Country in Northwestern Africa
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Au huitième mois d'une crise diplomatique d'une rare intensité entre Paris et Alger, les relations ne se sont toujours pas adoucies. Depuis qu'Emmanuel Macron a reconnu, en juillet 2024, la souveraineté du Maroc sur la Sahara occidental, rien ne va plus entre l'Algérie et l'ancien pays colonisateur. Le ton est ensuite monté d'un cran avec l'arrestation à Alger de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, notoirement critique envers le régime. Début 2025, les polémiques sur les ressortissants algériens expulsés de France, et que les autorités algériennes refusent de reprendre, ont crispé davantage de part et d'autre de la Méditerranée.Au mois de mars les deux présidents Macron et Tebboune ont tenté de renouer le dialogue, mais l'arrestation le 11 avril d'un agent consulaire algérien a ravivé les tensions. Code source fait le point avec Henri Vernet, journaliste au service politique du Parisien, et Joanna Blain, journaliste au service international.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux, Pénélope Gualchierotti, Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LeFigaro, France Info, BFMTV, TF1. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:25:07 - Jean Marie Machado, pianiste jazz et compositeur (1/5) - par : Anne Montaron - Pianiste de jazz mais aussi compositeur, Jean-Marie Machado tient de son enfance au Maroc et de ses rencontres multiples le goût des ailleurs. Entre deux représentations de son opéra La Falaise des Lendemains, il se raconte au micro d'Anne Montaron. - réalisé par : Béatrice Trichet
Send us a textDans cet épisode inspirant de Shine, je reçois une femme au parcours exceptionnel : Mélanie Salgues, fondatrice du Trek des Gazelles.Après une épreuve personnelle bouleversante, Mélanie a choisi de transformer la douleur en un projet porteur de sens. Depuis 2015, son événement unique en son genre rassemble chaque année des centaines de femmes du monde entier pour un trek au cœur des paysages majestueux du Maroc. Bien plus qu'un défi sportif, le Trek des Gazelles est une expérience humaine, solidaire et transformatrice, où chaque pas compte pour soutenir la lutte contre le cancer pédiatrique.Dans cet épisode, Mélanie nous partage :
Comme chaque dimanche sur RFI, c'est l'heure de découvrir les Têtes d'affiches de Denise Epoté, avec Nicolas Brousse cette semaine. Sur la manchette, le Marocain Hassan Jibar, qui dirige le programme Open innovation, de la compagnie aérienne Royal Air Maroc. Et, le Tunisien Kayoum Djedidi, cofondateur et PDG d'Open Organic Robotics (OORB), concepteur des robots made in Tunisie.
Comment une institution centenaire comme la Croix-Rouge française se réinvente-t-elle face aux défis sociétaux actuels ? Cet épisode de "Disruption Inside" vous plonge au cœur de l'innovation sociale et technologique qui transforme cette organisation emblématique. Nous explorons avec notre invitée les stratégies mises en place pour répondre aux besoins des populations vulnérables à travers des projets innovants. Quels sont les leviers d'innovation qui permettent à la Croix-Rouge de rester pertinente et efficace dans un monde en perpétuelle mutation ?Pauline Blanc-Patin, Directrice de l'Innovation à la Croix-Rouge française, partage son parcours inspirant au sein de l'organisation. Arrivée en pleine crise Covid, Pauline a su mettre à profit son expérience en innovation sociale acquise dans divers pays émergents. Son engagement est né d'une mission humanitaire au Maroc, et depuis, elle n'a cessé de concilier stratégie et impact social. Forte de son expertise, elle pilote aujourd'hui une équipe dédiée à dynamiser la modernisation des activités de la Croix-Rouge française, en collaboration avec divers partenaires.L'épisode aborde en profondeur les trois grands enjeux actuels de la Croix-Rouge française : la gestion de crise, l'engagement des bénévoles, et l'inclusion numérique. Pauline détaille les innovations mises en place, telles que l'application Minutis pour coordonner les opérations de secours, ou encore des initiatives pour préparer la population aux crises par des jeux sérieux. Elle insiste sur l'importance de l'innovation ouverte et de la collaboration avec des partenaires variés pour maximiser l'impact social. Enfin, l'épisode met en lumière les défis à venir, notamment la nécessité de s'adapter à un environnement en poly-crise et de déployer à grande échelle les solutions innovantes développées.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le gouvernement fait face à une menace de censure de la part du Rassemblement National et de la France Insoumise si le budget 2026 ne leur convient pas, avec 40 milliards d'euros d'efforts budgétaires annoncés.Les relations entre la France et l'Algérie se dégradent avec l'expulsion de 12 agents de l'ambassade de France, tandis que les relations avec le Maroc se réchauffent.Le nombre de baptêmes d'adultes connaît une hausse de 45% en un an, avec des témoignages de nouveaux convertis.La météo sera particulièrement perturbée à l'est du pays avec de la pluie et des orages.Un séisme de magnitude 5,2 a frappé le sud de la Californie.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les engrais russes seront-ils taxés à partir du mois de juillet ? C'est le projet de l'Union européenne qui cherche à priver la Russie d'une de ses mannes financières. Le processus règlementaire continue à Bruxelles avec un prochain rendez-vous au mois de mai. Cela fait des mois que le sujet alimente les conversations au niveau européen, mais ce n'est qu'en janvier, qu'un projet écrit a été présenté par la commission. Il a été approuvé mi-mars par les États-membres et la rapporteuse du texte l'a présenté la semaine dernière aux groupes parlementaires qui ont déposé des amendements dans la foulée.Le prochain vote est attendu mi-mai. En attendant, le lobbying des producteurs d'engrais et des agriculteurs qui défendent chacun des intérêts, diamétralement opposés, continue.L'année dernière, un quart des besoins européens en engrais ont été fournis par la Russie, soit 6,2 millions de tonnes l'année dernière. En l'état actuel du texte, l'Union européenne souhaiterait limiter l'entrée des engrais russes dès juillet, de manière progressive via des taxes qui augmenteront pendant trois ans.Quelles alternatives aux engrais russes ?L'Union européenne espère augmenter la production des 27 pour compenser ce qu'elle n'importera plus de Russie. Mais cette ambition relève du défi. Car la filière européenne de production des engrais accumule les problèmes structurels, pour reprendre une note du cabinet Global Sovereign Advisory (GSA). Avec notamment une règlementation de plus en plus dure en matière d'émissions de CO2, en plus de devoir faire face à un coût du gaz beaucoup plus élevé qu'ailleurs. Résultat, l'excès de production n'est pas d'actualité, au contraire des usines ont fermé ou ont suspendu leur activité. 20 à 30 % de la capacité européenne de production d'ammoniac était par exemple à l'arrêt en ce début 2025, comme le rappelle une note publiée récemment par GSA.Diversifier l'approvisionnement européenL'Europe devra aussi continuer à importer, et à augmenter la part de ses fournisseurs non russes. Le défi sera aussi le prix, car les tarifs pratiqués par la Russie, qui dispose de quantité de gaz à domicile, sont ultra-compétitifs. Dans ce contexte, les agriculteurs européens ne sont pas rassurés, et demandent un délai d'un an à la commission européenne pour ne pas se retrouver pris au piège. Ils plaident entre autres pour une levée rapide des taxes douanières sur les engrais du Maroc, des États-Unis, ou encore de Trinité-et-Tobago.Une production russe malgré tout en hausseLes producteurs russes s'inquiètent eux de voir ce marché se fermer, et soutiennent le report d'un an demandé par les agriculteurs. Mais les engrais russes trouveront toujours preneurs, assure un négociant. « Ils prendront la place d'autres origines, qui remplaceront en échange les engrais russes en Europe, comme un grand jeu de chaises musicales ». La Russie aurait déjà commencé à reporter une partie de ses exportations vers l'Inde, et le Brésil. Tout en maintenant un niveau élevé de vente à la Chine, et une part à peu près constante d'engrais vendus aux États-Unis.Comme un pied de nez aux européens, la Russie entend même conforter cette année son statut de premier exportateur mondial d'engrais. Selon la note de GSA, elle prévoit d'augmenter sa production de 3 % et ses exportations de 5 % en 2025, après une année 2024 déjà record. Une ambition qui s'appuie notamment sur la mise en service de nouvelles usines d'ammoniac et d'urée. À lire aussiTaxes sur les engrais russes: les céréaliers français s'inquiètent
Huit adolescents sont violemment attaqués sur le terrain d'une école secondaire à La Prairie. Kathlyn Morel, directrice du Centre de services scolaire, exprime son choc et son urgence à restaurer le sentiment de sécurité. Benoît revient aussi sur une campagne électorale floue où les chefs évitent les questions difficiles, préférant les balados aux journalistes. Avec Antoine Robitaille et Alexandre Dubé, il déplore le manque d'information, les cadres financiers absents et la stratégie anxiogène de Mark Carney. Richard Martineau, de retour de Québec, parle des vrais besoins du « vrai monde ». Maxime Deland, lui, dénonce un système judiciaire absurde : un accusé pour agressions sexuelles en CHSLD a pu fuir au Maroc sans entrave. Et pendant que Demidov électrise Montréal, le gouvernement Legault, lui, perd des centaines de millions en aides aux entreprises. Une production QUB Avril 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:54:08 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - On dresse le couvert depuis le Festival du Livre de Paris dont le pays invité est le Maroc. Au menu : des livres de gastronomie à dévorer ! - réalisé par : Lauranne THOMAS
durée : 00:28:42 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Pays invité d'honneur du Festival du livre de Paris 2025, le Maroc est aussi une terre d'hospitalité où la douceur de vivre le dispute au plaisir de s'attabler. C'est toute la philosophie du "Domaine sauvage", à quelques kilomètres de Marrakech, où Souhail Tazi a créé un lieu original. - réalisation : Taïssia Froidure - invités : Souhail Tazi Fondateur de Domaine Sauvage
durée : 00:16:06 - 8h30 franceinfo - Othman Nasrou, premier secrétaire général délégué de LR et directeur de campagne de Bruno Retailleau pour la présidence du parti, était l'invité du "8h30 franceinfo", dimanche 13 avril 2025.
Les Têtes d'affiches de Denise Epoté de TV5 Monde, chaque dimanche sur RFI, sont cette semaine Nawal Dine Kolawole Toure et Sokaina Sayouri. Le premier est originaire du Sénégal. Diplômé de l'université Cheick Anta Diop de Dakar et d'HEC Maroc, Nawal Dine Kolawole Toure possède des masters 2 en génie logiciel, business intelligence, stratégie data et intelligence artificielle. À la tête du département de la technologie de l'information et de l'innovation d'une entreprise de téléphonie mobile, il crée des solutions innovantes et disruptives dans l'écosystème de la fintech avec un accent particulier sur l'inclusion financière. Notre seconde tête d'affiche est elle originaire du Maroc. Ingénieure en informatique diplômée de l'école polytechnique d'Agadir, Sokaina Sayouri possède également un master en business intelligence obtenu à l'université de Lorraine. Elle a fondé Schoolify, une plateforme dédiée à la gestion et à la digitalisation des établissements scolaires. Elle compte 600 000 utilisateurs en Afrique, en Europe et au Canada.
durée : 00:28:42 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Pays invité d'honneur du Festival du livre de Paris 2025, le Maroc est aussi une terre d'hospitalité où la douceur de vivre le dispute au plaisir de s'attabler. C'est toute la philosophie du "Domaine sauvage", à quelques kilomètres de Marrakech, où Souhail Tazi a créé un lieu original. - réalisation : Taïssia Froidure - invités : Souhail Tazi Fondateur de Domaine Sauvage
durée : 00:28:42 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Pays invité d'honneur du Festival du livre de Paris 2025, le Maroc est aussi une terre d'hospitalité où la douceur de vivre le dispute au plaisir de s'attabler. C'est toute la philosophie du "Domaine sauvage", à quelques kilomètres de Marrakech, où Souhail Tazi a créé un lieu original. - réalisation : Taïssia Froidure - invités : Souhail Tazi Fondateur de Domaine Sauvage
Comment capturer l'essence des cuisines d'Afrique du Nord pour les conter et les transmettre avec justesse ? La meilleure voie n'est-elle pas celle de l'intime, du sensible, du quotidien, du récit d'une réconciliation entre l'enfant perchées sur les genoux se régalant de baghrir, l'adolescente cherchant à ne pas se distinguer et l'adulte qui réapprend à être : une jeune femme aux racines africaines, familiales en Algérie et en Tunisie, amicale au Maroc. La cuisine est toujours d'un grand secours quand les mots manquent et les silences peinent à s'exprimer. Il faut l'apparente distraction, les gestes et l'essaim de femmes pour que la parole se déploie. Les femmes au cœur de la société, nourricières, elles sont aussi les gardiennes de rites, symboles, traditions, culture et les passeuses. À elles les gestes, à elles l'histoire, la grande et les petites du quotidien, à elles les contes, les réunions, les rites, l'avant et l'après, le dedans et le dehors.Cuisines d'Afrique du Nord est un livre qui se passera de familles en familles comme on partage une recette, un secret, une table. Il est intime et universel puisqu'il est le reflet des questions de la seconde, la troisième génération d'immigrés. Il raconte une quête de soi et une identité retrouvée, réinvestie, une place entre ici et ailleurs, de part et d'autre des rives de la Méditerranée.► Cuisines d'Afrique du Nord est publié aux éditions Flammarion.Avec : Farah Keram, journaliste, autrice également de Faire son pain aux éditions Ulmer ► Sa newsletter Nina Medioni, photographe ► InstagramLa cuisine fait pansement, elle vient mettre du langage sur les maux. J'ai été un peu la personne qui, parfois, au milieu du chaos de la cuisine, celle qui dit : "Attendez : on fait la photo".Pour aller plus loin : Mahjouba, le film d'Anissa Kaki pour Grandmas Project Couscous à la sauce blanche, ou couscous à la sauce rouge ? de Marie Caquel, n°79/2018, 34e année, Presse universitaire du Mirail.Programmation musicale : Mam Pe'ela Su'ure de Florence Adooni
Le festival de danse contemporaine On marche, à Marrakech, qui se termine le 12 avril, offre de plus en plus de place à la jeune génération. Depuis trois ans, le concours Taklif offre aux jeunes primés des moyens pour créer et avancer dans leur formation. À lire aussiMaroc: le festival Zamane a l'ambition de faire revivre les traditions
Pascal Jousse a commencé son parcours professionnel en 1997 en tant que professeur des écoles à Casablanca, au Maroc. Homme de culture aux multiples casquettes - enseignant, scénariste et créateur de contenus -, il est très fier de sa capacité à lier l'art et la pédagogie avec les enfants pour cible. Ces activités qu'il n'a pas arrêtées depuis sa retraite en 2014 lui permettent aujourd'hui d'être le lauréat Éducation des 13èmes Trophées des Français de l'étranger. Pascal Jousse, lauréat Éducation des 13èmes Trophées des Français de l'étranger, est l'invité de Vivre Ailleurs.À lire aussiFocus sur l'Institut des Français de l'étranger (IFE)
Le festival de danse contemporaine On marche, à Marrakech, qui se termine le 12 avril, offre de plus en plus de place à la jeune génération. Depuis trois ans, le concours Taklif offre aux jeunes primés des moyens pour créer et avancer dans leur formation. À lire aussiMaroc: le festival Zamane a l'ambition de faire revivre les traditions
Le tenant du titre, victime de son inefficacité offensive chronique, a chuté face à la Côte d'Ivoire, aux tirs aux buts et laisse les Eléphanteaux affronter le pays organisateur, le Maroc, en demi-finale.
Comment capturer l'essence des cuisines d'Afrique du Nord pour les conter et les transmettre avec justesse ? La meilleure voie n'est-elle pas celle de l'intime, du sensible, du quotidien, du récit d'une réconciliation entre l'enfant perchées sur les genoux se régalant de baghrir, l'adolescente cherchant à ne pas se distinguer et l'adulte qui réapprend à être : une jeune femme aux racines africaines, familiales en Algérie et en Tunisie, amicale au Maroc. La cuisine est toujours d'un grand secours quand les mots manquent et les silences peinent à s'exprimer. Il faut l'apparente distraction, les gestes et l'essaim de femmes pour que la parole se déploie. Les femmes au cœur de la société, nourricières, elles sont aussi les gardiennes de rites, symboles, traditions, culture et les passeuses. À elles les gestes, à elles l'histoire, la grande et les petites du quotidien, à elles les contes, les réunions, les rites, l'avant et l'après, le dedans et le dehors.Cuisines d'Afrique du Nord est un livre qui se passera de familles en familles comme on partage une recette, un secret, une table. Il est intime et universel puisqu'il est le reflet des questions de la seconde, la troisième génération d'immigrés. Il raconte une quête de soi et une identité retrouvée, réinvestie, une place entre ici et ailleurs, de part et d'autre des rives de la Méditerranée.► Cuisines d'Afrique du Nord est publié aux éditions Flammarion.Avec : Farah Keram, journaliste, autrice également de Faire son pain aux éditions Ulmer ► Sa newsletter Nina Medioni, photographe ► InstagramLa cuisine fait pansement, elle vient mettre du langage sur les maux. J'ai été un peu la personne qui, parfois, au milieu du chaos de la cuisine, celle qui dit : "Attendez : on fait la photo".Pour aller plus loin : Mahjouba, le film d'Anissa Kaki pour Grandmas Project Couscous à la sauce blanche, ou couscous à la sauce rouge ? de Marie Caquel, n°79/2018, 34e année, Presse universitaire du Mirail.Programmation musicale : Mam Pe'ela Su'ure de Florence Adooni
Au Gabon, l'heure est aux derniers préparatifs avant la présidentielle de samedi. Entre mise en place du dispositif électoral et distribution des cartes d'électeurs, les équipes de la Commission d'organisation et de coordination des opérations de vote sont à pied d'œuvre. Le gouvernement confirme sa détermination à relever le défi d'un scrutin, libre, crédible et transparent. Au terme d'une campagne électorale de deux semaines, les huit candidats en lice, dont le président de la transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, attendent désormais le verdict des urnes.
Le pétrole, le charbon et le gaz proviennent de la décomposition, sur des millions d'années, des forêts et des micro-organismes qui couvraient la planète. Depuis plus de 150 ans, nous les exploitons sans relâche pour alimenter notre électricité, nos transports et notre agriculture. Mais les gisements les plus accessibles et rentables s'épuisent, tandis que leur combustion libère des gaz à effet de serre perturbant notre climat. Il est donc temps, malgré les résistances comme celles de Donald Trump, de nous désintoxiquer. Mais comment y parvenir ? Donald Trump a signé mardi des décrets, entourés de mineurs en tenue de chantier, destinés à « doper » l'extraction de charbon aux États-Unis. Ces textes, ratifiés par le président, prévoient de lever les barrières réglementaires à l'extraction de charbon, et de suspendre les fermetures de nombreuses centrales à charbon pour « plus que doubler » leur production d'électricité, notamment pour répondre à l'essor de l'intelligence artificielle. Nous parlons de notre dépendance aux énergies fossiles avec Francis Perrin, directeur de recherches à l'IRIS (l'Institut des relations internationales et stratégiques) et chercheur associé au Policy Center for the New South, un centre de réflexion basé à Rabat, au Maroc.Puis, nous vous emmenons en Écosse, où l'an dernier la production de pétrole en mer du Nord a atteint son plus bas niveau depuis les années 70. Cependant, les projets d'énergies renouvelables, notamment dans l'éolien, peinent à se concrétiser. La fermeture de la raffinerie de Grangemouth cet été suscite des inquiétudes, avec des salariés espérant une reconversion vers la recherche ou la production de carburants verts. La transition énergétique met en péril les emplois et l'économie de toute la région. Reportage de Thomas Harms.Musique diffusée pendant l'émission : Franz Ferdinand – Build it up
Née en 1987 à Casablanca, vivant aujourd'hui à Paris, Rim Battal est poétesse. Après des études de journalisme, elle se consacre à l'écriture et à la photographie, devenant l'une des figures d'une nouvelle génération de poètes. Elle a notamment publié Vingt poèmes et des poussières (Lanskine), L'eau du bain, Les quatrains de l'all inclusive ou encore X et excès (Le Castor Astral). Je me regarderai dans les yeux est son premier roman. « Au Maroc, à dix-sept ans, à l'âge des romans à l'eau de rose, des serments d'amitié et des poèmes de Rimbaud, une jeune fille fume une cigarette à la fenêtre de sa chambre. Cette transgression déclenche la violente fureur de sa mère – puis, comme un envol effaré, la fugue de la narratrice. Un ultimatum lui est alors posé : elle devra produire un certificat de virginité. L'examen gynécologique forcé sera sa "première fois". Comment sortir de l'enfance quand tous les adultes nous trahissent ? Comment aimer quand ceux qui nous aiment nous détruisent ? Porté par une écriture puissante qui n'oublie ni l'ardeur ni la drôlerie, le récit de Rim Battal dit les premières fois, le désir, la générosité et la force qui président à la naissance d'une femme et d'une écrivaine. » (Présentation des éditions Bayard)
Le pétrole, le charbon et le gaz proviennent de la décomposition, sur des millions d'années, des forêts et des micro-organismes qui couvraient la planète. Depuis plus de 150 ans, nous les exploitons sans relâche pour alimenter notre électricité, nos transports et notre agriculture. Mais les gisements les plus accessibles et rentables s'épuisent, tandis que leur combustion libère des gaz à effet de serre perturbant notre climat. Il est donc temps, malgré les résistances comme celles de Donald Trump, de nous désintoxiquer. Mais comment y parvenir ? Donald Trump a signé mardi des décrets, entourés de mineurs en tenue de chantier, destinés à « doper » l'extraction de charbon aux États-Unis. Ces textes, ratifiés par le président, prévoient de lever les barrières réglementaires à l'extraction de charbon, et de suspendre les fermetures de nombreuses centrales à charbon pour « plus que doubler » leur production d'électricité, notamment pour répondre à l'essor de l'intelligence artificielle. Nous parlons de notre dépendance aux énergies fossiles avec Francis Perrin, directeur de recherches à l'IRIS (l'Institut des relations internationales et stratégiques) et chercheur associé au Policy Center for the New South, un centre de réflexion basé à Rabat, au Maroc.Puis, nous vous emmenons en Écosse, où l'an dernier la production de pétrole en mer du Nord a atteint son plus bas niveau depuis les années 70. Cependant, les projets d'énergies renouvelables, notamment dans l'éolien, peinent à se concrétiser. La fermeture de la raffinerie de Grangemouth cet été suscite des inquiétudes, avec des salariés espérant une reconversion vers la recherche ou la production de carburants verts. La transition énergétique met en péril les emplois et l'économie de toute la région. Reportage de Thomas Harms.Musique diffusée pendant l'émission : Franz Ferdinand – Build it up
Comment une institution centenaire comme la Croix-Rouge française se réinvente-t-elle face aux défis sociétaux actuels ? Cet épisode de "Disruption Inside" vous plonge au cœur de l'innovation sociale et technologique qui transforme cette organisation emblématique. Nous explorons avec notre invitée les stratégies mises en place pour répondre aux besoins des populations vulnérables à travers des projets innovants. Quels sont les leviers d'innovation qui permettent à la Croix-Rouge de rester pertinente et efficace dans un monde en perpétuelle mutation ?Pauline Blanc-Patin, Directrice de l'Innovation à la Croix-Rouge française, partage son parcours inspirant au sein de l'organisation. Arrivée en pleine crise Covid, Pauline a su mettre à profit son expérience en innovation sociale acquise dans divers pays émergents. Son engagement est né d'une mission humanitaire au Maroc, et depuis, elle n'a cessé de concilier stratégie et impact social. Forte de son expertise, elle pilote aujourd'hui une équipe dédiée à dynamiser la modernisation des activités de la Croix-Rouge française, en collaboration avec divers partenaires.L'épisode aborde en profondeur les trois grands enjeux actuels de la Croix-Rouge française : la gestion de crise, l'engagement des bénévoles, et l'inclusion numérique. Pauline détaille les innovations mises en place, telles que l'application Minutis pour coordonner les opérations de secours, ou encore des initiatives pour préparer la population aux crises par des jeux sérieux. Elle insiste sur l'importance de l'innovation ouverte et de la collaboration avec des partenaires variés pour maximiser l'impact social. Enfin, l'épisode met en lumière les défis à venir, notamment la nécessité de s'adapter à un environnement en poly-crise et de déployer à grande échelle les solutions innovantes développées.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le retour annoncé de l'ancien président de la République démocratique du Congo est largement commenté par la presse congolaise. Joseph Kabila qui compte rentrer dans le pays par sa partie « orientale ». Il ne précise pas s'il arrivera par le Katanga ou par les zones sous contrôle du M23. C'est ce flou qui fait l'objet de nombreux commentaires.Pour Forum des As : « Que Joseph Kabila rentre au pays, dans un contexte où son successeur bat le rappel des troupes pour davantage sceller la cohésion interne et faire face à l'ennemi, personne ne s'en offusque. Seulement voilà, écrit le journal en ligne, Joseph Kabila ne précise pas clairement sa porte d'entrée. (...) la partie orientale de la RDC est vaste. Et même très vaste ». Toutefois, reconnaît le Forum des As : « dans la situation actuelle du pays, Joseph Kabila est une variable pour le retour d'une paix durable ».Accusations de complicité avec le M23Tout autre son de cloche pour Info 27, qui reprend à son compte les accusations du président Félix Tshisekedi. Joseph Kabila serait en fait un complice du M23 et préparerait une insurrection. Info 27 estime que « Le retour annoncé de l'ancien président Joseph Kabila (...) précisément par la partie orientale du pays, ne doit rien au hasard », écrit le journal. « Cette région, aujourd'hui sous occupation rwandaise (...), constitue l'épicentre des tensions et des ambitions régionales. (...) Les masques tombent, accuse Info 27, et les alliances se révèlent au grand jour ». Pour le journal en ligne, Joseph Kabila est « le véritable propriétaire de l'AFC/M23, qui s'apprête à reprendre symboliquement possession de son fief à Goma ». Joseph Kabila avait formellement démenti en mars être « complice du M23 » lors d'une conférence de presse organisée en Afrique du Sud.Cyberespace maghrébinLe Maroc a été victime de l'une des pires fuites de données de son histoire. Des milliers de documents de la Sécurité sociale et du ministère de l'Emploi ont été publiés sur internet. Les hackeurs se revendiquent Algériens, mais prudence : rien ne le prouve pour le moment. La presse marocaine, elle, semble persuadée que c'est un coup d'Alger.Défilé d'experts en cybersécurité dans tous les journaux du pays ce matin pour tenter d'expliquer comment cela a pu arriver. Les responsables marocains restent pour le moment muets sur l'affaire. Le journal Yabiladi déplore : « La rivalité entre Maroc et Algérie dépasse les querelles sur les réseaux sociaux autour du patrimoine culturel, culinaire et vestimentaire, pour s'étendre au domaine des cyberattaques. Les tensions entre les deux nations se sont propagées dans le cyberespace ».Le journal en ligne l'Opinion, lui, appelle à des investissements conséquents dans la cybersécurité dans le pays. Des efforts jugés insuffisants selon lui.« Faux experts » au Sahel« Le Sahel et les faux experts : dessous d'une campagne de propagande russe », c'est le titre d'une enquête de Jeune Afrique. Le mensuel panafricain met en lumière un réseau de médias utilisés au Sahel pour diffuser un discours favorable à la Russie et hostile à la France, encore largement répandu aujourd'hui. Des médias qui publient des articles s'appuyant sur des experts ou des journalistes spécialisés qui sont en réalité fictifs. Ces gens n'existent tout simplement pas. Jeune Afrique révèle : « ce sont des créations d'un réseau d'influence. Le plus prolifique d'entre eux, Grégoire Cyrille Dongobada, est présenté comme un observateur militaire centrafricain, chercheur en études politiques ». « Seulement », écrit Jeune Afrique, « ses traces sur internet ne remontent qu'à 2021, alors qu'il est cité dans des médias pro-russes ». Des profils comme celui-là, il en existe d'autres. L'enquête est à lire sur le site internet de Jeune Afrique.
« Entre la France et l'Algérie, les relations reviennent à la normale », affirme Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères, qui a été reçu le 6 avril 2025 à Alger en audience pendant plus de deux heures par le président Abdelmadjid Tebboune. Ces derniers mois, la crise entre Paris et Alger avait fait craindre une rupture des relations diplomatiques. Mais le 31 mars, un coup de téléphone Macron - Tebboune a tout débloqué. Quelles sont les coulisses de ce rebondissement ? À Paris, Akram Belkaïd est le rédacteur en chef du Monde Diplomatique. Il est aussi membre du comité éditorial du site Orient XXI. Il est l'invité de Christophe Boisbouvier. RFI : « Le rideau se lève », dit Abdelmadjid Tebboune. Est-ce que ça y est, la lumière jaillit ?Akram Belkaïd : Oui, quelle étrange formule ! « Le rideau se lève », c'est plutôt un spectacle. Et donc, on se dit que le spectacle continue dans ce feuilleton interminable des relations franco-algériennes. Mais peut-être que c'est aussi pour dire qu'on revient à plus de normalité, à plus de choses transparentes.« Les questions de réadmission et les questions de visas seront traitées dans le cadre des accords existants », dit le ministre français Jean-Noël Barrot. Est-ce à dire que ce sera donnant-donnant, réadmission contre visas ? Alors on peut effectivement comprendre ça, même si pour le moment ce sont les accords qui existent qui priment. Donc, le fameux accord de 1968 qui a été révisé à plusieurs reprises, faut-il le rappeler, et donc les dispositions bilatérales concernant les visas. Donc on n'est pas dans un contexte où on nous explique que tout va être remis à zéro, même si, dans le même temps, on nous dit tout de même qu'il va y avoir des négociations, en tout cas des « enrichissements ».Et des rencontres entre les consuls d'Algérie en France et les préfets de France… Ça, c'est une très bonne chose. On se demande pourquoi ça n'existait pas avant. Il y a une importante communauté algérienne en France. Il y a des problèmes concrets qui se posent à la communauté algérienne de France et c'est une très bonne chose, à mon sens, que ces consuls puissent dialoguer avec les préfectures de manière à ce que la vie quotidienne de cette communauté ne soit pas entravée.Est-ce que les déclarations du ministre français des Affaires étrangères ne sont pas en contradiction avec celles de son collègue de l'Intérieur, Bruno Retailleau, qui accusait récemment l'Algérie de vouloir agresser et humilier la France ? Absolument. On se demande d'ailleurs quelle va être la réaction de monsieur Retailleau, puisque c'est lui qui, au cours des dernières semaines, a jeté de l'huile sur le feu par des déclarations incandescentes. Une menace de démission aussi. Là, visiblement, le dossier lui échappe puisqu'il n'a même pas été cité dans la liste des contacts bilatéraux à venir, puisque c'est le garde des sceaux français qui a été cité sur le plan, en tous les cas, des questions juridiques. Je dirais que, là, pour le coup, ça devient un problème de politique intérieure française.Dans le domaine sécuritaire, le ministre français des Affaires étrangères a annoncé qu'il y aura désormais entre l'Algérie et la France « un dialogue stratégique sur le Sahel ». Comment réagissez-vous ? Alors, c'est une déclaration qui est très importante parce que, dans le contexte actuel du Sahel, avec la montée en puissance, je dirais, de la contestation contre la France mais aussi contre l'Algérie, il est évident que Paris et Alger ont intérêt à trouver un accord pour suivre ce qui se passe au Mali, au Niger, au Burkina Faso aussi, qui sont des zones où traditionnellement les intérêts français et algériens n'ont pas toujours été convergents, mais là où, pour le coup, ils le deviennent. On parle beaucoup de l'influence russe, on parle beaucoup de l'influence turque. Et les deux, je dirais, acteurs habituels semblent avoir perdu la main sur les questions géostratégiques qui concernent cette région.Peut-on parler d'une convergence entre Paris et Alger contre la présence de Wagner à Kidal ? En tous les cas, il est vrai aussi qu'il y a aujourd'hui une dissonance dans les rapports algéro-russes sur la présence effectivement de Wagner à Kidal, que l'Algérie n'accepte pas, que l'Algérie dénonce de manière plus ou moins explicite. Et donc effectivement, on sent bien que là, pour le coup, il y a une entente possible entre Algériens et Français sur ce point-là.Dans le communiqué conjoint des deux présidents lundi 31 mars, comme dans la déclaration du ministre français du 6 avril, pas un mot sur le Sahara occidental qui a pourtant été l'élément déclencheur de la crise au mois de juillet dernier. Est-ce à dire que l'Algérie se résigne à voir la France reconnaître la marocanité du Sahara ? C'est un point qui a été volontairement et délibérément mis de côté. Maintenant, les langues se délient un peu… Quand Emmanuel Macron a adressé sa lettre au roi du Maroc, il est apparu que, en fait, c'était une perspective que les Algériens avaient entérinée depuis un moment et que ça faisait partie, je dirais, des choses qui semblaient être inscrites. Donc, oui, c'est une sorte non pas de résignation, mais Alger prend acte de la position française et l'idée, c'est d'avancer en mettant ce dossier à part, c'est-à-dire en essayant de le réduire à un point, je dirais, de non-accord entre l'Algérie et la France, sachant qu'il est très possible aussi que des choses puissent se cristalliser dans les prochains mois dans, non pas un rapprochement, mais dans un léger réchauffement des relations entre Alger et Rabat.
« D'Égal à Égal » titre le quotidien Algérien Cresus. Photo de la poignée de main entre Jean-Noël Barrot et Abdelmadjid Tebboune en Une. Le président algérien tout sourire après huit mois de tensions... La coopération entre les deux pays reprend dans tous les secteurs. Le journal Cresus raconte : « Il a fallu un coup de fil du Président Macron le jour de l'Aïd El Fitr (...) pour mettre fin à une brouille qui tendait à se prolonger. Pourtant, au-delà des tensions, une réalité demeure : les deux pays ont besoin l'un de l'autre ». Le titre reste néanmoins prudent. Accusant la France d'une diplomatie du double langage. Rappelant ses liens resserrés dernièrement avec le Maroc. Voisin et éternel rival de l'Algérie : « Emmanuel Macron joue les funambules. Pris en tenaille entre ses propres démons politiques – un pays en crise, une extrême droite qui guette, une présidence fragile (…) il tente de ménager la chèvre algérienne et le chou marocain. (...) Face à ce jeu trouble, une seule attitude s'impose : la vigilance inflexible. Ne rien concéder. Ne pas se laisser berner par les sourires de façade ».« L'Algérie n'a jamais décliné le dialogue » El Moudjahid titre « un pas vers l'apaisement ». Le journal -le plus vieux titre francophone du pays- retrace la chronologie des derniers mois de tensions. Et raconte : « L'audience accordée par le président algérien à M. Barrot démontre bien que l'Algérie n'a jamais décliné le dialogue ». Le titre proche du pouvoir explique la position du gouvernement algérien : « Ce que l'Algérie n'admet pas ce sont les leçons moralisatrices (...) de l'extrême droite (...) françaises qui cherche à faire des Algériens, à des fins purement populistes et électoralistes, les boucs émissaires de la crise politico-économique que vit la France ». Référence aux multiples déclarations du ministre français de l'Intérieur Bruno Retailleau. Partisan d'une ligne dure face à l'Algérie au sein du gouvernement français. Les États de l'AES rappellent leurs ambassadeurs en Algérie Le Mali, Le Burkina Faso et le Niger rappellent leurs ambassadeurs à Alger. Signe de protestation après qu'un drone malien ait été abattu à la frontière entre le Mali et l'Algérie. Zone où se cachent des cellules de groupes terroristes. Le gouvernement malien accuse directement Alger d'avoir abattu son drone. C'était il y a 7 jours. Protestation faite : pas de réponse du pouvoir Algérien. Alors le Mali a rappelé son ambassadeur, suivi du Burkina et du Niger : l'Alliances des États du Sahel. « L'Algérie se retrouve isolée de son voisinage Sahélien » note le site d'information marocain Yabiladi. Maliactu.net rappelle que cette « attaque survient dans un contexte de tensions militaires croissantes dans la région ». Et renchérie : « l'attaque a non seulement détruit un bien stratégique mais a aussi compromis une opération de sécurité majeure. En effet, le drone malien aurait permis de neutraliser un groupe terroriste en préparation d'attaques contre des cibles de l'AES, aggravant ainsi la menace pesant sur la stabilité régionale ».Funérailles d'Amadou Bagayoko à Bamako Enfin toujours au Mali, les images des funérailles d'Amadou Bagayoko. Le chanteur du duo Amadou et Mariam. Le site Sahel Tribune publie les photos de la cérémonie. Plusieurs centaines de maliens venus rendre un dernier hommage à cette figure internationale de la musique Malienne. Sahel Tribune raconte le moment à Garantiguibougou au sud de Bamako. Mariam Doumbia l'autre moitié du duo, était présente décrit le site : « Inconsolable, elle est apparue bouleversée tout au long des obsèques. Son regard perdu et ses silences parlaient plus fort que les mots ». Sahel Tribune conclu : « Amadou Bagayoko s'en est allé, mais sa musique, elle, ne mourra jamais. Le Mali et le monde garderont de lui l'image d'un homme simple, sincère, et profondément attaché à son art ».
Les Têtes d'affiches de Denise Epoté de TV5 Monde, comme chaque dimanche sur RFI, aujourd'hui avec Paul Lonceint-Spinelli. Notre première tête d'affiche est originaire du Maroc. Ingénieur en systèmes d'information , Younes Kamiri possède un Master 2 en management. Il pilote la transformation numérique dans un domaine agro-industriel en intégrant des technologies de pointe qui permettent entre autres l'irrigation intelligente et la gestion des données climatiques. Notre seconde tête d'affiche est elle originaire du Sénégal. Ingénieur spécialisé en systèmes d'information géographique et informatique, Djiby Gueye a conçu « GAIA Assist » qui développe des solutions numériques pour l'adressage, l'énergie, la sécurité et la gestion des territoires.
Quelle est la force spirituelle des musiques sacrées du monde ? Quel est leur pouvoir ? Dans cette émission, nous vous invitons à voyager à travers le monde en écoutant ces musiques où se croisent spiritualité, religion, culture et traditions, en compagnie de Gérard Kurkdjian, musicien, auteur du « Grand livre des musiques sacrées du Monde » paru en 2016 chez Albin Michel, et l'un des fondateurs du festival des musiques sacrées de Fès au Maroc qui existe depuis 1994, et de nombreux autres festivals, à Udaipur en Inde, à Erevan en Arménie, dont il est originaire. Plongée dans la puissance spirituelle de la musique sacrée, avec notre grand invité, Gérard Kurkdjian.Invité : Gérard Kurkdjian, musicien, spécialiste des musiques sacrées, co-fondateur du festival des Musiques Sacrées de Fès, auteur du « Grand Livre des Musiques Sacrées du Monde » (Éd. Albin Michel, 2016), « Méditations musicales : comment méditer avec les plus belles musiques du monde » (Éd. Dervy, 2019), « Abeilles de l'indicible – recueil de poésies » (Éd. Spinelle, 2021), « Raga de Nuit – Passions sur le Gange » (Éd. Spinelle, 2023), « L'Autre Monde – Poésies » (Éd. Complicités, 2024).(Rediffusion)
Dans cet épisode captivant d'"Une date, une histoire", la romancière Christine Orban nous plonge au cœur du mariage du prince Charles et de Lady Diana, célébré le 29 juillet 1981. Bien que surnommé "le mariage du siècle", Christine Orban révèle que Lady Diana a failli renoncer à cette union, tiraillée entre l'amour et le devoir.Invitée par Philippe Legrand, Christine Orban, auteure du roman "Mademoiselle Spencer", nous fait revivre les coulisses de ce mariage tant attendu. Originaire du Maroc, cette écrivaine à succès nous entraîne dans les pas de la future princesse de Galles, dévoilant les émotions et les doutes qui l'ont traversée ce jour-là.Alors que le monde entier attendait avec impatience de voir le prince Charles et Lady Diana se dire "oui", Christine Orban nous révèle que la jeune femme avait des soupçons sur les sentiments réels de son futur époux. En effet, Charles était secrètement amoureux d'une autre femme et a choisi d'obéir à sa famille plutôt que de suivre son cœur.Malgré ces tourments, Lady Diana a finalement franchi le pas, consciente que sa vie allait changer à jamais. Christine Orban nous plonge dans l'ambiance de cette journée historique, nous faisant ressentir l'émotion et la tension qui régnaient alors. Elle dévoile les coulisses de ce mariage, permettant de mieux comprendre le destin tragique qui attendait cette jeune femme.À travers ce récit passionnant, Christine Orban nous invite à revisiter un moment clé de l'histoire de la famille royale britannique, tout en offrant un aperçu inédit des sentiments et des doutes qui ont traversé Lady Diana. Cet épisode captivant nous rappelle que derrière les fastes et les apparences se cachent souvent des histoires complexes et poignantes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:08 - Les Cartes en mouvement - par : Delphine Papin - Cette semaine, dans les Cartes en mouvement, Delphine Papin, journaliste au journal Le Monde, revient sur la polémique à l'Assemblée nationale française autour de la nouvelle carte du Maroc.
La police toulousaine vient de démanteler un trafic de stupéfiants entre le Maroc, l'Espagne et la France, dont les membres achetaient des papiers d'identité à la préfecture de Béziers grâce à la complicité d'une fonctionnaire. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« C'est simple comme un coup de fil » : un vieux slogan publicitaire remis au goût du jour par les présidents français et algérien… Emmanuel Macron a décroché son téléphone lundi pour appeler Abdelmadjid Tebboune. Un échange pour le moins fructueux, rapporté ainsi par El Moudjahid à Alger : « Emmanuel Macron a adressé au président Tebboune ainsi qu'au peuple algérien ses meilleurs vœux de succès et de prospérité à l'occasion de l'Aïd El-Fitr et ils sont convenus, lors d'un long échange franc et amical, de la reprise sans délai de la coopération sécuritaire entre les deux pays et du travail de la commission mixte des historiens. »Un coup de fil, donc, qui semble effacer des mois de brouille entre les deux pays.« Est-ce la fin de la crise entre Alger et Paris ? », s'interroge le site Algérie 360. Apparemment oui, quand on examine les décisions prises : « la reprise immédiate de la coopération sécuritaire entre les deux pays, le rétablissement “sans délai“ de la coopération en matière migratoire, la volonté de poursuivre le travail de la commission mixte des historiens essentiel à la réconciliation, la relance des échanges et des initiatives communes dans le cadre de la coopération judiciaire, avec une prochaine visite en Algérie du ministre français de la Justice, Gérald Darmanin. »Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, se rendra également à Alger dès dimanche. Une rencontre est aussi prévue entre les deux présidents.Enfin, note Algérie 360, « au cours de la conversation, Emmanuel Macron a évoqué le cas de l'écrivain Boualem Sansal, récemment condamné à cinq ans de prison ferme. Il a exprimé sa confiance dans la sagesse de Tebboune et a plaidé pour un geste de clémence en raison de l'âge et de l'état de santé de l'écrivain. »Quid de la question du Sahara Occidental ?Pour TSA, autre site d'information algérien, c'est « une immense surprise : les deux chefs d'État ont acté la fin de la crise algéro-française, huit mois jour pour jour après son déclenchement le 31 juillet dernier, suite à la décision du président Macron de reconnaître la marocanité du Sahara occidental. »« Finie la brouille entre Tebboune et Macron, oublié le Sahara occidental ! », s'exclame pour sa part Le Matin d'Algérie, site d'information plutôt critique envers le pouvoir algérien. « Qu'est-ce qui a changé depuis pour arriver à ce revirement à 180 degrés ? Rien hormis que Tebboune a mangé son chapeau, affirme Le Matin d'Algérie. Cet échange téléphonique marque un pas vers l'apaisement, mais ne règle pas la question de fond, la question du Sahara Occidental, qui reste un point de désaccord majeur entre Alger et Paris. »Le site Algérie Patriotique reste méfiant, notamment sur cette question du Sahara Occidental : « que signifie, s'interroge-t-il, la formule utilisée par l'Elysée, selon laquelle les deux pays sont “attachés à la légalité internationale“ ? La France va-t-elle faire machine arrière dans le dossier sahraoui et se conformer désormais aux résolutions de l'ONU en ne reconnaissant plus unilatéralement la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental ? »« Hautement invraisemblable » Il est vrai, pointe Le Monde Afrique, que « la question du Sahara occidental, déclencheur de la crise, ne figure pas explicitement dans le communiqué conjoint. Le 30 juillet 2024, Emmanuel Macron avait reconnu que “le présent et l'avenir“ de ce territoire “s'inscrivaient dans le cadre de la souveraineté marocaine“, au grand dam des Algériens. Il est hautement invraisemblable, poursuit Le Monde Afrique, que Paris revienne sur cette reconnaissance, que le chef de l'Etat français avait réitérée lors de sa visite d'Etat à Rabat en octobre 2024. La référence à ce dossier sahraoui affleure dans le communiqué de manière très allusive à travers le rappel de la “légalité internationale“ –, au nom de laquelle Alger réclame rituellement la tenue, sur place, d'un référendum d'autodétermination. »Enfin, Le Monde Afrique relève aussi que le communiqué commun des deux présidences évoque « le sort de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné le 27 mars à cinq ans de prison ferme, au bénéfice duquel Emmanuel Macron espère un “geste de clémence et d'humanité“ de la part d'un président Tebboune crédité de “clairvoyance“. La rumeur avait couru avec insistance ces derniers jours de l'éventualité d'une grâce de sa part, scénario qui paraît désormais plus que vraisemblable. »
C'est une sortie en salles un peu particulière : "Le Routard", comédie d'aventure portée par le duo Hakim Jemili-Christian Clavier, est aussi la dernière occasion de voir Michel Blanc sur grand écran. Il joue le rôle du méchant dans ce film qui imagine comment un gentil glandeur désirant intégrer le célèbre Guide du Routard pour partir en vacances tout frais payés va en fait se retrouver au cœur d'un trafic d'art volé au Maroc... Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Stéphane Boudsocq du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 02/04/2025 Entre le Maroc et la France, la saga intime et familiale de Leïla SlimaniL'autrice Leïla Slimani revient avec “J'emporterai le feu” publié aux éditions Gallimard, le dernier volume d'une trilogie qui raconte l'histoire du Maroc du début du 20e siècle à nos jours, à travers celle d'une famille qui ressemble beaucoup à la sienne. Dans ce dernier opus, elle suit en particulier les traces de deux sœurs, Mia et Inès, “décalques à double face de la romancière”, selon le quotidien “Libération”. Leïla Slimani est née au Maroc dans une famille bourgeoise, elle quitte son pays pour la France à l'âge de 18 ans. Elle remporte le prix Goncourt pour son deuxième roman “Chanson douce”, narrant le récit de l'assassinat de deux enfants par leur nounou. Le Pen, Sarkozy, etc. : peut-on juger les politiques sans faire de politique ?Alors que Marine Le Pen et une vingtaine de membres du Rassemblement national ont été condamnés lundi 31 mars dans l'affaire des assistants parlementaires, le parti a entamé une campagne médiatique, ainsi qu'auprès de ses électeurs, pour protester contre cette décision. Le président du RN, Jordan Bardella, a dénoncé sur Europe 1 une “tyrannie des juges” allant jusqu'à parler de “juges rouges” car “on a le sentiment que ça tourne souvent contre un camp politique”. Marine Le Pen, condamnée à 5 ans d'inéligibilité immédiate et à 4 ans de prison (dont deux fermes aménagés sous bracelet électronique) a dénoncé devant des députés RN “l'ingérence des magistrats dans l'élection présidentielle”. Face à ces attaques, le procureur général près la Cour de Cassation, Rémy Heitz, un des plus hauts magistrats de France, a réagi sur RTL au nom de la profession : “La justice n'est pas politique, cette décision n'est pas une décision politique mais judiciaire, rendue par trois juges indépendants et impartiaux conformément aux règles qui sont le socle de notre démocratie.” Ces attaques bien que virulentes ne sont pas inédites. Ces dernières années, l'idée d'un “gouvernement des juges” intervenant dans les affaires politiques se propage dans le débat public, à la faveur d'une série d'affaires politico-financières, comme celle du présumé financement libyen de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy. De fait, les décisions judiciaires ont un effet direct sur la vie politique et sur les conditions d'exercice de la démocratie.Enfin, Xavier Mauduit revient aux origines de la prestigieuse université américaine Harvard, alors que Donald Trump a menacé de lui couper ses subventions fédérales. Marie Bonnisseau nous raconte comment certains couples américains décident de créer des playlists de chansons à ne surtout pas écouter à leur mariage.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 02 avril 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Vidéo disponible iciSalma, CEO et cofondatrice de Sifflet, a une obsession : les données fiables et exploitables.Le but de Sifflet ? Révolutionner la data en garantissant qualité et traçabilité pour que les décisions ne reposent plus sur du flou artistique.Passée par Goldman Sachs à Hong Kong, Salma a troqué la finance de marché pour l'entrepreneuriat, avec un passage express par le garage familial et sa chambre d'ado au Maroc avant de propulser Sifflet sur la scène internationale.Dans cet épisode, elle partage les coulisses de son aventure, de la levée de fonds aux galères de CEO, en passant par sa vision du leadership et les défis d'être une femme dans la tech.Envie de partager ton histoire ou proposer un invité ? Contactez-moi directement ici : Yacine
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées. Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées. Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France. Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ? La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française. Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel
DEMAIN je reçois : Salma Bakouk , CEO et cofondatrice de Sifflet, Salma a une obsession : les données fiables et exploitables. Le but de Sifflet ? Révolutionner la data en garantissant qualité et traçabilité pour que les décisions ne reposent plus sur du flou artistique.Passée par Goldman Sachs à Hong Kong, Salma a troqué la finance de marché pour l'entrepreneuriat, avec un passage express par le garage familial et sa chambre d'ado au Maroc avant de propulser Sifflet sur la scène internationale. Dans cet épisode, elle partage les coulisses de son aventure, de la levée de fonds aux galères de CEO, en passant par sa vision du leadership et les défis d'être une femme dans la tech.Envie de partager ton histoire ou proposer un invité ? Contactez-moi directement ici : Yacine
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Bruno Poncet et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Cinq ans de prison ferme et une amende de 500 000 dinars (environ 3 500 euros) une condamnation pour avoir « franchi la ligne rouge », résume Algérie 360, une « conséquence directe des prises de position de l'écrivain franco-algérien et de ses actes jugés contraires aux intérêts du pays », répète encore le site d'information, qui y voit la « fin d'un feuilleton judiciaire qui avait débuté en novembre » : Boualem est condamné, circulez, il n'y a plus rien à voir.De l'huile sur le feuAu contraire, la condamnation de l'écrivain au terme d'un procès « express » (20 minutes en tout et pour tout) il y a une semaine, est « la goutte d'eau qui pourrait faire déborder le vase », parce qu'elle vient compléter la liste des tensions entre Paris et Alger que dresse le journal burkinabé Le Pays, après entre autres : « la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental dans la bouche d'Emmanuel Macron, et la liste d'Algériens « dangereux » à expulser du territoire français » adressée par son ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau.Un levier pour Paris et Alger« Tout porte à croire que Boualem Sansal paye moins pour la faute qu'il aurait commise, que pour le soutien politique que lui apporte la France », analyse le média, qui va jusqu'à se demander si l'écrivain ne serait pas « le mouton de sacrifice du Ramadan ». « Ce qui laisse penser », poursuit Le Pays, « qu'un éventuel réchauffement des relations entre Paris et Alger, pourrait profiter au prisonnier Boualem », qui pourrait tout aussi bien « bénéficier d'une grâce présidentielle » de la part d'Abdelmadjid Tebboune. L'optimisme est donc permis, puisque les « deux parties sont conscientes qu'elles ont plus à perdre qu'à gagner en laissant perdurer leurs animosités ».La fin de la spirale des tensions ?La préparation d'une visite en Algérie de Jean-Nöel Barrot, le ministre français des Affaires étrangères, est perçue comme « un pas vers l'apaisement après huit mois de crise », souligne Afrik.com. « Les dernières déclarations du président algérien Abdelmadjid Tebboune, qui a appelé à un retour au dialogue avec Emmanuel Macron tranchent avec la surenchère de certains responsables français ». Balle perdue pour Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur ; « décrié pour ses "immixtions dans les dossiers diplomatiques" » pointe le site d'information et « accusé de faire de la crise algérienne un tremplin électoral avant 2027 » – date des présidentielles de l'Hexagone. « La volonté de pacification », conclut-il ; l'emporte sur les tentations de surenchère politique et pourrait signer la fin de « la spirale des tensions ».Vers une grâce présidentielle ?La grâce de l'écrivain Boualem Sansal pourrait même être un levier de « décrispation » des relations entre Paris et Alger. C'est en tout cas l'hypothèse qu'avance Le Point Afrique qui préfère voir le verre à moitié plein qu'à moitié vide. D'abord : la peine dont hérite Boualem Sansal est moitié moins lourde que ce qu'avait requis le procureur la semaine dernière. Ensuite, « la requalification des faits qui lui sont reprochés en délit plutôt qu'en crime, pourrait être une marque d'apaisement »d'aprèsle bâtonnier d'Alger Mohammed Baghdadi, dont l'hebdomadaire relaie les propos. « L'idée qui circule à Alger », rapporte un autre avocat algérois, toujours dans les pages du Point Afrique, « est de faire vite condamner Sansal pour ouvrir la voie à une grâce présidentielle », à condition que ni le parquet ni le condamné ne fassent appel. Un traitement rapide par rapport aux autres dissidentsMême analyse dans les colonnes du Matin d'Algérie : « Ce procès organisé à la va vite constitue une porte de sortie pour le pouvoir », qui « sans doute, ne s'attendait pas à une telle levée de boucliers depuis l'arrestation de cet écrivain », estime le site d'information d'opposition. « La rapidité du traitement du cas Sansal », est plutôt une bonne nouvelle, en comparaison à d'autres militants dont la détention provisoire s'éternise et qui voient leur procès sans cesse ajourner.Le quotidien rappelle d'ailleurs en Une ce vendredi les noms de « militants, journalistes et activistes » qui ont été arrêtés, « emprisonnés, voire condamnés pour des faits aussi insignifiants que l'expression de leur opinion sur les réseaux sociaux ou la participation à des manifestations pacifiques ». La colère qu'on sent jaillir de la plume de la rédaction tient en une phrase : « L'Algérie est devenue la risée du monde ». L'attention portée aux « cas de répression » de ces voix dissidentes, est « plus que jamais nécessaire ».
durée : 00:20:25 - Journal de 18h - Le parquet avait requis dix ans de prison à l'encontre de l'écrivain franco-algérien. Boualem Sansal a finalement été condamné à la moitié pour avoir contesté le tracé de la frontière entre l'Algérie et le Maroc. Seule une grâce du président Tebboune pourrait lui permettre de retrouver la liberté. - réalisation : Brice Garcia, Caroline Bennetot
durée : 00:20:25 - Journal de 18h - Le parquet avait requis dix ans de prison à l'encontre de l'écrivain franco-algérien. Boualem Sansal a finalement été condamné à la moitié pour avoir contesté le tracé de la frontière entre l'Algérie et le Maroc. Seule une grâce du président Tebboune pourrait lui permettre de retrouver la liberté. - réalisation : Brice Garcia, Caroline Bennetot
Au Sénégal, le candidat d'opposition Bassirou Diomaye Faye remportait la présidentielle dès le premier tour avec 54 % des voix il y a un an jour pour jour. Un an plus tard, où en est la rupture promise par le parti Pastef et quels sont les principaux changements revendiqués par le président Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko ? Ayib Daffé est le secrétaire général du parti, dont il est aussi député et chef du groupe parlementaire. En ligne de Dakar, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Ayib Daffé, quels sont, pour vous, les premiers changements tangibles que le Pastef a apportés au Sénégal ?Ayib Daffé : Les premiers changements tangibles sont d'abord dans la gouvernance. Conformément à son engagement, le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye a inscrit la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption comme une priorité de sa politique en transmettant une lettre aux fonctionnaires du pays, pour les exhorter à la ponctualité, au respect du bien public, à l'efficacité et au respect de la hiérarchie. Donc, sur ce plan-là également, il a eu à organiser des assises de la justice sur la modernisation et la réforme de la justice au Sénégal. Et par ailleurs, il a eu aussi à publier tous les rapports des corps de contrôle qui étaient transmis à son prédécesseur depuis près d'une dizaine d'années et qui n'étaient pas publiés, contrairement aux textes qui les encadrent. Il a eu également à faire un audit sur la gestion des finances publiques par son prédécesseur, notamment à la période entre 2019 et 2024. Et c'est cet audit qui a permis de révéler une situation très peu reluisante de nos comptes publics avec un déficit à 12% du PIB, alors que les chiffres qui étaient présentés parlent d'un déficit à 5%. Donc, une véritable catastrophe budgétaire, si on peut parler ainsi, et ça a permis d'avoir une situation réaliste. Donc, en très peu de temps, il a eu à concrétiser sa vision et à développer la stratégie de développement.À lire aussiSénégal: un an après l'élection de Bassirou Diomaye Faye, le pays est-il entré dans une nouvelle ère?Suite au dernier rapport de la Cour des comptes, vous dites que l'ancien président Macky Sall, qui vit actuellement au Maroc, va être convoqué par la justice sénégalaise, mais celui-ci, dans une interview à Jeune Afrique, réplique qu'il n'est responsable d'aucune falsification et que tout ceci est ridicule.Bon, je pense que la Cour des comptes est une institution. Donc, c'est la parole de Macky Sall contre celle de la Cour des comptes. Et la Cour des comptes, c'est la loi qui lui confère cette mission-là. Donc, je ne vois pas comment on peut remettre en cause un rapport de la Cour des comptes. Ce n'est pas sérieux, ce n'est pas crédible. Maintenant, il est dans son rôle d'homme politique de défendre son bilan, son mandat, mais la réalité est qu'il y a un désastre budgétaire, il y a un désastre financier. On parle vraiment d'une catastrophe sur le plan budgétaire. Parce que, par exemple, on nous a révélé qu'il y a plus de 2500 milliards de francs CFA qui ont été empruntés auprès des banques de la place, alors que l'Assemblée nationale n'a pas donné d'autorisation, l'Assemblée nationale n'a jamais été informée. Donc, cette dette cachée et beaucoup d'autres irrégularités sont aux antipodes de la bonne gouvernance. Sa responsabilité politique est effectivement engagée. Bon, maintenant, je n'ai pas entendu dire qu'il sera convoqué par la justice, parce que, comme vous le savez, la Constitution stipule que le président de la République ne peut être poursuivi que pour haute trahison et devant la Haute Cour de justice. Donc, cela n'est pas encore le cas. Et si cela devait l'être, ce serait conformément à la Constitution, aux lois et aux règlements du Sénégal.Oui, mais le porte-parole du gouvernement, Moustapha Ndjekk Sarré, a dit sur RFM qu'inévitablement, le président Macky Sall fera face à la justice ?Effectivement, il a eu à le dire, mais lorsqu'il le disait, il a eu à préciser que, quand il le disait, il ne s'agissait pas de la version du gouvernement, mais il parlait en tant qu'homme politique.À votre arrivée au pouvoir, Ayib Daffé, vous avez promis que les accords du Sénégal avec les compagnies qui doivent exploiter le gaz et le pétrole offshore seraient réévalués. Mais un an plus tard, toujours rien. Si jamais les contrats ne sont pas renégociés, est-ce que vous ne risquez pas de décevoir vos électeurs ?Je pense que le travail de renégociation des contrats, c'est un processus qui est entamé. Ce n'est pas un travail qui se fait du jour au lendemain. Et en accord avec les compagnies, il y a des négociations qui se déroulent et qui devraient aboutir bientôt à des résultats.Avec BP, British Petroleum ?C'est tous les contrats qui sont concernés, parce qu'il y a une revue des contrats qui est faite par le ministère de l'Énergie. Et maintenant, pour BP, le contrat concerne aussi bien le Sénégal que la Mauritanie. Et je pense que le Premier ministre, Ousmane Sonko, a eu à faire plusieurs voyages en Mauritanie, et le ministre de l'Énergie également. La Primature a mis en place un comité pour la renégociation de tous ces contrats stratégiques. Mais d'abord la revue et ensuite la renégociation.À lire aussiSénégal: qui est Bassirou Diomaye Faye, passé en un éclair de la prison à la présidence?
Le garde des Sceaux veut reprendre les accords qu'a obtenus la Belgique avec le Maroc pour expulser des détenus étrangers. Dans les faits, ce modèle n'a pas démontré son efficacité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Retour sur l'élection hier jeudi de Kirsty Coventry à la tête du Comité international olympique. La double championne olympique de natation zimbabwéenne l'a emporté dès le premier tour (avec un total de 49 voix sur 97 votes exprimés) et s'est imposée face à six autres candidats. Comment a-t-elle été élue, pourquoi, et qu'est-ce que cela signifie pour l'Afrique ? Jean-Loup Chappelet est professeur émérite à l'Université de Lausanne. Grand spécialiste du mouvement olympique, il répond aux questions de Christophe Jousset. RFI : Vous observez la vie du mouvement olympique depuis plus de 50 ans. Quelle a été votre réaction en apprenant la victoire de Kirsty Coventry ? Jean-Loup Chappelet : Ça a été un peu une surprise, effectivement, parce qu'avec sept candidats, tout le monde attendait plusieurs tours de scrutin et elle a gagné au premier tour au-delà de la majorité absolue, c'est quand même un exploit. Et c'est une très bonne nouvelle, je trouve, pour le CIO, pour toutes sortes de raisons.On citait deux favoris supposés Juan Antonio Samaranch Junior, qui obtient 28 voix, Sebastian Coe se contente de huit voix… La surprise est effectivement considérable ?Oui, Sebastian Coe était vu comme un favori surtout par les médias et les médias britanniques, en particulier, parce qu'il a fait une campagne orientée sur les médias et sur les réseaux sociaux. Mais ceux qui votent, ce ne sont pas les journalistes, ce ne sont pas les gens qui regardent les réseaux sociaux, ce sont les membres du CIO. Et il y a la moitié des membres qui sont des femmes aussi. Et il y a une incontestable poussée des athlètes parmi les membres et des personnes assez jeunes aussi. Je pense que l'âge a joué un rôle. Autrefois, pour être président du CIO, il fallait avoir environ 60 ans. Aujourd'hui, Kirsty Coventry a 41 ans.On continue de voir le CIO comme un mouvement plutôt conservateur. On se trompe ? Oui, je pense que depuis longtemps, le CIO a évolué. On n'est plus au temps de Coubertin, on est au XXIᵉ siècle et au XXIᵉ siècle, le pouvoir des athlètes est de plus en plus important. Kirsty Coventry a quand même gagné sept médailles, dont deux d'or, ce qui fait d'elle la première présidente du CIO qui est autant médaillée.Quel a été le poids du soutien du président sortant Thomas Bach dans la victoire de Kirsty Coventry, selon vous ? Je pense qu'il a été essentiel. Je pense qu'il a déjà incité Kirsty Coventry à être candidate, en tant qu'athlète, en tant que présidente de la Commission des athlètes à un moment donné, en tant qu'africaine aussi. Je pense qu'il a favorisé cette candidature parce qu'il y a vu un plus pour le CIO, un coup de jeune, si j'ose dire, pour le CIO.On dit que Kirsty Coventry avait le programme le moins concret des sept candidats, elle a été habile ?Je ne crois pas que ce soit vrai. Il y a des choses très intéressantes dans ces manifestes. C'est sûr que présider le CIO doit tenir compte des évolutions de la société et des changements. Et on ne peut pas prendre de position absolue sans tenir compte de ce qui se passe dans le monde. Par exemple, l'élection de Donald Trump aux États-Unis, parce que le premier défi de la présidente du CIO, ça sera d'avoir des Jeux olympiques en 2028 à Los Angeles et de gérer la question des athlètes féminines. Le président des États-Unis tient à ce que, à juste titre d'ailleurs, des femmes puissent participer à la catégorie féminine.À propos de l'accès des athlètes transgenres aux Jeux olympiques de Los Angeles, Kirsty Coventry a dit « Nous ne dérogerons pas à nos valeurs de solidarité ». C'est un bras de fer qui s'annonce avec Donald Trump ?Je ne pense pas. La solidarité, elle doit être avec les athlètes qui sont femmes, c'est-à-dire qui sont biologiquement avec le chromosome X X. Et ça, c'est quand même la première solidarité pour que ces athlètes puissent concourir de façon sûre et avoir une chance de gagner une médaille.C'est la première fois que l'Afrique se retrouve à la tête du Comité international olympique. Est-ce que pour 2036, qui sont les prochains Jeux d'été à attribuer, ça peut être décisif ? Ça peut être une première pour l'Afrique ?Ça peut l'être, mais c'est loin d'être certain parce qu'il n'y a pas pour l'instant de candidature africaine aux Jeux de 2036. Alors peut être la décision d'aujourd'hui créera des candidatures, par exemple en Afrique du Sud, par exemple au Maroc ou ailleurs en Afrique. Mais il y a aussi des candidatures en Asie et il y a une rotation des continents. Après donc l'Europe avec Paris 2024, les Etats-Unis avec Los Angeles 2028, l'Australie avec Brisbane 2032, ça peut être aussi le tour de l'Asie ou de l'Afrique.À lire aussiKirsty Coventry, une vie consacrée au sport
À la Une de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. : - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. ; - Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5è et 6è journées, enjeux et présentation des matches. ; - Retour sur la 14è Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA. ; - Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. Opposés au FC Barcelone dimanche soir lors de la 28e journée, les Colchoneros qui menaient 2-0 à 20 minutes du terme de la rencontre, ont été renversés par les Catalans. Après l'élimination des Madrilènes en Ligue des champions, les joueurs de Diego Simeone ont presque tout perdu en l'espace de 4 jours. Côté Liga, la défaite à Getafe le 9 mars, et le revers face au Barça a fait perdre du terrain aux hommes du « Cholo », désormais à 4 points des Blaugranas. Le « cholismo touche-t-il à sa fin ? - Griezmann : 520 matches en Liga, mais l'ex-Bleu est dans une période plus compliquée. Les Matelassiers retrouvent le Barça dans une semaine en Coupe du Roi ! - Le Real reste au contact du rival barcelonais, le doublé express de Kylian Mbappé au stade de la Ceramica peut valoir cher en fin de saison.- Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5e et 6e journées, enjeux et présentation des matches. Certaines équipes ont l'occasion de renforcer leur position (Côte d'Ivoire, Maroc, Égypte, Tunisie), d'autres doivent se relancer (Sénégal, RDC, Burkina Faso). Le Cameroun, leader du groupe D, affronte l'Eswatini en Afrique du Sud ce mercredi. L'adjoint de Marc Brys, Joachim Mununga n'est toujours pas sur la feuille de match. Nouvelles tensions en perspective ?- Retour sur la 14e Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA.- Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. La « Pulga »n'est pas dans la liste de Scaloni contre l'Uruguay puis le Brésil. son pote sera forfait aussi contre la Colombie et l'Albiceleste. Avec Olivier Pron : Patrick Juillard, Hervé Penot et Étienne Moatti. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
À la Une de Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. : - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. ; - Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5è et 6è journées, enjeux et présentation des matches. ; - Retour sur la 14è Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA. ; - Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. - Liga, la mauvaise passe de l'Atlético. Opposés au FC Barcelone dimanche soir lors de la 28e journée, les Colchoneros qui menaient 2-0 à 20 minutes du terme de la rencontre, ont été renversés par les Catalans. Après l'élimination des Madrilènes en Ligue des champions, les joueurs de Diego Simeone ont presque tout perdu en l'espace de 4 jours. Côté Liga, la défaite à Getafe le 9 mars, et le revers face au Barça a fait perdre du terrain aux hommes du « Cholo », désormais à 4 points des Blaugranas. Le « cholismo touche-t-il à sa fin ? - Griezmann : 520 matches en Liga, mais l'ex-Bleu est dans une période plus compliquée. Les Matelassiers retrouvent le Barça dans une semaine en Coupe du Roi ! - Le Real reste au contact du rival barcelonais, le doublé express de Kylian Mbappé au stade de la Ceramica peut valoir cher en fin de saison.- Éliminatoires Mondial 2026 sur le continent africain (5e et 6e journées, enjeux et présentation des matches. Certaines équipes ont l'occasion de renforcer leur position (Côte d'Ivoire, Maroc, Égypte, Tunisie), d'autres doivent se relancer (Sénégal, RDC, Burkina Faso). Le Cameroun, leader du groupe D, affronte l'Eswatini en Afrique du Sud ce mercredi. L'adjoint de Marc Brys, Joachim Mununga n'est toujours pas sur la feuille de match. Nouvelles tensions en perspective ?- Retour sur la 14e Assemblée générale extraordinaire de la CAF au Caire, la réélection de Patrice Motsepe, l'entrée de Samuel Eto'o au Comex, et le renouvellement des représentants du continent africain au conseil de la FIFA.- Éliminatoires Mondial 2026 en Amérique du Sud, pas de retrouvailles entre Messi et Neymar. La « Pulga »n'est pas dans la liste de Scaloni contre l'Uruguay puis le Brésil. son pote sera forfait aussi contre la Colombie et l'Albiceleste. Avec Olivier Pron : Patrick Juillard, Hervé Penot et Étienne Moatti. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.