Country in West Africa
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Cinq immigrés en situation irrégulière aux Etats-Unis et originaires de pays d'Asie ou des Caraïbes ont été expulsés vers l'Eswatini, petit pays d'Afrique australe, l'administration Trump ayant expliqué que leurs propres pays refusent d'accueillir ces "criminels".
That's when others see Jesus in you. “The Son of Man came not to be ministered unto, but to minister, and to give His life a ransom for many.” - Matthew 20:28 (KJV)
Les Togolais sont appelés à renouveler leurs 1527 conseillers municipaux ce jeudi, mais l'attention est surtout concentrée sur le désormais nommé « Mouvement du 6-Juin » : il a appelé à la mobilisation, aujourd'hui et demain. C'est le dernier rendez-vous en date, rappelle Le Monde Afrique, d'un « mouvement de contestation qui, depuis début juin, défie le pouvoir de Faure Gnassingbé, » articulé autour du rappeur Aamron devenu « la figure de proue » de ce phénomène après avoir appelé à manifester puis avoir été interpellé dans la foulée. Désormais, détaille le Monde, les manifestants « dénoncent pêle-mêle l'arrestation du rappeur et d'autres personnalités critiques, la hausse du coût de la vie (en particulier de l'électricité), et surtout, la récente réforme constitutionnelle » grâce à laquelle Faure Gnassingbé, en lieu et place de président de la République, est devenu président du conseil… « la nouvelle plus haute fonction exécutive du pays, cette fois sans limite de mandats. » Cela fait vingt ans que le chef d'État est au pouvoir – et avant cela, son père, Gnassingbé Eyadema, a dirigé le Togo de 1967 à 2005. Le pays est donc « ballotté depuis presque 60 ans par un régime de terreur de père en fils, » calcule Ici Lomé, selon qui « les différents scrutins, présidentiels, législatifs et autres, ne furent jusqu'à ce jour que de pures mascarades. » Quant aux partis d'opposition, nés dans les années 1990, poursuit le titre, ils « n'ont connu que répressions faites d'arrestations arbitraires (…) dont les auteurs (…) courent toujours. » Pour le site togolais, il n'y a donc pas d'autre issue : « il faut une révolution de grande envergure, comme des jeunes Togolais nous en donnent l'exemple aujourd'hui, pour faire partir ce régime. » À lire aussiManifestations contre Faure Gnassingbé au Togo: le gouvernement crie à la «tentative de déstabilisation» Il faut dire que les précédentes journées de mobilisation ont été marquées par des violences et les autorités se sont montrées, « impitoyables, » « comme à leur habitude, » estime Le Monde : « la société civile, rappelle le titre, accuse [les forces de l'ordre] d'être responsables de la mort de sept personnes » alors que les autorités évoquent « cinq décès "par noyade" et dénonce[nt] des "tentatives de récupération malheureuses." » Ici Lomé, de son côté, va même jusqu'à parler d'une répression « sauvage. » On craint donc, dans le pays, que les manifestations des deux prochains jours ne soient encore entachées de sang. Togo Presse note que « le gouvernement, dans ses sorties, rassure la population » avec « des dispositions prises pour garantir des élections paisibles », par exemple la fermeture des frontières. Quant au ministre de la Fonction publique Gilbert Bawara, démissionnaire, mais en charge des Affaires courantes, il défend le gouvernement de toute action disproportionnée dans les colonnes du Point Afrique : « dans un État de droit, l'ordre public doit être préservé, » martèle-t-il, et il faut « préserver absolument cet acquis, » avec « rigueur et fermeté, » tout autant qu'avec « discernement et responsabilité. » Et le ministre appelle chacun à « respecte[r] les règle du jeu démocratique. » À lire aussiTogo: au moins trois morts et des dizaines de blessés dans les manifestations contre le pouvoir Un mouvement flambant neuf Et notamment par sa « structure, sans véritable organigramme » qui, selon Le Monde Afrique, « rend ce mouvement plus difficilement contrôlable. » C'est peut-être d'ailleurs ce que lui reproche le ministre Gilbert Bawara, selon qui « ce ne sont pas des manifestations » et qui assure qu'il y a toujours « de nombreuses activités politiques » dans le pays mais « dans un esprit de respect de cadre réglementaire. » Avec des campagnes sur les réseaux sociaux, des vidéos sur différentes plateformes, et un ton plus radical, le mouvement réussit à faire ce que les partis ne faisaient plus : « mobiliser une jeunesse souvent désabusée par les acteurs politiques traditionnels, » écrit Le Monde Afrique. Ces derniers n'ont donc plus qu'à s'y faire et « tenter de trouver leur place. » Même point de vue pour Ici Lomé qui constate que cette révolution née sur le numérique est « venue prendre de court une opposition togolaise divisée, vivant au jour le jour, et dont chaque leader essaie de tirer la couverture de son côté. » Un opposant interrogé par Le Monde l'assure : « si nous convergeons vers le même objectif, alors c'est tant mieux, » et qu'importe qu' « ils [aient] leur stratégie et nous la nôtre. » Mais Ici Lomé n'y croit pas vraiment : « pour l'opposition traditionnelle, (…) il n'est pas question que des opposants invisibles, ‘non professionnels,' (…) puissent lui damer le pion, en réussissant à mobiliser. » Il faudra bien pourtant, grimace le journal, que chacun y mette du sien pour, enfin, « remettre chacun et chaque institution à sa place, pour que le Togo renaisse pour de bon. » À lire aussiManifestations contre Faure Ganssingbé au Togo: le gouvernement lance des mandats d'arrêt contre le M66
Les Togolais sont appelés à renouveler leurs 1527 conseillers municipaux ce jeudi, mais l'attention est surtout concentrée sur le désormais nommé « Mouvement du 6-Juin » : il a appelé à la mobilisation, aujourd'hui et demain. C'est le dernier rendez-vous en date, rappelle Le Monde Afrique, d'un « mouvement de contestation qui, depuis début juin, défie le pouvoir de Faure Gnassingbé, » articulé autour du rappeur Aamron devenu « la figure de proue » de ce phénomène après avoir appelé à manifester puis avoir été interpellé dans la foulée. Désormais, détaille le Monde, les manifestants « dénoncent pêle-mêle l'arrestation du rappeur et d'autres personnalités critiques, la hausse du coût de la vie (en particulier de l'électricité), et surtout, la récente réforme constitutionnelle » grâce à laquelle Faure Gnassingbé, en lieu et place de président de la République, est devenu président du conseil… « la nouvelle plus haute fonction exécutive du pays, cette fois sans limite de mandats. » Cela fait vingt ans que le chef d'État est au pouvoir – et avant cela, son père, Gnassingbé Eyadema, a dirigé le Togo de 1967 à 2005. Le pays est donc « ballotté depuis presque 60 ans par un régime de terreur de père en fils, » calcule Ici Lomé, selon qui « les différents scrutins, présidentiels, législatifs et autres, ne furent jusqu'à ce jour que de pures mascarades. » Quant aux partis d'opposition, nés dans les années 1990, poursuit le titre, ils « n'ont connu que répressions faites d'arrestations arbitraires (…) dont les auteurs (…) courent toujours. » Pour le site togolais, il n'y a donc pas d'autre issue : « il faut une révolution de grande envergure, comme des jeunes Togolais nous en donnent l'exemple aujourd'hui, pour faire partir ce régime. » À lire aussiManifestations contre Faure Gnassingbé au Togo: le gouvernement crie à la «tentative de déstabilisation» Il faut dire que les précédentes journées de mobilisation ont été marquées par des violences et les autorités se sont montrées, « impitoyables, » « comme à leur habitude, » estime Le Monde : « la société civile, rappelle le titre, accuse [les forces de l'ordre] d'être responsables de la mort de sept personnes » alors que les autorités évoquent « cinq décès "par noyade" et dénonce[nt] des "tentatives de récupération malheureuses." » Ici Lomé, de son côté, va même jusqu'à parler d'une répression « sauvage. » On craint donc, dans le pays, que les manifestations des deux prochains jours ne soient encore entachées de sang. Togo Presse note que « le gouvernement, dans ses sorties, rassure la population » avec « des dispositions prises pour garantir des élections paisibles », par exemple la fermeture des frontières. Quant au ministre de la Fonction publique Gilbert Bawara, démissionnaire, mais en charge des Affaires courantes, il défend le gouvernement de toute action disproportionnée dans les colonnes du Point Afrique : « dans un État de droit, l'ordre public doit être préservé, » martèle-t-il, et il faut « préserver absolument cet acquis, » avec « rigueur et fermeté, » tout autant qu'avec « discernement et responsabilité. » Et le ministre appelle chacun à « respecte[r] les règle du jeu démocratique. » À lire aussiTogo: au moins trois morts et des dizaines de blessés dans les manifestations contre le pouvoir Un mouvement flambant neuf Et notamment par sa « structure, sans véritable organigramme » qui, selon Le Monde Afrique, « rend ce mouvement plus difficilement contrôlable. » C'est peut-être d'ailleurs ce que lui reproche le ministre Gilbert Bawara, selon qui « ce ne sont pas des manifestations » et qui assure qu'il y a toujours « de nombreuses activités politiques » dans le pays mais « dans un esprit de respect de cadre réglementaire. » Avec des campagnes sur les réseaux sociaux, des vidéos sur différentes plateformes, et un ton plus radical, le mouvement réussit à faire ce que les partis ne faisaient plus : « mobiliser une jeunesse souvent désabusée par les acteurs politiques traditionnels, » écrit Le Monde Afrique. Ces derniers n'ont donc plus qu'à s'y faire et « tenter de trouver leur place. » Même point de vue pour Ici Lomé qui constate que cette révolution née sur le numérique est « venue prendre de court une opposition togolaise divisée, vivant au jour le jour, et dont chaque leader essaie de tirer la couverture de son côté. » Un opposant interrogé par Le Monde l'assure : « si nous convergeons vers le même objectif, alors c'est tant mieux, » et qu'importe qu' « ils [aient] leur stratégie et nous la nôtre. » Mais Ici Lomé n'y croit pas vraiment : « pour l'opposition traditionnelle, (…) il n'est pas question que des opposants invisibles, ‘non professionnels,' (…) puissent lui damer le pion, en réussissant à mobiliser. » Il faudra bien pourtant, grimace le journal, que chacun y mette du sien pour, enfin, « remettre chacun et chaque institution à sa place, pour que le Togo renaisse pour de bon. » À lire aussiManifestations contre Faure Ganssingbé au Togo: le gouvernement lance des mandats d'arrêt contre le M66
Episode 158: The Story of Togo & Balto (a special episode for Zack, Owen, and Gabriel) Become a Patreon Member! Learn more about our partnership with YWAM PUBLISHING! Want a birthday shout-out? Join the club!
Ces dernières semaines, la politique de Donald Trump a eu des impacts majeurs sur la RDC, tant sur le plan économie avec la fin de l'USAID - Kinshasa était le premier pays francophone d'Afrique récipiendaire de cette aide – que sur le plan sécuritaire et politique. La République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda ont signé un accord de paix avec l'ambition déclarée de mettre fin au conflit dans l'Est de la RDC, le 27 juin à Washington, sous l'égide des États-Unis. Une diplomatie très active donc. Et sa première actrice sur le terrain à Kinshasa, l'ambassadrice Lucy Tamlyn, fait le point sur ces sujets avec Charlotte Cosset. RFI : Les États-Unis ont démantelé l'USAID. La fin de cette aide est un coup dur pour les ONG. À quoi va ressembler désormais l'aide américaine en RDC ? L'important, c'est que l'assistance américaine ne s'arrête pas. Elle est maintenant coordonnée par le département d'État. Et cette transition structurelle permet une meilleure cohérence entre la diplomatie et l'assistance. Évidemment, sur le terrain, il y avait des ajustements, mais nos programmes de santé et de réponse aux urgences se poursuivent. Ce sont des domaines prioritaires dans notre engagement bilatéral et nous restons le plus grand bailleur en RDC. Est-ce que vous sauriez, après ces réajustements, nous dire à combien s'élève l'aide américaine ? Ce que je peux dire, c'est que les États-Unis restent engagés à soutenir la santé, y compris la réponse pour les personnes vivant avec le VIH-Sida et les réponses d'urgence là où les besoins sont les plus urgents et où se trouvent les plus vulnérables. Je ne peux pas donner un chiffre exact, évidemment, c'est moins qu'auparavant et nous sommes aussi en train de faire une évaluation de l'assistance. Donc, ça va être plus clair dans les mois à venir, quelles seront les formes et les montants de l'assistance. Fin juin toujours, madame l'Ambassadrice, s'est tenue en Angola, le sommet États-Unis Afrique. Que faut-il en retenir ? C'était une grande réussite. Presque 2,5 milliards de dollars en nouveaux accords et engagements qui ont été annoncés. C'est aussi une opportunité pour expliquer que nous donnons la priorité aux échanges commerciaux plutôt qu'à l'aide et tout en encourageant les partenariats pour stimuler une croissance fondée sur l'investissement. Je peux ajouter aussi qu'il y a eu la réunion de cinq présidents africains à la Maison Blanche. Cet événement se veut le premier d'une série de discussions continues que nous voulons entamer avec les dirigeants africains. Et cela veut dire que c'est vraiment le début d'un engagement beaucoup plus étroit qu'auparavant. Parmi les questions abordées en Angola, celle du corridor de Lobito, qui est stratégique pour la RDC, cette voie ferrée qui relie déjà en partie la façade maritime de l'Angola aux zones minières en RDC de Kolwezi. Quels sont les engagements financiers américains dans ce domaine et dans quel but ? Les États-Unis investissent dans ce corridor parce qu'il représente un levier de transformation économique. Bien sûr, il y a des bénéfices pour nos deux pays. Le projet de Lobito, concrètement, on en est où côté congolais ? Nous sommes en pleine discussion avec le gouvernement pour connaître leurs intentions. Il s'agit de trouver une forme de concession qui va être attirante pour le secteur privé. Parce que ce qui est différent par rapport à ce corridor, c'est que le financement va directement au secteur privé. Ce n'est pas de gouvernement à gouvernement. On serait plutôt sur l'option de la réhabilitation de la voie existante ou sur le projet de construction du nouveau tronçon qui avait été envisagé ? À ce stade, c'est plutôt la réhabilitation du tronçon existant. Nous sommes vraiment dans les étapes préliminaires, mais nous sommes très étroitement liés avec l'Union européenne. L'Union européenne est très impliquée. Lobito, c'est un projet très stratégique. Il doit permettre l'exportation des minerais des régions enclavées de la RDC vers l'Angola. Et en avril, par ailleurs, lors de la visite de Massad Boulos à Kinshasa, le président Tshisekedi a annoncé l'existence d'un accord minier entre la RDC et les États-Unis. Est-ce que vous pouvez nous en dire un peu plus ? Quels sont les minerais congolais les plus stratégiques pour le marché américain ? Il y en a plusieurs, mais évidemment, le cobalt et le cuivre sont importants pour toutes les économies industrialisées. On parle du lithium également ? Oui le lithium aussi. Ce que je peux dire par rapport à cet accord minier, c'est plutôt qu'il s'agit de plusieurs accords. Ce sont des accords qui visent à améliorer le climat des affaires. Parce que même s'il y a une ouverture claire pour les sociétés occidentales, l'expérience ici montre qu'il y avait des obstacles pour l'investissement. Donc, ce que nous cherchons à faire, c'est d'améliorer le climat des affaires en travaillant étroitement avec le gouvernement, avec les institutions. Et ça va donner le feu vert pour les sociétés américaines de venir ici investir. Donald Trump a obtenu un premier accord entre Kinshasa et Kigali pour faire cesser le conflit à l'Est. C'est sans précédent. Comment la diplomatie américaine est-elle parvenue à un tel résultat ? Après trente ans de conflit, il est vraiment temps que la souffrance cesse et que la souveraineté et l'intégrité territoriale congolaise soient respectées. Donc, voici pourquoi les États-Unis ont insisté pour que cet accord de paix vienne avec un calendrier, un plan et des témoins. Le processus de mise en œuvre a bel et bien commencé avec la création d'un mécanisme de sécurité conjoint entre la RDC et le Rwanda. Et ce mécanisme coordonne la neutralisation des FDLR et le retrait progressif des troupes rwandaises. C'est un accord réaliste fondé sur des engagements réciproques. Et je voulais aussi dire que cet accord est différent, car nous avons clairement dit qu'il y aurait des conséquences si les engagements ne sont pas respectés. Cet accord a aussi de nouveaux aspects. En plus des engagements sécuritaires, il fournit l'incitation d'un cadre d'intégration économique régionale. Vous parlez de conséquences. Quel type de conséquences ? Les conséquences peuvent être les mesures punitives, par exemple les sanctions ou les autres leviers diplomatiques. Un exemple des aspects positifs des propos incitatifs : il y a un projet hydroélectrique de 760 millions de dollars qui reliera le Burundi, le Rwanda et la RDC. C'est un projet qui existe depuis longtemps, pas encore mis en œuvre, qui a juste besoin de la paix pour démarrer. Et donc ça, c'est un projet sur lequel vous êtes prêt à investir, si l'accord tient ? Une société américaine fait partie de ce projet, il y a plusieurs pays, plusieurs sociétés. C'est un projet assez complexe qui lie les trois pays. Et ça dépend du mécanisme qui va (met en oeuvre) l'accord des trois pays. (C'est un exemple) de l'importance d'arriver à une paix durable qui va permettre la confiance nécessaire entre ces trois pays, et donner le feu vert pour que ce projet puisse commencer. Vous l'avez dit, le suivi de la mise en œuvre de cet accord va être crucial. Jusqu'où les États-Unis sont prêts à s'impliquer dans ce suivi ? En fait, les États-Unis font partie, comme observateurs, du mécanisme de coordination sécuritaire et aussi du mécanisme de suivi. Et ce comité, qui inclut aussi le Qatar et Togo, assure un accompagnement constant de la mise en œuvre. Dans le cadre de cet accord. Une nouvelle rencontre est prévue prochainement à Washington avec les trois présidents. Que faut-il en attendre ? Le président Trump a hâte de (recevoir) ces deux présidents à Washington pour signer un accord de paix entre président Kagamé et président Tshisekedi. L'objet de cette nouvelle rencontre, c'est de signer l'accord au niveau présidentiel, mais aussi d'ouvrir la possibilité pour ce cadre d'engagement économique et (d'inaugurer) un avenir plus prospère pour la région et pour les deux pays.
Em Angola, faz-se o balanço dos protestos contra o aumento do preço dos combustíveis. Os organizadores acusam a polícia de violência.Comandantes da Polícia da República de Moçambique detidos por assalto em Nampula. Muhammadu Buhari: Entre elogios e críticas, o legado de um ex-Presidente.
Ever hear of the Tchamba?Did you know there is a group of ancestral souls who oversee and protect descendants of enslaved Africans in America?Did you know African Americans are direct descendants of these spirits with tribal connections making them not only a part of the African spiritual continuum, but central to it?“The Tchamba spirits are the ghosts of forgotten ancestors— torn from their homelands, stripped of their names, languages, gods, and rituals, yet whose spiritual presence still lingers. Because of the trauma, resilience, and spiritual depth of their journey and the lessons it has to teach, they are calling out to be remembered, honored, and restored in our hearts.This group of foundational black Americans, specifically derived from waves of African enslavement and exportation to the Americas —known as the New World— during the rise of patriarchy in pre-Greco-Roman Europe and Alkebulan now known as “Africa” —were direct descendants of the Middle Passage, and are not disconnected or lost, but carry in their veins Tchamba blood that remembers and deems them sacred.Three Important Points about the Tchamba:#1 - The Tchamba ancestors are crying out to be seen, not as property or history, but as powerful spirits worthy of the reverence and honor that facilitates AfAm reclamation of their stolen lineage. Veneration of Tchamba is not about dwelling on pain but transforming it into spiritual power and ancestral reconnection.#2 - This is being done in present day Togo, Benin, Burkina Faso and Ghana where Tchama spirits were enslaved and sold into slavery by African lineages often within the same ethnic groups. The Tchamba are venerated, acknowledged, and appeased for reconnection with and healing of unacknowledged ancestors who suffered in bondage.#3 - Restoring spiritual balance and generational healing begins by acknowledging the historical trauma of slavery that is embedded not just in the physical world, but in the spiritual realm. This breaks the spiritual taboos that caused AfAms to forget and deny the ancestors, the very support we need to empower true liberation.For details read Mama Zogbé's book Mami Wata: Africa's Ancient God/dess Unveiled, Vol I. Or hit the link to audio to listen. Get full access to MDT Academy Newsletter at mamadramatrauma.substack.com/subscribe
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
Y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal ? Cette question est posée par plusieurs journaux sénégalais, et notamment par Dakar Actu, qui précise : « Sonko hausse le ton sur Diomaye ». « Lors d'une réunion du Pastef, hier, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye, évoquant une situation de plus en plus tendue dans les hautes sphères du pouvoir », poursuit Dakar Actu. « Alors que ses détracteurs demandent sa démission du gouvernement, le Premier ministre a profité de l'installation du conseil national du parti Pastef, pour mettre les choses au clair » annonce de son côté Le Soleil. « À travers une déclaration ferme et sans équivoque, il a réaffirmé sa légitimité à la tête du gouvernement et son engagement dans l'exercice du pouvoir », déclarant notamment : « je ne démissionnerai pas, je n'irai nulle part ». Sénégo, de son côté, précise que « le Premier ministre a profité de l'installation officielle du Conseil national du parti Pastef, pour critiquer la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye, face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un problème d'autorité ». Médias et démocratie Le Sénégal, où un chroniqueur de télévision, Badara Gadiaga, a été placé en garde à vue, accusé de « discours contraire aux bonnes mœurs ». Et l'on va reparler d'Ousmane Sonko. La garde à vue de Badara Gadiaga n'est pas passée inaperçue, aux yeux d'Afrique.com qui fustige « la dérive répressive d'un pouvoir qui s'annonçait révolutionnaire ». « Le journalisme d'enquête et les médias indépendants, autrefois considérés comme un pilier de la démocratie sénégalaise, subissent de plein fouet cette régression », accuse Afrik.com qui énumère : « des arrestations arbitraires, des interrogatoires à répétition, des menaces à peine voilées contre des organes de presse ou des journalistes connus pour leur indépendance : tout semble indiquer une volonté de verrouiller l'espace médiatique ». Et ce n'est pas tout, poursuit Afrik.com. « Ousmane Sonko qui fut un tribun de la liberté, n'hésite plus à dénoncer publiquement ceux qui s'opposent à lui comme étant des « saboteurs », « des ennemis de la nation » voire « des reliquats de l'ancien régime ». Afrik.com signe un éditorial sans concession, et questionne encore « ce revirement soulève une question fondamentale : Ousmane Sonko croyait-il réellement aux principes démocratiques qu'il proclamait, ou les utilisait-il uniquement comme des leviers pour accéder au pouvoir ? » Répression et interrogations au Togo… C'est à la Une d'Afrique XXI, qui titre : « Derrière la répression, un clan de plus en plus divisé » . « Depuis début juin » rappelle le site d'information, « des manifestations spontanées ont éclaté pour demander la libération du rappeur Aamron, dénoncer la gouvernance du pays et obtenir le départ de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005 ». Faure Gnassingbé qui le 3 mai dernier est devenu officiellement le président du Conseil, « sans limite de mandat ». « Le verre était plein », commente Kodjo, conducteur de taxi-moto interrogé par Afrique XXI. Et le journal en ligne précise que, « même au sein du parti présidentiel, l'Union pour la République, certains aspects du changement de régime ont eu du mal à passer ». « La tension a surtout pris de l'ampleur après la sortie de Marguerite Gnakadè, l'ex ministre de la Défense, qui a publié en mai dernier, une tribune feutrée mais avec un ton offensif », explique Afrique XXI. Dans cette tribune, elle estimait notamment que « trop souvent, le peuple togolais est réduit au silence et qu'il était temps que sa volonté soit respectée ». Mais pour l'heure, Faure Gnassingbé résiste. Afrique XXI le compare « à un sphinx qui a toujours su renaître de ses cendres après chaque poussée de fièvre politique, soutenu par les forces de l'ordre qui lui ont de nouveau fait allégeance le 3 mai » s'appuyant aussi sur « les divisions entre opposants ou membres de la société civile. Tandis qu'il reste bien souvent épargné par les condamnations à l'international, en premier lieu de la France, qui a toujours soutenu la famille Gnassingbé », conclut Afrique XXI.
Confrontés quotidiennement à la démocratisation de l'intelligence artificielle générative, et à la régression des moyens de modération employés par les grandes plateformes numériques, la communauté des fact-checkers tente de trouver la parade. Rassemblés fin juin 2025 à Rio de Janeiro au Brésil, dans le cadre du 12ème Global fact summit, ces journalistes venus du monde entier ont partagé leurs expériences et esquissé des solutions. Les attaques contre les fact-checkers accusés de censure quand ils tentent de contrecarrer la propagation des fausses nouvelles, la faiblesse des moyens employés par les grandes plateformes pour modérer les contenus trompeurs, haineux et dangereux, la difficulté que pose la démocratisation des IA génératives, tout cela était au cœur des discussions de Rio dans le cadre du 12è sommet Global fact. Notre invité Harouna Drabo y était. Il est journaliste, en projet de recherche à l'Institut français de Géopolitique, spécialiste des stratégies d'influence informationnelles en Afrique francophone. « Contrairement à ce que disent les oligarques de la Silicon Valley, la lutte contre la désinformation n'est pas une menace contre la liberté d'expression. Par contre, ce qui menace la démocratie, c'est le fait que l'on ne travaille pas à prendre soin de nos espaces communs d'information. Il faut répéter ce message-clé à l'adresse des plateformes numériques. Elles doivent prendre leurs responsabilités face à l'humanité. » « Les plateformes numériques aujourd'hui démantèlent nos sociétés, remettent en cause nos modèles de coexistence. C'est un cancer pour le corps social. » À lire aussiLe récit anti(néo)colonial au cœur de la stratégie d'influence russe La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI: Togo: la désinformation ajoute à la confusion avant l'élection. La chronique de Quang Pham des Obs de France 24: une campagne de désinformation avec usurpation d'identité vise la France et l'Arménie.
Confrontés quotidiennement à la démocratisation de l'intelligence artificielle générative, et à la régression des moyens de modération employés par les grandes plateformes numériques, la communauté des fact-checkers tente de trouver la parade. Rassemblés fin juin 2025 à Rio de Janeiro au Brésil, dans le cadre du 12ème Global fact summit, ces journalistes venus du monde entier ont partagé leurs expériences et esquissé des solutions. Les attaques contre les fact-checkers accusés de censure quand ils tentent de contrecarrer la propagation des fausses nouvelles, la faiblesse des moyens employés par les grandes plateformes pour modérer les contenus trompeurs, haineux et dangereux, la difficulté que pose la démocratisation des IA génératives, tout cela était au cœur des discussions de Rio dans le cadre du 12è sommet Global fact. Notre invité Harouna Drabo y était. Il est journaliste, en projet de recherche à l'Institut français de Géopolitique, spécialiste des stratégies d'influence informationnelles en Afrique francophone. « Contrairement à ce que disent les oligarques de la Silicon Valley, la lutte contre la désinformation n'est pas une menace contre la liberté d'expression. Par contre, ce qui menace la démocratie, c'est le fait que l'on ne travaille pas à prendre soin de nos espaces communs d'information. Il faut répéter ce message-clé à l'adresse des plateformes numériques. Elles doivent prendre leurs responsabilités face à l'humanité. » « Les plateformes numériques aujourd'hui démantèlent nos sociétés, remettent en cause nos modèles de coexistence. C'est un cancer pour le corps social. » À lire aussiLe récit anti(néo)colonial au cœur de la stratégie d'influence russe La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI: Togo: la désinformation ajoute à la confusion avant l'élection. La chronique de Quang Pham des Obs de France 24: une campagne de désinformation avec usurpation d'identité vise la France et l'Arménie.
Au Togo, les tensions sont encore vives à moins de dix jours des élections municipales. Le pays a été marqué fin juin par des manifestations d'ampleur contre le régime de Faure Gnassingbé. Selon plusieurs partis d'opposition et des organisations de la société civile, la répression de ce mouvement de contestation a fait au moins sept morts et des dizaines de blessés. Sur les réseaux sociaux, de fausses déclarations de personnalités politiques africaines et européennes ajoutent à la confusion. Si vous suivez de près l'actualité au Togo, vous avez probablement vu passer cette déclaration attribuée, à tort, au capitaine burkinabè Ibrahim Traoré. Dans une vidéo mensongère devenue virale ces derniers jours, on pense l'entendre apporter son soutien aux mouvements de contestation au Togo. Cet audio, long d'une minute et dix-huit secondes, a été écouté plus de 3 millions de fois sur TikTok et Facebook. Les comptes qui partagent cet extrait évoquent un « discours historique ». Une déclaration fabriquée de toutes pièces En réalité, le capitaine Ibrahim Traoré n'a jamais prononcé ces mots. L'extrait en question a été entièrement généré par un outil d'intelligence artificielle. Plusieurs internautes burkinabés signalent que le timbre de la voix d'Ibrahim Traoré est trop grave. Malgré tout, le résultat est assez bluffant, à tel point que les détecteurs d'IA que nous avons utilisés se trompent. Il s'agit là d'une nouvelle preuve que les outils de génération progressent plus vite que les outils de détection. Pour vérifier cet audio, nous avons d'abord cherché l'origine de cette prétendue déclaration. Sur les divers canaux officiels de communication du pouvoir burkinabè, ainsi que dans les médias locaux, ce discours est introuvable. En multipliant les recherches par mots clés, nous avons fini par retrouver le primo-diffuseur, le compte à l'origine de cette bande son. Il s'agit d'une chaîne YouTube, active depuis plus d'un mois. L'auteur précise qu'il est question d'un discours fictif, généré par intelligence artificielle, dans le but « de soutenir le peuple togolais ». Ce message d'avertissement a été volontairement ignoré par des comptes mal intentionnés. L'IA s'en mêle Ce discours artificiel d'Ibrahim Traoré n'est pas le seul à circuler à propos de la situation en cours au Togo. Avant lui, c'est la voix d'Emmanuel Macron qui avait été détournée. Cette opération de désinformation usurpait l'identité de RFI avec notre logo apposé sur cette fausse déclaration du président français. Plus récemment, l'image de la cheffe de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas, a également été manipulée. Dans une vidéo de huit secondes, on pense la voir mettre la pression sur le gouvernement togolais. Dans les faits, cette vidéo a été générée via l'outil d'intelligence artificielle de Google : Veo III. La durée, huit secondes, ainsi que le petit logo Veo en bas à droite de l'image le confirment. On remarque, de plus, plusieurs incohérences visuelles, comme les drapeaux du Togo et de l'Union européenne qui ne collent pas avec les originaux. Là encore, cette déclaration est introuvable sur les canaux de communication de l'UE et dans les médias, d'où l'importance de consulter des sources fiables.
Immer freitags frisch aus dem Podcast-Studio von Boyens Medien: der „Wochenblick“. Host Jörg Lotze und Maurice Dannenberg in „Studio 2“ schauen, unterstützt von den Reportern aus der Redaktion, auf die Themen, die Dithmarschen und die Dithmarscher bewegen. Diese Woche im Wochenblick-Podcast: Maurice Dannenberg und Katharina Witt nehmen wieder Platz am Mikrofon und berichten über spannende Geschichten aus der Region – mit dabei: Engagement, Sommerstimmung und summende Bienen. Reporterin Katharina Witt war in Hemme zu Besuch bei Hobby-Imker Björn Eggers. Zwischen Honigwaben und Bienenstöcken sprach sie mit ihm über die Faszination der Imkerei, die Bedeutung der Bienen für das Ökosystem. Außerdem haben wir mit Petra Großmann aus Lehe telefoniert. Sie engagiert sich im Verein Pour Vivre, der seit vielen Jahren Entwicklungsprojekte in Togo unterstützt. Im Gespräch berichtet sie von aktuellen Herausforderungen, Erfolgen vor Ort – und davon, wie Hilfe aus Dithmarschen direkt ankommt. Zum Abschluss geht es an den Heider Marktstrand: Dort haben wir mit Mitbetreiber Malte Wilstermann über die Halbzeitbilanz gesprochen. Wie lief der Auftakt der Sommersaison, welche Veranstaltungen stehen noch an – und was macht den Marktstrand in Heide so besonders?
Y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal ? Cette question est posée par plusieurs journaux sénégalais, et notamment par Dakar Actu, qui précise : « Sonko hausse le ton sur Diomaye ». « Lors d'une réunion du Pastef, hier, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye, évoquant une situation de plus en plus tendue dans les hautes sphères du pouvoir », poursuit Dakar Actu. « Alors que ses détracteurs demandent sa démission du gouvernement, le Premier ministre a profité de l'installation du conseil national du parti Pastef, pour mettre les choses au clair » annonce de son côté Le Soleil. « À travers une déclaration ferme et sans équivoque, il a réaffirmé sa légitimité à la tête du gouvernement et son engagement dans l'exercice du pouvoir », déclarant notamment : « je ne démissionnerai pas, je n'irai nulle part ». Sénégo, de son côté, précise que « le Premier ministre a profité de l'installation officielle du Conseil national du parti Pastef, pour critiquer la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye, face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un problème d'autorité ». Médias et démocratie Le Sénégal, où un chroniqueur de télévision, Badara Gadiaga, a été placé en garde à vue, accusé de « discours contraire aux bonnes mœurs ». Et l'on va reparler d'Ousmane Sonko. La garde à vue de Badara Gadiaga n'est pas passée inaperçue, aux yeux d'Afrique.com qui fustige « la dérive répressive d'un pouvoir qui s'annonçait révolutionnaire ». « Le journalisme d'enquête et les médias indépendants, autrefois considérés comme un pilier de la démocratie sénégalaise, subissent de plein fouet cette régression », accuse Afrik.com qui énumère : « des arrestations arbitraires, des interrogatoires à répétition, des menaces à peine voilées contre des organes de presse ou des journalistes connus pour leur indépendance : tout semble indiquer une volonté de verrouiller l'espace médiatique ». Et ce n'est pas tout, poursuit Afrik.com. « Ousmane Sonko qui fut un tribun de la liberté, n'hésite plus à dénoncer publiquement ceux qui s'opposent à lui comme étant des « saboteurs », « des ennemis de la nation » voire « des reliquats de l'ancien régime ». Afrik.com signe un éditorial sans concession, et questionne encore « ce revirement soulève une question fondamentale : Ousmane Sonko croyait-il réellement aux principes démocratiques qu'il proclamait, ou les utilisait-il uniquement comme des leviers pour accéder au pouvoir ? » Répression et interrogations au Togo… C'est à la Une d'Afrique XXI, qui titre : « Derrière la répression, un clan de plus en plus divisé » . « Depuis début juin » rappelle le site d'information, « des manifestations spontanées ont éclaté pour demander la libération du rappeur Aamron, dénoncer la gouvernance du pays et obtenir le départ de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005 ». Faure Gnassingbé qui le 3 mai dernier est devenu officiellement le président du Conseil, « sans limite de mandat ». « Le verre était plein », commente Kodjo, conducteur de taxi-moto interrogé par Afrique XXI. Et le journal en ligne précise que, « même au sein du parti présidentiel, l'Union pour la République, certains aspects du changement de régime ont eu du mal à passer ». « La tension a surtout pris de l'ampleur après la sortie de Marguerite Gnakadè, l'ex ministre de la Défense, qui a publié en mai dernier, une tribune feutrée mais avec un ton offensif », explique Afrique XXI. Dans cette tribune, elle estimait notamment que « trop souvent, le peuple togolais est réduit au silence et qu'il était temps que sa volonté soit respectée ». Mais pour l'heure, Faure Gnassingbé résiste. Afrique XXI le compare « à un sphinx qui a toujours su renaître de ses cendres après chaque poussée de fièvre politique, soutenu par les forces de l'ordre qui lui ont de nouveau fait allégeance le 3 mai » s'appuyant aussi sur « les divisions entre opposants ou membres de la société civile. Tandis qu'il reste bien souvent épargné par les condamnations à l'international, en premier lieu de la France, qui a toujours soutenu la famille Gnassingbé », conclut Afrique XXI.
Au programme des nouveautés, Sethlo du Togo, une séquence Caraïbes avec Lulos & YSN, Ralph Thamar, Yaniss Odua et FNX, Saël et Mathieu White. Et hommage à Vinicius de Moraes, l'une des figures de la musique brésilienne décédée le 9 juillet 1980. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : MOLIY, Shenseea, Skillibeng, Silent Addy - Shake It To The Max (Fly) (Remix) Sethlo feat Toofan - Jamais gâté Mohombi - Mamadona Lulos & YSN - Viré Ralph Thamar - Ti grenn pèl Anthony B et Mystic Firm - Reggae free my mind Yaniss Odua et FNX - Like a champion Saël et Dj Gil ft Admiral T - Olaouyé Matieu White ft 1t1 & Théomaa - Baddest Ovah - Chaud gars Afrotonix - Oda yé IAM feat Femi Kuti - Remember Emmaa' feat chily - C'est mon BB Vanille ft Flavia Coelho - Balance Vinicius de Moraes - Samba da Benção Retrouvez notre playlist sur Deezer.
PJ talks to Raphael Olimpio on finding belonging in Cork through GAA, music, and the quiet power of decent people from Togher and Kerry. Raphael Olympio will be at The West Cork Literary Festival on Tuesday, July 15th at 5pm in Bantry Library. For info on this and other events see also www.westcorkliteraryfestival.ie Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Au programme des nouveautés, Sethlo du Togo, une séquence Caraïbes avec Lulos & YSN, Ralph Thamar, Yaniss Odua et FNX, Saël et Mathieu White. Et hommage à Vinicius de Moraes, l'une des figures de la musique brésilienne décédée le 9 juillet 1980. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : MOLIY, Shenseea, Skillibeng, Silent Addy - Shake It To The Max (Fly) (Remix) Sethlo feat Toofan - Jamais gâté Mohombi - Mamadona Lulos & YSN - Viré Ralph Thamar - Ti grenn pèl Anthony B et Mystic Firm - Reggae free my mind Yaniss Odua et FNX - Like a champion Saël et Dj Gil ft Admiral T - Olaouyé Matieu White ft 1t1 & Théomaa - Baddest Ovah - Chaud gars Afrotonix - Oda yé IAM feat Femi Kuti - Remember Emmaa' feat chily - C'est mon BB Vanille ft Flavia Coelho - Balance Vinicius de Moraes - Samba da Benção Retrouvez notre playlist sur Deezer.
Au programme du Pédalo : Pédalo spécial Togo aujourd'hui ! Le Togo connait une répression sanglante après une mobilisation de…
Gabón, Sudán, Sur Sudan, Azania, Togo, Alianza de los Estados del Sahel, Kenia, RDC, Costa de Marfil, Gambia, Camerún... ¿Cómo analizar los eventos socio-políticos? ¡Herramientas de análisis para la revolucion!Hoy es miércoles y toca #LALLAVE con un servidor Nsang Cristià Esimi Cruz a.k.a Okenve Nsue. .Escuchanos en nuestros canales de YouTube o Spotify : https://youtu.be/h9OOXWXH_UIEn el programa de hoy presentamos algunas herramientas de análisis como:- Las masas (el pueblo) son los creadores de la historia- El papel que juegan los individuos y líderes en cambiar sociedades - Materialismo dialéctico- El materialismo / materia es primaria- Análisis de clase social en la nación AfricanaOsagyefo Kwame Nkrumah afirma correctamente que "Todos los pueblos de ascendencia africana, ya sea que viven (o nacen) en (África), América del Norte o América del Sur, el Caribe, o en cualquier otra parte del mundo son africanos y pertenecen a la Nación Africana ". Como nación tenemos una historia de lucha por nuestra propia supervivencia y desarrollo, igual que otras naciones y pueblos. Esta historia incluye la lucha de clases, en su formas particulares, en África previa a la invasión y colonización. Sin embargo, desde la primera (árabe-islámica) y la segunda (europea-cristiana) de las principales invasiones de nuestra nacion luchamos no solo una lucha de clases, sino también una lucha como nación para sobrevivir y desarrollarnos contra la dominación que nos imponen las naciones imperialistas.Esta lucha de clase nacional, aunque difícil, es tanto necesaria como correcta considerando el nivel y la cantidad de subdesarrollo que nuestra nación ha sufrido resultante de la colonización de nuestra patria y la dispersión masiva de millones de personas a través de la experiencia devastadora y brutal de la esclavitud.Esta experiencia le ha dado a nuestra lucha un aspecto doble: nuestra lucha como nación para recuperar el control de nuestras vidas e historia para que podamos desarrollarnos en nuestros intereses, y nuestra lucha continua de clases para transformar nuestra nación en una nación libre y unificada bajo un sistema socio-político que beneficie al pueblo y no a las elites coloniales. Siempre debemos ver el mundo desde nuestros intereses como Nación africana con África siempre como punto de referente, y desde los intereses de los trabajadores, que luchan, son explotados y las masas oprimidas (o clases), cuya mano de obra construyó África, y ha producido la mayor parte de la riqueza del mundo europeo occidental.Nunca debemos de pretender dominar a ninguna otra nación, pero sí debemos de pretender llegar a ser tan potentes, como nación africana, que nadie nos vuelva a dominar. Nosotros también debemos organizarnos para asegurar que las masas de nuestra gente tengan el control de sus propias vidas, y que no haya capitalistas codiciosos, reaccionarios, burgueses, pequeños burgueses, ni neocolonialistas que exploten a las masas africanas. Los que trabajan y producen deben, y lo harán, recoger¡ los frutos de su trabajo!Como siempre con música :Grupo Molato de MbiniFistong BoyMista ORommy ft Teddy
Le rappeur togolais Aamron est au micro de France 24. Il avait été arrêté dans la nuit du 26 mai dernier à son domicile par une escouade de la gendarmerie, puis interné à l'hôpital psychiatrique de Zébé. Il a été libéré, samedi 21 juin. Son arrestation avait amorcé une série de manifestations citoyennes, sanctionnées par des dizaines d'interpellation à travers tout le pays et des cas de torture, selon un rapport publié par Amnesty International et la Fédération Internationale pour les Droits Humains.
Les Comores célèbrent ce dimanche 6 juillet le cinquantième anniversaire de leur indépendance. Parmi les nombreux défis auxquels restent confrontés les Comores, celui de l'accès aux soins : les financements gouvernementaux sont minimes, les hôpitaux manquent cruellement de médecins et de matériel, de sorte que les Comoriens qui le peuvent vont largement se faire soigner à l'étranger. M'Beni est à environ 75 km au nord-est de la capitale Moroni, sur l'île de Grande Comore. La très mauvaise route qui y mène est actuellement rénovée par une entreprise chinoise. L'hôpital compte sur ses propres forces pour tenter de répondre aux besoins des populations. De notre envoyé spécial de retour de M'Beni Avec 44 consultations et trois interventions chirurgicales : la journée du Dr Nizar Ahamada est bien remplie. Comme d'habitude. Les Comores, près d'un million d'habitants, ne comptent que deux urologues, deux chirurgiens pédiatriques, le second est arrivé il y a quelques mois, selon les chiffres du nouveau Syndicat national des médecins comoriens (Synamec), dont le Dr Nizar est également secrétaire général. Il note une amélioration, pour les ORL par exemple, mais tellement insuffisante. En cause, principalement, l'absence de formation et les salaires : « Au moment où on parle, l'hôpital de Hombo à Anjouan traverse ses problèmes avec six mois de salaire pour les contractuels non payés sur les gardes. Mais aussi, il y a un problème indiciaire parce que les salaires sont vraiment trop bas, donc ça n'encourage pas. Tout le monde travaille pour pouvoir subvenir à leurs besoins. Ce qui fait que certains médecins ou bien agents de la santé vont partir sur les pays voisins ou bien à l'île Mayotte pour travailler. C'est quelque chose qui est déplorable. » Aux Comores, ce sont les hôpitaux qui se financent principalement et qui se gèrent. Le directeur du centre médico-chirurgical de M'Beni, Abdourahim Mbaé, explique que 60% de son budget provient des soins, payants, de l'hôpital. Les bailleurs internationaux contribuent à environ 30% du budget de l'hôpital, le gouvernement : 10% seulement. Atteindre 100% d'autonomie en électricité Le matériel est un problème crucial. La diaspora de M'Beni en offre régulièrement à l'hôpital, mais les pannes sont fréquentes. Alors après avoir financé la formation d'un anesthésiste – il en manquait un – l'hôpital a financé celle d'un ingénieur bio-médical. Abdourahim Mbaé : « Nos appareils tombent en panne, on a des difficultés à les réparer et les réparations coûtent cher. Donc, on a eu l'idée de transformer le salaire en bourse et puis voilà. Il est formé, il a son atelier sur place, il est formé au Togo et il va réparer tous nos instruments de laboratoire, du bloc opératoire, de la radio, de l'imagerie médicale. Tout cela, c'est la formation qui va faire. » Les coupures d'électricité récurrentes peuvent avoir de lourdes conséquences. Là encore, le directeur Abdourahim Mbaé a pris les choses en main : « Pour contourner le délestage de la société nationale, on s'est doté par nous-mêmes des groupes électrogènes à nous, il y a aussi des panneaux solaires. Notre intention, c'est d'avoir à 100% une autonomie d'énergie 24 h sur 24. » Un ambitieux projet de Centre hospitalier universitaire national est en cours : la construction du CHU El-Maarouf à Moroni, la capitale, a commencé il y a huit ans. Le chantier accumule les retards, mais le projet suscite beaucoup d'espoirs. À lire aussiComores: 50 ans après l'indépendance, l'accès à l'eau s'est dégradé [2/4] À lire aussiComores: 50 ans après, sans Mayotte, une indépendance incomplète [1/4]
The Big Beautiful Bill has pass the senate and moved back to the house. Turns out there are some good things in it, espcially for American families having kids, buying a car and investing in real estate. Zohran Mamdani has clinched the Democratic nomination in NYC, and bagels are rolling with worry! The BBC is in a bit of hot water after Bob Vylan chanted DEATH DEATH TO THE IDF, which was incorrectly labelled as anti-semetic. Find out why. The Islamic Republic might be gearing up for internal conflict. The world is in a state of protest from Serbia to Hungry, to just about every country in Africa. AI might soon replace your doctor. Don't travel to the US with memes on your phone or you might get arrested, says the MSNBC, whom is totally telling the truth and not mainstreaming fake fear porn. God built the world in 7 days, but Meatball Rob built aligator alcatraz in 8. There are a bunch of other smaller reports, but I haven't eaten in 10 hours and this description is the only thing keeping me from dinner. Art: John Gurwinder Dew Executive Producer for MMO #176: Colin Schultz Associate Executive Producer for MMO #176: Serpent Fiat Fun Coupon Donators: Beer & Boobs R Susan A. Ethan Crawley Nail Lord of Gaylord Wiirdo Boosters: Due to node error I am omitting this week and will make good next week. Thank you for your support and understanding End of Show Song A Tribute to the Mommy Milker Offensive Podcast Show Program
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec - Mickael Correia de Médiapart nous présentera son reportage sur la canicule vécue sur une aire de gens de voyages - Vasile Damian sur les demandes/souhaits des ONG environnementales de Roumanie formulées au nouveau gouvernement - Pauline Gleize du service environnement de RFI nous parlera de la question de la protection des travailleurs face à la chaleur (y compris en Afrique). - Igor Strauss. Chronique ePOP / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Abubakar Sadiki de RDC pour son film De pâturages en déchets De pâturages en déchets • ePOP Network Chronique Clubs Rfi de Sébastien Bonijol : Cette semaine, l'actualité des clubs nous emmène au Bénin, au nord-ouest du pays plus précisément dans la ville de Ouaké à la frontière avec le Togo, située à 500 kilomètres de Cotonou, la capitale économique du pays. Les membres de ce club se sont lancés dans un projet ambitieux : celui de reboiser leur ville... Musiques diffusées pendant l'émission B.B King - Summer in the city Dj Pimp & Bejo - Tutti Frutti PLRFI.
Canadian journalist Nora Loreto reads the latest headlines for Tuesday, July 1, 2025.TRNN has partnered with Loreto to syndicate and share her daily news digest with our audience. Tune in every morning to the TRNN podcast feed to hear the latest important news stories from Canada and worldwide.Find more headlines from Nora at Sandy & Nora Talk Politics podcast feed.Help us continue producing radically independent news and in-depth analysis by following us and becoming a monthly sustainer.Sign up for our newsletterLike us on FacebookFollow us on TwitterDonate to support this podcast
World news in 7 minutes. Tuesday 1st July 2025.Today: Australia mushroom case. India fire. Kazakhstan ban. US ambush. Canada withdraws. Togo protests. DRC slavery. Europe heatwave. Georgia protests. UK Glastonbury police. France smoking ban. Norway bad lottery.Ask Me Anything - Send questions at send7.orgAsk Me Anything Christmas 2024 : https://www.spreaker.com/episode/ask-me-anything-2024--63465061Ask Me Anything Christmas 2023 : https://www.spreaker.com/episode/bonus-your-stories-ask-me-anything--58107490SEND7 is supported by our amazing listeners like you.Our supporters get access to the transcripts and vocabulary list written by us every day.Our supporters get access to an English worksheet made by us once per week.Our supporters get access to our weekly news quiz made by us once per week.We give 10% of our profit to Effective Altruism charities. You can become a supporter at send7.org/supportContact us at podcast@send7.org or send an audio message at speakpipe.com/send7Please leave a rating on Apple podcasts or Spotify.We don't use AI! Every word is written and recorded by us!Since 2020, SEND7 (Simple English News Daily in 7 minutes) has been telling the most important world news stories in intermediate English. Every day, listen to the most important stories from every part of the world in slow, clear English. Whether you are an intermediate learner trying to improve your advanced, technical and business English, or if you are a native speaker who just wants to hear a summary of world news as fast as possible, join Stephen Devincenzi and Juliet Martin every morning. Transcripts, vocabulary lists, worksheets and our weekly world news quiz are available for our amazing supporters at send7.org. Simple English News Daily is the perfect way to start your day, by practising your listening skills and understanding complicated daily news in a simple way. It is also highly valuable for IELTS and TOEFL students. Students, teachers, TEFL teachers, and people with English as a second language, tell us that they use SEND7 because they can learn English through hard topics, but simple grammar. We believe that the best way to improve your spoken English is to immerse yourself in real-life content, such as what our podcast provides. SEND7 covers all news including politics, business, natural events and human rights. Whether it is happening in Europe, Africa, Asia, the Americas or Oceania, you will hear it on SEND7, and you will understand it.Get your daily news and improve your English listening in the time it takes to make a coffee.For more information visit send7.org/contact or send an email to podcast@send7.org
The West Cork Literary Festival July 11th – 18th Raphael will be at Bantry Library on July 15th at 5pm Raphael fled Togo in West Africa with his family and came to Ireland when he was just 5 years old. He is now a musician and spoken word artist who works as an Occupational Therapist in Youth Integration.
At least seven people reportedly killed, and many others wounded during recent anti-government protests in Togo's capital Lome. The Togolese government denies the allegations.Who is Victoire Ingabire and why has the Rwandan government locked her up again? Plus, a look ahead to the Women's African Cup of Nations in MoroccoPresenter: Audrey Brown Producers: Blessing Aderogba in Lagos, Victor Sylver, Yvette Twagiramariya and Tom Kavanagh in London Senior Producer: Paul Bakibinga Technical Producer: Jonathan Greer Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi.
Musician, spoken-word artist and occupational therapist Raphael Olympio came to Ireland at the age of six from Togo. He had no cultural references, obviously, to Irish institutions such as the GAA. Raphael became friends with the son of the late great Kerry footballer, John Egan. John who was a garda in Cork city mentored Raphael. He was 'a helping hand' that allowed Raphael and his family become part of the community in Togher.
Attention, risque de passion ESM. Risque assumé, puisqu'il a les traits et les fondations intérieures de Meriem Chabani, le nouveau visage d'une architecture humaniste. Qu'est-ce qui fait qu'un logement, avec ou sans son p'tit balcon t'ouvre les bras ? Qu'est-ce qui fait qu'un bâtiment reflète la feuille de route d'une Nation ? Des questions d'urbanisme qui batifolent passionnément dans la tête de cette scientifique passée par l'École nationale supérieure d'architecture de Paris-Malaquais. Née dans une ville qui s'appelle Alger et qu'il faudra quitter au moment de la guerre civile, ayant grandi dans le 9.4 en région parisienne, elle a eu tout le loisir de se taper la tête contre le béton de nos HLM ou manquent cruellement le vert, la vie, le lien. Créatrice de l'agence New South, la Chabani (couverte de prix) souhaite réparer aussi ces villes du Sud abîmées par la présence coloniale. Donc pour suivre le GPS de sa main, je vous donne le Google map de son cœur : Birmanie, Togo, Éthiopie. Algérie, un jour peut-être. Programmation musicale de notre invitée : • Aya Nakamura Doudou • Gnawa Diffusion Ombre-elle.
Ever feel like your career path looks more like a game of pinball than a straight line? (Same.) In this episode, we chat with the amazing Kokui Adesokan about her squiggly journey from growing up in Togo to thriving in the U.S. aerospace and tech industries.Kokui opens up about the pivots, plot twists, and big leaps of faith that shaped her career—from studying chemical engineering to finding her groove in aerospace, and all the moments of “sure, I'll try that” in between.We dig into:How community college changed her lifeStumbling upon engineering through love of math - and how this applies to you!The power of saying yes (even when you're scared)And how giving back—through speaking, mentoring, and just showing up—can be the most fulfilling part of the journeyIf you're feeling stuck, burnt out, or unsure what comes next, this conversation will give you the pep talk and practical wisdom you didn't know you needed.Connect with Kokuihttps://www.kokuiadesokan.com/
On episode 86 of the VITAL HOOPS Podcast Fernando talks about the situation between Iran and the U.S, the situation in Congo and the upcoming revolts in Togo. The show ends with some basketball talk.Rise Up! Neo-Colonial Resistance in Togo with Dwayne Omowalehttps://www.youtube.com/live/-g3fJUsiois?si=AljvvXIXBN0B66wtVITAL HOOPS Podcast Ep. 26 I am My Ancestors Feat. Ekpe Udohhttps://youtu.be/3V2RusHd8NQ?si=P3oe8eQm8vL8MvZ0BESE SAKA AFRO VEGAN FESTIG - https://www.instagram.com/besesakafest/VITAL HOOPS:PayPal - https://www.paypal.me/fernandocardenasxbPatreon - https://www.patreon.com/vitalhoopsIG - https://www.instagram.com/vitalhoopspodcast/X - https://x.com/vitalhoopspod?s=21&t=85bjotFh3FNXUA1gF_Z7AAWeb - https://www.blackpowermedia.org/vital-hoopsEmail - vitalhoopspodcast@gmail.comYouTube - https://youtube.com/playlist?list=PLgK7KurzJEEYVyyaCM-mVzosBvvbzTFKF&si=nhtVA5yDy-AKMtfVSpotify - https://open.spotify.com/show/4ESezb6SHaWuVLvT63iHjs?si=LtISLrO8S7Gqv2wfn4d22QApple Podcasts - https://podcasts.apple.com/fr/podcast/vital-hoops/id1615829205VITAL HOOPS is 4 THE KULTURE#vitalhoops #vitalhoopspodcast #blackpowermedia #blackpowermediareloaded #340ms #guerrillarepublikcuba #4thekulture #panafricanleagueumoja #liguepanafricaineumoja #diasporarockers#internationalxb #panafricanism #basketball #hiphop #vegan #afrovegan #healthandwellness #holistichealth #riseup#besesakaafroveganfest #afrocuban #africa #africanliberation
/Summary节目来的太晚了,先跟大家道歉,后面会有密集更新的。本期节目很特别,和好朋友《安全出口》的老段,约了一场播客制作人之间的坦诚局,能说但是没有全说,戳破但是没有全破,懂播客的你,一定会喜欢哒!如果你不喜欢,那一定因为,你不懂播客....../Show Note02:05 创作的喜悦与困惑:探索播客的边界与可能性04:36 突破播客创作瓶颈:如何保持听众的关注与参与度?09:16 互相赋能的播客圈:让大家共同受益的交易13:54 探索播客圈的盈利模式:粉丝经济与播客生态的关系18:33 播客世界的追求与困惑:名利、流量和真实的本性23:11 黑水专辑策划:午夜拍案惊奇案件揭秘,艾文与艾宝良的精彩合作!27:50 从十大奇案到现今的播客创作:一路坎坷却充满乐趣的游戏之旅32:28 讲故事的艺术:真实、传奇、亲近,离你足够近又不过远的感觉37:07 商业分析与故事讲述:播客节目中的差异与成功之道41:47 进阶与感恩:探索播客背后的意义与束缚46:25 播客的初心与流量逻辑的冲突:一个人格分裂的播客er的内心挣扎51:02 商业投资陷阱揭秘:流量、算法与成功的关键!/Staff主播 | 《安全出口》老段、燃烧吧罗叔 制作 | 《安全出口》老段、燃烧吧罗叔文案 | 燃烧吧罗叔后期 | FirePod莎莎日程 | 腿哥/BGM ListRuning Feat 罗叔/Contact新浪微博:@燃烧吧罗叔抖音:燃烧吧罗叔公众号:头号玩家toGo合作微信: luoyoucai
People First Podcast I Western and Central Africa I World Bank Group
In this episode of the People First Podcast, we explore the LEADS program, an innovative World Bank initiative reshaping project design and implementation. Listen to insights from Arianna Legovini, Director for Development Impact at the World Bank, William Brent, Chief Marketing Officer at Husk Power Systems, and specialists who share their experiences and collaborative efforts in sectors like energy, health, and education.Through these conversations, learn how LEADS is promoting learning across different sectors, using global evidence, and improving impact evaluation to achieve meaningful development results in Western and Central Africa.The People First podcast is available online, on Spotify, and on Apple Podcast. For more updates, follow us by subscribing, and don't forget to rate and comment on this episode.Sequences 00:00 Introduction02:13 Deep dive into the LEADS workshop in Togo with Arianna Legovini, Director for Development Impact at the World Bank03:32 Energy sector insights with William Brent from Husk Power Systems06:26 Importance of evidence, data, and cross-sector collaboration 09:21 Future directions and enhancing impact with AI tools11:19 ConclusionAbout People First PodcastPeople First Podcast provides a human angle to concrete development topics as they affect people in Western and Central Africa. It also features World Bank project and initiatives. Join us for a sustainable and inclusive development!About World Bank GroupThe World Bank Group is one of the world's largest sources of funding and knowledge for low-income countries. Its five institutions share a commitment to reducing poverty, increasing shared prosperity, and promoting sustainable development.
On attendait le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye. C'est finalement le Sierra-Léonais Julius Maada Bio qui a été choisi pour présider pendant un an la Cédéao, l'organisation sous-régionale de l'Afrique de l'Ouest. La décision a été prise dimanche, lors d'un sommet à Abuja, au Nigeria. Pourquoi ce choix ? Quelles seront les priorités de ce président africain qui, à la différence de beaucoup de ses pairs, a promis de ne pas se représenter pour un troisième mandat ? Le chercheur sénégalais Pape Ibrahima Kane est un spécialiste des questions régionales en Afrique. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : C'est le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye qui était fortement pressenti pour prendre la tête de la Cédéao au nom de l'alternance anglophone francophone. Mais finalement, c'est le Sierra-Léonais, Julius Maada Bio qui a été choisi. Pourquoi cette désignation surprise ? Bon, je sais que la Cédéao est dans une dynamique de négociation avec l'Alliance des États du Sahel, l'AES, un militaire parlant à des militaires, c'est peut-être une bonne méthode d'approche de la situation. D'autant plus qu'il y a beaucoup, beaucoup de méfiance entre la Cédéao et les États de l'AES. Ces éléments-là ont certainement dû jouer depuis un an. Les lignes commencent à bouger et il y a à peine dix jours qu'une réunion s'était tenue à Accra et qui avait réuni beaucoup, beaucoup d'acteurs, aussi bien des États de l'AES que des États de la Cédéao. Et les choses se sont très très très bien passées. Les lignes bougent. Rappelez-vous l'interview que le ministre des Affaires étrangères du Mali a récemment fait à une télévision togolaise. Mais l'approche était totalement différente de ce qu'il y avait il y a un an. Oui, dans cette interview, le ministre malien Abdoulaye Diop a déclaré que les trois États de l'AES entraient dans une phase d'apaisement et de réalisme avec la Cédéao. Il a appelé à la conclusion rapide d'un accord sur les questions commerciales et la libre circulation des personnes. Est-ce à dire que les trois États de l'AES veulent garder les avantages de la Cédéao tout en quittant l'organisation ? Tout à fait. Je pense que, avec la situation qui prévaut sur le terrain, notamment au plan sécuritaire et aussi au plan économique, les États de l'AES réalisent que les choses ne sont pas aussi faciles. Et je pense que la réunion qui s'est tenue à Bamako entre le président de la Commission et les ministres des Affaires étrangères a vraiment permis de déblayer le terrain. Et comme l'a dit le président Tinubu dans son discours, il pense que tôt ou tard, les trois pays reviendront dans la maison mère. Alors, vous l'avez dit, Julius Maada Bio est un ancien militaire putschiste qui s'est converti à la démocratie puisqu'il y a presque 30 ans, il a quitté volontairement le pouvoir, puis il a été élu deux fois démocratiquement et promet aujourd'hui de ne pas faire de troisièmes mandats. Est-ce à dire que sur les questions constitutionnelles, il sera vigilant avec les onze autres États membres de la Cédéao ? Il est obligé d'être vigilant parce qu'aujourd'hui, c'est lui qui est le gardien du respect de toutes les règles communautaires que la Cédéao s'est donnée en la matière. Vous avez rappelé qu'il a lui-même décidé de ne pas faire un troisième mandat et donc son rôle en tant que président en exercice, c'est de s'assurer au moins que la Cédéao respecte la démocratie et respecte les droits de l'homme. Et si, par exemple, Alassane Ouattara sollicite un quatrième mandat à la tête de la Côte d'Ivoire, est-ce que vous pensez que son homologue sierra-léonais fera une observation ? La communauté sera obligée de se prononcer sur cette question. Parce que si nous sommes là, c'est parce qu'un certain nombre de règles n'ont pas été respectées. C'est parce que beaucoup de présidents se sont donné la liberté de faire ce qu'ils voulaient. Maintenant, on va voir si Julius Maada Bio est le président de la Commission, M. Touré, vont être courageux pour mettre les dirigeants devant leurs responsabilités. Ce qui s'est passé au Togo, ces manipulations de constitution. Un président qui quitte le poste de président pour devenir Premier ministre, simplement pour rester au pouvoir, ce sont des choses qui ne doivent pas être acceptées dans une région. La Cédéao doit montrer cela aux dirigeants de manière à ce que le déficit de confiance qu'il y a entre la Cédéao et les populations, que ce déficit-là s'amenuise. Et si, contrairement à sa promesse initiale, le général Mamadi Doumbouya se présente à la future présidentielle en Guinée ? Est-ce que vous pensez que son voisin de Sierra Leone sortira le carton jaune ? Cette question ne relève pas seulement de la Cédéao, elle relève aussi de l'Union africaine. Si vous vous rappelez, il y a deux présidents militaires qui ont fait leur retour sur la scène africaine grâce à l'Union africaine. Il y a le président du Tchad qui a fait un coup d'État et qui maintenant est accueilli au sommet de l'UA. Vous avez le président du Gabon qui a fait un coup d'État et qui a été adoubé par ses pairs. Donc, ce n'est pas seulement une question de la Cédéao, c'est aussi une question de l'Union africaine. Il faut que l'on ferme définitivement l'ère des régimes militaires en refusant totalement cette civilisation des régimes militaires. Ce n'est pas dans l'intérêt des populations, ce n'est pas dans l'intérêt de l'Union africaine, ce n'est pas dans l'intérêt de la démocratie en Afrique. À lire aussiCédéao: les défis qui attendent le nouveau président Julius Maada Bio
Depuis l'automne 2024, le gouvernement canadien et celui du Québec ont imposé des restrictions sur l'embauche des travailleurs étrangers temporaires. Le traitement des demandes est désormais plus long, parfois ces demandes sont suspendues voire refusées. Face à cette situation, de nombreuses entreprises québécoises tirent la sonnette d'alarme. Reportage de Nafi Alibert. Le reportage met en lumière le parcours d'un patron d'usine, Nicolas, confronté à l'impossibilité de faire revenir un contremaître mexicain, faute de permis renouvelé à temps. Le Programme des travailleurs étrangers temporaires, essentiel pour pallier la pénurie de main-d'œuvre, est aujourd'hui plombé par des délais, des refus et une complexité croissante qui met en péril l'activité économique dans plusieurs secteurs. Avec plus de 115 000 postes vacants, les employeurs, notamment dans les régions éloignées, dépendent de plus en plus de ces travailleurs venus du Mexique, du Guatemala ou du Togo. La Fédération des chambres de commerce du Québec demande de faciliter leur embauche, elle dénonce un système à bout de souffle. Malgré les appels à augmenter le nombre de personnes autorisées à s'installer au Québec, le gouvernement québécois invoque une saturation des services publics et la crise du logement pour justifier ses restrictions. Dans ce climat incertain, des travailleurs comme Kabir, venu du Burkina Faso, nourrissent l'espoir de pouvoir rester au Québec. Les décisions politiques attendues à l'automne sont donc cruciales pour l'avenir de ces travailleurs et pour la survie de nombreuses entreprises québécoises. Des femmes emprisonnées au Mexique, victimes d'abus policiers et de torture Au Mexique, les femmes représentent une minorité oubliée dans les prisons : seulement 6% de la population carcérale, mais près de la moitié d'entre elles attendent encore leur jugement. C'est le cas de Keren Ordonez, arrêtée sans mandat en 2015 alors qu'elle venait d'accoucher. Elle s'est confiée à notre correspondante Marine Lebegue. Séquestrée, torturée, contrainte de signer de faux aveux, elle a passé plus de neuf ans en détention préventive avant d'être acquittée. Son histoire, marquée par les abus policiers, les lenteurs judiciaires et la discrimination, illustre les nombreuses défaillances du système pénal mexicain envers les femmes. Libérée en avril 2025, Keren tente aujourd'hui de reconstruire sa vie et de renouer avec sa fille qu'elle n'a pas vue grandir. Son avocate, dénonce une justice sexiste, où les mères sont jugées selon des stéréotypes de genre. Elle rappelle que le cas de Keren n'est pas isolé : de nombreuses femmes se retrouvent incarcérées pendant des années sans preuves ni procès équitable. Pour elles, la sortie de prison marque le début d'un autre combat, face à une société machiste et peu clémente envers les ex-détenues. Comment Donald Trump a minutieusement orchestré les frappes contre les sites nucléaires en Iran ? C'est à lire dans le New York Times : alors qu'il annonçait publiquement vouloir attendre « deux semaines » avant de décider d'un éventuel bombardement, les préparatifs militaires étaient déjà en cours. En coulisses, Donald Trump avait pris la décision de frapper, notamment sous l'influence de l'opération israélienne contre l'Iran qu'il admirait. Pendant que son entourage politique spéculait sur ses intentions — et que certains, comme l'ancien conseiller Stephen Bannon, espéraient le faire reculer —, le président poursuivait en réalité une stratégie visant à désorienter l'Iran et l'opinion publique. Pour tromper l'ennemi, deux groupes de bombardiers B-2 ont été envoyés : l'un vers le Pacifique pour servir de leurre visible sur les radars civils, l'autre, sans transpondeur, vers l'Iran, où ils ont effectué des frappes dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 juin 2025 sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Isfahan. Les électeurs MAGA soutiennent la politique étrangère de Donald Trump Pour le Washington Post, contrairement à ce qui était souvent dit, les électeurs MAGA n'étaient pas si divisés que cela sur la décision de frapper les installations nucléaires iraniennes. Les sondages montrent un soutien massif des sympathisants de Donald Trump à cette action militaire. Une majorité d'électeurs MAGA plaident en fait pour une politique étrangère fondée sur la force militaire et les valeurs américaines. Ils approuvent même des projets expansionnistes, comme récupérer le canal de Panama ou intégrer le Groenland aux États-Unis. Le Washington Post conclut que les voix isolationnistes au sein du mouvement MAGA incarnées par des figures comme l'ex-journaliste Tucker Carlson ou la députée Marjorie Taylor Greene, sont marginales. Cuba : une manifestation d'étudiants réprimée Le gouvernement cubain a réprimé une vague de protestations inédite menée par des étudiants contre la hausse des prix d'Internet. C'est à lire dans El Pais. Confrontées aux revendications sur la connexion à Internet et les tarifs imposés par l'opérateur étatique ETECSA, les autorités ont opté pour une intimidation silencieuse : arrestations, interrogatoires, menaces de représailles, et pressions sur les familles. Les étudiants dénoncent une répression discrète mais efficace qui les a obligés d'arrêter leur grève. Mais selon El Pais, ce mouvement étudiant, bien que réprimé, marque un tournant. Il a permis à de nombreux jeunes de faire l'expérience de la contestation et d'élargir leur mobilisation à des thèmes plus larges : fracture numérique, liberté d'expression, pauvreté généralisée, coupures d'électricité, et inefficacité du modèle économique Journal de la 1ère Le centre hospitalier de Marie-Galante tire la sonnette d'alarme face à la pénurie de médecins urgentistes.
In this edition of our arts24 music show, Jennifer Ben Brahim chats with Franco-Togolese singer Laura Prince. She's just released her second album "Adjoko", a voyage between memory, identity and authenticity. "Adjoko" is Laura's Togolese name, and symbolises her quest to reconnect with her African roots. She produced the record between France, Togo and Ouidah in Benin, a port town famous for its dark role in the slave trade. She also references her West African links to slavery through her name Laura Prince. It's an homage to author Mary Prince, the first Black woman to publish a book about her experiences as a slave.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
Oser écrire, ça s'apprend ! Comment se jeter dans le bain et démarrer une pratique d'écriture régulière pour rencontrer l'auteur qui sommeille en nous ? C'est l'objectif de ce journal d'écriture créative qui invite à démarrer une pratique d'écriture régulière en partant de son histoire, de ses goûts littéraires, de ses auteurs de référence, pour s'encourager à jeter ses propres mots sur le papier. Un chemin pour découvrir, sous une forme ludique qui évoque celle du cahier de vacances, l'auteur qui sommeille en chacun. Invitées : - Valérie Blondel, enseignante de français Langue étrangère (FLE) à l'Université de Bâle, en Suisse et formatrice dans des ateliers d'écriture - Valérie de Swetschin, rédactrice et formatrice, elle anime des ateliers d'écriture auprès des étudiants des universités de Paris 2 Panthéon-Assas et d'Évry. Elles publient Mon journal d'écriture créative, aux éditions Eyrolles. Et la chronique Ailleurs nous emmène à Prague en Tchéquie avec Lucie Nemečková, dramaturge pour la radio et le théâtre, journaliste, traductrice. Promotrice du théâtre francophone en République tchèque, initiatrice du festival l'Afrique en création qui s'étale sur plusieurs semaines / mois. Des rencontres autour des arts africains et caribéens. Avec cette semaine, du 25 au 28 juin 2025 : Si Václav Havel était Africain… Le festival se concentrera sur les inspirations afro-caribéennes à Prague et en République tchèque, en collaboration avec l'UNESCO – Prague, Ville de la littérature 2025… Il présentera la première mondiale de la pièce de Laura Sheilly Inangoma du Burundi sur Františka Plamínková, ainsi que la traduction et la lecture de la pièce du nouveau résident, Elemawusi Agbedjidji du Togo. Programmation musicale : Matrixée de Juste Shani.
Du rire, de la mauvaise foi, de la triche et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs tropicales. Du lundi 16 au jeudi 19 juin 2025, Couleurs tropicales vous propose d'écouter tous les jeux inédits des invités passés par nos studios au cours des dernières saisons. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Sam Fan Thomas - Neng Makassi Santrinos Raphaël feat Pakii Chenzu - Minuit Marioo - Tété Théodora - Kongolese sous BBL Barnaba feat Diamond Platnumz - Salama Alpha Blondy - N'importe quoi Niger and Marvin - Follow da leader Retrouvez notre playlist sur Deezer.
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Du rire, de la mauvaise foi, de la triche, et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs Tropicales. Du lundi 16 au jeudi 19 juin 2025, Couleurs Tropicales vous propose d'écouter tous les jeux inédits des invités passés par nos studios au cours des dernières saisons. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : The Weeknd feat Daft Punk - I feel it coming Takana Zion - Conakry Chakademus and pliers - Murder she wrote Gaz Mawete feat Chily - 500 Le Marquis de Maison Mère - 7ème leçon Saïan Supa Celebration - Étrangers Eric Virgal feat Katherine Parize - Pa fe mwen la penn Retrouvez notre playlist sur Deezer.
World news in 7 minutes. Tuesday 17th June 2025.Today: Nigeria attack. Israel-Iran war. Togo French media. Cambodia-Thai border. UK grooming. Europe heatwave. US Minnesota capture. Canada G7. Greenland Macron. Colombia surgery. US nappy fungi.SEND7 is supported by our amazing listeners like you.Our supporters get access to the transcripts and vocabulary list written by us every day.Our supporters get access to an English worksheet made by us once per week.Our supporters get access to our weekly news quiz made by us once per week.We give 10% of our profit to Effective Altruism charities. You can become a supporter at send7.org/supportContact us at podcast@send7.org or send an audio message at speakpipe.com/send7Please leave a rating on Apple podcasts or Spotify.We don't use AI! Every word is written and recorded by us!Since 2020, SEND7 (Simple English News Daily in 7 minutes) has been telling the most important world news stories in intermediate English. Every day, listen to the most important stories from every part of the world in slow, clear English. Whether you are an intermediate learner trying to improve your advanced, technical and business English, or if you are a native speaker who just wants to hear a summary of world news as fast as possible, join Stephen Devincenzi and Juliet Martin every morning. Transcripts, vocabulary lists, worksheets and our weekly world news quiz are available for our amazing supporters at send7.org. Simple English News Daily is the perfect way to start your day, by practising your listening skills and understanding complicated daily news in a simple way. It is also highly valuable for IELTS and TOEFL students. Students, teachers, TEFL teachers, and people with English as a second language, tell us that they use SEND7 because they can learn English through hard topics, but simple grammar. We believe that the best way to improve your spoken English is to immerse yourself in real-life content, such as what our podcast provides. SEND7 covers all news including politics, business, natural events and human rights. Whether it is happening in Europe, Africa, Asia, the Americas or Oceania, you will hear it on SEND7, and you will understand it.Get your daily news and improve your English listening in the time it takes to make a coffee.For more information visit send7.org/contact or send an email to podcast@send7.org
Ralycia, la voix montante de la scène togolaise, a sorti un double album afropop en juin, Sacrifices et Big think. Et l'actualité musicale. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Youssoupha - Dieu est grande Sensey feat Franglish - No stress Little Guerrier feat Poplane - Rastaman Takana Zion feat Sizzla - Energy Ralycia - Ata Ralycia feat Sethlo - Gbevou Ralycia - Validé Ralycia - Fever Sly and the Family stone - Family affair Sly and the Family stone - Love City Retrouvez notre playlist sur Deezer.
Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.
durée : 00:06:07 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Dans le nord du Togo, la population est sous la pression djihadiste dans la région des Savanes : crise humanitaire, avec des incursions terroristes venues des pays voisins comme le Burkina Faso, et tensions entre populations Peules déplacées et des agriculteurs.
Today on Too Opinionated we sit down with actor Paul Piaskowski! Paul can currently be seen playing Robert on Resident Alien. Paul is also known for his work on Togo, Family Law, Wild Cards, The Good Doctor, Yellowjackets, Nancy Drew, Big Sky, A Million Little Things, Supergirl, Arrow, IZombie and Supernatural! Make sure to check out all of our Great Resident Alien Interviews: https://youtube.com/playlist?list=PLbjgvaCt6qMFE7UM3htQDrU8txJ7EjfYo&si=Cp5iWRyY4MIwjHlk Want to watch: YouTube Meisterkhan Pod (Please Subscribe)
In 2023, Uganda voted in some of the world's harshest anti-homosexual legislation meaning that anybody engaging in certain same-sex acts can be sentenced to death. The World Bank decided to ban Uganda from receiving loans because of its legislation. The bank now says it's confident that new "mitigation measures" will allow it to roll out funding in such a way that does not harm or discriminate against LGBTQ+ community. We hear analysis.Also, why increasing numbers of people in Togo are thinking about leaving ECOWASAnd why is Nigeria importing cows from Denmark?Presenter: Audrey Brown Producers: Yvette Twagiramariya and Bella Hassan in London. Charles Gitonga in Nairobi and Blessing Aderogba in Lagos. Technical Producer: Kane Masaba-Morgan Senior Journalist: Karnie Sharp Editors: Andre Lombard and Alice Muthengi
After working in South Asia and living in Nepal for 18 years, Matthew Hanson has taken on leadership of The Voice of the Martyrs international ministry efforts on a new region: West and Central Africa (WACA). Listen as he tells how the persecution of Christians looks different in Africa from South Asia. The church in Africa is large; attacks on Christians there often affect a larger scale. Radical Islamist groups are the main persecutors in his region, and Matthew will share how it's affecting believers in his region, including the Democratic Republic of the Congo (DRC), Burkina Faso, Benin, Nigeria and Togo. Just in the DRC, there are 100+ active rebel groups. Church attacks and the displacement of followers of Christ has become sadly common. How does The Voice of the Martyrs respond to the intense persecution Christians in his region are facing? Listen as Matthew explains how he and his team evaluate needs and work through partnerships and local believers to help meet those needs and encourage believers. Matthew will share about the ministry of presence and how it plays such a key part of helping with trauma recovery for persecuted Christians. As Islamist groups move into places like northern Togo, a new addition to VOM's Global Prayer Map, Matthew and his team are hearing new reports of persecution and needs that VOM can help to meet. “The church does an incredible job of serving one another,” Matthew says, “it's a community of believers coming together, and it's really exciting.” Hear stories from Matthew about a woman's joy when she received a Bible provided by VOM, the holy moment when eight new believers from Muslim backgrounds took the step of baptism, and the story of a kidnapped Christian miraculously saved from a jihadist group. Please pray for persecuted Christians in West and Central Africa. The VOM App for your smartphone or tablet will help you pray daily for persecuted Christians throughout the year, as well as providing free access to e-books, audiobooks, video content and feature films. Download the VOM App for your iOS or Android device today.
It's Friday, June 6th, A.D. 2025. This is The Worldview in 5 Minutes heard on 140 radio stations and at www.TheWorldview.com. I'm Adam McManus. (Adam@TheWorldview.com) By Adam McManus Nigerian Muslims killed 9 Christians On June 1st and 2nd, Fulani Muslim herdsmen killed at least nine Christians in Plateau State, Nigeria, following the slaughter of 27 others days before, reports Morning Star News. The attacks took place in Bokkos County in predominantly Christian communities. Emmanuel Auta, a local resident, said, “Christians [are] being butchered.” Another resident, Lilian Madaki, said, “Among some of the Christian victims that I know is a 14-year-old Christian teenager who was shot and wounded and is currently being treated at a hospital.” And, in a text to Christian Daily International, Yakubu Kefas wrote, “The attackers, who we believe are Fulani terrorists, are carrying out indiscriminate shootings, killings, and large-scale arson, resulting in widespread terror, Christian casualties, and destruction of property.” Please pray for our suffering brothers and sisters in Christ in Plateau State, Nigeria. Proverbs 21:15 says, “When justice is done, it brings joy to the righteous but terror to evildoers.” Trump bans new visas for foreign nationals from 12 countries On June 4, President Donald Trump issued a full suspension on new visas for foreign nationals from a dozen countries applying for entry to the United States and a partial suspension on nationals from another seven, reports TheEpochTimes.com. The proclamation is set to go into effect at 12:01 a.m. ET on June 9. A full suspension will go into effect for nationals from Afghanistan, Burma, Chad, the Republic of the Congo, Equatorial Guinea, Eritrea, Haiti, Iran, Libya, Somalia, Sudan, and Yemen. A partial suspension will affect nationals from Burundi, Cuba, Laos, Sierra Leone, Togo, Turkmenistan, and Venezuela. This executive action comes after the Secretary of State and assistant to the president on Homeland Security filed a report on April 9 identifying countries with such deficient vetting and screening information that a full or partial suspension of entry for their nationals was warranted. ‘60 Minutes' anchor Scott Pelley ripped for "angry, unhinged" speech criticizing Trump Outraged critics blasted longtime CBS “60 Minutes” anchor Scott Pelley as “angry” and “unhinged” after he delivered a fear-baced tirade against President Donald Trump during a commencement speech in North Carolina, reports the New York Post. The CBS newscaster warned Wake Forest University's graduating class on May 19 that “insidious fear” has infiltrated schools, businesses, and homes across the nation — leaving America in a state of “peril.” Listen. PELLEY: “In this moment, our sacred rule of law is under attack. Journalism is under attack. Universities are under attack. Freedom of speech is under attack, and insidious fear is reaching through our schools, our businesses, our homes.” Scott Jennings, the conservative commentator on CNN, called Pelley out for such a ridiculous statement. JENNINGS: “On the free speech issue, I don't know what America Scott Pelley is living in. We have more speech now than ever. There is no problem with free speech in America. What we do have a problem with are people who don't speak truthfully, who are interested more in narratives than truth, and who are using what used to be journalism for activism. We do have a problem with that.” Jennings asserted that 60 Minutes on CBS is a platform that is more interested in a leftist narrative than the truth. JENNINGS: “If you've watched 60 Minutes for five minutes over the last several years, you would know it's not fair. This is one of the shows, this is one of the outlets that conservatives would point to most often to say: ‘This is the state of American journalism. It's only here to try to hurt Republicans, hurt conservatives, hurt Donald Trump.'” Painting of Jesus returned to prominent location at naval academy U.S. Transportation Secretary Sean Duffy has announced that he is restoring an historic painting of Jesus Christ to its place of prominence at the Merchant Marine Academy in Kings Point, New York, after it had been taken down by Biden-era officials, reports LifeSiteNews.com. Known as “Christ on the water,” the painting depicts Jesus walking on the water in stormy seas toward merchant seamen adrift in a lifeboat, presumably after being torpedoed. DUFFY: “We are moving Jesus out of the basement. To all the great midshipmen at the Merchant Marine Academy, you let me know how important this painting was to all of you. Now, we all know it was taken out of a place of prominence and put it down in the basement. “I worked with the Academy, and because this is such a historic painting, I'm announcing that through that work with the Academy, this painting is going to go from the basement back to its place of prominence. It'll be a moment to celebrate.” It was painted by Lieutenant Hunter Wood in 1944 as a tribute to all merchant seamen who had been torpedoed during World War II. Actor Kevin Sorbo champions U.S. Christian heritage in new movie In the new docudrama called The American Miracle, historian Paul Kengor, one of 14 historians, captures how pivotal the Declaration of Independence and the subsequent American Revolution was for the world. KENGOR: “America in 1776: This is a watershed event in history. If you were to pick something over the last 450 years, four and a half centuries or so, that truly transformed humanity and the full scope of history, it was 1776.” The American Miracle movie will hit 1,000 screens across America on three days only – Monday, June 9th, Tuesday, June 10th, and Wednesday, June 11th. The actor who plays Benjamin Franklin – Barry Stevens -- is spot on in terms of appearance and disposition alike. FRANKLIN: “We have been assured, sir, in the sacred writings, that except the Lord build the house, they labor in vain that build it.” Kevin Sorbo, who portrays the younger Thomas Jefferson, is an enthusiastic advocate that Americans know their own history. SORBO: “I think there's not enough history being taught in America anymore. I think people forget about what our Founding Fathers did for this country. Documentaries like this, I think, can help heal a nation, as corny as that sounds. I really do think it's important to learn history.” And Pastor Darnell Harper of New Covenant Temple, who screened The American Miracle before its June 9th national release, was amazed to witness God's divine intervention in America. HARPER: “I went to history class. I did not learn that God was in the middle of everything that was going on with the birth of our nation, the Constitution, and it just showed the handiwork of God and how God was establishing the United States of America.” Acts 17:26 says, “From one man he made all the nations, that they should inhabit the whole Earth; and he marked out their appointed times in history and the boundaries of their lands.” Go to https://americanmiraclemovie.com/, watch the trailer, click on the Tickets tab, and type in your zipcode to purchase tickets at a movie theater near you to see it on June 9, 10 or 11. Pennsylvania Worldview listener wants to pray for persecuted believers Gayle in Stewartstown, Pennsylvania wrote me at Adam@TheWorldview.com and said, “I listen to The Worldview every day and continue to give monthly because I feel that the news is truthful and factual and not slanted. I'm grateful to learn about the different countries where preachers and citizens are being persecuted for their faith in Christ. It reminds me to pray daily for the persecuted church around the world. May the Lord continue to bless The Worldview in 5 Minutes.” If you'd like to share what this newscast has meant to you, please include your full name, city and state. 12 Worldview listeners gave $4,575 to fund our annual budget Toward this week's $30,875 goal to fund one-fourth of The Worldview newscast's annual budget by tonight at 12 midnight, June 6th, 12 listeners stepped up to the plate on Thursday by 7:35pm Central last night. Our thanks to Paul in Brush, Colorado and Ben in Eureka, California — both of whom gave $25 as well as Kevin in Freeport, New York and Robin in Wellington, Florida -- both of whom gave $50. We're grateful to God for Troy in Coeurdalene, Idaho, Rene in Chicago, Illinois, and Jeremy in Swansea, Wales, United Kingdom – each of whom gave $100. And we appreciate the generosity of Marty in Roseburg, Oregon who gave $125, Jeff in Aloha, Oregon who gave $600, Lee and Ruth in Schertz, Texas who gave $1,000, Rita in Sunman, Indiana who pledged $100 per month for 12 months for a gift of $1,200, and Vern in Poteau, Oklahoma who also pledged $100 per month for 12 months for a gift of $1,200. Those 12 Worldview listeners gave a total of $4,575. Ready for our new grand total? Drum roll please. (Drum roll sound effect) $10,927 (People clapping sound effect) We missed our goal of 20 donors by 8 donors. That means by midnight tonight, Friday, June 6th, we still need to raise $19,948. If you, and 19 other listeners, would invest $100 per month for 12 months to help underwrite the cost of the 6-member Worldview news team, we will have funded one-fourth of our annual budget. Help us reach this $30,875 goal. However, if that's not affordable, then do something. Even if you pledge just $10/month for 12 months, that's a whopping $120! No gift is too small or too large as we continue to provide a news source that is accurate and Biblically based. Just go to TheWorldview.com and click on Give on the top right. And click on the button that indicates a recurring donation if you want to give monthly. Close And that's The Worldview on this Friday, June 6th, in the year of our Lord 2025. Subscribe for free by Spotify, Amazon Music or by iTunes or email to our unique Christian newscast at www.TheWorldview.com. Or get the Generations app through Google Play or The App Store. I'm Adam McManus (Adam@TheWorldview.com). Seize the day for Jesus Christ.