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Toɓɓere men hannde ko fembagol, moragol e bornogol coomci gooti e nder duude janngiirɗe (lekkolji) holno ngal pellital jaɓboraa e nder duuɗe ɗee. Hoɓɓe men e ndee yeewtere ko Mammadu Yaya Daaf nehoowo sukkaaɓe gollowo e duɗal "Blaise Diagne" laamorgo Senegaal , e Habiba Sanuwa tawaaɗo e fedde jinnaaɓe janngooɓe mo Kamerun.
Les marches du Senegal Os mercados do Senegal Visiter les marchés est sans doute le meilleur moyen de'imprégner de l'ambiance d'une ville. Visitar os mercados é, sem dúvida, a melhor maneira para "se impregnar" da atmosfera de uma cidade. N'hésitez pas à vous enfoncez dans les méandres de leurs étroites ruelles et à slalomer entre les étals, Não hesite em se enfurnar nos meandros de ruas estreitas e zigue-zaguear entre as bancas, aprés avoir pris les précautions d'usage contre les pickpockets. depois de ter tomado as precauções habituais contra os batedores de carteiras. C'est sans doute aussi le meilleur moyen d'y apprendre le marchandage. Esta também é, sem dúvida, a melhor maneira de aprender a negociar (regatear). Les marchés de Dakar Os mercados de Dakar A Dakar, vous en découvrirez plusieurs, avec chacun ses spécialités et son ambiance. Em Dakar, você vai descobrir vários mercados, cada qual com suas especialidades e atmosfera. Le plus classique est le grand marché Sandaga, au croisement de l'avenue Lamine Gueye et de l'avenue Emile Badiane. O mais clássico é o grande mercado Sandaga, na esquina da Avenida Lamine Gueye e Avenue Emile Badiane. Un grand bátiment de style néo-soudanais abrite, sur deux étages, tous les produits alimentaires: légumes, viande, poisson. Um grande edifício de estilo neo-sudanes abriga, em dois andares, todos os produtos alimentares: legumes, carne, peixe. L'avenue Emile Badiane est bordée de kiosques tenus en général par des « baolbaol » (originaires de la région de Diourbel) A avenida Emile Badiane é ladeada de quiosques geralmente para o "baolbaol" (originários da região de Diourbel), où vous trouverez surtout des appareils électriques, souvent dernier cri: hi-fi, télévision, vidéo, etc. onde você vai encontrar principalmente aparelhos elétricos, a mais nova tecnologia em hi-fi, televisão, vídeo, etc. Dans les rues voisines, beaucoup de boutiques de tissus, vendus à la pièce ou assemblés en sacs, vêtements... Nas ruas circundantes, muitas lojas de tecido, vendidos em peças ou amontoadas em sacolas, roupas ... Le plus touristique est le marché Kermel, petit marché au coeur du vieux Dakar, O mais turístico é o mercado Kermel, pequeno mercado no coração da antiga (velha) Dakar, entre l'Avenue Sarrault et le port, qui abrite de belles maisons coloniales. entre a Avenida Sarrault e o porto, que abriga belas casas coloniais. Dans un très beau bâtiment de 1860, ravagé par un incendie en 1994, puis reconstruir en 1997, Em um edifício muito bonito de 1860, destruído por um incêndio em 1994 e, posteriormente, reconstruido, em 1997, L'on trouve tous les produits alimentaires de type européen, joliment présentés. encontra-se todos os alimentos no estilo europeu, muito bem apresentados. C'est aux alentours que les vendeuses de fleurs circulent chargées de bouquets, É neste ambiente que vendedores de flores circulam carregados bouquets, à côté de boutiques d'artisanat (vannerie, sculpture sur bois, maroquinerie) et de magasins modernes: boucheries, épiceries... ao lado de lojas de artesanato (cestas, esculturas em madeira, artigos de couro) e lojas modernas: açougues, mercearias ... XXXX Le plus authentique est le marché Tilène, avenue Blaise Diagne, dans le vieux quartier de la Médina. O mais autêntico é o mercado Tilène Avenida Blaise Diagne, no antigo bairro da Medina. A l’extérieur, des étals de fruits et légumes. Lá fora, barracas de frutas e legumes. A l’intérieur, tous les produits de consommation africaine : alimentation, épices, fruits, bijoux, livres, tissus, friperie, ustensiles de cuisine… No interior, todos os produtos de consumo africanos: alimentos, especiarias, frutas, jóias, livros, tecidos, velharias, utensílios de cozinha ... Le plus éclectique est le marché du port, où les marchandises proposées dépendent souvent des arrrivages des bateaux. O mais eclético é o mercado do porto, onde as mercadorias dispostas dependem da frequência da chegada dos b
Les marches du Senegal Os mercados do Senegal Visiter les marchés est sans doute le meilleur moyen de 'imprégner de l'ambiance d'une ville. Visitar os mercados é, sem dúvida, a melhor maneira para "se impregnar" da atmosfera de uma cidade. N'hésitez pas á vous enfoncez dans les méandres de leurs étroites ruelles et á slalomer entre les étals, Não hesite em se enfurnar nos meandros de ruas estreitas e zigue-zaguear entre as bancas, aprés avoir pris les précautions d'usage contre les pickpockets. depois de ter tomado as precauções habituais contra os batedores de carteiras. C'est sans doute aussi le meilleur moyen d'y apprendre le marchandage. Esta também é, sem dúvida, a melhor maneira de aprender a negociar (regatear). Les marchés de Dakar Os mercados de Dakar A Dakar, vous en découvrirez plusieurs, avec chacun ses spécialités et son ambiance. Em Dakar, você vai descobrir vários mercados, cada qual com suas especialidades e atmosfera. Le plus classique est le grand marché Sandaga, au croisement de l'avenue Lamine Gueye et de l'avenue Emile Badiane. O mais clássico é o grande mercado Sandaga, na esquina da Avenida Lamine Gueye e Avenue Emile Badiane. Un grand bátiment de style néo-soudanais abrite, sur deux étages, tous les produits alimentaires: légumes, viande, poisson. Um grande edifício de estilo neo sudanes abriga, em dois andares, todos os produtos alimentares: legumes, carne, peixe. L'avenue Emile Badiane est bordée de kiosques tenus en général par des « baolbaol » (originaires de la région de Diourbel) A avenida Emile Badiane é ladeada de quiosques geralmente para o "baolbaol" (originários da região de Diourbel), oü vous trouverez surtout des appareils électriques, souvent dernier cri: hi-fi, télévision, vidéo, etc. onde você vai encontrar principalmente aparelhos elétricos, a mais nova tecnologia em hi-fi, televisão, vídeo, etc. Dans les rues voisines, beaucoup de boutiques de tissus, vendus á la piece ou assemblés en sacs, vétements... Nas ruas circundantes, muitas lojas de tecido, vendeu um quarto ou sacos montados, roupas ... Le plus touristique est le marché Kermel, petit marché au coeur du vieux Dakar, O mais turístico é o mercado Kermel, pequeno mercado no coração da antiga Dakar, entre l'Avenue Sarrault et le port, qui abrite de belles maisons coloniales. entre a Avenida Sarrault e do porto, que abriga belas casas coloniais. Dans un tres beau bátiment de 1860, ravagé par un incendie en 1994, puis reconstruir en 1997, Em um edifício muito bonito de 1860, destruído por um incêndio em 1994 e, posteriormente, reconstruido, em 1997, I' on trouve tous les produits alimentaires de type européen, joliment présentés. encontra-se todos os alimentos no estilo europeu, muito bem apresentados. C'est aux alentours que les vendeuses de fleurs circulent chargées de bouquets, É neste ambiente que vendedores de flores circulam carregados bouquets, á cóté de boutiques d'artisanat (vannerie, sculpture sur bois, maroquinerie) et de magasins modernes: boucheries, épiceries... ao lado de lojas de artesanato (cestas, esculturas em madeira, artigos de couro) e lojas modernas: açougues, mercearias ... Le plus authentique est le marché Tilène, avenue Blaise Diagne, dans le vieux quartier de la Médina. O mais autêntico é o mercado Tilène Avenue Blaise Diagne, no antigo bairro da Medina. A l’extérieur, des étals de fruits et légumes. Lá fora, frutas e vegetais barracas. A l’intérieur, tous les produits de consommation africaine : alimentation, épices, fruits, bijoux, livres, tissus, friperie, ustensiles de cuisine… No interior, todos os produtos de consumo africanos: alimentos, especiarias, frutas, jóias, livros, tecidos, vestuário, utensílios de cozinha ... Le plus éclectique est le marché du port, où les marchandises proposées dépendent souvent des arrrivages des bateaux. O eclético é o mercado do porto, onde os bens propostos muitas vezes dependem arrrivages barcos. On y trouve de la quincail
"Si vous n'avez jamais échoué, vous n'avez jamais vécu", dit-on. Les échecs sont probablement l'un des aspects de la vie qui nous font le plus peur. Nous avons tendance à penser que les gens qui réussissent ont eu de la chance, que le succès leur est tombé dessus ou qu'ils avaient simplement les bonnes relations. Mais la vérité, c’est que tout le monde a échoué… et échouera sûrement à nouveau. Toutes ces personnes que l’on cite comme des modèles de réussite, ont eu des expériences ratées. Ce qui fait leur différence, c’est qu’elles ne se sont pas arrêtées après leurs échecs : elles se sont relevés et ont réessayé, quelques fois à plusieurs reprises, jusqu’à la réussite ! C’est le cas de mon invité #SuccessVoices de la semaine : Mor Lamotte, Fondateur et Directeur de Subito International. Mor a lancé Subito en 2016, pour proposer une alternative de qualité aux taxis jaune-noir, aussi bien en termes de sécurité que de confort et de qualité de service. Il a démarré avec 2 employés. Aujourd'hui (4 ans plus tard) il en a une quinzaine et Subito, qui entre temps est devenu Subito International, a élargi sa gamme de service avec la location de voiture, avec ou sans chauffeur, le transfert de personnes, de et vers l'aéroport international Blaise Diagne, la formation et/ou la mise à disposition de chauffeurs, etc. Dans cette interview, Mor partage avec nous son expérience d’entrepreneur, les défis auxquels il a dû faire face et surtout, il nous parle de ses expériences entrepreneuriales passées et des raisons qui ont fait qu’elles n’ont pas réussi. Aujourd’hui, Mor a appris de ses erreurs passées : il a réalisé l’importance de se former aux différents aspects de la gestion d’entreprise (il est membre d’Enablis, un réseau d’entrepreneurs auquel j’appartiens moi-même, qui fournit accompagnement et formation à ses membres) et également qu’il fallait s’entourer des bons professionnels, spécialistes dans leur domaine, si on veut se développer et faire grandir son entreprise.
Le Béninois Paul Hazoumé, ethnologue, chercheur, écrivain et homme politique, est considéré comme l'un des «grands ancêtres» de la littérature négro-africaine d'expression française. Né en 1890 à Porto-Novo, il est mort en 1980 à Cotonou. Sorti de l'École normale de Saint-Louis du Sénégal en 1910, Paul Hazoumé est nommé, entre autres affectations, directeur des écoles de Ouidah et Abomey, où il prépare sa première étude ethnographique. En 1931, à l'occasion de l'Exposition coloniale internationale, il représente le Dahomey au Congrès international et intercolonial des sociétés indigènes. Dès son retour, il est chargé de l'enseignement général à l'École professionnelle de Cotonou. Chargé de mission au Musée de l'homme en 1937, il met ses notes au point, classe les collections du Dahomey et fait enregistrer les chants de son pays. S'affirmant comme un ethnologue de talent, il reçoit le premier prix du Gouverneur général de l'Afrique-Occidentale française et en 1939, l'Académie française lui décerne son Prix de la langue française. Paul Hazoumé a publié Le Pacte de sang au Dahomey en1937, et le roman Doguicimi en 1938. Parallèlement à ses activités littéraires, Paul Hazoumé, qui mettait au moment de sa mort la dernière main à plusieurs manuscrits, fut également un journaliste combatif. Sous divers pseudonymes, il publia de nombreux articles dans le Phare du Dahomey, journal nationaliste qui, au cours des années 30, dénonçait avec vigueur la politique coloniale française.En effet, le code de l'indigénat reposait sur la conviction que le nègre est dans tous les aspects de sa personnalité une race inférieure. Et bien évidemment, il est nécessaire de donner à l'Africain des modèles étrangers, principalement la culture européenne. Ce qui a conduit l'Africain à perdre le respect de lui-même et la considération de sa propre race. En réaction, à la fin du XIXème siècle, il y a eu une naissance politique et culture des premiers lettrés africains. C'est ainsi qu'en 1914, le Sénégalais Blaise Diagne réussit à se faire élire député.Paul Hazoumé dit qu'il considère lui-même le livre Doguicimi comme un document ethnologique et historique, fruit de 25 années de recherche auprès des anciens du Dahomey. L'ouvrage donne l'atmosphère de la vie à Abomey, et en particulier les usages de la cour du roi Guézo. L'auteur relate la tradition et les oracles, qui décrivent les grandes cérémonies et les fêtes de ce royaume. L'ouvrage vise en premier lieu à « faciliter la maîtrise des ressorts psychologiques du Noir par le colonisateur », c'est-à-dire à faciliter la mission civilisatrice du colonisateur européen. Toutefois, il tâche de démontrer que les Dahoméens et les Africains en général, ne sont pas aussi singuliers que l'on a voulu le faire croire, puisque certains traits de leurs civilisations se retrouvent chez des peuples dits civilisés.Mais c'est à Paris que naît le concept de la négritude, avec Paul Hazoumé, aux côtés du Sénégalais Senghor, du Martiniquais Césaire, de l'Américain Richard Wright et de quelques autres, dont Jean-Paul Sartre, l'un de ceux qui contribuèrent au lancement de la revue Présence africaine, tribune de l'intelligentsia d'Afrique noire depuis plus de trente années.
Le Béninois Paul Hazoumé, ethnologue, chercheur, écrivain et homme politique, est considéré comme l'un des «grands ancêtres» de la littérature négro-africaine d'expression française. Né en 1890 à Porto-Novo, il est mort en 1980 à Cotonou. Sorti de l'École normale de Saint-Louis du Sénégal en 1910, Paul Hazoumé est nommé, entre autres affectations, directeur des écoles de Ouidah et Abomey, où il prépare sa première étude ethnographique. En 1931, à l'occasion de l'Exposition coloniale internationale, il représente le Dahomey au Congrès international et intercolonial des sociétés indigènes. Dès son retour, il est chargé de l'enseignement général à l'École professionnelle de Cotonou. Chargé de mission au Musée de l'homme en 1937, il met ses notes au point, classe les collections du Dahomey et fait enregistrer les chants de son pays. S'affirmant comme un ethnologue de talent, il reçoit le premier prix du Gouverneur général de l'Afrique-Occidentale française et en 1939, l'Académie française lui décerne son Prix de la langue française. Paul Hazoumé a publié Le Pacte de sang au Dahomey en1937, et le roman Doguicimi en 1938. Parallèlement à ses activités littéraires, Paul Hazoumé, qui mettait au moment de sa mort la dernière main à plusieurs manuscrits, fut également un journaliste combatif. Sous divers pseudonymes, il publia de nombreux articles dans le Phare du Dahomey, journal nationaliste qui, au cours des années 30, dénonçait avec vigueur la politique coloniale française. En effet, le code de l’indigénat reposait sur la conviction que le nègre est dans tous les aspects de sa personnalité une race inférieure. Et bien évidemment, il est nécessaire de donner à l’Africain des modèles étrangers, principalement la culture européenne. Ce qui a conduit l’Africain à perdre le respect de lui-même et la considération de sa propre race. En réaction, à la fin du XIXème siècle, il y a eu une naissance politique et culture des premiers lettrés africains. C’est ainsi qu’en 1914, le Sénégalais Blaise Diagne réussit à se faire élire député. Paul Hazoumé dit qu’il considère lui-même le livre Doguicimi comme un document ethnologique et historique, fruit de 25 années de recherche auprès des anciens du Dahomey. L’ouvrage donne l’atmosphère de la vie à Abomey, et en particulier les usages de la cour du roi Guézo. L’auteur relate la tradition et les oracles, qui décrivent les grandes cérémonies et les fêtes de ce royaume. L’ouvrage vise en premier lieu à « faciliter la maîtrise des ressorts psychologiques du Noir par le colonisateur », c’est-à-dire à faciliter la mission civilisatrice du colonisateur européen. Toutefois, il tâche de démontrer que les Dahoméens et les Africains en général, ne sont pas aussi singuliers que l’on a voulu le faire croire, puisque certains traits de leurs civilisations se retrouvent chez des peuples dits civilisés. Mais c’est à Paris que naît le concept de la négritude, avec Paul Hazoumé, aux côtés du Sénégalais Senghor, du Martiniquais Césaire, de l'Américain Richard Wright et de quelques autres, dont Jean-Paul Sartre, l'un de ceux qui contribuèrent au lancement de la revue Présence africaine, tribune de l'intelligentsia d'Afrique noire depuis plus de trente années.
Education as Politics: Colonial Schooling and Political Debate in Senegal, 1850s-1914 (University of Wisconsin Press, 2015) questions and complicates the two dominant narratives of African colonial education, namely that colonial education was a tool of indoctrination and that its establishment was resisted by chiefs and other traditional power brokers because of its perceived threat to their authority. Author Kelly M. Duke Bryant challenges these interrelated narratives by using archival sources – mainly correspondence – to demonstrate the nuanced reasons for both the early resistance to and the later acquiescence to, French colonial education. Duke Bryant looks at the evolution of schooling throughout Senegal during the early colonial period, and at the School of Sons of Chiefs and Interpreters in particular, and concludes that “colonial education reshaped local political processes and hierarchies in important ways”.Education as Politicsserves as a backdrop to the election of Blaise Diagne, the first African elected to the Assemble Nationale (French National Assembly) in 1914, and in the interview, Duke Bryant outlines the ways in which new forces mobilized by colonial schooling set the stage for this momentous event. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Education as Politics: Colonial Schooling and Political Debate in Senegal, 1850s-1914 (University of Wisconsin Press, 2015) questions and complicates the two dominant narratives of African colonial education, namely that colonial education was a tool of indoctrination and that its establishment was resisted by chiefs and other traditional power brokers because of its perceived threat to their authority. Author Kelly M. Duke Bryant challenges these interrelated narratives by using archival sources – mainly correspondence – to demonstrate the nuanced reasons for both the early resistance to and the later acquiescence to, French colonial education. Duke Bryant looks at the evolution of schooling throughout Senegal during the early colonial period, and at the School of Sons of Chiefs and Interpreters in particular, and concludes that “colonial education reshaped local political processes and hierarchies in important ways”.Education as Politicsserves as a backdrop to the election of Blaise Diagne, the first African elected to the Assemble Nationale (French National Assembly) in 1914, and in the interview, Duke Bryant outlines the ways in which new forces mobilized by colonial schooling set the stage for this momentous event. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Education as Politics: Colonial Schooling and Political Debate in Senegal, 1850s-1914 (University of Wisconsin Press, 2015) questions and complicates the two dominant narratives of African colonial education, namely that colonial education was a tool of indoctrination and that its establishment was resisted by chiefs and other traditional power brokers because of its perceived threat to their authority. Author Kelly M. Duke Bryant challenges these interrelated narratives by using archival sources – mainly correspondence – to demonstrate the nuanced reasons for both the early resistance to and the later acquiescence to, French colonial education. Duke Bryant looks at the evolution of schooling throughout Senegal during the early colonial period, and at the School of Sons of Chiefs and Interpreters in particular, and concludes that “colonial education reshaped local political processes and hierarchies in important ways”.Education as Politicsserves as a backdrop to the election of Blaise Diagne, the first African elected to the Assemble Nationale (French National Assembly) in 1914, and in the interview, Duke Bryant outlines the ways in which new forces mobilized by colonial schooling set the stage for this momentous event. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Education as Politics: Colonial Schooling and Political Debate in Senegal, 1850s-1914 (University of Wisconsin Press, 2015) questions and complicates the two dominant narratives of African colonial education, namely that colonial education was a tool of indoctrination and that its establishment was resisted by chiefs and other traditional power brokers because of its perceived threat to their authority. Author Kelly M. Duke Bryant challenges these interrelated narratives by using archival sources – mainly correspondence – to demonstrate the nuanced reasons for both the early resistance to and the later acquiescence to, French colonial education. Duke Bryant looks at the evolution of schooling throughout Senegal during the early colonial period, and at the School of Sons of Chiefs and Interpreters in particular, and concludes that “colonial education reshaped local political processes and hierarchies in important ways”.Education as Politicsserves as a backdrop to the election of Blaise Diagne, the first African elected to the Assemble Nationale (French National Assembly) in 1914, and in the interview, Duke Bryant outlines the ways in which new forces mobilized by colonial schooling set the stage for this momentous event. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices