont obtenu un visa. À lire aussiFlux migratoire en hausse vers le Royaume-Uni malgré l'accord avec la France Pour bénéficier de ce principe du « un pour un », un expulsé de Grande-Bretagne pour un accueilli, le candidat doit s'inscrire de son propre chef sur une plateforme du ministère de l'Intérieur britannique, via un smartphone. Faut-il encore le savoir. Une ONG britannique a dû se déplacer à Calais ces dernières semaines pour aider les exilés dans leurs démarches. « Parmi les visiteurs réguliers de l'accueil de jour, il y en a pas mal qui ont fait des demandes, raconte Sakina, médiatrice au Secours catholique. Pour l'instant, je ne connais qu'une seule personne qui a eu un rendez-vous à Paris. Le problème, c'est qu'ils lui ont demandé l'original de son passeport. Sauf que c'est complètement déconnecté de sa réalité à lui et de la réalité de pas mal de personnes exilées d'ici. Il s'agit de beaucoup de personnes qui ont fui des situations de guerre, de conflit et qui n'ont donc pas les originaux de leurs papiers. » À lire aussiRoyaume-Uni: des milliards «gaspillés» pour héberger des migrants en hôtels pointe un rapport parlementaire CJ a la chance d'avoir pu conserver son passeport. Ce Soudanais de 28 ans, qui a plusieurs fois échoué à traverser la Manche, a tenté cette fois la voie légale. « Oui, j'ai déposé une demande sur cette nouvelle appli britannique, pour obtenir un visa. Mais elle n'a pas été acceptée », regrette-t-il. Alors est-ce que cela change ses projets ? Sa réponse n'est pas celle qu'espèrent les autorités britanniques. « En fait, oui, j'ai changé d'avis. Pas pour rester ici en France. Je vais essayer par camion. Mon objectif ne changera pas, jamais », affirme-t-il. En 2024, moins de 2 500 personnes ont choisi de tenter la traversée par camion, une voie extrêmement dangereuse et abandonnée depuis quelques années au profit des canots pneumatiques.
Voici l'Évangile du mercredi 29 octobre 2025 : « On viendra de l'orient et de l'occident, prendre place au festin dans le royaume de Dieu » (Lc 13, 22-30) En ce temps-là, tandis qu'il faisait route vers Jérusalem, Jésus traversait villes et villages en enseignant. Quelqu'un lui demanda : « Seigneur, n'y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés ? » Jésus leur dit : « Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite, car, je vous le déclare, beaucoup chercheront à entrer et n'y parviendront pas. Lorsque le maître de maison se sera levé pour fermer la porte, si vous, du dehors, vous vous mettez à frapper à la porte, en disant : “Seigneur, ouvre-nous”, il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes.” Alors vous vous mettrez à dire : “Nous avons mangé et bu en ta présence, et tu as enseigné sur nos places.” Il vous répondra : “Je ne sais pas d'où vous êtes. Éloignez-vous de moi, vous tous qui commettez l'injustice.” Là, il y aura des pleurs et des grincements de dents, quand vous verrez Abraham, Isaac et Jacob, et tous les prophètes dans le royaume de Dieu, et que vous-mêmes, vous serez jetés dehors. Alors on viendra de l'orient et de l'occident, du nord et du midi, prendre place au festin dans le royaume de Dieu. Oui, il y a des derniers qui seront premiers, et des premiers qui seront derniers. » Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
Bon, petite question pour commencer… Est-ce que vous, autour de la table, vous avez encore un vieux costume d'Halloween qui traîne au fond de l'armoire ? Une cape de vampire ? Une perruque orange ? Un déguisement d'il y a trois ans qu'on n'a jamais ressorti ?Eh bien justement, aujourd'hui, on va parler d'une idée qui pourrait éviter ça : louer plutôt qu'acheter. Halloween, c'est typiquement le moment où on achète des vêtements qu'on ne remettra jamais. Alors qu'il existe depuis longtemps des boutiques comme Costume.be ou Happy Rent où l'on peut louer son déguisement pour la soirée, puis le rapporter le lendemain. C'est simple, moins cher… et ça évite les cartons pleins de citrouilles en plastique.Mais cette idée de location, elle ne s'arrête pas aux costumes d'Halloween. Aujourd'hui, elle s'invite aussi dans notre garde-robe de tous les jours.Ah oui ? Tu veux dire qu'on peut louer aussi des vêtements “normaux” ? Exactement ! Et c'est une première en Belgique francophone. Des nanas viennent de lancer Muchachas, un site de location de vêtements pensé pour les femmes actives, les mamans, ou celles qui ont simplement envie de changer de look sans se ruiner.L'idée est née d'un moment de vie : l'une des fondatrices venait d'accoucher. Elle devait racheter des vêtements, mais savait qu'elle ne les porterait que quelques mois. Pas envie de tout acheter, ni de passer des heures dans les magasins. Alors elle a imaginé une solution : et si on pouvait louer ? C'est malin, surtout pour gagner du temps et éviter d'entasser. Oui ! Le concept est simple : on choisit ses vêtements en ligne, on les reçoit, on les porte, puis on les renvoie. Chaque pièce est nettoyée et remise en circulation pour être portée par d'autres clientes. Un même vêtement peut ainsi vivre des dizaines de vies.Et quand il arrive en fin de parcours, un peu usé, un peu fatigué, il n'est pas jeté : il est revendu à petit prix, en seconde main. Rien ne se perd, tout tourne. C'est un vrai dressing partagé, finalement ! Oui, exactement ! Et ce n'est pas qu'une idée écolo : c'est surtout pratique et économique. Fini les placards qui débordent, fini les achats impulsifs qu'on ne porte jamais. On change de style à volonté, sans accumuler.Et pendant ce temps, chaque Belge évite d'ajouter à ces 15 kilos de vêtements qu'on jette en moyenne chaque année. Un petit geste, mais un vrai changement de rythme.Et c'est vrai que la mode, ça change tout le temps. Là, au moins, on suit le mouvement sans se ruiner !Exactement. C'est un peu comme avoir un dressing infini, sans pousser les murs, ni vider son compte en banque. Et puis, c'est aussi le plaisir de se réinventer sans se lasser.Alors, que ce soit pour votre costume d'Halloween ou votre tenue de bureau… Et si, cette année, vous testiez la mode en location ?
10 octobre 2025 à Lyon. 120 entrepreneures se réunissent pour un évènement : le sommet des Entrepreneur(e)s du Milieu. Le premier évènement du mouvement initié par Claire de Alvaere and Co.Ce n'est pas un sommet business comme les autres.Oui, il y a eu des tables rondes et des conférences.Mais il y a surtout eu des échanges humains très forts.Un évènement hors du temps où je me suis sentie totalement à ma place, entourée d'entrepreneures qui partagent ma vision de l'entrepreneuriat.Je te raconte comment je me suis retrouvée là-bas, ce que j'ai vécu et avec quoi je repars.Tu peux me retrouver ici :✨ https://www.instagram.com/clementine.lavote/✨ https://clementinelavote.fr/
Paul St-Pierre Plamondon a accordé une entrevue éditoriale au Devoir dans le cadre du 30e anniversaire du référendum de 1995. Il revient sur la déclaration controversée de Jacques Parizeau sur «l'argent et les votes ethniques» pour expliquer la défaite du camp du Oui. Trente ans plus tard, le chef du PQ affirme que son parti fait campagne pour tous les Québécois. Selon lui, un Québec souverain se construira avec, et non sans, les immigrants.Cet épisode a été enregistré le 24 octobre 2025.
J'ai rêvé de toi en couleurs, c'est le titre de l'exposition monographique que le Musée d'art moderne de Paris consacre jusqu'au 22 février 2026 à l'artiste plasticienne Otobong Nkanga, née à Kano au Nigeria, et qui réside en Belgique depuis une vingtaine d'années. Otobong Nkanga travaille sur le thème du lien brisé et à recréer entre l'humain et son environnement. RFI : Bonjour Otobong Nkanga, vous présentez ici, au Musée d'art moderne de Paris, une monographie rétrospective de votre œuvre. Qu'est-ce que ça vous fait de revisiter ce que vous avez produit au fil des ans ? Otobong Nkanga : Cela me fait vraiment plaisir, comme j'ai fait mes études ici en France, à Paris. Et de rentrer dans ce musée pour montrer la sélection de mon travail, c'est réellement quelque chose qui me touche. Je suis à la fois étonnée, émue et fière, car c'est un musée que je venais visiter quand j'étais à Paris. J'allais y regarder des expositions, par exemple de Dominique Gonzalez-Foerster ou Pierre Huyghe. Et à cette époque-là, je regardais ces artistes avec un immense respect, et de constater que je suis moi aussi entrée dans l'un des plus grands musées de France...Oui, c'est incroyable ! Qu'est-ce que vous avez choisi de montrer aux visiteurs français ou étrangers qui viendront ici ? D'abord des pièces que j'ai réalisées ici à Paris, comme celle qui s'appelle Keyhole. Il y a plusieurs pièces qui datent de ce temps-là, et d'autres plus actuelles, afin de montrer l'étendue des choses. C'est aussi la première fois que je montre des pièces que j'ai faites à l'école. C'est important de pouvoir les montrer, car il y a des jeunes qui créent et travaillent, et ils peuvent ainsi constater que les œuvres tracent une certaine ligne qui va être suivie dans le futur. On peut voir beaucoup de choses, on peut voir du tissage, des collages, des céramiques, des installations. Mais au final, quelle est la forme d'expression plastique qui vous correspond le plus ? Tout commence avec les dessins, l'installation, les sculptures, les tapisseries, les performances. Tout cela commence vraiment par une esquisse ou un dessin. Et à partir de là, je commence à voir mes idées dans un espace. Et à partir de là, pour moi, il n'y a pas une médium qui me semble plus important qu'une autre. C'est en fonction de l'idée que j'ai, en fonction de la manière que je trouve la meilleure pour exprimer quelque chose. Votre travail questionne beaucoup le rapport entre l'humain et la nature… Ces liens que l'on crée, ces liens que l'on détruit, ces liens que l'on aimerait pouvoir recréer. Je pense notamment à toute la partie sur les industries extractives. Est-ce que l'action de l'homme sur la nature est toujours négative ? Je ne crois pas que c'est l'action de l'homme qui est négative sur la planète, parce que, nous aussi, nous venons de cette planète, de cette nature-là. Mais ce que je crois en revanche, c'est que la manière de développer et de structurer nos entreprises extractives ne prend pas en compte une partie « dormante ». Je veux dire, le fait de laisser les choses reposer, repousser, se régénérer. Tout ce que l'on fait, c'est de sortir, sortir des choses. On a toujours été extractifs, nous les humains, mais la manière dont nous le faisons aujourd'hui est marquée par le capitalisme. On le fait pour le capital et non pas pour l'humain. C'est pourquoi nous entrons dans des guerres. C'est pourquoi nous entrons dans un système qui n'est pas favorable aux humains, surtout pour les gens qui habitent sur les terres qui possèdent ces ressources minières. ► Exposition I Dreamt of you in Colours, d'Otobong Nkanga au Musée d'art moderne de Paris jusqu'au 22 février 2026.
En cette semaine de congé d'automne, à l'approche de la Toussaint, on se tourne souvent vers nos proches disparus. Mais aujourd'hui, on va aussi parler de l'avenir… de ce qui se passe après. Parce qu'en Belgique, il y a du nouveau : une première nationale autour d'un tout autre type d'inhumation.Une première et même une petite révolution silencieuse : l'aquamation. C'est ce qu'on appelle la crémation par l'eau. Le principe ? Le corps du défunt est plongé dans une eau chaude, sous pression, avec un peu d'hydroxyde de potassium. En quelques heures, les tissus se dissolvent naturellement, et il ne reste qu'une poudre blanche, comparable aux cendres d'une crémation classique.Sauf que et c'est là la différence il n'y a pas de flamme, pas de fumée, pas de CO₂. L'aquamation consomme jusqu'à cinq fois moins d'énergie qu'une crémation et ne libère pas de métaux lourds ni de particules dans l'air. C'est donc une méthode plus douce, plus propre et plus respectueuse de l'environnement.Le premier essai a lieu en ce moment même à Wilrijk, près d'Anvers, au crématorium Pontes. C'est un projet pilote, accompagné par le centre de recherche flamand VITO. On veut mesurer l'impact écologique réel avant de l'autoriser plus largement. Et ça, c'est une première. Mais il n'y a pas que l'aquamation, non ? On parle de plus en plus d'autres façons d'inhumer aussi ? Exactement ! Et c'est ça qui est intéressant. Aujourd'hui, les Belges ont plein de nouvelles options pour dire adieu autrement.Il y a bien sûr l'inhumation traditionnelle et la crémation, mais on voit apparaître des alternatives plus écologiques ou symboliques.Par exemple : Les forêts funéraires, comme celle du Bois de Soleilmont, près de Fleurus, dans le Hainaut. Là-bas, on peut disperser ou enterrer les cendres au pied d'un arbre, sans pierre tombale ni marbre. Le lieu s'appelle “Les Arbres du Souvenir”, et chaque arbre devient une sorte de monument vivant. On se promène dans les bois, on pense à la personne… C'est un espace de mémoire apaisant, naturel, vivant.Et il y a aussi ces urnes biodégradables qui permettent de planter un arbre avec les cendres d'un proche. L'urne contient une graine, ou un jeune plant, et au fil des mois, un arbre pousse symbole de vie qui continue.C'est quand même beaucoup plus poétique que les cimetières gris de nos souvenirs…C'est vrai. Et au-delà de la poésie, ces nouveaux modes d'inhumation ont des avantages très concrets :Écologiques, d'abord, moins de pollution, pas de produits chimiques, pas de pierre importée d'Asie ou de cercueil verni. Économiques, souvent : les coûts sont moindres, puisqu'il n'y a ni concession, ni monument à entretenir. Et puis symboliques : on ne parle plus seulement de fin, mais de cycle, de renouveau. Un arbre, une forêt, une trace dans la nature : c'est une autre façon d'être présent, autrement. C'est une belle manière de voir les choses, surtout à cette période de l'année. Oui, et c'est sans doute ce qui séduit de plus en plus de familles : l'idée que même dans le deuil, on peut faire un geste pour la planète… et pour la mémoire.Alors, que ce soit par l'eau, par la terre ou par les racines d'un arbre, on voit bien qu'en Belgique, nos adieux aussi deviennent durables.
Amandine, la fibre maternelle, elle l'a toujours eu ! Et oui, que voulez-vous, en ayant grandit au milieu d'enfants, on ne peut que être attirée par ce domaine, vous ne croyez pas ? En tout cas, pour elle, devenir mère est vite devenu une évidence. D'ailleurs, cette envie s'est décuplée quand elle a rencontré Sébastien, qu'on va appeler Séb, l'amour de sa vie. Leur envie commune de construire une famille les a vite poussée à se lancer et c'est rapidement qu'Amandine est tombée enceinte. Une forme d'enfer et une santé de fer ont rythmées ces neuf mois de grossesse. Pour le jour J, Amandine, ultra renseignée sur les méthodes naturelles et connaissant parfaitement son corps, s'était lancée le défi fou d'accoucher sans péri. Oui mais… c'était sans compte Loéline, sa fille, qui avait décidé de rester bien au chaud, après la fameuse date prévue d'accouchement. Alors comment ça se passe un accouchement déclenché ? Et puis, quand on a un projet d'accouchement physio, est-ce que le projet tient toujours à J+3 ? Et d'ailleurs, on entend partout que les déclenchements sont synonymes d'accouchements hyper longs, c'est vrai ? Amandine répondra à toutes ces questions en vous racontant son expérience qui fut plus que magique. Un déclenchement oui, mais un défi relevé avec brio le tout accompagné par une équipe à l'écoute et dévouée. Je sais que de nombreuses mamans ont peur d'être déclenché, surtout pour un premier. J'espère donc que cet épisode pourra vous rassurer et vous montrer que malgré tout, ça peut hyper bien se passer. Je vous souhaite une très belle écoute. *** Pour retrouver les ressources citées et l'univers de notre super mama :
J'ai rêvé de toi en couleurs, c'est le titre de l'exposition monographique que le Musée d'art moderne de Paris consacre jusqu'au 22 février 2026 à l'artiste plasticienne Otobong Nkanga, née à Kano au Nigeria, et qui réside en Belgique depuis une vingtaine d'années. Otobong Nkanga travaille sur le thème du lien brisé et à recréer entre l'humain et son environnement. RFI : Bonjour Otobong Nkanga, vous présentez ici, au Musée d'art moderne de Paris, une monographie rétrospective de votre œuvre. Qu'est-ce que ça vous fait de revisiter ce que vous avez produit au fil des ans ? Otobong Nkanga : Cela me fait vraiment plaisir, comme j'ai fait mes études ici en France, à Paris. Et de rentrer dans ce musée pour montrer la sélection de mon travail, c'est réellement quelque chose qui me touche. Je suis à la fois étonnée, émue et fière, car c'est un musée que je venais visiter quand j'étais à Paris. J'allais y regarder des expositions, par exemple de Dominique Gonzalez-Foerster ou Pierre Huyghe. Et à cette époque-là, je regardais ces artistes avec un immense respect, et de constater que je suis moi aussi entrée dans l'un des plus grands musées de France...Oui, c'est incroyable ! Qu'est-ce que vous avez choisi de montrer aux visiteurs français ou étrangers qui viendront ici ? D'abord des pièces que j'ai réalisées ici à Paris, comme celle qui s'appelle Keyhole. Il y a plusieurs pièces qui datent de ce temps-là, et d'autres plus actuelles, afin de montrer l'étendue des choses. C'est aussi la première fois que je montre des pièces que j'ai faites à l'école. C'est important de pouvoir les montrer, car il y a des jeunes qui créent et travaillent, et ils peuvent ainsi constater que les œuvres tracent une certaine ligne qui va être suivie dans le futur. On peut voir beaucoup de choses, on peut voir du tissage, des collages, des céramiques, des installations. Mais au final, quelle est la forme d'expression plastique qui vous correspond le plus ? Tout commence avec les dessins, l'installation, les sculptures, les tapisseries, les performances. Tout cela commence vraiment par une esquisse ou un dessin. Et à partir de là, je commence à voir mes idées dans un espace. Et à partir de là, pour moi, il n'y a pas une médium qui me semble plus important qu'une autre. C'est en fonction de l'idée que j'ai, en fonction de la manière que je trouve la meilleure pour exprimer quelque chose. Votre travail questionne beaucoup le rapport entre l'humain et la nature… Ces liens que l'on crée, ces liens que l'on détruit, ces liens que l'on aimerait pouvoir recréer. Je pense notamment à toute la partie sur les industries extractives. Est-ce que l'action de l'homme sur la nature est toujours négative ? Je ne crois pas que c'est l'action de l'homme qui est négative sur la planète, parce que, nous aussi, nous venons de cette planète, de cette nature-là. Mais ce que je crois en revanche, c'est que la manière de développer et de structurer nos entreprises extractives ne prend pas en compte une partie « dormante ». Je veux dire, le fait de laisser les choses reposer, repousser, se régénérer. Tout ce que l'on fait, c'est de sortir, sortir des choses. On a toujours été extractifs, nous les humains, mais la manière dont nous le faisons aujourd'hui est marquée par le capitalisme. On le fait pour le capital et non pas pour l'humain. C'est pourquoi nous entrons dans des guerres. C'est pourquoi nous entrons dans un système qui n'est pas favorable aux humains, surtout pour les gens qui habitent sur les terres qui possèdent ces ressources minières. ► Exposition I Dreamt of you in Colours, d'Otobong Nkanga au Musée d'art moderne de Paris jusqu'au 22 février 2026.
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Aujourd'hui, je pars à la rencontre de David Nogues, Président du Grand Plateau, Un tiers-lieu pour les professionnel.le.s du vélo et des micro mobilités et co-fondateur de l'entreprise Second Cycle ! Ensemble nous parlerons de ré-emploi, de ré-industrialisation et de l'union pour faire la force Pour en savoir plus sur le travail de David, je vous invite à vous rendre sur le site Web du Grand Plateau. Pour continuer la lecture de David, il s'agissait du livre de Pierre Rabhi : “La sobriété heureuse.” 2030 Glorieuses c'est le podcast des nouvelles croissances. Car non, demain n'est pas foutu ! Oui, le futur peut se révéler être autrement plus enthousiasmant que la période actuelle. À condition de se mettre (enfin) à la hauteur des enjeux de notre siècle…C'est ce que nous explorerons ensemble toutes les deux semaines dans le podcast 2030 Glorieuses. Quelles sont nouvelles croissances qui nous attendent dans la société durable, solidaire et joyeuse de demain ? Avec nos invité·es, nous imaginerons les valeurs fortes qui vont se déployer largement et pour quels bénéfices. Nous évoquerons les indicateurs qui nous permettront de mesurer ces changements souhaitables. Et nous tenterons même de deviner quelles étapes et quelles ruptures ont été nécessaires pour y parvenir. Et pour retrouvez notre galaxie utopiste, rendez-vous sur 2030glorieuses.org. Le podcast est soutenu par La Nef, la coopérative bancaire citoyenne qui soutient depuis plus de 30 ans les porteurs de projets sociaux, écologiques et culturels. Plus d'infos sur lanef.com.
Vous avez déjà eu envie de faire quelque chose et de vous dire "non... je n'y arriverai pas", ou d'avoir des proches qui à force de vous dire que votre rêve est fou finissent par vous convaincre que cela ne sert à rien d'essayer ? Oui ? Et bien moi aussi... mais, croyez-moi, ce n'est pas une fatalité et vous pouvez dépasser cela ! Cet épisode vous explique comment faire !Et n'hésitez pas à vous rendre sur mon site pour retrouver tous mes contenus, articles, tests de personnalité, vidéos : www.gchatelain.comSoutenez ce podcast http://supporter.acast.com/happy-work. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour notre escapade urbaine du jour on s'envole pour Malte. La Valette vient d'être sacrée meilleure ville européenne et meilleure ville au monde par le prix des lecteurs du célèbre Conde Nast Traveller Et ce n'est pas rien. C'est LE magazine de référence en termes de voyage ! Et c'est vrai que cette ville, elle fascine, elle a gardé le caractère de son passé historique. Son nom on le doit à Jean de la Valette, le grand maitre de l'Ordre de Malte. Un français. Il a été à l'initiative de la construction de la ville. Quand les Chevaliers débarquent en 1530. La Valette n'existe pas. Ils s'installent en face dans les 3 cités. Toujours aussi charmantes, typiques avec leurs places, leurs palais, leurs églises. Ce que je vous conseille pour passer d'une cité à l'autre c'est d'emprunter un Luzzu. Ce sont ces petites embarcations en bois colorées, avec l'œil phénicien peint sur la proue pour vous protéger des aléas de la mer… Une ville historique mais pas trop ville musée, … ça bouge quand même? Oui !! y a une ville culturelle et festive. Assez riche. Elle n'a pas été capitale européenne de la culture en 2018 par hasard. Ce nouveau souffle on le doit de grands architectes : zaha hadid, Renzo Piano qui a remodelé notamment l'immense porte de la ville. Très Impressionnante. Vous y accédez par un pont, vous dominez le fossé creusé par les chevaliers et vous retrouvez en face des fortifications. Autre lieu de vie culturelle : le Micas.Ouvert il y a 1 an : le 1er musée d'art contemporain de Malte qui inaugure ce we une exposition sur l'un de plus grands coloristes du 20 -ème-après Matisse-Milton Avery. Micas qui est d'ailleurs situé juste a côté du Phoenicia, l'hôtel mythique de la ville : 5 étoiles. Magnifique. Vous avez aussi une seconde adresse un peu plus accessible ? Le boutique Hôtel Lebrun, le Palais du chevalier Claude Lebrun à l'époque. Sa terrasse est un superbe spot pour l'apéritif. Et donc coté papilles ma bonne petite adresse : le Trabuxu ( Tire-bouchon ) pour ses croquettes de lapin. Et puis sinon il y a aussi 3 restaurants étoilés a Malte Fiche Pratique Office du tourisme de Malte www.visitmalta.com Le Micas : https://micas.art/ Le Phoenicia : https://phoeniciamalta.com/ Le boutique hôtel Lebrun : https://www.palaislebrun.com/ Restaurant le Trabuxu : https://trabuxu.com.mt/bistro Les oreilles d'âne Je vous rassure, pas question de manger de l'âne ! Ce plat – originale de l'Isère et des Hautes-Alpes.- doit tout simplement son nom aux feuilles de tétragone qui le composaient à l'origine et dont la forme évoque cette des … oreilles d'un âne. La tétragone cornue est un légume oublié / épinard de Nouvelle Zélande d'où elle est originaire. Pas très facile à trouver, on va la remplacer par des épinards. On ne peut dater la création de ce plat familial qui est une sorte de lasagnes d'épinards gratinés. À l'origine, on alternait des couches de pâtes et d'épinards sauvages préparés avec une béchamel et de la tome de montagne. La recette Ingrédients pour 4 personnes - 500 gr d'épinards - 1 oignon - 40 gr de beurre - 40 gr de farine - 25 cl de lait - 125 gr de tome râpée (ou de gruyère) - 2 c à soupe de crème fraîche - sel / poivre - 250 gr de pâte à lasagne Émincer l'oignon et le faire revenir dans un noix de beurre / ajouter les épinards taillés grossièrement / laisser cuire quelques minutes et ajouter la crème / réaliser une béchamel avec le beurre, la farine et le lait / monter en lasagnes en alternant les couches de pâtes et d'épinards, puis recouvrir de béchamel et de fromage / enfourner 30 min à 170° puis gratiner le dessus. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Soyez honnête, est-ce que parler de finance dans le couple vous est venu naturellement ?Parce que moi pas du tout.Quel enfer d'aborder ces sujets. Et puis un jour j'ai compris, ce n'est pas un enfer, c'est primordial. C'est essentiel, surtout en tant que femme.Oui, nous vivons dans une société capitaliste qui est imparfaite, mais en attendant, l'argent reste un aspect central de notre vie. Dans cet épisode, je vous propose d'aller encore plus loin et de vous poser une question essentielle : combien coûte vraiment l'amour dans un couple ?Lucile Quillet, journaliste et autrice du livre Le Prix à payer, montre comment l'amour, les enfants et le quotidien ont un prix… que les femmes paient trop souvent seules.On parle ensemble d'argent, de carrière freinée, de charge mentale qui écrase, et de ce monde du travail encore taillé sur mesure pour les hommes.Ce que vous allez entendre va peut-être vous bousculer dans votre propre vision de votre couple et de votre organisation familiale. Mais c'est fait pour ça les podcasts !Un épisode pour comprendre, mais surtout pour ouvrir les yeux sur ce que chacun·e d'entre nous met dans la balance.LIENS UTILES :Le prix à payer - Ce que le couple hétéro coûte aux femmes, Lucile QuilletSite Oseille & CompagnieÉpisode 193 – L'entreprenariat des mères, comment se prémunir face aux dangers ? Estelle By, avocate
*Leçon n°277 : Quel Verre à Vin Choisir ? Le guide indispensable pour sublimer vos dégustations* : --------------------------------------- Vous avez déjà eu l'impression qu'un vin manquait d'arômes, ou qu'il semblait « plat » alors que vous l'adoriez habituellement ? Et si le problème venait… du verre ? Oui, le verre à vin change tout. Sa forme, son volume, sa matière : chacun de ces éléments peut influencer les arômes, la texture, et même le plaisir en bouche. Dans cette leçon, je vous explique : Pourquoi le verre tulipe est souvent le plus adapté Les 3 critères essentiels pour bien choisir son verre Comment adapter votre verrerie aux vins rouges, blancs, ou effervescents Et comment éviter les erreurs fréquentes qui gâchent la dégustation Vous allez comprendre pourquoi un bon verre, c'est bien plus qu'un joli contenant : c'est un outil de révélation aromatique. Et je vous partage aussi mes conseils pratiques, que vous soyez passionné ou simplement curieux de mieux déguster. Abonnez-vous pour ne rien manquer. *Suivez-moi sur les Réseaux Sociaux* : ---------------------------------------- Suivez-moi sur Instagram : https://www.instagram.com/yann_rousselin_lecoam/ Rejoignez-moi sur Facebook : https://www.facebook.com/LeCOAM Découvrez mes vidéos sur TikTok : https://www.tiktok.com/@yannrousselin.lecoam *Pour Aller Plus Loin* ---------------------------------------- Formez-vous au vin sur http://www.lecoam.eu Rejoignez le 1er Club à distance pour vivre sa passion du vin : https://club-du-degustateur.com/ Retrouvez tous mes articles et podcasts ici : https://www.le-vin-pas-a-pas.com/
Episode spécial sur le consentement ! Ton corps, personne n'a le droit d'y toucher sans que tu dises oui : sans pression, sans menace, sans contrainte. Pourtant, comme le dit Lou, c'est pas toujours facile de dire non, surtout en amour, surtout à son crush.Dans cet épisode, tu vas découvrir qu'un vrai oui, ce n'est ni un « peut-être », ni un « bof », ni même un « moui », qu'on peut accepter quelque chose à un moment et ne plus être d'accord à un autre… et les astuces de Juju et ses cop's pour refuser avec tact et humour, sans vexer l'autre.CréditsDirection éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude. Avec les voix de Candice Sansano, Margaux Rinaldi, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc Monchy.Un podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans Silicon Carne, on parle d'amour, de solitude et de régulation — trois mots qui, visiblement, vont très bien avec l'intelligence artificielle…
Mes chers camarades, bien le bonjour !S'il y a bien un conflit qui marque encore au fer rouge l'actualité, c'est bien celui de la guerre d'Algérie, une guerre de décolonisation dont les ressorts sont parfois flous et complexes pour la plupart d'entre nous. Et pour cause, on peine encore à en parler car d'un côté ou de l'autre, on a vu nos familles en souffrir. Alors oui, la Première Guerre d'Algérie s'arrête avec la chute d'Abd el-Kader en 1858. Oui, la Seconde Guerre d'Algérie, celle de l'indépendance, débute officiellement en 1954. Mais entre les deux, il n'y a pas du tout eu un siècle de calme et de paix ! Il y a eu plein d'incidents, sans compter la grande révolte des Kabyles de 1871, puis les combats de 1939 - 1945, puis des massacres en 1945, puis des mouvements indépendantistes, en 1946 et en 1947… Mais du coup, quand est-ce que la décolonisation a vraiment commencé pour de bon ? Combien de temps a-t-il fallu pour que l'Algérie soit vraiment décolonisée ? Qui s'est battu pour ou contre l'indépendance ? Et quels ont été les effets du conflit ?Bonne écoute !➤ Cet épisode propose une vision d'ensemble des enjeux de la décolonisation à travers la guerre d'Algérie. L'objectif est de montrer la violence du conflit dans toute sa complexité, sans manichéisme, ni glorification. Il ne s'agit pas de trancher, mais de restituer une réalité dure, telle qu'elle a été vécue des deux côtés. On s'attend possiblement à des retours nous reprochant de ne pas avoir assez insisté sur les violences commises par la France, ou au contraire, de trop mettre en avant le FLN. Ces points méritent en effet d'être approfondis, peut-être dans d'autres épisodes. Ici, il s'agissait avant tout de rendre compte de la brutalité du conflit dans son ensemble. À noter : un autre épisode, réalisé avec l'INA, traite spécifiquement de la propagande française pendant la guerre, ce qui vient compléter celui-ci : https://youtu.be/PBU3Sqautzg
Dans cet épisode, on change les règles du jeu.C'est une intelligence artificielle, Olivia, qui prend les commandes et interviewe PPC, l'animateur habituel de Connected Mate.Oui, une IA qui pose les questions, et un humain qui y répond.Pourquoi cette inversion ? Parce que cela incarne parfaitement le propos du nouveau livre de PPC, « Réinventez votre entreprise à l'ère de l'IA », écrit en compagnonage avec une IA. La préface est de Serge Papin, ancien PDG du groupe Système U et Ministre. L'ouvrage est disponible à la commande sur Amazon https://amzn.to/4gT84ibDans cet échange, PPC revient sur son expérience d'écriture en binôme avec une machine, sur ce que l'IA révèle de nous, sur la manière dont elle transforme les pratiques managériales. Un épisode qui interroge notre rapport à la vitesse, au discernement, à la clarté… et surtout à notre humanité dans un monde technologique en accélération. Une conversation miroir à ne pas manquer.Pour suivre les actualités de ce podcast, abonnez-vous gratuitement à la newsletter écrite avec amour et garantie sans spam https://bonjourppc.substack.com Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:28 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Bonjour, Mona Lisa, enchantée. Oui, j'ai tout entendu. Il était sur les coups de 9h20, dimanche, je prenais mon petit déjeuner, et j'ai entendu un bruit de disqueuse. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:28 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Bonjour, Mona Lisa, enchantée. Oui, j'ai tout entendu. Il était sur les coups de 9h20, dimanche, je prenais mon petit déjeuner, et j'ai entendu un bruit de disqueuse. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est la punchline de Quentin! Qui a fait un mini buzz sur Instagram et Linkedin. Oui, beaucoup de consoeurs et de confères ont apprécié cet encouragement à se lâcher la grappe! Moi aussi d'ailleurs, cette simple phrase m'a permis de dégommer un de mes blocages (depuis des années, je préfère ne pas me fixer d'objectifs… pas pratique quand on entreprend). Je te raconte tout ça dans cette MM. Et je compte sur toi pour me dire: tu arrives à te fixer des objectifs clairs, qui te portent? “Les objectifs ne sont pas fait pour être atteints”, ça te parle aussi? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
(10.12.2025-10.19.2025) Oui the jewels. Tune in.#applepodcasts #spotifypodcasts #youtube #amazon #patreonpatreon.com/isaiahnews
Quelles étapes et quelles ruptures ont été nécessaires pour faire advenir les 2030 Glorieuses ? C'est à cette question que tente de répondre dans cet extrait Olivier Verrièle, directeur de la Société Choletaise de Fabrication [SCF] qui crée et fabrique des accessoires textiles étroits pour des clients du monde entier, une histoire qui perdure dans le temps depuis plus d'un demi-siècle. ! Ensemble nous parlerons de savoir-faire, d'industrie et de 1/3 lieux. 2030 Glorieuses c'est le podcast des nouvelles croissances. Car non, demain n'est pas foutu ! Oui, le futur peut se révéler être autrement plus enthousiasmant que la période actuelle. À condition de se mettre (enfin) à la hauteur des enjeux de notre siècle…C'est ce que nous explorerons ensemble toutes les deux semaines dans le podcast 2030 Glorieuses. Quelles sont nouvelles croissances qui nous attendent dans la société durable, solidaire et joyeuse de demain ? Avec nos invité·es, nous imaginerons les valeurs fortes qui vont se déployer largement et pour quels bénéfices. Nous évoquerons les indicateurs qui nous permettront de mesurer ces changements souhaitables. Et nous tenterons même de deviner quelles étapes et quelles ruptures ont été nécessaires pour y parvenir. Et pour retrouvez notre galaxie utopiste, rendez-vous sur 2030glorieuses.org. Le podcast est soutenu par La Nef, la coopérative bancaire citoyenne qui soutient depuis plus de 30 ans les porteurs de projets sociaux, écologiques et culturels. Plus d'infos sur lanef.com.
Oui, cette histoire est tout à fait vraie, et elle illustre à merveille les mœurs étonnantes — et souvent cruelles — de la justice d'Ancien Régime. Jusqu'au XVIIIe siècle, la France connaissait une institution pour le moins singulière : les tribunaux d'impuissance, chargés de juger si un mari était, ou non, capable de “remplir son devoir conjugal”. Ces procès, souvent spectaculaires, mêlaient droit, médecine, religion… et humiliation publique. Et c'est un noble français, le marquis de Langey, qui, bien malgré lui, mit fin à cette pratique absurde.L'affaire éclate en 1659. Le marquis de Langey, jeune aristocrate d'une vingtaine d'années, épouse Mademoiselle de Saint-Simon de Courtemer. Mais très vite, leur union tourne court : l'épouse, frustrée, l'accuse d'impuissance, c'est-à-dire d'incapacité physique à consommer le mariage. À cette époque, cette accusation n'est pas anodine : un mariage non consommé peut être annulé, privant l'époux de son honneur et de ses droits. La femme dépose donc plainte, et l'affaire est portée devant le Parlement de Paris.Ce qui suit confine au cauchemar. Le marquis est sommé de se soumettre à une “épreuve de virilité” : une inspection médicale complète, menée devant médecins, sages-femmes et témoins. Puis vient la fameuse “épreuve du congrès”, une procédure officielle au cours de laquelle l'accusé devait, en présence d'experts, tenter d'accomplir l'acte sexuel avec son épouse. Les contemporains décrivent cette scène avec un mélange d'effroi et de curiosité. Évidemment, sous la pression, le marquis échoue. Il est déclaré impuissant et, par conséquent, incapable de mariage. Le verdict est rendu public : humiliation totale.Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Peu après, le marquis quitte Paris et se réfugie en Italie, où il se remarie. Cette fois, miracle : il a plusieurs enfants. La nouvelle fait scandale et ridiculise la justice française. Comment un homme officiellement reconnu “impuissant à jamais” peut-il devenir père ailleurs ? Le Parlement, embarrassé, annule la décision précédente, et le tribunal du congrès est définitivement supprimé en 1677 par le roi Louis XIV lui-même, sur avis de ses juristes.Cette affaire du marquis de Langey mit ainsi un terme à une procédure qui relevait plus du théâtre que du droit. Elle révèle aussi combien la sexualité, au XVIIe siècle, était perçue comme une affaire publique, surveillée et jugée — jusqu'à ce qu'un homme humilié prouve, au fond, que la justice pouvait être bien plus impuissante que lui. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Hey mais il manque pas le match Broncos - Giants ?", fait remarquer un des membres de la rédaction. Ah. Oui !L'occasion de vous offrir ce qui est peut-être un des épisodes les plus courts de l'histoire du podcast TDActu. Mais comme on ne laisse jamais personne sur le bord de la route, voici un podcast spécial de rattrapage pour compléter la preview de la Semaine 7. Avec l'occasion de faire quelques annonces au passage.Victor Roullier est rejoint par Alain Mattei pour décortiquer l'opposition entre Denver et New York. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oui, en très très démocratique République les choses vont tellement vite qu'il est urgent d'installer des radars et des dos d'âne pour ralentir cette course folle.
Bienvenue à San Francisco !!Une ville pépite, superbe, magnifique.Une ville avec 38 796 choses à faire, alors ne perdons pas de temps.Direction Alcatraz, Lombard Street, Twin Peaks, le Golden Gate Bridge, etc...Oui, il y a du boulot ! Dans cet épisode, vous pourrez croiser des fleurs, du LSD, Jimmy Hendrix, Janis Joplin et une tête de dragon Pour en savoir plus, une seule adresse, le podcast FIFTY STATESHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.