1999 studio album by Mylène Farmer
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Les podcasts offrent un espace propice à la réflexion, aussi bien personnelle que sociale.Dans ce podcast courageux et sans tabou, nous abordons un sujet de santé d'une manière interrogative, afin d'aider chacun·e à mieux comprendre et agir en pleine conscience, avec discernement et responsabilité envers soi-même.Notre objectif n'est pas de juger, victimiser, ni de chercher des coupables, mais d'encourager à une prise en main individuelle. Chaque personne doit être libre de prendre ses décisions, en tant qu'adulte souverain·e. Car, en fin de compte, nous ne pouvons agir que pour nous-mêmes, non pour les autres.En tant que professionnels, nous constatons que certains éléments cruciaux sont négligés ou invisibilisés lorsque l'on divise les individus. Si l'on morcelle l'observation de la santé et des données, on risque de passer à côté de signaux sérieux, alarmants, voire graves.Les femmes qui ne sont pas directement concernées par les traitements médicaux récents pourraient sous-estimer ou refuser de voir ce qui se passe réellement, alors que celles qui sont affectées dénoncent des impacts considérables. Mais de quoi parlons-nous exactement ? De santé individuelle et collective ? Il est temps d'ouvrir les yeux et le cœur sur la santé sexuelle des femmes.Comprendre l'évolution de la santé globale nécessite que les professionnel·les, chacun·e apportant une vision partielle du puzzle, unissent leurs observations pour partager un regard critique.Que constatons-nous dans la santé sexuelle des femmes aujourd'hui ?Les statistiques relatives aux problématiques de santé sexuelle des femmes augmentent de manière inquiétante ces dernières années. Actuellement, la sincérité et le scrupule de certaines institutions sont remises en question à juste titre. Douter est sain. C'est viser le meilleur avec justesse. Le terme scrupuleux est choisi soigneusement, car il désigne la rigueur morale et la conscience professionnelle. Être consciencieux. Qui respecte strictement les règles, les prescriptions… et les principes de précaution.Pourtant, cette approche sincère et objective n'est pas toujours audible. Il serait important de confier à des expert·es indépendants·es l'analyse des données de manière méthodique, sans biais et sans conflit d'intérêt. Il est essentiel de prendre davantage de mesures (collecte de données), y compris des nouvelles mesures, et d'en augmenter l'analyse. Il convient d'étendre la vigilance, en évitant de la restreindre ou de la diviser en fragments. Les statistiques peuvent être manipulées très facilement, ce qui empêche une vision réelle de ce qui se passe. La société devrait en âme et conscience exiger une vigilance accrue. Saviez-vous que chaque citoyenne peut signaler à la pharmacovigilance ? Personne n'est entre vous et la pharmacovigilance. La pharmacovigilance est le/la citoyen.ne. Signaler des informations est un acte citoyen, un geste qui vous appartient. Un acte responsable et indispensable.Cela permet non seulement de vous protéger, mais aussi de protéger les autres. Ce sujet est d'autant plus crucial qu'il est souvent évité par de nombreuses praticiennes, qui hésitent à aborder les questions liées à la sexualité et à la sexologie dans leur pratique quotidienne. La sexualité et la zone génitale restent assez tabou. Et aborder des détails de celles-ci restent difficile pour certain.e.s professionnel.le.s. Alors, comment pouvons-nous espérer obtenir des données fiables sur l'impact des traitements modernes sur la sexualité des femmes si personne ne pose la question ? Chacune et chacun·e est responsable de sa propre route. Ainsi, elle prend soin d'elle-même et ipso facto des autres, car cela permet de ne pas faire deux fois les mêmes erreurs. Éclairer le chemin pour ne pas perpétuer des pratiques qui seraient inappropriées, à risques ou délétères. On dit bien que le consentement médical doit être libre et éclairé. Libre signifie sans contrainte ni tension d'influence. Eclairé signifie mettre le spot des projecteurs sur toutes les informations disponibles favorables et défavorables, les conséquences possibles, les zones d'ombres. Si cela ne vient pas d'en haut, même si c'est contraire aux lois et conventions, cela reste néanmoins de la responsabilité individuelle de s'informer. Le propos de ce podcast est également d'éclairer les auditeur.e.s Eclairer au sens du principe de précaution médical, du consentement libre et éclairé. Rappel :Textes internationauxDéclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme (UNESCO) :- Article 6 : Toute intervention médicale préventive, diagnostique ou thérapeutique nécessite un consentement préalable, libre et éclairé, basé sur des informations suffisantes. Ce consentement peut être retiré à tout moment sans préjudice pour la personne concernée. Les recherches scientifiques doivent également respecter ce principe 1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Consentement_libre_et_%C3%A9clair%C3%A9- Déclaration d'Helsinki (Association Médicale Mondiale) :Elle établit des principes éthiques pour la recherche médicale impliquant des êtres humains, exigeant que le consentement soit libre, éclairé et obtenu après une information compréhensible sur les objectifs, méthodes, risques et bénéfices de la recherche 6. https://ordomedic.be/fr/avis/deontologie/secret-professionnel/declaration-d-helsinkiTextes nationaux-France :. Code civil, article 16-3 : « Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l'intéressé doit être recueilli préalablement sauf en cas d'urgence où il n'est pas en mesure de consentir » 3. https://www.conseil-national.medecin.fr/code-deontologie/devoirs-patients-art-32-55/article-36-consentement-patient. Code de la santé publique, article L.1111-4 : Aucun acte médical ou traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé du patient 3. https://www.conseil-national.medecin.fr/code-deontologie/devoirs-patients-art-32-55/article-36-consentement-patient- Québec (Canada) :. Code civil du Québec, article 10 : Toute personne est inviolable et a droit à son intégrité. Aucun soin ne peut être donné sans un consentement libre et éclairé, sauf exceptions prévues par la loi 1. https://fr.wikipedia.org/wiki/Consentement_libre_et_%C3%A9clair%C3%A9-Belgique :. Loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient : Le patient a le droit de consentir librement à toute intervention moyennant une information préalable claire, complète et adaptée à sa situation 28. https://etaamb.openjustice.be/fr/loi-du-22-aout-2002_n2002022737.htmlTous ces textes soulignent l'importance d'une information complète et compréhensible pour permettre aux personnes de prendre des décisions autonomes concernant leur santé.Nous avons pris notre responsabilité d'éclairer des zones peu visibles.Nous vous souhaitons une belle écoute.Séquençage du podcast :[00:00:20] Introduction, contexte et intentions[00:00:55] Les intentions d'Olivier Mageren[00:02:46] Observations significatives depuis ces dernières années[00:06:50] Impossible d'ignorer l'ampleur[00:10:21] Les observations pour les femmes[00:12:35] Situation et solutions existantes[00:19:57] Prendre soin de votre relation[00:23:27] Un mot de fin en particulier ?[00:23:43] Clôture de l'épisode
Quelle est l'ampleur des violences sexistes et sexuelles dans les universités ? Qui sont les étudiantes et étudiants les plus concernés ? Dans cet épisode, Victor Coutolleau, Clara Le Gallic-Ach et Hélène Périvier, reviennent sur la mise en œuvre et les résultats de l'enquête de prévalence SAFEDUC menée dans deux établissements d'enseignement supérieur, Université Paris Cité et Sciences Po. Cette enquête permet d'identifier les personnes les plus touchées, ainsi que les lieux et contextes où le risque de violence sexiste ou sexuelle est accru. Elle met aussi en lumière les conséquences de ces violences sur l'égalité des chances.Victor Coutolleau est sociologue, chercheur post doctorant à Sciences Po, Clara Le Gallic-Ach est chercheuse doctorante en sociologie à l'Ined et à Sciences Po, Hélène Périvier est économiste, directrice de recherche à l'OFCE-Sciences Po.Ce projet de recherche a été mené avec trois autres chercheuses : Virginie Bonnot (UPCité-Cité du Genre), Marta Domínguez Folgueras (Sciences Po), et Joëlle Kivits (UPCité).--Lire la transcription écrite de l'épisode.--
Presque trois mois après le verdict du procès des viols de Mazan, c'est un texte très symbolique qui est étudié par l'Assemblée nationale à partir de ce mercredi. Les députés de la commission des lois planchent sur l'inscription du consentement dans la définition pénale du viol. Pourquoi cette question revient-elle à l'Assemblée? Et que changerait cette loi pour les victimes? On pose la question à Marie-Pierre Bourgeois, journaliste politique à BFMTV.com.
Aujourd'hui, je pars à la rencontre de Marie-Charlotte Garin, Députée Les Écologistes dans la 3ème circonscription du Rhône. À l'Assemblée Marie-Charlotte défend des causes qui lui sont chères à savoir la jeunesse, la planification écologique, les droits des femmes, la lutte contre les discriminations et la défense du service public. Ensemble nous parlerons plus spécifiquement d'un futur féministe et inclusif et de consentement. Pour en savoir plus sur le travail de Marie-Charlotte, je vous invite à vous rendre sur sa page sur le site Web de l'Assemblée Nationale. Pour continuer la lecture de Marie-Charlotte, il s'agissait du livre “Vernon Subutex” de Virginie Despentes. 2030 Glorieuses c'est le podcast des nouvelles croissances. Car non, demain n'est pas foutu ! Oui, le futur peut se révéler être autrement plus enthousiasmant que la période actuelle. À condition de se mettre (enfin) à la hauteur des enjeux de notre siècle…C'est ce que nous explorerons ensemble toutes les deux semaines dans le podcast 2030 Glorieuses. Quelles sont nouvelles croissances qui nous attendent dans la société durable, solidaire et joyeuse de demain ? Avec nos invité·es, nous imaginerons les valeurs fortes qui vont se déployer largement et pour quels bénéfices. Nous évoquerons les indicateurs qui nous permettront de mesurer ces changements souhaitables. Et nous tenterons même de deviner quelles étapes et quelles ruptures ont été nécessaires pour y parvenir. Et pour retrouvez notre galaxie utopiste, rendez-vous sur 2030glorieuses.org. Le podcast est soutenu par La Nef, la coopérative bancaire citoyenne qui soutient depuis plus de 30 ans les porteurs de projets sociaux, écologiques et culturels. Plus d'infos sur lanef.com.
Salut les poulets, Qu'avez-vous pensé de ce dernier épisode dédié à l'EVARS en compagnie de Johanne Ranson de l'asso l'Oeil du Loup ? Je vous ai fait ici un petit medley.N'hésitez pas à réagir ! Bonne écoute. FlouneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le porno façonne-t-il notre sexualité au point d'imposer certaines pratiques ? Une enquête révèle que de nombreuses femmes ont expérimenté des actes sexuels sans réel consentement lors de leur première fois. Dans cet épisode, nous explorons comment la culture pornographique peut influencer la sexualité et remettre en question le consentement. Comment distinguer le désir véritable de la pression sociale ? Quel impact cela a-t-il sur la santé sexuelle ? À travers l'approche du feu vert, orange et rouge, nous discutons des limites essentielles pour une sexualité épanouie et respectueuse.Sexo'Clock, c'est le podcast incontournable pour explorer la sexualité sous tous ses angles, animé par le Dr Damien Mascret. Médecin et journaliste passionné, il met son expertise au service de la compréhension des liens entre sexualité et santé, abordant des sujets variés avec pédagogie et bienveillance.Auteur de plusieurs ouvrages de référence, Damien Mascret a coécrit « La Revanche du clitoris » avec Maia Mazaurette, un livre essentiel sur le plaisir féminin. Son dernier ouvrage, « Le cycle du désir », plonge au cœur des mécanismes de la sexualité et de la relation avec notre bien-être.Avec Sexo'Clock, découvrez comment la sexualité influence notre santé.Production : MedShake StudioHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Charline, la créatrice du compte Orgasme et moi, est formatrice à la santé sexuelle, professeure à la Sorbonne, sexothérapeute.Dans l'épisode du jour, nous abordons avec elle l'éducation à l'intimité et au consentement !Les recommandations :Corps, amour, sexualité : les 120 questions que vos enfants vont vous poser Nouvelle édition augmentée (édition 2022) - Le premier guide d'éducation à la sexualité positive pour toutes les familles - Charline VermontCorps, amour, sexualité : y'a pas d'âge pour se poser des questions ! : l'éducation à la sexualité enfin à la portée de tout le monde ! Charline VermontGame Ovaire - Pour en finir avec les arguments scientifiques sexistes et périmés - Lucia silligHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Salut les poulets, Suite à l'affaire présumée d'attouchements sexuels entre enfants, qui a secoué l'école maternelle de mes deux fils à Carry-le-Rouet, j'ai décidé d'agir à ma façon. En effet dans cet épisode je reçois Johanne Ranson de l'association l'Oeil du Loup, spécialisée dans la prévention des violences sexistes et sexuelles. Ensemble nous évoquons l'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle, à destination des enfants. Une notion qui fera bondir certains parents. Et pourtant les bienfaits de l'EVARS ne sont plus à prouver mais de nombreux freins tels que la méconnaissance du sujet, la pression des anti, le manque de formation au sein de l'Éducation Nationale, entrave la mise en application de la loi de 2001 pourtant prévue à cet effet. Alors comment peut-on réagir face à des problématiques de violence, d'agressions, qui touchent nos enfants ? Quelles sont les ressources à notre disposition en tant que parent ? Quel est le rôle de l'école ? C'est tout ce que je vous propose de découvrir dans cet échange avec Johanne. Et pour aller plus loin, voici les ressources évoquées dans l'épisode: Le kit Skills for Consent:https://loeilduloup.fr/consentement-enfants-outils/La bulle de Miro, une BD de la fondation québécoise Marie Vincent: https://cdn.marie-vincent.org/wp-content/uploads/2019/04/La-bulle-de-Miro.pdfLe consentement aux enfants, par Élise Gravel: https://elisegravel.com/blog/consentement-explique-aux-enfants/ Le podcast "l'auto-défense des enfants": https://www.arteradio.com/son/lautodefense-des-enfantsLe podcast "c'est quoi l'amour maîtresse?":https://www.binge.audio/podcast/le-coeur-sur-la-table/cest-quoi-lamour-maitresse-par-lolita-riveTrès bonne écoute et comme toujours, pensez à noter, partager et liker sur les plateformes d'écoutes et sur Insta ! FlouneHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:22 - Le Zoom de France Inter - En cette journée internationale pour les droits des femmes, zoom sur le consentement. Les victimes d'agression ou de viol réclament toujours une meilleure éducation. "Eduquez vos fils", lit-on sur des pancartes. Reportage dans un cortège, puis dans un collège avec une gendarme face à des élèves.
durée : 00:46:06 - Interception - par : Antoine Giniaux - Le consentement pourrait bientôt être inscrit dans la loi, obligeant les agresseurs présumés à apporter la preuve qu'ils ont bien obtenu un accord avant tout acte sexuel. Interception est allé à la rencontre de victimes, d'accusés, et de jeunes, qui découvrent la sexualité et ses limites.
À l'occasion de la journée internationale des droits des femmes, Actuelles revient sur la notion de consentement, qui s'est invitée dans les débats publics avec l'affaire de Mazan. Certains des violeurs de Gisèle Pelicot ont avancé des explications surprenantes, affirmant qu'ils la pensaient consentante… parce que son mari l'avait dit. Des déclarations choquantes qui ont fait s'interroger la société française. Les milieux féministes réfléchissent à la nécessité d'intégrer cette notion dans la définition du viol dans le code pénal, et à la formation des professionnels•les en lien avec les victimes. Ils posent aussi la question de la sensibilisation des enfants à la notion de consentement.
Cet épisode est le dernier de la série "L'Humain à l'ADF"Il a été enregistré lors d'une séance que j'ai présidée le vendredi 29 novembre 2024 à l'association dentaire française, qui s'intitulait "Savoir recueillir le consentement du patient".Le consentement, plus qu'une simple obligation légale, est une pierre angulaire de la relation de soins. Pourtant, en dentisterie, le rapport praticien·ne-patient·e est marqué par une grande asymétrie d'information et de pouvoir. Comment s'assurer que le consentement est libre, éclairé et réellement compris ?Lors de cette table ronde enregistrée au Congrès de l'ADF 2024, quatre intervenant·es aux expertises complémentaires partagent leurs réflexions sur les enjeux éthiques et pratiques du consentement :- Dr Pauline Chardron-Mazière – Chirurgienne-dentiste spécialisée en médecine buccodentaire, soins pédiatriques, personnes en situation de handicap et multiculturelles.- Dr Guillaume Savard – Chirurgien-dentiste et maître de conférences à Tours, expert en éthique médicale.- Abdel Aouacheria – Chercheur au CNRS et vice-président de l'association d'usagers du dentaire "La Dent Bleue".- Ava Halloran – Membre de "La Dent Bleue", avec une expertise en psychosociologie. Un débat qui explore :✔ Le consentement au-delà du cadre juridique : comment créer une vraie alliance thérapeutique ?✔ L'impact des inégalités sociales et culturelles sur l'accès aux soins et à l'information.✔ Comment donner la parole aux patients et réduire l'asymétrie praticien·ne-patient·e ? Une réflexion essentielle pour tous les soignants souhaitant améliorer leur communication et leur relation avec leurs patient·es.Les liens évoqués : Série avec Abdel Aouacheria ( épisode 1/4)Épisode avec Pauline Chardron-Mazière (épisode 6 de la série " Mon voyage à travers l'argent en dentisterie")Lien pour accéder à l'illustration réalisée pendant la conférence par Capucine Malhomme
Cette semaine, avec ma co-host invitée Feymie, on reçoit l'avocate en droit criminel: Vicky Powell. On explore le dating scene de Montréal en tant que femme de carrière et comment se remettre d'une longue relation qui a pris fin. On parle de violence sous toutes ses formes dans le couple et du poids des relations toxiques sur le système juridique. Vicky nous partage son expérience sur le dilemme de mettre ses morales de côté pour défendre ses clients. On aborde aussi le sujet du consentement et on se penche sur la réalité de la travailleuse de la nuit au Canada. Cet épisode est présenté par Eros et compagnie. Obtenez 15% de rabais sur votre prochain achat en utilisant le code promo "DAEDS" ou en utilisant le lien suivant: https://www.erosetcompagnie.com/?code=deads Rejoignez notre Patreon: https://www.patreon.com/damouretdesexe Vous avez des courriers du coeur, des commentaires et des suggestions? Envoyez nous un courriel au damouretdesexepodcast@gmail.com Suivez nous sur Instagram: https://www.instagram.com/damouretdesexeSuivez nous sur Twitter: https://www.twitter.com/DAEDS_podcastSuivez nous sur Tik Tok: https://www.tiktok.com/@damouretdesexe
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse à XXX
En 2020, l'écrivaine et éditrice Vanessa Springora signe « Le Consentement », un livre d'une grande puissance où elle raconte la relation abusive et la prédation qu'elle avait subies adolescente avec l'auteur Gabriel Matzneff. Pendant qu'elle assure la promotion de son livre, elle apprend subitement la mort de son père, avec lequel elle n'avait plus de relation depuis son enfance. En triant des objets lui appartenant, elle découvre des photographies de son grand-père avec des insignes nazis. C'est le début d'une enquête qu'elle va mener sur ses origines. Et qui aboutira, cinq ans plus tard, à son deuxième roman, « Patronyme ».Vanessa Springora nous accueille chez elle, une ancienne confiserie transformée en habitation, à Belleville, dans le 19ᵉ arrondissement de Paris. Elle raconte sa scolarité, avec une institutrice pittoresque et ses découvertes de « livres-témoignage » « Moi, Christiane F., 13 ans, droguée et prostituée », « L'Herbe bleue » de Beatrice Sparks, « Le Pavillon des enfants fous » de Valérie Valère.Ayant vécu à Mexico, l'autrice donne ses impressions de ce pays d'Amérique du Nord où elle a ressenti un fort tremblement de terre et d'où elle a ramené un objet fétiche : un autel portatif… Elle s'amuse aussi du point commun entre son mémoire de maîtrise sur la notion de trouble dans les romans de Georges Bataille et le nom de la collection qu'elle dirige actuellement chez l'éditeur Julliard : Fauteuse de trouble.Depuis six saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Juliette SavardRéalisation : Emmanuel BauxMusique : Gotan Project Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Pour le sixième épisode de l'émission Parlons Tabous, animée par Alison, nous aborderons le consentement sexuel. Nous nous interrogerons sur comment savoir si l'autre personne est consentante, nous éclaircirons certains mythes et nous discuterons de la séduction respectueuse.
Blaise, infirmier quinquagénaire, traverse depuis de nombreuses années des épisodes d'instabilité en santé mentale. Il a connu plusieurs hospitalisations psychiatriques sans consentement, appelées en Suisse placements à des fins d'assistance (PAFA). Il revient sur ses expériences, vécues de manière contrastée : certaines lui ont été salutaires, d'autres non. Il témoigne de l'impact psychologique profond de ces placements, mais aussi de l'espoir que peut représenter une relation significative entre soignant et patient. Chaque année en Suisse, 2,1 personnes sur 1 000 sont hospitalisées sans leur consentement, un taux supérieur à la moyenne européenne. Comment concilier respect de la dignité et de l'autonomie des patients avec la nécessité d'assurer leur sécurité et celle de la société ? Alexandre Wullschleger, médecin adjoint agrégé au service de psychiatrie adulte des HUG et chercheur, partage son expertise et évoque des alternatives au placement. Journaliste?: Adrien Zerbini Réalisation?: José Moreno Production?: Pauline Vrolixs Attachée de production?: Valérie Dentan
Alors que la reconnaissance faciale en direct dans les espaces publics est interdite en Europe, la technologie séduit de plus en plus outre-Manche. Face à une supposée recrudescence de la délinquance, de nombreux commerces britanniques optent pour cette technologie aidée par l'intelligence artificielle. Mais sans garde-fous juridiques, les ONG s'inquiètent de ces bases de données composées de « suspects », sans aucune validation des autorités publiques. De notre correspondante à Londres,Dave est assis dans l'arrière-boutique de son magasin d'alimentation générale, près de la gare de Weymouth, dans le sud du Royaume-Uni. Il regarde l'enregistrement qui date du mois de décembre d'une femme en train de prendre des bouteilles d'alcool pour les mettre dans les poches de sa parka. Un superviseur l'a vu et est allé lui demander des comptes. C'est justement pour éviter ce genre de choses que Dave a installé Facewatch, un logiciel de reconnaissance faciale, en juin 2023.« Avant Facewatch, nous avions des vols deux ou trois fois par jour, parfois plus. Il s'agissait souvent des mêmes personnes. Maintenant, nous en sommes à deux ou trois vols par semaine, relate le propriétaire du magasin. Nous recevons des alertes de Facewatch lorsque des voleurs qu'on a déjà repérés essaient encore d'entrer dans notre magasin, ils sont refoulés à la porte. Donc, très souvent, cela évite qu'il y ait vol. »Et le procédé est simple, détaille Dave : « Voici donc la caméra de surveillance avec Facewatch. Elle prend un cliché et le compare avec une base de données. Si la personne correspond à la base de données, nous sommes alertés dans les six secondes qui suivent le passage de la porte. » D'autres commerçants des alentours qui utilisent le même logiciel Facewatch remplissent aussi leur propre base de données.À lire aussiChine: l'intelligence artificielle au service de la surveillance de masse« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point »Chris Jones est le directeur de l'ONG pour les libertés publiques Statewatch. Du haut de la terrasse de son immeuble d'entreprise, Chris Jones surplombe Fleet Street, l'une des rues principales de la Cité de Londres, le quartier financier. Il sait que les caméras sont partout, dans les rues, dans les commerces. Ce qui l'inquiète surtout, c'est le manque de régulation. Il pense au système de partage des informations qu'utilisent, par exemple, Dave à Weymouth et les commerçants des alentours. Qui sont-ils pour punir une personne sans qu'elle ait été jugée et déclarée coupable ?« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point. Car il est censé y avoir un seul ensemble de lois pour tous, appliqué de manière égale par le système de justice pénale, rappelle-t-il. Donc, on s'éloigne de plus en plus de l'idéal d'une société fondée sur l'État de droit. »Normalement, les commerces doivent préciser s'ils utilisent des caméras de surveillance et si la reconnaissance faciale est utilisée. Mais selon les ONG comme Statewatch, tous ne jouent pas le jeu et ne préviennent pas les clients qui ne peuvent alors pas donner leur consentement. Consentement qui se fait de facto simplement en entrant dans le magasin.À lire aussiEn Europe, les étrangers premières victimes de l'intelligence artificielle
Alors que la reconnaissance faciale en direct dans les espaces publics est interdite en Europe, la technologie séduit de plus en plus outre-Manche. Face à une supposée recrudescence de la délinquance, de nombreux commerces britanniques optent pour cette technologie aidée par l'intelligence artificielle. Mais sans garde-fous juridiques, les ONG s'inquiètent de ces bases de données composées de « suspects », sans aucune validation des autorités publiques. De notre correspondante à Londres,Dave est assis dans l'arrière-boutique de son magasin d'alimentation générale, près de la gare de Weymouth, dans le sud du Royaume-Uni. Il regarde l'enregistrement qui date du mois de décembre d'une femme en train de prendre des bouteilles d'alcool pour les mettre dans les poches de sa parka. Un superviseur l'a vu et est allé lui demander des comptes. C'est justement pour éviter ce genre de choses que Dave a installé Facewatch, un logiciel de reconnaissance faciale, en juin 2023.« Avant Facewatch, nous avions des vols deux ou trois fois par jour, parfois plus. Il s'agissait souvent des mêmes personnes. Maintenant, nous en sommes à deux ou trois vols par semaine, relate le propriétaire du magasin. Nous recevons des alertes de Facewatch lorsque des voleurs qu'on a déjà repérés essaient encore d'entrer dans notre magasin, ils sont refoulés à la porte. Donc, très souvent, cela évite qu'il y ait vol. »Et le procédé est simple, détaille Dave : « Voici donc la caméra de surveillance avec Facewatch. Elle prend un cliché et le compare avec une base de données. Si la personne correspond à la base de données, nous sommes alertés dans les six secondes qui suivent le passage de la porte. » D'autres commerçants des alentours qui utilisent le même logiciel Facewatch remplissent aussi leur propre base de données.À lire aussiChine: l'intelligence artificielle au service de la surveillance de masse« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point »Chris Jones est le directeur de l'ONG pour les libertés publiques Statewatch. Du haut de la terrasse de son immeuble d'entreprise, Chris Jones surplombe Fleet Street, l'une des rues principales de la Cité de Londres, le quartier financier. Il sait que les caméras sont partout, dans les rues, dans les commerces. Ce qui l'inquiète surtout, c'est le manque de régulation. Il pense au système de partage des informations qu'utilisent, par exemple, Dave à Weymouth et les commerçants des alentours. Qui sont-ils pour punir une personne sans qu'elle ait été jugée et déclarée coupable ?« C'est très dangereux pour une société de voir les moyens de sécurité privés se multiplier à ce point. Car il est censé y avoir un seul ensemble de lois pour tous, appliqué de manière égale par le système de justice pénale, rappelle-t-il. Donc, on s'éloigne de plus en plus de l'idéal d'une société fondée sur l'État de droit. »Normalement, les commerces doivent préciser s'ils utilisent des caméras de surveillance et si la reconnaissance faciale est utilisée. Mais selon les ONG comme Statewatch, tous ne jouent pas le jeu et ne préviennent pas les clients qui ne peuvent alors pas donner leur consentement. Consentement qui se fait de facto simplement en entrant dans le magasin.À lire aussiEn Europe, les étrangers premières victimes de l'intelligence artificielle
durée : 00:02:13 - Consentkido - Toutes les 3 minutes, en France, un enfant est victime d'inceste, de viol ou d'agression sexuelle. Une alsacienne a créé un jeu de cartes et un site internet pour accompagner les enfants, adolescents, et surtout la famille.
Axelle de Sade, Meta Tshiteya sont les autrices, et Stella Polaris la dessinatrice de "Kink : Manuel de sexualités créatives". Un ouvrage très documenté et original dans sa forme puisqu'il propose des conseils et exercices pratiques, des nouvelles érotiques, des interviews d'experts, expertes, etc. Le but est d'explorer les sexualités au-delà des normes de la sexualité traditionnelle (BDSM, fétichisme, jeux de rôle ou d'impact, etc.), mais avec un angle résolument féministe, inclusif, politique. J'ai pu poser toutes mes questions sur différentes pratiques, comportements, fantasmes. Une discussion passionnante !Quoi de mieux pour la Saint-Valentin qui approche, pour les personnes qui la fêtent ou pas, par choix ou non, que d'offrir et de s'offrir ce merveilleux ouvrage de 354 pages ! Ce livre est dans le top 10 2024 de Victoire Tuaillon. Une référence ! Prochain épisode le 14 février janvier.Si vous voulez soutenir Single Jungle, avec un don en une seule fois, j'ai ouvert un Tipeee : https://fr.tipeee.com/single-jungle. J'ai suivi le conseil d'auditrices et d'auditeurs qui ont proposé de participer à la hauteur de leurs moyens, ponctuellement, aux frais des épisodes (prise de son/montage et hébergement). Merci aux premières personnes qui ont participé ! Retrouvez les autrices sur les réseaux sociauxhttps://www.instagram.com/axelle_de_sade/https://www.instagram.com/meta.tshiteya/https://www.instagram.com/stella.polaris/ Références citées dans l'épisode ou en bonus ou recommandées par les invitées (à suivre)Livres "Kink : Manuel de sexualités créatives" par Axelle de Sade, Meta Tshiteya, Stella Polaris (éditions Anne Carrière) : "Kink est un ouvrage dont l'ambition est d'inspirer ses lecteurs et lectrices dans leur sexualité en s'adressant au principal organe sexuel : le cerveau. Ce terme, kink, d'origine anglo-saxonne, est de plus en plus utilisé en français pour désigner des préférences, des fantasmes, des comportements ou des pratiques sexuelles qui sortent des normes de la sexualité traditionnelle (BDSM, fétichisme, jeux de rôle ou d'impact, etc.). En effet, la première particularité de ce manuel est qu'il réfute l'association systématique de la sexualité avec la génitalité. Or, ce n'est qu'une des facettes de la sexualité, et cet ouvrage, s'il l'aborde abondamment, ne la considère pas comme son propos central. Peu importent le genre, l'orientation sexuelle, le kink fait exploser les normes, invite à trouver ce qui nous parle, en couple ou non, à tout âge, etc. Ouvrir le champ des possibles, sortir de la routine : chaque personne est invitée à explorer sa singularité pour enrichir ses fantasmes et accéder à une sexualité joyeuse et créative. Ce livre porte aussi un projet politique : après la grande révélation, apportée par le mouvement #MeToo, du gouffre qui se creuse entre la vision patriarcale de la sexualité et la perception des femmes qui la subissent, il propose un regard neuf, centré sur le consentement, le respect, le désir et le plaisir, sous la plume de trois femmes ayant focalisé leur travail sur l'exploration et la transmission des mille moyens d'y parvenir." https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782380823363-kink-manuel-de-sexualites-creatives-axelle-de-sade-meta-tshiteya-stella-polaris/Qui sont les autrices : aXelle de Sade, dominatrice professionnelle, est la cofondatrice de l'association Érosticratie, du festivalÉrosphère. En 2021, elle a créé l'École des Arts Sadiens où les meilleurs spécialistes enseignent leursdisciplines. Meta Tshiteya a été pendant seize ans réalisatrice de journaux d'information et documentariste spécialisée sur les questions de genre et de sexualité à Radio France. Elle est cofondatrice du festival Érosphère et coautrice de l'essai Avez-vous le sens del'amour ? (Éditions Envolume, 2020). Stella Polaris a commencé sa carrière dans l'édition, avant de se concentrer sur la création artistique. Son travail est internationalement reconnu pour le style caractéristique de ses dessins, principalement en noir et blanc, à l'encre, la diversité de ses sujets, son humour et son sens du détail. "Eloge des petites bites : pour en finir avec la dictature viriliste" d'Octavie Delvaux (éditions La Musardine) "Des corps disponibles. Comment la contraception façonne la sexualité hétérosexuelle" de Cécile Thomé (éditions de la Découverte). Films "Baby girl" de Halina Reijn avec Nicole Kidman, Harris Dickinson et Antonio Banderas https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=323928.html "La secrétaire" de Steven Shainberg, avec Maggie Gyllenhaal, James Spader https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=47341.html "Shortbus" de John Cameron Mitchell, avec Sook-Yin Lee, Paul Dawson, Jay Brannan https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=110133.html Podcasts "Les couilles sur la table" de Victoire Tuaillon, 2 épisodes avec Maïa Mazaurette sur Binge Audio. Avec cette étude : "Une étude menée par la BBC au Royaume-Uni et publiée en décembre 2019 : 38 % des femmes britanniques de moins de 40 ans ont été maltraitées pendant des rapports sexuels (giflées, étranglées, bâillonnées, et/ou se sont fait cracher dessus, contre leur gré)." Le sujet de la sodomie et du rapport anal en général, réclamé très souvent par les hommes hétéros (très influencés par le porno), avec beaucoup d'insistance, alors que la partenaire n'en a pas forcément envie. Il va y avoir ce jeu malsain, consistant à essayer de la convaincre. https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/maia-mazaurette-sortir-la-tete-du-trou-1-2 Sujet évoqué aussi dans cet épisode d''Un podcast à soi" de Charlotte Bienaimé, sur Arte Radio : https://www.arteradio.com/son/61661608/sexualite_des_femmes_la_revolution_du_plaisir_18 J'espère que les femmes plus jeunes (ou moins expérimentées) pourront les écouter, se documenter, et s'écouter elles, AVANT TOUT, surtout. Combien de femmes ont accepté ce type de rapports "pour faire plaisir", "ne pas vexer", par peur etc, alors qu'elles n'en avaient pas envie, trouvaient ça douloureux, désagréable, sans intérêt etc. De même pour les hommes gay, bi, personnes non binaires, à qui on proposerait avec autant d'insistance un rapport anal. Votre corps, vos choix. "Soumission impossible" de Claire Richard, sur Arte Radio : "Etre féministe et apprécier la soumission au lit" https://www.arteradio.com/son/61661572/soumission_impossible AVERTISSEMENT IMPORTANT : Ne jamais s'inscrire sur une application ou site de rencontres payant sans 1) lire les avis sur Google (Play store) ou Apple (App store) 2) lire les conditions tarifaires de l'abonnement. Ainsi je vous déconseille fortement le site PARSHIP, qui pratique l'extorsion : on ne peut pas résilier avant 1 an obligatoire, même si on n'utilise plus le service, qui n'est pas satisfaisant, car très peu de personnes dans votre région. Le service client n'a que mépris pour les clients et le service communication ne veut rien entendre (un comble), aucun arrangement possible. Donc évitez une dépense inutile. Episode enregistré en janvier 2024, chez Isabelle, à Paris, merci à elle et à son chat pour leur hospitalité.Montage et mixage : Isabelle FieldMusique : Nouveau générique ! Vous l'avez reconnu ? C'est le générique de la série mythique des années 90 "Code Quantum" avec Scott Bakula
Après les sénateurs, les députés ont voté un texte pour protéger les consommateurs du démarchage téléphonique intrusif.
Faut-il redéfinir pénalement le viol ? Un rapport parlementaire, publié le 21 janvier, préconise d'intégrer la notion de non-consentement dans la définition pénale du viol, relançant le débat sur une question qui divise tant chez les professionnels du droit que dans les rangs des associations féministes.Pour mieux comprendre cette actualité autour de la définition pénale du viol, nous vous proposons de réécouter cet épisode de "L'Heure du Monde", dans lequel Anne Chemin, journaliste au service Idées du "Monde", explique pourquoi la définition de ce crime continue d'évoluer.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation et musiques : Amandine Robillard.Cet épisode a été publié pour la première fois le 28 mai 2024.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Faut-il redéfinir pénalement le viol ? Dans la foulée du procès des viols de Mazan, "il est temps d'agir", lancent deux parlementaires qui présenteront en fin d'après-midi un rapport en ce sens. Pour inscrire clairement dans la loi la question du consentement. Àcoutez le sentiment de Élodie Tuaillon-Hibon, avocate au barreau de Paris. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 21 janvier 2025.
Faut-il redéfinir pénalement le viol ? Dans la foulée du procès des viols de Mazan, "il est temps d'agir", lancent deux parlementaires qui présenteront en fin d'après-midi un rapport en ce sens. Pour inscrire clairement dans la loi la question du consentement. Àcoutez le sentiment de Élodie Tuaillon-Hibon, avocate au barreau de Paris. Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Eric Brunet et Céline Landreau du 21 janvier 2025.
À l'approche de la journée nationale contre le sexisme, La France bouge analyse ce sujet avec Aurore Berger, ministre de l'Égalité, en abordant toutes les formes de sexisme, de la blague déplacée aux violences conjugales.Des initiatives innovantes sont mises en lumière : Inès Dauvergne, cofondatrice de Me & You Too, présente un outil d'autodiagnostic pour sensibiliser les salariés au sexisme. Noëlla Buny-Dubois, fondatrice du collectif Nous Sommes, organise des ateliers pour sensibiliser les hommes à ces enjeux.Tous montrent que l'égalité concerne toute la société. Des avancées comme l'inscription du droit à l'IVG dans la Constitution ont été faites, mais le chemin reste long.Grâce à ces témoignages, cet épisode invite à repenser nos comportements et stéréotypes pour bâtir une société plus équitable.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Où l'on parle de consentement dans le couple, et où on répond à vos retours.♻️ FOLLOW-UPQuid du consentement quand on parle de se donner du plaisir à côté de sa moitié endormie ?Le fil de discussion sur DiscordParticipez au Fab & Mymy Show : envoyez-nous un vocal !Abonnez-vous au podcastRejoignez le DiscordL'épisode en entier et en avance + une rubrique exclusive : sur Patreon !Suivez Le Fab & Mymy Show sur InstagramEnvoyez-nous un mail : coucou@lefabetmymyshow.comRetrouvez Fabrice Florent partoutRetrouvez Mymy Haegel partout Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à mon contenu exclusif : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcastDepuis 2021, la série "Squid Game" est devenue un véritable phénomène mondial. Mais derrière le spectacle sanglant de la lutte pour la survie, la série interroge une notion fondamentale : le consentement. Que veut dire consentir ? Le libre choix existe-t-il ? Sommes-nous seuls responsables des décisions que nous prenons ? Telles sont les questions sur lesquelles nous allons nous pencher dans cet épisode.
La superstition la plus dangereuse: La conclusion, toute simple
Les vices du consentement dans un contrat civil peuvent remettre en question sa validité, mais quelles en sont les conséquences réelles ? Entre dol, erreur et violence, la loi offre des recours pour les parties concernées. Comment ces vices affectent-ils l'exécution du contrat et quelles actions pouvez-vous entreprendre ? Réponses dans ce podcast avec Me Sylvie Noachovitch. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".
Rejoignez-moi sur Patreon pour accéder à mon contenu exclusif : https://www.patreon.com/leprecepteurpodcastExtrait de l'épisode SQUID GAME - Consentement et manipulationCet épisode sera publié sur YouTube et en podcast vendredi prochain le 10 janvierIl est d'ores et déjà disponible en intégralité sur ma page Patreon : https://www.patreon.com/posts/118930203
C dans l'air l'invitée du 30 décembre - Marie-Pierre Porchy, magistrate honoraire et auteure du livre "Consentements, les vérités d'une magistrate" (Édition de Mareuil)Présentation: Lorrain SénéchalCondamné le 19 décembre à vingt ans de réclusion criminelle pour avoir, pendant dix ans, drogué son épouse, Gisèle, afin de la violer et de la livrer à des inconnus à Mazan, Dominique Pelicot ne fait pas appel, a fait savoir à l'Agence France-Presse et à Franceinfo son avocate, Béatrice Zavarro, lundi 30 décembre. Un appel "contraindrait Gisèle à une nouvelle épreuve, à de nouveaux affrontements, ce que Dominique Pelicot refuse", a-t-elle ajouté, en précisant qu'il était "temps" pour son client, âgé de 72 ans, "d'en finir judiciairement". "Mme Pelicot n'est pas et n'a jamais été son adversaire", a-t-elle ajouté.Deux jours après sa nomination, le ministre de la justice multiplie les opérations de communication. En quatre minutes chrono, le garde des sceaux a dévoilé plusieurs mesures censées aller dans le sens d'une justice "plus ferme, plus intense". Sans pour autant convaincre les acteurs de la chaîne pénale. Concernant l'introduction de la notion de consentement dans la définition par le code pénal du viol, il a répondu être "favorable à tout ce qui permettra de protéger davantage les femmes" et va étudier "avec le plus grand sérieux la proposition de loi déposée dans ce sens".L'ancienne magistrate Marie-Pierre Porchy reviendra sur l'absence de notion de consentement dans la loi, et ses conséquences dans le traitement judiciaire des affaires de viols.
La superstition la plus dangereuse: Accepter la réalité (suite 4ème partie)
durée : 00:02:06 - Le vrai ou faux - Le Syndicat de la famille, anciennement connu sous le nom de "La Manif pour tous", a lancé une pétition contre ce projet en cours d'élaboration. Sa présidente dénonce un "lavage de cerveau idéologique dès l'âge de trois ans".
La grande majorité des adultes protège les enfants et ne leur veut aucun mal, mais il arrive aussi, malheureusement, que certains aient de très mauvais comportements – qui sont punis par la loi – et qu'ils représentent un danger. Dans cet épisode, tu vas découvrir ce que sont exactement les violences sexuelles, comment s'en protéger, mais aussi comment aider les victimes à demander de l'aide, grâce aux conseils de Clara, psychologue dans une association qui lutte contre les maltraitances sur les enfants. Car, comme le dit June, la grande demi-sister de Juju, « le savoir, c'est le pouvoir », et plus on est informées, plus on est préparées à ne pas se laisser faire !Merci à Clara Montserret, psychologue à l'association l'Enfant Bleu Toulouse, association qui combat la maltraitance des enfants et des adolescents, pour sa relecture et ses conseils.Des numéros utiles :Allô Enfance en danger : si besoin, appelle le 119, 24 h/24 et 7 j/7, ou va sur le tchat de https://www.allo119.gouv.fr/Fil Santé Jeunes : 0 800 235 236 ou filsantejeunes.comCréditsDirection éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude avec Milia Legasa. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc Monchy.Un podcast de Milan presse 2024. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:22 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le procès des viols de Mazan se poursuit, et les députés s'interrogent : la notion de consentement doit-elle entrer dans la définition du viol ? La commission des Lois a rejeté une proposition de la France insoumise.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
Épisode 1216 : C'est lundi, on vous parle des changements publicitaires sur Méta ainsi que leurs amendes folles à payer à l'UE, des concurrents de X, Threads et Bluesky qui progressent et surtout de la dernière de l'émission ZEN !Meta introduit de nouvelles options publicitaires pour les utilisateurs européensMeta, société mère de Facebook et Instagram, ajuste son modèle publicitaire en réponse aux exigences du Digital Markets Act (DMA), une législation européenne visant à limiter l'exploitation excessive des données personnelles par les grandes plateformes.Les nouvelles options publicitairesPublicités contextuelles : Ces annonces, moins invasives, s'appuient sur des données immédiates comme l'âge, le genre ou la localisation, sans exploiter de vastes historiques de navigation.Consentement explicite pour les publicités ciblées : Les utilisateurs peuvent opter pour des publicités plus personnalisées en donnant un accord clair.Impact sur le modèle économique de MetaInitialement, Meta avait proposé un abonnement payant permettant de se débarrasser entièrement des publicités, mais cette solution a été rejetée par les régulateurs. L'entreprise a donc dû revoir sa stratégie :Les publicités contextuelles sont conformes à la réglementation, mais leur rentabilité est moindre.Ces changements pourraient affecter les revenus publicitaires de Meta, qui génère 23 % de ses revenus en Europe, tout en impactant l'écosystème publicitaire dans son ensemble.En ajustant son approche, Meta cherche un équilibre entre respect des lois, satisfaction des utilisateurs et protection de ses intérêts financiers, tout en évitant des sanctions supplémentaires ....Retrouvez toutes les notes de l'épisode sur www.lesuperdaily.com ! . . . Le Super Daily est le podcast quotidien sur les réseaux sociaux. Il est fabriqué avec une pluie d'amour par les équipes de Supernatifs. Nous sommes une agence social media basée à Lyon : https://supernatifs.com. Ensemble, nous aidons les entreprises à créer des relations durables et rentables avec leurs audiences. Ensemble, nous inventons, produisons et diffusons des contenus qui engagent vos collaborateurs, vos prospects et vos consommateurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet extrait, Emmanuelle Piquet nous livre ses 2 premiers conseilsPour écouter l'épisode en entier :TOP5 des conseils pour aider les enfants à se défendre contre le harcèlement scolaire------------Production : Stéphanie CordierMusique : Luk & Jo
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
durée : 00:07:26 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors que les 50 hommes accusés d'avoir abusé de Gisèle Pelicot sont entendus en ce moment, comment ce procès historique risque-t-il de bousculer les définitions actuelles du viol dans le Code pénal ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Didier Rebut Directeur de l'Institut de criminologie et de droit pénal de Paris, professeur de droit à l'Université Panthéon-Assas (Paris II), membre du club des juristes.
durée : 00:28:30 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Elise Andrieu, Charlotte Bienaimé, Delphine Dhilly, Leila Djitli, Rémi Dybowski Douat, Sophie Knapp, Inès Léraud, Bahar Makooi, Pauline Maucort, Olivier Minot, Ilana Navaro, Delphine Saltel, Pascale Pascariello, Stéphanie Thomas, Valérie Borst, Léa Veinstein, Martine Abat, Adila Bennedjaï-Zou, Judith Chetrit, Léa Minod - Raphaële avait 18 ans et Gwenaëlle, 26. Chacune raconte son histoire qui pose la question du consentement sexuel. - réalisation : Vincent Abouchar, Philippe Baudouin, Emmanuel Geoffroy, Cécile Laffon, Alexandra Malka, François Caunac
durée : 00:28:30 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Charlotte Bienaimé, Elise Andrieu, Bahar Makooi, Ilana Navaro, Martine Abat, Pascale Pascariello, Leila Djitli, Olivier Minot, Rémi Dybowski Douat, Valérie Borst, Pauline Maucort, Sophie Knapp, Adila Bennedjaï-Zou, Inès Léraud, Delphine Saltel, Delphine Dhilly, Léa Minod, Léa Veinstein, Stéphanie Thomas, Judith Chetrit - Anita et Margaux avaient 14 ans. Elles ne voulaient vraiment pas avoir de rapport sexuel, enfin elles n'étaient pas sûres, mais elles ont pensé, ont cru, qu'il fallait le faire, essayer, peut-être. Elles racontent leur histoire. - réalisation : Cécile Laffon, François Caunac, Emmanuel Geoffroy, Philippe Baudouin, Vincent Abouchar, Alexandra Malka
Nous sommes au milieu du XVIIe siècle, c'est à cette époque que paraît le roman de Madeleine de Scudéry : « Clélie, histoire romaine ». Clélie est l'héroïne légendaire des tout premiers temps de la République romaine. C'est le premier roman que Scudéry, qui tient salon depuis peu, écrit indépendamment de son frère, avec qui elle s'est fâchée. L'autrice y dépeint une compagnie d'amis et d'amies qui débattent de la valeur des sentiments. On peut lire : « La tendresse a cela de particulier qu'elle lui donne même je ne sais quel caractère de galanterie qui la rend plus divertissante ; elle inspire la civilité et l'exactitude à ceux qui en sont capables ; et il y a une si grande différence entre un tendre ami, et un ami, ordinaire, qu'il n'y a guère davantage entre un ami tendre, et un amant. » Au siècle suivant, Jean-Jacques Rousseau estime que la galanterie dévirilise les hommes. Dans une « Lettre à D'Alembert », il l'écrit à propos des héros de Jean Racine, le maître de la tragédie classique. « Ces héros, selon lui, si parés, si doucereux, si tendres, qui, sous un air de courage et de vertu, ne nous montrent que les modèles des jeunes gens (…) livrés à la galanterie, à la mollesse, à l'amour, à tout ce qui peut efféminer l'homme et l'attiédir sur le goût de ses véritables devoirs. Tout le théâtre français, conclut le philosophe des Lumières, ne respire que la tendresse ». Aujourd'hui considérée par beaucoup comme une attitude rétrograde, misogyne, sexiste, la galanterie à une histoire complexe, inattendue pour nos sensibilités du XXIe siècle, une histoire politique qui permet d'interroger les notions de consentement, de fluidité des genres, de vivre ensemble. La galanterie a-t-elle été un champ de bataille investit par les femmes pour repenser la civilité ? Invitée : Jennifer Tamas, agrégée de lettres modernes, enseigne la littérature française de l'Ancien Régime à la Rutgers University, dans le New Jersey, aux Etats-Unis. « Peut-on encore être galant », éd. Seuil, coll. Libelle. « Au non des femmes – Libérer nos classiques du regard masculin » » ; Seuil. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
durée : 00:07:47 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Alors que le ministre de la justice s'est prononcé en faveur de la modification du code pénal pour y inscrire la notion de consentement, que changerait concrètement une telle modification dans les procès pour viols ? Que nous apprennent les pays étrangers ayant procédé à cette modification ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Catherine Le Magueresse Juriste et ancienne présidente de l'Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail, chercheuse associée à l'ISJPS (Panthéon Sorbonne)
durée : 02:29:42 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère