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Face aux bouleversements politiques qui ébranlent le royaume, Louis XVI doit affronter une épreuve bien plus intime et douloureuse : la maladie de son fils aîné. Aux côtés de Marie-Antoinette, il veille Louis-Joseph, atteint d'une tuberculose osseuse, partageant avec lui ses derniers instants malgré la tourmente qui secoue la monarchie."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Guillaume de Lestrange.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Marine BoudalierMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:02:22 - Le jardin de Régine Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. (Rediffusion) 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle. La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. » Bâtiments en ruines En ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen. Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. » Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmes La Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. » Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. » Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnels Aux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann. À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. » Transmettre la mémoire Face aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. » La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. » Transmettre, un poids ou un défi ? Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ». À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. » Ginette Kolinka, passeuse de mémoire Quelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée. Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
durée : 01:19:53 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Sylvie Andreu - En 1977, dans l'émission "Mercredi jeunesse", Sylvie Andreu avait enregistré une thématique sur "L'enfant et le cinéma fantastique", avec des témoignages d'adolescents sur ce genre, une analyse de la musique dans les films fantastiques et un entretien avec Steven Spielberg. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Steven Spielberg Réalisateur de cinéma, scénariste et producteur américain
durée : 00:03:46 - L'info d'ici, ici Gascogne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:47:10 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Avez-vous déjà rêvé de vivre à une autre époque historique ? Aux temps des gaulois, ou dans l'Antiquité... Pourquoi ce besoin de se replonger dans le passer historique et de revenir aux sources ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:39 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Au Mexique, les voisins de l'un des plus grands barrages, quasiment à sec, prient pour voir tomber la pluie. À 2 500 kilomètres de là, dans l'État américain de Géorgie, des habitants sont privés d'eau par d'immenses centres de données.
durée : 00:04:48 - Le Son d'Avignon - par : Marie Sorbier - Le dramaturge suisse allemand Lukas Bärfuss, auteur de nombreuses pièces de théâtre, est à Avignon pour découvrir la mise en scène de sa pièce "Malaga" par Renaud Danner à l'Artéphile. - invités : Lukas Bärfuss Écrivain et dramaturge suisse; Claire Stavaux Traductrice et éditrice
C'est l'histoire d'une femme et d'une sportive enragée, dans les années 30. Une femme qui, par manque d'amour, s'est haïe elle-même, avant de haïr le monde entier. Cette haine a fait d'elle une championne hors normes. Peut-être la plus grande sportive française de l'histoire. Mais elle l'a aussi poussée à devenir criminelle. Et, finalement, à entrer au service des Nazis. Cette femme, c'est Violette Morris. Aux racines du mal Violette Morris est en détention. Elle est incarcérée à la prison pour femme de la Petite Roquette, dans l'affaire du “crime de la péniche”, commis juste après Noël, le 27 décembre 1937. L'ex-médaillée olympique et championne omnisports est accusée d'homicide. Les policiers ne sont plus les seuls à chercher à faire toute la lumière sur ce meurtre. La presse aussi mène l'enquête sur le “phénomène Violette Morris”... Mais pourquoi en est-elle venu à tuer un homme ? Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire Malgouyres, meurtre dans le jardin préféré des Français Écriture : Martin Quenehen Voix : François Hatt Production et diffusion : Bababam Originals Première diffusion : 25 octobre 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:03:08 - Le billet sciences - Le marché, qui s'adresse majoritairement aux femmes, est en plein essor. Ces compléments promettent de soulager certains mots, de maigrir ou d'embellir mais certains sont inefficaces, d'autres sont toxiques. L'Anses appelle à la vigilance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:10 - Musique matin - par : Max Dozolme - Ottorino Respighi (1879-1936) est un compositeur classique qui inspire beaucoup John Williams. Une filiation assumée et que l'on peut constater en comparant certaines oeuvres orchestrales de l'Italien et les bandes originales de Superman (1978) et de Harry Potter à l'Ecole des Sorciers (2001). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:02:03 - Le grand format - Après des décennies de silence, les foyers religieux pour mères et bébés de l'Irlande vont commencer à révéler leurs lourds secrets. Des exhumations vont débuter ce lundi sur le site de Tuam, dans l'ouest du pays, où près de 800 nouveaux-nés et enfants sont morts. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Durant trois jours Vertigo pose ses quartiers au Montreux Jazz Festival. Aujourdʹhui en ce 14 juillet, spéciale Aux armes etc : en compagnie de Sébastien Merlet, commissaire scientifique de la Maison Gainsbourg, retour sur les origines et les conséquences de cette version reggae de lʹhymne national français. Et lʹépoque Gainsbourg cʹest aussi lʹépoque Ardisson : hommage sera rendu à lʹanimateur producteur de télévision décédé ce jour. Mais le MJF offre également lʹoccasion de découvrir une toute nouvelle génération dʹartistes : la genevoise Maé sera lʹinvitée de Vertigo en première partie dʹémission. Ecouter : Sébastien Merlet de la Maison Gainsbourg, conférence-mix dès 21h à la Bibliothèque. Maé en concert sur la Terrasse Nestlé à 19h45.
durée : 00:02:07 - Le jardin de Régine Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:31 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Du fait du changement climatique, la montée des océans menace certaines villes côtières d'Asie. A cela s'ajoutent les problématiques d'affaissement du sol, du pompage de l'eau, le tout nécessitant de repenser le modèle urbain. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Sylvie Fanchette Géographe, directrice de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (l'IRD), membre de l'UMR Cessma (Centre d'études en Sciences Sociales sur les mondes africains, américains et asiatiques) à Paris; Judicaëlle Dietrich Maître de conférences en géographie à l'université Lyon 3 et membre du Laboratoire Environnement Ville et Société; Thanawat Bremard Docteur en sciences sociales, membre du laboratoire G-EAU à l'université de Montpellier
durée : 00:58:06 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Après 3 semaines durant lesquelles un mégafeu a ravagé Los Angeles, les dernières flammes sont désormais maîtrisées. La mégalopole californienne, dont le développement urbain s'est toujours basé sur l'étalement urbain et le rêve pavillonnaire, doit désormais repenser son modèle. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Cynthia Ghorra-Gobin Géographe, directrice de recherche émérite CNRS et membre du Creda-IHEAL (Centre de recherche et de documentation sur les Amériques de l'université Paris 3 Sorbonne nouvelle); Charlotte Ruggeri Enseignante-chercheuse en géographie, professeure au lycée Chaptal (Paris); Pauline Vilain-Carlotti Docteure en géographie
durée : 00:59:06 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Ces dernières années, d'importantes inondations ont touché l'Espagne, la Belgique, l'Allemagne ainsi que d'autres pays européens. À chaque fois, une mécanique similaire : des précipitations d'une ampleur inhabituelle que les sols, trop secs ou trop bétonnisés, se révèlent incapables d'absorber. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Mathilde Gralepois Professeur d'Université en aménagement-urbanisme, Département d'Aménagement & Environnement, École Polytechnique, Université de Tours.; Freddy Vinet Professeur de géographie à l'université Montpellier 3; Sébastien Baer Journaliste à la rédaction internationale de Radio France, correspondant à Berlin
durée : 00:58:14 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les records de sécheresse ont fait craindre le pire l'été dernier à Mexico et Bogota. Les municipalités ont été contraintes de multiplier les mesures de rationnement de l'eau, dans un contexte de pénurie. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Lucile Médina Professeure de géographie à l'Université Paul Valéry-Montpellier 3; Angela Osorio Docteure en géographie et chercheuse associée à l'Université de Strasbourg; Franck Poupeau Sociologue, directeur de recherche au CNRS
durée : 00:26:53 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - Dans ce premier des cinq entretiens d'"A voix nue", le dramaturge Edward Bond se souvient de son enfance sous les bombardements, une expérience tragique à l'origine de sa création. Il revient sur la genèse de son œuvre et de sa pensée théâtrale. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Edward Bond Dramaturge et metteur en scène britannique
durée : 00:14:57 - Journal de 12h30 - Un an après la tentative d'assassinat contre Donald Trump, les menaces envers les élus du Congrès ou leurs proches augmentent. En 2024, la police du Capitole a recensé plus de 9400 menaces visant des membres du congrès ou leur entourage, une hausse de près de 140 % par rapport à 2017.
durée : 00:08:36 - L'invité de 7h50 du week-end - par : Kevin Dufreche - L'actrice Zita Hanrot était l'invitée de France Inter ce dimanche pour présenter le film "Aux jours qui viennent", réalisé par Nathalie Najem et en salles le 23 juillet. - invités : Zita Hanrot - Zita Hanrot : Comédienne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:14:57 - Journal de 12h30 - Un an après la tentative d'assassinat contre Donald Trump, les menaces envers les élus du Congrès ou leurs proches augmentent. En 2024, la police du Capitole a recensé plus de 9400 menaces visant des membres du congrès ou leur entourage, une hausse de près de 140 % par rapport à 2017.
durée : 00:01:29 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - 80'' secondes de Kevin Dufrêche ce matin pour vous inviter à découvrir une revue qui prend le temps… avec la revue "Pays". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Georges Danton, figure incontournable de la Révolution française, incarne la fougue et l'énergie du peuple en quête de liberté. Avec son célèbre cri « Aux armes, citoyens ! », il galvanise les masses et lance la France dans la guerre contre les monarchies européennes. Orateur charismatique, il joue un rôle clé dans l'instauration de la Première République et la chute de la monarchie. Mais son tempérament passionné et son pragmatisme politique le conduisent à s'opposer aux radicalités montagnardes. Accusé de modération, il est finalement guillotiné en 1794, symbole d'une révolution dévorée par ses propres excès."Secrets d'Histoire" est un podcast d'Initial Studio, adapté de l'émission de télévision éponyme produite par la Société Européenne de Production ©2024 SEP / France Télévisions. Cet épisode a été écrit et réalisé par Roland Portiche.Un podcast présenté par Stéphane Bern. Avec la voix d'Isabelle Benhadj.Vous pouvez retrouver Secrets d'Histoire sur France 3 ou en replay sur France.tv, et suivre l'émission sur Instagram et Facebook.Crédits du podcastProduction exécutive du podcast : Initial StudioProduction éditoriale : Sarah Koskievic et Mandy Lebourg assistées de Marine BoudalierMontage : Camille Legras Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C'est dans le cadre du festival La Claque Podcast, à Marseille, que cet épisode de Folie Douce avec Zita Hanrot a été enregistré, dans la cour d'un ancien couvent.Actrice, Zita Hanrot est découverte en 2015 dans le film Fatima, puis enchaîne les rôles au cinéma, chacun choisi pour interroger quelque chose de profond : dans Aux jours qui viennent, son prochain film, réalisé par Nathalie Najem, elle incarne une femme aidant la nouvelle compagne de son ex violent à s'en sortir.Zita Hanrot a peu l'habitude de se dévoiler : elle qui a pu être perturbée par une célébrité assez soudaine, elle se méfie des réseaux sociaux. Née à Marseille dans le Panier en 1989, elle évoque au micro de Lauren Bastide cette ville pour elle peuplée de fantômes. Elle qui a cofondé l'Association des Acteurices (ADA) évoque le bien que lui a fourni la rencontre et la discussion avec d'autres actrices racisées et partageant un vécu similaire face à une industrie cinématographique encore gangrénée par un racisme systémique. La maternité la pousse à se battre et à être en colère, pour offrir à sa fille un avenir meilleur.Photo : Anatole Rassu
À La Calera, une municipalité montagneuse près de Bogotá, les habitants s'opposent à Coca-Cola, qui exploite sept sources d'eau via sa filiale Indega. En pleine sécheresse historique causée par El Niño, les habitants ont subi des coupures d'eau pendant près d'un an, tandis que l'usine de mise en bouteille continuait son activité. C'est un reportage d'Eve-Marie Detoeuf. L'indignation est d'autant plus grande que la concession d'exploitation d'Indega, arrivée à échéance en décembre, pourrait être renouvelée malgré les contestations. Coca-Cola affirme puiser l'eau dans les nappes souterraines, mais une hydrologue critique sévèrement l'étude fournie par la multinationale, la jugeant biaisée et contradictoire. La situation divise désormais les habitants de La Calera. Tandis que certains défendent l'entreprise pour les emplois supposément créés, d'autres dénoncent une exploitation injuste d'une ressource vitale. Des artistes, des écologistes, et des villageois expriment leur tristesse face aux tensions causées par Coca-Cola. Ils sont pessimistes quant à une décision des autorités régionales, soupçonnées de favoritisme et de corruption. En 2024, Coca-Cola n'aurait payé que l'équivalent de 2 500 euros de redevance pour cette ressource précieuse, alimentant un sentiment d'injustice grandissant. Les gangs haïtiens sanctionnés par l'ONU Les Nations unies ont imposé des sanctions contre les coalitions de gangs haïtiens Viv Ansanm et Gran Grif, quelques semaines après leur désignation comme organisations terroristes par les États-Unis. C'est un des sujets abordés ce jeudi (10 juillet 2025) avec le rédacteur en chef du Nouvelliste, Frantz Duval. Ces sanctions permettent notamment à Interpol de lancer des poursuites internationales, peut-on lire dans le Nouvelliste. Elles interviennent dans un contexte d'escalade de la violence en Haïti, où les gangs multiplient les attaques armées, s'étendent au-delà de Port-au-Prince, et plongent le pays dans une crise humanitaire sans précédent. Aux États-Unis, des milliers de fonctionnaires fédéraux vivent dans la peur d'un licenciement massif Mardi dernier, la Cour suprême a validé le vaste plan de réorganisation de l'administration Trump, ouvrant la voie à des suppressions de postes. Selon Politico, ce jugement a profondément ébranlé des agents jusque-là convaincus d'être protégés par le droit de la fonction publique et les syndicats. « Tous mes amis se sont résignés au pire », confie un employé au ministère du logement. À l'agence de protection de l'environnement, certains se terrent au sous-sol pour fuir la tension. Déjà 3 000 départs volontaires ou retraites anticipées. Des services comme la justice environnementale sont démantelés. « Le gouvernement abandonne les communautés les plus polluées », dénonce un agent. Au ministère du Logement, les couloirs sont devenus silencieux, « comme après un décès ». La peur est encore plus vive au Département d'État : dans des groupes Signal, diplomates et agents s'inquiètent pour leur avenir, la sécurité nationale, et dénoncent une trahison. Des salles de réunion ont été réservées pour ce vendredi, jour probable des annonces officielles. Les conséquences de la taxe douanière de 50% sur les produits brésiliens décidée par Donald Trump Pour le site d'information G1, Donald Trump répète la formule du harcèlement et des représailles qu'il utilise contre ses adversaires politiques. « Cette fois, cependant, les échanges économiques ne peuvent pas servir de prétexte car les États-Unis ont un rare excédent commercial avec le Brésil ». Dans Carta Capital, un ancien ambassadeur brésilien s'insurge : il parle d'ingérence révoltante, de brutalité diplomatique, et estime que les États-Unis sont en train de devenir un adversaire du Brésil — une rupture avec deux siècles de relations diplomatiques. Il appelle à une réaction forte de la société civile brésilienne, et suggère au gouvernement Lula d'intensifier ses contacts avec les démocrates américains. L'embarras des bolsonaristes Selon Folha de Sao Paulo, plusieurs proches de l'ex-président reconnaissent, en privé, que cette décision « pose un vrai problème politique ». Officiellement, ils continuent de soutenir Donald Trump et tentent de rejeter la responsabilité de la mesure douanière sur le président Lula. C'est le cas de Tarcísio de Freitas ou Romeu Zema — deux candidats potentiels pour la prochaine élection présidentielle de 2026. Ils affirment que c'est le rapprochement de Lula avec la Chine, la Russie, l'Iran, Cuba ou encore le Venezuela qui aurait déclenché la réaction de Donald Trump. Washington à la recherche d'une stratégie à l'égard du Venezuela C'est à lire dans le New York Times. D'un côté, le secrétaire d'État Marco Rubio a tenté un accord avec Caracas : libérer des prisonniers politiques en échange du renvoi de 250 migrants vénézuéliens détenus au Salvador. Mais ces négociations ont été court-circuitées par… l'émissaire spécial de Donald Trump pour le Venezuela lui-même, Richard Grenell. Lui proposait tout autre chose : autoriser l'entreprise Chevron à reprendre ses activités pétrolières au Venezuela. Une offre plus alléchante pour le président Nicolas Maduro. Mais finalement, aucun accord n'a été conclu, et les 250 migrants vénézuéliens sont toujours détenus dans une prison de haute sécurité au Salvador. Le New York Times révèle que malgré ses déclarations, la Maison Blanche garde le contrôle sur ces détenus car ils sont utilisés comme monnaie d'échange. Premiers témoignages sur les conditions de détention au sein du «Alligator Alcatraz» Le Miami Herald publie un témoignage glaçant : un migrant mexicain, pourtant protégé par le programme DACA, car il est venu aux États-Unis lorsqu'il était encore mineur, s'est retrouvé enfermé dans le centre de détention situé en plein cœur des Everglades, en Floride. Il a été arrêté après un simple contrôle routier. Son avocat affirme ne pas connaître les raisons de sa détention. Et son client dénonce des conditions inhumaines : nourriture avariée, toilettes bouchées, chaleur étouffante sans climatisation, moustiques en pagaille, et interdiction de se doucher pendant quatre jours. Les autorités de Floride, elles, démentent en bloc : « des accusations totalement fausses », disent-elles. Mais l'affaire commence à faire grand bruit. Journal de la 1re En Martinique, la lutte contre le décrochage scolaire.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Le feu aux portes de Marseille n'est toujours pas totalement maîtrisé, le point sur place dans cette édition.
Nous sommes au matin du cinq mai 1930.Un avion décolle de l'aéroport de Croydon, au sud de Londres. Aux commandes de ce petit biplan : une jeune femme d'un peu moins de vingt-sept ans : elle a fait le projet, un peu fou, de rejoindre port Darwin, situé en Australie, en solitaire. Cette femme s'appelle Amy Johnson. Elle a une volonté de fer et un courage hors norme. Son rêve est de devenir pilote de ligne, dans un monde où, le moins que l'on puisse dire, est que les femmes ne sont pas les bienvenues. Et pourtant, bravant les interdits, tordant le cou aux idées reçues, elle va multiplier les records, créer une société d'aviation et devenir un véritable phénomène .Mais, onze ans plus tard, alors qu'elle participe à l'effort de guerre, les rêves de cette pionnière de l'aviation s'écrasent dans la Tamise, le cinq janvier 1941. On ne retrouvera jamais le corps d'Amy Johnson. "Femmes en résistance, tome 1 : Amy Johnson". Entièrement scénarisée par Régis Hautière et Francis Laboutique, avec le concours de l'historienne Emmanuelle Polack aux éditions Casterman Sujets traités: Amy Johnson, Londres, résistance, pilote, avion, pionnière, solitaire Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:08 - Journal de 8 h - Le feu aux portes de Marseille n'est toujours pas totalement maîtrisé, le point sur place dans cette édition.
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durée : 00:31:20 - Avoir raison avec... - par : Alexandre Morales - Imprégnée par la pensée positiviste, Marie Curie se consacre toute sa vie durant au progrès humain. Pour la physicienne, le travail scientifique est une force d'émancipation, une exigence et une responsabilité. - réalisation : Vanessa Nadjar - invités : Bernadette Bensaude-Vincent Historienne et philosophe des sciences, professeure émérite à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Send us a textIn this episode of Riffs & Rhythms, hosts Kevin McLoughlin and Paul Robertson recap for our guest Kevin's whirlwind UK tour (and debate the merits of wing-back chairs), then turn the spotlight on Grippa—a rising pop artist whose blend of fashion, theatrics, and powerhouse vocals is taking the scene by storm. She began performing as a toddler, trained classically at Bak Middle School of the Arts, and has already released singles like “Love Is Enough” and the upcoming “Want That.” She's worked with writers and producers connected to Lady Gaga's team and deferred her Clive Davis Institute acceptance to focus on her career What you'll hear in this show:- Kevin's UK tour debrief & “Matrix”-style chair drama -Meet Grippa: from singing Céline Dion in the backseat at age 3 to crafting a persona that lives and breathes pop art - Behind-the-scenes of building a pop music career in Florida—networking, DIY visuals, and working with producer YX at just 13 - Social-media tactics vs. old-school guerrilla marketing (think glass-box performances and Kanye-level stunts) - Riffs & Rhythms Music Festival 2nd Annual: Nov 7–8 at the Martin County Fairgrounds—artist sign-ups open now! - MVP Shoutout: Grippa honors her dad for launching her own record label - Tales from the Road: Grippa's eighth-grade “Super Freak” funeral-performance and mosh-pit survival storiesLEARN More About Grippa: www.grippa.com
Dans cette édition :Le département de l'Aude est à nouveau touché par de violents incendies, avec plus de 1500 hectares de végétation partis en fumée près de Narbonne. Les pompiers luttent pour maîtriser le feu, tandis que 2000 habitants sont confinés chez eux par mesure de sécurité.La classe politique rend hommage à Olivier Marleix, député LR décédé, saluant sa mémoire et son engagement pour la République.La proposition de Mathilde Panot, députée LFI, de désarmer les polices municipales, continue de susciter de vives réactions, y compris au sein de la gauche. Le maire socialiste de Saint-Ouen critique cette prise de position jugée "démagogique".Aux États-Unis, Donald Trump repousse au 1er août la mise en place de droits de douane punitifs, qui toucheront notamment le Japon et la Corée du Sud.Sur le Tour de France, la 3e étape a été marquée par de nombreuses chutes, dont celle du maillot vert Jasper Philipsen, contraint à l'abandon.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Les incendies font rage dans le sud de la France, notamment près de Narbonne où plus de 2000 hectares ont déjà été parcourus par les flammes, forçant l'évacuation des habitants et la fermeture de plusieurs axes routiers.La proposition de l'insoumise Mathilde Panot de désarmer les policiers municipaux fait polémique, y compris au sein de la gauche, le maire socialiste de Saint-Ouen Karim Bouamrane critiquant vivement cette position.La classe politique rend hommage à Olivier Marleix, député Les Républicains d'Eure-et-Loire, retrouvé mort à son domicile, la piste du suicide étant privilégiée.Sur le Tour de France, le Belge Tim Merlier s'impose sur la 3e étape à Dunkerque, tandis que le Français Julian Alaphilippe reste très populaire auprès du public.Aux États-Unis, Donald Trump repousse les droits de douane punitifs envers l'Europe, qui espère trouver un accord, tandis que l'Asie va devoir payer le prix fort.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:04:27 - Le Son d'Avignon - par : Marie Sorbier - "Démonter les remparts pour finir le pont" : suite du projet au long cours du metteur en scène Gwenaël Morin, qui a choisi de créer, avec des acteurs et actrices du territoire, la pièce d'Eschyle "Les Perses". - invités : Gilféry Ngamboulou Comédien, metteur en scène et auteur
RFI reçoit Eloïse Layan de Forbidden Stories et Wethzer Piercin d'Ayibopost qui signent une longue enquête très documentée sur l'assassinat de deux journalistes haïtiens. Néhémie Joseph est mort le 10 octobre 2019, à Mirebalais, alors qu'il travaillait sur la contrebande à la frontière entre Haïti et la République dominicaine. Gary Tess, lui, dénonçait sur les ondes les mauvaises pratiques des hommes politiques haïtiens. Néhémie Joseph était un journaliste engagé, «un battant», raconte Eloïse Layan. Il se savait menacé. Il l'avait d'ailleurs écrit sur les réseaux sociaux une dizaine de jours avant sa mort, se disant la cible d'un complot ourdi, entre autres, par l'ancien sénateur Rony Célestin. «Il a trouvé la mort par des sbires du pouvoir en place», dénonce sa famille. Néhémie Joseph travaillait sur des sujets sensibles, notamment sur la situation de chauffeurs routiers rackettés par les gangs et obligés de transporter des armes. Un trafic dans lequel Rony Célestin était vraisemblablement impliqué. Forbidden Stories a décidé de poursuivre ses investigations. Eloïse Layan s'est rendue en Haïti et a marché dans les pas du journaliste haïtien à la frontière, à Belladère. Elle a recueilli de nombreux témoignages anonymes. Certains mettent en cause les agents de douane qui ne vérifient pas correctement les chargements, raconte la journaliste. Le nom de Rony Célestin revient également régulièrement. «Même les rapports d'experts des Nations disent que c'est un contrebandier qui a des liens avec les groupes criminels», précise Eloïse Layan. «C'est l'homme le plus puissant du département du Plateau central. Mais son influence s'étend jusqu'à Port-au-Prince.» Gary Tess, 39 ans, animait une émission sur une radio des Cayes dans laquelle il épinglait la classe politique haïtienne. Il a été tué le 18 octobre 2022. Le principal suspect est l'ancien procureur Ronald Richemond. Le journaliste l'accusait de voler des terres. Lui nie les accusations. Mais «il est mis en cause par de nombreuses personnes, dont certains de ses anciens collaborateurs», raconte Wethzer Piercin. «Même si Ronald Richemond est inculpé, le dossier traîne. Il y a une véritable omerta car les gens ont peur de parler. On ne sait pas si la justice va pouvoir mener son enquête jusqu'au bout», complète Eloïse Layan. Le travail d'Eloïse Fayan et Wethzer Pierin est à lire sur les sites de Forbidden Stories, du Monde et d'Ayibopost. Donald Trump a-t-il vraiment gagné en faisant voter sa loi budgétaire ? Aux États-Unis, la presse revient sur la loi budgétaire que Donald Trump a réussi à faire voter par le Congrès hier (3 juillet 2025) et se demandent s'il s'agit vraiment d'une victoire. Le Washington Post se fait l'écho des inquiétudes de certains républicains. Le sénateur de Caroline du nord, Thom Tillis, a mis en garde Donald Trump, le week-end dernier. «Vous faites une bêtise», lui a-t-il dit au téléphone, raconte le journal. Selon ce sénateur, les coupes dans Medicaid prévues par la loi Budgétaire, vont coûter cher au parti : elles vont lui faire perdre la majorité à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat, en 2026. Donald Trump a renié l'une de ses promesses de campagne, écrit le Washington Post, qui était de ne pas toucher au système de santé. Pour Josh Hawley, sénateur du Missouri, cité par le New York Times : «Nous ne pouvons pas être le parti des travailleurs si on supprime aux travailleurs leur sécurité sociale». Un argument que balaie du revers de la main le camp Trump. Pour le président et ses alliés, c'est une bonne chose que cette loi ait été votée bien avant les élections de mi-mandat. Les effets économiques seront visibles avant le scrutin, se réjouissent-ils, raconte Politico. En avril 2025, six mois avant les élections, quand ils rempliront leurs déclarations d'impôts, les Américains verront l'impact de la suppression des taxes sur les pourboires et sur la sécurité sociale. Quant à Medicaid, le camp Trump a prévu la parade : ils comptent «vendre les coupes dans le programme d'assurance maladie pour les Américains à faibles revenus comme une lutte contre le gaspillage, les fraudes et les abus», écrit encore le site d'information en ligne. Les États-Unis et la Colombie au bord de la rupture diplomatique En Colombie, la presse revient sur la détérioration des relations entre Bogota et Washington. Hier, les deux pays ont rappelé leurs ambassadeurs respectifs. Cela fait plusieurs mois que la crise couvait. El Espectador dresse la liste de tous les points de crispation qui ont jalonné cette escalade. Il y a tout d'abord eu le refus de Bogota d'accepter le retour de Colombiens entrés illégalement aux États-Unis, puis la question des droits de douane, les remontrances de Washington qui trouve que Gustavo Petro n'en fait pas assez en matière de lutte contre le trafic de drogue et, en réponse, le refus de la Colombie d'extrader vers les États-Unis des responsables de groupes armés. Et puis, il y a eu «la goutte d'eau qui a fait déborder le vase», termine El Espectador : Gustavo «Petro a accusé de membres du Congrès américain d'avoir participé à la préparation d'un coup d'État afin de le renverser». Cette dispute intervient au pire moment, explique El Espectador. La ministre des Affaires étrangères colombienne a démissionné hier. Or, «le président et son entourage ne savent pas mener à bien des négociations sensibles. Ils sont trop dogmatiques», estime Lawrence Gumbiner, ancien diplomate américain. Et dans 15 jours, se termine la pause sur les tarifs douaniers décrétée par Donald Trump. Dans les colonnes de la Semana, l'ancien ministre de la Défense et ancien ambassadeur à Washington, Juan Carlos Pinzón demande au gouvernement colombien de «faire preuve de bon sens et de faire passer les intérêts nationaux avant ses intérêts partisans, politiques et électoraux». Le journal de la 1ère En Guyane, le principal d'un collège s'est donné la mort.
Comment une ère de bouillonnement militant et progressiste peut-elle ouvrir la voie à des figures autoritaires ? Aux lendemains de Mai 68 Fernando, un ouvrier espagnol réfugié en France, s'impose comme leader d'une avant-garde maoïste. Il promet une révolution, un vrai changement. Mais très vite, ce chef charismatique impose son emprise sur un petit groupe, à travers contrôle, surveillance et violences psychologiques.Quels sont les ressorts de la domination masculine chez ces chefs de fil providentiels ? Comment les logiques patriarcales apparaissent dans les groupes militants de gauche ? Par quels moyens des idéaux politiques peuvent-ils devenir des outils de pouvoir ?Dans cet entretien en deux parties sur les faces sombres des luttes, Naomi Titti commence par recevoir Julie Pagis, sociologue, socio-historienne et politiste au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS). Dans son livre « Le prophète rouge. Enquête sur la révolution, le charisme et la domination » (éd. La Découverte, 2024), elle remonte la piste de Fernando et de son groupe d'extrême gauche pour mieux saisir les couleurs de l'emprise en contexte militant. RÉFÉRENCES CITÉES DANS L'ÉMISSION Retrouvez toutes les références citées dans l'épisode à la page : https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/les-gourous-de-la-revolution-1-2CRÉDITS Les Couilles sur la table est un podcast créé par Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été préparé, mené et monté par Naomi Titti et enregistré le samedi 14 juin dans le cadre du festival La Claque Podcast Party, à Marseille. Prise de son : Sébastien Geli. Réalisation et mixage : Paul Bertiaux. Supervision éditoriale et de production : Naomi Titti. Production et édition : Marie Foulon. Communication : Lise Niederkorn et Léna Fourgeau. Rédacteur en chef : Thomas Rozec. Direction de production : Albane Fily. Responsable administrative et financière : Adrienne Marino. Musique originale : Théo Boulenger. Identité graphique : Marion Lavedeau (Upian). Composition identité sonore : Jean-Benoît Dunckel. Voix identité sonore : Bonnie El Bokeili. Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:16 - Le Reportage de la rédaction - À l'accueil, à la billetterie, au bar... Être saisonnier en festival permet aussi à des étudiants d'étoffer leur CV, dans un secteur culturel compétitif. Illustration aux Nuits de Fourvière, à Lyon.
durée : 01:12:14 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - - réalisation : Virginie Mourthé
Comme tous les jeudis, nous échangeons avec le rédacteur en chef du grand quotidien Le Nouvelliste, Franz Duval. Il revient dans son éditorial sur les violences des gangs. La situation se dégrade de plus en plus, et les perspectives sont très sombres : les Nations unies estiment désormais bien réel le risque de voir l'État haïtien s'effondrer complètement. Le manque de solutions politiques provoque la colère des citoyens. États-Unis : la loi budgétaire de Donald Trump, un objectif plus politique qu'économique Aux États-Unis, les grands quotidiens suivent en direct les débats en cours à la Chambre des représentants de la grande loi budgétaire de Donald Trump. Ce texte qui prévoit des baisses d'impôts massives, booste considérablement le budget de la défense, renforce la surveillance aux frontières et taille dans les dépenses sociales. «C'est une monstruosité répugnante qui fera souffrir les Américains ordinaires», selon les démocrates. Du côté des républicains, les conservateurs s'inquiétaient surtout de l'augmentation de la dette américaine qu'implique cette loi - une augmentation de la dette de plus de 3 000 milliards de dollars d'ici 2034, selon le Bureau budgétaire du Congrès. Mais alors à quoi pensent les républicains en soutenant un projet de loi aussi irresponsable? Dans un éditorial pour le New York Times, Noah Millman propose une réponse. Selon lui, les Républicains se concentrent surtout sur un objectif politique plus que budgétaire. Chacun des présidents passés, républicains comme démocrates, a participé au marasme budgétaire américain. Il faudrait donc que les deux partis s'unissent pour sortir le pays de cette situation économique. Si le projet de loi n'est pas bon pour l'économie, il impose cependant de nouvelles bases de départ à toutes négociations. « Républicains et Démocrates se livrent à un jeu de dupes budgétaire », estime Noah Millman. Chacun tente de forcer la main de l'autre sans compromis. Avec ce projet de loi, les Républicains ont appuyé sur l'accélérateur. C'est le genre de manœuvre qui pourrait persuader l'autre de changer d'avis en premier. Mais cela risque aussi de tuer les deux conducteurs et, par conséquent, l'économie américaine, conclut l'éditorialiste. Interview avec John Bolton – « Il n'est pas dans l'intérêt des États-Unis d'abandonner l'Ukraine » Si la « Grande et Belle loi » de Donald Trump prévoit une hausse des dépenses de défense, il se désengage parallèlement de plus en plus du soutien en Ukraine. Le président américain a, par exemple, décidé cette semaine de suspendre la livraison de certaines armes, pour parler de cette question et d'autres RFI a reçu John Bolton, ancien conseiller à la sécurité de Donald Trump pendant son 1er mandat. À la GayPride de New York, l'inquiétude de la communauté LGBT+ Les politiques du président américain inquiètent entre autres la communauté LGBTQ+. La GayPride, il y a quelques jours, a été l'occasion de mesurer l'ampleur des craintes. Beaucoup s'alarment des décrets sur les droits des personnes transgenres adoptés dès le début du mandat et, plus généralement, des positions ultra-conservatrices du président américain. Reportage de Loubna Anaki. Argentine : une vague de froid polaire met le pays en état d'urgence Alors que l'Europe vit un début d'été sous canicule en Argentine, la vague froid polaire a mis plusieurs villes en état d'urgence. Il fait -2 à Buenos Aires, - 7 a El Palomar en périphérie de la capitale, rapporte Clarin. La vague de froid se propage dans tout le pays, c'est l'hiver le plus froid depuis 34 ans. La première urgence est l'approvisionnement des foyers en gaz naturel. Face à l'augmentation de la consommation de gaz et d'électricité, la pression dans les gazoducs a baissé, explique dans un autre article le journal Clarin. Le service a été automatiquement interrompu. Le Comité exécutif d'urgence mené par les autorités gouvernementales a choisi hier de couper l'approvisionnement des stations-service vendant du gaz naturel, des industries et de suspendre les exportations vers le Chili pour au moins 24h. L'urgence est de permettre aux familles de se chauffer. Mais ce n'est pas aussi facile que de rétablir l'électricité, explique La Nacion. Certaines canalisations ont pu éclater. Les fournisseurs doivent maintenant s'atteler à passer maison par maison. Au-delà du phénomène météorologique, les autorités doivent faire face à des problèmes techniques pour faire face au manque de gaz et d'électricité. La centrale nucléaire d'Atucha II a notamment été mise hors service, ce qui a impacté la stabilité du système énergétique dans son ensemble. Des problèmes structurels imputés au précédent gouvernement par le Secrétariat à l'énergie qui affirme que le manque d'investissements soutenus et le système de tarifs gelés a entravé le développement des infrastructures nécessaires.
En 2013, elle avait été la révélation du festival de Cannes. Aux côtés de l'actrice Léa Seydoux et du réalisateur Abdellatif Kechiche, Adèle Exarchopoulos, 19 ans, avait même reçu des mains du président du jury, Steven Spielberg, la Palme d'or pour « La Vie d'Adèle ». Une consécration pour la jeune parisienne qui n'ambitionnait pas au départ de devenir actrice. 12 ans après, elle est devenue l'une des actrices les plus en vue du cinéma français. Après avoir multiplié les rôles marquants dans des films dramatiques, elle a su se réinventer en se frottant à la comédie. Cet été, elle revient en salle pour le nouveau film de Quentin Dupieux, « L'accident de piano », où elle incarne Magalie, une influenceuse déconnectée de la réalité.Pour Code source, Catherine Balle, Renaud Baronian et Pauline Conradsson, journalistes au service culture du Parisien, reviennent sur son parcours.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Clara Garnier-Amouroux et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : TF1, Allociné. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:23 - Le Son d'Avignon - par : Marie Sorbier - Depuis 2022, le programme "Place aux auteurs" du plus grand marché théâtral au monde donne de la visibilité aux écrivains. Le rendez-vous est élargi pour cette édition 2025, qui se tient du 5 au 26 juillet. - invités : Harold David co-président de l'association coordinatrice du Off d'Avignon
durée : 00:55:44 - Les informés de franceinfo - Tous les matins, les informés débattent de l'actualité ce mardi 1er juillet autour de Agathe Lambret et Renaud Dély. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:22 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les toilettes publiques sont largement sous-investies en Europe et les inégalités d'accès persistent. Si leur usage est intime, les enjeux qu'elles soulèvent, en matière de santé publique, d'égalité de genre, mais aussi de dignité humaine, sont éminemment collectifs. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Julien Damon Sociologue, enseignant à Sciences-Po, HEC et l'École nationale supérieure de sécurité sociale; Benjamin Moron-Puech Professeur de droit à l'université Lumière Lyon 2 et spécialiste en études juridiques de genre
durée : 00:57:59 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Nombre de personnes vivant dans des camps de réfugiés rencontrent des difficultés pour accéder à des toilettes de qualité. Les infrastructures, installées dans l'urgence, tendent à se pérenniser et soulèvent de nombreux enjeux, tant sanitaires que sécuritaires. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Alice Corbet Anthropologue, chercheuse au CNRS et à l'Institut de recherche pour le développement (IRD); Baptiste Lecuyot Responsable Eau, Assainissement, Hygiène de l'ONG Solidarités International; Louis-Nicolas Jandeaux Responsable humanitaire d'Oxfam France
durée : 00:58:15 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Il y a 10 ans, le programme "Swachh Bharat" de Narendra Modi voulait mettre fin à la pratique de la défécation en plein air en Inde. Si le Premier ministre se félicite d'avoir atteint ses objectifs, et que l'accès aux toilettes s'est effectivement amélioré, des problèmes structurels persistent. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Catherine Bros Professeure d'économie à l'université de Tours et chercheuse au Laboratoire d'économie d'Orléans, spécialiste de l'économie indienne; Marie-Hélène Zerah Directrice de recherche à l'Institut de Recherche pour le Développement, et membre du CESSMA (le Centre d'Etudes en sciences sociales sur les mondes africains, américains et asiatiques) de l'Université Paris-Cité.; Priyam Tripathy Chercheuse indépendante en géographie et en urbanisme
durée : 00:57:43 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Si le tout-à-l'égout permet de mettre à distance urines et excréments, des alternatives à ce système d'évacuation sont parfois développées, pour des raisons écologiques et économiques. Ces innovations requièrent cependant un changement de paradigme culturel... - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Marine Legrand Chargée de recherche au laboratoire Eau, Environnement et Système urbain de l'Ecole nationale des ponts et chaussées. ; Camille Salaün Doctorante au sein de l'UMR G-EAU et assistante de recherche auprès de la "Chaire Eau pour Tous" AgroParisTech-Suez.; Gabriel Bortzmeyer Critique et professeur de cinéma et de littérature en classe préparatoire. Membre de la revue Débordements et de la revue Les temps qui reste.
[SERIE] "Nos liens à l'argent" Marion Gestin Duchêne reçoit Héloïse Bolle, conseillère en gestion de patrimoine et fondatrice du cabinet indépendant Oseille & compagnie. Les femmes prennent soin des autres, anticipent chaque détail… mais lorsqu'il s'agit de parler d'argent à voix haute, un blocage survient. Et si ce malaise ne résultait pas d'un manque de compétences, mais plutôt d'un conditionnement transmis depuis des générations ? Héloïse Bolle nous donne tous ses conseils pour que les femmes puissent reprendre le pouvoir sur leurs finances au quotidien. Son livre Aux thunes, citoyennes !, co-écrit avec Insaff El Hassini est publié aux éditions Alisio.Pendant 4 semaines, Marion Gestin Duchêne décrypte avec ses invités nos liens à l'argent : découvrez tous leurs conseils et recommandations pour déconstruire ce sujet tabou et entretenir une relation à l'argent plus apaisée.Quelques citations avec Héloïse Bolle : "Tout se passe comme si l'argent des femmes était moins important que celui des hommes.""La sécurité financière, c'est ça qui est primordial.""Le problème avec l'argent des femmes, ce n'est pas l'argent qu'elles gagnent, c'est l'argent qu'elles ne gagnent pas."Thèmes abordés lors du podcast avec Héloïse Bolle : 00:00 Introduction02:45 L'indépendance financière : une nécessité04:43 L'argent, encore plus tabou chez les femmes ? 05:46 Les injonctions qui pèsent sur les femmes12:11 Le rôle de la société 13:14 Briser le tabou de l'argent17:17 Le couple, source d'appauvrissement pour les femmes22:27 Comment construire sa sécurité financière30:33 La répartition des dépenses dans le couple33:18 Les femmes et l'investissement À réécouter :Et si l'argent conditionnait aussi vos relations ? avec l'expert en finance Matthias Baccino Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.