Podcasts about cameroun

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cameroun

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Journal de l'Afrique
Cameroun : qui sera candidats à la présidentielle fixée au 12 octobre ?

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 12:14


Au Cameroun, les électeurs sont appelés aux urnes le 12 octobre 2025, pour élire leur président. Les candidats ont maintenant 10 jours pour déposer leur dossier de candidature à Élections Cameroon, l'organe en charge de l'organisation des élections. Le compte à rebours est donc enclenche pour un scrutin crucial et plein d'incertitudes pour l'avenir du pays. A ce jour, les candidatures des trois premiers du scrutin de 2018 suscitent encore des interrogations.

Six heures - Neuf heures, le samedi - La 1ere
Lʹinvitée (best of) – Sarah Imsand, réalisatrice

Six heures - Neuf heures, le samedi - La 1ere

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 8:59


Le film documentaire " Kevine et Fortune " suit au Cameroun le parcours de deux jeunes femmes, footballeuses, amies sur le terrain et dans la vie. Elles rêvent dʹune carrière internationale. Lʹune dʹelles a été repérée par un grand club français. Karine Vasarino les avait rencontrées en avril dernier à Lausanne. Le film est diffusé ce dimanche 13 juillet sur RTS2.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 11 juillet 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

Invité Afrique
Cameroun: «C'est le moment pour Paul Biya de prendre sa retraite et d'être respecté»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 11:37


Candidat ou pas ? Au Cameroun, l'avenir du président Biya provoque de multiples débats depuis que le porte-parole du gouvernement et celui du parti au pouvoir ont affiché publiquement leur désaccord. C'était au début de la semaine sur RFI. Ce vendredi, voici la réaction de Christopher Fomunyoh. Mais comme le grand essayiste camerounais est aussi le directeur Afrique du National Democratic Institute, un think tank américain proche du Parti démocrate, il s'exprime d'abord sur le sommet organisé mercredi par Donald Trump. En ligne de Washington, Christopher Fomunyoh répond à C. Boisbouvier.  RFI : « Plus de commerce, moins d'aide », a dit en substance Donald Trump aux cinq chefs d'État africains qu'il a reçus ce mercredi à la Maison Blanche. Qu'est-ce que vous pensez de cette nouvelle approche des États-Unis avec l'Afrique ?  Christopher Fomunyoh : Effectivement, je pense que peut-être, compte tenu des richesses naturelles existant sur le continent, ça va ouvrir de nouvelles perspectives. Et nous l'avons ressenti parce que, mercredi, les cinq chefs d'États à tour de rôle, chacun parlait des richesses naturelles de son pays. Et il est envisagé un autre sommet, peut-être au mois de septembre à New York, et peut-être que ça va changer le paradigme.  Les contrats miniers, c'est l'un des arguments que les États-Unis mettent à présent sur la table. Est-ce qu'après 25 ans d'échec dans les Grands Lacs, cette stratégie pourrait réussir ?  Peut-être que les deux États du Congo et du Rwanda, voyant un intérêt commun dans la possibilité de nouvelles richesses dans l'exploitation des minerais, pourront s'entendre à régler leurs conflits par des voies de négociations. Donc c'est à encourager si ça peut calmer les choses et éviter la perte en vies humaines qu'a connu le Congo à l'est de son territoire, c'est vraiment à saluer.  Alors à propos de ces matières premières, pour l'instant, c'est la Chine qui exploite le plus de terres rares en Afrique. Est-ce que les États-Unis ont raison ou pas de vouloir entrer en compétition avec la Chine sur le terrain africain ?  Effectivement, la compétition avec la Chine, je ne serais pas surpris si cela était entré dans le calcul par rapport même à l'invitation des cinq pays dont les chefs d'États se trouvent à Washington en ce moment.  Donc, a priori, Washington a pris soin d'inviter cinq chefs d'États qui résistent à la force d'attraction de la Chine ? Je ne sais pas si c'est cela, l'indicateur qui a motivé le choix de ces cinq pays, mais c'est quand même des pays qui, à divers degrés, contiennent des ressources qui peuvent attirer le secteur privé américain.  Sur RFI et France 24, au mois de mars dernier, le nouveau président du Gabon, Brice Clotaire Oligui Nguema, a révélé que les Chinois avaient souhaité installer une base militaire sur les côtes gabonaises, mais que le Gabon avait décliné la proposition. Est-ce que vous pensez que c'est l'une des raisons pour lesquelles ce président était invité à la Maison Blanche ce mercredi ? Effectivement, ça se voit que, depuis la transition au Gabon, le Gabon essaie de peser aussi dans les conversations diplomatiques avec Washington. On l'a ressenti aussi mercredi lorsque le nouveau président gabonais a fait étalage de son ouverture.  Vous êtes Camerounais et vous suivez avec beaucoup d'attention le début de la campagne pour la présidentielle d'octobre prochain. Cette semaine, on a entendu le porte-parole du gouvernement nous dire que la candidature de Paul Biya à un huitième mandat n'était sûre qu'à 50%. Puis le porte-parole du parti au pouvoir RDPC nous dire que cette candidature était sûre à 100%. Comment vous réagissez ?  Cela ne me surprend pas du tout. Tout au contraire, ça démontre ce que nous avons toujours décrié avec le régime en place, parce que nous avons vu le ministre René Sadi, par exemple, qui semble prendre la mesure de l'angoisse dans laquelle vivent les populations camerounaises quant à l'effectivité de la gouvernance et de la gestion du pouvoir par le président Paul Biya. Il a essayé d'être rationnel et même de rassurer dans une certaine mesure ces populations-là. Mais quelques heures après, nous avons été très surpris que le ministre Fame Ndongo sorte en se lançant dans un sophisme exacerbé, qui prête à confusion non seulement pour les Camerounais, mais aussi pour tous les Africains qui regardent avec curiosité ce qui se passe au Cameroun.  Si Paul Biya vous demandait conseil aujourd'hui, qu'est-ce que vous lui diriez ?  Je lui dirais clairement d'aller se reposer parce que, si je voulais être cynique, je dirais comme certains que la candidature de Paul Biya serait un cadeau. Le plus beau cadeau que le parti au pouvoir pourrait rendre à l'opposition. Parce que ce serait très facile de le battre dans une campagne où il ne pourra pas battre campagne, où il ne pourra pas faire des tournées dans les dix régions du pays, où il ne pourra pas interagir avec les journalistes et les populations. Mais je ne suis pas cynique à ce point. Je suis optimiste de nature et je lui dirais carrément : « en tant que grand-père, en tant qu'arrière-grand-père, c'est le moment de prendre votre retraite et d'être respecté par les Camerounais et par les Africains et par le monde entier ».

Quoi de neuf ?
Leadership enraciné : culture, communauté et engagement francophone : Entretien avec Sandra Kemzang

Quoi de neuf ?

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 33:06


Dans cet épisode, Amal Madibbo, membre du CREFO, rencontre Sandra Kemzang, étudiante en droit à l'Université d'Ottawa.Sandra Kemzang est une étudiante de première année en droit à la Section de common law en français de l'Université d'Ottawa, inscrite dans le programme combiné JD-BSc.Soc avec une spécialisation en science politique. Originaire du Cameroun, elle a grandi dans une région francophone où elle a su cultiver un profond attachement à sa culture d'origine. Déjà au secondaire, elle s'était démarquée en tant que major de promotion et lauréate du Prix du leadership, une reconnaissance de son engagement exceptionnel. Aujourd'hui, elle poursuit son parcours en alliant excellence académique et implication communautaire. Représentante de sa cohorte 1L au sein du Regroupement étudiant de common law en français (RÉCLEF), mentor en chef au Centre de mentorat régional, et vice-présidente aux communications de Jeunesse Yemba — un organisme valorisant la culture camerounaise — Sandra incarne un leadership enraciné dans la culture et le service à la communauté. Elle conçoit le droit comme un levier d'équité, une manière de comprendre et de transformer les règles du jeu social pour mieux défendre les droits de chacun. Par son travail au RÉCLEF, elle milite pour un meilleur accès à la justice en français et souhaite contribuer à renforcer l'offre de services juridiques dans les deux langues officielles. Engagée, rigoureuse et profondément ancrée dans ses valeurs, elle œuvre aussi à rendre la profession juridique plus inclusive en encourageant les jeunes femmes noires et les étudiants francophones à poursuivre des études en droit. Résolument tournée vers l'avenir, Sandra Kemzang représente une voix forte pour un droit plus juste, plus accessible et plus représentatif de la diversité canadienne.

Journal de l'Afrique
Au Cameroun, la candidature de Paul Biya à la présidentielle divise

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 12:53


Le sujet ne semble plus tabou au Cameroun : de plus en plus de voix s'élèvent pour demander au président Paul Biya de ne pas être candidat à la prochaine présidentielle. Une requête portée par un groupe d'intellectuels. À moins de quatre mois d'un scrutin crucial, des divergences semblent apparaître entre plusieurs caciques du régime sur l'avenir politique du président camerounais, qui est, à 92 ans, le plus vieux dirigeant au monde.

Invité Afrique
Cameroun: Paul Biya «est le candidat du RDPC à l'élection présidentielle, tout le reste n'est que supputation»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 11:13


Le chef de l'État camerounais sera-t-il candidat à la présidentielle d'octobre ? « C'est du 50/50 », a déclaré lundi sur RFI le porte-parole du gouvernement camerounais, le ministre René-Emmanuel Sadi. « Il n'y a aucun doute », le président Paul Biya sera candidat en octobre, affirme de son côté, toujours sur RFI, le porte-parole du parti au pouvoir RDPC, Jacques Fame Ndongo. Visiblement, il y a donc une divergence entre le gouvernement et le parti au pouvoir sur l'avenir politique du président camerounais. Jacques Fame Ndongo, qui est aussi ministre d'Etat et ministre de l'Enseignement supérieur, répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Nous sommes à trois mois de la présidentielle et, à la différence des autres grands partis politiques, le RDPC au pouvoir n'a toujours pas désigné son candidat. Est-ce qu'aujourd'hui vous pouvez nous en dire plus ? Jacques Fame Ndongo : Le candidat du RDPC est désigné. Article 27, alinéa trois, des statuts du parti. Que dit cet article ? Le président national du RDPC est le candidat du parti à l'élection présidentielle. Il est le candidat et je le dis de manière catégorique. Mais formellement, comment le RDPC peut-il prendre une telle décision ? Est-ce lors d'un congrès ? Est-ce lors d'un comité central ? Est-ce lors d'un bureau politique ? On n'a pas besoin d'un congrès. On n'a pas besoin d'autres choses. Nous avons nos statuts. C'est le droit positif. C'est-à-dire, l'article 27 des statuts du parti ne laisse planer aucun doute. Le président national du RDPC est le candidat du RDPC, de ce parti-là donc, à l'élection présidentielle. Donc, il y a zéro chance qu'il y ait un autre candidat du RDPC à la présidentielle d'octobre ? Nos statuts sont clairs. Pour être candidat du RDPC à l'élection présidentielle, il faut être président national de ce parti. Or, je ne sais pas qu'il y ait un autre président national du RDPC. Donc, c'est le président national du parti, Son Excellence Paul Biya, qui est le candidat. C'est dans les statuts du parti. Mais le chef de l'État a fait savoir ces derniers temps qu'il répondrait en temps voulu à l'appel du parti qui lui demande d'être candidat. Il n'a pas encore formellement répondu à cet appel… Je vous dis qu'il est candidat. Mais qu'est-ce qui vous permet de savoir qu'il est candidat alors qu'il ne s'est pas exprimé lui-même ? Parce que, ayant critiqué toutes les sources, je peux vous affirmer de manière péremptoire qu'il est le candidat du RDPC à l'élection présidentielle. Tout le reste n'est que supputation. C'est-à-dire que vous l'avez vu récemment ? Je ne peux pas répondre à cette question, mais je vous dis que j'ai procédé à toutes les vérifications possibles et réelles. L'information que je vous livre est puisée à très bonne source. Ce que tout le monde a envie de vous demander, c'est : est-ce que vous avez pu rencontrer ces dernières heures le président Paul Biya et est-ce qu'à l'issue de cette rencontre il vous a donné son accord pour que vous nous disiez ceci aujourd'hui ? Je ne le dirai pas, mais sachez qu'en 52 ans de haute administration, il m'est difficile de me jeter comme ça dans un tonneau des Danaïdes si je n'ai pas la certitude de ce que j'affirme. Je ne suis pas né de la dernière pluie, comme vous le savez bien. Donc, vous avez puisé à la meilleure source ? J'ai puisé à bonne source, c'est bien vérifié, c'est bien recoupé. Pas de doute là-dessus. Alors, formellement, par quel canal le chef de l'État va-t-il annoncer qu'il répond oui à l'appel des militants de son parti ? Oui, il le fera. Vous savez qu'il est maître du temps présidentiel. Il le fera par le canal qu'il jugera le plus opportun. Alors, ce lundi 7 juillet, sur RFI, le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, René-Emmanuel Sadi, a affirmé que rien n'était décidé concernant la candidature ou non du président Biya à la présidentielle d'octobre. « C'est du 50/50 », a-t-il précisé… Oui là, c'est l'État. Moi, je parle au nom du parti. Vous êtes bien d'accord que ce sont quand même deux points de vue divergents ? C'est vous qui le dites. Et est-ce que cette divergence, ça ne crée pas une situation de cacophonie au sommet de l'État camerounais ? Il n'y a aucune cacophonie. L'un parle pour le gouvernement de la République et l'autre pour le parti au pouvoir. Il n'y a pas de parti État. Alors par ailleurs, vous êtes ministre de l'Enseignement supérieur, vous êtes donc un collègue de René-Emmanuel Sadi. Est-ce que vos propos ne risquent pas d'être perçus comme une sérieuse entorse au principe de solidarité gouvernementale ? Je parle au nom du parti, pas au nom du gouvernement. Le ministre Sadi, qui est un frère, un ami, parle au nom de l'État, au nom du gouvernement. C'est la première fois tout de même que l'on voit une divergence sérieuse de point de vue entre le parti au pouvoir et le gouvernement sur la question d'une candidature à venir du président Biya, est-ce que cela ne dénote pas un certain essoufflement, une certaine fragilité au sommet de l'État camerounais ? C'est vous qui parlez de divergence. Je ne critique personne. La solidarité gouvernementale existe bel et bien, mais moi, je m'exprime au nom du parti au pouvoir.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] Cameroun : stratégies électorales en vue de la présidentielle

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 20:00


À quatre mois de la présidentielle au Cameroun, que vous inspire le climat pré-électoral ? Paul Biya n'a pas encore officialisé sa candidature. Son parti, le RDPC, a perdu deux alliés de poids. Dans les rangs de l'opposition, les consultations se multiplient. Vos analyses nous intéressent.

Invité Afrique
René-Emmanuel Sadi, ministre camerounais de la Communication : «La candidature du président Biya ? C'est du 50/50»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 19:07


Le chef de l'État camerounais, Paul Biya, sera-t-il candidat à sa succession lors de la présidentielle du mois d'octobre prochain ? « C'est du 50/50 », répond ce lundi sur RFI le ministre camerounais de la Communication, René-Emmanuel Sadi. Dans cette interview, le porte-parole du gouvernement camerounais réagit également à la démission récente de ses deux collègues, Bello Bouba Maïgari et Issa Tchiroma Bakary, et à l'annonce de leur candidature à la présidentielle à venir. « Au parti RDPC au pouvoir, les rangs sont en train de se resserrer », déclare-t-il. En ligne de Yaoundé, le ministre de la Communication et Porte-parole du gouvernement répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Les départs annoncés des ministres Bello Bouba Maigari et Issa Tchiroma Bakary de votre gouvernement, est-ce que ce n'est pas un coup dur à trois mois de l'élection présidentielle ? René-Emmanuel Sadi : Des alliés qui partent et non des moindres, effectivement, on peut forcément le regretter. Pour autant, nous ne croyons pas qu'il faille faire tout un drame de ces démissions de quelques membres du gouvernement, en l'occurrence des ministres appartenant au FSNC et à l'UNDP. Je le dis parce que le Cameroun est un pays de liberté et de démocratie et ceci est un acquis irréversible que nous devons incontestablement à l'engagement du président Paul Biya. Le RDPC, quant à lui, en prend forcément acte et le RDPC, fort de ses nombreux atouts et de son maillage territorial, reste debout et serein. C'est vrai que la concurrence sera sans doute un peu plus forte puisque nous avons perdu des alliés, mais le RDPC va s'organiser, les rangs sont en train de se resserrer et il est quasiment certain, de mon point de vue, que nous allons préserver cette position dominante que nous avons non seulement sur l'ensemble du pays, mais particulièrement dans la zone du septentrion. Enfin, pour ce qui est de la prétendue absence au sommet de l'État, il n'en est rien. Le président de la République conduit bel et bien les affaires de la République dans un style qui lui est propre, fait de discrétion et d'efficacité, sans tapage. Alors en effet, c'est Issa Tchiroma Bakary qui a parlé de l'absence de Paul Biya en tant que président de la République. Il a expliqué que, lors des réunions, le président ne s'exprimait plus, qu'il était absent et qu'il ne gouvernait plus. Qu'est-ce que vous répondez à cela ? Je pense que cette absence est une absence apparente. Cette absence apparente n'enlève rien à l'efficacité de l'homme et n'enlève rien à sa connaissance parfaite des dossiers. Il suit au quotidien tout ce qui se passe. Il est certainement l'homme le plus informé. Mais quand on a 92 ans, est-ce qu'il n'est pas normal qu'on ait quelquefois quelques absences ? Justement, à 92 ans, c'est un énorme mérite que de continuer à gouverner son pays. C'est un énorme mérite que de s'intéresser aux affaires de l'État, de suivre les dossiers. Je pense que la chance qu'on a, c'est que le président, à cet âge, a une mémoire phénoménale. C'est vrai, l'âge est là, il est important. Mais évidemment, quand on peut, malgré cet âge, continuer à suivre ses dossiers, c'est aussi un grand mérite qu'il faut saluer. Est-ce que le Secrétaire général de la Présidence Ferdinand Ngoh Ngoh n'est pas quelquefois le vrai patron du pays, quand le président n'est pas en mesure de gouverner à chaque heure de la journée ? Non, non, je ne dirai pas la même chose. Le Secrétaire général de la Présidence peut donc, en tant que collaborateur le plus proche du président de la République, le connaissant, il peut anticiper. Je peux vous dire qu'il est tenu de rendre compte et, s'il a anticipé que la décision qu'il a eu à prendre n'est pas celle qui convenait, le chef de l'État est en mesure d'apporter les corrections nécessaires et, évidemment, il s'exécute dans ce sens-là. Alors, à trois mois de la présidentielle, tous les grands partis ont investi leur candidat, ou du moins ont annoncé qui sera leur candidat. Tous sauf le RDPC au pouvoir. Pourquoi ? Tout simplement parce que le RDPC connaît les dispositions de la loi. Nous avons encore suffisamment de temps pour que le RDPC se prononce et donc nous attendons dans les meilleurs délais possibles sous la conduite de son président national, le président Paul Biya. Nous entendons nous décider dans ce sens-là. Le chef de l'État lui-même a laissé entendre que, le moment venu, il dirait à ses militants s'il est candidat ou non. Quand Paul Biya s'exprimera, est-ce que vous êtes certain qu'il dira : « Oui, je suis candidat ? » ou est-ce qu'il y a une hypothèse où il pourrait dire : « Eh bien, non, je ne serai pas candidat, ce sera quelqu'un d'autre » ? Je ne suis pas un devin, pour vous dire. Il se prononcera en son âme et conscience. Et c'est un homme d'une très grande clairvoyance, d'une très grande sagesse. Il saura dire à ses compatriotes la position qui sera la sienne. Mais pour dire les choses familièrement, à votre avis, c'est du 50/50, ou il y a plus de chances qu'il dise oui ou qu'il dise non ? C'est du 50/50. Forcément, puisqu'il l'a dit, qu'il se prononcera le moment venu. Forcément, c'est du 50/50. Donc le jeu est ouvert ! Écoutez, c'est lui qui nous a dit qu'il va se prononcer le moment venu. Ses militants, beaucoup ont fait des appels au président et c'est à lui qu'il appartient de répondre à ses militants. Et il peut y avoir une surprise ? Bon, peut-être que ça peut être une surprise dans un sens comme dans l'autre. À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: dans le sud-ouest anglophone, les élites du RDPC derrière Paul Biya

Editions Karthala
"Faire corps avec les objets" de Céline Rosselin-Bareille et Jean-Pierre Warnier

Editions Karthala

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 56:28


Cet ouvrage de synthèse, efficace dans la méthode et convaincant dans la démonstration, fait état d'un « tournant matériel » (material turn) qui s'est produit dans les années 1980-1990 presque simultanément en Europe et aux États-Unis en tenant compte de la prise permanente qu'exercent les humains sur le monde matériel et réciproquement.Il a popularisé l'expression de culture matérielle. Sous les effets croisés des questions féministes, écologiques et technologiques, il a rebondi vers les années 2010 en développant de nouvelles thématiques. Céline Rossellin-Bareille et Jean-Pierre Warnier – anthropologues – ont activement participé à ce mouvement au sein du groupe de recherche « Matière à Penser » (MàP).Leur approche consiste à conjoindre le corps, les objets et les environnements que de nombreux chercheurs dissocient trop souvent les uns des autres. Notre prise sur la culture matérielle se fait par des conduites qui impliquent inséparablement sensori-motricité, cognition et affects aux puissants effets de subjectivation.Cet ouvrage, à jour de l'abondante littérature internationale disponible tout en s'en démarquant, prend le relai d'une publication de 1999 (Construire la culture matérielle) et renouvelle les résultats de plus de 30 années de réflexion.Céline Rosselin-Bareille est professeure à l'Université Picardie Jules Verne et membre de l'UR 4287 Habiter le Monde. Avec Marie-Pierre Julien, elle a publié : La Culture Matérielle, Paris, La Découverte, coll. Repères, 2005 ; Le sujet contre les objets… tout contre. Ethnographies de cultures matérielles, Paris, CTHS, 2009.Jean-Pierre Warnier (Ph.D., Univ. of Penn, Docteur ès Lettres) a mené l'essentiel de ses recherches en Afrique où il a été sensibilisé aux cultures matérielles et sensori-motrices en tant que microtechnologies du pouvoir. Dernières publications : Régner au Cameroun. Le Roi-Pot, Paris, CERI-Karthala, 2009 ; et Dix ans de bonheur. Un couple bourgeois à l'Age des extrêmes, Paris, CERI-Karthala, 2023.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 4 juillet 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

De vive(s) voix
Quelles initiatives pour préserver les langues en danger ?

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 29:00


Environ 7 000 langues sont parlées dans le monde, mais celui-ci est dominé par une vingtaine de langues ! Qu'en est-il des autres ? En cette décennie des langues autochtones décidée par l'UNESCO, RFI a consacré un grand dossier aux langues en danger, conçu par Baptiste Condominas.    Combien de langues disparaissent chaque année ? Difficile à quantifier, car il est parfois impossible de savoir à quel moment le dernier locuteur d'une langue meurt.  Depuis quelques années, les chercheurs s'y intéressent, parce que lorsqu'une langue disparaît, c'est toute une culture qui disparait avec. L'Unesco juge que si rien n'est fait, la moitié des langues pourrait disparaitre au cours de ce siècle. L'Asie-Pacifique est la première aire géographique concernée avec notamment les langues indonésiennes, ou encore les langues aborigènes en Australie. Certains pays d'Afrique comme le Cameroun, le Nigeria, l'Éthiopie ou le Soudan sont concernés.  Pourquoi chaque année, certaines langues disparaissent ? Comment protéger des langues en danger ? En quoi le changement climatique peut-il favoriser la disparition de certaines langues ? Quelles sont les conséquences de la disparition de langues chaque année ? Y a-t-il des mouvements de revendications pour la sauvegarde de ces langues ?  Certaines langues disparaissent, car certains groupes sont obligés d'abandonner leur langue ancestrale au profit d'une langue dominante. Il y a trois contextes : la colonisation européenne qui a entraîné la mort de millions d'autochtones, la formation des États-nations avec une éducation monolingue dans une langue unique et les périodes de crises comme les guerres, les épidémies. Les langues ne meurent pas, elles sont tuées. Evangelia Adamou  Exemples avec :  Le live : une langue finno-ougrienne complexe, à déclinaisons, encore parlée en Lettonie par une vingtaine de personnes, dans un pays de 1,8 million d'habitants. Parlée autrefois par les communautés lives sur les terres de Courlande et au nord de Riga, les locuteurs sont aujourd'hui dispersés et se mobilisent pour que cette langue ne disparaisse pas. Depuis 1999, cette langue a le statut de langue indigène. Une vraie langue survivante !  Avec notre correspondante en Lettonie, Marielle Vitureau.  Le taa : une langue d'Afrique australe, parlée par environ quatre mille locuteurs au Botswana et en Namibie. Une langue «qui a le système sonore le plus complexe du monde» avec plus d'une centaine de sons qui a fasciné Ian Brennan, compositeur et producteur récompensé aux Grammy Awards en 2011 pour le meilleur album de musique du monde !  Avec notre correspondant régional, Valentin Hugues.  Le sapara : une langue indigène de l'Équateur. L'une des dernières locutrices, Mukusawa Santi Ashanga, est décédée en mars dernier à Quito. Les Saparas étaient un peuple indigène assez nombreux au XVIIè siècle puis les maladies (fièvre jaune, fièvre du caoutchouc) ont décimé une partie de la population qui est passée de 100.000 à 20.000 personnes au début du XXè siècle. Il resterait aujourd'hui quelques centaines de personnes, mais qui ne parleraient pas ou peu la langue.  Avec notre correspondant en Équateur, Eric Samson.  Vous pouvez écouter toutes ces langues dans les articles correspondants (voir liens hypertextes). Invités : Baptiste Condominas, journaliste pour RFI. Retrouvez le dossier complet sur les langues en danger ici et Evangelia Adamou, linguiste et directrice de recherches au CNRS, elle travaille sur la situation des langues minoritaires.  Programmation musicale :  L'artiste Elisapie avec le titre Inuuniaravit, une reprise de Born to be alive, de Patrick Hernandez en langue inuktitut, la langue de ses origines. Une langue en péril. 

Journal de l'Afrique
En Tunisie, l'avocate Sonia Dahmani écope de deux ans de prison supplémentaires

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 12:18


L'avocate tunisienne Sonia Dahmani, qui purge déjà deux peines de 26 mois de prison au total, a été condamnée lundi à deux ans de prison supplémentaires. Elle était poursuivie dans une affaire liée à des déclarations critiquant le racisme envers les migrants dans son pays

7 milliards de voisins
Spéciale Mondoblog : les voix francophones à l'honneur !

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 48:29


1 300 blogs, 28 000 articles publiés et 90 pays représentés, la plateforme Mondoblog lancée par RFI rassemble, depuis 2010, toute une communauté de blogueurs francophones. À la fois média et projet de formation, elle a permis à des jeunes de s'exprimer sur leur quotidien ou sur des sujets qui les touchent. Des taxis qui carburent au butane en Côte d'Ivoire, la cuisine des feuilles de Nkui au Cameroun, l'accueil réservé à la communauté haïtienne à Montréal... Autant de billets de blog, de réflexions, de prises de position et de récits personnels que les lecteurs et auditeurs de 8 milliards de voisins ont pu découvrir. Une manière différente de comprendre le monde sous la plume de blogueurs amateurs ou professionnels, au-delà des médias traditionnels. Retour sur 15 ans d'écriture avec l'équipe de Mondoblog et une aventure qui se termine. Le blogging connaît moins de succès aujourd'hui, mais se réinvente-t-il par la voix du podcast ?  En ouverture :   • Philippe Couve, ancien journaliste à RFI, il a imaginé le projet Mondoblog aux côtés du journaliste Cédric Kalonji.  • Ziad Maalouf, ancien journaliste à RFI et ancien présentateur de l'émission l'Atelier des médias. Il a initié et développé le projet Mondoblog. Et avec :   • Simon Decreuze, réalisateur, coordinateur de production des podcasts natifs de RFI. Il a initié et développé le projet Mondoblog • Alaa Kzham, journaliste, responsable de la plateforme Mondoblog •Inès Emprin, journaliste alternante pour Mondoblog  Sans oublier les voix de Mondoblog : des notes vocales, des archives sonores. • Les messages des blogueurs et blogueuses :    • Les archives de Mondoblog audio :  Programmation musicale : ► Le bus – Wallace Cleaver

Diptyk, le podcast
Eric Van Hove

Diptyk, le podcast

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 46:19


Dans cet épisode du podcast, Meryem Sebti s'entretient avec Eric Van Hove. Né en Algérie, Éric Van Hove a grandi au Cameroun, étudié au Japon et sillonné une centaine de pays avant de s'installer à Marrakech en 2012. Un nomadisme qui sous-tend l'œuvre conceptuelle de cet artiste belge pluridisciplinaire reliant sans cesse le local au global. Il est aujourd'hui sur le point d'homologuer Mahjouba, une moto électrique réalisée par les artisans et pensée comme un fait social total.Lisez "Eric Van Hove, vers une fonction sociale de l'art" sur Diptykmag.com. -----------------Diptyk est le magazine de référence de l'art contemporain africain, produit, publié et imprimé à Casablanca au Maroc.Avec ce podcast, nous souhaitons vous donner accès aux personnalités qui animent la scène artistique africaine et marocaine, des artistes aux galeristes en passant par les curateurs et commissaires d'exposition https://um6p.ma/fr.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 27 juin 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

C'est pas du vent
La riposte face aux dessous pas chics de la fast fashion

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Jun 27, 2025 48:30


Comment êtes-vous habillé aujourd'hui ? Où ont été fabriqués vos vêtements et dans quelles conditions ? Ces questions prennent de plus en plus de place dans nos têtes avec la multiplication des reportages sur les coulisses de la fast fashion, ces enseignes de mode éphémère qui mettent en vente des milliers de modèles différents à des prix très bas. Nous avons tous vu ces montagnes de vêtements usagés aux abords de certaines villes africaines ou asiatiques… Oui mais acheter un vêtement, c'est un plaisir et quand il n'est pas cher, c'est accessible à tous ! En plus une véritable économie s'est développée dans les pays du Sud autour de ces surplus de vêtements occidentaux, comme vous le verrez dans un instant au Cameroun. Alors, les ONG multiplient les rapports, les pouvoirs publics tentent de légiférer, des entreprises développent des alternatives en France. Nous vous emmènerons en région Rhône Alpes découvrir la marque 1083 qui fabrique des jeans 100% français et l'usine Nouvelles fibres qui fabrique du tissu à partir de vêtements recyclés. Reportage de Clémentine Méténier. Avec l'éclairage de Hatem Sedkaoui, membre fondateur de la Fédération de la mode circulaire.   Musique diffusée pendant l'émission BabySolo33 - Fashion Victime.

Afrique Économie
Cameroun: l'essor des entrepreneurs créateurs de contenus sur les réseaux sociaux

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jun 26, 2025 2:15


Créateur de contenu, ce nouveau métier permet aujourd'hui à de jeunes Camerounais de générer des revenus conséquents et de gravir les échelons dans la société. Leurs contenus sur les réseaux sociaux, Facebook, YouTube, TikTok influencent leur entourage. Les marques les sollicitent et grâce à des contrats de plus en plus juteux, certains réussissent à créer des entreprises. « Bonjour… vous avez fini avec les photos ? ». Depuis avril dernier, la créatrice de contenu Frida Choco Bronze passe ses journées ici au quartier Ndogbong de Douala, dans un appartement de trois pièces transformé en maison de production. « Nous sommes installés ici depuis trois mois. On fait des photos… La création de contenus a changé ma vie. » Monique production, en hommage à sa maman décédée, est l'aboutissement d'un rêve pour Frida. Après six ans passés sur les réseaux sociaux, elle cumule plus d'un million d'abonnés. Une popularité qu'elle a capitalisée. Désormais, elle est à la tête de sa propre société. « Aujourd'hui, nous gagnons entre 800 et un million [de francs CFA] par mois », estime son collègue Matip, qui gère l'entreprise. Les créateurs de contenus camerounais s'exportent Plusieurs créateurs de contenus sont ciblés par les marques qui en font des ambassadeurs. « Le créateur de contenus doit avant tout travailler sa crédibilité, souligne Leroufa Ndam, qui possède un catalogue riche d'une dizaine de créateurs. Le plus gros contrat que j'ai négocié est de plus 15 millions [de francs CFA]. » Aujourd'hui, les créateurs de contenus camerounais exportent leurs talents. Ils nouent des collaborations avec des Ivoiriens, Gabonais ou encore Congolais. Une démarche internationale qui fait grimper leur valeur. À lire aussiTunisie: les créateurs de contenu sur les réseaux sociaux en quête de statut

Priorité santé
Le vitiligo, maladie chronique de l'épiderme

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 48:30


À l'occasion de la journée internationale de lutte contre le vitiligo, nous faisons un point sur cette maladie chronique de l'épiderme, caractérisée par une dépigmentation et l'apparition de taches blanches, plus ou moins étendues, sur plusieurs zones du corps (visage, pieds, mains, etc.). Cette pathologie touche 1 à 2% de la population mondiale, quels que soient le sexe, l'âge et la couleur de peau. Quelles sont les causes du vitiligo ? Crèmes, photothérapie… Quelle prise en charge est possible ?  Pr Julien Seneschal, responsable de l'Unité Dermatologie Inflammatoire et Auto-Immune du Centre de Référence pour les Maladies Rares de la Peau du CHU de Bordeaux Dr Christine Mandengue, dermatologue, praticienne hospitalo-universitaire à l'Université des Montagnes à Bangangté, à l'ouest du Cameroun.   Un reportage de Thibault Matha.   Programmation musicale :  ► Enny – Peng black girls ► Trinix, Marina Froes – Vaitimbora.

Priorité santé
Le vitiligo, maladie chronique de l'épiderme

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 48:30


À l'occasion de la journée internationale de lutte contre le vitiligo, nous faisons un point sur cette maladie chronique de l'épiderme, caractérisée par une dépigmentation et l'apparition de taches blanches, plus ou moins étendues, sur plusieurs zones du corps (visage, pieds, mains, etc.). Cette pathologie touche 1 à 2% de la population mondiale, quels que soient le sexe, l'âge et la couleur de peau. Quelles sont les causes du vitiligo ? Crèmes, photothérapie… Quelle prise en charge est possible ?  Pr Julien Seneschal, responsable de l'Unité Dermatologie Inflammatoire et Auto-Immune du Centre de Référence pour les Maladies Rares de la Peau du CHU de Bordeaux Dr Christine Mandengue, dermatologue, praticienne hospitalo-universitaire à l'Université des Montagnes à Bangangté, à l'ouest du Cameroun.   Un reportage de Thibault Matha.   Programmation musicale :  ► Enny – Peng black girls ► Trinix, Marina Froes – Vaitimbora.

Le Média
Cameroun : pourquoi le pouvoir de Paul Biya a peur de Maurice kamto

Le Média

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 21:30


Parmi les échéances électorales les plus attendues sur le continent africain durant cette année 2025, la présidentielle au Cameroun est de toute évidence sur tous les agendas.▶ Le Média lance le plan "Riposte"

7 milliards de voisins
Comment améliorer la situation des veuves en Afrique ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 48:30


À l'échelle mondiale, on estime à près de 260 millions le nombre de veuves. Une sur dix, vit dans l'extrême pauvreté. Dans de nombreux pays, le veuvage exclut encore les femmes des structures familiales et sociales. En perdant leur mari, elles sont bien souvent privées de leur droit à la terre, leur propriété et leurs revenus. Rejetées et spoliées par leur belle-famille, elles subissent la stigmatisation et sont mises au ban de la société. Une situation qui les rend vulnérables et les place dans l'incapacité de subvenir à leurs besoins et ceux de leurs enfants. C'est un véritable chemin de croix qui commence pour de nombreuses veuves. Face au poids des traditions et des droits coutumiers, comment améliorer le statut des veuves ? Comment faire en sorte que le veuvage ne soit plus une menace de plus dans la vie des femmes ?   Émission à l'occasion de la Journée internationale des veuves. Avec : • Parfait Akana, sociologue et anthropologue enseignant à l'Université de Yaoundé 2 au Cameroun. Fondateur de The Muntu institut Foundation (African Humanities and Social Sciences). Il a publié, entre autres : Se mobiliser pour le football en Afrique. Une sociologie du supporterisme (Muntu Institute Press, 2023) • Corine Moussa Vanie, juriste ivoirienne et vice-présidente de l'association Akwaba Mousso qui vient en aide aux femmes vulnérables et aux enfants, victimes de violences et membre de l'association des femmes juristes de Côte d'Ivoire • Fatimata Diallo Ba, écrivain franco-sénégalaise, professeur de Lettres classiques. Autrice de Tisserandes, un recueil de cinq nouvelles (L'Harmattan, 2025).  En fin d'émission, un nouvel épisode de notre série Le succès des repats, réalisée par Charlie Dupiot : Christelle Mabangu, passion mangue séchée à Kinshasa.  Christelle Mabangu s'est installée à Kinshasa il y a plus d'un an pour monter « M Factory », une unité de transformation agro-alimentaire qui propose de déshydrater, de sécher et de conditionner des produits du terroir congolais, comme des mangues, des bananes, du gingembre. Cette entreprise que sa patronne veut la plus éco-responsable possible compte aujourd'hui 7 employés. Notre reporter Charlie Dupiot a pu la visiter.    Programmation musicale : ► Allons voir - Feu Chaterton  ► Hasta Cuando - Las Panteras.

7 milliards de voisins
Comment améliorer la situation des veuves en Afrique ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Jun 23, 2025 48:30


À l'échelle mondiale, on estime à près de 260 millions le nombre de veuves. Une sur dix, vit dans l'extrême pauvreté. Dans de nombreux pays, le veuvage exclut encore les femmes des structures familiales et sociales. En perdant leur mari, elles sont bien souvent privées de leur droit à la terre, leur propriété et leurs revenus. Rejetées et spoliées par leur belle-famille, elles subissent la stigmatisation et sont mises au ban de la société. Une situation qui les rend vulnérables et les place dans l'incapacité de subvenir à leurs besoins et ceux de leurs enfants. C'est un véritable chemin de croix qui commence pour de nombreuses veuves. Face au poids des traditions et des droits coutumiers, comment améliorer le statut des veuves ? Comment faire en sorte que le veuvage ne soit plus une menace de plus dans la vie des femmes ?   Émission à l'occasion de la Journée internationale des veuves. Avec : • Parfait Akana, sociologue et anthropologue enseignant à l'Université de Yaoundé 2 au Cameroun. Fondateur de The Muntu institut Foundation (African Humanities and Social Sciences). Il a publié, entre autres : Se mobiliser pour le football en Afrique. Une sociologie du supporterisme (Muntu Institute Press, 2023) • Corine Moussa Vanie, juriste ivoirienne et vice-présidente de l'association Akwaba Mousso qui vient en aide aux femmes vulnérables et aux enfants, victimes de violences et membre de l'association des femmes juristes de Côte d'Ivoire • Fatimata Diallo Ba, écrivain franco-sénégalaise, professeur de Lettres classiques. Autrice de Tisserandes, un recueil de cinq nouvelles (L'Harmattan, 2025).  En fin d'émission, un nouvel épisode de notre série Le succès des repats, réalisée par Charlie Dupiot : Christelle Mabangu, passion mangue séchée à Kinshasa.  Christelle Mabangu s'est installée à Kinshasa il y a plus d'un an pour monter « M Factory », une unité de transformation agro-alimentaire qui propose de déshydrater, de sécher et de conditionner des produits du terroir congolais, comme des mangues, des bananes, du gingembre. Cette entreprise que sa patronne veut la plus éco-responsable possible compte aujourd'hui 7 employés. Notre reporter Charlie Dupiot a pu la visiter.    Programmation musicale : ► Allons voir - Feu Chaterton  ► Hasta Cuando - Las Panteras.

Légendes urbaines
Yamê, scientifique de la musique

Légendes urbaines

Play Episode Listen Later Jun 21, 2025 29:00


Rendez-vous avec Yamê, à l'occasion de la sortie de son nouvel album Ébêm. Retour sur son enfance passée entre Yaoundé et Paris. Ses premiers pas dans la musique, en tant que pianiste, jusqu'à sa Victoire de la Musique. Dans cet épisode, Stromae et Fatoumata Diawara offrent les vidéos surprises.

Appels sur l'actualité
[Vos réactions] La Libre Antenne du 20 juin 2025

Appels sur l'actualité

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 20:00


Réagissez à l'actualité de votre choix avec Juan Gomez. RFI vous donne la parole. L'occasion d'aborder des thèmes qui ne font pas toujours la Une des médias français et internationaux.

C'est pas du vent
La lutte contre la désertification s'organise

C'est pas du vent

Play Episode Listen Later Jun 20, 2025 48:30


« Nous devons guérir nos terres et nos sols. Partout dans le monde, la restauration des terres jette les bases de la sécurité alimentaire et de l'emploi, soutient l'action en faveur du climat et de la biodiversité, et est essentielle pour consolider la paix et la démocratie. »  Ces mots de la ministre colombienne de l'Agriculture, Martha Carvajalino ont résonné au niveau international mercredi dernier à l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse organisée cette année à Bogota sur le thème « Restaurer les terres. Libérer les opportunités ». Ou plutôt ces mots auraient dû résonner au niveau mondial, mais l'actualité internationale a éclipsé cet événement pourtant vital pour chacun d'entre nous. 40% des sols de la planète sont dégradés, c'est-à-dire qu'ils ne retiennent plus l'eau et ne sont plus cultivables. Les causes sont diverses, nous allons en parler avec notre invité Patrice Burger (Fondateur et président de CARI, association de lutte contre la désertification et pionnière de l'agroécologie et les solutions multiple). Nous vous emmènerons au Cameroun où un ambitieux plan de restauration des terres s'appuie sur la volonté des agriculteurs. Un reportage de Richard Onanera. → le site de  Alliance, biodiversity & CIAT  Musique diffusée pendant l'émission Francis Biyong & Massak - Dance life (Cameroun).

Couleurs tropicales
Les blind tests inédits avec Fanicko, Santrinos Raphaël, Jenny Hippocrate, Théodora et Alpha Blondy

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 48:30


Du rire, de la mauvaise foi, de la triche et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs tropicales. Du lundi 16 au jeudi 19 juin 2025, Couleurs tropicales vous propose d'écouter tous les jeux inédits des invités passés par nos studios au cours des dernières saisons. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Sam Fan Thomas - Neng Makassi Santrinos Raphaël feat Pakii Chenzu - Minuit Marioo - Tété Théodora - Kongolese sous BBL Barnaba feat Diamond Platnumz - Salama Alpha Blondy - N'importe quoi Niger and Marvin - Follow da leader Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Couleurs tropicales
Les blind tests inédits avec Fanicko, Santrinos Raphaël, Jenny Hippocrate, Théodora et Alpha Blondy

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jun 19, 2025 48:30


Du rire, de la mauvaise foi, de la triche et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs tropicales. Du lundi 16 au jeudi 19 juin 2025, Couleurs tropicales vous propose d'écouter tous les jeux inédits des invités passés par nos studios au cours des dernières saisons. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Sam Fan Thomas - Neng Makassi Santrinos Raphaël feat Pakii Chenzu - Minuit Marioo - Tété Théodora - Kongolese sous BBL Barnaba feat Diamond Platnumz - Salama Alpha Blondy - N'importe quoi Niger and Marvin - Follow da leader Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Couleurs tropicales
Les blind tests inédits avec Patson, Fredy Massamba, Jay Brixxx, Chloé Lecerf et Milli Vanilli

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 48:30


Du rire, de la mauvaise foi, de la triche et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs tropicales. Du lundi 16 au jeudi 19 juin 2025, Couleurs tropicales vous propose d'écouter tous les jeux inédits des invités passés par nos studios au cours des dernières saisons. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Kassav' – Doméyis Mokobe feat Patson – C'est dans la joie WizTheMc, Bees & Honey – Show Me Love Jay Brixxx ft Pompis – Batty Rider Jimi Hendrix – The Wind Cries Mary  Jimi Hendrix – All Along The Watchtower Milli Vanilli – Girl You Know It's True Sergeo et Njohreur – Le mari d'autrui Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Couleurs tropicales
Les blind tests inédits avec Patson, Fredy Massamba, Jay Brixxx, Chloé Lecerf et Milli Vanilli

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 48:30


Du rire, de la mauvaise foi, de la triche et des chroniqueurs toujours perdants, c'est la recette des blind tests de Couleurs tropicales. Du lundi 16 au jeudi 19 juin 2025, Couleurs tropicales vous propose d'écouter tous les jeux inédits des invités passés par nos studios au cours des dernières saisons. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons :  Kassav' – Doméyis Mokobe feat Patson – C'est dans la joie WizTheMc, Bees & Honey – Show Me Love Jay Brixxx ft Pompis – Batty Rider Jimi Hendrix – The Wind Cries Mary  Jimi Hendrix – All Along The Watchtower Milli Vanilli – Girl You Know It's True Sergeo et Njohreur – Le mari d'autrui Retrouvez notre playlist sur Deezer. 

Dans les yeux d'Olivier Delacroix
PRISE D'OTAGE - Le père Georges a été enlevé par un groupe djiadiste : “Je suis resté digne”

Dans les yeux d'Olivier Delacroix

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 23:43


Si vous aimez "Dans les yeux d'Olivier", le podcast qui donne la parole à ceux qui ne l'ont jamais, laissez des étoiles et des commentaires sur votre plateforme d'écoute préférée !Olivier Delacroix part à la rencontre du père Georges. Installé dans une paroisse au Cameroun, il a été enlevé et fait prisonnier par le groupe djihadiste Boko Haram, pendant plusieurs mois… À 27 ans, Georges est ordonné prêtre. En 2011, il s'envole dans une paroisse au Cameroun, à 12 km du Nigéria qui subit déjà l'insurrection du groupe djihadiste Boko Haram. La nuit du 13 novembre 2013, le père Georges voit des hommes armés entrer dans sa chambre. Il est alors entraîné à l'extérieur avant d'être ligoté sur une moto. Après plusieurs heures de route, le prêtre et ses assaillants arrivent dans un camp d'entraînement d'hommes de Boko Haram. Il restera ligoté à un arbre nuit et jour pendant sept semaines. Mais le père Georges va se battre pour rester digne… Le père de Georges a accepté de confier son histoire dans cet épisode du podcast « Dans les yeux d'Olivier », produit par Europe 1.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité Afrique
«Les années Biya»: l'écrivain camerounais Haman Mana décrypte le parcours présidentiel de Paul Biya

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 17, 2025 7:57


Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier.  RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle

Priorité santé
Hypertension artérielle : vos questions à un spécialiste

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 48:29


Selon l'OMS, 1,28 milliard de personnes dans le monde âgées de 30 à 79 ans sont atteintes d'hypertension. Les deux tiers d'entre elles vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Cette pathologie chronique correspond à une pression trop élevée dans les vaisseaux sanguins. Cette maladie peut être asymptomatique, ce qui explique que 46% des adultes atteints d'hypertension l'ignorent. Comment se passe le dépistage ? Comment assure-t-on le suivi de la maladie ? Quelles peuvent en être les manifestations et les complications ?   Pr Jacques Blacher, cardiologue, spécialiste de l'hypertension artérielle, chef de service du Centre de diagnostic et de thérapeutique à l'Hôpital Hôtel Dieu de Paris et professeur de Thérapeutique à l'Université Paris Cité Pr Félicité Kamdem, maître de conférences agrégée de cardiologie à la Faculté de médecine et des sciences pharmaceutique de l'Université de Douala. Cheffe du service Cardiologie à l'Hôpital général de Douala, au Cameroun. Vice-présidente de la société camerounaise de cardiologie.  Programmation musicale :  ► Laurent Bardainne, Gabi Hartmann – Love high ► Chella – My darling.

Priorité santé
Hypertension artérielle : vos questions à un spécialiste

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 16, 2025 48:29


Selon l'OMS, 1,28 milliard de personnes dans le monde âgées de 30 à 79 ans sont atteintes d'hypertension. Les deux tiers d'entre elles vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Cette pathologie chronique correspond à une pression trop élevée dans les vaisseaux sanguins. Cette maladie peut être asymptomatique, ce qui explique que 46% des adultes atteints d'hypertension l'ignorent. Comment se passe le dépistage ? Comment assure-t-on le suivi de la maladie ? Quelles peuvent en être les manifestations et les complications ?   Pr Jacques Blacher, cardiologue, spécialiste de l'hypertension artérielle, chef de service du Centre de diagnostic et de thérapeutique à l'Hôpital Hôtel Dieu de Paris et professeur de Thérapeutique à l'Université Paris Cité Pr Félicité Kamdem, maître de conférences agrégée de cardiologie à la Faculté de médecine et des sciences pharmaceutique de l'Université de Douala. Cheffe du service Cardiologie à l'Hôpital général de Douala, au Cameroun. Vice-présidente de la société camerounaise de cardiologie.  Programmation musicale :  ► Laurent Bardainne, Gabi Hartmann – Love high ► Chella – My darling.

Confidentiel
L'INTÉGRALE - Yannick Noah, un enfant de la balle

Confidentiel

Play Episode Listen Later Jun 13, 2025 46:47


Cette semaine, nous allons marcher dans les pas de celui qui fut pendant longtemps une des personnalités préférées des français : Yannick Noah. Champion de tennis, entraîneur, chanteur et aujourd'hui chef de tribu au Cameroun, Yannick Noah a vécu plusieurs vies. Mais d'où lui vient ce goût du défi permanent ? Où a-t-il forgé son mental d'acier ? Quels sont les secrets de sa force tranquille ? "Yannick Noah, un enfant de la balle", c'est le nouveau numéro de "Confidentiel". Ecoutez Confidentiel avec Anthony Martin du 14 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les matins
Cameroun : le silence / Quelles responsabilités pour les infirmiers ? / Jeunes hommes : l'éducation face au masculinisme

Les matins

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 160:02


durée : 02:40:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - - réalisation : Félicie Faugère - invités : Nsuni Met Docteure en sciences de gestion, qualifiée en sciences infirmières, chercheuse associée au laboratoire Arènes; Christine Castelain-Meunier Sociologue au CNRS à l'origine du congé de paternité; Brice Molo Sociologue et historien, docteur à l'EHESS et à l'Université de Yaoundé I au Cameroun; Charles Dantzig Ecrivain, éditeur et producteur de l'émission "Les quadrithèmes" sur France Culture

Les enjeux internationaux
Cameroun : la stratégie du silence face à la crise des déplacés

Les enjeux internationaux

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 12:21


durée : 00:12:21 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Début mai, le Conseil norvégien pour les réfugiés, une organisation internationale qui recense les crises de déplacement les plus négligées par la communauté internationale et les plus méconnues, publiait son rapport annuel. Dans ce dernier, le Cameroun arrivait en haut du classement. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Brice Molo Sociologue et historien, docteur à l'EHESS et à l'Université de Yaoundé I au Cameroun

L’arbre à palabres | Deutsche Welle
​Cameroun: analyse du contexte politique pré-électoral

L’arbre à palabres | Deutsche Welle

Play Episode Listen Later Jun 12, 2025 34:16


Les électeurs en âge de voter se rendront aux urnes en octobre prochain pour élire leur nouveau président de la République. Plusieurs candidats ont déjà annoncé leur intention de briguer la magistrature suprême. Avec ses invités, Eric Topona analyse le climat politique à l'orée de ce scrutin.

Confidentiel
À VENIR - Confidentiel Yannick Noah, à retrouver dès ce vendredi 13 juin

Confidentiel

Play Episode Listen Later Jun 11, 2025 4:06


Cette semaine, nous allons marcher dans les pas de celui qui fut pendant longtemps une des personnalités préférées des français : Yannick Noah. Champion de tennis, entraîneur, chanteur et aujourd'hui chef de tribu au Cameroun, Yannick Noah a vécu plusieurs vies. Mais d'où lui vient ce goût du défi permanent ? Où a-t-il forgé son mental d'acier ? Quels sont les secrets de sa force tranquille ? "Yannick Noah, un héros français", c'est le nouveau numéro de "Confidentiel". Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Débrouillard
#117. Clément Fogué - Sikati - Du Cameroun au Canada : Comment Bâtir un Conglomérat à succès au Canada Sans Faire de Bruit

Débrouillard

Play Episode Listen Later Jun 10, 2025 159:27


➜ VIP Bomengo club : https://www.bomengo.co/club-vip➜ Bookez un rendez-vous GRATUIT de consultation : https://www.bomengo.co/masterclass-rdv➜ Rejoignez la plus grande communauté francophone des pratiquants du "Infinite Banking Concept" pour accéder à nos Ateliers Gratuits : https://www.bomengo.co/club

Invité Afrique
«Warassa»: le premier long-métrage du réalisateur tchadien Aaron Padacké Zégoubé en projection à Paris

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 5:38


Après avoir fait des études de cinéma en Algérie et au Cameroun, le réalisateur tchadien Aaaron Padacké Zégoubé, appartient à une nouvelle génération de cinéastes africains. Il a plusieurs films à son actif, mais il reste relativement peu connu du grand public. Après deux courts métrages, il réalise un documentaire, Sur les traces de Toumaï. Ce film a fait sa renommée parmi les nouveaux réalisateurs et lui a valu, en 2024, le prix du meilleur documentaire au Camp International des cinéastes d'Afrique à Ouidah au Bénin. Depuis, son premier long-métrage de fiction Warassa (« héritage », en français) est projeté aujourd'hui à Paris. Le réalisateur est l'invité de RFI. ► Le film-documentaire Sur les traces de Toumaï, du cinéaste tchadien Aaaron Padacké Zégoubé, avait attiré l'attention du milieu.

Tous les cinémas du monde
Thomas Ngijol, flic fatigué et dépassé à Yaoundé dans «Indomptables»

Tous les cinémas du monde

Play Episode Listen Later Jun 7, 2025 48:29


Un homme est mort, et plus exactement un policier. Le commissaire Zachary Billong est chargé de l'enquête. Mais on est à Yaoundé, et l'officier de police est à la peine, professionnellement mais aussi familialement. Voici l'argument du film «Indomptables» qui sort en salle mercredi prochain (10 juin 2025) après avoir été projeté en première mondiale au festival de Cannes dans la section de la Quinzaine des cinéastes. Nous recevons son réalisateur, et acteur principal Thomas Ngijol. Indomptables est le quatrième film réalisé par Thomas Ngijol après Case départ, Fastlife, Black snake la légende du serpent noir.Il a été inspiré par un documentaire, Un crime à Abidjan, réalisé par Mosco Levi Boucault.Thomas Ngijol nous parle de ses influences, de son père, de la paternité et du patriarcat. Retrouvez-le également dans Légendes urbaines présenté par Juliette Fievet.À l'affiche de notre cinéma également ce samedi, le journal du cinéma d'Elisabeth Lequeret et une rencontre avec Salif Cissé qui tient le premier rôle du film Le répondeur : un écrivain fatigué d'être dérangé par ses proches demande à un imitateur d'être son double téléphonique.Musiques : Ain't no mountain high enough de Marvin Gaye et Mane de Dièse Mbangue (playlist rfi).

Les matins
Cameroun, Iran des crises négligées/ Tennis : pourquoi la France perd-elle ?/Jean-Philippe Uzan : le ciel à notre portée

Les matins

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 160:02


durée : 02:40:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - - réalisation : Félicie Faugère - invités : Jean-Philippe Uzan Cosmologiste, directeur de recherche au CNRS à l'Institut d'astrophysique de Paris, et physicien théoricien au CNRS.; Emmanuel Bayle Professeur de gestion du sport à l'Institut des Sciences du Sport de l'Université de Lausanne ; Christelle Huré Responsable plaidoyer pour l'Afrique centrale et de l'Ouest pour le Conseil Norvégien pour les Réfugiés

Les enjeux internationaux
Cameroun, Iran, RDC : les urgences humanitaires loin des projecteurs

Les enjeux internationaux

Play Episode Listen Later Jun 6, 2025 12:51


durée : 00:12:51 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Cette semaine paraît un rapport du Conseil norvégien pour les réfugiés, une ONG internationale qui recense, depuis 2016, les crises de déplacement les plus négligées par la communauté internationale et les plus méconnues. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Christelle Huré Responsable plaidoyer pour l'Afrique centrale et de l'Ouest pour le Conseil Norvégien pour les Réfugiés

7 milliards de voisins
Comment les femmes peuvent développer l'économie ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 48:29


À l'échelle mondiale, 89% des chefs d'État sont des hommes, 85% des terres sont détenues par les hommes, 94% des CEO des plus grandes entreprises sont aussi des hommes, alors que 14 des 15 milliardaires les plus riches du monde sont... encore des hommes. Les femmes sont encore exclues de nombreux domaines économiques dans le monde : sport, cinéma, gastronomie, même l'extrême majorité des chefs d'orchestre sont des hommes. À croire que le monde fonctionne sans une moitié de l'humanité. Pourtant dans de nombreuses régions d'Afrique de l'Ouest et Centrale, les femmes représentent 70% de la main-d'œuvre agricole. Plusieurs études ont également démontré qu'investir en faveur des femmes bénéficierait à toute la société. Réduire les écarts d'emploi entre hommes et femmes permettrait, par exemple, d'augmenter le PIB par habitant de 20% dans toutes les régions du monde, selon l'ONU. Alors que le monde connaît de graves crises économiques, climatiques, politiques, ne faudrait-il pas installer les femmes aux manettes ? Comment changer de logiciels pour plus de parité dans les prises de décisions ?  Avec : • Sefora Kodjo, présidente de la Fondation Sephis pour l'autonomisation des femmes à Abidjan, Côte d'Ivoire• Marie Eloy, présidente de Femmes des Territoires, le réseau d'entraide pour créer son entreprise, de Bouge ta Boite, le réseau business et sororité pour entrepreneuses aguerries, et de Bouge ton Groupe, pour accélérer la mixité dans les organisations. Autrice de Les femmes sauveront-elles le monde ? (Éditions Eyrolles, 2025).  En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam.• Siata Traoré, depuis la Côte d'Ivoire, interroge les tabous autour du divorce et la stigmatisation des femmes qui font ce choix• Thierry Didier Kuicheu rend hommage à son pays, le Cameroun, à travers ses paysages, sa cuisine et sa culture• Emmanuel Codjo, au Bénin, raconte le retour du Kataklè, siège royal du roi Béhanzin, symbole de mémoire et de souveraineté retrouvée.  Programmation musicale :► Get Wise – Wiyaala► Kuduro - Africa Express.

Priorité santé
5è congrès mondial sur la drépanocytose au Nigeria

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 48:29


À l'occasion de la cinquième édition du congrès mondial consacré à la drépanocytose, qui se tient à Abuja, au Nigeria, nous consacrons une émission aux enjeux de la prise en charge de la lutte contre cette maladie génétique de l'hémoglobine. L'équipe de Priorité Santé sera sur place pour rencontrer des acteurs anglophones et francophones (médecins, chercheurs…) pour parler des enjeux de la prise en charge de la lutte contre cette maladie génétique de l'hémoglobine.Le Nigeria est le pays qui porte le plus lourd fardeau de la drépanocytose, à l'échelle planétaire. Le défi scientifique est donc très important, tout comme les avancées psychosociales, pour la communauté des patients drépanocytaires. Ce qui explique l'intitulé de ce congrès 2025 : « réduire le fardeau et ne laisser personne de côté »  Cette émission est réalisée avec le soutien de la Fondation Pierre Fabre.   Pr Obiageli Nnodu, professeur d'Hématologie et de transfusion sanguine, directrice du Centre d'excellence pour la recherche et la formation sur la drépanocytose à l'Université d'Abuja (CESRT)  Dr Suzanne Belinga, médecin biologiste, directeur général adjoint du Centre Pasteur du Cameroun, secrétaire générale du Groupe d'étude de la drépanocytose du Cameroun (GEDREPACAM) Pr Saliou Diop, chef du service d'Hématologie de la Faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odontologie de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Sénégal). Directeur du Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) du Sénégal Dr Mamady Drame, médecin fondateur du Centre médical SOS Drépano Guinée. Ancien attaché des Hôpitaux de Paris (dont le Centre de Drépanocytose de Henri Mondor).   Programmation musicale : ► Celestine Ukwu - Ilo Abuchi► Runtown - Mad over you.

Priorité santé
5e congrès mondial sur la drépanocytose au Nigéria

Priorité santé

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 48:29


À l'occasion de la cinquième édition du congrès mondial consacré à la drépanocytose, qui se tient à Abuja, au Nigeria, nous consacrons une émission aux enjeux de la prise en charge de la lutte contre cette maladie génétique de l'hémoglobine. L'équipe de Priorité Santé sera sur place pour rencontrer des acteurs anglophones et francophones (médecins, chercheurs…) pour parler des enjeux de la prise en charge de la lutte contre cette maladie génétique de l'hémoglobine.Le Nigéria est le pays qui porte le plus lourd fardeau de la drépanocytose, à l'échelle planétaire. Le défi scientifique est donc très important, tout comme les avancées psychosociales, pour la communauté des patients drépanocytaires. Ce qui explique l'intitulé de ce congrès 2025 : « réduire le fardeau et ne laisser personne de côté »  Cette émission est réalisée avec le soutien de la Fondation Pierre Fabre.   Pr Obiageli NNODU, Professeur d'hématologie et de transfusion sanguine, directrice du Centre d'excellence pour la recherche et la formation sur la drépanocytose à l'université d'Abuja (CESRT)  Dr Suzanne BELINGA, Médecin Biologiste, Directeur général adjoint du Centre Pasteur du Cameroun, Secrétaire générale du Groupe d'étude de la drépanocytose du Cameroun (GEDREPACAM).  Pr Saliou DIOP, chef du service d'Hématologie de la faculté de Médecine, de Pharmacie et d'Odontologie de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar (Sénégal). Directeur du Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS) du Sénégal Dr Mamady DRAME, médecin fondateur du centre médical SOS Drépano Guinée. Ancien attaché des hôpitaux de Paris (dont le Centre de Drépanocytose de Henri Mondor)   Programmation musicale : ► Celestine Ukwu - Ilo Abuchi► Runtown - Mad over you

Grand reportage
«Le supplément du dimanche» du 1er juin 2025

Grand reportage

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 48:30


Dans le supplément de ce dimanche, une émission aux couleurs des matières premières, du blanc avec le coton du Cameroun, du noir avec le pétrole du Texas. Cameroun, nuages sur l'or blancCoincée entre le Tchad et le Nigeria, la région de Garoua est le bassin cotonnier du Cameroun… Le coton, introduit à l'époque de la colonisation, fait vivre encore plus de 2 millions de personnes. Il nourrit la région, mais également une partie du pays grâce à une filière très structurée. Le coton profite également aux caisses de l'État : dans le secteur agricole, il est le troisième pourvoyeur de devises après le cacao et la banane. Produire l'or blanc n'est pas pour autant l'assurance de bons revenus. Beaucoup de petits producteurs peinent à joindre les deux bouts et passent leur vie à rembourser certains produits indispensables comme les engrais.Un Grand reportage de Charlotte Cosset qui s'entretient avec Jacques Allix.Texas : énergies vertes au pays de l'or noir « Drill, baby drill », un slogan qui résume toute la politique énergétique de Donald Trump. Forez encore et encore : un choix clair pour l'exploitation du pétrole et du gaz et la multiplication des forages, dans un pays devenu le premier producteur mondial devant l'Arabie saoudite. Avec près de 18 millions de barils par jour. Un discours du président des États-Unis qui résonne au Texas, bien sûr : cet État du sud conservateur est le principal producteur de pétrole et de gaz naturel liquéfié du pays. Mais le Texas, c'est aussi le leader incontestable des énergies vertes aux États-Unis. Une transition ? Pas vraiment, plutôt une addition.Un Grand reportage de Nathanaël Vittrant qui s'entretient avec Jacques Allix.

Couleurs tropicales
Queen Rima, Smarty et Cegra Karl au coeur de l'actualité musicale

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later May 30, 2025 48:30


Dans l'actualité musicale de ce vendredi, entretien avec trois artistes dont les concerts ont lieu dans les prochains jours, prochaines semaines. Smarty, artiste burkinabè, se produit pour la première fois sur la scène du Casino de Paris dimanche 1er juin. Queen Rima, lauréate du Prix Découverte RFI 2025, débute sa tournée samedi 31 mai à Conakry, au centre culturel franco-guinéen. Elle sera la scène du New Morning, à Paris le 26 juin. Et Cegra Karl, artiste congolais, sera sur la scène du Pan Piper, à Paris samedi 5 juillet.  Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Nono Manazanza - T'es grillé kekenoSmarty - Chacun sa vieSmarty feat Korka Dieng -Ne parle pasQueen Rima - LifeQueen Rima - ChocolatCegra Karl - L'architecteCegra Karl - Point mortPassi feat NDO Layams - KoalaPassi feat K-Reen - Hold upRetrouvez notre playlist sur Deezer. À lire aussiLa chanteuse guinéenne Queen Rima remporte le Prix Découvertes RFI 2025

Couleurs tropicales
Nouvelle collaboration entre Kendrick Lamar et SZA sur le titre «Luther»

Couleurs tropicales

Play Episode Listen Later May 29, 2025 48:30


Actualité musicale avec les rappeurs Hamza, Valsero et Makhalba Malecheck, la chanteuse congolaise Ntaba 2 London et le reggaeman togolais Yaknou. Dans la séquence Gold, No justice for the poor, le tube du groupe de reggae Kingston Feeling sorti en 1979, le camerounais Sergeo Polo et l'artiste haïtien Shabba Djakout et sa chanson Jou a la, sortie en 2012. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Hamza - Kyky de BondyValsero - Comme MbappéNtaba 2 London - Ah mon bébéBowa - An nouEdna Djaraba - Good vibesL2B - Tout pour l'équipeKendrick Lamar & SZA - LutherMakhalba Malecheck - Le séïsmeGoldn.B - Too hot (Ahoo)Yaknou - LoméGiveon - Rather beKingston Feeling - No justice for the poorSergeo Polo - SOSShabba Djakout and friends - Jou a laRetrouvez notre playlist sur Deezer.