Country in Northwestern Africa
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Vanessa, vous nous avez fait découvrir- redécouvrir nos villes sanctuaires. Ce matin, pour la dernière, on ne part pas loin : dans le sud de la Corrèze à Brive la Gaillarde.Et oui c'est une ville Sanctuaire, le secret est assez bien gardé. En général on l'associe plutôt au foie gras, aux noix, au marché Brassens aux plaisirs partagés autour d'une bonne table ! vrai ! Mais il y a aussi une communauté dans le partage, la fraternité, là-haut dans le sanctuaire des grottes de Saint Antoine : les Franciscains ! Qui eux aussi vous invitent à partager leur repas, aux marches-retraites mensuelles, aux retraites silencieuses aussi. Dans leur écrin de nature : une colline boisée de 5 hectares avec vue sur la cité de Brive. Mais un parc ouvert à tous, l'esprit franciscain, on y croise de poussettes et des joggeurs…Le sanctuaire est consacré à quel Saint ?A Saint Antoine de Padoue, le saint des objets perdus. Disciple de saint François d'Assise, originaire du Portugal. Il a évangélisé l'Espagne, le Maroc, l'Italie, l'Occitanie… et a donc fondé un couvent.Aujourd'hui, les pèlerins écrivent des prières sur des petits papiers qu'ils glissent dans les grottes, dans l'église. Ses petits papiers sont ensuite brûlés le 13 juin, à la saint Antoine. Qui est "le saint pour tous" : humain et proche de tous ! D'ailleurs y a un ex voto qui retranscrit bien ça, celui de 4 étudiants venus réviser ensemble au sanctuaire : un catholique, un musulman, un juif et un athée.Qu'est-ce que vous nous suggérez pour découvrir les alentours ?Continuer cette parenthèse nature : vous baladez le long de la Vézère, du coté de Voutezac il y a un hameau très charmant avec un pont du 16 le pont Saillant. Et une chapelle : la seule de France a être habillée entièrement de vitraux de Chagall. Et puis allez faire un tour dans les pans de Travassac… Les falaises sont bleutées, normal vous êtes au cœur d'une carrière d'ardoise, encore en exploitation, et ces ardoises recouvrent les toits de Corrèze et ceux du mont Saint Michel.Et où pose-t-on nos valises ?Et bien que vous soyez croyants ou touristes, dormez à l'hôtellerie des grottes de St Antoine. 25 chambres.Sanctuaire Brive La Gaillarde : https://www.villes-sanctuaires.com/villes-sanctuaires/brive La PavlovaDessert hyper tendance que beaucoup de chefs proposent pour les fêtes. Recette née en 1926 à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Création d'un jeune pâtissier épris de la danseuse Anna Pavlova qui se produisait en Océanie. On l'accommode au fil des saisons avec les fruits disponibles.Ingrédients pour 6 personnes :Meringue :- 120 gr de blancs d'œufs- 120 gr de sucre semoule- 120 gr de sucre glaceClémentines juste poêlées avec une touche de sucre et de Grand MarnierChantilly :- 20 cl de crème liquide- 25 gr de sucreDéroulementMonter les blancs en neige avec le sucre semoule / ajouter le sucre glace et bien mélanger / former un disque et cuire cette meringue 6 heures à 80° en laissant la porte du four entrouverte pour laisser s'échapper l'humidité / poêler les suprêmes de clémentines avec 2 c à s de sucre vanillé et ajouter un trait de Grand Marnier / monter et ajouter des zestes de clémentine.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le nouveau podcast football du FC Copains
Au sommaire de votre émission : Algérie- Burkina Faso suivi de Côte d'Ivoire – Cameroun : Mondial Sports fait monter la sauce avant un dimanche de gala sur la Radio du monde ! Dans votre émission du dimanche 28 décembre 2025 : Des favoris, deux grandes affiches, des qualifications possibles pour les huitièmes de finale : le programme du jour est royal au Maroc (et sur RFI) ! Dans la poule E, le Burkina Faso peut signer un sans-faute en ce début de tournoi ! Les Etalons ont néanmoins un sacré défi à relever face à des Fennecs régulièrement décevants en CAN depuis leur sacre de 2019 mais qui ont démarré la compétition par large un succès ! De leur côté, dans le groupe F, les champions d'Afrique ivoiriens doivent confirmer leur bonne entrée en lice face aux Lions Indomptables du Cameroun. Les deux nations ont remporté leur premier match, en se contentant à chaque fois du service minimum, face au Mozambique et face au Gabon. On en attend davantage de ces deux géants du continent En compagnie de nos envoyés spéciaux et de notre expert Karim Baldé, Mondial Sports vous présente ces deux affiches ! Vous retrouverez l'intégralité de l'émission sur cette page ce dimanche à partir de 18h05.
Pour la Coupe d'Afrique des Nations 2025 au Maroc, Bilane et Cheickné avec leurs invités vous proposent tous les samedis à 18h durant 6 émissions, des analyses et des commentaires sur les match, les joueurs, les meilleurs moments, l'arbitrage ...Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouvelle diffusion du 3 mai 2025 La 25e édition de la Coupe dʹAfrique des Nations de football se dispute depuis une semaine et jusquʹau 18 janvier au Maroc. La CAN est un tournoi qui déchaîne les passions en Afrique. Les enjeux dépassent souvent lʹaspect sportif et il nʹest pas rare que les politiques interfèrent. Actuel entraîneur du Tchad, le Vaudois Raoul Savoy entraîne depuis plus de 20 ans en Afrique. Il a constaté que le phénomène avait même tendance à sʹaccentuer depuis quelque temps. Il lʹa confié à Stéphane Trisconi dans lʹémission Sport Première.
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
Après la première journée de cette Coupe d'Afrique des Nations, premier petit bilan avec les grosses nations qui ont toutes répondu présentes. Le niveau global de cette CAN est-il le meilleur ? Est-ce la CAN la plus relevée de l'histoire et la plus difficile à gagner ? Va-t-on avoir une phase finale épique ? Le Maroc joue son deuxième match aujourd'hui face au Mali, sans Romain Saïss, blessé lors du match d'ouverture. Qui doit accompagner Aguerd en défense centrale ? Ce secteur est-il le talon d'Achille des Lions de l'Atlas ? Trouvez-vous Walid Regragui tendu concernant la disponibilité de ses hommes ?
L'année 2025 restera comme une année charnière pour l'économie mondiale, marquée par le retour tonitruant de Donald Trump à la Maison-Blanche et ses décisions commerciales radicales. Cette émission spéciale d'Éco d'ici, éco d'ailleurs revisite, avec les experts qui sont intervenus à notre micro, les moments clés d'une année économique tumultueuse, entre guerres commerciales, crises géopolitiques, révolution de l'intelligence artificielle et urgence climatique.
Debrief Maroc - Mali (1-1), deuxième journée de la Coupe d'Afrique des Nations 2025. Le Maroc concède le match nul face aux Maliens et manque l'occasion de se qualifier pour les huitièmes de finale de la Coupe d'Afrique.
Le WFC distribue les notes du match entre le Maroc et le Mali (1-1). Brahim Diaz est-il l'homme du match ? Quelles notes pour Sinayoko, El Kaabi, Bissouma ou encore Ounahi ?
En guise de mot de l'année 2025, le dictionnaire américain Merriam-Webster a choisi « slop ». Cette expression définit les contenus numériques de mauvaise qualité produits en masse par l'intelligence artificielle. Cette bouillie de photos absurdes, de sons loufoques, ou de vidéos plus ou moins réalistes, inondent les réseaux sociaux. Ces contenus « slop » polluent de plus en plus l'espace numérique, à tel point que le phénomène inquiète. Un chat avec la tête du président américain Donald Trump, une baleine qui mange un ours polaire, des bébés qui parlent comme des adultes. Si vous êtes un utilisateur de TikTok, Facebook, X ou Instagram, vous avez forcément déjà été confronté à du « slop ». Ces contenus, plus ou moins réalistes, sont très populaires sur les réseaux sociaux. Certains cumulent des dizaines voire des centaines de millions de vues. Grâce à leur caractère surréaliste, choquant ou humoristique, ces productions jouent sur nos émotions et attirent l'attention des utilisateurs. Les algorithmes l'ont bien compris, et amplifient donc artificiellement ce type de contenu. Cela aboutit à une saturation de l'espace informationnel sur les réseaux sociaux. Si certaines plateformes proposent des filtres pour échapper au « slop », la plupart surfent sur le phénomène. L'économie du « slop » Derrière ces contenus « slop », on retrouve différents acteurs qui ont saisi l'opportunité pour gagner de la visibilité et monétiser leur audience. Les derniers outils d'IA leur facilitent la tâche puisqu'il n'a jamais été aussi simple de créer ce type de contenus. Une véritable économie s'est donc mise en place autour de ce phénomène. Une vidéo vue près de 20 millions de fois peut vous rapporter, selon la plateforme, plus de 1 000 dollars. En Asie, plusieurs « fermes à slop » ont ainsi vu le jour ces dernières années. Quand le faux prend le dessus Si ça ne fait pas de mal de rigoler devant une vidéo loufoque, certains contenus artificiels posent problème, car ils prennent le dessus sur la réalité. Dans leur guerre au clic, certains producteurs de « slop » adaptent leur contenu à l'actualité et tombent dans la désinformation. C'est particulièrement le cas lors de catastrophes naturelles. Récemment, lors des inondations mortelles au Maroc, des dizaines de vidéos artificielles censées documenter la catastrophe ont circulé sur les réseaux sociaux. Pour le buzz, certains n'hésitent pas à générer des faux témoignages de victimes. Ces infox invisibilisent les vraies images, masquent les messages d'alerte des secours et bouleversent notre rapport à la réalité. Vers une auto-intoxication des IA ? Ces contenus artificiels omniprésents sur les réseaux sociaux pourraient-ils intoxiquer les intelligences artificielles qui les produisent ? C'est le risque pointé par plusieurs experts du numérique. Puisque les intelligences artificielles IA se nourrissent de ce qui circule en ligne, elles pourraient bel et bien finir par s'auto-intoxiquer. À cela s'ajoute aussi la prolifération des faux comptes se faisant passer pour des humains. Reste à savoir si les publics vont finir par se lasser de cette nouvelle esthétique, plus que jamais à la mode sur les réseaux sociaux.
Débutée dimanche dernier, la CAN bat son plein au Maroc depuis près d'une semaine. La première journée de la phase de groupes n'a pas réservé son lot habituel de surprises, puisque tous les favoris se sont imposés.Dans son antre du stade Moulay Abdallah, le Maroc n'a pas tremblé face aux Comores, malgré une défense décimée par l'absence d'Achraf Hakimi et la blessure de Romain Saïss. De son côté, l'Algérie a enfin renoué avec la victoire à la CAN en s'imposant contre le Soudan, portée par un Riyad Mahrez auteur d'un doublé.Présents à Rabat, nos journalistes reviennent sur ces premières performances et sur les temps forts vécus sur place : des conditions météorologiques parfois compliquées, des infrastructures de grande qualité, mais aussi certaines difficultés rencontrées par les supporters pour accéder aux stades.Avec Guillaume Truillet et Baptiste Denis. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Dans cet épisode audio, je partage un bilan sincère de mon année 2025. Une année marquée par des décisions importantes, des projets que j'ai choisi d'arrêter, et un recentrage profond sur ce qui fait vraiment sens pour moi. Je reviens sur :
durée : 00:05:25 - La Revue de presse internationale - par : Adrien Toffolet - Il est beaucoup question de météo dans les journaux du monde entier en ce jeudi de Noël : températures extrêmement froides au Canada, en Allemagne et au Maroc ; pluies intenses provoquant des inondations en Afrique du Sud et en Californie.
Au sommaire de votre émission : - Quels enseignements tirer de ce premier tour de piste de la CAN 2025 ? ; - Retour sur les performances des favoris ; - Que retenir de l'organisation au Maroc ? ; - Le Réal Madrid se retrouve t'il dans une période agitée ? Dans votre émission : - Retour sur les victoires du Cameroun face au Gabon et de la Côte d'Ivoire contre le Mozambique. - Après une première journée achevée repos ce jeudi, jour de Noël, pour les équipes engagées. - Les favoris ont-ils tenu leur rang, les joueurs attendus ont-ils répondu présent ? Les conditions climatiques, fraîcheur et pluie , ont-elles pesé sur le jeu ? Sur le plan logistique, organisation et infrastructures ont-elles globalement répondu aux attentes ? - En revanche, l'affluence dans les tribunes interroge : comment expliquer ce démarrage timide et quelles solutions envisager ? - Christophe Jousset, chef du service des sports de RFI, en direct de Rabat, répondra à nos questions du terrain. - Il y aura également un petit détour du coté de l'Espagne car malgré la trêve internationale, le Real Madrid continue d'alimenter l'actualité : Le jeune attaquant brésilien Endrick a été prété à Lyon, il y a également beaucoup de crispations autour de Vinicius et une relation de plus en plus tendue avec une partie du public madrilène. Autour d'Annie Gasnier : Chérif Ghemmour, Nabil Djellit, François David Édition : David Fintzel Réalisation : Laurent Salerno
Au sommaire de votre émission : - Quels enseignements tirer de ce premier tour de piste de la CAN 2025 ? ; - Retour sur les performances des favoris ; - Que retenir de l'organisation au Maroc ? ; - Le Réal Madrid se retrouve t'il dans une période agitée ? Dans votre émission : - Retour sur les victoires du Cameroun face au Gabon et de la Côte d'Ivoire contre le Mozambique. - Après une première journée achevée repos ce jeudi, jour de Noël, pour les équipes engagées. - Les favoris ont-ils tenu leur rang, les joueurs attendus ont-ils répondu présent ? Les conditions climatiques, fraîcheur et pluie , ont-elles pesé sur le jeu ? Sur le plan logistique, organisation et infrastructures ont-elles globalement répondu aux attentes ? - En revanche, l'affluence dans les tribunes interroge : comment expliquer ce démarrage timide et quelles solutions envisager ? - Christophe Jousset, chef du service des sports de RFI, en direct de Rabat, répondra à nos questions du terrain. - Il y aura également un petit détour du coté de l'Espagne car malgré la trêve internationale, le Real Madrid continue d'alimenter l'actualité : Le jeune attaquant brésilien Endrick a été prété à Lyon, il y a également beaucoup de crispations autour de Vinicius et une relation de plus en plus tendue avec une partie du public madrilène. Autour d'Annie Gasnier : Chérif Ghemmour, Nabil Djellit, François David Édition : David Fintzel Réalisation : Laurent Salerno
Bienvenue dans le dernier épisode de l'année 2025 de Machi Rojola.Dans cet épisode de Machi Rojola, nous recevons Camélia Echchihab, journaliste et fondatrice du mouvement Stop Féminicide, pour une conversation autour des violences masculines au Maroc.Nous explorons les racines de la culture du viol, les réalités des féminicides, les silences institutionnels et les mécanismes patriarcaux qui banalisent ou minimisent ces violences. Nous parlons aussi du rôle crucial de la société civile, des collectifs et du travail de documentation pour rendre visibles des réalités trop souvent niées.Cet échange interroge également la responsabilité des hommes et des masculinités dans la déconstruction de la violence, et ouvre des pistes pour imaginer une société égalitaire ne serait plus un horizon lointain mais une réalité vécue.Un épisode politique et nécessaire.
C'est l'entrée en lice d'un des favoris de la CAN 2025 : le Sénégal affronte le Botswana pour ses débuts dans la compétition au Maroc. Est-ce un match tranquille pour les Lions de la Teranga ? Est-ce logique de les voir si favoris de leur groupe ? Quelle est la principale force de cette équipe ? Quel rôle doit avoir Sadio Mané ? L'ancien joueur de Liverpool doit-il être le leader de cette attaque ou simplement un soutien pour les jeunes ? Cette CAN va-t-elle être le début d'une transition pour changer de leader ?
Au sommaire de votre émission : - retour sur la rencontre du groupe A entre le Mali et la Zambie ; - la 35e CAN a démarré par une victoire solide du Maroc ; - Mo Salah va t'il briller avec l'Egypte ? ; - Vers une révolution au sein des compétitions de la CAF. Dans cette émission : - Nous reviendrons sur la rencontre du groupe A entre Maliens et Zambiens à Casablanca. Les Zambiens avec un nouvel entraîneur (local) Moses Sichone, et leur star Patson Daka. Les Aigles qui courent toujours vers un premier sacre dans le tournoi, doivent faire face à des forfaits en début de compétition : Hamari Traoré, Sikou Niakaté et Yves Bissouma. Nous retrouverons sur place Éric Mamruth juste après la rencontre. - Entrée en matière réussie pour le Maroc face aux Comores à Rabat, devant 60.000 spectateurs. Les Rouge et Vert ont d'abord eu du mal à forcer le verrou adverse, mais Brahim Diaz a libéré un public prêt à s'enflammer, malgré la pluie, un peu avant l'heure de jeu. Ayoub El Kaabi a enfoncé le clou d'un somptueux ciseau acrobatique. Seul point noir de la soirée : la sortie prématurée sur blessure de soir Romain Saïss. Achraf Hakimi proche de la reprise ? Le parisien a été laissé au repos pour ce premier match. - Dans le groupe B, il y a l'entrée en lice d'un poids lourd, l'Égypte et ses 7 couronnes, finaliste en 2017 et 2021, mais dont le dernier titre remonte à 2010. Mo Salah va-t-il se refaire une santé sur les terrains après ses mésaventures avec Liverpool, et guider les siens vers un nouveau titre ? Une première rencontre à Agadir face aux Warriors du Zimbabwe. - Une révolution dans le foot africain ! Après l'annonce du président de la CAF en prélude de la compétition. La CAN se déroulera tous les 4 ans à partir de 2028. Une nouvelle compétition, basée sur le modèle de la Ligue des Nations de l'UEFA se tiendra tous les ans à partir de 2029. L'instance sous influence de la FIFA ? Vers la disparition d'un modèle sportif et culturel ? Une belle équipe de spécialistes autour d'Annie Gasnier : Cherif Ghemmour, Yoro Magara et Xavier Barret. Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin
Au sommaire de votre émission : - retour sur la rencontre du groupe A entre le Mali et la Zambie ; - la 35e CAN a démarré par une victoire solide du Maroc ; - Mo Salah va t'il briller avec l'Egypte ? ; - Vers une révolution au sein des compétitions de la CAF. Dans cette émission : - Nous reviendrons sur la rencontre du groupe A entre Maliens et Zambiens à Casablanca. Les Zambiens avec un nouvel entraîneur (local) Moses Sichone, et leur star Patson Daka. Les Aigles qui courent toujours vers un premier sacre dans le tournoi, doivent faire face à des forfaits en début de compétition : Hamari Traoré, Sikou Niakaté et Yves Bissouma. Nous retrouverons sur place Éric Mamruth juste après la rencontre. - Entrée en matière réussie pour le Maroc face aux Comores à Rabat, devant 60.000 spectateurs. Les Rouge et Vert ont d'abord eu du mal à forcer le verrou adverse, mais Brahim Diaz a libéré un public prêt à s'enflammer, malgré la pluie, un peu avant l'heure de jeu. Ayoub El Kaabi a enfoncé le clou d'un somptueux ciseau acrobatique. Seul point noir de la soirée : la sortie prématurée sur blessure de soir Romain Saïss. Achraf Hakimi proche de la reprise ? Le parisien a été laissé au repos pour ce premier match. - Dans le groupe B, il y a l'entrée en lice d'un poids lourd, l'Égypte et ses 7 couronnes, finaliste en 2017 et 2021, mais dont le dernier titre remonte à 2010. Mo Salah va-t-il se refaire une santé sur les terrains après ses mésaventures avec Liverpool, et guider les siens vers un nouveau titre ? Une première rencontre à Agadir face aux Warriors du Zimbabwe. - Une révolution dans le foot africain ! Après l'annonce du président de la CAF en prélude de la compétition. La CAN se déroulera tous les 4 ans à partir de 2028. Une nouvelle compétition, basée sur le modèle de la Ligue des Nations de l'UEFA se tiendra tous les ans à partir de 2029. L'instance sous influence de la FIFA ? Vers la disparition d'un modèle sportif et culturel ? Une belle équipe de spécialistes autour d'Annie Gasnier : Cherif Ghemmour, Yoro Magara et Xavier Barret. Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin
Avant de parler de la Coupe d'Afrique des nations, les journaux s'intéressent aussi au renouvellement du mandat de la Monusco. Ce week-end, les Nations unies ont renouvelé, pour un an, le mandat de leur mission en République démocratique du Congo. Et ce alors même que « la mission onusienne avait amorcé un processus de désengagement, notamment au Sud-Kivu, après plus de deux décennies de présence sur le sol congolais », rappelle Le Potentiel en RDC. Mais le contexte sécuritaire aura eu raison de cette volonté : la situation est « particulièrement préoccupant[e] », rappelle actualite.cd, en raison des affrontements dans l'est du pays. « La rébellion de l'AFC/M23, soutenue par le Rwanda, occupe de vastes zones dans les territoires de Rutshuru, Nyiragongo, Masisi, Lubero et Walikale », pointe ainsi le titre. Conclusion : une « aggravation » des crises humanitaire et sécuritaire. Mais après plus de 20 ans de mandats successifs, le média burkinabè Le Pays s'interroge : « Que peut-on encore attendre de cette mission onusienne ? (…) À quoi servira ce renouvellement de mandat ? » Le quotidien est circonspect, même s'il admet que ce n'est pas entièrement la faute de la Monusco. Celle-ci aurait bien besoin, pour agir, « d'un mandat robuste, comme ce fut le cas en 2013 », ce qui lui avait à l'époque permis « de mettre le M23 en déroute », se remémore Le Pays. Tout de même, le journal accorde au moins un mérite à la Monusco : celui de pouvoir être « une force tampon » et d'être « mise à contribution dans le cadre de la sécurisation des populations ». Le Maroc et la CAN en étendard Les journaux marocains ne sont pas peu fiers que leur pays héberge la compétition. Ainsi de L'Opinion, qui s'enorgueillit que « le nom du Maroc [soit] devenu un véritable label d'excellence dans le monde très concurrentiel du football ». Le 360 se gargarise de la même manière de cette « organisation grandiose » et de « la ferveur déjà palpable dans chaque ville, chaque rue, chaque café ». Accueillir la compétition est autant une preuve des mérites du Maroc qu'une occasion d'éblouir encore un peu plus le monde entier, « une opportunité majeure, de doper davantage ce soft power en présentant (…) au monde entier notre meilleur visage », poursuit l'Opinion. H24 Info ne s'y trompe pas non plus : sur le terrain comme ailleurs, le pays « n'a pas le droit à l'erreur » ; le sélectionneur Walid Regragui fait face à « une énorme pression » tandis que le président de la Fédération royale marocaine de football « doit rendre une copie parfaite du point de vue de l'organisation ». Le Royaume a donc mis les petits plats dans les grands. Le Monde Afrique parle même de « moyens hors norme ». Quitte parfois à s'attirer les foudres de la société civile. Car le dispositif impliquant « surveillance avec drones, caméras avec systèmes de reconnaissance faciale, commissariats à l'intérieur des enceintes sportives » est regardé d'un mauvais œil, quelques semaines après le mouvement Gen Z 212 qui a vu des dizaines de milliers de jeunes manifester pour réclamer un meilleur accès aux soins ou au logement. Une vitrine au-delà de la CAN Dans quatre ans, le royaume chérifien remet le couvert avec cette fois la Coupe du monde, co-organisée avec l'Espagne et le Portugal. Ce qui fait du Maroc, rappelle H24 Info, le « deuxième pays africain à accueillir une Coupe du monde, 20 ans après l'Afrique du Sud ». La Coupe d'Afrique des nations a donc des airs de « répétition générale », pour faire du pays « une vitrine internationale », abonde L'Économiste. C'est d'ailleurs pour cela, rappelle Le Monde Afrique, que Rabat a investi l'équivalent de près de deux milliards d'euros dans « ses infrastructures hôtelières, aéroportuaires, routières et sportives » et dans la rénovation de ses stades. Puis il est aussi question, bien sûr, de soft power. Ici, le ballon rond est surtout un prétexte pour « renforcer l'influence économique et diplomatique du royaume sur la scène internationale, et pas seulement en Afrique ». Dans cette perspective, chaque Marocain est rien de moins qu'un « ambassadeur de son pays », estime L'Opinion. Pour reprendre les mots de Walid Regragui : « remporter la CAN n'est pas un choix », c'est « une obligation ».
Tous les soirs de 22h à minuit, l'After se met aux couleurs de la CAN, la plus grande compétition du continent africain. A compter du 21 Décembre, Gilbert Brisbois, Nicolas Jamain seront accompagnés d'invités prestigieux, de consultants expérimentés et d'anciens internationaux africains pour débriefer des matchs et débattre de l'actualité de cette Coupe d'Afrique des Nations, en direct du Maroc.
Le WFC distribue les notes de Egypte vs Zimbabwe (2-1) et Mali - Zambie (1-1). Quelle note pour le sauveur Salah, Sinayoko ou encore El-Bilal Touré du Mali ? Marmoush est-il l'homme du match pour l'Egypte ?
L'Egypte de Mohamed Salah peut-elle remporter la CAN 2025 ? Annoncé comme un gros favori de la Coupe d'Afrique des Nations au Maroc, l'Egypte avance avec les doutes qui entourent sa super star Mo Salah à Liverpool. Salah doit-il absolument remporter la CAN pour entrer dans l'histoire du football africain ? Marmoush peut-il être le facteur X de la compétition de l'Egypte ? Débats dans le MAG du WFC spécial CAN et focus sur les matches du jour : Mali - Zambie et Afrique du Sud - Angola.
En première partie, notre premier reportage nous emmène au festival, le Nyege Nyege, grand moment de la scène techno africaine qui a ses fiefs (le Sénégal avec ses soirées techno, le Kenya et ses festivals, ou Marrakech au Maroc...), là nous partons en Ouganda. En seconde partie, nous nous envolons vers les îles du nord de la Norvège, les Lofoten, splendides et dépaysantes, le spectacle est un peu gâché par le surtourisme. En Ouganda, le Nyege Nyege, le festival électro incontournable du continent africain C'est devenu l'un des plus grands rendez-vous musicaux d'Afrique de l'Est... Le festival Nyege Nyege. Au bord du Nil en Ouganda, il vient de fêter fin novembre 2025 ses dix ans d'existence, une grande fête de la musique électronique et alternative au sens large du terme. Objectif : célébrer et promouvoir les scènes dites «underground», expérimentales du continent africain. Là où liberté de création fait loi. Dix ans de tous les sons et déjà une référence mondiale. Avec de grands DJs comme Skrillex… Et cela sans perdre de vue les valeurs d'origine. Un Grand reportage de Lucie Mouillaud qui s'entretient avec Jacques Allix. Surtourisme aux Lofoten : mémoire et culture en résistance En Norvège, les îles Lofoten ont acquis avec l'essor d'Instagram et de Tiktok une notoriété inattendue. Chaque année, un flot de plus d'un million de touristes vient cohabiter avec une petite population locale de 25 000 personnes. Conséquences : dégradation des espaces naturels, excréments humains dans les jardins et les cimetières, mais aussi la perte d'identité. Le rorbur, la petite maison rouge typique des pêcheurs, est devenu le symbole par excellence d'Airbnb, effaçant peu à peu la grande tradition séculaire de la pêche. Un Grand reportage de Dánae Rivadeneyra qui s'entretient avec Jacques Allix.
Dans "l'obligation" de remporter la Coupe d'Afrique des nations qu'il organise du 21 décembre au 18 janvier, avant d'accueillir le Mondial 2030, le Maroc d'Achraf Hakimi est l'archi-favori de "sa" compétition. Mais le Sénégal, l'Egypte ou le tenant du titre ivoirien, rêvent de contrecarrer les plans de tout un royaume...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour leur dernière publication de l'année, le Point et le Nouvel Obs ont eu la même idée et proposent cette semaine un numéro double, dont une grande partie est consacrée à la Chine. « L'empire qui sidère le monde », titre le Point, alors que le Nouvel Obs évoque « l'irrésistible expansion d'un empire ». Le Nouvel Obs qui consacre une cinquantaine de pages à la Chine et à son histoire, depuis le premier empereur, en 221 av. J.-C., jusqu'au président Xi Jinping, au pouvoir depuis 2012. Une histoire riche, souvent méconnue alors que, nous dit l'hebdomadaire, « pour comprendre son avenir, il ne suffit pas de comprendre son propre passé, il faut aussi étudier celui des autres ». Et sur ce point, les Occidentaux se sont laissé surprendre. « Notre aveuglement aurait-il été si total si nos experts avaient pris la peine, il y a 25 ans, d'ouvrir quelques livres d'histoire chinoise ? En aspirant à être la première puissance mondiale, explique le Nouvel Obs, la Chine ne cherche pas à conquérir une place jamais atteinte. Elle entend retrouver celle qui fut la sienne pendant des siècles. » Une Chine méconnue Une analyse que ne dément pas le Point qui lance : « Offrons un voyage en Chine à nos députés », que visiblement l'hebdomadaire pense bien mal informés. « Laissons nos députés voir cela !, s'exclame-t-il. Le silence de ces villes aux voitures électrifiées, les nombreux parcs dévolus à la robotique – la Chine "emploie" déjà cinq fois plus de robots industriels que les États-Unis – et ces universités où des milliers d'ingénieurs sont formés en vue de conquérir la suprématie mondiale en matière d'intelligence artificielle ». Le Point a interrogé l'écrivain canadien Dan Wang, d'origine chinoise, et lui a demandé « si l'Occident devait s'inspirer d'une partie du modèle chinois pour redevenir compétitif ». « Je crois que l'essentiel tient à une attitude, à une foi, à une conviction, répond Dan Wong. Tous les pays veulent se présenter comme des puissances technologiques, mais les Chinois y croient vraiment. » Angelina Jolie en Une de la première édition de Time France Nouveau venu dans le monde des magazines français, Time France publie son premier numéro. Inspiré bien sûr du célèbre Time Magazine américain, « Time est de plus en plus une voix qui compte », nous dit l'éditeur Dominique Busso. « Time s'est associé à Time France pour vous raconter la France et le monde, tout en étant attentif aux bouleversements qui écrivent l'histoire moderne. » Résultat : un beau magazine de presque 200 pages, richement illustré, qui propose aussi bien un reportage sur le front du Donbass en Ukraine, qu'une enquête sur le trafic d'art... ou encore une longue interview d'Angelina Jolie, qui fait la Une de ce premier numéro français. Time France déroule le tapis rouge à l'actrice américaine et la décrit ainsi : « D'une beauté à se damner (…) elle est portée par un corps que l'on croirait fragile si l'on oubliait qu'il a été forgé par plus de 20 années de révolte et de combats pour défendre les plus opprimés. » Mais si Angelina Jolie prend la pose, torse nu, une main couvrant son sein, c'est pour porter un message de prévention contre le cancer. À destination des femmes qui, comme elle, sont porteuses d'un gène lié au cancer du sein. S'il est dépisté à temps, comme chez Angelina Jolie, une mastectomie peut sauver la vie d'une femme. C'est ce qu'a fait l'actrice. « Chaque femme, dit-elle, devrait toujours pouvoir déterminer son propre parcours de santé et disposer des informations nécessaires pour faire ses choix. » Notez que Time France ne paraîtra que tous les trois mois, contrairement à son homologue américain qui, lui, est hebdomadaire. Un monde romanesque Tous les auditeurs de RFI le savent, c'est aujourd'hui le coup d'envoi de la CAN 2025 au Maroc. Et à cette occasion, le Parisien Dimanche donne la parole à Leïla Slimani, la romancière marocaine qui « s'apprête à vibrer pour la Coupe d'Afrique des Nations » se déroulant dans son pays natal. Aux yeux de l'écrivaine, le Maroc sera sans aucun doute « en finale » le 18 janvier. La lauréate du prix Goncourt 2016 ne cache pas son enthousiasme et se décrit elle-même lorsqu'elle regarde un match : « Je suis très nerveuse, dit-elle, un peu hystérique, et cela doit être assez insupportable pour les autres (…) Parfois, avec mes copains qui sont un peu partout dans le monde, explique Leïla Slimani, on est en même temps sur des groupes WhatsApp, donc on se retrouve à tous hurler simultanément. » Mais le football est avant tout un « monde romanesque », estime Leïla Slimani : « Une coupe du Monde, c'est comme un petit roman avec des personnages secondaires qui deviennent des personnages principaux, ou l'inverse, et du suspense. Tout ce qu'il faut pour un bon livre. »
Dans "l'obligation" de remporter la Coupe d'Afrique des nations qu'il organise du 21 décembre au 18 janvier, avant d'accueillir le Mondial 2030, le Maroc d'Achraf Hakimi est l'archi-favori de "sa" compétition. Mais le Sénégal, l'Egypte ou le tenant du titre ivoirien, rêvent de contrecarrer les plans de tout un royaume...Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Debrief Maroc - Comores (2-0), première journée de la Coupe d'Afrique des Nations 2025. Le Maroc lance sa CAN 2025 grâce à sa victoire face aux Comores et un but sensationnel de El Kaabi.
Le Maroc lance sa Coupe d'Afrique des Nations à Rabat face aux Comores avec un objectif : la victoire finale ! Après une demi-finale perdue à la Coupe du Monde 2022 face à la France et une CAN 2023 frustrante, le Maroc de Walid Regragui et Achraf Hakimi est l'immense favori pour remporter sa première CAN depuis 1976. A domicile, les coéquipiers du Marseillais Nayef Aguerd voudront parfaitement lancer leur aventure face à la modeste équipe des Comores. Le Maroc va-t-il remporter la CAN ? Débats dans le premier MAG de la CAN 2025.
Les notes de Maroc - Comores (2-0), match d'ouverture de la CAN 2025. Qui est l'homme du match ? Quelles notes pour Aguerd, Ounahi ou encore Brahim Diaz ?
À l'occasion de la 35è édition de la Coupe d'Afrique des Nations, organisée au Maroc, une cinquantaine de Clubs RFI organise une série de tournois de football dans leur pays respectif. Cet évènement, qui entend promouvoir des valeurs humanistes fortes : respect, tolérance et vivre-ensemble bénéficie du parrainage d'un ancien footballeur international, le Camerounais Benjamin Moukandjo. Les matchs de football contribuent ainsi à sensibiliser le public à la paix. Les responsables des clubs expliquent en quoi cet évènement est important. Avec la participation de : Sébastien Bonijol, coordinateur des tournois des clubs RFI ; Lokosu Ricardo, footballeur, Jeunesse sportive de Ouidah (JSO) ; Salifou Diallo, président du Club RFI Labé (Guinée-Conakry) ; Cédric Ouanekpone, Club RFI Bangui Fofonon (Centrafrique) ; Iréné Akay Messan ; Ernesto Alao, Club RFI Ouidah (Bénin) et Iréné Akay Messan, Club RFI Jeunesse Positive ; Abomey Calavi (Bénin) chargés de la coordination des émissions dans le cadre des 30 ans des Clubs RFI à Ouidah. Musiques : - Le football, de Raoul Guillaume - L'hymne de la CAN 2025, Official Song of AFCON Morocco 2025. Réalisation : Cécile Bonici et Julien Boileau.
Nous mettons le cap au nord-ouest, au Maroc, pour parler social et politique. La jeunesse marocaine a donné de la voix en cette année 2025 qui s'achève. Dans les rues du Royaume, un mouvement Génération Z, comme il y en a eu à Madagascar, au Népal ou en Indonésie... En seconde partie, une zone peu fréquentée de notre planète, le désert, la chaleur, les immensités, nous serons dans le sud du Sahara, dans le nord du Tchad, face à des trésors, les peintures rupestres... GenZ 212 au Maroc : «Ils ont semé la peur en nous» Le Maroc a connu en 2025 une nouvelle vague de protestation populaire. Protestation portée par la Gen Z 212. 212 pour l'indicatif téléphonique du Maroc. La mobilisation 2025 s'inscrit après celle du 20 février en 2011, et le mouvement populaire du Rif en 2016-2017. Ces jeunes de 18 à 25 ans très connectés, inspirés par les manifestations au Népal, à Madagascar ou en Indonésie, ont clamé leur refus de la corruption, et exiger une amélioration des services publics, comme la santé et l'éducation. Sans affiliation politique ou syndicale, ils ont fini par exiger la démission du gouvernement, mais sans succès. Aujourd'hui, ils dénoncent la répression qui s'est abattue sur eux. 1 473 jeunes sont toujours en prison, dont 330 mineurs selon les chiffres officiels. Un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji qui s'entretient avec Jacques Allix. Tchad : les derniers secrets du Sahara Le sud du Sahara : il abrite l'un des plus importants potentiels archéologiques d'Afrique. Dans le massif de l'Ennedi tout au nord du Tchad. Le paysage est époustouflant : cathédrales rocheuses, steppes de cailloutis et dunes... Mais au-dessous des cavités, foisonnent des peintures rupestres. Elles racontent l'histoire d'un Sahara Vert et humide, doté d'une belle population animale. C'était il y a entre 5 et 10 000 ans avant notre ère. L'intérêt pour cette époque est ravivé par l'actuel changement climatique et les questions sur la capacité de l'homme à s'adapter. L'ONG African Parks et le gouvernement tchadien tentent de préserver et décrypter ce patrimoine. Un Grand reportage de Carol Valade qui s'entretient avec Jacques Allix. Réalisation : Pauline Leduc. Avec la participation de Joris Bolomey et le soutien logistique d'African Parks.
Les Nations Unies ont prolongé d'un an le mandat de leur force de maintien de la paix en République démocratique du Congo. Connue sous son acronyme MONUSCO, la mission de maintien de la paix de l'ONU jouera un rôle dans la surveillance d'un cessez-le-feu avec les rebelles du M23 dans l'est du pays.
Du Népal au Pérou, de Madagascar au Maroc, son drapeau "One Piece" a écumé les mobilisations contagieuses d'une jeunesse hyperconnectée réclamant un avenir à des pouvoirs jugés verrouillés: la Gen Z a marqué l'actualité internationale en 2025 en faisant chuter deux gouvernements, au Népal et à Madagsacar.Cette jeunesse a opté pour un mode de mobilisation horizontal sans leader désigné, passant par les réseaux sociaux.Si la Gen Z réclame des systèmes d'éducation ou de santé efficaces, elle entend aussi dénoncer la corruption, la répression et la mauvaise utilisation de l'argent public.Invités: Elisabeth Soulié, anthropologue, auteure de "La génération Z aux rayons X" (Editions du Cerf, 2020)Paolo Stuppia, politiste, chercheur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, co-auteur avec Valerie Becquet de "Géopolitique de la jeunesse, engagement et (dé)mobilisations" (Editions Le Cavalier Bleu, 2024)Cécile Van de Velde, Professeure de sociologie à l'Université de MontréalReportages: AFPTVDoublages: Gabrielle Chatelain, Pascale Trouillaud, Fany Lattach, Michaëla Cancela-KiefferMusique One Piece: Hiroshi Kitadani, Columbia Music EntertainmentRéalisation: Emmanuelle Baillon, Michaëla Cancela-Kieffer, Maxime Mamet.La Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Direction le Maroc où s'ouvre dimanche 21 décembre la Coupe d'Afrique des Nations (CAN), avec le match Maroc-Comores à 20 heures. Cette CAN, et l'optique de la Coupe du monde en 2030, sont des enjeux majeurs, sportifs, mais surtout politiques, pour le pays. Lors des récentes manifestations, ces évènements ont été très critiqués par la population qui appelle l'État à développer les secteurs de la santé, du travail, et à engager une meilleure redistribution des richesses. Spécialiste de l'histoire du Maroc, Pierre Vermeren est professeur à l'université de la Sorbonne à Paris. Il répond à Guillaume Thibault. À lire aussiCAN 2025 : le Maroc en favori, des outsiders en embuscade À lire aussiCAN 2025 : dates, stades, villes, horaires, le calendrier complet des matchs
Le Maroc est un pays de football et, dans le royaume, on aime regarder les matchs avec d'autres supporters. Les cafés et les bars s'attendent aujourd'hui à une affluence record. À quelques heures de l'ouverture de la CAN, c'est le temps des derniers préparatifs. Reportage dans l'un des lieux emblématiques du centre de Casablanca. Au Guérin, une brasserie centenaire, on regarde les matchs de la CAN depuis toujours. De notre correspondant à Casablanca, Un immense comptoir qui fait toute la longueur de la salle et quelques tables. Chez Mme Guérin, ce n'est pas très grand. 79 printemps et 35 CAN, Hamid Sebbar est un fidèle client. Il vient ici depuis 55 ans. « Ce café, il existe depuis les années 1920. Il y avait beaucoup de sportifs qui regardaient des matchs à la télévision, il y avait beaucoup de monde. C'était un endroit agréable pour eux », précise-t-il. Avec son chapeau en tweed et son écharpe bleue, Hamid cultive une élégance surannée. « Il y avait un autre groupe, des gens cultivés : des poètes, des écrivains, etc. Ils fréquentaient ce café. Je voyais des gens regarder des matchs ici avec folie. Ils adoraient tous le football », poursuit-il. Qu'importe la Coupe, qu'importe le championnat, chez Madame Guérin, il y a toujours un match qui est diffusé. « Avant, c'était des télévisions en noir et blanc. Avant, ça n'était que la radio. Après, maintenant, on parle de 4K, des écrans de 75 pouces, trois écrans. Cela veut dire que, où que tu t'installes à Guérin, tu peux voir le match tranquillement. Il y a des télés partout. Il y a une sonorisation adaptée au match », explique Hamid Sebbar. À lire aussiCAN 2025 : le Maroc, nouvel Eldorado du foot ! Et voici Madame Guérin, alias Youssef Abbassi, c'est le nouveau gérant. Il a repris l'endroit, il y a trois ans. « Il y a plusieurs générations qui ont géré cet endroit emblématique. Pour moi, Guérin, c'est une famille », affirme-t-il. Une famille qui va se réunir encore une fois pour assister ensemble à la CAN. Youssef espère que ces retrouvailles seront grandioses. « La vérité, je ne peux pas me prononcer sur le gagnant, mais j'aimerais bien que cela soit le Maroc. C'est le but, que l'on célèbre ici notre trophée à domicile, à Guérin. Ça serait vraiment génial », s'exclame Youssef Abbassi. Le mot de la fin pour Hamid Sebbar : « Tout le monde attend que l'équipe marocaine crée la surprise cette année. Nous avons beaucoup d'espoir de gagner cette Coupe cette année, chez nous. » Et comme à chaque CAN, depuis la première, chez Madame Guérin, on va scruter, analyser, décortiquer le football. Il y aura de la joie ou bien de la déception. De la matière en tout cas pour écrire une nouvelle ligne de l'histoire de ce lieu liée au foot marocain. À lire aussiMaroc: à la médina de Rabat, les supporters s'affichent prêts pour le début de la CAN
« À Strasbourg, les députés ont entériné un durcissement majeur des règles migratoires, révélateur d'un changement de philosophie au sein de l'Union européenne », annonce Afrik.com, qui détaille en quoi consiste ce durcissement : « Désormais, la priorité est donnée à la rapidité des procédures et à l'efficacité des retours, au détriment d'un examen long et individualisé des demandes d'asile. » Pour parvenir à ce résultat, les députés européens ont tout simplement « allongé la liste européenne des pays d'origine sûrs ». Et, ce qui inquiète particulièrement Afrik.com, c'est que le Maroc va faire partie de ces pays, où l'on considère que l'on peut renvoyer un demandeur d'asile, sans crainte pour sa sécurité. Désormais, explique le site d'information panafricain, « les demandes d'asile marocaines seront traitées selon des procédures accélérées, avec des délais raccourcis et un taux d'acceptation mécaniquement plus faible ». Ce n'est pas tout : « Le texte adopté autorise également le renvoi de demandeurs d'asile vers des pays tiers avec lesquels ils n'ont aucun lien direct ». « Pour Bruxelles, l'objectif est clair, conclut Afrik.com. Désengorger les systèmes d'asile nationaux et envoyer un signal dissuasif aux candidats à l'exil », une ligne dure « portée par la droite et l'extrême droite européennes. » Après la tentative de coup d'État Au Bénin, le président Patrice Talon s'est exprimé hier face à la presse, pour la première fois depuis le coup d'État manqué du 7 décembre. Banouto rend compte de cette conférence de presse et en expose les grandes lignes. Avec notamment cette révélation : le commandant de la Garde républicaine, le colonel Dieudonné Tévoèdjré a pu « parler au téléphone » avec le lieutenant-colonel Pascal Tigri, le chef des putschistes, sans pouvoir toutefois le raisonner. Pascal Tigri toujours en cavale, et qui, selon Patrice Talon, était habillé « en civil » lorsqu'il s'est enfui, « à bord d'une voiture ». La Nouvelle Tribune rend compte elle aussi de la conférence de presse du président béninois, qui, nous dit le journal, « a tenu à déconstruire le récit d'un soulèvement généralisé au sein des forces armées (…). Selon le président béninois, « ce n'est pas la Garde nationale qui a opéré l'attaque, ni le commandement ni le sous-commandement » mais « quelques égarés, manipulés par des nostalgiques et des jaloux ». Pendant cette conférence de presse de Patrice Talon, il a aussi été question de la réforme constitutionnelle, qui prévoit d'instaurer le septennat au lieu du quinquennat. Sur ce point, « le président béninois a assuré qu'il ne s'agissait pas d'un calcul personnel pour s'éterniser au pouvoir, mais d'un héritage institutionnel », explique la Nouvelle Tribune. « Ce ne sera pas à mon profit. Ce sera au profit du Bénin », a assuré Patrice Talon. Victoire de prestige Enfin, le Maroc remporte la Coupe arabe de football. C'est à la Une de Hesspress : « Le Maroc s'offre le titre en battant la Jordanie au terme d'une finale épique ». « Une finale sous haute intensité », nous dit le journal en ligne. Mené, « le Maroc a puisé dans ses ressources pour revenir au score, avant de faire la différence en prolongation, grâce à un Hamdallah décisif. Au terme d'un duel haletant face à une équipe jordanienne coriace, les Lions de l'Atlas s'imposent 3 à 2 et décrochent un sacre arabe mémorable. » Même enthousiasme pour Le Matin, qui parle d'un « scénario digne d'une finale légendaire face à un adversaire tout aussi déterminé à soulever le trophée ». Le Matin qui n'oublie les échéances à venir, et appelle l'équipe du Maroc « à rééditer cet exploit lors de la CAN 2025 ». La Coupe d'Afrique des Nations qui commence dimanche. Yabiladi précise que « c'est le deuxième sacre du Maroc en Coupe arabe après celui de 2012 » et « un succès de prestige à quelques jours du coup d'envoi de la CAN organisée sur ses terres ».
Aujourd'hui, je vous présente Charlotte, photographe et maman de deux grands garçons. C'est son fils Tom, 25 ans, qui lui a proposé ce voyage un peu fou : six mois de road trip de Paris jusqu'au Cap en Afrique du Sud, un projet qu'il a imaginé et organisé du début à la fin.Ils ont traversé l'Europe et l'Afrique, pays après pays : Espagne, Maroc, Mauritanie, Sénégal, Guinée, Côte d'Ivoire, Ghana, Togo, Bénin, Nigeria, Cameroun, Congo, Angola, Namibie… jusqu'à l'Afrique du Sud .Un récit de voyage marqué par des nuits sous la tente, des rencontres spontanées, un passage de frontière tendu à cause d'un drone, et cette scène digne d'un western quand deux silhouettes se sont approchées d'eux au Maroc pour leur dire qu'ils ne pouvaient pas camper là .Ce voyage en famille a resserré leur lien, six mois côte à côte, souvent à l'aventure, parfois dans l'inconnu.Si l'idée de suivre une route qui change tout vous parle, vous serez sûrement curieux d'entendre leur histoire.-----------Si l'épisode vous a plu, laissez-moi une note 5 ⭐️ou un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify
24 équipes, 52 matchs. A partir de dimanche, nous allons vivre au rythme de la Coupe d'Afrique des Nations. Qui sont vos favoris ? Quels sont les atouts et les faiblesses de votre sélection ? Parviendra-t-elle à passer le cap du premier tour ? Vos pronostics nous intéressent.
Le Royaume s'apprête à organiser à partir de dimanche la 35è édition de la Coupe d'Afrique des nations. Pendant près d'un mois, tous les regards seront tournés vers le Maroc qui mise sur le sport pour s'étendre. Ainsi, Rabat co-organisera en 2030 avec l'Espagne et le Portugal la Coupe du monde de football. Tous les voyants semblent au vert, mais le Maroc est fragilisé par une contestation menée par la génération Z qui dénonce des services publics défaillants et des inégalités sociales persistantes. Afrique, Europe : quels sont les axes d'évolution du Maroc ? Jusqu'où le Royaume peut-il aller ? Qu'est-ce qui pourrait le faire chuter ? Pour en débattre - Fadwa Islah, grand reporter au magazine Jeune Afrique, spécialiste du Maroc - Florent Parmentier, secrétaire général du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF), chercheur associé à l'Institut Jacques Delors et coauteur de l'article Vers une communauté de l'Atlantique oriental, publié dans la revue Le Grand Continent - Abdelmalek Alaoui, président de l'Institut marocain d'intelligence stratégique, basé à Rabat.
L'Afrique du Sud a expulsé sept Kenyans employés par les États-Unis dans le cadre de leur programme d'accueil de la minorité blanche des Afrikaners. Et, ça ne risque pas d'arranger la relation déjà tendue entre Pretoria et Washington. Le journal kenyan Daily Nation revient sur ce contexte particulièrement électrique : « L'administration du président Donald Trump ambitionne d'accueillir des milliers de Sud-Africains blancs aux États-Unis dans le cadre d'un programme de réinstallation lancé cette année, en se fondant sur des allégations de persécution raciale. » Des allégations que réfute totalement l'Afrique du Sud. « Sur cette base, l'administration Trump a mis en place un programme offrant à certains Afrikaners un traitement prioritaire pour obtenir le statut de réfugié aux États‑Unis, comme en mai 2025 lorsqu'un premier groupe a été accueilli avec accompagnement pour leur insertion », commente la Nouvelle Tribune. Les sept Kényans expulsés étaient entrés dans le pays avec des visas de tourisme et avaient illégalement commencé à travailler, alors que des demandes précédentes de visas de travail leur avaient été refusées. Daily Nation analyse : « Durant son second mandat, Trump a proféré à plusieurs reprises de fausses accusations concernant le traitement réservé par l'Afrique du Sud à sa minorité blanche, s'en servant pour réduire l'aide au pays et exclure l'Afrique du Sud des réunions du G20. » Washington n'a en tout cas pas manqué de réagir aux expulsions : « Le département d'État américain a accusé Pretoria d'entraver ses opérations liées à l'accueil de réfugiés, qualifiant la situation d'inacceptable. De son côté, le gouvernement sud-africain affirme avoir engagé des démarches diplomatiques formelles avec les États-Unis et le Kenya afin de désamorcer le différend », conclut la Nouvelle Tribune. Au Kenya, 18 personnes prises au piège dans la guerre en Ukraine rapatriées Dix-huit personnes prises au piège dans la guerre en Ukraine ont été rapatriées dans le pays, révèle Daily Nation au Kenya. Le journal explique que ces 18 hommes ont été rapatriés de Russie, « certains souffrant de blessures graves ». Plus tôt dans la semaine, on a également appris qu'au moins 82 Kényans auraient été enrôlés de force aux côtés de l'armée russe dans la guerre en Ukraine. « La plupart, dépourvus de toute formation militaire, n'avaient jamais tenu une arme de leur vie avant d'être enrôlés. Après une formation express de cinq jours dans des camps d'entraînement, ils ont été envoyés sur la ligne de front », explique Le Monde Afrique. L'un des volontaires abusés, qui témoigne auprès de Daily Nation, raconte que « plusieurs agences de recrutement auraient trompé des candidats à l'immigration, leur faisant miroiter de faux emplois aux rémunérations alléchantes dans la transformation, l'emballage et le nettoyage de viande », tout en assurant prendre en charge les frais de transport, les examens médicaux et le logement sur place. Et « le Kenya n'est pas le seul pays africain de recrutement, explique le Monde Afrique. Les autorités ukrainiennes estiment que plus de 1 400 soldats du continent, issus de 36 pays, combattraient aux côtés de l'armée russe. La plupart sous la contrainte. » L'Afrique subsaharienne, par ailleurs, « constitue un vivier de recrutement vaste et facilement accessible en raison de taux de pauvreté élevés dans la plupart des pays de la zone » et de l'« important désir d'émigration », d'après l'Institut français des relations internationales (Ifri) dans une étude ce jeudi. Froid glacial, pluies diluviennes et fortes chutes de neige au Maroc « Le Maroc fait face à un épisode hivernal d'une rare intensité », commente Afrik.com. Mardi, les autorités ont annoncé le déploiement d'une aide d'urgence nationale. Objectif : venir en aide à des dizaines de milliers de familles. La province côtière de Safi est particulièrement touchée, raconte le média, des crues soudaines y ayant causé la mort de 37 personnes dimanche. « Safi panse ses plaies en quatre heures grâce à un élan de solidarité inédit, écrit notamment le journal marocain l'Opinion. Boulangers, pêcheurs, commerçants du port et professionnels de la pêche côtière se sont unis dans une collecte exceptionnelle, peut-on lire. Ce mouvement collectif, nourri par l'attachement profond à une ville meurtrie, illustre une capacité éprouvée à faire face à l'adversité (…) portée par la détermination et la cohésion de ses habitants », raconte le journal. Plus globalement, le Maroc connaît une variabilité climatique accrue, marquée par l'alternance entre sécheresses prolongées et épisodes pluvieux violents. Sans surprise, « l'intensification de ces phénomènes est liée au réchauffement climatique, qui modifie les régimes de précipitations et accentue les contrastes de température », souligne Afrik.com.
J'ai eu l'immense honneur de recevoir Samira Sitaïl, Ambassadeur du Maroc en France.Une rencontre rare, sincère et profondément inspirante.Au fil de cette interview, elle se livre sans détour :✨ son parcours académique✨ son évolution dans les médias au Maroc✨ les coulisses de sa nomination au poste d'Ambassadeur✨ son rôle, son quotidien et les défis de la diplomatieMais surtout, elle rappelle avec force en quoi les MRE (marocains résidents à l'étranger) sont une priorité, au cœur de son engagement et de son action.Un échange authentique qui met en lumière un parcours construit sur le travail, l'exigence et la conviction que rien ne remplace l'effort.Un témoignage précieux. Merci Madame l'Ambassadeur d'avoir pris le temps de répondre à toutes mes questions. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans une ferme 50 poules décèdent sans raison, un psychiatre fait passer un test à 3 fous, et deux hommes tombent en panne au Maroc... Découvrez les 3 histoires drôles du jour ! Tous les jours, en podcast, retrouvez une compilation des meilleures blagues de vos Grosses Têtes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Kenza Ito Mekouar a grandi entre deux terres, le Maroc et la France, avec cette sensation diffuse d'être à la fois dedans et dehors, comme derrière un voile de lumière. Psychologue, danseuse, mannequin, créatrice, elle a longtemps porté plusieurs vies sans jamais renoncer à sa quête de sens. Jusqu'au jour où son corps a parlé plus fort que tout : une infection, l'hôpital, la colère et ce déclic intérieur qui vient bouleverser une existence. Comment écoute-t-on enfin ce corps que l'on a trop longtemps fait taire ? Que se passe-t-il lorsque les rêves d'enfance, la sensorialité, le souffle et la foi reviennent frapper à la porte ? Et si la colère, l'errance et l'étrangeté pouvaient devenir des guides vers une autre manière d'habiter sa vie ? Kenza Ito Mekouar partage avec nous ce que le yoga, la danse, le Maroc, la sensorialité, l'Ubuntu, le lien au groupe et la confiance peuvent transformer en profondeur. Son témoignage nous parle du corps comme d'un allié, de la voix comme d'une vibration qui soigne, du collectif comme d'un lieu où l'on renaît. [VOS MÉTAMORPHOSES] Quelques citations du podcast avec Kenza Ito Mekouar :"Le cheminement spirituel est plus une question de dépouillement et de retour à une espèce d'état originel.""Le groupe permet de recréer aussi ces espaces où on est responsable les uns des autres.""C'est l'acceptation de la différence qui sauvera le monde."Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeThèmes abordés lors du podcast avec Kenza Ito Mekouar :00:00Introduction02:00Présentation de l'invitée00:42L'enfance au Maroc03:56Une vocation de psychologue04:59Des rencontres transformatrices07:02Infection et déclic09:29Du constat à l'action11:15Cheminement et dépouillement14:05Accueillir ses peurs15:30 Le corps comme allié17:47Le Yoga comme union19:55Routine au réveil21:37La voix comme outil de guérison24:08La force du groupe et de la rencontre31:24La sagesse qui ne se prend pas au sérieux34:25Les différences comme richesse38:17Un mot à la Kenza d'hier39:38L'objet symbolique de KenzaAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Photo DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Camille Jaccoux est né avec des skis aux pieds.Fils de guide de haute montagne il grandit à Chamonix et se prend très vite d'une passion dévorante pour la glisse.Au point qu'il n'a jamais imaginé faire autre chose de sa vie.Camille commence par le ski de bosse avant de prendre un virage radical vers le Freeride (ski hors-piste) au milieu des années 90.S'en suivent 10 ans d'une carrière pro exceptionnelle à explorer les montagnes du monde entier sur le fameux "Freeride World Tour".À 32 ans, il met fin à sa carrière et se libère enfin du temps pour un projet qu'il a en tête depuis plusieurs années : créer une marque de skis qui pourrait bousculer les "majors", les marques dominantes de l'industrie.Avec 2 amis et associés, il lance Black Crows en 2006 à Chamonix, là où tout a commencé.Ils misent sur des skis techniques mais accessibles, adaptés à toutes les neiges et surtout sur un design hors des codes de l'époque pensé par le talentueux Yorgo Tloupas.Poussée par l'explosion du freeride, la marque devient rapidement un symbole que les skieurs s'arrachent et envahit les pistes — et les hors-pistes — du monde entier.Camille est un vieux briscard qui a traversé toutes les époques, les modes et les tendances de la montagne depuis 30 ans et s'en est servi pour créer un intemporel.Entrez dans les coulisses d'une véritable “love brand” devenue icône de la culture ski à la française.Vous pouvez contacter Camille sur LinkedIn et le suivre sur Instagram.TIMELINE:00:00:00 : La montagne dans le sang00:16:28 : Flairer la puissance de la création de contenu avant tout le monde00:23:03 : Les meilleurs spots de ski du monde00:28:36 : Bousculer les majors00:39:11 : Le jour 1 de Black Crows00:45:19 : Créer une marque qui résonne bien au-delà du ski00:56:43 : Chamonix, la capitale des sports outdoors01:05:30 : Le hack marketing que toutes les marques devraient connaître01:12:50 : La collaboration iconique de Black Crows avec Colette Paris01:27:43 : Comment faire des US son premier marché01:37:51 : Utiliser les réseaux sociaux comme aucune autre marque de ski01:43:56 : “Les gens pensaient qu'on était 70, on était 14”01:49:36 : Le passage risqué de l'outdoor au lifestyle01:59:12 : Téhéran, Maroc, Japon : les endroits les plus dingues où Camille a skiéLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #509 - Nicolas Mermoud - HOKA - Retourner le marché du running avec des semelles "grotesques”#496 - Sébastien Kopp - VEJA - Faire du business autrement[Hors-Série Red Bull] - Luc Reversade - La Folie Douce - "On est les seuls à avoir un chef étoilé qui fait danser sur les tables à 2500m d'altitude”Nous avons parlé de :Claude Jaccoux, le père de CamilleBlack CrowsBruno CompagnetGlen Plake, un des précurseurs du freeskiBruno Gouvi qui descend l'aiguille des Drus en snowOscar MandinKristofer Turdell, champion du monde de Freeride en Black CrowsJackson Hole dans le WyomingJulien RegnierRabbit on the RoofYorgo Tloupas, le designer de génie derrière Black CrowsAYAQLes recommandations de lecture :Kolkhoze - Emmanuel CarrèreL'usure d'un monde : Une traversée de l'Iran - François-Henri DésérableL'invitation à l'altitude - Claude JaccouxUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:26 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - 37 personnes sont mortes à Safi, sur la côte atlantique du Maroc, à la suite de crues soudaines et d'inondations, les pires de la décennie. Le parquet national a ouvert une enquête pour déterminer d'éventuelles responsabilités alors que des habitants dénonce le retard des secours pour pomper l'eau.
Au programme de Radio Foot ce mercredi 17 décembre 2025, de 16h10 à 21h10 T.U. : J-4 avant le coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des Nations 2025 au Maroc. ; Bruno Ecuelé Manga mis en lumière dans Radio Foot. Son interview dans le cadre de notre série CAN. ; - En Espagne, le FC Barcelone s'est imposé 2 buts à 0, en 16es de finale de la Coupe du Roi, sur la pelouse du Club Deportivo Guadalajara. ; La FIFA réagit à la colère des supporters concernant les prix élevés de la billetterie pour la Coupe du monde 2026. J-4 avant le coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des Nations 2025 au Maroc Dans l'émission du jour, notre invité sera le journaliste Hédi Hamel, auteur de « Il était une fois la CAN », paru aux éditions Solar. Bruno Ecuelé Manga mis en lumière dans Radio Foot. Son interview dans le cadre de notre série CAN. En Espagne, le FC Barcelone s'est imposé 2 buts à 0, en 16es de finale de la Coupe du Roi, sur la pelouse du Club Deportivo Guadalajara. Un match auquel a participé Marc-André ter Stegen : l'Allemand a effectué son grand retour sur les terrains. Peut-il réintégrer le onze de départ ? Que reste-t-il de l'école allemande des gardiens de but ? La FIFA réagit à la colère des supporters concernant les prix élevés de la billetterie pour la Coupe du monde 2026. De quoi calmer la grogne ? Pour débattre avec Annie Gasnier : Benjamin Moukandjo, Frank Simon et Nabil Djellit. Technique/réalisation Laurent Salerno - Saliou Diouf.
Le Maroc a connu en 2025 une nouvelle vague de protestation populaire. Protestation portée par la Gen Z 212. 212 pour l'indicatif téléphonique du Maroc. La mobilisation 2025 s'inscrit après celle du 20 février en 2011, et le mouvement populaire du Rif en 2016-2017. Ces jeunes de 18 à 25 ans très connectés, inspirés par les manifestations au Népal, à Madagascar ou en Indonésie, ont clamé leur refus de la corruption, et exiger une amélioration des services publics, comme la santé et l'éducation. Sans affiliation politique ou syndicale, ils ont fini par exiger la démission du gouvernement, mais sans succès. Aujourd'hui, ils dénoncent la répression qui s'est abattue sur eux. 1 473 jeunes sont toujours en prison, dont 330 mineurs selon les chiffres officiels. GenZ 212 au Maroc : « Ils ont semé la peur en nous », un reportage de François Hume-Ferkatadji.
Le Journal en français facile du lundi 15 décembre 2025, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/CGrU.A