Podcasts about Afrique

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Grand reportage
«Le supplément du samedi» du 1er novembre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 48:30


Nous partons tout d'abord pour l'Espagne, dans la région de Valence meurtrie par inondations et glissements de terrain, il y a un an, le 29 octobre 2024, un phénomène météo dopé par le changement climatique, entrainait dans la mort 237 personnes. 229 de ces victimes se trouvaient dans la région de Valence, dans le sud de l'Espagne. Les masses d'eau tombées sur les reliefs ont noyé les plaines d'eau débordant des rivières et de torrents de boue. Pauline Gleize nous avait rendus compte, il y a un an de ce drame, elle est retournée sur place pour un état des lieux. En seconde partie d'émission, Christophe Diremszian qui rentre de Dakar, où il a pu constater l'avancée des projets en vue des Jeux olympiques de la jeunesse qui se dérouleront dans la capitale sénégalaise. Un an après les inondations, comment Valence panse ses plaies ? Il y a tout juste un an, le 29 octobre 2024, le sud de l'Espagne subissait des crues d'une grande violence. À certains endroits, des pluies diluviennes font grossir les torrents et provoquent des inondations y compris là où il ne pleut pas. Résultat : 237 morts, dont 229 dans la seule région de Valence. Le corps de l'un des trois derniers disparus n'a été retrouvé qu'à une semaine du premier anniversaire. Ces inondations ont également provoqué d'immenses dégâts matériels. Un Grand reportage de Pauline Gleize qui s'entretient avec Jacques Allix. Dakar 2026, prendre la jeunesse aux Jeux Le rassemblement sportif le plus universel au monde arrive bientôt en Afrique dans sa version destinée aux talents en herbe... Dans un an, les Jeux Olympiques de la Jeunesse s'ouvriront à Dakar. La capitale sénégalaise a été choisie par le CIO, il y a 7 ans, pour être la première du continent à accueillir un rendez-vous labellisé «olympique». Au-delà des compétitions, ces JOJ sont aussi un projet urbain et sociétal pour le Sénégal... à la clé : de nouveaux équipements et des perspectives d'emploi pour les jeunes. Pour les organisateurs, des défis nombreux. Il s'agit notamment de devenir, au bout de l'aventure, une référence pour d'autres pays africains tentés par l'organisation de tels événements. Un Grand reportage de Christophe Diremszian s'entretient avec Jacques Allix.

Fill'Expats
De la Belgique à Bali : Sophie, le voyage qui l'a menée à l'amour

Fill'Expats

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 75:02


Sophie, encore jeune Belge, pensait partir pour une simple aventure à l'étranger. Après un passage en Afrique, elle retourne en Belgique, teste la vie métro-boulot-dodo… avant de sentir à nouveau l'appel du départ. Cette fois, c'est l'Indonésie qui l'accueille, pour un stage comme prof de langue à Java.Mais ce qui devait être une expérience de quelques mois va bouleverser sa vie : en cherchant à s'intégrer et à rencontrer des locaux, Sophie rencontre un Indonésien qui va venir changer le cour des choses...Dans cet épisode, elle nous raconte avec authenticité les débuts de leur histoire d'amour, les différences culturelles qui ont mis leur couple à l'épreuve, leur mariage, une lune de miel inoubliable et l'arrivée surprise de leur bébé.Aujourd'hui installée depuis plusieurs années à Bali, Sophie ne se voit plus jamais revenir en Belgique.Un épisode plein d'amour, de sincérité et d'inspiration, qui rappelle que parfois, le plus beau des voyages, c'est la rencontre avec l'autre.

La marche du monde
«Deberlinization», comment sortir de l'impasse coloniale ? (Épisode 2)

La marche du monde

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 48:29


Épisode 2 : Refaire l'histoire. Une conférence historique pour sortir de l'impasse coloniale soutenue par le griot de la jeunesse africaine Tiken Jah Fakoly, où intellectuels et artistes se sont retrouvés pour revisiter la Conférence berlinoise de 1885… quand ils ont partagé le monde. Mais comment refaire l'histoire ? Berlin 1885. Le chancelier allemand Otto von Bismarck convoque une conférence à Berlin afin d'organiser le partage du continent africain entre les puissances industrielles et militaires émergentes. Cette réunion, à laquelle participèrent quatorze pays européens, les États-Unis et l'Empire ottoman, visait principalement à préserver leurs intérêts extractivistes et commerciaux. Ce processus a conduit à une profonde fragmentation des structures politiques endogènes du continent africain, marquant durablement son histoire politique, économique et sociale. Pour les Africains, ce processus inaugura une ère de résistance et de lutte pour l'autodétermination. Berlin 2001. Mansour Ciss Kanakassy, ​​plasticien berlinois d'origine africaine, imagine le Laboratoire de Deberlinization. L'artiste développe des outils symboliques afin de tracer un chemin vers l'émancipation. Ce kit d'urgence comprend un Global Pass pour faciliter la liberté de circulation le monde, ainsi que l'AFRO, une monnaie imaginaire panafricaniste, libérée des contraintes du CFA (indexation sur les garanties de change et de la tutelle des banques centrales exogènes). À la croisée de la création artistique et de la critique sociale, le laboratoire de Deberlinization invite à la réflexion sur la possibilité (individuelle ou collective) d'une refonte du lien civil au sein et en dehors de l'État postcolonial. Berlin 2025. À l'initiative du Professeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikung, directeur de HKW, la Conférence Deberlinization s'inscrit dans la continuité de l'utopie performative imaginée par Mansour Ciss Kanakassy pour considérer les conditions possibles d'un récit alternatif sur l'ordre du monde et son avenir, une poétique transformatrice de la relation entre l'action créatrice et les formes de résistance, l'histoire, la mémoire, la prospective – bref, un champ d'expérience et un horizon d'attente. Dans ce second épisode, vous écoutez les voix de Bonaventure Soh Bejeng Ndikung (directeur et directeur artistique de Haus der Kulturen der Welt), Tiken Jah Fakoly, (chanteur et activiste) soutien de la manifestation, Célestin Monga, (professeur d'économie à Harvard), Simon Njami, (écrivain et commissaire d'exposition) et Yousra Abourabi, (professeure de sciences politiques à l'Université de Rabat). Pour écouter l'épisode 1 c'est ici. Un grand merci à toute l'équipe de HKW à Berlin et particulièrement à son directeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikun pour nous avoir accordé ce grand entretien :     Valérie Nivelon : En introduction de cet évènement DEBERLINIZATION, vous avez demandé une minute de silence à la mémoire de Lawrence, un jeune Noir tué par des policiers au printemps 2025. Quel lien établissez-vous entre la mort de ce jeune homme et la conférence de Berlin de 1885 ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La mort de Lawrence est en fait un assassinat. Il a été tué par un policier et ce n'était pas par hasard, en fait, on lui a tiré dessus par derrière. Et la police a essayé de mentir en accusant Lawrence d'avoir attaqué un policier, ce qui s'est avéré faux. Il s'agit en fait de la longue histoire du racisme et de la déshumanisation, dont la Conférence de Berlin est un moment essentiel. Cette rencontre qui a eu lieu ici à Berlin en 1884-85 pour partager le continent africain sans les Africains, sans tenir aucunement compte de leur intérêt, sans aucun respect pour les cultures africaines et encore moins les êtres humains réduits au même niveau de statut que les machines pour travailler dans les plantations afin de créer des ressources pour l'Europe. C'est un acte de déshumanisation qui a été institutionnalisé dans cette conférence et qui a perduré dans les institutions, pas seulement en Europe, mais aussi en Afrique et un peu partout dans le monde. Donc la mort de Lawrence a un lien direct avec cette conférence.   Valérie Nivelon : Votre intérêt pour l'impact de la conférence de Berlin sur la déshumanisation des Africains ici en Allemagne, en Europe, mais aussi sur la brutalisation des sociétés africaines remonte-t-il à la création de Savvy Contemporary dont vous fêtez les 15 ans de création ?  Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Oui, c'est une très bonne question d'autant que Savvy a été fondé en 2009 pour une raison très simple, celle de notre invisibilité dans les institutions culturelles allemandes alors que la relation entre le continent africain et l'Europe est très forte. C'était très, très rare de voir les artistes, les penseurs des autres continents ici représentés à Berlin. Donc on a voulu tout simplement créer un espace où on peut présenter les philosophies plurielles du monde, les pensées du monde, les littératures, les poésies du monde. Et donc on a créé un espace qui n'est pas limité à une géographie, mais ouvert à tout le monde depuis Berlin, dont on ne peut pas négliger l'histoire. Des histoires multiples qui coexistent depuis bien avant la colonisation puisque le Royaume de Prusse a déjà des implantations coloniales au XVIIè siècle. Et donc en 2014, pour les 130 ans de la conférence de Berlin, on a invité le curateur camerounais Simon Njami pour imaginer une exposition sur cette histoire et il a fait une proposition qui était géniale «Nous sommes tous les Berlinois». C'était une belle provocation, mais c'était surtout dire : «Si le président américain J.F Kennedy pouvait dire «Je suis un Berlinois» en étant à Berlin pendant quelques heures en 1963 en pleine guerre froide, alors nous autres qui venions d'une Afrique violemment transformée par le Conférence de Berlin, sommes également des Berlinois !» Et on a fait cette exposition et une grande conférence où il y avait des sujets sur les projets, sur la restitution, sur les droits humains etc. Et il était clair que, en 2024-25, il fallait continuer à refaire l'Histoire ! Et ce n'est pas que l'histoire des Africains, c'est l'histoire du monde.   Valérie Nivelon : Lorsque vous créez l'espace, Savvy pour inscrire une géographie africaine ici à Berlin. Est-ce que vous vous sentez en communion avec Présence africaine, telle que Alioune Diop l'a conçu, c'est-à-dire pour inscrire un espace géographique africain à Paris à la sortie de la Deuxième Guerre mondiale ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung  Tout à fait. Ça procède du même état d'esprit. Alioune Diop a fondé la revue Présence africaine en 1947 à Paris, mais très vite des publications ont vu le jour sur le continent. Je pense à la revue Abbia, qui a été fondée au Cameroun en 1962, l'une des toutes premières revues de la culture postcoloniale fondée par le professeur Bernard Fonlon, Marcien Towa et Eldridge Mohammadou. Je pense également à Souffles, lancé en 1966 au Maroc, par des jeunes poètes et artistes peintres, mais aussi la Revue Noire, qui est plus récente mais qui était tellement importante pour pouvoir imaginer un lieu de fédération de nos savoirs. C'est dans cette généalogie intellectuelle que nous avons démarré Savvy, pas seulement avec un lieu, des expositions, mais aussi avec une publication Savvy journal. Donc ça, c'est un peu la généalogie intellectuelle de Savvy, sachant que nos références sont beaucoup plus nombreuses.   Valérie Nivelon : Ce que je trouve très intéressant, c'est l'affirmation d'une présence africaine par les Africains eux-mêmes. Et vous avez d'ailleurs tenu à rendre hommage à l'un des tout premiers Africains universitaires diplômés ici à Berlin. Est-ce que vous pouvez nous dire pourquoi vous tenez à ce que l'on se souvienne de lui ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Et bien, nous sommes dans mon bureau ici à Berlin, à la Maison des Cultures du Monde et en face de nous, une peinture d'un jeune Camerounais qui s'appelle Adjani Okpu-Egbe. Et sur cette peinture, on peut lire le nom Anton Wilhelm Amo, personnage tellement important dans notre histoire. Il a été kidnappé au début du XVIIIè siècle, dans son village situé dans l'actuel Ghana, et offert comme cadeau au duc de Brunswick-Lunebourg. Et il a été prénommé Anton comme le duc. Pouvez-vous imaginer qu'un être humain puisse être offert comme un cadeau ? Il a néanmoins reçu une éducation sérieuse et il a étudié au Collège de philosophie à l'Université de Halle. Anton Wilhem Amo est donc un ancien esclave devenu le premier Africain à avoir obtenu un doctorat dans une Université européenne ! Je considère qu'il fait partie de l'histoire de l'Allemagne et de l'Histoire de la philosophie en Allemagne alors qu'il a été effacé de l'histoire de la philosophie de l'Europe pour les raisons que nous connaissons tous. Mais c'est notre devoir de rendre visible son travail. Donc, en 2020, j'ai fait une exposition qui s'appelait The Faculty of Sensing, pour rendre hommage à l'une de ses thèses, et pour moi, c'était important. Pas seulement de faire connaitre sa biographie, mais aussi sa pensée. Et on a invité une vingtaine d'artistes de partout, du monde, et 90% n'avaient jamais entendu parler d'Anton Wilhem Amo.. ce n'est plus le cas !   Valérie Nivelon : Savvy Contemporary a été une expérience intellectuelle et artistique prémonitoire et quinze ans après sa création, vous dirigez La maison des cultures du monde et vous êtes également le premier Africain à diriger une institution culturelle européenne de cette envergure. 140 ans après le Conférence de Berlin, vous avez choisi de créer l'événement DEBERLINIZATION. Pourquoi avez-vous sollicité la présence de Mansour Ciss Kanakassy, à l'origine de ce concept ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Je connais le travail de Mansour Ciss Kanakassy depuis longtemps et Mansour, qui est Sénégalais, a proposé un laboratoire de DEBERLINIZATION et sur l'affiche qu'il a créée pour l'annoncer, on peut voir la porte de Brandenburg à Berlin et la carte de l'Afrique. Et dans les différentes manifestations dans lesquelles il se produit, il propose ses billets AFRO, monnaie commune africaine qu'il a inventée en réponse au CFA. Son projet artistique est à la fois très provocateur et très concret, d'avant-garde. Comme James Baldwin le disait. «Quel est le rôle de l'artiste, c'est de poser des questions à des réponses qui sont déjà là». Et la question la plus importante du XXè siècle et XXIè siècle, c'est une question d'économie en fait et des moyens d'échange. Donc la monnaie. Mais comme vous le savez, la plupart des pays en Afrique francophone utilisent cette monnaie coloniale qui s'appelle le CFA. Pourtant, depuis l'indépendance, les grands politiciens panafricanistes comme Nkrumah, comme Olympio, comme Sankara ont toujours dit que l'Afrique ne peut sortir de la domination coloniale sans créer sa propre monnaie. Et ces nationalistes ont été soit renversés, soit assassinés. Donc on en est là. Les politiciens parlent, mais les artistes font. Mais la monnaie est aussi un vecteur de savoir, une archive. Donc si vous regardez les billets AFRO de Mansour, vous voyez l'image de Cheikh Anta Diop. Vous voyez l'image de Kwame Nkrumah. Vous voyez l'image de Sankara, de Bathily, d'Aminata Traoré, de celles et ceux qui ont œuvré pour le monde africain.   Valérie Nivelon : Est-ce que vous pouvez nous parler de votre conception de la culture ici à la Maison des cultures du monde, vous incarnez une présence africaine ici à Berlin, vous avez une responsabilité en tant que directeur d'une institution culturelle, que revendiquez-vous dans votre façon de penser cette DEBERLINIZATION ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La DEBERLINIZATION ne peut avoir un sens uniquement si c'est une expression pluridisciplinaire. Bien sûr, on a invité un économiste comme Célestin Monga, mais également des personnalités du monde de la culture.. Ça a toujours été important dans ma pratique de faire savoir que l'Université n'a pas le monopole de la fabrique des savoirs. Des artistes comme Tiken Jah Fakoly ou Didier Awadi sont des grands intellectuels aussi. Et ils arrivent à dire des choses que beaucoup d'autres personnes ne peuvent pas dire. J'ajoute qu'il a toujours été important pour moi de travailler dans l'univers de la poésie car les poètes nous donnent des clés de lecture pour pénétrer l'opacité du monde. Mais on invite aussi les scientifiques, les philosophes… je cherche à orchestrer un discours choral, polyphonique et pluridisciplinaire !!! C'est ma conception de la culture. Ce que nous avons souhaité avec Franck Hermann Ekra et Ibou Coulibaly Diallo (co-commissaires de DEBERLINIZATION ), c'est penser les archives du futur, je veux dire créer de nouvelles archives. Le projet DEBERLINIZATION a l'ambition d'impulser le remembrement de l'Afrique qui a été démembrée à Berlin en 1885, découpée, déchiquetée. Le Professeur Mamadou Diouf a parlé de la berlinization comme d'un déracinement profond. Donc ce qu'on a essayé de faire, c'est d'amener cette complexité ici à HKW, un lieu où on peut réfléchir. En ce qui me concerne, je veux passer le reste de ma vie à réfléchir à ce que veut dire être humain. Bon anniversaire à Savvy contemporary.   Découvrir La maison des cultures du monde et le programme Deberlinization.   À paraître : - Deberlinization – Refabulating the World, A Theory of Praxis - Deberlinization - Les presses du réel (livre). À lire : Le pari acoustique de Tiken Jah Fakoly. À écouter : Le concert acoustique de Tiken Jah Fakoly enregistré par RFI Labo salle Pleyel à Paris.

Invité Afrique
Kirsty Coventry, présidente du CIO, espère que les JOJ de Dakar «apporteront de l'inspiration à la jeunesse africaine»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 5:36


Les Jeux Olympiques de la Jeunesse de Dakar 2026 sont entrés dans la dernière ligne droite de leur préparation. Une seule année nous sépare du début de la première compétition du CIO à être organisée en Afrique et destinée aux jeunes athlètes jusqu'à 17 ans inclus. Vendredi 31 octobre était le jour choisi par le Comité d'organisation pour révéler l'un des symboles des Jeux, sa mascotte baptisée Ayo, un lion qui porte un chapeau traditionnel sénégalais, le tengadé. Son dévoilement au Théâtre National de Dakar s'est fait en présence notamment de la présidente du CIO, la Zimbabwéenne Kirsty Coventry, qui a ensuite accordé un entretien à notre envoyé spécial Christophe Diremszian, sur l'importance de ces JOJ et ce qu'ils doivent laisser. À lire aussiJOJ de Dakar: «Ayo», la mascotte dévoilée, l'hymne à la joie à un an de l'événement

Eco d'ici Eco d'ailleurs
COP 30 : l'énergie et l'agriculture, leviers de la décarbonation au Sénégal

Eco d'ici Eco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 75:36


À l'occasion de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Belem (Brésil), Éco d'ici, Éco d'ailleurs explore les initiatives concrètes menées sur le continent africain pour conjuguer croissance économique et décarbonation. Au Sénégal, on cherche à produire une électricité plus verte et à inventer une agriculture plus durable. ⚡Une énergie plus verte pour le Sénégal Au cœur du programme Smart Grid de la Senelec, la compagnie nationale d'électricité, un nouveau centre de dispatching supervise le réseau électrique national et ses interconnexions avec cinq pays voisins (Gambie, Mauritanie, Mali, Guinée-Conakry et Guinée-Bissau). L'objectif affiché : 40% d'énergies renouvelables d'ici 2030. Une ambition soutenue par des outils numériques et de l'intelligence artificielle pour prévoir la demande et optimiser la production à moindre coût.

Éco d'ici éco d'ailleurs
COP 30 : l'énergie et l'agriculture, leviers de la décarbonation au Sénégal

Éco d'ici éco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 75:36


À l'occasion de la Conférence des Nations unies sur les changements climatiques à Belem (Brésil), Éco d'ici, Éco d'ailleurs explore les initiatives concrètes menées sur le continent africain pour conjuguer croissance économique et décarbonation. Au Sénégal, on cherche à produire une électricité plus verte et à inventer une agriculture plus durable. ⚡Une énergie plus verte pour le Sénégal Au cœur du programme Smart Grid de la Senelec, la compagnie nationale d'électricité, un nouveau centre de dispatching supervise le réseau électrique national et ses interconnexions avec cinq pays voisins (Gambie, Mauritanie, Mali, Guinée-Conakry et Guinée-Bissau). L'objectif affiché : 40% d'énergies renouvelables d'ici 2030. Une ambition soutenue par des outils numériques et de l'intelligence artificielle pour prévoir la demande et optimiser la production à moindre coût.

Journal de l'Afrique
Côte d'Ivoire : ouverture du dépôt des candidatures pour les législatives du 27 décembre

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 14:56


En Côte d'Ivoire, quelques jours après la proclamation des résultats provisoires qui ont donné la victoire à Alassane Ouattara avec plus de 89% des voix, la Commission Electorale Indépendante prépare désormais les élections législatives du 27 décembre prochain. 

Le débat africain
La démocratie africaine a-t-elle besoin d'une pause électorale ?

Le débat africain

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 38:59


Une tribune publiée récemment dans le magazine français Le Point a provoqué une tempête dans le débat démocratique africain. Adrien Poussou, ancien ministre centrafricain et auteur de cette tribune, propose de suspendre les élections présidentielles pendant 10 ans pour sauver la démocratie sur le continent. Proposition audacieuse ou insulte et provocation ? L'Afrique doit-elle arrêter pour un temps de voter ? Tandis que certains perçoivent ces élections comme des scrutins trop souvent entachés d'irrégularités, de fraudes ou de manipulations institutionnelles au profit des dirigeants en place, comment redonner confiance aux votants ?  Peut-on vraiment protéger la démocratie en gelant l'un de ses fondamentaux ?   Avec la participation de :  Adrien Poussou, ancien ministre centrafricain, consultant en géopolitique, auteur d'une tribune « Faut-il suspendre les élections présidentielles pour sauver la démocratie en Afrique ? » à lire dans Le Point Gilles Yabi, analyste politique et fondateur et président du think tank Wathi Mathias Hounkpé, politologue béninois, chef du département « Elections et processus politique » au sein de l'Institut électoral pour la démocratie durable en Afrique (EISA)

Grand reportage
Dakar 2026, prendre la jeunesse aux Jeux

Grand reportage

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 19:29


Le rassemblement sportif le plus universel au monde arrive bientôt en Afrique dans sa version destinée aux talents en herbe... Dans un an, les Jeux Olympiques de la Jeunesse s'ouvriront à Dakar. La capitale sénégalaise a été choisie par le CIO, il y a 7 ans, pour être la première du continent à accueillir un rendez-vous labellisé «olympique». Au-delà des compétitions, ces JOJ sont aussi un projet urbain et sociétal pour le Sénégal... à la clé : de nouveaux équipements et des perspectives d'emploi pour les jeunes. Pour les organisateurs, des défis nombreux. Il s'agit notamment de devenir, au bout de l'aventure, une référence pour d'autres pays africains tentés par l'organisation de tels événements. «Dakar 2026, prendre la jeunesse aux Jeux», un Grand Reportage de Christophe Diremszian.   Réalisation : Pauline Leduc.

Journal de l'Afrique
L'ONU tire la sonnette d'alarme sur les atrocités au Soudan

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 14:55


Le Conseil de sécurité de l'ONU a exprimé sa "profonde inquiétude" sur "l'escalade" au Soudan, le chef des opérations humanitaires onusiennes parlant d'"informations crédibles d'exécutions de masse". Il a aussi affirmé que la ville d'El-Facher au Darfour a "plongé dans un enfer encore plus noir" : "l'horreur se poursuit. Des femmes et des filles sont violées, des gens mutilés et tués, en toute impunité".

Revue de presse Afrique
À la Une: une présidentielle sans véritable opposition au Bénin

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 4:27


Les mises à l'écart des opposants, menaces potentielles pour les hommes ou les partis au pouvoir, sont devenues monnaie courante sur le continent… Qu'elles soient le fait du prince ou qu'elles engagent le vernis de la légalité, ces mises à l'écart interrogent sur la bonne santé de la démocratie en Afrique. Dernier exemple en date, le Bénin : « Renaud Agbodjo, comme un feu de paille ! », s'exclame le site béninois Afrique sur 7. « À peine apparu, l'opposant s'efface sans traces de la scène politique. Ce retrait illustre la désillusion que révèle la confrontation avec la rigidité d'un système politique bien ficelé ». En effet, tout est allé très vite : il y a 15 jours, Renaud Agbodjo, avocat de 43 ans, est désigné par son parti comme candidat à l'élection présidentielle d'avril prochain ; mercredi dernier, la Commission électorale invalide sa candidature, faute d'un nombre de parrainages suffisant ; son parti, Les Démocrates, saisit alors la Cour constitutionnelle ; lundi, celle-ci se déclare incompétente et valide la liste provisoire des candidats ; et hier mercredi, l'opposant annonce qu'il jette l'éponge, qu'il arrête la course à la présidence. Divisions « Bis repetita pour Les Démocrates, constate Jeune Afrique. Comme en 2021, la principale formation d'opposition au Bénin ne sera pas sur la ligne de départ pour la présidentielle d'avril 2026. Cette décision douche définitivement les espoirs présidentiels des Démocrates, parti dirigé depuis 2023 par l'ancien chef de l'État, Thomas Boni Yayi. Elle a également rencontré fin au feuilleton politico-judiciaire entamé le 14 octobre, avec la désignation de Renaud Agbodjo ». Un feuilleton qui met en lumière les divisions au sein des Démocrates. En effet, précise Jeune Afrique, « le fait que le choix se soit porté sur Renaud Agbodjo, l'avocat personnel de l'ex-président, à l'issue d'une primaire, au détriment d'Éric Houndété qui faisait figure de favori, avait très vite été contesté par Michel Sodjinou, député de la ville de Porto-Novo. Ce dernier avait alors refusé de parrainer le candidat officiel ». Et comme pour être qualifié, il fallait 28 parrainages d'élus et que Les Démocrates en comptent exactement 28, cette défection leur a été fatale… Un «  plan de déstabilisation et de débauchage  » ? L'ancien président Thomas Boni Yayi, à la tête des Démocrates, a donc bien tenté de convaincre le président Talon de faire participer son parti aux élections générales de l'année prochaine, incluant les législatives, les communales et la présidentielle. Peine perdue… C'est ce que souligne La Nouvelle Tribune à Cotonou. « Boni Yayi a déclaré percevoir (chez son interlocuteur) une tendance à la concentration du pouvoir, pointe le journal. Il a évoqué l'existence d'un "plan de déstabilisation et de débauchage" visant certains responsables du parti Les Démocrates, par le biais de pressions et, à l'en croire, de promesses d'avantages matériels ». Conséquence, pointe Le Monde Afrique, en l'absence du principal parti d'opposition, « une voie royale s'ouvre donc pour la majorité au pouvoir, représentée par le ministre des Finances, Romuald Wadagni. Patrice Talon, président depuis 2016, arrivant au terme de son deuxième mandat, le maximum autorisé par la Constitution ». Un jeu de verrouillage électoral « Pour un pays, le Bénin qui, depuis la Conférence nationale de 1990, s'enorgueillit d'un pluralisme politique exemplaire, la situation s'interroge profondément, soupire Afrik.com. Comment parler de démocratie lorsque le jeu électoral semble verrouillé au point d'exclure des forces politiques d'envergure ? (…) Le Bénin d'aujourd'hui donne le sentiment d'un pluralisme sous tutelle, déplore encore le site panafricain. Les voix dissidentes, souvent muselées, peinent à trouver un espace d'expression libre. Les manifestations sont encadrées, les dirigeants politiques critiques font face aux poursuites judiciaires, et les médias indépendants doivent composer avec un environnement de plus en plus hostile. Tout cela contribue à instaurer un climat de peur et de résignation, incompatible avec la vitalité démocratique qui avait jadis fait la fierté du pays ». Certes, pointe encore Afrik.com, « les défenseurs du pouvoir en place invoquent souvent l'argument de la légalité : "les règles sont les mêmes pour tous". Mais la démocratie ne se réduit pas à une stricte conformité juridique, affirme le site. Elle repose avant tout sur l'esprit du jeu démocratique, sur la compétition équitable, sur la possibilité pour chaque sensibilité politique de se faire entendre et de se mesurer aux urnes ».

Les histoires de 28 Minutes
Élections au Cameroun et en Côte d'Ivoire / L'IA détruira-t-elle nos emplois ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 46:09


L'émission 28 minutes du 30/10/2025 Élections au Cameroun et en Côte d'Ivoire : alternance impossible ?Ces derniers jours, deux élections présidentielles majeures se sont jouées en Afrique. Au Cameroun, l'indéboulonnable Paul Biya a été réélu par le Conseil constitutionnel avec 53,66 % des suffrages. À 92 ans, l'éternel président s'apprête à débuter un 8e mandat après 43 ans à la tête du pays. En Côte d'Ivoire, Alassane Ouattara, 83 ans, a été réélu pour la 4e fois depuis 2011 : ses principaux opposants, l'ancien président Laurent Gbagbo et l'homme d'affaires Tidjane Thiam, avaient vu leurs candidatures rejetées par le Conseil constitutionnel. Ousmane Ndiaye, journaliste et auteur de “L'Afrique contre la démocratie : mythes, déni et péril”, analyse ces résultats. Licenciements chez Amazon : l'IA va-t-elle détruire nos emplois ? C'est l'un de ses plus gros coups de rabot depuis sa création. Mardi, Amazon a annoncé la suppression de 14 000 postes qui devraient concerner des employés de bureau. La première étape seulement, selon différentes agences de presse, d'un plan de licenciement de 30 000 personnes. Cette annonce vient concrétiser la volonté de son patron Andy Jassy de réduire les coûts du groupe américain alors qu'il investit dans l'intelligence artificielle. Ces réductions doivent toucher “davantage la bureaucratie”, a déclaré Beth Galetti, vice-présidente chargée des ressources humaines et de la technologie. Une annonce qui questionne la menace que fait peser l'IA sur nos emplois. On en débat avec Yahya Fallah, entrepreneur, président de la commission IA de la CPME, Céline Antonin, économiste à l'OFCE, professeure affiliée à Sciences Po et Mathieu Slama, essayiste et journaliste politique. Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse à la première rencontre depuis six ans entre Donald Trump et Xi Jinping en Corée du Sud, en marge du sommet de l'APEC. Théophile Cossa nous explique le fonctionnement des ouragans alors que l'ouragan Melissa a sévi dans les Caraïbes. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 30 octobre 2025 Présentation Benjamin Sportouch Production KM, ARTE Radio

Revue de presse Afrique
À la Une: une présidentielle sans véritable opposition au Bénin

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 4:27


Les mises à l'écart des opposants, menaces potentielles pour les hommes ou les partis au pouvoir, sont devenues monnaie courante sur le continent… Qu'elles soient le fait du prince ou qu'elles engagent le vernis de la légalité, ces mises à l'écart interrogent sur la bonne santé de la démocratie en Afrique. Dernier exemple en date, le Bénin : « Renaud Agbodjo, comme un feu de paille ! », s'exclame le site béninois Afrique sur 7. « À peine apparu, l'opposant s'efface sans traces de la scène politique. Ce retrait illustre la désillusion que révèle la confrontation avec la rigidité d'un système politique bien ficelé ». En effet, tout est allé très vite : il y a 15 jours, Renaud Agbodjo, avocat de 43 ans, est désigné par son parti comme candidat à l'élection présidentielle d'avril prochain ; mercredi dernier, la Commission électorale invalide sa candidature, faute d'un nombre de parrainages suffisant ; son parti, Les Démocrates, saisit alors la Cour constitutionnelle ; lundi, celle-ci se déclare incompétente et valide la liste provisoire des candidats ; et hier mercredi, l'opposant annonce qu'il jette l'éponge, qu'il arrête la course à la présidence. Divisions « Bis repetita pour Les Démocrates, constate Jeune Afrique. Comme en 2021, la principale formation d'opposition au Bénin ne sera pas sur la ligne de départ pour la présidentielle d'avril 2026. Cette décision douche définitivement les espoirs présidentiels des Démocrates, parti dirigé depuis 2023 par l'ancien chef de l'État, Thomas Boni Yayi. Elle a également rencontré fin au feuilleton politico-judiciaire entamé le 14 octobre, avec la désignation de Renaud Agbodjo ». Un feuilleton qui met en lumière les divisions au sein des Démocrates. En effet, précise Jeune Afrique, « le fait que le choix se soit porté sur Renaud Agbodjo, l'avocat personnel de l'ex-président, à l'issue d'une primaire, au détriment d'Éric Houndété qui faisait figure de favori, avait très vite été contesté par Michel Sodjinou, député de la ville de Porto-Novo. Ce dernier avait alors refusé de parrainer le candidat officiel ». Et comme pour être qualifié, il fallait 28 parrainages d'élus et que Les Démocrates en comptent exactement 28, cette défection leur a été fatale… Un «  plan de déstabilisation et de débauchage  » ? L'ancien président Thomas Boni Yayi, à la tête des Démocrates, a donc bien tenté de convaincre le président Talon de faire participer son parti aux élections générales de l'année prochaine, incluant les législatives, les communales et la présidentielle. Peine perdue… C'est ce que souligne La Nouvelle Tribune à Cotonou. « Boni Yayi a déclaré percevoir (chez son interlocuteur) une tendance à la concentration du pouvoir, pointe le journal. Il a évoqué l'existence d'un "plan de déstabilisation et de débauchage" visant certains responsables du parti Les Démocrates, par le biais de pressions et, à l'en croire, de promesses d'avantages matériels ». Conséquence, pointe Le Monde Afrique, en l'absence du principal parti d'opposition, « une voie royale s'ouvre donc pour la majorité au pouvoir, représentée par le ministre des Finances, Romuald Wadagni. Patrice Talon, président depuis 2016, arrivant au terme de son deuxième mandat, le maximum autorisé par la Constitution ». Un jeu de verrouillage électoral « Pour un pays, le Bénin qui, depuis la Conférence nationale de 1990, s'enorgueillit d'un pluralisme politique exemplaire, la situation s'interroge profondément, soupire Afrik.com. Comment parler de démocratie lorsque le jeu électoral semble verrouillé au point d'exclure des forces politiques d'envergure ? (…) Le Bénin d'aujourd'hui donne le sentiment d'un pluralisme sous tutelle, déplore encore le site panafricain. Les voix dissidentes, souvent muselées, peinent à trouver un espace d'expression libre. Les manifestations sont encadrées, les dirigeants politiques critiques font face aux poursuites judiciaires, et les médias indépendants doivent composer avec un environnement de plus en plus hostile. Tout cela contribue à instaurer un climat de peur et de résignation, incompatible avec la vitalité démocratique qui avait jadis fait la fierté du pays ». Certes, pointe encore Afrik.com, « les défenseurs du pouvoir en place invoquent souvent l'argument de la légalité : "les règles sont les mêmes pour tous". Mais la démocratie ne se réduit pas à une stricte conformité juridique, affirme le site. Elle repose avant tout sur l'esprit du jeu démocratique, sur la compétition équitable, sur la possibilité pour chaque sensibilité politique de se faire entendre et de se mesurer aux urnes ».

Géopolitique
Élections au Cameroun et en Côte d'Ivoire, l'alternance impossible

Géopolitique

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 3:23


durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Paul Biya, 92 ans, au pouvoir depuis 1982, a été réélu pour un huitième septennat, tandis qu'Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, 83 ans, fera un quatrième quinquennat. La question démocratique reste posée en Afrique, où les pays qui pratiquent l'alternance sont encore minoritaires. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Journal de l'Afrique
Tanzanie : des élections sans opposition, couvre-feu à Dar es Salam

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 12:17


La police a décrété un couvre-feu mercredi dans la capitale économique de Tanzanie où des centaines de personnes ont violemment manifesté, hurlant leur opposition au régime le jour d'élections présidentielle et législatives dont l'opposition était largement écartée. Première présidente de Tanzanie, promue à la mort de son prédécesseur John Magufuli en 2021, Samia Suluhu Hassa, qui aspire à être élue, est accusée de mener une répression sévère contre les voix critiques. 

Tech&Co
1X NEO, premier robot domestique à 499 $/mois – 29/10

Tech&Co

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 26:11


Mercredi 29 octobre, François Sorel a reçu Yves Maitre, operating partner chez Jolt Capital et ancien président de HTC, Enguérand Renault, consultant chez Image 7, ancien journaliste au Figaro, et Fanny Bouton, directrice du quantique chez OVHcloud. Ils se sont penchés sur le premier robot à usage domestique, proposé à 499?dollars par mois et baptisé NEO, le débrief des annonces de Nvidia GTC 2025, ainsi que sur la démocratisation du smartphone en Afrique par la GSMA, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.

7 milliards de voisins
Électrifier les villages en Afrique

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 48:30


En Afrique subsaharienne, 600 millions de personnes vivent encore sans électricité, selon la Banque mondiale. Une réalité qui affecte principalement les zones rurales et obligent les populations à recourir au bois de chauffage, au charbon de bois ou à des générateurs pour cuisiner, s'éclairer ou travailler. Des solutions peu sûres et coûteuses. Lors du dernier sommet africain de l'Énergie en Tanzanie, 30 chefs d'État et de gouvernements africains ont approuvé un plan de plus de 50 milliards de dollars qui devrait permettre de fournir de l'électricité à 300 millions de personnes d'ici 2030. Un programme colossal qui montre bien l'urgence de la situation. Car au-delà du confort essentiel, l'accès à l'énergie est aussi déterminant pour le développement économique des pays. Alors que le continent africain concentre 60% du potentiel solaire mondial, selon Global solar Council (GSC), miser sur les énergies renouvelables pourrait également lui permettre de combler son retard en matière d'électrification de manière propre. Ce serait également une opportunité de créer des emplois et développer l'économie locale des zones rurales. Comment associer les populations et les petites entreprises au développement du secteur solaire ? Smart grids, mini-réseaux solaires : quelles solutions simples et peu coûteuses à mettre en place ?  Émission à l'occasion du Sommet Climate Chance Afrique 2025 qui se déroule du 27 au 29 octobre 2025 à Cotonou au Bénin.    Avec : • Faridath Assouma, directrice technique de la Société Béninoise  de production d'Énergie Électrique (SBEE) • Delali Adedje, fondatrice et gérante de Yokoumi, une entreprise coopérative de production de beurre de karité. Lauréate 2022 du Prix Solutions Genre et climat décerné par la Constituante Femmes et Genre (WGC)  • Roland Fangnon, directeur général de Clean Energy 4 Africa, entreprise spécialisée dans l'accès aux énergies renouvelables, propres et durables, au Bénin et plus largement en Afrique. Consultant en énergie et développement durable • Abdou Ndour, coordinateur de programmes énergies renouvelables et efficacité énergétique chez ENDA énergie, ONG basée au Sénégal, membre du réseau international d'Enda Tiers Monde.     Programmation musicale :  ► Hustler - Bobo Wê  ► Wetin U Go Choose - James BKS. 

InterNational
Élections au Cameroun et en Côte d'Ivoire, l'alternance impossible

InterNational

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 3:23


durée : 00:03:23 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Paul Biya, 92 ans, au pouvoir depuis 1982, a été réélu pour un huitième septennat, tandis qu'Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, 83 ans, fera un quatrième quinquennat. La question démocratique reste posée en Afrique, où les pays qui pratiquent l'alternance sont encore minoritaires. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Reportage Afrique
Au Sénégal, l'avenir du livre s'écrit en langues nationales

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 2:15


« La souveraineté culturelle et intellectuelle à laquelle nous aspirons passe aussi par la reconquête de notre parole propre », a expliqué le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye lors du premier grand rendez-vous organisé entre l'État et les acteurs du livre, à Dakar, le 16 octobre. Des initiatives émergent pour donner toute sa place à la lecture en wolof, en pulaar, en sérère et dans les autres langues nationales.    À l'embarcadère direction Gorée, une bibliothèque éphémère intrigue. Plusieurs installations du même genre ont été aperçues pendant quelques jours à Dakar, le temps pour l'État de rapprocher les livres de la population. Khalil, un habitué de la liaison maritime, feuillette des ouvrages en wolof. « Si tu me donnes un livre en wolof, je prends beaucoup de temps pour le lire. C'est parce qu'à l'école, on nous apprend en français ! », explique-t-il. Pas de quoi le décourager pour autant. « À partir d'aujourd'hui, je commence à étudier le wolof, je le jure. Je ne suis pas français, je suis wolof ! Il faut juste s'entraîner un peu », s'amuse-t-il. Le wolof résonne partout au quotidien : à la radio, dans la rue, et dans les foyers. Pourtant peu de Sénégalais le lisent. Ndèye Codou Fall, directrice de EJO, l'une des rares maisons d'édition en langues nationales, se bat pour inverser la tendance : « Il n'y a pas de magie, en ce qui concerne les langues nationales, nous les maîtrisons à l'oral, mais pour pouvoir les lire, il faut les apprendre, il faut alphabétiser les gens dans les langues nationales. Entendons-nous bien, je suis pour le plurilinguisme, mais je suis pour nous réapproprier ce qui nous appartient d'abord, et ensuite aller à la rencontre de l'autre. » Pour Ndèye Codou Fall, le Sénégal a besoin d'un retour à ses langues propres pour avancer. « Le rapport en général que les Sénégalais ont avec le français, c'est un rapport douloureux qui rappelle la honte que le colonisateur a voulu instituer aux Sénégalais en les obligeant à rendre les langues nationales muettes. Je pense que c'est ce rapport que l'on veut effacer aujourd'hui », explique-t-elle. À lire aussiLa Wolof Académie, nouvelle tendance pour l'apprentissage des langues via des applications Encourager les jeunes à lire dans leurs langues, mais aussi à prendre la plume, c'est une des missions que se donne Adramé Diakhaté, président de l'Union des écrivains sénégalais en langues nationales. Lui-même auteur de romans publiés en wolof, il parle d'un processus de création plus intime. « Quand on écrit en wolof, effectivement, le personnage que vous mettez en scène devient un complice et il fait corps avec nous. Nous vivons sa vie comme s'il pouvait interagir avec notre propre existence. Je ne ressens pas la même chose quand j'écris en français. La différence est là : [en wolof], je me parle à moi-même et je vis ce que je suis en train d'écrire », raconte-t-il.  Rappelant qu'ils travaillent « pour la nation », les éditeurs spécialisés en langues sénégalaises réclament plus de moyens issus du Fonds d'aide à l'édition. Un fonds géré par le ministère de la Culture pour soutenir la production littéraire. L'État leur a promis un soutien sans en préciser la forme à ce stade. À lire aussiFrancophonie en Afrique: au Sénégal, le wolof monte en puissance face au français [4/5]

7 milliards de voisins
Électrifier les villages en Afrique

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 48:30


En Afrique subsaharienne, 600 millions de personnes vivent encore sans électricité, selon la Banque mondiale. Une réalité qui affecte principalement les zones rurales et obligent les populations à recourir au bois de chauffage, au charbon de bois ou à des générateurs pour cuisiner, s'éclairer ou travailler. Des solutions peu sûres et coûteuses. Lors du dernier sommet africain de l'Énergie en Tanzanie, 30 chefs d'État et de gouvernements africains ont approuvé un plan de plus de 50 milliards de dollars qui devrait permettre de fournir de l'électricité à 300 millions de personnes d'ici 2030. Un programme colossal qui montre bien l'urgence de la situation. Car au-delà du confort essentiel, l'accès à l'énergie est aussi déterminant pour le développement économique des pays. Alors que le continent africain concentre 60% du potentiel solaire mondial, selon Global solar Council (GSC), miser sur les énergies renouvelables pourrait également lui permettre de combler son retard en matière d'électrification de manière propre. Ce serait également une opportunité de créer des emplois et développer l'économie locale des zones rurales. Comment associer les populations et les petites entreprises au développement du secteur solaire ? Smart grids, mini-réseaux solaires : quelles solutions simples et peu coûteuses à mettre en place ?  Émission à l'occasion du Sommet Climate Chance Afrique 2025 qui se déroule du 27 au 29 octobre 2025 à Cotonou au Bénin.    Avec : • Faridath Assouma, directrice technique de la Société Béninoise  de production d'Énergie Électrique (SBEE) • Delali Adedje, fondatrice et gérante de Yokoumi, une entreprise coopérative de production de beurre de karité. Lauréate 2022 du Prix Solutions Genre et climat décerné par la Constituante Femmes et Genre (WGC)  • Roland Fangnon, directeur général de Clean Energy 4 Africa, entreprise spécialisée dans l'accès aux énergies renouvelables, propres et durables, au Bénin et plus largement en Afrique. Consultant en énergie et développement durable • Abdou Ndour, coordinateur de programmes énergies renouvelables et efficacité énergétique chez ENDA énergie, ONG basée au Sénégal, membre du réseau international d'Enda Tiers Monde.     Programmation musicale :  ► Hustler - Bobo Wê  ► Wetin U Go Choose - James BKS. 

Afrique Économie
Sénégal: une nouvelle taxe sur le mobile money qui ne passe pas

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 2:24


Au Sénégal, une nouvelle taxe qui ne passe pas. Elle concerne les paiements par téléphone, le mobile money très utilisé dans le pays. Plombé par une dette souveraine record, l'État sénégalais cherche plus de recettes. Selon le gouvernement, cette nouvelle taxe doit permettre de faire entrer 350 millions d'euros par an dans les caisses. Mais les opérateurs économiques font bloc pour rediscuter la mesure.  Adoptée en septembre dernier, la loi instaurant un prélèvement de 0,5% sur les transactions de mobile money, plafonné à 2 000 F CFA (environ 3 euros), n'est pas encore entrée en vigueur. Mais déjà, elle suscite de vives inquiétudes chez les acteurs du numérique et du commerce au Sénégal. Dans un pays où plus de 80% des adultes possèdent un compte de mobile money, cette mesure pourrait bouleverser les habitudes financières des Sénégalais, estime Joelle Sow, secrétaire générale de la coopérative Digital Senegal, qui regroupe les entreprises sénégalaises du numérique. « La croissance du mobile money profite beaucoup à l'économie. Donc une décroissance de cette industrie aura des répercussions collatérales un peu partout. Les commerçants reviendront au cash, le particulier lambda reviendra au cash. Tout le tissu économique informel va se poser la question : est-ce que je continue ou je ne continue pas ? », analyse Joelle Sow.  Une manne fiscale pour l'État, mais un risque pour l'économie informelle Pour le gouvernement et les défenseurs de la loi, cette taxe doit permettre au secteur du mobile money de contribuer à l'effort national de mobilisation des ressources. Mais du côté des petits commerçants, l'inquiétude est palpable. Ces derniers ont adopté les transferts d'argent par téléphone parce qu'ils étaient simples, rapides et peu coûteux. Avec la nouvelle taxe, ils redoutent un manque à gagner significatif. Sidy Niang, cofondateur de la startup Maad, l'un des plus importants grossistes alimentaires de Dakar, alerte sur les conséquences concrètes pour son secteur : « Dans l'agroalimentaire, 0,5%, ce n'est pas du tout négligeable. Si je donne un exemple aujourd'hui, le sac de sucre qu'on va vendre à un boutiquier à 26 900 francs, après la taxe, il va se retrouver à 27 160. Ça va être surtout la population en boutique, une population avec un pouvoir d'achat limité. » « Il y a assez de taxes au Sénégal » Au-delà du surcoût pour les commerçants et consommateurs, les professionnels du numérique dénoncent une approche jugée injuste. Le secteur du mobile money, en forte croissance depuis la pandémie, s'est imposé comme un pilier du commerce sénégalais. Il facilite les paiements dans un pays où le secteur informel représente près de 46% de la richesse créée chaque année. Pour Sidy Niang, cette taxe risque d'alourdir encore la charge fiscale sur les acteurs déjà en règle : « Il y a assez de taxes au Sénégal. On le sait tous, mais sauf qu'en fait, il y a beaucoup d'acteurs qui sont informels, qui n'ont pas payé la taxe. Donc la solution, c'est justement d'élargir l'assiette fiscale, donc aller voir sur les taxes existantes comment faire pour qu'un plus grand nombre paie. Là, ce n'est pas élargir l'assiette fiscale, c'est taxer plus les acteurs qui paient déjà leur taxe. » Les professionnels du secteur réclament par conséquent une concertation nationale pour revoir la mesure, voire en différer l'application. Les détracteurs de cette taxe s'appuient sur un exemple régional : celui de la Tanzanie. En 2021, l'introduction d'une taxe de 1% sur les transactions mobile money avait provoqué une chute de 38% des transferts de personne à personne. Face à la grogne, le gouvernement tanzanien avait dû réduire puis réviser la mesure, reconnaissant ses effets contre-productifs sur l'économie. À lire aussiLe paiement mobile en Afrique de l'Ouest: validé et adopté

Revue de presse internationale
À la Une: la guerre sans fin au Soudan

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 4:07


Au moins 150 000 morts, 12 millions de réfugiés et 25 millions de personnes en proie à la famine… C'est le triste bilan après près de trois ans de conflit meurtrier entre l'armée soudanaise, héritière de l'ancien régime, avec à sa tête le général Abdel Fattah al-Burhan et les FSR, les Forces de soutien rapide, une unité paramilitaire dissidente dirigée par le général Hemedti. Avantage à ces derniers : dimanche, constate Libération à Paris, après 18 mois de siège, « la ville d'El-Fasher est tombée aux mains des Forces de soutien rapide, laissant présager de nouveaux massacres ethniques. Les paramilitaires contrôlent désormais la quasi-totalité de la région du Darfour ». Et le journal de s'interroger : « est-ce un tournant dans la guerre civile soudanaise ? » Oui, répond Alan Boswell, de l'International Crisis Group : « la chute d'El-Fasher est "le moment que beaucoup redoutaient, celui de la partition claire du Soudan. Le pays est désormais de facto divisé. Et plus la guerre durera, plus cette division deviendra concrète et sera difficile à inverser" ». Et « que fait la communauté internationale ? », s'interroge encore Libération. Réponse : « à peu près rien. En juin 2024, le Conseil de sécurité des Nations unies a voté la résolution 2736 exigeant "que les FSR mettent fin au siège d'El-Fasher", demandant "l'arrêt immédiat des combats" et "que les parties au conflit autorisent et facilitent l'acheminement rapide, sûr, durable et sans entrave de l'aide humanitaire destinée aux civils qui en ont besoin". Aucune de ces "exigences" onusienne n'a été respectée. Après un an de siège, l'état de famine a été déclaré à Zamzam puis à El-Fasher même. Les bombardements et les assauts des FSR n'ont jamais cessé ». Deux prédateurs… Pour Le Temps à Genève, « le Soudan est (donc) plus que jamais divisé entre deux prédateurs ». Deux généraux, « deux anciens complices qui se battent entre eux, commente le chercheur Marc Lavergne, interrogé par le journal. Ce n'est pas une guerre civile, affirme-t-il. Car les Soudanais ne se détestent pas, ils subissent cette guerre. Il reste une conscience nationale et, malgré l'exil de millions d'habitants, le mouvement démocratique subsiste dans ce pays qui avait vu naître les premiers partis politiques en Afrique pendant la colonisation britannique ». Il n'empêche : le pays est plus que jamais coupé en deux, constate encore Marc Lavergne : « l'armée soudanaise aura de la peine à reprendre le contrôle du Darfour. Les FSR, quant à eux, pourront difficilement reprendre pied dans la capitale ». Pourtant, déplore-t-il, « une nouvelle partition n'est pas la solution. Il n'y a qu'à voir le destin du Soudan du Sud, lui aussi déchiré par les combats et les ambitions personnelles ». Du matériel militaire britannique Toujours à propos de ce conflit, cette révélation du Guardian à Londres : « du matériel militaire britannique a été retrouvé sur des champs de bataille au Soudan, du matériel utilisé par les FSR, groupe paramilitaire accusé de génocide », pointe le journal qui s'appuie sur « des documents consultés par le Conseil de sécurité de l'ONU ». Il s'agit, précise le Guardian de « de systèmes de cibles pour armes légères et de moteurs de fabrication britannique pour véhicules blindés de transport de troupes ». Ces matériels « auraient transité par les Émirats arabes unis, accusés à plusieurs reprises de fournir des armes aux paramilitaires ». Commentaire du journal : ces fournitures de matériels militaires « posent questions concernant le gouvernement britannique et son rôle potentiel dans l'alimentation du conflit ». « Ces vieillards qui s'accrochent au pouvoir… » Enfin, on reste en Afrique avec cet éditorial du Washington Post sur ces « dirigeants africains vieillissants qui s'accrochent au pouvoir sur un continent jeune : l'Afrique a un problème encore pire que les États-Unis, pointe le journal, avec des politiciens vieillissants qui ne veulent pas lâcher prise ». On aura compris le sous-entendu… Le Post cible le Camerounais Paul Biya qui vient de se faire réélire pour un 8e mandat. « Le qualifier de "vainqueur" est une affirmation généreuse, relève le journal, car l'élection a très probablement été truquée. (…) L'Afrique reste dominée par des vieillards, déconnectés depuis longtemps des préoccupations populaires, déplore le Washington Post. Déjà chef d'État le plus âgé du monde, Biya aura presque 100 ans s'il termine son huitième mandat. Le président du Togo a 86 ans, celui du Malawi 85 et celui de la Côte d'Ivoire 83. Cette gérontocratie crée un climat explosif, conclut le quotidien américain, qui ne peut qu'entrainer de futurs conflits ».

Invité du jour
Risques d'atrocités au Soudan : parlons-en avec B. Chapuis, M. Lavergne et J. Muzik Piquemal

Invité du jour

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 48:09


Au Soudan, les Forces de soutien rapide, qui se sont emparées dimanche de la ville d'El-Facher, peuvent désormais revendiquer le contrôle d'un territoire aussi vaste que la France. C'était jusqu'ici le front le plus disputé de la guerre qui oppose les paramilitaires à l'armée soudanaise depuis avril 2023. Un tournant majeur dans le conflit qui accentue la crainte de massacres à grande échelle.

Pour Qui Sonne Le Jazz
Alain Jean-Marie, docteur biguine et monsieur jazz, première partie

Pour Qui Sonne Le Jazz

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 18:34


Qu'elle soit biguine ou be-bop, la musique d'Alain Jean-Marie est née quelque part entre deux rives : entre Afrique et Guadeloupe, Europe et Amérique. Jazz, biguine ? Biguine, jazz ? “Ce sont les mêmes racines”, confiait-il à la revue Jazz Hot. Des bals de Pointe-à-Pitre au Petit Opportun de Paris, en passant par Montréal et la célèbre brasserie la Cigale, carrefour des musiques antillaises à Paname, portrait d'un pianiste aussi génial que discret, demandé par les plus grands (Chet Baker, Barney Wilen, Charlie Rouse, Johnny Griffin, etc...), jusqu'à devenir lui-même... un monument ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

LA LLAVE RADIO La Voz de los Sin Voz de Guinea Ecuatorial
¡Camerún y la Françafrique! BIYA DÉGAGE

LA LLAVE RADIO La Voz de los Sin Voz de Guinea Ecuatorial

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 28:44


¡Camerún y la Françafrique!BIYA DÉGAGE Hoy es miércoles y toca #LALLAVE. Escuchanos en nuestros canales de YouTube y Spotify: https://youtu.be/n7rwFATehX0  A sus 92 años, el Dictador Paul Biya vence de nuevo en unas elecciones fraudulentas que le llevan a encabezar su octava legislatura. Bajo el patrocinio de occidente, especialmente de Francia de Macron, Biya, entra en una etapa de desfachatez ytomadura de pelo nunca jamás pensada en el continente con el mayor número de población juvenil del mundo.  La sociedad civil camerunesa, especialmente la juventud están en las calles protestando gritando ¡BIYA DÉGAGE! y un fin a las dictaduras en África. En el programa de hoy analyzamos: ¿Qué es la Françafrique y como se manifesta en África?¿Qué ha pasado durante estas elecciones?¿Qué papel juega la juventud, la sociedad civil y las mujeres?¿Cuál es la solución? Como siempre acomapanado de música: - SMOB-Générale Valsero -Odile Ngaska#BIYADÉGAGE#UPC#biyamustgo#obiangmustgo#neoliberalismo#panafricanismo#allafricanpeoplerevolutionaryparty#Cameroun2025#Camerounprésidentielle2025

Journal de l'Afrique
Présidentielle au Cameroun : calme relatif après l'annonce de la victoire de Paul Biya

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 14:43


Au Cameroun, un calme précaire règne mardi dans les villes secouées la veille par des manifestations sporadiques après l'annonce de la nouvelle réélection du président Paul Biya. Cette dernière est contestée par son principal rival Issa Tchiroma Bakary.

Appels sur l'actualité
[1] Cameroun : vos réactions après la victoire de Paul Biya à la présidentielle

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 19:30


Le président sortant Paul Biya a été déclaré vainqueur du scrutin par le Conseil constitutionnel avec 53,66% des suffrages, devant Issa Tchiroma Bakary, 35,19%, qui a déclaré ne pas reconnaître ces résultats. Que vous inspirent ces résultats ? Avec Amélie Tulet, journaliste au service Afrique de RFI.

CHOOSE YOUR MENTOR
98 - Marc-André NIANG - Directeur Afrique Warner Music Africa - Poursuivre des rêves à tout prix

CHOOSE YOUR MENTOR

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 64:31


Bienvenue dans un nouvel épisode de Choose Your Mentor, où l'on creuse aujourd'hui le parcours d'un acteur stratégique du secteur de la musique en Afrique francophone : Marc André Niang.Marc-André occupe aujourd'hui le poste de Directeur Afrique Francophone chez Warner Music Africa. Mais son rôle va bien au-delà d'une simple direction : il incarne la connexion entre culture, business et innovation sur un continent en pleine effervescence.En 2024, il est co-directeur de Warner Music Africa Francophone, lancée pour capter l'explosion de la musique francophone et créer des synergies entre la France et l'Afrique francophone. Il y évoque l'importance de « nouer de nouvelles synergies pour développer et structurer le marché francophone africain ».Un autre exemple marquant : sous son leadership, un « songwriting camp » s'est tenu à Abidjan, réunissant plus de 20 artistes, producteurs et auteurs venus de plusieurs pays d'Afrique. L'objectif : faire émerger une dynamique créative véritablement panafricaine. Aujourd'hui, dans cet épisode, Marc-André partage avec nous :comment il a navigué entre différents rôles pour se forger une vision stratégique de la musique en Afrique francophone,comment il traduit cette vision en actions concrètes pour faire “monter” le marché,quelles sont les clés pour les talents africains, les partenaires et les organisations souhaitant réussir dans cet écosystème.Préparez-vous à un échange riche, sincère, orienté vers l'action : un vrai mentorat pour tous ceux qui travaillent dans la transformation, la culture, les partenariats ou l'innovation sur le continent.Prenez vos notes, car les enseignements sont autant stratégiques que pratiques — et pleinement applicables à des contextes de transformation plus larges, bien au-delà du simple secteur musical.Let start

7 milliards de voisins
Quel habitat durable dans les villes africaines face au réchauffement climatique ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 48:30


L'Afrique connaît une augmentation sans précédent de sa population urbaine. D'ici 2050, les villes du continent accueilleront 700 millions d'urbains supplémentaires pour atteindre 1,4 milliard d'habitants. Des populations qui auront donc besoin de logements et de services et des villes qui devront s'efforcer de développer leurs infrastructures. Dans le même temps, les conséquences du réchauffement climatique : inondations, sécheresse, pics de chaleur, érosion côtière sont déjà palpables sur le continent africain. L'enjeu de construire des villes aménagées en fonction des risques et un habitat durable adapté au climat, est d'autant plus crucial.  Alors que l'urbanisation se fait de manière anarchique, que les populations manquent de moyens, que le secteur de la construction est dominé par le béton, matériau pas toujours adapté, quelles solutions pour les villes africaines ? Quels progrès ont déjà été accomplis par les municipalités ? Et comment appuyer les innovations en matière de construction ?  Émission à l'occasion du Sommet Climate Chance Afrique 2025 qui se déroule du 27 au 29 octobre 2025 à Cotonou au Bénin.    Avec :  • Luc Setondji Atrokpo, maire de Cotonou et président de l'Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB) • Luc Gnacadja, ancien secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification, ancien ministre de l'Environnement, de l'Habitat et de l'Urbanisme du Bénin. Fondateur et président de GPS-Dev (Governance & Policies for Sustainable Development), un think tank dont la mission est de rendre les systèmes de gouvernance plus propices au développement durable, notamment en Afrique. Vice-président de l'association Climate Chance • Ahouefa Madiana Pognon, ingénieur conseil construction bioclimatique, associée au cabinet d'architecte Ko • Anne Attane, anthropologue à l'IRD (Institut de recherche pour le développement), spécialiste des dynamiques familiales et des économies domestiques tant en milieu rural qu'urbain ouest-africains, au sein du Laboratoire Environnement et Développement (LPED) à Marseille. En accueil au Bénin au sein du Laboratoire de recherches Socio-Anthropologiques sur les Systèmes Organisés et les Mobilités (LASMO)   Programmation musicale :  ► Je Gère - Ami Yerewolo ► Mom'lo siwaju - Star Feminine Band.  

Revue de presse Afrique
À la Une: le verrouillage électoral au Cameroun et en Côte d'Ivoire

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 4:25


Et de quatre pour l'un et de huit pour l'autre… Quatrième mandat pour Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire et huitième pour Paul Biya au Cameroun. L'un a 83 ans, l'autre 92, et dans les deux cas, le scrutin présidentiel était quasiment joué d'avance. On commence par la Côte d'Ivoire. En effet, relève Le Monde Afrique, « jamais Alassane Ouattara n'aura traversé une élection avec aussi peu d'obstacles ; jamais, il n'a soulevé aussi peu d'enthousiasme. Durant la journée de vote, les bureaux étaient vides dans de nombreuses localités, tant le match semblait plié d'avance. Le taux de participation atteint à peine les 50%. Un chiffre qui, selon l'opposition, interroge sur la "légitimité" du président. Car, une fois encore, souligne Le Monde Afrique, seuls des "petits" candidats, sans réel poids politique, faisaient face à la puissante et riche machine du parti au pouvoir, le RHDP. Aucun de ses principaux adversaires n'avait été autorisé à se présenter au scrutin présidentiel. Tidjane Thiam, le patron du PDCI, et surtout Laurent Gbagbo, le chef du PPA-CI, rival historique, ont vu leurs candidatures invalidées ». Au Cameroun, Paul Biya, n'a été élu qu'avec un peu plus de 53 % des suffrages. Son principal rival, « Issa Tchiroma Bakary, candidat du Front du changement démocratique, conteste fermement les résultats officiels, relève Afrik.com. Selon lui, son équipe aurait compilé des procès-verbaux démontrant une victoire nette de l'opposition avec près de 55% des voix. Il dénonce un système électoral "entièrement verrouillé par le régime", évoquant des bourrages d'urnes, des intimidations d'électeurs et des coupures d'Internet dans certaines zones rurales ». Où est la démocratie ? Commentaire de Ledjely en Guinée : « ces deux scrutins rappellent que la démocratie, lorsqu'elle se réduit à une simple mécanique électorale, perd tout son sens. Ni la liberté de choix, ni l'alternance, ni la redevabilité ne sont garanties. L'Afrique continue de donner l'image d'un continent où l'élection sert davantage à perpétuer le pouvoir qu'à le légitimer. Cameroun et Côte d'Ivoire offrent ainsi l'illustration parfaite de cette illusion démocratique, pointe encore le site d'information guinéen : des urnes bien surveillées, des chiffres bien alignés, et un peuple tenu à distance du vrai pouvoir. En somme, deux États qui, sous couvert de démocratie, perpétuent un système verrouillé : celui d'une "légitimité électorale" sans véritable consentement populaire ». Pour Aujourd'hui au Burkina Faso, ces ceux scrutins représentent les derniers spasmes d'un système révolu : « en Côte d'Ivoire comme au Cameroun, se joue en vérité la gestation forcée d'un changement générationnel. Le quinquennat de Ouattara et le septennat de Biya sont la der des der pour ne pas dire les mandats de trop ». WakatSéra, toujours au Burkina, s'interroge : « que feront Alassane Ouattara et Paul Biya de leurs victoires, alors que les attentes de justice sociale ne font qu'enfler, tant en Côte d'Ivoire et au Cameroun ? Il n'y a visiblement qu'un seul choix pour les deux : écouter leurs peuples respectifs ». Le mandat de trop… Le site Tunisie numérique ne mâche pas ses mots : au Cameroun, « un régime sclérosé et inefficient, face à des populations qui brûlent de tourner la page pour se forger un autre destin. Biya repart alors que tout le monde le sait malade, même si le bâton de la loi interdit de l'évoquer publiquement. (…) En Côte d'Ivoire, on n'est pas loin du même désenchantement démocratique, poursuit le site tunisien, avec un président qui s'est finalement laissé tenter par un 4e mandat, à 83 ans. (…) Le mandat de trop, c'est un funeste piège que les dirigeants africains, même les plus brillants, évitent rarement, hélas, (…) alors que la jeunesse, comme partout dans le monde, aspire à autre chose. C'est un mal endémique en Afrique, soupire encore Tunisie Numérique. Entre les présidences à vie et les coups de forces des militaires, le continent et sa jeunesse tentent de cheminer. Ne cherchez pas les raisons profondes de notre sous-développement chronique, elles sont là, sous nos yeux ». Les aspirations de la jeunesse Enfin, Jeune Afrique constate justement que la jeunesse africaine, la génération Z, pourrait bien « révolutionner la   politique » : « Antananarivo, Rabat, Dakar, Nairobi, Lagos, Kampala… La génération des 15-25 ans descend dans la rue et bouleverse les codes, pointe le site panafricain. Ultra-connectée, désabusée, sans peur et particulièrement impatiente, cette jeunesse, qui représente 60% de la population du continent, refuse ses conditions de vie, rejette l'ensemble des partis et exige des comptes. Cette génération ira-t-elle plus loin que celles qui l'ont précédée ? ».

Invité Afrique
Présidentielle en Côte d'Ivoire: «Les pratiques politiques n'ont fondamentalement pas changé»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 9:43


Paul Biya réélu pour un huitième mandat au Cameroun avec 53% des voix, Alassane Ouattara réélu pour un quatrième mandat en Côte d'Ivoire avec 89% des voix selon des résultats provisoires. Depuis l'annonce de ces résultats électoraux ce lundi, les commentaires vont bon train. Que disent ces deux élections de l'état de la démocratie en Afrique ? Gilles Yabi est le fondateur et le directeur exécutif du think tank citoyen Wathi. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Au Cameroun, Paul Biya est proclamé vainqueur, mais Issa Tchiroma dit que c'est une mascarade. Qu'est-ce que cela vous inspire ? Gilles Yabi : Alors, je crois que les conditions de cette élection ne la rendaient pas vraiment crédible. En fait, lorsqu'on a un délai aussi important entre le jour du vote et la proclamation des résultats, on se pose toujours la question finalement de ce qui se passe pendant cette période. Et finalement, pourquoi est-ce qu'on ne pouvait pas avoir des résultats provisoires annoncés très rapidement, bureau de vote par bureau de vote, région par région. Et on sait très bien que c'est cela qui permet de limiter les possibilités de manipulation d'une élection. Alors, il s'est passé en effet plus de deux semaines entre le jour du vote et le jour des résultats. Il y a quatre mois, quand Issa Tchiroma a démissionné du gouvernement pour se porter candidat, le parti au pouvoir RDPC a pensé que les Camerounais favorables à l'opposition ne pardonneraient pas à Tchiroma ses longues années au pouvoir. Pourquoi cette erreur de stratégie de la part du RDPC ? Je crois que le pouvoir en place a sous-estimé peut-être la volonté de changement des Camerounais et le sentiment d'un véritable ras-le-bol. Ce n'est pas la première fois qu'en réalité, on a des processus électoraux qui sont peu crédibles, et on sait même que feu John Fru Ndi était censé avoir gagné une élection face à Paul Biya il y a déjà quelques décennies, en 1992. Et donc cette fois-ci, c'était vraiment la candidature de trop, compte tenu de la longévité au pouvoir, mais aussi compte tenu de l'âge du président Biya. Alors pour faire plier Issa Tchiroma, le pouvoir, selon notre confrère Jeune Afrique, lui a proposé le poste de Premier ministre. Ça n'a pas marché. Le pouvoir a ensuite fait arrêter plusieurs de ses proches. Mais pour l'instant, l'homme fort de Garoua ne semble pas vouloir céder. Quelle peut être sa stratégie à présent ? Alors, je ne sais pas. Évidemment, on voit qu'il y a quand même beaucoup de colère. Elle s'est exprimée dans les grandes villes du Cameroun. Et évidemment, dans le nord du pays, on peut penser que les tensions seront encore plus fortes qu'ailleurs. Et on voit bien aussi que, du côté du pouvoir, on a déjà évidemment l'outil de la répression. Donc, je crois qu'on rentre dans une épreuve de force. Je ne suis pas sûr pour l'instant qu'Issa Tchiroma soit prêt à accepter l'état de fait d'une victoire à nouveau du président Biya. Evidemment, on ne peut pas exclure que cette épreuve de force aille très loin. Autre réélection ce mois-ci, celle d'Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire. Elle a été moins mouvementée qu'au Cameroun. Mais là aussi, on déplore des violences meurtrières entre manifestants et forces de l'ordre. Il y a eu des morts. Pourquoi ces tensions qui perdurent au pays d'Houphouët-Boigny ? Parce qu'au pays d'Houphouët-Boigny, les pratiques politiques n'ont fondamentalement pas changé. En réalité, en Côte d'Ivoire, la bataille pour le pouvoir, depuis le décès d'Houphouët-Boigny, elle se passe entre un certain nombre d'acteurs qui ont des fiefs régionaux. Et je crois que ces violences, à chaque élection, montrent qu'on a d'un côté une Côte d'Ivoire qui a réussi à se rebâtir économiquement après la longue crise qu'elle a connue. Mais en même temps, une Côte d'Ivoire qui, sur le plan politique, n'arrive pas à nouveau à se stabiliser, à sortir de la personnalisation du pouvoir. J'ajouterais quand même que l'exclusion de l'ancien président Laurent Gbagbo et de Tidjane Thiam, cela ne pouvait que réduire l'intérêt d'une partie de la population ivoirienne pour cette élection et on le voit à travers le taux de participation.

7 milliards de voisins
Quel habitat durable dans les villes africaines face au réchauffement climatique ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 48:30


L'Afrique connaît une augmentation sans précédent de sa population urbaine. D'ici 2050, les villes du continent accueilleront 700 millions d'urbains supplémentaires pour atteindre 1,4 milliard d'habitants. Des populations qui auront donc besoin de logements et de services et des villes qui devront s'efforcer de développer leurs infrastructures. Dans le même temps, les conséquences du réchauffement climatique : inondations, sécheresse, pics de chaleur, érosion côtière sont déjà palpables sur le continent africain. L'enjeu de construire des villes aménagées en fonction des risques et un habitat durable adapté au climat, est d'autant plus crucial.  Alors que l'urbanisation se fait de manière anarchique, que les populations manquent de moyens, que le secteur de la construction est dominé par le béton, matériau pas toujours adapté, quelles solutions pour les villes africaines ? Quels progrès ont déjà été accomplis par les municipalités ? Et comment appuyer les innovations en matière de construction ?  Émission à l'occasion du Sommet Climate Chance Afrique 2025 qui se déroule du 27 au 29 octobre 2025 à Cotonou au Bénin.    Avec :  • Luc Setondji Atrokpo, maire de Cotonou et président de l'Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB) • Luc Gnacadja, ancien secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification, ancien ministre de l'Environnement, de l'Habitat et de l'Urbanisme du Bénin. Fondateur et président de GPS-Dev (Governance & Policies for Sustainable Development), un think tank dont la mission est de rendre les systèmes de gouvernance plus propices au développement durable, notamment en Afrique. Vice-président de l'association Climate Chance • Ahouefa Madiana Pognon, ingénieur conseil construction bioclimatique, associée au cabinet d'architecte Ko • Anne Attane, anthropologue à l'IRD (Institut de recherche pour le développement), spécialiste des dynamiques familiales et des économies domestiques tant en milieu rural qu'urbain ouest-africains, au sein du Laboratoire Environnement et Développement (LPED) à Marseille. En accueil au Bénin au sein du Laboratoire de recherches Socio-Anthropologiques sur les Systèmes Organisés et les Mobilités (LASMO)   Programmation musicale :  ► Je Gère - Ami Yerewolo ► Mom'lo siwaju - Star Feminine Band.  

Les Histoires Secrètes
Le "James Bond" français : le plus grand espion de la ww2

Les Histoires Secrètes

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 12:53


Faire sauter des ponts, voler le vélo de son commandant, participer aux opérations de sabotage pour le Débarquement, créer les nageurs de combat français… Tout ça, c'est l'histoire d'un seul homme. Bob Maloubier. Un agent secret français de la Seconde Guerre mondiale, qui a eu une vie invraisemblable même bien longtemps après que le conflit se soit terminé. Aujourd'hui, je vous raconte son histoire. De sa fuite en Afrique du Nord pour s'engager, à la désertion face à l'arrivée des allemands, jusqu'à son recrutement par les services spéciaux britanniques; sa vie pendant la guerre fut bien remplie ! Mais ça ne s'arrête pas là. Bob continua à travailler pour la France en Afrique, avant sa carrière dans le privé. N'oubliez pas de donner une note au podcast si l'histoire vous a plu ! À bientôt Yanis       SOURCES :   https://www.lamontagne.fr/clermont-ferrand-63000/actualites/histoire-l-agent-maloubier-parachute-sur-le-limousin-le-7-juin-1944_11468901/ https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2015/04/21/robert-maloubier-le-james-bond-francais-saboteur-pour-churchill-est-mort-a-92-ans_4620202_3382.html# https://www.dailymotion.com/video/x1xf3yp https://www.leparisien.fr/societe/bob-maloubier-heros-de-guerre-et-legende-des-services-secrets-est-mort-21-04-2015-4712315.php https://www.havrais-en-resistance.fr/annuaire-de-la-resistance-havraise/entry/41043/ Music by Sergio Prosvirini from Pixabay  

crunch
Baptiste Serin est-il le grand absent de la liste pour la tournée ?

crunch

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 25:58


Pourtant brillant depuis le début de la saison, Baptiste Serin ne figure pas dans la première liste des Bleus appelés pour préparer la tournée de novembre (Afrique du Sud, Fidji, Australie). Pourquoi ce choix ? Le reverra-t-on en équipe de France ? Récit d'une carrière internationale contrastée. Un podcast présenté par Léa Leostic, avec Renaud Bourel, Elio Bono et Adrien Corée. Enregistrement : Marie-Amélie Motte. Montage : Léa Leostic.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le débat
Quels grands défis attendent Alassane Ouattara ?

Le débat

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 39:45


Le Président ivoirien a été réélu lundi pour un quatrième mandat à la tête de la Côte d'Ivoire, avec 89,77 % des voix, selon des résultats provisoires de la Commission électorale indépendante qui doivent encore être confirmés par le Conseil constitutionnel.

Le Média
Révolte à Madagascar : la "Gen Z" fait vaciller la françafrique

Le Média

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 55:01


Depuis plusieurs semaines, la jeunesse de Madagascar est l'acteur d'une mobilisation sociale plus vue depuis plus de 15 ans. Elle a su inverser le rapport de force avec le pouvoir politique de manière spectaculaire.▶ Le Média lance le plan "Riposte"

Entrepreneur State Of Mind Podcast
EP 140 Discussion sans tabous avec ⁨@Sudehy⁩ : faux coachs, religion, argent, ambition, Afrique

Entrepreneur State Of Mind Podcast

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 103:36


Venez mettre vos talents à profit des entreprises et startups ivoiriennes durant 4 mois ou 6 mois à partir du 12 janvier 2026 http://bit.ly/4oANXaWPour ceux qui souhaitent rejoindre c'est par ici : https://bit.ly/ESOATribeVoici ce que vous obtenez en rejoignant la tribu ESOA :✅ Echangez quotidiennement avec Kahi, Moulaye pour co-construire le podcast mais aussi sur vos difficultés, interrogations et l'actualité en toute simplicité !✅ Accès d'un an à la communauté privée ESOA (La tribe): un réseau exclusif de 200 membres dans 15 pays entrepreneurs et professionnels africains partout dans le monde pour développer votre réseau, échanger, et vous entraider.✅ Accès à tous nos Masterminds, Book Clubs, Meetups, et événements ESOA exclusifs et à tarifs réduits: participez à des sessions interactives avec Kahi, Moulaye, et des experts invités pour enrichir vos connaissances et votre réseau.✅ Le Template du Life Plan de Moulaye et Kahi: des outils concrets pour clarifier vos objectifs professionnels et personnels, adaptés à tous les profils.✅ Le Replay unique du Mastermind du 18 Décembre “Construire son plan de vie”Un contenu exclusif pour vous guider dans la création de votre plan de vie et de carrière.---------Le Podcast "#Entrepreneur State Of Africa" dit tout haut ce que les #entrepreneurs pensent tout bas, avec Kahi Lumumba (Co-Founder & CEO Totem Experience, Adicomdays) et Moulaye Tabouré (Co-Founder & CEO de ANKA (ex-Afrikrea) ). Dans cet épisode, Kahi et Moulaye reçoive l'incroyable Sudehy pour une discussion sans filtres-----Ce podcast est produit par Totem Factory by Totem Experience que vous pouvez joindre pour tous vos besoins de production00:00 Intro Sudehy & Présentation Diaspora Connect03:49 "Coach" ou "entrepreneur"?12:34 L'enfance au Cameroun27:08 Les Pilliers ESOA vus par Sudehy

Le Conseil Santé
Quels sont les principaux signes d'anémie?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 1:52


L'anémie est un véritable problème de santé publique chez les femmes en Afrique subsaharienne. Cette maladie se caractérise par un nombre de globules rouges inférieur à la normale et peut avoir de nombreuses conséquences sur la santé. Quels sont les signes ou situations qui doivent pousser à mesurer le taux d'hémoglobine pour dépister une anémie ? Quelles sont les causes de l'anémie ?  Pr Awa Oumar Touré, hématologue au Laboratoire de l'Université Cheick Anta Diop et enseignante en Hématologie à la Faculté de médecine, de pharmacie et d'odontostomatologie de l'Université Cheick Anta Diop de Dakar. Auteure de l'ouvrage Elles étaient là, les pionnières de la santé !, aux éditions Nara  (Rediffusion) Retrouvez l'émission dans son intégralité iciQuestions de femmes : anémie

Grand reportage
«Le supplément du dimanche» du 26 octobre 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 48:30


En première partie, les anciennes colonies portugaises célèbrent un demi-siècle d'indépendance. 5 pays sont concernés : l'Angola, le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, le Mozambique et Sao Tomé-et-Principe... En deuxième partie, nous serons dans la région d'Agadir au Maroc, dans ce qu'on appelle parfois le grenier de l'Europe. Dans des champs immenses ou des serres gigantesques, y poussent fruits et légumes. Une particularité : ils sont récoltés en très grande partie par des migrants subsahariens. Portugal : les déracinés des indépendances africaines  5 pays africains : l'Angola, le Cap-Vert, la Guinée-Bissau, le Mozambique et São Tomé et Principe, commémorent cette année les 50 ans de leur indépendance. Les guerres coloniales se sont arrêtées avec la chute du régime autoritaire de Salazar en 74, et la révolution démocratique du 25 avril. Les guerres civiles et les soubresauts politiques des anciennes colonies poussent toujours hommes et femmes vers l'ancien pays colonisateur. Certains sont arrivés dans les années 70, d'autres bien plus tard, et d'autres encore sont nés au Portugal. Ils y vivent entre indépendance, intégration, nostalgie et conviction. Un Grand reportage de Marie-Line Darcy qui s'entretient avec Jacques Allix. Le quotidien des migrants subsahariens au Maroc Au Maroc, la région d'Agadir dans le sud-ouest du pays, concentre une part importante des travailleurs migrants irréguliers. Ils seraient plus de 10 000, selon les ONG, parmi ces subsahariens entre 90 000 et 300 000, qui y font escale. Beaucoup d'autres poursuivent leur migration vers l'Europe. Ils se sont installés dans ce que certains surnomment le « potager de l'Europe » : 20 000 hectares de serres où fruits et légumes poussent toute l'année. Sans papiers, ils sont mal payés, travaillent dur et s'intègrent très difficilement. Même si des associations sont présentes. Un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji qui s'entretient avec Jacques Allix.

Reportage Afrique
Afrique du Sud: à Soweto, la ruée vers l'or continue de toucher les populations pauvres plus de 100 ans plus tard

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 2:33


La ville de Johannesburg est aussi appelée « la ville de l'or », parce qu'elle a été fondée à la fin du XIXe siècle quand de l'or y est découvert. Rapidement, la ville se développe autour de cette précieuse ressource. Plus de cent ans plus tard, la plupart des mines ont fermé, mais il reste des milliers de puits encore ouverts, et surtout des matières toxiques qui continuent de toucher les communautés voisines, et aujourd'hui, les habitants sont de plus en plus malades.  De notre correspondant à Johannesburg, L'image est frappante : dans une impasse de Soweto, une immense dune de sable dépasse derrière le toit de modestes maisons en pierre. Quand il y a du vent, la poussière se soulève. Et toutes ces substances toxiques arrivent chez nous. Nous sommes dans le quartier de Snake Park, dans une maison familiale à deux étages où plusieurs générations vivent ensemble. Novulawu Sitshaluza, bob sur la tête pour se protéger du soleil, a grandi ici : « Au départ, on pensait que cette montagne était naturelle, mais nous avons découvert plus tard que c'était en fait une création humaine, issue de la ruée vers l'or. » Des générations marquées par la maladie À la fin du XIXe siècle, la ville de Johannesburg se construit sur l'or. Et pendant l'apartheid, le pouvoir blanc déporte les populations noires dans d'immenses townships, souvent à proximité de mines, et donc de déchets toxiques. « Vous savez, nos ancêtres sont partis travailler dans les mines. Ils ne sont jamais revenus avec de l'or ou de l'argent. Ils sont revenus avec des maladies. Et encore aujourd'hui, nous, leurs arrière-petits-enfants, on tombe malade à notre tour. C'est l'éternelle souffrance des Noirs en Afrique du Sud. ». Thokozile Mntambo est activiste, figure de la lutte des communautés locales face aux géants du secteur minier : « Comme vous pouvez le voir, il n'y a aucune clôture pour sécuriser les lieux… Vous pouvez vous garer ici, on va s'approcher un peu ». Donc là, on va monter sur une petite butte, pour vraiment avoir une vue sur toute la mine. On monte sur du sable très clair, presque blanc. Ce sont tous les résidus ; à l'époque où on cherchait encore de l'or. « Ils continuent de trouver de nouvelles technologies pour extraire les restes d'or. Alors, nous, on meurt encore à cause de cet or ! », ajoute Thokozile Mntambo. Recenser les victimes  Et Thokozile Mntambo ne veut plus voir sa communauté mourir. En 2023, avec la Bench-Marks Foundation, elle démarre un porte-à-porte pour recenser tous les cas de maladies. Résultat : la moitié des répondants déclarent avoir des problèmes respiratoires : « On est venu me voir pour me dire que je devais arrêter de parler aux médias, car cela perturbe les investissements. Mais j'ai commencé ce combat, je ne vais pas m'arrêter là ! » Parce que de nombreuses vies sont en jeu. À cause de ces longues années d'expositions à l'uranium ou à l'arsenic, de plus en plus d'enfants naissent malades. Nous retournons chez Novulawu, qui vit juste en face de la mine : « Ma fille était handicapée, elle est malheureusement décédée en 2022, à 12 ans… Je ne peux pas être certaine que ce soit à cause de ces résidus toxiques, mais cette dune a peut-être joué un rôle, oui. » Selon les activistes de Snake Park, ce combat, c'est un combat entre le profit des grandes entreprises et la santé des communautés locales appauvries ; plus de cent ans après la ruée vers l'or.

12H30 - 13H00 TU
Tranche d'information afrique 26/10 12h30 GMT

12H30 - 13H00 TU

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 30:00


La marche du monde
«Deberlinization», comment sortir de l'impasse coloniale ? (Épisode 1)

La marche du monde

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 48:29


Épisode 1 : Défaire le passé. Une conférence historique pour sortir de l'impasse coloniale où intellectuels et artistes se sont retrouvés à La maison des cultures du monde pour faire face à la Conférence de Berlin de 1885, quand l'Afrique a été partagée sans le consentement des Africains. 140 ans après, comment faire face au passé ? Berlin 1885. Le chancelier allemand Otto von Bismarck convoque une conférence à Berlin afin d'organiser le partage du continent africain entre les puissances industrielles et militaires émergentes. Cette réunion, à laquelle participèrent quatorze pays européens, les États-Unis et l'Empire ottoman, visait principalement à préserver leurs intérêts extractivistes et commerciaux. Ce processus a conduit à une profonde fragmentation des structures politiques endogènes du continent africain, marquant durablement son histoire politique, économique et sociale. Pour les Africains, ce processus inaugura une ère de résistance et de lutte pour l'autodétermination. Berlin 2001. Mansour Ciss Kanakassy, ​​plasticien berlinois d'origine africaine, imagine le Laboratoire de Deberlinization. L'artiste développe des outils symboliques afin de tracer un chemin vers l'émancipation. Ce kit d'urgence comprend un Global Pass pour faciliter la liberté de circulation le monde, ainsi que l'AFRO, une monnaie imaginaire panafricaniste, libérée des contraintes du CFA (indexation sur les garanties de change et de la tutelle des banques centrales exogènes). À la croisée de la création artistique et de la critique sociale, le laboratoire de Deberlinization invite à la réflexion sur la possibilité (individuelle ou collective) d'une refonte du lien civil au sein et en dehors de l'État postcolonial. Berlin 2025. À l'initiative du Professeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikung, directeur de HKW, la Conférence Deberlinization s'inscrit dans la continuité de l'utopie performative imaginée par Mansour Ciss Kanakassy pour considérer les conditions possibles d'un récit alternatif sur l'ordre du monde et son avenir, une poétique transformatrice de la relation entre l'action créatrice et les formes de résistance, l'histoire, la mémoire, la prospective – bref, un champ d'expérience et un horizon d'attente. Ibou Coulibaly Diop et Franck Hermann Ekra sont les co-commissaires de Déberlinization (25 au 27 Avril 2025). Dans ce premier épisode, vous écoutez les voix de Bonaventure Soh Bejeng Ndikung (directeur et directeur artistique de Haus der Kulturen der Welt), Magueye Kassé (Académie nationale des sciences et techniques du Sénégal), Mansour Ciss Kanakassy (plasticien, Prix Léopold Sédar Senghor et le Prix Zuloga), Mamadou Diouf (historien, professeur à Columbia University), Franck Hermann Ekra (Critique d'art, co-curateur et éditeur du livre Deberlinization), Hildegaard Titus (comédienne, activiste), Soeuf el Badawi (poète, dramaturge, activiste) et Tiken Jah Fakoly, (chanteur et activiste) soutien de la manifestation. Un grand merci à toute l'équipe de HKW à Berlin et particulièrement à son directeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikun. Découvrir La maison des cultures du monde et le programme Deberlinization.   À paraître : - Deberlinization – Refabulating the World, A Theory of Praxis - Deberlinization - Les presses du réel (livre). À lire : Le pari acoustique de Tiken Jah Fakoly. À écouter : Le concert acoustique de Tiken Jah Fakoly enregistré par RFI Labo salle Pleyel à Paris.

Invité Afrique
Sitor Senghor: nous voulons que la Foire d'art contemporain africain soit avant tout «un succès commercial»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 4:54


Akaa, la grande foire d'art contemporain africain se tient à Paris durant tout le week-end. Akaa fête cette année ses dix ans dans un marché de l'art plutôt morose en raison de la crise économique, mais le nouveau directeur artistique d'Akaa, le Franco-Sénégalais Sitor Senghor entend professionnaliser encore davantage le secteur, et ramener les collectionneurs dans les travées de la foire. À lire aussiLa foire AKAA fête ses dix ans et célèbre la création africaine À lire aussiAKAA 2025: Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon      

Eco d'ici Eco d'ailleurs
Gregory Clerc, dir. gén. du groupe Castel, géant des boissons en Afrique, grand invité de l'économie

Eco d'ici Eco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 48:26


À la tête de l'un des plus puissants groupes agro-industriels du continent africain, Gregory Clerc, directeur général du Groupe Castel, est le grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Au micro de Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), il revient sur les grandes transformations d'un empire né en 1949 autour du vin, de la bière et de l'agroalimentaire. Il évoque :

12H30 - 13H00 TU
Tranche d'information afrique 25/10 12h30 GMT

12H30 - 13H00 TU

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 30:00


Journal de l'Afrique
Présidentielle en Côte d'ivoire : derniers préparatifs avant le scrutin

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 14:34


Près de 9 millions d'électeurs sont appelés aux urnes samedi au premier tour de la présidentielle en Côte d'Ivoire. Ils doivent choisir entre 5 candidats. Parmi les enjeux : réconcilier un pays divisé, résoudre le chômage endémique des jeunes malgré une croissance économique solide mais inégalement répartie.

Appels sur l'actualité
[Vos questions] Nigeria : polémique après un bisou sur TikTok

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 19:30


Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur des soupçons d'espionnage en Allemagne, de nouvelles sanctions contre Moscou et la nomination d'une femme Première ministre au Japon. Nigeria : polémique après un bisou sur TikTok   Au Nigeria, un tribunal de l'État de Kano a ordonné à deux jeunes influenceurs qui ne sont pourtant pas en couple de se marier. En cause : une vidéo virale les montrant en train de s'embrasser sur la joue. Des images jugées contraires aux valeurs morales et religieuses locales. Sur quels éléments juridiques ce tribunal s'appuie-t-il pour les forcer à se marier ? Les deux TikTokeurs ont-ils des voies de recours ? Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI.      Allemagne : le parti d'extrême-droite «AfD», l'œil de Moscou ?   Alors que le parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne s'impose dans le paysage politique allemand, un ministre régional de l'Intérieur accuse cette formation d'espionner pour le compte de la Russie. Sur quelles preuves s'appuie-t-il ? Quel intérêt l'AfD aurait-elle à collaborer avec le Kremlin ?   Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin.     Guerre en Ukraine : de nouvelles sanctions contre Moscou, mais pour quels résultats ?   L'Union européenne et les États-Unis ont imposé de nouvelles sanctions contre la Russie, notamment sur ses hydrocarbures. Malgré toutes les mesures prises depuis près de quatre ans, pourquoi la Russie n'est-elle toujours pas affaiblie dans sa guerre contre l'Ukraine ?   Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative.      Japon : historique, une femme à la tête du gouvernement   Pour la première fois de son histoire, le Japon est dirigé par une femme. Sanae Takaidi a été élue Première ministre par le Parlement. Comment expliquer ce choix dans un pays profondément patriarcal ? Pourquoi le Parti libéral-démocrate (PLD) parvient-il à se maintenir au pouvoir depuis 70 ans ? Avec Guibourg Delamotte, professeure à l'Inalco en Science politique, spécialiste du Japon.

Le débat africain
Cameroun, Mali, Nicolas Sarkozy, Ukraine… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 39:00


Au Cameroun, après l'élection présidentielle du 12 octobre 2025, place à la guerre des chiffres entre les clans de Paul Biya et d'Issa Tchiroma Bakary tandis que les résultats officiels se font attendre. Au Mali, le Jnim maintient une grave pénurie de carburant en attaquant les convois de camions citernes. Les jihadistes imposent également le port du voile aux femmes sur les routes. Le Général Abdoulaye Maïga, le Premier ministre de transition, a dénoncé «une tentative de déstabilisation». En France, Nicolas Sarkozy, accusé d'association de malfaiteurs, a été incarcéré cette semaine. Une première historique pour un ancien dirigeant d'un pays de l'Union européenne. Mais au-delà de cette condamnation, que dit le déferlement de réactions de politiques et manifestations de soutien à Nicolas Sarkozy dans les médias ? Cette remise en question, publiquement, d'une décision de justice ne contribue-t-elle pas à fragiliser la confiance dans l'institution judiciaire ? Enfin, l'Union européenne s'apprête à mobiliser les avoirs russes gelés pour accorder à l'Ukraine un prêt de 140 milliards d'euros pour financer son effort de guerre.   Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale.  Avec la participation de :  Boubacar Sanso Barry, administrateur général du site d'information guinéen le Djely.com, et rédacteur en chef de l'hebdomadaire Le Punch François Hiondi Nkam, grand reporter et chef du service Économie au quotidien camerounais Le jour Éric Topona, journaliste tchadien au sein de la rédaction Afrique francophone de la Deutsche Welle et fondateur du site d'actualité panafricain Ventdafrique.com.

ActuElles
Japon : une des rares femmes yakuzas prend la parole

ActuElles

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 11:51


Dans cette édition, nous plongeons dans l'univers du crime organisé japonais : les yakuzas. Mako Nishimura, ancienne membre des yakuzas pendant trois décennies, a dû se comporter en homme pour survivre dans un environnement ouvertement misogyne. Aujourd'hui, cette repentie travaille dans le bâtiment, l'un des rares secteurs au Japon qui tolère ses tatouages. Désireuse de changer de vie et d'utiliser son expérience pour aider les autres, elle dirige désormais une association de réinsertion d'anciens délinquants, où elle croise régulièrement d'anciens membres des yakuzas. En Égypte, un flou législatif propose aux couples de choisir le sexe de leur futur enfant. De nombreuses cliniques offrent cette possibilité strictement interdite en Europe pour 2 000 euros. Un service cher pour beaucoup et pourtant inestimable pour certains. Enfin, au Kenya, une école de musique s'est spécialisée dans la formation des femmes comme DJ. Elles restent peu nombreuses en Afrique de l'Est, sont moins bien payées que les hommes et les coûts de formation sont souvent trop élevés mais la Santuri Electronic Music Academy a décidé de faire bouger les choses. 

7 milliards de voisins
Entreprendre en Afrique: financer les TPE, PME grâce aux diasporas

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 48:30


Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas.  Cette émission est une rediffusion du 21 juillet 2025.   Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch - Nelly Chaby, créatrice de Macajou entreprise de fabrication de macarons à base de produits locaux à Cotonou, Bénin.   Partie 2 : Financer les TPE, PME grâce aux diasporas - Felix Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) et président de l'Association des Bourses Africaines (ASEA) - Duplex Eric Kamgang, président et fondateur de Studely, société qui propose une solution complète à destination des étudiants afin de faciliter leur accès à l'enseignement supérieur français - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch.   Programmation musicale :  ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice) ► Abou Tall – Bats-toi (playlist).