De l’art, un mot, un face à face ! Avec érudition mais sans jamais aucune lourdeur, le critique d’art et directeur du FRAC Auvergne Jean-Charles Vergne croise les influences, convoque les artistes - classiques, pop, ou contemporains - et finit par transformer chacune des oeuvres d’art qu’il nous fait croiser en miroir. Cartels est produit et édité par l’association l’Onde Porteuse, dans la perspective du lancement, en 2021, de la radio Le Chantier. Ce programme, offrant un regard original sur notre rapport à l’art, est le premier d’une longue série de podcasts destinés à rejoindre en temps utile la grille de programme de cette radio unique en son genre. Cartels est disponible sur toutes les plateformes d’écoute et sur www.lechantier.radio. Production : Le Chantier / L’Onde Porteuse Auteur : Jean-Charles Vergne Réalisation, mixage et design sonore : Benoît Bouscarel Présentation : Lolita Barse
L'horrible peut-il être beau ? C'est une des questions qui nous intéressent aujourd'hui dans le dernier épisode de la saison. Et nous partons en Afghanistan... En compagnie de PJ Harvey...
Cartels vous emmène aujourd'hui à Disneyland Paris. Pas directement bien sûr, mais à travers le regard de Carole Benzaken, dont un tableau, qui fait désormais partie de la collection du FRAC Auvergne, s'intitule précisément : Disneyland Paris... Où l'on constate que la culture est une arme. Pas toujours soft, d'ailleurs.
Nous continuons aujourd'hui notre exploration, entreprise dans l'épisode précédent, de l'œuvre de Clément Cogitore, notamment à travers son film The Evil Eye, prix Marcel Duchamps 2018... Où il est question, dans Cartels, de la fabrique du consentement...
Nous revenons aujourd'hui sur l'œuvre de Clément Cogitore, réalisateur des Indes Galantes, qui a donné un Opéra, du même nom. Clément Cogitore est l'auteur d'un autre film, primé, réalisé en 2018...
Nous avons parlé de percolation, dans Cartels. Nous avons également parlé de capillarité (c'était dans l'épisode précédent). Dans l'épisode du jour, nous faisons jouer ces deux phénomènes de concert et nous visitons "Les Indes galantes"...
Dans Cartels, tout au long de cette saison, nous essayons de comprendre les liens qui existent entre culture savante et culture populaire. Dans cet épisode, nous inversons les lois de la gravité.
Dans cet épisode de Cartels, partons à la rencontre d'un espion russe, de Brian Wilson... Et d'un étrange instrument de musique, trait d'union entre plusieurs mondes...
L'histoire de l'art nous montre que bien souvent, le diable se cache dans les détails... Tâchons, aujourd'hui, dans Cartels, de les regarder de près ces petits détails, qui peuvent en dire beaucoup sur n'importe quel chef-d'œuvre...
Un nouvel épisode de Cartels... Où la physique - la mécanique des fluides - vient au secours de notre compréhension des dynamiques de la culture et de l'art. Une bonne façon de continuer notre exploration des échanges entre culture dite basse, et culture dite haute...
Revoir Matrix, des Wachowski... Et lire Jean Baudrillard autrement, en se plongeant dans la philosophie pour penser de manière totalement nouvelle les liens fructueux entre culture populaire et culture savante. C'est ce qui nous intéresse, aujourd'hui, dans Cartels...
On parle d'une photographie, aujourd'hui, dans Cartels. Une photo qui fait partie de la collection du Frac Auvergne, et qui est signée Gregory Crewdson. Une photo qui fait immédiatement penser au cinéma, et qui donne envie, c'est assez naturel... de se laisser absorber...
On a beaucoup parlé de musique dans le précédent épisode de Cartels. Et on va continuer, tout en essayant de comprendre - c'est le fil conducteur de cette saison - comment se passent les interactions entre culture savante et culture populaire. Cet épisode s'intitule « Rain and tears ».
Continuons à nous intéresser, dans Cartels, aux relations entre culture dite haute et culture dite basse. Aujourd'hui, nous parlons soupe, cynisme... et consentement. Ou quand la publicité fait bien les choses...
Dans Cartels, nous apprenons peu à peu à slalomer tranquillement, à claudiquer, entre différentes formes de culture. Et si l'on s'intéresse autant à la culture savante qu'à la culture populaire, il faut quand même bien dire que la culture populaire n'est pas synonyme de culture basse. Dans cet épisode, nous passons sous les radars, pour apprécier à la fois le rock progressif et le cinéma d'Antonioni...
Étaler sa culture, aussi grossièrement que de la confiture : pourquoi faire ? Dans Cartels, si on s'intéresse en ce moment aux rapports entre culture dite haute et culture dite basse, c'est aussi pour se demander si les catégories sont des hiérarchies...
Aujourd'hui, dans Cartels, on s'intéresse, entre autres histoires, au parcours d'un simple berger, qui va lancer l'Histoire de l'Art, du moins, d'après la légende... Et puis il sera question aussi, surtout, de l'échelle de Jacob...
Dans le précédent épisode de Cartels, nous adoptions un point de vue en contre plongée sur l'art, et sur la culture dite haute. Nous écoutions les arguments de celles et ceux qui pensent que l'art doit être accessible tout de suite... Se livrer et être compréhensible immédiatement et par tous. Aujourd'hui : contrechamp. Nous prenons désormais un point de vue plus stratosphérique...
Bien considérer les échanges fructueux entre culture dite haute et culture dite basse... nécessite d'éviter à la fois condescendance et élitisme… Pour bien se figurer les dangers - les écueils - que représentent de telles dérives, nous allons dessiner, dans cet épisode et dans le suivant, deux esquisses... deux scénarios...
Cette saison, dans Cartels, nous nous intéressons aux écarts... Aux intervalles, qui sont parfois aussi des interfaces, entre la culture dite haute et la culture dite basse... Impossible en effet de ne pas évoquer les échanges, omniprésents dans l'histoire, entre les territoires de la culture savante et de la culture populaire... Avec la présence de "Everywhere, an empty bliss", une œuvre sonore de The Caretaker (2019), acquise par le FRAC Auvergne.
Cette saison de Cartels est une exploration des liens étroits, poreux, entre culture savante et culture populaire. Existe-t-il une différence, une hiérarchie, entre la culture "haute" et la culture "basse" ? D'abord, ces catégories existent-elles vraiment ? Ou ne sont-elles que purs fantasmes ?
Nous nous mettons nous-même en abyme, ce qui est assez vertigineux…
Nous perçons les secrets de la toile du peintre… à moins que ce ne soit lui, le peintre, qui perce directement la toile !
Nous analysons tout le travail qui ne se fait pas.
Nous poursuivons notre exploration du blanc… ou des blancs.
Nous continuons à prendre les choses très au sérieux.
Nous traversons les grands déserts blancs du minimalisme…
Nous partons rejoindre les Beatles au pied de l'Himalaya...
Nous débutons une série de 10 épisodes consacrés au blanc, au vide, au silence…
Nous fixons un pan de mur blanc, peint à la chaux, et nous convoquons Guillaume Apollinaire…
Cartels ne recule devant rien ! Dans cet épisode, nous lisons “Oui-oui à la plage” et Kafka, sur un fond d'Édith Piaf.
Nous partons, en compagnie de Christo et Jeanne-Claude, pour 24 longues années de travaux préparatoires.
Nous convoquons Léonard de Vinci, avec deux briques de Lego.
Nous allons voir Vermeer différemment, et (enfin) regarder les escargots en face.
L'épisode des grands écarts. Nous cheminons en compagnie de Giotto, de A-Ha, et de Pierre Boulez.
Nous regardons le monde autrement, en compagnie de Caspar David Friedrich et de Joe Dassin.
Dans ce premier épisode, nous construisons des cabanes, en compagnie de David Bowie et Robert Smith.
En cette étrange période de confinement, de repli sur soi, de claustration non volontaire, nous avons choisi d'anticiper le lancement de Cartels, et de contribuer à notre manière à la création d'ouvertures sur le monde, à l'imagination de perspectives salvatrices, et au tracé de lignes de fuite bienvenues.