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Podcast Horreur dans l'ombre des légendes Par ChandleyrCertaines rencontres changent une vie.Celles-ci l'ont brisée.Dans cet épisode spécial Thread Horreur / Podcast Horreur de Dans l'Ombre des Légendes, Chandleyr vous raconte trois histoires où la curiosité, la confiance ou le simple hasard ont mené au cauchemar :Jessica (Ligne 13) : en voulant aider une femme blessée, elle tombe dans le piège d'un réseau de trafic d'organes.Alfred (Le Club) : un rendez-vous Tinder le conduit dans un club aux plaisirs interdits… où la douleur est une monnaie d'échange.L'Auditeur (Le Jeu) : un fan demande une histoire unique… et se retrouve à l'intérieur du récit, incapable d'en sortir.Trois récits abominables, inspirés de rumeurs, de faits divers et de cauchemars qui pourraient être vrais.L'horreur est parfois à une station de métro, à un match Tinder… ou dans vos écouteurs.
C dans l'air du 4 novembre 2025 : Aides sociales, santé : la fin de la "générosité" ?Une nouvelle étape du marathon budgétaire s'ouvre ce mardi à l'Assemblée : après avoir mis sur pause les débats sur la partie « recettes » du projet de loi de finances, les députés s'attaquent à l'examen du budget de la Sécurité sociale, et des coupes sévères sont avancées. Franchises médicales, durée des arrêts de travail, cotisation sur les tickets-restaurant… Le gouvernement a prévu des économies massives pour réduire le déficit de la Sécu à 17,5 milliards d'euros en 2026, contre 23 cette année.Les discussions s'annoncent inflammables, et le texte sera sans aucun doute remanié. Le Premier ministre, Sébastien Lecornu, a lui-même déclaré vendredi être prêt à renoncer au gel des pensions de retraite et des minima sociaux, l'une des mesures les plus contestées. Une nouvelle concession, après avoir fait inscrire la suspension de la réforme des retraites dans le texte, l'une des conditions du Parti socialiste pour ne pas censurer. « En réalité, c'est sur le PLFSS que le sort du gouvernement se joue dans les jours qui viennent », a déclaré à l'AFP le socialiste Jérôme Guedj."Si on n'a pas le courage de s'attaquer à bras-le-corps à son équilibre, ça va déraper. On va arriver à un moment où on ne sera plus capable de payer les retraites, de payer les remboursements", a estimé, de son côté, le ministre du Travail ce matin sur France Inter. "Il faut faire attention, je ne suis pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale", a également averti Jean-Pierre Farandou.Parmi les sujets en discussion, la question des affections de longue durée (ALD) risque notamment de donner ces prochains jours matière à de vifs échanges. Celles-ci concernent des maladies dont la gravité ou le caractère chronique nécessitent un traitement prolongé (cancers, accidents vasculaires cérébraux invalidants, diabète de type 1 ou 2, certaines affections psychiatriques, etc.). « L'augmentation inédite des maladies chroniques invite à une réforme profonde du dispositif des affections de longue durée (ALD) : 26 % de la population pourrait relever de ce dispositif en 2035, soit 18 millions de personnes représentant les trois quarts de la dépense d'Assurance maladie, contre 14 millions de bénéficiaires en 2022 », écrit le gouvernement dans le dossier accompagnant la présentation du PLFSS 2026. Nos journalistes ont rencontré des Français atteints d'affections de longue durée (ALD).Ils sont aussi allés à Chalon-sur-Saône, où le ministre de l'Industrie, Sébastien Martin, a piloté pendant dix ans la réindustrialisation du site Kodak, fermé en 2008.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - Challenges - Marc VIGNAUD - Journaliste en charge du suivi des politiques économiques – L'Opinion
Parler d'argent quand on est une femme ? Malaise immédiat. Et si justement, c'était là que tout commençait ?Dans cet épisode de Salut, ça va ?, je tends le micro à Margo Cunego, une femme entrepreneuse française au parcours aussi percutant qu'inspirant. Son histoire, c'est celle d'une success story au féminin qui aurait pu ne jamais exister… si elle avait écouté cette petite voix qui lui disait : « Tu veux trop. T'en demandes trop. T'es pas légitime. »À seulement 26 ans, Margo a généré plusieurs millions d'euros avec ses business.Mais ce qui impressionne le plus, ce n'est pas son chiffre d'affaires, c'est sa lucidité, sa force de caractère, et sa capacité à parler d'argent, de business, de mindset avec une telle transparence.Ensemble, on explore les 5 blocages invisibles qui empêchent encore des milliers de femmes entrepreneuses de vendre avec aisance, de gagner ce qu'elles méritent vraiment, et de s'épanouir pleinement dans leur carrière.Parce que non, ce n'est pas toi le problème. Ce sont les croyances qu'on t'a transmises depuis l'enfance. Celles qui t'apprennent à rester petite, raisonnable, modeste. Celles qui te murmurent que vouloir plus, c'est mal. Que réussir, c'est forcément culpabiliser.Cet épisode va te faire un bien fou : pour que tu comprennes enfin pourquoi tu minimises tes prix,enlève tes limites de pourquoi tu as peur de vendre,mets des mots sur pourquoi tu culpabilises dès que l'argent commence à rentrer.Et surtout, comment changer tout ça.On parle de :charge mentale financière et dépendance économique,ambition féminine et culpabilité de réussir,santé mentale et pression sociale autour de l'argent,leadership féminin dans un monde encore dominé par des schémas patriarcaux.Si tu te reconnais dans ce portrait, sache une chose : tu n'es pas seule. Et tu peux déconstruire tout ça. Pas en t'acharnant, mais en reconnectant avec ta valeur. Tu mérites plus. Et tu as le droit de l'assumer.Un épisode fort, cash, vulnérable, qui redéfinit notre rapport à l'argent et ouvre la voie à un mindset féminin plus libre, plus juste, plus puissant.
durée : 00:01:42 - Retour sur le match des handballeuses de Celles-sur-Belle contre Mérignac Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Est-ce qu'il y a, autour de vous, des personnes dont la qualité des décisions vous interpelle ?Celles qui semblent savoir quand agir, comment trancher et comment expliquer leurs choix avec clarté ? Comment font-elles ?Comment prennent-elles leurs décisions ?Comment les assument-elles et les partagent-elles ?Et surtout… avec quelle vitesse d'exécution ? Jérémie Blanchette fait partie de ces personnes.Durant un an, j'ai eu la chance de le côtoyer comme collègue de travail.Sa capacité à recueillir les informations pour orienter sa prise de décision, ainsi que sa façon de transmettre ses choix, m'ont profondément influencé. Dans cet épisode, on explore le parcours de Jérémie et la façon dont ses expériences d'arbitre et de responsable, au sein de différents organismes du milieu du soccer amateur, ont façonné son développement.
“Sibylle Bergemann” Le Monumentà la Fondation Henri Cartier-Bresson, Parisdu 29 octobre 2025 au 11 janvier 2026Entretien avecSonia Voss,commissaire d'exposition indépendante, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, 28 octobre 2025, durée 17'52,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/11/05/3663_sibylle-bergemann_fondation-henri-cartier-bresson/Communiqué de presse Commissariat :Sonia Voss, commissaire d'exposition indépendanteDe 1975 à 1986, la photographe allemande Sibylle Bergemann a accompagné l'élaboration du monument à Marx et Engels à Berlin-Est. Ce projet, formulé au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et de la création de la République démocratique allemande (RDA), est finalement confié en 1973 au sculpteur Ludwig Engelhardt, qui s'entoure de plusieurs autres artistes.Bergemann travaille d'abord de façon informelle, puis obtient une commande du ministère de la Culture en 1977. Pendant onze années, elle photographie les étapes du processus, des premières maquettes jusqu'à l'inauguration du monument, le 4 avril 1986.Malgré la publication, dès 1983, de certaines images dans la presse et leur présentation dans une exposition officielle, ce n'est qu'une fois la commande achevée que Bergemann se réapproprie pleinement le fruit de son travail. Parmi plus de 400 pellicules développées, elle retient douze photographies, réunies sous le titre Das Denkmal (Le Monument). Celles-ci révèlent un langage visuel aux antipodes des canons officiels. Dans une perspective post-communiste, la déconstruction des héros et l'ironie à l'oeuvre ont un caractère préfigurateur. Pourtant, nul ne pouvait prédire la chute du mur de Berlin, deux ans plus tard. S'appuyant sur une objectivité rigoureuse, Bergemann a su éviter la censure et traduire de façon laconique mais implacable l'obsolescence d'une idéologie.En 1990, la parution d'un livre mettant les photographies de Bergemann en regard de poèmes de Heiner Müller contribue à faire du Monument une oeuvre-clef de cette phase si particulière de l'histoire allemande. Elle reste aujourd'hui l'une des séries les plus emblématiques de Bergemann comme de la production artistique de l'époque.Cette exposition a été produite par la Fondation Henri Cartier-Bresson en collaboration avec le Centre régional de la photographie Hauts-de-France (CRP) et avec la participation de la Succession Sibylle Bergemann.Publication : Sibylle Bergemann — Le Monument aux éditions Kerber. Directrices de publication : Sonia Voss, Frieda von Wild, Lily von Wild. Textes : Christian Joschke, Heiner Müller, Steffen Siegel, Sonia Voss, Frieda von Wild, Lily von Wild Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cet épisode est une rediffusion - j'aime vous proposer, pendant les vacances scolaires, les contenus que vous avez le plus plébiscités au cours des derniers mois !« Il est temps enfin d'aborder l'enfant dans sa globalité. »L'un des grands défis de notre société est de désiloter l'enfance pour mettre en commun les connaissances. Celles des chercheurs, soignants, éducateurs, parents, ... sans oublier celles des enfants !Dans le but de mieux comprendre, accompagner et écouter les enfants, et leur permettre de devenir des adultes épanouis.J'ai l'honneur d'échanger aujourd'hui avec Ghislaine Dehaene, qui porte cette incroyable mission.Ghislaine est une pédiatre et grande neuroscientifique française, récemment nommée directrice de l'Institut Robert-Debré du cerveau de l'enfant, un projet unique en Europe. Par son engagement, elle milite pour une diffusion transversale et accessible des découvertes scientifiques auprès des familles, des enseignants et du grand public.Dans cet épisode, nous plongeons au cœur des découvertes sur le cerveau de l'enfant et des défis de la recherche et de l'éducation en France.Nous abordons des sujets essentiels :❇️ Les idées reçues sur le cerveau des enfants❇️ Repenser l'éducation pour nourrir la curiosité, valoriser l'erreur comme une occasion d'apprendre❇️ Éduquer, c'est aussi former et outiller les parents comme les enseignants❇️ Repenser l'inclusion, le diagnostic précoce et la santé mentale grâce à la diffusion des connaissances, la validation scientifique des pratiques et l'implication des familles❇️ Redonner de la joie et de l'optimisme aux enfantsAu programme :(02:20) Ghislaine Dehaene : de l'élevage de chevaux à la neuroscience(04:08) Découvertes sur l'apprentissage du langage et la curiosité du bébé(08:01) Comment et pourquoi étudier le cerveau des tout-petits ?(10:50) Cerveau et intelligence artificielle : quels liens ?(13:22) Idées reçues sur le cerveau des enfants(17:23) La place des recherches sur l'enfant en France, entre méconnaissance et insuffisance de diffusion(19:24) L'urgence du diagnostic précoce(23:32) Formation, rôle des parents, école inclusive : ce que les autres pays nous inspirent(28:25) Éduquer, guider et stimuler : l'importance de la parole, de l'erreur et du jeu(36:40) Réconcilier éducation et santé mentale(43:41) Donner un futur aux enfantsRessource :Site de l'Institut Robert-Debré du cerveau de l'enfantNotre travail est totalement indépendant. Si cet épisode vous a plu, la meilleure façon de nous soutenir est de vous abonner, de nous laisser un avis et 5 ⭐️ sur votre plateforme d'écoute préférée, ou encore de partager le podcast ! Vous pouvez également nous suivre sur Instagram @lesadultesdedemain, LinkedIn @stephaniedesclaibes ou retrouver les épisodes en vidéo sur la chaîne YouTube @lesadultesdedemain.Pour sponsoriser le podcast, c'est ici : formulaire.Les Adultes de Demain est le podcast qui explore l'enfance, l'éducation et la parentalité. Chaque semaine, des personnalités variées partagent leur expertise pour réinventer ensemble l'enfance et l'adolescence. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Qu'est-ce qu'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.Pour ce dernier épisode, Linda a rencontré George Ka, chanteuse et compositrice dont l'album, Les rebords du monde, est sorti en avril 2025.Repérée par Gaël Faye, elle s'est fait connaître avec sa chanson Saigon, et son clip tourné au Vietnam. Dans son texte, George Ka parle d'identité, de métissage, et de la place que l'on a dans le pays de nos racines – un pays qui ne nous connaît pas. Sa voix est celle d'une génération nouvelle, qui porte un regard d'espoir sur une société où les parcours de chacun.es viennent se connecter pour mieux résonner, ensemble. “Quand je dois faire quelque chose, je me demande : « Est-ce que ça me rend fière ? ». C'est aussi le sentiment qui te dit « t'as bien fait ».”“En fait, les histoires collectives sont la somme d'histoires individuelles et de personnes qui ont essayé de documenter, de comprendre et de poser des mots dans lesquelles d'autres personnes pouvaient se reconnaître.”“C'est là que l'humanité se crée : quand on arrive à ressentir de l'empathie et de la compréhension pour des personnes qui ont des itinéraires complètement différents.”Un épisode qui clôture la série Banh Mi Women, et dans lequel on parle de sororité, de cultiver la joie, et de comment transformer nos histoires individuelles en histoires collectives.Son & musique : Rémi Vu Dinh Ba
Aujourd'hui, j'ai enregistré cet épisode… en voiture. Oui, littéralement sur la route, après une garde de 2 semaines et 4 accouchements. Mon cerveau est en vrac, mes émotions à fleur de peau, mais j'avais besoin de déposer tout ça. Parce que cette fatigue-là, cette charge-là, elle ne se voit pas. Et pourtant, elle est là, chaque jour, chaque nuit.Je t'embarque avec moi dans les coulisses de ce métier qu'on aime tellement, mais qui peut aussi nous user.Je te raconte ce que c'est, un accompagnement qui commence à 2h du matin et qui finit 19h plus tard, sans pause, sans sommeil, sans personne pour prendre le relais. Ce que c'est d'être là pour une naissance… et pour tout ce qu'il y a autour. Parce que oui, accompagner une naissance, c'est pas “juste être présente” le jour J. C'est tenir l'espace. Lire les signaux. Veiller, contenir, surveiller, rassurer. C'est du soin invisible, mais intense.Je te parle aussi de mon corps qui réagit. Mon taux de cortisol qui explose. On n'est pas nombreuses... Parce que la Bulle a besoin de nous. Parce que les femmes comptent sur nous.Dans cet épisode, je te partage aussi un appel. Un appel sincère. On a besoin de renfort. De sages-femmes formées, humaines, prêtes à s'engager avec nous dans cette aventure de la naissance respectée. La Bulle cherche des deuxièmes sage-femme. Peut-être que c'est toi ?Et puis je te parle de ce lien avec mes collègues. De ces regards qui disent “je sais ce que tu vis”. De la sororité qui nous tient debout quand le monde autour semble sourd à nos réalités.C'est un épisode brut. Un cri du cœur. Un hommage à toutes les Iron Midwives. Celles qui tiennent. Qui donnent. Qui s'accrochent. Et qui rêvent encore, malgré tout, d'un monde où on pourra prendre soin… sans s'abîmer.
OSE ta V2 passe le micro 🎙ï¸- le podcast des femmes qui osent !
Dans ce nouvel épisode de podcast, j'ai décidé de gardé le micro… Pendant longtemps, j'ai cru qu'avoir de l'ambition, c'était gravir les échelons coûte que coûte; même s'il fallait en payer le prix fort.C'était normal, même valorisé, de faire des sacrifices : sacrifier sa santé, du temps avec sa famille, ses valeurs… Parce qu'“on n'a rien sans rien”, hein ? (Quelle phrase bullshit )Comme beaucoup de mes clientes, j'ai coché toutes les cases.Jusqu'à ce que mon corps dise stop.Et ce jour-là, j'ai compris comment mettre mon ambition au service de mon propre modèle de réussite.
Sortir du dilemme et du déséquilibre temps/argentInscrivez-vous pour la masterclass : "Gagnez plus en travaillant moins : L'équilibre Temps / Argent"
Qu'est-ce qu'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.Pour ce cinquième épisode, Linda a rencontré Doan Bui, journaliste au Nouvel Obs et écrivaine. Après Le silence de mon père (Prix de la Porte Dorée) et La tour (finaliste Goncourt Premier Roman, Prix littérature de l'exil, Prix Cocteau), Doan Bui publie son dernier roman Le pays de nulle part. En 2024, elle a codirigé le Hors-Série Indochine, la colonisation oubliée, dont le lancement a eu lieu dans l'auditorium du journal Le Monde. Une salle remplie de 250 personnes, dont la quasi totalité étaient des visages asiatiques. Un moment fort, qui a permis à Doan Bui de raconter des histoires collectives autrefois effacées par le silence. Des histoires qui sont aussi celles de ses parents, et qu'elle continue d'explorer pour mieux se comprendre. “Je crois qu'on a tous grandi en écoutant nos histoires racontées par d'autres, avec un prisme occidental, à un tel point qu'on pensait que c'était la seule façon de raconter notre histoire.”“Tous ces clichés sur la communauté invisible, c'est une façon de réduire au silence” “Je crois qu'en tant que femmes asiatiques, on a eu encore plus cette injonction de ce fameux cliché de la femme soumise qui ne parle pas. Ça fait du bien d'être entourée de femmes asiatiques qui l'ouvrent, qui parlent et qui sont dans la force.” Dans cet épisode, on parle de sa grand-mère, qui l'obligeait à réciter des prières, de son rapport à la langue vietnamienne, et de la manière dont la représentation des femmes asiatiques a évolué aujourd'hui, où l'on ose, enfin, parler et (re)prendre sa place.Son & musique : Rémi Vu Dinh Ba
durée : 00:03:13 - Museum « domestique moi si tu peux » - Elles travaillent dans l'ombre et font des merveilles, redonnant vie à de vieux animaux naturalisés, restés plus d'un siècle dans les réserves du Muséum de Toulouse. C'est à elles que l'on doit le dromadaire, le lama et le bouc de l'expo "Domestique-moi si tu peux", au Museum de Toulouse. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cette semaine, Les Ficelles reçoivent Amélie de @ODpépites, et ensemble elles parlent de célébrer la langue, de l'hégémonie des hommes et de l'homo-socialité. Utilisez notre code promo FICELLES15 pour obtenir un rabais de 15% sur tous les produits Eros et compagnieSoutenez-nous sur Patreon!Écoutez-nous sur YouTubeLes recommandations culturelles de la semaine : Celles d'Amélie Pépites : Deux livres sur la langue : États d'âmes, états de langue, Essai sur le français parlé au Québec de Marty Laforest (Presse de l'Université de Montréal, 2021) et La langue rapaillée : combattre l'insécurité linguistique des Québécois, d'Anne-Marie Beaudoin-Bégin (Somme Toute, 2015).Celles d'Amélie : La campagne de sensibilisaiton La grossophobie, ça suffit, de l'organisme ÉquiLibre, un peu partout sur les réseaux sociaux, et le roman La grosse qui rêvait d'amour, de Nadia Tranchemontagne (Québec Amérique, 2025) Celle d'Emna : L'essai Les hommes hétéros le sont-il vraiment? de Léane Alestra (Lattès, 2023) et le podcast québécois de true crime Captives.
durée : 00:23:39 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - Ce matin, Le Mag de la vie quotidienne d'Eva Roque tente de comprendre nos ruminations mentales. Celles qui nous "prennent la tête" sont-elles toujours négatives ? Faut-il s'en libérer ou les apprivoiser pour s'en servir ? Pourquoi sommes-nous parfois envahis de ces pensées qui nous assaillent ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Qu'est-ce qu'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.Pour ce quatrième épisode, Linda a rencontré Mai Hua, artiste et documentariste, réalisatrice des films Les Rivières, Make Me a Man, et May Day. Il y a 6 ans, Mai Hua décide de réaliser un film documentaire sur sa lignée de femmes, de sa grand-mère à sa propre fille, et sur les sentiments complexes qui les unissent à travers la culture vietnamienne. Dans cet épisode, elle raconte comment son film, auto-produit et traduit en 14 langues, a été accueilli, entre puissance et sororité, par des femmes qui y ont trouvé des résonances dans leur propre parcours. “Quand j'ai montré mon premier film, Les Rivières, à ma grand-mère, qui est dans le film, elle s'est mise à danser et elle m'a dit quelque chose qui m'émeut toujours aux larmes aujourd'hui. Elle m'a dit “je suis quelqu'un” ”“Il y a je crois à la fois une blessure que je ne peux pas nier, mais dont je n'ai pas du tout envie de me débarrasser parce que c'est à cet endroit que j'ai le plus créé du lien, du réconfort et de la réconciliation.”Plus on est puissantes, plus on est en lien, plus on autorise d'autres femmes, etc., c'est une boule de feu”Un épisode poignant, où l'on parle de puissance féminine, de la richesse de nos héritages culturels, et de comment on peut créer à partir de nos blessures.Son & musique : Rémi Vu Dinh Ba
Dans cette émission nous nous intéressons à la figure de la sorcière... Qu'on lui prête un nez crochu, des pouvoirs maléfiques ou une sexualité débridée, la sorcière est un objet de répulsion et de fascination depuis des siècles. Personnage mythique et historique, littéraire et artistique, elle a traversé les époques sans jamais disparaître. Dans ce premier volet " Celles qu'on désigne ", nous allons nous pencher sur l'aspect historique de la chasse aux sorcières-de la dénonciation aux persécutions, des interrogatoires aux procès-pour mieux souligner l'aspect politique de cette répression.extraits : liste de termes désignant les sorcières, l'Evangile des Quenouilles, William Perkins-chasseur de bonnes femmes, Malleus Maleficarum, procès en sorcellerie, Moi Tituba Sorcière de Maryse Conde. musiques : The good girl go to hell de Billie Eilish, La sorcière et l'Inquisiteur de Les Rita Mizouko, Burn the witch de Radioheadillustration : 3 femmes et 3 loups d'Eugène Grasset
Il y a des trajectoires linéaires, rassurantes, faciles à raconter. Et puis il y a celles, plus fascinantes encore, faites de tension, de contrastes assumés. Celles où deux mondes se rencontrent sans jamais totalement se rejoindre. Celles qui forcent à penser.Mariam en est l'incarnation. Dans la mode, on la connaît sous le nom de Mariam de Vinzelle, visage des défilés Chanel, Louis Vuitton, Schiaparelli etc. Dans la recherche, elle signe Mariam Beaure d'Augères, doctorante à l'École des Mines, au sein du Centre de Sociologie de l'Innovation, où elle mène une thèse sur… la durabilité du jean.Deux univers qui ne fonctionnent ni sur les mêmes codes, ni sur les mêmes temporalités. D'un côté, l'urgence, les émotions visuelles, le culte de l'instant. De l'autre, la rigueur, la lenteur méthodologique, le doute scientifique. Deux mondes qui ne se parlent presque jamais. Et pourtant, elle les habite tous les deux.Mais vivre cette double vie, c'est aussi vivre une dissonance cognitive permanente. Comment participer à une industrie qui clame la durabilité tout en produisant sans relâche ? Comment observer scientifiquement un système dont on fait partie ? Comment concilier l'échelle du podium — immédiate, esthétique — et celle du temps long de la recherche ?Car Mariam connaît la mode de l'intérieur. Les studios où l'on parle d'allure plus que d'impact. Les défilés où l'on évoque l'« urgence créative » plus que les ressources. Les conversations où l'on rêve d'innovation, mais où l'on oublie parfois ce que signifie vraiment fabriquer. Elle voit la réalité derrière la narration — et elle choisit de ne pas détourner le regard.Dans cet épisode, on parle : de double identité et de fidélité à soi, de durabilité sans slogans, de recherche appliquée au réel, d'éthique, de contradictions.Entre lucidité et sincérité, Mariam pose une question rare et nécessaire :peut-on transformer un système sans le quitter ?Un épisode dense extrêmement humain, au coeur de nos contradictions.Bonne écoute et retrouvez le podcast sur instagram @decousupodcast pour partager vos impressions !
Qu'est-ce qu'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.Pour ce troisième épisode, Linda a rencontré Anh Tran Nghia, actrice à l'affiche du film Dans la cuisine des Nguyen de Stéphane Ly-Cuong (2025).A 80 ans, Anh Tran Nghia s'illustre comme actrice, entre le théâtre et le cinéma. Mais le rôle qui lui tient le plus à cœur, c'est celui de mère et de grand-mère. Dans cet échange en vietnamien, elle explique comment les conseils de sa mère continuent de l'accompagner au quotidien. Pour elle, la famille est une composante indissociable de la culture vietnamienne, mais aussi une valeur universelle.“La culture vietnamienne, c'est quelque chose de très précieux pour moi. En vieillissant et en fondant ma propre famille, j'ai compris que la famille était essentielle.”“Ce respect envers nos ancêtres, ce n'est pas seulement une tradition vietnamienne, mais une valeur universelle.”Un épisode touchant, dans lequel Anh Tran Nghia, nous ramène aux valeurs essentielles qui constituent les fondements des liens familiaux.Son & musique : Rémi Vu Dinh Ba
Qu'est-ce qu'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.Pour ce second épisode, Linda a rencontré Linh Lan Dao, journaliste à France Info et auteure de Vous les Asiates, enquête sur le racisme anti-asiatique (Denoël, 2025)Elle partage la reconnaissance que lui a procuré d'écrire son livre, un essai mêlant son engagement journalistique et ses expériences personnelles, en tant que femme asio-descendante. Mais c'est aussi à ce moment précis que Linh Lan Dao reconnecte plus profondément avec ses racines vietnamiennes et l'histoire de sa famille. Elle est convaincue que chaque femme asiatique a un rôle à jouer dans la société francçaise. “Les générations précédentes ont donné, et toi, tu donnes aux générations à venir. C'est comme ça, c'est le passage de témoin.”“Ça fait plaisir de comprendre pourquoi on est là, en France, et quelle est notre histoire derrière. C'est important de savoir d'où l'on vient, pour ne pas être trop perdu.e dans la vie.”Avant, je trouvais qu'être journaliste était un chouette métier et ça n'allait pas plus loin. Maintenant, je me rends compte qu'on a notre rôle à jouer dans la société, en étant là dans les Arts, la Culture, et tous les domaines. Et ça, ça m'a apporté beaucoup d'amour, de légitimité et de force.” Un épisode entre exploration culturelle et engagement collectif, où Linh-Lan Dao met en évidence l'importance des liens inter-générationnels. Son & musique : Rémi Vu Dinh Ba
Qu'est-ce qu'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.Pour ce premier épisode, Linda a rencontré Céline Pham, cheffe et propriétaire du restaurant Inari à Arles.Elle s'est fait un nom auprès des plus grandes tables et événements parisiens. On évoque sa source d'inspiration, qui lui vient de ses souvenirs avec sa grand-mère. Elle décrit des saveurs et une appétence unique qui la connectent aux femmes de sa famille, à travers un véritable vocabulaire du goût. Pour elle, la préparation d'un repas vietnamien vaut tous les cours de cuisine.- « Est-ce que tu as faim ? Est-ce que tu as bien mangé ? » Elles ne me l'ont jamais verbalisé mais elles s'en sont toujours assurées, comme un curseur de « je vais bien ».- "Je me sens connectée avec des goûts et je voyage à travers des récits et des bribes d'endroits que j'ai pu entrapercevoir. Et ça, ça me ramène tous les jours à la mémoire de mes ancêtres, de ma grand-mère notamment." Un épisode inspirant, dans lequel Céline Pham explore les questions d'héritage culturel et d'amour maternel, à travers un langage non verbal : la cuisine. Son & musique : Rémi Vu Dinh Ba
C'est vrai qu'on parle souvent des femmes mariées, des mères, des couples mais on ne parle que très rarement de celles qui sont seules… Alors ce soir, je nous ai mis à l'honneur. Celles qui évoluent et grandissent en ressentant le vide parfois, le manque d'amour, d'attention, de tendresse ou encore de partage. Parce que finalement, arrivé à un certain âge, tu te sens invisible et parfois vide. Et ce vide on en parle pas parce qu'on a honte alors que finalement c'est tout à fait humain. J'ai tenu à en parler ce soir alors j'espère que cet épisode te parlera et te fera du bien. J'attends vos commentaires
Cette semaine, les Ficelles reçoivent Alice Morel-Michaud et ensemble elles parlent des mâles performatifs (performative male), de briser le quatrième mur et du retour des annulé-es. Utilisez notre code promo FICELLES15 pour obtenir un rabais de 15% sur tous les produits Eros et compagnieSoutenez-nous sur Patreon!Écoutez-nous sur YouTubeLes recommandations culturelles : Celles d'Amélie : L'essai Des quartiers sans voiture, de Stéphane Boyer (Somme Toute, 2022) et Nous serons un village au coeur de la ville, de Florence G. Ferraris (Atelier 10, 2025) Celle d'Alice : Le spectacle de Mike Clay avec son album solo Michael Samba, en tournée partout au Québec Celles d'Emna : Le documentaire Le grand retour des annulés, qui sera diffusé sur les ondes de Télé-Québec (disponible en ligne le 7 novembre) le 10 novembre prochain à 20h et Farouches, dont le premier épisode de l'automne sera enregistré devant public vendredi le 10 septembre.
Et si ta rupture était le point de départ d'une renaissance ? Dans cet épisode d'Altitude, Karine est accompagnée de Julie Gras, coach spécialisée en séparation. Julie nous partage, avec une authenticité bouleversante, comment elle a transformé une rupture douloureuse en un véritable acte de reconstruction personnelle. On parle de chaos émotionnel, d'infidélité, de trahison, de solitude… mais aussi de gratitude, de résilience, et d'amour de soi. Un épisode pour toutes celles qui traversent un deuil, une rupture ou une transition intérieure. C'est bien plus qu'un épisode sur la séparation. C'est un épisode sur la renaissance. AU PROGRAMME : 00:00 Introduction à la renaissance après une rupture 01:25 Le déclencheur de la séparation 02:47 Naviguer dans le chaos émotionnel 06:43 Choisir de ne pas être une victime 09:39 Se relever et devenir son propre projet 11:36 L'importance de la complétude personnelle 15:09 Les leçons apprises et les cadeaux de la rupture 21:10 La trahison de soi dans les relations 22:36 La peur de la solitude et l'importance de l'estime de soi 24:11 Se libérer des attentes et des normes sociales 25:39 Les statistiques de l'amour et la peur de l'engagement 27:27 Vivre pleinement sans attendre l'amour 29:05 L'importance de l'authenticité et de la découverte de soi 30:54 Se préparer pour un nouveau chapitre 33:22 L'impact de l'intelligence émotionnelle sur les enfants 39:48 Conseils pour traverser le chaos émotionnel Retrouve Julie Gras sur Instagram : @julie_gras_coach Treads:* « Les choses n'ont de sens que le sens que tu leur donne. »* ———————— Ressources: Télécharge GRATUITEMENT mon Money Manifesto Mon site Web: https://karineruel.com/ Retrouve-moi sur Facebook: https://www.facebook.com/karineruelofficiel Retrouve-moi sur Pinterest: https://pin.it/7oRUELy Retrouve-moi sur Instagram: https://www.instagram.com/karine_ruel/ Retrouve-moi sur YouTube: https://www.youtube.com/karineruel
Qu'est-ce c'est d'être une femme asiatique en France aujourd'hui ?C'est la question qu'a posée Linda à six femmes françaises vietnamiennes inspirantes, pour une série spéciale, Banh Mi Women, en 6 épisodes. En mars 2025, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, le collectif de créatifs Banh Mi Média a mis à l'honneur ces six figures féminines, à travers une campagne photo et vidéo en collaboration avec Kaarem, une marque de vêtements américano-vietnamienne. Derrière ce projet, une volonté : rendre les femmes vietnamiennes visibles. Celles qui créent et impactent l'espace public français, à travers leurs parcours.À l'occasion de notre Festival Banh Mi Women, du 9 au 31 octobre, Banh Mi Média met en lumière les femmes asio-descendantes (en lien avec la Journée de la femme au Vietnam, célébrée le 20 octobre) et partage ces capsules audio. Des récits à la croisée de l'intime et du pouvoir de la sororité. Linda prend le micro pour introduire la série spéciale Banh Mi Women. Qui sont ces femmes que vous allez découvrir tout le mois d'octobre ?On vous donne rendez-vous les lundis et jeudis du mois d'octobre 2025 pour découvrir six portraits de femmes puissantes et inspirantes.Son et musique : Rémi Vu Dinh BaPhoto : Alessandra Huynh pour Banh Mi x Kaarem
Tu entends partout "fais comme Hormozi" ?Fais gaffe, toutes ses stratégies ne sont pas faites pour les freelances !Dans cet épisode solo, je te montre comment adapter les meilleures techniques d'Alex Hormozi à TON business de freelance (sans copier les trucs pensés pour des boîtes qui font 100 millions de CA).
Vanessa comme chaque dimanche, vous nous avez concocté un city break, on part pour un week-end insolite à Toulouse Oui, dans La ville rose ! un peu de peps ça fait du bien : la semaine a été un peu pluvieuse !! Et Toulouse s'y prête. C'est Une ville qui bouge depuis ces dernières années : de nouveaux hôtels, restaurants, concepts stores et puis des spots culturels absolument insolites. Pour commencer, je vous emmène vous plonger dans les couleurs de Monet avec une exposition qui a tourné dans le monde entier : Londres- Budapest-los Angeles. « the Immersive collection », 300 œuvres dans une salle immersive a 360 degrés. Bien immersive : Les murs font 2 étages. Et ce que j'adore c'est le lieu. Improbable : On est en bordure de la Garonne, dans une centrale hydroélectrique qui fonctionne depuis 1888. Elle est installée à l'endroit même où les moulins flottants produisaient de l'énergie hydraulique au moyen-âge. Et Aujourd'hui cette centrale accueille aussi un centre culturel : Le Bazacle. Vous avez encore un lieu insolite à nous recommander ? La Halle de la Machine La fameuse compagnie des machines de l'ile du « Voyage à Nantes ». Ces machines géantes qui déambulent. Celles de Francois Delaroziere. Et bien à Toulouse, vous pouvez aussi les voir ces machines, monter sur le dos du Minotaure qui a été créé spécialement pour Toulouse. 14m de haut. ET mieux chaque we dans le Café de la Halle, votre entrecôte peut être poivrée et salée par une petite machine ! Bienvenue au déjeuner des petites mécaniques : mes préférées, : la machine qui assure le service aérien et la catapulte à pain. Et côté hébergement, vous nous proposez quoi ? Un Boutique-hôtel récent situé au pied de la Basilique St Sernin. Il fait la part belle au Street art. Toulouse est la 2 -ème ville du graff après Paris. Chaque chambre est décorée par un street-artiste. avec élégance Ma préférée la 301. Hôtel Villa du Taur Fiche Pratique Exposition Monet / Le Bazacle : Espaces Edf Bazacles La Halle de la Machine : https://www.halledelamachine.fr/ Le Café Minotaure : https://www.halledelamachine.fr/evenements/le-dejeuner-des-petites-mecaniques/ Hébergement : Hôtel Villa du Taur https://www.villadutaur.com/fr/ BABA Recette qui vient de Lorraine et que l'on doit au roi de Pologne Ladislas Leszcynski au début du 18e / Kougelhof trop sec (il a les dents pourries) ou un gâteau ramené de Pologne que son cuisinier « customise » / trempait dans le vin de Madère ou de Tokay / il avait une passion pour les Comtes des 1001 nuits (Ali Baba) / 1730 Paris grâce à Nicolas Stohrer / pâtisserie rue Montorgueil qui existe toujours / le vin est remplacé par du Rhum en 1835 par un descendant de Nicolas Stohrer / - 120 gr de farine - 3 oeufs - 50 g de beurre - 300 g de sucre - 1 sachet de levure - 5 cl de lait - 20 cl d'eau - 15 cl de Rhum Bien mélanger 150 g de sucre avec les jaunes d'œufs / ajouter la farine, le beurre fondu, les blancs en neige, la levure et le lait / verser dans des moules beurrés / cuire 15 min à 180° puis 15 min à 150° / réaliser un sirop avec 150 g de sucre et 20cl d'eau / ajouter le rhum Alternatives au Rhum : limonvello, Grand Marnier… version sans alcool : sirop de fruits (agrumes ou mangue) Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode 274, au côté de Xavier Mathieu, nous vous invitons à plonger au cœur de ces blessures du passé. Celles-ci, parfois à notre insu, influencent nos façons d'aimer, de nous attacher, de nous défendre ou de nous éloigner. Blessures d'enfance, trahisons, humiliations… Elles laissent des traces invisibles et souvent bien vivantes. Alors Bonne nouvelle : ce n'est pas une fatalité ! Comment les reconnaître ? Les apprivoiser ? les accueillir ? Et surtout : comment ne pas les faire porter à l'autre ? Nous en parlons ensemble, surtout avec douceur … et Xavier Mathieu nous propose des pistes concrètes pour nous libérer et aimer plus librement.Xavier Mathieu auteur de "Un psy à vos côtés" aux éditions First (lien affilié Amazon)**********Retrouvez le texte de l'épisode sur notre blog.En vous abonnant sur Itunes pour recevoir les notifications et en nous laissant un avis, vous nous envoyez des bulles de bonheur !En suivant notre actu sur FB @2minutesdebonheur et sur insta @2minutesdebonheur, vous profiterez gratuitement de pleins de trucs, d'astuces et de mises en pratique liés au podcast de la semaine.Inscrivez-vous à la newsletter, vous serez ainsi notifié de nos nouveaux épisodes et vous recevrez un bon de réduction de 5% sur notre site.Et surtout, partagez nos épisodes à tous ceux qui veulent prendre le temps d'être heureux !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot : Flora Ghebali, Mourad Boudjellal et Emmanuel de Villiers.
L'Allemagne, la France et le Royaume-Uni ont déclenché le « snapback » contre contre l'Iran le 28 août. « Le snapback », c'est le nom de cet outil diplomatique qui ouvre la possibilité de rétablir des sanctions onusiennes. Celles-là mêmes qui avaient été levées par l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien. Pourquoi brandir cette menace maintenant ? Que va-t-il se passer ? Des négociations sont-elles encore possibles ? Quelles peuvent être les conséquences pour l'Iran ? Avec : Héloïse Fayet, chercheuse à l'Institut français des relations internationales (Ifri) et chercheuse associée à l'Institut français de géopolitique (IFG) spécialiste des questions nucléaires Kevan Gafaïti, enseignant à Sciences Po Paris, chercheur au centre Thucydide de l'Université Panthéon-Assas, auteur de La crise du détroit d'Ormuz de 2018 : une victoire iranienne sur les États-Unis (Harmattan) À lire aussiRafael Mariano Grossi, AIEA : « L'important pour nous c'est de recommencer notre travail d'inspection » en Iran
Tu es fatigué.e de cette image de la "femme forte" qui doit tout encaisser en silence ?Dans cet épisode bouleversant, je reçois Marion Schoutteten, fondatrice de la marque de mode éthique Orta. Une femme entrepreneuse française que j'admire profondément pour sa force, sa lucidité, mais surtout pour sa vulnérabilité assumée.Son témoignage, c'est celui d'une success story à contre-courant. Marion raconte comment, alors que sa marque était en pleine croissance, elle a traversé trois diagnostics de leucémie de son mari et associé, enceinte de huit mois, dans un pays étranger. Une histoire hors norme, qui remet en question notre vision de l'entrepreneuriat féminin et du leadership au féminin.Cet épisode s'adresse à toutes les femmes entrepreneuses (ou non !) qui traversent des tempêtes. Celles qui pensent qu'il faut “tenir bon” à tout prix. Celles qui culpabilisent à l'idée de ralentir. Celles qui croient encore que pour réussir dans leur carrière, elles doivent ignorer leur santé mentale, taire leurs doutes, enfouir leur fatigue.Tu sais, moi aussi, j'ai cru pendant longtemps que la résilience, c'était l'image de la femme qui encaisse. Qui ne pleure pas. Qui continue, coûte que coûte. Peut-être que toi aussi tu t'es reconnue dans ce modèle… Peut-être même que tu t'y es perdue.Cet épisode, ce n'est pas un guide miracle. C'est une conversation vraie, à cœur ouvert. Une discussion avec une femme entrepreneuse, sans filtre. C'est un true talk entre deux femmes ambitieuses en fait, conscientes que leur développement personnel passe aussi par l'acceptation de leur humanité (et de leurs failles).Avec Marion, on parle de mindset, de business au féminin, de ces moments où tout vacille, et de comment on peut malgré tout continuer à construire, à porter un projet, à rester leader, tout en étant fatiguée, inquiète, vulnérable.Si tu cherches un espace qui célèbre l'ambition féminine sans fard ni faux-semblant, tu es au bon endroit. Ici, chaque mois, je tends le micro à des femmes entrepreneuses inspirantes, pour parler de leurs vrais défis : charge mentale, argent, leadership féminin, maternité… Ces témoignages de femmes entrepreneuses ou pas, c'est la raison d'être de ce podcast.Rejoins les 3,5 millions d'écoutes de ce podcast qui met à l'honneur les success stories de femmes, pas celles qu'on étale sur les réseaux, mais celles qu'on vit, avec courage et authenticité.Bonne écoute !
Pascale Rossler, ancienne responsable politique déléguée à la biodiversité, est coach, et conférencière. Formée aux Sciences de l'Environnement, elle accompagne aujourd'hui les transitions écologiques, pour des structures collectives comme pour des personnes privées. Pascale Rossler vient de publier un livre, Révélez votre nature !, qu'elle présente comme un « guide de l'écologie intérieure et relationnelle pour monde meilleur ». L'originalité de son approche, c'est la largeur en même temps que la profondeur de son regard : Largeur dans sa prise en considération des immenses défis écologiques qui se dressent devant nous ; profondeur dans sa vision d'une transformation personnelle par « l'écopsychologie » et aussi la spiritualité. C'est ainsi, selon elle, que nous pouvons réellement contribuer à l'avènement d'une meilleure manière d'habiter la Terre ensemble. Face à nos enjeux actuels, ceux de la perte de nos repères, la crise écologique, le délitement de la solidarité, toutes les déstabilisations individuelles et collectives que nous subissons, il est possible de redonner à nos vies des trajectoires personnelles épanouissantes. Avec son talent, son énergie et sa sérénité, Pascale Rossler offre un témoignage puissant et convaincant. Chez elle, l'amour de la nature et la passion du vivant composent une belle symphonie, portée par une joie rayonnante. Grâce à des acteurs engagés comme elle, le monde meilleur que nous espérons pour demain est déjà en marche, dès aujourd'hui. Pour lire Révélez votre nature !, le livre de Pascale Rossler, cliquer ici. Pour découvrir les activités de Pascale Rossler, cliquer ici. LES PREUX ET LES GUEUX ? Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Lorsque j'écrivais ma lettre hebdomadaire, envoyée dimanche dernier, le 24 août, je n'avais pas imaginé qu'elle susciterait tant d'émouvantes réactions… Au moment où j'écris cette nouvelle lettre, je continue de recevoir des messages de soutien et d'encouragements dont certains m'ont bouleversé par leur contenu, leur profondeur et leur délicatesse. Déjà, j'aurais aimé avoir le temps de répondre à chaque message. En attendant, j'ai retranscrit une sélection d'entre eux sur le site de Zeteo. Vous pourrez les lire en cliquant ici. Vous découvrirez des lignes et des mots qui m'ont tous particulièrement touché, et qui devraient vous toucher aussi. Mieux que tout ce que j'aurais pu dire, ils confirment ce qu'est le parcours de Zeteo depuis son lancement jusqu'à ce jour : une belle et fragile aventure, initiée par un homme de bonne volonté qui suit les intuitions de son cœur, et le fil des rencontres qui se nouent les unes après les autres. Zeteo n'est ni adossé ni soutenu par aucune structure ou Église. Ce podcast libre et indépendant est davantage le fruit d'une curiosité, d'un élan intérieur et du désir de partager au plus grand nombre ce qui fait du bien, qui réchauffe, qui console, qui guérit, qui aime et qui est beau. Avec toujours dans les yeux, dans le cœur et dans l'esprit, cette présence si douce, si intime, si aimante du Christ. C'est une belle et fragile aventure, et la fragilité a aussi une beauté. Comme la fragilité de Jésus, comme celle de tous ceux qui le suivaient sur les terres souvent arides et poussiéreuses de Palestine. La semaine passée, j'avais fait part des reproches de certains. Ils regrettaient que Zeteo ne suivait pas ou plus, selon eux, certaines règles de l'Église catholique. Je tiens ici à rassurer certains auditeurs qui se sont inquiétés. De tels reproches, il n'y en a pas eu beaucoup. Depuis le début de l'été, pas même eu de quoi former tous les doigts d'une seule main. Il est normal que Zeteo ne fasse pas l'unanimité. N'y a t-il pas plusieurs demeures dans la maison du Père ? Il est impossible que la bienveillance divine infinie ne vive seulement que dans une ou deux de ses maisons, et qu'elle abandonne toutes les autres. Zeteo n'est pas une de ces grandes maisons du Seigneur. Juste un petit couloir peut-être, ce qui serait déjà tellement bien. Ou encore, mieux qu'un couloir, un petit chemin parmi tous ceux qui, en traversant le coeur d'une immense et merveilleuse forêt, mèneraient vers une montagne où brille toujours le soleil. Sinon, que penser des messages d'auditeurs, reçus cette semaine, comme de tous ceux qui les ont précédés ? Ceux qui témoignent des bienfaits qu'ils ont reçu des invités entendus sur Zeteo, se trompent-ils ? Mentent-ils ? Ou, simplement, sont-ils dans l'illusion ? Ces témoignages valent-ils moins que ceux qui confessent un attachement plus direct à une Église, qu'elle soit catholique, protestante ou orthodoxe, voire à une religion non chrétienne ? Y aurait-it des témoins plus valables que d'autres ? D'un côté les preux, de l'autre les gueux ? Il n'y a pas d'un côté les bons et de l'autre les méchants. Ni les preux à droite et les gueux à gauche. Le bien et le mal, la division, la dualité, la vie et la mort sont en chacun de nous. C'est en chacun de nous que se livre le combat. Et nous ne sommes pas seuls pour le gagner. Il y a celui qui l'a déjà gagné pour nous, pour toujours. Celui qui nous attend tout le temps. Celui qui inspire, guide et accompagne d'innombrables hommes et femmes de bien sur cette terre et qui, à leur tour, libèrent, éveillent, guérissent les uns et les autres. Comme le dit si bien Fadila Semaï au micro de Zeteo, Jésus n'appartient pas aux catholiques. Le Christ appartient à toute l'humanité. N'oublions jamais l'attachement de Jésus, tranchant résolument sur les pratiques religieuses de son temps. Il allait parler à tous et à toutes. Il est celui qui « attire à lui tous les hommes » (Jn 12, 32). L'évangélisation, elle est pour tout le monde. Elle n'est pas conditionnée par des principes, des vérités et parfois des dogmes qui comptent pour certaines populations, selon la géographie, la culture ou la société. La moisson recouvre toute la Terre, et la tâche est immense. D'où peut-être, modestement, cette mission de Zeteo d'essayer d'aller toujours au plus grand nombre. Et de tenter de révéler ce qui nous rapproche tous, pas ce qui nous divise. Comme le révèle justement Philippe Dautais lors d'une de ses participations à Zeteo, il est frappant de voir à quel point toutes les spiritualités se rapprochent, depuis celles des peuples premiers. Il les comparait aux religions. Celles-ci sont des organisations humaines, et même si elles peuvent être inspirées et guidées divinement, elles peuvent tomber dans les pièges des divisions. Philippe Dautais est un religieux lui-même, il est une très belle figure de l'Église orthodoxe. Mais je crois qu'il est avant tout, comme de nombreux mystiques, un spirituel. Il est à l'écoute de l'Esprit qui souffle et qui anime, d'abord dans nos esprits et dans nos coeurs. L'Esprit divin souffle où il veut. Zeteo n'est pas au centre du monde. Ce podcast n'a pas la prétention de détenir une vérité immuable et infaillible. Mais il n'est pas vrai que l'Esprit ne souffle que d'un côté. La meilleure illustration, qui est en même temps notre meilleur soutien, ce sont ces témoignages d'auditeurs que je citais plus haut. N'est-il pas frappant, en lisant les Évangiles, de voir l'attitude du Christ dans presque tous ses échanges directs avec ceux qu'il rencontre ? Jésus est doux et aimant. Parfois, il ne parle pas. Ou il pose une, ou deux questions. En l'interrogeant, il invite toujours son interlocuteur vers son intériorité. Il l'invite à chercher, avec cette confiante certitude que c'est à l'intérieur de soi que l'on trouve le bon, le beau, le vrai et l'amour. C'est tout le sens du va-vers-soi de notre si chère Annick de Souzenelle. Alors que nos institutions et nos sociétés semblent au bord de craquer, que notre modèle civilisationnel est à bout de souffle, il est temps de réinviter l'homme à son intériorité et à sa liberté. Cela n'est pas en s'arc-boutant sur des principes dépassés, en se repliant et en se protégeant des autres que l'on sauvera le monde. C'est en faisant confiance en ce qui est le meilleur en chacun d'entre nous. Infiniment, je remercie ceux qui ont écrit un message d'encouragement cette semaine. Je remercie les auditeurs pour leur écoute et leur fidélité. Je remercie les donateurs, ceux qui ont fait un geste cette semaine, comme ceux qui le feront à leur tour un autre jour, ou dès aujourd'hui ? Beau dimanche, belle semaine à venir, belle rentrée à tous, et à bientôt pour la suite de nos aventures, si telle est la volonté divine, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). 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C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Prêt à tous les risques pour neutraliser Mehdi Ben Barka, le général Oufkir, ministre de l'Intérieur marocain, et Ahmed Dlimi auraient missionné leur espion Larbi Chtouki pour prendre contact avec différents complices français à l'été 1965 : Georges Figon d'abord, chargé de se faire passer pour un producteur, et d'approcher la cible en prétextant vouloir participer au projet de documentaire Basta. Antoine Lopez ensuite, l'honorable correspondant du SDECE, qui aurait joué de ses relations pour monter une équipe sur le terrain : les deux policiers de la brigade mondaine, les quatre truands de la bande de Jo Attia. Lorsque Ben Barka annonce sa venue à Paris le 29 octobre pour faire connaissance avec Figon, l'opportunité est saisie, et le piège se referme.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Le vendredi 29 octobre 1965, vers 9h du matin, un avion en provenance de Genève atterrit sur le tarmac de l'aéroport d'Orly. A son bord, Mehdi Ben Barka, 45 ans, s'apprête à récupérer son bagage et à rallier Paris. A 12h30, un rendez-vous lui a été fixé à la brasserie Lipp, sur le boulevard Saint-Germain, par un vieil ami : Philippe Bernier, ancien résistant reconverti en journaliste, engagé à gauche et couvrant l'actualité politique en Afrique du Nord.
C'est une affaire à la fois simple, et terriblement complexe. Celles et ceux qui s'y intéressent de près, reporters, enquêteurs, magistrats, historiens, se rejoignent toujours au bout du même chemin. Une même conviction, heurtée au manque d'éléments concrets et à la raison d'État, qui déroge aux lois, aux mandats d'arrêt, et obstrue la quête de vérité. Le vendredi 29 octobre 1965, Mehdi Ben Barka, visage de l'opposition au pouvoir marocain, disparaît à l'arrière d'une voiture. La suite, déroulée en hors-champ, n'est faite que de supputations, de témoignages invérifiables : pas de violence avérée, de sang, d'ADN, de corps à autopsier...Un crime parfait ou presque, le fruit d'un complot tentaculaire auquel se mêle, de manière consentie ou non, une galerie de personnages singulière : des agents secrets, un cinéaste de la Nouvelle Vague, des policiers français, un journaliste de gauche, des truands de Pigalle, un producteur repenti, l'écrivaine Marguerite Duras, et un roi en colère. Il fallait au moins un stratagème aussi échevelé pour fixer, intercepter, duper Mehdi Ben Barka.
C dans l'air du 19 août 2025 - Poutine / Zelensky : une rencontre à Genève...ou à Moscou?« Une très bonne réunion ». Voilà comment Trump a qualifié sa rencontré, hier, avec Zelensky. Loin du clash de février dernier, cette entrevue à la Maison Blanche semble avoir été constructive. Les garanties de sécurité seront fournies « par les différents pays européens, en coordination avec les États-Unis ». Et la tenue d'un sommet Zelensky – Poutine – Trump serait dans les tuyaux. Le chef du Kremlin, qui s'est entretenu hier au téléphone avec Trump, n'a pas fermé la porte. La présence des Européens a toutefois été demandée par Macron.Mais le flou persiste sur les concessions territoriales réclamées par la Russie. Celles-ci n'a pas été abordées lors des discussions. « Nous laisserons cette question entre moi et Poutine », a déclaré Zelensky. Enfin, au sujet d'un éventuel cessez-le-feu, Macron et Merz se sont opposés à Trump, qui ne juge pas une trêve nécessaire.Comment faire confiance à Poutine ? Le chef du Kremlin continue son rêve nostalgique d'une grande Russie. Lors de sa rencontre avec Trump en Alaska, son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov, était habillé d'un sweat-shirt avec l'inscription "URSS". Une séquence célébrée par les propagandistes russes (acteurs des médias ou protagonistes du Kremlin) qui mènent depuis le début du conflit une guerre de l'information.Pendant ce temps, l'horreur continue à Gaza, et la communauté internationale fustige le projet de Netanyahu de prendre le contrôle du territoire. Le premier ministre israélien ne compte plus que sur le soutien de Trump. Des milliers d'Israéliens se sont réunis dans les rues de Tel-Aviv ce dimanche pour demander la fin de la guerre. Le Hamas, lui, vient d'accepter un projet de cessez-le-feu proposé par l'Egypte et le Qatar. Celui-ci prévoit une trêve de soixante jours en échange de la libération d'otages vivants et d'un retrait partiel de l'armée israélienne.Alors, que retenir de la rencontre Trump - Zelensky à la Maison Blanche ? Quelles sont les prochaines cibles de Poutine ? Où en est la situation à Gaza ? LES EXPERTS :Nicolas TENZER - Enseignant à Sciences PoSpécialiste des questions stratégiquesRichard WERLY - Editorialiste international - Blick.chKéthévane GORJESTANI - Chroniqueuse internationale - France 24Ancienne correspondante à WashingtonUlrich BOUNAT - Analyste géopolitiqueChercheur associé à EuroCreative
Jean-Philippe de Tonnac, grâce à ses recherches, ses ouvrages sur le féminin, sa dimension sacrée, sa puissance et sa mission, pouvait enfin se consacrer au masculin. Dans son ouvrage Éloge de la vulnérabilité des hommes, qui succède au Cercle des guérisseuses, il a pu mener une quête profonde vers la guérison et la réhabilitation de l'identité masculine. Elle aussi a été mise à mal par tant de siècles, au cours desquels l'humanité s'est affaiblie en accentuant ses divisions au lieu de s'enrichir des complémentarités aussi merveilleuses que sacrées qui unissent l'homme et la femme. Comme il l'écrit lui-même « en blessant son féminin, notre humanité s'est tiré une flèche dans les deux pieds ». Selon Jean-Philippe de Tonnac, c'est en respectant la femme et en passant par elle que l'on peut guérir le masculin. En s'appuyant sur son parcours personnel, en préférant toujours d'abord l'aide des femmes, c'est grâce à elles qu'il a pu enfin aller à la rencontre d'hommes qui ont vécu l'expérience d'accepter leur vulnérabilité. Des hommes qui ont réussi à transformer leur faiblesse en force, et qui savent aujourd'hui aider et accompagner de nombreuses personnes. Au cours de cet épisode, Jean-Philippe de Tonnac évoque certains de ces hommes, qu'il décrit dans son livre. La profondeur et l'originalité du regard de Jean-Philippe de Tonnac apporte des lumières inédites sur les causes profondes qui, plutôt que de les rapprocher, ont opposé les hommes et les femmes depuis les origines. Des lumières indispensables pour guérir et éclairer nos vies. Pour lire L'éloge de la vulnérabilité des hommes, du masculin blessé au masculin sacré, le livre de Jean-Philippe de Tonnac, cliquer ici. LA FORCE DANS LA FAIBLESSE ? Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Il a fallu bien des épreuves, des recherches, des expériences insolites, des rencontres, des circonstances inattendues, des révélations et des guérisons, pour que Jean-Philippe de Tonnac parvienne enfin à accepter et à vivre en conscience sa propre incarnation. Atteint par une maladie rare et mystérieuse dès l'enfance, dont il témoigne dans ses deux participations précédentes à Zeteo, Jean-Philippe de Tonnac dit comment il est parvenu à réconcilier en lui le corps et l'esprit. Il fallait passer par les femmes. Par certaines femmes, qu'il a eu la chance ou le courage de rencontrer. Celles qui lui ont révélé la puissance sacrée du féminin dans ce monde et grâce à qui il a enfin pu guérir le masculin en lui. Son Éloge de la vulnérabilité des hommes apporte cette révélation fondamentale dont nous nous sommes trop longtemps détournés : c'est en accueillant et en aimant nos faiblesses que nous devenons forts. Cette sagesse se prête mal aux tristes illustrations que nous offre l'actualité. Mais elle est un formidable signe d'espoir pour tous. Nous pourrons être entraînés bas, parfois très bas, mais nous pourrons toujours nous relever. C'est le cœur du message du Christ. Peut-être que la faiblesse de Zeteo fait parfois sa force ? Grâce à ses témoins, ses auditeurs et ses donateurs, les semaines succèdent aux semaines, avec à chaque fois des pépites nouvelles comme celle d'aujourd'hui. Merci infiniment à ceux qui témoignent, écoutent, font transmettre Zeteo. Merci infiniment à ceux qui soutiennent par un don ce podcast à la fois fragile et fort, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
REDIFF - Ils n'oublieront jamais cette nuit. Elle revient sans cesse les tourmenter, avec insistance, avec tout le poids de la fatalité, et les piqûres incisives de la culpabilité. Cette nuit-là les hante. Jennifer Cleyet-Marrel et Joachim de Araujo sont des parents hantés, comme il y a des maisons hantées. Dans chaque épisode, "Les Voix du crime" donne la parole à un témoin clé d'une affaire criminelle... Mais qui sont celles et ceux qu'ils ont côtoyés ? Celles et ceux qui trouvent leur place dans leur récit ? Isabelle Choquet dresse le portrait d'une figure incontournable de ces crimes qui ont marqué l'histoire judiciaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - En 1907, la France est confrontée à l'essor d'une criminalité nouvelle, plus organisée et plus violente. Les bandes sévissent dans tout le pays. Le 30 décembre, Georges Clémenceau crée une unité d'élite : les brigades régionales mobiles. Celles qu'on appellera plus tard "les Brigades du Tigre" se lancent alors à la chasse aux malfaiteurs au volant de leurs automobiles flambant neuves. Revivez la naissance de l'ancêtre de la police moderne et la traque de la célèbre Bande à Bonnot. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Deltombe Tout l'été, retrouvez l'inimitable Lorànt Deutsch pour vous révéler les secrets des personnages historiques les plus captivants !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 25 août 1868. Dans « Le journal de Liège », on peut lire ceci : « Une lacune existe dans l'éducation des filles, il manque un enseignement supérieur, pratique, national et franchement conforme à nos idées constitutionnelles. Cette lacune, nous désirons la combler. Il importe aussi que la famille intervienne directement dans les écoles et puisse en contrôler sans cesse les tendances et les progrès. Cette légitime satisfaction, nous désirons la donner aux chefs de famille. C'est dans ce but que nous avons fondé un Institut supérieur de demoiselles sous les auspices et la surveillance d'un comité de dames … Une bibliothèque, des collections d'histoire naturelle, des albums historiques seront à la disposition des élèves. Celles-ci feront des promenades, sous la surveillance de maîtresses, dans le but d'apprendre à observer et d'enrichir les collections de l'école ». Extrait du « Manifeste de l'Association pour l'Enseignement des Jeunes Filles », un appel lancé à l'initiative de Léonie de Waha. Léonie de Waha, liégeoise, fille d'un baron aux idées libérales, militante féministe et de la cause wallonne et … pédagogue révolutionnaire. partons sur ses traces… Invité : Nathanaël Brugmans, , professeur d'histoire à l'Athénée Léonie de Waha. Co-auteur de « Léonie de Waha, de l'institut à l'Athénée » (sous la direction de Christian Maas) édité par l'AWaP (Agence wallonne du Patrimoine). Sujets traités : Léonie de Waha ,wallonne, pédagogue, féministe, éducation, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quelles sont les questions qui occupent votre esprit, encore et encore ? Celles qui reviennent en filigrane de tout ce que vous vivez, lisez, pensez et créez ?Dans cet épisode, je partage avec vous mes 12 questionnements récurrents et je vous montre comment identifier les vôtres. Non pas pour y répondre, mais pour mieux vous comprendre. Et peut-être en faire le point de départ de conversations passionnantes avec vos proches cet été, autour d'un pique-nique ou d'un apéro au bord d'un lac.Retrouvez les notes de cet épisode sur : https://changemavie.com/episodes/mes-questionnements-recurrents
durée : 00:29:23 - Les Pieds sur terre - par : Inès Léraud - De simples citoyens se battent pour changer le monde et y parviennent, menant des combats victorieux pour le bien commun. Laura Pfeiffer raconte comment une inspection de l'entreprise Téfal qui tourne au calvaire la conduit à devenir lanceuse d'alerte sur les pressions subies par sa profession. - réalisation : Cécile Laffon, François Caunac