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« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde, ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. En Chine, où les échecs chinois (xiangqi en mandarin), sont toujours largement pratiqués, avec environ 6,8 millions de joueurs réguliers. Bien que traditionnellement associé aux générations plus âgées, ce jeu reste présent chez les jeunes, avec des clubs dans les universités et les lycées. Mais comme beaucoup de jeux de société traditionnels, le xiangqi a du mal à maintenir sa popularité auprès des jeunes, en particulier avec l'essor des divertissements numériques. Ritan Park, en plein cœur de Pékin. Il est à peine 8 h 30, et déjà plusieurs curieux se pressent autour d'une table. Deux hommes jouent au xiangqi, l'échiquier chinois. Tang, l'un des joueurs, nous explique les règles : « Le char se déplace en ligne droite, le canon saute par-dessus, le cheval forme un L, l'éléphant traverse en diagonale, peu à peu, on apprend. » Mais le xiangqi n'est pas qu'un jeu. Pour Liu, observateur passionné, il raconte surtout des histoires : « Beaucoup de vieilles histoires se retrouvent dans le jeu. Chaque pièce représente un guerrier, un côté de l'armée. Il y a la rivière, la frontière. C'est l'art de la guerre, au départ. Tous les gens aiment ça pour son contexte culturel. Il y a tant d'histoires derrière, si on les connaît. » Dans la conversation mêlée, Ke nous dit que c'est un héritage, mais aussi un outil d'apprentissage : « Je pense que ça aide les enfants à comprendre la culture traditionnelle. Et ça peut aussi développer leur intelligence. C'est une manière d'entraîner l'esprit. » Le xiangqi « c'est dans l'ADN chinois » Mais aujourd'hui, ce sont surtout les aînés qui perpétuent la tradition. Les jeunes, eux, se tournent vers d'autres distractions, rebondit Liu : « C'est comme l'opéra de Pékin, les jeunes n'aiment pas ça. Le changement culturel est différent. La jeune génération n'a pas la patience. Ils regardent TikTok cinq secondes, et c'est fini. C'est une question de génération. C'est pareil chez vous ! L'époque progresse, et c'est très bien. Mais parfois, il faut regarder en arrière pour comprendre l'histoire, le contexte culturel. Savoir d'où l'on vient. » Et dans cette transmission, il y a aussi une part de fierté, nous dit Li, un vieil homme au sourire franc qui suit de près le mouvement des joueurs, en s'exclamant parfois : « untel aurait plutôt dû avancer son pion dans l'autre sens ! ». « C'est ainsi que les choses se passent. Ça fait partie de notre culture traditionnelle, non ? On devrait faire de notre mieux pour la promouvoir. Si ça se développait à l'international, ça renforcerait aussi le prestige national. » Pour Liu, le xiangqi incarne une philosophie de vie : « C'est la façon de penser, comme Confucius. C'est difficile à traduire, mais c'est dans l'ADN chinois. » Jeu de stratégie, miroir de la société, mémoire vivante. Malgré les défis de la modernité, le xiangqi reste un pilier de la vie culturelle. Des efforts sont là pour transmettre ce patrimoine aux plus jeunes et faire de ce jeu de stratégie une histoire toujours en mouvement.
E428 - Bilan NBA 2025 : Portland Trail Blazers ! Suite de notre série de l'été : les Bilans 2025 ! A travers notre format habituel: bilan en 10 points clés de chaque équipe NBA. Aujourd'hui : les Portland Trail Blazers ! La fin de saison de très bon niveau, la découverte de la défense, les progrès de Scoot Henderson, le potentiel de Shaedon Sharpe, la défense de Donovan Clingan, l'excellence de Deni Avdija et bien plus ! Pour cela c'est Baptiste du NBA Dreamcast Show qui se joint à nous ! Bienvenue dans le Basket Lab. Guillaume (@GuillaumeBLab) -- 0:00 Intro 5:18 Fin de saison et défense de haut niveau ! 13:44 Jeu des possessions...à moitié 24:10 Scoot Henderson : les progrès ! 37:51 L'élite de Deni Avdija ! 46:01 Donovan Clingan : quid du passing ? 1:02:32 Anfernee Simons, fin de cycle 1:12:05 Le potentiel de Shaedon Sharpe 1:26:43 Toumani Camara et la question du shoot 1:31:29 Rob Will et Matisse Thybulle abonnés absents 1:42:15 DeAndre Ayton...utile ? -- Flux LIVE "Le Basket Lab LIVE" pour les quotidiennes : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-live/ Flux secondaire "Le Basket Lab - Extraits" pour des formats : https://www.podcastics.com/podcast/le-basket-lab-extraits/ -- Youtube : https://www.youtube.com/@lebasketlab Twitch : https://www.twitch.tv/guillaume_lebasketlab Twitter : https://twitter.com/GuillaumeBLab Discord : https://discord.gg/CfWkhZx9xM
Cet été Silence on joue donne la parole à ses auditrices et ses auditeurs durant six épisodes spéciaux. Dans ce quatrième épisode, on commence par entrer à nouveau dans le manoir de Blue Prince en comptant ses pas. Jeu de l'année ou syndrome de Stockholm? On s'interroge sur le génie et les limites de cet immense puzzle aux multiples dimensions. Dans la deuxième partie, on part défendre à nouveau la liberté et la démocratie régulée dans Helldivers 2 qui est sur le point de débarquer sur les Xbox Series.Ginred Le Mag nous parle, pour ce quatrième épisode de Pale Abyss, Doggos in Dungeon et Labyrinth of the Demon King.Chapitres :0:00 Blue Prince1:12:28 Ginred Le Mag1:20:39 Helldivers 2Retrouvez toutes les chroniques de jérémie dans le podcast dédié Silence on Joue ! La chronique jeux de société (Lien RSS).Pour commenter cette émission, donner votre avis ou simplement discuter avec notre communauté, connectez-vous au serveur Discord de Silence on joue!Retrouvez Silence on Joue sur Twitch : https://www.twitch.tv/silenceonjoueSoutenez Silence on joue en vous abonnant à Libération avec notre offre spéciale à 6€ par mois : https://offre.liberation.fr/soj/Silence on joue ! C'est l'émission hebdo de jeux vidéo de Libération. Avec Erwan Cario et les auditeur·ices de SoJ : Petemul, Lune, Optizonion, Smy, PatatOS, Maddingue, Rassoul84, Cordyceps.CRÉDITSSilence on joue ! est un podcast de Libération animé par Erwan Cario. Cet épisode a été enregistré le 30 juin et le 2 juillet 2025 sur Discord. Réalisation : Erwan Cario. Générique : Marc Quatrociocchi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
How far down the realm of art can technology take us? In this introductory episode of the High-Tech Intermission, host Tarek Diouri--Adequin is joined by Ada Ackerman, researcher at the CNRS and co-curator of the World Through AI exhibition, taking place at the Jeu de Paume until September 21. The show explores the historical, social, ecological and cultural themes showcased throughout the exhibition, vibrant with new ideas based on - but also made by - the technologies of the present and the near-future. The artwork featured as this episode's illustration is Gregory Chatonsky's La Quatrième Mémoire.
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Tunisie où l'on joue à la chkobba. Ce jeu de cartes, originaire de la migration sicilienne dans le pays au XIXe siècle, est le jeu favori des cafés tunisiens qui vendent d'ailleurs le jeu de cartes sur le menu, à côté du thé et du café. Jeu stratégique et populaire par excellence, la chkobba est aussi symbolique du patrimoine tuniso-italien dans le pays. De notre envoyée spéciale à Nabeul, Sur la route de Nabeul dans le Cap-Bon, en pleine chaleur, alors que beaucoup font encore la sieste, Zouhair, retraité, fait une partie de chkobba avec ses amis au café. « On joue toujours ensemble, celui qui perd paye la consommation des autres. Ou alors, chacun paye sa part, cela dépend. Le plus important, c'est qu'on s'amuse et que le meilleur gagne », raconte-t-il. Chaque jour, c'est le même rendez-vous : un café, une craie et une ardoise pour noter le score et les exclamations des joueurs qui s'entendent jusque dans la rue. Ce jeu se joue à deux ou quatre, le gagnant est celui qui récupère le plus de cartes à la fin de la manche. Mais sur le jeu de 40 cartes, chacune à sa valeur et chaque prise rapporte des points différents, comme l'explique Mohamed, le gérant du café : « Une carte en fonction de sa valeur permet de prendre ou de manger, comme on dit chez nous, les cartes qui sont sur le plateau, et d'effectuer ainsi une prise. Et à la fin de la manche, on compte les points. Le point dit "dinari" récompense celui qui a le plus de carreaux dans son jeu par exemple. » Il y a « chkobba » lorsqu'un joueur arrive à manger toutes les cartes sur le plateau en un seul coup. Le jeu se déroule très rapidement et requiert de la stratégie, mais aussi une gestuelle faciale pour communiquer entre partenaires sur le jeu de chacun. « Normalement, on a le droit de communiquer avec son partenaire juste lorsqu'on a le sept de carreau, la carte la plus importante. En tapant du poing sur la table, les autres grimaces sont interdites. Si on se fait prendre, on peut perdre des points, donc moi, je ne prends pas le risque », précise Zouhair. « Bien sûr qu'il existe une grimace sûre ou un geste subtil pour chaque type de carte. Mais les bons joueurs sont surtout ceux qui arrivent à suivre les cartes qui ont été mangées au fur et à mesure du jeu et à anticiper celles qui restent pour mieux faire leur prise ou empêcher un joueur de faire une chkobba. Ça, ce sont les vrais pros, ceux qui, à la fin de la partie, sont capables de te dire quelles cartes il reste dans la dernière manche », assure Mohamed, selon qui les plus habiles connaissent au moins une douzaine de mimiques en fonction des cartes. Convivial et stratégique, la chkobba est très populaire depuis deux siècles, souligne Alfonso Campisi, professeur universitaire sicilien et tunisien. Installé dans le pays depuis une trentaine d'années, il s'est intéressé à l'histoire du jeu. « Il naît en Espagne, importé par la domination arabe en Espagne. On pense aussi à travers les Mamelouks d'Égypte. Après, depuis l'Espagne, il s'est propagé un peu dans toute la Méditerranée et notamment les ports de la Méditerranée », détaille-t-il. Le jeu se joue quasi à l'identique en Tunisie et en Sicile, même pour les mimiques supposées interdites. « Rien ne change. Cela veut dire que si un Sicilien, qui ne parle même pas arabe ou français, vient jouer dans un café tunisien, il est dans son bain. C'est ça qui est beau et qui lie encore plus ces deux régions de la Méditerranée », explique l'universitaire. Jeu populaire et culturel, la chkobba rassemble de nombreux adeptes en Tunisie, même si les plus jeunes lui préfèrent le rami, une variante du poker à la tunisienne. À lire aussiLes délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]
Olli erzählt heute von einer sehr alten Sportart, die mit Jeu de Paume bei den Mönchen begann und sich in verschiedene Richtungen entwickelte, bis zu einem der beliebtesten Sportarten unserer Zeit.Fotos zur Folge findet ihr auf Insta: http://instagram.com/higolipodcastUns gibt es jetzt auch auf Youtube-Music: https://www.youtube.com/@higolipodcastAlle weiteren Links hier: https://linktr.ee/hintergoogle#jeudepaume #tennis #sport #sportgeschichte #geschichte #science #wimbledon #daviscup #rolandgaros
« Dis-moi à quel jeu tu joues, je te dirai qui tu es ». C'est une série spéciale de RFI à la découverte des jeux populaires à travers le monde. Ces jeux qui, à travers les joueurs, parlent de la culture et de l'identité de chaque pays. Aujourd'hui, direction la Tunisie où l'on joue à la chkobba. Ce jeu de cartes, originaire de la migration sicilienne dans le pays au XIXe siècle, est le jeu favori des cafés tunisiens qui vendent d'ailleurs le jeu de cartes sur le menu, à côté du thé et du café. Jeu stratégique et populaire par excellence, la chkobba est aussi symbolique du patrimoine tuniso-italien dans le pays. De notre envoyée spéciale à Nabeul, Sur la route de Nabeul dans le Cap-Bon, en pleine chaleur, alors que beaucoup font encore la sieste, Zouhair, retraité, fait une partie de chkobba avec ses amis au café. « On joue toujours ensemble, celui qui perd paye la consommation des autres. Ou alors, chacun paye sa part, cela dépend. Le plus important, c'est qu'on s'amuse et que le meilleur gagne », raconte-t-il. Chaque jour, c'est le même rendez-vous : un café, une craie et une ardoise pour noter le score et les exclamations des joueurs qui s'entendent jusque dans la rue. Ce jeu se joue à deux ou quatre, le gagnant est celui qui récupère le plus de cartes à la fin de la manche. Mais sur le jeu de 40 cartes, chacune à sa valeur et chaque prise rapporte des points différents, comme l'explique Mohamed, le gérant du café : « Une carte en fonction de sa valeur permet de prendre ou de manger, comme on dit chez nous, les cartes qui sont sur le plateau, et d'effectuer ainsi une prise. Et à la fin de la manche, on compte les points. Le point dit "dinari" récompense celui qui a le plus de carreaux dans son jeu par exemple. » Il y a « chkobba » lorsqu'un joueur arrive à manger toutes les cartes sur le plateau en un seul coup. Le jeu se déroule très rapidement et requiert de la stratégie, mais aussi une gestuelle faciale pour communiquer entre partenaires sur le jeu de chacun. « Normalement, on a le droit de communiquer avec son partenaire juste lorsqu'on a le sept de carreau, la carte la plus importante. En tapant du poing sur la table, les autres grimaces sont interdites. Si on se fait prendre, on peut perdre des points, donc moi, je ne prends pas le risque », précise Zouhair. « Bien sûr qu'il existe une grimace sûre ou un geste subtil pour chaque type de carte. Mais les bons joueurs sont surtout ceux qui arrivent à suivre les cartes qui ont été mangées au fur et à mesure du jeu et à anticiper celles qui restent pour mieux faire leur prise ou empêcher un joueur de faire une chkobba. Ça, ce sont les vrais pros, ceux qui, à la fin de la partie, sont capables de te dire quelles cartes il reste dans la dernière manche », assure Mohamed, selon qui les plus habiles connaissent au moins une douzaine de mimiques en fonction des cartes. Convivial et stratégique, la chkobba est très populaire depuis deux siècles, souligne Alfonso Campisi, professeur universitaire sicilien et tunisien. Installé dans le pays depuis une trentaine d'années, il s'est intéressé à l'histoire du jeu. « Il naît en Espagne, importé par la domination arabe en Espagne. On pense aussi à travers les Mamelouks d'Égypte. Après, depuis l'Espagne, il s'est propagé un peu dans toute la Méditerranée et notamment les ports de la Méditerranée », détaille-t-il. Le jeu se joue quasi à l'identique en Tunisie et en Sicile, même pour les mimiques supposées interdites. « Rien ne change. Cela veut dire que si un Sicilien, qui ne parle même pas arabe ou français, vient jouer dans un café tunisien, il est dans son bain. C'est ça qui est beau et qui lie encore plus ces deux régions de la Méditerranée », explique l'universitaire. Jeu populaire et culturel, la chkobba rassemble de nombreux adeptes en Tunisie, même si les plus jeunes lui préfèrent le rami, une variante du poker à la tunisienne. À lire aussiLes délices du continent: en Tunisie, le mleoui est une institution de la street food [4/10]
Mon Carnet, le podcast de Bruno Guglielminetti Le grand magazine francophone de l'actualité numérique Vendredi 1er août 2025 Débrief transatlantique avec Jérôme Colombain (3:32) Entrevues : Pour une IA plus sûre : Philippe Beaudoin de LoiZero (27:46) Marché des agents IA d'AWS : Retour d'experience de Coveo (45:52) IA souveraine : Bell s'allie à Cohere (1:00:36) Jeu vidéo avec Carl-Edwin Michel : Martin Brouard (Studio Imugi) présente Bonaparte (1:12:02) Billets : Weber : La déception de Proton (1:19:55) Ricoul : Technologies portables (1:25:27) Entrevue : Poulin : Une nouvelle formation UX à l'ÉTS (1:34:27) Musique : Bruno Guglielminetti Collaborateurs : Jérôme Colombain, Carl-Edwin Michel, Thierry Weber, Stéphane Ricoul, Jean-François Poulin www.MonCarnet.com Une production de Guglielminetti.com Août 2025
2D6 plus Cool | Actual Play / Live play de JDR / Jeu de rôle
https://youtube.com/live/N418A1RQxwY Voici la version podcast de notre 2d6+live D'itras By.Jeu norvégien concu par Ole Peder Giæver et Martin Bull GudmunsenPublié en france chez 2d Sans Faces Joueurs: Lachesis, Guylene, Come, Taliesin. Jingle “Chrono Trigger (Main Theme)” par With Ether
Durant les trois prochains weekends, les jeudis, vendredis et samedis soir, l'Écomusée d'Alsace de Ungersheim sera en fête. Une kermesse d'antan, confrontant jeunes et moins jeunes générations autour de jeux d'une autre époque, dans lesquels les moins jeunes ont clairement un avantage. Le tout ponctué de spectacle, restauration, récits de bénévoles et buvette. Un moment festif à vivre en famille ou entre amis, dans une ambiance chaleureuse.Déborah Schmitt, chargée de communication à l'Écomusée d'Alsace en dit plus.Infos pratiques :Les 31 juillet, 01, 02, 07, 08, 09, 14, 15 et 16 août 2025, de 18h00 à 23h00Ungersheim, Écomusée d'Alsacehttps://www.ecomusee.alsace/la-fete-au-village/Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
00:00 Notre avis sur le film49:40 Jeu : Qui de nous 4 Fantastiques58:00 Recommandations de comics 4 Fantastiques1:05:00 Analyse et Théories sur les 4 Fantastiques et Doomsday1:35:10 Jeu : 4 étoiles ... ou presque1:52:00 Fin
durée : 00:05:33 - Musique matin - par : Max Dozolme - Découvrez ce quizz musical qui nous rappelle à quel point la musique de Debussy peut faire penser à du jazz... et réciproquement ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cinq ans après un premier opus qui a divisé autant qu'il a fasciné, Death Stranding 2: On the Beach débarque sur PlayStation 5, et forcément… on avait envie de reprendre la route avec Sam Porter Bridges.Dans ce test complet, on revient sur les vraies nouveautés de gameplay, les nouveaux environnements, les moments forts du récit, les influences ciné… et bien sûr, toutes les petites anecdotes qui font le sel d'un jeu signé Kojima.Un jeu qui, dans une industrie parfois en pilotage automatique,apporte une vraie bouffée d'air frais ....aussi étrange qu'audacieuse.Est-ce que cette suite est plus accessible ? Est-ce qu'elle vaut le détour si on n'a pas aimé le premier ?Et surtout… est-ce que Death Stranding 2 mérite qu'on parle déjà de chef-d'œuvre ?Réponse dans cet épisode en 20 minutes, bonne écoute à tous ! Crédits Musique : Woodkid DS2 OST- Minus Sixty OneWoodkid DS2 OST - Story of RainyMetal Gear Solid 2 Sons of Liberty Main TitlesHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:17:27 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1952 dans "Le micro sous les planches", Michel Polac proposait d'assister aux répétitions de "L'Avare" par la troupe du TNP à Chaillot sous la direction de Jean Vilar. Deux émissions diffusées les 9 et 16 novembre 1952 sur France IV Haute-Fidélité. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean Vilar Comédien, auteur et metteur en scène français
Vous pensiez que le FPS tactique était mort avec les vieux Rainbow Six ou SWAT ?Prêt ou pas, Void Interactive vient de vous prouver le contraire.Après un long Early Access sur PC, Ready or Not débarque enfin sur PlayStation 5.Un FPS lent, exigeant, ultra-stratégique… bref, tout ce que les shooters modernes ont oublié d'être.Dans ce test, on revient sur ce que propose ce jeu de SWAT hors-norme !Avec ses missions sombres, son réalisme, et ce qu'il vaut vraiment sur console — entre tension, adrénaline et quelques petites frustrations.Bonne écoute !
durée : 00:04:47 - Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques. Première diffusion le 18 octobre 2024 Jean Jouberton pianote sur son clavier avant de pointer l'ordinateur : "Voilà. J'ai référencé 326 œuvres de 193 artistes, conservées dans 132 musées. Elles ont été cataloguées dans 34 jeux". À l'écran, le nom s'affiche en grand : Every Game A Museum. Sur ce site, le chercheur indépendant a commencé à cataloguer toutes les représentations d'œuvres d'art, bien réelles, qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations vidéoludiques. "Potentiellement, dans chaque jeu, on peut trouver des œuvres et donc chaque jeu est un musée virtuel", détaille-t-il. "Every Game Museum, c'est un projet de catalogage des œuvres d'art citées dans les jeux vidéo ; je veux dire par là peintures et sculptures essentiellement, mais aussi, mine de rien, dessins, gravures, et même des cartes..." Jean Jouberton prend donc des captures d'écran de chaque jeu qu'il parcourt : "Ça prend beaucoup de temps. Faire un jeu, c'est long, et parfois, je me force un peu quand ce sont des jeux qui ne sont pas le genre de jeux que j'affectionne... mais bon, c'est pour la science !", sourit-il. Un projet né à l'École du Louvre D'abord un compte Twitter, Every Game A Museum a fait sa mue, début septembre, pour devenir un site internet, grâce à l'aide d'un ami développeur de Jean Jouberton. Mais le projet est bien antérieur à ça. Il est né de sa passion de pour les jeux vidéo, présente depuis l'enfance, et de son intérêt pour l'histoire de l'art. "Mon histoire avec le jeu vidéo commence relativement jeune, de manière tout à fait classique : c'est mon père qui m'a initié aux jeux vidéo", se remémore-t-il. "J'ai découvert les jeux en le regardant jouer et moi, après, j'ai un peu pris mon indépendance... J'ai passé beaucoup de temps dans mon adolescence au cybercafé". En débutant son cursus d'histoire de l'art, sur les bancs de l'Ecole du Louvre, l'étudiant ignore encore qu'il va y trouver un lien avec les jeux vidéo : "La généalogie du projet, je dirais que ça remonte au moment où j'étais en cursus d'histoire de l'art durant mes études, et que je jouais à Tomb Raider Anniversary. Et dedans, j'ai découvert des citations d'œuvres... J'ai notamment été frappé de trouver une stèle égyptienne, la stèle de Séthi Ier, qui est conservée au musée du Louvre et que je connaissais pour l'avoir étudiée en cours et pour l'avoir vue au musée. Ça a vraiment été l'élément déclencheur, de me dire "tiens, il peut y avoir des œuvres d'art dans des jeux"." Avant même de lancer Every Game A Museum, Jean Jouberton a d'ailleurs été vidéaste, et a créé la chaîne Youtube, "Homo Ludens", dont le nom est une référence à l'ouvrage Homo ludens : Essai sur la fonction sociale du jeu, de l'historien Johan Huizinga. Sa première vidéo, parue en 2018, est ainsi intitulée "Peinture et jeux vidéo". La symbolique des œuvres d'art Il faut dire que, des Danseuses Ukrainiennes d'Edgar Degas dans le jeu Splinter Cell à Les Forces du Mal de Gustav Klimt dans The Last Express, les représentations de peintures ne manquent pas dans ces univers virtuels. Pour Jean Jouberton, le déclic s'est cependant fait lors d'une partie du jeu vidéo The Walking Dead : "c'est là que je me suis vraiment dit que la peinture peut avoir une signification, une portée à l'intérieur d'un univers de jeu dans un récit vidéoludique". Ce jeu narratif en plusieurs épisodes place le joueur dans un monde apocalyptique en pleine invasion zombie : "un petit groupe de survivants dont notre héros fait partie est hébergé par une famille qui ont l'air très accueillants au premier abord... et qui en fait se révèlent être cannibales", décrit Jean Jouberton. "Dans la pièce adjacente on découvre un de nos compagnons, qui s'est fait couper les jambe
durée : 00:04:52 - Le Reportage de la rédaction - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques.
durée : 00:04:47 - Jean Jouberton : chaque jeu vidéo est un musée - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques. Première diffusion le 18 octobre 2024 Jean Jouberton pianote sur son clavier avant de pointer l'ordinateur : "Voilà. J'ai référencé 326 œuvres de 193 artistes, conservées dans 132 musées. Elles ont été cataloguées dans 34 jeux". À l'écran, le nom s'affiche en grand : Every Game A Museum. Sur ce site, le chercheur indépendant a commencé à cataloguer toutes les représentations d'œuvres d'art, bien réelles, qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations vidéoludiques. "Potentiellement, dans chaque jeu, on peut trouver des œuvres et donc chaque jeu est un musée virtuel", détaille-t-il. "Every Game Museum, c'est un projet de catalogage des œuvres d'art citées dans les jeux vidéo ; je veux dire par là peintures et sculptures essentiellement, mais aussi, mine de rien, dessins, gravures, et même des cartes..." Jean Jouberton prend donc des captures d'écran de chaque jeu qu'il parcourt : "Ça prend beaucoup de temps. Faire un jeu, c'est long, et parfois, je me force un peu quand ce sont des jeux qui ne sont pas le genre de jeux que j'affectionne... mais bon, c'est pour la science !", sourit-il. Un projet né à l'École du Louvre D'abord un compte Twitter, Every Game A Museum a fait sa mue, début septembre, pour devenir un site internet, grâce à l'aide d'un ami développeur de Jean Jouberton. Mais le projet est bien antérieur à ça. Il est né de sa passion de pour les jeux vidéo, présente depuis l'enfance, et de son intérêt pour l'histoire de l'art. "Mon histoire avec le jeu vidéo commence relativement jeune, de manière tout à fait classique : c'est mon père qui m'a initié aux jeux vidéo", se remémore-t-il. "J'ai découvert les jeux en le regardant jouer et moi, après, j'ai un peu pris mon indépendance... J'ai passé beaucoup de temps dans mon adolescence au cybercafé". En débutant son cursus d'histoire de l'art, sur les bancs de l'Ecole du Louvre, l'étudiant ignore encore qu'il va y trouver un lien avec les jeux vidéo : "La généalogie du projet, je dirais que ça remonte au moment où j'étais en cursus d'histoire de l'art durant mes études, et que je jouais à Tomb Raider Anniversary. Et dedans, j'ai découvert des citations d'œuvres... J'ai notamment été frappé de trouver une stèle égyptienne, la stèle de Séthi Ier, qui est conservée au musée du Louvre et que je connaissais pour l'avoir étudiée en cours et pour l'avoir vue au musée. Ça a vraiment été l'élément déclencheur, de me dire "tiens, il peut y avoir des œuvres d'art dans des jeux"." Avant même de lancer Every Game A Museum, Jean Jouberton a d'ailleurs été vidéaste, et a créé la chaîne Youtube, "Homo Ludens", dont le nom est une référence à l'ouvrage Homo ludens : Essai sur la fonction sociale du jeu, de l'historien Johan Huizinga. Sa première vidéo, parue en 2018, est ainsi intitulée "Peinture et jeux vidéo". La symbolique des œuvres d'art Il faut dire que, des Danseuses Ukrainiennes d'Edgar Degas dans le jeu Splinter Cell à Les Forces du Mal de Gustav Klimt dans The Last Express, les représentations de peintures ne manquent pas dans ces univers virtuels. Pour Jean Jouberton, le déclic s'est cependant fait lors d'une partie du jeu vidéo The Walking Dead : "c'est là que je me suis vraiment dit que la peinture peut avoir une signification, une portée à l'intérieur d'un univers de jeu dans un récit vidéoludique". Ce jeu narratif en plusieurs épisodes place le joueur dans un monde apocalyptique en pleine invasion zombie : "un petit groupe de survivants dont notre héros fait partie est hébergé par une famille qui ont l'air très accueillants au premier abord... et qui en fait se révèlent être cannibales", décrit Jean Jouberton. "Dans la pièce adjacente on découvre un de nos compagnons, qui s'est fait couper les jambe
durée : 00:04:52 - Le Reportage de la rédaction - Jean Jouberton, 36 ans, a lancé un site consacré aux représentations d'œuvres d'art dans les jeux vidéo. Intitulé "Every Game A Museum", il catalogue les peintures et sculptures qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations dans des univers vidéoludiques.
durée : 01:19:54 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - De Pierre de Marivaux - Interprétation Jean Piat, Pierre Gallon, Georges Vitray, Paul Guers, M. Drancourt, Gisèle Casadesus et Hélène Perdière - Mise en scène Jean Piat - réalisation : Virginie Mourthé
Épisode critique en public – Festival d'Avignon 2025 Qu'est-ce que la critique peut encore ? Peut-elle créer, interroger, résister ? Peut-elle – par sa parole même – devenir espace ? C'est avec ces questions en tête que nous avons réuni trois voix critiques à l'occasion de ce nouvel épisode du Beau Bizarre, enregistré en public depuis la calade de la Maison Jean Vilar, au cœur du Festival d'Avignon. Une table ronde généreuse, pensée comme un espace de résonance, d'écoute et de friction. À mes côtés : – Belinda Mathieu, critique spécialisée en danse contemporaine (Télérama, Mouvement, Sceneweb) – Samuel Gleyze-Esteban, journaliste pour L'Humanité – Caroline Châtelet, plume engagée pour Frictions, Jeu, Théâtre(s) et Sceneweb Trois regards, trois sensibilités, un même désir d'arpenter ce territoire mouvant qu'est l'expérience scénique. Nous ouvrons la discussion avec des archives critiques d'Oscar Wilde et de Marcel Pagnol, pour poser les termes du débat : la critique est-elle une forme de création ? Peut-elle elle-même être soumise à l'épreuve du regard ? Puis, nous entrons dans le vif du festival avec trois propositions chorégraphiques puissantes, contrastées, profondément politiques : NÔT de Marlène Monteiro Freitas – une ouverture vertigineuse dans la Cour d'honneur, où le corps devient flux, rituel et excès. When I saw the Sea d'Ali Chahrour – un chœur de femmes rescapées du système Kafala, pour une scène habitée par le témoignage, la douleur et la dignité. Turn On de Soraya Leila Emery – un manifeste chorégraphique sur le plaisir féminin comme force ambiguë, sensuelle et décoloniale. À travers ces œuvres, nous interrogeons : – Ce que le rituel fait à la dramaturgie – Comment le politique peut traverser le sensible – Et comment la critique, en miroir, peut devenir expérience partagée Un épisode comme un essai polyphonique : à la fois lecture, analyse et trace. En public, Maison Jean Vilar, juillet 2025. Avec le soutien technique de L'Écho des Planches Suivez nous sur les réseaux, abonnez vous sur les plateformes d'écoute ! Facebook Linkedin Instagram
durée : 00:41:18 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - Plongée dans les souvenirs et les histoires familiales pour réfléchir aux liens entre théâtre et société, intime et collectif, avec "La lettre" de Milo Rau, qui présente également "Le Procès Pelicot : hommage à Gisèle Pelicot", et "Affaires Familiales" de Emilie Rousset. - réalisation : Laurence Malonda, Thomas Beau, Louise André - invités : Milo Rau Dramaturge et metteur en scène suisse; Emilie Rousset Metteure en scène
Pop Arthur, c'est le podcast créé pour assurer les bases indispensables de pop culture pour Arthur et vos enfants. Et leur prouver qu'il y a un monde après Les mômes de l'apocalypse !
L'été signifie-t-il pour vous plutôt une bonne série, une pile de livres à lire ou, tout simplement, un album inédit en boucle dans vos oreilles ? Quelles que soient vos habitudes estivales, l'équipe de « L'Heure du Monde » a pensé à vous.Pour ce dernier épisode de la saison du podcast quotidien d'actualité du Monde, plusieurs journalistes de la rédaction se sont prêtés au jeu d'une recommandation : Antoine Albertini pour le polar, Raphaëlle Leyris pour le roman, Emilie Grangeray pour les podcasts, Florian Reynaud pour le jeu vidéo, Frédéric Potet pour la bande dessinée, Stéphanie Binet et Franck Colombani pour la musique.Un épisode présenté par Claire Leys et produit avec Cyrielle Bedu, Marion Bothorel, Garance Muñoz, Adèle Ponticelli, Adélaïde Tenaglia et Jean-Guillaume Santi. Réalisation et musique : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extrait du film Pierrot le Fou de Jean-Luc Godard (1965).Les recommandations :Jeu vidéo : Clair Obscur : Expedition 33, Sandfall Interactive (avril 2025). Disponible sur PC, PlayStation 5 et Xbox SeriesBande dessinée : Sangliers, Lisa Blumen, éditions L'employé du moi, 208 p., 25 euros (mai 2025)Podcast :« Chefs-d'œuvre en vies », une série de podcasts de France Culture et du Musée du Louvre, produite par Jean de Loisy, réalisée par Céline Ters et mixée par Eric Boisset et Antoine Viossat (Fr., 2025, 10 × 29 min). A retrouver sur les sites de Radio France et sur toutes les plateformes d'écoute habituelles.« Les Malheurs de Sophie », une comédie musicale de Sabine Zovighian et Michael Liot, réalisée par Sabine Zovighian et mixée par Manuel Couturier et Titouan Oheix, d'après la comtesse de Ségur (Fr., 2025, 5 × 23 min). A retrouver sur France Culture et toutes les plateformes d'écoute habituelles.Livre :La Faille, Blandine Rinkel, éditions Stock, 238 p., 20 euros (janvier 2025)Un sang d'encre, Vincent Ejarque, Nouveau Monde éditions, 416 p., 10,50 euros (avril 2025)Musique :Lotus, de Little Simz (AWAL/PIAS)I Quit, de Haim (Polydor/Universal)Cet épisode a été publié le 4 juillet 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Welkom bij De Kleinste Podcastlas over Frankrijk!
Dans l'actu des nouvelles technologies et de l'accessibilité cette semaine : Du côté des applications et du web Une mise à jour corrective de NVDA, la version 2025.1.2 est disponible. Les nouveautés dans la version 3 du lecteur d'écran Prudence Screen Reader pour Android. Amazon améliore l'accessibilité des liseuses Kindle récentes avec de nouveaux ajustements d'espacement du texte. mpots.gouv.fr : un code obligatoire pour se connecter. L'accessibilité a encore été ignorée. Le reste de l'actu Le Français Wheere développe sa techno de géolocalisation qui traverse les murs et pourrait remplacer le GPS. Foire Aux Questions Cette semaine, une question de Pascal sur la création de vidéo à partir d'un fichier audio et d'une image fixe à fin de publication sur Youtube. Cette semaine sur Oxytude Ultra-son a proposé le podcast Jeu grand public accessible : Pokémon. Remerciements Cette semaine, nous remercions David, Nicolas L.B. et Murielle pour leurs infos ou leur dons. Si vous souhaitez vous aussi nous envoyer de l'info ou nous soutenir : Pour nous contactez ou nous envoyez des infos, passez par le formulaire de contact sur la page oxytude.org/contact. Pour nous soutenir (dons, liens affiliés ou liste de produits) rendez-vous sur la page oxytude.org/soutenir. Pour vos achats sur Amazon, passez par notre lien affilié. Pour animer cet épisode Jacques, Philippe et Yannick.
durée : 01:27:49 - Relax ! du mercredi 25 juin 2025 - par : Lionel Esparza - Un personnage réel ou fictif à découvrir à travers des indices déposés comme des petits cailloux blancs au fil de l'émission, musiques ou mots-clés égrenés discrètement au fil de la première heure et qu'il vous faut débusquer. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Stéphane Bern nous entraîne, en ce jour anniversaire du Serment qui l'a fait entrer à tout jamais dans l'Histoire le 20 juin 1789, dans la salle du Jeu de Paume de Versailles, une salle de sport, comme son nom l'indique, pour les rois, les princes et les nobles, devenue un haut lieu de l'histoire révolutionnaire… Pourquoi les députés du Tiers-État ont-ils investi cette salle, le 20 juin 1789 ? Comment est-elle devenue un lieu de mémoire de la Révolution ? Le serment du jeu de Paume est-il l'événement fondateur de la Révolution ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Emmanuel de Waresquiel, historien et auteur de ""Il nous fallait des mythes ! La Révolution et ses imaginaires de 1789 à nos jours"" (Tallandier) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern nous entraîne, en ce jour anniversaire du Serment qui l'a fait entrer à tout jamais dans l'Histoire le 20 juin 1789, dans la salle du Jeu de Paume de Versailles, une salle de sport, comme son nom l'indique, pour les rois, les princes et les nobles, devenue un haut lieu de l'histoire révolutionnaire… Pourquoi les députés du Tiers-État ont-ils investi cette salle, le 20 juin 1789 ? Comment est-elle devenue un lieu de mémoire de la Révolution ? Le serment du jeu de Paume est-il l'événement fondateur de la Révolution ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Emmanuel de Waresquiel, historien et auteur de ""Il nous fallait des mythes ! La Révolution et ses imaginaires de 1789 à nos jours"" (Tallandier) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:28:09 - Relax ! du mercredi 18 juin 2025 - par : Lionel Esparza - Un personnage réel ou fictif à découvrir à travers des indices déposés comme des petits cailloux blancs au fil de l'émission, musiques ou mots-clés égrenés discrètement au fil de la première heure et qu'il vous faut débusquer. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Est-ce qu'il y a vraiment autre chose qui peut se rajouter sur le dos de nos héros! Est-ce la fin de leurs aventures? Pourront-ils sortir du Casino? Est-ce que Benoit va avoir pitié de nous? Il faut écouter l'épisode pour le découvrir.Allons donc rejoindre nos héros soit : Nuando ‘Cam, le Jedi (Antoine Biron)Feburuum, le Diplômate (Jonathan Papin) Khan, le Mandalorien (Martin Durette) Gem-1, le Droïd (Ian Richards)Et bien sûr Benoit Gagnon comme Maître de Jeu.Bonne partie!
durée : 01:29:15 - Relax ! du mercredi 11 juin 2025 - par : Lionel Esparza - Un personnage réel ou fictif à découvrir à travers des indices déposés comme des petits cailloux blancs au fil de l'émission, musiques ou mots-clés égrenés discrètement au fil de la première heure et qu'il vous faut débusquer.
Je comprends maintenant pourquoi je ne suis pas un gambler! Clairement les dés sont pipés et définitivement pas en notre faveur. Est-ce ici que ce termine notre aventure? Allons donc rejoindre nos héros soit : Nuando ‘Cam, le Jedi (Antoine Biron)Feburuum, le Diplômate (Jonathan Papin) Khan, le Mandalorien (Martin Durette) Gem-1, le Droïd (Ian Richards)Et bien sûr Benoit Gagnon comme Maître de Jeu.Bonne partie!
durée : 00:58:50 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1875, les lois constitutionnelles instituent la Troisième République, jusqu'alors régime provisoire. Le château de Versailles met aujourd'hui en lumière son héritage républicain : de la salle du Jeu de Paume à la salle des Congrès, traversée de ces lieux de la mémoire nationale et républicaine. - réalisation : Thomas Beau, Sam Baquiast - invités : Jacqueline Lalouette Professeure émérite d'histoire contemporaine à l'Université de Lille; Christophe Leribault Président du château de Versailles; Fabien Oppermann Historien et haut fonctionnaire
Leçon de vie pour nos aventuriers, La Maison gagne toujours! Comment perdre l'argent d'un Hutt, je suis sûr qu'il n'y aura pas de répercussion court ou long terme! Un semblant de plan prend forme et est-ce que la chance pourra finalement tournée du coté de nos héros !Allons donc rejoindre nos héros soit : Nuando ‘Cam, le Jedi (Antoine Biron)Feburuum, le Diplômate (Jonathan Papin) Khan, le Mandalorien (Martin Durette) Gem-1, le Droïd (Ian Richards)Et bien sûr Benoit Gagnon comme Maître de Jeu.Bonne partie!
durée : 01:28:04 - Relax ! du mercredi 04 juin 2025 - par : Lionel Esparza - Un personnage réel ou fictif à découvrir à travers des indices déposés comme des petits cailloux blancs au fil de l'émission, musiques ou mots-clés égrenés discrètement au fil de la première heure et qu'il vous faut débusquer.
durée : 00:17:14 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de "Hécube, pas Hécube" de Tiago Rodrigues à la Comédie-Française, une pièce où le mythe grec d'Hécube s'entremêle avec la tragédie actuelle d'une actrice répétant le rôle de l'héroïne de la pièce d'Euripide. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Anna Sigalevitch Journaliste et auteure; Philippe Chevilley Chef du service culture des Echos
durée : 00:03:27 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Un reportage d'Arte.tv explore comment les jeux vidéo peuvent devenir des espaces de radicalisation. Des mini-jeux reproduisent des tueries de masse et les lacunes apparentes en matière de modération créent un environnement propice à l'influence de personnes vulnérables. Glaçant.
Mon Carnet, le podcast de Bruno Guglielminetti Vendredi 30 mai 2025 Débrief avec Jérôme Colombain : (2:20) Entrevues : L'IA pour produire de la télé avec Marie-Claude Robichaud (20:15) L'outil de financement Zeffy avec Michel Ferry (29:59) Portrait TI 2025 avec Martin Pelletier de NOVIPRO (41:43) Jeu vidéo avec Carl-Edwin Michel (55:31) Invités : Yves Bordeleau & Jonathan Jacques-Belletête Billets : Berthomet : Découvrabilité des balados du Québec (1:04:22) Ricoul : Modèles d'affaires pour l'IA (1:10:54) Entrevue : Poulin : La recherche UX avec Juliana Alvarez (1:19:22) Collaborateurs : Jérôme Colombain, Carl-Edwin Michel, Stéphane Berthomet, Stéphane Ricoul et Jean-François Poulin www.MonCarnet.com Une production de Guglielminetti.com Mai 2025
durée : 01:28:23 - Relax ! du mercredi 28 mai 2025 - par : Lionel Esparza - Un personnage réel ou fictif à découvrir à travers des indices déposés comme des petits cailloux blancs au fil de l'émission, musiques ou mots-clés égrenés discrètement au fil de la première heure et qu'il vous faut débusquer.
Au programme de l'émission de ce matin, Bruno nous fait découvrir des pubs inédites et Karina est mauvaise joueuse au Jeu des 30 secondes ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:21 - Un monde connecté - par : François Saltiel - "Le monde selon l'IA" est une exposition éducative au Jeu de Paume à Paris. Elle met en lumière, d'une part, les artistes qui utilisent l'IA comme un outil créatif, repoussant les limites artistiques et d'autre part, explore les questions éthiques, les limites et les dérives de cette technologie.
Découvrez ma formation en ligne sur les fondamentaux de l'accueil !1️⃣ Présentation de l'invité :Aujourd'hui, nous plongeons dans les méandres fascinants du cerveau humain et découvrons comment la compréhension des neurosciences peut transformer notre manière de manager, de décider et même d'accueillir nos clients.Guillaume Attias est un spécialiste de ces questions : fondateur de la BMO Academy et expert reconnu des sciences cognitives, il est passé maître dans l'art de vulgariser les mystères du cerveau pour en faire des outils concrets au service des entreprises.Ensemble, nous allons explorer les secrets qui influencent nos décisions inconscientes, découvrir comment optimiser notre leadership grâce à la science et surtout apprendre à mieux utiliser nos capacités mentales au quotidien.Guillaume, autodidacte passionné dès l'âge de 16 ans, s'incruste dans les cours universitaires de sciences cognitives et de médecine pour connecter ces deux domaines et créer un modèle puissant de compréhension du comportement humain.Les applications concrètes pour l'hôtellerie et la restauration sont nombreuses :En management : Apprenez l'importance cruciale que l'individu se sente considéré.En relation client et vente : La vente commence bien avant l'argumentaire commercial.La notion d'ego : Découvrez le concept d'"égociateur".Des outils pratiques : Pratiquez cette matière vivante avec le "Jeu de la Sérotonine" !Alors, soyez curieux d'aller à la rencontre de vous-même. Une curiosité qui vous permettra ensuite d'aller véritablement à la rencontre des autres.2️⃣ Notes et références :▶️ Toutes les notes et références de l'épisode sont à retrouver ici.3️⃣ Le partenaire de l'épisode :FERRANDI Paris, Campus de BordeauxPrendre contact avec l'équipe dédiée au partenariat avec les entreprisesDites que vous venez d'Hospitality Insiders !4️⃣ Chapitrage : 00:00:00 - Introduction00:02:00 - Parcours de Guillaume Attias 00:05:00 - Définition des Neurosciences00:15:00 - Connexion entre Neurosciences et Hospitalité00:22:00 - Applications pratiques en Management et Vente00:28:00 - Le Jeu de la Sérotonine 00:34:00 - Manipulation et Éthique 00:40:00 - La BMO Academy00:51:00 - Questions signaturesSi cet épisode vous a passionné, rejoignez-moi sur :L'Hebdo d'Hospitality Insiders, pour ne rien raterL'Académie Hospitality Insiders, pour vous former aux fondamentaux de l'accueilLinkedin, pour poursuivre la discussionInstagram, pour découvrir les coulissesLa bibliothèque des invités du podcastMerci de votre fidélité et à bientôt !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:29 - Le jeu des 1 000 € - par : Nicolas Stoufflet - Le Cahier de vacances du Jeu est sorti en librairie ! - réalisé par : Yann PAILLERET
durée : 00:04:55 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Chez les gorilles des montagnes, les liens sociaux influencent la santé mais avec des effets variables selon le sexe. Cette nouvelle étude menée sur deux décennies révèle un équilibre subtil entre protection et vulnérabilité aux maladies.
durée : 00:52:13 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Longtemps resté à l'écart des salles de classe, le jeu est devenu l'une des pierres angulaires de l'enseignement primaire. La naissance de l'école maternelle et l'émergence de pédagogies nouvelles symbolisent ce mouvement vers un apprentissage fondé sur la confiance et l'individualité de l'enfant. - réalisation : Milena Aellig, Emily Vallat - invités : Gilles Brougère Professeur de sciences de l'éducation à l'université Sorbonne Paris Nord, spécialiste du jeu, membre d'EXPERICE, le Centre de Recherche Interuniversitaire Expérience Ressources Culturelles, Éducation; Sylvain Wagnon Historien, professeur en sciences de l'éducation à l'université de Montpellier et spécialiste de l'éducation nouvelle et libertaire
On joue ensemble au "Jeu des 3 Zéros" pour gagner 1000 euros.
durée : 00:06:20 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La guerre commerciale lancée par Donald Trump contre la Chine semble être une aubaine pour les producteurs de soja brésiliens : ils espèrent supplanter leurs rivaux aux Etats-Unis, dans les échanges avec la Chine.
durée : 00:06:13 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Avec un chiffre d'affaires estimé à 187 milliards de dollars en 2024, l'industrie du jeu vidéo ne cesse de croître et avec elle le prix des jeux et des consoles. Un jeu vidéo triple A est en passe de coûter 90 euros. Des prix justifiés par l'inflation et des coûts de production toujours plus élevés. - invités : Philippe Chantepie Economiste, chercheur associé à la chaire « Innovation et régulation des services numériques » de l'École polytechnique/Telecom Paris-Tech/Orange et inspecteur général des affaires culturelles au ministère de la Culture et de la Communication
durée : 00:51:27 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Au lendemain de 1790, les révolutionnaires français ne badinent pas avec la nature. Ils veulent inventer un ordre harmonieux, où l'humain, le végétal et l'animal coexistent et réaliser l'idéal universel de la Révolution. Une écologie républicaine inspirée de la philosophie des Lumières. - réalisation : Laurence Millet - invités : Julien Vincent Maître de conférences en histoire des sciences à l'université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Corine Pelluchon Philosophe, professeure à l'université Paris-Est Gustave Eiffel, spécialiste de philosophie politique et d'éthique normative et appliquée