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Au moins 2 morts et 2 blessés. C'est le bilan provisoire des affrontements qui ont eu lieu cette nuit entre les éléments de deux corps différents de l'armée à Bissau. Des soldats de la Garde nationale ont exfiltré 2 membres du gouvernement qui étaient interrogés par la police avant d'échanger des coups de feu avec les forces spéciales.
Au Sénégal, les projets de centrales solaires et éoliennes se sont multipliés ces dernières années. Le pays est classé parmi les bons élèves en Afrique dans le mix énergétique avec 31% d'énergies renouvelables. Cependant, dès le début du premier trimestre de 2024, le pays exploitera ses premiers barils de pétrole et de gaz. Le gouvernement reste ferme. Oui à l'énergie renouvelable, mais hors de question de se passer du fossile.
Voici l'histoire de Pierre Castel, milliardaire méconnu qui fait fortune en vendant du vin puis de la bière en Afrique. Dans ce 1er épisode, l'histoire de Pierre Castel débute en 1946 sur le Quai des Chartrons à Bordeaux. À 20 ans, Pierre, ambitieux malgré un crédit à rembourser, décide de vendre du vin en Afrique de l'Ouest. Issu d'une famille d'immigrés espagnols, Jesus préfère travailler dans les vignes plutôt que d'aller à l'école, adoptant plus tard le nom de Pierre. En 1946, Pierre effectue son premier voyage en Afrique, achetant avec succès 600 fûts et 25 000 dames-jeannes pour les vendre au Cameroun. En 1949, avec ses frères et sœurs, il fonde Castel Frères à Bordeaux malgré une forte concurrence. Dans les années 1950, Pierre anticipe les changements dans la consommation de vin en France, rachetant des domaines français en faillite et investissant massivement en Afrique. Face à la fin de la vente en gros, la famille Castel se réorganise et se lance dans la mise en bouteille de vin importé en vrac en Afrique. Castel Frères devient l'un des plus grands négociants et producteurs mondiaux de vin, mais l'épilogue révèle que la bière, et non le vin, sera la clé de la fortune de Pierre. L'aventure de la bière reste à explorer dans le prochain épisode de cette saga entrepreneuriale.
Voici l'histoire de Pierre Castel, milliardaire méconnu qui fait fortune en vendant du vin puis de la bière en Afrique. Dans ce 2e épisode, Pierre fait la rencontre d'Albert-Bernard Bongo, secrétaire du président Léon Mba à Libreville en 1965. Ce dernier souhaite que Pierre ouvre une brasserie au Gabon pour l'indépendance du pays en matière de bière. Pierre accepte, se lie d'amitié avec Bongo, devenu président, et développe son activité brassicole en Afrique. Le succès de la première bière, Regab, à Libreville en 1966, conduit Pierre à ouvrir de nouvelles usines au Gabon. En 1981, Pierre s'installe en Suisse et gère ses affaires depuis là-bas. En 1990, le groupe Castel acquiert les Brasseries et Glacières Internationales, étendant son influence dans 23 pays africains. L'empire brassicole représente 85 % du chiffre d'affaires du groupe. Pierre diversifie ses activités, investit dans des domaines viticoles haut de gamme en France, crée des marques de vin comme Baron de Lestac, et rachète la chaîne Nicolas. En plus du vin et de la bière, il investit dans le sucre, signant un accord avec Coca-Cola pour l'embouteillage de sodas. En 2011, il investit dans les plantations de canne à sucre du groupe Somdiaa. Malgré sa discrétion médiatique, Pierre Castel reçoit des décorations pour ses services en Côte d'Ivoire en 2012. Cependant, des soupçons de financement de groupes armés, d'incendies de brasseries et d'accusations de fraudes fiscales entachent sa réputation. Pierre, de plus en plus discret, laisse planer le mystère sur la question de savoir qui de sa famille prendra la relève dans l'empire Castel. Issu d'une famille d'immigrés espagnols, Jesus préfère travailler dans les vignes plutôt que d'aller à l'école, adoptant plus tard le nom de Pierre. En 1946, Pierre effectue son premier voyage en Afrique, achetant avec succès 600 fûts et 25 000 dames-jeannes pour les vendre au Cameroun. En 1949, avec ses frères et sœurs, il fonde Castel Frères à Bordeaux malgré une forte concurrence. Dans les années 1950, Pierre anticipe les changements dans la consommation de vin en France, rachetant des domaines français en faillite et investissant massivement en Afrique. Face à la fin de la vente en gros, la famille Castel se réorganise et se lance dans la mise en bouteille de vin importé en vrac en Afrique. Castel Frères devient l'un des plus grands négociants et producteurs mondiaux de vin, mais l'épilogue révèle que la bière, et non le vin, sera la clé de la fortune de Pierre. L'aventure de la bière reste à explorer dans le prochain épisode de cette saga entrepreneuriale.
Les journalistes et experts de RFI répondent également aux questions des auditeurs sur le retrait de la Monusco, sur le procès de l'assassinat de Samuel Paty et sur la campagne du candidat de la majorité présidentielle au Sénégal. Cameroun : une fillette sauvée grâce au savoir-faire des médecinsAu Cameroun, une fille de 9 ans touchée au cœur par une flèche a été opérée avec succès à l'hôpital de Yaoundé. Comment l'enfant a-t-elle pu être transférée à temps vers la capitale alors qu'elle vit à plus de 1 000 kilomètres ? Comment s'est déroulée cette opération ? Avec le Professeur Vincent Djientcheu, neurochirurgien, directeur de l'Hôpital général de Yaoundé. RDC : vers un vide sécuritaire après le départ de la Monusco ? L'ONU a signé une note avec le gouvernement congolais pour le désengagement des troupes de la Monusco. Comment va s'organiser ce retrait ? Y a-t-il un risque de vide sécuritaire après ce départ ? Avec Paulina Zidi, envoyée spéciale de RFI en République démocratique du Congo. France : six mineurs jugés au procès de l'assassinat de Samuel Paty A Paris, s'est ouvert le procès de six anciens collégiens pour leur implication dans l'assassinat du professeur d'Histoire Samuel Paty en région parisienne en 2020. En quoi leurs rôles ont été déterminants dans l'assassinat ? Un deuxième procès s'ouvrira l'année prochaine pour les personnes majeures. Pourquoi les deux procès n'ont-ils pas lieu au même moment ? Avec Olivier Chermann, chef du service France de RFI. Sénégal : le candidat de la majorité rafle plus de trois millions de parrainages Au Sénégal, le candidat de la majorité à l'élection présidentielle, Amadou Ba, aurait recueilli plus de trois millions de parrainages. Comment expliquer ce succès alors que le parti présidentiel n'en visait que 2 millions et demi ? Cette annonce peut-elle impacter la course aux parrainages qui se termine dans deux semaines ? Avec Mamadou Lamine Sarr, Enseignant chercheur en sciences politiques à l'université Numérique Cheikh Hamidou Kane.
Annoncées en octobre 2021 par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), les premières livraisons du vaccin antipaludique (RTS, S) ont démarré le 21 novembre. Plus de 330.000 doses du vaccin ont ainsi été livrées au Cameroun après une phase pilote au Ghana, au Kenya et au Malawi. Une étape clé qui prépare le terrain pour une vaccination à grande échelle sur le continent. Pour le docteur Charles Shey Wiysonge, chargé de l'immunisation au bureau régional de l'OMS, cette tournée de vaccinations marque « une étape historique » dans la lutte contre le paludisme. Il est l'invité de Christina Okello. RFI : Quelle est la spécificité du vaccin RTS,S ?Charles Shey Wiysonge : Il s'agit du premier vaccin antipaludique recommandé par l'OMS pour prévenir le paludisme chez les enfants. Le vaccin agit contre le Plasmodium falciparum qui est le parasite du paludisme le plus meurtrier dans le monde et celui qui est le plus présent en Afrique. Les recommandations de l'OMS concernant ce vaccin antipaludique reposent sur les résultats du programme pilote de mise en œuvre du vaccin qui a été conduit dans trois pays, au Ghana, Kenya et Malawi.Le Cameroun n'avait pas participé au programme pilote de vaccination, pourquoi a-t-il été choisi pour recevoir les premières doses ?Le Cameroun, et d'autres pays, vont recevoir la livraison dans les prochaines semaines, ce sont les premiers pays qui ont soumis une demande de soutien à Gavi, l'Alliance du vaccin. Puisque la forte demande a dépassé l'offre disponible, on a limité l'allocation de stocks parce qu'on a environ 18 millions de doses, donc avec 28 pays, c'était difficile. Donc il y en a un quart qui a été développé avant que les pays ne fassent la demande.Quelle est la situation du paludisme au Cameroun, et ailleurs ?Dans les pays comme le Cameroun, le Nigeria, c'est vraiment un grand problème de santé publique. Il y a au moins 10% de la population qui est atteinte du paludisme.Quelle est l'importance de ce vaccin pour la lutte contre le paludisme ? C'est une étape très importante parce que le vaccin est très efficace pour réduire le nombre de cas de paludisme causé par le Plasmodium falciparum chez les jeunes enfants et il réduit les formes graves. Après l'introduction du vaccin dans le programme pilote, on a constaté une baisse très remarquable du nombre d'enfants hospitalisés et une diminution du nombre de décès chez les enfants d'environ 13%. Donc c'est vraiment important.Quelle est l'efficacité du vaccin RTS,S compte tenu de la résistance du paludisme aux médicaments ?Il y a une résistance seulement quand quelqu'un a déjà le paludisme. On a vu qu'après trois doses de ce vaccin, il y a une diminution de 75% des cas de paludisme pendant la première année. C'est vrai que l'efficacité diminue, c'est pour cela qu'on recommande qu'un an après la troisième dose, il faut en donner une quatrième, et aussi un an après ça, il en faut une cinquième. Qui peut prendre le vaccin RTS,S ?On recommande quatre doses aux enfants à partir de l'âge de cinq mois. Par exemple, au Cameroun, le calendrier vaccinal prévoit qu'il y ait quatre doses, à six mois, à sept mois, à neuf mois et à vingt-quatre mois d'âge. C'est seulement pour les enfants.Le mois dernier, l'OMS a donné son feu vert à l'utilisation pour les enfants d'un deuxième vaccin antipaludique, le R21, quelle est la différence avec le vaccin RTS,S ?Il n'y a pas de différence, les deux vaccins agissent de la même manière. Mais pour le premier vaccin, il y a seulement, environ, dix-huit millions de doses qui seront disponibles d'ici 2025. Ce n'est pas suffisant. Au moins vingt-huit pays d'Afrique envisagent d'introduire ces vaccins contre le paludisme dans leur programme de vaccination d'enfants. Mais ce qui est aussi important, c'est que l'autre vaccin, le fabriquant a dit qu'ils vont produire beaucoup plus de doses que dix-huit millions, donc d'ici la fin de l'année prochaine, on n'aura pas de problèmes de stocks limités.Après le Cameroun, quels sont les prochains pays destinataires du vaccin?Après le Cameroun, il y aura le Burkina Faso, le Liberia, il y aura le Niger et la Sierra Leone. D'après les nouvelles qu'on a, le gouvernement du Cameroun prévoit de commencer la campagne de vaccination le 12 décembre. Quand va démarrer la vaccination à grande échelle sur le continent ?Chaque pays a son calendrier. Par exemple, le Cameroun va commencer en décembre. Il y a d'autres pays, comme le Burkina Faso, il y a le Burundi, il y a la RDC, on prévoit qu'il y aura cinq pays entre janvier et juin, parce qu'on pense que l'autre vaccin R21 sera disponible à partir de juin. Donc on pense qu'il y aura un peu plus de pays après juin.Et que signifie pour l'Afrique cette vaccination à grande échelle ?Chaque année, il y a autour de 500 000 enfants qui meurent dans le monde et la plupart, 95%, sont en Afrique. Si on a un vaccin, il va diminuer ce taux de mortalité. On a vu la réduction du taux de mortalité au Ghana, au Kenya, au Malawi, autour de 13%. Vous imaginez, un taux de réduction de 13% de la mortalité ? Et il y a une diminution des cas de paludisme de 75%. Donc c'est un grand atout pour la lutte contre le paludisme, je pense que c'est un moment historique pour l'Afrique et pour la vaccination en général.
Le groupe TOOFAN, duo le plus chaud d'Afrique, depuis 10 ans et leur tube "Gweta" qui a enflammé les dance-floors était sur France 24. Depuis ils ont enchainé des tubes et accumulent les millions de vues. Barabas et Master Just nous ont présenté leur nouvel album "Stamina" , nous avons parlé de leur tournée européenne et de leur escale parisienne aux Folies Bergères.
En RD Congo, les candidats à la présidentielle poursuivent leur tournée du pays. Tous tentent de convaincre les 44 millions d'électeurs appelés aux urnes le 20 décembre. Si le Dr Denis Mukwege n'a pas réellement lancé sa campagne, il a publié son offre politique.
Dr Nancy Daniel shares at Panel Discussion French Speaking Nations Prophetic Conference (English_French)Burkina Faso, Chad, Congo DRC, Cameroun, Angola, Togo, Cote D'Ivory, France, Belgium, and Switzerland
Branle-bas de combat à Bouaké avant la CAN. Les hôtels se préparent à recevoir les supporters, sans pour autant réussir à anticiper leur affluence. Les gérants de maquis sont appelés à assister à des réunions publiques concernant l'hygiène et la mise en place de nouvelles taxes. La cité CAN à Bouaké, construite spécialement pour la coupe d'Afrique, ne satisfait les délégations des équipes du groupe D. Des flammes dansent sous les écailles d'une dizaine de poissons piqués. Nous sommes dans le quartier « poulet chaud », au centre de Bouaké. Renommé ainsi pour ses multiples restaurants de plein air. Un quartier où, à coup sûr, les supporters venus pour la CAN iront s'enjailler. Par conséquent, les autorités surveillent les commerçants en amont de la compétition, raconte Félix Sibabi, gérant du Tontonwa.« On se sent mis sous une pression trop forte, j'ai déjà participé à trois réunions. Notre secteur est sous contrôle des différents ministères de l'État, donc on nous dit d'être en règle, il faut être une bonne visibilité pour l'État. Et si tu n'es pas dans les normes, tu vas devoir fermer, ça, c'est clair », déplore-t-il.Obligation de posséder un frigo pour conserver le poisson, et d'avoir un système d'évacuation des eaux usées, par exemple. Des règles que le Tontonwa observe déjà et accepte. Le gérant se dit davantage surpris par l'instauration d'une nouvelle taxe sur les consommations.« La CAN s'approche, mais il y a tout un tas de choses qui ne concernent pas directement la CAN, comme les impôts. On paie déjà des taxes aux impôts, impôts sur les taxes qu'on va délivrer aux clients. À chaque facture, tu devras prélever 100 francs pour l'État », explique Félix Sibabi.Problèmes logistiquesDans ce quartier, les vendeurs ambulants, non enregistrés, seront également priés de plier boutique.Autre point sensible, à deux mois de la compétition, l'accueil des équipes : l'Algérie a déjà annoncé son intention de ne pas résider dans la cité CAN, construite spécialement pour l'occasion, mais jugée trop petite et inadaptée. Les autres délégations, Burkina Faso, Angola et Mauritanie s'interrogent. Mais auront-elles le choix ? Bouaké comprend 240 hôtels et 3542 chambres disponibles, mais très peu ont la capacité de recevoir une délégation de 50 personnes. Et parmi ceux qui le pourraient, certains y rechignent, comme l'Hôtel Mon Afrik. « Logistiquement parlant, c'est aussi très compliqué de recevoir une équipe, bien que financièrement parlant, c'est plus avantageux. Mais pour un événement de cette ampleur, nous, on est plus intéressés de recevoir des supporters, des gens qui viennent voir les matchs », précise Marushka Prochazka, la directrice de l'hôtel.À Bouaké, un nouvel hôtel de 40 chambres est en construction, tandis que l'Hôtel du Stade, en pleine réfection, devrait accueillir l'équipe d'Algérie. Ailleurs, comme ici à l'Hôtel de l'Art, on s'active pour finaliser les travaux à temps.À lire aussiÉliminatoires Mondial 2026: La Côte d'Ivoire, le Cameroun, la Tunisie et le Mali tiennent leur rang
Depuis l'Antiquité, les femmes entretiennent une relation pleine de contradiction avec la nourriture. De la pomme croquée (ou non) par Eve, aux régimes alimentaires des années 70, véhiculés dans les pays occidentaux, l'estomac des femmes et ce qu'elles ingurgitent sont scrutés. Alors que l'univers de la gastronomie semble réservé aux hommes, ce sont pourtant les femmes qui passent le plus de temps à la préparation des repas quotidiens des courses à la table. Pourquoi les hommes et les femmes entretiennent un lien différent avec la cuisine ? L'alimentation a-t-elle un genre ? Avec :• Lauren Malka, journaliste, autrice de Mangeuses – histoire de celles qui dévorent, savourent ou se privent à l'excès (Éditions Les Pérégrines)• Daria Marx, féministe, blogueuse et écrivaine française. Cofondatrice de l'association Gras Politique. Co-autrice avec Eva Perez-Bello de Gros n'est pas un gros mot – chronique d'une discrimination ordinaire (Flammarion, 2018) et réalisatrice du documentaire Daria Marx : ma vie en gros.En fin d'émission : L'Afrique qui gagne d'Axel-Emmanuel Gbaou, un portrait réalisé par Charlie Dupiot.Axel Emmanuel Gbaou est un artisan chocolatier ivoirien, fier de se présenter comme « champion de Côte d'Ivoire » et vice-champion d'Afrique de chocolat-pâtisserie. Sa matière première, le cacao, vient de Côte d'Ivoire mais aussi du Cameroun et du Congo Brazzaville. Il a lui-même formé 2 000 femmes à la torréfaction du cacao. Il nous raconte son parcours au micro de Charlie Dupiot. Et un entretien avec Raphaëlle Constant, dans le cadre du Sommet des jeunes activistes qui se tiendra au siège des Nations unies à Genève, en Suisse, le 16 novembre 2023. Programmation musicale :► Le dessert en premier – Ehla► Iñaan - Sister LB.
Depuis l'Antiquité, les femmes entretiennent une relation pleine de contradiction avec la nourriture. De la pomme croquée (ou non) par Eve, aux régimes alimentaires des années 70, véhiculés dans les pays occidentaux, l'estomac des femmes et ce qu'elles ingurgitent sont scrutés. Alors que l'univers de la gastronomie semble réservé aux hommes, ce sont pourtant les femmes qui passent le plus de temps à la préparation des repas quotidiens des courses à la table. Pourquoi les hommes et les femmes entretiennent un lien différent avec la cuisine ? L'alimentation a-t-elle un genre ? Avec :• Lauren Malka, journaliste, autrice de Mangeuses – histoire de celles qui dévorent, savourent ou se privent à l'excès (Éditions Les Pérégrines)• Daria Marx, féministe, blogueuse et écrivaine française. Cofondatrice de l'association Gras Politique. Co-autrice avec Eva Perez-Bello de Gros n'est pas un gros mot – chronique d'une discrimination ordinaire (Flammarion, 2018) et réalisatrice du documentaire Daria Marx : ma vie en gros.En fin d'émission : L'Afrique qui gagne d'Axel-Emmanuel Gbaou, un portrait réalisé par Charlie Dupiot.Axel Emmanuel Gbaou est un artisan chocolatier ivoirien, fier de se présenter comme « champion de Côte d'Ivoire » et vice-champion d'Afrique de chocolat-pâtisserie. Sa matière première, le cacao, vient de Côte d'Ivoire mais aussi du Cameroun et du Congo Brazzaville. Il a lui-même formé 2 000 femmes à la torréfaction du cacao. Il nous raconte son parcours au micro de Charlie Dupiot. Et un entretien avec Raphaëlle Constant, dans le cadre du Sommet des jeunes activistes qui se tiendra au siège des Nations unies à Genève, en Suisse, le 16 novembre 2023. Programmation musicale :► Le dessert en premier – Ehla► Iñaan - Sister LB.
À l'occasion de la journée mondiale du diabète, nous faisons un point sur cette maladie chronique. Caractérisée par la présence d'un excès de sucre dans le sang, appelé hyperglycémie, le diabète touche plus de 500 millions de personnes dans le monde. Un chiffre en forte augmentation, ces dernières années, notamment dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Pourquoi est-il essentiel d'améliorer la sensibilisation et le dépistage ? Quels sont les différents types de diabète ? Quelles sont les complications du diabète ? Comment les prévenir ? Pr Agnès Hartemann, professeure et chef du service de Diabétologie à l'Hôpital de la Pitié- Salpêtrière à Paris Pr Eugène Sobngwi, professeur d'Endocrinologie et de Diabète. Membre de l'Académie africaine des Sciences et du Conseil Scientifique de la Société Francophone du Diabète. Directeur de l'Organisation des Soins au Ministère de la Santé Publique. Coordonnateur d'un programme d'éducation nutritionnelle en milieu scolaire conjoint de la Fondation Mondiale du Diabète et du Ministère des Enseignements Secondaires du Cameroun. ► En fin d'émission, nous parlerons de la pièce de théâtre Cœur-Poumon de Daniela Labbé Cabrera, qui nous plonge dans un service de réanimation pédiatrique. Reportage de Charlie Dupiot au Théâtre de la Tempête, à Vincennes, où la pièce se joue du 4 au 25 novembre 2023.
À l'occasion de la journée mondiale du diabète, nous faisons un point sur cette maladie chronique. Caractérisée par la présence d'un excès de sucre dans le sang, appelé hyperglycémie, le diabète touche plus de 500 millions de personnes dans le monde. Un chiffre en forte augmentation, ces dernières années, notamment dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Pourquoi est-il essentiel d'améliorer la sensibilisation et le dépistage ? Quels sont les différents types de diabète ? Quelles sont les complications du diabète ? Comment les prévenir ? Pr Agnès Hartemann, professeure et chef du service de Diabétologie à l'Hôpital de la Pitié- Salpêtrière à Paris Pr Eugène Sobngwi, professeur d'Endocrinologie et de Diabète. Membre de l'Académie africaine des Sciences et du Conseil Scientifique de la Société Francophone du Diabète. Directeur de l'Organisation des Soins au Ministère de la Santé Publique. Coordonnateur d'un programme d'éducation nutritionnelle en milieu scolaire conjoint de la Fondation Mondiale du Diabète et du Ministère des Enseignements Secondaires du Cameroun. ► En fin d'émission, nous parlerons de la pièce de théâtre Cœur-Poumon de Daniela Labbé Cabrera, qui nous plonge dans un service de réanimation pédiatrique. Reportage de Charlie Dupiot au Théâtre de la Tempête, à Vincennes, où la pièce se joue du 4 au 25 novembre 2023.
Bienvenue dans le sixième épisode fascinant de "Parcours d'Ingénieurs", la série qui vous transporte à travers les vies extraordinaires de nos diplômés de l'Icam. Aujourd'hui, nous vous présentons Françoise Brougher, une femme dont le parcours est tout simplement exceptionnel. Elle a fait ses débuts à l'Icam avant de gravir les échelons pour devenir l'une des femmes les plus influentes et puissantes de la Silicon Valley. Son voyage l'a emmenée de Marseille au Japon, en passant par Lille, Harvard, et enfin jusqu'à San Francisco, où elle a laissé son empreinte indélébile sur des entreprises emblématiques telles que Google et Square. Cependant, son parcours ne s'est pas limité à la réussite professionnelle. Par la suite, Françoise Brougher a embrassé un rôle de militante. Elle a courageusement dénoncé un sexisme systémique et a fait de son combat personnel la lutte pour la place des femmes dans le monde du travail. Elle travaille sans relâche pour faire respecter leurs droits, pour mettre fin aux inégalités et pour que chaque femme puisse épanouir son potentiel au sein de l'entreprise. Dans cet épisode, plongez dans l'univers captivant de Françoise Brougher et découvrez comment elle est passée de l'Icam à la Silicon Valley, tout en se transformant en une défenseure acharnée des droits des femmes dans le monde professionnel. Préparez-vous à être inspiré par l'histoire de Françoise Brougher, une ingénieure qui a dédié sa carrière à la cause des femmes et qui continue de se battre pour que leurs droits soient respectés. Bienvenue dans "Parcours d'Ingénieurs", l'épisode six. *** Parcours d'ingénieurs est un podcast de l'Icam présenté par Camille Schneller et produit par Louie Creative. *** L'Icam, école d'ingénieurs créée en 1898, possède treize campus en France et dans le monde : Lille, Grand Paris Sud, Nantes, Bretagne , Vendée, Toulouse, Strasbourg-Europe, Pointe-Noire au Congo, Douala au Cameroun, Kinshasa en RDC, Chennai en Inde, Quito en Equateur et Recife au Brésil. Avec plus de 8 000 étudiants, apprentis et stagiaires sur l'ensemble de ses sites, l'Icam se positionne comme une école majeure dans le paysage de l'enseignement supérieur. L'Icam se structure en trois pôles d'activité : l'enseignement supérieur et la recherche, la formation professionnelle et le service aux entreprises. Plus de 900 ingénieurs généralistes sont diplômés chaque année en France, dont près de la moitié par la voie de l'apprentissage.
Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Nous reviendrons ce dimanche sur l'élection présidentielle à Madagascar qui se déroulera le 16 novembre 2023 et au Cameroun où le président Paul Biya fête ses 41 ans au pouvoir. Mais aussi sur le projet de loi sur l'immigration en France et appels de la communauté internationale à un cessez-le-feu humanitaire dans la bande de Gaza. Nos invités :- Raoto Andriamanambe, rédacteur en chef de la revue malgache Politika- Karine Oriot, correspondante en France de la chaîne de télévision camerounaise Canal 2 International- Fatim Djedje, journaliste, présentatrice de l'émission Ailleurs dans le monde sur la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne.
Notre Grande invitée de l'économie RFI / Jeune Afrique est Delphine Traoré, directrice générale assurance non-vie de SanlamAllianz, l'un des géants du secteur de l'assurance en Afrique, holding domiciliée en Afrique du Sud et couvrant 27 pays du continent : Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d'Ivoire, Égypte, Gabon, Ghana, Kenya, Madagascar, Malawi, Mali, Maurice, Maroc, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Togo, Ouganda, Zambie et Zimbabwe. Interrogée par Bruno Faure (Radio France Internationale) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), cette dirigeante burkinabè née et élevée dans la région de Bobo-Dioulasso revient d'abord sur son parcours : ses études aux États-Unis et ses expériences professionnelles dans la finance dans de nombreux pays dont le Canada, le Mali et le Burkina Faso. Elle évoque ensuite le rapprochement du groupe Allianz avec le groupe panafricain Sanlam, s'exprime sur le développement de la finance sur le continent africain, le départ de plusieurs géants mondiaux de la banque, les enjeux climatiques, les bouleversements politiques au Niger, au Burkina Faso et au Mali. Elle désigne enfin ses modèles masculins ET féminins dans les affaires.
Notre Grande invitée de l'économie RFI / Jeune Afrique est Delphine Traoré, directrice générale assurance non-vie de SanlamAllianz, l'un des géants du secteur de l'assurance en Afrique, holding domiciliée en Afrique du Sud et couvrant 27 pays du continent : Angola, Bénin, Botswana, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d'Ivoire, Égypte, Gabon, Ghana, Kenya, Madagascar, Malawi, Mali, Maurice, Maroc, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Togo, Ouganda, Zambie et Zimbabwe. Interrogée par Bruno Faure (Radio France Internationale) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), cette dirigeante burkinabè née et élevée dans la région de Bobo-Dioulasso revient d'abord sur son parcours : ses études aux États-Unis et ses expériences professionnelles dans la finance dans de nombreux pays dont le Canada, le Mali et le Burkina Faso. Elle évoque ensuite le rapprochement du groupe Allianz avec le groupe panafricain Sanlam, s'exprime sur le développement de la finance sur le continent africain, le départ de plusieurs géants mondiaux de la banque, les enjeux climatiques, les bouleversements politiques au Niger, au Burkina Faso et au Mali. Elle désigne enfin ses modèles masculins ET féminins dans les affaires.
Trois jours après l'opération commando qui a permis l'évasion de 4 détenus de haut rang, tous impliqués dans le procès du massacre du 28-septembre – dont l'ancien chef d'Etat Moussa Dadis Camara -, de nombreux journaux s'interrogent sur la suite. Le cours du procès justement, va-t-il être modifié par cet événement ?Sur Guinée Matin, les divers interlocuteurs rencontrés sont unanimes : « cette évasion va impacter le déroulé normal du procès ». Pourtant, dans Guinée 7, l'avocat de Moussa Dadis Camara l'assure : « le procès du 28 septembre ne doit pas s'arrêter. » Et ce conseil va même plus loin… certain que « c'est le vœu le plus ardent [de l'ex-chef d'État] que la lumière soit faite sur ces événements. »Mais ces vœux pieux ne rassurent pas vraiment la presse ; surtout que, s'inquiète Guinée Matin, « il y a lieu de craindre pour la sécurité des autres accusés » dans ce dossier. D'autant, rappelle un professeur de droit rencontré, que « les victimes constituées parties civiles étaient très réticentes » et « ont mis du temps » à accepter d'être exposées à la barre.Même analyse, toujours dans les colonnes de Guinée Matin, avec l'organisation guinéenne de défense des droits de l'Homme : « la question de la sécurité a toujours été redoutée. (…) Nous avons toujours dit aux autorités de créer ce climat qui permet de renforcer la sécurité des victimes, des magistrats… », s'inquiète ainsi un porte-parole.Claude Pivi toujours en cavaleDes quatre évadés de samedi, il est le seul à être encore dans la nature – un interlocuteur rencontré par Le Djély croit savoir que « si Claude Pivi (…) ne s'est pas encore rendu, cela serait lié à la crainte qu'il éprouverait pour sa vie. » Rappelons que la théorie la plus répandue veut que ce soit son fils, Verni Pivi, qui a orchestré les opérations de samedi.En attendant d'y voir plus clair sur cet événement – qui sont les commanditaires ? les personnes impliquées ? et même, se demande Le Djély, « les objectifs » allaient-ils « au-delà du désir de faire évader des prisonniers » ?En attendant donc d'y voir plus clair, le colonel Mamadi Doumbouya, chef de la transition, « n'a pas fait dans la dentelle » juge Le Pays, en radiant de l'armée plusieurs dizaines de soldats.À juste titre, à en croire le journal : « Sans aucun doute, des complicités, il y en a eu » assène-t-il. « Sinon, il est inconcevable qu'un commando vienne de l'extérieur (…) dans une prison considérée comme la plus grande du pays et la mieux surveillée. » Mais le titre burkinabè prévient : alors « qu'il y a des divisions au sein de l'armée guinéenne, pour ne pas parler de clans, » « attention à l'effet boomerang ! » Les 41 bougies de Paul BiyaCe lundi 6 novembre marquait l'anniversaire de ses 41 ans… à la tête du Cameroun. Quarante et un ans « de progrès et d'échecs » si l'on en croit le Journal du Cameroun – qui met toutefois largement l'accent sur les premiers, pas vraiment sur les seconds. Le journal estime notamment que Paul Biya a « sem[é] le pluralisme politique et la démocratie » — et s'il admet bien que les partis du pays « font parfois face » à des interdictions de manifester, cet argument est vite balayé par le journal. Et de saluer encore « l'homme du 6 novembre », qui, « au lieu de la répression de la subversion, […] préfère la liberté. »Un ton pour le moins mélioratif, bien loin de celui employé par Le Pays. Le journal burkinabè n'a pas de mots assez durs contre « la boulimie du pouvoir » du chef d'État. C'est bien simple, ironise de son côté Wakat Séra, Paul Biya n'est plus le locataire mais « le propriétaire du palais présidentiel d'Etoudi. »Une longévité encore prolongée ?Le Pays prévoit déjà une candidature de Paul Biya à la présidentielle de 2025 – en tout cas, « ce ne serait pas une surprise » constate le journal. D'ailleurs, abonde Wakat Séra, une partie de la population « a déjà commencé à réclamer sa candidature pour la prochaine élection. »Mais attention, prévient le titre : « tous les autres longs règnes sur le continent noir » se sont « mal terminés. » Et, ajoute encore Le Pays, ces mandats à répétition « pose[nt] la problématique de l'avenir politique du Cameroun. » « Paul Biya forever » oui, ironise Wakat Séra, « surtout avec une opposition quasi inexistante. » Il n'empêche : « la perspective de l'après-Biya » doit être envisagée. Et Le Pays enfonce le clou : « le seul combat qui vaille aujourd'hui » pour le président, « c'est de réussir sa succession. »
La junte au pouvoir en Guinée a démis une soixantaine d'officiers, soldats et agents des services pénitentiaires après l'opération commando qui a ébranlé le pays en faisant provisoirement sortir de prison l'ancien chef de lajunte Moussa Dadis Camara et trois co-détenus.
Bienvenue dans le cinquième épisode captivant de "Parcours d'Ingénieurs", la série qui vous plonge dans les vies inspirantes de nos diplômés de l'Icam. Aujourd'hui, nous vous présentons Paul Mouraz, un homme qui incarne à la fois la tradition de l'Icam et la philosophie de l'auto-apprentissage de l'ingénierie low-tech. Après avoir obtenu son diplôme, Paul a commencé sa carrière dans l'industrie, mais il a vite compris que sa véritable passion résidait dans la construction d'un monde meilleur. C'est ainsi qu'il a décidé de créer sa propre entreprise dans le domaine des low-tech, baptisée "L'Avant d'Après", avec pour ambition de catalyser une transition énergétique accessible à tous. Dans son atelier près de Saint-Nazaire, Paul met en pratique son savoir-faire et son ingéniosité pour développer des solutions simples et durables qui contribuent à façonner un avenir plus vert et plus équilibré pour notre société. Dans cet épisode, plongez dans l'univers inspirant de Paul Mouraz et découvrez comment il a suivi sa passion pour les low-tech pour devenir un entrepreneur engagé dans la construction d'un monde meilleur. Préparez-vous à être inspiré par l'histoire de Paul Mouraz, un ingénieur qui a choisi de faire la différence en créant un impact positif sur notre société. Bienvenue dans "Parcours d'Ingénieurs", l'épisode cinq. *** Parcours d'ingénieurs est un podcast de l'Icam présenté par Camille Schneller et produit par Louie Creative. *** L'Icam, école d'ingénieurs créée en 1898, possède treize campus en France et dans le monde : Lille, Grand Paris Sud, Nantes, Bretagne , Vendée, Toulouse, Strasbourg-Europe, Pointe-Noire au Congo, Douala au Cameroun, Kinshasa en RDC, Chennai en Inde, Quito en Equateur et Recife au Brésil. Avec plus de 8 000 étudiants, apprentis et stagiaires sur l'ensemble de ses sites, l'Icam se positionne comme une école majeure dans le paysage de l'enseignement supérieur. L'Icam se structure en trois pôles d'activité : l'enseignement supérieur et la recherche, la formation professionnelle et le service aux entreprises. Plus de 900 ingénieurs généralistes sont diplômés chaque année en France, dont près de la moitié par la voie de l'apprentissage.
Portrait d'un revenant sur la scène musicale africaine. Le Camerounais Henri Dikongué revient après presque une décennie d'absence avec un nouvel album intitulé « Derrière ton masque ». Le chanteur de « C'est la vie » n'a rien perdu de sa voix claire et de son sens de la mélodie. RFI : Huit ans qu'Henri Dikongué n'avait plus rien produit musicalement et lorsqu'on lui demande si c'est son côté laborieux ou son sens méticuleux qui est en cause, le Camerounais répond…Henri Dikongué : Les deux… Les deux. Mais, des fois, je me dis : quand on est en manque d'inspiration, j'arrête un peu. Produire un album, ce n'est pas facile. Le vendre, ce n'est pas facile. Faire des tournées, ce n'est pas facile. Donc, à un moment donné, quand l'inspiration ne vient pas… Je me dis : bon, je peux préparer des musiques à côté, en attendant que je puisse avoir quelque chose qui me corresponde.L'inspiration est revenue avec sa compagne Laurence alias « Diklau » à la coécriture et qui règle un peu ses comptes avec son époux dans la chanson « Coup d'arrêt ».Henri Dikongué : Elle exprime tout ce qu'elle a pu abandonner pour que ma carrière puisse avancer, les sacrifices qu'elle a pu faire… En même temps, j'étais étonné parce que je n'avais pas très bien lu le texte. Moi, j'ai voulu faire de la musique, je ne me suis pas rendu compte, je me suis dit « C'est comme ça ». C'est rigolo, mais en même temps, c'est violent !Laurence Dikongué : Je voulais être comédienne, j'ai tenté certaines écoles comme la rue Blanche, entre autres. Et puis ça n'a pas marché. Et lui, en parallèle, sa carrière a décollé tout de suite dès l'album Wa, ça s'est enchaîné avec « C'est la vie ». J'ai un peu laissé ça de côté, on a construit notre famille. C'est des carrières compliquées, les carrières d'artistes… C'est des hauts et des bas. On s'est soutenus l'un et l'autre, chacun dans nos activités.À côté de la plume française de Diklau, l'écriture douala - la langue maternelle d'Henri Dikongué - figure sur plusieurs titres de ce nouvel album dont « Mbuwa » : pluie bienfaisante sur un monde en désordre.Henri Dikongué : « Mbuwa », ça signifie la pluie… Ou la tempête. Et je me suis inspiré de cela dans le sens où je ne suis pas quelqu'un qui passe son temps à balayer les méfaits, les conneries et la saleté des autres. La traduction est faite dans ce sens-là. Je me mets à la place de la pluie, ou de la tempête ! Quand la pluie arrive, ou la tempête, ça balaye tout ! Ca nettoie !!
Les technologies conçues dans la Silicon Valley accompagnent le quotidien de milliards de personnes. Mais l'on connaît paradoxalement peu de choses sur le fonctionnement de cette petite zone de la Californie. Olivier Alexandre, sociologue au CNRS, a publié plus tôt cette année « La tech – Quand la Silicon Valley refait le monde » (Seuil). Olivier Alexandre est sociologue, chargé de recherche au Centre Internet et Société du CNRS. Il a publié aux éditions du Seuil un livre intitulé La Tech – Quand la Silicon Valley refait le monde, fruit d'une enquête de plusieurs années. Dans cet entretien – qui durait plus d'une demie heure dans notre première diffusion le 3 juin 2023 –, Olivier Alexandre explique comment il en est arrivé à dresser une « sociologie transversale de la Silicon Valley ». Il raconte la façon dont on vit et se comporte dans cet endroit du nord de la Californie où se concentrent des milliers d'entreprises de haute technologie comme Google, Apple et Facebook. Il revient sur le fonctionnement d'une économie d'investissement où les capital risqueurs jouent un rôle-clé et où l'échec est partout mais dédramatisé. Enfin il est question des idéologies qui circulent dans la Silicon Valley, des contradictions de ce modèle et de l'encadrement des visées technologiques.Mondoblog audio fait entendre le blogueur camerounais Ecclésiaste Deudjui. Il raconte le déroulé d'un enterrement traditionnel chez les Bassa, peuple bantou vivant au Cameroun.
Une naissance en Guadeloupe, un ancêtre au Cameroun, une sensibilité antillaise énervée et une révérence tirée le 9 septembre 2023 à Fort-de-France. Voilà pourquoi En Sol Majeur rediffuse l'entretien que Christian Lara nous accordait en 2018, année du 170ème anniversaire de l'abolition de l'esclavage, au moment où il projetait à Paris Esclave et courtisane & Héritage perdu, deux films combattant les trous de mémoire de notre histoire de France. Présenté comme le père du cinéma antillais, réalisateur, scénariste, producteur français, Christian Lara aura signé 27 films avec en tête le conseil d'Ingmar Bergman « Ne filme que ce que tu connais parfaitement. » De Sucre amer, à Coco-la fleur, candidat en passant par 1802 l'épopée guadeloupéenne et Yafa le pardon, le jamais content du 7ème art créole aura tenu parole se revendiquant petit-fils du premier historien noir de Guadeloupe.Les choix musicaux de Christian Lara Vélo Lékol laExpérience 7 CarmélinaLouis Amstrong The Good Book, Rock my soul
Secrétaire générale de la Francophonie. La Cité internationale de la langue française, inaugurée à Villers-Cotterêts le 30 octobre 2023 par le président français Emmanuel Macron, accueillera le XIXe sommet de la Francophonie à l'automne 2024. L'Organisation internationale de la Francophonie, dont le français est le ciment, rassemble 88 pays et plus de 321 millions de locuteurs dans le monde. Sa vocation : être un outil de coopération multilatérale, culturelle, éducative, économique et politique. L'OIF veille également à la paix et à la sécurité dans l'espace francophone : des enjeux menacés par les conflits armés qui se multiplient. Comment la Francophonie peut-elle porter la voix de la paix ? Quel peut être son rôle pour apaiser les tensions ? Louise Mushikiwabo, secrétaire générale de l'OIF depuis 2018, réélue en 2022, commente l'actualité au Proche-Orient, en Afrique et au Sahel, suite aux coups d'État, ainsi que les derniers événements survenus entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Présentation : Françoise Joly (TV5MONDE), Élise Barthet (« Le Monde »). Depuis Yaoundé (Cameroun).
Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains débattent de l'actualité africaine et internationale. Nous irons tout d'abord au Mali, où les rebelles du CSP-PSD ont pris le contrôle de la base de Kidal après le départ de la Minusma. Puis direction le Sénégal, pour revenir sur la polémique entourant la réinscription, ou non, d'Ousmane Sonko sur les listes électorales. Puis enfin, retour sur la venue de Charles III au Kenya, où son discours sur les abus coloniaux n'a pas fait l'unanimité. Invités : - André Silver Konan, journaliste et fondateur de l'hebdomadaire Ivoir'Hebdo, en Côte d'Ivoire- Dié Maty Fall, rédactrice en chef, chef du service international du quotidien national Le Soleil, au Sénégal- François Hiondi Nkam, journaliste grand reporter au quotidien Le Jour, au Cameroun.
Avec 5 milliards de fans dans le monde, 1,5 milliard de téléspectateurs devant la finale France-Argentine de la dernière Coupe du monde au Qatar, la popularité du football n'est plus à démontrer. Une passion planétaire pour le ballon rond qui génère de plus en plus d'argent. La Fédération internationale de football (Fifa) a d'ailleurs annoncé un chiffre d'affaires record pour la période 2019-2022. 7,2 milliards d'euros gagnés notamment grâce aux sponsors, à la vente de tickets et de produits dérivés et, bien sûr, aux droits de diffusion télé. Autour du sport, c'est bien toute une économie qui s'est mise en place autour des joueurs, des clubs, des diffuseurs ou encore des supporteurs. Avec des salaires de plus en plus élevés pour les joueurs, des places au stade de plus en plus chères, des matchs diffusés sur des chaînes payantes, comment les supporters voient-il l'évolution du football ? L'argent du ballon rond peut-il nuire à sa popularité ? Avec : Jérôme Latta, journaliste indépendant, cofondateur de la revue Les cahiers du football et auteur de Ce que le football est devenu (éditions Divergences, 2023) Souleymane Chekam, président du 237 OM, club des supporters de l'Olympique de Marseille au Cameroun.Un entretien avec Nicolas Keraudren, correspondant régional dans les pays du Golfe. Il nous parlera de l'arrivée des stars du football en Arabie saoudite et du rapport des habitants au football. Programmation musicale :► Fais moi la passe - Rohff & Karim Benzema► Akwaba - Magic System, Yemi Alade, Mohamed Ramadan.
Les journalistes et experts de RFI répondent aux questions des auditeurs sur la visite des dirigeants allemands en Afrique, sur la suspension des activités politiques à Touba et sur l'élection de Joshua Osih à la tête du SDF. Économie : les dirigeants allemands parient sur l'AfriqueLe chancelier de la République fédérale d'Allemagne, Olaf Scholz, s'est rendu au Nigeria et au Ghana tandis que le président allemand était en Zambie et en Tanzanie. Quel est l'intérêt des autorités allemandes à multiplier les déplacements sur le continent africain ? Quels bénéfices les pays africains concernés peuvent-ils en retirer ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin.Sénégal : interdiction des activités politiques à ToubaSerigne Mountakha Bassirou Mbacké, le khalife général des Mourides, a interdit toutes les activités politiques dans la ville sainte de Touba, la troisième ville la plus peuplée du Sénégal. Comment expliquer cette décision à quatre mois de la présidentielle ? Les partis politiques vont-ils respecter cette interdiction ? Avec Dr Cheikh Gueye, chercheur, auteur de Touba : la capitale des Mourides, éditions Karthala. Cameroun : Joshua Osih, désigné nouveau leader du SDFAu Cameroun, Joshua Osih a été élu président du parti politique d'opposition, le Socialist democratic front. Pourquoi y a-t-il eu des cafouillages au moment du vote alors qu'il était le grand favori ? Comment le nouveau leader compte-t-il relancer un parti en perte de vitesse face au MRC de Maurice Kamto ? Avec Aristide Mono, politologue.Football : Jude Bellingham impressionne la Liga Le joueur anglais Jude Bellingham a remporté le trophée du meilleur jeune, lors de la cérémonie du Ballon d'Or. Arrivé au Real Madrid en début de saison, le milieu de terrain a déjà marqué treize buts en autant de matchs. Comment est-il devenu un buteur aussi prolifique ? Pourrait-il prendre la place de numéro 9 laissée vacante par Karim Benzema ?Avec Victor Missistrano, journaliste au service des sports.
Avec 5 milliards de fans dans le monde, 1,5 milliard de téléspectateurs devant la finale France-Argentine de la dernière Coupe du monde au Qatar, la popularité du football n'est plus à démontrer. Une passion planétaire pour le ballon rond qui génère de plus en plus d'argent. La Fédération internationale de football (Fifa) a d'ailleurs annoncé un chiffre d'affaires record pour la période 2019-2022. 7,2 milliards d'euros gagnés notamment grâce aux sponsors, à la vente de tickets et de produits dérivés et, bien sûr, aux droits de diffusion télé. Autour du sport, c'est bien toute une économie qui s'est mise en place autour des joueurs, des clubs, des diffuseurs ou encore des supporteurs. Avec des salaires de plus en plus élevés pour les joueurs, des places au stade de plus en plus chères, des matchs diffusés sur des chaînes payantes, comment les supporters voient-il l'évolution du football ? L'argent du ballon rond peut-il nuire à sa popularité ? Avec : Jérôme Latta, journaliste indépendant, cofondateur de la revue Les cahiers du football et auteur de Ce que le football est devenu (éditions Divergences, 2023) Souleymane Chekam, président du 237 OM, club des supporters de l'Olympique de Marseille au Cameroun.Un entretien avec Nicolas Keraudren, correspondant régional dans les pays du Golfe. Il nous parlera de l'arrivée des stars du football en Arabie saoudite et du rapport des habitants au football. Programmation musicale :► Fais moi la passe - Rohff & Karim Benzema► Akwaba - Magic System, Yemi Alade, Mohamed Ramadan.
Quelques jours après la journée mondiale du psoriasis qui s'est tenue le 29 octobre 2023, nous faisons un point sur cette maladie inflammatoire chronique de la peau. Se manifestant par l'apparition d'épaisses plaques de peau qui desquament, le psoriasis peut toucher différentes parties du corps : coude, genoux, cuir chevelu... Quelles en sont les causes ? Comment le prendre en charge ? Dr Inès Zaraa, dermatologue à l'Hôpital Saint-Joseph à Paris. Membre de RESO psoriasis. Secrétaire générale de l'association des dermatologistes francophones Dr Christine Mandengue, dermato-vénéréologue, praticienne hospitalo-universitaire à l'Université des Montagnes à Bangangté, dans l'ouest du Cameroun.En fin d'émission, nous parlons de l'hygiène des toilettes dans les écoles camerounaises avec Yvonne Flore Belema, présidente de l'ONG Association Camerounaise d'Aide à l'Hygiène et à l'Insertion des Jeunes dans les Collectivités (ACAHIJEC) et autrice du roman L'école propre et de la bande dessinée L'école propre pour tous.
Quelques jours après la journée mondiale du psoriasis qui s'est tenue le 29 octobre 2023, nous faisons un point sur cette maladie inflammatoire chronique de la peau. Se manifestant par l'apparition d'épaisses plaques de peau qui desquament, le psoriasis peut toucher différentes parties du corps : coude, genoux, cuir chevelu... Quelles en sont les causes ? Comment le prendre en charge ? Dr Inès Zaraa, dermatologue à l'Hôpital Saint-Joseph à Paris. Membre de RESO psoriasis. Secrétaire générale de l'association des dermatologistes francophones Dr Christine Mandengue, dermato-vénéréologue, praticienne hospitalo-universitaire à l'Université des Montagnes à Bangangté, dans l'ouest du Cameroun.En fin d'émission, nous parlons de l'hygiène des toilettes dans les écoles camerounaises avec Yvonne Flore Belema, présidente de l'ONG Association Camerounaise d'Aide à l'Hygiène et à l'Insertion des Jeunes dans les Collectivités (ACAHIJEC) et autrice du roman L'école propre et de la bande dessinée L'école propre pour tous.
Bienvenue dans le quatrième épisode captivant de "Parcours d'Ingénieurs", la série qui vous transporte dans les histoires incroyables de nos diplômés de l'Icam. Aujourd'hui, nous vous présentons Cécile Fléchel, une femme qui a tracé son chemin dans l'industrie automobile dès sa sortie d'études, chez Renault. Mais ce n'est pas là que s'arrête son histoire. Cécile a ensuite embrassé une nouvelle opportunité passionnante en enseignant à l'Icam site de Lille. Cependant, elle a vite réalisé que son appel était ailleurs, dans un endroit inattendu : la ferme familiale. C'est là qu'elle a décidé de déployer son esprit ingénieux pour devenir une agricultrice extraordinaire. Dans cet épisode, Cécile nous ouvre les portes de son exploitation près de Valenciennes pour partager avec nous son parcours unique. Vous découvrirez comment elle a jonglé entre l'industrie automobile, l'enseignement et finalement l'agriculture, et comment elle a réussi à donner vie à sa passion pour la terre. Préparez-vous à être inspiré par l'histoire de Cécile Fléchel, une ingénieure qui a suivi son cœur et son esprit ingénieux jusqu'à un domaine inattendu, pour devenir une agricultrice exceptionnelle. Bienvenue dans "Parcours d'Ingénieurs", l'épisode quatre. *** Parcours d'ingénieurs est un podcast de l'Icam présenté par Camille Schneller et produit par Louie Creative. *** L'Icam, école d'ingénieurs créée en 1898, possède treize campus en France et dans le monde : Lille, Grand Paris Sud, Nantes, Bretagne , Vendée, Toulouse, Strasbourg-Europe, Pointe-Noire au Congo, Douala au Cameroun, Kinshasa en RDC, Chennai en Inde, Quito en Equateur et Recife au Brésil. Avec plus de 8 000 étudiants, apprentis et stagiaires sur l'ensemble de ses sites, l'Icam se positionne comme une école majeure dans le paysage de l'enseignement supérieur. L'Icam se structure en trois pôles d'activité : l'enseignement supérieur et la recherche, la formation professionnelle et le service aux entreprises. Plus de 900 ingénieurs généralistes sont diplômés chaque année en France, dont près de la moitié par la voie de l'apprentissage.
Le dixième congrès ordinaire du Social Democratic Front (SDF) s'est achevé hier, dimanche 29 octobre, à Yaoundé avec l'élection du tout du nouveau président de cette formation politique de l'opposition, fondée en 1990. Et c'est, comme annoncé, le favori qui a été élu. Il s'agit du député Joshua Osih. Il remplace le fondateur, Ni John Fru Ndi qui a dirigé le parti jusqu'à son décès en juin 2023. Quel état des lieux fait-il de la situation du parti ? quelles sont ses ambitions pour le SDF ? Sera-t-il favorable à une candidature unique de l'opposition pour la prochaine élection présidentielle ? Joshua Osih répond aux questions de notre correspondant. RFI : Joshua Osih, vous êtes le tout nouveau président élu du SDF, au terme d'un congrès qui s'est achevé dimanche matin à Yaoundé. Vous étiez annoncé largement vainqueur, mais finalement, l'élection s'est avérée houleuse et tendue. Quels commentaires avez-vous ? Joshua Osih : Premièrement, j'aimerais remercier tous les délégués qui m'ont exprimé leur confiance en me donnant leurs voix. Deuxièmement, il n'y a aucune élection facile. Et je pense, troisièmement, que nos congrès sont toujours des moments de grande convivialité et des moments où la démocratie s'exprime, donc je ne peux que m'en féliciter.Vous accédez à la tête du SDF à un moment où le parti a considérablement perdu en poids électoral et en influence. Quelles sont donc les priorités de votre mandat ? Je ne pense pas qu'on peut parler de perte de vitesse. Vous savez très bien que nous avons perdu plusieurs sièges par le fait que nos différentes lois ne permettent pas que les élections qui sont annulées par le Conseil constitutionnel aient une autre issue qu'une reprise. Alors il se trouve que nous avons obtenu du Conseil constitutionnel que treize circonscriptions sur lesquelles nous avons fait des recours ont été annulées pour le fait que ces circonscriptions sont en guerre. Et malheureusement, tout ce que le Conseil constitutionnel a pu faire, c'est de reprogrammer des élections sans d'abord arrêter la guerre, et donc nous nous sommes retrouvés dans une situation où nous ne pouvions pas placer nos candidats comme des chairs à canon dans ce conflit, et nous avons décidé de ne pas continuer dans la procédure. Donc je ne considère pas tout cela comme étant perte de vitesse, au contraire, aujourd'hui je pense qu'avec l'affluence que vous avez vu lors de ce congrès, avec tout ce qui s'est passé lors des obsèques de notre président national, Ni John Fru Ndi, je pense que vous devriez plutôt me dire : comment ça se fait que le parti soit aussi vivant aujourd'hui ?Vous êtes avec d'autres partis de l'opposition, dont le MRC et le PCRN, dans une plate-forme qui appelle de tous ses vœux à la réforme du Code électoral avant la prochaine élection présidentielle de 2025. Cette dynamique peut-elle aller dans le sens de la désignation d'un candidat unique de l'opposition face à celui que présentera le RDPC [le parti au pouvoir] ? J'aimerais déjà dire que le travail qui a été fait et qui est encore d'actualité aujourd'hui avec les autres partis de l'opposition camerounaise, c'était pour mettre en commun les points que nous pensions être les points saillants pour un code électoral acceptable au Cameroun. Ce travail a été fait, il a été publié en anglais et en français. Maintenant, nous pouvons nous asseoir sur ce travail-là et le fait que nous nous sommes rapprochés pendant ces travaux pour aller plus loin, pour fédérer nos forces, pourquoi pas une coalition à une élection. Mais nous n'en sommes pas encore à ce point.Le SDF se croit-il encore capable, comme du temps de Ni John Fru Ndi qui en a été proche, de gagner à lui tout seul une élection présidentielle au Cameroun ? Il faut quand même restituer la vérité, nous n'en avons pas été très proches, nous avons gagné l'élection de 1992 qui nous a été volée. Maintenant, si nous pouvions gagner en 1992, nous pouvons aussi gagner en 2025, donc nous ne sommes pas loin de là. Il faut absolument qu'il y ait une alternance au Cameroun, il faut absolument délivrer le peuple camerounais de 60 années de néocolonialisme, il faut absolument un agenda social-démocrate au Cameroun, et le SDF est la réponse, et c'est pour cela que nous nous levons tous les matins pour apporter cet agenda aux Camerounaises et aux Camerounais.Depuis 33 ans, le SDF n'a jamais participé à un gouvernement du RDPC, est-ce qu'avec votre avènement à la présidence de ce parti, on peut voir le SDF demain dans un gouvernement d'union ? Si oui, à quelles conditions ? Je pense que ce n'est pas à l'ordre du jour. Pour l'instant, nous avons une majorité obèse qui n'a pas besoin d'union, qui dilapide un peu tout ce qu'elle trouve sur son chemin, ce qui est un véritable problème pour tous les Camerounaises et les Camerounais, et donc nous n'avons aucune envie d'aller rejoindre un problème. Nous voulons plutôt être du côté des solutions. Si demain on est dans une situation où une solution est posée sur la table, nous pouvons y participer.
Les têtes d'affiches de Denise Epoté, de TV5 Monde, sont cette semaine les Camerounais Alexandra et Nicolas Ngandeu initiateurs de Doohla, l'appli qui optimise les transferts d'argent. Et la Malgache Herinirina Faneva, fondatrice de Fianaralab, un hub destiné à démocratiser et promouvoir l'accès à l'énergie durable.
Ce samedi 28 octobre est une journée doublement historique pour le sport africain, avec l'Afrique du Sud en finale de la Coupe du monde de rugby en France face à la Nouvelle-Zélande dans un premier temps, avant un combat de boxe ultra-médiatisé à Riyad en Arabie saoudite. Il oppose l'invincible poids lourd anglais Tyson Fury, invaincu en 34 combats et le champion de MMA Francis Ngannou, qui n'a jamais combattu en professionnel en boxe anglaise, mais qui fera face au géant britannique pour 10 rounds de 3 minutes. Un affrontement que le Camerounais espérait depuis des années... À 37 ans, le voilà face au combat de sa vie. À quelques heures de monter sur le ring, il s'est confié à Martin Guez. RFI : Francis Ngannou, comment est-ce que vous vous sentez avant ce grand combat ?Francis Ngannou : Je vais très bien, là, je me sens bien. Samedi passé, on a fini les entrainements, des entrainements intenses. Là, on est entré en phase de récupération et on essaie de continuer à maintenir un peu la forme, pour arriver au pic de sa forme le jour J.Justement, racontez-nous un petit peu comment vous vous êtes préparé pour un tel combat. Vous êtes arrivé assez tôt en Arabie saoudite pour vous acclimater, et j'ai cru comprendre que vous vous leviez au beau milieu de la nuit, vers 2h du matin, pour vous mettre en condition pour le jour du combat.Oui, ma préparation s'est faite à Las Vegas, où je me suis entraîné pour trois mois et après, il a fallu que je vienne un peu plus tôt, vu qu'il y a 10 heures de décalage horaire, avec Las Vegas déjà. Et autres paramètres pour pouvoir s'acclimater : habituer son organisme à être éveillé et actif à ces heures qui seront les heures du combat.On ne vous donne pas forcément favori de ce combat, d'ailleurs vous n'allez pas évoluer tout à fait dans votre discipline. Vous, vous êtes plutôt MMA [1]. Là, ça va être un combat de boxe anglaise. Même si vous l'avez pratiquée à vos débuts, est-ce que ça vous plaît d'être un petit peu dans cette position de challenger ?Le fait de ne pas être favori, ça ne me dérange pas du tout. Moi, je ne suis pas là pour être favori, je suis là pour poursuivre mon rêve. Et a priori, ça se passe bien. D'aussi longtemps que je me souvienne, je n'ai jamais lâché, et je ne fais que suivre ma feuille de route. Et tout se passe bien. Donc, c'est déjà une victoire en elle-même. Après, le combat sera une autre victoire qu'on ira chercher samedi soir. Mais, ça ne me dérange pas. En plus, j'ai l'habitude de ne pas être favori.On peut dire que le décor est bien planté autour de ce combat. Il y a eu beaucoup de petites phrases en amont. On a annoncé que ce serait la « bataille des "baddest" ». En français, ça donne la « bataille des "plus méchants" ». Mais quand on entend votre voix douce, on a du mal à y croire. Est-ce que vous êtes méchant, Francis Ngannou ?« Baddest », c'est dans la mesure de la détermination. Et quoi que vous fassiez dans la vie, vous devez être déterminé. Que ce soit combattre sur le ring, ou être journaliste comme vous l'êtes, vous devez être déterminé une fois que vous êtes sur votre champ de bataille. Vous allez tout donner. Et c'est ça la détermination en fait, c'est ça l'incarnation du mot « baddest ».Un autre méchant, en tout cas quelqu'un qui a été très déterminé dans sa vie, c'est un certain Mike Tyson, avec qui vous vous êtes préparé. Qu'est-ce que cette légende de la boxe vous a apporté dans la préparation de ce combat ?La présence de Mike Tyson, ce fut quand même un truc psychologique aussi. D'un autre côté, un peu un côté fan, tu vois, le rêve de ce petit garçon fan de Mike Tyson qui, aujourd'hui, est à ses côtés. Ça a eu plusieurs apports.Il y a une promotion vraiment énorme autour de cette soirée, autour de votre combat à vous, Francis Ngannou, contre Tyson Fury. On a même pu apercevoir Cristiano Ronaldo dans la bande-annonce de l'événement. Est-ce que vous avez déjà connu un pareil engouement pour un de vos combats ?Non, honnêtement, pas du tout. Ça n'a rien à voir avec ce que j'ai connu auparavant. Ça a été un peu nouveau pour moi. C'est possible d'être concentré. Au bout du compte personne ne vous empêche de vous entraîner, d'aller vous coucher ou de faire quoi que ce soit. Donc c'est à vous maintenant de garder les yeux rivés sur l'objectif.Est-ce que vous pensiez en arriver là un jour, vous l'enfant de Batié, dans l'ouest du Cameroun, qui a connu la grande précarité ou la misère et les chemins de la migration, vous avez un parcours très atypique et un destin assez incroyable, finalement ?J'ai toujours rêvé, je me suis permis de rêver. Je me suis permis de visualiser. Tellement que parfois, j'ai l'impression d'avoir vécu certains événements, même s'ils sont tous nouveaux. Mais j'ai l'impression d'avoir vécu, c'est tellement dans mes rêves. Nul n'aurait pu le savoir. Mais, au départ, même moi je ne savais pas que c'était possible. Il était juste question d'essayer et de tout donner. On peut avoir une influence sur son avenir, de par sa détermination et sa foi.Est-ce que vous diriez que c'est le plus grand combat de votre vie ?Pour l'instant, oui. Mais, comme on dit souvent, le meilleur reste à venir. Je ne m'arrête pas là. Mais juste pour l'instant, oui, ça reste le plus grand, de loin le plus grand.Et ça ne sera pas le dernier ?Non, je ne compte pas m'arrêter là. Je suis ambitieux, moi.Un autre ambitieux, Tyson Fury, a préparé un autre combat contre l'Ukrainien Oleksandr Usyk un petit peu plus tard. Est-ce que vous l'avez pris comme une provocation, est-ce que c'est un manque de respect ?Non, parce que ça n'a pas la même ampleur que ce combat. Donc, du coup, ça ne me dérange pas du tout. C'est peut-être une décision professionnelle, effectivement, parce qu'ils ont fait ça dans le but de remplir des obligations, mais pas parce que c'était un plus grand combat. Mais moi, ça ne me dérange pas.[1] Sport de combat en un contre un autorisant l'utilisation de différentes techniques de percussion (coups de poings, pieds, genoux, coudes...) et de préhension debout et au sol.
Quand le stress, les émotions, les angoisses ou encore les souffrances psychiques se transforment en symptômes physiques, on parle de somatisation. Des souffrances psychologiques non verbalisées peuvent ainsi ressurgir. Mécanisme inconscient, la somatisation touche un grand nombre de personnes. Ainsi, environ 10% de la population est ou, a été, concerné par la somatisation. Quel est l'impact de la somatisation sur le corps ? Comment traiter les patients ? Dr Aurélien Benoilid, neurologue, diplômé en Thérapies brèves et hypnose. Fondateur du Centre Ellipse à Strasbourg, un centre spécialisé dans la prise en charge des douleurs chroniques et des manifestations psychosomatiques. Auteur de Non, ce n'est pas que dans votre tête, aux éditions Marabout Dr Christian Eyoum, médecin-psychiatre, chef service du SESAME (SErvice de SAnté MEntale) de l'Hôpital Laquintinie de Douala, au Cameroun.
Quand le stress, les émotions, les angoisses ou encore les souffrances psychiques se transforment en symptômes physiques, on parle de somatisation. Des souffrances psychologiques non verbalisées peuvent ainsi ressurgir. Mécanisme inconscient, la somatisation touche un grand nombre de personnes. Ainsi, environ 10% de la population est ou, a été, concerné par la somatisation. Quel est l'impact de la somatisation sur le corps ? Comment traiter les patients ? Dr Aurélien Benoilid, neurologue, diplômé en Thérapies brèves et hypnose. Fondateur du Centre Ellipse à Strasbourg, un centre spécialisé dans la prise en charge des douleurs chroniques et des manifestations psychosomatiques. Auteur de Non, ce n'est pas que dans votre tête, aux éditions Marabout Dr Christian Eyoum, médecin-psychiatre, chef service du SESAME (SErvice de SAnté MEntale) de l'Hôpital Laquintinie de Douala, au Cameroun.
On ne choisit pas sa famille mais on se sent parfois obligé de la soutenir et de l'aimer. Car si l'amour et le respect sont des valeurs en théorie intrinsèques à la famille, celle-ci peut aussi être source de souffrances... à tel point que certains choisissent de s'éloigner. Une décision souvent taboue qui n'est pas toujours comprise par l'entourage : dans nos sociétés, les liens familiaux restent sacrés. À quel moment faut-il rompre le lien ? Comment ne pas se sentir coupable, si c'est notre décision ? Et peut-on renouer avec sa famille après s'en être éloigné ? Avec :• Tamara Magaram, écrivaine et autrice de Survivre à la famille toxique - Rupture familiale et reconstruction (L'Harmattan, 2023) • Francis Akindes, sociologue et professeur à l'Université Alassane Ouattara de Bouaké• Tessiah Gadou, médiatrice familiale à la Maison des liens familiaux, un lieu pour prévenir les ruptures de lien, accueillir les dysfonctionnements familiaux, restaurer les liens rompus et accompagner leur reprise si nécessaire. Et un témoignage recueilli par Amélie Beaucour.Daniel n'a pas choisi de rompre le lien avec sa famille. C'est sa famille qui lui a tourné le dos. Aujourd'hui, Daniel a 30 ans et vit dans un logement géré par la CAMFAIDS, une association qui lutte contre les discriminations faites à la communauté LGBT au Cameroun. Elle raconte au micro d'Amélie Beaucour comment cette rupture familiale la tient encore aujourd'hui écarté de sa mère ou de sa grand-mère.Programmation musicale :► Pink - Family portrait► Regarde-moi - KT Gorique.
Le continent africain connaît un taux de croissance urbaine parmi les plus rapides au monde. Alors que les villes africaines abritaient 27 millions de personnes en 1950, elles rassemblent aujourd'hui près de 600 millions de citadins. Et plusieurs mégalopoles, comme Lagos ou Kinshasa, dépassent largement les 10 millions d'habitants. Face à cette tendance irréversible, les enjeux sont de taille pour offrir à tous ces habitants des logements, un réseau de transport adéquat, des services, des loisirs... Le tout, en s'adaptant aux effets du réchauffement climatique. Forêts urbaines, espaces verts et agricoles, transports publics, utilisation de matériaux naturels... les options sont nombreuses pour rendre les villes plus vivables et durables. Mais les métropoles africaines ont-elles les moyens de relever ce défi ?À l'occasion de la Conférence Climate Chance Afrique 2023 (organisée par l'Association Climate Chance) à Yaoundé, au Cameroun, les 23-24 octobre 2023.Avec :• Guillaume Josse, géographe-urbaniste, directeur de projets au sein du Groupe Huit, bureau d'études pluridisciplinaire spécialisé dans le développement urbain et municipal dans les pays du Sud • Léandre Guigma, architecte-urbaniste, fondateur et cogérant de l'Agence Perspective à Ouagadougou au Burkina Faso • Augustin Tamba, maire de la Commune de Yaoundé 7 et président national des Communes et villes unies du Cameroun. Programmation musicale :► African in New York – Shirazee feat Sarz► Mientras me curo del cora - Karol G.
Au lendemain de la journée mondiale du bégaiement, nous parlons de ce trouble du langage qui affecte la fluidité de la parole. Survenant le plus souvent durant l'enfance, le bégaiement touche plus fréquemment les hommes. Quelles sont les causes de ce trouble de la communication ? Quelles prises en charge existent ? Patricia Oksengberg, orthophoniste spécialiste du bégaiement. Auteure de Dans les coulisses du bégaiement, paru aux éditions du Petit ANAE. Co-directrice du Diplôme d'université « Bégaiement » à Santé Sorbonne Université, coresponsable du module « bégaiement », à l'école d'orthophonie. Membre active de l'Association Parole Bégaiement-Belgique et membre de l'Association bégaiement ABC au Canada. Formatrice thérapie du bégaiement auprès d'orthophonistes diplômés Mike Muya, entrepreneur dans la communication et créateur du podcast « Noir et bègue » Claire Nkoue Bezzina, orthophoniste intervenant en libéral à Yaoundé, au Cameroun.
Au lendemain de la journée mondiale du bégaiement, nous parlons de ce trouble du langage qui affecte la fluidité de la parole. Survenant le plus souvent durant l'enfance, le bégaiement touche plus fréquemment les hommes. Quelles sont les causes de ce trouble de la communication ? Quelles prises en charge existent ? Patricia Oksengberg, orthophoniste spécialiste du bégaiement. Auteure de Dans les coulisses du bégaiement, paru aux éditions du Petit ANAE. Co-directrice du Diplôme d'université « Bégaiement » à Santé Sorbonne Université, coresponsable du module « bégaiement », à l'école d'orthophonie. Membre active de l'Association Parole Bégaiement-Belgique et membre de l'Association bégaiement ABC au Canada. Formatrice thérapie du bégaiement auprès d'orthophonistes diplômés. Mike Muya, entrepreneur dans la communication et créateur du podcast « Noir et bègue ». Claire Nkoue Bezzina, orthophoniste intervenant en libéral, à Yaoundé au Cameroun.
En janvier 2023, L'atelier des médias était au Tchad. À N'Djaména se trouve le siège de RNI, Radio Ndarason internationale, qui émet en plusieurs langues dans les pays voisins du lac Tchad. Rencontre avec celles et ceux qui font vivre ce média qui donne une voix aux populations de zones où les crises sont multiples. Dans les régions du pourtour du lac Tchad vivent des millions de personnes souvent oubliées par les médias. Il existe pourtant depuis 2016 une radio qui diffuse des programmes en trois langues locales (kanembou, kanouri, boudouma) et en français : Radio Ndarason internationale.On peut capter RNI en FM et en ondes courtes dans quatre pays : le Tchad, le Nigeria, le Niger et le Cameroun. Son positionnement est on ne peut plus clair : servir de rempart contre la violence extrême et convaincre les populations qu'une vie meilleure est possible dans la région du lac Tchad.L'atelier des médias de RFI s'est rendu à N'Djaména, au Tchad où se trouve le siège de cette radio. Steven Jambot y a tendu son micro à David Smith, directeur d'Okapi Consulting et initiateur de RNI, et à plusieurs membres de la rédaction. Mondoblog audio fait entendre Fabrice Nouanga, Mondoblogueur camerounais qui tient le blog Mbo Attitudes.
Radio Foot avec ce jeudi à la Une à 16h10-21h10 T.U. : - Retour sur la session de rencontres amicales des nations africaines. 3 jours après leur nul contre le Maroc, les Ivoiriens de nouveau tenus en échec, par les Sud-Africains cette fois-ci. Les Éléphants avec le retour gagnant de Seko Fofana, et un buteur, Sébastien Haller, qui retrouve le chemin des filets. 2 matches et 2 (courtes) défaites pour le Cameroun, face à la Russie et au Sénégal, mais surtout, une attaque muette. Faut-il s'inquiéter à 3 mois du début de la CAN ? Le coup de sang de BelmadiLors de la rencontre de lundi dernier (16 octobre 2023) contre l'Égypte aux Émirats Arabes Unis, tension visible entre le sélectionneur et Saïd Benrahma, attaquant de West Ham, visiblement frustré par son remplacement dans un match compliqué, et qui n'a pas salué son coach. Torts partagés ?Ligue africaine de Football1ers coups de sifflet des quarts de finale de cette 1ère édition à 8 équipes demain (20 octobre 2023). Un format innovant et des supporters bientôt conquis ?Benzema, la polémiqueLe Ballon d'Or 2022 pointé par le ministre français de l'Intérieur pour ses liens avec les Frères musulmans. Le joueur d'Al-Ittihad n'a fait que publier un message de soutien aux Gazaouis. Son avocat dément cette proximité avec l'organisation et contre-attaque. L'ancien international est-il devenu une cible facile?Droits TV du foot françaispour l'instant, les lots n'ont pas trouvé preneur pour la période 2024-2029. L'instance peut-elle encore rêver au milliard d'euros ? La Ligue 1 est-elle déclassée sur le plan sportif et économique ?Autour d'Hugo Moissonnier, Cherif Ghemmour, Benjamin Moukandjo, Nabil Djellit et Joseph-Antoine Bell. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
Radio Foot avec ce jeudi à la Une à 16h10-21h10 T.U. : - Retour sur la session de rencontres amicales des nations africaines. 3 jours après leur nul contre le Maroc, les Ivoiriens de nouveau tenus en échec, par les Sud-Africains cette fois-ci. Les Éléphants avec le retour gagnant de Seko Fofana, et un buteur, Sébastien Haller, qui retrouve le chemin des filets. 2 matches et 2 (courtes) défaites pour le Cameroun, face à la Russie et au Sénégal, mais surtout, une attaque muette. Faut-il s'inquiéter à 3 mois du début de la CAN ? Le coup de sang de BelmadiLors de la rencontre de lundi dernier (16 octobre 2023) contre l'Égypte aux Émirats Arabes Unis, tension visible entre le sélectionneur et Saïd Benrahma, attaquant de West Ham, visiblement frustré par son remplacement dans un match compliqué, et qui n'a pas salué son coach. Torts partagés ?Ligue africaine de Football1ers coups de sifflet des quarts de finale de cette 1ère édition à 8 équipes demain (20 octobre 2023). Un format innovant et des supporters bientôt conquis ?Benzema, la polémiqueLe Ballon d'Or 2022 pointé par le ministre français de l'Intérieur pour ses liens avec les Frères musulmans. Le joueur d'Al-Ittihad n'a fait que publier un message de soutien aux Gazaouis. Son avocat dément cette proximité avec l'organisation et contre-attaque. L'ancien international est-il devenu une cible facile?Droits TV du foot françaispour l'instant, les lots n'ont pas trouvé preneur pour la période 2024-2029. L'instance peut-elle encore rêver au milliard d'euros ? La Ligue 1 est-elle déclassée sur le plan sportif et économique ?Autour d'Hugo Moissonnier, Cherif Ghemmour, Benjamin Moukandjo, Nabil Djellit et Joseph-Antoine Bell. - Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.
À l'occasion de la journée mondiale de la ménopause, nous faisons un point sur cette période de la vie d'une femme marquée par l'arrêt de l'ovulation et la disparition des règles. Survenant généralement entre 45 et 55 ans, la ménopause peut se manifester par des symptômes affectant la qualité de vie des femmes : bouffées de chaleur, fatigue, irritabilité, troubles du sommeil... Comment vivre au mieux cette période ? Quels sont les traitements existants pour contrer ses symptômes ? Dr Odile Bagot, spécialiste en Gynéco-Obstétrique, ancien chef de clinique des hôpitaux et diplômée de Gynécologie psychosomatique. Titulaire d'un Master d'éthique, elle enseigne la sexologie à l'Université de Strasbourg. Auteure de Ménopause, pas de panique !, aux éditions Mango Dr Monique Onomo-Jong, gynécologue obstétricienne à Douala au Cameroun.Programmation musicale :► Teni – lanke► Soom T – Fly my bird.