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Ancienne ministre de l'Education en Guinée, Aïcha Bah Diallo lutte contre les mariages précoces et pour les droits des filles à l'école.
Elle s'appelle Loukina Tille, elle a 20 ans et en début de semaine, elle était au pupitre de l'ouverture du Congrès Météorologique Mondial à Genève. Son message : les évènements climatiques extrêmes menacent les droits des filles. Aux côtés du Conseiller fédéral Alain Berset, elle représente la campagne #GirlsTakeover de Plan International Suisse. Dans son discours, Loukina Tille a appelé à l'inclusion des voix des jeunes femmes autant dans le domaine de la recherche que dans les décisions politiques. Nous avons le plaisir de l'accueillir sur Radio Cité Genève au micro de Léna Ailloud :
durée : 00:03:51 - Unique en son genre - À l'occasion de la journée du Coming Out, la marque Levi's s'engage pour la cause LGBT et réalise un court-métrage mettant en scène des européens de tous horizons.
Interview avec la sociologue Aissata Assane Igodoe à propos de la scolarisation des filles au Niger, des freins et préjugés sur la question, à Niamey et dans les campagnes.
En Afghanistan, la seule solution pour une paix et un développement durable et inclusif est de protéger les droits de toutes les personnes, et notamment celle des enfants. C'est l'appel qu'ont lancé cette semaine la Représentante spéciale du Secrétaire général pour les enfants et les conflits armés, Virginia Gamba, et la Représentante spéciale du Secrétaire général sur la violence contre les enfants, Najat Maalla M'jid. Les deux défenseures des enfants s'inquiètent notamment de la situation des filles afghanes. Najat Maalla M'jid explique pourquoi il était important de se prononcer maintenant. (Extrait sonore : Najat Maalla M'jid, Représentante spéciale du Secrétaire général sur la violence contre les enfants; propos recueillis par Cristina Silveiro)
« Les enfants en Afghanistan ont assez souffert ». C'est ce qu'ont affirmé mardi la Représentante spéciale du Secrétaire général pour les enfants et les conflits armés, Virginia Gamba, et la Représentante spéciale du Secrétaire général sur la violence contre les enfants, Najat Maalla M'jid. Dans une déclaration conjointe, les deux hautes responsables onusiennes ont appelé les Talibans et autres parties à respecter et à protéger les droits de l'homme pour tous et toutes. Les événements politiques récents les inquiètent. On écoute Virginia Gamba. (Extrait sonore : Virginia Gamba, Représentante spéciale du Secrétaire général pour les enfants et les conflits armés; propos recueillis par Cristina Silveiro)
L'Algérie affirme qu'il s'agit de terroristes présumés, le HCR s'inquiète du sort d'une centaine de ressortissants arabes disparus dans le Sahara. Et l'Inde qui manque cruellement de femmes à cause des avortements et meurtres de petites filles.
Deux reportages sur le droit à l'éducation. Avec un tour de vis contre les grossesses précoces en Tanzanie et l'ouverture progressive des écoles coraniques au Sénégal.
En Inde, de nombreuses familles préfèrent mettre des garçons au monde. Et à Hambourg, la construction d'un centre commercial prévue à l'ancien QG de la Gestapo crée la polémique.
Fatouma se fait battre par son père puis par son professeur. Mme Mona et les filles décident de lutter contre les châtiments corporels. Le parlement des filles va proposer des alternatives pour punir les enfants fautifs.
Fatouma, Princesse et Claire sont confrontées au travail des enfants et se rendent compte qu’il est malheureusement encore très courant. Le parlement persuade Fatouma de poursuivre sa scolarité au lieu de travailler.
Princesse aime le pouvoir qu’elle a sur les garçons, mais Fatouma est sceptique. Sans s’en rendre compte, les filles sont victimes de harcèlement sexuel. Au parlement des filles, Mme Mona doit rétablir l’ordre.
Claire et Princesse ont aidé Fatouma à s’enfuir de chez elle, car ses parents voulaient la marier à un homme âgé. Les filles décident de créer un parlement pour débattre de leurs problèmes, notamment celui de l’excision.
Claire, Fatouma et Princesse sont trois jeunes filles qui vont à l’école ensemble et qui doivent faire face aux problèmes typiques des adolescentes. Claire et Fatouma doivent lutter pour leur droit à l’éducation.
Fatouma, Princesse et Claire découvrent ce qu’est la pression du groupe et quels effets négatifs celle-ci peut avoir, surtout sur les jeunes. Le parlement réfléchit aux meilleures façons de ne pas se laisser influencer.
Au collège, un événement important attend tous les élèves : l’élection de leurs représentants. Princesse pose sa candidature. Mais quelles sont les qualités requises pour être un bon dirigeant ou une bonne dirigeante ?
Les adolescentes grandissent et deviennent plus mûres, cela s’accompagne de beaucoup de questions. Les trois amies vont convoquer le parlement des filles pour parler de sexualité et briser certains tabous.
Le parlement des filles a joué un rôle important dans la vie de ses membres. C’est le cas une fois de plus aujourd’hui : les filles parlent de leurs futures carrières et luttent contre les préjugés des garçons.
Le père de Claire est mort et son oncle Babou veut récupérer tout ce qu’elle et sa mère possèdent. La jeune fille se rend compte que ses droits peuvent être spoliés par un proche censé prendre soin d’elle.